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Université de Cergy-Pontoise
MASTER 2 MENTION ÉDUCATION ET
FORMATION
Spécialité : Conseil, éducation, management,
recherche, formation
Parcours : Recherches en éducation, didactique
technologies et formation.
Stéphanie NORGUET épouse PERRIN
N° Etudiant : 21207755
INE : 0keepm00kz 5
UE42 CONDUITE DE PROJET DE RECHERCHE
La place de la langue dans l’enseignement-apprentissage
du français en lycée professionnel à travers l’exemple de
l’écriture d’invention en première baccalauréat
professionnel.
Enjeux et perspectives didactiques.
Tome II : Annexes.
Marie-Laure ELALOUF
Année universitaire 2013-2014
TABLE DES ANNEXES
Annexe 1 : Tableau de séquence : situation d’apprentissage à dominante lecture ................................ I
Annexe 2 : Tableau de séquence : situation d’apprentissage à dominante écriture ............................. IV
Annexe 3 : Exemple de bilan de savoir sur le fantastique ..................................................................... VI
Annexe 4 : Document pédagogique : écrire une scène de peur ........................................................... VII
Annexe 5 : Fiche-grammaire sur la modalisation du doute. ................................................................ XIV
Annexe 6 : Brouillon de Christopher .................................................................................................... XIX
Annexe 7 : Élaboration du scénario : 1ère partie - Christopher............................................................ XX
Annexe 8 : Élaboration du scénario : 1ère partie - Rémy ..................................................................... XXII
Annexe 9 : Élaboration du scénario : 2ème partie - Rémy ................................................................... XXIV
Annexe 10 : Élaboration du scénario : 2ème partie-Brouillon de Rémy .......................................... XXVIII
Annexe 11 : Élaboration du scénario : 1ère partie – Martin ................................................................. XXX
Annexe 12 : Élaboration du scénario : 2ème et 3ème partie - Martin ................................................... XXXII
Clés de lecture pour comprendre les tableaux des annexes 13 à 16. .............................................. XXXIII
Annexe 13 : Écrits intermédiaires comparés : premiers jets et version finale-Martin .................... XXXIV
.Annexe 14 : Écrits intermédiaires comparés : premiers et deuxièmes jets-Rémy .......................... XXXV
Annexe 15 : Écrits intermédiaires comparés : deuxièmes jets et version finale-Rémy .................. XXXVII
Annexe 16 : Écrits intermédiaires comparés : premiers et deuxièmes jets-Christopher ................ XXXIX
Annexe 17 : Écrits intermédiaires comparés : deuxièmes jets et version finale-Christopher .............. XLI
Annexe 18 : Analyse linguistique des erreurs morphographiques dans la production de Rémy ....... XLIII
Annexe 19 : Analyse linguistique des erreurs morphographiques dans la production de
Christopher ........................................................................................................................................ XLVII
Annexe 20 : Analyse linguistique des erreurs morphographiques dans la production de Martin .. XLVIII
Annexe 21 : Grille d’auto-évaluation ....................................................................................................... L
Annexe 22 : Plan de travail de réécriture ................................................................................................ LI
Annexe 23 : Fascicule d’aide à la correction .......................................................................................... LII
Annexe 24 : Résultats à l’outil de positionnement : le questionnaire réflexif .................................. LXVII
Annexe 25 : Résultats à l’outil de positionnement : dictée n°1 ......................................................... LXXII
Annexe 26 : Résultats à l’outil de positionnement : questionnaire métagraphique
de la dictée n°1 ................................................................................................................................. LXXIV
Annexe 27 : Résultats à l’outil de positionnement : dictée n°2 ...................................................... LXXVII
Annexe 28 : Résultats à l’outil de positionnement : questionnaire métagraphique
de la dictée n°2 .................................................................................................................................. LXXIX
Annexe 29 : Résultats à l’exercice de tri des finales muettes et de justification de choix .............. LXXXII
Annexe 30 : Résultats de Théo à la dictée n°1 à l’exercice de tri. ................................................... LXXXV
Annexe 31 : Comparaison des justifications de Théo à la dictée n°1 à l’exercice de tri sur quelques
items. .............................................................................................................................................. LXXXVI
Annexe 32 : Exercice de tri et justification de choix pour le second énoncé de la dictée n°1 ...... LXXXVII
Annexe 33 : Résultats à l’outil de positionnement : dictée n°3 et questionnaire métagraphiqueLXXXVIII
Annexe 34 : Révision du texte de Guillaume à l’aide des manipulations syntaxiques ......................... XC
I
1 Tâche globale complexe. 2 : Écriture progressive du bilan de savoir.
Annexe 1
Tableau de séquence : situation d’apprentissage à dominante
lecture
Objet d’étude : Du côté de l’imaginaire (1ère Bac Pro)
Séquence d’enseignement-apprentissage : Le fantastique : un imaginaire qui révèle nos peurs ?
Le lecteur d’œuvres de fiction fuit-il la réalité ?
Situation d’apprentissage à dominante LECTURE : Lire et analyser les textes fantastiques comme moyen d’expression des peurs individuelles et collectives1.
Objectifs Activités
Séance 1 : ECRITURE
Entrer dans l’univers du fantastique…
1 heure
- réactiver ses connaissances sur les récits de l’imaginaire et plus particulièrement ceux qui appartiennent au registre fantastique.
- susciter des attentes de lecture à partir du vocabulaire fantastique.
- compléter une grille de mots croisés sur le thème des récits imaginaires et de l’univers fantastique.
- rédaction de la problématique de séquence : « Le lecteur d’œuvres de fiction fuit-il la réalité ? » et du titre de la séquence : LE FANTASTIQUE : UN IMAGINAIRE QUI RÉVÈLE NOS PEURS ?
Séance 2 : LECTURE
L’univers fantastique.
2 heures
- caractériser le registre fantastique à partir de la lecture de trois nouvelles de Jacques Sternberg extraites des Contes Glacés : rôle des effets de réel, du point de vue interne, de la rupture narrative avec l’irruption du phénomène fantastique et mise en évidence de l’ambiguïté créée par la fin du texte.
- comprendre les enjeux narratifs et discursifs de
- rédaction d’un bilan organisé présentant les caractéristiques du fantastique : séquences narratives (ancrage réaliste, irruption du fantastique, mécanisme du doute), statut du narrateur (point de vue interne, sentiment de doute face aux évènements vécus), essai de typologie de l’événement fantastique (surnaturel, paranormal,
univers parallèle folie ?).2
- lecture cursive d’une courte biographie de Jacques
II
l’écriture fantastique chez Jacques Sternberg qui exprime ainsi son traumatisme de la déportation et des camps dont il a été victime.
Sternberg. - réinvestissement des acquis
de la séance à travers la lecture analytique de LE TRAIN.
Séance 3 : LECTURE
Travail à la maison
- lire une nouvelle fantastique et rédiger la fiche de lecture. (chacun repart avec une nouvelle différente à lire : longueur du texte, difficultés de lecture sont réparties en fonction du niveau des élèves).
- rédaction d’un court résumé de l’histoire et présentation de l’auteur.
- reconnaissance des éléments caractéristiques du fantastique présents dans l’œuvre.
- présentation d’un passage qui a particulièrement retenu l’attention et justifier son choix.
- formulation d’un point de vue argumenté sur l’œuvre.
Séance 4 : ORAL
Rendre compte à l’oral des lectures fantastiques
2 heures
- transmettre ses connaissances à un auditoire.
- répondre aux questions de l’auditoire de façon argumentée.
- partager son opinion sur l’œuvre lue.
- compléter la grille d’écoute active.
- rédaction de la suite du bilan définissant le registre fantastique à partir des informations collectées dans la
grille d’écoute. - échange oral sur la diversité
des événements fantastiques : le fantastique, une forme d’expression littéraire permettant de remettre en cause la rationalité scientifique ?
Séance 5 : LANGUE
Les outils de la langue au service du fantastique
2 heures
- retrouver les caractéristiques du registre fantastique dans un extrait de La Peur de Guy de Maupassant.
- identifier les outils linguistiques qui créent une atmosphère inquiétante et expriment la peur du héros : procédé d’écriture de la personnification et lexique de la peur.
- lecture cursive d’un extrait de La Peur de Maupassant.
- identification des caractéristiques du registre fantastique à l’aide du bilan de savoir précédemment rédigé.
- repérage des mots et expressions qui personnifient le lieu et les éléments météorologiques et créent une atmosphère inquiétante.
- relevé des énoncés de peur qui traduisent les émotions ressenties par le narrateur et leur degré d’intensité.
III
- classement des énoncés selon qu’ils expriment une manifestation physique ou psychique de la peur.
- à l’oral, formulation d’hypothèses interprétatives sur le but de l’auteur : se moquer des superstitions, des vieilles croyances ?
- Rédaction finale du bilan de savoir sur le registre fantastique présentant les outils linguistiques qui créent une atmosphère inquiétante et expriment la peur du
héros.
Séance 6 : LECTURE
Evaluation finale
1 heure
- identifier les caractéristiques du registre fantastique dans un extrait du Horla de Maupassant.
- mettre en relation la biographie de l’auteur (notamment son internement pour hallucinations au moment où il écrit le Horla) et formuler des hypothèses d’interprétation du phénomène fantastique.
- lecture analytique d’un extrait du Horla de Maupassant.
- questionnaire de lecture évaluant la reconnaissance du registre du fantastique de façon argumentée, la reconnaissance du point de vue du narrateur et son intérêt dans le texte, la formulation d’hypothèse d’interprétation du texte (par exemple : un journal intime, une autobiographie ?).
Capacités :
- Interpréter le discours tenu sur le réel à travers le discours de l’imaginaire. - Faire émerger une réflexion sur l’enjeu de la littérature fantastique à travers la lecture de
textes fantastique du XIXème et XXème siècle.
Connaissances :
- le registre fantastique - la personnification - le point de vue - le lexique des émotions
Attitude(s) :
- goûter la puissance des mots et des ressources du langage
IV
3 Tâche globale complexe. 4 : Écrits intermédiaires.
Annexe 2
Tableau de séquence : situation d’apprentissage à dominante écriture
Situation d’apprentissage à dominante ÉCRITURE : Rédiger une séquence narrative fantastique qui
décrit la peur3.
Objet d’étude : Du côté de l’imaginaire (1ère Bac Pro) Séquence d’enseignement-apprentissage : Le fantastique : un imaginaire qui révèle nos peurs ?
Le lecteur d’œuvres de fiction fuit-il la réalité ?
Objectifs Activités
Séance 1 : ECRITURE
Ancrer le récit dans une réalité
inquiétant
2 heures
4
- rédiger la situation initiale du récit.
- utiliser le procédé d’écriture de la personnification pour créer une atmosphère inquiétante.
- choix du lieu à partir d’une liste, choix du moment et des conditions atmosphériques de la scène de peur.
- exercices de transformation et de production utilisant la personnification pour décrire les éléments choisis précédemment.
- rédaction de la situation initiale du récit à partir du scénario élaboré lors de la séance et des exercices de personnification pour ancrer l’histoire dans une réalité inquiétante.
Séance 2 : LANGUE/ Lexique
Décrire la peur croissante d’un
personnage.
2 heures
- connaître les différents mots et expressions de la peur.
- employer le vocabulaire de la peur, notamment pour décrire la peur croissante d’un personnage face à un événement fantastique.
- choix de l’évènement fantastique à partir d’une liste.
- exercices de reconnaissance, de classement et de production à partir des articles PEUR et CRAINDRE du Dictionnaire du Français Usuel de Jacqueline
V
5 : Écriture finale.
PICOCHE - tableau des noms de
peur à compléter de Caroline MASSERON.
- rédaction d’une scène narrative qui décrit la peur croissante d’un personnage face à l’évènement fantastique précédemment choisi.
Séance 3 : LANGUE/Grammaire
La modalisation du doute.
2 heures
- comprendre et reconnaître les procédés de la modalisation du doute qui traduisent l’incertitude d’un locuteur et l’étrangeté des évènements.
- exercices de reconnaissance, de manipulation et d’écriture intermédiaire.
