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Théatre de Valère - programme 2011-2012
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2010 · 2011
THÉÂTRE de
VALÈRE
saison
Abonnez-vous ! 027 323 45 61
Billetterie Théâtre de Valère au 027 323 45 61
Dès le 1er septembre 2010auprès de tous les points de vente Ticket CornerEn Valais Manor {Sion, Sierre}Coop City {Sion}Gares CFF {Sion, Martigny, Sierre}Offices de poste {Sion, Sierre, Martigny, Savièse}
Abonnements Renseignements au 027 323 45 61 et voir dernières pages
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2010 · 2011
THÉÂTRE de
VALÈRE
saison
FONCTIONNEMENT Direction François Marin
Programmation Théâtre, variétés François Marin Joël Balet Stéphane Albelda
Musique Sophie Mudry
Administration Françoise de Sepibus
Régie Alexandre Müller, Eligio Membrez Personnel technique vacataire Arnaud Huguenin, Grégoire Putallaz, Charly Valette
Personnel de l’accueil et du bar Vicky Theler, Maddy Gillioz
Entretien Maria-Florinda Calhau
Placeurs Amanda Balet, Géraldine Balet, Samuel Balet, Emeline Barras, Pierre Barras, Lucas Constantin, Camille Duroux, Tobias Gagliardi, Anicka Margot, Léa Pasquier, Delphine Reymond, Marie Rossier, Célia Ruiz, Manon Squaratti Nathan Zangger, Baptiste Zay
Graphisme Sarah Muehlheim | www.samsarah.ch Intervention : Stéphane Rodriguez | www.stephanerodriguez.ch
INFORMATIONS PRATIQUES Bureaux CMA Tél. et fax 027 323 45 61 Case postale 2122 – 1950 Sion 2 Nord E-mail [email protected] Internet www.theatredevalere.ch
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Vendredi 24 septembre, 20h15
Enfin !par les Chasseurs en exil (CH)
jeu Frédéric Gérard & Kaya Güner
Après une longue absence, les Chasseurs en exil, le duo
composé de Frédéric Gérard et Kaya Güner, fidèles Dicodeurs,
spécialistes romands de l’humour loufoque, est de retour ! Entre
farces et satires, leur spectacle fait déraper des situations du
quotidien. Les fantaisistes parodient aussi le répertoire du
théâtre classique ou se moquent cruellement des chanteurs de
charme au look outrancier…
Les sketches se succèdent à un rythme endiablé, plus drôles les
uns que les autres. Ainsi les deux comédiens se livrent à un
quizz cinématographique hilarant, jouent à une drôle de loterie,
participent à un speed dating, se produisent dans une représen-
tation au Théâtre du Grenier, tournent une publicité pour un
shampoing. A relever aussi le morceau de bravoure que constitue
leur « festival du jeu de mot à 3 balles autour du mot godasse ».
Naturellement complices – Frédéric a l’œil qui frise, alors que le
regard de Kaya Güner pétille – ils enchaînent les numéros
décalés dans un irrésistible cabaret humoristique. Et quand
Juliette déplace son balcon au sol en exhibant de sacrés biscotos
(Kaya désopilant) et qu’un Roméo fluet perd ses moyens
(Frédéric émouvant), le public est définitivement sous le charme.
S’inspirant de la vie de tous les jours, ce comique de l’absurde
atteint sa cible à tous les coups.
Un show à ne pas manquer pour tous ceux qui veulent
se muscler les zygomatiques.
Fous rires garantis !
Novecento raconte une drôle d’histoire, une histoire suspendue
entre humour, poésie et tendresse : celle d’un pianiste et de son
océan, celle d’un homme qui possède un don prodigieux, mais
qui ne descendra jamais de son bateau…
Né lors d’une traversée de l’Atlantique, Danny Boodman T.D.
Lemon Novecento, est abandonné à sa naissance à bord d’un
paquebot. Adopté par l’équipage, il devient pianiste. A trente
ans, il n’a jamais mis le pied à terre. De croisière en croisière, il
passe sa vie les mains posées sur les quatre-vingt-huit touches
noires et blanches d’un piano, compose une musique étrange et
magnifique qui n’appartient qu’à lui : la musique de l’Océan dont
l’écho se répand dans tous les ports…
Novecento est un conte fascinant, qui ouvre la pensée à de
vastes horizons. Ce récit a été plusieurs fois présenté sur scène et
a connu une très belle adaptation cinématographique du
cinéaste italien Guiseppe Tornatore, La Légende du pianiste sur l’Océan.Novecento est mis en scène avec une belle élégance par Denis
Rabaglia, réalisateur d’Azzurro et de Marcello Marcello.
Le comédien Pierre-Isaïe Duc rend avec justesse la finesse,
l’humour et la profondeur de l’écriture d’Alessandro Baricco.
Jeudi 30 septembre, 20h15
noVEcEntod’Alessandro Baricco, traduction française de Françoise Lebrun
mise en scène Denis Rabaglia musique originale Louis Crelier
jeu Pierre-Isaïe Duc
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www.denis-rabaglia.net/novecento
La petite entreprise en partenariat avec le Forum des 100 – L’Hebdo (CH)
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Mardi 5 octobre, 20h15
PARfum d’intimité de Michel Tremblay – Horiziode productions (F)
mise en scène et adaptation Christian Bordeleau jeu Vincent La Torre & Renato Ribeiro
Jean-Marc est un professeur adulé par ses étudiants. Un soir,
il reçoit la visite de Luc, son ancien amant, un jeune comédien
devenu récemment célèbre grâce à la télévision. Ce dernier est
en plein désarroi car son père est sur le point de mourir. La
discussion se noue. Tout ce que les deux hommes ne se sont
pas dit lors de leurs quatre années de vie commune resurgit
entre lucidité, malice et regrets. Peu à peu, le jeu des
apparences sociales, des séductions et des représentations
factices s’efface pour dévoiler avec pudeur l’intime confession
de deux individus qui se révèlent à eux-mêmes et à l’autre.
Chacun évoque ses erreurs, ses idéaux peut-être trop vite
abandonnés, ses espoirs…
La mise en scène sobre et sensible de Christian Bordeleau
saisit avec subtilité et délicatesse un instant vrai de partage
entre deux êtres qui, à un moment clé de leur existence, se
font des confidences les plus intimes, malgré leurs déchirures
et leurs désillusions.
« Humour, complicité et émotion sont les maîtres mots de cette
pièce bien écrite où les comédiens se donnent la réplique avec
talent. » (République du Centre)
« Très belle pièce intelligente, drôle et moderne avec une belle
prestation d’acteurs. » (Nice Matin)
www.parfumsdintimite.mabulle.com
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La famille d’York vient de conquérir le royaume d’Angleterre.
Henri VI a été tué. Edouard IV règne. Son frère, Richard de
Gloucester, monstre difforme, supporte mal le temps de la paix :
il en sera le trouble-fête tragique.
Il entame une sanguinaire marche au trône en faisant assassiner
son frère Clarence, puis, son autre frère, le roi lui-même. Dès
lors, il va se débarrasser de tous les gêneurs – ennemis comme
amis –, avec beaucoup de facilité : c’est que Richard joue à
merveille la comédie. Véritable caméléon au pouvoir de
séduction magnétique, il conquiert Lady Anne, dont il a tué le
père et le mari, sur le cercueil encore chaud de ces derniers…
Parmi les pièces de Shakespeare, Richard III est un diamant
noir qui a séduit beaucoup d’hommes de théâtre et de cinéma.
