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SOMMAIRE Cette semaine, dans Le Fil : page 1 : Editogolais page 2 : Harmoniouzes page 3 : Lâcher de geek page 4 : Associables page 5 : Porte-clés page 6 : Chabal nu page 7 : Essai skyblogophile page 8 : Jeu, tuu, ilu... page 9 : Sommaire page 10 : Suite et fin Le mot du Prez Anacoluthe Rupture dans la construction d’une phrase. Exemple : -L’anacoluthe, comment vous dire ça les enfants ? Euh…bah c’est quand. -Merci. EDITO! Il fut un temps où mes camarades d’infortune ou d’école et moi-même étions invariablement ac- compagnés d’un cartable disproportionné pour nos vertèbres. Dedans, 4 ma- nuels de grammaire (française et cyrillique), gymnastique et botanique se battaient avec 2 trousses (une pour la beu une pour les crayons de couleurs, une pour les pogs) pour savoir qui allait nous empêcher de fermer notre sac. Puis, mes camarades collégiaux et collégiens, et moi-même, toujours, possédions un Eastpak bleu océan qui pouvait descendre jusqu’aux chevilles, particulièrement chez les meufs, les gonzesses et autres radasses en tout genre (fu- tures esclaves domestiques consignées à des tâches quotidiennes autant que primaires telles que le désengorgement de fosses sceptiques et autres grattages de carrelages calcaireux l’ongle, bien entendu- par leurs futurs oppres- seurs pro-De Villiers de maris, soit dit en pas- sant). Cette méthode, vision pragmatique de l’enfouissement du complexe dit « des fesses moches », trouvait sa faille en cours de maths, lorsque le prof demandait aux susnommées dindonnes d’aller au tableau pour résoudre 1+x²=3-2. Ces rebelles d’ados, privées de leur Eastpak fétiche (aussi fétiche que leur porte- clés en scoubidous fait main, c’est dire), et pour ne pas se retrouver les fesses à l’air (enfin avec deux couches de tissus dessus mais quand même on sait jamais) trouvaient alors la parade en saisissant avidement et in extremis un quel- conque pull pour le mettre autour de leur taille, laquelle était désormais à l’abri du regard de leurs cons-génères d’ados hyper-hormonés. El- les pouvaient alors fièrement parader jusqu’au tableau noir où elles pouvaient démontrer toute l’inétendue attendue de leur savoir. Mais je m’égare (du Nord). Aujourd’hui, mes universitaires de camarades, communistes ou non, sèchent leurs amphis et ne sortent jamais sans leurs porte-clés décap- suleurs. Mais, sans compter nos dérives éthyli- ques et anarchiques et notre fâcheuse tendan- ce à vouloir brûler tous les Compiègnois vieux qu’on rencontre (au risque d’ailleurs d’en res- sentir les conséquences par une légère odeur caramélisée (diabète power)), nous sommes autrement plus clairvoyants et sagaces que ces nigauds crâcheurs d’ineptie que nous fûmes dans la partie antérieure de ce que nous ne considérons même plus comme faisant partie de notre vie tellement c’est trop la honte quoi, j’ai envie de dire. Nous, Utécéens, devons bien l’admettre : nous sommes des êtres supérieurs, comme aime d’ailleurs à nous le rappeler notre chère administration, avec une propagande di- gne des plus belles heures du soviétisme soviet : « UTC, 1ère école post-bac », « UTC, 1ère école à l’international » (en gros sur utc.fr, à côté d’Axelle Red) Alors, faisons honneur à notre école, cuisinons nos pâtes sur bec bunsen et logeons nos chiens dans des niches TN04. par Pierre, cubiste

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SOMMAIRECette semaine, dans

Le Fil :page 1 : Editogolais

page 2 : Harmoniouzes

page 3 : Lâcher de geek

page 4 : Associables

page 5 : Porte-clés

page 6 : Chabal nu

page 7 : Essai skyblogophile

page 8 : Jeu, tuu, ilu...

page 9 : Sommaire

page 10 : Suite et fin

Le mot du PrezAnacoluthe

Rupture dans la construction d’une phrase.

Exemple : -L’anacoluthe, comment vous dire ça les enfants ? Euh…bah c’est quand. -Merci.

EDITO!

