NomAnalyse de la securite alimentaire et nutritionelle

Changements ClimatiquesChangements Climatiques / Changement climatique et sécurité alimentaireCommunicationCommunication / Communiquer pour la sécurité alimentaireCommunication / Préparer un rapport sur la sécurité alimentaireCommunication / Techniques de collaboration et de plaidoyerDroit a une alimentation adequate

GenreGenre / Le genre dans la sécurité alimentaire et nutritionnelleGestion de l'information et partage des connaissances

Gouvernance responsables des regimes fonciers

Analyse de la securite alimentaire et nutritionelle / Evaluation de référence de la sécurité alimentaire

Analyse de la securite alimentaire et nutritionelle / Evaluation et analyse de la vulnérabilité

Analyse de la securite alimentaire et nutritionelle / Evaluation et analyse des disponibilités alimentaires

Analyse de la securite alimentaire et nutritionelle / Evaluation et analyse des marchés

Analyse de la securite alimentaire et nutritionelle / Evaluation et analyse des moyens d’existence

Analyse de la securite alimentaire et nutritionelle / PDDAA Pilier III / Réduire les risques et améliorer la sécurité alimentaire

Droit a une alimentation adequate / Introduction au droit à une alimentation adéquate

Gestion de l'information et partage des connaissances / Bibliothèques numériques et archives ouvertes

Gestion de l'information et partage des connaissances / Elaborer et mettre en œuvre une stratégie d’information

Gestion de l'information et partage des connaissances / Médias sociaux pour le développement

Gestion de l'information et partage des connaissances / Partage des connaissances pour le développement

Gestion de l'information et partage des connaissances / Rédiger et publier un document scientifique ou technique

Gouvernance responsables des regimes fonciers / Faire face à la corruption dans les régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts

Gouvernance responsables des regimes fonciers / Faire face aux différends et aux conflits relatifs aux régimes fonciers applicables aux ressources naturelles

Gouvernance responsables des regimes fonciers / Faire face aux problèmes fonciers dans un contexte de catastrophe naturelle

Les Concepts de securite alimentaire et nutritionnelle

NutritionNutrition / Evaluation et analyse de l'état nutritionnel

Nutrition / S’entendre sur les causes de la malnutrition pour agir ensembleProduction et sante animales

Protection sociale et résilienceProtection sociale et résilience / CiblageProtection sociale et résilience / Introduction aux Filets Sociaux de Sécurité

Securite sanitaire des produits alimentaires

Statistiques sur l'alimentation et l'agriculureStatistiques sur l'alimentation et l'agriculure / Fondements de CountrySTATSuivi, evaluation et analyse de l'impact

Affiche Les sols stockent et filtrent l'eauAge de l'effectif sous statut du SG/ECNDDBisalelo Biyake Bya NzeteBolidisi Bato Likolo Ya Lolenge Malamu ya Bobateli ZambaCauses de la Deforestation et le Changement ClimatiqueChangement climatique: au-dela du 21eme siecle?Cycle matiere organiqueDiagramme PaillisEffet de serreEffet de Serre TempuratureEntretier des HaiesEquateur La Biomasse et La deforestation 2001-2014Equateur La deforestation 2001-2014

Gouvernance responsables des regimes fonciers / Introduction à la Gouvernance responsable des régimes fonciers

Les Concepts de securite alimentaire et nutritionnelle / Les concepts et les cadres de la sécurité alimentaire

Les Concepts de securite alimentaire et nutritionnelle / Politiques de sécurité alimentaire : formulation et mise en oeuvre

Les Concepts de securite alimentaire et nutritionnelle / Systèmes et réseaux d’information sur la sécurité alimentaire

Nutrition / Nutrition, Sécurité Alimentaire et Moyens d’existence : Concepts de base

Production et sante animales / Gestion de l'alimentation des vaches laitières dans les pays tropicaux

Protection sociale et résilience / La résilience dans l’analyse de la sécurité alimentaire

Securite sanitaire des produits alimentaires / Mieux participer aux activités du Codex

Suivi, evaluation et analyse de l'impact / Evaluation de l'impact de programmes de développement sur la sécurité alimentaire

Equateur REDD Evaluation de la deforestationFertilisation du SolFoyers AmelioresL' Impacts ClimatiqueLa Foret Primaire et Secondaire Equateur

Le climat va changerLe rythme "naturel" du climatL'effet de serreLes Activites de developpementLes activites humaines modifient le climatLes Consequences du Changement ClimatiqueLes sols aident à combattre le changement climatique et à s’adapterL'importance de la foretLitomba Ya ZambaMeteorologie et climat, la meme chose?Mikakatano Ma Ye Mawutaka Na Mbongwana ya Bileko to Mpe MolungeMisala Mikopesaka Mbongwana Oleyi Ya MbokaMongala La biomasse et La deforestation 2001-2014Mongala La deforestation 2001-2014Nord Ubangi La Biomasse et La deforestation 2001-2014Nord Ubangi La deforestation 2001-2014Ntina Ya Bobebisi Nzamba Mpe Ya Mbongwana Ya Biloko To Mpe MolungePertes gaspillages des alimentsPrevoir le climatResponsabilite environnementale corporative a la FAOSaurons-nous nous adapter?Semis en LignesSensibilisation sur la gestion durable de la foretSud Ubangi La Biomasse et La deforestation 2001-2014Sud Ubangi La deforestation 2001-2014Tshuapa La Biomasse et la Deforestation 2001-2014Tshuapa La Deforestation 2001-2014

Une Plante de CouveratureWetland Rizier Adequation Equateur15 Signaux prouvant que la transition energetique est en marche209 leçons de base pour bien écrire7 stratégies e-marketing illustrées Accroitre les emplois ruraux en Afrique subsahariennne / Note PolitiqueAcheter Vert! Un Maneul sur les marches publics ecologiquesAffiche: Les sols stockent et filtrent l'eau

Le changement climatique et ses interactions avec d'autres problemes globaux

Un accès équitable des femmes et des hommes aux ressources et aux pouvoirs afin d'assurer la sécurité alimentaire face au changement climatique

Agriculture et forets au secours du climat

Agroforesterie_CORAFAlgèbre commutativeAlgèbre Tome 1 groupes, corps et théorie de GaloisAlgèbre Tome 2, Anneaux, modules et algèbre multilinéaireAller de l'avantAméliorer la gouvernance des régimes forestiers. Un guide pratiqueAméliorer la nutrition dans les pays ACP – le role de l’agricultureAmeliorer la nutrition en Republique Democratique du Congo : a quel cout?

Aménagement des forêts tropicales humides en AfriqueAnalyse de la pauvreté en République démocratique du CongoAnalyse economique et logique comptableAnglais Facile Pour le Voyage

Annuaire Statistique de L'enseignement primare, secondaire et professionnelApprenez à créer votre site web avec HTML5 et CSS3Approche Par Ecosystème

Assurance qualité pour les laboratoires d’analyse d’aliments pour animauxAtlas biologie animale Atlas de biologie végétaleAtlas de poche de microbiologieAtlas des énergies renouvelables de la RDC

Balises Pour L'elaboration d'un plan de coursBiologie cellulaire Des molécules aux organismes Biologie Cellulaire en 30 fichesBiologie VegetaleBois légal - Vérification et gouvernance dans le secteur forestierC.V. Efficace

Cadre méthodologique du Fonds de partenariat pour le carbone forestierCadre pour l’évaluation et le suivi de la gouvernance forestière

Agriculture intelligente face au climat / Succes des communautés agricoles dans le monde

Améliorer les pratiques de la FAO pour appuyer le renforcement des capacités des pays membres

Appuyer les petites entreprises forestières - Boite à outils du facilitateur. Conseils en kit, c'est dans la poche !

Augmenter les rendements rizicoles et économiser l'eau: leçons en matière de politiques et de pratiques – Le système de riziculture intensive (SRI)

Cadre de Directives Nationales sur le Consentement Libre, Préalable et Informé (CLIP) dans le cadre de la REDD+ en République Démocratique du Congo

Cadre global d’action pour réaliser la Vision pour la gouvernance des eaux souterraines

CAFI (Initiative Pour La Foret de l'Afrique Central) Infographic.pdfCarnet Pedagogique AbeillesCartographier les zones favorables au forage manuel

Chapitre II/ Les Grans Courants de l'analyse economique

Coaching d’équipeComment bien débuter sur LinkedInComment écrire un article scientifique ?Comment écrire un résuméComment élever des abeilles et produire du mielComment étudier?

Comment lutter contre les mouches des fruits infestant les manguesComment lutter contre Striga et les foreurs de tige du maisComment protéger votre vie privée sur FaCebookComment rediger un rapport de projet

Comment rédiger une bibliographieComment Utiliser efficiacement Linkedin

Communication - Structure de rapports / tableaux / presentations

Comprendre l'agriculture familiale / Diagnostic des systemes de production

Conception et réalisation d’un référentiel de formationCongo / Une Histoire (EXCERPT)Conseils pour la réussite d'une petite ou microentreprise de groupe

Cadre Stratégique Pour le Pastoralisme en Afrique / Sécuriser, protéger et améliorer les vies des communautés pastorales

Changer de trajectoire : éducation et formation de la jeunesse en République démocratique du Congo

Chasse et Commerce Illicites: Incidences pour les Moyens d'Existence, la gestion durable des Forêts et la Faune Sauvage

Comment Faire Pour Avoir Des Plants De Riz Qui Croissent Mieux et Qui Produisent Plus Informez-Vous et Informez Les Autres

Comment rédiger un rapport, un mémoire, un projet de recherche, une activité de recherche en cours ? Manuel de rédaction avec modules d’apprentissage des techniques d’écriture en français

Commentaire Produire une légende de type matriciel en Utilisant à la foie des Vecteurs et rasters Avec Une open source en Utilisant QGIS 1.8 et 2.8 (Tutorial SIG Open Source 9: Produire une légende de style de la matrice en utilisant des vecteurs et rasters avec QGIS 1.8 et 2.8)

Communication, éducation et sensibilisation du public (CESP) Guide pratique destiné aux points focaux et aux coordonnateurs des stratégies et plans d’action nationaux pour la diversité biologique (SPANB)

Compilation d’outils pour l’analyse de la criminalité liée aux espèces sauvages et aux forêts

Comprendre Les Paiements pour services ecosystemique/ des vertus du concept aux defis de al mise en oeuvre

Conservation des légumes feuilles et des fruitsConstitution de la RDCConstruire des parcours personnalisés de professionnalisation Contribution à la Gouvernance de la FAO

Controle de Gestion

Controle de Gestion et Gestion Budgétaire avec Corrigés des exercicesCours Biologie végétaleCours d'initiation a la methodologie de rechercheCours d'ISDRCryoconservation de matériel génétique de bananierDe l’arbre au bois débité: un guide pour le sciage de long à la tronçonneuseDe la crise alimentaire à la sécurité alimentaire dans les pays acp

Definir les Objectifs et les ActionsDefinir une problematique de recherche

Des espèces disparaissentDes institutions rurales innovantes pour améliorer la sécurité alimentaireDes milieux détruitsDes millions et des millions d’espècesDéveloppement de la Chaine de Valeur de l' Apiculture en Tanzanie

Développer un syllabus de cours (plan de cours)Dictionnaire des Mathématiques, algebre, analyse, geometrie

Diversité Des Agricultures Familiales / Exister, Se transformer, Devenire

Dossier FAO sur la biosécurité

Contribution de l’Agroforesterie à la REDD+ pour une gestion durable des paysages en République Démocratique du Congo : propositions de modèles agroforestiers

Decret N14 du 2 Aout 2014 / Fixant Les Modalites D'attricution des Concessions Forestieres aux Communautes Locales / RDC

Déforestation et dégradation des forêts dans le Bassin du Congo / Etat des lieux, causes actuelles et perspectives

Développer la résistance des petites économies insulaires : des vulnérabilités aux opportunités

Directives OIBT pour la restauration, l’aménagement et la réhabilitation des forêts tropicales dégradées et secondaires

Directives relatives au changement climatique à l’intention des gestionnaires forestiers

Document de Technique n ° 1: Système d'informations sur les garanties: considérations d'ordre pratique sur la conception

Document d'orientation 3: Mise en demande des garanties et des systèmes d'information de garantie se trouve à la REDD +

Document d'Orientation 4: Le role du secteur prive Dans l'initiative REDD + "Argumentaire en Faveur de l'engagement et des options d'interventionDocument d'orientation 5: REDD + et Objectifs d'Aichi for the Biodiversite 2020

Dossier Pedagogique Abeilles

Du compost enrichi pour des rendements plus élevés

Ecrire pour etre luElaborer un curriculum de formation et en assurer la qualiteElaborer un syllabus de cours (ou plan de cours)

Eléments pour l’analyse du romanElevage de oiesElevage des aulacodesElevage des chèvres laitières

Enquete Huile de Palme / Qui s'approvisionne durable?Etat des Forêts 2013Etre pro en AnglaisEtude sur la sécurité semencièreEvaluation des Ressources Forestieres Mondiales 2010Evaluation des Ressources Forestieres Mondiales 2010 / Résultats Principaux

Dossier sur le changement climatique à l’intention des décideurs. Une approche pour intégrer la dimension du changement climatique dans les programmes forestiers nationaux à l’appui de la gestion durable des forêts

Du Sud au Nord : regards croisés sur les Paiements pour Services Environnementaux / Synthèse des débats de l’atelier international PESMIX

Dynamique des forêts tropicales de l'ile de La Réunion : processus d'invasions et de régénération sur les coulées volcaniques

Dynamiques de déforestation dans le bassin du Congo : réconcilier la croissance économique et la protection de la forêt (Français)

Ecosystème / Tout « ensemble » vivant est une collection de sous-unités et constitue un « système »

Elaborer une stratégie de gestion de l’information et de la communication / Instruments à l’usage des organisations de développement agricole et ruralElaborer une stratégie de gestion de l’information et de la communication / Instruments à l’usage des organisations de développement agricole et rural / Manuel de l’utilisateur

Emissions de gaz à effet de serre provenant de l’agriculture, de la foresterie et des autres utilisations des terres

Energie et réduction de la pauvreté : compte-rendu de l’atelier multisectoriel et multibénéficiaire – Comment les services de l’énergie moderne contribuent-ils à la réduction de la pauvreté ?

Evaluation des ressources forestières mondiales 2015 Comment les forêts de la planète changent-elles? Deuxième édition

Evaluation des ressources forestières mondiales 2015 Répertoire de données de FRA 2015

Evaluation Participative Des Projets, Produits et Services D'information du Point de Vue de L'apprentissage et de l'impact sur les organisations

Evaluations citoyennes de la qualité et de l'integrite des services publics affectés par la décentralisation RDC

Evaluations de la sécurité semencièreEvaluer et citer ses sourcesExample d’un plan de coursExploitations agricoles familiales en Afrique de l’Ouest et du Centre

Fabrication d’une farine de manioc de haute qualité Fabrication d’une pompe manuelleFabrication de cossettes et de farine de banane Fabrication de cossettes et de farine de patate douceFabrication de cuiseurs et séchoirs solaires

Fiche Methode : Comment Apprendre un CoursFinanceFinancement des Chaines de Valeur Agricoles / Outils et Lecons

Forets VivantesFruits & Legumes, la sante du mondeFruits et légumes biologiques des régions tropicales

Genre, Jeunesse et EducationGéographie alimentaire : renouer avec l’origine dans le système alimentaire Gestion de la Relation ClientGestion de ProjetGestion de projet - la phase de définition du projet Gestion des Forêts et des Ressources en eau en AfriqueGestion financière

Exploring the Impact of Social Norms and Perceptions on Women's Participation in Customary Forest and Land Governance in the Democratic Republic of Congo—Implications for REDD+

Fabrication d’aliment du bétail issue de la cueillette de gousses de Piliostigma reticulatum : une opportunité pour les femmes rurales burkinabé

Facebook et autres médias sociaux Guide pour un usage sécuritaire et responsable à l’intention des élèves et des parents

Façonner l’avenir du développement rural des pays ACP grace aux nouvelles technologies

Fare Changer Les Chaines / Equité entre les genres dans le développement des chaines de valeur agricoles

Feuille d'exercice: EVALUER les Bénéfices et les Risques Potentiels des Politiques et MesuresFEUILLET D’INFORMATION Savoir comment protéger les informations personnelles publiées sur votre compte Facebook.

Gaspillage : occasions manquées dans le combat pour accroitre la sécurité alimentaire

Gestion intégrée de l’eau pour une agriculture durable : réduisons l’écart des connaissancesGestion Locale des Ressources Forestieres et halieutiques autour du lac ntomba

Glossaire du droit a l'alimentationGuide a L'intention des Négociateurs REDD-plusGuide de biosécurité pour les marchés de volailles vivantes

Guide de Terrain pour l’Estimation de la Biomasse et le Carbone ForestierGuide des relations sociales dans l'entreprise

Guide Pratique d'initiation a l'analyse d'entrevues semi-dirigees

Hétéropteres phytophages et prédateurs d'Afrique de l'OuestHTML5 et CSS3 : Maitrisez les standards des applications WebHTML5 et CSS3 Cours et exercices corrigésHuile de Palme de la deforesation a la necessaire duabiliteICT Update / Economies Insulaires et e-résilienceICT Update / Faire Bouger les ChosesICT Update / ICT4Ag Préparer le terrainICT Update / Le finance Mobile, une avancée crucialeICT Update / L'innovation dans les TIC et ses meneursICT Update / Mobiliser les communautes au travers du crowdsourcingICT Update / Recherche Agricole et TICICT Update / Relier les paysans aux marchésICT Update / Revolution des données pour l'AgricultureICT Update / Stratégies d'e-agricultureICT Update / TIC et émancipation des femmesICT Update / Un Avenir Pour les Télécentres

Importance de la Forets

Gestion participative des conflits pour le renforcement des programmes forestiers nationaux (pfn)Gestion participative des Ressources Naturelles dans les Réserves de Biosphère

Guide de Gestion a L'attention du secope, des Gestionnaires et Des Chefs d'etablissement des ecoles publiques

Guide de la méthodologie d'évaluation des opportunités de restauration des paysages forestiers (MEOR)

Guide Methologique de planification locale / Comment Elaborer un plan regional de developpementGuide pour la mise en oeuvre des normes phytosanitaires dans le secteur forestier

Guide pour mieux connaitre les impacts des projets de REDD+ sur la subsistance des populations

Harmonisation des politiques et lois sectorielles pour réduire les conflits croissants liés à l'utilisation des terres

Identification des Priorités et Données pertinentes Pour l'Etude de cartographie des bénéfices multiples

Impacts du coton-Bt sur les bilans financiers des sociétés cotonnières et des paysans au Burkina Faso

Impacts économiques du déploiement d’infrastructure large bande : le cas de la RDC

Initiatives, Expériences et Défis du Mécanisme REDD+ en AfriqueInnovations agroécologiques et Changement ClimatiqueInnover avec les acteurs du monde rural : la recherche-action en partenariat

Interpreter la BiodiversiteIntroduction à l'analyse économique / Travaux dirigés - dossier n°1Introduction à l'analyse économique / Travaux dirigés - dossier n°2Introduction à l'analyse économique / Travaux dirigés - dossier n°3Introduction à l'analyse économique / Travaux dirigés - dossier n°4Introduction à l'analyse économique / Travaux dirigés - dossier n°5Introduction à l'analyse économique / Travaux dirigés - dossier n°6Introduction Au Calcul Scientifique Par La Pratique Inventer une nouvelle agriculture

Journée mondiale de l'alimentation 2016: Cahier d'activitésL’air que nous respironsL’aménagement forestier au Congo engendre-t-il plus de déforestation?L’apicultureL’avenir des forêts tropicales: un enjeu mondial

Insectes comestibles Perspectives pour la sécurité alimentaire et l’alimentation animale

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 1: FORÊTS, SEQUESTRATION DE CARBONE ET CHANGEMENT CLIMATIQUE

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 10 : Approches relatives au partage des bénéfices

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 11 : Introduction à l’engagement des parties prenantesJournal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 12 : BONNE GOUVERNANCE

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 2: COMPRENDRE REDD+ ET LA CCNUCC

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 3: MOTEURS DE DEFORESTATION ET DE DEGRADATION DES FORÊTS

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 4 : Stratégies Nationales et Plans d’Action

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 5 : Systèmes Nationaux de Surveillance des Forêts (SNSF)

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 6 : Niveaux (d’Emission) de Référence des Forêts (NERF/NRF)

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 7 : Politiques et Mesures pour mettre en œuvre la REDD+

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 8 : Garanties REDD+ dans le cadre de la CCNUCC

Journal d’Apprentissage de l'ACADEMIE REDD+ Module 9 : Financement de la REDD+

L’eau que nous mangeons enjeux pour les pays ACP en période de pénurieL’eau, élément de vieL’Etat de l’insécurité alimentaire dans le monde 2015

L’exploitation illégale des forêts en République démocratique du Congo L’Homme, une force de la nature

La Deforestation en RDC Causes et Consequences

La maquette interactive, un outil novateur de participationLa Methodologie de la recherche Modes d'investigationLa nature nous alimenteLa nature soigne

La première évaluation de la politique bois des collectivités publiquesLa profesionnalisation du forage manuel en Afrique La Rapport Professionel

La redactin d'un memoire Guide Pratique pour l'etudiantela REDD + ReflexionsLa REDD+ et l’adaptation aux changements climatiques au Burkina Faso

La Santé AnimaleLa Santé Animale 2

L’avenir des relations pêche ACP-UE / Vers une plus grande durabilité et un meilleur bien-être social et économique pour les communautés cotières des pays ACP

L’état des ressources zoogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde

La Conférence de Paris 2015 : une nouvelle économie politique des changements climatiques

La décentralisation des systèmes d'information de marché (SIM), une innovation pour répondre aux besoins des acteurs : le cas de l'observatoire du marché agricole (OMA) au Mali

La forêt en République démocratique du Congo post-conflit : analyse d’un agenda prioritaire

La gestion inclusive des forêts d’Afrique centrale: Passer de la participation au partage des pouvoirs

La pompe à corde Expérience au Tchad / Une solution alternative pour l’eau potable

La Recherche Quantitative au Service des Politiques educatives le role de l'analyse de la litterature

La régulation des prix du riz à Madagascar : l'action conjointe de l'information et de la concertation

La situation mondiale de l’alimentation et de l’agriculture/ Ouvrir l'agriculture familiale a l'innovation

La Situation Mondiale de l'alimentation et de l'agriculture 2010-2011 Le Role des Femmes dans l'agriculture/ Combler le fossé entre les hommes et les femmes pour soutenir le développement

La Situation Mondiale de l'alimentation et de l'agriculture/ Le commerce agricole et la pauvreté: le commerce peut-il être au service des pauvres?

La situation mondiale des pêches et de l’aquaculture 2016 (SOFIA)La Structure d'un Article ScientifiqueLa Traction AnimaleLa vie a une géographieLa vie est partoutLa vie se transforme sans cesseL'Accord de ParisL'agriculture DurableL'amélioration génétique animale

Le carbone circule!Le centre Songhai, modèle d’une exploitation diversitée Le Changement Climatique et ses EnjeuxLe Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Accès au marché

La Situation Mondiale de l'alimentation et de l'agriculture/ Les Biocarburants: perspectives, risques et opportunités

La Situation Mondiale de l'alimentation et de l'agriculture/ Mettre les systemes alimentaires au service d'une meilleure nutrition

La Situation Mondiale de l'alimentation et de l'agriculture/L’aide alimentaire pour la sécurité alimentaire?La Situation Mondiale de l'alimentation et de l'agriculture/Le point sur l'élevage

La Situation Mondiale de l'alimentation et de l'agriculture/Payer les agriculteurs pour les services environnementaux

L'auto-évaluation assistée à travers la méthode FFOM (Forces- Faiblesses-Opportunités-Menaces)

Le bout du tunnel? Opportunités de désarmement et de rapatriement des FDLR en République démocratique du Congo

Le Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Afrique australe et orientale / enjeux liés au commerce agricole

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Afrique centrale : enjeux liés au commerce agricole

Le Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Afrique de l’Ouest / enjeux liés au commerce agricole

Le Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Différenciation des produits

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / La réforme de la PAC et ses implications pour les pays en développement

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Les aspects OMC et internationaux des relations ACP-UE dans le secteur de la pêche

Le Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Pacifique / enjeux liés au commerce agricole

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Pêche ACP-UE accès au marché et commerce

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Secteur céréalier

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Secteur du cacaoLe commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Secteur du caféLe commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Secteur du cotonLe Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Secteur du rizLe Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Secteur du sucreLe Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Secteur du théLe commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Secteur laitier

Le Concept d'ecosysteme

Le CTA en action / Transformer la vie des communautés ruralesLe developpement durable: abecedaireLe Financement Durable Pour La ConservationLe grand voyage des espècesLe lingala au Congo-Kinshasa/ profil sociolinguistiqueLe Manioc / Guide Pour Une Intensification Durable de la Productionle marketing stratégique Le Nouveau Dictionnaire VisuelLe Palmier a huileLe paysage comme outil d’aménagement des terroirs villageois Le pillage de la natureLe plan de cours Guide de rédaction et d'utilisation

Le séchage des manguesLe sol est vivant

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Politique commune de la pêche de l’UE et accords de partenariat de pêche / enjeux pour les pays ACP

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Secteur de la Banane

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Secteur de la viande bovineLe Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Secteur de la volaille

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Secteur des fruits et légumesLe Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese / Secteur des oléagineux

Le commerce ACP analysé et décrypté / Note de Synthese / Sécurité des denrées alimentaires

Le Commerce ACP Analysé et décrypté / Note de synthese /Accord de l’OMC sur l’agriculture

Le cout de la Réduction des Emissions issues de la Deforestation et de la Degradation des Forets (REDD+) a Madagascar

Le role des SIM dans les politiques de sécurité alimentaire / l'expérience du Mali

Le savoir inhérent aux chaines de valeur traditionnelles du riz – Une approche axée sur la pratique : peut-on tirer des leçons pour l’Afrique subsaharienne ?

Le Tableur excel 2010L'économie écologique de bas en haut Légumineuses: Des graines pour un avenir durableLes <<PSE>>/ des remunerations pour les services environnementauxLes 39 secrets amitiéLes APPROCHES paie en matiere de garanties

Les Breves du Pojet MakalaLes cultures sur buttes Les Dividendes du NumberiqueLes dons de la vieLes écosystèmes : foire aux questions Les exclus de l’école congolaise

Les fondements du forage manuel en Afrique Les Forets du Bassin Du Congo / Etat des Forets 2010Les forêts et l’eauLes forêts et l’eau / Unasylva No. 229 Vol. 58, 2007/4

Les Grands Courants de l'analyse economiqueLes jeunes et l’agriculture / Principaux enjeux et Solutions ConcretesLes méthodologies d’analyse et de planification du développement régional Les Paiements pour services ecosystemiqueLes pays ACP face à la volatilité des prix alimentairesLes Poeles EconomesLes Principes Generaux du droit de l'environnementLes probabilités et la statistique de A à ZLes Relations entre les etres vivants dans un ecosystemeLes Stratégies des Ressources Humaines

Les techniques de forage manuel

Le système éducatif en République démocratique du Congo : Priorités et alternatives : Le systeme educatif de la republique democratique du Congo : Priorites et alternatives

Les associations de combattants démobilisés en République Démocratique du Congo : Dynamiques locales et synergies internes

Les filets sociaux en République Démocratique du Congo : etat des lieux et options pour l’avenir

Les Forêts et l'adaptation aux changements climatiques et l'atténuation de leurs effets

Les systèmes d'information sur les marchés agricoles dans les pays en développement / nouveaux modèles, nouveaux impacts

Les transformations de l’agriculture familiale dans les petites villes : le cas de Muea au Cameroun

Lettre Encyclique Laudato si' du sant-pere francois sur la sauvegarde de la maison commune

Linkedin / Le guide pour un profil complet et plus visible sur linkedinLire et Resumer un Article ScientifiqueLutter contre les parasites du moutonManuel de Gestion Financière pour les PartenairesManuel de lutte antiacridienne

Manuel de référence du promoteur de groupeManuel de référence pour les associations intergroupes

Manuel pour une planification décentralisée de l’éducationMarketing et Etude de MarchéMathématiques Algèbre et géométrie Mathématiques et informatique Une nouvelle ère numérique Mathématiques et TechnologieMathématiques, l'explosion continue

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Plan quinquennal de développement de la province de l'equateurPlanification participative et Gestion du Cycle de Projet

Pour écrire un texte sans fautesPour les enseignants: Activities d'education environnementalePour une agriculture intelligente face au changement climatique

Pratiques améliorées d’élevage des poules indigènesPréparer et rédiger un mémoire de recherchePrincipe de l’analyse factorielle

Processus Politiques MondiauxProduction améliorée du bananier plantainProduction et Transformation du cacaoProduction et Transformation du MaisProduction et Transformation du RotinProduits Forestiers non Ligneux: Opportunités et EnjeuxProgramme d'analyse Socioéconomique Selon le GenreProgramme de gouvernance economique RDCProgramme ONU-REDD FAQ

Protection sociale et agriculture: Briser le cercle vicieux de la pauvreté ruraleProtéger et promouvoir le pastoralisme en AfriqueQuand le climat se dérègle

Qu'est-ce que le droit de l'environnement

Performance technico-économique des associationsmais/niébé et mais/mucuna en situation réelle de culture au Burkina Faso: potentiels et contraintes

Petits producteurs et marchés La recherche au service des organisations paysannes

Plan d'action ITIE-RDC : Les activités nécessaires pour la validation comme pays conforme RDCPlan National de Developpement Des Ressources Humaines Pour la Sante 2011-2015

Politiques d’adaptation et synergies avec la Redd+ en République démocratique du Congo Portraits de Femmes et de Jeunes Professionnels du Monde scientifique africain

Pour Une Bonne Application du Libre Consentement Préalable et éclairé / Défis et perspectives pour les peuples autochtones

Principes et pratiques d'utilisation des plantes de couverture dans un système de gestion des mauvaises herbes

Projet Stratégie de Réduction des Déchets de Ouagadougou Création d’Emplois et de Revenus par des actions de collecte, de tri et de valorisation (PSRDO-CER)

Que Sont les Paiements Pour Services Environnementaux? Essai de définition et criteres d'évaluation

Rapport sur le développement humain 2015: RDC

RCA, foret de Ngotto : les produits forestiers, des ressources a developperRecherches sur la nature et les causes de la richesse des nationsRécupération de l’eau de pluie pour accroitre la production fourragèreREDDREDD + Académie Brochure françaiseREDD + Journal d'Apprentissage completREDD GlossaireRédiger et soutenir un mémoire avec succèsReducing Emissions from Deforestation and Forest Degradation (REDD)

Règles d’écriture d’un article d’enquête /de reportage

Reinventer Le Financement Agricole / En Direct de la Conference FIN4AG

Renforcer la résilience face aux menaces et aux crises

Rapport de la Session extraordinaire du Comité des pêches continentales et de l'aquaculturepour l'Afrique, Dakar, Sénégal, 14-15 Juillet 2015

Rapport du Secrétariat sur les réponses de la FAO aux recommandations de la dix-neuvième session de la Commission des Forêts et de la Faune Sauvage pour l'Afrique

Rapport National Synthese Sur Le Developpement Durable en Republique Democratique du Congo

Rapport Planete Vivante 2014 Des Hommes, des especes, des espaces, et des ecosystemes

Rapport sur le Respect des Normes et Codes (RRNC) : comptabilité et audit RDCRapport sur les Mesures Prises par les Membres pour la mise en oeuvre des Recommandations de la Dixneuvième Session de la Commission des Forêts et de la Faune Sauvage pour l'Afrique

Rapport: Cartographie des bénéfices Potentiels Liés à la biodiversité Dans le cadre de la REDD + _ République Démocratique du Congo (2012)

Réforme du secteur de l’eau et de l’assainissement en République Démocratique du Congo, Kinshasa, 15 au 17 octobre 2003, séminaire national (Vol. 2) : Actes : discours et présentations

Réforme du secteur de l’eau et de l’assainissement en République Démocratique du Congo, Kinshasa, 15 au 17 octobre 2003, séminaire national : Actes : Synthèse et produits du séminaire

Réguler le marché par l'information : histoire d'une idée, des Mercantilistes aux systèmes d'information de marché de dernière génération

Réintégration socio-économique des ex-combattants Région du Pool, République du Congo Analyse Quantitative

Renforcer la résilience de long terme de la RDC : le role de la dédollarisation, de la prospection artisanale et de la diversification economique

Renforcer les critères et indicateurs pour la gestion durable des forêts et leur utilisation dans les politiquesRepublic Democratique du Congo Evaluation de la Stabilite du systeme financierRépublique Démocratique de Congo / Evaluation Environnementale Post-Conflict

République démocratique du Congo - Etude sur le découpageRépublique démocratique du Congo - Examen des dépenses publiques (EDP)

Restauration des Forêts et des PaysagesRésultats du XIVe Congrès Forestier Mondial

Résumé: Perspectives Agricoles de l’OCDE et de la FAO 2016-2025Retour des arbres dans les espaces cultivés tropicaux

République démocratique du Congo - Aider le pays à atteindre un taux de croissance à deux chiffres dans les 15 prochaines annéesRepublique Democratique du Congo - Analyse de la situation administrative et financiere et de livraison des services publics des entites territoriales decentralisees

République démocratique du Congo – Cadre stratégique pour la préparation d’un programme de développement pour les Pygmées

République démocratique du Congo - La bonne gouvernance dans le secteur minier comme facteur de croissance

République démocratique du Congo - Programme cadre intégré renforcé (CIR) : étude diagnostique sur l’intégration du commerce

République Démocratique du Congo - Rapport de suivi de la situation économique et financière 2014 : renforcer l'etat et transformer la richesse minière en vecteur de croissance, de développement et de cohésion nationale

République Démocratique du Congo - Revue de la gestion des dépenses publiques et de la responsabilisation financière

République démocratique du Congo - Santé, nutrition et population : rapport sur la situation du pays : Congo - Santé, nutrition et population, rapport analytique : santé et pauvreté

République démocratique du Congo : Document de stratégie pour la réduction de la pauvreté République démocratique du Congo Programme d'options stratégiques pour le pays

République Démocratique du Congo Revue des Dépenses Publiques Tome II : Rapport Principal et Annexes

Résilience d'un Géant Africain : Accélérer la Croissance et Promouvoir l'Emploi en République Démocratique du Congo (Vol. 2) : Etudes Sectorielles (Français)Résilience d'un Géant Africain : Accélérer la Croissance et Promouvoir l'Emploi en République Démocratique du Congo (Vol. 3) : Sujets Transversaux (Français)

Résilience d'un Géant Africain : Accélérer la Croissance et Promouvoir l'Emploi en République Démocratique du Congo : Synthèse, contexte historique et macroéconomique (Français)

Resserrer Les Liens / Des Chaines de Valeur Agricoles au Profit des Petitis ProducteursRessources et ingéniosité : genre, droits de l’homme, et resilience dans certaines centres miniers artisanales a l’est de la République Démocratique du Congo

Résumé exécutif: Mangroves d'Afrique Centrale: Des Puits de Carbone aux multiples atouts - évaluation juin verser la REDD +

Revitaliser l'économie rurale en améliorant les liens entre la petite agriculture et les chaines de valeur

Révolutionner le nancement des chaines de valeur agricoles

Revue Technique / Guide Pratique Pour Les Essais de Pompage de Puits

Sauvons Selous Un symbole de l'afrique menaceSave and Grow in practice: maize • rice • wheat (ENGLISH)

Save and grow: Cassava (ENGLISH)Savoirs et Développement Rural / Le dialogue au coeur de l'innovationSelection Des Methodes De Construction Des Puits

Services écosystémiques et changement climatique

Spore / Les chemins de la réussitSpore / Agriculture Familiale / Le Début d'une renaissanceSpore / Population & AgricultureSpore / Resserrer les liens L’essor des chaines de valeur agricolesSpore / Une nouvelle vision du commerceStatistique Descriptive MultidimensionnelleStratégie du CTA pour la jeunesse 2013 - 2017 SynthèseStrategie Pour Le Developpement du Sous Secteur de L'EPSP

Synthèse détaillée de Printemps silencieuxSystème de production intégrée/ Ferme modèle pour un ménagerSystemes de Commerce Structuré de céréales en Afrique

Technique améliorée de fabrication artisanale de savons et détergents

Tendances globales / Le temps est compté

Revue des dépenses publiques du secteur de l'éducation en République Démocratique du Congo : une analyse d'efficience, d'efficacité, et d'équité

Role de la lumière dans la coexistence des espèces d’arbres de forêt tropicale humide: analyse des variations inter- et intra-spécifiques des performances et des traits fonctionnels.

