Syndicat National des Cadres des Douanes - …...8 > La Voix des Cadres des Douanes N 146 Évolution de la représentativité des organisations syndicales depuis 1991 CAPC N 2ORG

1 > La Voix des Cadres des Douanes N°146

> Sommaire3 Editorial du Président

7 Les résultats des élections du 20 octobre 2011

25 Compte rendu du CT de Réseau et déclaration liminaire

42 L’action du SNCD

• Les bulletins d’information : • Inspecteur des douanes : un seul grade mais des modalités de gestion

différentes (BI n° 12 Bis) • CR de la CAPC du 21 juin 2011 - TA IP1-IP2 :

analyse et commentaires (BI n° 15) • CR des CAPC n° 3 et 4 du 6 octobre 2011 consacrées au tableau annuel

des mutations des IR2-IR3-Inspecteurs (BI n° 20) • CR de la CAPC n°3 du 5 octobre 2011 (BI n° 20 Bis) • CR de la CAPC n° 4 du 17 novembre 2011 : recours entretien professionnel

et cadencement des inspecteurs – analyse et commentaires (BI n° 21)

60 La vie du SNCD

• Représentants en CAPC 2012-2014 • Responsables interrégionaux

et régionaux du SNCD

• La commission exécutive

• Le bureau national

LA VOIXDES CADRES DES DOUANESN°146

• Commission paritaire 1111 S 07998

• Ce numéro de juillet-Août-Sep-tembre 2011

• Cette revue est tirée à 4200 exemplaires

est adressée à tous les cadres de la Direction Générale des Douanes et Droits Indirects, aux autorités ministérielles et parle-mentaires.

Organe d’information des agents de la catégorie A de la Direction Générale des Douanes et Droits Indirects.

Prix du numéro : 5€

EDITEUR :Syndicat National des Cadres desDouanesPrésident : Jacques DEFFIEUX

S.N.C.D.46, rue des Petites Ecuries75010 PARISTél. 09 63 43 59 87

Directeur de la Publication :Christophe THUAUD

CREATION ET PUBLICITE :EDITIONS MEDITERRANEE350, avenue du Prado 13008 MarseilleTél. 04 91 16 73 60Fax : 04 91 71 31 87

IMPRESSION :ZAC St Martin23, rue Benjamin Franklin 84120 PERTUIS Tél. 04 90 68 65 56Fax 04 86 85 51 24

SYNDICAT NATIONAL DES CADRES DES DOUANES

46, rue des Petites Ecuries

75010 PARIS

Tél. 09 63 43 59 87

Tél. 01 45 23 43 18

Mél. [email protected]

http://www.sncd.info

3 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 3

> EditoLES ELECTIONS DU 20 OCTOBRE 2011. L’USD-FO, 3ème FORCE SYNDICALE EN DOUANEL’USD-FO, GARANTE DU PLURALISME SYNDICAL.

Le 20 octobre 2011 ont débuté les élections professionnelles dans la fonction publique d’Etat et la fonction publique hospitalière.

Au niveau de la Fonction Publique d’Etat, les scrutins de cet automne 2011 ont permis à la Fédération générale des fonctionnaires FO de devenir sans conteste la première fédération de fonctionnaires. Les électeurs ont en effet validé sa démarche de défense résolue du secteur public.

Les élections aux comités techniques constituent désormais la seule mesure de la représentativité des syndicats.

La réforme des règles de représentativité, conforme aux souhaits de la CGT et de la CFDT, avait pour but de réduire le nombre de syndicats représentatifs en imposant des seuils de représentativité très élevés, de 10% des suffrages exprimés à 33,33% dans les comités techniques douaniers (à comparer au seul de 5% pour les élections politiques).

Dans ce contexte très dur, je tiens donc à

remercier chaleureusement tous ceux qui ont apporté leur voix et leur soutien aux listes de l’UNION SYNDICALE DES DOUANES et DROITS INDIRECTS – FO. Cette union, l’USD-FO, regroupe les forces du SNCD-FO (Syndicat national des cadres des douanes - FO) et celles du SND-FO (syndicat national des douanes).

Cette union, comme beaucoup l’ont analysé, est, en Douane, la seule force syndicale réformiste, sans concession dans la défense du service public douanier, qui intègre un pôle d’expertise reconnu dans les problématiques spécifiques de la catégorie A, à savoir le SYNDICAT NATIONAL DES CADRES DES DOUANES, SNCD-FO, créé en 1969.

Avec plus de 18% des voix en comité technique de réseau (CTR), l ’USD-FO est devenue, grâce à vous, la 3ème force syndicale en Douane et celle qui compte, au service de tous les douaniers, le plus grand nombre d’élus en commissions administratives


paritaires centrales (14 sur 36).

Sans la dispersion des voix d’une minorité de douaniers de catégorie A vers une organisation non représentative à la fois au ministère et en Douane, à savoir la CGC, l’USD-FO serait devenue la 2ème organisation syndicale tout en talonnant la CGT.

A partir de la confiance pour notre Union syndicale, manifestée le 20 octobre par les douaniers, notre ambition est de renforcer ce pôle réformiste, professionnel dans la défense du service public douanier. J’invite chaleureusement tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs du réformisme et de la défense efficace du service public à nous rejoindre.

L’autre enseignement du scrutin du 20 octo-bre, comme anticipé par le bureau national du SNCD, est la quasi-disparition en tant que force du dialogue social dans la fonc-tion publique de la CFTC et de la CGC.

Au niveau ministériel et à la direction générale des douanes, la CGC n’est plus représentative. J’invite, à cet égard, leurs anciens électeurs à rejoindre l’USD-FO, seule

organisation syndicale douanière offrant un pôle spécifique de défense des intérêts des agents de catégorie A, le SNCD-FO.

La CFTC ne se maintient, quant à elle à Bercy et en Douane, qu’après avoir passé une alliance de circonstance très ambiguë.

Nous avons ensemble 3 ans avant les prochaines élections pour renforcer l’USD-FO, ce grand pôle réformiste, très professionnel dans la conduite de négociations.

J’invite tous ceux qui souhaitent s’investir dans la défense du service public douanier à nous rejoindre sans tarder et à participer aux travaux de nos nombreuses commissions techniques.

Contactez nos délégués régionaux et notre permanence nationale.

Merci à tous.

Cordialement.Le président du SNCD,

Jacques DEFFIEUX


ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011

Résultats Sièges Résultats Sièges Résultats Sièges Résultats Sièges

SNCD71,43% 75,86% 87,17%

85100%

6/686

100%6/6

184 82,88%

4/4179

79,91%3/4

CFDT Pas de liste Pas de liste

FO28,57% 24,14% 12,82% Pas de liste

3817,12%

- -

CGT Pas de liste Pas de liste

UNSA Pas de liste Pas de liste

CFTC Pas de liste Pas de liste

SOLIDAIRES Pas de liste Pas de liste

4520,09%

1/4

INSCRITS - - - 102 112 284 294

VOTANTS - - - 98 106 249 246

EXPRIMES - - - 85 86 222 224

SNCD CFDT CFTC CGT FO SOLIDAIRES UNSA

1970 565 68 141 932

1973 520 60 160 950

1976 546 580 61 190 869

1979 556 569 50 209 836 145

1982 669 567 57 174 735 103

1985 737 605 36 182 720 119

1988 795 681 56 180 614 56

1991 1117 580 36 143 400 61

1994 1215 575 49 161 335 86

1997 1205 479 57 225 339 38 71

2000 1273 428 44 199 290 370 102

2004 1364 368 64 352 287 369 107

2007 1262 434 82 357 241 416 110

USD-FO CFDT CGC CGT SOLIDAIRES UNSA-CFTC

2011 1410 415 207 329 530 205

Résultats catégorie A par organisation syndicale(en nombre de suffrages exprimés)

Les résultatsdes élections du 20 octobre 2011


ORGANISATIONS SYNDICALES

CAPC N°1DSD1-DSD2

CAPC N°2IP1-IP2

CAPC N°3IR1-IR2-IR3

CAPC N°4INSPECTEURS

TOTAL

USD-FO 179 / 79,91% 147 / 66,82% 491 / 47,72% 586 / 32,25% 1410 / 45,54%

CFDT - 27 / 12,27% 111 / 10,79% 323 / 17,78% 415 / 13,40%

CGT - - 110 / 10,69% 267 / 14,69% 329 / 10,63%

UNSA-CFTC - - 65 / 6,32% 110 / 6,05% 205 / 6,62%

SOLIDAIRES - - 195 / 18,95% 324 / 17,83% 530 / 17,12%

CGC 45 / 20,09% 46 / 20,91% 57 / 5,54% 59 / 3,64% 207 / 6,69%

INSCRITS 294 280 1196 2138 3908

VOTANTS 246 228 1050 1662 3186

EXPRIMES 224 220 1029 1623 3096

ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011

Résultats Sièges Résultats Sièges Résultats Sièges Résultats Sièges

SNCD71,43% 75,86% 87,17%

85100%

6/686

100%6/6

184 82,88%

4/4179

79,91%3/4

CFDT Pas de liste Pas de liste

FO28,57% 24,14% 12,82% Pas de liste

3817,12%

- -

CGT Pas de liste Pas de liste

UNSA Pas de liste Pas de liste

CFTC Pas de liste Pas de liste

SOLIDAIRES Pas de liste Pas de liste

4520,09%

1/4

INSCRITS - - - 102 112 284 294

VOTANTS - - - 98 106 249 246

EXPRIMES - - - 85 86 222 224

Résultats des élections en catégorie A(en nombre de suffrages exprimés)

Évolution de la représentativité des organisationssyndicales depuis 1991 CAPC N° 1

3,52%

-1,20%

0,90%

USDFO

CGC


Évolution de la représentativité des organisations syndicales depuis 1991 CAPC N° 2

ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011

Résult. Sièges Résult. Sièges Résult. Sièges Résult. Sièges

SNCD 68,63% 72,33% 71,21%175 70%

5/6195

74,14%5/6

127 78,40%

4/4147

66,82%3/4

CFDT 13,64% 13,11% 15,60%44

17,6%1/6

32 12,17%

-21

12,96%-

27 12,27%

-

FO 17,73% 14,56% 13,17%31

12,4%-

36 13,69%

1/614

8,64%- - -

CGTPas de

liste- - - - - - - -

Pas de liste

-

UNSAPas de

liste- - - - - - - -

Pas de liste

-

CFTCPas de

liste- - - - - - - -

Pas de liste

-

SOLIDAIRESPas de

liste- - - - - - - -

Pas de liste

-

46 20,91%

1/4

INSCRITS - - - 302 - 346 - 230 - 280 -

VOTANTS - - - 261 - 287 - 176 - 228 -

EXPRIMES - - - 250 - 263 - 162 - 220 -

USDFO

CGC

21,7%

35,8%35,8%35,8%

29,5%


ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011


SNCD 68,63% 72,33% 71,21%175 70%

5/6195

74,14%5/6

127 78,40%

4/4147

66,82%3/4

CFDT 13,64% 13,11% 15,60%44

17,6%1/6

32 12,17%

-21

12,96%-

27 12,27%

-

FO 17,73% 14,56% 13,17%31

12,4%-

36 13,69%

1/614

8,64%- - -

CGTPas de

liste- - - - - - - -

Pas de liste

-

UNSAPas de

liste- - - - - - - -

Pas de liste

-

CFTCPas de

liste- - - - - - - -

Pas de liste

-

SOLIDAIRESPas de

liste- - - - - - - -

Pas de liste

-

46 20,91%

1/4

INSCRITS - - - 302 - 346 - 230 - 280 -

VOTANTS - - - 261 - 287 - 176 - 228 -

EXPRIMES - - - 250 - 263 - 162 - 220 -

USDFO

USDFO

CGC


INSCRITS - - - 439 619 817 1196

VOTANTS - - - 414 552 719 1050

EXPRIMES - - - 407 535 701 1029

USDFOFO

ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011


SNCD 60,97% 63,61% 61,21%243

59,7%4/4

31659,07%

4/4365

52,07%4/6

491 47,72%

4/6

CFDT 8,77% 11,15% 14,12%46

11,3%-

60 11,21%

-90

12,84%-

111 10,79%

1/6

FO 30,26% 18,03% 17,45%59

14,49%-

58 10,84%

-46

6,56%- - -

CGT - 4,59% 7,20%19

4,66%-

31 5,79%

-90

12,84%1/6

110 10,69%

-

UNSA - 2,62% -7

17,71%-

7 1,31%

- - -65

6,32%-

CFTC Pas de liste - -18

2,57%- - -

SOLIDAIRES - - - - -63

11,77%-

92 13,12%

1/6195

18,95%1/6

57 5,54%

-

UNSA-CFTC

SOLI-DAIRES

CGT

CGC

CFDT

21,7%

46,4%

35,8%

46,8%

29,5%

46,8%46,8%

46,0%



INSCRITS - - - 2241 2447 2343 2138

VOTANTS - - - 2018 2030 1875 1662

EXPRIMES - - - 1964 1970 1817 1623

ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011


SNCD 42,49% 44,21% 43,50%770

39,2%2/4

767 38,93%

2/4586

32,25%2/4

593 36,54%

2/4

CFDT 29,36% 28,20% 22,37%338

17,2%1/4

276 14,01%

1/4323

17,78%1/4

277 17,07%

1/4

FO 14,85% 12,56% 13,50%200

10,18%-

193 9,8%

-143

7,87%- - -

CGT 7,92% 8,06% 11,24%180

9,16%-

264 13,4%

-267

14,69%-

219 13,49%

-

UNSA 3,38 4,28% 4,01%95

1,71%-

100 5,08%

-110

6,05%-

140 8,63%

-

CFTC 2,00% 2,69% 3,22%44

2,24%-

49 2,49%

-64

3,52%- - -

SOLIDAIRES PAS DE LISTE 2,14%337

17,16%1/4

321 16,29%

1/4324

17,83%1/4

335 20,64%

1/4

59 3,64%

-

INSCRITS - - - 19 611 19 163 18 438 17 150

VOTANTS - - - 16 326 15 682 14 817 13 745

EXPRIMES - - - 15 679 15 008 14 167 13 268

ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011


SNCD 7,19% 8,37% 7,77%1273

8,11%17/38

1364 9,08%

17/381262

8,91%14/36

2565 19,33%

14/36

CFDT 30,26% 30,06% 24,30%3436

21,91%6/38

2682 17,87%

5/382842

20,06%5/36

2569 19,36%

6/36

FO 15,28% 13,94% 14,89%2140

13,64%3/38

2087 13,90%

3/381734

12,24%3/36 - -

CGT 27,97% 27,66% 30,50%4362

27,82%7/38

4542 30,26%

7/384124

29,11%7/36

3532 26,62%

6/36

UNSA - 2,49% 6,03%1872

11,93%2/38

2037 13,57%

3/381875

13,23%3/36

2085 15,71%

3/36

CFTC 2,86% 2,73% 3,18%392

2,50%-

138 2,52%

-397

2,80%- - -

SOLIDAIRES 16,44% 14,76% 13,29%2204

14,05%3/38

1917 12,77%

3/381933

13,64%4/36

2310 17,41%

5/36

207 1,56%

2/36

-8,7%

-10,7%-10,7%-10,7%

-11,4%

USDFO

SOLI-DAIRES

CFDT

UNSA-CFTC

CGT

CGC


Évolution de la représentativité des organisations syndicales depuis 1991 Toutes CAPC

INSCRITS - - - 19 611 19 163 18 438 17 150

VOTANTS - - - 16 326 15 682 14 817 13 745

EXPRIMES - - - 15 679 15 008 14 167 13 268

ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011


SNCD 7,19% 8,37% 7,77%1273

8,11%17/38

1364 9,08%

17/381262

8,91%14/36

2565 19,33%

14/36

CFDT 30,26% 30,06% 24,30%3436

21,91%6/38

2682 17,87%

5/382842

20,06%5/36

2569 19,36%

6/36

FO 15,28% 13,94% 14,89%2140

13,64%3/38

2087 13,90%

3/381734

12,24%3/36 - -

CGT 27,97% 27,66% 30,50%4362

27,82%7/38

4542 30,26%

7/384124

29,11%7/36

3532 26,62%

6/36

UNSA - 2,49% 6,03%1872

11,93%2/38

2037 13,57%

3/381875

13,23%3/36

2085 15,71%

3/36

CFTC 2,86% 2,73% 3,18%392

2,50%-

138 2,52%

-397

2,80%- - -

SOLIDAIRES 16,44% 14,76% 13,29%2204

14,05%3/38

1917 12,77%

3/381933

13,64%4/36

2310 17,41%

5/36

207 1,56%

2/36

-8,7% -6,9%

-10,7% -6,4%

-11,4%

-6,4%

-7,2%

USDFO

USDFO

SOLI-DAIRES

SOLI-DAIRES

CFDT CFDT

UNSA-CFTC

UNSA-CFTC

CGTCGT

CGCCGC


Évolution de la représentativité desorganisations syndicales depuis 1991

Ensemble de la catégorie A (CAPC 1, 2, 3 et 4)