Parmi ceux-ci, Al Pacino a réalisé Looking for Richard,
véritable hommage à cette œuvre élisabéthaine et au théâtre.
Valentin Rossier s’empare à son tour de ce morceau de bravoure,
il annonce un Richard III, « Roi d’Angleterre et bête de cirque,
méchant comme le mal et séduisant comme le vice ». Il a choisi
de confier le rôle-titre à Jean-Quentin Châtelain, l’un des
comédiens franco-suisses les plus talentueux et singuliers de sa
génération. Entouré d’une dizaine d’acteurs, avec un remarqua-
ble esprit de troupe, ils donneront à entendre la sanguinaire
histoire de Richard III.Un moment de théâtre fort et dense.
Mardi 26 octobre, 20h15
RichARd iii de William Shakespeare – Helvetic Shakespeare Company (CH)
mise en scène Valentin Rossier jeu Jean-Quentin Châtelain, Jacques Roman, Anne Durand, Marie Druc, Elodie Bordas, Vincent Bonillo, François Florey,
Guillaume Prin & Valentin Rossier
www.helveticshakespearecompany.ch
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Dimanche 31 octobre, 17h00
SymPhoniE n°4 En SoL mAjEuR
de Gustav Mahler
transcription par Erwin Stein pour douze instruments et soprano Ensemble Instrumental du Conservatoire de Lausanne HEM
direction Johannes Schlaefli
« Das himmlische Leben », la vie céleste. C’est avec ce Lied,
repris du recueil « Des Knaben Wunderhorn » de 1892, que se
clôt la Quatrième Symphonie de Mahler. Chanté par une voix
de soprano angélique, le texte évoque les plaisirs de la vie
céleste : les joies de la table, de la danse, du chant et de la
nature, bien loin du tumulte du monde. Les trois premiers
mouvements nous font traverser au préalable des moments
successifs de danse, de rusticité et de sérénité.
A l’occasion des 150 ans de la naissance de Mahler,
le Conservatoire de Lausanne HEM (CdL HEM) a choisi
d’honorer l’œuvre de ce compositeur majeur à travers une série
d’événements musicaux et pédagogiques d’importance:
masterclasses, concerts, conférences. Les musiciens que nous
retrouvons sur la scène du Théâtre de Valère sous la baguette
de Johannes Schlaefli ont la chance de prendre part de manière
active à cet hommage. Choisis parmi les étudiants les plus
avancés des trois sites du CdL HEM (Sion, Fribourg et
Lausanne), ces jeunes musiciens sont à l’aube d’une carrière
professionnelle prometteuse.
Une occasion unique d’entendre une œuvre symphonique
à Valère !
www.cdlhem.ch
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Mercredi 3, 20h30 ; Jeudi 4, 19h30 et Vendredi 5 novembre, 20h30
Au ThéâTre AlAmbic à mArTigny Voyage accompagné en bus
diALoguE d’un chiEn
AVEC SON MAîTRE SUR lA NéCESSITé DE MORDRE SES AMIS
de Jean-Marie Piemme – Théâtre National de Belgique (B)mise en scène, scénographie et éclairage Philippe Sireuil
jeu Philippe Jeusette & Fabrice Schillaci
C’est l’histoire, fertile en rebondissements, d’une rencontre,
celle d’un homme et d’un chien, sauf qu’il ne s’agit pas de
n’importe quel homme, ni de n’importe quel chien. Jugez un
peu : le premier, portier d’un hôtel de luxe, loge dans la
précarité d’une caravane ; le second, lui, passe son temps à faire
des cabrioles devant les bagnoles pour goûter aux crissements
des carambolages.
Joyeux, impertinent, concret, complexe, tenant aussi bien d’une
peinture âpre et cruelle du monde du travail – ou plutôt de ceux
qui n’en ont plus – que de l’entrée de clown, ce spectacle est
ovationné depuis plus de trois ans à travers toute la francophonie.
« Ah, voilà une pièce du tonnerre ! Il suffit d’une caravane pas loin
d’une bretelle d’autoroute, d’un texte qui turbule et qui trucule et de
deux acteurs surdoués… pour en dire long sur les déchets humains
que fabrique notre société d’abondance, et leur besoin d’amour et
leur colère aboyée. Ce n’est pas seulement mordant : c’est juste et
délicat, une vraie pâtée de roi ! » (Le Canard enchaîné)
« Cette fable philosophique nous emballe pendant 1h40,
sans un temps mort, juste ce qu’il faut pour respirer entre
les rires. » (Le Midi libre)
Ce spectacle fait partie de l’Opération Vadrouilleurs qui offre au
public de Valère de voyager en commun vers le Théâtre Alambic à
Martigny pour découvrir un spectacle de cabaret joyeux et festif.
www.theatrenational.be
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Mercredi 10 novembre, 20h15
cARtE d’idEntité
de Diogène Ntarindwa – La Charge du Rhinocéros (B)jeu Diogène Ntarindwa
D’origine rwandaise, Diogène Ntarindwa est né en 1977 au
Burundi. Enrôlé par le Front Patriotique Rwandais à l’adoles-
cence, il est démobilisé à dix-neuf ans. Après des études de droit
au Rwanda, il entre en 2002 au Conservatoire de Liège.
Particulièrement attaché au Rwanda et au drame qu’a connu ce
pays, Diogène choisit aujourd’hui sans fausse pudeur de nous
offrir le récit de son existence : une guerre qui le ramène sur les
terres de ses aïeux, l’exil, le questionnement sur l’identité, le
souci de mémoire…
Seul sur scène, il interprète une galerie de personnages
touchants, dépaysants, souvent drôles : son professeur d’histoire
africaine, ses instructeurs, ses camarades d’école avec lesquels
il joue à la guerre avant que la guerre ne les rattrape, son père
et les anciens – ceux qui ont les cheveux blancs de sagesse
– qui faisaient semblant de comprendre la BBC à l’écoute des
nouvelles du front, sa mère qui n’a pas pu s’opposer à son départ
pour le front…
Avec Carte d’identité, un jeune auteur et interprète fait se
croiser la Grande Histoire, celle d’un pays et de ses conflits, avec
la petite histoire des hommes et des femmes qui l’ont peuplé.
Conférence, témoignage, spectacle, Carte d’identité rappellera
sans doute aux spectateurs de Valère par sa forme, son humour et
sa puissance Un fou noir au pays des blancs de Pie Tsibanda
que nous avions accueilli il y a quelques saisons. Si l’on (sou)rit
beaucoup à l’écoute de ce récit, on ne saurait oublier que Carte d’identité est l’histoire authentique de Diogène Ntarindwa.
