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Le magazine de l'artisanat 218
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Le baromètre de l’artisanat en Limousin p3
Le microcrédit pour créer ou développer son activité p21
Mais où est donc passée ma trésorerie ? p22
Trimestriel - N°218 - Octobre 2008
>> ACTUALITES
>> REPÈRES
>> FICHE TECHNIQUE
>> ZOOM
Dossier :la Loi demodernisationde l’économie
Ets Mauriange : garage multiservices à Meymac
François HollandePrésident du Conseil général
+
>> INTERVIEW
Paris en avion : 3 vols pour 2 À GAGNER!
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Trait d’Union - Le Magazine de l’Artisanat Corrézien.Réalisé par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Corrèze • Trimestriel édité à 7 000 exemplaires
• Webzine : www.trait-union.info • Informations et communiqués : [email protected] • Directeur de la Publication : Christian Lavent • Rédacteur en Chef : Jacques Chambon
• Rédaction et publicité : Christophe Rigot • Ont participé à ce numéro : Fréderic Aubreton, Jérôme Bordes,E. Bousquet A. Chanonat, J-P. Feugeas, J.C Fredon, Céline Lachassagne, Éliane Monteil, J-F. Robert
• Conception graphique, mise en pages, couverture : Thomas Drouhat, Philippe Chapot Editions HF - l'Empreinte 21, rue Montesquieu 19100 Brive : [email protected] • Crédit Photos : P. Chapot, C. Rigot, X
• Flashage et impression : Imprimerie du Corrézien, le bourg 19460 Naves • Routage : routage 23, route du Limousin 23220 Cheniers
Contact Publicité 05 55 29 95 91
Ce magazine est imprimé par l’imprimerie du Corrézien à Naves. Labellisée Imprim’vert, elle s’est engagée à respecter les critères d’élimination des déchets,
de stockage sécurisé des produits dangereux et à ne pas utiliser de produits toxiques.
Christian Lavent
Président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat
a Loi de modernisation de l'économie, que
nous vous présentons de façon synthétique
dans les pages centrales de ce numéro, vient
d'être publiée au Journal Officiel.
Elle apporte des avancées importantes et signi-
ficatives dans de nombreux domaines de la vie
de l'entreprise : protection du patrimoine
personnel des entrepreneurs individuels, réduc-
tion des délais de paiement, réforme de la fisca-
lité liée à la transmission d'entreprise, simplifi-
cations administratives…
Deux dispositions nous inquiètent néanmoins
au plus haut point. Je veux parler du statut de
l'auto-entrepreneur et de la modification de la
réglementation liée à l'implantation de grandes
surfaces commerciales.
Le statut de l'auto-entrepreneur, qui s'adresse
aux salariés, retraités, étudiants… est calqué sur
le régime de la micro-entreprise dont les seuils
sont relevés (32 000 ! pour les prestataires de
services, 80 000 ! pour les activités de vente),
avec dispense d'immatriculation au Répertoire
des métiers, dispense de stage de préparation à
l'installation, pas de facturation de TVA, paie-
ment des cotisations sociales et de l'impôt sur le
revenu calculé en pourcentage du chiffre d'af-
faires et exonération de taxe professionnelle
pendant 3 ans…
Nous nous sommes élevés contre un système
qui fausse les règles de la concurrence et va,
pour le moins, déstabiliser des entreprises déjà
bien fragilisées.
Nous nous sommes élevés contre cette généra-
tion spontanée d'auto-entrepreneurs que nous
ne connaîtrons et ne conseillerons plus lors de
l'installation et qui risquent de traverser nos vies
comme des météores dévastateurs.
L'ouverture de grandes surfaces n'est plus
soumise à autorisation lorsque leur surface de
vente ne dépasse pas 1 000 m2. Jusqu'à présent,
cette autorisation était nécessaire pour tous
projets de plus de 300 m2.
Les entreprises traversent aujourd'hui une
conjoncture particulièrement morose marquée
par un très fort ralentissement de l'activité. Ces
deux dispositions ne vont pas améliorer nos
conditions d'exploitation.
Alors que la Loi de modernisation de l'éco-
nomie vise à créer les conditions d'une crois-
sance retrouvée, il serait bon de ne pas oublier
l'impact des petites entreprises de proximité.
Small is beautiful.
A bientôt
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Actualités 2• Elles arrivent… les Artimobiles
• Le prix Stars et Métiers
• Regard sur un premier semestre
morose
• Cinquantième remise des diplômes
en novembre
• Salon de l’habitat à Tulle
• cfa13vents.com : le site web fait
peau neuve
• Élèves plein d’avenir souhaitent
devenir apprentis
• Plate-forme de détermination profes-
sionnelle pour les collégiens
• Mouvements de personnel au CFA
Plus clair 7• Interview de M. François Hollande
Président du Conseil régional
Dossier 8• La Loi de modernisation
de l’économie
C’est la vie 11• Ils arrivent dans l’artisanat
Zoom 13• Ets Mauriange :
un garage multiservices à Meymac
Formation 15• Des formations courtes, pratiques
et gratuites
En action 16• 2 nouvelles actions territorialisées
en faveur de l’artisanat et du
commerce
Entreprises en mouvement 17
Organisations Professionnelles 19
Repères 21• Le microcrédit pour créer
ou développer votre activité
Fiche technique 22• Mais où est passée ma trésorerie ?
Bric àBrac 23
Entre nous 24
Chers amis artisans
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e prix Stars & Métiers récompense
les chefs d’entreprises artisanales
pour leur réussite en matière d’inno-
vation, de savoir-faire et de dynamique
commerciale. Véritable référence, cette
distinction est née de la fusion du Prix de la
dynamique artisanale et du prix Artinov
mis en place par les Chambres de Métiers,
les Banques populaires et les Socama
Centre Atlantique et Massif-central.
Sur proposition des conseillers, les entre-
prises concourent dans quatre catégories
(innovation technologique, stratégie
globale d’innovation, dynamique commer-
ciale et gestion des ressources humaines)
au niveau départemental, puis régional et
national. Les lauréats bénéficient d’une
couverture médiatique importante…
A noter que, pour la première fois
en Corrèze, une seule et unique remise de
prix départementale réunira les lauréats le
4 novembre prochain. A suivre.
es 17 et 18 novembre
prochains, les
Artimobiles arrivent
dans les collèges de
Corrèze. Ces 12 petites
voitures customisées,
destinées à faire découvrir
les métiers de l’artisanat,
sont équipées de logiciels
interactifs autour des
thèmes qui intéressent et
attirent les collégiens tels
que la musique ou le
sport…
Afin d'inscrire cette
opération dans une
démarche pédagogique globale, les
enseignants des collèges de Brive, Tulle
et Egletons préparent l'arrivée des
Artimobiles avec les jeunes. Une prépa-
ration qui a pour objectif de favoriser le
questionnement des collégiens sur l'arti-
sanat, ses métiers et ses acteurs… et de
confronter les idées reçues à la réalité lors
de la visite des Artimobiles et de la
rencontre avec des professionnels.
A noter que la venue des Artimobiles est
organisée par la Chambre de Métiers en
collaboration avec l’Inspection acadé-
mique dans le cadre d’une tournée mise
en place par le Fonds national de promo-
tion et de communication de l’artisanat.
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Contact : Céline Lachassagne
05 55 29 95 95
Contact : Jean-françois Robert,
05 55 29 95 95
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Elles arrivent…
Stars et métiers :un prix pour l’artisanat
BrèvesExportL’offre de service du réseau
des Chambres de métiers du
Limousin s’élargit au
domaine de l’export. Pour
une information, un conseil,
une orientation, n’hésitez
pas à contacter Jean Exner,
CMA 87 au 05 55 45 27 00
Démarchages abusifsLa direction générale des
finances publiques met en
garde les entreprises contre
des démarchages abusifs à
caractère publicitaire pour
un ouvrage intitulé « Guide
officiel des entreprises – Le
Livre d’Or de la direction
générale des impôts ».
En cas de doute,
contactez Bruno Diez
au 05 55 20 50 28
Inspection des pressingsLe Ministère de l’écologie a
programmé fin 2008 une
opération d’inspection des
installations de nettoyage à
sec vis-à-vis de la régle-
mentation environnemen-
tale. Pour faire un point sur
votre situation vis-à-vis de
cette réglementation,
contactez notre chargée de
mission environnement au
05 55 79 45 02
Small business Act :La Commission européenne
a publié le 25 juin 2008 son
projet de Small Business
Act pour l’Europe. L’Apcm
a demandé l’application
irréversible du principe
“penser aux petits d’abord”.
Parrainage du handball L’Artisanat renouvelle son
partenariat avec la
Fédération française de
handball pour les quatre
prochaines années jus-
qu’aux Jeux Olympiques de
Londres, en 2012.
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ÉCONOMIQUES
Les baromètres d’activité sont en
forte baisse quel que soit le secteur
d’activité ou le lieu d’implantation
de l’entreprise. Le baromètre le plus bas
est celui des services (-24) et l’alimenta-
tion semble résiter un peu mieux (-4) mais
jusqu’à quand ?
Pour la première fois depuis 2006,
le baromètre de l’emploi salariéaffiche une valeur négative. Il a
légèrement baissé, même s’il a mieux
résisté dans la production et le bâtiment ;
En matière d’investissement, la
situation des entreprises au pre-
mier semestre est contrastée.
L’investissement est la seule variable à
avoir apparemment progressé ; cepen-
dant, si la part des investisseurs a aug-
menté, les montants investis sont en
général moindres ;
Le baromètre de la trésorerie fait
le grand plongeon. Cette baisse est
certes très corrélée à celle de l’ac-
tivité, mais les artisans évoquent beau-
coup plus par le passé (49%) une
augmentation des charges : matières pre-
mières et carburants bien entendu mais
aussi impact de la mensualisation des
cotisations sociales découlant de la mise
en place du RSI.
