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ité des neuf RPC était inégale. Huit RCP sur neuf n’étaient paspplicables. Il convient de rappeler que l’évaluation de la qualitées RCP ne concerne ici que son élaboration mais pas ses mes-ages cliniques. Un groupe de travail international permettrait leéveloppement d’une RPC sur les DNC de qualité et de mutualiseres moyens (humains, financiers et temps). L’applicabilité doit êtreméliorée.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.212
O15iagnostic des douleurs neuropathiquesancéreuses : comparaison des recommandationse bonne pratique en Europe
. Piano a, S. Verhagen b, J. Burgers c, H. Kress d, R.-D. Treede e,. Lanteri-Minet a, Y. Engels b, K. Vissers b
CHU de Nice, Detd, Nice, FranceUMC St-Radboud, Nimègue, Pays-BasDutch College Of General Practitioner, Utrecht, Pays-BasMedical University Akh Vienna, AutricheHeidelberg University Medical Faculty, Mannheim, Allemagne
bjectifs.— La douleur neuropathique cancéreuse (DNC) touchentre 19 et 39 % des patients soufrant de douleur cancéreuse. Dansne étude précédente, neuf recommandations de pratique cliniqueRPC) avaient été collectées et analysées révélant une importanteétérogénéité dans la qualité de développement. Ces différencesourraient être expliquées par le choix des références bibliogra-hiques. Notre objectif est de comparer les recommandations etes données factuelles citées dans les RPC européennes.atériels et méthodes.— Toutes les références concernant le diag-ostic des DNC dans les RBP européennes ont été collectées etlassées selon le type de référence, la population de patientsoncernée, la nationalité du premier auteur et l’année de publi-ation. Toutes les recommandations cliniques ont été relevées. Lesonnées ont été analyses avec SPSS 16.0.ésultat.— Un total de 146 références a pu être sélectionné dont4 (51 %) concernait la population cancéreuse. Seulement 18 % deséférences étaient en commun entre au-moins deux RPC dont laoitié concernait la population cancéreuse. La moitié des réfé-
ences était des articles concernant la validation d’un outil ou’utilisation d’un outil diagnostique. L’examen clinique était recom-andé dans le diagnostic de la douleur neuropathique mais aucunuestionnaire n’était proposé hormis dans deux RBP.onclusion.— Le lien entre le choix des références bibliographiquest les recommandations n’était pas toujours évident. Une défini-ion précise concernant les DNC et l’utilisation de l’algorithme deiagnostic de la douleur neuropathique proposé par Haanpäa et sonquipe en 2011 semble primordial pour faire avancer le dépistaget du diagnostic de la douleur neuropathique dans cette populatione patients. Une stratégie européenne pour obtenir un consensusst nécessaire car les grades de recommandations restent variablesntre le RPC.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.213
O16élésurveillance des pompes PCA pour
’administration de morphiniques à domicile. Devalois a, C. Jugan a, V. Casenaz a, C. Chevallier-Collins b,. Gasmi a, J.-V. Bourzeix b
CHRD, Pontoise, France
CHUD, Limoges, Francebjectifs.— La mise en œuvre de pompes d’analgésie contrôlée pares patients (patient controlled analgesia [PCA]) afin de prendren charge la douleur dans le cadre de pathologies cancéreuses,
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Actes du congrès de la SFETD, Lille, 21—24 novembre 2012
e heurte souvent à domicile aux difficultés de surveillance et deéévaluation régulière. Celles -ci nécessitent le déplacement duatient vers le référent hospitalier. La télésurveillance, dont lesremières expérimentations remontent à plus de dix ans, est à ceitre une solution intéressante, notamment avec la mise à disposi-ion de nouveau matériel, très simple d’emploi.atients et méthodes.— Parmi les différentes pompes disponiblesour la PCA à domicile, une seule permet actuellement la télésur-eillance à domicile. IP Connect est un dispositif de transmissionn continu des données de la pompe vers un serveur sécurisé. Leédecin référent peut accéder à tout moment aux données de sesatients depuis un ordinateur relié à internet. Il peut ainsi prendreonnaissance du nombre de bolus demandés, du nombre de bolusecus, des horaires de ces demandes. Il peut alors facilement rééva-uer la prescription des réglages de la pompe afin de contrôler auieux la douleur du patient (modification du débit de base, de la
aleur des bolus, de l’intervalle de sécurité des bolus ou du nombreaxi de bolus/unité de temps).ésultat.— Nous présentons les résultats d’une étude préliminaireuprès de patients suivis en équipe mobile de soins palliatifs. Lesonnées présentées portent sur les avantages et les difficultés ren-ontrées, ainsi que les conditions nécessaires à une bonne mise enuvre. L’indice de satisfaction des différents acteurs impliqués y
ompris le patient ou sa famille sont analysé.onclusion.— Cette étude préliminaire est un préalable à unetude multicentrique dont le but sera de valider l’intérêt desechniques de télésurveillance des pompes à morphine PCAour améliorer le maintien à domicile de patients cancéreuxouloureux.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.214
O17ymphœdème et syndrome du bras douloureuxprès néo du sein opéré. Djaroud a, K. Terki b, F. Benlebna a, B. Boumédiene Zellat a,. El Abed a
Médecine physique et réadaptation, établissementospitalo-universitaire, 1er Novembre 1954, Oran, AlgérieSEMEP, établissement hospitalo-universitaire, 1er Novembre954, Oran, Algérie
bjectifs.— Le lymphœdème après néo du sein altère la qualité dea vie par les complications douloureuses et enraidissantes, notam-ent de l’épaule. Les résultats thérapeutiques dépendent de larécocité de la prise en charge. Nous discutons à travers une revuee la littérature l’indication de la pressothérapie et les résultatsur le devenir fonctionnel des patientes.atients et méthodes.— L’étude est prospective, 17 patientes sontncluses de février 2011 à mars 2012. L’évaluation avant et aprèses séances de drainage manuel est fondée sur l’œdème (mesureentimétrique circonférentielle du membre supérieur) comparativeu quatre étages (articulation métacarpophalangienne, poignet, à0 cm en aval des épicondyles latéraux et à 15 cm en amont despicondyles), l’évaluation de la raideur par les bilans articulairesEN de 0—10), la douleur évaluée sur l’échelle (Eva). L’améliorationonctionnelle est estimée selon un bilan gestuel du membre supé-ieur, les prises globales et fines.ésultat.— La moyenne d’âge des patientes est de 58 ans, sansrofession (70 %), fonctionnaires (18 %) ou retraitées (12 %). Le lym-hœdème concerne le bras gauche (53 %), le droit (41 %) ou estilatéral (5 %). Les comorbidités sont : kyste ovarien (6 %), AVC (6 %),ectocèle (7 %), néo du col (6 %), diabète (8 %), obésité (12 %), HTA17 %), aucun facteurs de risques (6 %). La mastectomie est totaleans 41 % des cas ou radicale modifiée (Patey) dans 59 % des cas. On
onstate une raideur de l’épaule (52,9 %), des douleurs (29,4 %),n syndrome douloureux sur fracture de poteaux colles (5,8 %),ne récidive du lymphœdème (5 %) sur fibrose cicatricielle et bride