INSCRITS - - - - 3524 3674 3908

VOTANTS - - - 2791 2975 3019 3186

EXPRIMES - - - 2706 2854 2902 3096

ORG. SYNDICALES

1991 1994 19972000 2004 2007 2011


SNCD 47,80% 50,19% 49,91%1273

47,04%17/20

1364 47,79%

17/201262

43,49%14/18

1410 45,54%

12/18

CFDT 24,82% 23,75% 19,84%428

15,81%2/20

368 9,35%

1/20434

14,95%1/18

415 13,40%

2/18

FO 17,11% 13,83% 14,04%290

10,71%-

287 8,58%

-241

8,30%- - -

CGT 6,12% 6,65% 9,32%199

7,35%-

352 4,80%

-357

12,30%1/18

329 10,63%

-

UNSA 2,61% 3,35% 2,94%102

3,76%-

107 3,75%

-110

3,80%-

205 6,62%

-

CFTC 1,54% 2,02% 2,36%44

1,62%-

64 1,32%

-82

2,83%- - -

SOLIDAIRES PAS DE LISTE 1,57%370

18,84%1/20

384 13,45%

-416

14,33%2/18

530 17,12%

2/18

207 6,69%

2/18

6,37%

6,70%6,70%6,70%

-5,53%

USDFO

SOLI-DAIRES

CFDT

UNSA-CFTC

CGT

CGC

13 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 13 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 >

DirectionsNbre

d'inscritsVotants Exprimés Participation

USDFO

% CGC %

Ile de France 78 55 51 70,51 34 66,67 17 33,33

Roissy 13 12 12 92,31 9 75 3 25

Lille 13 12 11 92,31 10 90,91 1 9,09

Metz 17 16 16 94,12 13 81,25 3 18,75

Dijon 13 10 10 76,92 8 80 2 20

Lyon 24 20 17 83,33 12 70,59 5 29,41

Marseille 22 21 20 95,45 16 80 4 20

Montpellier 11 11 8 100 8 100 0 0

Bordeaux 15 15 15 100 14 93,33 1 6,67

Nantes 19 17 14 89,47 10 71,43 4 28,57

Rouen 15 15 12 100 12 100 0 0

Antilles-Guyane 6 5 4 83,33 4 100 0 0

Guyane 3 3 0 100 0 - 0 -

Guadeloupe 3 1 0 33,33 0 - 0 -

Réunion 4 4 0 100 0 - 0 -

Polynésie Fr. 2 2 0 100 0 - 0 -

Nelle Calédonie 1 1 0 100 0 - 0 -

DNRED 22 14 13 63,64 11 84,62 2 15,38

CID 2 2 0 100 0 - 0 -

DNSCE 3 2 0 66,67 0 - 0 -

DNRFP 8 8 8 100 8 100 0 0

BVC-DG - - 13 - 10 76,92 3 23,08

TOTAL 294 246 224 83,67 179 79,91 45 20,09

CAPC n°1

6,37%

6,70%

-5,53%

USDFO

SOLI-DAIRES

CFDT

UNSA-CFTC

CGT

CGC

80%

70%

60%

50%

40%

30%

20%

10%

0%

USD-FO

CGC


DirectionsNbre


USD-FO

% CFDT % CGC %

Ile de France 109 77 75 70,64 41 54,67 8 10,67 26 34,67

Roissy 10 10 9 100 5 55,56 3 33,33 1 11,11

Lille 12 12 11 100 10 90,91 0 0 1 9,09

Metz 17 15 15 88,24 13 86,67 0 0 2 13,33

Dijon 8 6 6 75 5 83,33 1 16,67 0 0

Lyon 19 11 10 57,89 8 80 2 20 0 0

Marseille 15 14 14 93,33 8 57,14 3 21,43 3 21,43

Montpellier 8 8 6 100 5 83,33 1 16,67 0 0

Bordeaux 10 10 10 100 7 70 3 30 0 0

Nantes 9 9 9 100 8 88,89 1 11,11 0 0

Rouen 12 9 9 75 8 88,89 1 11,11 0 0

Antilles-Guyane 2 2 2 100 2 100 0 0 0 0

Guyane 4 4 0 100 - - - - - -

Guadeloupe 5 4 0 80 - - - - - -

Réunion 4 4 0 100 - - - - - -

Polynésie Fr. 3 3 0 100 - - - - - -

Nelle Calédonie 4 4 0 100 - - - - - -

DNRED 14 13 13 92,86 8 61,54 0 0 5 38,46

CID 5 5 5 100 2 40 0 0 3 60

DNSCE 4 4 0 100 - - - - - -

DNRFP 6 4 0 66,67 - - - - - -

BVC-DG - - 26 - 17 65,38 4 15,38 5 19,23

TOTAL 280 228 220 81,43 147 66,82 27 12,27 46 20,91

CAPC n°2

> La Voix des Cadres des Douanes N°146 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 >

70%

60%

50%

40%

30%

20%

10%

0%

CGCCFDT

USD-FO


DirectionsNbre

d'inscritsVotants Exprimés Participation USD-FO % CFDT %

Ile de France 238 187 180 78,57 72 40 14 7,78

Roissy 32 29 28 90,63 17 60,71 1 3,57

Lille 72 63 62 87,50 44 70,97 9 14,52

Metz 83 80 78 96,39 54 69,23 11 14,10

Dijon 61 57 57 93,44 22 38,60 6 10,53

Lyon 98 88 86 89,80 34 39,53 10 11,63

Marseille 99 91 90 91,92 53 58,89 16 17,78

Montpellier 60 53 51 88,33 23 45,10 8 15,69

Bordeaux 98 92 89 93,88 43 48,31 9 10,11

Nantes 100 88 87 88 38 43,68 10 11,49

Rouen 50 43 43 86 25 58,14 8 18,60

Antilles-Guyane 21 17 17 80,95 4 23,53 0 0

Guyane 11 9 9 81,82 4 44,44 2 22,22

Guadeloupe 14 14 14 100 10 71,43 0 0

Réunion 16 15 15 93,75 6 40 2 13,33

Polynésie Fr. 8 8 8 100 4 50 0 0

Nelle Calédonie 9 6 6 66,67 4 66,67 0 0

DNRED 63 49 49 77,78 10 20,41 3 6,12

CID 17 17 17 100 7 41,18 0 0

DNSCE 27 27 27 100 12 44,44 0 0

DNRFP 19 17 16 89,47 5 31,25 2 12,50

TOTAL 1196 1050 1029 87,79 491 47,72 111 10,79

CAPC n°3

17 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 17 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > 17 17 17

50%

40%

30%

20%

10%

0%

DirectionsNbre


Ile de France 238 187 180 78,57 72 40 14 7,78

Roissy 32 29 28 90,63 17 60,71 1 3,57

Lille 72 63 62 87,50 44 70,97 9 14,52

Metz 83 80 78 96,39 54 69,23 11 14,10

Dijon 61 57 57 93,44 22 38,60 6 10,53

Lyon 98 88 86 89,80 34 39,53 10 11,63

Marseille 99 91 90 91,92 53 58,89 16 17,78

Montpellier 60 53 51 88,33 23 45,10 8 15,69

Bordeaux 98 92 89 93,88 43 48,31 9 10,11

Nantes 100 88 87 88 38 43,68 10 11,49

Rouen 50 43 43 86 25 58,14 8 18,60

Antilles-Guyane 21 17 17 80,95 4 23,53 0 0

Guyane 11 9 9 81,82 4 44,44 2 22,22

Guadeloupe 14 14 14 100 10 71,43 0 0

Réunion 16 15 15 93,75 6 40 2 13,33

Polynésie Fr. 8 8 8 100 4 50 0 0

Nelle Calédonie 9 6 6 66,67 4 66,67 0 0

DNRED 63 49 49 77,78 10 20,41 3 6,12

CID 17 17 17 100 7 41,18 0 0

DNSCE 27 27 27 100 12 44,44 0 0

DNRFP 19 17 16 89,47 5 31,25 2 12,50

TOTAL 1196 1050 1029 87,79 491 47,72 111 10,79

Directions CGT % SOLIDAIRES %UNSA-CFTC

% CGC %

Ile de France 21 11,67 44 24,44 10 5,56 19 10,56

Roissy 6 21,43 1 3,57 1 3,57 2 7,14

Lille 8 12,90 0 0 1 1,61 0 0

Metz 9 11,54 1 1,28 2 2,56 1 1,28

Dijon 4 7,02 12 21,05 7 12,28 6 10,53

Lyon 13 15,12 22 25,58 4 4,65 3 3,49

Marseille 6 6,67 7 7,78 3 3,33 5 5,56

Montpellier 6 11,76 7 13,73 5 9,80 2 3,92

Bordeaux 8 8,99 23 25,84 5 5,62 1 1,12

Nantes 13 14,94 13 14,94 7 8,05 6 6,90

Rouen 1 2,33 8 18,60 0 0 1 2,33

Antilles-Guyane 0 0 5 29,41 7 41,18 1 5,88

Guyane 1 11,11 2 22,22 0 0 0 0

Guadeloupe 1 7,14 2 14,29 0 0 1 7,14

Réunion 1 6,67 5 33,33 1 6,67 0 0

Polynésie Fr. 2 25 2 25 0 0 0 0

Nelle Calédonie 1 16,67 0 0 1 16,67 0 0

DNRED 3 6,12 20 40,82 8 16,33 5 10,20

CID 1 5,88 7 41,18 0 0 2 11,76

DNSCE 3 11,11 11 40,74 1 3,70 0 0

DNRFP 2 12,50 3 18,75 2 12,50 2 12,50

TOTAL 110 10,69 195 18,95 65 6,32 57 5,54

CAPC n°3 suite

SOLIDAIRES

UNSA-CFTCCGTCFDT

USD-FO

CGC


DirectionsNbre


Ile de France 707 454 446 64,21 143 32,06 76 17,04

Roissy 144 122 114 84,72 41 35,96 22 19,30

Lille 91 84 83 92,31 30 36,14 33 39,76

Metz 104 95 94 91,35 52 55,32 14 14,89

Dijon 63 56 54 88,89 22 40,74 7 12,96

Lyon 109 94 90 86,24 29 32,22 17 18,89

Marseille 122 110 110 90,16 48 43,64 28 25,45

Montpellier 41 34 32 82,93 10 31,25 8 25

Bordeaux 55 51 50 92,73 15 30 10 20

Nantes 73 62 62 84,93 26 41,94 12 19,35

Rouen 122 102 101 83,61 60 59,41 11 10,89

Antilles-Guyane 31 30 30 96,77 6 20 6 20

Guyane 11 8 8 72,73 1 12,50 3 37,50

Guadeloupe 21 18 17 85,71 7 41,18 0 0

Réunion 13 13 12 100 4 33,33 0 0

Polynésie Fr. 8 7 7 87,50 5 71,43 0 0

Nelle Calédonie 11 5 5 45,45 3 60 1 20

DNRED 212 155 148 73,11 47 31,76 14 9,46

CID 94 69 68 73,40 14 20,59 3 4,41

DNSCE 45 39 38 86,67 9 23,68 1 2,63

DNRFP 61 54 52 88,52 20 38,46 10 19,23

BVC-DG - - 2 - 1 50 1 50

TOTAL 2138 1662 1623 77,74 593 36,54 277 17,07

CAPC n°4


% CGC %

Ile de France 56 12,56 95 21,30 53 11,88 23 5,16

Roissy 33 28,95 6 5,26 8 7,02 4 3,51

Lille 10 12,05 4 4,82 5 6,02 1 1,20

Metz 11 11,70 4 4,26 10 10,64 3 3,19

Dijon 5 9,26 14 25,93 3 5,56 3 5,56

Lyon 7 7,78 29 32,22 7 7,78 1 1,11

Marseille 14 12,73 15 13,64 4 3,64 1 0,91

Montpellier 10 31,25 3 9,38 1 3,13 0 0

Bordeaux 12 24 9 18 4 8 0 0

Nantes 13 20,97 4 6,45 4 6,45 3 4,84

Rouen 7 6,93 14 13,86 2 1,98 7 6,93

Antilles-Guyane 2 6,67 8 26,67 8 26,67 0 0

Guyane 0 0 2 25 2 25 0 0

Guadeloupe 4 23,53 5 29,41 0 0 1 5,88

Réunion 1 8,33 7 58,33 0 0 0 0

Polynésie Fr. 1 14,29 1 14,29 0 0 0 0

Nelle Calédonie 0 0 0 0 0 0 1 20

DNRED 18 12,16 48 32,43 12 8,11 9 6,08

CID 5 7,35 40 58,82 5 7,35 1 1,47

DNSCE 3 7,89 21 55,26 4 10,53 0 0

DNRFP 7 13,46 6 11,54 8 15,38 1 1,92

BVC-DG 0 0 0 0 0 0 0 0

TOTAL 219 13,49 335 20,64 140 8,63 59 3,64

19 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 19 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > La Voix des Cadres des Douanes N°146 > 19