Un moment rare au théâtre, drôle et bouleversant !
www.chargedurhinoceros.be
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Mardi 16 et Mercredi 17 novembre, 20h15
ESPÈcES mEnAcéES
de Ray Conney – adaptation de Gérard Jugnot et Michel Blanc The Boulevard Romand (CH)mise en scène Thierry Meury
jeu Patrick Lapp, Jean-Charles Simon, Mado Sierro, Marc Donet-Monet, Pierre Aucaigne,
Catherine Guggisberg & Vincent Kohler
Les espèces menacées dont il est question ici ne sont pas
inscrites au registre du WWF pour la protection de la faune
sauvage, il s’agit d’espèces sonnantes et trébuchantes…
Le personnage principal de la pièce, Yvon, a échangé par
mégarde sa mallette contre celle d’un inconnu dans le métro.
Là où se trouvaient ses gants et son sandwich, il y a désormais
des millions. Pour fuir des poursuites certaines, il décide de
prendre le premier vol pour Buenos Aires. Mais c’est sans
compter avec le refus obstiné de sa femme, ni avec les intru-
sions successives d’un couple d’amis importuns, d’un policier
douteux, d’un commissaire tatillon, d’un chauffeur de taxi
irascible, ni encore avec l’arrivée d’un tueur bien décidé
à récupérer son dû…
La pièce de Ray Conney, adaptée en français par Michel Blanc
et Gérard Jugnot, est hilarante, riche en quiproquos et pleine de
rebondissements irrésistibles.
Avec une belle brochette d’humoristes et de comédiens chéris
du public romand dont Patrick Lapp et Jean-Charles Simon,
Thierry Meury monte sans complexe et sans clichés cette
comédie de boulevard pur sucre. Il y déploie tout son humour
caustique et débonnaire.
Un vent de folie scandaleusement drôle, une agréable soirée
de divertissement !
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Jeudi 25 novembre, 20h15
LE nEVEu dE RAmEAu
de Denis Diderot – Théâtre du Ranelagh (F)mise en scène Jean-Pierre Rumeau jeu Nicolas Vaude, Gabriel Ledoze
et Olivier Baumont, clavecin
Adapté brillamment du roman de Diderot, ce Neveu de Rameau raconte la rencontre au Café de la Régence à Paris du philosophe
avec un personnage singulier : le neveu de Rameau, jeune homme
marginal, excentrique et provocateur, accablé par la réussite
musicale de son oncle, le célèbre Rameau. Le dialogue entre un
homme des Lumières matois et un voyou hors du commun se
présente comme une joute verbale extraordinaire. Cet échange
sur le génie, l’éducation des jeunes filles, l’immoralisme ou sur la
flatterie comme art de vivre, allie la beauté des mots à celle des
notes du musicien Olivier Baumont qui joue notamment quelques
belles parties signées Jean-Philippe Rameau.
Récompensé par deux fois aux Molières comme révélation
théâtrale, puis comme meilleur comédien dans un second rôle,
Nicolas Vaude est un véritable feu follet. Tel un lutin malicieux, il
déambule sur scène avec une énergie communicative et excelle
dans la partition du cynique jeune homme, épris de liberté. Entre
profondeur et légèreté, le personnage est captivant !
« Ce Neveu de Rameau, magistralement interprété par Nicolas
Vaude, est de ces spectacles qui vous ravissent l’âme : l’esprit de
Diderot, la virtuosité de la parole, le discours philosophique…
Sublime ! » (Point de vue)
« Grâce à ce talentueux trio, on n’oubliera plus ce spectacle. »
(Le Figaro)
www.atelier-theatre-actuel.com
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Mercredi 1er décembre, 20h15
LéKombinAQuEnEAud’après Raymond Queneau – Cie Pasquier-Rossier
en partenariat avec le Théâtre des Osses/Fribourg (CH)mise en scène Geneviève Pasquier
scénographie Yangalie Besson lumières Jean-Christophe Despond
jeu Zina Balmer, Anne-Catherine Savoy, Salvatore Orlando & Nicolas Rossier
« Un dai vers middai…
Oune giorne en pleiné merigge…
Ung joor vare meedee…
Ange ouvert m’y dit…
Un jour vers midi… »
Cent textes astucieux du facétieux Raymond Queneau pour
raconter un banal voyage en bus parisien. Cent jeux linguisti-
ques qui deviennent Littérature.
Mettre en scène la jonglerie verbale de Queneau est un défi
théâtral que relève brillamment la Cie Pasquier-Rossier avec ce
spectacle réalisé au Théâtre des Osses de Givisiez à l’occasion
de la vingtième saison du théâtre. Quatre comédiens interprètent
malicieusement le même motif, anodin, de ce voyage. Sur scène,
ils intègrent ponctuellement à leurs jeux la projection vidéo, le
mime, les marionnettes, la danse ou le chant….
Dans un décor sobre et ingénieux, les acteurs recréent fidèle-
ment et efficacement l’univers fantasque et drôle du grand
Raymond Queneau.
Vif, fin, intelligent et dynamique, le spectacle vous emportera dans
le bus de Queneau et enchantera aussi bien les spectateurs
amoureux de la langue que ceux qui ne se retiennent pas de rire…
« Un juor vres miid…
Sol erat in regionem zenithi… »
Allez hop, en voiture pour un spectacle festif et jubilatoire !
www.cie-pasquier-rossier.ch
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Mercredi 22 décembre, 20h15
bARbER ShoP QuARtEt (f)
sur une idée de Bruno Buijtenhuijsjeu Marie-Cécile Héraud, Isabelle Drault, Bruno Buijtenhuijs & Bertand Antigny
En reprenant ou en détournant les chansons de coiffeurs
(Barbers) du début du XXème siècle, l’autoproclamé « groupe
vocal jubilatoire » Barber Shop Quartet entraîne le spectateur
dans un délirant voyage musical. De la « complainte du
canapé » guettant avec horreur les dents des convives s’apprê-
tant à l’avaler, à l’inventeur de la pince à linge, façon
Beethoven, en passant par les bruitages époustouflants de la
radio américaine, ce quatuor mixte, girondin, et loufoque,
décline humour burlesque, qualité musicale irréprochable et
autodérision caustique.
Le look décoiffant de ces Barbiers et Barbières, leur présence
vocale et scénique échevelée, déridera les spectateurs les
plus… barbants.
Le journal Sud-Ouest l’affirme : « Un spectacle jamais rasoir,
des chanteurs qui se frisent sans se faire mousser dans un
répertoire de chansons qui décoiffent ».
Succédant, en cette période de fêtes, aux Epis Noirs (2008) et à
La Flûte enchantée (2009), ce spectacle musicalement
impeccable et théâtralement désopilant, devrait lancer ses
interprètes dans la carrière internationale qu’ils envisagent à
New-York, Mexico, Saint-Pétersbourg, Hong Kong, Oslo, et…
Appenzell Rhodes-Extérieures.
Mais après Valère, évidemment !
