Sur les chemins du patrimoine essonnien

Au coeur du Hurepoix

2

Au coeur du Hurepoix

Sur les chemins du patrimoine essonnien

La randonnée pédestre « Au coeur du Hurepoix » s’inscrit dans le cadre des randonnées sur le thème « Sur les chemins du patrimoine essonnien » organisées par l’USEP 91 ( Union Sportive de l’Enseignement du Premier degré ).Elle s’adresse à tous les élèves des écoles élémentaires publiques du département qui souhaitent l’inscrire dans un projet pluriannuel d’activités pédagogiques. Les différentes randonnées donnent aux enfants des écoles participantes un aperçu

de la diversité du patrimoine de notre département.L’attrait pour la randonnée pédestre qui ne cesse de croître pour les adultes se vérifie aussi pour les enfants. Les randonnées « Sur les chemins du patrimoine essonnien » sont inscrites dans le dispositif des manifestations d’intérêt départemental soutenues par le Conseil Départemental de l’Essonne.Activité préconisée aux enseignants par l’Inspection Académique de l’Essonne dans son projet culturel « Voyage en patrimoine », la randonnée pédestre à l’école est une activité physique et sportive qui développe le goût de l’effort. C’est aussi une activité culturelle qui entrouvre une fenêtre sur les éléments

Au coeurdu Hurepoix

4

du paysage rencontré. Elle constitue un moment privilégié de la sensibilisation des enfants à quelques enjeux sociétaux comme l’environnement durable ou l’éducation de la santé. Adaptée à un jeune public, elle propose des activités ludiques de découverte qui renforcent la motivation de marcher. 11 km au départ du stade Saulty de Saint-Maurice-Montcouronne ou 8 km au départ du parking du Château de Courson sont proposés au choix des enseignants. La randonnée « Au coeur du Hurepoix » domine la vallée de la Rémarde. Elle emprunte une partie du GR111 et de la Grande Boucle de Randonnée de la Communauté

de Communes du Pays de Limours où alternent zones cultivées et espaces boisés. Le château de Courson ouvre ses portes et nous fait admirer son magnifique parc paysagé. Surgissant du passé, le Duc de Padoue se souvient de ses périples napoléoniens et nous les fait partager.Plus loin, c’est le domaine de Soucy et son parc naturel où des personnages métalliques nous accueillent figés dans leurs occupations quotidiennes.A deux pas, le bâtiment moderne Antéïa nous propose une animation sur les risques liés au soleil. Et pour finir, arrêtons-nous un instant pour contempler le château de Fontenay-lès-Briis en traversant son parc.

5

La carte

1

12

8

91110

6

75

4

3

2

Eglise de St-Maurice-

Moncouronne

Les Grands Réages

Le golf de Courson-

Stade-Français

Le château de Courson

La Charmoise

La Butte de Graffard

Les oeuvres d’Egardo Carmona

Les bornes repères

Le Domaine de Soucy

Le château de Fontenay-Lès-Briis

Anteïa Fondation JDB

Le lavoir

Avec son clocher en bâtière 1 et son chevet plat l’église de Saint Maurice-Montcouronne est caractéristique des églises du Hurepoix. Il abrite une cloche, la plus ancienne de la Communauté de Communes du Pays de Limours, qui porte l’inscription « Je fus faite pour ton église l’an 1485 au nom de Saint Maurice ». Les baies géminées 2 sur chacun des quatre côtés du clocher sont occupées par des abat-son

qui empêchent la pluie et la neige de pénétrer à l’ intérieur, ventilent les charpentes et surtout renvoient le son des cloches vers le sol.Les ouvertures de la nef sont étroites et couvertes d’un arc brisé, celles du chœur, sont de style gothique flamboyant.

1 qui a deux pentes opposées,   2 doubles. 