50%

40%

30%

20%

10%

0%

DirectionsNbre


Ile de France 707 454 446 64,21 143 32,06 76 17,04

Roissy 144 122 114 84,72 41 35,96 22 19,30

Lille 91 84 83 92,31 30 36,14 33 39,76

Metz 104 95 94 91,35 52 55,32 14 14,89

Dijon 63 56 54 88,89 22 40,74 7 12,96

Lyon 109 94 90 86,24 29 32,22 17 18,89

Marseille 122 110 110 90,16 48 43,64 28 25,45

Montpellier 41 34 32 82,93 10 31,25 8 25

Bordeaux 55 51 50 92,73 15 30 10 20

Nantes 73 62 62 84,93 26 41,94 12 19,35

Rouen 122 102 101 83,61 60 59,41 11 10,89

Antilles-Guyane 31 30 30 96,77 6 20 6 20

Guyane 11 8 8 72,73 1 12,50 3 37,50

Guadeloupe 21 18 17 85,71 7 41,18 0 0

Réunion 13 13 12 100 4 33,33 0 0

Polynésie Fr. 8 7 7 87,50 5 71,43 0 0

Nelle Calédonie 11 5 5 45,45 3 60 1 20

DNRED 212 155 148 73,11 47 31,76 14 9,46

CID 94 69 68 73,40 14 20,59 3 4,41

DNSCE 45 39 38 86,67 9 23,68 1 2,63

DNRFP 61 54 52 88,52 20 38,46 10 19,23

BVC-DG - - 2 - 1 50 1 50

TOTAL 2138 1662 1623 77,74 593 36,54 277 17,07


% CGC %

Ile de France 56 12,56 95 21,30 53 11,88 23 5,16

Roissy 33 28,95 6 5,26 8 7,02 4 3,51

Lille 10 12,05 4 4,82 5 6,02 1 1,20

Metz 11 11,70 4 4,26 10 10,64 3 3,19

Dijon 5 9,26 14 25,93 3 5,56 3 5,56

Lyon 7 7,78 29 32,22 7 7,78 1 1,11

Marseille 14 12,73 15 13,64 4 3,64 1 0,91

Montpellier 10 31,25 3 9,38 1 3,13 0 0

Bordeaux 12 24 9 18 4 8 0 0

Nantes 13 20,97 4 6,45 4 6,45 3 4,84

Rouen 7 6,93 14 13,86 2 1,98 7 6,93

Antilles-Guyane 2 6,67 8 26,67 8 26,67 0 0

Guyane 0 0 2 25 2 25 0 0

Guadeloupe 4 23,53 5 29,41 0 0 1 5,88

Réunion 1 8,33 7 58,33 0 0 0 0

Polynésie Fr. 1 14,29 1 14,29 0 0 0 0

Nelle Calédonie 0 0 0 0 0 0 1 20

DNRED 18 12,16 48 32,43 12 8,11 9 6,08

CID 5 7,35 40 58,82 5 7,35 1 1,47

DNSCE 3 7,89 21 55,26 4 10,53 0 0

DNRFP 7 13,46 6 11,54 8 15,38 1 1,92

BVC-DG 0 0 0 0 0 0 0 0

TOTAL 219 13,49 335 20,64 140 8,63 59 3,64

CAPC n°4 suite

USD-FOSOLIDAIRES

UNSA-CFTCCGT

CGCCFDT


DirectionsNbre


USD-FO

% CFDT

Ile de France 1 103 784 762 71,08 158 20,73 127

Roissy 814 615 584 75,55 33 5,65 116

Lille 559 483 460 86,40 26 5,65 206

Metz 527 448 425 85,01 75 17,65 160

Dijon 303 265 253 87,46 13 5,14 29

Lyon 658 526 510 79,94 34 6,67 85

Marseille 666 567 546 85,14 71 13 170

Montpellier 293 251 248 85,67 35 14,11 43

Bordeaux 417 379 370 90,89 49 13,24 48

Nantes 551 469 453 85,12 40 8,83 124

Rouen 477 386 376 80,92 38 10,11 66

Antilles-Guyane 155 129 126 83,23 8 6,35 11

Guyane 74 57 55 77,03 7 12,73 4

Guadeloupe 109 98 95 89,91 2 2,11 10

Réunion 91 80 78 87,91 8 10,26 5

Polynésie Fr. 10 10 10 100 0 0 5

Nelle Calédonie 50 42 39 84 20 51,28 3

DNRED 307 251 248 81,76 28 11,29 31

CID 63 50 49 79,37 8 16,33 2

DNSCE 74 64 62 86,49 14 22,58 3

DNRFP 85 81 80 95,29 26 32,50 14

TOTAL 7 386 6 035 5 829 81,71 693 11,89 1 262

CAPC n°5


50%

40%

30%

20%

10%

0%

Directions % CGT % SOLIDAIRES %UNSA-CFTC

%

Ile de France 16,67 198 25,98 157 20,60 122 16,01

Roissy 19,86 284 48,63 75 12,84 76 13,01

Lille 44,78 139 30,22 19 4,13 70 15,22

Metz 37,65 77 18,12 38 8,94 75 17,65

Dijon 11,46 95 37,55 77 30,43 39 15,42

Lyon 16,67 113 22,16 169 33,14 109 21,37

Marseille 31,14 155 28,39 44 8,06 106 19,41

Montpellier 17,34 99 39,92 33 13,31 38 15,32

Bordeaux 12,97 159 42,97 59 15,95 55 14,86

Nantes 27,37 134 29,58 67 14,79 88 19,43

Rouen 17,55 121 32,18 103 27,39 48 12,77

Antilles-Guyane 8,73 16 12,70 24 19,05 67 53,17

Guyane 7,27 12 21,82 21 38,18 11 20

Guadeloupe 10,53 44 46,32 16 16,84 23 24,21

Réunion 6,41 30 38,46 28 35,90 7 8,97

Polynésie Fr. 50 0 0 1 10 4 40

Nelle Calédonie 7,69 4 10,26 0 0 12 30,77

DNRED 12,50 59 23,79 76 30,65 54 21,77

CID 4,08 2 4,08 25 51,02 12 24,49

DNSCE 4,84 14 22,58 27 43,55 4 6,45

DNRFP 17,50 11 13,75 2 2,50 27 33,75

TOTAL 21,65 1 766 30,30 1 061 18,20 1 047 17,96

CAPC n°5 suite

SOLIDAIRES UNSA-CFTC

USD-FO

CGTCFDT


DirectionsNbre

d'inscritsVotants Exprimés Participation USD-FO % CFDT

Ile de France 709 475 455 67 97 21,32 62

Roissy 396 276 264 69,70 21 7,95 45

Lille 614 501 479 81,60 22 4,59 212

Metz 513 417 399 81,29 59 14,79 147

Dijon 241 193 184 80,08 10 5,43 19

Lyon 530 401 392 75,66 30 7,65 55

Marseille 600 462 442 77 66 14,93 122

Montpellier 275 232 228 84,36 37 16,23 25

Bordeaux 400 341 330 85,25 32 9,70 35

Nantes 473 368 355 77,80 26 7,32 85

Rouen 322 232 227 72,05 9 3,96 45

Antilles-Guyane 183 157 152 85,79 7 4,61 7

Guyane 54 36 34 66,67 1 2,94 3

Guadeloupe 124 108 96 87,10 3 3,13 4

Réunion 84 71 69 84,52 4 5,80 4

Polynésie Fr. 11 11 11 100 1 9,09 4

Nelle Calédonie 46 23 18 50 9 50 0

DNRED 118 89 84 75,42 4 4,76 5

CID 20 13 11 65 5 45,45 0

DNSCE 54 46 43 85,19 4 9,30 2

DNRFP 89 72 70 80,90 15 21,43 11

TOTAL 5 856 4 524 4 343 77,25 462 10,64 892

CAPC n°6


50%

40%

30%

20%

10%

0%

DirectionsNbre

d'inscritsVotants Exprimés Participation USD-FO % CFDT

Ile de France 709 475 455 67 97 21,32 62

Roissy 396 276 264 69,70 21 7,95 45

Lille 614 501 479 81,60 22 4,59 212

Metz 513 417 399 81,29 59 14,79 147

Dijon 241 193 184 80,08 10 5,43 19

Lyon 530 401 392 75,66 30 7,65 55

Marseille 600 462 442 77 66 14,93 122

Montpellier 275 232 228 84,36 37 16,23 25

Bordeaux 400 341 330 85,25 32 9,70 35

Nantes 473 368 355 77,80 26 7,32 85

Rouen 322 232 227 72,05 9 3,96 45

Antilles-Guyane 183 157 152 85,79 7 4,61 7

Guyane 54 36 34 66,67 1 2,94 3

Guadeloupe 124 108 96 87,10 3 3,13 4

Réunion 84 71 69 84,52 4 5,80 4

Polynésie Fr. 11 11 11 100 1 9,09 4

Nelle Calédonie 46 23 18 50 9 50 0

DNRED 118 89 84 75,42 4 4,76 5

CID 20 13 11 65 5 45,45 0

DNSCE 54 46 43 85,19 4 9,30 2

DNRFP 89 72 70 80,90 15 21,43 11

TOTAL 5 856 4 524 4 343 77,25 462 10,64 892

Directions % CGT % SOLIDAIRES %UNSA-CFTC

%

Ile de France 13,63 136 29,89 85 18,68 75 16,48

Roissy 17,05 120 45,45 34 12,88 44 16,67

Lille 44,26 164 34,24 17 3,55 64 13,36

Metz 36,84 95 23,81 21 5,26 77 19,30

Dijon 10,33 74 40,22 43 23,37 38 20,65

Lyon 14,03 78 19,90 145 36,99 84 21,43

Marseille 27,60 150 33,94 32 7,24 72 16,29

Montpellier 10,96 101 44,30 17 7,46 48 21,05

Bordeaux 10,61 147 44,55 56 16,97 60 18,18

Nantes 23,94 141 39,72 58 16,34 45 12,68

Rouen 19,82 88 38,77 46 20,26 39 17,18

Antilles-Guyane 4,61 17 11,18 42 27,63 79 51,97

Guyane 8,82 11 32,35 15 44,12 4 11,76

Guadeloupe 4,17 35 36,46 22 22,92 32 33,33

Réunion 5,80 34 49,28 23 33,33 4 5,80

Polynésie Fr. 36,36 0 0 0 0 6 54,55

Nelle Calédonie 0 1 5,56 1 5,56 7 38,89

DNRED 5,95 24 28,57 34 40,48 17 20,24

CID 0 1 9,09 5 45,45 0 0

DNSCE 4,65 14 32,56 20 46,51 3 6,98

DNRFP 15,71 6 8,57 3 4,29 35 50

TOTAL 20,54 1 437 33,09 719 16,56 833 19,18

CAPC n°6 suite

SOLIDAIRES UNSA-CFTC

CGTCFDT

USD-FO

Interview de Marie-Line Salama-Biard ; Pharmacien Responsable du Laboratoire Lilly France.

Le journaliste : Quels sont les dangers réels de la contrefaçon en matière de santé ? Lilly France : Avant tout, il est important de dire et de faire prendre conscience au grand public qu’un médicament contrefait est dangereux et peut entraîner un décès. Certaines analyses du contenu de faux médicaments saisis par les douanes, a révélé la présence de composants nocifs tels que de la peinture de marquage routier, de la cire à parquet, du cirage, du talc, de la craie, de l’arsenic, de l’acide borique. La contrefaçon de médicaments, relève du crime organisé, c’est un phénomène en pleine expansion. Selon une estimation publiée par le Center for Médecine in the Public Interest des Etats-Unis, les ventes mondiales de médicaments contrefaits pourraient atteindre 75 milliards de dollars (un peu plus de 53,8 milliards d’euros) en 2010, soit une augmentation de plus de 90 % en cinq ans !

Le journaliste : Quels sont les moyens mis en œuvre par les laboratoires Lilly pour contrer le problème de la contrefaçon ? Lilly France : Afi n de limiter autant que possible la contrefaçon de nos médicaments, Lilly y appose des indicateurs spécifi ques et les équipe d’un système de sécurité inviolable. De plus, Lilly, a mis en place des procédures qui permettent de garantir la sécurité de la chaîne logistique fabricant- grossiste-pharmacie. Au niveau international et national, Lilly collabore avec les autorités compétentes pour faciliter l’identifi cation des contrefacteurs et engager des poursuites à leur encontre. Ainsi, nous avons des partenariats avec plusieurs organismes internationaux de réglementation du médicament. En France, en décembre 200, Lilly a signé la charte contre la contrefaçon sur Internet mise en place par le Ministère de l’Industrie et de l’Economie. En an après, Lilly France signait une « déclaration de principe » entre plusieurs laboratoires et les Douanes dans le but de favoriser l’échange d’information pour faciliter les saisies et sécuriser le marché français. Parce que la lutte contre la contrefaçon, passe par l’information des professionnels et du grand public sur les risques associés, Lilly a mis en place des campagnes d’information ainsi que des programmes de formation.

Le journaliste : Pourriez-vous nous décrire les conditions dans lesquelles s’exerce le partenariat avec les douanes ?

Lilly France : Cela passe par de nombreuses rencontres, par des échanges d’informations, par une confi ance mutuelle et par une ferme volonté commune de protéger les consommateurs.

Le journaliste : Selon vous, internet est-il un vecteur de la recrudescence dans le domaine de la contrefaçon de par la facilité à acquérir des produits ? Lilly France : Oui car par ce biais, les contrefacteurs ont accès facilement à des millions de clients potentiels. Même s’il est extrêmement compliqué de dénombrer le nombre de sites Internet qui vendent des médicaments, on estime qu’entre 4 500 et 15 000 sites vendent des médicaments traitant les troubles de l’érection par exemple. Ces sites reçoivent la visite d’environ 2,9 millions de visiteurs mensuels et vendent 2,3 millions de comprimés par mois, pour beaucoup sans prescription. Il est important de préciser qu’en France, l’achat et la vente de médicaments sur Internet sont interdits par la loi française, mais malgré cela Internet demeure le principal vecteur de la contrefaçon de médicaments !

Le journaliste : Pensez-vous que les sanctions encourues par les contrefacteurs soient suffi santes et assez dissuasives ? Lilly France : La contrefaçon peut tuer des patients, leurs auteurs devraient être considérés comme n’importe quel criminel. Je ne vois pas pourquoi il n’y aurait pas des sanctions sévères vis-à-vis des personnes impliquées. Les sanctions ne sont pas à la hauteur du danger, il est vrai qu’il faudrait sanctionner au-delà les personnes.

Le journaliste : Est-ce que vous pensez que les services des douanes ont les moyens de leurs ambitions dans cette lutte ? Lilly France : Je ne suis pas en mesure de vous répondre sur leurs moyens de lutte. Cependant, la volonté de lutter contre ce fl éau est bel et bien réelle de leur côté comme du nôtre.

Le journaliste : Quelle est la question à laquelle vous auriez souhaité répondre et que je ne vous ai pas posée ? Lilly France : Je dirais que c’est «qu’est ce qu’on peut faire de plus?» et je répondrais «faire des actions de communication comme vous le faites, nous trouvons cela très bien et dans ce sens notre collaboration vous est acquise.


COMPTE RENDU DU COMITE TECHNIQUE DE RESEAU (CTR) DU 12 DECEMBRE 2011

Un comité technique de réseau (ex-CTPC) s’est tenu le 12 décembre à la direction générale, sous la Présidence de M. Jérôme FOURNEL, directeur général, assisté de ses collaborateurs.

L’USD-FO était représentée par Michèle BOUTONNET et Jacques DEFFIEUX (titulaires), Edgar ESCAVI et Nicolas TREMOLLET (suppléants) ainsi qu’ Arnaud PICARD et Emmanuel FOURNIGAULT (experts).

En réponse à une question liminaire des représentants du personnel sur la validité des délibérations de ce CTR en l’absence de règlement intérieur propre à cette nouvelle instance de dialogue social, l’administration a répondu qu’une jurisprudence administrative constante avait déjà répondu positivement.

Chaque organisation syndicale a ensuite lu une déclaration préalable.

La déclaration de l’USD-FO est reprise en annexe I du présent compte rendu.

Ce compte rendu expose les sujets dans la chronologie de présentation de l’ordre du jour.

En réponse aux différentes interventions liminaires des OS, le directeur général a apporté certaines précisions :

• Les nouveaux comités techniques marquent la fin du paritarisme ; l’administration n’a plus droit de vote et, en cas de rejet d’une délibération par les représentants élus du personnel par l’expression d’un vote « contre » à l’unanimité, une 2è réunion doit être convoquée sur le ou les point(s) inscrit(s) à l’ordre du jour.

• L’absence de CT régionaux ne fait pas obstacle à la tenue de groupes de travail (GT) dans les DR ; ces GT devant se « caler » sur la représentativité de chaque OS dans la DI (en clair, seules les OS

disposant d’au moins un élu en CTL- DI pourront participer à ces GT).

• En ce qui concerne le règlement intérieur (RI) des CT et les nouveaux droits et moyens syndicaux, l ’administration a renvoyé aux discussions interministérielles et ministérielles. Lorsque celles-ci auront abouti, chaque direction déclinera les différents dispositifs.

• Le directeur général a également confirmé que, parallèlement à ces CT, des rencontres bilatérales avec les OS seraient régulièrement organisées de même que les traditionnels GT dont un GT sur le dialogue social.

• Affaire du vigneron contrôlé et développement médiatique du dossier : l’ensemble des OS ont fait part de la sensibilité de ce dossier chez les personnels directement mis en cause et leurs collègues proches et regretté la « tiédeur » des réactions officielles de l’administration.

" L’administration a rappelé que la décision de justice ne donnait tort à l’administration que sur des motifs de procédure mais que, sur le fond, les reproches formulés à l’encontre de l’intéressé demeuraient.

S’agissant du caractère potentiellement diffamatoire des déclarat ions du couple de vignerons, l’administration estime juridiquement plus sûr pour les personnels de déposer plainte personnellement avec l’appui technique de l’administration.

" Position de l’USD-FO : l’administration doit manifester de façon plus nette son soutien indéfectible aux personnels et corriger, si nécessaire, les informations erronées sans méconnaître évidemment les contraintes liées à la judiciarisation de l’affaire.


I - APPROBATION DE PROCES-VERBAUX ANTERIEURS

Sous réserve de quelques propositions de modifications, la majorité des OS a approuvé ou s’est abstenue sur 3 des quatre PV antérieurs ; le 4è (celui du 9 septembre 2011) n’ayant pas fait l’objet d’un vote puisque toutes les OS avaient quitté la séance avant son terme.

FICHE N° I – EVOLUTIONS STATUTAIRES

1/ PROJETS DE DECRETS RELATIFS AUX EMPLOIS DE DIRECTION DE LA DGDDI, LA CREATION D’UN GRAF ET LA MODIFICATION DU STATUT D’EMPLOI DES CSC

La présentation de ces textes en CTR traduit, sur le plan syndical, 3 ans d’intense activité des équipes statutaires du SNCD-FO. Si les projets présentés par la DG ne recoupent pas totalement nos revendications qui étaient plus ambitieuses (c’est le propre de toute négication), ces projets sont largement inspirés des propositions de l’USD-FO.