En Corrèze, le relatif optimisme
animant les artisans à la fin de l’an-
née dernière ne s’est pas traduit
dans les faits. Le baromètre de l’activité
perd plus de 20 points et retrouve son
niveau de début 2005, en zone urbaine et
rurale.
Sans doute déçus par ces mauvais
résultats et inquiets des médiocres
perspectives de l’économie en
général, les artisans limousins sont pessi-
mistes pour les six mois qui viennent. Ils
espèrent maintenir l’emploi et la tréso-rerie mais la variable d’ajustement pour-
rait être l’investissement pour lequel les
projets sont historiquement peu nom-
breux.
Regards sur un 1er semestre morose
Plus d’infos :téléchargez le document complet sur
www.trait-union.info
En haut, sur la
ligne de temps
figurent les
semestres
successifs.
Exemple :
00-1 représente
l’année 2000,
1er semestre.
A partir d’un échantillon de 400 artisans limousins, la note de conjonctureréalisée par la Chambre régionale de métiers nous donne des indicationsprécises sur l’activité, l’emploi, l’investissement… Malheureusement, lesdonnées du premier semestre 2008 confirment les tendances répandues par lebouche-à-oreille.
BrèvesLes Journées desMétiers d’Art Les Journées des Métiersd’Art ont lieu du 16 au 19octobre 2008. C’est l’oc-casion pour les artisansd’art d’ouvrir leur atelierau public. En Limousin, 45professionnels sont déjàinscrits sur le site officielwww.jma2008.fr Plusd’infos : Céline Gueunet,05 55 79 45 02
Salon des Métiersd’Art à Uzerche…Le premier salon desmétiers d’art d’Uzercheest organisé du 17 au 19octobre 2008 par laCommunauté de com-munes du Pays d’Uzercheen partenariat avec le PôleAssociatif des Métiersd’Art du Limousin. Ilregroupe une quarantainede professionnels.Contact : 05 55 73 77 38
… puis à St YriexSalon Art & Dien les 25 et26 octobre 2008 à Saint-Yrieix. Au cœur de la citémédiévale, ce salon desmétiers d’art présente descréations originales dansles arts du feu, les matièresbrutes, la décoration, lesbijoux et la mode. SalleAttan, de 10h à 19h.
Étiqueter les pro-duits alimentairesLa Chambre régionale demétiers a publié début sep-tembre une fiche tech-nique sur l’étiquetage etles allergènes afin d’éclai-rer les professionnels surles informations que doitcontenir l’étiquetage desproduits alimentaires pré-emballés et non pré-emballés. Contact : ElsaEbrard, 05 55 79 45 02
Départ en retraiteJean-Luc Pauly, 62 ans,vient de faire valoir sesdroits à la retraite. Toutpremier salarié de laChambre de métiers, ilétait alors en charge de laformation continue.
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400 apprentis recevront leurdiplôme jeudi 13 novembre à Brive.La 50e édition de la Fête desétudiants des métiers réunira lesjeunes, les familles, les maîtresd’apprentissage et l’ensemble dusecteur artisanal.
Cette année, la Chambre de Métiersorganise la 50e édition de la Fête desétudiants des métiers. Une éditionexceptionnelle qui bénéficie du parte-nariat des Banques Populaires etSocama du Massif Central et CentreAtlantique, de la mutuelle Santévie etde la compagnie aérienne Airlinair.Les 400 jeunes apprentis invités rece-vront des plus hautes autorités del’Etat et de l’artisanat leur diplôme de
CAP, de BEP, de Bac pro, de BrevetTechnique des Métiers ou encore deBrevet de Maîtrise Supérieur… Tour àtour, les secteurs de l’alimentation, dubâtiment, de l’industrie, des services,du commerce et de la fabricationremettront dans une ambiance solen-nelle, mais aussi très festive, lesprécieux sésames aux lauréats.
Les maîtres d’apprentissage invités
Les maîtres d’apprentissage contri-buent très largement à la formation et àla réussite des candidats. Aussi, chacunsera invité personnellement à parti-ciper à la soirée du 13 novembre. Unefaçon de les remercier pour leur enga-gement mais aussi d’encourager lesjeunes qu’ils ont accompagné jusqu’audiplôme.
Des vols pour Paris à gagner
La soirée, dont le thème de l’anima-tion sera révélé au dernier moment, sedéroulera jeudi 13 novembre àl’Espace de Trois Provinces à BriveLes organisations professionnelles, les enseignants des CFA, en compa-gnie des organisations profession-nelles et des enseignements à partir de18h30 et permettra de remettre uncadeau à chacun des lauréats maisaussi de gagner des allers-retours versParis en avion à l’occasion d’un tirageau sort.
Contact : Christophe Rigot,
05 55 29 95 95
EvelyneBousquet,Artisan coiffeurà Brive,Membre de la commissionde la communi-cation.
Elle aime- la franchise,- le naturel,- le patinage.
Elle n’aime pas- la trahison , - la malhonnêteté.
D'après vous, comment seporte l'artisanat ?Pour moi, l’artisanat ne seporte pas trop mal. Jetrouve toutefois désa-gréable de ne pas être valo-risés pour nos talents. Alorstout le monde se plaint, etc’est peut-être une habi-tude. Mais cela cache pleinde choses. Dans notre sec-teur, si quelqu’un dit qu’iltravaille bien, c’est mal vu,cela fait naître des jalou-sies. Alors, je crois que leniveau de plaintes ne reflètepas la réalité.
Quel est l'état de la coiffureactuellement ?D’un point de vue de la for-mation, c’est difficile. Onne trouve pas de maind’œuvre qualifiée et l’inté-rêt pour la formationbaisse, tant chez les jeunesque chez les maîtres d’ap-prentissage. Les jeunes ontun à priori de départ surnotre statut de chef d’entre-prise et leur éducation estsouvent à revoir. En cemoment, je forme uneapprentie et ce n’est pasfacile tous les jours. Il fautdu temps pour former et lesclients n’acceptent pas tou-jours de passer avec elle.
Avec les diplomés !RéserveZ VOTRE soirée…
Fêtedes étudiants des métiers
jeudi 13 novembre 08 à Brive !
50e remise des diplômes en novembre
Présente au Salon de l'habitat de Tulledébut septembre, la Chambre deMétiers a montré tout l'intérêt etl'appui qu'elle souhaite porter ausecteur du bâtiment.
Le stand, très coloré, invitait le publicà découvrir les services proposés enmatière de découverte des métiers,apprentissage, création, reprise, déve-loppement d'entreprise et formationprofessionnelle.
Le Président Lavent a pu y recevoirJean-Paul Denanot, Président du
Conseil régional, François Hollande,Député et Président du Conseilgénéral accompagné de BernardCombes, Maire de la ville de Tulle.
Tulle : le bâtiment fait salon
ACTUALITES
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Un temps menacée par une évolution hâtive des textes réglemen-taires, la classe préparatoire à l’apprentissage du CFA les 13 vents aheureusement été reconduite.
Une chance pour les 55 élèvesinscrits cette année qui ont fait lechoix d’apprendre autrement touten se tournant vers la découverte dumonde professionnel.
Accueillis le 2 septembre parl’équipe pédagogique, ils ontdécouvert ce que l’on attendaitd’eux dans les mois à venir. Au pro-gramme, initiation à trois métiersau moins, découverte de plus decinq secteurs professionnels, acqui-sition de connaissances conformeaux exigences de fin de 3e et, biensûr, mises en situation en entrepriseà l’occasion de stages. Avec pourchacun d’entre eux et à toutmoment, la possibilité d’un retourau collège. Dans sa note de rentrée,Anne Sancier-Chateau, Recteur del’Académie de Limoges a confirmé
l’importance de ce dispositif qui,depuis 2005 à Tulle, a été profondé-ment remanié dans son fonctionne-ment.
Organisée désormais en plate-forme multi-métiers (bâtiment,agriculture et industrie compris) surle principe de l’entrée et sortiepermanente, la CPA du CFA les 13vents qui apporte sa contributionactive au fonctionnement desdispositifs « alternance collège » enCorrèze donne la chance à toutélève de préparer une formationprofessionnelle dans les meilleuresconditions de réussite. Un chiffrecomme preuve de cette efficacité :moins de 5% des jeunes issus deCPA rompent leur contrat à l’entréeen apprentissage.
ACTUALITÉS
cfa13vents.com : le site web fait peau neuve
Source d’informations utiles pour lesapprentis, les employeurs, les stagiairesde la formation professionnelle, le sitedu CFA est aussi une manière de rendrecompte aux différentestutelles de l’établissement(Etat, Région) des progrèsfaits dans la mise en œuvre duprogramme pour l’améliora-tion qualitative de l’apprentis-sage en Limousin.
Les expérimentations pédago-giques, les formations, le res-senti des apprentis, les portraitd’employeurs et de maîtresd’apprentissage, les interviewsde l’équipe pédagogique sontmaintenant racontés dans ledétail, en textes et en images, parl’équipe éditoriale constituée desmembres du personnel et de lachambre de métiers. D’un designsoigné, mis au point par
Christophe Rigot, le site a incontesta-blement gagné en lisibilité et en attrac-tivité. Pour preuve la fréquentation( e n v i r o n
1200 visiteurs par semaine actuelle-ment) qui ne cesse de croître.
Complètement remaniée, la ligne éditoriale du site de l’établissement a été mise depuis juin au goût des internautes.
Elèves plein d’avenir souhaitent devenir apprentis
Obtenez sur simple demande une affiche à apposer survotre vitrine auprès du CFA les 13 Vents. Égalementdisponible en téléchargement sur internet :www.cfa13vents.com
Une affiche pour recruter un(e) apprenti(e)
ACTUALITÉS
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StéphanePillet
a rejoint le CFA des 13 vents à la rentrée.