L’église de Saint-Maurice-Montcouronne

8 9

1

Autrefois, Saint-Maurice-Montcouronne comptait deux lavoirs, l’un sur la Rémarde, l’autre sur le plateau à Berchevilliers. Ce lavoir, construit vers 1900, est proche du centre de la commune. C’est l’un des rares exemples de lavoir fermé. Alimenté par les eaux de la Fontaine-du-Saule, il est éclairé par de grandes verrières. L’angle sud-ouest du toit à quatre pans est orné d’une grenouille jouant de la mandoline, juchée sur un pilier. Des maximes moralisatrices, en lettres gothiques peintes, font le tour du lavoir. Exemple de l’une de ces phrases : « Avenandise ( politesse ) et netteté ( propreté ) valent mieux que gaste ( ravageuse ) beauté »Les lavoirs sont des lieux où les femmes venaient laver leur linge jusqu’à l’apparition de la machine à laver vers les années 1960. Lieux d’hygiène, les lavoirs

sont apparus au 19ème siècle, après de grandes épidémies comme le choléra en 1830 et 1850. Pour favoriser leur développement, une loi datée de février 1851 imposa l’aménagement de lavoirs ouverts à tous ( ou plutôt à toutes ). On peut définir 3 sortes de lavoirs en fonction de l’origine de l’eau qui les alimente et donc des emplacements retenus pour leur construction. Il existe ainsi des lavoirs de rivière, de source ou de mare.

q La Fontaine-du-Saule

Le lavoir de Saint-Maurice-Montcouronne

10

3

11

12

Cultures du Hurepoix « Les grands réages »

l’indique, on extrait du sucre de cette betterave mais également des substances pouvant être utilisées dans l’alimentation animale et dans certaines industries.Trois quarts de la production de pommes de terre sont destinés à la consommation, le reste est utilisé par l’industrie féculière. La fécule extraite de la pomme de terre est utilisée dans la papeterie (75 %), la chimie (5 %), le textile (3 %), la pharmacie...

u VigneLe vin représente la deuxième production végétale française en valeur juste derrière les céréales. (Année 2008)

u Fruits et légumesLa culture des légumes se fait

soit en plein champ (exemple avec la carotte), soit sous abris (serres ou tunnels, chauffés ou non). La grande majorité des fruits est issue de vergers, exception faite de la fraise et du melon dont la culture se rapproche de celle des légumes.

Les productions végétales autour de Saint Maurice-Montcouronne appartiennent essentiellement aux deux premiers groupes. Les champs de blé, d’orge, de colza dont les cultures sont visibles au mois de mai se succèdent. D’autres espèces peuvent être cultivées mais elles n’apparaissent que plus tardivement tel le maïs ou le tournesol.

3

13

Les productions végétales peuvent se diviser en 5 groupements :

u CéréalesLes champs de céréales se rencontrent souvent dans les paysages français. La plus grande partie de la production se concentre sur 4 espèces : le blé tendre, le maïs grain, l’orge et le blé dur. D’autres céréales sont cultivées : le triticale, né d’un croisement entre le seigle et le blé, l’avoine, le sorgho, le seigle, le riz en Camargue, l’épeautre, le millet, le sarrasin.

u Oléagineux et protéagineuxLes oléagineux sont cultivés pour produire de l’huile que l’on extrait de leurs graines tandis que les protéagineux sont des sources de protéines pour l’alimentation animale. Les oléagineux cultivés en France sont le colza, le tournesol, le soja et le lin oléagineux. Les protéagineux regroupent le pois, la féverole, le lupin, le soja et la luzerne déshydratée.

u Betteraves à sucre et pommes de terreComme sa dénomination

4

14

origines diverses dont le jeu de Mail. Importé des Pays-Bas où il était pratiqué sous le nom de « colf » , c’est en Ecosse que les règles du jeu furent définies en 1754. A une trentaine de kilomètres de Paris, en pleine campagne de l’Essonne, le golf du Stade-Français-Courson s’étire sur 100 hectares boisés et vallonnés du parc du château de Courson. Il a été

conçu par l’architecte texan Robert von Hagge au début des années 1990. Avec ses huit lacs, ses innombrables buttes, ses herbes hautes et ses massifs de genêts l’endroit évoque les paysages de bords de mer. Le golf est composé de « quatre neuf trous » qui se combinent harmonieusement pour former « six dix-huit trous ».