SAVE and GROW: A policymaker’s guide to the sustainable intensification of smallholder crop production (ENGLISH)

Séminaire sur le suivi de la Déclaration de Bamako et le renforcement des capacités statistiques

Smart Toolkit / Des Outils Pour L'évaluation des projets, produits et services d'informationSoutenir les Agriculteurs pour un Développment Durable : Le role des Entreprises

Structure et fonctionnement des écosystèmes terrestresmenaces et enjeux

TdR évaluation Atelier services écosystémiques forestiers et des bénéfices multiples Cartographie

techniques CONSIDERATIONS parents à l'establishment de levels d'émissions de référence versez les forêts et / ous levels de référence verser les forêts Dans Le contexte de la REDD + au titre de la CCNUCC

Techniques Série de Ressources 2: Les Approches Nationales en Matière de Garanties versez la REDD +: examen des expériences initiés et des leçons Emergentes au niveau mondial

Théorie des Sentiments MorauxThis is Africa / Agriculture / Les chaines de valeur des petits producteursTous semblables, tous différents Le manchot royal

Unasylva: Restauration du paysage forestier

Valeur Economique du Parc National Des VirungaValoriser le role des femmes dans les chaines de valeur agroalimentaires

Vers Une Croissance Durable / Rapport Annuel 2013Vocabulaire environnement anglaisVocabulaire scientifique anglais Vue d'ensemble. Produire plus avec moins en pratique le mais, le riz, le bleZaire – Examen des dépenses de l’Etat : Zaire - Examen des dépenses de l’état

Zamba MalamuZamba Malamu Lingala

Transport, croissance economique, et déforestation en République Démocratique du Congo : une analyse spatiale

Tutoriel d'application de Marxan Pour la Réalisation des bénéfices multiples de la REDD +

Tutoriel pas-à-pas v1.0: Introduction au QGIS (Open Source Tutorial SIG 2: Introduction à QGIS 1.8)

Tutoriel pas-à-pas v1.1: Evaluation de l'importance des forêts Pour la stabilisation du sol et la limitation de l'érosion du sol, juin approche simple, en Utilisant QGIS 2.8 (Open Source GIS Tutorial 7: L'importance des forêts pour la stabilisation des sols)

Tutoriel pas-à-pas v1.1: Extraire et Traiter les Données de L'UICN-sur les Espèces de La Liste Rouge en Utilisant Une méthode raster dans QGIS (GIS Tutorial Open Source 5: Extraction et traitement des espèces Liste rouge de l'UICN des données à l'aide de rasters dans QGIS 2.8.2)

Un avenir pour l'agriculture / Pour une action politique concertée face au changement climatique

Utilisation d'ONU logiciel de planification Spatiale répandrai les appuyer décisions REDD +: application de juin Marxan

Utilisation, transmission et amélioration d’un savoir-faire traditionnel : le cas du vin de canne à sucre : Utilisation, transmission et amélioration d’un savoir-faire traditionnel : le cas du vin de canne à sucre

Vers des Chaines de Valeur Agricole Inclusives, Ecologiques et Durable Dans Les Pays ACP

Vers un développement inclusif et durable en République démocratique du Congo : Vers un développement intégrant et durable dans la République démocratique du Congo

Zaire – La facilitation des transports et des échanges commerciaux (Vol. 2) : Zaire - La facilitation des transports et des échanges commerciaux

Zaire – La facilitation des transports et des échanges commerciaux : Rapport de synthèse

Agriculture sous abriAgriculture urbaineAgroforesterieAmélioration de l’incubation et de l’élevage des poussins

Atténuer les effets du VIH/SIDA dans les petites exploitations agricolesComment créer une coopérativeCommercialisationCréer et gérer un point d’eau pour les troupeaux de son villageEthnomédecine vétérinaireGerer la fertilite du solIdentification des degats causes aux culturesL’apiculture dans les zones tropicalesL’élevage d’escargotsL’élevage de canardsL’élevage de chèvres dans les zones tropicalesL’élevage de vaches laitièresL’élevage des porcs dans les zones tropicalesL’élevage des poules à petite échelleL’élevage familial d’aulacodesL’élevage familial de lapins dans les zones tropicalesL’exportation des produits biologiquesL’incubation des oeufs par les poules et en couveuseLa collecte de l'eau de pluie à usage domestiqueLa collecte de l'eau et la retention de l'humidite du solLa conservation des fruits et des légumesLa conservation du poisson et de la viandeLa culture des champignons à petite échelleLa culture des champignons à petite échelle - 2La culture des tomatesLa culture du soja et d’autres légumineusesLa culture fruitière dans les zones tropicalesLa fabrication et l'utilisation du compostLa pisciculture à la fermeLa pisciculture à petite échelle en eau douce La préparation de laitagesLa production artisanale d’aliments de complémentLa protection des sols contre l’érosion dans les zones tropicalesLa protection non chimique des culturesLe conditionnement des produits agricoles Le jardin potager dans les zones tropicalesLe stockage des produits agricoles tropicaux

Améliorer la riziculture de bas-fonds / Conseils Pratiques de gestion a l'usage des petits paysans en Afrique tropicale

Les greniersLes pesticides : composition, utilisation et risquesLes produits forestiers autres que le bois d’oeuvreLes zoonoses (Les maladies transmissibles de l'animal à l'homme)Mesures de topographie pour le génie ruralMultiplier et planter des arbresPaysage de la finance ruraleProduction de semences à petite échelleProduits de l’apicultureProtection des céréales et des légumineuses stockéesUtilisation de l’ane pour la traction et le labourAgriculture de conservation

AgroforesterieCollecte d’eau à la fermeCollecte d’eau chez soi EnergieEnergie hydraulique Energie solaire Forêts : introductionHottes à fumée La source de Rugusu Le biogaz Le compost et le paillage L'eau: une introductionL'engrais vertLes arbres et l’agriculture Les arbres et le commerce Les bons bois Méthodes naturelles de lutte contre les parasites Micro-crédit et autres produits issus des arbres PermaculturePoêles économes en combustible Rendre l’eau potable Sol : Introduction Accroitre la productivité agricole : l’Afrique de l’Ouest montre la voieChangement climatique — l'état des connaissances scientifiquesComprendre le réchauffement climatique en 4 minutesComprendre l'économie en 30 minutesDes Forêts et des Hommes

Fabrication d'un four solaire à Toliara (Madagascar)

Eco-matériaux de construction et énergie solaire: pilier de la croissance verte du Burkina Faso

FievreGestion durable des forêts en République démocratique du Congo Goma prend son envolImpactsIntroduction a la REDD+L’énergie solaire dynamise les petites entreprises féminines au MaliLa Deforestation, si loin, si procheLa Foret et la Changement Climatique_Une vérité opportuneLa Foret et la Changement Climatique_Une vérité opportune (P2)L'AFRIQUE INTIME : les vérités sur l'excisionLe Bassin du Congo- L'etat des ForetsLe Portail Web du Système National de Surveillance des Forêts de la RDCSpécial "2 degrés avant la fin du monde"Une Verite Qui Derange

Al Gore: En défense de l'optimisme à propos du changement climatiqueAndrew Youn: 3 raisons pour lesquelles nous pouvons vaincre la pauvretéCorentin De Chatelperron-Jute do it!Corneille Ewango: Un héros de la forêt du Congo

Ernest Madu: soins de santé de classe mondialeGreg Asner: L'écologie depuis le ciel

Joe Madiath: De meilleures toilettes, meilleure vieKakenya Ntaiya: Une fille qui a exigé l'écoleLudwick Marishane: Un bain sans eau

Michael Pritchard: Comment faire de l'eau sale potableRachel Mwanza- Des rues de Kinshasa aux tapis rouges des OscarsRobert Neuwirth: La puissance de l'économie informelle

Serge Mouangue- le Kimono Africian

Shubhendu Sharma: Comment faire pousser une forêt dans votre arrière-cour

Tasso Azevedo: leçons d'espoir de la bataille pour sauver les forêts tropicales

Achenyo Idachaba: Comment j'ai transformé une plante mortelle en un business prospère

Diebedo Francis Kéré: Comment construire avec de l'argile...et la communauté

Iqbal Quadir: Comment les téléphones mobiles peuvent lutter contre la pauvreté

Mary Robinson: Pourquoi le changement climatique est une menace pour les droits humains

Melati et Isabel Wijsen: Notre campagne pour l'interdiction des sacs en plastique à Bali

Michael Green: Comment nous pouvons faire du monde un meilleur endroit en 2030

Sanjay Pradhan: Comment ouvrir les données qui change de l'aide internationale

Severine Autesserre: Pour résoudre la violence de masse, chercher à la population locale

Siyanda Mohutsiwa: Comment les jeunes Africains ont trouvé une voix sur Twitter

William Kamkwamba explique comment construire une éolienne

Auteur Description/Sujet/Res Mots de Cle YearFAO Marchés / Commerce, Securite

FAO Gestion, Securi 2008

FAO Gestion, Securi 2010

FAO Gestion, Securi 2008

FAO Marchés / Comme 2010

FAO Gestion, Securi 2007

FAO Gestion, Agricu 2012FAO Securite Alimentaire/NutritiFAO Gestion, Agricu 2013FAO Communication, Securite AlimFAO Communication, 2012FAO Communication, 2007FAO Communication, 2008FAO Droit, Ressource Formateurs

FAO Droit, Environn 2008FAO Genre/Femmes, Agriculture, SFAO Genre/Femmes, G 2016FAO Gestion, Ressource Formateur

FAO Communication, 2012

FAO Marchés / Comme 2014

FAO Gestion, Devel 2014

FAO Gestion, Enviro 2015

FAO Communication, 2013FAO Pisciculture / Pêche / Poisso

FAO Pisciculture / 2015

FAO Pisciculture / 2015

FAO Pisciculture / 2015

Indicateurs de SAN les plus communs

Leçon 2 Sélectionner une méthode d’évaluation de référenceLeçon 3 Le suivi des changements de la sécurité alimentaire

Leçon 1 Qu’est-ce que la vulnérabilité ?Leçon 2 Evaluation de la vulnérabilitéLeçon 3 Indicateurs de vulnérabilité

Leçon 1 Évaluer la disponibilitéLeçon 2 Indicateurs de disponibilitéLeçon 1 Los mercados y la seguridad alimentariaLeçon 2 Evaluación de mercadosLeçon 3 Indicadores de mercadoLeçon 1 Introduction aux moyens d’existenceLeçon 2 Évaluation des moyens d’existenceLeçon 3 Indicateurs des moyens d’existenceLeçon 1 PDDAA et Sécurité alimentaireLeçon 2 Défis liés à la sécurité alimentaire en AfriqueLes options et les interventions possibles pour faire face aux changements climatiquesLeçon 3 Changement climatique et stratégies d'adaptation et d'atténuation dans l'agricultureLeçon 4 Agriculture intelligente face au climatLes techniques pour faciliter le travail collaboratif et le plaidoyerLección 3.3 Préparer des notes d'orientation politiqueLección 3.4 Rencontrer les décideurs politiquesLeçon 3 Rédiger des rapports efficacesLeçon 4 Formats des rapports sur la sécurité alimentaireLeçon 3 Rédiger des rapports efficacesLeçon 4 Formats des rapports sur la sécurité alimentaireAnalyser, faire le suivi et le plaidoyer pour le droit à une alimentation adéquateComment investir dans des activités et des mesures législatives pour mettre en œuvre le droit à une alimentation adéquate

Ce cours est développé dans un environnement interactif et individualisé grâce auquel les apprenants sont en mesure de mieux comprendre le concept de droit à une alimentation adéquate. À ces fins, le cours fait appel aux méthodes d'apprentissage électronique les plus récentes, comme des présentations de cas concrets, des études de cas représentatives, des simulations et des démonstrations, ainsi que des tests interactifs et des exercices pratiques. De nombreuses ressources sont aussi incluses.Comment intégrer les considérations de genre dans les programmes de sécurité alimentaire et les interventions politiquesLeçon 3.4 Le genre dans la mise en œuvre des programmesLeçon 3.5 Gestion des aspects du genre dans les organisations

Acquérez des connaissances sur:les façons de partager des connaissances à l'échelle d'une équipe, d'une organisation ou d'une communauté,comment créer et animer une communauté en ligneun large panel de médias sociaux et leur utilisation pour accroître les collaborations, créer et partager des ressources en ligneles approches pour développer une stratégie de d’information, dans une institutioncomment créer et gérer une bibliothèque numérique et une archive ouverteles techniques pour rédiger et publier un document scientifique ou technique Leçon 8.3 - Les bibliothèques numériques et le web 2.0

Leçon 5.5 - Propriété intellectuelle, licences et libre accès

Leçon 7 - Podcasting et radio en ligne

Leçon 8.2 - Documentation numérique

Leçon 6.2 - Communiquer sur sa publicationComment empêcher que les différends fonciers ne dégénèrent en conflits violents.

Leçon 1 La corruption dans les régimes fonciers applicables aux ressources naturellesLeçon 2 Lutter contre la corruptionLeçon 4 Alternatives pour une réforme politique et juridique

Leçon 3 Faire face aux problèmes fonciers en phase post-catastrophes

FAO Pisciculture / 2014FAO Securite Alimentaire/Nutriti

FAO Gestion, Securi 2008

FAO Gestion, Securi 2009

FAO Gestion, Securi 2010FAO Securite Alimentaire/NutritiFAO Gestion, Securi 2007

FAO Pisciculture / P 2015FAO Pisciculture / P 2015FAO L'élevage, Securite Alimenta

FAO Gestion, L'élev 2015FAO Pisciculture / Pêche / PoissFAO Gestion, Securi 2009FAO Gestion, Securi 2012

FAO Gestion, Securi 2014FAO Securite Alimentaire/Nutritio

FAO Ressource Form 2010FAO Agriculture, Ressource FormaFAO Agriculture, Re 2013FAO Securite Alimentaire/Nutriti

FAO Communication G 2011FAO Pour expliquer l'importasecurite alimentaire, agriculture, environnement

Age de l'effective du a RDC, Environnement, Developpement Durable Projet Equateur / WWF Pour expliquer l'importanCommunication, 2014Projet Equateur Sensibilisation sur la ge Developpement D 2014Projet Equateur Pour expliquer les Caus Agriculture, Én 2014

Une affiche qui parle d Changement Climatique Agriculture

A quoi sert le pallis? Agriculture, Pallis, Agriculture Durable, Pluie, Eau, Conservation de sChangement Climatique Changement Climatique

Projet Equateur Pour expliquer pourqui onAgriculture, Re 2014WHRC, Projet Equateur Equateur La Biomasse etEquateur La Bi 2016WHRC, Projet Equateur Equateur La deforestat Equateur La d 2016

Leçon 4 Mise en œuvre d’une gouvernance responsable des régimes fonciersLeçon 5 Procédures, mécanismes et cadres

Institutions impliquées dans la formulation et mise en œuvre des politiques sur la sécurité alimentaire.Leçon 2 Les concepts liés à la sécurité alimentaireLeçon 3 L’analyse de la sécurité alimentaire

Leçon 3 Suivi et évaluation des politiquesLeçon 4 Formulation et mise en oeuvre des politiques

Leçon 1 Systèmes d’information sur la sécurité alimentaireLeçon 2 Le contexte institutionnelLeçon 3 Améliorer les systèmes d’informationQuels méthodologies et indicateurs utiliser pour évaluer la situation nutritionnelleComment améliorer la disponibilité, la qualité et l’utilisation des données de composition des alimentsLeçon 2 Évaluation de l’état nutritionnelLeçon 3 Les indicateurs de l’état nutritionnelMalnutritionSécurité Alimentaire et Moyens d’existence Marie Streissel, FAO-ESNUne alimentation équilibrée du bétailLe rôle de la nutrition dans la production et la santé animalesAuto-évaluationDocumentation additionnelle

L’analyse de la résilience pour empêcher que les ménages ne tombent dans la pauvreté et dans la faimLeçon 4 Le ciblage dans les programmes de long termeLección 2.2 Processus clés d'exécution de programmesLección 2.3 Aspects transversauxLeçon 1 Qu’est-ce que la résilience ?Leçon 2 Analyse de la résilienceLeçon 3 Implications politiquesLe Codex Alimentarius, les normes alimentaires, les lignes directrices et les codes d’usages internationaux et harmonisésLeçon 4.1 L’analyse des risques dans le cadre du CodexLeçon 4.2 La fourniture d’avis scientifiques

CountrySTAT, un système d’informations statistiques en ligne sur l’alimentation et l’agriculture à l’échelle nationale et infranationaleLeçon 2.2 Harmoniser et valider les données : les sessions du GTTLeçon 2.3 Finaliser les données pour le site Web de CountrySTATLes indicateurs pour l’analyse de l’impact et le suivi et évaluation les plus communs

Leçon 3.1 Analyse et interprétation des données d'impactLeçon 3.2 Documentation et présentation des résultats

WHRC, Projet Equateur Equateur REDD EvaluatioEquateur REDD 2016Projet Equateur Pour expliquer comment uAgriculture, Re 2014Projet Equateur Pour expliquer les benefÉnergie, Enviro 2014LOUM Macoumba, THOMAS LUn dessin de l'impact d Changement Climatique WHRC, Projet Equateur La Foret Primaire et Se La Foret Prima 2016Foundation Nicolas Hulot Un dessin du changementChangement Climatique

Une affiche qui montre c une affiche qui expliqueChangement Climatique Une affiche qui explique

Projet Equateur Pour expliquer l'activi Pisciculture / 2014Une affiche qui explique

Projet Equateur Pour expliquer Les Con Pisciculture / 2014FAO Agriculture durable; ExpAgriculture, Ch 2016Projet Equateur Pour expliquer l'importaÉnergie, Enviro 2014Projet Equateur Pour expliquer l'importanÉnergie, Enviro 2014

Une affiche qui explique Projet Equateur Pour expliquer Les Con Pisciculture / 2014Projet Equateur Pour expliquer l'activi Pisciculture / 2014WHRC, Projet Equateur Mongala La biomasse etMongala La bi 2016WHRC, Projet Equateur Mongala La deforestati Mongala La de 2016WHRC, Projet Equateur Nord Ubangi La BiomasseNord Ubangi La 2016WHRC, Projet Equateur Nord Ubangi La defores Nord Ubangi L 2016Projet Equateur Pour expliquer les CauseAgriculture, Én 2014FAO La faim reste un des défi 2016

Une affiche qui parle d Changement Climatique FAO La FAO est engagée dans Environnement 2016

Une affiche qui parle deL'eau, Securite Alimentaire/NProjet Equateur Pour expliquer pourqoi oAgriculture, Re 2014Projet Equateur Developpement D 2014WHRC, Projet Equateur Sud Ubangi La Biomasse etSud Ubangi La B 2016WHRC, Projet Equateur Sud Ubangi La deforest Sud Ubangi La 2016WHRC, Projet Equateur Tshuapa La Biomasse et laTshuapa La Biom 2016WHRC, Projet Equateur Tshuapa La Deforestati Tshuapa La De 2016

FAO L’infographie fournit le Genre/Femmes, A 2013Agriculture

WHRC, Projet Equateur Wetland Rizier AdequatWetland Rizie 2016WWF Changement Clim 2016Jacques Beauchemin 209 leçons de base pour biFrancais, EcrireESC Lille Marketing 2007CTA Marchés / Comme 2012Commission européenne Marchés / Commerce 2005FAO Agriculture durable; ExplAgriculture, L'e 2016

que nous avons très peu de temps pour agir.Nous avons l’Accord de Paris pour nous guider vers la voie à suivre. Le temps est à présent à sa mise en oeuvre et à l’action !

En étudiant en profondeur ces nouveaux concepts, uti- lisés par de nombreux « pure-players » du commerce en ligne, ce guide pratique doit permettre la diffusion dans le tissu de PME de ces modes opératoires, pour déclencher au minimum la réflexion, voire le passage à l’acte, en choisissant la pratique marketing appropriée au dévelop- pement de l’entreprise.’Afrique subsaharienne est confrontée à d’importants dé s socio-économiques, l’un des plus sérieux étant la pénurie de travail dans les zones rurales. Chaque année, dix millions de jeunes supplémentaires se retrouvent sur le marché du travail – ils seront bientôt vingt millions – alors que des dizaines de millions d’Africains vivant en milieu rural n’ont déjà pas de travail, ou pas suf samment pour pouvoir se sortir eux-mêmes de la pauvreté.Lors du Brie ng sur le Développement à Bruxelles intitulé Principaux facteurs de la transformation rurale en Afrique : création d’emplois et croissance rurale1, des experts ont proposé une série de mesures pour améliorer la situation de d’emploi. Les gouvernements devraient mettre en œuvre des politiques pour stimuler la croissance des secteurs ruraux, agricoles et non agricoles. Ils devraient augmenter les investissements dans l’ éducation et la formation professionnelle dans les zones rurales, en particulier pour les jeunes. Ils devraient également veiller à ce que les femmes, qui représentent une force de travail importante dans les zones rurales, béné cient des mêmes avantages et du même soutien que les hommes. En n, les petits ex- ploitants agricoles devraient être encouragés à travailler ensemble pour améliorer leur productivité et leur accès aux marchés.les meilleures chances de réussite. Les possibilités qu’offre la législation communautaire européenne y sont présentées d’une manière concrète. Il propose également des solutions simples et efficaces qui peuvent être utilisées dans le cadre des procédures de passation des marchés publics. Pour des raisons pratiques, le manuel suit la logique et la structure de la procédure de passation des marchés. Il fournit en outre de nombreux exemples pratiques d’achats écologiques effectués par des pouvoirs publics dans toute l’UE (1).

Bruno Locatelli L‘agriculture et la forê Agriculture, Fo 2015

CTA Agriculture, E 2013CORAF Agroforesterie Agroforesterie Henri Lombardi, Claude Quit Mathématiques Daniel Guin, Thomas Hausbe Mathématiques Daniel Guin Mathématiques 2013FAO Finance / Chain 2014FAO Guide technique No. 2 deGouvernance, For 2015CTA Agriculture, Secu 2012Banque Mondial Cette note d'orientationSecurite Alimenta 2015

FAO L’objectif de ce module 2010FAO L'aménagement des forêtsForêt 1989Banque Africaine de Dével Genre/Femmes, A 2010Christian Biales 2013ASAP Editions Anglais simple pour le v Anglais

RDC 2010Mathieu Nebra HTML / CSS 2012CDB L'approche écosystémiqueGestion, Environ 2004

Macqueen, D. (éd.), Baral, S.,Le but de cette boîte à o 2012FAO Chaque secteur de l’induL'élevage, Envi 2016 Sandrine Heusser, Henri-GaLes ouvrages de la série Biologie 2008Jean-Claude Roland, Françoi BiologieTony Hart, Paul Shears BiologieMinistère de l’Environneme Marchés / Comm 2014

Erika Styger Agriculture, L'eau Centre d’études et de formati Le plan de cours est le do Ressource Form 2010Jean-Claude Callen , Roland Biologie 2004Jean-Claude Callen Biologie, Énergi 2009Jean-Claude Laberche Biologie 1999David Brown, Kate SchreckenbeLe bois légal étudie un Gestion, Gouve 2009Nicolas Lesaffre Professionalisme

MECNDD RDC RDC, REDD

FAO Ce document, Cadre globaGouvernance 2016Forest Carbon Partnership Le Fonds carbone vise à REDD 2013FAO Le Cadre facilite la des Communication, 2011

tation au changement climatique et l’atténuation de celui-ci, sur de grandes super cies, et améliorant la vie de millions de personnes.Avec des exemples du monde développé comme du monde en développement, les initiatives comprennent des interventions agricoles novatrices (chapitre 1 de cette brochure), des initiatives visant à faire face aux risques liés au climat (chapitre 2) et des politiques et des institutions propices à l’adaptation au changement cli- matique et à son atténuation (chapitre 3). Dans certains cas, en particulier au niveau des politiques, le soutien à l’agriculture intelligente face au climat est un avantage secondaire plutôt que l’objectif central de l’initiative. Dans d’autres, c’est la cible principale. Mais au nal, tous les cas poursuivent le triple objectif d’am éliorer la résilience au changement climatique, de renforcer la sécurité alimentaire et la subsistance et de réduire l’empreinte de l’agriculture sur le climat.Ces seize initiatives montrent le potentiel de l’agricul- ture en termes d’adaptation au changement climatique, de résilience et de protection des agriculteurs face à l’évolution future des modèles climatiques, des rava- geurs et des maladies, et de ralentissement du rythme du changement climatique. À présent, le dé consiste à promouvoir une large adoption d’interventions agri- coles intelligentes face au climat dans le monde. Une publication récente1 du Programme de recherche du CGIAR sur le changement climatique, l’agriculture et la sécurité alimentaire montre comment cette adoption large peut être obtenue, en tirant les leçons des seize initiatives présentées dans ce volume.

L'ouvrage s'adresse en priorité aux étudiants et enseignants en M1 et M2. Il intéressera également les informaticiens théoriciens et les spécialistes en calcul formel. Enfin, les agrégatifs curieux y trouveront un nombre considérable d'idées nouvelles pour leurs leçons d'oral.

Il traite de la théorie des groupes, de la théorie des corps et d'un de leurs points communs essentiels, la théorie de Galois des extensions finies. Chacune de ces théories est présentée en détails, depuis les définitions de base jusqu'à des résultats très élaborés. On y présente de nombreuses applications comme, par exemple, les problèmes de constructions à la règle et au compas (quadrature du cercle, trisection de l'angle, duplication du cube, polygones réguliers, ainsi que la résolution par radicaux des équations polynomiales. Les chapitres sont, pour la plupart, suivis de thèmes de réflexion (TR) et de travaux pratiques de «mathématiques assistées par ordinateurs» (TP). Ces TR et TP permettent d'étudier en profondeur des notions qui illustrent ou complètent le cours.Chaque notion est développée depuis les définitions de base jusqu'à des résultats très avancés, avec toutes les démonstrations. Les chapitres sont suivis de thèmes de réflexion (TR) qui permettent d'étudier en profondeur des notions qui illustrent ou complètent le cours.À n’en pas douter, de nombreuses opportunités et de nombreux défis nous attendent, notamment l’agenda post-2015, le XIVe Congrès forestier mondial de 2015 et la mise en œuvre du nouveau cadre stratégique de la FAO. Sur la base de la vaste expérience mise en évidence dans cette publication, nous sommes convaincus que nous serons en mesure d’y répondre de façon optimale, en partenariat avec les gouvernements, les institutions scientifiques, la société civile et le secteur privé.J’espère que la lecture de cette publication sera inspirante.

gnements des expériences menées dans lespays qui sont parvenus à réduire la faim et améliorer la nutrition ; encourager la collaboration entre les administrations dé nissant les politiques agricoles, de santé et de nutrition...

Les résultats obtenus montrent l’ampleur du phénomène de la pauvreté dans ce pays. Ainsi le taux de pauvreté au niveau national avoisine 70% de l’ensemble des ménages. La répartition spatiale de ce phénomène montre que le milieu rural enregistre un taux de pauvreté de 72% contre 59% pour le milieu urbain. Tandis que la répartition par provinces montre une disparité entre elles, avec des taux qui avoisinent les 90% pour les provinces de Bandundu et de l’Equateur contre un taux de 50% pour d’autres provinces à l’instar du Kasaï et la capitale Kinshasa.La mesure de la pauvreté par rapport aux caractéristiques démographiques et socio-professionnelles du chef du ménage montre que ce phénomène est accentué particulièrement parmi les ménages de larges tailles. Quant au facteur du genre, les résultats attestent que les ménages conduits par les femmes sont affectés par ce phénomène au même titre que ceux conduits par des hommes. Il ressort que la pauvreté est minimisée par le niveau d’instruction du chef de ménage ainsi que par sa catégorie socio-économique. L’analyse de la pauvreté par rapport aux niveaux d’instructions du chef de ménage confirme l’importance de l’éducation dans l’atténuation de ce phénomène. D’autre part la pauvreté affecte l’ensemble des catégories socio-économique des ménages, en particulier les travailleurs ordinaires, les cadres de direction et les travailleurs à leurs propres comptes.

Cellule TechniquePour les Statistiques de l’Education (CTSE)

A chaque étape, d’importantes ressources humaines, matérielles et financières ont été mobilisées. C’est ici l’occasion de féliciter toutes les personnes qui ont contribué à l’élaboration de ce précieux outil.Je pense plus particulièrement aux cadres de la Cellule Technique pour les Statistique de l’Education (CTSE), ainsi qu’aux agents et cadres des divisions provinciales et des sous-divisions.Le présent annuaire a été publié grâce à l’appui financier de la BAD et à l’appui technique de l’UNESCO. Je tiens à remercier ces deux partenaires pour leur contribution au redressement du secteur de l’éducation, l’un des cinq chantiers du gouvernement.Mont souhait le plus ardent est de voir les ministères en charge de l’éducation pérenniser le système d’information mis en place grâce au projet PASE afin que la collecte et les données deviennent des activités de routine administrative et qu’elles se fassent régulièrement par un financement interne.Mémento des balises HTMLMémento des propriétés CSS

Les caractéristiques structurales, ultrastructurales et biologiques de ces groupes sont dégagées à partir des exemples les plus représentatifs. Un chapitre est consacré aux Préphanérogames, faisant le lien avec le tome 2 consacré aux plantes à fleurs.Cet atlas concis et exhaustif, paraît ainsi particulièrement attrayant par : – son format , – ses 500 illustrations , dont 400 en couleurs, – la richesse et la clarté des tableaux exposant de façon synthé tique l’ essentiel de ce qu’il faut savoir sur un germe et les affections dont il est responsable , – l’exposé des méthodes modernes de diagnostic et de toutes les colorations utilisées, qui font de ce livre un outil pré cieux et efficace pour la préparation et la révision des examens. Cet ouvrage s’ adresse principalement aux étudiants en médecine et en biologie , mais il intéressera également les médecins et les biologistes soucieux d’actualiser leurs connaissances en microbiologie moderne.Plutôt que d’être considéré comme une n en soi, le présent Atlas suggère donc que le travail commence véritablement maintenant dans le secteur de l’énergie en RDC. Une réelle révolu on est déclenchée avec la promulga on de la loi sur l’électricité qui ouvre le secteur aux inves ssements des secteurs tant public que privé. L’Atlas renforce ce e mesure incita ve importante en di usant les mul ples possibilités que renferme la RDC. La prochaine étape consiste à faire de cet ou l une vitrine d’a rait des inves ssements dans le secteur de l’énergie en RDC, une plateforme de la ges on de connaissances et un cadre de suivi de la mise en œuvre de l’agenda d’ac on pays de l’accès pour tous à une énergie durable.Ceci nécessitera un travail en profondeur de renforcement des capacités dans plusieurs domaines, la mobilisa on des ressources nancières conséquentes et la mise en place de partenariats stratégiques solides ouverts à tous.On prévoit que d'ici 2050 la production agricole devra augmenter de 70 % afin de nourrir une population humaine de 9 milliards d'individus. À cette date, 47 % de la population mondiale connaîtra de sérieux problèmes d'approvisionnement en eau, selon les prévisions de l'OCDE (OCDE, 2012). La compétition pour le captage de l'eau agricole va s’intensifier avec l'urbanisation et l'industrialisation. Des phénomènes météorologiques de plus en plus extrêmes, dus au changement climatique, vont aggraver l'incidence des sécheresses et des crues. La sécurité alimentaire dépendra d'une augmentation de la production agricole et d'une réduction de la consommation d'eau. Comment obtenir une meilleure récolte avec chaque goutte d'eau ?Ce défi intéresse plus spécialement la riziculture, très exigeante en eau, et fournissant la denrée de première nécessité de plus de la moitié de la population mondiale. La culture du riz représente entre un quart et un tiers de la consommation mondiale d'eau douce (Bouman et al., 2007). Avec la pratique actuelle de l’inondation continuelle des rizi ères, la riziculture reçoit deux à trois fois plus d'eau que les autres céréales irriguées, même si le riz présente un taux de transpiration (l'eau interne utilisée par la plante pour la croissance et la production) égal à celui du blé et d'autres céréales (Tuong et al., 2005, cité par Bouman et al., 2007).Le développement de méthodologies améliorant l’efficience de l'usage de l'eau, ou sa productivité, dans la production du riz permettrait de réaliser des économies d'eau, laquelle pourrait être redirigée vers d'autres usages. La productivité de l'eau se définit ainsi : quantité de production agricole (rendement en grain) par quantité d'eau utilisée, mesurée en kg/m3 (= kilo de riz produit par mètre cube d'eau, ou 1 000 litres).

www.dunod.com, aident l'étudiant à s'auto-évaluer.de connaissances sur lesquelles s’appuyer, et sans lesquelles il n’est hélas pas possiblede progresser.du tertiaire (il y a 65 millions d’années) que les plantes à fleurs sont apparues.Quelle passionnante gageure que celle de comprendre comment cela a pu se faire !

reviendrons nplus tard. Donc, que pouvez-vous faire pour que votre C.V vousdistingue des autres candidats.Deux consultants, Monsieur Willy Loyombo (OSAPY) et Don de Dieu Katshunga (CODELT), ont été recrutés par la Coordination Nationale REDD pour conduire les enquêtes et les études ayant permis de produire ces Directives nationales pour le Consentement Libre, Informé et Préalable dans le cadre de la REDD+ en République Démocratique du Congo.Les consultants se sont attelés à un travail onéreux de revue de plusieurs instruments internationaux et rd-congolais en rapport avec le consentement ou insinuant le consentement; ils ont passé en revue toute l’évolution actuelle de la jurisprudence internationale sur le CLIP. Ils ont triangulé un nombre important de guides du CLIP, non pas de façon exhaustive, mais en tenant compte des guides pertinents produits par des organisations ou organismes de renom, notamment FPP, WWF, Conservation International, FAO, ONU-REDD, la Soci été pour les Peuples Menacés et le guide du CLIP de la République du Cameroun, etc.Loin d’être longues et évasives, les présentes Directives nationales de mise en œuvre du CLIP dans le cadre de la REDD+ en RDC tirent des leçons des autres pays et des autres guides existants. Elles permettent aux parties impliquées dans les projets/initiatives/programmes REDD+ d’en tirer des dividendes et de respecter les droits humains et la protection de l’environnement.