- rédaction de la fin du récit et insertion des procédés de modalisation du doute précédemment identifiés.
Séance 4 :
RÉÉCRITURE
2 heures
5
- réviser son texte à l’aide
du tableau récapitulatif
du travail à effectuer.
- l’améliorer du point de
vue de la langue en
s’appuyant sur le code
de correction.
- réécrire le texte final en
assemblant les
différents écrits
intermédiaires corrigés.
- utilisation d’outils
d’aide à la révision et à
la correction des
textes : tableau d’auto-
évaluation, code de
correction, fascicule
d’aide à la correction,
dictionnaires et
Bescherelle
d’orthographe et de
conjugaison.
Capacité(s) :
- Rédiger une production écrite faisant appel à l’imaginaire et obéissant à des contraintes
- Utiliser des outils linguistiques pour décrire la peur et exprimer le doute dans une séquence narrative Connaissances :
- lexique : peur/étrange
- modalisation du doute
- personnification Attitude(s) :
- goûter la puissance des mots et des ressources du langage
VI
Annexe 3
Exemple de bilan de savoir sur le fantastique
VII
Annexe 4
Document pédagogique : écrire une scène de peur
Nom : Prénom : Classe :
PROJET D’ÉCRITURE : Ecrire une scène de peur fantastique
Élaboration du scénario : 1ère partie
1. Le choix du lieu :
Choisissez l’un des lieux suivants :
Une cabane de berger isolée dans la montagne
Une petite embarcation de mer
Un hôtel désert et abandonné
Une auberge à la frontière du désert
Un château en ruine et inoccupé
Un parc ou un jardin en friches
LIEU CHOISI :…………………………………………………………………………………………………………………………………
2. Le moment où se déroule l’action et les conditions atmosphériques :
MOMENT CHOISI :………………………………………………………………………………………………………………………
CONDITIONS ATMOSPHERIQUES RETENUES : ………………………………………………………………………………
3. Utiliser le procédé d’écriture de la personnification :
Rappel : la personnification présente un élément inanimé ou un animal comme une personne.
Ex : la rivière chantait entre les pierres.
a) A quelle classe grammaticale appartiennent les mots de la 1ère
colonne ? Notez-la dans la case du dessus.
b) A partir de l’exemple qui est donné, dites à quelle classe grammaticale devront appartenir les mots de la
deuxième colonne. Notez-le dans la case du dessus et complétez la colonne.
c) Pour chaque ligne, complétez la 3ème
colonne selon l’exemple. Utilisez des éléments du lieu, du moment et
des conditions atmosphériques retenus en 1. et 2. et associez-les aux mots de la 1ère
ou de la 2ème
colonne.
Le procédé d’écriture de la personnification
Gémir
Crier
Hurler
Courir
Danser
S’affoler
gémissement Toute la forêt s'inclinait dans le même sens avec un
gémissement de souffrance.
LA SITUATION INITIALE : ANCRER LE RÉCIT DANS UNE RÉALITÉ
INQUIÉTANTE
VIII
Rédigez la situation initiale de votre récit qui présente le lieu, le moment de la journée et les
conditions atmosphériques que vous avez choisis en 1. et 2. Si votre début de récit est ancré dans
la réalité, celle-ci doit paraître inquiétante comme dans le texte de La peur de Maupassant. Pour
cela, vous utiliserez les exemples de personnification imaginés en 3. (au moins 3 exemples). Votre
récit sera rédigé à la 1ère personne du singulier. (5 à 7 phrases maximum). TRAVAIL ÉVALUÉ.
IX
Élaboration du scénario : 2ème partie
1. Le choix de l’évènement fantastique :
Déterminez l’évènement fantastique qui va venir troubler votre personnage en vous inspirant des thèmes suivants : Apparitions et animations : formes indécises, spectres, mort-vivants, vampires, objets
qui s’animent, etc. Le double obsédant : le narrateur se sent persécuté mais on ne sait jamais si ce double
existe vraiment ou si c’est le fruit de son imagination malade. Le pouvoir magique de certains objets : un objet serait capable d’exaucer tous les
désirs du héros, en échange de sa vie ou d’un pacte. Le pacte avec les puissances occultes : un contrat est passé avec des forces
démoniaques (diable ?) pour s’assurer bonheur, argent, puissance, éternité, mais en échange on y perd son âme.
Pouvoirs magiques de certains êtres : double-vue, prémonitions, métamorphoses, capacité de passer à travers les murs, etc.
ÉVÈNEMENT CHOISI :
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………
2. Utiliser le lexique de la peur :
a) Voici un extrait du Dictionnaire de Français Usuel
de Jacqueline Picoche, à l’article PEUR et CRAINDRE,
pp 672-675.
Pour vous familiariser avec ce dictionnaire,
remplacer A1 et A2 par des noms de votre choix :
………………………………………………………………
………………………………………………………………..
…………………………………………………………………
…………………………………………………………………
LA SCÈNE DE PEUR : DÉCRIRE LA PEUR CROISSANTE QU’ÉPROUVE LE
PERSONNAGE DANS LA SITUATION EFFRAYANTE OÙ IL SE TROUVE EN
UTILISANT UN VOCABULAIRE APPROPRIÉ.
X
b) Relevez dans l’ensemble de
l’article, le vocabulaire et les
expressions qui désignent les
manifestations physiques de la peur
d’une part et son ressenti
psychologique d’autre part.
MANIFESTATIONS PHYSIQUES DE LA
PEUR :
RESSENTI PSYCHOLOGIQUE DE LA
PEUR :
XI
3. Complétez le tableau suivant à l’aide du dictionnaire:
Noms de peur Verbes Adjectifs (a) Adjectifs (b) Adjectifs (c) Adverbes
Angoisse angoissant Avec angoisse
Anxiété anxieusement
Appréhension Avec
appréhension
Crainte craindre Craintivement
Avec crainte
Effroi s'effrayer
effrayer
Épouvante épouvanté
Frayeur effrayer
Hantise
Horreur Avec horreur
Horriblement
Inquiétude Inquiéter
s'inquiéter
Avec
inquiétude
Panique
Peur Avoir peur
Faire peur
Peureux
apeuré
Phobie -phobe
Répulsion répulsif
Stress stresser
Terreur terrorisant terrible
terrifié
D’après le tableau élaboré par Caroline Masseron : « Pour une topique de la peur: analyse sémiotique, linguistique et
didactique des noms de peur. Comment concevoir l’enseignement du lexique?».
4. Définissez le degré d’intensité de la peur des expressions suivantes :
Voici une liste d’expression prises dans l’article « il est effrayé, il est apeuré, il est terrorisé, il
est épouvanté, il est terrifié ». Classez ces phrases (du « moins » au « plus ») et justifiez ce
classement en vous servant de l’article dans lequel est défini le degré de peur : « il éprouve une
peur subite, il éprouve une peur violente, il éprouve une peur extrêmement intense » etc.
XII
Rédigez la scène de peur de votre récit qui raconte la survenue de l’évènement surnaturel
que vous avez choisi en 1. et la peur que connaît votre héros à cet instant. Vous aurez soin
d’utiliser le vocabulaire de la peur précédemment étudié, (au moins 10 expressions). Vous ferez
attention à varier ce lexique et son degré d’intensité : la peur doit aller crescendo ! (10 à 15
phrases maximum) TRAVAIL ÉVALUÉ.
XIII
LA SITUATION FINALE : LE RETOUR A LA NORMALE ET LE MÉCANISME DE
L’ÉTRANGETÉ
Élaboration du scénario : 3ème partie
Rédigez la situation finale de votre récit où tout revient à la normale. Montrez la persistance
de l’’inquiétude, du doute chez le narrateur face aux évènements auxquels il vient d’être
confronté et qu’il est incapable d’expliquer par la raison. Utilisez pour cela les procédés de la
modalisation du doute identifiés dans votre fiche de grammaire. Votre récit utilisera au moins
une fois chaque procédé. TRAVAIL ÉVALUÉ.
XIV
Annexe 5
Fiche-grammaire sur la modalisation du doute.
Le corpus
Texte 1 Comme il tournait la poignée de la porte, son regard tomba sur le portrait que Basil Hallward avait
peint de lui. Il eut, comme étonné, un mouvement de recul. Puis il entra dans sa chambre, semblant
toujours perplexe. Ayant retiré la fleur de sa boutonnière, il sembla hésiter. Enfin il retourna
examiner le tableau. Dans la lumière terne, atténuée, qui arrivait à filtrer à travers les persiennes de
soie de couleur crème, le visage lui parut un peu modifié.
L’expression paraissait différente. On eût cru qu’il y avait une ombre de cruauté dans la bouche. Eh
oui, c’était bizarre.
Oscar WILDE, Le portrait de Dorian Gray, 1890.
Éditions Le Livre de Poche, 2001. Traduit de l'anglais par Vladimir Volkoff
Texte 2 Alice répondit, non sans quelque embarras : « Je... je ne sais trop, monsieur, pour le moment
présent... du moins, je sais qui j'étais quand je me suis levée ce matin, mais j'ai dû, je crois, me
transformer plusieurs fois depuis lors.
- Qu'entendez-vous par là? demanda, d'un ton sévère, le Ver à soie. Expliquez-moi un peu
quelle idée vous avez en tête !
- Je crains, monsieur, de ne pouvoir vous expliquer quelle idée j'ai en tête, répondit
Alice, car je ne suis pas certaine d'avoir encore toute ma tête, si vous voyez ce que je veux dire.
- Non, je ne vois pas ce que vous voulez dire, objecta le Ver à soie.
- J'ai peur de ne pouvoir exposer cela plus clairement, répondit très poliment Alice, car, pour
commencer, je ne le comprends pas moi-même et varier de taille à ce point en l'espace d'une
seule journée, il y a là de quoi vous faire perdre la tête.
Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles, 1865.
Éditions Flammarion, 2008.
Texte 3
5 juillet. [La carafe] était vide ! Elle était vide complètement! D'abord, je n'y
compris rien; […] puis je me rassis; éperdu d 'étonnement et de peur, devant le
cristal transparent ! Je le contemplais avec des yeux fixes, cherchant à deviner.
Mes mains tremblaient ! On avait donc bu cette eau? Qui? Moi? Moi, sans doute?
7 août.[…] Je me demande si je suis fou. En me promenant tantôt au grand soleil,
le long de la rivière, des doutes me sont venus sur ma raison […]
XV
Certes, je me croirais fou, absolument fou, si je n'étais conscient, si je ne
reconnaissais parfaitement mon état , si je ne le sondais en l 'analysant avec une
complète lucidité. Je ne serais donc, en somme qu'un halluciné rai sonnant.
Ext ra i t s d e Gu y d e Maup assan t , Le Ho r la , 1 887 .
1ère étape : observation du corpus
Dans le questionnaire, les chiffres arabes, placés en tête de la consigne,
correspondent à la numérotation des documents.
1°) 1 et 2:
a°) Entourez les mots qui expriment le doute dans le texte.
b°) Regroupez-les en justifiant votre choix.
2°) 1 et 2 :
a°) Soulignez les mots et les expressions qui montrent que les
narrateurs remettent en question ce qu’ils pensent ou ce qu’ils disent et
regroupez-les selon leur catégorie grammaticale.
b°) Classez-les adverbes du moins au plus. Que remarquez-vous ?
3°) 3 :
a°) Réécrivez le passage correspondant au 5 juillet en transformant le
doute en certitude. Que remarquez-vous ?
b°) Formulez une règle.
4) 2èmeparagraphe du 3 :
a°) Réécrivez ce paragraphe en utilisant le présent de l’indicatif et en
opérant les modifications nécessaires. Que remarquez-vous ?
b°) Complétez la règle.
2ème étape : formulation de la règle
Consigne : Rédigez la règle à partir de vos observations.
XVI
3ème étape : exercices de reconnaissance, de manipulation et de
production.
Exercices de reconnaissance :
1. Dans la liste suivante, relevez les termes qui expriment l’incertitude et
classez-les dans le tableau ci-dessous selon leur catégorie grammaticale.