Un soirée pétillante pour les fêtes !
www.barber-shop-quartet.com
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Vendredi 14 janvier, 20h15 Festival Scènes Valaisannes
oPhéLiE gAiLLARd
ET l’ENSEMblE bAROQUE PUlCINEllAvioloncelle concertant Ophélie Gaillard; violons Lorenzo Collito, Lisa Ferguson alto Patricia Gagnon; contrebasse
Richard Myron; théorbes et guitares Rafael Bonavita et Juan Sebastian Lima; percussions David Mayoral
programme La follia de Corelli, opus 5 no 12 pour violon et basse continue; Canarios et jácaras por bullerias, de Gaspar Sanz, improvisations pour guitare et percussions; La follia de Vivaldi opus 12 pour deux violons et
basse continue; Concerto en sol majeur no 3 et Fandango du quintette avec guitare de Boccherini
www.pulcinella.fr
L’ensemble Pulcinella est un collectif de solistes virtuoses
passionnés par la pratique de la musique baroque sur instruments
d’époque, membres des formations les plus prestigieuses et réunis
autour d’Ophélie Gaillard dans un esprit de musique de chambre.
Forts de leurs expériences multiples, les interprètes réalisent un
travail approfondi sur le son et l’articulation, revisitent avec
bonheur quelques-unes des pages majeures du répertoire, et
s’attachent à découvrir des œuvres inédites ou méconnues.
En 2006, l’ensemble publie son premier enregistrement consacré
à l’intégrale des sonates pour violoncelle et basse continue de
Vivaldi chez Ambroisie et reçoit les plus vifs éloges de la presse.
Les musiciens de l’ensemble Pulcinella rendent hommage en
2007 au violoncelliste Luigi Boccherini (symphonies, air
académique avec Sandrine Piau et fandango avec Rolf Lislevand),
enregistrement récompensé par un Choc du Monde de la Musique, un 10 de Répertoire et plébiscité par le Times. L’ensemble prépare pour 2010 un album consacré à la musique de
Bach avec violoncelle piccolo, ainsi que de nombreuses collabora-
tions notamment avec le CMBV et le Palazetto Bru-Zane.
Fandangos, follias, canarios, jácaras… une succession de
chefs-d’œuvre inspirés de la danse et de la variation, où les
cordes dialoguent avec les percussions et la guitare jusqu’aux
confins de la transe et de la folie.
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Jeudi 20 janvier, 20h15Festival Scènes Valaisannes
un dimAnchE indéciS dAnS
LA ViE d’AnnA de Jacques Lassalle – Cie Marin (CH)
mise en scène François Marin scénographie Elissa Bier
lumières William Lambert jeu Caroline Althaus, Barbara Tobola,
Marc Mayoraz & Nicolas Rossier
Un dimanche indécis dans la vie d’Anna se présente comme
une chronique feutrée de la vie d’une femme moderne. Le temps
d’un week-end, Anna, trente-cinq ans, reçoit diverses visites. Il y
a Richard, son ex-mari, venu parler de l’avenir de leur enfant. Il y
a son amie Eugénia, artiste bohème de cabaret, qui s’inquiète
pour son propre fils adolescent. Il y a son père, Alex, qui a
toujours su s’accommoder avec le réel. Il y a Marc, son amant
passionnel, un journaliste torturé par son manque d’engagement
politique sur le terrain.
Un dimanche indécis dans la vie d’Anna présente les errements
d’une génération de trentenaires qui se sont engagés dans les
mouvements de l’Histoire, mais qui, à l’approche de la quarantaine,
s’interrogent sur leur vie. A plusieurs reprises et tour à tour, chacun
des personnages se demande où il va. Sans doute chaque spectac-
teur se reconnaîtra un peu en l’un ou l’autre d’entre eux…
A la manière d’un entomologiste, Jacques Lassalle dépeint avec
subtilité des êtres déchirés entre leurs désirs les plus intimes et les
contraintes de la réalité, des êtres aux prises avec le désenchante-
ment et les utopies qu’ils ont nourries sur le couple et la vie. Cette
pièce résonne comme un écho aux Scènes de la vie conjugale de
Bergman que nous avions accueillies l’an passé à Valère.
Un spectacle touchant et léger sur le couple moderne, l’amour
et l’amitié.
www.compagniemarin.ch
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Mercredi 26 janvier, 20h15
PimPinonE INTERMEzzO JOyEUx EN TROIS PARTIES
DE GEORG PHILIPP TELEMANN
LA SERVA PAdRonA
INTERMEzzO EN DEUx PARTIES DE GIAN BATISTA PERGOLESI
Opéra de Lausanne (CH)mise en scène et scénographie Eric Vigié
direction musicale Philippe Béran orchestre Les Cordes de l’Opéra de Lausanne
clavecin Marie-Cécile Bertheau avec Benoit Capt (Pimpinone), Eva Fiechter (Vespetta), Alexandre Diakoff (Uberto), Katia Velletaz (Serpina), Cisco Aznar (Vespone) & Csilla Horber (la danseuse)
Pimpinone (1725) et La Serva Padrona (1733) constituent
deux des chefs-d’oeuvre de l’opéra buffa naissant. Le premier,
créé à Hambourg par Telemann, le compositeur allemand le plus
important du début du XVIIIème siècle, aborde un thème bien osé
pour l’époque. Le second est d’une veine toute napolitaine et
donnera naissance à la comédie bouffe dans toute sa splendeur.
L’Opéra de Lausanne et son directeur Eric Vigié nous les
présentent au cours d’une même soirée, dans une atmosphère
légère et burlesque…
Les deux œuvres racontent les aventures d’une servante bien
dégourdie, n’ayant pas froid aux yeux et prête à tout pour arriver
à son but : épouser son maître et régner en maîtresse des lieux !
Si Pimpinone avait été un peu oublié, La Serva Padrona
déclencha à Paris en 1752 la fameuse « querelle des bouffons »
où les partisans de la musique française s’étripèrent avec les
fanatiques de la musique italienne ! Gageons que la représenta-
tion réunira pacifiquement un public curieux et joyeux de
découvrir ces deux bijoux de l’art lyrique.
Une soirée d’opéra bouffe joyeuse et festive !
www.opera-lausanne.ch
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Jeudi 3 février, 20h15
ELLESde Jean-Jacques Vanier et François Rollin –
A part ça productions (F)mise en scène François Rollin
lumières et scénographie François Austerlitz jeu Jean-Jacques Vanier
Si vous avez déjà eu le bonheur de voir Jean-Jacques Vanier sur
scène (L’Envol du pingouin ; A part ça, la Vie est belle) vous ne
l’aurez pas oublié, tant sa personnalité rêveuse est originale et
attachante. En effet, Jean-Jacques Vanier appartient à cette
catégorie rare de comiques pour qui humour rime avec esprit,
poésie et tendresse.
Dans son nouveau spectacle, il campe un personnage d’obsession-
nel tourmenté au discours décalé tout simplement désarmant. Tout
commence lorsque ce personnage pénètre dans un magasin de
chaussures et qu’il se retrouve pris dans le piège d’un « décolleté
vertigineux ». Il s’agit de savoir alors si le chemisier a été
déboutonné « délibérément ou pas ». De cet incident naît le désir
de comprendre l’énigmatique psychologie de la gent féminine.
Vanier nous entraîne ainsi dans son monde absurde et drôle,
sautant allégrement du coq à l’âne, au gré d’un soliloque
joyeusement loufoque. Il en ressort quelques vérités confondantes,
dites avec la plus évidente des candeurs, comme, par exemple :
« Il faut avoir des enfants jeunes, car après on les voit flous ».
« Ce comédien vraiment pas comme les autres ne glisse pas sur l’air
du temps, il le sonde, ce qui est, par définition, plus profond.
