32A RTE Magaz ine3 août > 9 août 2002
14.00 > 19.00 Programmes d’ARTE en numérique sur CanalSatellite et TPS
19.00 > 03.00 Programmes d’ARTE sur le réseau hertzien, le câble et le satellite en numérique sur CanalSatellite et TPS
32Semaine du 3 au 9 août 2002
Samedi 3 Dimanche 4 Lundi 5 Mardi 6 Mercredi 7 Jeudi 8 Vendredi 9
4.00oilà l’Europe
4.30êcher moins,êcher mieux
5.10a Patrouillees glaciers
6.20a tradition e la soie
6.45 aléidoscope
7.15t l’hommeescendit u singe (5)
8.00s chemins de
amarkand (3)
9.00lash Info
9.00iographies
9.45RTE Info
0.00e dessous es cartes
0.10RTE Météo
0.15alettes
0.45’aventureumainees routes u vent (2)
1.45Metropolis
2.40ictionistoiree famille
0.05a lucarneiger
0.50erlinlexanderplatz
2.40Why are you
eative?
14.00Création(s)
14.30Voyages,voyages
15.15Double jeu
16.45 Cuisines des terroirs
17.30Les grandsduels du sport
18.15Biographies
19.00Flash Info
19.00MaestroJohannesBrahms :Symphonie n° 2
19.45ARTE Info /Météo
20.15DanseIndia dance
20.45-00.30 Thema MarilynMonroe, un rêve brisé
20.45Le milliardaire
22.40Marilyn Monroe(1926-1962)
23.30Marilyn malgré elle
00.35Mic Mac
01.00Why are youcreative?
01.05Metropolis
01.55Joseph Kosma
14.00Lola
14.30La Mecquesecrète
15.25Ici pourtoujours
16.20Les chants du prophète
16.55Voilà l’Europe
17.25Je ne l’ai pasvoulu
19.00Flash Info
19.00Nature
19.45ARTE Info /Météo
20.15ARTE ReportageAfrique, cassede l’Europe
20.45Cinéma Cotton Club
22.50Grand formatAl Barnum, du bonheur en limousine
00.25Court-circuit(le magazine)n° 80
01.10Why are youcreative?
01.15La ronde
14.00 Cuisines des terroirs
14.30MonserratCaballéprésente Les stars de demain (1)
15.15Abracadabra
15.55India dance
16.25Viesd’eunuques
16.55Lola
17.25Court-circuit (le magazine)n° 80
19.00 Flash Info
19.00Archimède
19.45ARTE Info /Météo
20.15ARTE ReportageBébéscherchentmamies
20.45-23.10ThemaPour Dieu,envers etcontre tout
20.45Les colons
21.45Ils tremblentdevant Dieu
23.10Music PlanetBrad Mehldau
00.05La nuit s’anime
00.35Cinémaniac
00.55Why are youcreative?
01.00Le trio
14.00 Album de famille
14.30Voyages,voyages
15.15Chercheurspour la guerre(2)
16.15Passionflamenco
16.45 Capté
17.25 Histoirede famille
19.00Flash Info
19.00ConnaissanceEt l’hommedescendit du singe (6)
19.45ARTE Info /Météo
20.15ARTE ReportagePéchés suédois
20.45Les mercredisde l’histoireChercheurspour la guerre(3)
21.35MusicaMusiquestziganes, une histoirede famille
22.55Ciné-découverteUn hommecomme E.V.A.
00.20Why are youcreative?
00.25Cotton Club
02.30Parlonsd’amour
14.00Hippocrate
14.30Biographies
15.15Père de fortune
16.15Pilleurs de tombes
16.45Création(s)
17.25Inca de Oro
19.00Flash Info
19.00Voyages,voyagesÎle de La Réunion
19.45ARTE Info /météo
20.15 ARTE Reportage La folie MS 13
20.45Première séanceGéographie de la peur
22.15-01.55Thema Prohibition
22.15Prohibition (1)
23.15Scarface
00.45Prohibition (2)
01.40Why are youcreative?