évident , se demander, je ne sais quel, croire, certain, sûr, prétendre, sûrement,
soupçonner, sans aucun doute, supposer, penser, douter, assurément, forcément,
s'imaginer, réellement, certainement, indubitablement, peut-être, ne pas savoir, sembler,
ignorer, incontestablement, souhaiter, espérer, à coup sûr, de toute évidence, mettre sa
main au feu , se méfier, se porter garant, on ne peut nier, paraître, hésiter, se prétendre,
s'imaginer, probable, à peu près, selon toute vraisemblance, à ce qu’on dit, inévitable,
clair, soupçonner, absolument.
adjectif adverbe expressions Verbe d’opinion
2. Lisez les extraits suivants, repérez et nommez les modalisateurs du doute.
a. Je crus apercevoir, dans l’angle à droite au fond, un peu dans la pénombre, un
employé avec sa petite casquette qui s’éclipsait par une porte, terrorisé. (Dino
Buzzati, IL était arrivé quelque chose.)
b. L’orage était passé ; et en sympathie eût-on dit avec le calme de la nature, mon
cœur semblait cesser de battre. (Bram Stocker, l’Invité de Dracula.)
c. J’étais seul pourtant. Mais je ne pus me rendormir ; et comme je m’agitais dans
une fièvre d’insomnie, je me levai pour aller toucher la chevelure. Elle me parut
XVII
plus douce que de coutume, plus animée. Les morts reviennent-ils ? (Guy de
Maupassant, La chevelure.)
d. Il se peut bien que ce ne fut ni l’exécution de l’œuvre, ni l’immortelle beauté de
la physionomie, qui m’impressionna si soudainement et si fortement. (Edgar Poe, Le
Portrait ovale.)
e. Une chose me paraissait surprenante : la nature de la tâche qui courait sur ma
main. C’était une lueur glacée, sanglante, n’éclairant pas. D’autre part, comment se
faisait-il que je ne voyais aucune ligne de lumière sous la porte, dans le corridor ?
Mais, en vérité, ce qui sortait ainsi du trou de la serrure me causait l’impression
du regard phosphorique d’un hibou ! (Villiers de l’Isle Adam, L’intersigne)
3. Soulignez et identifiez le temps et le mode verbal qui traduisent l’incertitude
dans ce texte.
19 août. Je le tuerai. Je l’ai vu ! Je me suis assis, hier soir, à ma table ; et je fis
semblant d’écrire avec une grande attention. Je savais bien qu’il viendrait rôder
autour de moi, tout près, si près que je pourrai peut-être le toucher, le saisir ? Et
alors !... alors, j’aurais la force des désespérés ; j’aurais mes mains, mes genoux,
ma poitrine, mon front, mes dents pour l’étrangler, l’écraser, le mordre, le
déchirer. (Guy de Maupassant, Le Horla, 1187)
Exercices de manipulation :
4. Insérez dans le texte suivant des questions directes et indirectes afin de
traduire les doutes et les interrogations du narrateur.
Je m’approchai du lit et soulevai le corps du malheureux jeune homme ; il était
déjà raide et froid. Ses dents serrées et sa figure noircie exprimaient les plus
affreuses angoisses. … J’écartai sa chemise et vis sur sa poitrine une
empreinte livide qui se prolongeait sur les côtes et le dos. On eût dit qu’il avait
été étreint dans un cercle de fer. Mon pied se posa sur quelque chose de dur qui
se trouvait sur le tapis ; je me baissai et vis la bague de diamants.
Prosper Mérimée, La Vénus d’Ille, 1837.
XVIII
5. Réécrivez le texte suivant au conditionnel.
Était-ce donc la mort, ce singulier état de torpeur, cette chair frappée d'immobilité,
tandis que l'intelligence fonctionnait toujours ? [... ] Ce n'était pas la mort sans doute.
J'allais certainement me réveiller tout à l'heure. Oui, tout à l'heure, je me pencherai et
je saisirai Marguerite entre mes bras, pour sécher ses larmes. Quelle joie de nous
retrouver ! Et comme nous nous aimerons davantage ! Je prendrai encore deux jours de
repos, puis j’irai à mon administration. Une vie nouvelle commencera pour nous, plus
heureuse, plus large.
D’après Émile Zola, La Mort d'Olivier Becaille, 1884.
Exercice d’écriture intermédiaire :
6. Réécrivez ces phrases en exprimant le doute. Vous emploierez trois procédés
différents :
1) Kevin a triché sur Sylvain.
2) L’équipe de foot a marqué 5 buts.
3) Ça a sonné.
XIX
Annexe 6
Brouillon de Christopher
XX
Annexe 7
Élaboration du scénario : 1ère partie - Christopher
XXI
XXII
Annexe 8
Élaboration du scénario : 1ère partie - Rémy
XXIII
XXIV
Annexe 9
Élaboration du scénario : 2ème partie - Rémy
XXV
XXVI
XXVII
XXVIII
Annexe 10
Élaboration du scénario : 2ème partie-Brouillon de Rémy
XXIX
XXX
Annexe 11
Élaboration du scénario : 1ère partie – Martin
XXXI
XXXII
Annexe 12
Élaboration du scénario : 2ème et 3ème partie - Martin
XXXIII
Clés de lecture pour comprendre les tableaux des annexes 13 à 16.
Pour lire le tableau :
La colonne de gauche contient les travaux d’écriture intermédiaire réalisés à chaque séance (ex. « Écrit n°1 : 1er jet »
correspond à la première séance d’écriture).
La colonne de droite contient l’écriture finale réalisée dans la toute dernière séance et correspond à l’écrit finalisé après la
séance de correction.
Pour interpréter les couleurs de police :
Le rouge indique les énoncés personnifiés ;
Le vert désigne les énoncés de peur; les énoncés de peur en italique ne caractérisent pas particulièrement la peur du héros,
mais le contexte ou l’évènement fantastique par exemple.
Le violet désigne les procédés de la modalisation du doute.
Pour interpréter les couleurs de surbrillance :
Le bleu signifie les suppressions.
Le jaune indique les remplacements.
Le vert désigne les ajouts.
Le violet signale les déplacements.
XXXIV
Ecrit n°1 : 1er
jet
C’était dans un hotel desert et abandonné. Dans cet hotel inquiétant,
un cri térifient et permanent samblé raisonait au moment ou la pluis
heurta la fenêtre de ma chambre je penser a un hurlement.
Ecrit n°2 :1er
jet
Tout a coup J’ai entendu du bruit dans ma chambre J’été éffrayé Mais
je pris mon courage a deux main et Je suis aller voir et en entrand
j’apprit avec effroi que tous les meubles de ma chambre était tombé
Je commencé a angoissé. Je suis sortie de l’hotel Paniqué, et la une
Horrible Horde de zombie arrive vers l’hotel Je suis rentré a nouveau
dans l’hotel pour me cacher. J’été terrifié Par se que je venez de voir
en plus des bruit stressant continuer a résoner dans le couloire de
l’hotel J’angoissé de plus en plus. Je suis retourner dans ma chambre
et la j’ai cru haluciné quand j’ai vue tout mais meubles ranger je
commencer a etre terrorisé de plus en plus et les zombie commencer
a entrer dans l’hotel j’été telement paniquér que sans réfléchir je me
suis enfui par une fenetre. J’été vert de peur quand j’ai vue un zombie
se précipiter vers moi.
Ecrit n°3 : 1er
jet
J’ai réussi à m’enfuir en ville. Apés quelque jours passé dans cette
petit ville j’hésitera rentré dans mon hotel mais je pris mon courage a
deux main et je suis retourné dans mon hotel. Quand je suis arrivé a
l’hotelj’était tout étonné de ne plus voir aucune trace de zombie !
même dans ma chambre tout était ranger. Je trouver sa bizarre. Avais-
je rêvé ?
Ecrit n°1 : version finale.
C’était dans un hôtel désert et abandonné. Dans cet hôtel inquiétant,
des cris terrifiants semblai raisonner au moment où la pluie heurta le
fenêtre de ma chambre.
Ecrit n°2 : version finale.
Puis, j’entendai du bruit dans ma chambre. J’étais effrayé. Mais je pris
mon courage à deux mains et je suis allé voir. En entrant, j’aperçus avec
effroi que tous les meubles de ma chambre étaient tombés. Je
commencais à angoisser. Je suis sorti de l’hôtel paniqué, et là une
horrible horde de zombis arriva vers l’hôtel. Je suis rentré à nouveau
dans l’hôtel pour me cacher. J’étais terrifié par ce que je venais de voir,
des bruits stressants continuaient à résonner dans le couloire de l’hôtel.
J’angoissais de plus en plus. Je commençai à être vraiment terrorisé. Des
zombies commencaient à entrer dans l’hotel. J’étais tellement paniqué
que, sans réfléchir, je m enfui par une fenêtre. J’étais vert de peur quand
j’ai vu un zombie se précipiter vers moi.
Ecrit n°3 : version finale.
Je réussissais à m’enfuir en ville. Après quelques jours passés dans cette
petite ville, j’hésité à rentrer dans mon hôtel mais je pris mon courage à
deux mains et j’y suis retourné. Quand je suis arrivé à l’hôtel, j’étais tout
étonné de ne plus voir aucune trace de zombie. Même dans ma chambre
tout était rangé. Je trouvais ça bizarre. Avais-je rêvé ?
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XXXV
Écrit n°1 : 1er
jet.
On était le 27 novembre 1995, un beau début d’Après s’annonça. Le temps
était parfait, ciel dégagé et soleil tapant avec quelque Petite brise de vent
frais. Je partie en exploration dans le texas voir des chose incroyable… et ce
jours la c’était le cas… j’avança petit a petit quand je vit un hotel desert et
abandonnée au loin… j’approcha et entendi les cries du vieux bois qui
craque, la porte fesa une danse en se ferment et se rouvrie a chaque coup
de vent et les volets qui claque comme une un signe d’affolement géneral,
une fois à l’interieure j’entendi les hurlements du vent qui frappa contre le
toit de l’hotel…
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Écrit n°2 : 1er
jet.
tout a coup un homme sorta en titubant et poussa des hurlements a en
avoir d’enorme frisson en soit et marqua un temps d’arret. Je la regarda, il
était couvert de sang et sa peau commença a pourire…et fit des gestes
bisard… je commença a lui parlé gentiment « Excusé moi, cette hotel euh…
est-t-il abandonnée ? » pas de réponse, toujours aucune réaction, aucun
mouvement…Mais d’un coup il releva la tete , me fixa avec c’est yeux
remplis de sang et commencer a craché de la bave et du sang… il se
précipitat sur moi en courant en poussant des hurlements encore plus fort
que les premiers. Prit d’un sursaut de frayeur je me mit a courir, courire
tellement vite que je trébuchat et m’ouvra la mains. La mains plein de sang
me lança beaucoup comme si je l’avait mit sur le feu, L’homme en voyant le
sang coulée commença a aller encore plus vite comme si il était affamé… de
suite je comprit que ce n’était pas vraiment un être vivante mais plutôt un
zombie comme on en voit dans les films. Par terre je ramassa une pierre et
je me souvenu que dans les films leur point faible était de leur donner un
coup sur le crane bien fort mais avec la peur que j’ai mon courage est tombé
aussi bats que les tours du 11 septembre. Le zombie s’approcha de plus en
plus de moi qui pendant ce temps me releva et me prépara a lui affligé un
Écrit n°2 : 2ème
jet.
J’apphréenda le pire devant cette hotel, j’avait beaucoup de frisson rien
qu’a entendre le bruit du bois qui craqua. tout a coup un homme sortie en
titubant et poussa d’énorme hurlement éffrayant qui me fit sursauter,
l’homme s’arreta nette et ne bougea plus. J’en profita pour le regardé, il
était couvert de sang, en voillant tout ce rouge sur lui je sentie le stress
monté en moi, après 2 mn sans réaction ni geste l’homme remonta sa tete
brusquement et me fixa de ces yeux rouge et effrayent, il se mit a craché du
sang et recommença ses hurlement affolent ! Jusqu’au moment ou il se mit
a courir sur moi en continuant c’est crie horrible, je ne savait pas quoi faire
avec cette panique qui m’avait envahi. Je ramassa une pierre et le frappa
jusqu’à la mort en défoulent tout mon stress sur son crane.