African Union Marchés / Commerc 2013Forê,t Déforestation

CARI asbl Informations sur les abe UNICEF, Practica et Entrepr UNICEF, Practica et EntrDeveloppement D 2009

Banque Mondial,Bashir, SajiCe rapport intitulé ChanMarchés / Commer 2009Christelle ZENG Marchés / Commerc 2009

FAO sustainable forest managGestion, Forêt 2016Alain Cardon Ressource Formateurs LudoSLN Formation Philippe Soyer Comment écrire un article Recherche/Traveaux ScientifiqueRépertoire International de Li ProfessionalismeCTA Marchés / Commer 2008

Comment étudier mieux Recherche/Traveaux Scientifique

Norman UPHOFF Agriculture CTA Marchés / Commerc 2013CTA Agriculture 2008Ann Cavoukian, Ph.D. Yuri L. de Meneses Recherche/Traveaux Scientifique

Recherche/Trave 2003Collège François-Xavier-Garne Les étapes de la recherche Recherche/Trave 2009College Lionel-Groulx 2014

ONU-REDD SNA / Programme mondial GIS, REDD 2016Lionel Di Maggio Communication - StructuRecherche/Traveaux Scientifique, Communication, Presentation

Frits Hesselink, Wendy GoldÀ sa sixième réunion, la Communication 2007

Organisation des Nations UniCette Compilation d’outiGestion, Agricult 2012Nicolas Ferraton, Isabelle T Marchés / Commerc 2009

Environnement Organisation internationale de Ressource Formateurs Van Reybrouck Une histoire du Congo RDC 2010FAO Le présent manuel montre 1998

Renforcer la contribution de l’élevage dans les économies nationales, régionales et à l’échelle du continent.L’Objectif No. 1 comporte la nécessité de reconnaître les droits, les contributions actuelles au développement et le potentiel des contributions économiques futures des eleveurs nomades, avec les processus nécessaires visant d’élaborer des politiques pastorales et d’intégrer pleinement le pastoralisme dans les programmes et les plans de développement nationaux et régionaux.L’Objectif No. 2 se concentre sur les principaux atouts, à savoir les zones pastorales et le bétail. Il met l’accent sur la nécessité d’améliorer la gouvernance des parcours de bétail et l’accès sécurisé à ces parcours pour les éleveurs. L’implication des institutions pastorales traditionnelles est considérée comme essentiel à ce processus. Les stratégies sous l’Objectif No. 2 comprennent également la protection et le développement de l’élevage nomadique, la gestion de la sécheresse basée sur le risque, et l’appui à la commercialisation du bétail et des produits de l’élevage sur les marchés nationaux, régionaux et internationaux.

baisse des impôts et la suppression de la multitude d’impôts en un seul unique et bas qui servirait aux besoins de la Défense Nationale, ainsi que la mise en place d’une justice apte à juger les atteintes aux intérêts des particuliers. Le tableau économique de Quesnay, qui regroupe la population en plusieurs agrégats, montre une vision synoptique de l’économie française à son époque. Il établit des flux réels ou monétaires entre les différents agrégats, ce qui n’est pas sans rappeler le circuit de la comptabilité nationale.

et s’affiche comme un signe de recherche et de questionnement,de réflexion personnelle et de professionnalisme.

Le contenuUn bon résumé doit communiquer au lecteur tous les aspects importants du travail de recherche en question, tout en éliminant les détails secondaires, par souci de clarté. Evitez une description trop longue du contexte intellectuel de l’article; il est plus important de traiter la question de recherche à proprement parler. Lorsqu’il s’agit d’une biographie, seuls les éléments nouveaux doivent se trouver dans le résumé, et non pas des faits biographiques déjà connus.• La gelée royale, produite par les jeunes abeilles à partir de sécrétions glandulaires pour nourrir la reine, a des propriétés médicinales. La cire est employée dans la fabrication des produits de beauté, des bougies et des produits lustrants. • L’élevage des abeilles nécessite peu d’investissement de départ et occupe très peu d’espace.• Le miel contient environ 80 % de sucre facilement assimilé par le corps, ce qui en fait un aliment approprié pour les enfants, les malades et ceux qui effectuent des travaux manuels fatigants.

L’UTILISATION DE NOUVEAUX INTRANTS – COMME LES NOUVELLES SEMENCES OU LES FERTILISANTS CHIMIQUES – N’EST PAS NECESSAIRE POUR OBTENIR UN HAUT RENDEMENT.Ce rendement peut être spectaculaire, le riz planté avec la méthode SRI ayant une structure différente. Il a beaucoup plus de talles et beaucoup plus de racines longues pouvant absorber les minéraux du sol. Il a aussi la plupart du temps beaucoup plus de grains.Il a été toujours possible d’obtenir une telle structure et une telle productivité plus grande. Mais cela n’a pas été mis en évidence par la pratique d’une meilleure façon culturale.Le marché local et régional de mangues est également très affecté par cette problématique ; en période de soudure, les mangues constituent un apport nutritionnel fondamental pour les populations rurales.Le maïs est l’aliment de base le plus important en Afrique orientale. Cependant, les rendements de cette culture sur de petites exploitations restent souvent tr ès faibles et représentent seulement un quart de ce qui pourrait être produit. Au cours d’une bonne année culturale, une parcelle qui normalement produit 10 sacs pourrait donner 50 sacs ou plus avec des variétés améliorées et une bonne gestion, les quantités recommandées d’engrais et une lutte efficace contre les maladies et les ravageurs.Selon les paysans, les trois principales contraintes qui limitent leurs rendements en maïs sont la faible fertilité du sol, les foreurs de tige et enfin, tout particulièrement, le striga (également appelé herbe des sorcières). Plusieurs technologies simples et efficaces ont été mises au point pour aider à surmonter ces problèmes. Ce dépliant explique comment vous pouvez lutter à la fois contre le striga et les foreurs de tige, sans recourir à des produits chimiques onéreux.Lorsque vous vous inscrivez à Facebook, les paramètres par défaut permettent à tous les autres utilisateurs de Facebook de vous localiser lorsqu’ils font une recherche. Cependant, seuls ceux que vous avez ajoutés comme amis ou qui partagent un réseau avec vous pourront accéder à votre pro l complet. Implicitement, votre nom et votre photo de pro l peuvent également être retracés au moyen de moteurs de recherche publics. Facebook a choisi ces paramètres en se fondant sur les souhaits présumés de la plupart des utilisateurs, mais vous avez la liberté de les modi er si vous le désirez pour limiter l’accès aux renseignements qui vous concernent. Vous pouvez donc modi er les paramètres par défaut pour restreindre l’accès à votre pro l. Selon les paramètres par défaut, seuls vos amis, leurs amis et les personnes faisant partie de vos réseaux peuvent voir votre pro l. Si vous téléchargez dans votre pro l des applications tierces fondées sur la plate-forme Facebook, certains renseignements pourraient être partagés (voir la section Applications ci-dessous). Il est important de parcourir ces paramètres par défaut a n de choisir les paramètres de con dentialité qui vous conviennent. La présente che a été modi ée pour tenir compte de la nouvelle présentation mise en œuvre graduellement pendant l’été et l’automne 2008. Tous les utilisateurs sont passés à la nouvelle interface en octobre 2008.Il est facile de modi er les paramètres par défaut. Une fois connecté, cliquez sur Paramètres en haut de l’écran vers la droite (juste à gauche de la case Recherche), puis sélectionnez Con dentialité dans le menu déroulant, ou encore allez à http:\\Facebook.com\privacy. Le menu Con dentialité comporte quatre catégories dans lesquelles vous pouvez déterminer le degré de con dentialité que vous désirez. Vous pouvez cliquer sur chaque titre pour aller à la page concernée et modi er les paramètres. Les paramètres de con dentialité peuvent être modi és a n d’exclure ou d’inclure des listes d’amis ou amis précis. N’oubliez pas de cliquer sur Enregistrer les modi cations avant de quitter la page. (Remarque : Si vous changez de réseau régional, véri ez vos paramètres de con dentialité car les paramètres par défaut seront alors rétablis, et tous les membres de ce réseau pourront voir votre pro l. Vous pouvez alors modi er vos paramètres au besoin. Il est sage de les véri er chaque fois que vous ajoutez quelque chose ou que vous modi ez votre pro l.)que des textes, f^ussent-ils soigneusement r edig es.

Colette Kleemann-Rochas, Graziella Farina, Mercedes Fernandez, Mireille Michel

page est déjà établie et les rubriques sont prêtes à être remplies), des modulesd’entraînement (avec corrigés) comprenant des exercices d'application, des mises aupoint de grammaire, de vocabulaire et de stylistique. Des explications plus approfondiessont disponibles sous la rubrique « Pour en savoir plus ». Le manuel offre aussi unepossibilité plus rare, celle de corrections en ligne.

Ensuite, parce que l’agriculture familiale concentre la majorité des pauvres de la planète. Un milliard d’entre eux ne disposent que d’un outillage manuel pour produire, et plus de 700 millions d’agriculteurs sont sous-nutris. Il est maintenant admis que le d ésengagement des États prôné dans les années 1990 a largement contribué à cet appau- vrissement croissant des campagnes. Dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le Développement, les mesures de soutien aux poli- tiques de lutte contre la pauvreté menées depuis 2000 dans de nom- breux pays ont amené les États et leurs partenaires à se pencher à nouveau sur l’agriculture familiale. Mais c’est en tant que pauvres, et non en tant qu’acteurs de la sphère productive, que les agriculteurs ont longtemps été considérés. D’autant plus que pour beaucoup de respon- sables politiques, seules les exploitations à haut niveau capitalistique, basées sur le salariat, sont susceptibles d’impulser le développement agricole d’un pays.Pourtant, l’agriculture familiale rend de nombreux services à la société : production alimentaire, création d’emplois en milieu rural, équilibre des territoires. Dans des contextes d’échanges et de production de plus en plus défavorables – témoin les crises alimentaires que traversent de nombreux pays –, elle démontre sa flexibilité et ses capacités d’adap- tation ; sa part dans les échanges marchands et dans l’approvisionne- ment des marchés nationaux augmente. Ce constat, initialement porté par les organisations professionnelles agricoles, est désormais repris par des bailleurs de fonds tels que la Banque mondiale et par les gouvernements qui, à nouveau, voient dans le secteur agricole familial un des principaux leviers de développement économique et social des pays les plus pauvres.ou Environnementaux (PSE) sont des mécanismesde nancement de la biodiversité au cœur de l’actualité.A travers l’analyse qui suit, Aurélien Guingand, économiste à la Mission Economie de la Biodiversité, s’attache à en clari er les principaux enjeux et opportunités.ces guides sont aussi la preuve que l’expertise francophone en matière de formationprofessionnelle et technique est riche et efficace.

CTA Marchés / Commer 2008RDC Asemblee National Nouveau constitution de RDC 2006Guy Le Boterf L'exigence de profession 2010FAO Aménagement forestier;Gouvernance 2016

Claude Akalakou, Apollinair L'afforestation et la ref Agriculture, RD 2014Philippe Raimbourg Le Lexifac Contrôle de gGestion 2007

Charles Horngren, Alnoor BhLe cahier des corrigés d Gestion 2009Jean-Claude Laberche Après un bref rappel chrBiologie, Securite AlimentaireRoger, Raoul Recherche/Traveaux Scientifique

Bart Panis Agriculture 2009DFID Ce guide a été conçu nonMarchés / Comm 2007CTA Securite Alimenta 2011

MECNDD RDC Gouvernance , R 2014Planification

Donald Long Definir une problematiqRecherche/Traveaux Scientif

Marchés / Comme 2015GoodPlanet Biologie, Environnement Herbel, D., Crowley, E., Our La présente publication Securite Alimen 2012GoodPlanet Biologie, Environnement GoodPlanet Biologie, Environnement FAO sustainable forest mana 2016

CTA Finance / Chain 2012Cécile GANDON, Roseline LE Pourquoi utiliser un sylla Ressource Formateurs Encyclopedia universalis Préface. Le monde scientMathématiques, 1997

FAO Ces directives se veulenDroit, Forêt 2002

FAO Les effets du changementGestion, Forêt, 2013CTA L'élevage Agricultu 2015

ONU-REDD REDD + ressources, docuREDD 2015

UNDP REDD + ressources, docuREDD 2013

ONU-REDD REDD + ressources, docuREDD 2013ONU-REDD REDD + ressources, documREDD 2013FAO Le présent dossier a pouEnvironnement 2007

populaires chez les consommateurs sur quelquesmarchés africains, européens et asiatiques, ou ils sont vendus en guise de délicieux amuse- gueule, une fois emballés dans de petits sacs en polythène ? Il existe également un marché pour écouler de grandes quantités de ces fruits secs.

Ce travail qui est essentiel en raison de ses enjeux scientifiques, sociaux, économiques, politiques et prospectifs demande que l‟on en étudie les fondamentaux et la méthode. En effet, le travail de recherche est une clef aux mains de l‟homme qui non seulement ouvre les portes du changement, de la prospective et de l‟innovation, mais également aide à optimiser ses outils et technique de production et à améliorer ses conditions de vie.Cette formation est l‟occasion de visiter et étudier la méthode de réflexion et de présentation d‟un travaille de recherche.

L’objectif de cette publication est de donner des informations et des conseils sur les méthodologies de cryoconservation appropriées au matériel génétique de Musa. Nous espérons que ces descriptions détaillées faciliteront leur adoption et la standardisation des méthodes dans les différents laboratoires.La disponibilité et le type de matériel de départ, les génotypes à cryoconserver et la disponibilité des ressources devront être pris en compte pour déterminer les méthodes les mieux adaptées pour leur utilisation dans d’autres laboratoires.

Les experts réunis lors du Brie ng de Bruxelles sur le développement consacré à la géopolitique de l’alimentation 1 ont convenu qu’il n’existait pas de solution miracle à la crise alimentaire mondiale. La communauté internationale,les gouvernements nationaux et le secteur privé ont un rôle important à jouer. Cette note décrit certaines des mesures envisageables pour améliorer la sécurité alimentaire dans les pays ACP, notamment : l’augmentation des investissements dans l’agriculture et le développement rural ; la promotion de formes intensives d’agriculture verte ; le renforcement des capacités des petits producteurs et de leurs organisations ; et l’amélioration de la gouvernance alimentaire. Une action immédiate s’avère nécessaire pour répondre ef cacement à la crise actuelle et jeter les bases d’une sécurité alimentaire à long terme.

niveaux (niveau régional, national par exemple). La participation depersonnes ressources (services techniques notamment) peut ly aider.�

Bérenger Tchatchou Denis J. Sonwa Suspense IfoAnne Marie Tiani

Au plan institutionnel, chaque pays de la région dispose d’un ministère en charge des questions de protection de la forêt et de l’environnement. Cependant, les stratégies de développementn’y sont pas toujours en cohérence avec les préoccupations de préservation de la forêt.Il est donc à redouter, qu’en l’absence de décisions et d’actions vigoureuses, la déforestation va augmenter substantiellement dans les pays considérés du fait des vastes programmes qui y sont mis en place en vue de leur émergence. Le Cameroun, pays pour lequel les données sont disponibles, pourrait ainsi perdre plus de 2,018 millions d’hectares de forêts à l’horizon de 2035.des autres parties pour en empêcher l’exploitation illégale.Les espèces de caméléons sont également inscrites à l’annexe B de la Convention européenne sur la protection des animaux vertébrés utilisés à des fins expérimentales ou à d'autres fins scientifiques. L’espèce Furcifer pardalis fait l’objet d’une suspension d’importation dans l’Union Européenne de tous les spécimens prélevés dans la nature depuis 1997, et d’une suspension d’importation de tous les spécimens issus d’élevage de Madagascar depuis 2003. La population du caméléon panthère semble en expansion mais cette espèce reste soumise à des pressions variées (braconnage, pollution, incendies). Depuis la suspension d’importation de caméléons de Madagascar, d’autres pays comme la Tanzanie sont apparus comme fournisseurs de caméléons pour le commerce des animaux de compagnie.

Les algues symbiotiques consomment du CO2 au cours de la photosynthèse ; ceci déplace l’équilibre chimique des carbonates dans le sens de la précipitationde carbonate de calcium (CaCO3) qui constitue le corail (polypier). L’accumulation de ce squelette calcaire forme ainsi une bioconstruction carbonat ée. D’autres organismes constructeurs comme des algues ou des éponges calcaires participent également à la formation de l’édifice. Les récifs sont donc des formations calcaires qui résultent de l’activité d’organismes fixés.2. Extrapolation à l’ensemble des insectes : Si les coléoptères représentent 40 % des insectes, on peut considérer qu’ils constituent probablement40 % des espèces d’insectes du tilleul considéré. Pour 160 coléoptères dénombrés, il faut donc comptabiliser 400 espèces d’insectes spécifiques du feuillage de ces tilleuls.

de concevoir des stratégies destinées à atti-rer les jeunes vers l’agriculture.

La contribution centrale de cet excellent ouvrage est de proposer des pistes pour penser les deux entités constitutives de l’agriculture familiale, la famille et l’exploitation agricole

CCSTI Informations sur les abei

FAO La présente publication Gestion, Forêt, 2011CTA En Afrique orientale, la Agriculture 2008

Atelier international Pesmix Environnement, 2014

Dominique Strasberg Depuis son émersion, il Forêt 1994

Banque Mondial Le Bassin du Congo repréAgriculture, Éne 2013

Patrice FRANCOUR Michel Leys Ecrire pour etre lu Recherche/Traveaux ScientifiqueMarc Demeuse Humanities and Social Sci curriculum, for 2013CSE Ressource Form 2013

CTA Communication, 2014

CTA Communication, 2014Carla Cariboni Killander Recherche/Traveaux Scientifique, LireIrénée Modeste Bidima L'élevage 2014E. Lionelle Ngo-Samnick L'élevage, Agricult 2012CTA Dans toute l’Afrique ori Genre/Femmes, L' 2008

FAO Pisciculture / P 2014

Banque Mondial L’atelier régional sur l Finance / Chain d 2004WWF Marchés / Commerce 2013e Wasseige C., Flynn J., Loup Énergie, Environ 2014Katja Ingman Communication, An 2009FAO Ce Guide du praticien a 2016FAO Environnement, 2010FAO Environnement, 2010

FAO Gestion, Agricultur 2015

FAO Gestion, Agricultur 2015

CTA 2014

Banque Mondial La présente étude se conFinance / Chain 2010

Plus encore, les questionnements liés à la mise en œuvre des PSE que l’ensemble des disciplines présentes à cet atelier semblent partager (échelle d’action, mobilisation d’acteurs, nature du paiement, équité ) en réveillent d’autres, plus profonds, portant sur la définition et la philosophie même des PSE à travers notamment son homogénéité, sa nouveauté, la nature de cet outil économique ou encore sa finalité/motivation.Afin d’apporter des éléments de réponses à ces questionnements et construire les prémisses d’un regard profondément multidisciplinaire sur les PSE, un atelier international intitulé « Comment articuler les Paiements pour Services Environnementaux aux autres instruments politiques et économiques, dans les pays du Sud et du Nord, a été organisé par le Cirad et la Mission Économie de la Biodiversité de la Caisse des Dépôts dans le cadre du projet de recherche PESMIX, les 11, 12 et 13 juin 2014 à Montpellier. L’atelier a également reçu le soutien de la Région Languedoc-Roussillon, du projet INVALUABLE, de Novethic, du Gret, du projet ANR SERENA, du projet POLICYMIX, du réseau thématique pluridisciplinaire BIODISCEE de l’INEE CNRS et de la Société Française pour le Droit de l’Environnement.Rassemblant plus de 100 participants (économistes, juristes, écologues, philosophes, politologues, décideurs publics, entreprises et ONG) venus du Nord comme du Sud, cette conférence a dressé un état des lieux des réflexions conceptuelles sur les PSE, des principaux retours d’expériences de mise en œuvre de l’instrument et des perspectives de développement à venir. Le présent document constitue une synthèse des connaissances partagées, des interrogations et des pistes de recherche ouvertes à cette occasion.

sur le web) les syllabus (ou parties des syllabus) des coursqu’elles dispensent.Cette publication répond au besoin croissant que rencontrent les organisations de penser et de plani er de façon stratégique la gestion et l’utilisation ef caces de leurs informations et de leurs connaissances. La série d’évaluations menée par le CTA dans les régions ACP a n de déterminer les besoins et les capacités des différents acteurs du secteur de l’agriculture et du développement rural a permis d’identi er comme lacune majeure l’absence de stratégie en gestion de l’information et de la connaissance. D’autres lacunes ont été observées, liées notamment à un manque de partage et à une insuffisance d’approches de diffusion de l’information dans les institutions, ce qui a empêché les organisations de tirer les enseignements des pratiques précédentes et de plani er, suivre et évaluer leurs activités. Ces études ont couvert plusieurs centaines d’institutions du développement agricole et rural (DAR). Les consultations ont été menées auprès de décideurs et de plani cateurs de haut niveau dans un large échantillon d’institutions. La nécessité d’aider ces organisations à élaborer et à mettre en œuvre une stratégie de gestion de l’information et de la communication gure maintenant en tête des priorités du CTA, ce qui correspond à son nouveau plan stratégique, ou l’intégration de la gestion de la connaissance (GC) à la gestion de l’information et de la communication (GIC) gure au premier plan.Après avoir étudié de façon approfondie les réalisations dans ce domaine, le CTA s’est lancé dans l’élaboration de deux publications, le Guide du facilitateur et le Manuel de l’utilisateur, en collaboration avec des spécialistes de la gestion de l’information et de la communication d’une part et de la gestion de la connaissance d’autre part. Pour ce faire, il a fallu r édiger et établir la validation de la méthodologie régionale et organiser des ateliers de formation de formateurs dans les Caraïbes, le Paci que ainsi qu’en Afrique australe, de l’Ouest et de l’Est. Les manuels sont le résultat d’un processus réellement collaboratif et consultatif visant à répondre à un besoin clairement identi é.Ils re ètent également l’importance du travail d’équipe, des consultations et de l’adhésion de toutes les parties prenantes qui seront concernées par l’élaboration de la stratégie de gestion de l’information, de la communication et de la connaissance (GICC) et qui y prendront part. Ils livrent des astuces très utiles concernant les questions liées à la mise en œuvre, au suivi et à l’évaluation. Les utilisateurs de ces manuels sont également encouragés à consulter la publication du CTA/KIT/IICD, Smart Toolkit, des outils pour l’évaluation des projets, produits et services d’information afin obtenir des outils supplémentaires et des indications utiles dans ce domaine. Les organisations du DAR sont encouragées à travailler ensemble pour élaborer leur stratégie de gestion de l’information et de la communication (GIC), et ce faisant, à partager leurs informations et leurs expériences.Garantir l’accès aux informations et aux connaissances permettant aux organisations et aux individus de s’engager pleinement dans des activités liées au développement agricole et rural dans les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Paci que (ACP) est le fer de lance des activités du CTA.Cette publication répond aux besoins croissants des organisations de penser et de plani er de façon stratégique la gestion et l’utilisation ef caces de leurs informations et de leurs connaissances. La série d’évaluations menées par le CTA dans les régions ACP a n de déterminer les besoins et les capacités des différents acteurs du secteur du développement agricole et rural a permis de se rendre compte que l’absence de stratégie en matière de gestion de l’information et de la connaissance constituait une lacune majeure. D’autres lacunes ont été observées et sont liées à une absence de partage et d’approches de diffusion de l’information dans les institutions, ce qui a empêché les organisations de tirer des enseignements des pratiques précédentes et de plani er, suivre et évaluer leurs activités. Ces études ont couvert plusieurs centaines d’institutions du développement agricole et rural (DAR). Des consultations ont été menées auprès de décideurs et de plani cateurs de haut niveau dans un large échantillon d’institutions. La nécessité d’aider ces organisations à élaborer et à mettre en œuvre une stratégie de gestion de l’information et de la communication gure maintenant en tête des priorités du CTA, ce qui est en parfait accord avec son nouveau plan stratégique, dans lequel l’intégration de la gestion de la connaissance (GM) à la gestion de l’information et de la communication (GIC) est une priorité.Après avoir étudié de façon approfondie les réalisations dans ce domaine, le CTA s’est lancé dans l’élaboration de deux publications, le Guide du facilitateur et le Manuel de l’utilisateur, en collaboration avec des spécialistes de la gestion de l’information et de la communication et de la gestion de la connaissance. Pour ce faire, il a fallu rédiger et établir la validation de la méthodologie régionale et organiser des ateliers de formation pour formateurs dans les Caraïbes, le Paci que, et en Afrique Australe, de l’Ouest et de l’Est. Les manuels sont le résultat d’un processus réellement collaboratif et consultatif visant à répondre à un besoin clairement identi é.Ils mettent également l’accent sur l’importance du travail d’équipe, des consultations et de l’adhésion de toutes les parties prenantes qui seront concernées par l’élaboration de la stratégie de gestion de l’information, de la communication et de la connaissance (GICC) et y prendront part. Ils donnent des astuces très utiles concernant les questions liées à la mise en œuvre, au suivi et à l’évaluation. Pour obtenir davantage d’outils et d’indications utiles dans ce domaine, les utilisateurs de ces manuels sont également encouragés à consulter la publication du CTA/KIT/IICD, Smart Toolkit, des outils pour l’évaluation des projets, produits et services d’information. Les organisations du DAR sont encouragées à travailler ensemble pour élaborer leur stratégie de gestion de l’information et de la communication (GIC), et ce faisant, à partager leurs informations et leurs expériences.Lisez-le et essayez surtout de comprendre, sans vous préoccuper à ce stade de mémoriser tousles termes techniques qui y figurent.La constitution d’un groupe d’oies appelé « jeu » peut se faire à partir d’un mâle (jars) et de trois femelles de race lourde ou bien de 5 femelles de race légère.L’oie est un bon gardien pour la maison et les autres oiseaux : elle a une bonne mémoire et donne l’alerte en criant. La chair, le foie, les plumes et les duvets sont très recherchés. Cependant, il peut être domestiqué. Rustique et prolifique, il est sexuellement mature dès 5-6 mois, avec des portées pouvant atteindre douze petits. Facile à élever, l’aulacode constitue une alternative à la viande braconnée.C’est un animal à croissance rapide, essentiellement élevé en système intensif, qui valorise très bien des sous-produits agricoles impropres à la consommation humaine. Son rendement en car- casse est très important.

Les émissions de gaz à effet de serre produites par l’agriculture continuent d’augmenter, à un rythme toutefois moins rapide que celles résultant d’autres activités humaines. Des données nationales plus précises sur les émissions provenant de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et de la foresterie peuvent aider les pays à identifier des opportunités de réductions d’émissions de gaz à effet de serre tout en se rapprochant des objectifs qu’ils se sont fixés en matière de sécurité alimentaire, de résilience et de développement rural – et leur permettre d’accéder à des financements internationaux pour atteindre ces objectifs.

La nouvelle base de données FAOSTAT sur les émissions est la base de données la plus complète et détaillée qui ait jamais été constituée sur les émissions de gaz à effet de serre d’origine agricole. Mise à jour chaque année, elle offre un point de référence mondial sur les émissions et les possibilités d’atténuation dans le secteur. Les émissions sont mesurées en équivalent CO2 (CO2-éq), paramètre utilisé pour comparer différents gaz à effet de serre.

Il s’agit d’un produit très rentable et bon marché avec un rendement bien plus important que les autres huiles végétales. De plus, cette huile de bonne qualité offre de nombreux débouchés...Aujourd’hui, la liste des produits contenant de l’huile de palme est sans n. On la retrouve dans notre alimentation mais aussi dans nos savons, nos cosmétiques, nos détergents, nos peintures, et même dans nos biocarburants !Le rapport représente le fruit de la collaboration de plus de 150 personnes provenant de différentes institutions et les administrations forestières des pays d'Afrique centrale. Une partie des données présentées dans l’Etat des Forêts 2013 est collectée par les groupes nationaux (quatre à dix personnes travaillant au sein des administrations forestières). Les données sont généralement validées au cours des ateliers nationaux auxquels participent des fonctionnaires du gouvernement ainsi que des représentants d'ONG environnementales, du secteur privé et les projets de développement. Les données ont fourni une base importante pour les auteurs des 10 chapitres de l'édition 2013. Les chapitres ont été revus et commentés par un large panel d'experts (notamment lors de l'atelier qui a eu lieu 21-22 Mars 2013, à Douala).Coach en communication à l'international, l'auteur accompagne le lecteur pas à pas dans le développement de ses aptitudes à communiquer en anglais.Partant du constat que les difficultés à parler anglais sont des freins à la communication professionnelle plus que des questions linguistiques, elle propose, dans une démarche progressive, des outils pratiques immédiatement utilisables, assortis de tests d'auto-évaluation et de nombreux exercices, afin de permettre au lecteur de se sentir à l'aise en anglais et avant tout à l'aise en communiquant au travail.

Les grandes plantations d’arbres ont réduit considérablement la perte mondiale nette de forêtsLe boisement et l’expansion naturelle des forêts dans certains pays et zones ont fortement réduit la perte nette de forêts au niveau mondial (figure 4). Le changement net de superficie forestière pour la période 2000-2010 est estimé à -5,2 millions d’hectares par an (une superficie qui correspond à peu près à celle du Costa Rica), alors qu’il était de -8,3 millions d’hectares par an pour la période 1990-2000.FRA 2010 est l'évaluation la plus exhaustive réalisée à ce jour. Elle examine le statut actuel et les tendances récentes de plus de 90 variables, pour tous les types de forêts, dans 233 pays et zones.La FAO a collaboré étroitement avec les pays et des spécialistes de l'évaluation forestière pour la conception et la mise en œuvre de FRA 2010. Plus de 900 personnes y ont contribué, y compris 178 correspondants nationaux désignés officiellement et leurs équipes.Le processus FRA est coordonné par le Département des forêts de la FAO à Rome en collaboration avec les partenaires du Questionnaire concerté sur les ressources forestières (CFRQ). Les partenaires du CFRQ sont la Commission des forêts d’Afrique centrale, FOREST EUROPE, l’Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT),le Processus de Montréal et la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe.Les appellations employées dans ce produit d’information et la présentation des données qui y gurent n’impliquent de la part de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) aucune prise de position quant au statut juridique ou au stade de d éveloppement des pays, territoires, villes ou zones ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. La mention de sociétés déterminées ou de produits de fabricants, qu’ils soient ou non brevetés, n’entraîne, de la part de la FAO, aucune approbation ou recommandation desdits produits de préférence à d’autres de nature analogue qui ne sont pas cités.À la demande de ses pays membres, la fao surveille régulièrement les forêts mondiales, leur gestion et leur utilisation grâce à son Évaluation des ressources forestières mondiales (Global forest resources assessment − fra). de plus amples renseignements sur le processus fra 2015, d’autres publications et une base de donn ées en ligne sont accessibles à partir du site web de fra (www.fao.org/forestry/fra).le processus fra est coordonné par le département des forêts de la fao à rome en collaboration avec les partenaires du Questionnaire concerté sur les ressources forestières (cfrQ). les six partenaires du cfrQ sont la commission des forêts d’afrique centrale (comifac/ofac), la fao, forest euroPe, l’organisation internationale des bois tropicaux (oiBt), le Processus de montréal et la commission économique des nations unies pour l’europe (cee-onu).les appellations employées dans ce produit d’information et la présentation des données qui y gurent n’impliquent de la part de l’organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (fao) aucune prise de position quant au statut juridique ou au stade de d éveloppement des pays, territoires, villes ou zones ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. la mention de sociétés déterminées ou de produits de fabricants, qu’ils soient ou non brevetés, n’entraîne, de la part de la fao, aucune approbation ou recommandation desdits produits de préférence à d’autres de nature analogue qui ne sont pas cités.Le livre vient à point nommé. De plus en plus d’éléments dans la littérature sur le développement montrent que le discours de la n des années 1990 et du début des années 2000 (exposée dans un rapport de l’OCDE de 2001), qui préconise de recourir à l’évaluation et à d’autres mécanismes de feed-back pour promouvoir l’apprentissage, a acquis droit de cité. De plus en plus, les efforts d’évaluation sont non seulement censés traiter les questions de redevabilité, mais ils permettent aussi de mieux comprendre les environnements complexes dans lesquels les politiques, programmes et organisations de d éveloppement interagissent. Étant donné que le CTA aspire à devenir une organisation apprenante à part entière, il réaf rme son engagement à promouvoir le S&E comme moyen d’apprentissage auprès de son personnel et de ses partenaires, tout en développant parallèlement un système satisfaisant d’information,de communication et de gestion des connaissances, destiné à soutenir l’apprentissage organisationnel. C’est pourquoi nous nous sommes fortement appuyés sur les expériences du Centre et de ses partenaires pour préparer cet ouvrage. Nous avons aussi tenu compte des principaux messages du Toolkit et des résultats de notre enquête auprès des utilisateurs du Smart Toolkit, et nous avons élaboré un exemple provisoire de notre bulletin d’information électronique – le Smart Toolkit News – pour guider nos lecteurs.

FAO Cette brochure aidera le 2016InfoSphère Recherche/Trave 2000UNIVERSITÉ de MONTRÉAL Exemple d’un plan de coRessource Form 2004M. Gafsi, P. Dugué, J.-Y. Jam Marchés / Commerc 2007

L. STIEM1 and T. KRAUSE2 La République DémocratiGenre/Femmes, 2015

Madjelia Cangré Ebou Dao1Les gousses de l’arbre f Genre/Femmes, Ges 2016CTA Le manioc n’est pas pleinAgriculture, Sec 2008Thomas Simb Simb L'eau 2012CTA Les parties non comestibAgriculture, Secu 2008CTA La patate douce est appreAgriculture, Sec 2008Christelle Souriau & David A 2014

Collège François-de-Laval 2011

Clare Pedrick Marchés / Commerc 2013

KIT, Agri-ProFocus et IIRR Marchés / Commer 2012

ONU-REDD SNA / Global Programme /REDD 2015 2012

Mme Degobert Comment Apprendre un CEtudierAndré Farber, Marie-Paule LL’objectif de ce livre e Finance / Chain de Valeur FAO, CTA Marchés / Commerc 2013

WWF Foret, Deforest 2016CIRAD Un brochure qui donne l' UN Information de Marché, Marchés / Commerce 2003

CTA Marchés / Commer 2012FAO Politique forestière; Je Genre/Femmes 2016CTA Marchés / Commer 2013René Lefebure, Gilles VenturMieux identifier et fidé Marchés / Commerc 2005Wikipedia Gestion GÉRARD CASANOVA, DENIS AB Ressource Formateurs, Gestion, PlanFAO Ressource en eau; RessoGestion, Forêt 2016Gérard Melyon cet ouvrage propose les Finance / Chain 2007

CTA Agriculture, L' 2010

Marchés / Comme 2004

❍ Présenter les références trouvées dans Internet

Ainsi, cet ouvrage constitue un plaidoyer pour un renforcement des recherches, des dispositifs d’accompagnement et des politiques agricoles en faveur des exploitations et des agricultures familiales à une période ou les États et certains bailleurs doutent des capacités des agricultures familiales à progresser et à se moderniser. Enfin, il convient de féliciter l’ensemble des auteurs qui ont contribué à cet ouvrage et tout particulièrement l’équipe de coordination.