01.45Une nuit au La Villette JazzFestival 1999
14.00 Capté !
14.30Et l’hommedescendit du singe (5)
15.15Les routes du vent (2)
16.15Fous demétéorites
16.45Album de famille
17.30 Le petit frère
19.00Flash Info
19.00Tracks
19.45ARTE Info /Météo
20.15ReportageLes papys top models
20.45FictionExpérimentationsinterdites (1)
22.15La vie en faceL’affranchi du Bronx
23.15Profils L’art d’Aloïse
00.10Why are youcreative?
00.15Le milliardaire
02.10Palettes
02.40Le dessous des cartes
L’été américain
Les films de la semaineLe milliardairede George CukorDimanche 4 août à 20.45
et vendredi 9 août à 00.15
Cotton Clubde Francis Ford CoppolaLundi 5 août à 20.45
et mercredi 7 août à 00.25
La ronde de Max Ophüls Lundi 5 août à 01.15
Thema Marilyn Monroe, un rêve brisédimanche 4 août à 20.45, avec le Milliardaire de George Cukor
Cotton Club, film de Francis Ford Coppola,lundi 5 août à 20.45 et mercredi 7 août à 00.25
Al Barnum, du bonheur en limousine, documentairede Bertram Verhaag dans “Grand format”, lundi 5 août à 22.50
Brad Mehldau, documentaire de Nicolas Klotzdans “Music Planet”, mardi 6 août à 23.10
Thema Prohibition, jeudi 8 août à 22.15,avec Scarface de Howard Hawks
L’Affranchi du Bronx, documentaire de Félix Olivierdans “La vie en face”, vendredi 9 août à 22.15
Le trio de Hermine Huntgeburth Mardi 6 août à 01.00
Un homme comme E.V.A.de Radu GabreaMercredi 7 août à 22.55
Géographie de la peurd’Auli Mantila Jeudi 8 août à 20.45
Scarface de Howard HawksJeudi 8 août à 23.15
Scarface, naissance d’une légende.
14.00oilà l’Europe
14.30Pêcher moins, pêcher mieux Rediffusion du 29 juillet)
15.10La Patrouille des glaciersRediffusion du 28 juillet)
16.20La tradition de la soie Rediffusion du 18 juillet)
16.45Kaléidoscope
17.15Et l’homme descenditdu singe (5) Rediffusion du 31 juillet)
18.00Les chemins de Samarkand (3)Rediffusion du 20 juillet)
19.00Flash Info
19.00BiographiesDaniel Goeudevert
19.45ARTE Info
20.00Le dessous des cartesArménie (2/2)
20.10ARTE Météo
20.15PalettesMiniature persane
20.45
’aventure humaineLes routes du vent (2)Documentaire de Bernd Girrbach et Rolf Lambert
21.45Metropolis
22.40
FictionPepe CarvalhoHistoire de familleTéléfilm d’Emmanuelle Cuau
00.05
La lucarneNigerNouvelles impressions d’Afrique
ocumentaire de Jean-André Fieschi
00.50erlin Alexanderplatz 14
Téléfilm en 14 épisodes de Rainer Werner Fassbinder
02.40Why are you creative?Franck Gehry
16.45 Câble et satellite.
KaléidoscopeIbiza Réalisation : Rogier van Eck (France, 2002-26 mn)Production : ARTE France, Panic Productions,Wajnbrosse Productions ARTE FRANCE
Selon ses habitants, Ibiza a plus changédepuis la guerre civile espagnole qu’aucours des deux millénaires précédents…K a l é i d o s c o p e s ’ i n t é resse à ses habitants, àleur rythme de vie, aux maisons tradition-nelles construites en bois de “sabine”… Ets’invite chez Erwin Bechtold, peintre alle-mand installé sur l’île depuis les années 50.
19.00BiographiesDaniel GoeudevertDocumentaire de Franz Deubzer(Allemagne, 2002-43mn)BR(Rediffusion du 4 avril 2002)
De Reims, sa ville natale, à Wo l f s b o u r g ,siège de Volkswagen, jusqu’au village dusud de la France où il a pris sa retraite : par-cours d’un patron européen de l’automobile.Professeur puis vendeur de voitures chezC i t roën, il avait été nommé en 1991 présidentdu dire c t o i re de Vo l k s w a g e n …Plus d’informations sur Daniel Goeudevert
sur www. a rt e - t v.com à partir du 1e r a o û t .