L’homme qui gisait la a mes pied était bien mort…
Je ne sait pas pourquoi j’ai agit comme sa, surement a cause de la peur que
j’ai en moi.
XXXVI
coup fatal. Je m’elanca en hurlant et lui frappa le crane aussi fort que j’ai
pue… il s’écroula au sol comme un footballeur qui cherche la faute. Je repris
mon calme et mon souffle et commença a avancé vers l’hotel. Je posai mon
pied sur le pallier et sentit une odeur de mort, de corp entrain de pourire. Je
passa la porte d’entré et je me mettais pas trompé, je vit 4 corps
complétement déchictée et éventré en train de pourire la au sol avec les
mouches comme seul compagny… je m’enfonça un peut plus dans la pièce
avec mon foulard au niveau de la bouche pour évité de sentir cette odeur
atroce et je vit un chien avec la guelle rongé gisant au sol, ce ne faisait pas
longtemps qu’il était la … d’un coup la porte se referma sur elle me laissant
dans la piece, dans l’obscurité la. Plus total et avec les hurlements qui se
rapprocher de plus en plus…
Écrit n°3 : 1er
jet
Tout a coup je me blotit dans un coin de la piece et je sentie une presence
dans cette meme piece, je ne dit plus un mot mais l’angoisse me gagna et
mon cœur palpita. Tout a coup j’entendi un hurlement, le sol qui craque de
plus en plus et je vit des yeux rouge dans le noir…C’est yeux rouge me fixa
appeuré je me mit a paniqué et comme si l’on soufflait sur une bougie, les
yeux se ferma qui ne se rendit plus visible, pendant 2 minute je trembloté
de peur et de panique puis d’un coup je senti un souffle derrière ma tête, je
sursota, cria et comme si l’on me frappa fort la tête je tombie par terre, les
mains recouverte de sang. évanouie la en plein millieu du danger.
Mais quand je me réveilli, je me retrouva dans mon lit en pijama comme si
je mettait endormie et fit un cauchemard mais j’ouvri ma main et elle
encore recouverte de sang… je me posie la question encore a ce jour « ce
fut un cauchemard ou la réalité ? Quel était cette créature, un être vivant,
un spectre, un revenant ? » Depuis, je me sens hanté encore par cette
histoire bisarre…
XXXVII
Écrit n°1: 1er
jet.
On était le 27 novembre 1995, un beau début d’Après s’annonça. Le temps
était parfait, ciel dégagé et soleil tapant avec quelque Petite brise de vent
frais. Je partie en exploration dans le texas voir des chose incroyable… et ce
jours la c’était le cas… j’avança petit a petit quand je vit un hotel desert et
abandonnée au loin… j’approcha et entendi les cries du vieux bois qui
craque, la porte fesa une danse en se ferment et se rouvrie a chaque coup
de vent et les volets qui claque comme une un signe d’affolement géneral,
une fois à l’interieure j’entendi les hurlements du vent qui frappa contre le
toit de l’hotel…
Écrit n°1: version finale
« Un homme qui raconte cette histoire à un psychologue »
On était le 27 novembre 1995. Un beau début d’après-midi s’annonçais. Le
temps était parfait. Ciel dégagé et soleil tapant avec une petite brise de
vent frais. Je partais en exploration dans le Texas voir des choses
incroyables et ce jour la c’étais le cas… j’avançais petit à petit, quand je vis
un hôtel désert et abandonnée au loin… J’approchais et j’entendis les cris
du vieux qui craque, la porte fesait une danse en se fermant et se rouvrait à
chaque coup de vent, les volets claquait comme un signe d’affolement
général. Une fois devant, j’entendis les hurlements du vent qui frappa
contre le toit de l’hôtel…
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Écrit n°2 : 2ème
jet :
J’apphréenda le pire devant cette hotel, j’avait beaucoup de frisson rien qu’a
entendre le bruit du bois qui craqua. tout a coup un homme sortie en
titubant et poussa d’énorme hurlement éffrayant qui me fit sursauter,
l’homme s’arreta nette et ne bougea plus. J’en profita pour le regardé, il
était couvert de sang, en voillant tout ce rouge sur lui je sentie le stress
monté en moi, après 2 mn sans réaction ni geste l’homme remonta sa tete
brusquement et me fixa de ces yeux rouge et effrayent, il se mit a craché du
sang et recommença ses hurlement affolent ! Jusqu’au moment ou il se mit a
courir sur moi en continuant c’est crie horrible, je ne savait pas quoi faire
avec cette panique qui m’avait envahi. Je ramassa une pierre et le frappa
jusqu’à la mort en défoulent tout mon stress sur son crane.
L’homme qui gisait la a mes pied était bien mort…
Je ne sait pas pourquoi j’ai agit comme sa, surement a cause de la peur que
j’ai en moi.
Écrit n°2 : version finale
J’aphréenda le pire devant cette hôtel. J’avais beaucoup de frissons rien
qu’à entendre le bruit du bois qui craquais. Tout à coup, un homme sorta
en titubant et poussa d’énormes hurlements effrayants qui me fis
sursauter. L’homme s’arrêta net et ne bougea plus. J’en profitais pour le
regarder. Il était couvert de sang. En voyant tout ce rouge sur lui, je sentis
le stress monter en moi… Après 2 min sans réaction ni geste, l’homme
remonta sa tête brusquement et me fixa de ses yeux rouges et affrayants. Il
se mit à cracher du sang et recommença ses hurlements affolent ! Jusqu’au
moment où il se mit à courir vers moi en poussant des cris horibles. Je ne
savais pas quoi faire et la panique m’avait envahi. Je ramassais une pierre
et le frappas jusqu’à la mort en défoulant tout mon stress sur son crâne.
L’homme qui gisait là à mes pieds était bien mort… je ne sais pas pourquoi
j’ai agît comme ça, sûrement à cause de la peur.
XXXVIII
Écrit n°3 : 1er
jet
Tout a coup je me blotit dans un coin de la piece et je sentie une presence
dans cette meme piece, je ne dit plus un mot mais l’angoisse me gagna et
mon cœur palpita. Tout a coup j’entendi un hurlement, le sol qui craque de
plus en plus et je vit des yeux rouge dans le noir…C’est yeux rouge me fixa
appeuré je me mit a paniqué et comme si l’on soufflait sur une bougie, les
yeux se ferma qui ne se rendit plus visible, pendant 2 minute je trembloté de
peur et de panique puis d’un coup je senti un souffle derrière ma tête, je
sursota, cria et comme si l’on me frappa fort la tête je tombie par terre, les
mains recouverte de sang. évanouie la en plein millieu du danger.
Mais quand je me réveilli, je me retrouva dans mon lit en pijama comme si je
mettait endormie et fit un cauchemard mais j’ouvri ma main et elle encore
recouverte de sang… je me posie la question encore a ce jour « ce fut un
cauchemard ou la réalité ? Quel était cette créature, un être vivant, un
spectre, un revenant ? » Depuis, je me sens hanté encore par cette histoire
bisarre…
Écrit n°3 : version finale.
Tout à coup, je rentra et me blotis dans un coin de la pièce et je sentis une
présence dans cette même pièce. Je ne dis plus un mot mais l’angoisse me
gagna et mon cœur palpita. Soudain j’entendis un hurlement, le sol
craquais de plus en plus et je vis des yeux rouge dans le noir… ses yeux
rouges me fixais. Apeuré, je me mis a paniquer et comme si l’on soufflait
sur une bougie, les yeux se fermais et se rendit plus visibles, pendant 2
minutes je tremblotais de peur et de panique. Puis, d’un coup, je sentis un
souffle derrière ma tête. Je sursautas et je cria comme si l’on me frappa
fort derrière la tête je tombas par terre les mains recouverte après avoir
touché mon crâne, je m’evanouie en plein millieux du danger. Quand je me
réveillis je me retrouvas dans mon lit en pyjama comme si je me suis
endormis et fis un cauchemar mais j’ouvris ma main et elle était encore
recouverte de sang… je me pose la question encore aujourd’hui« Ce fut un
cauchemars ou la réalité ? Quelle était cette créature, un être vivant, un
spectre, un revenant ? »
Depuis, je me sens hanté par cette histoire bizarre Monsieur…
XXXIX
Écrit n°1 : 1er
jet.
C’était une après-midi glaciale en hiver que nous partions pour un
voyage en mer en direction du nouveau monde. Au bout de quelques
heures, la nuit tombat sur nous. C’était une nuit noire et très
inquiétantes, j’étais sur le pont du bateau avec des matelots quand
tout à coup, je vis un brouillard blanc très épais qui semblait se dirigé
droit sur nous à une vitesse impressionnante, le brouillard se
rapprocher et les nuages se mîrent à fuir comme si ce brouillard étais
une menace.
Écrit n°1 : 2ème
jet.
C’était une après-midi glaciale en hiver que je partis pour un voyage en
mer en direction du nouveau monde. Au bout de quelques heures, la
nuit tombat sur moi et je commençais à avoir un sentiment de peur
horrible qui s’abbattait sur moi à l’idée de navigué la nuit. C’était une
nuit noire et très inquiétantes.
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Écrit n°2 : 1er
jet.
J’étais sur le pont du bateau avec quelques matelots quand tout à
coup, Je vis un brouillard blanc très epais qui semblait se dirigé droit
sur moi à une vitesse impressionnante, le brouillard se rapproché
dangereusement, le vent se mit à gemir avec des sifflements
inquiétants, les vagues frappés brutalement et de plus en plus fort, les
vagues frappés contre la coque du navire, et j’entendis des hurlements
angoissants de matelots décédés dans ma tête. Plus le brouillard se
rapproché de moi et plus j’entendais des gémissements qui
provenaient de l’intérieur du brouillard qui commençaient vraiment à
m’épouvanté. Toute l’équipage se mit à s’affolé et àcrié de fair retour
en arrière, mais il était trop tard car le brouillard avait encerclé le
navire et semblait faire une etrange danse funèbre autour de moi et il
se mit à sortir des vagues de fumées qui enlevèrent tous les hommes
Écrit n°2 : 2ème
jet.
J’étais sur le pont du bateau avec des matelots quand tout à coup, Je vis
un brouillard blanc horrifiant et très epais qui semblait se dirigé droit
sur moi à une vitesse impressionnante, le brouillard se rapproché de
plus en plus et le vent se mit à gemir brutalement, les vagues très
stressantes frappés avec une force colossale contre la coque du navire,
De plus j’entendis des hurlements inquiétants de matelots décédés
dans ma tête. J’étais terrifié à l’idée de voir le brouillard avancé vers
moi. Plus le brouillard repoussant s’approchait et plus j’entendais des
gemissements effroyable qui venait de l’intérieur du brouillard qui
commençait vraiment à m’épouvanté. Toute l’équipage se mit à s’affolé
et à crié de fair demi-tour, mais en vain, il était trop tard car le
brouillard avait déjà encerclé le navire et semblait fair une danse
angoissante autour de moi et il se mit à sortir des sortes de vagues de
XL
d’equipages. Le brouillard disparu petit à petit, j’etais terrorisé et je vis
au loin une ile, sans doute, le nouveau monde…
fumées qui enlevèrent tous les hommes d’équipages. Il disparu petit à
petit avec les cries de peur de toute l’equipage decimé et je m’apercu
que j’etais tout seul sur ce navire de fortune, le brouillard avait
kidnappé et asphyxié sauvagement toute l’équipage qui
m’accompagné, ce brouillard m’avait glacé tout mon sang et les os
jusqua la moëlle et je vis au loin une île, sans doute, le nouveau
Monde…
Écrit n°3 : 1er
jet.
Le navire se posat tout seul délicatement sur une plage d’un calme très
stressant. Au bord des côtes, les vagues se brisaient sur les rochers
avec les débrits de navire échoué. Aurai-je rêvé ? J’en doute.
Un petit groupe d’hommes noirs nus s’approchaient du navire sans
doute pour voir si il y avait des survivants. Je decendis du navire en
faisant des signes de paix, j’étais sauvé.
XLI
Écrit n°1 : 2ème
jet.
