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Jeudi dernier, au pavillon Alphonse-‐Desjardins, avait lieu le Pot Luck International, un souper communautaire où tous ont pu savourer des mets provenant des quatre coins du monde. Cette activité haute en saveurs fut un réel succès grâce à la participation de chacun. En un rien de temps, une fois l’estomac de chacun bien rempli de mets délicieux, un tournoi de Beer pong a pris place. Les deuxièmes années, Julie Paillé et Emmanuelle C. Bédard, furent couronnées grandes championnes. Bravo à vous deux !
POT-LUCK INTERNATIONAL
SI J’ÉTAIS UN PAYS JE
SERAIS...
Réponses spontanées et originales des étudiants au vox-‐pop
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4 octobre 2011
Journal bimensuel du Baccalauréat intégré en études internationales et langues modernes
BUTINEURVolume 1, numéro 4
suite en page 2
CHOISIR SES LANGUES ET SA
CONCENTRATION
Recommandations sur la concentration développement international et les cours d’anglais
Page 6
UNE SESSION EN URUGUAY
Témoignage de Francis Langlois suite à son expérience
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Pot-luck international
Histoire de faire descendre toute cette nourriture, quelques-‐uns se sont dégourdis les jambes au rythme de la musique, tout aussi internationale que les mets. Une fois de plus, ce fut une activité des plus réussies!
AU MENU★ Gaspacho: soupe froide andalousienne★ Gulyás: soupe hongroise★ Spanakopita: entrée grecque★ Salade grecque ★ Baklavas★ Meringues françaises★ Kesari: gâteau sri lankais★ Et plus encore...
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Portrait inspirant : Jérémie Lebel
Nom : Jérémie Lebel
Âge : 21 ans
Année d’études : 3e
Ville d’origine : Rivière-du-Loup
Passe-temps : Lecture, vélo, sortir, cinéma.
Emploi de rêve : Chef de mission diplomatique en Amérique latine ou au Moyen-Orient
Voyage marquant : Le Maroc, où j’ai traversé une autoroute à pied et surpayé un guide louche.
Citation préférée : «Tout s’apprend.»
DANS UN BACCALAURÉAT COMME LE
NÔTRE, C’EST L’IMPLICATION QUI FAIT TOUTE LA D I F FÉRENCE . A LORS
LAISSONS-‐NOUS INSPIRER PAR JÉRÉMIE LEBEL, UN ÉTUDIANT DE TROISIÈME
ANNÉE, QUI A SU SAISIR TOUTES LES
OPPORTUNITÉS QUI S’OFFRAIENT À LUI.
par Maude Gagnon• • •
Dès sa première année, il découvre Impact Campus, le journal indépendant des étudiants de l’Université Laval, dans lequel il rédigera quelques articles. Au cours de cette même année, il participe à la simulation de l’Assemblée nationale, laquelle offre, à des jeunes de 18 à 25 ans, provenant du Québec, de la Belgique et d’Haïti, la possibilité de vivre une expérience parlementaire. Jérémie s’implique aussi dans l’association de Droit et Démocratie de l’Université Laval, ce qui lui permet ensuite d’obtenir un emploi d’assistant en communication et publicité, au sein de l’association de Droit et Démocratie du Parlement canadien.