Il fut un temps où mes camarades d’infortune ou d’école et moi-même étions invariablement ac-compagnés d’un cartable disproportionné pour nos vertèbres. Dedans, 4 ma-

nuels de grammaire (française et cyrillique), gymnastique et botanique se battaient avec 2 trousses (une pour la beu une pour les crayons de couleurs, une pour les pogs) pour savoir qui allait nous empêcher de fermer notre sac. Puis, mes camarades collégiaux et collégiens, et moi-même, toujours, possédions un Eastpak bleu océan qui pouvait descendre jusqu’aux chevilles, particulièrement chez les meufs, les gonzesses et autres radasses en tout genre (fu-tures esclaves domestiques consignées à des tâches quotidiennes autant que primaires telles que le désengorgement de fosses sceptiques et autres grattages de carrelages calcaireux -à l’ongle, bien entendu- par leurs futurs oppres-seurs pro-De Villiers de maris, soit dit en pas-sant). Cette méthode, vision pragmatique de l’enfouissement du complexe dit « des fesses moches », trouvait sa faille en cours de maths, lorsque le prof demandait aux susnommées dindonnes d’aller au tableau pour résoudre 1+x²=3-2. Ces rebelles d’ados, privées de leur Eastpak fétiche (aussi fétiche que leur porte-clés en scoubidous fait main, c’est dire), et pour ne pas se retrouver les fesses à l’air (enfin avec deux couches de tissus dessus mais quand même on sait jamais) trouvaient alors la parade en saisissant avidement et in extremis un quel-

conque pull pour le mettre autour de leur taille, laquelle était désormais à l’abri du regard de leurs cons-génères d’ados hyper-hormonés. El-les pouvaient alors fièrement parader jusqu’au tableau noir où elles pouvaient démontrer toute l’inétendue attendue de leur savoir.

Mais je m’égare (du Nord).

Aujourd’hui, mes universitaires de camarades, communistes ou non, sèchent leurs amphis et ne sortent jamais sans leurs porte-clés décap-suleurs. Mais, sans compter nos dérives éthyli-ques et anarchiques et notre fâcheuse tendan-ce à vouloir brûler tous les Compiègnois vieux qu’on rencontre (au risque d’ailleurs d’en res-sentir les conséquences par une légère odeur caramélisée (diabète power)), nous sommes autrement plus clairvoyants et sagaces que ces nigauds crâcheurs d’ineptie que nous fûmes dans la partie antérieure de ce que nous ne considérons même plus comme faisant partie de notre vie tellement c’est trop la honte quoi, j’ai envie de dire. Nous, Utécéens, devons bien l’admettre : nous sommes des êtres supérieurs, comme aime d’ailleurs à nous le rappeler notre chère administration, avec une propagande di-gne des plus belles heures du soviétisme soviet : « UTC, 1ère école post-bac », « UTC, 1ère école à l’international » (en gros sur utc.fr, à côté d’Axelle Red)

Alors, faisons honneur à notre école, cuisinons nos pâtes sur bec bunsen et logeons nos chiens dans des niches TN04.

par Pierre, cubiste

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�Au Fil, on passe nos dimanches à pas dormir et on se tape des brainstormings harassants mentalement. Et tout ça

Chez les autres souvent, on choisi de ne préférer qu’un disque par semaine!!! Chez Graf’hit, on est plutôt gourmand alors on préfère en choisir 6. Un sélec-tion de disque mordorée que nous vous invitons à découvrir, dans le Fil et sur nos ondes :

Devendra Banhart - Smokey Roll’s Down Thunder Canyon - XL Recor-ding titre Cristobal Devendra Banhart qui tient son nom du gourou indien de ses parents, est le père fondateur de la Weird Folk. Cette musique psyché folk qui défend une vision de l’Amérique à mille lieux des concepts capitalistes. Sur Smokey Roll’s Down Thunder Canyon, Devendra associe le chant en anglais en espagnol et en portugais à une folk moderne et tournée vers l’avenir et offre de fait une musique légère et aérienne.

Jim White - Transnormal Skiperoo - Luakabop titre Take me away Après avoir tenté d’embrasser une car-rière de surfeur puis de mannequin, Jim White s’est finalement lancé dans la folk. Ce chanteur et songwriter améri-cain publie son premier essai en 1997. Toujours dans sa ligne musicale, Trans-normal Skiperoo mélange de country et de folk soutenu par des textes tour à tour mélancoliques, désabusés ou même insolites s’inspirant de ses expé-riences ou de celles de ses proches.

King Kong Was a Cat - King Kong Was a Cat - Unique Records titre Rats Découvert en avant première sur une compilation du label Unique Records, King Kong was a cat est le projet solo de Mathieu Lozinguez, guitariste de Me-latonine. Seul avec ses machines (groo-vebox, sampler, synthé) mais aussi mélodica et scie musicale, il crée des affinités entre influences électro, rock, hiphop et jazz, à la rencontre d’Aphex Twin ou de Autechre.

Spoke Orkestra - N’existe pas titre Si un punk c’est ça Cette quizaine découvrez sur Graf’hit N’existe pas, 1er album de Spoke Or-chestra et le titre Si un Punk c’est ça. Fers de lance de la scène slam alterna-

tive, Felix J, Nada, D’ et Mannara sont à la base du collectif Spoke Orchestra. Si les trois premiers se partagent l’écri-ture et le chant, c’est Franco Mannara qui prend la main sur l’instrumenta-tion, plutôt rock et électrique. L’écriture acerbe du collectif est sur N’existe pas, parfois illustrée par la présence d’invi-tés tels que Add el Haq, Serge Teyssot Gay, Gilles Coronado ou Greg Slap.

