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Que l’on soit propriétaire, aménageur, urbaniste ou expert, la documentation est un point de départ essentiel à tout projet immobilier. Ainsi, dans le cadre d’un dépôt de permis de construire, il sera demandé une multitude de documents donnant lieu à un certain nombre de recherches à travers différentes démarches. Mais qu’arrive-t-il lorsque les renseignements récupérés sont insuffisants, voire contradictoires ? À vrai dire, les situations litigieuses ne manquent pas et le doute est toujours permis lorsqu’il s’agit d’engager sa responsabilité civile. S’il est difficile pour nous d’agir au cœur du conflit, le prévenir est en revanche une tâche surmontable. Valoriser et partager la donnée sur les études foncières, c’est l’essentiel du projet de collaboration entre le service de l’information géographique (SIG) de la Ville de Nouméa et le bureau du cadastre de la DITTT (gouvernement). Lors de nos premiers échanges avec le service de l’information géographique, l’idée de partager entre nous les études fon- cières nous a paru évidente. Mais lorsque nous avons réfléchi à une solution informatique pour concrétiser ce projet, nous avons été confrontés à la problématique d’alimenter une base de données unique entre deux collectivités différentes ! Nous avions plusieurs possibilités techniques pour initier le projet (ArcGIS Online, service Web sécurisé), mais il était nécessaire de se mettre d’accord en amont sur le choix de qui aurait la responsabilité d’administrer la base de données. En effet, si le partage des données en consultation ou en téléchargement est possible sur Internet ou sur un serveur FTP entre deux collectivités, il n’est actuellement pas courant que les agents d’une autre collectivité puissent obtenir des droits d’administration ou d’écriture sur une base de données. Chaque direction informatique est cloisonnée par ses règles de sécurité et ses droits d’accès. Dans un premier temps, nous avons choisi ensemble d’héberger cette nouvelle base de données au sein du SIG de la Ville de Nouméa et de fournir au bureau du cadastre un web service sécurisé. À plus long terme, le bureau du cadastre souhaite financer un outil dédié sur l’application SIG Cadastre, de manière à fédérer au fur et à mesure d’autres acteurs du foncier calédonien comme le bureau domanial de la DITTT et les services topographiques des provinces. Pour éviter des tâches de gestion trop lourdes, nous avons convenu d’un format d’échange qui synthétise les éléments importants de nos propres modèles de données existants et d’un export mensuel pour une mise à jour automatisée réalisée par un géomaticien de la Ville de Nouméa. Nous avons également pris la décision de limiter les pièces jointes à un document qui résume l’étude foncière, pour deux principales raisons : d’une part, certaines études seraient trop volumineuses avec des documents aussi variés que des textes officiels, des cartes et des photographies aériennes, d’autre part, cela nous offre la possibilité de garder confidentielles certaines informations. Outre les aspects positifs dans la simplification et l’évolution du partage des informations entre nos services respectifs, nous pouvons nous féliciter de la mise en œuvre d’une solution informatique originale et évolutive qui ouvre la voie vers une nouvelle forme de collaboration pour constituer des bases de données inter-collectivités ! Auteur : Éric GALZIN ([email protected]) Études foncières Une base inter-collectivités Sommaire p. 3 Ça bouge à la DITTT p. 2 Licence UIA p. 1 Études foncières p. 4 Géo-Infos p. 3 Un OEIL en alerte SIG Données Vous souhaitez vous abonner ? Vous souhaitez nous proposer vos articles ? Une seule adresse : [email protected] Suivez-nous sur Facebook georepnc Les bulletins sont disponibles au format PDF sur http://www.georep.nc 2 e trimestre 2018 Bulletin n o 51 Éditorial Base de données inter-collectivités, partage de données et feux de brousse : c’est le cocktail que nous vous proposons pour ce 51 e numéro de votre bulletin préféré. Le bureau du cadastre de la DITTT nous détaillera la mise en place d’une base des études foncières entre le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et la Ville de Nouméa. Est proposé également dans ce numéro un éclairage sur la licence UIA mise en place par le CNES dans le cadre de l’acquisition des données des satellites Pléiades. Enfin, l’OEIL nous présentera son nouvel outil « Alerte incendies », afin de protéger au mieux notre environnement. Bon trimestre géomatique à tous et n’oubliez pas qu’« une semaine sans faire de carte est une semaine perdue »… Katrina Mounoussamy, en charge des études foncières au sein du département Topographie et foncier du SIG de la Ville de Nouméa