Après un été de travail dans l’univers de la politique, Jérémie s’envole vers Grenade, en Espagne, dans le cadre du
proXil international. Là-‐bas, en plus de terminer sa d e u x i è m e a n n é e universitaire, il a l’occasion de rafXiner son espagnol et de parcourir plusieurs pays, dont la Belgique, l’Écosse, la Lettonie, le Portugal et le Maroc. En tant qu’étudiant impliqué, il ne reste pas les bras croisés toute l’année. Au contraire, il fait du bénévolat au sein de la Fundación A l b i h a r , u n o r g an i sme
œuvrant dans le développement international. Après une si belle année à l’étranger, il n’a qu’un conseil à donner aux étudiants de première année : « N’hésitez pas à partir. Il n’y a rien qui vous retienne ici, alors vous devez partir à l’étranger. Il faut proXiter de cette occasion! »
Cette année, de retour au pays, Jérémie entame sa troisième année. Il reprend sont travail au sein de l’association de Droit et Démocratie, cette fois-‐ci en la présidant. Il continue d’écrire quelques articles dans l’Impact Campus, en plus de mettre sa plume au proXit de ce journal, le Butineur. Comme tout Xinissant qui se
respecte, il songe à ses projets futurs, à «l’après-‐bac ». « La maîtrise, c’est certain! », comme il l’a si bien dit. Sa concentration étant la politique, il espère continuer à œuvrer dans ce domaine et aimerait, un jour, siéger au Ministère des Affaires étrangères ce qui lui permettrait de faire une différence dans le monde. Comme il l’explique : « En politique, c’est là qu’on a le pouvoir. C’est avec ce pouvoir là qu’on peut vraiment faire changer les choses. »
Pour ensavoir plus
Droit et démocraFe Université Laval
www.dd-‐rd.net/ulaval/
S imu l a Fon d e l ’A s s emb l é e naFonale
www.pjq.qc.ca
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Vox-popSi j'étais un pays, je serais...
Fs F P GHa ha ha! Je serais la Belgique parce que c'est le fun et il y a beaucoup de conflits à régler.
S GJe serais le VaNcan parce que je ne suis pas grand, que je suis chaste et pur: tout simplement divin!
T DJe serais l'Autriche parce que c'est un beau pays, les gens sont riches et je trouve que Hitler me rejoint vraiment (Eh oui!).
S VLe pays des merveilles parce que c'est vraiment cool, il y a des lapins qui ont des montres, ils sont "vraiment chums" pis tu peux prendre des dîners avec eux.
M P Je serais la Corée du Sud, car comme elle, même si elle est peNte, elle en a pas mal en dedans!
O DTout simplement la Belgique parce que c'est mâle.
C-O CLe Liechtenstein parce qu'il y a beaucoup de châteaux et puis ayant dans mon portefeuille une carte de Legolas qui est un de mes mentors, je suis convaincu qu'il y habite.
F B É SsçLe Chili! Parce que nous sommes différents, comme le Chili du nord au sud. On a ce^e dynamique, ce^e énergie, c'est-‐à-‐dire la "muy caliente" de ce pays tout en étant sérieux. Nous sommes cools.
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MARIE-‐CHARLOTTE DEZUTTER
par Valérie Paquette• • •
Marie-‐Charlotte, Xinissante de notre
programme à l’hiver 2010, a étudié
dans le proX i l développement
international. C’est grâce à un voyage
au Pérou à l’été 2005 qu’elle a choisi
cette concentration. Durant son
voyage, elle a fait de l’aide aux devoirs
dans un bidonville de Lima et c’est à
ce moment-‐là qu’elle a eu la piqûre
pour la coopération internationale.
M a r i e -‐ C h a r l o t t e a c h o i s i l e
cheminement d’intervention, c’est-‐à-‐
dire celui avec des cours de service
social, sociologie, gestion, santé
internationale, etc. Selon elle : « Ça
permet d’avoir une ouverture et de
mieux comprendre les inégalités du
monde dans lequel on vit. » Elle a
aussi eu la possibilité d’effectuer un
stage de deux mois chez Plan Nagua
pour le secteur de l’éducation. Elle
s’est entre autre occupée de faire de la
recherche et de rédiger des outils
pédagogiques sur le commerce
équitable pour le primaire et le
secondaire. Étant beaucoup impliquée
à l ’ un ive r s i t é , Mar i e -‐
Cha r l o t t e f u t VP aux
communicat ions en 2e
année et VP 3e lors de sa
dernière année. Elle a aussi
été bénévole pour Collège
F r o n t i è r e , m e m b r e
d’Ingénieurs sans frontières
et fait du jumelage en
espagnol. Elle a fait un
c e r t i X i c a t e n c o o p é r a t i o n
internationale à l’Université de
Montréal, qui s’est terminé avec un
stage de sensibilisation du public aux
enjeux internationaux au YMCA et elle
vient de commencer une technique en
éducation spécialisée. Si elle pouvait
changer quelque chose dans la
concentration, elle rendrait le stage
obligatoire pour tout le monde. Selon
Marie-‐Charlotte, il est important
d’aller chercher de l’expérience à
l’extérieur du BAC. Elle conseille de
s’impliquer dans des projets et auprès
de différents organismes. Pour le
moment, elle n’a pas encore d’emploi
r e l i é a u
domaine de sa concentrat ion ,
cependant, elle est persuadée que ses
expériences lui serviront plus tard.