C’était une après-midi glaciale en hiver que je partis pour un voyage en
mer en direction du nouveau monde. Au bout de quelques heures, la
nuit tombat sur moi et je commençais à avoir un sentiment de peur
horrible qui s’abbattait sur moi à l’idée de navigué la nuit. C’était une
nuit noire et très inquiétantes.
Ecrit n°1 : version finale
C’est par une après-midi d’hiver que je partis pour un voyage en mer en
direction du nouveau monde. Au bout de quelques heures de
navigation, la nuit tomba.
Je commençais à avoir un sentiment de peur horrible à l’idée de
naviguai la nuit. C’était une nuit noire et très inquiétante.
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Écrit n°2 : 2ème
jet.
J’étais sur le pont du bateau avec des matelots quand tout à coup, Je
vis un brouillard blanc horrifiant et très epais qui semblait se dirigé
droit sur moi à une vitesse impressionnante, le brouillard se rapproché
de plus en plus et le vent se mit à gemir brutalement, les vagues très
stressantes frappés avec une force colossale contre la coque du navire,
De plus j’entendis des hurlements inquiétants de matelots décédés
dans ma tête. J’étais terrifié à l’idée de voir le brouillard avancé vers
moi. Plus le brouillard repoussant s’approchait et plus j’entendais des
gemissements effroyable qui venait de l’intérieur du brouillard qui
commençait vraiment à m’épouvanté. Toute l’équipage se mit à
s’affolé et à crié de fair demi-tour, mais en vain, il était trop tard car le
brouillard avait déjà encerclé le navire et semblait fair une danse
angoissante autour de moi et il se mit à sortir des sortes de vagues de
fumées qui enlevèrent tous les hommes d’équipages. Il disparu petit à
petit avec les cries de peur de toute l’equipage decimé et je m’apercu
que j’etais tout seul sur ce navire de fortune, le brouillard avait
kidnappé et asphyxié sauvagement toute l’équipage qui
m’accompagné, ce brouillard m’avait glacé tout mon sang et les os
jusqua la moëlle et je vis au loin une île, sans doute, le nouveau
Monde…
Écrit n°2 : version finale
J’étais sur le pont du bateau avec des matelots quand tout à coup, je vis
une masse blanchâtre horrifiante et très épaisse qui semblait se
dirigeaient droit sur moi à une vitesse impressionante, le brouillard se
rapprocha de plus en plus et le vent se mit à gémir brutalement, les
vagues immense frappèrent avec une force colossale contre la coque
du navire. De plus j’entendai dans ma tête, des hurlements inquiétants
et insupportables de matelots décédés. J’étais terrifié à l’idée de voir
cette fumée avancait vers moi tel une faucheuse vers sa proie. Plus ce
brouillard repoussant s’approchait et plus j’entendais des
gémissements effroyables qui venaient de l’intérieur et commençaient
vraiment à m’épouvantaient. Tout l’équipage se mit à s’affolait et à
criait de faire demi-tour, mais en vain, il était trop tard, la masse
blanchâtre avait déjà encerclé le navire et semblait faire une danse
angoissante autour de moi, il se mit à sortir des sortes de vagues de
fumées qui enlevèrent tous les hommes de l’équipage. Il disparut petit
à petit avec les cris de peur de tout l’équipage décimé et je m’aperçus
que j’étais tout seul sur ce navire de fortune, cette fumée avait
kidnappé et asphyxié sauvagement toute l’équipage qui
m’accompagnait , ce brouillard m’avait glacé tout mon sang et les os
jusqu’à la moëlle et je vis au loin une île, sans doute, le nouveau
Monde…
XLII
Écrit n°3 : 1er
jet
Le navire se posat tout seul délicatement sur une plage d’un calme très
stressant. Au bord des côtes, les vagues se brisaient sur les rochers
avec les débrits de navire échoué. Aurai-je rêvé ? J’en doute.
Un petit groupe d’hommes noirs nus s’approchaient du navire sans
doute pour voir si il y avait des survivants. Je decendis du navire en
faisant des signes de paix, j’étais sauvé.
Écrit n°3 : version finale
Le navire se posa tout seul délicatement sur une plage d’un calme très
stressant. Au bord des côtes, les vagues se brisaient sur les rochers avec
des débrits de navire échoué. Aurai-je rêvé ? J’en doute.
Un petit groupe d’hommes noirs nus s’approchèrent du navire sans
doute pour voir s’il y avait des survivants. Je decendis du navire en
faisant des signes de paix, j’étais sauvé.
XLIII
Annexe 18
Analyse linguistique des erreurs morphographiques dans la
production de Rémy
1er jet Ecriture finale
Orthographe lexicale :
1) Graphie phonétiquement juste :
consonne double, h à
l’intérieur d’un mot, finale
muette ou non
Balot, l’intérieure, bisard,
corp, déchictée, compagny,
horifié, bats, un
cauchemard, bisarre,
j’aphréenda, blotis
J’appréenda, blotis
transcription du son j, i,
ə
En voillant, pijama, fesait fesait
2) Segmentation :
Se mit, je mettait
3) Graphie phonétiquement erronée :
Règles de position Frison, ne bouga plus
accents Crane, presence
4) Paronymie
Affliger/infliger, affrayants affrayants
Orthographe grammaticale :
1) Accords dans le groupe nominal
Absence de marque de
nombre
Déterminant
comportant une
marque de nombre
Les cri, des geste bisard,
ces yeux rouge et
effrayant, ses hurlement,
c’est crie horrible, mes
pied, des chose incroyable
- déterminant ne
comportant pas de
marque de nombre
D’énorme frison, beaucoup
de frisson, d’énorme
hurlement éffrayant, 2
minutes
Absence de marque de
genre
L’obscurité la plus total,
une peur bleu, ma main
plein de sang, quel était
cette créature, les mains
les mains recouverte
XLIV
recouverte
Présence de marque indue
(genre ou nombre)
Les cries, le corp
complètement déchictée,
ce jours la, un hotel désert
et abandonnée, est-il
abandonnée ? cette hotel,
l’homme s’arrêta nette,
évanouie, endormie, en
plein millieux, un
cauchemars
un hotel désert et
abandonnée, cette hotel,
en plein millieux, un
cauchemars
Morphosyntaxe verbale :
Désinence d’un mode
personnel pour un mode
impersonnel
Soleil tapent, en se
ferment, effrayent, en
défoulent, affolent
Prit d’un sursaut de
frayeur, je l’avait mit, j’ai
agit
affolent
Désinence d’un mode
impersonnel pour un mode
personnel
Je partie, un homme sortie,
je sentie, la porte se
rouvrie, excusé, je
ramassée, je tremblotté, je
m’évanouie
je m’évanouie
Désinence de 3ème
personne pour 1ère
personne (ou inversement)
J’avança, approcha,
m’ouvra, je commença, je
m’enfonça, j’appréhendé,
j’en profita, je ramassa, je
vit (2), je me mit, je
trébuchat, je l’avait mit, je
comprit, j’avait, je ne
savait, je ne sait pas
j’approcha (2), sentit, je
me blottit, je me retrouva,
je mettait, je fit,
s’annonçais, c’étais,
J’aphréenda, le bruit du
bois qui craquais,
d’énormes hurlements
effrayants qui me fis
sursauter, je rentra, le sol
s’annonçais, c’étais,
J’aphréenda, le bruit du
bois qui craquais,
d’énormes hurlements
effrayants qui me fis
sursauter, je rentra, le sol
craquais, les yeux se
fermais, je cria, je tombas
XLV
craquais, les yeux se
fermais, je cria, je tombas
Absence de désinence de
personne
j’entendi, j’ouvri
Désinence redoublée il trébuchat, je le frappas,
je sursautas, je me
retrouvas
je le frappas, je sursautas,
je me retrouvas
Analogie
- alignement de
l’infinitif sur suffire
commença à pourire, en
train de pourire, courire
Alignement du
passé simple sur
finir
je tombie, je me réveilli (-s)
je me réveilli (-s)
Absence de marque de
pluriel (verbe d’une
relative en « qui »
essentiellement)
Les volets qui claque (2) les
hurlements du vent qui
frapper, des hurlements
qui se rapproche, d’énorme
hurlement éffrayant qui
me fit sursauter, ces yeux
rouge qui me fixa, les yeux
se ferma, les volets
claquait, les yeux (…) se
rendit plus visibles
les volets claquait, les yeux
(…) se rendit plus visibles
Préposition + infinitif pour évité, pour le regardé
Homophonie
a pour à
locutions
adverbiales ou
prépositionnelles
Petit a petit, a l’intérieure,
jusqu’à, a cause
groupe
prépositionnel avec
nom ou infinitif
A chaque coup de vent, a
en avoir d’enorme frison,
rien qu’a entendre, a mes
pieds
a pour à ; -é pour -er à
XLVI
proxilité
périphrases
verbales en à +
infinitif
Commença a pourire, je
commença a lui parlé,
commença a craché de la
bave et du sang, je me mit
a courir, commença a
avancé, je sentie le stres
monté en moi, il se mit a
craché du sang, je me
prépara a lui affliger, je me
mit a paniqué
peut pour peu Un peut plus
c’est, ces et ses C’est yeux remplis de sang,
ces yeux rouge effrayant
la pour là La, ce jour la ce jour la
sa pour ça Comme sa
XLVII
Annexe 19
Analyse linguistique des erreurs morphographiques dans la
production de Christopher
1er jet Ecriture finale
Orthographe lexicale : 1) Graphie
phonétiquement juste :
Fair, jusqua impressionnante
Orthographe grammaticale : 2) Accords dans le groupe nominal
Absence de marque de nombre
Déterminant comportant une marque de nombre
D’équipages, des gémissements effroyable
Les vagues immense
Présence de marque indue (genre ou nombre)
Quelques heures de navigations, Une nuit noire et très inquiétantes, un petit groupe d’hommes noirs s’approchaient, les cries, toute l’équipage
Morphosyntaxe verbale : Désinence d’un mode
personnel pour un mode impersonnel
Semblait se dirigé,
Désinence d’un mode impersonnel pour un mode personnel
le brouillard se rapproché, les vagues frappés, qui m’accompagné
Absence de désinence de personne
J’aperçu, il disparu
Désinence redoublée La nuit tombat, le navire se posat
Absence de marque de pluriel (verbe d’une relative en « qui » essentiellement)
Des gémissements qui venait et qui commençait
Préposition + infinitif à m’épouvanté, à s’affolé et à crié,
périphrases verbales en « de » + infinitif
Idée de navigué
XLVIII
Annexe 20
Analyse linguistique des erreurs morphographiques dans la
production de Martin
1er jet Ecriture finale
Orthographe lexicale :
1) Graphie phonétiquement juste :
consonne double, finale
muette ou non
Térifiant, samblé, pluis, en
entrand, le couloire,
résoner, telement
transcription du son s Je commencais
2) Graphie phonétiquement erronée :
accents Hotel, desert, éffrayé, etre,
paniquér, fenetre
3) homonymie
Raisonait/résonner
Orthographe grammaticale :
3) Accords dans le groupe nominal
Absence de marque de
nombre
- Déterminant
comportant une
marque de nombre
Des bruits stressant, tout
mes meubles, les zombie
- déterminant ne
comportant pas de
marque de nombre
Une horde de zombie
Absence de marque de
genre
Présence de marque indue
(genre ou nombre)
Des, je suis sortie
Morphosyntaxe verbale :
Désinence d’un mode
personnel pour un mode
impersonnel
J’ai cru halluciné, samblé
raisonait
Désinence d’un mode
impersonnel pour un mode
personnel
Je suis aller, samblé
raisonait, je penser, j’été,
je commencé, j’angoissé,
des bruits stressant
XLIX
continuer, je suis
retourner, j’hésiter, j’ai
vue, les zombies
commencer, tout était
ranger, je trouver, je venez
Désinence de 3ème
personne pour 1ère
personne (ou inversement)
J’apprit
Absence de désinence de
personne
Je m’enfui
Analogie
Alignement du
passé simple sur
aimer
J’entendai
Absence de marque de
pluriel (verbe d’une
relative en « qui »
essentiellement)
Tous les meubles de ma
chambre était
Des cris terrifiants semblai
Préposition + infinitif
Homophonie
Ou pour où Ou la pluie
a pour à Je pensais a
périphrases
verbales en à +
infinitif
Je commençais a angoissé
se pour ce Se que je venais de voir
mais pour mes Tous mais meubles
sa pour ça Je trouvais sa bizarre
L
Annexe 21
Grille d’auto-évaluation
Projet d’écriture : Ecrire une scène de peur fantastique.