Le golfde Courson

Stade-français

15

Le Golf est un sport de précision se jouant en plein air, qui consiste à envoyer une balle dans un trou situé entre 91 et 630 mètres à l’aide d’un club. Le but du jeu consiste à effectuer sur un parcours défini, le moins de coups possibles. Généralement un parcours compte 18 trous mais il peut n’en compter que 9, voire moins. Ce sport a des

Le parc offre aujourd’hui aux regards des flâneurs, au détour de ses allées, de splendides points de vue. Près de 3 000 arbres et arbustes nouvellement plantés côtoient d’innombrables massifs de plantes. Ils ont été choisis et agencés pour faire naître de subtiles harmonies et composent de magnifiques tableaux en toutes saisons.Tableaux multicolores au printemps, quand les camélias, les prunus, les magnolias, les pivoines, le lilas et les azalées sont en fleurs. Tableaux rafraîchissants l’été, quand les roses et les hydrangéas s’épanouissent à l’ombre des arbres centenaires et que l’étang scintille sous le soleil, reflétant le château. Tableaux flamboyants l’automne, quand les collections de chênes centenaires, de liquidambars, de hêtres, d’érables et de cornouillers dressent vers le ciel leurs feuillages brun, rouge et or. Tableaux dignes des grands peintres contemporains l’hiver, quand la neige sculpte les végétaux et nimbe le paysage d’un délicat voile gris et blanc…

www.domaine-de-courson.fr

Le châteaude Courson

17 18

5

Il faut remonter au 16ème siècle pour trouver l’origine du domaine de Courson. Il a par la suite été agrandi et embelli par ses propriétaires successifs.

uu

1918

uu Devenu propriété d’une grande lignée de parlementaires en 1672, les Lamoignon, l’ensemble se dote d’un parc « à la française » dans le goût de Le Nôtre. Il faut attendre le retour d’exil en 1820 du Duc de Padoue, propriétaire alors de Courson pour voir la restauration du domaine.Le jardin « à la française » est transformé en un parc paysager romantique « à l’anglaise » qui s’ouvre sur la campagne environnante. Son fils, Ernest, poursuit la rénovation tendant à en faire une « grande villa des champs ». Il complète le parc en y aménageant l’étang. Au décès d’Ernest de Padoue, Courson est transmis à la famille de Caraman. Aujourd’hui, le domaine de Courson est la propriété des familles de Patrice Fustier et Patricia de Nervaux-Loÿs, petits-enfants d’Ernest de Caraman qui ont repris le flambeau. Depuis plusieurs décennies, ils s’attachent à faire vivre le domaine toute l’année en l’ouvrant largement au public. Depuis 1982, Courson a accueilli les célèbres « Journées des plantes ».En 2004, le Domaine de Courson s’est vu décerner le label « Jardin Remarquable » par le Ministère de la Culture et de la Communication. Une manière de saluer ses siècles d’histoire et les trésors botaniques qu’il abrite.

20

La Charmoise est une petite rivière de 7,5 km qui prend sa source à Janvry au lieu-dit Mulleron. Elle traverse les communes de Fontenay-lès-Briis, Courson-Monteloup et Bruyères-le-Châtel avant de se jeter dans la Rémarde qui, elle-même, se jette dans l’Orge, affluent de la Seine.

La Charmoise

21

6

tt

Le bouleau ▲

Le châtaignier ▼

▼ Le hêtre

7

22

Le chêne ▲

▼ Le charme

Le pin ▼

Les principales essences d’arbres de la Butte de Graffard

23

24

Les bornes repères

8

De multiples canalisations de gaz traversent en sous-sol villes et exploitations agricoles et chaque année, lors de travaux effectués au voisinage des réseaux de transport de gaz, de très nombreux dommages sont à déplorer. Afin d’éviter tout accrochage, percement… ces balises repères, piquets surmontés d’un petit toit jaune caractéristique, signalent la présence d’une canalisation. Sous ces piquets passe une conduite de gaz naturel à haute pression, enfouie 1 mètre sous terre, qui ne présente pas de risque pour l’environnement. Les panneaux inclinés sont destinés aux patrouilles de surveillance en hélicoptère. Des contrôles en 4X4 ou à pied sont également effectués. Si vous vous trouvez au pied d’une de ces bornes, vous pourrez normalement voir d’où vient la conduite et où elle va. Lorsque des travaux ont lieu à proximité, il est vérifié que l’entrepreneur est informé de la présence de canalisations.