Rappel : selon l’administration, il s’agit d’un «projet visant à adapter et moderniser les carrières des cadres supérieurs de la douane en créant un statut d’emplois d’administrateur des douanes organisé en 3 niveaux» : administrateur, administrateur supérieur et administrateur général. Ce statut met en place une grille indiciaire allant jusqu’à la hors échelle E. La revalorisation indiciaire qui en résulte s’explique par « la disparition du mode actuel de rémunération des emplois comptables de fin de carrière ». Ceci permet de maintenir la masse salariale au même niveau que celui d’aujourd’hui ; la réforme, de ce point de vue, est donc neutre (« autofinancement »).

A cette évolution s’ajoute, dans un autre projet de décret modifiant le statut particulier des agents de catégorie A, la création d’un GRAF (grade à accès fonctionnel) de directeur principal des services douaniers afin d’offrir, en particulier aux DSD1 qui n’ont pas été

détachés dans des emplois de directeur territorial ou fonctionnel, une nouvelle possibilité de déroulement de carrières. Ce GRAF pourrait être également utilisé en cas de sortie du statut d’emploi d’administrateur des douanes.

Ce GRAF ouvre un espace indiciaire allant jusqu’à la hors échelle C avec, de plus, un échelon fonctionnel en hors échelle D. Enfin, l’USD-FO a souligné le manque de visibilité des futurs emplois de ce GRAF puisque le projet de décret devra être complété par un arrêté qui fixera concrètement le pourcentage d’emplois (a priori, selon l’administration, ce taux devrait être fixé, dans un premier temps, à 2 % du nombre des personnels de catégorie A de la DGDDI).

Les règles de gestion et les «quantifications cibles» pour le GRAF ne sont pas définitivement arrêtées.

Enfin, en cohérence avec la création du statut d’emploi d’administrateur de la DGDDI, le statut d’emploi de CSC1 est supprimé et les statuts de CSC2 et CSC3, s’ils sont maintenus, sont adaptés. Ainsi, ces emplois ne viseront plus nécessairement des postes comptables (« défonctionnalisation »). Ils permettront de nouveaux débouchés de carrières naturels pour les IP1, voire les IR1. A noter qu’en réponse à une question de l’USD-FO, la sous-directrice a précisé que les postes de CSC2 « défonctionnalisés ») constitueront bien, eux aussi, des débouchés pour les cadres de la carrière longue.

A ce stade, ni les règles de gestion des accès à ces emplois, ni les quantifications de postes ne sont établies.

" Position de l’USD-FO :

Sans la présence de l’USD-FO parmi les 5 organisations représentatives douanières, aucune des mesures présentées dans ce CT-R pour la catégorie A n’auraient rencontré de vote positif. Ceci aurait eu des effets de retardement du déploiement de ces mesures en cas de vote unaniment négatif (cf. loi du 5 juillet 2010 relative à la rénovation du dialogue social).

Ce point doit être médité par chaque douanier de


catégorie A. A noter que les organisations non représentatives, de type CGC Douane, ne sont plus un vecteur de défense des personnels.

L’USD-FO a tenu à rappeler en séance son rôle essentiel (via le SNCD-FO et son pôle d’expertise statutaire en catégorie A) dans les évolutions proposées qui concernent non seulement les carrières directoriales, mais aussi les carrières longues. De ce point de vue, l’argument développé par plusieurs OS visant à soutenir que ces propositions concernent une infime minorité de personnels est largement entaché d’erreurs. A titre d’illustration, plus de 85 % des cadres A sont potentiellement concernés directement ou indirectement par les nouveaux débouchés de CSC défonctionnalisés.

L’USD-FO a cependant fait remarquer que les mesures proposées sont en-deçà de celles mises en œuvre à la DGFIP, notamment pour les directeurs territoriaux et fonctionnels.

De plus, la direction générale n’a pas mis en oeuvre la possibilité offerte de créer un second GRAF limité à la hors échelle A comme le cadrage interministériel de la Fonction publique l’autorise. Ce second GRAF aurait débloqué la situation des échelons terminaux des grades d’IP1 et d’IR1 et permis de dépasser ainsi l’indice 966 (783 en majoré). L’USD-FO regrette vivement que cette possibilité n’ait pas été retenue.

Rappelons que la réforme statutaire de 2007 n’avait apporté, malgré les propositions du SNCD en la matière, aucune amélioration des fins de carrière longue (IP1/IR1).

Ce choix de la direction générale renforce la nécessité de calibrer de façon volontariste le nombre de postes de CSC3 et CSC2 défonctionnalisés. Ce point est de plus rendu nécessaire par l’impossibilité, signalée par la direction générale, après avis de la direction générale de l’administration et de la fonction publique, de relever l’indice terminal d’IP1 et d’IR1 à 985 comme négocié en 2008.

En conséquence, l’USD-FO s’est abstenue sur le

décret relatif aux emplois de direction au motif déjà rappelé d’un traitement différencié entre les agents de la DGFIP et ceux de la DGDDI (création du statut l’emploi d’administrateur des douanes alors que la DGFIP a obtenu des grades) et compte tenu de l’absence de précisions sur la « période transitoire ».

En revanche, L’USD a voté positivement pour les autres mesures statutaires en catégorie A (création d’un GRAF de directeur principal des services douaniers et modification du statut des CSC) qui constituent potentiellement, malgré certaines limites ou imprécisions à combler, une avancée pour les agents de la carrière longue et ceux de la carrière courte.

Les agents de catégorie A, et tous ceux qui aspirent à y accéder, apprécieront le rejet global de ces mesures par les autres organisations syndicales qui, une fois les élections terminées, n’ont que faire

de certaines catégories de personnels.

Prétendre défendre les inspecteurs, en critiquant des améliorations potentielles sur l’ensemble de

leurs débouchés, en carrière courte (à partir de la sélection d’IP2) et en carrière longue (à partir du

TA d’ IR3), c’est se MOQUER DU MONDE et plus spécifiquement PRENDRE LES INSPECTEURS

POUR DES DEBUTANTS.

FICHE N° II – EXAMEN PROFESSIONNEL (C en B et B en A) et APTITUDE PHYSIQUE DES AGENTS DE CATEGORIE A EN SURVEILLANCE

1/ EXA PRO

Rappel : les OS ont été invitées à se prononcer sur la pérennisation des examens professionnels lesquels ont connu un vif succès qui les rendent déjà très sélectifs.

Rappelons que la création des examens professionnels est à mettre au crédit des signataires des accords de Montreuil dont FO DOUANES et le SNCD-FO.


Rappelons que la CGT Douanes et SOLIDAIRES Douane étaient aux abonnés absents le jour de la signature.

Le vif succès rencontré est la raison pour laquelle l’administration (à la différence de certaines OS) ne souhaite pas en élargir trop sensiblement le vivier en abaissant trop fortement la plage d’appel. Elle propose donc des évolutions qu’elle juge «proportionnées» pour les 2 examens :

- pour le B en A : tous les CP, C1 à partir du 6è échelon, C2 à partir du 8è échelon,

- pour le C en B : tous les ACP1 et les ACAP 2 à partir du 7è échelon.

Avec ces modifications, l’administration a estimé qu’ environ 2/3 des personnels de catégorie C et B ont la possibilité désormais d’être candidats, ce qui lui paraît satisfaisant.

Enfin, l’administration souhaite assouplir le « statut » des lauréats en supprimant la période probatoire à la titularisation dans leur nouveau grade (B en A).

" Position de l’USD-FO : l’USD-FO partage globalement l’analyse et les propositions de l’administration mais souhaite vivement l’augmentation du nombre de postes offerts afin de tempérer la sélectivité particulière qui caractérise ces examens. En revanche, et à la différence de plusieurs OS, l’USD-FO s’oppose totalement à l’idée d’augmenter le volume des postes à pourvoir en réduisant de façon significative les postes éligibles au titre de la délégation de B en A.

L’USD-FO est attachée au maintien des différentes voies d’accès au grade supérieur qui visent des publics au profil différent dans certains cas et offre ainsi plus de chances à chacun d’accéder au grade supérieur.

2/ APTITUDE PHYSIQUE DES AGENTS DE CATEGORIE A EN SURVEILLANCE

Rappel : il s’agit de calquer juridiquement les conditions d’aptitude physique A SU sur celles requises pour les

agents des catégories B et C. Selon l’administration, dès lors que les personnels de catégorie A concernés sont classés en catégorie active et bénéficient d’une bonification pour pension ainsi que de l’octroi d’une indemnité de risque, l’alignement des conditions d’aptitude physique est inévitable et cohérent.

" Position de l’USD-FO : si l’USD-FO comprend les motivations qui ont guidé l’administration, elle souhaite appeler son attention sur certaines difficultés juridiques ainsi que sur certains cas personnels délicats.

D’une part, à quelle date s’apprécie la vérification des règles d’aptitude ? L’USD-FO propose de préciser les choses et d’indiquer que « les conditions d’aptitude physique s’appliquent aux concours ouverts à compter du 1er juillet 2010 et aux mutations prononcées à compter des mouvements du 1er janvier 2012 ».

D’autre part, quelques situations complexes pourraient apparaître : celles notamment des agents ayant fait l’objet d’un avis favorable à l’issue d’une CAPC mais qui ne rempliraient plus les nouvelles conditions d’aptitude physique (en particulier les conditions visuelles qui paraissent constituer la modification la plus susceptible de « recaler » des personnels). Une période transitoire paraît, du point de vue de l’USD-FO, nécessaire.

" L’administration ne méconnaît pas la possibilité de difficultés ponctuelles mais précise que, en toute hypothèse, ces conditions d’aptitude s’apprécient à compter de la date de mutation ; ces cas, liés pour l’essentiel à un changement de branche, ne devraient pas être trop nombreux. Au-delà, l’administration a rappelé le caractère intangible de ces évolutions qui s’imposent, plus généralement, à l’ensemble des fonctions de ce type, en douane et hors douane.

" Position de l’USD-FO : l’USD-FO ne s’est pas opposée à cette ultime modification statutaire (couplée dans le même projet de décret avec les autres mesures décrites ci-dessus – GRAF et EXA PRO) mais s’engage


à veiller par l’intermédiaire de ses élus en CAP et ses représentants régionaux aux cas difficiles afin que l’administration recherche la solution la plus protectrice des intérêts des agents concernés.

4 TEXTES STATUTAIRES ONT DONC éTé SOUMIS AUX VOTES DES OS :

• Projet de décret relatif aux emplois de direction de la DGDDI

Abstention: USD-FO, CGT, CFDT

Contre : UNSA/CFTC

Ne prend pas part au vote : Solidaires.

• Projet de décret relatif aux emplois de chef de service comptable

Abstention : Solidaires

Pour: USD-FO, CGT, CFDT, UNSA/CFTC

• Projet de décret fixant le statut particulier des agents de la catégorie A de la DGDDI (Examen professionnel de B en A, le GRAF et aptitude physique des agents de catégorie A en Surveillance)

Abstention : CGT, CFDT, Solidaires, UNSA/CFTC.

Pour : USD-FO.

• Projet de décret fixant le statut particulier du corps des contrôleurs de la DGDDI (Examen professionnel de C en B)

Abstention : Solidaires

Pour : USD-FO, CGT, CFDT, UNSA/CFTC.

FICHE N° III – RESSERREMENT DU RESEAU DES ORDONNATEURS DE L’EPA MASSE

Rappel : l’administration justifie sa proposition d’un nouveau resserrement au 1er janvier 2013, qui prolongerait le resserrement précédent (27 CRM

contre 37 en 2005), par différentes évolutions dont la cartographie nouvelle des logements au cours des dernières années mais aussi les conclusions du conseil de modernisation des politiques publiques de juin 2010. Ce nouveau resserrement aboutirait au maintien de 16 commissions régionales (CRM). A ces considérations générales, s’ajoute, selon l’administration, la nécessité « d’optimiser les moyens et de centraliser l’organisation en l’adossant aux PLI » (pôle logistique informatique).

"Position de l’USD-FO : à l’instar des autres organisations syndicales, l’USD-FO s’est opposée à ce projet qui fait fi de l’indispensable proximité des services en particulier dans la perspective du futur programme de rénovation de certaines cités des douanes qui nécessitera une présence fréquente sur les sites à rénover. Par ailleurs, l’USD-FO a rappelé que toutes les organisations syndicales s’étaient déjà prononcées contre ce projet en CA de l’EPA Masse.

" Le rejet de la proposition par toutes les OS nécessitera une seconde convocation du CTR, conformément aux nouvelles règles de fonctionnement des comités (cf. supra).

FICHE N° IV– PLAFONDS AUTORISES D’EMPLOI (PAE) ET EMPLOIS DE REFERENCE (ER) POUR 2012

Rappel : à l’instar des quatre années précédentes, le projet de loi de finances pour 2012 a prévu que la DGDDI « rende » plusieurs emplois, soit - 372 l’année prochaine. La direction générale assure que la qualité du service rendu par la douane n’est pas affectée et que l’introduction de la performance depuis plusieurs années permet de fonctionner avec un effectif sensiblement réduit. En revanche, la direction générale a tenu à rappeler que, s’agissant de certaines missions totalement nouvelles, telle que la prochaine Taxe Poids Lourds (TPL), la donne sera différente et des créations


d’emplois (sans doute autour de 150 pour le service dédié au contentieux et au recouvrement forcé) seront nécessaires. C’est en tout cas le message que le directeur général affirme porter à l’autorité de tutelle.

" Position de l’USD-FO : à l’instar des autres OS, l’USD-FO a évidemment contesté cette approche et la première partie du diagnostic, évoquant notamment les tensions évidentes dans certains services, faute de moyens humains voire matériels suffisants, mais aussi les craintes formulées par les chefs de circonscription eux-mêmes.

Interrogée par plusieurs OS sur le dernier rapport de l’Assemblée nationale sur les effets de la RGPP en douane et les nombreuses limites voire impasses soulignées par les 2 rapporteurs (MM. CARREZ et CARSENAC), l’administration a tenu à en relativiser la portée pointant «les erreurs ou inexactitudes de ce rapport et l’absence de propositions concrètes» …

" Position de l’USD-FO : l’USD-FO a tenu à souligner l’intérêt de ce rapport qui confirme nombre d’analyses développées depuis plusieurs années par les 2 structures de l’Union (FO DOUANES/SNCD). Par ailleurs, l’USD-FO n’a pas manqué de rappeler les prises de position publiques de plusieurs hauts fonctionnaires issus d’administrations différentes qui n’hésitent pas à dénoncer les effets préjudiciables de la logique budgétaire de la RGPP sur le fonctionnement de leurs services. L’USD-FO regrette que le directeur général ne prenne pas sa part à la formulation de telles réserves en sa qualité de responsable d’une administration fortement touchée.

S’agissant de la douane, l’USD-FO a constaté, chiffres à l’appui, que les principaux contributeurs à l’effort de réduction d’effectifs étaient les DR opérationnelles et s’est interrogée sur leur capacité à rendre encore des effectifs. Au total, sur 1533 emplois rendus depuis le PAE 2008, 1510 sont issus des DRO !

L’USD-FO, sans obtenir de réponse claire de

l’administration, a, de nouveau, interrogé la direction générale sur le « seuil critique » à partir duquel elle estimerait que l’accomplissement même de tout ou partie des missions serait affecté ; l’administration estimant difficile, sinon impossible, de fixer un « seuil cible », tant les techniques, les process etc. évoluent.

L’USD-FO a souligné le caractère anxiogène de cette gestion « au fil de l’eau » qui n’offre pas aux personnels une perspective claire et lisible même à court terme et interroge inévitablement sur la pérennité de certaines structures (divisions, directions régionales, voire interrégionales).

" Pour toutes ces raisons, l’USD-FO de même que les autres OS a voté contre les propositions de l’administration sur ce sujet.

FICHE N° V POINTS D’INFORMATION (non soumis à vote)

1/ Bilan des mesures 2011 et prévisions des mesures 2012 dans les DI/DR

Si les organisations syndicales apprécient d’être destinataires de cette traditionnelle synthèse, elles s’interrogent sur la réalité de la communication en amont. Manifestement, et contrairement aux affirmations de l’administration, le niveau de communication aux personnels directement concernés varie sensiblement d’une circonscription à une autre … Aussi, certains agents apprennent ces mesures par l’intermédiaire des représentants du personnel à l’occasion de la préparation du CTR.

Comme chaque année, plusieurs secteurs devraient faire l’objet de mesures d’organisation en 2012, censées être débattues en CT de proximité, notamment en matière de CI, de DAFN, de regroupement de bureaux chargés de fiscalité énergétique, de regroupement de brigades, de transfert aux Affaires maritimes de la jauge au 31 décembre 2012, etc.