• le tuyau de refoulement : colonne montante soudée à la crépine qui sert de canalisation à l’eau pompée.• la superstructure : partie de la pompe en surface qui lui sert de support et transmet l’énergie humaine au reste de l’équipement.Le séchage des aliments au soleil et à l’air libre est une pratique ancestrale qui ne donne pas toujours des produits de bonne qualité. La cuisson des aliments quant à elle se fait traditionnellement avec du bois, du pétrole, du charbon ou du gaz, ce qui demande beaucoup d’attention et d’énergie.Les techniques améliorées d’utilisation de l’énergie solaire sont peu connues, mais permettent pourtant d’obtenir des produits économiques, écologiques, de meilleure qualité et sont simples d’utilisation. Les cuiseurs et séchoirs solaires permettent de capturer les rayons du soleil pour chauffer et sécher les aliments.Ce guide présente des méthodes simples de fabrication et d’utilisation de cuiseurs et de séchoirs solaires : un cuiseur boîte, un cuiseur à panneaux, ainsi qu’un séchoir solaire direct et un séchoir solaire indirect. Facilement réalisables et utilisés en toute autonomie, ils permettent de satisfaire à moindre cout les besoins alimentaires de populations variées.Sans risque pour l’environnement, le cuiseur solaire permet de gagner du temps, de l’argent et de l’énergie. Tous les aliments (légumes, fruits, viandes, céréales, pain, etc.) peuvent y être cuisinés. Contrairement à la cuisson traditionnelle, la cuisson solaire est plus lente et permet par conséquent d’avoir des plats plus sains en préservant le gout et les nutriments, tout en rendant les viandes plus tendres. Les légumes, les fruits et les viandes cuisent parfaitement sans eau permettant ainsi d’accélérer la cuisson. Par contre, les céréales et féculents doivent être cuits dans une quantité d’eau inférieure d’un tiers à la quantité nécessaire pour la cuisson traditionnelle.Comparés au séchage en plein air, les séchoirs solaires permettent une meilleure conservation des produits. Les températures étant plus élevées, le séchage est plus complet. Les aliments sèchent 2 à 5 fois plus vite dans un séchoir solaire qu’à l’air libre. De plus, il permet de réduire les risques sanitaires en protégeant les produits contre les moisissures, les insectes, les animaux, la poussière et tout autre déchet. Le séchoir solaire diminue les manipulations et réduit le temps de séchage. Il permet d’obtenir des produits de meilleure qualité. La manipulation étant réduite, il n’y a pas de risque d’émiettement des produits.

prometteurs. Présenter les jeunes retenus leur offre de nouvelles possibilités, les motive et ren- force leur intérêt et celui de leurs pairs. Nous sommes certains que parmi ces 18 jeunes dont les essais sont mis en lumière dans cette bro- chure, il y a de futurs chefs de le du dévelop- pement agricole et rural des ACP. Certains se distinguent déjà dans leurs communautés et ils réaliseront certainement bien des choses à l’ave- nir. Ce sont des jeunes à suivre de près !Lancé en juin 2010, le concours a contribué à créer un cadre de collaboration pour des cen- taines de jeunes et d’organisations de jeunes, actifs ou intéressés par le secteur agricole, le développement rural et l’utilisation des TIC dans ce contexte. Depuis, différentes activités ont été organisées, notamment une formation et des échanges sur l’utilisation des outils du Web 2.0 dans l’agriculture et le développement rural ; un atelier sur l’entrepreneuriat agricole utilisant les TIC, le concours du meilleur blog dédié aux jeunes dans l’agriculture (prix YoBloCo : voir annexe) ; l’adoption d’un document de promotion intitulé « Pour un soutien renforcé à l’implication des jeunes dans l’agriculture et les TIC » ; des activités en réseau et la diffusion d’informations sur des opportunités. De nombreux jeunes ont assisté à des conférences a n de renforcer leurs connaissances et certains ont même pu obtenir des opportunités d’emplois. L’initiative ARDYIS en est encore à ses débuts et elle af ne sa stratégie et ses actions. Nous sommes ouverts à une collaboration avec toutes les organisations qui s’intéressent à ces ques- tions. J’aimerais pro ter de cette occasion pour remercier les membres institutionnels du comité consultatif du projet. Leur appui constant a été déterminant pour le succès de ce projet. Je me dois aussi de remercier mes collègues du CTA, en particulier, Mme Oumy Ndiaye (qui en tant que responsable de département au CTA a jouéun rôle capital dans l’organisation et la mise en œuvre de l’initiative), Thilda Chevouline, Giorgio Bellinzas, Therese Burke et Jenessi Matturi. Des r ésultats encourageants ont été obtenus à ce jour et d’autres seront atteints à l’avenir.Ce livre est le quatrième d’une série sur le développement de la chaîne de valeur produite par l’Institut Royal des Tropiques (KIT) et l’Institut International de Reconstruction Rurale (IIRR) et représente la suite logique des trois premiers livres. Le premier s’intitule «Autonomisation de la chaîne: aider les fermiers africains à développer des marchés» (Chain empowerment: Supporting African farmers to develop markets) (2006). Le second a pour titre «Echanger: développer la coopération entre fermiers et commerçants en Afrique» (Trading up: Building cooperation between farmers and traders in Africa) (2007). Le troisième, «Le nancement de la chaîne de valeur» (Value chain nance), fut publié en 2010.Ce livre met à la disposition des praticiens arguments, concepts, stratégies et outils susceptibles d’inspirer ces-derniers à améliorer la parité hommes-femmes dans les chaînes de valeur. Cet ouvrage vient s’ajouter à un nombre croissant d’écrits traitant du développement des chaînes de valeur et de la question du genre. Nous espérons qu’il contribuera à promouvoir l’échange continu et l’ap- prentissage mutuel, ainsi qu’à accroître l’ef cacité de la lutte contre la pauvreté au sein de nos organisations.Au moment ou la question du genre occupe une place de choix dans le programme de travail international en matière de sécurité alimentaire, les exemples de réussite d’intégration de la dimension du genre s’avèrent essentiels au développement de programmes de croissance économique et d’amélioration des moyens de subsistance. Nous espérons que ce livre contribuera à la fois à votre travail ainsi qu’au débat international.

Le financement de la chaîne de valeur agricole offre une possibilité de pouvoir réduire les couts et les risques financiers et d’atteindre les petits agriculteurs. Pour les institutions financières, le financement de la chaîne de valeur donne un nouvel élan portant à aller au-delà de la seule prise en considération du bénéficiaire direct du financement afin de mieux comprendre la compétitivité et les risques sectoriels dans leur ensemble et de créer des produits qui puissent répondre le mieux possible aux besoins économiques de la chaîne. Cette approche élargie du financement agricole n’est pas propre au domaine du financement de la chaîne de valeur; certaines orga- nisations financières parmi les plus importantes du secteur adoptent une approche similaire pour l’évaluation de prêts, même si cela est plutôt rare. En fait, une grande partie du financement mis à la disposition des chaînes de valeur ne provient pas d’institutions financières mais d’autres acteurs évoluant au sein même de la chaîne. En même temps, le financement de la chaîne de valeur permet aux chaînes de devenir plus « globales » en mettant à disposition des petits agriculteurs des ressources les aidant à intégrer des marchés à plus grande valeur ajoutée. Le financement relatif aux chaînes de valeur n’est pas nouveau et certains types de financement commercial existent depuis des millénaires; ce qui est nouveau, c’est son utilisation de plus en plus systématique dans l’agriculture par le biais de techniques, d’outils et d’appro- ches innovants et mieux adaptés. Des exemples d’utilisation et d’innovations, pris dans le monde entier, sont donnés et développés dans les chapitres qui suivent.

Début 2016, le Forum économique mondial de Davos s’intitulaitla Quatrième Révolution Industrielle, laissant présager denouvelles avancées majeures d’ordre technologiques et liéesà l’hyper connectivité, nous donnant ainsi l’impression denous éloigner toujours plus de la nature. Qu’en pensez vous ?Il est primordial que cela n’arrive pas. La nature et ses forêtssont plus importantes que n’importe laquelle de ces technologies.Vous penseriez être perdu sans votre smartphone?Imaginez donc un monde sans forêts. Production d’oxygène,séquestration du carbone, régulation du climat, pluie,bois, fibres, nourriture, médicaments… Aucune technologiene peut prétendre à cela !Alors que les projections font état d’un triplement de la demandeen ressources bois d’ici 2050 et une productioncroissante de denrées comme le caoutchouc, le soja, l’huilede palme, le boeuf et le sucre, qui sont tous des vecteurs importantsde déforestation, la technologie devrait nous permettrede dissocier d’avantage développement humain etdégradation de l’environnement afin d’assurer prospéritéet bien être à tous.

Dans les pays en développement, on estime que presque 65 % des pertes ont lieu lors de la production, de la transformation ou après les récoltes. Dans les pays industrialisés, le gas- pillage alimentaire est observé au stade de la consommation. Les distributeurs aggravent encore la situation, notamment par le fait qu’ils rejettent des produits présentant les plus minimes « imperfections ». Lors d’un récent Brie ng de Bruxelles sur le développement1, les experts ont plaidé en faveur d’une plus grande attention accordée à cette question largement ignorée dans le débat sur la sécurité alimentaire.Pour lutter contre les pertes alimentaires, des technologies post-récoltes et de trans- formation abordables doivent être mises à la disposition des producteurs, et une meilleure approche des chaînes de valeur doit être adoptée. La lutte contre le gaspillage alimen- taire inutile passe aussi par la législation. En n, il convient d’impliquer le secteur privé, en particulier les supermarchés, et d’éduquer les consommateurs concernant le gaspillage inutile d’aliments consommables.

leur association) ou les méthodesde production et de transformation. Concernant les produits alimentaires transformés, ces méthodes peuvent donner naissance à des traditions culinaires spéci ques4.

• Une forte influence de variables exogènes sur le projet.- système d'information- plan de management de la qualité

Les pratiques de gestion de l’eau en agriculture ne sont pas encore mises en œuvre dans la plupart des pays ACP, même si, selon la FAO, une irrigation maîtrisée permettrait d’accroître les rendements des cultures de 100 à 400%. Les investissements dans la gestion de l’eau en agriculture seront essentiels pour assurer l’accès à un approvisionnement abordable et iable en eau. Ceci constituerait une première étape importante pour permettre aux petits exploitants et aux agriculteurs pauvres d’améliorer leur productivité, leurs moyens de subsistance et leur sécurité alimentaire.En mettant en exergue le thème « Gestion intégrée de l’eau pour une agriculture durable: réduisons l’écart des connaissances » pour le séminaire annuel, le CTA et le NPCA ont pour objectif d’identiier les besoins en informations et connaissances nécessaires à l’appui des décisions de planiication politique et stratégique qui auront un impact sur l’utilisation eicace des ressources en eau, en vue d’améliorer la productivité agricole et la croissance dans les pays ACP. Les participants exploreront les sources de connaissances pertinentes et examineront dans quelle mesure il est possible de les partager ain d’accro ître massivement les investissements dans la gestion intégrée de l’eau. Il sera en outre nécessaire d’identiier les lacunes existantes (au niveau technique et politique) et de formuler une stratégie visant à combler ces lacunes.Nous espérons que les rélexions et les discussions, appuyées sur des présentations et des documents de référence (dont les résumés igurent dans cette brochure), déboucheront sur des actions concrètes pour résoudre les problèmes de l’eau dans l’agriculture ACP.

George Akwah∗ Alfred Yoko*Le Lac Tumba, appelé Lac Ntomba1 par les peuples riverains, est situé dans la Province de l’Equateur en République Démocratique du Congo (RDC). Ce Lac et ses affluents constituent certes une richesse écologique inestimable pouvant justifier des interventions de conservation. Mais aussi demeure-t-il le socle des dynamiques sociales ayant permis l’ émergence d’une économie lacustre et forestière. Le présent rapport essaie de saisir les dynamiques existantes entre tous ces éléments et les ressources naturelles du milieu. Il met l’accent aussi bien sur les maîtrises communautaires des espaces et des ressources que sur les dynamiques etatico-administratives depuis la colonisation.

Engel, A. La FAO et le Mécanisme pGestion 2012WWF Fored, RDC, Co 2013FAO Droit, Securite A 2009FIELD Ce guide a pour but d'aiGestion, REDD 2013FAO Les marchés de volaillesMarchés / Commerce 2016

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, SECONDRDC 2011

Maginnis, S., Laestadius, L. Ce manuel a été élaboré 2014Wayne Walker, WHRC GIS, Forêt, Déf 2011Hubert Landier Communication 2007

DGAT/DLR Marchés / Commerce 2006FAO Le présent guide a pour Gestion, Forêt 2011

Pamela Jagger Erin O. Sills Marchés / Comm 2011Laetitia Clairet, d'Isabel Côté, Recherche/Traveaux Scientifique

FAO Politique forestière; Uti 2016W. POUTOULI, P. SILVIE, H. Agriculture 2011Luc VAN LANCKER HTML / CSS Jean Engels HTML / CSS 2012WWF Marchés / Commerce 2011CTA Un débat virtuel est conAgriculture 2012CTA Agriculture 2013CTA Agriculture 2013CTA Les innovations qui se foFinance / Chain de 2014CTA Marchés / Commerc 2012CTA Le crowdsourcing fait deAgriculture 2012CTA Les TIC facilitent les e Agriculture, Re 2012CTA Marchés / Commerc 2014CTA Agriculture 2015CTA Les SMSI de 2003 et 2005 Agriculture 2012CTA Marchés / Commerc 2012CTA Agriculture 2012

UN REDD SNA / Programme mondial REDD 2016

Michel Fok Depuis 2008, le Burkina Finance / Chain de 2016

Banque Mondial, Bezzina, J Cette étude identifie et Communication, R 2010Projet Equateur La forêt est un grand tr Environnement, 2014

ressources et droits des communautés. Puisse-t-il être complété, amendé et enrichi del’expérience des uns et des autres !Les concepts sont accessibles en ligne sur le site Internet de la FAO concernant la terminologie à l'adresse http://termportal.fao.org/faort/main/start.doCet instrument a pour but de contribuer au suivi de la collection de concepts liés au droit à l´alimentation, en permettant d'y apporter les modifications ou ajouts nécessaires en fonction de l’évolution de ces concepts dans le cadre des activités de la FAO.

• Intègre des illustrations graphiques pour les utilisateurs multilingues• N’est pas un substitut à l’instruction formelle et à la formation pratiqueLa négociation sociale

d'amélioration des outils de planification .Le guide comprend deux parties:La première partie intitulée « Contexte général de la planification au Burkina Faso » énonce le but et les objectifs du guide et offre un recueil des principales définitions et concepts en matière de planification locale selon des rubriques clé : les concepts de développement local et de planification locale, le cadre légal et institutionnel de la planification locale , les niveaux de planification, le rôle des acteurs, le contenu du plan de développement local, " l'articulation schéma/plan de développement local,l'adoption du plan développement local, les conditions de mise en œuvre, le suivi et l'évaluation du plan de développement local.Le guide est rédigé dans un style didactique afin de faciliter sa compréhension et de permettre aux acteurs sur le terrain de l'utiliser facilement.

• sensibilisés à l’intérêt de mieux comprendre s’il existe un arbitrage à faire ou des synergies à exploiter entre l’amélioration du bien-être économique et social au plan local et la réduction des émissions de carbone au plan mondial, et si oui dans quels domaines ;• prêts à a ecter des ressources a n de contribuer au capital mondial de connaissances sur la mise en œuvre des projets de REDD+.quelques repères logistiques et techniques pouvant démystifier la démarche etinitier à l’utilisation de support informatique en analyse de données qualitatives.

Dans ce manuel, la présentation des espèces est faite selon le régime alimentaire, puis par ordre alphabétique des familles. Certaines familles peuvent avoir des représentants dans les deux groupes, phytophages et prédateurs. Les noms d’insectes sont conformes à la nomenclature actuelle.Les chapitres du livre :Avant-propos – Partie 1 : HTML5 - Présentation du HTML5 – Premiers éléments de feuilles de style – Le texte – La structuration du document – Les liens – Les tableaux – Les images et arrière-plans – Les balises sémantiques et d'organisation – Les formulaires – Le multimédia – Partie 2 : CSS3 - Présentation des feuilles de style – Notions de base des CSS – La police de caractères – Le texte en CSS – Les listes et les tableaux – Les arrière-plans – Les propriétés de boîte – Les pseudo-classes – Les propriétés d'affichage – Les propriétés d'impression – Les feuilles de style CSS3 – Partie 3 : Les API JavaScript - Le dessin 2D – La géolocalisation – Le stockage de données en local – Les applications en mode déconnecté (offline) – Les autres API JavaScript du HTML5 Cours d'initiation aux standards du Web, avec exercices corrigés HTML5 et CS53 sont aujourd'hui pris en compte par tous les navigateurs du marché et suscitent un tel niveau d'adhésion que tout professionnel ou futur professionnel se doit de maîtriser ces nouvelles versions des standards du Websans attendre leur publication définitive par le W3C. Premier ouvrage en langue française spécifiquement conçu pour les étudiants, ce manuel met l'accent sur les bonnes pratiques de développement (séparation stricte entre structure et présentation), en préconisant l'emploi d'une syntaxe rigoureuse héritée de XHTML. Il consacre une large place aux nouveautés de HTML 5 et CSS 3 : nouveaux éléments de structure sémantique, nouveaux éléments audio et vidéo, Media Queries pour l'adaptation des pages Web au terminal de l'utilisateur (écran d'ordinateur, tablette, smartphone), stockage local, nouveaux sélecteurs CSS, nouveaux types de contours et d'ombrage, arrière-plans multiples et dégradés de couleur, multicolonnage et effets de texte, etc. Pour vous aider à valider et mettre en oeuvre vos connaissances.Durant le premier semestre 2011, le WWF a accompagné une mission de terrain relative aux enjeux de durabilité de la lière huile de palme dans le premier pays producteur d’huile de palme au monde, l’Indonésie. C’est en effet sur ce territoire -hébergeant le plus grand nombre d’espèces de mammifères au monde-, que le WWF a cherché à appréhender les avancées et les dé s de la lière « huile de palme durable ». En effectuant des visites auprès de diverses parties prenantes du secteur de l’huile de palme – ONGs, grands groupes de plantation, petits planteurs et autres entreprises tout au long de la cha îne d’approvisionnement- principalement en Indonésie mais aussi en Malaisie et en Europe, cette mission a permis d’identi er les principaux succès et écueils de la lière de l’huile de palme durable.A n d’avoir un aperçu exhaustif des enjeux sur l’ensemble de la lière, la mission s’est également intéressée au quotidien des paysans indonésiens a n d’appréhender au mieux les dé s auxquels ces acteurs, souvent ignorés, se trouvent aujourd’hui confrontés.Ce numéro permet également aux trois dirigeants des thèmes de la conférence de nous dire si leurs sessions consacrées aux innovations émergentes, au renforcement des capacités et aux environnements porteurs ont tenu toutes leurs promesses (voyez les trois articles Q&R). Le CTA a en outre dépêché une équipe de gestion des connaissances au Rwanda, formée de Pete Cranston, Chris Addison et Krishan Bheenick, afin de consigner les faits marquants. Vous trouverez trois articles succincts inspirés de leurs résumés.Nawsheen Hosenally du CTA inaugure une nouvelle rubrique régulière, Parole aux jeunes, par un article décrivant l’expérience des jeunes reporters sociaux présents à la conférence. Cette initiative correspond à une volonté constante du CTA d’associer les jeunes aux activités liées aux TIC et à l’agriculture. Outre la création de cette nouvelle rubrique, ce numéro d’ICT Update franchit un nouveau cap. Pour marquer sa filiation avec la conférence de Kigali et son prolongement, ICT Update change de nom et devient ICT4Ag, un magazine à la croisée des chemins entre le monde du numérique et le monde agricole. Chacun des thèmes se déclinera autour de plusieurs sessions, aux formats très variables, de l’exposé traditionnel au café découverte et aux séances d’observation selon la méthode fishbowl, en passant par des stands d’exposition, des ateliers et des visites d’étude. Chaque article thématique sera suivi d’un autre article d’une page confié à l’organisateur d’une de ces sessions (voyez les pages 9, 15 et 21). Parmi les sujets de ces sessions, citons la révolution de l’argent mobile, les TIC au féminin et les stratégies haut débit.

Bien que les créatifs africains songent généralement à du logiciel quand ils parlent d’innovation, l’aspect matériel ne doit pas être négligé. Le développement du matériel se heurte toutefois à deux obstacles : le réseau électrique, ou beaucoup reste à faire, et le prix de la qualité, qui reste élevé pour des PME.Les TIC ne s’épanouiront qu’à partir du moment ou de petites start-ups technologiques pourront se développer et créer de l’emploi. Pour cela, je crois qu’il ne faut pas avoir peur du marché.

Ce numéro d’ICT Update consacre cinq pages aux quinze innovations retenues pour cette journée. Parmi celles-ci, des applications web telles que FarmDrive, qui aide les paysans à tenir un registre électronique de leurs recettes et dépenses ; et aWhere, une plate-forme qui livre des données pour l’agriculture intelligente au regard du climat, la sécurité alimentaire et financement agricole. Enfin, nous avons confié la rubrique « Tech Talk » de ce numéro au fondateur d’une bourse électronique d’échange de produits de base en Ouganda et la rubrique « Young voices » à Imarah Radix, qui nous raconte comment elle a vécu son séminaire de « formation des jeunes formateurs » en vulgarisation agricole à Ste-Lucie. Le savoir constitue une ressource déterminante en agriculture,et les données et l’information sont la matière première du savoir. L’agriculture tire-t-elle pleinement parti de la révolution des données ?

L’essor des TIC en général, et du portable en particulier, a entraîné l’apparition d’une pléthore de services et d’applications, qu’il s’agisse de services financiers au Kenya, d’informations sur les marchés agricoles au Ghana, de la déclaration d’impôts électronique en Afrique du Sud ou de systèmes d’irrigation par capteurs en Égypte. En 2002, WOUGNET se servait principalement du courriel et du web, ce qui restreignait son champ d’action à ses groupes- cibles : les femmes et les associations féministes ougandaises. En 2012, la gamme des TIC s’est étendue et le portable engendre de nouvellesactivités comme l’envoi d’alertes et d’astuces agricoles par SMS, l’insertion d’appels téléphoniques dans les émissions de radio, ou l’organisation de campagnes de plaidoyer par SMS durant les « 16 journées d’activisme contre la violence faite aux femmes ».Siyafunda a développé un vaste réseau de partenaires qui soutiennent ses centres de diverses manières : les municipalités fournissent des locaux vacants et une connexion Internet à haut débit, les organisations communautaires développent des services et des informations pertinentes pour les usagers et font connaître les centres via leurs propres réseaux. Tout cela, en coopération avec les ministères pour éviter la duplication des efforts et des investissements dans une même communauté.Beaucoup a été appris au cours de la dernière décennie sur la façon de créer et de gérer un réseau de télécentres, mais surtout qu’il n’y avait pas de modèle universel. De nombreux entrepreneurs et organisations appliquent ces leçons et les adaptent pour offrir des services TIC, de l’acquisition de compétences et de l’appui largement absents des communautés rurales.

FAO sustainable forest managREDD, Changeme 2016Agriculture, Environnement, Developpement Durable, Forêt, Chan

G. Faure, P. Gasselin, B. Tri Marchés / Comme 2010

FAO Les insectes représentenSecurite Alimenta 2014Margret C. Domroese Eleanor Manuel pour des educateEnvironnement, Ressource FoChristophe DARMANGEAT Christophe DARMANGEAT Christophe DARMANGEAT Christophe DARMANGEAT Christophe DARMANGEAT Christophe DARMANGEAT Ionut Danaila, Pascal Joly, Mathématiques 2005CIRAD Gestion, Agriculture, RDC, Environnement

Programme ONU-REDD Apprenez les dynamiques Forêt, REDD, Ch 2015

Programme ONU-REDD Déterminez pourquoi les REDD 2015

Programme ONU-REDD Identifiez et apprenez c Gestion, Droit, 2015Programme ONU-REDD Découvrez comment la CCNGouvernance, Fo 2015

Programme ONU-REDD Découvrez d’ou vient l’i REDD 2015

Programme ONU-REDD Bien que les circonstancForêt, Déforesta 2015

Programme ONU-REDD Creusez la question des Genre/Femmes, 2015

Programme ONU-REDD Découvrez pourquoi les SForêt, Déforesta 2015

Programme ONU-REDD Comprenez les niveaux dForêt, REDD, Ch 2015

Programme ONU-REDD Etudiez les différentes REDD 2015

Programme ONU-REDD Explorez le potentiel de Droit, REDD, Ch 2015

Programme ONU-REDD Apprenez pourquoi la mobFinance / Chain 2015FAO Le Cahier d’activités de 2016GoodPlanet Biologie, Environnement A. Karsenty 1, P. Cerutti 2, J RDC, Forêt, Défo 2016Peter David Paterson Marchés / Commer 2008CIRAD Un brochure qui donne l'Forêt

Cet ouvrage n’est ni un manuel, ni un ensemble de recettes qu’il suffirait d’appliquer mécaniquement. Chaque partie met l’accent sur les dimensions génériques de la démarche proposée, sur la diversité des choix possibles et sur les questions stratégiques qui permettront de raisonner sa mise en œuvre d’une façon nécessairement unique, en réponse aux contextes et aux trajectoires historiques spécifiques des acteurs et de leur environnement.Le lecteur peut aborder chaque partie ou chapitre de manière indé- pendante. L’index, les renvois et le glossaire l’aideront dans cette lecture.

4. L'enseignement de la science économique en débat. Enfin... ! (Texte collectif d’enseignants- chercheurs en économie), 2000.5. Y a-t-il une science économique ? (Bernard GUERRIEN), 2004, extraits.annuelles d'une nation agricole (Jean-Baptiste QUESNAY), 1766. Extraits.3. Transition et pensée économique dans l'histoire (Gilles DOSTALER), 19647. « Le développement durable est-il soutenable ? » (Jacques GENEREUX), Alternatives économiquesn06, sept. 2002.4. Le Capital de Marx – (F. ENGELS), 1868 (extraits), M.I.A.5. Marx et le capitalisme, la dialectique d’un système (B. CHAVANCE), 1996, Nathan, collection Circa, Paris, ch. 13 (extraits)3. Les grands courants de la pensée économique (Alain SAMUELSON), 1990.4. Économie Politique (Gilbert ABRAHAM-FROIS), 1988.3. Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (J. M. KEYNES), 1936, I - 3 - 3.4. Préface à la Théorie générale... (Paul KRUGMAN), 2006.assez vaste. Élaborés dans le cadre de cours de mathématiques appliquées (analysenumérique, calcul scientifique), ils ont été proposés sous forme de projets à différents groupes d’étudiants de l’Université ou de Grandes Écoles d’ingénieurs.Production porcine dans les régions chaudesConcilier production fourragère et renouvellement des ressources en zone tropicale humide

dans l’atmosphère.Un article publié dans Land Use Policy début 2016 arrive à la conclusion a priori étonnante que la déforestation serait, au Congo, plus élevée dans les concessions forestières avec des plans d’aménagement que dans celles qui n’en ont pas. L’analyse d’évaluation d’impact qui a conduit ces chercheurs à un tel résultat se base sur un appariement de parcelles sélectionnées aléatoirement dans des concessions avec et sans plans d’aménagement. Ces chercheurs indiquent que le réseau de routes forestières plus développé dans les concessions aménagées serait un des facteurs explicatifs. L’autre facteur serait le développement local lié aux cahiers des charges des plans d’aménagement, lequel conduirait à une augmentation de la population dans ces concessions et à une déforestation accrue.Notre groupe d’une vingtaine de chercheurs connaissant bien la problématique de l’aménagement forestier en Afrique centrale s’est penché à son tour sur cette question et a analysé la déforestation au niveau des concessions sur le même intervalle de temps. Nos résultats montrent, cette fois, que la déforestation est moins importante dans les concessions avec un plan d’aménagement que dans les autres. Et si l’on compare à production égale la déforestation dans des concessions avec et sans plan d’aménagement, il apparaît que les UFA aménagées sont environ deux fois plus « efficaces », c’est-à- dire qu’on observe deux fois moins de perte de couvert forestier par mètre-cube produit. Nous en concluons qu’il est nécessaire d’analyser précisément la dynamique des différents facteurs de déforestation, et éviter d’imputer mécaniquement à l’aménagement forestier un rôle excessif dans l’évolution dans un sens ou dans l’autre du taux de déboisement. Enfin, toute évaluation doit rappeler que les effets de l’aménagement forestier doivent être mesurés sur le long terme : l’objectif de l’aménagement est de permettre une mise en valeur forestière durable, en conservant l’essentiel du capital productif pour éviter, autant que possible, la conversion à d’autres usages après les cycles de coupe initiaux.Pour toutes ces raisons, cet ouvrage de vulgarisation de l’apiculture tro- picale intéressera nombre d’acteurs du milieu rural et de familles des pays ACP et plus généralement des pays en développement. L’auteur de la version anglaise, Peter David Paterson, spécialiste de l’apiculture en Afrique, y décrit de façon pratique les éléments de base de la conduite d’un rucher en régions chaudes. La réalisation et la maîtrise du matériel apicole, la récolte et le traitement des produits de la ruche y sont décrits de façon opérationnelle. Les méthodes traditionnelles et améliorées de production du miel sont présentées de façon simple et illustrée, avec des précisions utiles, telles que les critères du choix des techniques apicoles les mieux adaptées à une situation donnée.Pour la version française, nous tenons à remercier chaleureusement Maurice Chaudière, apiculteur dans le sud de la France, auteur de l’Apiculture alternative (2005), pour la relecture de la traduction en français, la suggestion de certaines précisions et de quelques complé- ments brefs mais significatifs. Les techniques qu’il a expérimentées pour la France, décrites dans son ouvrage, visent à promouvoir une apiculture économe et biologique ; ces techniques sont aussi tout à fait pertinentes et adaptées à la production apicole sous les tropiques.

CTA Marchés / Commer 2006CTA Agriculture, L'e 2011GoodPlanet Pisciculture / Pêche / Poisson, L'élevage, L'eau, Environnement FAO Securite Alimenta 2015

FAO Cette brochure présenteAgriculture 2016Sam Lawson Marchés / Comme 2014GoodPlanet Biologie, Environnement

MICHEL DAMIAN, FRANCK-DLa COP21, qui se tiendra Environnement, 2015

Johny Egg1 Nango Dembe le 2 Marchés / Commer 2014Projet Equateur Agriculture, Én 2016

Banque Mondial, Debroux, LauCe rapport examine le seGestion, Droit, 2007

FAO/CIFOR Cet ouvrage collectif, f Gestion, Forêt 2016RDC, Environnem 2013

Chaouachi La recherche scientifique Recherche/Traveaux ScientifiqueGoodPlanet Biologie, Environnement GoodPlanet Biologie, Environnement, Forêt Groupe URD La pompe à corde fonctioL'eau 2009WWF Bios, Foret, Ec 2015UNICEF, Practica et Entrepr UNICEF, Practica et EntrDeveloppement D 2009Les Éditions de la Chenelière Recherche/Trave 2006

UNESCO Principals de la planificat Ressource Form 2002Ce petit guide pratique n’aMemoire, Recher 2004

ONU-REDD REDD + ressources, docuREDD 2010REDD 2015

He lène David-Benz1 Patric Marchés / Commer 2014Cirad, CTA, Karthala L'élevage, Agricu 2006Quæ, CTA, Karthala L'élevage Agricultu 2006

FAO Marchés / Comme 2014

FAO Marchés / Commer 2011

FAO Marchés / Commerc 2005

Dans le contexte de leurs relations, les pays ACP et l’UE doivent reconnaître l’importance de cette pêche à petite échelle et de l’aménagement de ses activités pour répondre aux défis du développement durable ; ils doivent prendre les mesures nécessaires pour lui assurer les conditions d’un développement harmonieux.Les relations pêche ACP-UE, dans leur diversité, et la recherche commune d’un développement durable, sont également à même de procurer un environnement porteur à l’épanouissement de filières pêche intégrées, notamment dans le secteur thonier. La volonté politique, tant des pays ACP que de l’UE, sera déterminante pour assurer le succès de ces filières face à la compétition intense d’autres acteurs peut-être moins attentifs aux aspects sociaux et environnementaux du développement durable.Au cours du siècle dernier, notre consommation d’eau a progressé à un rythme deux fois plus rapide que la croissance démographique, ce qui explique le nombre élevé de pays souffrant de pénurie d’eau. Environ 90 % de l’eau récoltée grâce à l’irrigation et aux précipitations naturelles sert à la production des denrées alimentaires. Pour suivre l’évolution démographique et celle des comportements alimentaires, la quantité d’eau utilisée pour l’agriculture devra doubler d’ici 2050 – à moins de changer nos modes de production et de consommation.Lors du Brie ng de Bruxelles sur le développement, intitulé L’eau que nous mangeons1, des experts ont mis en avant les mesures à prendre pour permettre aux générations futures d’utiliser durablement les ressources en eau limitées de la planète. Les décideurs politiques du monde entier doivent accorder plus d’attention à l’utilisation de l’eau dans le secteur agricole. Les pays ACP doivent lancer des initiatives pour aider les agriculteurs à accroître leur productivité par unité d’eau consommée. On privilégiera les méthodes à petite échelle et à faible cout pour améliorer l’agriculture pluviale. Il est indispensable de faciliter l’accès à l’eau, en particulier pour les femmes et les pauvres en milieu rural ACP. En n, il est urgent de réformer la gouvernance des ressources en eau, tant au niveau national que régional.L’homme mange d’ailleurs en général fort peu de prédateurs, sauf chez les “poissons”.J Dansbonnombredespaysquin’ontpasété en mesure d’atteindre les objectifs mondiaux de réduction de la faim, la vulnérabilité et l’insécurité alimentaire accrues d’une grande partie dela population étaient imputables à des crises prolongées induites par des catastrophes naturelles ou causées par l’homme ou par une situation d’instabilité politique. Dans ces contextes, les mesures destinées à protéger les populations vulnérables et à améliorer les moyens d’existence ont été di ciles à mettre en œuvre ou ont été ine caces.

La RDC et l’UE doivent continuer d’œuvrer vers la conclusion d’un accord de partenariat volontaire (APV) sur l’application de la législation forestière, la gouvernance et les échanges commerciaux (FLEGT), tout en reconnaissant qu’un travail énorme devra être réalisé avant les premières licences de légalité.La majorité de la récolte en RDC est actuellement issue d’une exploitation artisanale illégale et destinée aux marchés domestiques et régionaux. Des mesures doivent être prises pour assurer un contrôle formel de cette importante industrie. Le projet de décret sur les forêts communautaires est une mesure clé qui pourrait servir à formaliser l’approvisionnement domestique en bois. Il doit être adopté en tant que loi et un effort énorme doit être consenti par le gouvernement et les donateurs pour accélérer l’envergure et l’efficacité de son application.la planète dépasse sans doute l’impact de toutes les autres espèces réunies.