Rediffusion le 8 août à 14.30
20.00Le dessous des cartesMagazine géopolitique de Jean-Christophe Vi c t o rRéalisation : Frédéric Lernoud (2001-11mn)ARTE FRANCE(Rediffusion du 5 janvier 2002)
Arménie (2/2)
Vieille nation, nouvel État
Au XXe siècle, l’Arménie renaît deux foiscomme État : d’abord en 1918, après legénocide qui décima un tiers de sa popula-tion et la Pre m i è re Guerre mondiale qui mar-qua une ru p t u re pour la région ; puis en1991, avec la dislocation de l’Union sovié-tique, dont elle faisait partie depuis 1920.Rediffusion le 9 août à 02.40
20.15PalettesMiniature persaneLes jardins du paradis
“Khâmseh de Nezâmi”, 1620-1624
Bibliothèque nationale de France, ParisDocumentaire d’Alain Jaubert (1997-26mnn)Coproduction : ARTE France, Musée du Louvre,Palette Production, BNFARTE FRANCE(Rediffusion du 5 février 1999)
En partenariat avec
À la découverte de la peinture persane. Ce film est plus part i c u l i è rement centré surl’une des plus belles pièces conservées aud é p a rtement des manuscrits orientaux de laBibliothèque nationale de France, un re c u e i ldes Cinq Poèmes (Khâmseh) du grandpoète persan du XIIe siècle, Nezâmi. Lacopie, signée du calligraphe Abd-al-Djabbâr et illustrée par un peintre de l’écolesafavide, Haydar Qoli Naqqâsh, date desannées 1620-1624. Les histoires racontéespar Nezâmi, même si elles sont souventimprégnées de mysticisme, sont essentiel-lement profanes : des poèmes d’amour fouou bien des épopées dont les peintres ontsu tirer les meilleures scènes pour le plaisirdes yeux de leurs puissants commandi-t a i res. Ils ont résisté à la pénétration de l’artoccidental en conservant une façon tradi-tionnelle de re n d re l’espace et les couleurs.C’est cette vision “autre” qui fait pour nous,a u j o u rd’hui, le charme de cette peinture .Rediffusion le 9 août à 02.10
s a m e d i 3 août
es horaires correspondent ux codes PDC,
Civilisation fascinante, la Perse s’est
développée entre les cultures asiatiques
et les cultures occidentales, et a été très
marquée par les principes de l’islam.
Tippu Tip, résonnent dans lam é m o i re des habitants de l’île.Nous faisons la connaissancede son petit-fils et l’accompa-gnons à l’intérieur des terre safricaines sur l’ancienne ro u t edes esclaves et sur les tracesde ses ancêtres. De retour àZ a n z i b a r, le capitaine appre n dque le S w a l i h i n a doit cesser den a v i g u e r. Le boutre entamealors sa dern i è re traversée…Rediffusion le 9 août à 15.15
et le 10 août à 18.00
20.45 Les routes du vent (2)Kusi, des îles de la Lune à Zanzibar
Documentaire en deux parties de Bernd Girrbach et Rolf Lambert(Allemagne, 2002-58mn)BR
Après un séjour aux Comores, le capitainedu S w a l i h i n a met le cap sur la Tanzanie etjette l’ancre au large de Kilwa. De cette peti-te ville, qui servit autrefois de plaque tour-nante pour le commerce de l’or, il ne re s t eque quelques vestiges, mais ils sont magni-fiques. Le navire re p a rt ensuite en dire c t i o nde Zanzibar. Au XIXe siècle, le sultand’Oman y établit un comptoir à partir duquelse font les échanges avec tout le continent.Zanzibar était alors connu pour son négocede l’ivoire et son marché aux esclaves.A u j o u rd’hui encore, les noms de cert a i n snégriers, comme Muhammed Juma AlMurjebi, plus connu sous le pseudonyme de
La semaine dern i è re ,
n o t re premier voyage à
b o rd du S w a l i h i n a nous a
fait parcourir l’océan
Indien de l’Inde à la côte
swahili. Mais la mousson
a changé de direction,
et elle nous pousse
d é s o rmais vers Zanzibar
et le nord - e s t …
25 mètres de long, pas de moteur,
des voiles rapiécées de partout…
Le Swalihina est le dernier vieux
gréement servant au transport des
marchandises dans l’océan Indien.