Le Domaine de Soucy

26

Situé sur la commune de Fontenay-Les-Briis, le parc de Soucy offre aux visiteurs ses 33 hectares de forêts, prairies et zones humides. Trente hectares du parc ont été classés en Espace Naturel Sensible (ENS). Les Espaces Naturels Sensibles (ENS) ont pour objectifs de protéger un patrimoine naturel, paysager ou géologique de qualité, d’accueillir le public et de le sensibiliser. Propriété de la « Communauté de communes du Pays de Limours », le parc est libre d’accès au public.Les bâtiments servent de locaux au centre de loisirs. uu

27

tChâteau rasé en 1968

uu Les premiers textes qui parlent du domaine de Soucy datent du 13ème siècle (1254). Au 15ème siècle, est notifiée la présence d’un manoir entouré de fossés, d’une maison, d’un four, d’une grange, d’une bergerie, d’un colombier, d’un petit étang, d’un jardin et d’un grand étang. Au fil du temps, divers châteaux y furent construits puis détruits. le dernier d’entre eux fut rasé en 1968.Seuls subsistent aujourd’hui les deux pavillons de l’entrée principale, la chapelle Saint-Éloi, les communs et le parc.

Platane remarquable par sa taille. La circonférence à sa 

base mesure 8 mètres q

9

10

28

Depuis 2012, les œuvres d’Edgardo Carmona, artiste colombien de réputation internationale, ont pris place à l’entrée du parc de Soucy. Souvent monumentales, conçues par assemblage de pièces d’acier, elles figurent des personnages figés dans leurs occupations quotidiennes, avec tendresse et parfois humour.

Les oeuvresd’Edgardo Carmona

29

11

30

Préparer l’avenir de ces jeunes en les aidant à faire des choix favorables pour leur santé constitue ainsi le cœur des actions d’éducation de la Fondation JDB. Bienvenue à Antéïa.Vincent Grasteau, Directeur Espace PréventionSanté Antéïa 2 

Anteïa et la Fondation JDB

31

Créée grâce à un don de Madame Judlin de Bouville (JDB) et à l’engagement de la Ligue Contre le Cancer,

la Fondation JDB développe une activité qui vise la prévention des cancers. Cette activité se déroule, en grande partie, au sein de son Espace Prévention Santé nommé Antéïa, qui est ouvert au public depuis novembre 2012 à Fontenay-lès-Briis (Essonne), et cible en priorité les jeunes.

 Antéïa veut dire : Agir avant (Ante) avec ce que la Terre (Gaïa) nous a donné.

32

Construit au 17ème siècle, le château est restauré en 1854. Le bâtiment de style néo-classique, bâti au milieu d’un vaste parc de 74 hectares, est constitué d’un corps central rectangulaire flanqué en façade de deux pavillons légèrement saillants.La toiture, à quatre pans, est percée de lucarnes mansardées.

Le château de Fontenay-Lès-Briis

33

12

34 35

Le code du randonneurLes randonneurs aiment la nature et sont sensibles à la protection de l’environnement. Ils se doivent de respecter certaines recommandations pour préserver les sites qu’ils traversent.

Restez sur les sentiers et n’utilisez pas de raccourcis

pour éviter l’érosion des espaces naturels sensibles ou

la dégradation des cultures.

N’effrayez pas les animaux sauvages ou domestiques (bétail, troupeaux…), ne les dérangez pas et ne tentez pas de les manipuler (fourmilières, serpents…), évitez de les écraser

pour les plus petits d’entre eux (scarabées…).

Respectez la propreté des lieux en emportant vos déchets (même biodégradables)

voire ceux des autres randonneurs maladroits ou

peu scrupuleux. Conservez-les dans votre sac et rapportez-les chez vous.

Ne ramassez et ne cueillez pas les fleurs, les plantes (qui peuvent être rares, protégées ou en voie de disparition), les fruits et les champignons (qui peuvent être toxiques)…

Un randonneur ne laisse

derrière lui que des souriresD’après la charte du promeneur

du Comité Départemental de Randonnée Pédestre

de la Sarthe

Le chemin de grande randonnée n°111

Il existe plusieurs types de chemins de randonnée. Les chemins de Grande Randonnée (GR), les chemins de Grande Randonnée De Pays (GRDP) et les chemins de Petites Randonnées (PR) ont été tracés par la Fédération Française de Randonnée Pédestre. Ces chemins permettent de se déplacer en toute légalité.