Sukoï Fever - Are you subversive? - Anticraft titre Straight on Initialement sextet de Ska, les Sukoï Fever ont rapidement pris la direction d’un rock ‘n’ roll énergétique sur des bases de soul et rock des 60’s. Des scè-nes, ces garçons là en on usées, s’ap-puyant sur une unique démo, Ready for action, ils ont arpenté et déménagé la France de long en large, nous gratifiant même d’un passage à Compiègne pour les 10 ans de Graf’hit. Aujourd’hui Sukoï Fever propose enfin un premier album Are subversive à découvrir d’urgence en concert, où la classe légendaire du groupe n’a d’égal que son énergie sur scène.

Tunng - Good Arrows - Pias titre Soup Le duo londonien officie depuis 2003. Mais en passant de 2 à 6 membres il a pris au fil du temps une véritable allure de collectif. C’est dans un environne-ment intimiste que se déploient les 11 titres de Good Arrows, mélange de brui-tages, de voix lointaines et de détails sonores du grouillement de la vie exté-rieure. Difficile autrement qu’à l’écoute de définir la musique de Tunng sur cet album, qualifié le plus souvent de folk-tronica.

Graf `hit soutient la découverte musi-cale et vous propose un petit jeu. Cette quinzaine, trouvez le myspace de cha-que sélection Victorz et adressez nous la liste par e-mail à l’adresse [email protected]. Les premières réponses remporteront un album du groupe de rock Interpol et un t-shirt.

Et pendant ce temps, pendant que tu lavais tes chausettes, dans le monde...

Mondial de Rugby : la France éli-mine la Nouvelle-Zélande en quarts

de finale. On a vu Sarkozy exploser de joie sur les essais Français. Normal, encore des étrangers qui rentrent chez eux.

Un interné psychiatrique accusé d’avoir tué sa mère alors qu’il était

en permission. Il avait quelques années au-paravant tué 2 policiers et un codétenu. Sébastien Chabal dément.

Ou M. Breton “ment, ou c’est un incompétent!” a jugé dimanche

le secrétaire général de la CFDT François Chérèque. T’emballe pas François ; notre Ministre peut aussi être corrompu, ou con, tiens. Sébastien Chabal confirme.

Le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, affirme que « la

CFDT n’a pas touché un euro » de l’argent du représentant du Medef, Denis Gautier-Sauvagnac. Moi je dis : ou il ment, ou c’est un incompétent ! L’argent ça se refuse pas quoi, merde. Sébastien Chabal ne serait pas dans le coup.

Jack Lang se dit « socialiste, pleine-ment socialiste ». Le Parti Socialiste

dément. Après s’être piqué DSK par le FMI, voilà qu’ils vont peut-être récupérer Jack Lang…C’est la crise. Sébastien Chabal se dit prêt.

Pamela Anderson se marie pour la troisième fois, avec un ex de Paris

Hilton. Rappelons que les deux filles ont réussi à avoir chacune leurs ébats en vidéo sur le Net. Ah chaud lapin ce Sébastien Cha-bal ! Ca doit être les cheveux. Ou la barbe. Ou les cheveux. Ou pas.

France 2 : Pour égaler le trash de TF1, William Leymergie aurait frappé

son chroniqueur théâtre à Télématin. Il dé-ment. Sébastien Chabal dément aussi. Mais on le croit plus là. Mais il dément.

Nouvelle nuit sur le trottoir pour les mal-logés. Des dizaines de per-

sonnes ont passé la nuit sur de grandes bâches installées rue de la Banque, récla-mant “100.000 logements tout de suite, 1 million très vite”. En réaction, une manif anti-pauvres aura lieu mercredi, dans une salle de l’Elysée. Conseil des ministres, que ça s’appellera. Sébastien Chabal ne sera pas là. Mais il s’excuse, ça va.

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Etudiante, étudiant,

Ô toi ancien, n’as tu point éprouvé un profond sentiment de désarroi, d’inuti-lité, de ne pouvoir enseigner aux jeunes nouvôs cet art ancestral transmis de génération en génération qu’est l’écri-ture d’un mail sous pine ? Ne pas avoir entendu de « dis, comment je fais pour envoyer mon mail ? » ne t’as t’il point blessé dans le plus profond de ton âme ? Nous, membres du FLTX, militons pour le retour de ces admirables machi-nes qui ont marqué tant de générations d’utécéens, les Terminaux X. Qu’il nous semble lointain, le temps où consul-ter ses mails prenait 15,4 secondes, le temps des bips joyeux qui résonnaient dans les couloirs, le temps des claviers qwerty qui en fait sont des azerty dégui-sés pour rendre moins monotones cette tâche horaire…

Adieu pine, pot, talk, courses dans les bâtiments pour retrouver ses amis avant qu’ils ne se déconnectent, repérage des cibles au killer (d’ailleurs le killer c’est bientôt ! inscrivez-vous !)