GRILLE D’AUTO-EVALUATION.
Ai-je bien respecté les consignes d’écriture ?
Consignes oui non oui non remarques
1. La situation initiale : ancrer le récit dans une
réalité inquiétante :
ma situation initiale présente-t-elle : - le lieu - le moment de la journée - les conditions atmosphériques
Mon début de récit est-il ancré dans la réalité ?
Cette réalité est-elle inquiétante ?
Ai-je utilisé le procédé de la personnification ?
Y en a-t-il au moins 3 exemples ?
Mon récit est-il rédigé à la 1ère personne du singulier ?
2. La scène de peur : décrire la peur croissante
qu’éprouve le personnage dans la situation effrayante où il se trouve en utilisant le
vocabulaire approprié :
Un événement surnaturel survient-il ?
Le héros éprouve-t-il de la peur ?
Le vocabulaire de la peur est-il employé ?
Trouve-t-on au moins 10 expressions différentes pour exprimer la peur ?
L’intensité de la peur va-t-elle crescendo ?
3. La situation finale : le retour à la normale et le mécanisme de l’étrangeté :
Tout revient-il à la normale dans la situation finale ?
Le narrateur exprime-t-il ses doutes et son inquiétude face aux événements auxquels il vient d’être confronté ?
Les procédés de la modalisation du doute sont-ils employés ?
Combien de procédés différents ont été utilisés ?
LI
Annexe 22
Plan de travail de réécriture
1. Je vérifie que j’ai bien respecté les consignes d’écriture à l’aide de la grille d’auto-évaluation.
2. J’améliore mon texte en me guidant des codes de correction de mon professeur.
3. Pour cela, j’utilise les outils mis à ma disposition : fascicule de correction, dictionnaires, fiches de
grammaire, lexique, etc.
4. Je comprends le code de correction :
A COMME ACCORDS :
A1 du verbe avec le sujet
A2 de l’adjectif avec le nom
A3 du participe passé avec les auxiliaires « être » et « avoir »
C COMME CONJUGAISON :
- je vérifie la terminaison du verbe dans le Bescherelle de conjugaison ou dans les tableaux du
fascicule de correction.
H COMME HOMOPHONE :
H1 « ces, ses, c’est, s’est, sais, sait »
H2 « ça, sa »
H3 « ce, se, ceux »
H4 « ou, où »
H5 « on, ont »
O COMME ORTHOGRAPHE :
- je cherche dans le dictionnaire, l’orthographe du mot ou dans le Bescherelle.
P COMME PHRASE ET PONCTUATION :
- je fais des phrases courtes.
- une phrase = une idée ou une action.
- j’utilise les signes de la ponctuation.
R COMME REPETITION :
- je cherche un synonyme
- j’utilise ma fiche grammaire sur la cohérence textuelle.
LII
Annexe 23
Fascicule d’aide à la correction
Fascicule d’aide à la correction de A à Z.
Madame Perrin
LIII
A COMME ACCORDS
LIV
A1 accord du verbe avec le sujet :
Le verbe s’accorde en personne et en nombre avec son ou ses sujets en général placés devant le verbe.
Attention, il existe des sujets inversés. Le verbe s’accorde avec le noyau (mot le plus important) du groupe sujet.
Ex. : Le plus grand des loups était blanc. Le verbe s’accorde avec l’antécédent du pronom relatif (qui, que).
Ex. Le loup blanc qui mène la meute est très intelligent. Le verbe se met :
- au singulier ou au pluriel quand le sujet est une quantité indiquée par le premier nom (une dizaine de…, une foule de …) - au singulier quand il est un pronom ou un déterminant indéfini (on, rien, personne…/chaque, aucun…) ; - au pluriel avec plusieurs, beaucoup, peu, trop, la plupart… ; - à la 1ère ou 2ème personne du pluriel avec : nom+moi (=nous), nom+toi (=vous)
A2 de l’adjectif avec le nom :
L’adjectif qualificatif (ou le participe passé) s’accorde en genre et en nombre avec le nom (ou le pronom) qu’il qualifie.
Si l’adjectif qualificatif qualifie plusieurs noms, il se met au pluriel.
S’il qualifie des noms de genres différents, il se met au masculin.
Quand l’adjectif de couleur est seul, il s’accorde ; quand il est composé, il ne s’accorde pas.
Ex. : Des rideaux jaunes (accord), mais des rideaux jaune citron (invariable)
Certains deviennent des adverbes et sont alors invariables : pour s’en assurer, il suffit d’essayer de les passer au féminin.
Ex. Elle était fort gentille et voyait clair.
A3 du participe passé avec les auxiliaires « être » et « avoir » :
Il y a trois règles d’accord du participe passé.
Le participe passé employé sans auxiliaire s’accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom auquel il se
rapporte. Il a les mêmes fonctions qu’un adjectif qualificatif.
Le participe passé employé avec l’auxiliaire être s’accorde avec le sujet du verbe. (Bien repérer être conjugué aux temps
composés, car il utilise l’auxiliaire avoir !)
Ex. Les vitres sont/ ont été changées.
Le participe passé employé avec l’auxiliaire avoir ne s’accorde jamais avec le sujet du verbe mais il s’accorde avec le COD
si celui-ci est placé avant l’auxiliaire.
Ex. Quels voyages as-tu projetés ?
LV
C COMME CONJUGAISON
LVI
Extrait de Nouvelle grammaire du collège, sous la direction de Céline Dunoyer, Magnard, 2007
LVII
Extrait de Nouvelle grammaire du collège, sous la direction de Céline Dunoyer, Magnard, 2007
LVIII
Extrait de Nouvelle grammaire du collège, sous la direction de Céline Dunoyer, Magnard, 2007
LIX
Extrait de Nouvelle grammaire du collège, sous la direction de Céline Dunoyer, Magnard, 2007
LX
Extrait de Nouvelle grammaire du collège, sous la direction de Céline Dunoyer, Magnard, 2007
LXI
Extrait de Nouvelle grammaire du collège, sous la direction de Céline Dunoyer, Magnard, 2007
LXII
Extrait de Nouvelle grammaire du collège, sous la direction de Céline Dunoyer, Magnard, 2007
LXIII
H COMME HOMOPHONE
LXIV
H1 « ces, ses, c’est, s’est, sais, sait »
On distingue les homophones grammaticaux par leur nature.
CES/SES : ce sont, respectivement, des déterminants démonstratif et possessif. Ils accompagnent un groupe nominal
ou un nom.
C’EST/S’EST/SAIT/SAIS : ils comportent les verbes être et savoir.
- On peut les mettre à l’imparfait pour vérifier leur orthographe.
Ex. C’est hierC’était hier/Elle sait lireElle savait lire.
- Pour différencier s’est et c’est, on emploie cela à la place de c’.
Ex. C’est hierCela était hier.
- Pour repérer s’, on peut transformer s’ en m’.
Ex. Il s’est coifféJe m’étais coiffé.
Il faut donc être attentif au sens de ces mots, à leur place dans la phrase et aux mots qui les accompagnent !
H2 et H3 « ça, sa, ce, se, ceux »
ÇA = On peut le remplacer par cela.
SA = On peut le remplacer par ma ou ta.
CE = soit on peut passer l’expression au singulier : c’est.
= soit on peut le remplacer par ce…-là : ce renard-là.
SE = on peut le remplacer par me : se lève, me lève.
CEUX = on peut le remplacer par les personnes : ceux qui veulent, les personnes qui veulent.
H4 et H5 « ou, où/on, ont »
Les homophones OU/OÙ :
OU peut être remplacé par ou bien.
Ex. Tu préfères les poires ou bien les bananes ?
OÙ est :
- soit un pronom relatif avec sa subordonnée relative
Ex. Ils ont bien mûri dans le plat où ils sont posés.
- Soit un adverbe interrogatif.
Ex. Où est-il ?
Les homophones ON/ONT :
ON est un pronom personnel indéfini, sujet du verbe qui le suit.
ONT est l’auxiliaire avoir conjugué au présent, à la 3ème personne du pluriel. On peut le remplacer par avaient.
Ex. Ils avaient bien mûri.
LXV
P COMME PHRASE ET PONCTUATION
LXVI
QUELQUES SIGNES DE PONCTUATION
LXVII
Annexe 24
Résultats à l’outil de positionnement : le questionnaire réflexif
1) Expliquez comment vous faites pour reconnaître un nom commun dans une phrase.
Groupe de 20 élèves
répartis sur deux classes Terminale 13 élèves
Première 7 élèves
Réponses justifiées par un seul critère :
Critères sémantiques :
Un objet, une chose, un animal
3 3 0
il a une minuscule contrairement au nom propre
1 0 1
Sous-total : 4 = 20 % 3 1
Critères morphologiques :
On peut le mettre au pluriel
1 1 0
Sous-total 1 = 5 % 0 0
Critères syntaxiques :
Il est accompagné d’un déterminant
1 0 1
Il peut être accompagné d’un adjectif
2 1 1
Sous-total 3 = 15 % 2 2
Réponses justifiées par deux critères :
C’est un être ou une chose comme un objet, une personne, un animal. Il est accompagné d’un déterminant et parfois d’un adjectif
1 1 0
La 1ère
lettre est une minuscule et il y a un déterminant
1 1 0
Un nom c’est comme par exemple « une ville » et parfois, il a une majuscule
1 0 1
Sous-total : 3 = 15 % 2 1
LXVIII
Autre réponse :
Il est placé après un verbe 1 = 5 % 1 0
Absence de justification :
Je ne sais pas 6 3 3
C’est instinctif 2 2 0
Sous-total 8 = 40% 5 3
2) Expliquez comment vous faites pour reconnaître un verbe dans une phrase.
Groupe de 20 élèves
répartis sur deux classes
Terminale
13 élèves
Première
7 élèves
Réponses justifiées par un seul critère :
Critères sémantiques :
Il désigne une action 3 = 20% 3 0
Critères morphologiques :
Parce qu’il est conjugué ou
est conjugable 7 4 3
A sa terminaison 1 1 0
On peut le mettre à
l’infinitif 1 0 1
Sous-total 9 = 45 % 5 4
Réponses justifiées par plusieurs critères :
Parce qu’il est conjugué et
a un pronom personnel
devant/ on peut le
conjuguer avec des
pronoms personnels
3 2 1
On peut le conjuguer à
plusieurs temps et
l’accorder avec le sujet
1 0 1
Il peut être conjugué à
l’infinitif, il désigne une
action, il est placé à un
endroit précis dans la
1 1 0
LXIX
phrase
Il finit par « er » ou il est
conjugable 1 1 0
Sous-total 6 = 30 % 4 2
Autres justifications :
Après le sujet 1= 5% 0 1
Absence de justification :
Je ne peux pas expliquer 1 = 5% 1 0
3) Quelle méthode utilisez-vous pour accorder les différents mots du groupe nominal (dét-
N-adj) ?
Groupe de 20 élèves
répartis sur deux classes
Terminale
13 élèves
Première
7 élèves
Réponses pertinentes :
Je regarde le sujet et le
contenu de la phrase 1 0 1
Je regarde s’il y a un
ensemble de mots qui
s’accorde
1 0 1
J’accorde en genre et en
nombre 1 0 1
Je regarde si la phrase est
au pluriel ou au singulier 1 1 0
On met les marques de
féminin, masculin, pluriel,
singulier
2 2 0
J’accorde le déterminant et
l’adjectif par rapport au
nom
1 1 0
Sous-total 7 = 35% 4 3
Réponses très approximatives ou erronées :
En utilisant différents types
de déterminants 1 1 0
LXX
Avec des mots de liaison
comme avec et beaucoup 1 1 0
Je les conjugue en même
temps (ex : présent, futur,
imparfait)
1 1 0
Sous-total 3 = 15 % 3 0
Absence de justification :
Je ne sais pas faire ou je ne
sais plus 7 3 4
Je ne comprends pas le
mot « accorder » 1 1 0
Je ne sais pas expliquer 1 1 0
Aucune réponse 1 1 0
Sous-total 10 = 50 % 6 4
4) Quelle méthode utilisez-vous pour accorder le sujet et le verbe ?