Il occupe désormais les fonctions de
professeur en hôtellerie en remplacement
de Gilbert Peschel parti à la retraite. Fort
d’une expérience professionnelle de 20
ans, Stéphane Pillet a exercé ses fonctions
en France et à l’étranger.
Mouvements de personnelau CFA
KadirHamzaoui
Kadir Hamzaoui rejoint l’équipe d’anima-
tion encadrée par Michel Montagnac en
qualité d’éducateur. Il exerçait précédem-
ment des fonctions similaires au Centre
d’Education Renforcé des Monédières.
FrédéricPlantade
assurera les cours de mécanique en
remplacement de Thierry Soustrot actuel-
lement en congé de création d’entreprise.
GillesCluzeau
viendra ponctuellement en renfort de
l’équipe d’hôtellerie.
Christine Peyrussie et Marie Simoesviendront ponctuellement en renfort d’Eliane Vignal pour les cours de coiffure
en remplacement d’Yves Meyrignac parti à la retraite.
Plate-forme de détermination professionnelle pour les collégiens:le CFA expérimenteDe l’avis même des jeunes des collèges Jean
Lurçat, Corrèze, d’Arsonval, bénéficiaires
en 2007/2008 de l’expérimentation « alter-
nance collège » menée en partenariat avec le
CFA les 13 vents, changer de cadre permet
parfois de mieux avancer.
C’est bien le pari qu’avaient fait les chefs
d’établissements des collèges concernés et
l’équipe pédagogique du CFA les 13 vents
lors du démarrage de cette expérience origi-
nale placée sous le contrôle de l’inspection
académique et du SAIA. Permettre à des
jeunes en classe de 4e ou de 3e de poursuivre
leurs études en incluant un passage au CFA,
voire en entreprise tout en laissant l’initia-
tive au collège d’origine, était incontesta-
blement une manière de resserrer les liens
entre établissements tout en développant de
nouvelles pratiques. De quoi conforter le
rôle du CFA et de sa plate-forme « décou-
verte métiers » à vocation départementale.
En cohérence avec l’esprit desprogrammes en cours privilégiant ladidactique transversale des enseigne-ments dont l’aboutissement se trouvedans la définition du socle commundes connaissances et des compétencesque chaque élève se doit de maîtriseren fin de troisième, la démarcheengagée par l’équipe du CFA vise àproposer de nouvelles manières d’ac-quérir ces savoirs. Trois points princi-paux font l’originalité de cettedémarche : la création d’un livret decompétences permettant notamment àl’apprenant de consigner ses progrès ;
la mise en place d’une banque d’acti-vités inspirée des métiers en relationavec les objectifs pédagogiques, untutorat renforcé par l’équipe du CFAen lien avec l’équipe pédagogique duCollège.
La pédagogie par l’activité miseen avant.
Généralisation à la rentrée
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Plusieurs réunions bilan, ont permisen 2008 d’affiner le contenu desservices proposés aux élèves descollèges sur ce thème. A la rentrée, leCFA est donc en mesure d’accueillirles jeunes de quatrième ou de troi-sième qui trouveront dans un nouveaucontexte, celui du monde profes-sionnel, l’occasion d’apprendre et deprogresser.
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Depuis quelques mois, François Hollande, Député, est le Président du Conseil général de la Corrèze.A ce titre, il a accepté de nous donner son point de vue sur l’artisanat et de répondre sans détours ànos questions sur la politique à venir en faveur des petites entreprises.
PLUS CLAIR
François Hollande :“L’artisanat est une force considérable
pour la Corrèze”
L'artisanat représente 20 % de la population active du départe-ment et s'affirme comme étant essentiel dans le maillage des ter-ritoires. Quels vont être les grands axes de la politique que vamener le Conseil général ?
J’ai conscience que l’artisanat est une force considérable pour la
Corrèze. Il ne s’agit pas de nier l’importance des grandes entreprises
que nous devons attirer sur les zones qui sont dédiées à leur installa-
tion. Il ne s’agit pas non plus de sous-estimer l’impact de l’agricul-
ture qui, malgré ses difficultés, reste le poumon de notre
département. Mais, le tissu artisanal présente trois atouts : il est créa-
teur d’emplois, il occupe le territoire et il répond à des besoins pour
la population. C’est le secteur le plus prometteur en termes de déve-
loppement ; à plusieurs conditions. La première, c’est qu’il faut aider
l’investissement et c’est pourquoi le Conseil général avec le Conseil
régional s’engagera pour tout ce qui est nouvelles technologies,
innovation. La seconde condition, c’est qu’il faut un renouvellement,
un rajeunissement et donc des reprises d’entreprises. Il existe un dis-
positif qui avait été mis en place par nos prédécesseurs que nous
allons non seulement poursuivre mais amplifier. La troisième condi-
tion, c’est qu’il faut maintenir l’artisanat en milieu rural. Là aussi, le
Conseil général modulera ses aides pour que l’artisanat présent dans
les zones moins peuplées soit davantage soutenu.
Dans les 8 à 10 ans à venir, 40% des artisans vont faire valoirleur droit à la retraite. Quelles actions le Conseil général entend-il proposer pour assurer le renouvellement des générations ?
C’est un enjeu que la Chambre de métiers a considéré comme essen-
tiel depuis plusieurs années. Si nous n’assurons pas dans de bonnes
conditions la transmission, nous mettons en cause le droit à la retraite
de beaucoup d’artisans qui n’ont comme futur revenu que leur capi-
tal d’aujourd’hui, que le fruit de leur travail. La reprise est aussi un
élément essentiel si l’on veut conserver la dynamique du secteur arti-
sanal et cette présence sur le territoire. Il ne peut y avoir d’artisans,
demain, que s’il y a des apprentis aujourd’hui. Donc, il faut valori-
ser les métiers de l’artisanat et assurer la formation à travers les CFA.
Une compétence qui ne relève pas du Conseil général mais du
Conseil régional. Il faut mobiliser le secteur bancaire parce que l’ins-
tallation a un prix : à la fois celui de la reprise et de l’investissement
qui doit suivre. Le Conseil général est donc prêt avec la Chambre de
métiers à faire une table ronde avec l’ensemble du secteur bancaire
pour favoriser l’accès au crédit des repreneurs. Enfin, il y a l’aide
directe que nous devons apporter à toute opération de transmission
quand elle se situe en milieu rural.
Comment voyez-vous le rôle de la Chambre de métiers et de l'ar-tisanat en accompagnement des actions qui seront proposées ?
La Chambre de métiers est un irremplaçable outil d’accompagne-
ment, de conseil, de suivi et d’information. Elle a la confiance des
artisans puisqu’elle émane d’eux. Toutes les informations qu’elle
fournit sont considérées comme crédibles par les entrepreneurs et
l’erreur serait de vouloir se substituer à la Chambre de métiers pour
les missions qu’elle exécute. Pour le Conseil général, elle est un par-
tenaire qui doit être l’intermédiaire entre les pouvoirs publics et les
artisans.
Ensuite, la Chambre de métiers assure, avec le Conseil régional et
par les CFA, la formation des futurs entrepreneurs et des salariés du
secteur artisanal. L’apprentissage est une filière qui doit déboucher
sur des emplois bien rémunérés. Elle permet à des jeunes de tous
milieux de suivre des études plus longues qu’on ne le dit souvent, et
parfois jusqu’à l’université. L’apprentissage est un moyen de trouver
rapidement un emploi avec une responsabilité pour les chefs d’en-
treprises qui est de rémunérer correctement la qualité de la formation
et du métier exercé.
Enfin, la Chambre de métiers peut, avec le Conseil général, sensibi-
liser les collectivités locales qui donnent des marchés à la nécessité
de bien prendre en compte la réalité des Pme, notamment de notre
département. On ne peut pas vouloir avoir des artisans présents sur
notre territoire et ne pas les faire travailler, même si il y a des règles
de concurrence qui s’imposent à tous.
Cré
dit
photo
: O
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DOSSIERT
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Loi de modernisationles 15 mesures qui concernentl’artisanat.La loi de modernisation de l’économie entend modifier en profondeur l’économie française. Autravers de 5 grands titres et 173 articles, elle affiche deux objectifs essentiels : plus d’entreprises etplus de concurrence. Elle devrait avoir trois résultats concrets : plus de croissance, plus d’emplois etplus de pouvoir d’achat. Pour vous, nous avons tenté de décrypter les enjeux qui en découlent.Découvrez les 15 mesures phares qui concernent directement les entreprises artisanales.
pour les petits entrepreneursCréer un statut simplifiéIl s'agit de créer un régime simplifié etlibératoire de paiement par les petitsentrepreneurs de leurs impôts et deleurs charges. Une simple déclarationsuffit, sans obligation d’immatricula-tion au registre du commerce et dessociétés ou au répertoire des métiers.
L’auto-entrepreneur peut s’acquitterforfaitairement de ses chargessociales et de ses impôts uniquementsur ce qu’il gagne, mensuellement outrimestriellement (forfait de 13 %pour une activité commerciale et de23 % pour une activité de services).
Le versement est libératoire descharges sociales et de l’impôt sur lerevenu. De plus, l’auto-entrepreneurn’est pas soumis à la TVA. Le micro-entrepreneur qui choisit lestatut est exonéré de taxe profession-nelle pendant trois ans.
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des entrepreneurs individuelsProtéger le patrimoine personnelLa loi étend la protection du patri-
moine des entrepreneurs individuels
à tous leurs biens fonciers (bâtis et
non bâtis) non affectés à l’usage
professionnel ; les éléments du
patrimoine déclarés insaisissables
pourront désormais être sortis du
régime de l'insaisissabilité dans leur
ensemble ou individuellement ; le
dirigeant qui s'est porté caution
d'une dette de son entreprise pourra,
dans certains cas, demander le
réaménagement de l'engagement
de caution dans le cadre de la
procédure de surendettement.