Certes, leurs remplaçants, les CECI-NESTPASUNPC ont fière allure, avec leur écrans plats et leur design high tech pur plastique brillant, mais quelle lenteur, quelle débauche de produits microsoftiens ! Tout cela pour détour-ner les nouvôs de la voie de la sagesse ! Temps de chargement de la session, temps d’ouverture du navigateur, temps de fermeture de la session, consultation de forums, glandage immodéré sur in-ternet, conversations effrénées avec maman sur msn… Autant de choses qui ne font qu’allonger les files d’attente au

les salles FB200 et 204, te taper des pine en salle n’info et écouter le brame du TX. Au programme : sittings dans les salles TX, dépôts de gerbes de fleurs sur les cadavres gisants à même le sol du bâtiment B, préparation d’attentats et boycott de tous les médians.

Sauve un TX, fait MT09 !

Suté et 1T pour le FLTX.

gratos, alors à défaut de par ticiper activement à nos concours fantastiques, faites un don, envoyez-nous des cacahuètes.

LE FRONT DE libération des TX communique...

point de dépasser celle de la machine à café à 10h, qui font qu’une pause ne suffit même plus pour consulter ses mails !

Si toi aussi tu es indigné par ces actes, soutiens notre action ! envoie un mail à [email protected] et viens nous rejoindre dans le dernier refuge de cette espèce maintenant en voie de disparition,

Jeu : Trouve l’intrus et colorie-le !

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Le Polar se plie en 2 pour toi...

En effet, cette semaine, nous te proposons non pas 3 ni 4 super offres, mais

bien 2 supers offres, sous formes de comman-des géniales !

- Affiches ciné : viens commander les plus beaux posters de l’UTC aux couleurs de tes films et actrices (non, pas d’acteurs cette an-née) préférés. Deux tailles, deux prix (5 et 9 euros), il y en a pour tous les goûts. S’adresser à Djéhuémay.

- Matériel informatique : à toi les dernières in-ventions des TIC (pas les bus hein !) De tout et pour tous, ni plus ni moins, il te suffit de de-mander ce que tu veux, et nous trouverons ! Ca se passe comme ça chez McPolar’s ! S’adresser à Djofway ou Stayfhanne.

Dernier délais pour les deux commandes : Vendredi 12 Octobre inclus.

Et toujours, profusion de clés USB, disques durs externes, souris optiques,

CD-DVD vierges et réinscriptibles...Pour plus d’informations, cours vite au local FC

222 !

L’équipe du [email protected]

Stravaganza Recrute !

Tu es musicien et tu ne rêves que d’une chose : jouer de la musique ? Alors l’association Stravaganza est faite pour toi !

Quelque soit ton instrument et ton niveau, rejoins-nous aux répétitions tous les lundi à partir de 20h en FA109. Au

programme : musique classique, de variétés, de films... au sein d’un orchestre composé de flutes, violons, trompettes, trom-

bone, cor, alto, clarinette, contrebasse, hautbois, guitares, piano…

Et si tu en veux toujours plus, tu trouveras également des étudiants motivés pour monter un groupe de musique de chambre, des duos, trios,

quatuors,... et faire toujours plus de musique !

Bref n’hésite plus : sors ton instrument du placard et rejoins-nous en envoyant un mail à [email protected]

Loïc pour Stravaganza

Soleils En Inde

Tu sens le besoin au plus profond de ton être de faire une bonne action toutes les semaines mais tu n’en as pas le temps ? T’en as marre de manger toujours les même barres

au distributeur ?Pas de problème ! SEI est là pour t’aider ! En dégustant nos succulents gâteaux fait-maison et issus directement de la lignée de nos grand-mè-res, tu aides aussi à financer des activités auprès d’enfants des bidonvil-

les de Bombay et ça grâceà un euro la part !

T’as pas bien compris ?Bon alors, Faim (ou pas faim) + 1 euro pour miammiam + Bonne Action

= SEI tous les mercredis de 10h à 11h30 et de 15h30 à 16h30 !

Remarquez, persévérer quand même dans l’indifférence générale, c’est un peu comme de faire des galipettes sur des

Aprem’ voile légère

Samedi 20 octobre, UTCvoile vous propose de passer l’après midi à naviguer en planche à voile, ou en dériveur. Quoi de mieux pour se changer les idées après un petit test de PS01 ;) , une dure matinée de someil ou tout simplement pour changer d’air ? Car vous serez totalement dépaysés sur ce lac de Beauvais, qui offre un magnifique plan d’eau pour débuter en planche ou perfectioner son helicoptère-tac suivant où

vous en êtes! Aucun niveau n’est requis, les plus débutants sont les bienvenus, un moniteur vous encadrera.