Profond et léger à la fois, lunaire et bien là à la fois, lesté aux choses
de la vie » (Le Figaro) et le chroniqueur radiophonique Guy Carlier
de surenchérir : « Jean-Jacques Vanier est juste un génie… ».
Un moment de rire et de tendresse à partager en couple !
www.vanier.fr
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Dimanche 6 février, 17h00
horS AbonnemenT* Festival Scènes Valaisannes – Forum Valais
LES muSiciEnS dE bRêmE
d’après le conte de Grimm – opéra pour enfants, chanté en françaismusique et livret De - Qing Wen
mise en scène Wolfgang Beuschel Nouvel Ensemble Contemporain chef d’orchestre Martial Rosselet
avec Lisandro Abadie (L’âne), Claudio Danuser (Le chien, baryton), Jeannine Hirzel (Le chat), Javier Hagen (Le coq)
& Robert Koller (Le brigand)
Un âne, dont le maître cherche à se débarrasser car il est
devenu vieux et inutile, s’enfuit et décide d’aller à Brême pour
devenir musicien de fanfare. Il entraîne sur sa route un chien,
trop vieux pour partir à la chasse, un chat, trop vieux pour
chasser des souris, et un coq, vieux lui aussi et juste bon pour
la casserole. Une nuit, épuisés et affamés, les animaux
s’arrêtent dans une forêt. Ils aperçoivent une lumière, s’en
approchent et découvrent une cabane dans laquelle, installés
autour d’une table chargée de victuailles, mangent des
brigands. Les animaux décident de les en chasser en leur
faisant peur: ils grimpent les uns sur les autres et poussent
tous des cris horribles. Les brigands s’enfuient, les animaux
investissent la maison et s’endorment, heureux et repus.
Si cette fable allie le burlesque et la dérision, ce qui séduira
sans doute les plus jeunes, la délicatesse de la musique signée
De - Qing Wen saura capter le public mélomane.
Les Musiciens de Brême sont la troisième collaboration entre le
Nouvel Ensemble Contemporain de la Chaux-de-Fonds et le
compositieur d’origine chinoise De - Qing Wen. Ce concert, ouvert
à toute la famille, est une occasion unique d’initier les plus
jeunes à la musique et à l’opéra !
www.forumvalais.ch
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Vendredi 11 février, 20h15
4 SEcREtS de Julien Labigne, Matthieu Sinclair
et Sébastien Clergue – Lard’enfer productions (F)scénographie Sarah Bazenneyre
avec Julien Labigne
Un journaliste, un trader, un joueur et une psychiatre :
quatre secrets. Lesquels ?
Seul en scène, Julien Labigne raconte les histoires parallèles de
ces quatre personnages des années 1920. Les spectateurs
mènent avec lui l’enquête pour lever le voile sur le secret de ces
protagonistes. Et vous, quel est votre secret ?
Julien Labigne le découvrira !
Julien Labigne n’est pas un magicien. Julien Labigne n’utilise pas
d’effets spéciaux. Julien Labigne n’est ni Maigret, ni Clouzot.
Mais il enquête. Il observe, il analyse…, et il trouve !
Illusionniste professionnel ayant joué notamment aux Folies
Bergères et au Splendid, il découvre, un à un, les secrets des
spectateurs.
Expérience très troublante de magie mentale, cette enquête
théâtrale interactive avance vers… la stupéfaction ! Julien
Labigne renouvelle notre vision de la magie, entre le fantastique
et le théâtre.
« Julien Labigne va vite vous faire perdre votre latin. Vous aurez
beau essayer de fermer votre cerveau, de tricher, il arrivera à
deviner ce qu’il veut. » (Pariscope).
Abracadabrantesque et bluffant !
www.myspace.com/julienlabigne
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Jeudi 17 février, 20h15
tRio SmEtAnA Musique de chambre
piano Jitka Čechová; violon Jana Vonášková – Nováková; violoncelle Jan Páleníček
programme Trio en Si bémol majeur (Gassenhauertrio), Op.11 de Ludwig van Beethoven; Trio en ut mineur,
Op. 101 de Johannes Brahms, Trio en sol mineur, Op.15 de Bedrich Smetana
Les superlatifs ne manquent pas pour qualifier le Trio Smetana.
Récompensé par un Diapason d’or en France en 2006, puis par
le prix du BBC music magazine Award en 2006, 2007 et 2008
dans la catégorie musique de chambre, cet ensemble tchèque
est sans doute l’un des plus grands trios d’Europe.
Bien que composé d’artistes relativement jeunes, il perpétue la
tradition d’un ensemble fondé en 1930 par Alexandre Plocek,
Frantisek Bedrich Smetana et Josef Páleníček. C’est le fils de ce
dernier, Jan Páleníček, qui prolonge et développe aujourd’hui la
tradition de l’ensemble accompagné du violoniste Jana
Vonášková-Nováková et de la pianiste Jitka Čechová.
Le Trio Smetana se produit régulièrement à l’étranger et a
notamment joué sous la baguette de chefs d’orchestre de grande
renommée tels que Jirí Belohlávek, Libor Pešek, Tomáš Hanu,
Michael Boder et Stanislav Vavrínek.
Trois très grands musiciens au service de Beethoven, Brahms
et Smetana.
www.triartmanagement.cz
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Vendredi 25 février, 20h15
hAmELinde Juan Mayorga, traduction française d’Yves Lebeau
Théâtre du Rideau de Bruxelles (B)mise en scène Christophe Sermet
scénographie, costumes et lumières Saskia Louwaard & Katrijn Baeten
jeu Vanessa Compagnucci, Serge Demoulin, Francesco Italiano, Sophie Jaskulski, Thierry Lefèvre,
Gaétan Lejeune & Fabrice Rodriguez
Une scène aseptisée, quelques chaises, des panneaux muraux.
Hamelin est un spectacle sans effets. L’auteur, Juan Mayorga
s’inspire du conte Le Joueur de flûte de Hamelin des Frères
Grimm et en transpose les enjeux dans un contexte contempo-
rain. L’enfance abusée est au cœur du texte. Une intrigue
policière se noue au fil des dialogues : elle oppose le juge
Montero à Pablo Rivas, un bienfaiteur des quartiers pauvres de
la ville, soupçonné d’abus sur des mineurs. L’acharnement de
Montero dans l’affaire n’a d’égal que son incapacité à parler à son
propre fils. Rivas, quant à lui, montre une personnalité
terriblement humaine et ambiguë.
Hamelin est une œuvre sur le langage, la parole, les non-dits.
Selon Christophe Sermet, le metteur en scène, « c’est le conte
d’une société qui aurait perdu le fil du récit, de la fable, et qui
ne saurait plus parler à ses enfants. » Cette pièce brute, très
épurée, nous entraîne dans les méandres de la communication,
aux frontières du bien et du mal.
Un moment de théâtre fascinant qui redonne aux mots leur plein
pouvoir d’évocation.
« Suivez Hamelin sans hésiter ! A voir sans délai » (Le Soir)Un des grands succès du Festival off d’Avignon.
www.rideaudebruxelles.be
PRIx MAx POUR lA meilleure pièce 2006
(Molière espagnol)
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Mercredi 2 mars, 20h15
chRiStoPhE ALéVêQuE ESt SuPER REbELLE !