L’entrepreneur individuel pourra
créer des fiducies, comme peuvent
déjà le faire les sociétés.
Réduire les délais de paiementLa loi prévoit un plafonnement des
délais de paiement à 60 jours (ou 45
jours fin de mois) à compter du 1er
janvier 2009. Puis une phase de
négociation s’établira secteur par
secteur et fera place à une possible
nouvelle intervention législative à
échéance d'un an en cas d'échec des
négociations. Le délai de 60 jours
commence à courir à la date d’émis-
sion de la facture. Les entreprises
peuvent retenir comme point de
départ la date de réception des
marchandises par accord interpro-
fessionnel.
Les pénalités sont exigibles en cas
de retard de paiement. Elles sont
renforcées pour être plus dissua-
sives : le taux plancher des pénalités
de retard passe de 1,5 fois le taux
d’intérêt légal à 3 fois. Avec la loi,
tout délai de règlement supérieur au
délai maximal prévu par la loi est
désormais abusif. Toute personne
intéressée peut faire valoir cette
disposition devant le juge civil.
applicable aux PMESimplifier le droitLa loi simplifie le droit des sociétés
applicable aux PME, dont celui des
sociétés à responsabilité limitée uniper-
sonnelles (EURL) mais également les
sociétés par actions simplifiées (SAS),
en rendant optionnelle pour les SAS la
certification de leurs comptes par un
commissaire aux comptes. La déclara-
tion sociale de revenus établie annuelle-
ment par les travailleurs indépendants,
pour permettre le calcul de leurs cotisa-
tions sociales, est supprimée à compter
de 2010. Les données, qui ne seront plus
recueillies par cette déclaration, seront
transmises aux organismes sociaux par
les services des impôts, à partir des
déclarations établies pour le calcul de
l’impôt sur le revenu.
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de l’économie :5
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de sociétésLa loi prévoit de créer un cadre fiscal
favorable aux sociétés en amorçage, à
l'image de ce qui existe déjà aux États-
Unis. L'entrepreneur peut désormais
combiner un régime de société à
responsabilité limitée et bénéficier
d'une imposition de ses résultats
au niveau de ses revenus propres
(principe de transparence fiscale).
le Small Business Act à la françaiseÀ titre expérimental, et pour une période
de cinq ans, les acheteurs publics pour-
ront traiter de façon préférentielle les
PME innovantes ou leur réserver une
part de leurs marchés publics, ce qui
facilitera leur développement.
des baux commerciauxFavoriser une évolution plus justeLa loi valide l'accord passé entre
plusieurs fédérations de proprié-
taires et de locataires sur l'instaura-
tion d'un nouvel indice de révision
des loyers permettant d'éviter de
trop fortes variations annuelles liées
à la forte hausse ces dernières
années de l'ICC (indice trimestriel
du coût de la construction), et de
mieux tenir compte de l'évolution
de l'activité des commerçants et des
artisans. La loi modernise égale-
ment sur plusieurs points le régime
des baux commerciaux.
par la création d'entreprisePermettre la réinsertionDésormais, la peine d'incapacité
commerciale sera appréciée au cas
par cas et non plus prononcée de
plein droit envers les personnes
ayant purgé une peine criminelle ou
de délit financier.
des entreprises en difficultéRéformer le droit La loi du 26 juillet 2005 de sauve-
garde des entreprises a eu pour
objectif de renforcer les chances
effectives de sauvetage de l'entre-
prise en favorisant l'anticipation et la
négociation. L'objectif est de rendre
plus attractive la procédure de sauve-
garde, afin d'en développer l'usage,
encore relativement limité, notam-
ment par les petites entreprises. Le
texte favorise également l'émergence
d'un plan de sauvegarde, notamment
en réformant en profondeur le fonc-
tionnement aujourd'hui insatisfaisant
des comités de créanciers.
et le micro-créditDévelopper l'économie solidaireLa loi favorise le développement du
micro-crédit en étendant les possibi-
lités reconnues aux associations de
micro-crédit.
Ces associations peuvent désormais
prêter à tous, et non plus seulement à
ceux qui sont chômeurs ou titulaires
de minima sociaux. Elles peuvent
également financer des projets d’in-
sertion, notamment en faveur du
retour à l’emploi. La loi permet aux
salariés adhérents à un plan
d'épargne d'entreprise de contribuer
plus facilement au financement des
entreprises solidaires en affectant
une partie de leurs avoirs à un fonds
commun de placement « entreprises
solidaires ».
Inciter à la création
Accorder un traitement préférentielpour les PME innovantes :
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des entreprisesFavoriser la reprise et la transmissionLes données démographiques
montrent qu'environ 700 000 entre-
prises sont susceptibles d'être cédées
dans les dix années à venir. Or la
France manque d'entreprises de taille
intermédiaire. Dans ce contexte, la loi
permet aux salariés et aux membres de
la famille de reprendre plus facilement
l’entreprise, en abaissant les droits de
mutation à titre onéreux ou en les
exonérant totalement si la valeur de
l’entreprise est inférieure à 300 000
euros, et en créant pour les autres
entreprises un abattement de 30 000
euros sur la valeur de l’entreprise.
promotionnelles et de soldesFavoriser la mise en place d'opérationsSimplifier le système, dans un
contexte de concurrence loyale entre
les commerçants fera bénéficier le
consommateur de plus de soldes et de
plus de promotions tout au long de
l'année. La loi fixe le principe d’une
date nationale pour les soldes d’été et
d’hiver, avec des dérogations
possibles pour certaines zones touris-
tiques ou frontalières. La durée de
chacune de ces périodes « nationales »
est réduite à 5 semaines pour
permettre à chaque commerçant de
réaliser deux semaines supplémen-
taires de soldes « libres » par an. Par
ailleurs, les opérations de promotion
de déstockage seront désormais
possibles toute l’année.
en faveur du petit commerceRenforcer les aidesLa loi élargit le champ d'intervention
du FISAC (Fonds d'intervention pour
les services, l'artisanat et le
commerce) et le recentre vers les
commerçants et les artisans, pour
mieux préserver un tissu d'entreprises
de proximité. Cela accompagnera la
réforme de l'équipement commercial.
pour avoir plus de concurrence et fairebaisser les prix
de plus de supermarchésFavoriser l'installation
La loi favorise l’implantation de
grandes surfaces en relevant le seuil
des procédures d’autorisation de 300 à
1000 m2. Les élus sont au coeur du
nouveau système en étant majoritaires
au sein des Commissions départemen-
tales d’aménagement commercial et
en disposant de nouvelles compé-
tences. Ils pourront par exemple saisir
le Conseil de la concurrence en cas
d’abus de position dominante ou d’un
état de dépendance économique, ou la
Commission départementale pour des
projets compris entre 300 et 1000 m2,
dans les plus petites communes
(moins de 20 000 habitants) ; là où
leurs conséquences sont plus fortes.
ou son dépôt de dessins et modèles plussimplement
et gérer son brevet, sa marqueDéposer, défendre et
Les dispositions de la loi visent à
moderniser le système d'enregistre-
ment et de délivrance des titres de
propriété industrielle, et plus spéciale-
ment celui des brevets, afin de le
simplifier, de le rendre plus facilement
accessible aux entreprises et de
l'adapter à l'environnement interna-
tional.
En savoir plus: www.modernisationeconomie.fr
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es plus jeunes créent ou reprennent une entreprise artisanale, souvent avec des étoiles dans les yeux.Les autres partent en retraite ou se lancent vers de nouveaux horizons professionnels… C’est lavie… une rubrique éclectique, à l’image des activités du secteur artisanal.L
Ils arrivent dans l’artisanat
C’EST LA VIE
Jean-françois Giblas, 36 ans,électricien
En septembre dernier, j’ai créé
CEG électricité, une entreprise
d’électricité générale basée à
Malemort. Au-delà des presta-
tions traditionnelles, je mets
l’accent sur le dépannage et
l’installation de panneaux
solaires photovoltaïques et de
pompes à chaleur. Je souhaite promouvoir toutes les énergies
renouvelables qui sont, à mon sens, une bonne alternative aux
énergies fossiles comme le fuel. Mes arguments reposent sur la
qualité, la proximité et l’efficacité.
Loïc Gomes, 22 ans, pizzaïolo
En juillet dernier, j’ai ouvert une
pizzeria avec mon associé Florent
Guillou à Brive. Notre concept de
« pizza plaisir » propose une tari-
fication simplifiée : 3 tailles de
pizzas pour 3 prix seulement. On
ne travaille qu’avec des produits
frais et nos pâtes sont totalement
« maison ». Certaines sont aromatisées (noix, curry ou citronnelle)
et toutes nos pizzas sont à emporter ou à déguster sur place dans un
espace frais, jeune et dynamique.
Virginie Grégoire et Thierry Battut, bouchers charcutiers
Avec Virginie, 29 ans, on a repris
la boucherie charcuterie Freitas à
Eygurande début octobre. Plus
connu sous le nom de Baptiste,
j’ai 48 ans et j’ai été salarié dans
cette entreprise, il y a quelques
années. Nous travaillons avec de
la viande de race Limousine, du
veau de lait nourri sous la mère et du porc des Combrailles. Nous
proposons de la charcuterie « maison », des plats à emporter et des
repas froids sur commande. Nos spécialités sont la « tourte de
Bajouve », les boudins et les tripes.