Le Syste`me d’information sur le marche des ce re ales (SIM) du Mali est emble matique de la premie`re ge ne ration des SIM mis en place pour accompagner la libe ralisation des marche s dans les pays en de veloppement. Bien qu’il ait be ne ficie d’un environnement institutionnel tre`s favorable, il a rencontre des difficulte s a` satisfaire les besoins en information des acteurs prive s du marche . Avec sa transformation en Observatoire du marche agricole (OMA) aupre`s des Chambres d’agriculture, le SIM a e volue vers un ensemble de centralise de services d’information tire par la demande des utilisateurs. Cette innovation institutionnelle a rendu le syste`me plus efficace en le rapprochant des besoins des producteurs et commerc ants et en inte grant la dimension du marche re gional ouest- africain. Elle constitue une re ponse aux limites rencontre es par le SIM de premie`re ge ne ration. Mots cle s : de centralisation, Mali, petits producteurs, se curite alimentaire, syste`me d’information de marche . La Bassin du Congo est la deuxieme plus grande forêt tropicale au monde et s’étend sur 6 pays (RDC, République du Congo, Cameroun, Centrafrique, Gabon, Guinée Equatoriale). 60% de cette forêt se trouve en République Démocratique du Congo, ce qui en fait le second pays forestier tropical après le Brésil.Même si la déforestation dans le Bassin du Congo est relativement basse par rapport à l’Amazonie et le Sud-Est Asiatique, celle-ci a doublé ces dix dernières années. De plus, lorsque l’on regarde pays par pays, on remarque la déforestation est plus importante en RDC et s’accélère rapidement, révélant une dynamique inquiétante.5

Adélaïde Larzillière1, 2 Cédric Vermeulen3 Emilien Dubiez1, 2 Timothée Yamba Yamba2 Simon Diowo2Georges Mumbere2

Les prélèvements pour l’approvisionne- ment en bois énergie des villes consti- tuent désormais une cause majeure de la déforestation en Afrique centrale. En République démocratique du Congo, le bois représente plus de 90 % de la res- source en énergie domestique et cette ressource est de plus en plus surexploi- tée. La présente étude s’inscrit dans le cadre de la sécurisation de l’approvision- nement en bois énergie de la ville de Kinshasa par la gestion durable des forêts périurbaines dégradées dans les terroirs villageois, lieux principaux de production. La mise en œuvre de cette gestion ne peut se faire sans la participa- tion des principaux acteurs, les commu- naut és villageoises elles-mêmes. L’enjeu de la participation s’est concentré sur la prise en compte des avis de chacun dans les décisions à adopter. Pour la phase de conception et de négociation des plans simples de gestion, un support de facili- tation innovant a été développé. Sous le nom de « maquette interactive », cet outil de cartographie en relief modulable se compose d’éléments en bois peints per- mettant de reproduire le village et le ter- roir en miniature. L’ensemble est accom- pagné de vignettes illustrant les diffé- rents enjeux de la négociation. Sa facilité d’utilisation, tant par les communautés rurales que par les agents du projet, a permis à la fois d’augmenter la qualité et l’intensité de la communication et de sti- muler la réflexion. Son efficacité reste cependant liée à une bonne connais- sance préalable de la communauté et de ses enjeux internes. Au-delà d’un simple outil, il s’agit donc du partage réel des connaissances, élément clé d’accords de gestion cohérents, réalistes et équita- bles, qui est questionné.Mots-clés : démarche participative, maquette interactive, aménagement, ter- roirs villageois, Bas-Congo, République démocratique du Congo.

Bien qu’elles aient initialement été des espèces sauvages, les variétés de plantes et les races animales utilisées en agriculture sont aujourd’hui le produitde sélection intensive et de modification génétique par les scientifiques, agronomes et agriculteurs.de Tabebuia avellanedae montrent ainsi une activité antibiotique contre des souches de Staphylocoque aureus. Les premières recherches sur les propriétés anti-tumorales du Lapacho ont porté sur une quinone, le lapachol, mais se sont heurtées à des problèmes de toxicité (anti-coagulant). D’autres quinones présentes dans le Pau d'arco (alpha et bêta-lapachone) sont actuellement étudiées,mais les problèmes de toxicité ne sont toujours pas résolus.

en 2012 sur une cible de grandes entreprises, il analyse pour la première fois en 2015 les engagements et les pratiquesde consommation d’un échantillon de collectivités publiques (régions, départements, grandes villes).

réalisation d’une vidéo peut prendre moins d’une page. En règle générale, le canevas debase pour la rédaction d’un rapport professionnel est le suivant.

Hermann W. Kambire Ida Nadia S. Djenontin Augustin Kabore Houria Djoudi Michael P. B. Balinga Mathurin ZidaSamuel Assembe-Mvondo

par une logique de maximisation des retombées économiques et sociales que de protection de l’environnement. Il s’agit entre autres des politiques (i) de relance de la production cotonnière, (ii) de promotion de l’agrobusiness, et (iii) de promotion du secteur minier. En ce qui concerne l’évaluation des éléments clés de la REDD+, le contexte institutionnel et de gouvernance, la coordination des actions, la participation et l’engagement des acteurs, les mécanismes de MNV et de partagedes béné ces sont autant d’éléments de ré exion à examiner dans l’élaboration de la stratégie REDD+, sa mise en œuvre et sa réussite.L’expe rience de Madagascar, ou` une Plateforme de concertation de la filie`re riz a e te e tablie conjointement a` un Observatoire du riz, illustre la comple mentarite entre l’apport d’un Syste`me d’information de marche (SIM) dans l’aide a` la de cision publique et un dispositif de gouvernance hybride, base sur la participation et la concertation. Il ressort des diffe rentes crises ayant touche le marche du riz entre 2004 et 2011 qu’un suivi re gulier du marche sur tout le territoire et une amorce de partenariat public-prive autour de la re gulation du marche ont permis une gestion plus transparente et raisonne e des interventions. Malgre un contexte perturbe , ces deux dispositifs ont contribue a` une plus grande stabilite du marche inte rieur et a` un accroissement de la production au cours des anne es ou` ils ont e te conjointement ope rationnels. Toutefois, la forte asyme trie entre acteurs, la difficulte de de finir l’inte reˆt commun, ainsi que les biais des interventions publiques en pe riode de crise politique demeurent des limites. Mots cle s : gouvernance ; information sur le marche ; Madagascar ; politique agricole ; riz. Les signes de bonne santé et les symptômes à rechercher chez un animal malade sont clairement décrits. Une série de tableaux passe en revue les principales caractéristiques de l'épidémiologie et du diagnostic associées aux maladies et aux dysfonctionnements métaboliques qui sont susceptibles de se manifester chez la plu- part des espèces d'élevage des régions tropicales, à l'exception toutefois des animaux de basse-cour.Le livre s'achève par un chapitre consacré aux procédures cou- rantes de médecine vétérinaire, qui décrit en particulier les dif- férents modes d'administration des traitements. Le lecteur, en combinant les enseignements apportés par ce volume 1 avec ceux du volume 2 ou des autres ouvrages de la même série portant sur les différentes espèces domestiques, disposera d'informations pertinentes sur les maladies des animaux dans les régions tropi- cales, leur importance et les moyens de les combattre.Ce second volume complète harmonieusement le premier, en apportant des informations précises sur les principales maladies animales et sur les moyens de lutte : maladies infectieuses et parasitaires, maladies à transmission vectorielle et maladies liées au milieu et aux conditions d’élevage. Ces pathologies animales sont traitées par groupe d’espèces : ruminants (bovins, buffles, ovins et caprins), camélidés, chevaux et porcs.Nous tenons à remercier vivement tous les collaborateurs qui ont permis d’actualiser les informations et de réaliser une synthèse complète des connaissances sur les maladies du bétail en régions tropicales et les moyens d’intervention. Santé animale constitue un outil pratique et complet pour ceux qui travaillent sur le terrain pour l’élevage en régions chaudes, mais aussi une synthèse des connaissances de qualité pour tous ceux qui s’intéressent aux productions animales dans le monde.est confronté aujourd’hui: améliorer la sécurité alimentaire et la nutrition tout enpréservant des ressources naturelles cruciales et en limitant l’ampleur du changement climatique.Si nous accordons aux familles d’agriculteurs l’attention et le soutien dont elles ont besoin et qu’elles méritent, nous pourrons tous ensemble relever ces dé s.à tous les niveaux. Les femmes doiventêtre considérées comme des partenaires, œuvrant au développement durable, surun pied d’égalité avec les hommes. Il estde notre devoir d’assurer l’égalité entre homme et femme, car celle-ci est primordiale pour le développement agricole et à la sécurité alimentaire.La Déclaration du Millénaire souligne l’importance du commerce international pour le développement et l’éliminationde la pauvreté. Dans cette Déclaration,les gouvernements se sont engagés, entre autres, à mettre en place un système commercial multilatéral ouvert, équitable, fondé sur le droit, prévisible et non discriminatoire. Un tel système est essentiel pour que le commerce agricole international puisse promouvoir une croissance économique plus équitable et contribuer aux objectifs de réduction de la pauvreté et de sécurité alimentaire.

FAO Marchés / Comme 2008

FAO Droit, Agricultu 2013

FAO Marchés / Commer 2006FAO L'élevage, Agri 2009

FAO Marchés / Comme 2007FAO La présente édition du r Pisciculture / Pêc 2016Prof Bonnetblanc La Structure d'un Article SRecherche/Traveaux ScientifiqueCTA L'élevage, Agricult 2010GoodPlanet Biologie, Environnement GoodPlanet Biologie, Environnement GoodPlanet Biologie, RDC, Environnement, Forêt UN accord sur le changemenChangement Cli 2015DIDIER LORIOUX Agriculture Gerald Wiener, Roger Rouvi L'élevage, Agricult 2009

Une des méthodes particGestion

Banque Mondial, VeenhoopCe rapport traite des peRDC, Environneme 2009Un activité avec les figu

Léonce Sessou Marchés / Commerce, Agriculture Projet Equateur Agriculture, L' 2014CTA Marchés / Commerc 2013

CTA Finance / Chain de 2013

CTA Agriculture 2013

CTA Après six années de di Finance / Chain de V 2013

CTA Marchés / Commerc 2013

CTA Marchés / Commerc 2013

CTA Marchés / Commer 2013

CTA Marchés / Commerc 2013

CTA Marchés / Commer 2013

organisations intergouvernementales compétentes, et notamment la FAO, dansle cadre de leur mandat et de leur domaine de compétence, et avec la participation des gouvernements nationaux, des partenariats, du secteur privé et de la société civile, de stimuler un dialogue international cohérent, efficace et fondé sur les résultats, au sujet des biocarburants, dans le contexte dela sécurité alimentaire et des besoins en matière de développement durable.» J’espère que le présent rapport contribuera à renforcer le dialogue et l’action politique dans ce domaine, eu égard aux choix difficiles auxquels nous sommes confrontés.Les approches de la nutrition fondées sur les systèmes alimentaires sont souvent opposées à celles reposant sur des interventions à caractère médical, comme la supplémentation en vitamines et en minéraux. Même si les compléments nutritionnels permettent de remédier à certaines carences, un régime alimentaire de bonne qualité nutritionnelle garantit que les personnes reçoivent l’ensemble des nutriments dont elles ont besoin, et constitue donc la seule approche susceptible de remédier à toutes les formesde malnutrition. De surcroît, les approches fondées sur les systèmes alimentaires font droit aux avantages sociaux, psychologiques et culturels que procure le fait de jouir d’une alimentation variée. La malnutrition estun problème complexe qui nécessite des interventions intégrées, multisectorielles, mais une bonne nutrition passe d’abord par l’alimentation et l’agriculture. Le présent rapport montre la voie à suivre.si le monde veut atteindre les Objectifsdu Millénaire pour le développement quiest celui de réduire de moitié la faim et l’extrême pauvreté avant 2015.ni par des acteurs isolés. Ils requièrent des efforts intégrés d’une multitude de parties prenantes. De tels efforts doivent s’attaquer aux causes profondes de ces problèmesdans des domaines ou les impacts sociaux, environnementaux et sanitaires du secteur de l’élevage et son développement rapide sont négatifs. Ils doivent également être réalistes et équitables. En concentrant notre attention de manière constructive, nous pouvons opérer la transition vers un secteur de l’élevage plus responsable, capable de répondre aux objectifs multiples et souvent contradictoires de la société. J’espère que le présent rapport pourra contribuer à jeter les premières bases d’une telle orientation.de la base de données statistiques FAOSTAT gérée par la Division de la statistique de la FAO.La Troisième partie, Annexe statistique, a été préparée par Terri Raney et Slobodanka Teodosijevic et s’appuie sur l’Annuaire statistique de la FAO 2005-06, réalisé par la Division de la statistique de la FAO, dont la collaboration a été très appréciée.Le rapport doit beaucoup aux compétences de la Sous-division des politiques et de l’appui en matière de publications électroniques de la Division de la communication de la FAO, que nous remercions de sa participation.

Je recommande donc vivement cet ouvrage qui valorise l'expérience importante des auteurs dans le domaine de l'énergie animale ; je souhaite qu'il stimule favorablement les personnes concernées par la traction animale et qu'il contribue à promouvoir des politiques et des pratiques appropriées dans ce domaine, pour les années à venir.Elle inclut aussi les chimpanzés et les gorilles. Les homininés sont une sous-famille des hominidés, comprenant les genres Homo et Australopithecus.des neiges comme emblème officiel de la province.À l’inverse, les chimpanzés communs ont une peau claire, le crâne passablement dégarni et des oreilles décollées bien visibles.

Grands principes de l’agriculture durable Méthode et indicateursTémoignages de producteursCe livre constitue un guide irremplaçable pour tous ceux qui sont concernés par l’amélioration des animaux de production dans les pays tropicaux. Le lecteur constatera que des sujets aussi divers que la nécessité de préserver le matériel génétique des races tropicales et les applications des nouvelles techniques de biotechnologie y sont abordés. Cet ouvrage, dont la lecture devrait être complétée par celle des autres titres de la collection consacrés plus spécifiquement aux différentes espèces animales, est une source inestimable de connaissances théoriques et pratiques pour tous ceux que l’amélioration des cheptels tropicaux intéresse.

Au Bénin, le centre Songhaï s’inscrit dans cette dynamique. Le pays a de grands po- tentiels agricoles et occupe une position stratégique qui lui permet de s’ouvrir au marché dans la sous région ouest-africaine. 67% de la population béninoise vivent de l’agriculture qui reste marquée par la mo- no-culture du coton, principal produit d’ex- portation, la faible diversi cation et une forte vulnérabilité aux chocs exogènes.Songhaï est un centre de formation, de production, de recherche et développement en agriculture durable qui repose sur un système intégré de production qui crée une alliance entre l’homme, l’environnement et la technologie. Des sites de formation et de production ont été implantés dans quatre régions du pays suivant les grandes tendances agro écologiques.Le Changement Climatique est du à l'augmenta-tion de la concentration gaz-à-effet de serre ( GES) liés aux activités humaines dans l’atmos-phère ( le dioxyde de carbone ( CO2), le méthane ( CH4) , N2O, HFC, SF6 , PFC et particulière-ment en RDC le dioxyde de carbone CO2 et le méthane CH4 dont les sources d’émission de CO2 sont la carbonisation [makala] pour l’énergie , l’agriculture itinérante sur brulis , le bois éner-gie , les feux de brousse , les déchets nonbiodégradable.ligné par l’étude de l’Overseas Develop- ment Institute (ODI) sur l’impact des ZLE de l’UE avec les pays d’Amérique latine sur le secteur du rhum des Caraïbes, les changements dans les politiques de l’UE ne peuvent être jugés séparément de développements plus généraux. Toute analyse doit prendre en considération les évolutions plus larges des politiques commerciales, agricoles et même scales qui ont un impact sur les marchés pour les produits ACP à travers la planète.Les pays ACP seront confrontés à de nouveaux enjeux à mesure qu’ils pro- gresseront dans la mise en œuvre des engagements politiques de l’APE. Toute une série de dispositions d’APE ont des incidences sur l’utilisation des instru- ments de politique commerciale par les gouvernements ACP. Dans le cadre des efforts nationaux de s écurité alimentaire, ces instruments sont de plus en plus uti- lisés en réponse à la hausse des prix, ce qui aggrave la volatilité de ceux-ci. Dans ce contexte, les efforts des gouverne- ments du CARIFORUM pour résoudre ces incohérences entre l’utilisation actuelle des instruments de politique commerciale agricole et les engagements politiques de l’APE sont d’autant plus importants.L’élaboration de politiques comporte des conséquences macro-écono- miques et politiques majeures, depuis l’effondrement économique au Zim- babwe et la famine dans la Corne de l’Afrique jusqu’aux émeutes de la faim périodiques face à la hausse des prix des denrées alimentaires. Ce passif de spoliation foncière et de famine dans certains pays a des conséquences importantes sur le processus d’élabo- ration des politiques. À cet égard, les facteurs historiques in uençant la formu- lation de la politique agricole rappellent fortement la politique agricole de l’UE pendant la Guerre froide, axée sur la sécurité alimentaire, qui était en vigueurentre 1957 et le début des années 1990. Dans l’UE, il aura fallu 20 ans de réforme pour mettre en œuvre des changements, politiquement très contestés au demeu- rant (pour preuve les discussions sur la politique agricole commune – PAC – de l’UE de 2012/13).

Les pays d’Afrique centrale – le Came- roun, la République centrafricaine (RCA), la République du Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad, tous membres de la Communauté écono- mique et monétaire d’Afrique centrale/ CEMAC, ainsi que la République démo- cratique du Congo (RDC) et Sao Tomé et Principe (STP) – poursuivent des intérêts différents dans le secteur agricole, en fonction de leurs niveaux d’urbanisation, de la disponibilité des terres agricoles et des ressources pétrolières respectives. Dans certains pays, comme en RCA, au Tchad, en RDC et en Guinée équatoriale, la population est principalement rurale et employée dans l’agriculture. Dans des pays tels que le Gabon et STP, le secteur agricole occupe un très faible pourcen- tage de la population. Entre les deux se trouvent le Cameroun et la République du Congo, ou l’agriculture reste une activité très importante, malgré l’intérêt pour les activités économiques liées au pétrole et aux ressources naturelles.Une caractéristique commune à tous ces pays est le niveau insuf sant de produc-tion locale pour satisfaire les besoins des consommateurs. Bien que le Cameroun soit en partie autosuf sant en produits alimentaires de base, d’autres pays de la r égion dépendent largement des impor- tations. Ces dernières années, les amélio- rations dans la production céréalière ont été limitées, avec des importations qui progressent et des problèmes persistants d’insécurité alimentaire en particulier en RCA, en RDC, au Congo et au Tchad.

« Le principal objectif des stra- tégies de différenciation des produits est de garantir au pro- ducteur des primes sur les prix pour des catégories spéci ques de produits »La forme la plus répandue de ces stra- tégies est le travail sur l’image de marque des produits, en parallèle de campagnes publicitaires à grande échelle. Cependant, au cours des 20 dernières années, des stratégies plus génériques basées sur les caractéristiques perçues de produits particuliers sont apparues.Dans le contexte de l’UE, cette tendance doit être considérée dans le cadre de la réforme de la Politique agricole commune (PAC) et la mise en place d’une base per- mettant de maintenir et renforcer la valeur de la production agroalimentaire europ ée- nne alors que le commerce des produits agricoles se libéralise. Elle doit également être appréhendée au regard de revenus disponibles croissants et d’une segmen- tation accrue des marchés des produits alimentaires. Au-delà d’un certain niveau de revenus, lorsque les consommateurs disposent de davantage de moyens, ils ne consomment pas plus de nourriture pour autant, mais ils consomment diff érem- ment, puisqu’ils sont même prêts à payer plus pour des produits ayant des carac- téristiques et attributs particuliers. Ces attributs de qualité peuvent être liés au processus de production, au fonctionne- ment de la chaîne d’approvisionnement, ou encore à l’origine géographique ou à d’autres caractéristiques de qualité spéci ques.

Le processus de réforme de la Politique agricole commune (PAC) de l’UE, qui est en cours depuis 1992, a radicale- ment changé le niveau et la structure du soutien de l’UE. Les mesures d’inter- vention sur le marché ont été largement remplacées par diverses formes d’aide directe aux agriculteurs. Il y a eu une réduction majeure des formes de sou- tien ayant le plus d’effets de distorsion des échanges (restitutions à l’exporta- tion), et les mesures d’intervention ont été converties en instruments fournis- sant des lets de sécurité nanciers aux agriculteurs. Le processus de réforme a été grandement facilité par la hausse des prix des denrées alimentaires au niveau mondial, une hausse liée aux structures changeantes de la demande mondiale. La réforme de la PAC, ainsi que la am- bée des prix mondiaux des denrées alimentaires, ont contribué à réaliser un grand objectif de la politique de l’UE – le développement d’une industrie alimen- taire et des boissons à plus forte valeurajoutée compétitive et orientée vers le marché mondial. Depuis 2010, l’UE s’est imposée comme un grand exportateur net de produits alimentaires et agricoles grâce à cette transition réussie.Les règles de l’OMC s’appliquant au commerce international de poisson, ainsi que les traités et conventions régissant la gestion et la conservation des pêche- ries, sont importants pour les pays ACP producteurs de poisson.Le commerce de poissons et de produits de la pêche est géré dans les négocia- tions d’accès au marché non agricoles de l’OMC. De nombreux observateurs considèrent que, jusqu’à ce qu’il y ait une amélioration dans les négociations commerciales plus générales de l’OMC,il y aura peu de progrès dans les négo- ciations sur les pêcheries.Bien que l’agriculture reste le fondement économique de la plupart des économiesPACP, des contraintes physiques et logis- tiques sérieuses se posent à une pro- duction et un commerce compétitifs. La croissance dans d’autres secteurs éco- nomiques de certains pays menace de provoquer un exode de la main-d’œuvre des secteurs d’exportation établis (par ex. le secteur du café en Papouasie- Nouvelle-Guinée [PNG]). En réponse à ces dé s de compétitivité, l’intérêt se déplace vers les marchés de niche et la transformation à plus forte valeur ajoutée des produits agricoles destinés à l’expor- tation. Le renforcement des organisa- tions de producteurs, la promotion des ventes directes, la levée des contraintes logistiques, la bonne gestion des dé s sanitaires et phytosanitaires (SPS) et l’identi cation des moyens de réduire les couts de la certi cation biologique sont autant de domaines qui reçoivent une attention et un soutien de l’« aide pour le commerce » accrus.

Les règles d’origine sont encore un point très litigieux dans le secteur de la pêche. Même si certains accords avec les pays ACP ont accordé des concessions en autorisant l’approvisionnement globalpour certains produits, ils ne sont pas généralisés à travers les différents pays ACP, et les concessions n’ont pas été appliquées à un plus large éventail de produits de la pêche.Par ailleurs, vu l’application plus stricte par l’UE des normes sanitaires et phy- tosanitaires (SPS) et des exigences de sécurité des denrées alimentaires, celles- ci jouent un rôle majeur pour obtenir un accès au marché ef cace, en particulier pour les pêcheries artisanales des pays ACP.

CTA Finance / Chain de 2013CTA Les niveaux élevés et l Finance / Chain de 2013CTA Il existe plus de 1 000 Marchés / Commerc 2013

CTA Marchés / Commerc 2013CTA Finance / Chain de 2013

CTA Marchés / Commerc 2013CTA Marchés / Commerc 2013CTA Les producteurs ACP sont Finance / Chain de 2013CTA Marchés / Commerc 2013CTA Marchés / Commerc 2013CTA Les prix mondiaux du rizFinance / Chain de 2013CTA Marchés / Commerc 2013CTA Finance / Chain de 2013CTA Marchés / Commer 2013

CTA Marchés / Commer 2013

CTA Finance / Chain de 2013Biologie, Environnement

Laura Brimont Le mécanisme de RéductioMarchés / Comm 2014CTA Marchés / Comme 2014RFI Cette liste de termes, Developpement 2015Bodo Ransendrasoa Finance / Chain 2013GoodPlanet L'eau, Environnement Nzoimbengene, Philippe Parmi les langues congolaCommunication 2013FAO Marchés / Commerc 2013Le ministère de l’Économie Marketing 2014Jean Claude corbeil, Ariane‐ Anglais Jean-Charles Jacquemard Marchés / Comme 2011

Marchés / Comm 2013GoodPlanet Pisciculture / Pêche / Poisson, Biologie, Environnement, DéforestaMario Lemieux Ressource Form 1995Nango Dembe le Ministre, ComU ne des mesures d’accompMarchés / Commer 2014

Cet article de fond décr Marchés / Commerc 2012Michel Rivier, Jean-Michel Me Marchés / Commer 2009GoodPlanet Agriculture, Biologie, Environnement

La Politique commune de la pêche (PCP) régit les activités des ottes de pêche de l’UE, y compris les opérations en eaux lointaines. La PCP est révisée tous les 10 ans, la dernière réforme ayant été nali-sée à la mi-2013. La nouvelle PCP sera nancée via le Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche (FEAMP), les détails de ce nancement étant tou- jours en cours de discussion. Le FEAMP couvrira les dépenses liées à la dimen- sion extérieure de la politique de pêche de l’UE, notamment les contributions nancières aux Accords de partenariat de pêche (APP) ; la participation aux organisations régionales de gestion des pêches au thon ; et, selon toute probabilité, le nancement pour la ces- sation temporaire des activités lorsque les protocoles d’accord de pêche ne sont pas renouvelés à temps. Les dépenses au titre des APP peuvent être complétées par le Fonds européen de développement, en particulier pour les programmes de suivi, contrôle et surveillance (MCS).

Malgré l’importance du protocole bœuf au titre de la Convention de Lomé, seul un pays ACP – la Namibie – exporte cou- ramment vers l’UE, les exportations en provenance du Botswana étant réguliè- rement interrompues pour des raisons sanitaires et phytosanitaires (SPS), du fait des lacunes dans les systèmes de tra- çabilité utilisés. La Namibie, cependant, est en train de diversi er ses exportations de bœuf au-delà des marchés de l’UE, compte tenu des incertitudes dans les négociations internationales d’accord de partenariat économique.Plusieurs pays ACP cherchent à dévelop- per la production de bœuf à destination des marchés nationaux, régionaux et internationaux. La croissance rapide de la demande de bœuf en Chine et dans d’autres économies émergentes, les contraintes de l’offre et la hausse desprix ont toutes engendré un regain d’inté- rêt pour la production de bœuf parmi les pays ACP. Cependant, pour la plupart des pays ACP, les marchés nationaux et régionaux du bœuf sont la clé de la croissance future.Ce dé est particulièrement important dans les petites nations insulaires, mais aussi dans de nombreuses régions d’Afrique, affectant à la fois les systèmes de pro- duction à petite échelle et la production de volaille à échelle industrielle. Différentes initiatives émergent pour tenter de relever ce dé , parmi lesquelles le développement de chaînes d’approvisionnement régio- nales en alimentation animale.À travers les pays ACP, les maladies ani- males, les questions d’infrastructures et de marketing doivent – à différents degrés – être traitées.L’application plus stricte des normes sani- taires et phytosanitaires (SPS) de l’UE et les évolutions vers un recouvrement total des couts d’inspection réduisent l’attraitdu marché de l’UE. Ceci encourage une orientation des politiques vers la diver- si cation des marchés, même si cela reste un dé au niveau de l’entreprise. Les développements dans le domaine des transports et de la logistique jouent un rôle important pour favoriser cette diversi cation des marchés, même si l’obtention des approbations SPS reste une condition sine qua non pour que les exportations puissent avoir lieu. Cela peut être un processus long et couteux.Dans les Caraïbes, les propositions amé- ricaines visant à renforcer les règles sur les importations de fruits et légumes frais poseront des dé s particuliers en 2013 ; dans le Paci que, des problèmes récur- rents d’approbations SPS sont rencontrés sur le marché australien.Alors qu’ils sont producteurs de quatre des sept principaux oléagineux au niveau mondial, les pays ACP jouent un rôle marginal dans ce commerce. Même sur le marché européen, les paysACP subissent la concurrence accrue des producteurs à bas cout d’huile de palme d’Asie du Sud-Est. Cependant, de nouveaux investissements dans certains pays d’Afrique centrale et de l’Ouest, qui étaient auparavant les principaux four- nisseurs d’huile de palme, pourraient contribuer à changer la donne.

robusta ont lancé plusieurs initiatives, celles-ci étant jugées plus que néces- saires étant donné la prédominance de cette variété en Afrique et la croissance rapide de sa consommation ces der- nières années. Bien que la hausse de la demande soit plus rapide sur les marchés émergents, la différenciation des produits est une caractéristique grandissante des marchés du café bien établis (par exemple les cafés d’une même origine, les cafés certi és comme produits dura- blement, les cafés issus de l’agriculture biologique et du commerce équitable). La croissance des ventes de café en cap- sule à usage unique est également une caractéristique majeure des marchés du café matures.En Afrique orientale et australe, un déclin de 21 % de la production de coton est attendu en 2012/13, et cette baisse devrait se poursuivre en 2013/14, suite à un recul de la production à travers la région.Alors que la Chine fournit le niveau de soutien au secteur cotonnier le plus élevé dans l’ensemble, l’UE continue à fournir le plus haut niveau de soutien par tonne de production. L’extension des marges de manœuvre pour l’allo- cation des aides couplées, comme prévu par l’accord politique de juin 2013 sur la réforme de la PAC, pourrait avoir comme conséquence une hausse des aides couplées pour le secteur coton- nier dans les sept années à venir. Ce développement n’augure rien de bon pour les discussions sur la question du coton dans le cadre de l’OMC, qui sont restées au point mort en 2012/13. Cependant les États-Unis demeurent au cœur de quelque développement qui pourrait se produire sur la question du coton à l’OMC.

par rapport aux raf neurs traditionnels de sucre de canne.La Commission européenne (CE) a été vivement critiquée par les utilisateurs de sucre industriels et les raf neurs tra- ditionnels pour sa gestion du régime sucrier actuel, et ceux-ci ont réclamé des réformes supplémentaires. Bien que l’abolition des quotas transfère invariable- ment la production de betterave vers les zones de production à plus faible cout, en améliorant la compétitivité globale des prix, certains gouvernements de l’UE ont été peu enclins à abolir les quotas avant 2020.gains sur le court terme, qui doivent être considérées au regard de couts de production en hausse. À long terme, on pense que le changement clima- tique constituera une menace pour la production de thé. La sécheresse a déjà affecté les efforts de réhabilitation dans des pays comme la Tanzanie, et un déplacement majeur des régions de production devrait s’avérer nécessaire au Kenya. Il est probable que l’aide sous forme d’« aide pour le commerce » joue un rôle important dans le soutien aux ajustements relatifs au changement climatique.le développement du commerce mon- dial de produits laitiers, en particulier de lait écrémé en poudre ;les innovations technologiques, qui permettront d’alimenter une demande des consommateurs inexploitée sur les marchés émergents.Alors que les normes sanitaires et phyto- sanitaires (SPS) et de sécurité des denrées alimentaires sont une barrière de plus en plus importante pour les exportations des pays ACP de produits alimentaires et agri- coles vers l’UE, elles sont également une contrainte forte pour la diversi cation géo- graphique des exportations, notamment le développement du commerce intra-régional de produits alimentaires et agricoles.S’agissant de leurs conséquences com- merciales, les préoccupations en matière de normes SPS et de sécurité des denrées alimentaires au niveau national, régional et international interagissent de nombreuses façons. Les questions liées à l’intégrité des protocoles nationaux SPS et de sécurité des denrées alimentaires, qui permettent aux exportations au-delà des mers de se faire, peuvent générer des barrières au commerce intra-régional. Les restrictionsd’accès au marché basées sur les normes SPS et de sécurité des denrées alimen- taires sur les marchés étrangers peuvent intensi er la concurrence sur les marchés régionaux, tandis que les efforts pour har- moniser les normes régionales en vue de faciliter l’accès aux marchés internationaux pourraient s’avérer discriminatoires à l’égard de certains producteurs nationaux et en fait les exclure des marchés of ciels.

En 2012-13, alors que le processus géné- ral de négociations commerciales de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) est resté au point mort, toute une série de propositions agricoles ont néan- moins été mises sur la table, en vue de redonner un élan et de sortir de l’impasse avant la réunion ministérielle de l’OMC de décembre 2013, prévue à Bali.

Les gouvernements, les partenaires de développement, les ONG et les investisseurs privés consacrent davantage d’attention qu’auparavant à l’agriculture comme moteur de la croissance socio-économique dans les pays ACP. Le moment est venu de redoubler d’efforts et de jouer un rôle toujours plus actif dans le processus de transformation agricole. Il s’agit de tirer pleinement pro t du potentiel de l’agriculture pour assurer la s écurité alimentaire et nutritionnelle, comme la prospérité, de millions de citoyens des pays ACP.

L’auteur prend en charge l’entière responsabilité des erreurs ou omissions contenues dans le présent document.Originaire du bassin du fleuve Amazone en Amérique du Sud, la jacinthe d’eau, Eichhornia crassipes, a été introduite comme plante ornementale dans les jardins d’eau, en Asie et en Afrique notamment, à la fin du XIXe siècle. Elle s’est parfaitement adaptée aux régions tropicales ou elle envahit les marécageset les cours d’eau (lac Victoria, fleuve Niger).

L’adoption d’une agriculture de type «Produire plus avec moins» nécessitera des améliorations conséquentes de l’apport aux petits producteurs de vulgarisa- tion, d’intrants et de crédits à la production. De plus, la FAO est bien consciente que l’amélioration de la productivité peut ne pas suffire à un développement durable et à long terme: un effort considérable reste nécessaire pour intégrer les petits producteurs aux niveaux supérieurs de la création de valeur ajoutée. La transformation du manioc en un sous-secteur polyvalent à même de générer du revenu, de diversifier des économies et d’assurer la sécurité alimentaire pour chacun va exiger une volonté politique, des investissements, un soutien institu- tionnel et une approche du développement technologique axée sur la demande.Le présent guide offre aux décideurs une base solide pour évaluer dans quelle mesure une filière manioc dynamique peut les aider à atteindre leurs objectifs en termes de lutte contre la pauvreté, de développement économique et de sécurité alimentaire, et aux chercheurs, techniciens et autres acteurs du développement agricole un outil pratique pour élaborer des programmes d’intensification durable de la production du manioc.• Réaliser l’importance de l’information en marketing.• Concevoir une stratégie de marketing sur la base des risques et des béné ces perçus par les clients.Des repères de couleur accompagnent chaque thème pour faciliter l’accès rapide aux sections correspondantes du livreDans cet ouvrage, l’auteur fournit au praticien les recommandations et informations nécessaires pour la mise en place et l’exploitation d’une palmeraie commerciale. Il présente, de façon claire et précise, les techniques adaptées au développement durable de cette culture en plantation, dans le respect de l’environnement et de la protection des personnels qui y travaillent.L’auteur, Jean-Charles Jacquemard, est un spécialiste de cette culture à laquelle il a consacré toute sa carrière en recherche-développement sur le terrain dans différents pays d’Afrique et d’Asie. Il propose ici un ouvrage de référence complet, synthétique et tout à fait actualisé.Émilien Dubiez1, 2 Cédric Vermeulen1, 3 Jean Philippe Tonneau4 Timothée Yamba Yamba2 Baby Mvolo2

Adélaïde Larzillière2La gestion de la ressource bois énergie en périphérie des grands centres urbains est devenue une préoccupation de pre- mier ordre en Afrique centrale. À une demande croissante en bois énergie cor- respondent des auréoles de déforesta- tion de plus en plus larges. Les commu- nautés villageoises situées dans cette auréole vivent aujourd’hui dans un envi- ronnement à ce point dégradé que les écosystèmes forestiers et les biens et services associés y ont presque disparu. La surexploitation de ces espaces néces- site entre autres de repenser l’aménage- ment des terroirs villageois. Cette étude présente une démarche d’élaboration de plan simple de gestion de terroirs villa- geois. L’article discute la pertinence d’une approche d’aménagement fondée sur le paysage perçu et vécu par les populations. L’organisation sociale de la communauté, ses pratiques et ses modes de régulation d’accès à la res- source sont des éléments qui structurent le paysage. Ils se traduisent dans une typologie locale de l’espace employée au quotidien. Cette typologie a été mobili- sée pour une meilleure appropriation des concepts d’aménagement par les communautés et pour une mise en œuvre plus effective. À contre-courant de la foresterie communautaire développée depuis plusieurs années en Afrique cen- trale, cette approche est structurée autour d’un processus participatif, pro- gressif et itératif. Elle permet d’amener des groupes endogènes à intégrer leur vision de l’espace dans les prises de décision, à faciliter les débats autour de la question de l’aménagement de leur terroir et à contribuer à la reconstitution d’espaces forestiers dégradés.Mots-clés : paysage, typologie locale, aménagement, bois énergie, Bas-Congo, République démocratique du Congo.de plus de 2,6 milliards d’êtres humains. Ils sont aussi à l’origine de l’emploi direct de 38 millions de personnes. Ce sont pour la plupart des emplois de pauvres, à 87 % asiatiques contre 2 % seulement en Europe. La montée importante de la production halieutique mondiale au cours du siècle dernier a bouleversé les équilibres biologiques et la chaîne alimentaire océanique.et sa présentation matérielle sont discutés. La bibliographie commentée signale quelquesouvrages dont le guide s'est inspiré.