ENFIN CE QU’Il EN RESTE
de Christophe Alévêquemise en scène Philippe Sohier
jeu Christophe Alévêque et les musiciens, Maxime Perrin, Francky Mermillod,
Julien Bonnard & Stéphane Sangline
Christophe Alévêque est surtout connu pour ses chroniques
dans On a tout essayé chez Laurent Ruquier. Pour ce spectacle,
il enfile le costume de Super Rebelle pour étriller l’actualité
sociale et politique française du moment. Il est mordant,
grinçant, d’une mauvaise foi réjouissante, tapant à droite sur
Sarkozy (surnommé Zébulon pour sa frénésie) et sur la gauche
(« la plus nulle du monde ») avec la « saintitude » de Ségolène
Royal… A la manière d’un Guy Bedos, il épingle chaque soir
dans une revue de presse à l’humour acide les faits de société,
par exemple : « Vingt-cinq suicides en 18 mois, le PDG de
France Télécom est leader sur le marché »
S’il excelle dans cette satire politique cinglante et joyeuse, il
dresse aussi un portrait hilarant de nos petits travers familiaux,
notamment des relations entre adultes et adolescents : les ados
molassons et jamais contents en prennent pour leur grade, le père
dépassé aussi…
La presse est enthousiaste : « Christophe Alévêque est le meilleur
comique politique du moment » (L’Express), « Il est rare de voir
une salle rire autant à gorge déployée ! » (Le Parisien).
www.aleveque.com
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Jeudi 24 mars, 20h15
chAQuE hommE ESt unE RAcE
de Mia Couto – Théâtre Spirale (CH) Troupe So (Mali) – Centre Djéliya (Burkina-Faso)
mise en scène Patrick Mohr jeu et musique Hamadou Kassogué, Maïmouna Doumbia,
Assita Dao, Baba Kouyaté, Bassirou Sanou & Ousmane Diarra
Chaque homme est une race de l’écrivain mozambicain Mia
Couto se compose de trois récits fantastiques, tragiques ou
cocasses qui racontent avec une infinie tendresse les aléas de la
faim, de la nécessité et de la survie. Ils parlent de ceux qui
partent sans savoir nager à l’assaut de l’Océan dans des barques
de fortune, de ceux qui ne peuvent plus attendre, de ceux qui
n’ont plus le choix. Tirée du livre Les Baleines de Quissico, cette
pièce évoque le mirage capitaliste et le dénuement extrême dans
une langue pourtant drôle, poétique et colorée.
Ce spectacle est le fruit d’une collaboration entre la troupe suisse
du Théâtre Spirale, la troupe So du Mali et le Centre Djéliya du
Burkina-Faso. Le metteur en scène Patrick Mohr a su trouver
l’équilibre entre la légèreté d’un théâtre vivant ouvert à
l’improvisation et la rigueur d’un théâtre à texte d’auteur.
« Il y a dans cette réalisation du Théâtre Spirale l’authenticité des
grandes mises en scène, la générosité d’artistes sachant porter un
texte entre vécu et fiction, poèmes, chansons et danse.
Magnifique hommage à une Afrique déchirée par sa misère et ses
espérances, et paradoxalement si riche dans l’expression de ses
cultures. C’est la manifestation poétique de nations au bord du
gouffre, qui puisent dans leurs poètes, la distance et l’humour. »
(La Tribune de Genève)
« Plaisir et émotions garantis ! » (Le Courrier)
www.theatrespirale.com
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Mercredi 30 mars, 20h15
motobécAnEde Bernard Crombey
d’après Le Ravisseur de Paul Savatier – Cie Macartan (F)complicité artistique Maurice Bénichou
scénographie Yves Collet jeu Bernard Crombey
Attention, révélation du Festival d’Avignon 2009 ! Le curriculum
de l’acteur-créateur-auteur du spectacle est éloquent : Premier
Prix du cours Simon en 1971 et prix de la Comédie moderne et
classique au Conservatoire national. Une minute de spectacle
suffit pour réaliser que l’on est en face d’un comédien exception-
nel. Sur un plan de bois incliné, Bernard Crombey est assis en
tailleur. Il campe le personnage de Victor, surnommé
Motobécane, à cause de son moyen de transport de prédilection.
Motobécane est en prison. Il rédige, avec ses mots simples de
travailleur de ferme, son « cahier de vérité », parce que les juges
« ne lui croient pas la parole ». Un jour, au bord de la route,
Motobécane a rencontré Amandine, « une pétiote », qui faisait
l’école buissonnière. Elle l’a supplié de la garder chez lui parce
que sa mère faisait « pleuvoir les coups ». Il s’est laissé attendrir.
Il sentait pourtant que les ennuis seraient au bout du chemin
qu’il arpentait avec sa motobécane bleue…
Inspiré d’un fait divers, Motobécane est un spectacle poignant
porté par un comédien d’une absolue authenticité.
« L’interprétation bouleverse. Un solo remarquable, sobre,
sensible. » (Figaro) « Un projet à part, qui vous harponne
l’oreille et le coeur. » (A nous Paris)
www.atelier-theatre-actuel.com
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Mardi 5 avril, 20h15
hARoLd Et mAudE
de Colin Higgins Adaptation de Jean-Claude Carrière
Théâtre de Carouge-Atelier de Genève (CH)mise en scène Jean Liermier
collaboration artistique Werner Strub scénographie Philippe Miesch – lumières Laurent Junod
costumes Coralie Sanvoisin jeu Catherine Salviat, Gael Kamilindi
Harold est un jeune homme de vingt ans, fortuné, imaginatif,
qui ne cesse de mettre en scène sa propre mort : pendaison,
décapitation, explosion. Il concocte, au grand dam de sa mère,
tous ses suicides très minutieusement dans sa chambre. Maude,
quant à elle, est une joyeuse octogénaire, une Mary Poppins
indigne et délurée. Elle vole des voitures, conduit sans permis,
mange du réglisse à l’église… Tous deux partagent une passion
commune pour les enterrements. Harold ne pense qu’à la mort,
Maude, qu’à la vie !
Harold et Maude raconte l’improbable rencontre amoureuse entre
un jeune homme suicidaire, issu de la haute bourgeoisie et une
vieille femme, anticonformiste militante. Ce sont deux personnages
à fleur de peau, extrêmement touchants et drôles.
Maude va apprendre à Harold, ce qu’est la joie, le bonheur, la
vie et l’amour, tout ce qu’il n’a pas appris auprès d’une mère
froide et stricte.
Réalisé en 1971 par Hal Ahsby, Harold et Maude est l’un des
scénarios les plus humoristiques et les plus romantiques du cinéma
américain. L’adaptation scénique est signée Jean-Claude Carrière,
scénariste de Luis Buñuel et dramaturge de Peter Brook, plusieurs
fois récompensés aux Molières ou aux Césars. Le directeur du
Théâtre de Carouge, Jean Liermier, s’empare de cette histoire avec
gourmandise et jubilation. Il a choisi pour jouer le rôle de Maude,
la lumineuse Catherine Salviat de la Comédie-Française.