Olivier Lalière, 38 ans, vannier
J’ai créé mon entreprise de
vannerie « Créatresses » en juillet
dernier à Ussel. Je n’utilise pas
d’osier mais du noisetier, du
châtaigner, des graminées et des
écorces issus de mes récoltes. Je
m’approvisionne dans la nature
pour réaliser des paniers, des
paniers sur arceaux et des panières. Je fabrique également des
chapeaux d’herbes ou des cabas que je vends sur les marchés
d’Ussel, Felletin et prochainement Egletons et Guéret.
Jean-Yves et Cyrille Di Muro,structures àossature bois…
Ebéniste de formation, j’ai
24 ans et Cyrille, 37 ans,
est charpentier depuis 6
ans. En novembre, nous
lançons notre entreprise
de fabrication de struc-
tures à ossature bois basée
à Cornil. Nous fabriquons des chalets, auvents, pergolas,
cabanes de jardin, terrasses ou caillebotis à base de pin traité.
Nous allons insister sur la qualité et la rapidité de réalisation.
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Ici, on ne laisse pas les gens en panne !
Voilà un précepte qui résume bien l’état
d’esprit des Mauriange. Insufflée par le
grand père, il y a 50 ans, la ligne de
conduite reste la même. Pas question d’en
changer. Pas question de tout rationaliser
ni de tout compter… Même si le garage
emploie aujourd’hui 12 personnes,
Jean-Philippe Mauriange, 55
ans, et son fils Yohan, 31 ans,
travaillent sans relâche et
tâchent de répondre à toutes
les demandes.
Basé à l’entrée de Meymac, le
garage a longtemps tenu bou-
tique dans le centre bourg. En 1981,
la demande en carrosserie explose.
Associé à son frère, décédé en 2000, Jean-
Philippe Mauriange construit un bâtiment
de plus de 870 m2 et investit près de
500.000 !. « On a acheté une cabine à
peinture, un marbre… » explique t-il. Et,
fait moderne pour l’époque, il introduit un
hall d’exposition ainsi qu’une vitrine de 60
m2 pour les véhicules neufs.
Issu d’une famille de mécaniciens, Jean-
Philippe Mauriange est tombé dedans « en
barboteuse ». « Je n’avais pas le choix »
dit-il, « c’était ma destinée… » En 1972,
après avoir passé mon CAP de mécanique
à Montluçon, il rejoint l’entreprise à 19
ans. Sur les conseils de son père, il fait
évoluer le garage, négocie correctement
les virages technologiques, s’adapte aux
normes, devient dépanneur autoroutier,
obtient l’agrément de presque toutes les
assurances et assistances.
Victimes du succès
Avec une croissance de chiffre
d’affaires de 10% par an depuis
25 ans, « victimes » de leur
succès, les Mauriange ont un
souci que d’autres n’ont pas :
celui de grandir trop vite ! Pas
le temps de se structurer ni de
répondre à de nouvelles attentes.
Comme la motoculture de plaisance,
« même si on sent bien qu’il y a un marché
à prendre », affirme le père.
Mais, si la mécanique reste le cœur de l’ac-
tivité, la carrosserie emploie elle aussi 4
personnes et a su faire face à l’interdiction
des solvants dans les peintures. En 2000,
l’installation des quatre baies de travaux
rapides pour les pneus, les freins, les
vidanges et l’échappement… a permis
d’être globalement plus réactifs.
Dans un véritable espace multiservices,
agent de marque Renault, le garage vend,
et c’est à noter, sans attaché commercial,
120 véhicules neufs et d’occasion par an.
De même, il assure le dépannage 24/24h.
Un service qui permet, malgré la baisse
des accidents, de maintenir l’activité.
Enfin, une station de lavage et une station-
service restent ouvertes le dimanche grâce
au relais du père et du fils. « Pour mainte-
nir le service » disent-ils, plus que pour le
chiffre.
Des clients plus lointains
La clientèle du garage (80% de particuliers
et 20% de professionnels) s’étend sur un
rayon de 25 kilomètres jusqu’à Bugeat,
Egletons, Peyrelevade, Sornac, Lamazière
ou encore Neuvic… Un phénomène
amplifié par la dégradation du tissu des
mécaniciens, explique Yohan Mauriange :
« les artisans partant à la retraite, la
demande se concentre et la charge de tra-
vail augmente ».
Aujourd’hui, en société avec son père,
Yohan voulait devenir professeur de
sport… Après une terminale scientifique,
il passe le CAP et le BEP en un an puis une
mention complémentaire « mise au point
moteur ». Depuis, celui qui s’estime « très
chanceux » de travailler avec son père a
fait du chemin. Au point d’avoir obtenu le
diplôme de Technicien d’agent. L’homme
à la blouse blanche et à la valise, c’est lui.
Il fait les recherches de pannes sur les
véhicules récents, commande les pièces
auprès du constructeur, assure le lien
auprès de la marque et ouvre les incidents
sur le net pour les cas très particuliers…
Avec une haute considération pour l’idée
de service au client, les Mauriange ont
encore un bel avenir devant eux. Ces deux
grands professionnels, qui croient en la
formation (ils forment 2 apprentis), recru-
tent dans l’immédiat un mécanicien
confirmé et projettent d’agrandir la surface
d’exposition. La connivence, l’humanité
qui les unit retentit sur toute l’entreprise.
Pour eux, un seul objectif prime :
le service.
A Meymac, le garage Mauriange se fait une hauteopinion du service au client. Au point de multiplier lesdomaines de compétences et de devenir un centre multi-services. Depuis 50 ans, ouvert 7 jours sur 7, il poursuitune croissance constante de 10% par an. Une bellehistoire de famille qui fait vivre 12 personnes.
Ets Mauriange : garage multiservicesà Meymac
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Garage BeauregardAv. du Teichurier, 19100 Brive05 55 86 74 74
Tulle AutomobilesCueille, RN89, 19000 Tulle05 55 29 96 96 15
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FORMATION
Les lundis de l’informatique : 16 heures deformation sur mesure à répartir à votrerythme pour tout connaître sur word, excelaccess, internet, les virus… tous les lundisaprès midi.
English training courses - débutant ouremise à niveau : formation à la carte leslundis soir sous la conduite d’un professeurd’anglais.
English training - intensive : deux joursconsécutifs de conversation en anglais avecdes anglais pour maîtriser l’anglais en situa-tion professionnelle.
Anglais écrit à distance : deux fois parsemaine pendant trois semaines, répondez enanglais et par mail à des sollicitations enanglais… Correction de vos écrits par retour.
Formation des maîtres d’apprentissage :1 journée pour tout connaître des contenus deformation, les documents de liaison, les aidesau recrutement, le rôle du CFA… en octobre,novembre et décembre.
Ciel comptabilité : créer son dossier comp-table et découvrir les fonctions de l'applica-tion. Les 25 et 26 novembre à la CMA de 9hà12h et de 14h à 17h30.
Brevet de Maîtrise : les modules A B C D EF du Brevet de Maîtrise pour la dernièreannée sous sa forme actuelle ; les lundis.
BCCEA (module commercialisation) :158 heures de formation les jeudis ; la forma-tion de référence des collaborateurs d’entre-prise artisanales.
Créer votre site internet : 5 jours nonconsécutifs en octobre.
Comprendre sa taxe professionnelle : etsurtout comment agir pour la faire diminuer ;le 17 novembre.
Nouveaux marchés pour le bâtiment grâceaux mesures en faveur des économiesd’énergie : toutes les mesures gouvernemen-tales présentées par un spécialiste de la fisca-lité. 1 journée en décembre.
Contacts : Jérôme Bordes,
05 55 20 75 20 ou 05 55 20 77 63,
Anne Bouillaguet, 05 55 29 95 95,
Nouveau programme et nouvelle organisation de la formation pourcette rentrée. La Chambre de Métiers, qui s’est engagée dans leDispositif global de formation, vous invite à vous former au Centred’entraînement professionnel (Cep) basé au CFA des 13 Vents àTulle. Après avoir interrogé les artisans sur leurs besoins et attentes,les formations proposées tentent d’aller dans ce sens : elles serontdésormais courtes, pratiques et gratuites. Mieux : elles sont pour laplupart accessibles à vos salariés grâce au DIF.
Des formations courtes, pratiques et gratuites Centre d'entraînement professionnel
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Le Pays de haute Corrèze…Afin de contribuer au développement local,
la Fédération du Pays de haute Corrèze met
en place, pour une durée de 3 ans, une opéra-
tion de revitalisation du commerce et de l’ar-
tisanat : la Démarche collective territorialisée
(DCT) du Pays de haute Corrèze. Cette
démarche, opérationnelle depuis fin juillet
2008, a pour objectif de soutenir les entre-
prises artisanales, commerciales et de
services du Pays de haute Corrèze à travers
une série d’actions collectives et d’aides indi-
viduelles.
Les entreprises ayant des projets d’aménage-
ment intérieur des locaux d’activités, de
rénovation de façades commerciales, de mise
aux normes, d’achat de matériel de produc-
tion… ou ayant besoin d’heures de conseil
ainsi que d’une étude d’image de leur
commerce peuvent éventuellement bénéfi-
cier d’une subvention (suivant modalités et
conditions retenues).
Les territoires concernés par la DCT du Pays
de Haute-Corrèze sont les Communautés de
Communes des Gorges de la haute Dordogne
et du plateau Bortois ainsi que les communes
d’Ussel, de Valiergues, de St-Exupéry, de
Mestes, de Palisse, de Soursac, de Sarroux et
de Roche le Peyroux. Les entreprises du Pays
de haute Corrèze qui sont installées en dehors
du territoire cité précédemment peuvent,
sous conditions, se tourner vers la DCT du
PNR de Millevaches en Limousin.
Hortense Serré, animatrice de la DCT,
travaille aussi sur des actions collectives :
une charte d’enseignes et de façades pour la
ville d’Ussel, un soutien à l’association des
commerçants et artisans d’Ussel, la création
de points relais livraison…
Toutes les actions de la DCT sont financées
par l’Etat (fonds FISAC), le Conseil
Régional du Limousin et le Conseil Général
de la Corrèze. Cette démarche est conduite en
collaboration avec la Chambre économique
de la Corrèze, la Chambre de métiers et de
l’artisanat et la CCI Tulle-Ussel.