Nico Janssen, Ranjan Shrestha

Il présente l’ensemble des étapes de l’activité de transformation, depuis l’appro- visionnement en mangues jusqu’à la mise en marché du produit séché. Il aborde également la conception et la réalisation d’une unité de séchage de mangues, y compris des séchoirs dont les plans de fabrication sont donnés ; enfin, il décrit les bonnes pratiques à mettre en œuvre pour obtenir un produit sain, loyal et marchand apte à satisfaire les attentes du marché.Le guide s’adresse à tous les responsables de petites et moyennes entreprises, entrepreneurs et porteurs de projets qui souhaitent développer une activité de séchage de mangue ou améliorer les conditions de fonctionnement de leur acti- vité existante. Les renseignements qu’il contient seront aussi utiles à ceux qui sèchent ou souhaitent sécher d’autres végétaux à forte teneur en eau. Cet outil permettra également aux conseillers d’entreprises d’accompagner plus efficace- ment les opérateurs économiques dans le développement de leur entreprise.Les conocybes sont des champignons de la famille des Bolbitiacées. Cette famille comporte plusieurs genres dont les caractères de détermination principaux résident dans leur biotope et les spores qu’ils produisent. Les conocybes se développent sur le bois mort et les débris végétaux, essaimant une sporée ocre, rouille ou brune. Avec de nombreux autres organismes (bactéries, racines, vers de terre, etc.), ils participent au recyclage de la matière organique et au fonctionnement des sols.

Banque Mondial,Bashir, SajiLes Objectifs de dévelopFinance / Chain d 2005E. Matafora La base d'excel 2010CEECE Marchés / Commerce, Finance / Chain de Valeur, Gestion, Droit, EFAO Faisant partie de l’Anné Marchés / Comme 2016counsil economique pour la Environnement, 2010Club Positif 2007ONU-REDD Brève Introduction cadrREDD 2014

Banque Mondial, Natacha L Cette étude montre que, Marchés / Commer 2011CIRAD RDC, Environnem 2013CTA Agriculture 2013Banque Mondial Un nouveau rapport de la 2016GoodPlanet Biologie, Environnement Henri Décamps 2013Gratien Mokonzi Bambanot RDC

Tovo, Maurizia, Banque Mondial RDC 2015UNICEF, Practica et Entrepr UNICEF, Practica et EntrDeveloppement D 2009Commission des Forêts d'Af RDC, Forêt, Défo 2012FAO Gestion, Environ 2009Organisation des Nations Unies pour l'alimentation etAgriculture, Forê 2007

FAO sustainable forest managForêt, Changeme 2016

FAO Marchés / Commerc 2014SNV/Stoas Gestion, Environnement FAO Les Paiements pour serv CTA Marchés / Commer 2012PACE Un brochure qui expliqu Michel PRIEUR Droit, Environnement François Dress Mathématiques, Anglais AFADEC Bernard Gazier Alternatives économiques,Gestion 2004

Marchés / Commer 2014UNICEF, Practica et Entrepr UNICEF, Practica et EntrDeveloppement D 2009

Laurent Parrot1*, Azer Nan Entre 1930 et 2020, la pAgriculture 2015

Pope Francis L'encyclique du pape suEnvironnement, 2015

Les entrées du glossaire auxquelles renvoient les études de cas ont été rédigées par les partenaires de CEECEC de façon à compléter les chapitres des cas d‘études en expliquant plus en profondeur les concepts qui y sont présentés. Les entrées furent élaborées à partir de connaissances déjà présentes dans le domaine public (sur Internet et dans d‘autres publications en écologie économique ou en écologie politique) et, dans certains cas, sur la base des recherches des auteurs de ces entrées. Il y a plus de 65 entrées, classées par ordre alphabétique et couvrant des sujets allant des ―affluence et impacts environnementaux‖ au ―tragédie des communaux‖ .Le produit fini, intitulé ―Le manuel de CEECEC : l‘économie écologique de bas en haut‖, est une boîte à outils permettant l‘étude de l‘économie écologique de manière autonome via l‘expérience et le savoir activiste de première main. Les chapitres traitent de questions et de conflits environnementaux aux enjeux cruciaux. Si leur contenu est principalement destiné aux organisations de justice environnementale et à la société civile, il sera aussi particulièrement utile aux chercheurs et professeurs des sciences de la soutenabilité, ainsi qu‘aux décideurs politiques travaillant à la promotion de la soutenabilité à différents niveaux.

Ces trois exemples témoignent d’un processus maintenant dynamique de développement des « paiements pour services environnementaux » (PSE). Ceux-ci concernent notamment cinq types de biens ou services environnementaux : la quantit é et la qualité de la ressource en eau ; la protection des bassins versants contre l’érosion; la séquestration du carbone; la conservation de la biodiversité ; et la préservation des paysages.L’examen des potentialités de tels dispositifs mérite évidemment l’attention dans la perspective de l’évolution de la politique agricole commune. Mais l’enjeu est plus vaste, les politiques de protection des ressources naturelles pouvant généralement trouver profit au développement de mécanismes combinant efficacement PSE et mise en place d’obligations strictes de compensation de certaines atteintes à l’environnement.7. Avancez doucement, vous irez plus loin.8. Nous devrions tous permettre à nos amis de sentir qu'ils nous ont surpassé à un moment ou à un autre.

Des techniques comme la RNA pourraient également enrichir le processus, étant souvent pratiquée traditionnellement sur certaines espèces telles que le Lisongo (Ricinodendron heudelotii, arbre porteur de chenilles), le Sapelli (Entandrophragma cylindricum, arbre porteur de chenilles et bois d’œuvre de qualit é) ou encore le Peke (Alstonia boneii, arbre à bois de coffrage).Fruitiers, coupe et régénération, voilà probablement une belle porte d’entrée à la gestion durable des ressources forestières au pro t des populations locales en périphérie de Kisangani.• Un cordeau de jardinier, composé dedeux piquets reliés par une cordelette, pour tracer des lignes et délimiter des espaces à retourner.Ayez à disposition au moins deux cordeaux.

Le transfert du pollen des étamines productrices vers les stigmates récepteurs répond à des exigences précises en termes de quantité (intensité de pollinisation), de qualité (viabilité du pollen, phénomènes d’incompatibilité), et de durée (période de pollinisation). La connaissance des facteurs impliqués dans l’efficacitéde la pollinisation permet d’améliorer les pratiques de pollinisation.

La mission de la RDC s’annonçait donc difficile au regard des défis à relever et des ressources humaines disponibles. Oui, désormais il fallait compter sur soi-même, faire tourner tout l’appareil de l’administration et tous les autres secteurs de la vie nationale ; mais avec quelles ressources humaines? 20 universitaires, peu de diplômés de l’enseignement secondaire, très peu de techniciens… L’héritage colonial sur le plan scolaire était à la fois pauvre et déséquilibré : d’une part un enseignement primaire des plus étendus et, d’autre part, un enseignement secondaire et universitaire des moins développés de l’Afrique.Ce système éducatif qui répondait merveilleusement bien aux objectifs de la colonisation2 ne devrait logiquement pas faire face aux défis majeurs de l’indépendance. En effet, s’il était capable de pourvoir l’administration coloniale des auxiliaires nécessaires dont elle avait besoin, un tel système ne pouvait doter le pays de cadres de conception dorénavant indispensables pour le décollage de son développement. C’est pourquoi, l’un des premiers préalables à réaliser pour le développement économique et social du pays va être inexorablement l’expansion de son système éducatif.

La version finale du document a ensuite été préparée par l’équipe de l’OFAC à la cellule régionale de Kinshasa, et remise au Secrétariat exécutif de la COMIFAC et aux membres du PFBC lors de la réunion de Douala le 1er mars 2012.Plus de 100 auteurs provenant de nombreuses institutions ont collaboré à cette étude. Une liste exhaustive est disponible dans la version intégrale, tandis que les logos des principales organisations contributrices sont repris au dos de ce document.Les petites îles montagneuses sont soumises aux influences classiques qu’exerce la forêt sur la quantité d’eau et sa qualité. En raison de la longueur assez restreinte des cours d’eau, les relations entre l’amont et l’aval sont étroites; tout ce qui se produit dans les hautes terres (notamment les inondations, les débits d’étiage, la sédimentation et les polluants déversés dans l’eau) se traduit en général par une modification de la quantité d’eau et de sa qualité. Dans les petites îles, les ressources en eau douce sont souvent très rares, et donc précieuses. Les décideurs en matière d’aménagement des forêts doivent donc être extrêmement prudents quant aux modifications ou aux déboisements qui portent atteinte aux ressources hydriques.La dégradation des bassins versants a permis de mieux prendre conscience des diverses manières dont ces écosystèmes contribuent au bien-être de l’humanité en raison des nombreux services qu’ils procurent, et donc de l’importance de les mettre davantage en valeur. Les services fournis par les bassins versants comprennent l’approvisionnement en eau douce, la r égulation des débits et de la charge sédimentaire, ainsi que la préservation des régimes de flux naturels, qui soutiennent des écosystèmes entiers et des modes de vie. Toutefois, compte tenu de la complexité et de la variabilité des processus des bassins versants, qui sont conditionnés par des phénomènes extrêmes et aléatoires, il est difficile, voire impossible, d’établir avec certitude des liens de cause à effet. Les mécanismes de paiement pour les services des bassins versants ne résoudront pas tous les problèmes de dégradation, mais ils peuvent constituer un volet important d’une stratégie d’aménagement plus globale.

Nous espérons que cette publication apportera de l’aide aux acteurs de terrain qui oeuvrent pour le développement, aux représentants des jeunes, aux associations de jeunesse, aux regroupements de producteurs et aux responsables politiques, tout en leur offrant un aperçu des solutions envisageables à adapter à chaque contexte spécifique Cette étude est le fruit d’un engagement conjoint de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), du Fonds international de développement agricole (FIDA) et du Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA). Nous tenons tout particulièrement à remercier nos équipes pour leur démarche et leur contribution à l’élaboration de cette compilation de bonnes pratiques, ainsi que pour nous avoir montré les leçons et profits que nous devrions tous tirer de ces expériences.Les méthodologies d’analyse et de planification du développement régional qu’elles fonctionnent bien et comment peut-on créer ces conditions ? Quel doit être le rôle des organisations de base, des ONG locales, des organisations gouvernementales, des projets et des personnes extérieures ? L’expérience conjuguée de tous les collaborateurs de la SNV peut apporter un important éclairage sur ces problèmes complexes. Le CD-Rom est seulement le point de départ de cette discussion ; en aucun cas, il n’est le résultat final. Une mise à jour de ce CD-Rom est prévue d’ici quelque temps.

dier à la volatilité des prix, les experts réunis lorsd’un récent Briefing de Bruxelles1 sur le développement ont préconisé un certain nombre de mesures qui pourraient permettre d’en limiter l’amplitude ou d’en atténuer les effets. Il est important que ces mesures soient prises en considération par les pays ACP : ils sont les plus exposés au phénomène.

Bien qu'il soit difficile d'identifier et de classer les principes généraux, certains d'entre eux expriment des vœux ou des objectifs, d'autres constituent de véritables normes juridiques. Les uns et les autres, une fois consacrés juridiquement soit dans des traités, soit dans des lois, sont susceptibles d'entraîner des effets juridiques en s'imposant aux comportements des personnes publiques et des personnes privées et en servant aux juges de norme générale de référence.Le code de l'environnement commence dans son livre 1 par l'énoncé des principes généraux repris de la loi Barnier du 2 février 1995. Il sont repris par la Charte de l’Environnement introduite dans la Constitution française en 20051Cet ouvrage présente par ordre alphabétique les principaux concepts de probabilités et statistique qu’un étudiant de Licence se doit de connaître. Les définitions mathématiques sont illustrées par des exemples. Lorsque cela est utile pour faire comprendre de façon intuitive une notion, la définition est précédée d’une introduction. Des minitables numériques sont présentées. De nombreux renvois permettent de «naviguer» d’une définition à l’autre. Chaque terme est accompagné de sa traduction en anglais. Nouvelle présentation dans la collection « A à Z ».

Franck Galtier1 He lene David-Benz1 Julie Subervie2 Johny Egg3 Dans les pays en de veloppement (PED), les syste`mes d’information sur les marche s (SIM) agricoles se sont de veloppe s en deux phases. Une premie`re ge ne ration de SIM est apparue dans les anne es 1980 au moment de la libe ralisation des agricultures des PED et une seconde ge ne ration l’a suivie dans les anne es 2000 sous l’impulsion de diffe rents facteurs, notamment les difficulte s rencontre es par les SIM de la premie`re ge ne ration pour atteindre leurs objectifs, les nouvelles possibilite s offertes par le de veloppement des TIC – Internet et te le phonie mobile – et l’organisation croissante des ope rateurs prive s (organisations de producteurs, interprofessions). Alors que les SIM de la premie`re ge ne ration (SIM1G) e taient pour la plupart construits sur le meˆme mode`le, les SIM2G (qui ont de veloppe de nombreuses innovations techniques et organisationnelles) pre sentent une grande diversite de mode`les. Quelles sont les principales innovations de veloppe es par les SIM de seconde ge ne ration ? Quels sont les principaux mode`les de SIM existant actuellement ? Dans quelle mesure ces nouveaux mode`les permettent-ils de re pondre plus efficacement que leur pre de cesseur aux objectifs qui leur ont e te assigne s (ame liorer le fonctionnement des marche s et/ou nourrir les politiques publiques en information de marche ) ? Que sait-on des impacts de ces dispositifs ? Le pre sent article et le nume ro the matique dont il constitue l’introduction tentent de re pondre a` ces questions. Mots cle s : impact ; marche ; politique agricole ; se curite alimentaire ; syste`me d’information ; transparence. The`mes : e conomie et de veloppement rural ; me thodes et outils.

Euloge Grégoire Videgla1, Les kluiklui ou kwlikwli Agriculture 2016Linkedin Jean-Baptiste Legal Lire et Resumer un Article Recherche/Trave2007-2008CTA L'élevage, Agricult 2008Forum Syd Gestion, Gouvernance CTA Agriculture, En 2010Direction du Développemen Marchés / Comm 2012FAO Guide pratique pourGestion, Develo 1995FAO Marchés / Commerc 2001Destination Canda Marketing UNESCO Finance / Chain de 2006Agence de Developpement Marchés / Commerc 2009Guy Auliac, Jean Delcourt, Ce cours en trois tomes Mathématiques 2005Gilles Cohen Mathématiques 2014Christiane Rousseau, Yvan SCe livre introduit de no Mathématiques 2000Fondation Sciences Mathémat Gestion, Mathéma 2003

Planification 2006

Institut d’histoire de l’art et Recherche/Traveaux Scientifique, Ecrire, MemoireIbrahima Lo Recherche/Traveaux Scientifique

Blog du Modetator

Myriam Merad Gouvernance 2013CTA Agriculture, Agro 2008

UCL/ELI Géomatique Marchés / Comme 2013

FAO Améliorer l’égalité entreGestion 2015CIRAD un brochure sur l'import Réseau d’Agriculture DurablL'agriculture durable Agriculture 2010UNICEF, Practica Le Ministère de la Pêch L'élevage 2009

Brigitte PEDRO L'eau 2014

FAO Finance / Chain de 2016ONU-REDD SNA / Global Programme REDD 2015

Liste des revues en libre 2010Internet Sans Crainte

niveau d’exposition antérieur à des parasites spécifiques.Le niveau d’infestation parasitaire doit faire l’objet d’un contrôle. Dans le cas contraire, l’infestation peut entraîner des saignements, l’amaigrissement et même la mort de l’animal. En cas d’hydatidose (maladie due à l’infestation par un ténia), le cycle biologique devra être surveillé pour éviter que ne surgisse un problème de santé publique entraînant la mort des personnes infectées.d’autres aspects de la gestion nancière pouvant être incorporés dans la structure d’une organisation. Nous espérons que ce manuel sera utilisé par les présidents et membres des comités de direction, les dirigeants, les directeurs, les gestionnaires, le personnel des programmes, les administrateurs et le personnel charg é des nances.La méconnaissance des techniques de calibrage peut avoir d’autres répercussions négatives. Les échecs des traitements sont souvent abusivement attribués à une prétendue inefficacité des produits et il arrive que les opérateurs, face à des résul- tats décevants, soient tentés par le surdosage ou par le renouvellement des traite- ments, ce qui multiplie les effets nocifs sans résoudre le problème.Ce manuel se propose de contribuer à combler les lacunes de ce type. La première partie présente les notions générales en matière de pulvérisation. Elle expose clai- rement les principes de base régissant la formation des gouttelettes tout en faisant comprendre le rôle des conditions atmosphériques. La deuxième partie décrit le matériel le plus couramment utilisé en lutte antiacridienne terrestre et aérienne. La troisième partie, enfin, intègre les acquis des chapitres précédents et montre comment s’appuyer sur ces connaissances pour concevoir des programmes de traitement adaptés aux diverses situations.

Les projets REDD+ en RDCLa République Démocratique du Congo s’est engagée dans le processus REDD+ en 2009. Un cadre institutionnel dédié a été instauré par le décret du 26 novembre 2009, et le plan de préparation national « R-PP » a reçu de vifs encouragements de la communauté internationale. La RDC est engagée dans une phase de préparation à la REDD+ qui l’amènera à élaborer sa stratégie nationale et son plan d’action associé, à construire les cadres et les outils de la mise en œuvre, à construire ses capacités et à mobiliser toutes ses forces vives en vue de provoquer de profondes transformations dans le pays.Au stade actuel, les données et expériences dont dispose le pays pour développer sa stratégie sont encore partielles et insuffisantes. Au-delà des études complémentaires, il est indispensable d’expérimenter sur le terrain les différentes options d’une stratégie REDD+ afin de tester les multiples conditions de leur mise en œuvre (légales, organisationnelles, financières, humaines, etc.). Au regard de la complexité et de la diversité des problématiques et situations en RDC, le pays accueille favorablement le développement de projets pilotes REDD+ pour couvrir le champ d’expérimentation nécessaire à l’élaboration d’une stratégie nationale complète, ambitieuse et opérationnelle.La mise en œuvre des projets REDD+ devrait permettre à la RDC de s’attaquer aux questions transversales majeures (cadre institutionnel de coordination et de mise en œuvre, réforme légale, droits fonciers et humains, monitoring, notification et vérification) et de se conformer à l’ensemble des thématiques stratégiques retenues à l’issue de l’élaboration participative de la stratégie nationale REDD+ par les Groupes de Coordinations Thématiques. Chaque projet contribuera ainsi à organiser, planifier et quantifier les besoins (institutionnels, techniques, financiers, humains) pour mettre en œuvre une stratégie REDD+ intégrée et réaliste, qui s’attaque de manière systémique, à l’échelle provinciale et nationale, aux multiples causes directes et sous-jacentes de la déforestation.Homologation Nationale ObligatoireLa République Démocratique du Congo souhaite veiller à ce que les activités mises en œuvre dans le cadre du mécanisme REDD+ se développent en cohérence avec les accords et traités internationaux ratifiés par l’État et avec les politiques et mesures en vigueur, ceci conformément aux décisions de la XVIe Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques1. Dans cette perspective, tout projet destiné à valoriser ses réductions d’émissions de gaz à effet de serre liées à la REDD+ sur les marchés du carbone ou auprès d’acheteurs institutionnels internationaux doit obligatoirement faire l’objet d’une homologation préalable par la République Démocratique du Congo.

INTRODUCTION

Les objectifs d’Education pour Tous (EPT) adoptés lors du Forum Mondial sur l’Education à Dakar au Sénégal en avril 2000 sont au cœur des activités de l’UNESCO en matière d’éducation. Les objectifs d’EPT inspirent les stratégies et les plans de réforme et de développement de l’éducation de nombreux pays. Ils constituent également des orientations majeures qui guident les bailleurs de fonds. Les efforts de toutes sortes menés pour atteindre les objectifs EPT prennent place au moment ou un grand nombre de pays sont engagés dans un processus de modernisation de la gestion des secteurs publics. Et l’Education est le plus important des secteurs publics concernés. Ceci représente un défi de taille, à la fois pour les autorités nationales en matière d’éducation et pour leurs partenaires extérieurs, les bailleurs de fonds. Dans de nombreux pays, les rôles, les fonctions et les tâches des acteurs du secteur éducatif connaissent de profonds changements. La décentralisation, composante majeure de la modernisation de la gestion du secteur public, transforme la relation entre le niveau central, principalement les minist ères de l’Education, et les niveaux locaux. Les autorités des niveaux décentralisés (provinciales) en matière d’éducation se voient notamment confier des responsabilités nouvelles quant à l’allocation des ressources et l’utilisation efficace des ressources humaines, matérielles et financières. Dans le même temps, on recourt de plus en plus à des approches programmatiques pour la planification et la réforme de l’éducation.Le renforcement des compétences professionnelles et techniques de l’encadrement aux niveaux et central et provincial (décentralisé) est une condition essentielle au succès de la modernisation de la gestion du secteur éducatif. Il faut bâtir des compétences qui permettent aux gestionnaires de: a) contribuer à la définition des nouvelles fonctions, et b) assumer de nouvelles tâches de gestion dans les domaines de la planification, de la préparation des programmes et du suivi de leur mise en œuvre.Au cours des dernières années, l’UNESCO a été dans de nombreux pays de la région Asie et Pacifique un partenaire pour la préparation des plans nationaux EPT. Plus récemment, l’UNESCO a soutenu les efforts de ces pays pour mettre en œuvre les plans EPT nationaux au moyen d’une planification décentralisée de l’éducation et a élaboré des approches de planification programmatique propres aux pays. En publiant ce manuel, l’UNESCO entend contribuer au développement des compétences nécessaires à une gestion moderne du secteur éducatif. Le Manuel propose une approche de bon sens, commode et efficace de la planification de l’éducation et des outils qui répondent aux besoins de planification tels que les pays eux-mêmes les perçoivent.En partageant l’expérience acquise dans toute la région, l’UNESCO espère amener davantage de pays à adopter des approches communes de planification de l’éducation, des méthodes communes de suivi et des approches communes dans le domaine d’information pour la gestion de l’éducation. Cela renforcerait grandement et la coopération au sein de la région et les capacités nationales de gestion du secteur éducatif. Cela accroîtrait les chances de succès des approches actuellement adoptées, telles que la planification dans un Cadre de Dépenses à Moyen Terme (CDMT) et la Planification Programmatique pour l’Ensemble du Secteur (PPES). viLe Manuel s’adresse d’abord au personnel des unités de planification des ministères de l’Education et aux autorités en matière d’éducation au niveau provincial, décentralisé. Il devrait également être utile aux agences internationales de financement de développement ainsi qu’aux experts internationaux recrutés par ces agences.o Marketing et budgetExercice d'Etude de Marché sur le Terrain

Bibliothèque Tangente est LA collection de prestige de la culture mathématique, celle qui sert de référence à tous ceux qui ont une curiosité scientifique. Avec près de 50 titres s’appuyant sur des contenus soigneusement dosés pour être accessibles au plus grand nombre et sur une mise en page luxueuse, elle propose une nouvelle façon de découvrir le monde et de faire rimer mathématique avec esthétique ! L’équipe de Tangente, dirigée par Gilles Cohen, comporte les meilleurs auteurs français de vulgarisation mathématique.

Parmi les vingt-quatre articles de cet ouvrage, trois proviennent de l’Explosion des mathématiques éditée en 2002 ; les autres sont des textes originaux. Tous illustrent l’ubiquité toujours croissante des mathématiques dans le monde d’aujourd’hui. Le point de vue du mathématicien anglais John Ball sur l’école mathématique française et quelques questions-réponses pour mettre à jour les idées reçues sur le métier de mathématicien complètent aimablement l’ouvrage.

Colette AcheroyHédia Hadjaj-Castro

obligatoires . Cette nouvelle approche remet les acteurs et leurs perceptions (des problèmes, desbesoins ressentis, de la qualité des interventions) au centre d’un processus de planification présentécomme un processus de négociation itératif et non définitif.

nécessaire pour nourrir cette recherche, la sélection d’un directeur (éventuellement codirecteurdu mémoire).lequel est lui-même lié à la méthode de travail. Une telle interdépendance entraîne souventune confusion dans les termes technique et méthode qu’il convient de lever.Ce n’est pas toujours simple car Facebook évolue sans cesse, que ce soit dans son inter- face, ses paramètres ou encore sa politique en matière de con dentialité. Les changements tirent leurs origines des retours utilisateurs mais de la réglementation internationale qui se penche de plus en plus sur son cas. Conséquence de cette mauvaise réputation concernant les données personnelles et la con dentialité, Facebook se voit diabolisé. Beaucoup y voient un danger pour l’identité numérique, comme si le réseau social décidait lui-même d’étaler la vie de ses utilisateurs.Mais il ne faut pas oublier que ce qui se trouve sur Facebook n’est que le fruit des décisions de ses membres. L’expérience est totalement personnalisable si vous savez comment le site fonctionne. Il su t d’être attentif, un brin curieux et de passer un peu de temps à se renseigner. Une fois maitrisés, les paramètres de con dentialité vous protégeront des mau- vaises surprises : noti cations indésirables, informations personnelles à la vue de tous, ap- plications postant en votre nom, etc. Cela est d’autant plus important avec le Graph Search, dernière nouveauté de Facebook qui a beaucoup fait parler en ce début d’année, qui permet de rechercher des personnes sur la base de leurs données personnelles et actualité.Cet ebook a pour but de vous familiariser avec les paramètres Facebook liés à la con den- tialité, la vie privée mais aussi les applications et leurs accès à vos données personnelles. Nous espérons qu’il vous aidera dans la maitrise de votre identité numérique.Ce guide a été conçu pour favoriser le partage de bonnes pratiques visant à accompagner l’enrichissement de la gouvernance de l’organisme en réponse aux enjeux du développement durable. Ce guide a vocation à êtres mis à disposition de l’ensemble des parties prenantes concernées. L'INERIS et les établissements publics et entreprises publiques qui participent au groupe «Gouvernance» sont membres du Club développement durable des établissements et entreprises publics (CDDEP).Les membres du groupe de travail « Gouvernance » se sont appuyés sur le document « principes et lignes directrices de la responsabilité sociétale des organismes publics », issu de travaux du CDDEP, et de la norme ISO 26000, pour revisiter chacun des sept principes de la RSO et proposer un certain nombre d'actions susceptibles de participer à leur mise en œuvre.SolEn Afrique orientale, beaucoup de gens dépendent des forêts et des arbres pour satisfaire divers besoins. Avec des populations croissantes, ces ressources sont en train de s’épuiser. De nombreux paysans souhaiteraient planter des arbres, mais il leur est difficile d’obtenir des plants de haute qualité. La mise en place d’une pépinière d’arbres peut aider à résoudre le problème lié à cette demande et servir aussi de source de revenus supplémentaires.Le scénario de conservation de la forêt a indiqué que la RDC peut demeurer un pays forestier à faible taux de déforestation dans les prochaines années, en particulier si des actions d’atténuation de la déforestation et de la dégradation forestière sont mises en œuvre. Celles-ci peuvent concerner (1) la réduction des activités humaines ayant un impact direct sur la perte du couvert forestier dans le cadre des initiatives telles que la REDD, (2) un meilleur encadrement de l’agriculture paysanne afin de maintenir une bonne fertilit é des sols au fil des années pour freiner la progression du front agricole en zones forestières, (3) une planification stratégique de l’usage des terres dans le cadre d’une politique d’aménagement du territoire à l’échelle nationale et locale, ainsi (4) qu’une évaluation de l’impact de la construction et de la réhabilitation d’infrastructures sur la perte du couvert forestier.Les zones de changement majeurs pour les deux scénarios correspondent à des zones assez bien définies : l’Est et le Nord-Est de la RDC, la région Lisala-Bumba-Gemena, la limite Nord de la cuvette centrale, les zones correspondant aux greniers agricole de la ville de Kinshasa dans les provinces du Bas-Congo et du Bandundu, les zones d’exploitation mini ère dans la région Tshikapa- Mbuji-Mayi, la région autour de la ville de Lodja, ainsi que dans les zones de savane situées en proximité immédiate des villes importantes telles que Lubumbashi. Pour chacune de ces régions, une dynamique majeure spécifique en lien avec la perte du couvert forestier a pu être identifié, permettant d’alimenter la réflexion sur la mise en place des mesures d’atténuation de l’impact de ces différentes activités sur le couvert forestier.Dans la zone de réduction des émissions du Maï-Ndombe, les simulations ont montré que la partie Ouest de la zone sera sujette à des changements importants suite à la présence d’agglomérations importances. Pour la zone à l’Est du lac Maï-Ndombe, les simulations ont montré une faible quantité de changement dans cette région constituée majoritairement de forêts édaphiques. D’autres zones importantes de changement y concernent les régions à proximité des rivières Mfimi et Kasaï, pouvant constituer des greniers agricoles important pour les centres urbains tels que Kinshasa.

Les normes pour l’eau, hygiène et l’assainissement Les thèmes transversaux Les couts unitairesen résumé, la faim et l’extrême pauvreté peuvent être éliminées rapidement au moyen d’investissements adéquats dans le domaine de la protection sociale. toutefois, pour que l’élimination de la faim et de la pauvreté soit viable à long terme, il faut combiner des mesures de protection sociale et des investissements favorables aux pauvres, le but étant d’affranchir rapidement les pauvres de la faim et de l’extrême pauvreté, tout en les amenant progressivement à gagner plus. dans un contexte de politiques adéquates et de programmes coordonnés, les pauvres peuvent bénéficier de la croissance et des possibilités d’emploi créées par ces investissements supplémentaires (publics ou privés).toutefois, les pays à faible revenu ou sévissent des taux plus élevés de pauvreté et de sous-alimentation n’auront pas les moyens nécessaires pour mettre en œuvre une approche de ce type et devront bénéficier d’une aide extérieure continue jusqu’à ce que les revenus intérieurs et les recettes fiscales aient augmenté suffisamment, sous l’effet de la croissance et d’autres réformes des politiques.

K. Coulibaly1*, E. Vall2, P. Dans l’Ouest du Burkina F 2012FAO Marchés / Commer 2016FAO Marchés / Commerce 2015Giel Ton, Felicity Proctor Marchés / Comme 2014CTA Marchés / Commerc 2013 Finance / Chain 2015

Banque Mondial L'étude du plan d'action Communication, R 2011J.-D. Boyer

L'eau, Securite 2011Comité Provincial de Planif Plan quinquennal de dé 2009Dr. Jochen Lohmeier, COMiT Gestion, Projet 1997

Felicien Kengoum RDC, REDD 2014CTA Genre/Femmes, 2014C. Fisher & M.-C. Dufour-Beau Écrire un texte est une ac Ecrire 2008PACE Activites d'education e Environnement CTA Agriculture, Ch 2012

Forest Peoples Programme REDD 2007CTA Les poules indigènes jouL'élevage, Agricult 2008Sciences po Lille Recherche/Trave 2015Philippe Cibois L'analyse facori 2006

John. R. Teasdale Gestion, Agricul 2003FAO sustainable forest manag 2016E. Lionelle Ngo-Samnick Agriculture 2011Kokou Edoh Adabe & E. Lion Agriculture 2014 Maybelline Escalante-Ten Agriculture, Secu 2012E. Lionelle Ngo-Samnick Agriculture 2012FAO sustainable forest mana 2016FAO Genre/Femmes, Gest 2002Banque Mondial, Ministere Les objectifs du programFinance / Chain 2013ONU-REDD SNA / Programme mondialCommunication, 2014

Commune de OuagadougouLa session CIFAL sur la vEnvironnement 2011FAO Agriculture 2015CTA L'élevage 2012GoodPlanet Biologie, Environnement, Changement Climatique Alain Karsenty, CIRAD Les services écosystém Environnement, 2010

Droit, Environnement

Cette douzième édition des Perspectives Agricoles de l’OCDE et de la FAO présente des projections à l’horizon 2025 pour les principaux produits agricoles, les biocarburants et le poisson. Le rapport 2016 comprend un chapitre spécial sur les perspectives et les défis auxquels l’Afrique sub-saharienne sera confrontée. Sur la période de dix ans couverte par les Perspectives, un ralentissement de la croissance de la demande sera compensé par des gains d’efficacité, impliquant des prix réels des produits agricoles relativement stables. Toutefois, les incertitudes des marchés et des politiques donnent lieu à un risque de volatilité résurgente. Les projections pour l’agriculture en Afrique sub-saharienne indiquent une augmentation des disponibilités alimentaires, ce qui favorisera une diminution de l’incidence de la malnutrition. Les perspectives du secteur pourraient être bien meilleures si les politiques menées dans la région étaient plus stables, si des investissements stratégiques publics et privés étaient consentis, notamment dans les infrastructures, et si des activités de recherche et de vulgarisation adaptées étaient menées.

Je félicite les auteurs pour la manière dont ils ont présenté leur cas et la valeur du programme ES- FIM dans ce livre bien écrit, que je recommande vivement aux lecteurs. Je suis convaincu qu’il inci- tera d’autres acteurs à rapprocher à leur tour les agriculteurs et la recherche pour relever les dé s de l’innovation agricole et de l’entreprise, a n de donner aux petits producteurs de véritables opportunités d’augmenter leurs revenus et leurs moyens de subsistance, et leur donner ainsi un meilleur avenir.sur les techniques d’élevage dont l’utilisation a été encouragée pardes organisations sectorielles et des agences de développement.La présente version du Plan d'investissement a été adoptée par le Gouvernement de la République Démocratique du Congo afin de déclencher le plaidoyer politique pour la première capitalisation du Fonds National REDD+, à partir du début du mois de Septembre 2013 et actualisé en 2015.