Groupe de 20 élèves
répartis sur deux classes
Terminale
13 élèves
Première
7 élèves
Réponses pertinentes :
Je regarde le sujet 1 1 0
J’accorde en genre et en
nombre avec le sujet ou au
féminin/masculin,
singulier/pluriel
3 2 1
Je les conjugue et je les
accorde au même temps,
soit au pluriel ou au
singulier
1 1 0
Je remplace le sujet par un
pronom qui correspond 1 1 0
Cela dépend de la personne
à laquelle on conjugue 1 0 1
Sous-total 7= 35 % 5 2
Réponses très approximatives ou erronées :
Un déterminant 1 1
LXXI
Je mets un sujet et un verbe 1 0 1
On utilisant la bonne
conjugaison 1 1 0
En changeant la
terminaison 1 1 0
Sous-total 4 = 20 % 3 1
Absence de justification :
Je le fais instinctivement 5 2 3
Je ne sais plus 1 1 0
Je n’ai pas de méthode 1 0 1
Je ne comprends pas le mot
« accorder » 1 1 0
Aucune réponse 1 1 0
Sous-total 9 = 45 % 5 4
LXXII
Annexe 25
Résultats à l’outil de positionnement : dictée n°1
Items de la dictée n°1 : Choix orthographiques et nombre de réponses associé :
tous les enfants - Tous les enfants = 13 soit 68.42%
- Tout les enfants = 5
- Touts les enfants = 1
Encombrés - Encombrés = 10 soit 52.63 %
- Encombrer = 4
- Encombrées = 2
- Encombraient = 1
- Encombré = 1
- Encombrée = 1
Arrivent - Arrivent = 15 soit 78.94 %
- Arrive = 4 soit 21.05 %
Se heurtent - Se heurtent = 8 soit 42.10 %
- Ce heurtent = 3
- Se heurte = 3
- Ce heurte = 3
- Ceux heurtent = 1
- Se heurtes = 1
Fermées - Fermées = 10 soit 52.63 %
- Fermé = 4
- Fermés = 2
- Fermer = 2
- Ferme = 1
Lisent - Lisent = 14 soit 73.68 % Lise = 4
- Lises = 1
Reprennent - Reprennent = 15 soit 78.94 %
- Reprenne = 4 soit 21.05 %
Effarés - Effarés = 8 soit 42.10 %
- Effaré = 3
- Effarer = 5
- Effarées = 3
Où - Où = 11 soit 57.89 %
- Ou = 8 soit 42.10 %
Aller - Aller = 14 soit 73.68 %
- Allé = 3
- Allez = 2
Quitter - Quitter = 17 soit 89.94 %
- Quitté = 2 soit 10.52 %
Où - Où =13 soit 68.42 %
- Ou = 6 soit 31.57 %
Ils - Ils = 18 soit 94.73 %
- Il = 1 soit 5.26 %
Soit 36.84
%
Soit 47.36 %
Soit 57.89 %
Soit 47.36 %
Soit 26.31 %
Soit 57.89
%
Soit 26.31 %
LXXIII
Trouveraient - Trouveraient = 13 soit 68.42 %
- Trouverai = 2
- Trouverés = 1
- Trouverait = 2
- Trouvere = 1
Manger - Manger = 16 soit 84.21 %
- Mangé = 1
- Mangeaient = 2
Soit 31.57 %
Soit 15.78 %
LXXIV
Annexe 26
Résultats à l’outil de positionnement : questionnaire métagraphique
de la dictée n°1
Item à justifier Choix orthographiques Justifications
Tous
- tous (12)
- Car derrière il y a « les » (1)
- Car cela renvoie à plusieurs enfants (6)
- En rapport avec les enfants et la mère donc
plusieurs personnes (3)
- Pour faire la liaison, car il y a plusieurs enfants
(1)
- Car ce sont des personnes donc « s » et pas
« t » car ce ne sont pas des objets » (1)
- Au hasard (1)
- tout (6) - Car c’est la totalité des enfants (1)
- Absence de réponse (1)
- Je ne sais pas (2)
- Instinctif (1)
- touts (1) - « il » est au pluriel (1)
Encombrés
- encombrés (10) - ce sont les enfants et la mère qui sont
encombrés et le féminin<masculin (2)
- parce que c’est la mère et tous ses enfants qui
sont encombrés (3)
- genre et nombre (1)
- c’est le masculin qui domine sur le féminin lors
des conjugaisons : les enfants et la mère (1)
- parce qu’à l’imparfait ça n’avait pas de sens (1)
- aucune justification (2)
- encombrer (4) - je suppose que c’est comme ça (1)
- car c’est au présent (1)
- aucune justification (1)
- au hasard (1)
- encombrées (2) - ils sont plusieurs et il y a une fille « la mère
donc « ées » (1)
- car la « mère » est au féminin et « les enfants »
est au pluriel (1)
- encombraient (1) - car c’est une conjugaison au pluriel donc ils
sont plusieurs (1)
- encombré (1) - il y a un « m » avant tous les « b » (1)
- encombrée (1) - car c’est la mère qui est encombrée donc c’est
au féminin (1)
Arrivent - arrivent (15) - car « arriver » est un verbe et le sujet c’est la
LXXV
mère et les enfants donc « ils » ou on peut les
remplacer par le pronom « ils » (4)
- car c’est la mère et les enfants qui arrivent
donc pluriel (5)
- car c’est les enfants et la mère qui arrivent et
c’est au présent, dans le groupe « er » (2)
- ils sont plusieurs donc « ent » (2)
- car c’est les enfants donc « ent » (1)
- terminaison « ent car c’est une conjugaison au
pluriel donc ils sont plusieurs (1)
- au hasard (1)
- arrive (4) - aucune justification (2)
- car c’est comme ça que ça s’écrit (1)
Effarés
- effarés (8) - c’est les enfants et la mère et le masculin
domine le féminin (2)
- ce sont les enfants et la mère qui sont tous
effarés donc pluriel (2)
- car ils sont tous « effarés » (1)
- accorder avec la famille (1)
- j’accorde au masculin et au pluriel (1)
- aucune justification (1)
- effaré (3) - aucune justification (2)
- au hasard (1)
- effarer (5) - c’est au présent (1)
- c’est à l’infinitif (1)
- je ne sais pas comme ça s’écrit (2)
- aucune justification (1)
- effarées (3) - ils sont plusieurs et il y a la mère donc « ées » à
la fin et « é » car c’est une action ou une
expression des personnages.(1)
- Car c’est la mère et tous les enfants donc
« ées » (1)
- Aucune justification (1)
Où
- où (13) - car c’est un pour un lieu, la capitale (7)
- indice de lieu et non de choix (1)
- car il y a une virgule avant le « où » (1)
- avec un accent car il se pose la question (1)
- aucune justification (3)
- ou (6²²) - car on ne peut pas dire « ou bien que » (1)
- car on peut dire « ou bien » (1)
- c’est au présent (1)
- aucune justification (3)
Ils - ils (18) - les enfants et la mère et le masculin l’emporte
sur le féminin (1)
LXXVI
- c’est la mère et les enfants (9)
- ils sont plusieurs (la famille) (6)
- c’est tout le monde (1)
- « il » est au pluriel (1)
- il (1) - aucune justification (1)
Quitter
- quitter (17) - test avec un verbe du 3ème
groupe, on ne peut
pas dire « mordu » donc infinitif (2)
- car on peut dire prendre/ comment vendre (2)
- parce que je peux le remplacer par « finir » et
non pas « finis » (1)
- infinitif, je mords donc « er » (1)
- je l’ai mis à l’indicatif car on peut dire
« comment prendre » donc je mets « er » à la
fin (1)
- il n’y a pas de sujet/il n’y a pas de pronom
personnel (2)
- à l’infinitif (1)
- c’est au présent (1)
- je suppose que c’est comme ça (1)
- c’est la seule façon de l’écrire (1)
- aucune justification (4)
- quitté (2) - conjugué comme les autres verbes au même
temps (1)
- aucune justification (1)
LXXVII
Annexe 27
Résultats à l’outil de positionnement : dictée n°2
Items de la dictée
n°1 :
Choix orthographiques et nombre de réponses associé :
tous les émigrants - Tous les émigrants = 12 soit 70.58%
- Tous les émigrant = 1
- Touts les émigrants = 1
- Tout les émigrants = 3
N’étaient pas obligés - n’étaient pas obligés = 8 soit 47.05 %
- n’étaient pas obligé = 3
- n’étaient pas obliger = 3
- n’était pas obliger = 2
- n’étaient pas obligeait = 1
passer - passer = 14 soit 82.35 %
- passés = 1
- passait = 2
Les émigrants - Les émigrants = 13 soit 76.47 %
- les émigrant = 4 soit 23.52 %
Devaient passer - devaient passer = 7 soit 41.17 %
- Devaient passés = 5
- Devaient passé = 1
- Devait passer = 1
- Devez passer = 1
- Devaient passaient = 1
- Devaient passait = 1
étaient - étaient = 12 soit 70.58 %
- étais = 1
- était = 3
- été = 1
ceux - Ceux = 13 soit 76.47 %
- Ce = 4 soit 23.52 %
Soit 29.41%
Soit 52.94 %
Soit 17.64 %
Soit 58.82 %
Soit 29.41 %
LXXVIII
S’entassaient - S’entassaient = 8 soit 47.05 %
- S’entassais = 1
- S’entassés = 2
- S’entasser = 6
Des paillasses
superposées
- Des paillasses superposées = 5 soit 29.41 %
- Des paillasses superposés = 4
- Des paillasse superposés = 1
- Des paillasses superposer = 3
- Des paillasse superposer = 1
- Des paillasses superposé = 1
- Des paillassent superposé = 1
- Des paillassent superposés = 1
voyageaient - voyageaient = 8 soit 47.05 %
- voyageais = 2
- voyagés = 2
- voyager = 2
- voyager = 2
- voyageait = 1
Grands dortoirs - Grands dortoirs = 2 soit 11.76 %
- Grands dortoir = 3
- Grand dortoir = 12
où - où = 6 soit 35.29 %
- ou = 11 soit 91.66 %
Deux mille passagers - Deux mille passagers = 1 soit 5.88 %
- Deux milles passagers = 5
- 2000 passagés = 2
- 2000 passagers = 1
- Deux milles passagés = 1
- Deux milles passager = 4
- 2000 passager = 2
- Deux mille passager = 1
Soit 70.58 %
Soit 52.94 %
Soit 52.94 %
Soit 88.23 %
Soit 41.17 %
Soit 52.94 %
Soit
58.82 %
LXXIX
Annexe 28
Résultats à l’outil de positionnement : questionnaire métagraphique
de la dictée n°2
Items à justifier Choix orthographiques Justifications
obligés
- obligés (8)
- Car on peut dire « pris » à la place de
« obligés » et c’est les émigrants qui sont
obligés donc j’ai rajouté un « s » (1)
- un émigrant c’est masculin au pluriel, c’est
conjugué « és » (1)
- c’est masculin - pluriel (2)
- je l’ai mis au pluriel car ce sont les émigrants
(2)
- Etaient obligé on conjugue (1)
- « é » car c’est une action et « s » car ils sont
plusieurs (1)
- obligé (3) - je ne sais pas (1)
- Absence de réponse (1)
- obliger (5) - je suppose que ça s’écrit comme ça (1)
- c’est l’infinitif (1)
- aucune justification (2)
- je ne sais pas (1)
- obligeait (1) - c’est instinctif (1)
Passer (le 1er
)
- passer (14) - on peut le remplacer par
« mordre »/ « finir »/ « prendre »/ un verbe
du 3ème
groupe (4)
- un verbe avant déjà conjugué (1)
- il s’écrit à l’infinitif car il y a un déterminant
devant (1)
- c’est l’infinitif (1)
- je suppose que ça s’écrit comme ça (1)
- je ne sais pas (1)
- aucune justification (5)
- passés (1) - car ce sont les émigrants (1)
- passait (2) - passait de obligé (1)
- j’ai mis tous les verbes conjugués au même
temps (1)
devaient
- devaient (14) - à la 3ème
personne du pluriel car ce sont les
émigrants (4)
- on peut remplacer les émigrants par « ils »
(1)
- j’ai conjugué à la 3ème
personne du pluriel
car ce sont les émigrants qui devaient (1)