Études foncières

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Page 1: Études foncières

Que l’on soit propriétaire, aménageur, urbaniste ou expert, la documentation est un point de départ essentiel à tout projet immobilier. Ainsi, dans le cadre d’un dépôt de permis de construire, il sera demandé une multitude de documents donnant lieu à un certain nombre de recherches à travers différentes démarches. Mais qu’arrive-t-il lorsque les renseignements récupérés sont insuffisants, voire contradictoires ? À vrai dire, les situations litigieuses ne manquent pas et le doute est toujours permis lorsqu’il s’agit d’engager sa responsabilité civile. S’il est difficile pour nous d’agir au cœur du conflit, le prévenir est en revanche une tâche surmontable. Valoriser et partager la donnée sur les études foncières, c’est l’essentiel du projet de collaboration entre le service de l’information géographique (SIG) de la Ville de Nouméa et le bureau du cadastre de la DITTT (gouvernement).

Lors de nos premiers échanges avec le service de l’information géographique, l’idée de partager entre nous les études fon-cières nous a paru évidente. Mais lorsque nous avons réfléchi à une solution informatique pour concrétiser ce projet, nous avons été confrontés à la problématique d’alimenter une base de données unique entre deux collectivités différentes !Nous avions plusieurs possibilités techniques pour initier le projet (ArcGIS Online, service Web sécurisé), mais il était nécessaire de se mettre d’accord en amont sur le choix de qui aurait la responsabilité d’administrer la base de données.En effet, si le partage des données en consultation ou en téléchargement est possible sur Internet ou sur un serveur FTP entre deux collectivités, il n’est actuellement pas courant que les agents d’une autre collectivité puissent obtenir des droits d’administration ou d’écriture sur une base de données. Chaque direction informatique est cloisonnée par ses règles de sécurité et ses droits d’accès.Dans un premier temps, nous avons choisi ensemble d’héberger cette nouvelle base de données au sein du SIG de la Ville de Nouméa et de fournir au bureau du cadastre un web service

sécurisé. À plus long terme, le bureau du cadastre souhaite financer un outil dédié sur l’application SIG Cadastre, de manière à fédérer au fur et à mesure d’autres acteurs du foncier calédonien comme le bureau domanial de la DITTT et les services topographiques des provinces.Pour éviter des tâches de gestion trop lourdes, nous avons convenu d’un format d’échange qui synthétise les éléments importants de nos propres modèles de données existants et d’un export mensuel pour une mise à jour automatisée réalisée par un géomaticien de la Ville de Nouméa.Nous avons également pris la décision de limiter les pièces jointes à un document qui résume l’étude foncière, pour deux principales raisons : d’une part, certaines études seraient trop volumineuses avec des documents aussi variés que des textes officiels, des cartes et des photographies aériennes, d’autre part, cela nous offre la possibilité de garder confidentielles certaines informations.Outre les aspects positifs dans la simplification et l’évolution du partage des informations entre nos services respectifs, nous pouvons nous féliciter de la mise en œuvre d’une solution informatique originale et évolutive qui ouvre la voie vers une nouvelle forme de collaboration pour constituer des bases de données inter-collectivités !

Auteur : Éric GALZIN ([email protected])

Études foncièresUne base inter-collectivités

Sommaire p. 3 Ça bouge à la DITTTp. 2  Licence UIA

p. 1 Études foncières p. 4 Géo-Infosp. 3 Un OEIL en alerte

SIG

Don

nées

Vous souhaitez vous abonner ? Vous souhaitez nous proposer vos articles ? Une seule adresse : [email protected] sur Facebook georepnc Les bulletins sont disponibles au format PDF sur http://www.georep.nc

2e trimestre2018Bulletin no 51

ÉditorialBase de données inter-collectivités, partage de données et feux de brousse : c’est le cocktail que nous vous proposons pour ce 51e numéro de votre bulletin préféré.Le bureau du cadastre de la DITTT nous détaillera la mise en place d’une base des études foncières entre le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et la Ville de Nouméa. Est proposé également dans ce numéro un éclairage sur la licence UIA mise en place par le CNES dans le cadre de l’acquisition des données des satellites Pléiades. Enfin, l’OEIL nous présentera son nouvel outil « Alerte incendies », afin de protéger au mieux notre environnement. Bon trimestre géomatique à tous et n’oubliez pas qu’« une semaine sans faire de carte est une semaine perdue »…