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGOMINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUESECRETARIAT GENERALMARS

Le Ministère de la Santé Publique s’est doté depuis mars 2010 de la Stratégie de Renforcement du Système de Santé 2ème édition (SRSS) et du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS 2011-2015) dont les Ressources Humaines de la Santé constituent l’un des piliers stratégiques.Le Plan National de Développement des Ressources Humaines de la Santé 2011-2015 (PNDRHS 2011-2015) constitue un plan de mise en oeuvre du Plan National de Développement Sanitaire 2011-2015 en matière des Ressources Humaines de la Santé en RD Congo.Le PNDRHS contient des orientations claires et précises sur les quatre sous-axes du développement des RHS ci-après : la production des professionnels de santé ; la gestion de carrière (la gestion et l’utilisation rationnelles des RHS) ; la rétention et la fidélisation des RHS ; la formation continue.La planification utilisée de ce PNDRHS a été descendante. Elle a commencé au niveau central et devra se poursuivre au niveau provincial. Ainsi, chaque province devra procéder à l’élaboration de son propre plan de développement des ressources humaines en fonction de ses réalités spécifiques.Le processus d’élaboration du PNDRHS a commencé par des missions de collecte des données sur les Ressources Humaines de la Santé à travers toute la République en 2009 et en 2010, suivi des ateliers sur la finalisation du diagnostic situationnel et la rédaction du Plan.Les principaux problèmes des RHS identifiés après le diagnostic situationnel peuvent être classifiés en quatre catégories, à savoir : la faiblesse dans la gouvernance institutionnelle et le leadership des structures en charge de développement des RHS, la faible qualité de la formation de base du niveau secondaire, supérieur et universitaire, la faiblesse dans la gestion et le développement des compétences des RHS et la précarité des conditions de travail.La vision stratégique dans le domaine de développement des RHS en RDC se décline comme suit : « le secteur de la santé dispose à tous les niveaux de la pyramide sanitaire des équipes de santé multidisciplinaires, compétentes, performantes, en quantité suffisante, équitablement réparties, contribuant à l’amélioration de l’état de santé de la population congolaise par une offre des prestations de soins de santé de qualité ».L’objectif général du PNDRHS 2011-2015 est de pourvoir le secteur de santé d’un personnel de santé compétent, performant, en quantité suffisante, équitablement réparti pour une offre de prestations des soins de santé de qualité d’ici 2015.

et socioculturelles qui leur sont particulières. Il faut distinguerentre les projets de développement et les programmes de développement.d’un partage entre divers partis en compétition pour la présidence de la République, est unfacteur explicatif de la di cile collaborationentre les ministères sectoriels qui perçoivent leur présence à la tête des ministères comme une rétribution qu’ils ne sont pas susceptibles de perdre, même en cas de gestion approximative de leur portefeuille. L’appropriation des processus politiques climatiques importés à partir d’initiatives internationales reste donc un réel dé .« Jeunes professionnels et sciences » ne sont qu’une contribution modeste mais stratégique à la mise en lumière de ces talents africains prometteurs, qui utilisent la science et l’innovation pour améliorer le sort des petits exploitants.Nous espérons que vous aurez plaisir à lire les récits de ces 12 scienti ques africains remarquables, qui font bouger les lignes, tant sur leur continent que dans le monde.

d’incitation nancière. Ils devraient égalementadopter une approche multisectorielle pour faire face à l’impact du changement climatique sur les systèmes alimentaires. Ils devraient encourager la recherche sur les meilleures solutions permettant aux agriculteurs de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’adapter leurs pratiques aux évolutions du climat. En n, au niveau international, l’agriculture devrait être au cœur des négociations sur le changement climatique.Pour une bonne application du libre consentement préalable et éclairé : Défis et perspectives pour les peuples autochtonesqui constitue une conformité adéquate, ce qui affaiblit l’influence que les communautés pourraient gagner grâce aux obligations qu’ont les sociétés de respecter leurs droits et priorités conformément aux normes volontaires du FSC. Toutefois, la vérification par le gouvernement des procédures de libre consentement préalable et éclairé, comme dans le cas des Phillippines, s’est aussi avérée problématique.La dernière section du rapport résume quelques conclusions dégagées par les responsables de l’étude ainsi que des recommandations faites par les participant-e-s à l’atelier. Les peuples autochtones peuvent veiller à la bonne application, ou tout au moins à une meilleure application, des processus de libre consentement préalable et éclairé en se préparant de façon proactive et en prenant le temps de prendre des décisions prudentes. Les actions liées au libre consentement préalable et éclairé doivent cependant s’inscrire dans le cadre d’un ensemble plus vaste de tactiques visant à permettre aux peuples autochtones de défendre leurs droits et leurs moyens de subsistance et de décider de leurs propres destinées.

étudiants, assistez aux conférences, colloques et autres journées d’études, souvent riches par l’actualisation desconnaissances et contacts scientifiques...analyse des correspondances publiés dans des revues de sciences sociales ou dansdes feuilles d’information des ministères5.

Les plantes de couverture sont des espèces de plantes qui sont introduites dans les rotations des cultures pour produire un effet bénéfique à l'agro-ecosystème. Quelques effets environnementaux produits par les plantes de couverture comprennent : la protection des sols contre l'érosion, la capture et la prévention des pertes d’éléments nutritifs, la fixation de l'azote par les légumineuses, l'augmentation du carbone du sol et les améliorations des caractéristiques physiques et chimiques du sol qui lui sont associées, la diminution de la température du sol, l'augmentation de la diversité biologique y compris les organismes bénéfiques et la suppression des mauvaises herbes et des insectes nuisibles (Sustainable Agriculture Network, 1998). Ce chapitre concerne la suppression des mauvaises herbes par les plantes de couverture, mais l'accent sera mis dans la conclusion sur la n écessité de gérer les plantes de couverture afin d'optimaliser l'ensemble des impacts sur l'écosystème.Les plantes de couverture peuvent être regroupées en deux catégories : 1) les plantes annuelles qui sont cultivées en dehors de la saison culturale et qui sont éliminées avant la plantation des cultures de rente ; et 2) le paillis vivant qui pousse au même moment que la culture de rente pendant tout ou partie de la campagne agricole. Les plantes de couverture qui sont éliminées avant l'implantation de la culture de rente influencent le contrôle des mauvaises herbes premièrement à travers l'influence de leurs résidus sur la germination des mauvaises herbes et leur installation. Des exemples de ces types de plantes de couverture sont Vicia villosa Roth, une l égumineuse annuelle d'hiver et Secale cereale L. une céréale annuelle d’hiver, qui sont aptes à pousser pendant la saison froide en climat tempéré et qui sont détruites avant la plantation des cultures de rentes quand les températures deviennent plus chaudes. Des exemples de plantes de couvertures qui sont adaptées aux périodes chaudes de jachère en été dans les climats tropicaux et subtropicaux incluent les légumineuses annuelles comme Mucuna spp. et Crotalaria juncea L.; ou les graminées annuelles de saisons sèche tel que Sorghum spp.

Heureusement, plusieurs techniques de production intensive ont été mises au point parmi lesquelles la culture in vitro, qui est restée l’apanage des centres de recherche, et le plant issu des fragments de tige (PIF), technique qui connaît un essor indéniable auprès des paysans parce que facilement reproductible. A partir d’un rejet, l’on est capable d’obtenir 10 à 50 plants de bananier plantain en fonction de la variété et de l’expérience du manipulateur.L’itinéraire technique décrit dans le présent manuel peut connaître des adaptations diverses en fonction des besoins et des moyens de chaque paysan, l’essentiel étant la maîtrise des principes de base.• L’Amérique du Sud, l’Amérique centrale et les Caraïbes (Brésil, Équateur, Pérou, etc.)• L’Asie du Sud et l’Océanie (Indonésie, Malaisie, Papouasie-Nouvelle-Guinée, etc.).La plante peut mesurer plus de 2 m de hauteur. Elle se compose d’une tige unique sur laquelle poussent de longues feuilles et des fleurs mâles (situées sur la panicule terminale) et femelles. Les rendements moyens des variétés traditionnelles en milieu paysan sont de l’ordre de 0,8 tonne par hectare contre 2 à 5 tonnes pour les variétés améliorées.Ce guide pratique présente aussi bien la production que la trans- formation agroalimentaire du maïs. Il décrit les étapes et proces- sus pour fabriquer la farine de maïs et donne quelques recettes culinaires. Nonobstant leurs caractères communs, la forme et la croissance des rotins sont très variées, de telle sorte qu’on en dénombre environ 600 espèces. Si la majorité des espèces que l’on connaît aujourd’hui sont originaires d’Asie, vingt d’entre elles sont endémiques en Afrique. Le diamètre de leurs tiges varie de 3 mm à plus de 20 cm, leur longueur allant de quelques mètres à plus de 200 m.En général, on distingue deux groupes de rotin, en rapport avec les usages et le diamètre de la canne : les rotins à gros diamètre telle l’espèce Laccosperma secundi orum et ceux à petit diamètre, encore appelés lianes, tels que l’Eremospatha macrocarpa. Le rotin peut se récolter et se cultiver de façon durable grâce à sa croissance rapide et à sa capacité d’adaptation à des conditions écologiques très variées. De plus, son utilisation dans la fabrication de mobilier permet de réduire l’utilisation du bois et contribue à la conservation des ressources forestières.

En deuxième lieu, il met l'accent sur le fait que le sexe, le niveau de richesse, l'appartenance ethnique et les différences sociales existant dans les communautés sont fondamentales pour comprendre les stratégies de survie et les priorités de développement. On garantit ainsi la participation des secteurs pauvres et marginaux.En troisième lieu, le Guide d'application fournit une série de boîtes à outils spécialement conçues pour soutenir le processus participatif, lequel commence par une analyse de la situation présente et s'achève par la planification pour l'avenir. Les boîtes à outils contiennent, d'une part, une large gamme d'outils permettant d'appliquer le diagnostic rural rapide et la Méthode accélérée de recherche participative (MARP) et, d'autre part, des listes de questions ASEG à poser pour faciliter et approfondir l'analyse. Cet inventaire d'outils pour le niveau de terrain a été développé en reconnaissance de l'énorme responsabilité de tous ceux qui travaillent directement avec les villageois, femmes et hommes. A cet égard, on ne perdra pas de vue que les intervenants extérieurs ont souvent un certain pouvoir, des privilèges et qu'ils bénéficient d'une sécurité relative, ce qui n'est pas toujours le cas des membres des communautés. Nombreux sont en effet les villageois qui ne sont pas loin de franchir la ligne qui sépare la pauvreté de la misère, situation qui est vécue en particulier par les personnes qui n'ont pas accès aux ressources de base à cause de leur sexe, de leur appartenance ethnique ou d'autres facteurs sociaux. Le seul moyen sur d'éviter les erreurs ou les répercussions négatives est de recourir à un processus participatif permettant aux populations rurales -- femmes et hommes -- d’identifier leurs besoins et leurs ressources, les obstacles auxquels ils se heurtent et les perspectives pouvant s'ouvrir à eux. Cependant, si l'on veut que les efforts de développement portent réellement leurs fruits à long terme, il est impératif de considérer également les besoins et les priorités des populations à la lumière de l'ensemble du contexte de développement, lequel est composé de nombreux facteurs trouvant leur origine en dehors du cadre des communautés. Et c'est là que vous entrez en scène. Pour servir de lien.

Cette année, La situation mondiale de l’alimentation et de l’agriculture 2015 s’emploie à montrer que des mesures de protection sociale peuvent contribuer à rompre le cercle vicieux de la pauvreté et de la vulnérabilité des habitants des zones rurales, pour peu qu’on les couple avec une action plus large en faveur du développement agricole et rural.Lors du Brie ng de Bruxelles sur le dévelop- pement consacré aux Nouveaux enjeux et opportunités pour le pastoralisme dans les pays ACP1, des experts ont mis en lumière les politiques nécessaires à l’amélioration du bien-être des communautés pastorales. Les gouvernements devraient introduire des politiques qui permettent d’assurer et de garantir les moyens de subsistance des pasteurs. Celles-ci devraient être conçues pour renforcer les économies pastorales et les pasteurs devraient être davantage impli- qués dans leur élaboration. En n les gouver- nements devraient augmenter leurs inves- tissements dans les services essentiels aux pasteurs.est une espèce au sommet du réseau trophique du milieu arctique. Il se nourrit principalement de phoques, qu’il chasse sur la banquise. Durant la fonte des glaces en été, l’ours polaire peut jeuner plusieurs mois s’il est contraint de gagner la terre ferme. La population globale de ce mammifère à reproduction lenteest actuellement estimée entre 20 000 et 25 000 individus.

• De nouvelles maladies et des vecteurs de maladies plus étendus• Des dommages touchant les générations futures.

FAO Le présent document est Pisciculture / Pêch 2016

FAO sustainable forest manaGouvernance, For 2016

Ministère de l’Environnemen Agriculture, L' 2012

WWF Environnement 2014UNDP Le Rapport sur le déveloGenre/Femmes, Dr 2015Banque Mondial Le but de ce rapport estGouvernance, RDC 2010FAO Développement forestierForêt 2016

UNEP World Conserva on MonSNA / Programme mondial RDC, REDD 2012Annette Hladik, Claude Marcel Foret, Ressourc 1995Adam Smith Marchés / Com 1776CTA Agriculture, L'eau 2008Projet Equateur REDD+ : en ajoutant le sEnvironnement, 2014ONU-REDD SNA / Programme mondiaREDD 2015ONU-REDD Marchés / Comme 2015UNREDD Glossaire des termes relREDD Groupe Eyrolles Questions sur le memoire Recherche/Trave 2007Wikipedia Le REDD est une initiati Marchés / Commerce, REDD

Banque Mondial Les objectifs de dévelopGestion, RDC 2003

Banque Mondial Les objectifs de dévelopGestion, RDC 2003CDDP de l’Aveyron Ecrire 2009

Frank Galtier1 Alain Cle men Marchés / Commer 2014

Magali Chelpi-den Hamer Socio-economiq 2012CTA Marchés / Commerc 2014

Banque Mondial La série de rapports de Marchés / Commer 2015FAO La moitié de la producti L'élevage, Agricult 2016

FAO sustainable forest managGestion, Forêt 2016IMF Cette évaluation de la RDC 2014PNUE Marchés / Comme 2012

enseignements de ces vingt dernières années, l’adoption de mesures concrètes assortiesde moyens de mise en oeuvre sera, je l’espère, le signal du sérieux et de la sincérité dansce nouveau partenariat, au sein duquel l’Afrique doit pouvoir trouver toute sa place.de vertébrés, accuse un déclin de 52 % entre 1970 et 2010 (figure 2).En d’autres termes, les populations d’espèces de vertébrés peuplantle globe ont, en moyenne, un effectif réduit de moitié comparé à celui

Les lecteu1:5 de ce bulletin de liaison sontcertainement déjà convaincus de l'urgencequ'il y avait à établir en Centrafrique lazone de rése1ve intégra le de Ngotto pourpréserver des espèce comme le Bongo, leGorille ou rEléphant qui constituent à la foisun patrimoine mondial unique et un réservoirde diversité génétique. ous voudrionségalement leur faire partager tout l'intérêtque nous trouvons à accompagner cetteaction de consetvation par des rechercheseffectuée dans les autres zones, celle del'aménagement forestier et celle du développementrural, dont les applications peuventavoir des retombées économiquesimmédiates. oulignons tout d 'abord larichesse en essences forestières pour le boisd'oeuvre d'usage local et pour l'expottation :il apparaît clans les inventaires (re levésCIRAD-forêt) qu'une exploitation rationnellepem1eurait de tirer profit d'une cinquantained'espèces dont le bois. travaillé avec latechnologie adéquate, donne des produit'>de très haute qualité, et de ne plus se limiterau sapelli et autres espèces du genreEntandrophragma que certains ·'marchands"se contentent d'extraire de la forêt,délaissant toutes les autres.La Richesse des nations reste à ce jour un des ouvrages les plus importants de cette discipline (pour Amartya Sen, « le plus grand livre jamais écrit sur la vie économique1 »). Il est le document fondateur de la théorie classique en économie et, selon certains2, du libéralisme économique.Qu’est-ce que la récupération des eaux de pluie ?C’est le captage et la concentration de l’eau de ruissellement à la surface du sol avant qu’elle ne s’écoule dans un ruisseau ou une rivière. L’eau de pluie ainsi collectée sert pour des travaux agricoles, des besoins ménagers ou autres.

[1] Les douze modules de la REDD + Académie Journal d' apprentissage sont les suivants : les forêts, la séquestration du carbone et le changement climatique; REDD + et la CCNUCC; Les conducteurs de la déforestation et de la dégradation des forêts; Stratégies nationales et plans d' action; National Forest Monitoring Systems (NFMS); Forêt de référence (émissions) Niveaux (FREL / PERF); Politiques et mesures; REDD + garanties; REDD + Finance; Répartition des incitations; Sensibilisation du public et engagement des parties prenantes; La bonne gouvernance.

Écrire un article est un exercice particulier. Il est indispensable de suivre quelques règles journalistiquesafin d’écrire un bon article. Animés par le désir d’accrocher les lecteurs, les journalistes trouvent lesimages, affinent les formules, inventent les rythmes qui disent la vigueur de la langue d’aujourd’hui.

Pour bien fonctionner, les marche s doivent eˆtre alimente s en information et c’est le roˆle de la puissance publique de produire et de diffuser les informations ne cessaires. Cette ide e nous paraˆıt aujourd’hui si naturelle que personne ne s’e tonne du fait qu’une des principales mesures prises en 2011 par la re union des ministres de l’Agriculture des pays du G20 en re ponse a` l’instabilite des prix des ce re ales soit la cre ation a` l’e chelle plane taire d’un syste`me d’information sur les marche s. Cependant, cette ide e a une histoire. En Europe, on n’en trouve pas trace avant le XVIe sie`cle. Et lorsqu’au cours du XVIe sie`cle, une politique d’information est mise en place pour e viter les famines, elle est tellement diffe rente des politiques actuelles qu’elle suscite un sentiment d’e trangete . Le pre sent article vise a` expliquer l’e mergence et l’e volution en longue pe riode de l’implication de la puissance publique dans la production et la diffusion d’informations de marche . En se basant sur les travaux de Michel Foucault concernant les ruptures dans l’organisation ge ne rale du savoir et dans les technologies de gouvernement en Europe depuis le XVIe sie`cle, l’article montre pourquoi : a) toute politique d’information visant a` pre venir les famines e tait impensable avant le XVIe sie` cle ; b) une politique d’information base e sur un me lange de syste` me disciplinaire (« la police des grains ») et de mise en sce` ne de l’abondance est apparue au milieu du XVIe sie`cle et a disparu au milieu du XVIIIe sie`cle ; c) des syste`mes d’information publics ont alors e te mis en place pour les besoins des de cideurs publics ; d) la ne cessite de diffuser de l’information aux ope rateurs prive s pour garantir la transparence des marche s est finalement apparue au cours du XIXe sie`cle ; et e) cette ide e a par la suite donne lieu a` plusieurs variantes qui se sont traduites par des recommandations diffe rentes concernant les syste`mes d’information de marche et autres actions a` mettre en place. Mots cle s : ce re ales ; famine ; Foucault ; syste`me d’information de marche (SIM). pour une intervention potentielle,et une composante quantitative qui est l’objet de ceprésent rapport.Déjà bien présent en Amérique latine et dans certaines régions d’Asie, le finance- ment par récépissés d’entrepôt progresse à grandes enjambées sur le continent africain. Des pays comme l’Éthiopie ont ouvert la marche dans la création des places d’échange de produits, et d’autres États entendent bien leur emboîter le pas en fondant leurs propres places. Par ailleurs, les systèmes modernes de récépis- sés électroniques font une percée dans plusieurs nations. Nous analyserons dans ce rapport les dispositions prises par les dif- férents pays pour mettre ce système en œuvre et nous observerons comment les banques, les producteurs et les négociants peuvent résoudre des défis persistants comme la fraude et le vol de récolte.Nous espérons que vous trouverez les articles et les entretiens de ce rapport in- téressants et instructifs, et que certains des sujets abordés dynamiseront la mise en place des bons outils de financement pour les personnes qui en ont le plus besoin. Le travail réalisé par le CTA et d’autres organ- isations continue de jouer un rôle crucial dans la transformation du domaine du fi- nancement de l’agriculture. L’avenir des solutions de financement agricole dans les pays d’Afrique, des Cara ïbes et du Paci- fique est sans aucun doute plus prometteur qu’auparavant. Toutefois, c’est seulement à travers la formation continue, l’éduca- tion, l’innovation, la persévérance et une véritable méticulosité sur le terrain que l’a- griculture africaine pourra réaliser pleine- ment son potentiel et jouer un rôle clé pour assurer la prospérité dans la région.

La République Démocratique du Congo (RDC), ex-Zaïre, est sortie en 2003 de l’un des conflits les plus tragiques qu’ait connu l’Afrique. Les deux guerres du Congo ont duré de 1996 à 2003 et ont impliqué à leur paroxysme huit pays : l’Angola, la RDC, le Burundi, le Tchad, la Nami- bie, le Rwanda, l’Ouganda et le Zimbabwe. Les conflits ont officiellement pris fin suite à la signature d’un accord de paix global en décembre 2002 à Pretoria en Afrique du Sud. Depuis juin 2003, sous un gouvernement de transition, la paix a été consolidée dans tout le pays, aboutissant à deux avancées majeures en 2006 : en février, la promulgation d'une nouvelle Constitution et en juillet, les premières élections démocratiques nationales depuis 1960. Le processus de consolidation de la paix ainsi que la reconstruction et le développement pro- gressent de façon régulière ; les institutions financières font d’ailleurs l’éloge de la situation économique générale de la RDC et prédisent un « essor rapide ».Aujourd’hui, malgré la persistance de la violence (en particulier dans l’Est de la RDC), la ma- jorité du pays a retrouvé la paix. L’aide internationale ainsi que les investissements directs étrangers ont finalement repris après une période de stagnation datant du début des années 1990 et ayant perduré durant la période des conflits. D’importants développements dans les infrastructures du pays, en particulier dans les secteurs des transports, des exploitations mi- nières et de l’hydroélectrique, constituent des étapes décisives pour stimuler le développement et attirer les investissements étrangers. Ces initiatives se sont traduites par un programme de développement global, comme en témoigne la stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP).Dans sa lancée sur la voie de la reprise économique et de la consolidation de la paix, le pays dispose d’une excellente opportunité d’intégrer les considérations environnementales dans la planification du développement et de la reconstruction. Les récents développements ins- pirés de « l’économie verte »1 représentent également une remarquable opportunité pour un pays tel que la RDC jouissant d’un patrimoine naturel considérable. En dépit de son statut post-conflit, la RDC se trouve pourtant dans une position unique de par son étendue im- mense, l’incroyable richesse de ses ressources environnementales relativement intactes et son sous-développement relatif. Ainsi, l’intégration précoce de considérations environne- mentales dans le processus de reconstruction et de reprise économique peut avoir une influence majeure sur l’avenir du pays en termes de développement durable.La lutte pour le contrôle et l’exploitation des différents minerais ainsi que pour celui des res- sources forestières en RDC font partie des facteurs qui ont parfois alimenté, voir exacerbé les conflits. Cette situation perdure notamment dans certaines zones à l’est du pays. La ges- tion efficace des ressources naturelles est donc une composante clef pour tout processus de consolidation de la paix dans cette région. Elle devra s’accompagner d’une coopération ré- gionale durable sur l’environnement, étant donné que la RDC partage une quantité importante de ses ressources avec les pays voisins. Afin d’assurer une exploitation des ressources naturelles la plus équitable et durable possible, des efforts accrus seront nécessaires pour soutenir la formalisation du commerce et améliorer l’accès aux marchés.

Banque Mondial Ce Résultats parle Profi Gestion, Gouvern 2012Banque Mondial L'objectif global de l'é Gestion, RDC 2011

Banque Mondial Cette étude présente uneGestion, RDC 2009Banque Mondial Dans sa nouvelle constitFinance / Chain d 2010Banque Mondial Cet examen des dépenses Marchés / Commer 2008

Banque Mondial Cete étude examine le rôMarchés / Comme 2008

Banque Mondial L’objectif de la politiq Marchés / Comme 2010

Banque Mondial La série de rapports de Finance / Chain d 2014

Banque Mondial, Bou Habib,Cette gestion des dépensMarchés / Commer 2015

Banque Mondial Le présent rapport a pouFinance / Chain 2005

IMF RDC, Developpem 2013FIDA RDC, Developpe 2011

Banque Mondial Ce rapport est basé sur Finance / Chain 2006

Banque Mondial Cette étude est destiné Gouvernance, RD 2012

Banque Mondial Cette étude est destiné Gouvernance, RD 2012

Banque Mondial Cette étude est destiné Gouvernance, RD 2012

CTA Marchés / Commer 2013

Banque Mondial Genre/Femmes, Dr 2015FAO Déboisement; plan; DégrForêt 2016FAO 2016

ONU-REDD Finance / Chain 2015FAO Marchés / Commerc 2016CIRAD Agroforesterie Agroforesterie

FAO Secteur agricole; Écono Agriculture, De 2016

Aujourd’hui, le gouvernement est heureux une fois de plus de publier et de mettre à la disposition des acteurs au développement de la RDC, son deuxième document de stratégie de croissance et de réduction de la pauvreté (DSCRP 2). Celui-ci constitue le seul cadre fédérateur de l’ensemble des politiques macroéconomiques et sectorielles pour le prochain quinquennat (2011-2015).Le processus d’élaboration du DSCRP 2 a été conduit dans un cadre participatif recadré, impliquant tous les acteurs au développement, y compris les Organisations de la Société Civile, dans un esprit d’appropriation de la stratégie. Aussi, tous les Partenaires Techniques et Financiers (PTF), les Organisations de la Société Civile (OSC), les Provinces à travers les Ministères ayant la planification dans leurs attributions ont été consultés à toutes les étapes d’élaboration du DSCRP 2. La particularité de ce DSCRP 2 tient au fait qu’il permet à la RDC de quitter la phase des urgences ayant caractérisé le DSCRP 1, pour se fonder sur un développement durable. La prise en compte des observations de ces derniers a permis d’améliorer la qualité du document et de produire une version finale.Le PAP permet de fédérer l’intérêt de différents acteurs du développement et de renforcer ainsi la synergie des interventions sectorielles et multisectorielles au profit du développement et de la réduction de la pauvreté.Le Gouvernement publie le DSCRP 2 avec d’autres documents annexes, à savoir le Programme d’Actions Prioritaires (PAP) et le Rapport de programmation et de budgétisation, afin de mieux canaliser la programmation budgétaire des actions prioritaires découlant des axes stratégiques.• La professionnalisation des organisations paysannes (OP) afin qu’elles deviennent des partenaires économiques et des interlocuteurs clés dans les zones rurales.4. Le COSOP sera harmonisé avec les trois programmes existants, l’accent étant mis sur le redimensionnement à la baisse de leurs activités – afin qu’ils puissent mieux répondre aux besoins en matière alimentaire et nutritionnelle – et sur l'affectation d'un financement accru pour le renforcement des capacités des OP afin qu’elles se professionnalisent, fournissent des services à leurs membres et deviennent des partenaires économiques et des interlocuteurs clés dans les zones rurales. Le FIDA s’efforcera de consulter ses partenaires pour qu’ils soutiennent des projets modèles favorisant la professionnalisation des OP en respectant les orientations du gouvernement relatives à l’approche de tout nouveau projet. À l'issue du COSOP, le FIDA devra avoir atteint les objectifs suivants: réduction de l’insécurité alimentaire dans les zones d’intervention des programmes en cours; acquisition par les OP des moyens techniques pour intégrer les filières en fonction des attentes du marché; amélioration du régime alimentaire et du niveau de vie (notamment du point de vue des aspects sociaux) des membres des OP grâce à leurs activités agricoles et aux revenus corollaires; et contribution au développement économique des zones d’intervention grâce aux possibilités d’emploi créées dans l’agriculture et les secteurs connexes.

Une grande conférence sur le développement des chaînes de valeur pour les petits producteurs – la plus importante jamais organisée sur ce thème – a rassemblé plus de 500 participants à Addis-Abeba, en Éthiopie. La conférence portait sur la création de chaînes de valeur ef caces, orientées vers les marchés, a n de renforcer la sécurité alimentaire et d’améliorer le bien-être de dizaines de millions de petits producteurs.

Le présent rapport CONFIRME Que les mangroves figurent parmi les Écosystèmes les plus de richesses en carbone de la planète et a verser ambition de jeter les bases de their gestion durable, la conservation de their et de their restauration. Il Souligné à la foie L'importante Valeur écologique et économique des mangroves et les factors Qui menacent their survie Dans la région. Ce rapport encourage les paie Qui ne l'Ont pas encore fait à élaborer Une définition des forêts spécifiquement englobant

les mangroves, d'INCLURE AFIN their Écosystèmes Dans les stratégies nationales de réduction des émissions d Liées à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD +). Au-delà de la perspective de Financements additionnels, REDD + may jouer non rôle de catalyseur verser des actions de protection des mangroves, en encourageant des dialogues multipartites et en fournissant cadre non POUR UNE politique globale et des APPROCHES intersectorielles Vasant à Lutter contre les factors de la déforestation.

CTA Marchés / Commerc 2013

Banque Mondial, Feda, KebedUn secteur de l'éducatioFinance / Chain d 2015Comité international de la L'eau 2011

Marilyne Laurans Ce travail de thèse expl Forêt 2013WWF Environnement, 2016FAO Anglais 2016

FAO Anglais 2011FAO Anglais 2013CTA L’agriculture demeure le Marchés / Commerc 2011UNICEF, Practica et Entrepr L'eau 2009

Dr. Dodji V. SILETE-ADOGLI Reinforcement, 2009Bruno Locatelli Ce mémoire d'HDR présentAgriculture, En 2013

CTA, KIT, IICD Gestion 2010Thiombiano Lamourdia agriculture, de 2016CTA Agriculture 2011CTA L'élevage, Agricu 2014CTA Agriculture 2010CTA Marchés / Commerc 2012CTA Marchés / Commerc 2013Alain Baccini Recherche/Trave 2010CTA L'élevage, Agricult 2014

RDC 2010

S. Gombert 2007WildProject Ce document est synthèse 2009WWF Marchés / Commerce, Pisciculture / Pêche / Poisson, L'élevage, AgricuCTA Marchés / Commerc 2013

ONU-REDD SNA / Programme mondial REDD 2016Martial Gervais Oden Bella Marchés / Commerce 2014

ONU-REDD Le présent document a veForêt, REDD, Ch 2015

ONU-REDD Cet technique de publicaREDD 2016CTA Finance / Chain 2008

Malgré ces changements, l’offre de produits et services nanciers pour la production agricole et rurale n’a pas été à la hauteur et n’a pas proposé d’innovations majeures, souventen partie à cause des directives gouvernementales.

Dans la nouvelle série des « références » publiées par le CICR, cette publication est la seconde qui soit consacrée à l’eau et à l’habitat. Avec l’ouvrage intitulé « Guide pratique pour la réali- sation de forages et leur réhabilitation », elle constitue un ensemble de références essentiel pour les ingénieurs du CICR travaillant sur le terrain. Ce « Guide pratique pour les essais de pompage de puits » est une contribution importante qui s’inscrit dans les e orts d éployés par l’Unité eau et habitat du CICR pour promouvoir de bonnes pratiques sur le terrain, parmi ses collaborateurs et auprès d’autres acteurs humanitaires.Je suis extrêmement reconnaissant à Laurent Wismer, ancien ingénieur « eau et habitat » à la délégation régionale de Nairobi, de la contribution qu’il a apportée à cette publication, ainsi qu’à Jean Vergain et Thomas Nydegger, hydrogéologues quali és, qui nous ont donné des conseils précieux tout au long de la rédaction de ce texte.

• Sauver un site qui fait partie de notrepatrimoine commun.

UNICEF, Practica et EntrepriseWorks/VITA ont developpe une mallette pedagogique a l’intention des pays africains souhaitant s’engager dans la professionnalisation du secteur du forage manuel. Cette mallette pedagogique comprend des ches et manuels techniques, des elements de plaid- oyer, des cartographies des zones appropriees pour le forage manuel, des etudes de cas, et des manuels de formation et de mise en œuvre. Cette initiative contribue a renforcer les capacites du secteur prive local de facon a repondre aux besoins en eau potable des zones rurales qui ne cessent de croitre. Cette che technique est la troisieme d’une serie de cinq. e. écrire de manière plus claire et plus concise;f. réviser efficacement vos documents.2. fournir un format de rapport d’activité d’un système statistique national devant servir de base de discussion afin de retenir un modèle.

Le Smart Toolkit est utilisé pour l’évaluation de projets, produits et services d’information orientés vers l’apprentissage. Il met l’accent sur l’évaluation dans le contexte du cycle de vie global d’un projet, depuis sa planification et sa mise en œuvre jusqu’au suivi, à l’évaluation et à l’évaluation d’impact de celui-ci. Il s’intéresse également au processus même de l’évaluation, aux outils utilisés ainsi qu’aux exemples liés à leur application. Il reprend inlassablement le même leitmotiv :L’évaluation participative orientée vers l’apprentissage et l’impactL’accent est mis sur l’évaluation interne – ou « auto-évaluation » – plutôt que sur l’évaluation externe. L’évaluation interne contribue à l’apprentissage organisationnel et reflète un changement d’orientation significatif par rapport à l’évaluation traditionnelle, réalisée généralement par les donateurs afin de répondre aux exigences de transparence et de conformité. Ainsi, avec comme objectifs ultimes, l’amélioration de l’apprentissage et la réalisation de l’impact, l’évaluation doit être appliquée en toute confiance, de manière systématique et cohérente.

de Spore sera une source d’inspiration pour vous. Vous y découvrirez quela transformation agricole et la modernisation sont déjà en cours dans de nombreux pays ACP. D’importantes leçons peuvent être partagées à travers les pays et les régions.pour appuyer l’Année internationalede l’agriculture familiale par plusieurs initiatives, dont cette édition spéciale de Spore. Notre travail sur les politiques, les chaînes de valeur inclusives, les TIC et la gestion des connaissances s’e orce d’aider les exploitations familiales à devenir rentables et prospères. C’est pourquoi nous accordons une importance particulière à cette année dédiée à l’agriculture familiale.Ainsi, la croissance démographique– en particulier dans les pays ACP – n’est pas nécessairement une fatalité synonyme de désastre. Avec des investissements dans l’éducation, la formation, la santé et la création d’emplois, les pays ACP pourraient jeter les bases solides d’un développement économique. À mesure que des emplois sont créés et que les revenus des ménages augmentent, la demande pour des aliments et autres produits agricoles stimulera la croissance dans le secteur rural.au pro t des petits producteurs” constituera une action majeure du CTA pour les chaînes de valeur. Elle se tiendra à Addis-Abeba, en Éthiopie, du 6 au 9 novembre. Nous espérons que la conférence sera l’occasion pour tous les acteurs des chaînes de valeur de se rencontrer et de partager leurs expériences. De nombreux sujets seront abordés : les tendances des marchés mondiaux, les façons d’inclure les petits producteurs dans les chaînes de valeur, l’agriculture contractuelle, les agro-industries, le nancement des chaînes de valeur, le développement durable, les TIC, les organisations paysannes, etc.L’ensemble, classements et normes, entreposage et récépissés d’entrepôt,crédit garanti par les stocks et bourses de marchandises, constitue ce que l’on appelle les "échanges structurés". Cette édition spéciale de Spore se penche de façon approfondie sur ce sujet.des etudiants des li eres universitaires de math ematiques appliqu ees, est egalement disponible surce site sous le titre \Exploration Statistique".Malheureusement, l’agriculture est souvent perçue comme une voie sans issue ; à travers elle, on ne perçoit souvent que des travaux physiques pénibles, des salaires bas et une situation incertaine.Les jeunes qui demeurent dans le secteur de l’agriculture ont souvent des salaires peu élevés. Cela dissuade inévitablement bon nombre d’entre eux de chercher du travail dans l’agriculture. D’autres éléments dissuasifs sont le niveau perfectible de l’éducation agricole, l’accès limité des jeunes aux actifs, dont les terres, et le niveau médiocre des services sociaux dans les zones rurales.MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE,

SECONDAIRE ET PROFESSIONNEL le pilotage rationnel du développement du système, ainsi que son adaptation progressive aux mutations de l’environnement.7. Le document de Stratégie décrit, dans un premier chapitre, le contexte dans lequel évolue actuellement le système éducatif congolais et dans lequel il convient de situer les efforts destinés à son amélioration. Le deuxième chapitre du document dresse un diagnostic analytique des faiblesses et opportunités qu’offre le sous-secteur, tandis que le troisième chapitre dégage les axes stratégiques et les priorités pour le développement de l’EPSP. Les deux derniers chapitres sont respectivement axés sur les programmes d’action à mener au cours de la prochaine période de six années (2010-2015) et sur la mise en oeuvre du Plan d’action de la Stratégie.