21.45MetropolisMagazine culturel européen coordonné parPierre-André Boutang et Peter Wien(Allemagne, 2002-52mn) ZDF
> Peter Ruzicka
au Festival de Salzbourg
Le nom du nouveau directeur artistique duFestival de Salzbourg, qui débute le 27 juillet2002, est connu depuis l’automne dern i e r.Peter Ruzicka, chef d’orc h e s t re, composi-teur et pédagogue, est réputé pour ses pro-grammations avant-gardistes doubléesd’une politique budgétaire rigoure u s e .M e t ro p o l i s d resse un premier bilan.ARTE a diffusé un portrait
de Peter Ruzicka dans “Biographies”
le samedi 27 juillet.
> Julius Shulman : la mémoire
photographique de l’architecture
Dans les années 1950-1960, les clichés deJulius Shulman ont permis au public dedécouvrir l’arc h i t e c t u re moderne sud-califor-nienne ; une partie de son œuvre vient d’êtreréunie dans un catalogue intitulé The CaseStudy Houses Program (1945-1966), auxéditions Taschen. M e t ro p o l i s b rosse le por-trait de ce photographe californien et racon-te plus de six décennies de photographiedédiée à l’arc h i t e c t u re .
Rediffusion le 4 août à 01.05
samedi 3 août
Pepe CarvalhoLe célèbre détective
créé par Manuel Vázquez
Montalbán revient sur ARTE
pour cinq semaines.
> Le petit frèresamedi 27 juillet
> Histoire de famillesamedi 3 août
> La solitude
du managersamedi 10 août
> Shéhérazadesamedi 17 août
> La nostalgie
commence dans
l’assiettesamedi 24 août
> L’avant-centre
sera assassiné
à la tombée du joursamedi 24 août
La foule se presse au Festival de Salzbourg.
Sous-titrage pour sourdset malentendantsO
Téléfilm d’Emmanuelle Cuau(France, 1998-1h26mn) - VFScénario : Gérard Carré, d’après “J’en ai fait un homme”, extrait du recueilHistoires de famille de Manuel VázquezMontalbán (Christian Bourgois)Avec : Juanjo Puigcorbé (Pepe Carvalho),Valeria Marini (Charo), Jean Benguigui(Biscuter), Walter Vidarte (Bromure), BernadetteLafont (Mathilda Pelletier), Serge Merlin (Don Joachim), Yann Collette (Arquimedes),Laure Marsac (Maria), Anna Azcona (Nanny)Image : Philippe RoussilheSon : Patrice MendezMontage : Dominique Gallieni et Richard MarizyMusique : Alain GuillouzoCoproduction : ARTE France, Tanaïs Com,Estudios Picasso, Cartel & ICC, SolarisARTE FRANCE(Rediffusion du 17 septembre 1999)
L’assassinat de Mariano Pelletier, fils uniquedu banquier Don Joachim, fait la une desj o u rnaux. Don Joachim, qui a fait fortune enAlgérie du temps de la colonisation, a toutdu patriarche réactionnaire, et c’est safemme qui confie l’aff a i re à Pepe Carv a l h o .La boîte de Charo, Le Tatouage, est ferm é epar le commissaire Contreras : Nanny, la
m e i l l e u re amie de Charo, s’y est eff o n d r é eaprès avoir reçu trois balles dans le dos.Nanny était contrainte à tapiner par sonf r è re, un petit truand acoquiné avecA rquimedes, le caïd de la pègre locale. Ellesemblait être prête à un nouveau départdans la vie grâce à l’amour d’un certain To n i .Mais où est passé Toni ?