Tarif : 3euros l’après-midi tout compris (matos, combinaison, transport)

répondez vite à [email protected]

Upperc’utc

Opération coup-de-poing jeudi.

Merci.

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La semaine prochaine, c’est la semai-ne du goût ! Le goût, rappelez-vous, c’était il y a quelques mois pour les nouvôs, et déjà les connexions synapti-ques en rapport à ce mot disparaissent. Votre langue ressemble à un champ de bataille, la gangrène s’est ins-tallée sur toutes vos papilles. Cha-que nutriment traversant votre ca-vité buccale semble avoir le goût d’un œuf cru. On appelle cela l’effet RU. Le RU, comment parler de cet-te illustre secte sans aborder son pire ennemi : la Gourmandi-se ? Et bien, nous ne savons pas. Le RU fut créé en 51 ap.Ro par Grin-cheux. Ce dernier ne supportait plus de voir ses petits camarades se pourlécher les babines quand Blanche-Neige fai-sait la cuisine (ce qui lui prenait un tiers de son temps) (tout comme la vaisselle et le ménage) (nd Mat : une femme, une vraie) (nd Aurore : va te faire fou-tre). Grincheux prit alors la décision irrévocable de créer un resto dégueu. Son but : que la gourmandise dispa-raisse à jamais de la Contrée Passée.

Il parcourut donc le monde à la re-cherche de cuisiniers capables de ra-ter n’importe quelle recette. Deux mois après son départ, il découvrit une île froide, humide et moche. Les cuisiniers de ce pays, incapables de préparer une nourriture correcte, avaient réussi l’exploit qu’aucun insulaire n’associe plaisir et nécessité de se ravitailler. De-vant une telle victoire face à la gour-mandise, toute expression de dégoût pour la vie, habituellement peinte sur le visage de Grincheux, quitta sa pau-

Ces restaurants existent encore de nos jours. Ils proposent un prix très bas pour attirer les étudiants fauchés et leur extirper jusqu’à la moindre once de Gourmandise. C’est d’ailleurs cette ins-titution qui a stipendié le premier Pape, Iyoma Virus, afin que la Gourmandise soit considérée comme un péché capital.

Voilà, vous savez tout. Ah non, à vo-tre avis, d’où elle venait la pomme qui a empoisonné Blanche-Neige?

gourmandise et grincheux par Mathieu et aurore, Poignées domestiques

pière droite. En l’honneur de ce pays où il avait trouvé son paradis terrestre, il créa une chaîne de « restaurants » nom-mée RU. (Avez-vous déjà « mangé » de la « bouffe » anglaise ?) (Pour les incultes, ça donne la même impression que ravaler son vomi par les narines.).

lames de métal en fusion : on se dit que c’est con, mais en même temps, quand c’est fini, on est content de s’en être

Voilà un article qui annonce l’info ultime, que après, l’amphi pendant lequel tu lis Le Fil va t’apparaître sous un jour nou-veau, sublimé par cette révélation euphorisante : LE RETOUR

DES ESTU ! !

Une ESTU, c’est une teuf de folie où le sex appeal des par-ticipants atteint des sommets inégalés, où l’ambiance est telle que les Djs résidents superstar de FG ont l’air de met-tre autant d’ambiance qu’un compiègnois appelant les flics à

22h01 pour la 1e garden party de l’année.

Nous nous éloignons, commençons par le début : Comet re-lance les ESTU ? Si tu es ancien, et ancienne aussi, tu te de-mandes ce que les ESTU ont à voir avec Comet. Remarque si tu es nouveau (et nouvelle aussi, c’est vrai quoi) également,

mais pas pour les mêmes raisons.

Petite mise au point : Comet, anciennement appelée Estu, est le Comité d’Organisation de Manifestations ETudiantes. En clair, on gère les soirées, les concerts, la sonorisation et la location de matos hi-fi. Comet a donc changé de nom et par

voie de conséquence de logo.

Seulement voilà, le nouveau logo n’est pas encore arrivé et c’est là le sujet du concours : concevoir le nouveau logo.

A gagner, on ne sait pas encore, dites-nous ce que vous voulez. En prime, la satisfaction jouissive de voir votre œu-vre affichée fièrement sur les t-shirts, symboles ultimes de la mode. Exemple : tu croises Bob Sinclar à l’ESTU de Noël (oui, Bob vient pour se frotter aux nouvelles tendances et s’inspi-rer pour son prochain album) : « Woaou il déchire trop ton

t-shirt ! Ca te dit de devenir mon conseiller ? »

Après ça l’UTC sera le chef de file des nouveaux courants de pensée, Compiègne deviendra la capitale mondiale de la mode et de la fête. Ca décoincera le voisinage de la MDE qui au lieu de porter plainte seront incroyablement cool. Alors voilà, l’avenir du monde est entre vos mains. On attend vos propositions à [email protected] ou dans la boîte aux let-tres de Comet au BDE, de préférence sur support informati-

que, mais on accepte aussi les dessins.