Végétales : le limba, les agrumes, le safoutier, l’avocatier, l’Acacia, le Calliandra, le bananier, le manioc, l’arachide, le maïs, l’haricot et le Mucuna.Animales : la Chèvre, la volaille, la pisciculture et l’apiculture.Il devrait constituer un guide précieux pour tous ceux qui sont impliqués dansla création et le fonctionnement des éléments qui composent les systèmes de commerce structuré, comme les responsables d’organisations de producteurs, les gestionnaires d’entrepôt, les négociants en céréales, les banques, les services d’information sur les marchés, les étudiants et les enseignants, ainsi que les responsables politiques qui cherchent à moderniser le commerce des céréales en Afrique. Cet ouvrage constituera aussi un élément important des cours offerts par l’Eastern Africa Grain Institute de l’EAGC.

Ce guide décrit les différents types de procédé de fabrication à l’échelle domestique, les modes opératoires et les matières premières et donne une liste de matériel adapté à tout environnement. Un accent particulier est mis sur les règles de sécurité nécessaires pour éviter les risques et accidents au cours des opérations de production. Les formulations sont sans danger pour la peau et la santé humaine.Cet outil de travail, d’apprentissage et de perfectionnement pratique est utile aux professionnels, aux acteurs de l’alphabétisation fonctionnelle et de la formation des adultes, aux passionnés du développement et aux autodidactes. Il servira surtout de base à toute personne souhaitant mettre sur pied un projet générateur de revenus dans le domaine de la production des savons et des détergents.

Les scienti ques ont tiré la sonnette d’alarme il y a plus de 20 ans.Le premier rapport du GIEC date de 1990. Se fondant sur l’analyse des études menées par les chercheurs du monde entier, le GIEC dresse régu- lièrement l’état de la situation et des évolutions probables du climat. Au l des rapports, ses conclusions se sont renforcées, étayées par des recherches de plus en plus pointues. Le 4e rapport, sorti n 2007, est on ne peut plus clair : “Le réchauffement du système climatique est sans équivoque. [...] Onze des douze dernières années (1995-2006) gurent parmi les douze années les plus chaudes de l’enregistrement des tempé- ratures de surface mondiales (depuis 1850).”

Adam Smith Droit 1759CTA Marchés / Commerc 2012GoodPlanet Biologie, Environnement

Banque Mondial RDC, Déforestati 2016

ONU-REDD SNA / Programme mondial REDD 2014

ONU-REDD SNA / Programme mondial GIS, REDD 2016

ONU-REDD SNA / Programme mondial /GIS, Forêt, REDD 2016

ONU-REDD SNA / Programme mondial GIS, REDD 2016

CTA L'élevage, Agri 2011FAO La publication de ce numForêt, Changeme 2015

ONU-REDD SNA / Programme mondial REDD 2014

Banque Mondial, Luzietoso, Dans le contexte de la mPisciculture / Pêc 2000WWF Environnement, 2013FAO En Afrique, l’agricultur Genre/Femmes, Ag 2016

Michael J. Westlake Finance / Chain 2014

Banque Mondial, Kostner, MAu début de l’année 1998RDC 2001CTA Finance / Chain 2013

Anglais, Environnement Anglais

FAO Pour nourrir une populat 2016Banque Mondial Ce rapport contient le pFinance / Chain d 1991

Banque Mondial Ce rapport de synthèse eDroit, RDC 1991

Banque Mondial Ce rapport de synthèse eDroit, RDC 1991Projet Equateur RDC, Environne 2014Projet Equateur RDC, Environne 2014

les catégories qui touchent aux mobiles de la moralité : l'amour-propre, la raison, les sentiments.Hutcheson avait abandonné les questions psychologiques, affirmant que les mobiles des actions sont trop instables pour servir de fondements à une philosophie morale. Au problème des mobiles, il substitua l'hypothèse d'une sorte de « sixième sens » moral — thèse, reprise de David Hume dans son Traité de la nature humaine, selon laquelle l'homme est naturellement porté à préférer l'utile.Le succès des chaînes de valeur dépend de la volonté de communiquer, coordonner et collaborer de tous les acteurs des chaînes. Il y a une grande marge d’action pour de mul- tiples parties prenantes, pour compenser les faiblesses des chaînes individuelles ou pour réunir les acteurs impliqués dans un produit donné, y compris les représentants des fermi- ers, dans des associations a n de résoudre les problèmes communs et d’agir comme un forum pour le dialogue politique. Nous es- pérons également tirer parti de l’excellente collaboration af chée par les organisateurs de la conférence pour promouvoir une meilleure coordination des organismes donateurs et un meilleur alignement de leur travail sur les pri- orités en Afrique.Nous sommes déterminés à empêcher la conférence de n’être qu’une ‘réunion parmi d’autres’ et nous mettons en œuvre des moy- ens pour garantir que les questions soulevées fassent l’objet d’un suivi complet. La déci- sion de TIA de produire un Reportage Spécial sur les chaînes de valeur agricoles souligne l’importance attachée aujourd’hui au sujet en Afrique, et nous aidera à sensibiliser un plus large public aux questions débattues. Au nom du CTA, je souhaite exprimer à quel point nous apprécions le soutien apporté par cette publi- cation.un œuf unique qu’ils portent sur leurs pieds, protégé d’un repli de la peau du ventre. Les deux parents s’en occupent tour à tour (tous les 6 à 18 jours). Celui des deux parents qui ne couve pas part se nourrir au large. Après éclosion, les parents portent les jeunes poussins sur leurs pieds encore un mois environ, le temps qu’un plumage adapté se développe. Au total, le cycle de reproduction du manchot royal s’étend sur 16 mois.Sur cette photographie, les manchots sont tous semblables. Mais ne sont-ils semblables qu’à nos yeux incapables de trouver ces signes permettant de les différencier, ce que leurs petits sont semble-t-il capables de faire ? Par delà ces phénotypes si semblables, quelle diversité se cache dans leurs génotypes ?

Reconnaître l’importance de l’agricultureLe réchauffement climatique a déjà commencé à modi er le visage de l’agriculture dans certaines régions du monde et continuera à le faire. La hausse des températures, la modi cation du régime des précipitations, l’intensité accrue des sécheresses et des inondations, l’évolution de la répartition géographique des ravageurs et des maladies sont autant de facteurs en partie im- putables à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES) liées aux activités humaines. Tous ces facteurs auront un impact sur la production alimentaire dans le futur ainsi que des réper- cussions bien au-delà. Dans les pays en développement, en effet, l’agriculture représente 29 % du produit intérieur brut (PIB) et emploie 65 % de la population active. C’est dire les conséquences que peuvent avoir la prospérité ou l’infortune des communautés agricoles sur la santé économique de nombreux pays. Cependant, l’agriculture n’est pas simplement victime du changement climatique, elle en est également une cause importante. Les activités agricoles sont directement responsables de 10 à 12 % des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine. Cela va sans compter les émissions résultant de l’utilisation de carburants et de la production d’engrais, ou encore celles résultant du défrichement des forêts dans le but de laisser place aux cultures et à l’élevage.

parti d’une exception prévue par la loi, autorisant les « activités scientifi ques » dans lesaires protégées

mais aussi aux entreprises privées ainsi qu’aux parties prenantes du développement des chaînes de valeur, comme les bailleurs de fonds et les ONG. Dans tous les pays ACP, il est essentiel d’identi er les stratégies et les priorités du secteur public en termes de développement des chaînes de valeur. Dans ces pays, le secteur agroalimentaire représente une importante source de revenus pour les populations les plus pauvres, qui peuvent tirer parti des chaînes de valeur inclusives pour améliorer considérablementleurs moyens de subsistance. L’inclusivité ne doit toutefois pas être obtenue à tout prix : les chaînes de valeur doivent être aussi ef caces que durables. Par conséquent, la présente publication met en avant certaines initiatives écologiques de premier plan mises en œuvre par les chaînes de valeur à l’étude.La FAO et le CTA partagent un même objectif : prendre la mesure des approches de développement de chaînes de valeur durables, mais aussi viables d’un point de vue économique. Nous sommes ravis d’avoir eu la possibilité de travailler de concert sur cette publication, qui s’inscrit dans la lignée des nombreuses années de collaboration fructueuse entre nos deux organisations.

En 2014, nous célébrerons le 30e anniversaire du CTA, qui coïncide avec l’Année internationale de l’agriculture familiale de l’ONU et l’Année de l’agriculture et de la sécurité alimentaire de l’Union africaine. Cela nous permettra de mettre en lumière le rôle important des petits producteurs dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle, ainsi que dans la croissance durable pour les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Paci que. Ce faisant, nous continuerons à compter sur la bonne volonté et sur le soutien de nos nombreux partenaires de par le monde.

Le projet Equateur Zamba Malamu exécuté par Woods Hole Research Center [WHRC] entre dans le cadre de la mise en oeuvre du processus REDD en RDC et il est un de six projets pilote REDD+ géogra-phiquement intégré en RDC dont l’objectif commun est de réduire les émissions des gaz à effet de serre dues à la déforestation et la dégradation des forêts et lutter contre la pauvreté dans des zones géogra-phiques limitées.Le Projet Equateur est un projet de renforcement de capacité de la société civile et du gouvernement pro-vincial dans le cadre de la REDD en province de l’Equateur. Le but de ce projet est de tester des ap-proches d’activités REDD en vue d’alimenter la stra-tégie nationale REDD et d’orienter l’exécution des activités du Processus National REDD en RDC.Moango ekwatele zamba malamu eye ezosala-ma na Woods Hole Research Center [ WHRC] ezali kokota na molongo ya manaka REDD o mboka RDC mpe ezali moko ya bamoango mo-toba ya REDD o ekolo Congo eye izali na etinda ya kokutola bobimisi mipepe ya mabe mikou-taka na bobebisi zamba mpe etunda esulu ya kobunda na bobola na bitando bizali na ndelo.Moango ekwatele ezali moango ya bokolisi boyebi ma bato ya lisanga bayi societe civile mpe mbulamatari ya etuka ekwatele mpona ma-bi ma REDD. Ntina mpenza ya moango ezali mpona komeka misala ya REDD mpo été esun-ga manaka ma REDD mpe epesa ntoli na misala mikoya ya REDD o ekolo ya biso Congo.

Ernst van Heurn Kees van de Agriculture Jeroen Boland Agrodok 24 décrit des méAgriculture Ed Verheij Agrodok 16 donne une desAgriculture, Agroforesterie Fondation Agromisa et CTA L'élevage, Agricult 2011

CTA Agriculture, Secu 2014Ard Lengkeek Marian Koster Agriculture Reitse Koopmans Marchés / Commerce Finance / ChAd de Veld Marketing, Agriculture André Teyssier Finance / Chain de Valeur, L'eau Ngeh J. Toyang Jacob Wany L'élevage, Agriculture Laura van Scholl Agriculture Joep van Lidth de Jeude l'objet de Agrodok 28 estAgriculture Leen van 't Leven Willem-Ja Agrodok 32 contient des L'élevage, Agriculture Dr J.C. Cobbinah Adri Vink Agrodok 47 contient des L'élevage, Agriculture S.J. van der Meulen G. den Agrodok 33 contient des L'élevage, Agriculture Carl Jansen Kees van den BuAgrodok 7 contient des iL'élevage, Agriculture Hans Blauw Gijs den Hertog L'élevage, Agriculture Dick Muys Geert Westenbri Agrodok 1 décrit trois s L'élevage, Agriculture N. van Eekeren A. Maas H.W Agrodok 4 fournit une mL'élevage, Agriculture CTA Marchés / Commerc 2014J.B. Schiere C.J. Corstiaense Agrodok 20 offre des infoL'élevage, Agriculture Freek Jan Koekoek Marg Leij Marchés / Commerc 2011Nico van Wageningen Johan Agrodok 34 contient des iL'élevage, Agriculture Janette Worm Tim van Hatt L'eau Justine Ansch tz Antoinett Agrodok 13 offre informaAgriculture, L'eauIfe Fitz James Bas Kuipers Agriculture Brigitte Maas-van Berkel Br Pisciculture / Pêche / Poisson, LPeter Oei avec la contribut Agrodok 40 fournit des inAgriculture Bram van Nieuwenhuijzen Agrodok 41 contient desAgriculture Shankara Naika Joep van Lid Agriculture Rienke Nieuwenhuis Joke Ni Agriculture Ed Verheij Agrodok 5 contient un inAgriculture Madeleine Inckel Peter de Agrodok 8 expliquant coAgriculture Aldin Hilbrands Carl YzermanAgrodok 21 traite de la pPisciculture / Pêche / Poisson, LEira Carballo Assiah van Eer Agrodok 15 est destiné Pisciculture / Pêche / Poisson, LKarin Rutgers Pauline Ebing L'élevage, Agriculture Saskia van Gastel Annoek vaAgrodok 22 est d'être unAgriculture Hil Kuypers Anne Mollema E Agriculture Piet Scheepens Rik Hoevers Agriculture Peter Fellows Marchés / Commerc 2011Henk Waayenberg Agrodok 9 est destiné à Agriculture Jelle Hayma Agriculture

Agrodok 23 traites les pratiques possibles que l’on peut appliquer pourprotéger les cultures horticoles contre des conditions climatiques défavorables.

Lorsqu'on commence à faire incuber des œufs et à élever des poussins, le mieux est d'utiliser des races de poules locales qui ont fait leurs preuves dans les conditions climatiques locales. Il est également vi- vement recommandé de consulter les agents de vulgarisation de la ré- gion en ce qui concerne les médicaments/vaccinations disponibles contre les maladies infectieuses. Demandez-leur également quelle est la meilleure saison pour démarrer un élevage de poules.Il est parfois souhaitable de remplacer les poules chaque année. Les vieilles poules pondent moins d’œufs tout en mangeant la même quan- tité de nourriture. Vous les vendrez en général à un bon prix parce que leur gout est apprécié. Mais certaines poules étant d’excellentes mè- res, il serait dommage de les tuer trop tôt. Ne vous débarrassez jamais de vos pondeuses tant que vous n’en avez pas de jeunes pour les rem- placer !Systèmes culturauxLa riziculture de bas-fonds couvre un large éventail de systèmes cultu- raux : riziculture de mangrove dans les régions côtières soumises à l’in- uence des marées, riziculture de submersion dans les fonds de vallées, plats ou en cuvette et plus ou moins inondés, riziculture de bas-fonds u- viale et riziculture en zone endiguée en culture pluviale ou irriguée. Le niveau de maîtrise de l’eau est un facteur majeur dans la classi cation de ces systèmes culturaux. Sans nivellement du sol, endiguement ou arrivée/ évacuation de l’eau, il est dif cile de bien maîtriser l’eau. Pour obtenir une maîtrise optimale de l’eau, il faut avoir des systèmes d’irrigation bien construits et bien gérés, des terrains parfaitement aplanis et un approvi- sionnement able en eau. La gestion de l’eau peut varier d’une maîtrise minimale à une maîtrise optimale de l’eau.Le niveau de maîtrise de l’eau in ue fortement sur la germination, la crois- sance de la plante et sa production. Il est par ailleurs déterminant pour le choix des méthodes de préparation du sol, de fertilisation et de lutte contre les herbes adventices et autres ennemis des cultures. Cet Agrodok décrit les méthodes culturales correspondant aux différents niveaux de maîtrise de l’eau : maximal, modéré ou faible.Agrodok 45 contient un dossier expliquant clairement comment le VIH/SIDA mine le bienêtrede la communauté et l’aptitude des fermiers à produire. Il proposedes pistes pour adapter les méthodes de culture afin d’atténuer ces effets.Agrodok 38 a pour but de guider les groupes d’agriculteurs dansleurs démarches de mise en place d’une activité coopérative.Agrodok 26 aborde un sujet socioéconomique --la commercialisation�des produits agricoles --à lintention des petits producteurs.�Agrodok 27 vise à aider les communautés paysannes de la zone sahélo soudanienneà financer, aménager et gérer des points d’eau pour les troupeaux de leur villagepratiques ethnovet, ainsi que la posologie et les traitements spécifiquesà un certain nombre de maladies des bovins.informations générales sur des termes souvent utilisés dans la sciencedes sols.

de l’élevage de vaches laitières sous les tropiques : alimentation, reproductionet enregistrement des données.

Cet Agrodok est le fruit de la coopération avec les auteurs de publications précédentes sur les aulacodes, publiées dans divers pays d’Afrique. Agromisa croit au potentiel de l’élevage familial des aulacodes. La produc- tion de viande d’aulacode de qualité élevée pour la consommation person- nelle et/ou la vente sur le marché s’intègre facilement dans une agriculture écologique à faibles intrants. De plus, l’élevage des aulacodes peut être rentable : après les investissements de départ en bâtiments et en cheptel, les soins et l’entretien sont relativement faciles à réaliser. On trouve des aliments bon marché, et la viande d’aulacode se vend à un prix intéressant. Cet Agrodok présente les modalités et les risques de l’aulacodiculture. Dans le cadre de l’objectif général d’Agromisa, l’amélioration de l’agricul- ture à petite échelle, ce manuel propose une méthode permettant de faire de l’élevage d’aulacodes une entreprise prospère et lucrative.

Il est tentant (et souvent trompeur) de ne considérer que les avantages de l’accès aux créneaux biologiques. Pour éviter toute déception, il faut bien se préparer, et bien connaître et comprendre les grands en- jeux de ces marchés extérieurs.

Agrodok 43 explique comment collecter, stocker et purifier l’eau depluie pour un usage direct au niveau du ménage.

diensemble des techniques simples utilisees pour conserver les fruits et les legumes.utilisées pour conserver du poisson et de la viande. C’est surtout unguide qui permettra de choisir entre plusieurs techniques de conservation.

le stockage, la transformation et la commercialisation à petiteéchelle des tomatesAgrodok 10 vise à aider les agriculteurs et les conseillers agricoles à faire les bons choix en fonction des circonstances spécifiques leur région, concernant la culture du soja et d'autres légumineuses.

aperçu des possibilités offertes par la fabrication du fromage commesource de revenu.

Agrodok 11 servira d'introduction utile dans la problématiqueet la défense contre l'érosionAgrodok 30 illustre comment travailler avec la nature afin de maintenir l’incidence des ravageurs à des niveauxtolérables.Ce petit manuel d’agriculture pratique décrit les méthodes et les maté- riaux pouvant être utilisés par les petits producteurs dans les pays en développement pour conditionner leurs produits agricoles. Il traite des produits alimentaires cultivés et/ou transformés dans les fermes et transportés ensuite vers les marchés de gros, les transformateurs ou, dans certains cas, vers les détaillants pour la vente aux consomma- teurs.Je tiens à remercier les personnes suivantes pour leur contribution à la réalisation du présent Agrodok : Marieke Mutsaers pour les informa- tions sur le miel, Roy Keijzer de la fondation Agromisa, Piet Schee- pens et Barrie Axtell pour leur lecture critique du manuscrit, Catharina de Kat-Reynen pour la mise au point du texte et Marinette Hoogen- doorn-Meijer pour les nouvelles illustrations.

Agrodok 31 traite des problèmes de stockage des produits agricolesdans les pays tropicaux et subtropicaux. Ces informations sont destinées à tous ceux qui renseignent sur place les paysans du pays et les petites coopératives sur les diverses possibilités de stockage.

Martien Hoogland Peter Hol Gestion, Agriculture Jeroen Boland Irene Koomen Agrodok 29 contient des Agriculture Tinde van Andel Agrodok 39 explique quelSecurite Alimentaire/NutritionMariska Leeflang Jacob Wany L'élevage, Agriculture Jan H. Loedeman Harrie Schreppers Peter PaapAgrodok 19 traite des prMarchés / Commerce, EnvironnTon de Klerk Finance / Chain de Valeur Harry van den Burg Agrodok 37 contient des Agriculture Marieke Mutsaers Henk van BAgrodok 42 contient des Agriculture Inge de Groot Agriculture Luurt Oudman L'élevage, Agriculture

Un scenario qui encouragAgriculture

Un scenario qui expliqueAgroforesterie un scénario qui décrit leL'eau un scénario qui fournit dL'eau Une introduction a l'eneÉnergieUn scénario qui donne l Énergie un scénario qui offre l'é Énergie Une introduction aux foForêt Un scenario par les hott un scénario qui décrit Un scenario qui explique Un scenario qui explique une introduction à l'eauL'eau un pièce du théâtre sur Agroforesterie un scenario qui expliqueAgriculture Un scenario qui explique un scénario qui explique un scénario qui offre de Un scenario qui donne l' Un scenario qui explique Un scenario qui donne l un scénario qui donne l'L'eau un petit introduction à s

Banque Mondial Le Programme de ProductiSecurite Alimenta 2016l'International Geosphere- Cette vidéo se concentreChangement Climatique Le Monde Pourquoi l'homme est-ilMarchés / Comm 2015Kevin Chau 2015GoodPlanet Environnement, Developpement Durable, Forêt Déforestation Cha

Énergie, Envir 2014ADES L'Association pour le dé Énergie, Environ 2015

impliqués dans l’installation et la gestion d’un grenier, une source d’informations et de conseils qui favoriseront le bon fonctionnementde leur grenier.

Agrodok 46 s’adresse aux gens qui vivent et travaillent avecdes animaux ou des produits animaux. Nous donnons des informations sur la prévention de les zoonoses chez l’homme et chez l’animal, tout en exposant leurs causes et leur mode de transmission. que ce soit, aux techniques de mesure liées aux constructions et�bâtiments dépassant le cadre de celles quapplique un charpentier. � �les secteurs informel, semi-formel et formel et aborde les pour et lescontre des approches et méthodes adoptées.

L’attention spéciale est donnée à l’utilisation de certains matériauxnaturels pour le protection du produit stocké.Agrodok 35 contient l'infomation sur l'ânes, en abordant toutes les aspects du travail de ces animaux: le soin et l’alimentation, les techniques d’entraînement,le harnachement, le chargement, ainsi que la description de l’outillage approprié pour le transport et la culture.

The Poverty-Environment Initiative

Le Burkina Faso dispose également d'un potentiel important pour devenir un acteur majeur dans le domaine des éco-matériaux. Il détient un potentiel largement inexploité pour convertir en matériaux modernes de construction les abondants déchets végétaux, de charbon, forestier et de coton. Face à l'argument que les éco-matériaux seraient encore chers, émergent ses nombreux avantages. La création d'emplois, de valeur ajoutée locale, la réduction des co uts d'énergie au quotidien, un environnement intérieur plus sain et leur résistance aux changements climatiques.

Le développement de villes durables, et en l'occurrence d'éco matériaux et d'énergies renouvelables offre une opportunité unique à la création d'emplois, de création de valeur ajoutée locale et de ce fait de réduction de la pauvreté. Il s'agit de bâtir une croissance économique sur de nouvelles bases non consommatrices d'énergie et apportant plus de confort aux futures générations de burkinabés.

Life Mosaic Fievre explique ce qu’esChangement Climatique ADF L'exploitation forestièr Gestion, RDC, For 2015Banque Mondial RDC 2015Life Mosaic Cette vidéo montre les i Cette vidéo montre les impacts de l'utilisation des s Forêt, Déforestation, REDD, Changement Climatique Banque Mondial Dans le village reculé d Énergie 2016Greenpeace Belgium Un petit film qui parle dDéforestation FAO Montre combien les forêtForêt, Changement ClimatiqueFAO Montre combien les forêtForêt, Changement ClimatiqueLe Monde Deux cents millions de fGenre/Femmes 2016CIFOR Un video par CIFOR qui RDC, Forêt UN-REDD Le Portail Web du SystèmRDC, Forêt, RED 2013Data Gueule Changement Cli 2016Paramount Pictures Changement ClimatiqueDéforestation, Changement Climatique

Achenyo Idachaba La jacinthe d'eau peut pPisciculture / Pêche 2015Al Gore Al Gore a trois question Énergie, Change 2016Andrew Youn La moitié des gens les p 2016Corentin De Chatelperron Corentin est un aventuriDeveloppement D 2012Corneille Ewango Botaniste Corneille EwanRDC, Forêt 2007Diebedo Francis Kéré Diébédo Francis Kéré sav 2013Ernest Madu Dr Ernest Madu dirige l' 2007Greg Asner De quoi sont vraiment faForêt 2013Iqbal Quadir Iqbal Quadir raconte co 2005Joe Madiath En Inde rurale, le manquGenre/Femmes, L'e 2014Kakenya Ntaiya Kakenya Ntaiya a fait uneGenre/Femmes 2012Ludwick Marishane Si vous deviez marcher uMarchés / Commerc 2012

Mary Robinson Le changement climatiqueDroit, Changeme 2015

Melati and Isabel Wijsen Les sacs en plastique sonL'eau 2015

Michael Green Peut-on éradiquer la fa Changement Cli 2015Michael Pritchard Trop de monde n'a pas acL'eau 2009Rachel Mwanza Accusée de sorcellerie à 2014Robert Neuwirth Robert Neuwirth a passéMarchés / Commerc 2012Sanjay Pradhan Comment pouvons-nous fai 2012Serge Mouangue 2012

Severine Autesserre Severine Autesserre étudRDC 2014Shubhendu Sharma Les forêts ne doivent paForêt 2016Siyanda Mohutsiwa Quelle jeune femme avec Genre/Femmes 2016Tasso Azevedo «Sauvez la forêt tropica Environnement, 2014

Lors de sa dernière éruption en 2002, le volcan Nyiragongo, au pied de Goma, a détruit une partie de la ville, provocant le déplacement de milliers de personnes et faisant une centaine de victimes. Loin de baisser les bras face à l’adversité, les habitants de Goma font preuve d’une résilience extraordinaire...

Continuez à réagir avec le hashtag #DTG2degres et #Datagueule sur Twitter___

Il explore actuellement les liens entre la nanotechnologie et l’interface par la scarification artificielle.

William Kamkwamba Lorsqu'il avait seulemen 2007

Site Internet (si disponible) Location MarcPiscic FinanGenCommGestiHTMLMatGIShttp://www.fao.org/elearning/#/elCours Marchés / Commerce

http://www.fao.org/elearning/#/elCours Gestion

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http://www.fao.org/elearning/#/elCours Gestion

http://www.fao.org/elearning/#/elCours Marchés / Commerce Gestion

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http://www.fao.org/elearning/#/e Cours Gestionhttp://www.fao.org/elearning/#/elCourshttp://www.fao.org/elearning/#/elCours Gestionhttp://www.fao.org/elearning/#/e Cours Communicationhttp://www.fao.org/elearning/#/e Cours CommGestionhttp://www.fao.org/elearning/#/elCours CommGestionhttp://www.fao.org/elearning/#/elCours CommGestionhttp://www.fao.org/elearning/#/elCours

http://www.fao.org/elearning/#/elCourshttp://www.fao.org/elearning/#/e Cours Genre/Femmeshttp://www.fao.org/elearning/#/elCours Genre/F Gestionhttp://www.fao.org/elearning/#/elCours Gestion

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http://www.fao.org/elearning/#/e Cours Gestionhttp://www.fao.org/elearning/#/elCours Pisciculture / P Communicationhttp://www.fao.org/elearning/#/elCours Gestionhttp://www.fao.org/elearning/#/elCours Gestion

http://www.fao.org/elearning/#/elCours Gestionhttp://www.fao.org/elearning/#/elCours

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MarkDroiL'él AgriGouL'eauBioloAnglSecurEnerRDEnviAgroDeveForDéforRED ChangemRessourcSecurite Alimentaire/Nutrition Ressource Formateurs

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Marchés / Commerce Gestion RDC RDC Environnement Forêt Déforestation Agriculture Biologie Environnement RDC

RDC Developpement Durable Forêt RDC Forêt Déforestation Gestion Environnement Forêt Agriculture Forêt

Changement Climatique Forêt Changement Climatique Marchés / Commerce Agriculture Gestion Environnement

Droit Environnement Mathématiques Anglais Gestion

Marchés / Commerce Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition Developpement Durable Forêt

Agriculture

Changement Climatique Environnement Changement Climatique

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Gestion Droit Anglais Environnement Recherche/Traveaux ScientifiqueMarchés / Commerce Securite Alimentaire/Nutrition Changement Climatique

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Securite Alimentaire/Nutrition

Agriculture

L'élevage Agriculture Gestion Gouvernance

Changement Climatique Agriculture Environnement Changement Climatique Marchés / Commerce Gestion RDC REDD Gestion Developpement Durable Marchés / Commerce Gestion L'élevage Agriculture Marketing Finance / Chain de Valeur Gestion Marchés / Commerce Marketing Mathématiques Mathématiques Mathématiques Gestion Mathématiques Biologie Anglais

Gouvernance Agriculture Agroforesterie Forêt

Marchés / Commerce RDC Forêt Déforestation

Gestion Agriculture L'élevage

L'eau

Finance / Chain de Valeur Agriculture REDD

Marchés / Commerce Recherche/Trav

Marchés / Commerce Pisciculture / Pêche / Poisson L'élevage Changement Climatique

Communication RDC L'eau Securite Alimentaire/Nutrition RDC Environnement

RDC REDD Recherche/Trav

Environnement Changement Climatique Agriculture Changement Climatique

REDD L'élevage Agriculture

Gestion Agriculture Environnement Agriculture Agriculture Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition Agriculture Genre/Femmes Gestion Finance / Chain de Valeur Gestion Gouvernance RDC Communication REDD

Environnement Agriculture L'élevage

Changement Climatique Biologie Environnement Changement Climatique Environnement Developpement Durable Forêt Déforestation Droit Environnement

Marchés / Commerce Pisciculture / Pêche / Poisson Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture Recherche/Traveaux Scientifique

Finance / Chain de Valeur Gouvernance RDC Environnement Developpement Durable Forêt Déforestation REDD Changement Climatique

Genre/Femmes Environnement Developpement Durable Recherche/Traveaux Scientifique

Pisciculture / Pêche / Poisson

Gouvernance Forêt

Changement Climatique

Genre/Femmes Droit RDC Gouvernance RDC Forêt

RDC REDD

Marchés / Commerce Anglais Agriculture L'eau

Changement Climatique REDD

Changement Climatique REDD

Marchés / Commerce REDD

Gestion RDC

Gestion RDC

Marchés / Commerce Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture

Marchés / Commerce Gestion RDC L'élevage Agriculture

Gestion Forêt RDC Marchés / Commerce RDC Environnement Forêt Déforestation

Agriculture L'eau Securite Alimentaire/Nutrition Énergie RDC Environnement Developpement Durable Forêt Déforestation REDD Changement Climatique

Environnement Developpement Durable Forêt Déforestation REDD Changement Climatique

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Gouvernance Anglais Forêt Déforestation REDD Changement Climatique

Gestion Gouvernance RDC Gestion RDC

Gestion RDC Finance / Chain de Valeur RDC Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Gestion RDC

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Gouvernance RDC

Marchés / Commerce Droit Agriculture RDC Environnement Forêt

Finance / Chain de Valeur RDC

Marchés / Commerce Gestion RDC

Finance / Chain de Valeur Securite Alimentaire/Nutrition RDC

Finance / Chain de Valeur Gestion Gouvernance RDC

Gouvernance RDC Environnement

Gouvernance RDC Environnement

Gouvernance RDC Environnement

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur L'élevage Agriculture

Genre/Femmes Droit RDC Forêt

Finance / Chain de Valeur Gestion Forêt Déforestation REDD Marchés / Commerce Agriculture Agroforesterie

Agriculture Developpement Durable

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture

Finance / Chain de Valeur Gestion RDC L'eau

Forêt

Anglais

Anglais Anglais Marchés / Commerce Agriculture L'eau

Changement Climatique Agriculture Environnement Forêt Changement Climatique

Gestion Agriculture L'élevage Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition Agriculture Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture

L'élevage Agriculture RDC

Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture

REDD Marchés / Commerce

Changement Climatique Forêt REDD Changement Climatique

REDD Changement Climatique Finance / Chain de Valeur Environnement Changement Climatique

Marchés / Commerce Pisciculture / Pêche / Poisson L'élevage Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition Agroforesterie

Droit Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture Biologie Environnement

RDC Déforestation

REDD

GIS REDD

GIS Forêt REDD

GIS REDD

Changement ClimatiqueChangement Climatique Forêt Changement Climatique

REDD

Pisciculture / Pêche / Poisson Agriculture

Genre/Femmes Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition

RDC Finance / Chain de Valeur L'élevage Agriculture Developpement Durable Anglais Environnement Anglais Finance / Chain de Valeur Gestion RDC

Droit RDC

Droit RDC Changement ClimatiqueChangement Climatique

L'élevage Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition Environnement Changement Climatique

Finance / Chain de Valeur Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition Developpement Durable

RDC Environnement Developpement Durable Déforestation REDD Changement Climatique RDC Environnement Developpement Durable Déforestation REDD Changement Climatique

Agriculture Agriculture Agriculture Agroforesterie L'élevage Agriculture

Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition Agriculture Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture Marketing Agriculture Finance / Chain de Valeur L'eau L'élevage Agriculture Agriculture Agriculture L'élevage Agriculture L'élevage Agriculture L'élevage Agriculture L'élevage Agriculture L'élevage Agriculture L'élevage Agriculture L'élevage Agriculture Marchés / Commerce L'élevage Agriculture L'élevage Agriculture Marchés / Commerce Finance / Chain de Valeur Agriculture L'élevage Agriculture L'eau Agriculture L'eau Agriculture Pisciculture / Pêche / Poisson L'élevage Agriculture Agriculture Agriculture Agriculture Agriculture Agriculture Agriculture Pisciculture / Pêche / Poisson L'élevage Agriculture Pisciculture / Pêche / Poisson L'élevage Agriculture L'élevage Agriculture Agriculture Agriculture Agriculture Marchés / Commerce Agriculture Agriculture Agriculture

Gestion Agriculture Agriculture Securite Alimentaire/Nutrition Environnement Forêt L'élevage Agriculture Marchés / Commerce Environnement Forêt Déforestation Finance / Chain de Valeur Agriculture Agriculture Agriculture L'élevage Agriculture Agriculture

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Changement Climatique Changement Climatique Changement Climatique Marchés / Commerce Environnement Changement Climatique

Changement Climatique

Changement Climatique Énergie Environnement Developpement Durable Changement Climatique Énergie Environnement

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Changement Climatique Forêt Déforestation REDD Changement Climatique Énergie Déforestation

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Developpement Durable RDC Forêt Forêt Genre/Femmes L'eau Genre/Femmes Marchés / Commerce L'eau

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