Les chemins de randonnée

36 37

38

Un pique-nique et ses déchets.Que deviennent les déchets ?Tous les produits sont biodégra-dables, selon :

la nature des composants,les conditions météorologiques,le lieu où l’on abandonne les déchets.

La durée de décomposition des déchets est plus ou moins longue, il faut :

2 à 5 mois pour un papier laissé par terre6 mois pour une épluchure de fruit 1 à 12 ans pour un mégot de cigarette5 ans pour un chewing-gum80 à 100 ans pour une canette en aluminium 450 ans pour une bouteille ou un sac en plastique1 million d’années pour une bouteille en verre

---

u

u

u

u

u

u

u

L’environnement durable

Pensez-y et rapportez vos déchets

à la maison !

39

3740

Evite de rester en plein soleil entre midi et 4 heures.C’est le moment où le soleil est le plus dangereux. Reste le plus possible à l’ombre des arbres.

Pour te protéger, chapeau, lunettes, vêtements et crème solaire.Seule, la crème ne peut suffire. Cherche de l’ombre, porte un chapeau de préférence à bords larges, des lunettes de soleil enveloppantes (cat.CE 3 ou 4), des vêtements couvrants et applique soigneusement une crème solaire (FPS 25 ou plus), au moins toutes les 2 heures sur les zones exposées.

Méfie-toi des fausses sensations de sécurité !Les UV ne chauffent pas.... surtout au bord de la mer ou en montagne, lorsqu’il y a du

vent, des nuages, ou qu’il fait frais, il peut y avoir beaucoup d’UV.

Fais attention si tu prends des médicaments.Certains peuvent provoquer des allergies et des brûlures graves au soleil. Prends conseil auprès de ton médecin ou de ton pharmacien.

Evite les coups de soleil.Et, une fois bronzé, continue de te protéger. Cela permet de garder son bronzage plus longtemps et de limiter les dégâts du soleil.

Mange équilibré.Une bonne alimentation peut aider la peau à se défendre, à prévenir certaines allergies, mais ne dispense pas de se protéger.

Pierre Césarini, directeur de l’association Sécurité Solaire

Se protéger sur les sentiers

41

42 43

Documentation :Antéïa ; Archives départementales de l’Essonne ; Association Passerelle ; Comité départemental de Randonnée Pédestre ; Conseil Départemental de l’Essonne ; Chroniques du vieux Marcoussy (Jean-Pierre Dagnot) ; Le Parisien ; Le patrimoine des communes de l’Essonne (Flohic éditions) ; S’il vous plaît raconte moi Saint-Maurice (Noël Dillmann) ; Sites : patrimoine-de-france.org ; Topic-Topos ; Wikipédia ; domaine-de-

courson.fr ; lafranceagricole.fr ; cc-paysdelimours.fr ; bricozone.be/fr ; syndicat-agricole.com

Remerciements :aux mairies de Courson-Monteloup, Fontenay-lès-Briis, Saint-Maurice Montcouronne, à la Communnauté de Commune du Pays de Limours ; au Domaine de Courson ; à la Fondation JDB et Antéïa ; aux Associations Passerelles et Sécurité Solaire ; à la gendarmeries d’Evry ; à La Ligue de l’Enseignement de l’Essonne ; au Comité Départemental de la Randonnée Pédestre ; à Roger Avenet,

Contributions Isabelle Bouquéty, Pierre Césarini, Adeline Corbel, Monique Dessenne, Sylvia Elie-Auzé, Jean-Pierre Long, Olivier de Nervaud, Hugues-Vincent Marché, Elisabeth Puche, Vincent Grasteau, Aude Duarte ; aux bénévoles du Comité Départemental de la Randonnée Pédestre et de l’USEP pour leur collaboration.

Photographies et illustrations :Jean-Pierre Chusseau ; Wikicom-mons (Hamon JP) ; Les Nouveaux Collègues.

Recherches et rédaction :Jean-Pierre Alègre, Michel Petit ; avec la participation de Denise Coulon

Partenaires de l’organisation :Comité Départemental de Randonnée Pédestre ; Conseil Départemental de l’Essonne ; Inspection Académique de l’Essonne ; Ligue de l’Enseignement de l’Essonne.

Conception et mise en pageAssociation LNC - 2015 Les Nouveaux Collègues

Essonne

PAO LNC 2015