Contact : Hortense Serré, Immeuble
interconsulaire d’Ussel,
05 55 46 78 31,
www.pays-haute-correze.fr
… et le Pays de BriveLa Communauté d’Agglomération du Pays
de Brive et les Communautés de Communes
Vézère-Causse et Portes du Causse mettent
en place une Démarche collective territoria-
lisée (DCT) sur le Pays de Brive (hors ville
de Brive) représentant 23 communes. Cette
action vise à créer, moderniser et développer
les actions commerciales, artisanales et de
services sur ce territoire. Elle est financée par
l’État, le Conseil régional, le Conseil général,
la Chambre de commerce et d’industrie avec
le partenariat de la Chambre de métiers et
d’artisanat,
Le programme d’action de la DCT s’articule
autour de 2 axes : une large série d’aides pour
le développement, la création d’entreprise et
d’actions de promotion collective. Il
s’adresse à l’ensemble des entreprises artisa-
nales, commerciales et de services soit près
de 1300 établissements.
La DCT peut permettre aux artisans,
commerçants et prestataires de services de
bénéficier d’aides directes aux investisse-
ments matériels, informatiques et immaté-
riels. Elle a également pour mission le
soutien d’actions à promotion collective,
comme la valorisation des produits alimen-
taires locaux, l’assistance aux unions
commerciales et artisanales pour mettre en
place des animations, l’accompagnement des
transmissions reprises d’entreprises en aidant
à la mise en relation entre cédants et repre-
neurs...
La DCT s’est dotée d’outils de communica-
tion dont un nom évoquant l’action et le
dynamisme : « Impulsion » et un logo repré-
sentant les activités concernées par la
démarche. L’animation de la DCT pays de
Brive a été confiée à la CCI du Pays de Brive.
Contact : Jean-Patrick Landreau,
05 55 18 05 53, [email protected]
Hélène Faux,
pour préparer à la transmissionDans le cadre du Contrat de site etde la Démarche collective territoria-lisée (DCT) haute Corrèze, HélèneFaux, 45 ans, a été recrutée pourpréparer à la transmission les entre-prises de haute Corrèze. Pendant 13ans, elle a accompagné dans unefondation privée les chômeurs créa-teurs et repreneurs d’entreprises enmilieu rural, depuis le projet ausuivi, en passant par le diagnosticdes affaires à reprendre. Lescontacts fréquents qu’elle avait avecles chambres consulaires et son goûtprononcé pour la campagne l’ontpoussée à rejoindre l’antenned’Ussel.
Stéphanie Cromarias,
pour accompagner les créateurs ou repreneursStéphanie Cromarias a rejoint laChambre économique de Corrèzepour accompagner les créateurs ourepreneurs lors du démarrage deleur activité. Recrutée dans le cadredu Contrat de site d’Ussel, elle apour objectif de pérenniser lesentreprises de haute Corrèze. Aprèsun Master d’école de commerce,elle a mis en place un stage pour lesporteurs de projet à la CCI deMontluçon, sa ville natale.
2 nouvelles actions territorialiséesen faveur de l’artisanat et du commercechargées de mission
Deux nouvelles
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ENTREPRISES EN MOUVEMENT
A céder, haute Corrèze, fonds depâtisserie chocolaterie, 4 salariésdont le chef d'entreprise. Chiffre d'af-faires HT égal à 147 K!. Très bonnerenommée. Activité à développer.Locaux vastes aux normes envigueur avec matériel complet enbon état, murs à louer. REF CM 19-1163
A vendre, entreprise de menuiserieavec fabrication aluminium etPVC. 6 salariés, très bonne rentabi-lité. Pas de concurrence sur cesecteur d'activité. Matériel completen bon état, locaux 600 m2 sur 2000m2 de terrain bien situés. REF CM 19-1216
A céder, entreprise de TP, basseCorrèze, 1 salarié. Chiffre d'affairesHT moyen 386 K! en progression,clientèle de particuliers essentielle-ment, matériel complet et récent,hangar de 300 m2 à louer. REF CM 19-1224
Ouest département, garage automo-bile à vendre. Locaux vastes et biensitués le long d'un axe de circulation,matériel complet et récent. Chiffred'affaires HT 2006 de 560.000 ! enprogression, 1 salarié. Murs à vendreou à louer avec possibilité de loge-ment. REF CM 19-1174
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Comme d’habitude, les bouchers charcutierstraiteurs ont participé au Festival de l’éle-vage qui s’est déroulé fin août à Brive laGaillarde.
La manifestation a obtenu un immensesuccès populaire et, si les visiteurs ont puadmirer les magnifiques spécimens de larace limousine, le “Hall des saveurs gour-mandes”, qui regroupe producteurs et arti-sans, a reçu pendant les trois jours de trèsnombreux visiteurs et acheteurs.
Les bouchers charcutiers traiteurs regroupésautour de la célèbre « table de Rabelais »magnifiquement garnie et admirée, ontreprésenté l’artisanat des métiers de bouche.
Aux dizaines de milliers de visiteurs, lesprofessionnels, actifs et retraités, ont montréleur savoir faire incomparable.
Merci à tous ceux qui ont préparé les présen-tations qui ont garni les vitrines et plus parti-culièrement aux établissements Bach pouravoir préparé ce moment tant attendu, « lechabrol », et à la Cuisine Corrézienne, pouravoir préparé une mique de 35 kg et à cetteformidable équipe de retraités toujoursprêteà servir leur métier.
Contact : André Pradel, 05 55 87 38 20, [email protected],
www.bct19.fr
« Les producteurs français de fruits et
légumes sont à la peine. Leurs produits jugés
trop chers ne se vendent plus ou mal et ils
ont dû recourir à une braderie géante pour
écouler leurs surplus. Cette situation est
d’autant plus triste lorsque l’on sait combien
les grandes surfaces et l’industrie agro-
alimentaire redoublent d’efforts pour éviter
une telle situtaion. Ces deux géants aux
pieds de platine veillent en effet scrupuleu-
sement depuis toujours (…) à la défense et à
la protection du consommateur. (…) Et
malgré cette générosité, ce sont eux les
bénéficiaires. Autant les grandes surfaces et
fabricants de conserves s’enrichissent,
autant les petits producteurs s’appauvrissentet ont du mal à survivre. (…) Ainsi, nousavons appris avec émotion voici quelquessemaines que, désormais, la premièrefortune de France est l’apanage d’unpropriétaire de grandes surfaces originairedu nord de la France. Preuve que l’on peutpasser sa vie à aider les plus pauvres tout endevenant le plus riche. »
Extrait de la Semaine de Jacques Mailhot, La montagne.
Contact :Jean-paul Servantie,
05 55 25 82 46
Aider les plus pauvres et devenir le plus richeU
PAORGANISATIONS PROFESSIONNELLES
BCT
La Confédération de l’artisanat et des petitesentreprises du bâtiment, organisation profes-sionnelle de l’artisanat du bâtiment, accom-pagne, représente et défend les intérêts desartisans dans leurs démarches juridiques,fiscales, sociales et techniques.
Elle propose aux adhérents et non adhérentsun nouveau service : « fichier liste de travauxpar le biais de la sous-traitance ». Il s’agirad’inscrire les offres et les demandes de sous-traitance sur un fichier géré par la Capeb 19.Celle-ci se chargera seulement de mettre enrelation les sous-traitants et sous-traités, àsavoir, soit les entreprises qui peuvent êtresurchargées momentanément soit, aucontraire, un peu juste en travail à certainespériodes. La Capeb tiendra ce fichier à ladisposition de tous les professionnels du bâti-ment en Corrèze. Si ce projet vous intéresse, n’hésitez pas ànous contacter.
Rencontre entre collaboratrices d’artisans
La Capeb 19 propose d’élargir ses servicesaux collaboratrices d’artisans et de créer unréseau de communication entre elles afin,d’une part, de partager leurs problèmes etsoucis professionnels et, d’autre part, d’ex-primer leurs besoins à différents niveaux(actualité, formation, information…). A ceteffet, une rencontre a déjà eu lieu le 11septembre dernier. Si ce projet vous intéresse,n’hésitez pas à nous contacter.
Contact : secrétariat Capeb, 05 55 26 59 91
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Un festival particulièrement réussi
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De la conception technique àla production,l’imprimerie duCorrézien allie la richessed’un savoir-faire de 200 ansappuyé par la maîtrise desnouvelles technologies.
Tél. 05 55 26 58 86 / Fax. 05 55 26 52 17x
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ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES
Fédélec propose àTulle ou à Brive desformations tech-niques au cours du2e semestre 2008 :
« Le four World2006 et la table à
induction Fagor Brandt ». Objectifs :permettre au technicien électroménagerde connaître et comprendre le fonction-nement du four World 2006 et de la tableà induction, d’en assurer la maintenanceavec succès, d’informer et conseillerefficacement le consommateur. Le 21octobre 2008 à Brive.
« Module Génération 2008. Le lave-vaisselle châssis GV 640 Siemens ».Objectifs : diagnostiquer, analyser etrésoudre les pannes techniques, interpré-ter les schémas et programmes de test,accéder aux différents composants élec-
troniques, mécaniques et hydrauliques.Le 13 novembre à Brive.
« Le lave-vaisselle Dolphin point 2Whirlpool ». Objectifs : savoir établir undiagnostic rapide et précis, apprendre àlire les programmes et chartes de pro-grammes, connaître les points demesures et être efficace dans sa métho-dologie de dépannage, panne et mau-vaise utilisation. Le 20 novembre àBrive.