Haute pègre
Il n’est pas conseillé de faire comme PepeC a rvalho et de partir se mitonner une bran-dade en cours de route ! H i s t o i re de famillerepose sur une triple intrigue à résoudre en90 minutes. La pre m i è re débouche rapide-ment et fait de Pepe l’arroseur arrosé d’unea rtiste conceptuelle dans laquelle les ama-teurs du genre re c o n n a î t ront la photographeSophie Calle. Les deux autres intrigues mar-chent de concert. Pepe est pris en sandwiche n t re deux milieux, deux hommes, un pèretyrannique et réactionnaire issu de la grandeb o u rgeoisie et un caïd de la pègre. Dans lesdeux camps, toute tentative de rébellion estimpitoyablement châtiée. Emmanuelle Cuau,scénariste (S e c ret défense de JacquesRivette, l’Homme des foules de John Lvoff )et réalisatrice (C i rcuit Caro l e), fait ici ses pre-miers pas dans le genre .Rediffusion le 7 août à 17.25
et le 20 août à 01.15
00.05 La lucarne.
NigerNouvelles impressions d’AfriqueDocumentaire de Jean-André Fieschi(France, 2000-43mn)Coproduction : ARTE France, AMIPARTE FRANCE(Rediffusion du 29 mars 2000)
“La pluie a ramené beaucoup
de reptiles, de serpents, de caïmans
des mares, et même des
hippopotames, ces grosses bêtes
qui bouffent le riz. Ce qui est
formidable, c’est qu’il ne paie rien…
il mange et il ne paie pas !”
(un Nigérien)
Un voyage poétique au pays de Nulle Part.Le Niger déroule ses paysages inondés enun long travelling. La caméra croise desvisages, indiff é rents ou surpris, sans inter-ro m p re sa route, sans troubler cette vie foi-sonnante. Quand elle s’arrête, c’est pourécouter le récit d’un homme qu’elle a apprisà connaître. Puis elle re p rend son pas dev o y a g e u r, lent et régulier… Jean-AndréFieschi propose ses impressions d’uneAfrique tantôt réelle tantôt imaginaire, à tra-vers une déambulation qui nous emmène deNiamey après les crues du fleuve jusquedans la brousse des légendes fabuleuses.Pour lui, le Niger est “une impro b a b l econtrée, faite de sables et de songes,d ’ a r b res foudroyés et de vaches mer-veilleuses, de diableries drolatiques et d’en-fance préserv é e ”. Seul avec son ombre etsa minicaméra, le cinéaste n’est pas un tou-riste. Il cherche plutôt à se glisser dans lesinterstices du réel, à se fondre, jusqu’à l’invi-sibilité, dans l’écoute et le re g a rd. Ce film estune expérience off e rte au téléspectateur :expérience du voyage mais aussi du re g a rd .
22.40 Pepe Carvalho
Histoire de famillePepe Carvalho s’initie à ses dépens à l’art
conceptuel et enquête sur l’itinéraire d’un enfant
gâté qui n’a pas su tuer le père .
En tournage
Trois nouveaux épisodes
de la série vont être
tournés en Espagne
cet automne : Rendez-vous
avec la mort de Laurent
Jaoui ; la Rose
d’Alexandrie de Rafael
Moleon ; les Mers du Sud
de Philippe Venault.
Prolonger le plaisir sur
Internet : “Pepe Carvalho,
un privé à Barcelone” ,
un polar interactif pour
jouer avec l’univers
du détective.
Sur www.arte-tv.com
à partir du 12 juillet. Niger est un carnet de voyage d’une poésie
et d’une élégance rares.
14.00Création(s)
14.30oyages, voyages
Rediffusion du 1er août)
15.15Double jeuRediffusion du 2 août)
16.45Cuisines des terroirsLa Finlande
17.30Les grands duels du sportRediffusion du 14 juillet)
18.15BiographiesPeter Konwitschny
19.00Flash Info
19.00
MaestroJohannes Brahms :Symphonie n° 2
19.45ARTE Info / Météo
20.15
DanseIndia dance
20.45-00.30
Thema Marilyn Monroe, un rêve brisé
20.45 Film.
Le milliardaireFilm de George Cukor
22.40Marilyn Monroe (1926-1962)Documentaire d’Ulrike Brincker
23.30Marilyn malgré elleDocumentaire de Patrick Jeudy
00.35Mic Mac Rediffusion du 26 mai 2002)
01.00Why are you creative?Hugh Hudson
01.05Metropolis Rediffusion du 3 août)
01.55Joseph Kosma Rediffusion du 31 juillet)