Katrina Mounoussamy, en charge des études foncières au sein du département Topographie et foncier du SIG

de la Ville de Nouméa

Page 2: Études foncières

p. 2

Pléiades 1A et 1B sont des satellites jumeaux, disposés à 180° l’un de l’autre par rapport à la Terre. Dits de très haute résolution, ils présentent une résolution spatiale de 50 cm et acquièrent dans les bandes spectrales suivantes : panchro-matique, rouge, vert, bleu et proche-infrarouge (NIR).

Ce programme spatial a été financé initialement par le Centre National des Études Spatiales (CNES), entité publique nationale. Par extension, il a ainsi été financé par le contribuable français.

En revanche, la commercialisation des données issues de ces capteurs a été exclusivement confiée à Airbus (branche Defence and Space : Geo-Intelligence) dans le cadre d’une Délégation de Service Public (DSP).Par conséquent, le CNES, en accord avec son partenaire Airbus, a mis en place une licence d’utilisation des données spécifique : la licence dite « UIA » pour utilisateur institution-nel autorisé. Une liste exhaustive des statuts pouvant être considérés comme UIA a ainsi été mise en place de sorte à définir plus clairement les ayants droit.

Cette licence offre plusieurs avantages notables en com-paraison de n’importe quelle licence standard d’utilisation des données. Deux des principaux avantages vous sont présentés ci-après :

1. TarificationLa licence UIA donne accès à des tarifs préférentiels singuliè-rement avantageux. En effet, il a été estimé au moment de la mise en place de la DSP entre Airbus et le CNES que cela constituait un juste retour envers le contribuable qui, ayant indirectement financé un programme spatial, ne pouvait payer les données issues de ce programme à un tarif dit public.De ce fait, dans le cadre de la licence UIA, ni Airbus ni ses représentants n’ont un quelconque droit « de réaliser une marge » sur les données Pléiades concernées et les tarifs de vente aux UIA sont fixés d’un commun accord entre Airbus et le CNES.Mis en relation avec le catalogue de services One Tasking d’Airbus, qui commercialise ces données, les derniers tarifs

applicables en date sont les suivants :

2. Partage des donnéesAyant pour buts principaux l’optimisation et la mutualisation des moyens inter-collectivités, cette licence permet également une possibilité de partage des données entre les différents

acteurs considérés comme UIA.En effet, toutes les données acquises par un UIA dans le cadre de cette licence (ici, les données dites brutes) sont récupé-rables auprès d’Airbus (ou son représentant local dans le cas présent) sur simple demande et sous réserve de signature de la licence d’utilisation des données.

Par ailleurs, en contrepartie de ces avantages considérables, il est à noter que cette licence présente également des condi-tions d’applicabilité.Énoncée précédemment, la première condition consiste en l’éligibilité du demandeur relative à son statut et à sa mission de service public. Toute demande d’affiliation doit ainsi passer par Airbus, ou son représentant local dans le cas présent, qui devra faire valider définitivement la demande par le CNES, seul décideur officiel.Une deuxième condition consiste en l’inapplicabilité dans le cadre d’un appel d’offre ou d’une consultation d’une telle licence. De ce fait, les avantages de la licence UIA ne peuvent être proposés que s’il s’agit d’une simple demande de devis, avec ou sans cahier des charges.Il existe également des conditions techniques relatives à la demande en elle-même. C’est-à-dire que celle-ci doit être considérée comme « standard » au regard du catalogue de services du fournisseur. Pour exemple plus concret, il est impossible en programmation de modifier des paramètres tels que le taux de couvert nuageux (CN), le standard étant fixé à 10 %. De la même façon, tous les pré-traitements et traite-ments dits « à façon », de l’ortho-rectification au mosaïquage des données, sortent du cadre d’une demande « standard ».Le rôle du représentant local d’Airbus, pleinement assumé et tel que devrait l’être celui de n’importe quel pourvoyeur de données, est bien le devoir de conseil et l’accompagnement total de chacun des demandeurs. Toute demande provenant d’un organisme dit UIA est ainsi aujourd’hui analysée, de sorte que ladite licence puisse être appliquée.