« Maintenance des écrans plats Lcdpar la pratique, Samsung ». Connaître etmaîtriser la structure d’un écran LCDafin de pallier à tout dysfonctionnement.Le 26 novembre à Tulle.
Contact : Jean Pierre Rigal
05 55 26 34 00,
Fédé
lec
CAPbois et toit
La toute jeune coopérative Cap
bois et toit, spécialisée dans
l'achat professionnel du bois et de
la couverture, a organisé ses
portes ouvertes le 26 septembre
dernier. La journée a permis aux
50 adhérents de la coopérative
d’échanger en direct avec les
fournisseurs avec lesquels ils
travaillent tout au long de l’année
et aux non adhérents de découvrir
le fonctionnement et les locaux
de la structure.
Contact : CAP Bois et Toit,
route d'Objat, 19240 Varetz.
Tél. : 05 55 17 01 99
De nouvelles formationspour le second semestre
FEN
ARA
19 FENARA 19L’association de retraités de l’artisanatAra 19 s’est mise en conformité avecl’association nationale, la seule recon-nue par les pouvoirs publics, et s’ap-pelle désormais Fénara 19.
Le président de la Fénara 19, FrançoisMarouby, a représenté les membresadhérents lors du congrès national demai dernier à Béziers. La Fénara 19avait alors déposé une motion approu-vée à l’unanimité des congressistes en
vue d’améliorer le pouvoir d’achat desretaités de l’artisanat en faisant unconstat simple : inflation 3,6%, revalo-risation des retraites 1,8 %
Le Régime social des indépendants(RSI) rappelle à ses adhérents que desplaces en institutions spécialisées sontréservées aux ressortissants retraités.Un repas avec animation réunissant la Fénara 19 et l’Unirc aura lieu au Val de Collonges le mercredi 22
octobre. Tarif : 20 !. Le Conseil d’admi-nistration de la Fénara 19 aura lieu ennovembre au CFA des 13 Vents à Tulle. Date à préciser.
Adhérents de la Fénara 19, n’hésitez pasà contacter les nouveaux retraités, invi-tez les à participer.
Contact :François Marouby, 05 55 27 77 05
ou Madeleine Pagnon, 05 55 98 92 44
À savoir
Le microcrédit, c’est quoi ?
Comme son nom l’indique, le microcré-dit permet d’emprunter des petits mon-tants. Il sert à financer la création ou ledéveloppement d’activités économiqueset concerne les personnes n’ayant pasaccès, parfois momentanément, aux ser-vices bancaires traditionnels.
L’Adie, 4 conseillers en Limousin
Créée en 1988,L’Association pourle droit à l’initiativeéconomique (Adie)est reconnue d’uti-lité publique. Elle
emploie 369 salariés sur le territoire et s’ap-puie sur plus de 1000 bénévoles. En 20 ans,
elle a concédé 53000 microcrédits, permisle financement de plus de 45000 nouvellesentreprises et participé à la création de plusde 54000 emplois. En 2007, ce sont près de10000 crédits qui ont été accordés. EnLimousin, l’Adie, qui a recruté de nouveauxconseillers, est présente en Corrèze, enHaute-vienne et en Creuse. Sur le premiersemestre 2008, l’Adie a déjà octroyé 22 cré-dits en Corrèze.
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REPERES
Aujourd’hui,Stéphane Fouillenvit de son entreprise.
Stéphane Fouillen, 38 ans et originaire
de l’Indre, a créé son activité de déco-
ration d’intérieur et de création de
meubles en février 2008 à Bar en
Corrèze. Après un parcours profession-
nel de chef d’entreprise de transport à
20 ans, puis de salarié, dans plusieurs
entreprises entrecoupé de périodes de
chômage, son projet de création d’en-
treprise a commencé à mûrir. Suite à un
refus de la banque, l’Accre et les
Assedic lui ont permis de faire les pre-
miers investissements matériels et de
publicité. Puis, afin de développer la
partie création de meubles, M. Fouillen
a fait appel à l’Adie en mars dernier.
Celle-ci le décidera de lui octroyer un
microcrédit de 3500 euros sur 18 mois,
de quoi faire les investissements néces-
saires et bien développer son activité.
Aujourd’hui, Stéphane Fouillen vit
entièrement de son entreprise.
“L’Adie s’adresse à toutes les per-
sonnes qui ont un besoin lié à la créa-
tion ou au développement d’activité.
Nos prêts, qui vont de 100 à 5500 !,
permettent de financer des projets d’in-
vestissement matériel, de publicité, de
besoin en fonds de roulement, de stocks
ou de trésorerie… Notre façon d’abor-
der un projet est particulière. On
regarde la personne en premier (sa
motivation, sa capacité de rembourse-
ment…) et le projet en dernier lieu. De
fait, pour nous, tout projet, toute initia-
tive économique, nous semble réali-
sable. Pour nous, ce qui compte, c’est
d’abord la personne. Celle-ci peut
d’ailleurs compter sur la proximité d’un
interlocuteur de terrain qui se déplace
jusqu’à son domicile et peut solliciter à
plusieurs reprises l’intervention de
l’Adie.”
Le microcréditpour créer ou développer votre activité
Camille Fouchereau, 27 ans, est conseillère créditsur le Pays de Tulle et la haute Corrèze
Stéphane Fouillen décorateur d’intérieur etcréateur de meubles à Bar.
Le microcrédit permet de financer la création ou le développement d’activités économiques lorsqueles besoins de financement ne sont pas couverts par la banque. À ce titre, l’Adie finance tous les typesd’activité professionnelle, quelle que soit la situation personnelle de l’intéressé. Explications.
Réactivité. Le demandeur obtient uneréponse dès le lendemain du rendez-
vous et les fonds sont virés 8 jours plus
tard au maximum. Cela permet de
reprendre rapidement une activité suite à
une panne de matériel par exemple.
Soutien. L’action en Corrèze estsoutenue par le Conseil régional du
Limousin, le Conseil général de la
Corrèze, la Caisse des dépôts et consi-
gnation, l’État, l’Europe, Groupama et
la MSA…
Jusqu’à 5500 !L’Adie prête des sommes comprises
entre 100 et 5500 ! sur une durée
maximale de 24 mois pour les projets
de création ou de développement
d’activité, quelle que soit la situation
personnelle de l’intéressé.
Exemple de prêt :
Pour 1500 ! empruntés,
Bernard a remboursé
12 mensualités de 132 !.
Le coût total de son crédit s’élève à
155 !*
* Suivant taux de 9,71% en vigueur
au 1er juillet 2008, contribution de
solidarité 5%
Contacts : Camille Fouchereau, Pays de Tulle et Haute-Corrèze,
06 86 61 57 16
Karine Moal, bassin de Brive,
06 37 81 83 95
www.adie.org
“Ce qui compte, c’est la personne…”
Social - Fiscal - Juridique - Gestion - Social - Fiscal - Juridique - Gestion - Social - Fiscal - Juridique - Gestion - Socia
FICHE TECHNIQUE
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Vous êtes peut-être surpris en fin d'exercice lorsque le comptable vous communique le total de votrechiffre d'affaires, de votre BIC et que vous regardez votre solde à la banque. Certes, vous avez prélevépour vous l'argent que vous estimez correspondre à votre travail mais où est donc passé le reste s'iln'est pas sur le compte ? En fait la trésorerie n'est pas uniquement générée par les achats et les ventesde l'entreprise mais par plusieurs masses financières qui composent l'entreprise.
Plus d'infos...votre comptable,votre conseiller juridique,
votre Chambre de Métiers....
A l'actif de votre entreprise :deux blocs financiers :1- les immobilisations composées des biens que vous achetez supérieurs à
500 euros unitaires et hors taxes et qui restent plus d'un an dans votre
entreprise : matériel, outillage, véhicule.... (= actif stable)
2- l'actif circulant c'est-à-dire qui effectue une rotation plus ou moins
rapide au cours d'un exercice comptable : les stocks de marchandises, de
matières, d'approvisionnement, l'argent que vous doivent les clients, les
crédits de TVA, les valeurs mobilières de placement, l'argent qui passe sur
votre compte bancaire et celui qui est dans la caisse de l'entreprise.
Au passif de votre entreprise :deux blocs également :1- les capitaux stables composés du capital social ou individuel, des
réserves, du résultat, des provisions, des emprunts à plus d'un an.
2- des dettes à court terme : les emprunts à moins d'un an, le compte
bancaire s'il est dans le rouge, les montants dus aux fournisseurs, à l'Etat,
aux organismes sociaux, aux salariés, aux comptes courants d'associés.
Une règle d'or:pour créer de la trésorerie ou du moins ne pas en perdre, il faut maîtriser
ces masses financières autrement dit gérer son patrimoine professionnel.
Fonds de roulement = 5 500 + 2 200 – 2 500 = 5 200Besoin en fonds de roulement = 3 000 + 5 000 – 4300 = 3 700Trésorerie = 5 200 – 3 700 = 1 500
La trésorerie est donc générée par tout ce qui compose le surplus du fonds de
roulement sur le besoin en fonds de roulement. Donc pour que l'entreprise soit
équilibrée financièrement, elle doit disposer d'assez de ressources stables pour
financer à la fois ses investissements et son BFR.
En conclusion : une trésorerie positive en moyenne sur l'année est le
secret du confort même si occasionnellement votre compte bancaire est négatif.
En revanche, si cette situation est chronique, il faut agir : soit vous êtes en perte
d'exploitation et le découvert bancaire ne fait qu'aggraver la situation si vous
n'y remédiez pas au plus tôt ; soit vous êtes bénéficiaire et un compte bancaire
négatif indique que vous financez mal votre cycle d'exploitation.
Mais où est donc passée ma trésorerie ?
Comment faire ?