Concentration : Développement international
Choisir les langues et la concentra0on qui nous conviennent le mieux peut s’avérer un véritable casse-‐tête en cours de route. Les opportunités sont vastes et très différentes les unes des autres. Le Bu0neur vous présente les commentaires d’étudiants qui en sont à la fin de leur cheminement pour vous aider à prendre un choix éclairé.
Un choix judicieux
Avez-vous pensé à payer vos frais de scolarité ?
La date limite de paiement sans pénalité est le 15 octobre.
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MARILYNE TREMBLAYpar Valérie Paquette
• • •
Marilyne Tremblay, ou celle qu’on
surnomme el presidente, est une
étudiante de troisième année dans la
concent ra t ion déve loppement
international. C’est grâce à un cours
qu’elle a suivi à sa première session,
soit anthropologie des caraïbes,
qu’elle a choisi la concentration
développement international. Malgré
le fait que ce cours soit préalablement
destiné aux troisièmes années et
qu’elle n’avait suivi aucun cours
préalable à l’anthropologie, Marilyne a
tout de même trouvé sa passion à
travers cette discipline. Se décrivant
comme une personne drôle et
dynamique, elle s’implique un peu
partout, notamment avec Jeunesse
sans frontière, qui est une association
à but humanitaire et le
POMD (Partenariat pour
l'atteinte des Objectifs
du Millénaire pour le
Développement) qui
t r a v a i l l e p o u r l a
sensibilisation et la mise
en œuvre d ’act ions
concrètes en lien avec
l e s o b j e c t i f s d u
M i l l é n a i r e p o u r l e
développement. De plus, Marilyne a
eu la chance de faire un stage de 3
mois au Pérou avec l’organisme
Ingénieurs sans frontières dans le but
d’étudier les relations hommes/
femmes. Ce qu’elle a surtout préféré
c’était de pouvoir interagir et discuter
avec les Péruviens et les Péruviennes.
C’est pourquoi elle aime beaucoup
cette concentration, qui selon elle est
l a p l u s c o n c r è t e e t l a p l u s
multidisciplinaire. Le seul petit bémol
e s t a u n i v e a u d e s c o u r s
d’anthropologie et de sociologie. Ils
sont beaucoup axés sur l’Afrique, alors
qu’elle est davantage intéressée par
l’Amérique du Sud. Marilyne désire
éventuellement faire sa maîtrise en
développement international. Son
conseil pour les premières années :
«Osez»!
par Olivier Béland• • •
Quand vient le temps de faire un choix
de langues d 'étude , p lusieurs
possibilités s'offrent aux nouveaux
étudiants du BAC. Parmi celles
proposées, l'anglais, en tant que «
première langue », est certainement
un choix répandu. Dans le cadre de
cette première chronique, Le Butineur
a rencontré deux étudiants aXin d'en
savoir plus sur leur cheminement en
langue anglaise.
Philippe Côté, 23 ans, en est à sa
troisième année d'étude. Pour lui, le
f a i t d e
choisir l'anglais allait de soi. Les cours
Langue : anglais
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AIESEC EST UNE ORGANISATION INTERNAT IONALE , EX ISTANT DEPUIS PLUS DE 50 ANS ET MAINTENANT PRÉSENTE DANS PLUS DE 107 PAYS.
par Élise Robidoux Dumont• • •
Cela fait d’elle la plus grande organisation gérée par des étudiants au monde. El le fut fondée au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale par des étudiants qui voulaient changer le cours des choses en permettant aux différentes nations d’apprendre à mieux se connaître et d’échanger sur leur culture respective aXin d’éviter d’éventuels conXlits. Aujourd’hui, AIESEC c’est un réseau m o n d i a l , u n e p l a t e -‐ f o r m e internationale de valeur pour tous les jeunes désireux d’avoir des échanges enrichissants avec le monde entier. Sa vision est la poursuite de la paix et la réalisation du potentiel humain. Cette vision fait place à l’initiative étudiante et elle est honorée grâce à six valeurs fondamentales:
1. Faire preuve d’intégrité2. Stimuler le leadership3. Vivre la diversité4. Aimer participer 5. Agir de façon durable 6. Viser l’excellence
Qu’est-‐ce que t’offre AIESEC ?