En conclusion, de par les avantages considérables qu’elle offre aux différents acteurs institutionnels, aux collectivités et par extension aux décideurs dans le cadre de leur mission de service public et dans la gestion du territoire, la licence UIA doit être mise en avant et mieux connue de ceux-ci. En effet, elle permet et doit permettre le développement de la communauté et une émulation certaine du secteur d’activité que sont la géomatique et la télédétection au sens large.

Auteur : Jean MASSENET ([email protected])

Licence UIAPour les données des satellites Pléiades

SIG

Don

née

Mono Stéréo Tristéréo

Archive 1,40 € x2 x3

OnePlan Achievable & OneSeries Routine Achievable

(Programmation standard)1,80 € x2 x3

OnePlan Challenging & OneSeries Routine Challenging

(Programmation prioritaire)2,00 € x2 x3

Tarification des données Pléiades THR sous licence UIA.

Page 3: Études foncières

Bulletin no 51

p. 3

Ça bouge à la DITTTLe service topographique de la DITTT vous informe de la mise à jour de la cartographie au 1/50 000 sur le Grand Nouméa. Données numériques : En plus de sa visualisation dans l’explorateur carto-graphique, vous trouverez la cartographie raster dis-ponible gratuitement en téléchargement sur la plateforme dédiée de Géorep.nc.

Carte imprimée : La deuxième édition de la carte topographique au 1/50 000 du Grand Nouméa (n° 23) est quant à elle disponible à la vente directement au guichet du service topographique de la DITTT, au tarif de 1 500 F, et dans de nombreux points de vente.

Le fonds cartographique au 1/10 000 (BDTOPO-NC et Raster10M) a été mis à jour d’informations ponctuelles et

ciblées ! À noter la réap-parition des libellés de voies sur l’ensemble de la Nouvelle-Calédonie qui vient compléter judicieu-sement la topographie. Cette information est à présent fiabilisée par

l’évolution constante de la BDROUTE-NC qui ingère les mises à jour des communes. La BDPHOTO-NC a également été mise à jour avec la mis-sion de novembre 2017, de nouvelles missions historiques et le rapatriement de prises de vue de meilleure qualité.

Contacts du pôle clientèle du service topographique de la DITTT : 28 03 21 – [email protected]

Les incendies sont l’une des causes ma-jeures de perte de biodiversité en Nouvelle- Calédonie et de dégradation des milieux naturels. Pour autant, les dispositifs de surveillance et de suivi de leurs impacts environnementaux sont perfectibles. L’OEIL a entrepris un certain nombre d’actions visant à améliorer et à développer les outils adaptés au suivi de cette pression pour mieux connaître son impact environnemental.

Fort d’un outil de télé-détection éprouvé et performant, et dans la volonté de contribuer au signalement des incen-dies auprès des services de secours, mais aussi de faciliter la prise en compte de la dimension environnementale dans la décision de déclencher la lutte, l’Observatoire a développé un outil d’alerte.Ce service s’appuie sur la remontée d’anomalies thermiques détectées par trois satellites (Suomi Npp, Aqua et Terra) avec plusieurs passages par jour. Des géotraitements dyna-miques permettent de filtrer les informations pertinentes pour le territoire (élimination des points d’origine industrielle

notamment) et de constituer des surfaces d’impacts potentiels.Accessible et gratuit, ce service propose un abonnement par courriel. L’internaute saisit son adresse électronique et ses préférences : localisation géographique, type de dom-mages potentiellement causés (végétation

d’intérêt, site environnemental d’intérêt, biens et personnes, ressource en eau, etc.), fréquence de l’alerte. Si un incendie correspondant aux critères définis lors de l’abonnement se déclare, l’internaute reçoit alors une alerte personnalisée. Celle-ci prend la forme d’un courriel listant les incendies en cours tout en indiquant le type des zones brulées et les sur-faces concernées. Chaque incendie listé est associé à un lien qui renvoie sur le portail cartographique VULCAIN. Ce géoportail permet d’observer la localisation et l’étendue des incendies en cours et passés (chronique de données remontant à 2001), mais également de les filtrer selon des critères d’ordre temporel et géographique. Une prochaine version de l’application sera mise en ligne dans quelques mois et proposera, notamment, des fonctionnalités d’exploration des

données plus poussées. Ce projet a pu être mené grâce aux partenaires qui ont bien voulu nous

transmettre leurs données relatives aux enjeux, données sans lesquelles ce service serait limité.Auteur : Fabien ALBOUY ([email protected])