Le Directeur général a toutefois précisé que compte tenu des retards dans le déploiement de SIRHIUS, l’implantation des CSRH prévue en en 2012 devrait être décalée dans le temps.

" Position de l’USD-FO : l’USD-FO a également regretté les différences de niveau d’information selon les DI, s’est interrogée sur les conséquences de certaines mesures (notamment dans la DI de Rouen) sur la capacité réelle des services à effectuer à terme des contrôles dynamiques ou bien encore sur la tendance à la fusion des secrétariats généraux des DI et des DR.

2/ ICS

Rappel : cette mission nouvelle est directement liée à l’amendement dit « sûreté ». La France se situe au 2è

rang, après l’Allemagne, s’agissant des déclarations de sûreté (respectivement 5,5 millions contre 7,5) dont 85 % concernent l’aérien.

Sans entrer dans le détail, plusieurs évolutions sont en cours, tant aux niveaux international, européen que national. D’une manière générale, il apparaît nécessaire de sécuriser les données et de supprimer certaines exemptions (ex : les envois de valeur négligeable non inclus à ce jour). Par ailleurs, la direction générale entend faire augmenter le nombre d’opérateurs censés accomplir ces formalités. L’administration souhaite également développer l’analyse de risques dans le secteur de la sécurité. Plus généralement, l’administration admet que le développement de cette mission obéit à « une extension de la logique de ciblage ».

" Position de l’USD-FO : l’USD-FO a rappelé que cette mission a été développée à effectifs constants et demandé qu’un bilan objectif de l’organisation et des moyens des cellules de levée de doute soit établi.

En réponse, l’administration a précisé qu’une réflexion sur l’organisation, le week-end, de la mission ICS entre Le Havre et Marseille était en cours compte tenu de l’activité réduite de Marseille en fin de semaine.

3/ RETENUE DOUANIERE

Rappel : suite à la réforme de la retenue douanière qui a suivi celle de la garde à vue, l’administration a établi un premier bilan qui montre notamment une baisse sensible des retenues (- 22 % sur 8 mois et même – 42 % entre la date d’entrée en vigueur de la réforme et le 31 août 2011), un pourcentage assez important (68 %) de recours aux services d’un avocat (dont 84 % se déplacent). Le nombre de fouilles à corps a également sensiblement diminué. L’administration a reconnu que des difficultés devaient être résolues, telles que la question du recours à un traducteur, parfois difficile, et surtout celle des locaux, parfois totalement inadaptés.

" Position de l’USD-FO : compte tenu de l’importance du dossier pour les services concernés, l’USD-FO a lu une déclaration technique préalable pour résumer son point de vue, ses réserves et ses propositions sur ce dossier sensible.

Déclaration technique préalable relative au point d’information sur la retenue douanière (RD)

L’exercice de la retenue douanière exige une technicité particulière que la réforme récente renforce considérablement.

Pour assurer pleinement les nouveaux droits et garanties offerts aux personnes, les douaniers doivent être en mesure de mettre en oeuvre cette procédure sans difficultés.

Il en va de notre crédibilité dans l’action, notamment par rapport aux services de police et de gendarmerie.

Pour ce faire, trois éléments sont jugés indispensables :


- un effort de formation,

- des consignes et circulaires claires et à vocation pratique,

- des effectifs en nombre suffisant.

Sur la formation, il est permis de constater un effort significatif de la part de l’Administration. Toutefois, afin de maintenir en condition les équipes, cet effort doit être poursuivi en 2012.

Sur les instructions d’application, malgré les délais contraints dont nous sommes bien conscients, nous regrettons leur parution tardive, 6 mois après l’entrée en vigueur de la loi.

Certaines instructions font encore défaut, comme par exemple celle relative à la mise en oeuvre de la RD en mer. Certains modèles de PV s’avèrent de qualité médiocre, nécessitant des adaptations de format informatique par les unités.

Un PV de retenue sous le même principe que PCI aurait été plus adapté. Les formulaires de notification sont peu pratiques pour nos collègues sur le terrain. Il serait utile de diffuser de nouveaux modèles à l’occasion d’une prochaine instruction et à l’issue d’une consultation « qualitative » des services et non seulement statistique et quantitative.

Sur les effectifs suffisants, force est de constater que la RD constitue un exercice contraint, complexe, impliquant de nombreux intervenants : le Procureur de la République, des interprètes (1 par personne ne s’exprimant pas en français), des avocats (1 par personne), des médecins. La procédure repose sur de nombreux PV qui doivent bien s’articuler entre eux. Elle implique la gestion de multiples appels téléphoniques.

A titre d’exemple, une RD impliquant 3 personnes met en mouvement :

- un agent chargé du PV de saisie,

- un agent chargé de la coordination de la RD, gérant notamment tous les appels téléphoniques,

- 2 agents sont mobilisés pour chaque individu placé en RD (l’un procède aux notifications, à la sécurisation de la personne et sa surveillance, l’autre rédige les actes),

- 2 à 3 agents se chargent d’approfondir la visite du véhicule.

Dans ce cadre sécurisé, plus de 10 personnes sont mobilisées.

En conclusion, pour assurer une RD dans des conditions satisfaisantes en droit et préservant la sécurité de tous, des renforts sont de plus en plus souvent sollicités. Mais la trajectoire générale de baisse des effectifs et son corollaire, l’émiettement du maillage impliquant un plus grand éloignement des unités, constituent des freins au recours à des renforts.

Il est donc à craindre que, par manque d’effectifs suffisants, nos collègues ne soient contraints, à brève échéance, de remettre les personnes aux services de police ou de gendarmerie dès la découverte des marchandises illicites.

L’administration a-t-elle bien identifié cette problématique, qui ne fait que rejoindre les inquiétudes bien identifiées par les parlementaires dans leur rapport d’analyse du Projet annuel de performance pour 2012 du programme 302 « Facilitation et sécurisation des échanges » ?

Comment, dans cette optique, maintenir la crédibilité de notre action ?

Les élus de l’USD-FO en CTR DGDDI

4/ – RAPPORT ANNUEL DE PERFORMANCE (RAP) 2010

Chaque OS a été destinataire de la plaquette officielle.

FICHE N° VI – QUESTIONS DIVERSES

Plusieurs questions diverses ont été posées.


L’USD-FO est en particulier intervenue sur :

- La question du poids croissant des RCIC dans les services qui pose des questions d’organisation et d’articulation de ces contrôles avec les autres contrôles existants (tels que les contrôles d’exécution des services). L’USD-FO estime que la place prise par les RCIC, notamment dans les RR (où un agent de catégorie A est désormais exclusivement affecté à cette mission), est disproportionnée.

" L’administration s’est « abritée » derrière le traditionnel argument de l’obligation de certification des comptes de l’Etat dans le cadre de la LOLF et estimé que, progressivement, les services intégraient les pratiques préconisées par les RCIC dans leur organisation et leurs méthodes de travail. Par ailleurs, elle espère que, à terme, les contrôles externes (tels que ceux de la Cour des Comptes) seront allégés en retour.

" Position de l’USD-FO : l’USD-FO ne partage pas cet optimisme et continuera d’appeler l’attention de l’administration sur certaines « dérives » produites par l’introduction et le développement continu de ces référentiels.

• L’absence de nouveaux ratios « pro/pro » (promus/promouvables) alors que l’arrêté triennal prend fin cette année.

L’administration a reconnu que la question se posait mais que la position des ministres n’était pas arrêtée. En toute hypothèse, cela ne fera pas obstacle à la poursuite temporaire du dispositif qui sera régularisé (le nombre de promotions sera ajusté aux nouveaux ratios tels qu’ils devraient être fixés début 2012).

• Information sur la jauge

Enfin, l’administration a confirmé le transfert aux Affaires maritimes d’ici fin 2012 de l’activité jauge de la douane. Elle assuré que les personnels concernés ne seraient évidemment pas tenus de rejoindre cette administration et que chacun des agents serait reçu par sa hiérarchie locale afin de recueillir ses souhaits.

" Position de l’USD-FO : l’USD-FO ne peut que prendre acte de cette décision sur la légitimité technique de laquelle il est néanmoins permis de s’interroger ; la perte d’une compétence reconnue constituant toujours une forme d’échec. Surtout, l’USD-FO s’interroge sur le devenir de personnels souvent très attachés à leur qualification et souhaite que l’administration tienne compte du profil de ces agents afin que leur soit offerte une possibilité de reclassement adaptée.

L’USD-FO invite tous les personnels concernés à se rapprocher des représentants locaux de l’Union (SND/SNCD-FO) afin de faire remonter leurs difficultés pour que l’Union soit en mesure d’intervenir au bon moment et au bon niveau pour défendre leurs intérêts.

CONCLUSION SOMMAIRE

LES POINTS POSITIFS

• des avancées statutaires, parfois insuffisantes, notamment par comparaison avec la DGFIP, mais qui amorcent une évolution à laquelle l’USD-FO est la seule à avoir participé ;

• une pérennisation des examens professionnels (C en B / B en A) qui, tout en assouplissant les conditions d’accès, maintient les différentes possibilités d’accès au grade supérieur auxquelles l’USD-FO demeure très attachée.

LES POINTS NEGATIFS

• un refus de l’administration d’établir un bilan critique et réaliste des effets de la RGPP sur de nombreux services, malgré de nombreux rapports et prises de position convergents ;

• une difficulté, voire une incapacité, de l’administration à fixer un cap précis à ses personnels et à clarifier sa politique dans divers domaines (« ressources humaines », évolution des structures comme des missions, etc.).

PROCHAIN CTR : 5 janvier 2012 (nouvelles délibérations sur les points ayant été rejetés par les organisations syndicales lors du du CTR du 12 décembre).


ANNEXEDéclaration Liminaire CT-R du 12 décembre 2011

Monsieur le Président,

A l’occasion de cette première réunion du Comité Technique de Réseau, je ne puis m’empêcher d’exprimer les regrets de Force Ouvrière s’agissant de la disparition du caractère paritaire de cette instance majeure du dialogue social, naguère connue de tous sous le sigle de CTPC. Fondement de la «démocratie administrative», le paritarisme avait acquis ses lettres de noblesse durant la seconde moitié du XXème siècle en associant les représentants des organisations syndicales à la gestion des intérêts collectifs et individuels du personnel. Aujourd’hui, la loi du 5 juillet 2010 en a désormais circonscrit la portée au niveau des seules CAP.

L’histoire dira si ce choix, que nous estimons a priori réducteur des droits du personnel, affectera réellement la qualité d’un dialogue social dont le champ est élargi, s’agissant de la compétence du CT-R, à de nouveaux thèmes.

A cet égard, force est de constater que les motifs qui vous ont conduit à retirer de l’ordre du jour l’examen du règlement intérieur du CT-R attestent de la réalité des difficultés à établir, en l’état actuel du dossier relatif aux droits syndicaux, un cadre acceptable à l’établissement de ce dialogue que les organisations syndicales réformistes, comme l’USD-FO, appellent de leurs vœux.

L’on ne peut en effet prétendre simultanément améliorer le contenu des relations sociales en modifiant de fond en comble les règles de la représentativité et solliciter la participation des organisations syndicales à un nombre de plus en plus « conséquent » d’instances formelles ou informelles de concertation tout en leur refusant, parallèlement, les moyens humains et matériels leur permettant de remplir effectivement leur mission. La réduction des droits syndicaux qui résulterait de l’application du projet de décret


en cours d’élaboration au Ministère de la Fonction Publique ravalerait la liberté syndicale dans l’administration au rang de pure hypocrisie !

En tout état de cause et pour revenir à la question du retrait de l’ordre du jour du point relatif au règlement intérieur, ne vous paraît-il pas quelque peu hasardeux, sur le plan juridique, de réunir l’instance au sein de laquelle nous siégeons sans que sa première délibération soit dédiée, comme il est de tradition lorsqu’un nouvel organe se met en place, à l’approbation de la «charte» qui régit son organisation et son fonctionnement ?

S’agissant des points de cet ordre du jour qui donneront lieu à vote des syndicats représentés au sein de cette instance, je vous dirai «tout de go» que nous avons compté autant de sujets de satisfaction que de profonde préoccupation. En effet, si les points 2 et 6, d’ordre statutaire, à l’aboutissement desquels l’USD-FO a largement contribué, représentent potentiellement des avancées pour les personnels concernés, tel n’est en revanche pas le cas des deux points suivants, fruits empoisonnés d’une RGPP létale pour le service public douanier.

A cet égard, le PAE et les Effectifs de Référence qui nous sont présentés pour 2012, première année d’exécution du 3ème CPP, augurent de bien sombres perspectives pour l’avenir de notre administration et de ses agents.

Ainsi, envisagez-vous de poursuivre, l’année prochaine, ce que d’aucuns appellent pudiquement la réduction du format de la douane, c’est-à-dire, en clair, la saignée de nos effectifs ? Ainsi, aux dizaines de fermetures de services annoncées répondront encore des centaines de suppressions d’emplois ! D’où la question que nous vous posons invariablement : à partir de quel niveau d’effectifs estimez-vous que la bonne exécution de nos missions sera compromise ? Vous n’êtes pas sans savoir que, d’ores et déjà, les services arbitrent, faute de moyens humains, entre les priorités et que les missions n’entrant pas directement dans le champ des indicateurs de performance sont, la plupart du temps, purement et simplement laissées en friche.

Quoi que vous puissiez en penser, l’amélioration des méthodes de travail pour


incontestable qu’elle soit, ne sera jamais à même de compenser une déflation aussi massive de nos effectifs et conduite sur une période aussi courte. De même, les nouvelles technologies ne remplaceront jamais la nécessaire présence des agents sur le terrain. A cet égard, le maillage du territoire par nos services, outre qu’il ne répond désormais plus aux critères de proximité qui, naguère encore, le caractérisait, pourrait bien remettre en cause, si cette évolution se poursuit, nos résultats en matière de lutte contre la fraude.

J’ajoute, qu’à périmètre de missions inchangé, l’application aveugle du dogme du non remplacement de près de 2 départs en retraite sur 3 se traduit dans nos services par une dégradation sans précédent des conditions de travail. Oui, Monsieur le Président, la souffrance au travail gagne du terrain dans l’administration que vous dirigez et lors de nos tournées de postes, nous rencontrons des agents qui, en nombre toujours plus grand, se plaignent de stress, de troubles du sommeil et autres conséquences psycho-physiologiques négatives de la politique productiviste infligée aux personnels de toutes catégories. J’appelle à ce sujet solennellement votre attention sur ce point qui mérite tout à la fois des réponses immédiates pour les situations les plus urgentes mais aussi une analyse des évolutions dans la durée. En effet, le travail, en dépit de son étymologie (tripalium : instrument de torture), ne doit pas devenir synonyme d’un «marche ou crève» généralisé. Il doit conserver un contenu positif d’épanouissement personnel. Or, tel n’est plus le cas aujourd’hui dans nos services. La pression est trop forte car l’on demande, dans certains cas, à un agent, au fil des départs en retraite non remplacés, d’assumer une tâche précédemment dévolue à une équipe de 2 voire 3 personnes. Pareille situation, Monsieur le Président, n’est pas tenable et vous vous devez de la prendre en compte en apportant des réponses adaptées à ce phénomène, en extension continue, de souffrance au travail.

Les restructurations en cascade qui affectent, depuis plusieurs années, notre administration avec leurs «charrettes» de suppressions d’emplois nous font penser à l’image de ce parachutiste qui finit par s’écraser au sol pour avoir trop tardé à ouvrir son parachute.


Nous ne voulons pas que la douane soit dans une situation similaire qui consisterait, à défaut d’avoir su arrêter à temps l’hémorragie des effectifs, à amputer cet outil de ses capacités opérationnelles au service de l’intérêt général, ce qui pourrait alors conduire certains à poser la question de son devenir…

C’est cette même politique de réduction des moyens qui est à l’œuvre dans votre projet de reconfiguration du réseau ordonnateur de l’EPA MASSE, réseau qui avait pourtant été sensiblement resserré en 2005. La mise en œuvre de cette seconde réorganisation aboutira à la création de 16 CRM dont les zones de couverture géographique seront immenses, éloignant davantage encore les services des locataires, toujours dans l’unique but de restituer des emplois au budget.