En proXitant des services qui leur sont offerts, les étudiants peuvent expérimenter et développer plusieurs compétences en proXitant de toutes les opportunités.
• Expérience de leadership• E x p é r i e n c e c o n c r è t e
d’implication étudiante• S t a g e s p r o f e s s i o n n e l s
internationaux• Stages en développement
humanitaire à l’international• Participation à des congrès de
formation professionnelle
AIESEC Laval
Il y a deux façons de participer à AIESEC Laval.
Tout d’abord, en devenant membre et par l’implication dans les différents comités : Ressources humaines, Relations internes, Relations externes (stages internationaux, collaboration avec les anciens membres, partenariat avec les entreprises d’ici, etc.). Le prochain recrutement aura lieu au début de la session Hiver-‐2012, mais il n’est jamais trop tôt pour se renseigner. Les bureaux de AIESEC Laval se situent au PAP-‐0413.
Puis, il est également possible de faire les démarches pour les stages professionnels et humanitaires à l’étranger. Pour de plus amples informations, il sufXit simplement de communiquer avec Katherine Naud ([email protected]), Vice-‐Présidente aux échanges sortants.
Qu’est-ce que l’AIESEC ?
de grammaires , en particul ier
Grammar 1 et Grammar 2 (remplacés
par Préparation au thème 1 et
Préparation au thème 2), lui ont
permis de parfaire ses connaissances
de la langue écrite, et ce dans une
atmosphère très détendue. Certains
cours, dont Workplace English et
Literary Genres: Short Story lui ont
toutefois semblé moins pertinents
quant à ses objectifs d'apprentissage.
Des cours plus adaptés au programme
(en linguistique par exemple) seraient
d'après lui nécessaires aXin de
renforcer ce choix de langue.• • •
Pour Amélie Veillette, Xinissante à
l'hiver 2011, le cursus en langue
ang la i se a ide beaucoup dans
l ' appren t i s s age de règ l e s de
grammaire et d'écriture, mais
comporte certaines lacunes pour ce
qui est du volet oral. Le côté «
pratique » du cours Workplace English
l'a amenée à améliorer ses capacités
de rédaction de textes dans un cadre
professionnel, tout en mettant de
l'avant la discussion dans le groupe
(l'un des rares cours ainsi selon elle).
EnXin, tout comme Philippe, elle
conXirme la nécessité d'ajuster
certains cours en tenant compte des
véritables besoins des étudiants du
programme, aXin que ceux-‐ci soient
entre autres mieux préparés au
marché du travail.
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Six mois en Allemagne
par Amélie Bélisle• • •
Après six mois en Allemagne, je garde des milliers de photos et des anecdotes inoubliables. Ceux qui ont choisi l’allemand comme langue au BEILM le sauront, cette langue est pleine de mystère, tout comme son pays !
En plein mois de février 2009, où normalement il fait froid et sec, pas comme au Québec, on m’a accusée d’avoir amené la neige alors qu’il est tombé plus de 20 cm de neige (du jamais vu depuis des dizaines d’années !).
L’Allemagne, c’est un monde inspirant et mystérieux. La langue y est difXicile, mais si belle. Son histoire est à la fois critiquée et étudiée. L’Allemagne, c’est un monde à part, qu’il faut voir. De ses
petits villages à ses grandes villes, de ses fêtes (l’Oktoberfest en est un exemple !) à ses festivals, de ses châteaux à ses montagnes… L’Allemagne est une beauté cachée.
DEUTSCHLAND AUF LAVAL UNIVERSITÄT
À l’Université Laval, on fait hommage à l’Allemagne non seulement avec l’Oktoberfest, mais aussi avec nos
beaux cours de langue, d’écriture, de culture, etc. Dans le BEILM, nous avons de superbes cours d’allemand (langue première ou deuxième) et même un cours sur l’histoire du pays !