Un OEIL en alerteLes incendies sous surveillance

SIG

Appl

icat

ion

Page 4: Études foncières

Réalisation : D. Buisson – DTSI/SGT – avril 2018 – ISSN 2109-3741 – Comité de rédaction : D. David, M. Vende-Leclerc, D. BuissonMise en page : Manu B. – Impression : DTSI – Tirage : 150 exemplaires, sur papier respectant les normes environnementales

Géo-Trucs et astucesExplorateurcartographique du gouvernement : dessiner sur la carte.Vous souhaitez indiquer sur la carte des localisations, des zones ou points d’intérêts, des chemins de ran-donnée et bien plus encore ? Avec l’outil de dessin, cela est possible !

Marche à suivre :1)  Ouvrez l’outil de dessin qui se situe en bas de l’explorateur cartographique.

2)  Choisissez le type de dessin que vous voulez : une image, une ligne, un polygone ou du texte.

3)  À l’activation de l’outil, de nouvelles couches thématiques de chaque type s’affichent dans la liste des couches située en haut à droite de l’explorateur cartographique. Cela vous permet de masquer tout ou partie de vos dessins et d’y ajouter de la transparence.

Attention : Vous ne pouvez pas modifier vos dessins ou masquer / supprimer un seul dessin. Le bouton Effacer de l’outil « Dessiner » supprime tous vos dessins.

4)  Pour chaque type de dessin, vous pouvez modi-fier sa couleur et sa taille. Pour les dessins de type points, une multitude de symboles vous est proposée. Vous pouvez également choisir d’intégrer une image personnalisée (dernier item de la liste déroulante).

Astuce : Imprimez la carte ou exportez-la en PDF ou JPG pour la transmettre.

Auteur : Déborah DAVID ([email protected])

Géo-ÉvénementsEn France...GéoDataDays 20183-4 juillet 2018 – Le HavreAu menu de ces deux jours : des sessions plénières et thématiques, des ateliers techniques, des ani-mations, du networking, des espaces d’exposition et de démonstrations, des échanges, des débats... et une ambiance conviviale garantie !Site internet : http://www.afigeo.asso.fr/phocadownload/Manifestations/GeoDataDays2018/geodatadays_presentation-partenaire_2018.pdf

Innovative City 201827-28 juin 2018 – NiceL’édition 2018 traitera des facettes de l’accom-pagnement sociétal des citoyens dans tous les domaines où les innovations visent vers le bien-être et le mieux-vivre, le développement économique et l’emploi. Innovative City se confirme comme le lieu où viennent s’exprimer des personnalités de la société civile, des repré-sentants de gouvernements, des élus, des dirigeants et des scientifiques face aux participants de diffé-rentes régions du monde qui souhaitent collecter les dernières innovations qui façonneront leur territoire demain.Site internet : https://www.innovative-city.com/

Pour un agenda plus complet : http://decryptageo.fr/agenda/

Le saviez-vous ?Concours Barbara Petchenik Children’s World MapCe concours est destiné aux enfants de moins de 16 ans et est proposé par l’Asso-ciation Cartographique Internationale (ACI) tous les deux ans. Il est organisé en mémoire du Dr Barbara Bartz Petchenik, une cartographe et créatrice américaine renommée. Cette dernière s’est toujours intéressée aux cartes destinées aux enfants ainsi qu’aux enfants qui dessinent des cartes. Le but de ce concours de dessin est d’encourager la vision créative des enfants sur le monde et de leur faire prendre conscience de leur importance au sein de leur propre environnement. Le derniers concours 2017 avait pour thème : « We love maps », Nous aimons les cartes.Une représentation originale et parfois amusante du monde qui nous entoure. À quand ce genre de concours en Nouvelle-Calédonie ?Pour en savoir plus : https://icaci.org/tag/barbara-petchenik-competition

Géo-Image Île Verte – Commune de BourailImage fournie par la DFA – province Sud : Mosaïque réalisée par INSIGHT – Pléiades 2017 ©Airbus-CNES