Cette politique de destruction systématique de l’emploi public, dont l’impact positif sur les finances publiques n’est pas à la hauteur des prévisions comme le souligne la Cour des Comptes, fait d’ailleurs l’objet de critiques croissantes, émanant aussi bien des rapporteurs de la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire de l’Assemblée nationale que de la plupart des experts de tous bords. L’ensemble des autorités politique, économique et sociale estiment que si les emplois supprimés, notamment aux finances, avaient été redéployés dans le domaine de la lutte contre les fraudes fiscale et sociale, le bilan économique global eût été plus favorable que l’économie résultant de leur simple suppression. En revanche, ce qui est sûr, c’est qu’une telle politique désorganise nos services publics, ciment de la cohésion nationale et de notre modèle social. Vous semblez, Monsieur le Président, désormais bien seul dans le pilotage de votre politique radicale.

Je précise enfin, qu’en ce qui concerne les mesures techniques mentionnées à l’ordre du jour, la délégation de l’USD-FO exprimera son point de vue au fur et à mesure des débats se rapportant à chacun des sujets considérés.

Je vous remercie de votre attention.


SNCD INFO

BULLETIN D’INFORMATIONDES ADHERENTS

Prix du numéro : 0,30 Euro

N° 2011/12 bis – 7 juin 2011

AFFECTATION ET MUTATION DES INSPECTEURS DES REGLES A GEOMETRIE VARIABLE

SOMMAIRE - Inspecteur des douanes : un seul grade mais de modalités de gestion différentes 3 pages

L’ESSENTIEL DU BI

• Le SNCD-FO défend la primauté du tableau annuel de mutation

• Postes offerts aux collègues promus inspecteurs : le SNCD-FO défend l’équité entre les inspecteurs stagiaires et aux lauréats de la liste d’aptitude

• Le SNCD-FO se félicite de la diversité des fonctions offertes aux inspecteurs (tant pour ceux issus du concours que pour les promus suite à la LA).

• Une inflation sans précédent de postes soumis à agrément de l’administration !

ACTIONS DU SNCD

> La Voix des Cadres des Douanes N°146 43

Pour le SNCD-FO, la publication, à quelques jours d’intervalles, de la liste des postes proposés aux collègues prochainement promus par liste d’aptitude (LA) au grade d’inspecteur et des postes offerts aux inspecteurs stagiaires (IS), appelle les commentaires suivants.

UN RAPPEL : LA PRIMAUTé DU TABLEAU ANNUEL DE MUTATION

Les agents titulaires de leur grade et inscrits au tableau annuel de mutation sont prioritaires afin de pourvoir les vacances d’emploi.

A l’issu du 1er tour de mutation l’administration établit la liste des postes qui restent à pourvoir.

Ces listes sont établies en fonctions des vacances qui demeurent ou sont apparues après le 1er tour, pour lesquelles les directeurs demandent que le poste soit pourvu.

L’administration dispose, en effet, toujours du droit de ne pas combler une vacance d’emploi et de prononcer les mutations en fonction des seules nécessité de service.

Une résidence pour laquelle des inspecteurs titulaires de leur grade sont toujours inscrits au tableau ne peut être proposée aux IE ou aux LA, sauf si la DG a l’assurance que les agents qui demeurent inscrits seront mutés lors du second tour (cas cette année de Rouen, de Roissy nuit, du Havre …).

A contrario, le tableau de mutation est donc vide pour toutes les autres résidences proposées.

VARIéTé DE RéSIDENCES PROPOSéES AUX LAURéATS DE LA LISTE D’APTITUDEET AUX INSPECTEURS STAGIAIRES

Une fois la liste de postes à pourvoir établie, il est décidé de proposer ces postes soit aux inspecteurs-élèves, soit aux lauréats de la liste d’aptitude.

Le choix de répartition est basé sur des raisons simplement ou principalement liées au calendrier (la publication de postes a lieu en avril pour les LA, en mai pour les IE).

Pour autant, pour le SNCD-FO, nos collègues inspecteurs stagiaires doivent se voir offrir une variété de résidences au moins égale à celle proposées aux lauréats de la liste d’aptitude.

En 2011, concernant la répartition géographique, 42 % des postes offerts à la LA de B en A sont situés à Paris et en région parisienne, contre 75 % pour ceux offerts aux inspecteurs stagiaires.

Or nos collègues lauréats du concours se voient, en effet, imposer des contraintes de mutation supplémentaires après leur sortie d’école :

• un an de scolarité à Tourcoing ;

• interdiction de s’inscrire immédiatement au tableau de mutation, sauf cas de rapprochement de conjoint ;

• un nombre de points particulièrement faible compte-tenu de leur échelon dans le grade.

Un effort doit donc être fait pour favoriser une 1ère affectation la plus conforme possible à leurs aspirations personnelles.


Variété des fonctions offertes aux lauréats de la liste d’aptitude et aux inspecteurs élèves

Le SNCD-FO se félicite que la variété des fonctions proposées soit sans cesse croissante.

Ceci illustre le travail effectué par le SNCD-FO pour développer l’accès des inspecteurs à de nouvelles fonctions.

Ces dernières années, sous l’influence du SNCD-FO, des métiers souvent réservés à des inspecteurs se sont développés : ODJ, auditeurs, superviseurs, etc.

A titre d’illustration en 2011, les inspecteurs stagiaires peuvent devenir rédacteur, enquêteur, ODJ, officier naval...

LE DéVELOPPEMENT DES POSTES à PROFIL

Si cette notion est pour le moment en veille s’agissant des mouvement prononcés par l’intermédiaire du tableau de mutation, elle explose s’agissant des postes proposés aux LA ou aux inspecteurs stagiaires :

• Inspecteurs-élèves : un amphi blanc à 22 (pour 124 agents)!

Dans ces conditions, les débats concernant l’opportunité de tenir l’amphi blanc au lieu d’attribuer les postes au classement peuvent paraître un peu obsolètes...

82% des postes proposés aux inspecteurs stagiaires en 2011 sont donc soumis à l’agrément de l’administration !

Dès lors comment imaginer des carrières offrant les mêmes opportunités?

Ce constat renforce le sentiment d’une douane à deux vitesses.

De surcroît, avec une telle proportion de postes à profil il paraît difficile d’imaginer que l’administration trouve parmi chaque promotion un candidat correspondant à chaque profil.

En ce qui concerne l’attribution de ces postes, les inspecteurs stagiaires font, une nouvelle fois, l’objet d’un traitement « particulier » puisque des entretiens sont systématiquement menés pour déterminer l’inspecteur stagiaire qui sera choisi pour chaque poste soumis à l’agrément de l’administration, ce qui n’est pas le cas pour les collègues promus par liste d’aptitude sur un poste soumis à agrément (examen sur simple dossier).

• LA B en A : 50% des résidences soumis à l’agrément de l’administration ou la détention d’une qualification

Pour la LA de B en A, ce phénomène est également de moins en moins marginal puisque ces postes représentent désormais 1/2 des résidences proposées (contre 1/3 en 2010).

Si cela peut constituer un moyen légitime de favoriser certaines filières professionnelles (ODJ, informaticiens…), cette pratique ne doit pas aboutir à « réserver » un emploi pour un candidat qui serait le seul à répondre aux critères précis énumérés dans la fiche de poste ou à accélérer de manière inconsidérée le déroulement de carrière de certains agents au détriment de leurs collègues.

DEMAIN, LE PROFIL DéTERMINERA-T-IL LE RECRUTEMENT (IS) OU LA PROMOTION (B EN A)?


SNCD INFO



N° 2011/15 – 12 juillet 2011

CAPC TA IP1-IP2

SOMMAIRE - CAPC DU 21 JUIN 2011 - TA IP1-IP2 : analyse et commentaires 3 pages

L’ESSENTIEL DU BI

• Une diminution du nombre de candidatures.

• Un manque de « vocations » aux origines diverses mais qui s’explique notamment par le poids des responsabilités qui incombent aux chefs de service et le peu de reconnaissance de la part de l’administration.

• Une conception contestable de la notion de postes à profil.

• Une revendication forte du SNCD-FO afin d’améliorer les fins de carrière longue.


La CAPC était présidée par Mme ORANGE LOUBOUTIN, chef de la sous-direction A, entourée de Christian BOUCARD, chef du bureau A/2 et de ses collaborateurs.

Le SNCD-FO était représenté par Alain LEFEBVRE, Jean-Philippe SANCEY, Laurence DEBLAERE LE FLAMAND, Hubert FISCHER, François ALBINI, Josiane JACOB, Eric BERDAL, Nicolas TREMOLLET, Sébastien RUAULT et Marie-Christine BRUN

L’ordre du jour de la réunion de la CAPC était consacré à la constitution du tableau d’avancement au grade d’inspecteur principal au choix.

DONNEES STATISTIQUES

Les candidatures :

10 postes étaient offerts par enquête pour le tableau d’avancement au grade d’IP2/IP1.

58 collègues ont fait acte de candidatures dont :

• 36 IR2 (pour mémoire chiffre 2010 : 56),

• 16 IR3,

• et 6 inspecteurs (11è et 12è échelons).

Le nombre de candidatures a baissé par rapport à la même enquête diffusée pour le TA de juin 2010 (par lequel 80 candidatures avaient été validées).

Pourquoi une telle désaffection alors que les postes offerts étaient géographiquement répartis et qu’ils étaient diversifiés par les fonctions proposées (chef divisionnaire, adjoint à chef divisionnaire, chef de PAE, postes à responsabilité dans des services à compétence nationale, direction générale et Paris spécial ) ?

Les raisons sont certainement diverses :

• Un nombre de postes offerts réduit : 10. Le nombre offert pour le TA du mois de juin 2010 était de 23.

En fin d’année 2011, une seconde enquête devrait être diffusée pour examen lors d’une CAPC en novembre /décembre.

• Les difficultés récurrentes rencontrées par les collègues exerçant des responsabilités, quel que soit le type de service. Le chef de service est confronté à l’isolement mais c’est surtout le stress et la pression, le manque de repères, l’absence de lisibilité sur les missions exercées et aussi le sentiment d’abandon administratif qui peuvent devenir pesants et démoralisants.

• L’absence de toute reconnaissance de la part de l’Administration et de toute contrepartie à la prise de responsabilités.

• La dégradation des relations professionnelles et la remise en cause des décisions de gestion et de management accompagnées d’attaques ou dénigrements visant la personne et non plus l’encadrant.

• Dans un tel contexte, pourquoi postuler pour un poste exposé ?


LA PROMOTION 2011

11 collègues ont été promus, issus soit du grade d’IR2 (10) soit du grade d’inspecteur (1).

Par ailleurs, un collègue issu d’une autre administration et intégré au grade d’IP2 a été promu IP1.

L’administration a promu deux collègues à PARIS SPéCIAL estimant que les besoins sont importants ; de nombreux postes d’encadrants étant vacants.

L’amplitude d’âge est de 50 ans 5 mois et 54 ans 5 mois.

COMMENTAIRES DU SNCD-FO

Le processus de rajeunissement de la promotion IP au choix, engagé en 2010, s’est poursuivi pour 2011.

La réforme statutaire du deuxième niveau conduite en 2007 a modifié le déroulement de la carrière longue ; l’accès au cadre supérieur intervenant plus tôt dans la carrière grâce à l’expertise (promotion non accompagnée de la mobilité géographique et fonctionnelle).

Cette avancée statutaire ne doit pas avoir pour conséquence de « raboter » le déroulement de carrière et les perspectives d’évolution professionnelle.

L’effet des réformes des retraites (2003 et 2010) « impacte » d’ores et déjà la fin de l’activité professionnelle. D’ailleurs, il est déjà mesurable.

En 2008, l’âge moyen de cessation d’activité pour le grade d’IP1 était de 60 ans et 7 mois. Pour 2010, cet âge moyen a été porté à 61 ans et 10 mois (soit un « gain » de 15 mois en trois ans ).

Le SNCD-FO s’est opposé à l’administration sur la conception du poste à profil.

La fiche de poste doit décrire les taches et la responsabilité de l’emploi à pourvoir. Elle ne doit pas être rédigée en fonction du parcours de l’agent pressenti pour être nommé sur ce poste.

Le SNCD-FO n’accepte pas que des collègues soient écartés alors que leurs qualités professionnelles et leur capacité d’adaptation sont soulignées par les différents évaluateurs et notateurs.

POSITION DU SNCD-FO

Le SNCD-FO demande :

- d’une part, que la liste des postes à profil soit dressée pour assurer la transparence des offres de postes,

- d’autre part, que les fiches de poste soient rédigées en concertation avec les représentants du personnel en CAPC.

Le SNCD a maintes fois souligné auprès de l’administration la dégradation des conditions d’exercice des fonctions d’encadrant de terrain et de proximité ; il revendique la revalorisation indiciaire de l’indice terminal de la carrière dite longue (indice brut 966) et la valorisation de l’indemnité de responsabilité.


SNCD INFO



N° 2011/20 bis – 12 octobre 2011

CAPC MUTATIONS IR2-IR3 ET TA D’IR2

SOMMAIRE Résultats de la CAPC n°3 du 5 octobre 2011 2 pages

L’ESSENTIEL DU BI

• 19 postes d’IR2-IR3 pourvus sur les 34 offerts par enquête.

• 125 IR3 promus IR2 pour le tableau d’avancement 2011.

La CAPC n°3 (IR2-IR3) a siégé le mercredi 6 octobre 2011 sous la présidence de Mme Mylène ORANGE – LOUBOUTIN, sous-directrice, assistée de M. Christian BOUCARD, chef du bureau A/2 et de leurs collaborateurs.

François ALBINI, Philippe MATHIEU, Annette PROVOST, Jean-François REAL, Jean-Philippe SANCEY et Jean-Pierre SEBAG représentaient le SNCD-FO.


1/ POSTES OFFERTS PAR ENQUETE A DES IR2-IR3

Sur 34 postes offerts par enquête, 19 ont été pourvus, dont 5 par des IR2 et 14 par des IR3.

La plupart des postes non pourvus devraient être proposés au prochain tableau d’avancement d’IR3. En cette année électorale, comme au premier semestre, il n’y a qu’un seul tour de CAPC mutations IR2-IR3 au second semestre (au lieu de 2 habituellement).

Les règles de gestion imposent à un IR2-IR3 au minimum deux ans d’ancienneté sur le dernier poste occupé pour pouvoir poser sa candidature à un poste offert en enquête. De nombreux postes n’ont pas pu être pourvus lors de cette CAPC, les candidatures examinées ne remplissant pas cette condition des 2 ans (24 mois).

Les élus du SNCD-FO peuvent se battre pour obtenir une mutation si ce délai atteint 21 à 23 mois, ou s’il existe des circonstances particulières liées à une situation personnelle grave.

2/ LE TABLEAU D’AVANCEMENT D’IR2 DE 2011

Il n’y a qu’un seul tableau d’avancement au grade d’IR2 par an, contre deux TA d’IR3 (tableau + tableau complémentaire). La CAPC était donc amenée à examiner l’ensemble des candidatures au titre de l’année 2011.

125 postes étaient offerts aux IR3, soit 20 de plus qu’en 2010.

Grâce à l’action du SNCD-FO, le ratio pro/pro (promus - promouvables) a augmenté et entraîné une hausse du nombre total de promotions.

En outre, le pourcentage de promus continue d’évoluer mécaniquement en faveur de la filière « experts ». De moins en moins de collègues issus des concours choisissent la filière « chef de service » pour accéder au grade d’IR3, quand bien même elle reste la plus rapide pour accéder ultérieurement au grade d’IR2 (environ deux fois plus de temps pour un expert).

Pour l’année 2011, 65% des promus ont été des experts avec un bon dossier, soit 82 sur 125.

Quelques agents remplissant les conditions n’ont pas été retenus, en raison des réserves émises par les DI -DR.

Le SNCD-FO est intervenu en séance pour défendre les dossiers qui méritaient une analyse plus positive et en demandant que la promotion ne soit pas définitivement retardée.

Des interventions analogues sur les années 2009 et 2010 ont permis en 2011 la promotion de collègues dont le nom avait été écarté sur des années antérieures.


SNCD INFO



N° 2011/20 –11 octobre 2011

CAPC MUTATIONS CATEGORIE A

SOMMAIRE Résultats des CAPC n° 3 et 4 du 6 octobre 2011 consacrées au tableau annuel des mutations des IR2-IR3-Inspecteurs. 3 pages

L’ESSENTIEL DU BI

• 90 mouvements prononcés lors de ce second tour de mutation.

• Mise en place toujours progressive de la réforme hiérarchique de la surveillance.

• Inspecteurs mécanicien interrégional (IMI) : des fonctions en voie d’extinction en douane.