CARNET DE VOYAGE
En visitant un peu l’Allemagne, dans la belle ville de Münster, je suis passée à côté d’un cheval, ou plutôt un squele?e de cheval, prénommé « Cheval de l’Apocalypse ». En essayant de prendre une photo drôle, ma tête est restée coincée dedans !
Une photo du chien où je vivais.
Sur le WebGuide du Routard
h^p://www.routard.com/guide/code_dest/allemagne.htm
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Profil international
par Daphnée Pouliot• • •
Quel est selon toi le meilleur moment dans le cheminement du BAC pour faire le profil internaFonal?
Selon moi, le meilleur moment est probablement un an et demi après avoir commencé puisque ça vous donne le temps d’être certain quant à vos choix de l a n g u e s e t d e concentraNon. En plus, ça vous donne le temps d ’a v o i r c e r t a i n e s connaissances des pays que vous visiterez et de praNquer un peu la langue avant de parNr ce qui est vraiment u N l e p o u r u n e intégraNon réuss ie dans votre nouvelle société.
Quel est le m e i l l e u r souvenir de ton expérience et pourquoi?
En fait, j’en ai plusieurs, mais bref, les moments les plus appréciés sont normalement ceux où l’on part en voyage sans les préoccupaNons quoNdiennes de l’école et de la peNte rouNne. Souvent, on se retrouve avec des gens très sympathiques et on se forge des souvenirs qui restent
gravés dans nos mémoires. C’est un peu comme si on était entre deux mondes.
Peux-‐tu nous raconter une anecdote ou un moment cocasse de ta session en Uruguay?
J’ai suivi 3 semaines de cours sans même être inscrit à l’université! Quand mon
inscripNon a été confirmée, j’ai dû refaire mon choix de cours au complet car tous les cours que je suivais étaient techniquement complets!
Si tu pouvais le refaire, le referais-‐tu? Si oui, différemment?
Je le referais sans hésitaNon! Si j’avais quelque chose à changer, je voyagerais davantage durant mon séjour, car les
Nom : Francis Langlois
Âge : 21 ans
Année d’études : 3e
Destination : Montevideo, Uruguay
Voici le portrait de Francis Langlois, un étudiant de troisième année, qui a fait une session à l’étranger grâce au profil internaFonal. Il est parF en Uruguay, pour une durée de 5 mois, lors de sa troisième session d’étude. Voici un compte-‐rendu de son expérience, qu’il qualifierait d’«iniFaFque!», suite à ses impressions et recommandaFons.
L’UruguayRépublique Orientale de l’Uruguay
Langue officielle : espagnol
Capitale : Montevideo
Superficie : 176 220 km2
PopulaNon : 3 477 778 hab.
Monnaie : peso uruguayen
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cours ne sont finalement pas très exigeants!
As-‐tu eu des problèmes, des difficultés? Est-‐ce que l’adaptaFon, la distance et la langue te causaient des difficultés?
C’est certain que lorsqu’on arrive, on ne peut pas s’a^endre à avoir la même vie que l’on avait avant le départ. Les repères tombent, les visages changent et le cercle social aussi! Par contre, avec une aqtude posiNve et conciliante, le voyage se passe vraiment bien. On a tous des phases un peu plus creuses durant lesquelles on s’ennuie un peu du pays, mais c’est normal!
Quels conseils donnerais-‐tu à ceux qu i veu l en t f a i r e l e p rofi l internaFonal?
De foncer et de s’ouvrir à tout ce qui se présente!
Qu’est ce que ceke e x p é r i e n c e t ’ a apporté?
Ce^e expérience, du côté personnel, m’a rendu certainement différent, plus calme et plus sage un peu. ParNr un bon bout de temps permet de
reme^re les choses e n p e r s p e c N v e . Durant le voyage, n o u s s o m m e s confrontés à des interrogaNons sur nous, nos vies, etc. Comme on ne peut pas se raba^re sur ce que l’on se rabat normalement quand on est chez nous et b i e n o n d o i t a ff r o n t e r n o t r e nouveau quoNdien! Sinon, du côté académique, j’ai appris plusieurs choses dans mon domaine. J’ai pu voir une manière différente de traiter l’éducaNon, ce qui est super, car après on peut repenser notre système à nous et voir ce qu’il y a de bon et de moins bon par rapport à l’expérience qu’on
vient de vivre.