Taquet Man, dragueur fou des dance-floors enflammés

COMET communique…

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En cette période de coupe du monde de rugby, les commentateurs nous inondent d’expressions typiques qui nous font bien marrer, sauf quand on les comprend pas (et là, forcément, ça énerve). Heureusement, cet article est là pour ne pas perdre Le Fil. De Lacroix à Moscato, en passant par l’incontour-nable duo Salviac Albaladejo, voici un petit tour d’horizon :

Ovalie : pays situé entre la Rectanglie et la Losangie.

Viril mais correct : le rugby l’est tou-jours.

Bourre-piffe : geste amical (voir ci-des-sus) consistant à caresser le nez de l’ad-versaire avec son poing.

Biscotte : carton obtenu suite à la mise en application de la définition précé-dente.

Protège-dents : mieux vaut en avoir un, finon tu fouffre!

Il a pris un caramel, il a même pas eu le temps d’enlever le papier autour : quel plaquage (voir également tampon ou bouchon).

Mettre les barbelés : distribuer des ca-ramels.

Poteau du milieu : preuve que les com-mentateurs ne sont pas toujours clean avant de prendre l’antenne.

Rolala la belle ogive : se dit d’un coup de pied de mammouth!

Oh la belle cocotte : sorte de mêlée comparable à celle au RU un jour où le lecteur Monéo est en panne.

Feinte du quincailler : réussir à gratter des places dans la queue du RU (voir situation précédente).

Haka : danse néo-zélandaise très in-juste car nous ne pouvons pas répliquer avec notre danse des canards.

La cabane est tombée sur le chien : j’ai eu 4 à mon médian.

…mais le chien n’est pas mort : il me reste le final pour me rattraper (ou pas).

Le cochon est dans le maïs : voir France / Argentine.

Les mouches ont changé d’âne : voir France / Irlande.

Le chat est maigre : j’ai validé mon UV avec E (et alors?).

Il a été pris par la patrouille : on ne fait pas ses Sudoku en amphi!

Comme je commence à être à cours, je conclurai par cette superbe citation de Serge Simon : “Que ceux qui n’ont rien d’intéressant à dire se transforment en footballeur sur 3 générations” (je fais monter la pression).

Petit lexique de l’ovalie par vince, poinconneur de lampadaires

Alors, bande de camés, vous avez tout trouvé ? Non notre nom ne faisait pas partie des 11 drogues à trouver dans le Fil précé-dent il y avait donc (pour les moins doués) : LSD, héroïne, herbe, extasy, hachich, champignons, coca, speed, crack, morphine, opium. Un grand merci aux 114,5 participants et bouh !!! à tous les autres. Nous avons donc une large majorité d’adeptes pour une LSD kleptomane et fanatique des chats narcoleptiques. Nous rappelons que voter 2 fois est sanctionné par notre huissier par une suppression pure et simple des dites voix. Georges Mabeu et Clément Mery, vos votes ont donc été annulés, tâchez à l’avenir de ne plus recommencer.

Quelques semaines plus tard, enfin, Louisa-Sophie pu quitter les murs ternes et sinistres de cette usine mutilatrice, clopinant désormais sur son unique pied. Personne pour l’accueillir… Personne pour la soutenir dans cette terrible épreuve… Personne… Dans un profond désarroi, elle sortit sa boîte d’antidépresseurs, en fit descendre une demi-douzaine dans son gosier. Trois minutes suffirent pour la requinquer. Poussée par la colère qui montait en elle, elle se rendit d’un pas rageur chez son indigne petit ami Nicolas. A peine avait-elle franchi le portillon qu’elle aperçut le mot ingrat laissé par cet individu égoïste : « Je sui partit pourre la cur arméniaine don je tavé parler, j’est emmener Ortance, tu sait, ta voisinne ? Je reviendrait avan ta sorti de l’opitalle, j’ai spère ». Quel crevard, ce Nicolas… Pour lui annoncer leur rupture imminente, elle lui textota ce message : « G bi1 vu ton mo é té avE. n1port koi…. Hortense… Prk pa Yolande pdt ke t’y é ! »