LXXX
- c’est la 3ème
personne du pluriel à l’imparfait
(1)
- les émigrants sont plusieurs et c’est au passé
(1)
- car ils sont plusieurs (3)
- je ne sais pas (1)
- aucune justification (2)
- devait (2) - aucune justification (2)
- devez (1) - je suppose que c’est comme ça car c’est leur
devoir (1)
Passer (le 2ème
)
- passer (9) - j’ai mis « er » à la fin car on peut dire
« prendre » à la place de ce verbe/ test avec
un verbe du 3ème
groupe donc infinitif (2)
- un verbe avant est déjà conjugué (1)
- c’est l’infinitif (1)
- je suppose que ça s’écrit comme ça (1)
- je ne sais pas (1)
- aucune justification (3)
- passés (5) - conjugaison avec le mot « devaient » (1)
- je l’ai mis au pluriel car ce sont les émigrants
(2
- car les émigrants est au pluriel et au
masculin (1)
- aucune justification (1)
- passaient (2) - passaient de les émigrants qui devaient (1)
- ils sont plusieurs à passer et c’est conjugué à
l’imparfait avec « ils » (1)
- passait (1) - j’ai mis tous les verbes conjugués au même
temps (1)
Ceux
- ceux (14) - ce sont les émigrants donc des personnes ; il
y en a plusieurs (4)
- c’est le « ce » de «celui-là, ceux-là » (2)
- car c’est une démonstration de quelqu’un
ou de quelque chose qui est faite donc c’est
« c » et non « s » (1)
- il sert à montrer, à désigner les émigrants (1)
- ils sont plusieurs (2)
- s’accorde en genre et en nombre (1)
- c’est eux, je ne sais pas comment dire (1)
- je l’ai mémorisé en le voyant dans les livres
(1)
LXXXI
- aucune justification (1)
- ce (3) - ça s’écrit comme ça ; on peut dire cela (1)
- aucune justification (2)
superposées
- Superposées (6) - paillasses est au féminin et il y en a
plusieurs donc il s’accorde en genre et en
nombre (3)
- une paillasse c’est féminin donc au pluriel
c’est conjugué « ées » (1)
- il s’accorde avec paillasses (1)
- aucune justification (1)
- superposés (5) - car il y a plusieurs paillasses (2)
- il n’y a qu’une façon de l’écrire (1)
- ce sont les lits (1)
- aucune justification (1)
- superposer (4) - je ne sais pas comment l’écrire. Ce sont les
lits qui sont superposés (1)
- j’ai déjà vu ce mot et j’ai retenu comment ça
s’écrit (1)
- aucune justification (2)
- superposé (2) - aucune justification (2)
LXXXII
Annexe 29
Résultats à l’exercice de tri des finales muettes et de justification de
choix
Items Choix orthographiques et nombre de
réponses associé : Justification
Encombrés - Encombrés = 14 soit 70 % - Qui est-ce qui est encombré ? La mère (fém) et
les enfants (masc) ; comme le
masculin>féminin, on met « és » (masc. Pluriel)
- « és » car c’est la mère et tous les enfants qui
sont encombrés ; ils sont plusieurs
- On accorde avec la mère et tous les enfants
- « és » parce qu’ils sont plusieurs et le masculin
l’emporte sur le féminin.
- J’ai mis « és » car ils sont plusieurs
- Je détermine si le sujet est au pluriel ou au
singulier et s’il est au féminin ou au masculin
et ensuite le temps du verbe. Ici, un sujet est
féminin et l’autre masculin. Le masculin
l’emporte sur le féminin, donc « és ».
- Je me pose la question qui fait l’action, si c’est
masculin ou féminin et si c’est au pluriel ou
pas.
- Les enfants et la mère = ils => pluriel et le
masculin>féminin
- Masculin-pluriel ; ce n’est pas un verbe car cela
aurait été dit « sont encombrés »
- Pluriel et masculin
- On ne peut pas dire « encombraient » car le
texte est au passé simple et non à l’imparfait.
- Aucune justification (3)
- Encombrées = 2 - Qui est-ce qui est encombrées ? La mère et
tous les enfants, la mère est au féminin et les
enfants au pluriel donc « ées »
- C’est un verbe d’action ; on ne peut pas le
mettre à l’imparfait, ils sont plusieurs avec une
femme donc « ées »
- Encombraient = 4 - Ça ne peut pas être l’infinitif parce qu’il ya
deux personnes. Je choisis « aient » parce que
c’est le pluriel. C’est de l’imparfait mais je ne
peux pas l’expliquer. Le mot qui vient juste
après le sujet est un verbe donc je conjugue.
- Parce que c’est la mère et tous les enfants
donc c’est du pluriel (2)
- Ils sont plusieurs donc c’est la 3ème
personne
du pluriel
Arrivent - Arrivent = 20 soit 100 % - Pluriel = enfants + la mère
LXXXIII
- « ent » car c’est la mère et tous les enfants qui
arrivent donc je conjugue à la 3ème
pers. du
pluriel.
- Parce que c’est la mère et tous les enfants le
sujet donc je conjugue à la 3ème
personne du
pluriel.
- C’est la famille qui arrive et comme c’est un
verbe je le conjugue et je le mets au pluriel.
- Qui arrive ? la mère et tous les enfants.
- Je me demande si le sujet est au pluriel ou pas
- C’est un verbe et j’ai remplacé par le pronom
« ils »
- C’est « ils arrivent » car ils sont plusieurs
- Je détermine si le sujet est au pluriel ou au
singulier et s’il est au féminin ou au masculin
et ensuite le temps du verbe. Ici, un sujet est
féminin et l’autre masculin. Le masculin
l’emporte sur le féminin.
- parce qu’ils s’accordent avec la mère et les
enfants
- car c’est la mère et tous les enfants qui
arrivent à la gare donc c’est au pluriel
- Ils sont plusieurs donc « ent »
- Verbe au pluriel donc « ent »
- ils sont plusieurs
- ils arrivent
- Aucune justification (3)
- Hasard (1)
Se heurtent - Se heurtent = 19 soit 95 % - « ent » car c’est la mère et tous les enfants qui
arrivent donc je conjugue à la 3ème
pers. du
pluriel.
- Parce que c’est la mère et tous les enfants le
sujet donc je conjugue à la 3ème
personne du
pluriel.
- C’est la famille qui arrive et comme c’est un
verbe je le conjugue et je le mets au pluriel.
- Qui se heurte ? La mère et tous les enfants
donc pluriel.
- Je me demande si le sujet est au pluriel ou pas
- C’est un verbe et j’ai remplacé par le pronom
« ils »
- Verbe au pluriel donc « ent »
- Pluriel = enfants + la mère
- Ils sont au pluriel
- Ils sont plusieurs
- Je détermine si le sujet est au pluriel ou au
singulier et s’il est au féminin ou au masculin et
ensuite le temps du verbe. Ici, un sujet est
féminin et l’autre masculin. Le masculin
l’emporte sur le féminin, donc « és ».
LXXXIV
- Ils sont plusieurs donc « ent » (2)
- parce qu’ils s’accordent avec la mère et les
enfants
- Ils (la mère et tous les enfants) se heurtent aux
portes,
- Aucune justification (3)
- Se heurtes = 1 - Ils sont plusieurs à se heurter aux portes
fermées
Fermées
- Fermées = 15 soit 75 % - « Aux » est au pluriel, « porte » aussi donc
« fermer » sera « ées » car c’est une porte et il
y en a plusieurs.
- J’accorde avec les portes au féminin pluriel.
- Les sujets sont des portes donc féminin
pluriel ; la terminaison est donc « ées »
- Ce sont les portes donc féminin pluriel (3)
- Féminin
- Parce que c’est du féminin pluriel parce que ce
sont les portes qui sont fermées.
- Ce sont les portes qui sont fermées donc
féminin pluriel
- Il y a plusieurs portes et « porte » c’est du
féminin.
- Féminin pluriel
- Aucune justification (3)
- Fermés = 4 - C’est les portes qui sont fermées
- C’est la mère et tous les enfants
- J’ai mis « és » car ils sont plusieurs
- Aucune justification (2)
- Fermaient = 1 - parce qu’il s’accorde avec la mère et les
enfants.
LXXXV
Annexe 30
Résultats de Théo à la dictée n°1 à l’exercice de tri.
Dictée n°1 :
Exercice de tri :
LXXXVI
Annexe 31
Comparaison des justifications de Théo à la dictée n°1 à l’exercice de
tri sur quelques items.
Justifications de quelques items de la dictée n°1 :
Justifications de quelques items à l’exercice de tri
LXXXVII
Annexe 32
Exercice de tri et justification de choix pour le second énoncé de la
dictée n°1
Items
Choix orthographiques et
nombre de réponses
associé :
Justification
Aller - Aller = 10 soit 83.33
%
- Justification par substitution
(7)
- Il n’y pas de pronom (3)
- Allait = 1 - Pas de justification (1)
Quitter - Quitter = 12 soit 100
%
- Justification par substitution
(7)
- Il n’y a pas de pronom (3)
- Aucune justification (2)
Manger - Manger = 7 soit
58.33 %
- Justification par substitution
(6)
- Aucune justification (1)
- Mangeait = 1 - Pas de justification (1)
- Mangeaient = 3 - S’accordent avec le pronom
« ils »/plusieurs personnes (3)
LXXXVIII
Annexe 33
Résultats à l’outil de positionnement : dictée n°3 et questionnaire
métagraphique
items choix orthographiques Justifications
Ce matin - ce (4) soit 100%
- Car on peut dire celui-ci/celui-là ou
ce matin-ci, ce matin-là (2)
- Je ne peux pas dire « me matin » (1)
- Car le mot est en début de phrase
(1)
Se lèvent
- se (4) soit 100 % - on peut le remplacer par « me » (2)
- on ne peut pas dire celui-ci ou celui-
là (1)
- je pense que c’est comme ça (1)
- lèvent (2)
- lèves (1)
- lève (1)
fatiguées
- fatiguées (3) - car c’est au féminin pluriel (1)
- c’est un adjectif et je l’accorde en
genre et en nombre (1)
- qui est fatiguée ? Léa et Lucie donc
féminin pluriel (1)
- fatiguée (1) - car ce sont les filles qui sont
fatiguées (1)
Les épreuves - les épreuves (4)
prêtes
- prêtes (2) - car c’est les deux filles qui sont
prêtes (1)
- aucune justification (1)
- prête (1) - car c’est les filles qui sont prêtes (1)
- prêtent (1) - c’est un verbe et elles sont plusieurs
donc -ent
affronter - affronter (4)
celles - celles (2)
- celle (2)
ceux - ceux (4) soit 100
%
- car ce sont ceux qui avaient prédit,
on les démontre, ce sont eux (1)
LXXXIX
- je pense que c’est comme ça (1)
- aucune justification (2)
avaient
- avaient (2) - Ils sont plusieurs à avoir prédit (1)
- C’est la 3ème personne du pluriel (1)
- avait (1) - Je pense que c’est ça (1)
- Av (1) - Aucune justification
échoueraient
- Echoueraient (1)
- Echouerées (2)
- Echouerée (1)
avaient
- Avaient (2) - Le verbe est conjugué à la 3ème
personne du pluriel (1)
- Ce sont ceux qui avaient prédit (1)
- Avait (1 - Je pense que c’est ça
- Av (1 - Pas de justification
XC
Annexe 34
Révision du texte de Guillaume à l’aide des manipulations syntaxiques