14.00 Câble et satellite.
Création(s)Chemins d’artistesÉmission de Serge MoatiRédaction en chef : Sophie Artaud, Sylvie NicoletRéalisation : Patrice Le Van Hiep(France, 2001-26 minutes)Production : ARTE France, Image et CompagnieARTE FRANCE
Dans ce numéro, C r é a t i o n ( s ) re n c o n t re pourla troisième fois les réalisateurs O l i v i e r
D u c a s t e l et Jacques Mart i n e a u, l’art i s t eallemand Uwe Loesch et la chorégrapheBlanca Li. Où en sont-ils dans leurs créa-tions respectives ?
16.45 Câble et satellite.
Cuisines des terroirsLa Finlande Documentaire de Michael Grotenhoff(Allemagne, 2002-29mn)ZDF
Les délices de Marjaana Lahtua, agricultri-ce bio au “pays des mille lacs”.Dans le sud de la Finlande, Marjaana Lahtuaet Pekka Eskelinen sont à la tête d’une peti-te exploitation “bio” spécialisée dans la pro-duction laitière et l’arboriculture. Marjaanacuisine du s i e n i s a l a a t t i, à base de champi-gnons cueillis dans les forêts de bouleaux,du k a l a k u k k o, pain de seigle fourré d’unmélange de perche, de porc et de lard, oula traditionnelle tarte à la rh u b a r b e …
16.15 Câble et satellite.
Biographie Peter KonwitschnyDocumentaire d’Anja Klabunde(Allemagne, 2002-41mn)ZDF
Portrait d’un enfant terrible de l’opéra…Le metteur en scène allemand PeterKonwitschny suscite à parts égales haine etadoration, tant chez les critiques que dansle public. Car il tient à tout prix à “ f a i re autrechose que les anciens”… Nous le décou-v rons notamment lors des répétitions de D o nC a r l o s à la Staatsoper de Hambourg .
19.00 Maestro.
Johannes Brahms : Symphonie n° 2Direction musicale : Günter HerbigAvec l’Orchestre symphonique de la radio de SarrebruckRéalisation : Hannes Rossacher(Allemagne, 2002-41mn)ARD/SR
La Symphonie n° 2 de Brahms mise enimages par Hannes Rossacher.Le réalisateur viennois de pop music HannesRossacher a mis en couleurs et en lumière sla Symphonie n° 2 de Johannes Brahms diri-gée par Günter Herbig, chef attitré del’Orchestre symphonique de la radio deSarrebruck. Les images, projetées sur uneimmense toile de fond derr i è re les musiciens,sont saisissantes, bigarrées, enjouées…
20.15 Danse.
India danceEntre Bharata Natyam et modern danceRéalisation : Jörg Jeschel(Allemagne, 2002-26mn)ZDF
En partenariat
avec et
À la découverte de la danse en Inde avectrois chorégraphes contemporains.
Jayachadran, qui vit entre l’Angleterre etl’Inde, parle de l’isolement à l’ère d’Intern e tsur fond de musique ethno-funk. Daksha esto r i g i n a i re du sud du pays, et sa danse estun mélange très expressif de théâtre, demusique et de sports de combat. Enfin, lachorégraphie de Chandralekha F i re / D e s i re,avec Padmini Chettur, est fortement ancréedans les traditions indiennes : les mouve-ments ralentis évoquent une forme d’expre s-sion entre yoga et tantra…Rediffusion le 6 août à 15.55
d i m a n c h e 4 août
es horaires correspondent ux codes PDC,
Fragility, chorégraphie
de Padmini Chettur.
ARTE G.E.I.E.