Immobilisations nettes 2 500 Capital et réserves 5 500
Stocks 3 000 emprunts 2 200
Clients et autres créances 5 000 Fournisseurs et autres dettes 4 300
Trésorerie 1 500
Total 12 000 Total 12 000
Exemple
Etape 1 : calculer son fonds de roulement (FR)
Il correspond à la différence entre l'actif immo-
bilisé net et le passif stable. Si vous obtenez un
FR négatif dans votre entreprise, c'est qu'il y a
un déséquilibre financier. Consultez sans
attendre. FR = capitaux stables – actif stable net
Etape 2 : calculer votre besoin en
fonds de roulement(BFR)Il correspond à l'argent nécessaire pour faire
tourner l'entreprise au quotidien. Il dépend
directement du volume d'activité de votre entre-
prise. En phase de croissance, il faut toujours
prévoir le financement de ce BFR afin que crois-
sance ne rime pas avec difficulté de trésorerie. Il
se calcule théoriquement mais doit être adapté à
votre entreprise :
BFR = stocks + encours clients (TTC) et autres
créances – encours fournisseurs (TTC) et autres
dettes
Etape 3 : calculer votre trésorerie
Elle est égale à votre fonds de roulement moins
votre besoin en fonds de roulement :
FR – BFR = TRESORERIE
Créer de la trésorerie en établissant des délais de
règlements clients inférieurs à vos délais de règlements à
vos fournisseurs, en facturant dans les meilleurs délais,
en organisant une procédure de relance, en gérant la rota-
tion de vos stocks, en finançant vos investissements par
des capitaux stables ou en maîtrisant vos prélèvements
personnels.
Pour faire face aux besoins d'exploitationcourante, il est prudent de réserver l'essentiel de sa
trésorerie, même s'il est sain d'autofinancer une partie
d'investissement. Même en cas de trésorerie confortable,
il vaut mieux financer les investissements à plus de 50 %
par emprunt ou apport de fonds propres pour ne pas désé-
quilibrer l'entreprise financièrement.
Les immobilisations doivent être financées par
des ressources stables : le non respect de cette règle a
conduit bien des entreprises rentables à la faillite. C'est la
mission de l'entrepreneur de respecter cette loi.
Google Chrome est arrivé ! Le toutnouveau navigateur Google vouspermet de naviguer sur internet
plus vite, plus facilement et en toutesécurité, à l'aide d'une interface trèssimple qui sait rester discrète. Avec
des miniatures des sites que vousconsultez le plus souvent, une zone
de saisie unique et des raccourcisvers vos applications…
Nouveau réseau social vidéo,Seesmic permet de faire du blog, de
laisser des messages et de monter ducontenu vidéo à la volée afin de le
diffuser sur différents sites commu-nautaires ou multimédias. Seesmic
est une strat-up française basée àSan Fransisco. A tester.
1 Combien de passagers la compagnie Airlinair a-t-elle transportés en2007 ? + de 110 000 + de 540 000 + de 950 000 passagers
2 Combien de vols Airlinair relient chaque semaine Brive à Paris ? 10 11 12
3 Quel est le slogan d’Airlinair ? Chaque région est capitale Chaque capitale a sa région Chaque région a une capitale
Aide : le nouveau site www.airlinair.com vient d’être mis en ligne. Vous y trouvereztoutes les informations dont vous pourriez avoir besoin…Les premières personnes ayant retourné par voie postale les réponses exactes accompagnées de leurs coordonnéescomplètes (profession, adresse, téléphone) seront considérées comme ayant gagné le jeu. En cas d'ex-aequo, untirage au sort sera organisé. Jeu valable jusqu’au 15/11/08 à retourner à Chambre de Métiers et de l’Artisanat dela Corrèze, Jeu Trait d’Union. 8, av. Alsace-Lorraine, BP 72, 19002 Tulle Cedex.
Félicitations!Mme Nicole Delcros, artisan ambulancier à Ussel, est la gagnante de notre jeu 217.Elle a été la première à nous retourner les bonnes réponses parmi les nombreusespersonnes ayant participé. Elle gagne un repas pour deux personnes au restaurantd’application du CFA des 13 vents à Tulle.
www.seesmic.com
Paris en avion3 vols pour 2 à gagner!>> Compagnie aérienne
BRIC A BRAC
www.google.com/chromeWEB
Bravo à l’équipe de hand médailléed'or aux Jeux Olympiques 2008 dePékin ! L’Apcm, les chambres de métiers etl’ensemble des artisans sont parte-naires depuis quatre années de laFédération française de handball, àtravers le Fonds National dePromotion et de Communication del’Artisanat (FNPCA) qu’ellesaniment avec l’UPA. Ce choix était notamment dicté par
les valeurs communes à l’artisanatet au handball : savoir-faire de lamain, modestie et efficacité,confiance en l’homme et travail enéquipe.
Après avoir remporté la finale del’Euro 2006, la victoire aujourd’huiaux Jeux Olympiques les récom-pense pour leur travail, leurcourage, leur talent et leur fidélité àces valeurs. T
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Jouez et gagnez 3 allers-retours Brive-Paris en ATR pour 2personnes avec la compagnie aérienne Airlinair spécialiséedans la desserte régionale. Pour visiter la capitale à 2 et utiliserl’un des 23 ATR turbopropulseurs de la flotte d’Airlinair, ilvous suffit de répondre correctement à ces 3 questions :
Bravo!
ENTRE NOUS
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>> OffresPetite entreprise proche d'Ussel de méca-nique générale recherche salarié (tourneurfraiseur, mécanique...) pour CDI. CAP ouexpérience, connaissance en commandenumérique, tour fraiseuse conventionnel,salaire en fonction convention. REF E240
Entreprise de location de véhicules etlivraison sur la haute Corrèze recherche unchauffeur Poids Lourds (titulaire FIMO,FCOS) et un chauffeur de Pelle ou mini-pelle(titulaire du CACES et du permis VL).Déplacements essentiellement sur la Corrèzeet la Creuse. REF E238
Entreprise de couverture secteur Uzercherecherche salarié qualifié (CAP ou 5 ans d'ex-périence) pour CDI à temps plein. REF E244
Entreprise de couverture entre Tulle etBeaulieu recherche salarié qualifié ou nonqualifié (personne souhaitant être formée parl'entreprise) pour temps plein. Salaire enfonction du diplôme et motivation. REF E243
Société leader sur le marché de l'énergiephotovoltaïque, Filiale EDF ENR en chargeexclusive de la pose du programme Bleu cielEDF photovoltaïque recherche poseurs certi-fiés QUALI PV ayant des compétences enélectricité et en couverture de toiture pour lesdépartements 87, 23, 19. Contact : PhontonTechnologies SAS, 05 46 37 30 68,www.photonpower.fr
>> DemandesJH 36 ans, après plusieurs missions intérim,recherche emploi CDI peintre niveau II.Secteur Tulle-Brive-Uzerche REF A459
JH 31 ans demandeur d'emploi recherche uncontrat par alternance pour métier "charpentemaison ossature bois". REF A460
JH 20 ans, titulaire d'un CAP boucher et CAPcharcutier recherche emploi sur Brive et alen-tours. REF A461
JH 35 ans, BM charcutier traiteur rechercheemploi salarié sur Brive et alentours. REF A465
JH 19 ans, titulaire d'un CAP boucher et 2 ansd'expérience, suite à déménagement,recherche emploi de boucher sur Brive etalentours. REF A450
Effectivement, il est très important de bien expliquer dans le détail, toute son activité à
son assureur. Si votre contrat ne portait que sur l'activité « prestataire de service en élec-
tricité », il ne concerne pas la vente d'une marchandise en l'état, qui est un acte de
commerce. Ceci souligne l'importance d'étudier et surtout de mettre à jour régulièrement
vos contrats d'assurance en fonction de l'évolution de votre activité.
Je suis électricien et j'ai un litige concernant unlave-linge que j'ai vendu à un client. Mon assureurne veut pas couvrir ce risque au motif qu'il estsurvenu suite à un acte de commerce. En a-t-il ledroit ?
Garantie suite à un acte de commerce ?
Apprentissage>> OffresGarage entre Tulle et Brive propose de former apprenti et de le préparer soit au CAPcarrossier, soit au CAP mécanicien automobile. REF D432
Maçon sur Eyrein propose de former apprenti et de le préparer au CAP maçon. REF D433
Boulangerie sur Merlines, recherche apprenti pour préparer CAP boulanger. REF D448
Boucherie sur Ussel propose de former apprenti et de le préparer au CAP boucher. REF D461
>> DemandesJH 18 ans, après BEP électrotechnique souhaite poursuivre ses études et préparer unCAP électricien ou BP électrotechnicien sur Brive et alentours. REF A442
JH 17 ans recherche apprentissage plâtrier plaquiste sur Brive et alentours. REF A444
JH 18 ans, après CAP prothésiste dentaire recherche pour préparer BP ou BTM prothé-siste dentaire sur la Corrèze. REF A449
JH 16 ans, titulaire du CAP Coiffure, recherche salon sur la haute Corrèze de préfé-rence pour poursuivre sa formation en BP Coiffure. Mobile si nécessaire. REF A366
Emploi
>> À vendreA vendre mortaise à chaîne Centauro type CUS10 normes CE, compresseur MN pro5300DD, ensacheur Samsoud CBR 2023, Toupie tenonneuse Chambon D324 C normesCE, dégauchisseuse Chambon D128 normes CE, raboteuse Chambon R236 normes CE,scie à ruban Centauro SP 700 normes CE, scie à format Rolland NZ 3200 normes CE. Contact : M. Claude Besse, 05 55 96 81 68 (uniquement l’après-midi)
Question des lecteurs :
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Lachassagne, Centre d’Aide à la Décision
de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat.
Tél : 05 55 29 95 95, [email protected]
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