Un régal d’humanité, de tendresse et d’humour !
www.theatredecarouge-geneve.ch
Mardi 12 avril, 20h15
iL fAut Qu’unE PoRtE Soit ouVERtE
ou fERméE d’Alfred de Musset
précédé de La Clé du Grenier d’Isabelle Andréani Cie les Larrons (F)
mise en scène Isabelle Andréani jeu Isabelle Andréani et Xavier Lemaire
Léonie est la servante de Musset, et Edouard, son nouveau
cocher. Tous deux cherchent à retrouver les harnais des chevaux
du coche qu’ils ont perdus. Leurs recherches les mènent jusqu’au
grenier de leur maître, où ils découvrent ensemble dans une
pochette poussiéreuse des manuscrits de l’auteur. Un lien se tisse
entre ces deux passionnés de Musset qui décident de jouer la
pièce Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée, profitant de ce
détour par le théâtre pour se déclarer leur amour naissant. Grâce
au pouvoir de l’imagination, le vieux grenier se transforme en
salon, et la conversation entre les personnages – ponctuées de
railleries, de déclarations, de froideurs et d’aveux – donne lieu à
une singulière demande en mariage.
Ce lever de rideau imaginé par Isabelle Andréani est une
manière érudite et légère d’évoquer celui qui connut notamment
une relation tumultueuse avec George Sand. C’est frais et délicat.
Dominique Jamet dans Marianne écrit : « On prend un plaisir
extrême à ce texte qui badine si bien entre l’amour des mots et les
mots de l’amour ».
« Xavier Lemaire et Isabelle Andréani nous offrent un délicieux
moment de théâtre » (Télérama)
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Mercredi 20 avril, 20h15
LE mEc dE LA tombE d’à
côté de Katarina Mazetti – Théâtre du Petit Saint-Martin (F)
mise en scène Panchika Velez jeu Sophie Broustal & Marc Fayet
Adapté d’un roman de Katarina Mazetti, Le Mec de la tombe d’à côté met en scène la rencontre improbable d’un homme
et d’une femme que tout oppose. Il est agriculteur, rustre et lit
Mickey Magazine. Elle est bibliothécaire, raffinée et dévore
Schopenhauer. Ils se croisent chaque jour au cimetière où
elle se rend pour parler à son époux récemment décédé et
où il vient fleurir la tombe de sa mère disparue. Elle l’appelle
« le forestier ». Il la surnomme « la beigeasse ». Sans s’être
jamais parlés, ils se méprisent… jusqu’au jour où ils se sourient
et tombent follement amoureux…
C’est le début d’une passion dévorante. C’est avec un
romantisme ébouriffant et un humour décapant que cette
histoire d’amour tendre et débridée pose la très sérieuse
question du choc des cultures.
La mise en scène, subtile et sensible, est signée Panchika Velez,
dont le Théâtre de Valère a accueilli la saison passée un
lumineux Journal à quatre mains des sœurs Groult. Les
acteurs, Sophie Broustal et Marc Fayet, interprètent leur rôle
avec une humanité, une fraicheur et une vérité touchantes.
Un spectacle tendre, léger et cocasse, comme les débuts d’une
belle histoire d’amour !
Un joli moment de théâtre.
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Mardi 3 mai, 20h15
KAfKA SuR LE RiVAgE
de Haruki Murakami L’Outil de la ressemblance – Théâtre du Passage – TPR (CH)
mise en scène Robert Sandoz jeu Johanne Kneubühler, Laurence Iseli, Geoffrey Carey,
Olivier Gabus, Thomas Matalou, Patrice de Montmollin & Raymond Pouchon
Kafka Tamura, quinze ans, fuit sa maison de Tokyo pour
échapper à la terrible prophétie que son père a prononcée contre
lui (tu coucheras avec ta mère et tu tueras ton géniteur).
Nakata, vieil homme simple d’esprit mais qui peut parler aux
chats, décide lui aussi de prendre la route, obéissant à un appel
impérieux, une force qui le dépasse. Lancés dans une vaste
odyssée, ces deux héros vont croiser en chemin des hommes et
des chats, une mère fantomatique et une prostituée férue de
Hegel, des soldats perdus et un colonel de fast-food, un
camionneur et un bibliothécaire, des poissons tombant du ciel.
Avant de voir leur destin converger inexorablement et de
découvrir leur propre vérité.
Tiré du roman best-seller de Haruki Murakami, pressenti pour le
Prix Nobel de Littérature, Kafka sur le rivage mêle avec adresse
le réel, le surnaturel et les traditions japonaises. Dans un style
fluide, l’auteur nippon étudie les tourments de l’âme humaine.
« Robert Sandoz adapte avec élégance le récit de Haruki
Murakami et on se laisse prendre avec plaisir dans cette tragédie
oedipienne aux saveurs d’Orient » (L’Hebdo)
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Dimanche 15 mai, 19h00
Au ThéâTre du crocheTAn à monThey Voyage accompagné en bus.
guERRACompagnie Pippo Delbono
Emilia Romagna Teatro Fondazione (I)conception et mise en scène Pippo Delbono
interprétation Bobò, Gianluca Ballarè, Andrea Bulgarelli, Margherita Clemente, Piero Corso, Armando Cozzuto, Pippo Delbono, Lucia Della, Ferrera, Fausto Ferraiuolo, Gustavo
Giacosa, Simone Goggiano, Elena Guerrini, Mario Intruglio, Nelson Lariccia, Mr. Puma & Pepe Robledo
Pippo Delbono est l’une des figures les plus troublantes de la
scène européenne. Son théâtre dérange parfois, mais dégage
aussi une humanité et une poésie âpre et sensuelle. Assister à un
spectacle de Pippo Delbono est une véritable expérience
humaine, il ne s’agit pas de théâtre classique mais d’une
véritable recherche généreuse et particulière.
Présent sur scène, Pippo Delbono prend la parole et l’offre à
ceux qui ne l’ont pas. Les hommes et les femmes qui composent
sa troupe sont uniques. Tous ou presque, trop grands, trop
maigres, trop gros, trop petits, trop cabossés, défient les canons
de la beauté qu’ils font naître.
Vaste pantomime baroque, vrai cabaret du monde, Guerra dit le
besoin urgent de représenter la vie qui naît de la marginalité, de
la souffrance et de la diversité, besoin qui est ici hurlé, dansé,
joué. Une forme chorale et théâtrale d’une vivacité inoubliable et
d’une humanité bouleversante.
« Scotchés à leur siège, les yeux souvent embués, les spectateurs
pilonnent les acteurs de dix minutes d’applaudissements
ininterrompus. Toutes les guerres sont folles à lier. Pippo
Delbono vit à lier. » (Midi Libre)
Ce spectacle fait partie de l’Opération Vadrouilleurs qui offre au
public de Valère de voyager en commun vers le Théâtre du
Crochetan pour découvrir un des metteurs en scène les plus
singuliers de la scène européenne.
Une occasion unique à ne pas manquer !
www.crochetan.ch
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Opération Vadrouilleurs
ThéâTre AlAmbic – mArTigny ThéâTre du crocheTAn – monThey
ThéâTre de VAlère – Sion Vadrouille Nom féminin.
Tampon de laine ou de coton fixé au bout d’un bâton pour nettoyer le pont. Promenade sans but, ou dont le but n’est pas toujours avouable.