Sur ce, LSD s’en fut chez elle. En passant devant le jardin d’Hortense (sa voisine, pour ceux qui ont osé se laisser déconcen-trer par le guignol en transe qui écrit des signes bizarres sur un tableau) une idée diabolique lui vint. Faisant fi de son han-

dicap et des prescriptions avisées de J.Lo, elle pénetra dans la propriété. S’approchant précautionneusement de la niche du chat Gutenberg, endormi comme de coutume, LSD s’aperçut que la voisine d’en face nettoyait ses vitres. Yolande, « habillée » de sous-vêtements affriolants pudiquement recouverts d’un micro-short, fit un malencontreux pas de côté. Un tourteau de riz, simplement posé sur le rebord de la fenêtre, provoqua sa chute ridicule. LSD ne pu s’empêcher de rire, ce qui fit naître chez Yolande une rage démesurée, et, en se relevant trop brusquement, elle cassa 15 cm de son talon droit. Une course-poursuite s’engagea entre les deux estropiées. Cependant LSD ne lâcha pas le chat, même si Gutenberg essayait vainement de retourner son estomac, car ses vers gastriques n’y nageaient pas à leur aise. Foulant la pelouse d’Hortense, LSD écrasa la plupart des fleurs, mais, revers de la médaille, les hortensias n’eurent, depuis ce jour, plus à souffrir des attaques de Gu-tenberg, ce vorace !

Alors qu’elle se réfugiait dans le funérarium, ses amis entrèrent à leur tour et lui dirent innocemment : « Alors, tu as fait nos l…».

Cette semaine il vous faut trouver 11 noms de poisons. Comme nous doutons de l’étendue de votre culture dans ce domaine, pour vous aider, en voici quelques-uns : Curare, Strychnine, Phénol, Vitriol. Votez donc pour décider de la suite de l’histoire! : 1-LSD massacre et tue ses amis 2-Yolande la rattrape et lui enfonce son talon rescapé dans le cœur.

LE F I L ROUGE

sor tis. D’ailleurs, ce qui ne tue pas nous rend plus for t, il paraît. Ceci dit un frigo dans la gueule ça peut aussi rendre à

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Aujourd’hui ressemble sûrement à ce que doit être une journée en enfer :

Vous vous faites lyncher au téléphone par votre copine pour avoir oublié ce fameux rendez-vous qu’elle tenait tant à parta-ger car elle ne vous reverra pas d’ici … 2 jours, votre binôme de TP vous menace de mort après que vous ayez fait échouer l’expérience de ce matin en introduisant 2 fois la quantité initiale de CH3COOH men-tionnée dans le protocole et, lors d’un re-trait à un distributeur, afin de vous nourrir d’un kebab, seul mets qui semble pouvoir vous consoler d’une journée aussi moro-se, le ticket que vous avez demandé vous informe que vous êtes a découvert.

Vous rentrez chez vous et espérez trouver une âme charitable sur MSN à qui vous pourrez raconter votre journée de merde et qui vous réconfortera, mais non vos amis ne sont pas là ce soir, vous êtes seul devant votre écran d’ordinateur avec votre boite jaune contenant le pré-cieux repas et votre cannette de boisson pétillante à l’orange. Vous pensez qu’en consultant vos mails vous y trouverez un petit coin de ciel bleu, mais le sort s’achar-

ne sur vous, et vous êtes assaillis par des binômes réclament la partie du rapport que vous n’avez même pas commencé.

Vous pensez alors que vous n’êtes qu’un moins que pas grand chose, ou pire, un moins que rien. Ma solution… : asseyez-vous devant votre PC, ouvrez votre boîte à kebab. Vous sentez les parfums d’orient qui commencent à pénétrer dans vos na-rines, vous êtes apaisé (ndLePrez : ou à Istanbul). Ouvrez votre cannette de bois-son gazeuse aromatisée à l’orange et savourez ce divin repas que vous n’avez même pas eu à préparer (et de toute fa-çon, toute tentative de cuisine ce soir se serait soldé par un échec … cuisant) en consultant les pires skyblogs (répertoriés par exemple sur lepiredeskyblog.word-press.com ou skybeurk.net).

Vous vous rendrez compte que même si vous êtes un « empoté pas foutu de se rappeler de l’heure d’un rendez vous » doublé d’un « empoté pas foutu de lire un protocole correctement », triplé d’un « empoté qui ne sais pas gérer l’argent », vous n’avez tout de même pas atteint les points ZERO que constituent les auteurs

des différents skyblogs compilés.

Vous vous divertirez devant ces espa-ces personnels qui vous amènent à pen-ser que, finalement, la liberté de s’expri-mer (car penser, je doute qu’ils en soient capables) n’est peut être pas la meilleure des choses (dis-je avec ironie).

Vous serez étonné par ces Freaks des temps modernes, mais n’ayez pas peur, ils sont enfermés derrière les solides bar-reaux que sont les écrans d’ordinateurs. Comme vous ne pouvez les nourrir en passant votre main remplie de cacahuètes à travers la cage, n’hésitez pas à « lâcher vos commentaires » sur leur skyblogs afin de leur faire ressentir qu’ils sont quelqu’un d’important. N’hésitez pas à leur dire que leur bêtise a embelli votre soirée d’une bien belle manière, leur(s) (absence de) facultés intellectuelles ne leur permettra pas de deviner l’ironie sous-jacente de vo-tre phrase.

Il est bien entendu interdit de se moquer des ces pauvres gens, cela va de soi.