Les CAPC n°3 (IR2-IR3) et 4 (Inspecteurs) ont siégé conjointement le jeudi 6 octobre 2011 sous la présidence de M. Christian BOUCARD, chef du bureau A/2, assisté de ses collaborateurs.

Philippe MATHIEU, Jean-Philippe SANCEY, Xavier JOANNE et Romain FROELIGER, pour la CAPC 3, Marie-Christine BRUN, Sébastien RUAULT et Nicolas TREMOLLET, pour la CAPC 4, représentaient le SNCD-FO.

Autres syndicats représentés : Solidaires (2 sièges), CFDT (1siège), CGT (1 siège).

1/ NOMBRE DE MOUVEMENTS LORS DU 2èME TOUR

90 mouvements ont été prononcés lors de ce second tour de mutations de 2011, ce qui reste dans la moyenne des années précédentes.


2/ REFORME DE LA CHAINE HIERARCHIQUE DE LA SURVEILLANCE : UNE MISE EN ŒUVRE TOUJOURS TRES PROGRESSIVE

Dans le cadre de l’évolution de la chaîne hiérarchique de la surveillance, 17 résidences ont été ouvertes aux catégories A SU par la note DG A/2 du 31/12/2010, soit postérieurement à la période d’inscription au tableau annuel des mutations 2011.

Les agents ont donc été invités à s’inscrire par voie d’enquête.

Pour rappel, les affectations d’agents de catégorie A ne sont réalisées qu’après le départ du chef d’unité actuellement en place.

Les affectations continuent d’être prononcées au fil de l’eau.

Afin d’améliorer l’informations de nos collègues candidats, le SNCD-FO avait demandé en début d’année que les listes des agents candidats soient mis en ligne, à l’instar du tableau de mutation.

L’administration a refusé, considérant qu’une telle publication n’apporterait aucun élément nouveau pour nos collègues.

Dans l’attente des autres mouvements le SNCD-FO indique aux collègues concernés :

• qu’ils peuvent d’ores et déjà demander (VH) copie de l’avis hiérarchique formulé sur leur candidature ;

• qu’ils peuvent contacter les représentants du SNCD-FO afin de connaître leur rang de classement.

Une position de l’administration à géométrie variable :

A noter que pour certains collègues, sans raison valable selon notre analyse, l’administration se fige dans une position restrictive pour l’accès aux fonctions SU, alors que dans le même temps elle change d’avis en cours d’année pour le même tableau des mutations, sans que cette évolution ne permette de répondre à des besoins avérés.

3/ LA DISPARITION DES IMI … OU QUAND LA DIRECTION GENERALE NE VEUT PLUS DE SPECIALISTES

Un poste d’IMI était à pourvoir lors de cette CAPC.

Une première surprise figurait dans la note d’enquête puisque ce poste n’est plus considéré comme un poste de spécialiste bénéficiant du régime SURV mais banalisé et présenté comme un poste de rédacteur amélioré, et donc sous statut AG.

Interrogé par le SNCD-FO, les représentants de l’administration ont mis l’accent sur les aspects administratifs liés au poste (entretien et gestion du parc) au détriment des tâches techniques (expertises pannes, accidents...).

La direction générale a précisé qu’il ne restait plus que 6 IMI en douane et que, dans la plupart des DI, ces tâches étaient actuellement traitées efficacement par un rédacteur au PLI en liaison avec le STA.

Incohérente, l’administration n’est, pour autant, pas allée au bout de sa nouvelle philosophie puisque ce n’est pas le candidat le plus ancien qui a été retenu mais un collègue avec un bagage technique supposé plus conséquent...


4/ DNRFP … OU LE DEVOIEMENT DES POSTES A PROFIL D’ENSEIGNANT

Le SNCD-FO a regretté le peu de mouvements intervenus sur la DNRFP et le dévoiement des postes à profil que constituent les postes d’enseignants.

En effet, les postes d’enseignants sont parfois utilisés pour recruter sur profil des collègues en s’affranchissant des règles générales encadrant le tableau annuel de mutation.

Or, à peine arrivés dans le service, certains collègues sont, en réalité, affectés sur des postes administratifs, donc non discrétionnaires.

D’une part, l’équipe d’enseignants est pénalisée puisque des vacances ne sont pas comblées.

D’autre part, les collègues inscrits sur des postes administratifs de la DNRFP le sont également, n’étant pas mutés, puisque le poste est finalement occupé par des collègues qui ont été recrutés pour une autre tâche, et parfois avec moins de points !

5/ DNRED : PEUT MIEUX FAIRE

Alors qu’un poste supplémentaire a été créé en milieu d’année dans un échelon DOD, nous regrettons qu’une enquête spécifique n’ait pas été ouverte ce qui aurait permis à l’ensemble des agents intéressés de poser leur candidature. afin que l’ensemble des agents intéressés ait pu ainsi poser candidature.

6/ SRA : LA PEAU DE CHAGRIN ?

A l’occasion de cette CAPC, nous avons constaté que dans certaines directions (au cas particulier la DR de Perpignan), les effectifs de référence des SRA sont déjà revus à la baisse, quelques années à peine après la création du service.

7/ LE CHANGEMENT D’ATTRIBUTIONS AU SEIN D’UN SERVICE CONSTITUE-T-IL UN NOUVEAU MOTIF D’INSCRIPTION HORS PERIODE ?

La direction générale a semblé élargir les motifs justifiant une inscription hors période au tableau annuel de mutation.

La demande d’une collègue IR3 à la direction générale a été acceptée au seul motif de l’évolution de ses fonctions dans le service, alors même que son emploi n’était pas supprimé et le service pas officiellement restructuré ...

Le SNCD-FO se félicite de cet esprit d’ouverture de la direction générale encore inédit et espère bien que la même règle sera appliquée pour l’avenir à tous les agents dans une situation identique, ce qui est relativement fréquent lorsque des services sont réorganisés.

Nous invitons donc nos collègues dans cette situation qui ne seront pas inscrits au tableau 2012 à ne pas se censurer et à déposer leur demande hors période.

8/ IR2-IR3 AFFECTES SUR DES POSTES DE CHEF DE SERVICE LORS DE LA CAPC AYANT EU LIEU LA VEILLE DE CELLE CONSACREE AU TAM

La CAPC consacrée aux mouvements des IR2/IR3 sur des postes de chefs de service avait lieu la veille de celle dédiée à l’examen du tableau annuel de mutation.

Certains collègues inscrits au tableau tout en étant candidats sur un poste de chef de service ont donc pu être retenus deux fois.

L’administration a précisé qu’ils seraient contactés au cas par cas afin de connaître leur préférence entre le poste de chef de service obtenu ou la mutation réalisée dans le cadre du tableau.


SNCD INFO



N° 2011/21 du 22 novembre 2011

CAPC MUTATIONS IR2-IR3 ET TA D’IR2

SOMMAIRE Compte rendu de la CAPC n° 4 du 17 novembre 2011 : recours entretien professionnel et cadencement des inspecteurs – analyse et commentaires. 4 pages

La CAPC en quelques chiffres • Près de 60 % des inspecteurs ont obtenu au moins 1 mois de réduction lors de la dernière campagne de notation

• 24 recours étaient présentés lors de cette CAPC

• 7 recours émanaient de collègues ayant déjà obtenu un mois de réduction (30%)

• 12 collègues ont pu obtenir une réduction d’avancement

• (50% des recours examinés – taux exceptionnel compte tenu d’un volume de mois en réserve important)

La CAPC n°4 a siégé le jeudi 17 novembre sous la présidence de M. Christian BOUCARD, chef du bureau A2, assisté de ses collaborateurs.

Sébastien RUAULT, Christophe THUAUD et Nicolas TREMOLLET représentaient l’USD-FO.


Cette CAPC était la première consacrée à l’examen des recours 2011, portant sur la manière de servir en 2010. Compte tenu des élections professionnelles, un nombre non négligeable de recours n’a ps encore été transmis par les directions interrégionales à la direction générale.

Il y aura donc d’autres CAPC de recours qui permettront d’allouer les mois qui n’ont pas encore été attribués. A noter, que ce retard est sans conséquence sur l’examen de ces recours en CAPC, compte tenu des mois en réserve détenus par la DG.

BILAN DE LA CAMPAGNE DE NOTATION 2010

Insp notésEchelon

utileMois à

distribuer*3 mois 2 mois 1 mois

Mention d'alerte

Majoration

2032 2001 1769188

(9,3%)186

(9,2%)814

(40,6%)3 2

* mois à distribuer = Le nombre de mois de réduction d’ancienneté à distribuer est déterminé selon les règles fixées par l’art 7 du décret 2007-1365, soit 90 mois à distribuer pour un effectif de 100 agents ayant bénéficié d’un entretien professionnel.

Près de 60% des inspecteurs ont pu obtenir une réduction d’avancement lors de cette campagne de notation.

Les pratiques des différentes directions sont relativement harmonieuses.

Pour rappel, l’unique seuil qui persiste dans le nouveau système est un minimum de 10 % des agents hors échelons terminaux qui doivent bénéficier de 3 mois de réduction.

Cela permet de pouvoir récompenser potentiellement jusqu’à 70% des agents.

EXAMEN DES RECOURS

• 24 recours étaient à examiner

• 1 seul portait sur les appréciations phraséologiques

• 7 émanaient de collègues ayant déjà obtenu un mois de réduction, soit près de 30% des recours examinés.

• 12 collègues ont pu obtenir un mois de réduction.

• Concernant les recours émanant des agents ayant déjà obtenu 1 mois de réduction :

Le système de notation actuel permet – en théorie – de passer de 1 à 2 mois de réduction ou de 2 à 3.

La direction générale est, cependant, relativement réticente face à ces recours, afin de ne pas les encourager.

Le Président de la CAPC a précisé la doctrine de la direction générale s’agissant de l’examen des dossiers de recours, lorsque l’agent a déjà obtenu un mois lors de l’exercice initial de la notation.


Cette CAPC était la première consacrée à l’examen des recours 2011, portant sur la manière de servir en 2010. Compte tenu des élections professionnelles, un nombre non négligeable de recours n’a ps encore été transmis par les directions interrégionales à la direction générale.

Il y aura donc d’autres CAPC de recours qui permettront d’allouer les mois qui n’ont pas encore été attribués. A noter, que ce retard est sans conséquence sur l’examen de ces recours en CAPC, compte tenu des mois en réserve détenus par la DG.

BILAN DE LA CAMPAGNE DE NOTATION 2010

Insp notésEchelon

utileMois à

distribuer*3 mois 2 mois 1 mois

Mention d'alerte

Majoration

2032 2001 1769188

(9,3%)186

(9,2%)814

(40,6%)3 2

* mois à distribuer = Le nombre de mois de réduction d’ancienneté à distribuer est déterminé selon les règles fixées par l’art 7 du décret 2007-1365, soit 90 mois à distribuer pour un effectif de 100 agents ayant bénéficié d’un entretien professionnel.

Près de 60% des inspecteurs ont pu obtenir une réduction d’avancement lors de cette campagne de notation.

Les pratiques des différentes directions sont relativement harmonieuses.

Pour rappel, l’unique seuil qui persiste dans le nouveau système est un minimum de 10 % des agents hors échelons terminaux qui doivent bénéficier de 3 mois de réduction.

Cela permet de pouvoir récompenser potentiellement jusqu’à 70% des agents.

EXAMEN DES RECOURS

• 24 recours étaient à examiner

• 1 seul portait sur les appréciations phraséologiques

• 7 émanaient de collègues ayant déjà obtenu un mois de réduction, soit près de 30% des recours examinés.

• 12 collègues ont pu obtenir un mois de réduction.

• Concernant les recours émanant des agents ayant déjà obtenu 1 mois de réduction :

Le système de notation actuel permet – en théorie – de passer de 1 à 2 mois de réduction ou de 2 à 3.

La direction générale est, cependant, relativement réticente face à ces recours, afin de ne pas les encourager.

Le Président de la CAPC a précisé la doctrine de la direction générale s’agissant de l’examen des dossiers de recours, lorsque l’agent a déjà obtenu un mois lors de l’exercice initial de la notation.

Pour avoir une chance d’aboutir favorablement ceux-ci doivent remplir une double condition :

• avoir un excellent dossier ;

• bénéficier du soutien de l’ensemble de la chaîne hiérarchique.

Si des collègues ont pu bénéficier d’un mois de réduction supplémentaire et passer de -1 à -2, le passage de -2 à -3 paraît plus délicat à obtenir.

Nos collègues qui souhaitent obtenir un 2ème mois ou un 3ème mois – et donc de faire partie des 10% d’agents les plus méritants de l’administration - se doivent d’argumenter particulièrement leurs recours afin d’augmenter leur chance de succès.

• Concernant les recours des inspecteurs au 3ème ou 4éme échelon

Ce phénomène prend de l’ampleur. Auparavant, avec la notion de progressivité de notation dans l’échelon, nos collègues attendaient patiemment d’obtenir une réduction.

Désormais, ils réclament légitimement que leur manière de servir soit immédiatement reconnue.

Le SNCD encourage et soutient ces recours puisque nos collègues ne font que tirer les conséquences de l’évolution du système d’évaluation/notation.

Commentaire général

Le SNCD comprend et soutient les revendications des agents qui ne comptent ni leurs heures ni leur investissement personnel dans un contexte de plus en plus tendu, et estiment mériter des réductions d’avancement.

A titre général, ce phénomène illustre le fait que l’administration ne dispose pas de beaucoup de leviers afin de récompenser comme il se doit l’implication de ses agents.

Il est donc compréhensible que la notation suscite beaucoup d’attente et de déception de la part de nos collègues.

Cas particulier de Wallis et Futuna

Par ailleurs, au cours de cette CAPC, l’examen de dossiers d’inspecteurs régionaux pour Wallis et Futuna a donné lieu à une contestation de procédure de la part d’une autre organisation syndicale.

Le SNCD s’attache aux règles de procédure lorsque leur non-respect peut pénaliser un (ou des) agent(s). En l’occurrence, ce n’était pas le cas.

Cependant, la DG aurait dû informer les élus IR au préalable. Nous demandons que cela soit fait à l’avenir.


LES FéLICITATIONS AMBIGUëS DE LA CFDT

Les agents ayant obtenu un mois de réduction lors de cette CAPC ont reçu un courriel de félicitations de la CFDT soulignant que « la qualité de ton dossier et nos interventions t’ont permis d’obtenir satisfaction dans ta demande de réduction de délais ».

Il est normal que vos élus vous rendent compte de leur mandat.

Ce qui l’est malheureusement moins, c’est que ceux-ci s’attribuent des mérites qui ne leur reviennent pas : au cas particulier, le représentant de la CFDT est resté muet pendant toute la durée de la CAPC !

L’USD-FO ne peut que regretter la malhonnêteté « intellectuelle » de ces pratiques.

On aurait pu espérer que le changement d’élus CFDT (les précédents ayant rejoint l’UNSA en cours de mandat avec le fracas que l’on sait) aurait contribué à assainir ces usages.

Force est de constater que ce n’est malheureusement pas chose facile lorsqu’on a longtemps été à mauvaise école...

NOUVEAUX éLUS-VIEILLES MéTHODES

Au demeurant, cette pratique n’est pas sans rappeler les courriels de « chaleureuses » félicitations envoyés par certains syndicats aux collègues promus après la CAPC du TA IR3, alors que les élus de ces syndicats ont voté contre la promotion de ces collègues! (Cf bulletin d’information n°2011/1 du 7/01/2011).

Les élus de l’USD-FO ont parfois le tort de privilégier le travail de fond (examen minutieux des dossiers, des procès-verbaux de CAP, des avis hiérarchiques émis, interventions en séances...) par rapport à la communication externe post-CAP.

Les inspecteurs ne se sont pas laissés abuser par ces méthodes fallacieuses puisque suite aux dernières élections, l’USD-FO a conservé deux sièges d’élus sur quatre en CAPC 4 et demeure largement la première organisation parmi les inspecteurs des douanes avec 36,54% des voix et une progression de + 4,5%.