· Dictionnaire encyclopédique Quillet | 1934
Opération Vadrouilleurs pourrait être le titre d’un film d’espion-
nage américain, le nom de code d’une recherche de fonds en
déshérence ou encore le nom vulgaire d’une opération médicale
compliquée.
En choisissant cette appellation pour notre démarche de rappro-
chement, nous nous sentons plus près de De Funès et de Bourvil,
donc du talent et de la joyeuseté de ces deux grands comédiens que
des services secrets qui manipulent le monde.
Les directions de trois théâtres au fil du Rhône tentent de
« nettoyer les ponts » possibles entre nous, de collaborer à certaines
occasions, de diminuer les coûts de production et d’accueil et de
faire voyager les idées et les publics en Valais. Dans le but
commun et « avouable » de faire partager au plus grand nombre la
découverte d’auteurs et de productions de qualité, et les autres
théâtres de la région, dans la curiosité, le plaisir et la rencontre.
Les 3, 4, 5 (et éventuellement le 6 novembre 2010 selon la
Théâtre Alambic · Martigny | philippe morandThéâtre du Crochetan · Monthey | lorenzo malaguerra
Théâtre de Valère · Sion | François marin
demande), opération commune au Théâtre Alambic – Martigny
pour l’accueil de Dialogue d’un chien avec son maître sur la nécessité de mordre ses amis de Jean-Marie Piemme, mis en
scène par Philippe Sireuil. Il s’agit d’un spectacle belge prestigieux
et de haute volée qui rencontre depuis plus de trois ans un rare
succès dans toute la francophonie.
Puis durant la saison 2010 – 2011, le public de chaque théâtre
sera invité à se rendre au moins une fois chez l’un des théâtres
partenaires. Ce sera l’occasion d’aller voir des productions que pour
diverses raisons, économiques, techniques ou programmatiques,
nous ne pourrions accueillir à domicile. Des moyens de transport
seront organisés pour les déplacements, un accueil privilégié sera
réservé aux abonnés, les spectacles choisis figureront dans nos
abonnements réciproques et nos équipes encadreront particulière-
ment ce geste théâtral nouveau, du Chablais en passant par le
coude du Rhône jusqu’en Valais central.
Partager est un des plus beaux verbes de la langue française ;
un concept trop souvent battu en brèche par les temps qui
courent. Voilà une rare occasion de le mettre « en vadrouille »
grâce au théâtre.
De votre enthousiasme dépendra la pérennité de cette
« opération spéciale ».
Le Festival Scènes Valaisannes, par son amplitude et la qualité de sa programmation, est devenu un événement incontournable de la vie culturelle de notre canton.Il représente une véritable photographie culturelle du Valais, et permet, par le rassemblement de lieux culturels complémentaires, de dynamiser les échanges et d’inciter le public à découvrir de nouveaux espaces et types de spectacles.Par sa grande diversité et la qualité des spectacles présentés, il reflète la réalité de la création professionnelle générée par des artistes valaisans, en Valais et ailleurs.
L’édition ‘11 aura lieu en janvier et févrierA Monthey au Crochetan et à la Bavette · A st-Maurice au Martolet · A Evionnaz au Dé · A Martigny à l’Alambic et à la Médiathèque Valais · A Fully à la Belle Usine · A savièse au Baladin · A sion au Studio Théâtre Interface, au Teatro Comico, à la Ferme Asile, au Carnotset des Artistes, au Petithéâtre et au Théâtre de Valère et aux Musées Cantonaux · A sierre aux Caves de Courten et aux Halles · A Viège, au Théâtre de La Poste · A brigue au Kellertheater.
FESTIVAL DE LA CREATION PROFESSIONNELLE VALAISANNE
Soutien du théâtre professionnel en Valais
SCÈNES VALAiSAnnES ‘11
THÉÂTRE PRo
La programmation ’11 | www.scenesvalaisannes.ch
Théâtre Pro VS a pour objectif d’encourager et de soutenir le développement de la création théâtrale professionnelle en Valais. Il est le fruit d’une collaboration du Département de l’éducation, de la culture et du sport avec la Loterie romande. Théâtre Pro VS repose sur un partenariat entre des théâtres de création labellisés et des compagnies professionnelles.
Ayant obtenu le label Théâtre Pro VS, le CMA-Théâtre de Valère soutient ainsi pour la saison 10|11
Un dimanche indécis dans la vie d’Anna de Jacques Lassalle, mis en scène par François Marin, création au Théâtre du Crochetan les 13–14–15 janvier 2011, puis au Théâtre de Valère le 20 janvier 2011 et en tournée romande.
Imprimerie Constantin | Hôtel Elite
Mobile Académy | Cars ballestraz
Radio Chablais | Canal 9
Partenaires de projets :
Partenaires Média
LE THéâTRE DE VALèRE REMERCIE SES PARTENAIRES POUR LA SAISON 2010/2011 En tout temps, vous pouvez offrir un cadeau original
à vos amis, à votre famille : un bon pour un ou plusieurs spectacles de notre saison.
Renseignements 027 323 45 61
BON cAdEAu
SEPtEmbRE
Ve 24 – enfin ! par les Chasseurs en exil – Humour
Je 30 – novecento d’Alessandro Baricco Denis Rabaglia/Pierre-Isaïe Duc
octobRE
Ma 5 – parfum d’intimité de Michel Tremblay – Emotion et légèreté
Ma 26 – richard iii de Shakespeare – Grand classique
Di 31 – Symphonie n°4 de Mahler par la HEM
noVEmbRE
Me 3, Je 4, Ve 5 – dialogue d’un chien… de Jean-Marie Piemme à Martigny
Me 10 – carte d’identité de Diogène Ntarindwa – Témoignage et émotions
Ma 16, Me 17 – espèces menacées de Ray Cooney – Comédie
Je 25 – le neveu de rameau de Diderot – Grand classique
décEmbRE
Me 1er – lékombinaqueneau d’après Raymond Queneau – Humour et légèreté
Me 22 – barber Shop Quartet – Humour musical
jAnViER
Ve 14 – ophélie gaillard et l’ensemble pulcinella – Musique baroque
Je 20 – un dimanche indécis dans la vie d’Anna de Jacques Lassalle
Me 26 – pimpinone et la Serva padrona - Opéra de Lausanne
féVRiER
Je 3 – elles par Jean-Jacques Vanier – Humour tendre
Di 6 – les musiciens de brême – opéra pour enfants – Hors abo
Ve 11 – 4 Secrets de et par Julien Labigne – Magie et mentalisme
Je 17 – Trio Smetana – Musique de chambre
Ve 25 – hamelin de Juan Mayorga
mARS
Me 2 – christophe Alévêque est super rebelle
Je 24 – chaque homme est une race de Mia Couto
Me 30 – motobécane de et avec Bernard Crombey – Emotion
AVRiL
Ma 5 – harold et maude de Colin Higgins – Classique contemporain
Ma 12 – il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée de Musset
Me 20 – le mec de la tombe d’à côté de Katarina Mazetti
mAi
Ma 3 – Kafka sur le rivage de Haruki Murakami
Di 15 – guerra par Pippo Delbono à Monthey