Apologie du Skyblog par stef, sèche-linge

Alors, bande de camés, vous avez tout trouvé ? Non notre nom ne faisait pas partie des 11 drogues à trouver dans le Fil précé-dent il y avait donc (pour les moins doués) : LSD, héroïne, herbe, extasy, hachich, champignons, coca, speed, crack, morphine, opium. Un grand merci aux 114,5 participants et bouh !!! à tous les autres. Nous avons donc une large majorité d’adeptes pour une LSD kleptomane et fanatique des chats narcoleptiques. Nous rappelons que voter 2 fois est sanctionné par notre huissier par une suppression pure et simple des dites voix. Georges Mabeu et Clément Mery, vos votes ont donc été annulés, tâchez à l’avenir de ne plus recommencer.

Quelques semaines plus tard, enfin, Louisa-Sophie pu quitter les murs ternes et sinistres de cette usine mutilatrice, clopinant désormais sur son unique pied. Personne pour l’accueillir… Personne pour la soutenir dans cette terrible épreuve… Personne… Dans un profond désarroi, elle sortit sa boîte d’antidépresseurs, en fit descendre une demi-douzaine dans son gosier. Trois minutes suffirent pour la requinquer. Poussée par la colère qui montait en elle, elle se rendit d’un pas rageur chez son indigne petit ami Nicolas. A peine avait-elle franchi le portillon qu’elle aperçut le mot ingrat laissé par cet individu égoïste : « Je sui partit pourre la cur arméniaine don je tavé parler, j’est emmener Ortance, tu sait, ta voisinne ? Je reviendrait avan ta sorti de l’opitalle, j’ai spère ». Quel crevard, ce Nicolas… Pour lui annoncer leur rupture imminente, elle lui textota ce message : « G bi1 vu ton mo é té avE. n1port koi…. Hortense… Prk pa Yolande pdt ke t’y é ! »

Sur ce, LSD s’en fut chez elle. En passant devant le jardin d’Hortense (sa voisine, pour ceux qui ont osé se laisser déconcen-trer par le guignol en transe qui écrit des signes bizarres sur un tableau) une idée diabolique lui vint. Faisant fi de son han-

dicap et des prescriptions avisées de J.Lo, elle pénetra dans la propriété. S’approchant précautionneusement de la niche du chat Gutenberg, endormi comme de coutume, LSD s’aperçut que la voisine d’en face nettoyait ses vitres. Yolande, « habillée » de sous-vêtements affriolants pudiquement recouverts d’un micro-short, fit un malencontreux pas de côté. Un tourteau de riz, simplement posé sur le rebord de la fenêtre, provoqua sa chute ridicule. LSD ne pu s’empêcher de rire, ce qui fit naître chez Yolande une rage démesurée, et, en se relevant trop brusquement, elle cassa 15 cm de son talon droit. Une course-poursuite s’engagea entre les deux estropiées. Cependant LSD ne lâcha pas le chat, même si Gutenberg essayait vainement de retourner son estomac, car ses vers gastriques n’y nageaient pas à leur aise. Foulant la pelouse d’Hortense, LSD écrasa la plupart des fleurs, mais, revers de la médaille, les hortensias n’eurent, depuis ce jour, plus à souffrir des attaques de Gu-tenberg, ce vorace !

Alors qu’elle se réfugiait dans le funérarium, ses amis entrèrent à leur tour et lui dirent innocemment : « Alors, tu as fait nos l…».

Cette semaine il vous faut trouver 11 noms de poisons. Comme nous doutons de l’étendue de votre culture dans ce domaine, pour vous aider, en voici quelques-uns : Curare, Strychnine, Phénol, Vitriol. Votez donc pour décider de la suite de l’histoire! : 1-LSD massacre et tue ses amis 2-Yolande la rattrape et lui enfonce son talon rescapé dans le cœur.

Par CAAM

moitié tétraplégique ou complètement hémiplégique, ce qui est autre chose, donc je ne développerai pas la discussion.

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Parmi les petites victoires qui occasionnent toujours un délectable instant d’autosatisfaction, on retiendra les trois principales :- Enlever l’emballage d’un CD neuf en mois d’une minute,- Ecrire « partouze » en jouant au Scrabble avec sa belle famille,- Griffonner un chiffre dans le dernière case vide d’une grille de sudoku.Comme le monde entier veut ton bonheur, on se charge de mettre à ta disposition tous les outils pouvant parfaire ton triom-phalisme. Et puisque Graf’Hit se charge du premier et Beau-Papa du second, il ne nous reste plus qu’à t’offrir deux fantastiques sudokus… NB : si tu t’appelles Antoine, commence par celui de droite.

BOP’s

ConCourt

Concours de mo-che : envoie-nous une photo de toi avant le café du matin, notre jury

impartial délibèrera.

A la clef : un bon de réduction Yves

Rocher.