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Une solution : le site internet du SNCD

www.sncd.info/

rubrique : Information périodique – Bulletins d’Information

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REpRéSENTANTSEN CApC 2011 - 2014

CAPC N°4

CAPC N°3

CAPC N°2

CAPC N°1

INSPECTEUR

INSPECTEUR RéGIONAL DE 1èRE CLASSE

INSPECTEUR PRINCIPAL DE 1èRE CLASSE

DIRECTEUR DES SERVICES DOUANIERS DE 1èRE CLASSE

INSPECTEUR PRINCIPAL DE 2èME CLASSE

DIRECTEUR DES SERVICES DOUANIERS DE 2èME CLASSE

INSPECTEUR RéGIONAL DE 2èME CLASSE

INSPECTEUR RéGIONAL DE 3èME CLASSE

Titulaire : ALBINI François SRE de Picardie Tél : 03 22 46 85 09Suppléant: FROELIGER Romain R.R. de Strasbourg Tél : 03 88 21 22 87

Titulaire : SANCEY Jean-Philippe D.R. de Nice Tél : 04 93 13 78 23Suppléant: DEBLAERE LE FLAMAND Laurence D.R. de Provence Tél : 04 32 74 65 83

Titulaires : TREMOLLET Nicolas R.R. du Havre Tél : 02 35 19 53 07 ETCHEVERRY Claire D.N.R.E.D Tél : 01 49 23 36 12Suppléants : RUAULT Sébastien D.R. de Bretagne Tél : 02 23 30 06 31 THUAUD Christophe MAD SNCD Tél : 09 63 43 59 87

Titulaires : BRUN Marie-Christine D.R. de Roissy-Voyageurs Tél : 01 48 62 99 04 MATHIEU Philippe SRE de Paris Tél : 01 40 40 37 76Suppléants : PETIT Françoise D.I. de Nantes Tél : 02 40 44 34 24 TSCHAEN Pascal D.R. de Mulhouse Tél : 03 89 26 05 24

Titulaires : JACOB Josiane D.R. de Bretagne Tél : 02 99 65 31 64 FISCHER Hubert D.R. de Mulhouse Tél : 03 89 66 94 03Suppléants : MENGELLE Catherine D.R. de Bayonne Tél : 05 59 59 68 96 BOMPARD Philippe D.R. du Leman Tél : 04 74 45 96 74

Titulaires : CARIOU Pierre D.R. de Bordeaux Tél : 05 57 81 03 86 LANNEAU Patrick R.R. du Centre Tél : 02 38 52 36 40Suppléants : COPER Luc Direction Générale Tél : 01 57 53 41 42 SAVARY Philippe D.R. de Montpellier Tél : 04 67 20 44 01

Titulaires : GAUTRAUD-FEUILLE Jérôme D.R. de Strasbourg Tél : 03 88 21 22 60Suppléants : VERCRUYSSEN Laurence Direction Générale Tél : 01 57 53 43 87

Titulaires : GOENVEC Gisèle D.R. de Rouen Tél : 02 35 52 36 43Suppléants : PERIGNE Luc D.R. de Bayonne Tél : 05 59 46 68 52


Titulaire : ALBINI François SRE de Picardie Tél : 03 22 46 85 09Suppléant: FROELIGER Romain R.R. de Strasbourg Tél : 03 88 21 22 87

Titulaire : SANCEY Jean-Philippe D.R. de Nice Tél : 04 93 13 78 23Suppléant: DEBLAERE LE FLAMAND Laurence D.R. de Provence Tél : 04 32 74 65 83

Titulaires : TREMOLLET Nicolas R.R. du Havre Tél : 02 35 19 53 07 ETCHEVERRY Claire D.N.R.E.D Tél : 01 49 23 36 12Suppléants : RUAULT Sébastien D.R. de Bretagne Tél : 02 23 30 06 31 THUAUD Christophe MAD SNCD Tél : 09 63 43 59 87

Titulaires : BRUN Marie-Christine D.R. de Roissy-Voyageurs Tél : 01 48 62 99 04 MATHIEU Philippe SRE de Paris Tél : 01 40 40 37 76Suppléants : PETIT Françoise D.I. de Nantes Tél : 02 40 44 34 24 TSCHAEN Pascal D.R. de Mulhouse Tél : 03 89 26 05 24

Titulaires : JACOB Josiane D.R. de Bretagne Tél : 02 99 65 31 64 FISCHER Hubert D.R. de Mulhouse Tél : 03 89 66 94 03Suppléants : MENGELLE Catherine D.R. de Bayonne Tél : 05 59 59 68 96 BOMPARD Philippe D.R. du Leman Tél : 04 74 45 96 74

Titulaires : CARIOU Pierre D.R. de Bordeaux Tél : 05 57 81 03 86 LANNEAU Patrick R.R. du Centre Tél : 02 38 52 36 40Suppléants : COPER Luc Direction Générale Tél : 01 57 53 41 42 SAVARY Philippe D.R. de Montpellier Tél : 04 67 20 44 01

Titulaires : GAUTRAUD-FEUILLE Jérôme D.R. de Strasbourg Tél : 03 88 21 22 60Suppléants : VERCRUYSSEN Laurence Direction Générale Tél : 01 57 53 43 87

Titulaires : GOENVEC Gisèle D.R. de Rouen Tél : 02 35 52 36 43Suppléants : PERIGNE Luc D.R. de Bayonne Tél : 05 59 46 68 52

LES RESpONSABLES INTERREGIONAUX ET REGIONAUX DU S.N.C.D.

DIRECTIONS NOM SERVICE TELEPHONE D.I. ILE DE FRANCE : FOURNIGAULT Emmanuel PARIS DI IDF MATHIEU Philippe SRE 01 40 40 37 76PARIS D.G. FOURNIGAULT Emmanuel MAD SNCD 01 53 17 84 66PARIS EST LETHON Claire Bureau de douane 01 49 39 52 13PARIS OUEST GUIGUI Jean-Marc Direction Régionale 01 39 21 54 76TRACFIN COURTOIS Stéphane TRACFIN 01 57 53 27 41 D.I. LILLE : POLLET Jean-Michel DUNKERQUE DECANTER Patrice Direction Régionale 03 28 29 25 62LILLE DETRAIT Laurence Direction Régionale 03 28 36 36 00PICARDIE POLLET Jean-Michel Direction Régionale 03 22 46 85 31 D.I. METZ : LUNESU Salvatore CHAMPAGNE GOSSELIN Vincent Direction Régionale 03 26 50 54 17LORRAINE LUNESU Salvatore SRE 03 87 66 19 61MULHOUSE TSCHAEN Pascal Division 03 89 26 05 24STRASBOURG FROELIGER Romain Recette Régionale 03 88 21 22 87 D.I. DIJON : SAUVION Christophe BOURGOGNE BUATHIER Fabrice Direction Interrégionale 03 80 58 27 92CENTRE SAUVION Christophe SRE 02 38 52 36 24FRANCHE COMTE SOUJAEFF Frédéric Bureau de douane 03 84 28 65 90 D.I. LYON : JOSSERAND Christian AUVERGNE GREFFET Didier Direction Régionale 04 73 34 79 05CHAMBERY BLANCHARD Corine Direction Régionale 04 79 33 80 71LEMAN FLUTTAZ Jacques SRE 04 50 33 41 50LYON JOSSERAND Christian Direction Régionale 04 72 77 39 42 D.I. MEDITERRANEE : SANCEY Jean-Philippe (Tél: 04 93 13 78 23) CORSE CARLOTTI Emile Bureau de douane 04 95 34 87 61MARSEILLE FELIX Hervé Direction Régionale 04 91 14 14 39NICE ASTEGIANO Gérald Nice aéroport 04 93 21 37 96PROVENCE BARBAS BOUTET Solange Service viticulture 04 42 16 07 41


D.I. MONTPELLIER : SERVET Isabelle MONTPELLIER SERVET Isabelle Direction Régionale 04 67 20 44 13PERPIGNAN NEGRE Anne-Josephe Direction Régionale 04 68 66 29 07 D.I. BORDEAUX : NASARRE Patrick

BAYONNE LEONNEC Didier Direction Régionale 05 59 46 68 56BORDEAUX SOULIGNAC Michel Direction Interrégionale 05 57 14 47 95MIDI-PYRENEES NASARRE Patrick Service viticulture 05 63 57 09 19 D.I. NANTES : RUAULT Sébastien (Tél: 02 23 30 06 45) BRETAGNE BONNAFOUS Philippe Bureau de douane 02 23 30 06 46PAYS DE LOIRE GUIONNET Christine SRE 02 51 84 33 74 POITIERS KRUH Lazare Bureau de douane 05 55 52 03 12 D.I. ROUEN : TREMOLLET Nicolas BASSE NORMANDIE LONGHI Bernard Direction Régionale 02 31 39 46 42LE HAVRE TREMOLLET Nicolas Recette Régionale 02 35 19 53 07ROUEN VIGITELLO James Direction Régionale 02 35 07 84 92 D.I. ANTILLES-GUYANE : GARRIC Jean-Claude GUADELOUPE VANNOBEL Francine C.S.D.S. 05 90 41 10 44GUYANE GOZE Thierry SRE 05 94 25 23 02MARTINIQUE GARRIC Jean Claude Direction Régionale 05 96 70 73 64 CID MARTIN Thierry CID 01 30 75 65 87 D.N.R.E.D. ETCHEVERRY Claire DNRED Paris 01 49 23 36 12 D.N.R.F.P. MICHNIK Alain DNRFP 03 20 94 87 05 D.N.S.C.E. RIEUL Didier D.N.S.C.E. 05 62 11 25 04 LA REUNION CAPRA Joël C.S.D. 02 62 48 82 53 POLYNESIE CASALS Laurent Division 06 89 50 55 64 ROISSY BRUN Marie Christine C.S.D.S. 01 48 62 75 00

REPRESENTANTS AU CONSEIL SUPERIEUR DE L’EPA DE LA MASSE DES DOUANES

TITULAIRE : Jean François REAL – Lille SRE - tél : 03 28 38 41 75SUPPLEANT : Amandine SERRA - Lille DI- tél : 03 28 36 35 31


D.I. MONTPELLIER : SERVET Isabelle MONTPELLIER SERVET Isabelle Direction Régionale 04 67 20 44 13PERPIGNAN NEGRE Anne-Josephe Direction Régionale 04 68 66 29 07 D.I. BORDEAUX : NASARRE Patrick

BAYONNE LEONNEC Didier Direction Régionale 05 59 46 68 56BORDEAUX SOULIGNAC Michel Direction Interrégionale 05 57 14 47 95MIDI-PYRENEES NASARRE Patrick Service viticulture 05 63 57 09 19 D.I. NANTES : RUAULT Sébastien (Tél: 02 23 30 06 45) BRETAGNE BONNAFOUS Philippe Bureau de douane 02 23 30 06 46PAYS DE LOIRE GUIONNET Christine SRE 02 51 84 33 74 POITIERS KRUH Lazare Bureau de douane 05 55 52 03 12 D.I. ROUEN : TREMOLLET Nicolas BASSE NORMANDIE LONGHI Bernard Direction Régionale 02 31 39 46 42LE HAVRE TREMOLLET Nicolas Recette Régionale 02 35 19 53 07ROUEN VIGITELLO James Direction Régionale 02 35 07 84 92 D.I. ANTILLES-GUYANE : GARRIC Jean-Claude GUADELOUPE VANNOBEL Francine C.S.D.S. 05 90 41 10 44GUYANE GOZE Thierry SRE 05 94 25 23 02MARTINIQUE GARRIC Jean Claude Direction Régionale 05 96 70 73 64 CID MARTIN Thierry CID 01 30 75 65 87 D.N.R.E.D. ETCHEVERRY Claire DNRED Paris 01 49 23 36 12 D.N.R.F.P. MICHNIK Alain DNRFP 03 20 94 87 05 D.N.S.C.E. RIEUL Didier D.N.S.C.E. 05 62 11 25 04 LA REUNION CAPRA Joël C.S.D. 02 62 48 82 53 POLYNESIE CASALS Laurent Division 06 89 50 55 64 ROISSY BRUN Marie Christine C.S.D.S. 01 48 62 75 00

REPRESENTANTS AU CONSEIL SUPERIEUR DE L’EPA DE LA MASSE DES DOUANES

TITULAIRE : Jean François REAL – Lille SRE - tél : 03 28 38 41 75SUPPLEANT : Amandine SERRA - Lille DI- tél : 03 28 36 35 31

LES MEMBRES DE LA COMMISSION EXéCUTIVE 2012-2014

LES MEMBRES DU BUREAU NATIONAL 2010-2014

PrésidentJacques DEFFIEUX

1er Vice PrésidentGil LORENZO

Vice PrésidentsGisèle GOENVECNicolas TREMOLLET

Secrétaire généralFrançois ALBINI

TrésorierJean-François REAL

Trésorier adjointAmandine SERRA

Secrétaires nationauxBruno AGUANNOPatrice DECANTERClaire ETCHEVERRYJérôme GAUTRAUD-FEUILLEJosiane JACOBPatrick LANNEAUPatricia MILLIENPatrick NASARRESébastien RUAULTJean-Philippe SANCEY

Chargé de missionAlain LEBLANC

AGUANNO Bruno IR2 Champagne Ardenne

ALBINI François IR1 Picardie

BILLY Cyril Insp. DNRFP

BOUILLON Muriel IR3 DG – D/2

BRAJOT Lucile DSD1 MAE

BRUN Marie Christine IR3 Roissy

CAHILL Alice IR3 Paris

DECANTER Patrice IR3 Dunkerque

DEFFIEUX Jacques IP1 MAD SNCD

ETCHEVERRY Claire Insp. DNRED

FOURNIGAULT Emmanuel IR3 MAD SNCD

GAUTRAUD-FEUILLE Jérôme IP2 Strasbourg

GOENVEC Gisèle DSD2 Rouen

JACOB Josiane IP1 Bretagne

JACQUOT Anne Insp. Mulhouse

JOANNE Xavier IR2 Champagne Ardenne

Conseillers techniquesJean-Luc ARSIELEric BERDALEmmanuel BIZERAYBruno COLLINMichel DE BLOCKRomain FROELIGERJean-Claude GARRICJean-Louis GOUZONXavier LEMPEREURPhilippe MATHIEUFrançoise PETITPatrick PICHONYves QUELEN Bernard RIUBenoît ROCHEEric SALLESMichel SOULIGNACChantal SOUQUEPascal TOTAL

LANNEAU Patrick DSD1 Centre

LORENZO Gil DSD1 DG – D/2

LUNESU Salvatore Insp. Metz

MATTEI Cécile Insp. DG – D/2

MENVIELLE Catherine IR3 Midi Pyrénées

MILLIEN Patricia IR2 Nice

NASARRE Patrick IR2 DNSCE

PICARD Arnaud IP2 DRGC Nantes

REAL Jean-François IP1 Lille

RUAULT Sébastien Insp. Bretagne

SANCEY Jean Philippe IR2 Nice

SERRA Amandine Insp. Lille

THUAUD Christophe Insp. MAD SNCD

TSCHAEN Pascal IR3 Mulhouse

TREMOLLET Nicolas Insp. Le Havre


- Inspecteurs-élèves Gratuit

- Inspecteurs du 1er au 3e échelon 101€

- Inspecteurs des 4e et 5e échelons 115€



- Inspecteurs du 10e au 12e échelon 166€

- IP2 des 1er et 2e échelons 166€

- IR3 du 1er au 3e échelon 182€

- IP2 des 3e et 4e échelons 182€

- IR2 du 1er au 3e échelon 191€

- IP2 du 5e au 7e échelon 191€

- DSD 2 des 1er et 2e échelons 191€

- IR 1 du 1er au 3e échelon 198€

- IP 1 du 1er au 3e échelon 198€

- DSD 2 des 3e et 4e échelons 198€

- DSD 2 des 5e et 6e échelons 206€

- CSC 3 206€

- DSD 1 tous échelons 217€

- CSC 2 227€

- CSC 2 227€

- Administrateur civil 227€

- Retraité 64€

Rayez la ou les mentions inutiles :

«nouvel adhérent», «renouvellement d’adhésion», «changement de situation»

Tableau à servir impérativement an cas de :

première adhésion ou de changement de situation administrative ou familiale

NOMPrénomDate et lieu de naissanceGrade, échelon et fonctionsAdresse administrativeTéléphoneTélécopie + e-mailCoordonnées personnelles (obligatoires si vous souhaitez être contacté à l’issue d’une CAP)

COTISATIONS 2012 :

RéDUCTION D’IMPôT = 66% DU MONTANT DE LA COTISATION SYNDICALE

BULLETIN D’ADHéSION

ADHéREz AU SyNDICATqUI vOUS INFORME

Documents

Syndicat National des Cadres des Douanes - …...8 > La Voix des Cadres des Douanes N 146 Évolution de la représentativité des organisations syndicales depuis 1991 CAPC N 2ORG