Les ressources de Laval étaient-‐elles suffisantes pour te préparer à ta session à l’étranger? As-‐tu eu de l’aide? À qui s’adresse-‐t-‐on? L e s c o û t s s o n t -‐ i l s raisonnables? Y a-‐t-‐il des bourses?
Le bureau internaNonal nous
prend pas mal en main. L’an dernier nous avions droit à une bourse de 4000 $ pour chaque session à l’étranger, ce qui voulait dire 8 000$ en tout pour une année d’études à l’étranger. Laval prépare bien les étudiants et il y a de nombreuses ressources disponibles à leur disposiNon. Vous pouvez jeter un coup d’œil sur le site web du bureau
internaNonal où vous y rendre directement. Le BI se trouve près du De-‐Koninck. C’est une peNte maison dans le bo i sé qu i mène au Desjardins.
Pour ce qui est des cours crédités, comment ça s’est passé?
Il est de notre responsabilité de trouver des cours à se faire créditer. A p r è s a v o i r a c c e p t é v o t r e candidature, l’université étrangère vous envoie un dépliant avec les cours disponibles. Vous êtes responsables de choisir les cours et d ’a l l e r vo i r l a d i re cNon de programme (Julie Deblois) pour vérifier s’il est possible de les faire créditer.
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VOTRE COMITÉ JOURNAL
Publié sur une base bimensuelle, le BuNneur a comme mandat d’informer les
étudiants du baccalauréat intégré en
études internaNonales et langues modernes sur les iniNaNves prises au
sein de l’associaNon étudiante, ainsi que
sur des sujets d’intérêts généraux pouvant interpeller la communauté
universitaire.
INTÉRESSÉS À PARTICIPER?
L’équipe du BuNneur est toujours à la recherche de journalistes et d’étudiants
moNvés désirant s’impliquer dans
différentes sphères de la réalisaNon du journal. Ça vous intéresse? Communiqez-‐
avec nous :
COLLABORATEURS
Photographie : Alain Togba
Montage : Alexandre Clément
Rédactrice en chef : Marie-‐Hélène Ratel
Merci à nos journalistes !
D’avant en arrière, de gauche à droite : Maude Gagnon, Rosalie Simard, Olivier Béland, Jérémie Lebel, Alexandre Clément, Emmanuelle C. Bédard, Gabrielle Bouchard-‐Doyon, Jean-‐Philippe Duphily, Valérie Paquette, Félix Bourret, Marie-‐Hélène Ratel, Amélie Belisle, Alain Togba, Daphnée Pouliot.
Absents sur la photo : Sara Di Zazzo, Julie Paillé, Marie-‐Anne Paradis, Élise Robidoux Dumont.
Nouveau comité du Butineur
COMITÉ JOURNAL
L'équipe du Butineur reste à l'affut
de l'information au Xil des
semaines et vous rencontre pour
discuter de vos projets et de vos
expériences pouvant intéresser les
autres étudiants du baccalauréat
intégré en études internationales
et langues modernes. N'hésitez pas
à nous faire part de vos
suggestions et commentaires!
Marie-Hélène Ratel
Le journalisme international en AsieConférencier : Monsieur Terusuke Terada, président du Foreign Press Center au Japon, ex-ambassadeur du Japon en Corée du Nord et dans plusieurs pays dʼAmérique latine, et ex-délégué à la mission permanente du Japon à lʼONU
Jeudi 6 octobre 2011 de 11h30 - 12h30, DKN-3244
L'état de la gestion de l'eau au Brésil: diagnostic d'une réalité en mouvementConférencier : Oscar de Moraes Cordeiro Netto, ingénieur environnemental et professeur à lʼUniversité de Brasilia.Mercredi 12 octobre 2011 de 12h - 13h15, DKN-3470
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