20.45 Film.
Le milliardaire(Let’s Make Love)
Film de George Cukor(États-Unis, 1960-1h58mn) - VFScénario : Norman Krasna, Hal KanterAvec : Marilyn Monroe (Amanda Dell), YvesMontand (Jean-Marc Clément), Tony Randall(Howard Coffman), Frankie Vaughan (TonyDalton), Wilfrid Hyde White (John Wales), DavidBurns (Olivier Burton), Michael David (Kerry),Mara Lynn (Lily Myles), Bing Crosby (lui-même),Gene Kelly (lui-même), Milton Berle (lui-même),Dennis King Jr (Abe Miller), Joe Besser(Lamont), Madge Kennedy (Miss Manners), MayFoster (Jimmie), Mike Mason (Yale), JohnCraven (Comstock), Harry Cheshire (le ministre)Image : Daniel L. FappDécors : Lyle R. Wheeler, Gene AllenChorégraphie : Jack ColeChansons : Sammy Cahn, Jimmy Van HeusenMusique : Lionel NewmanProduction : Jerry Wald Production
George Cukor dirige Marilyn Monroe quicraque pour Yves Montand ! Une comédiesentimentale et musicale pleine de fantai-sie, avec la participation de Gene Kelly etBing Crosby.A p p renant qu’il va être caricaturé dans unspectacle produit par l’Alley Theatre de NewYork, le richissime Jean-Marc Clément serend incognito à une répétition et fait laconnaissance d’Amanda, vedette de la tro u-pe. Le voilà amoureux. Le directeur dut h é â t re l’engage du fait de sa re s s e m b l a n c eavec le milliard a i re en question. Mais Jean-M a rc ne dévoile pas son identité, car il veutqu’Amanda l’aime pour lui-même. Il s’eff o r-ce d’évincer le chanteur Tony Danton, quifait une cour assidue à la belle, et essaye dedevenir acteur de talent, espérant une inter-vention providentielle de Bing Crosby et deGene Kelly en personne… ● ● ●
Rediffusion le 9 août à 00.15
Il y a quarante ans, Norma Jean
dite Marilyn mettait fin à ses jours
en avalant une surdose
de barbituriques. Paroxysme
du succès et de la solitude,
sa trajectoire illumine encore
a u j o u rd’hui le ciel d’Hollywood.
Car si elle n’était pas la
m e i l l e u re actrice au monde,
elle a gagné le rang de
mythe à force de féminité,
de fragilité et de forc e .
Une soirée pour saluer
la star et fondre devant
la femme, en compagnie
notamment d’Yves Montand
(dans le Milliard a i re) et de
Milton Greene, qui a immort a l i s é
Marilyn en photos.
“L’argent ne
m’intéresse
pas ; tout ce que je
veux, c’est susciter
l’admiration.”
(Marilyn Monroe)
20.45-00.30Marilyn
Monroe, un rêve
brisé
L’image de Marilyn
ou l’art et la manière
de faire éclore un
personnage de cinéma.
22.40Marilyn Monroe (1926-1962)Documentaire d’Ulrike Brincker(Allemagne, 2001-45mn)
La vie de Marilyn était l’étoffe dont on faitles rêves qui finissent mal : enfance diff i c i-le, soif de reconnaissance, travail acharné,triomphe absolu… et solitude.
P a rtie de rien, arrivée au sommet.Marilyn Monroe a parc o u ru dem a n i è re exemplaire les étapes durêve américain. Mais il n’y a pasde happy end dans le scénariode sa vie. Après les chutes et lesrechutes dans la dépendancealcoolique et médicamenteuse,sa quête désespérée d’amour etde reconnaissance s’est achevéedans la nuit du 5 août 1962, à 36ans et dans la solitude. Surd o s ede barbituriques, selon la versiono ff i c i e l l e .
La star n’était pas née sous une bonne étoi-le. L’enfance de Norma Jean Mortenson, quiallait devenir “la plus célèbre des filles del’Amérique”, se déroule entre l’orphelinat etles familles d’accueil, dans la grisaille desa rr i è re-cours de Los Angeles. À quelquespas de là, la fabrique à rêves brille de toutesses paillettes. Sa carr i è re commence en1945. D’abord modèle aux formes géné-reuses, elle signe l’année suivante un pre-mier contrat avec la 20t h C e n t u ry Fox. Lapetite brune des faubourgs devient une starblond platine.Le succès et la gloire sont au re n d e z - v o u s ,au prix d’une volonté de fer et d’un travaila c h a rné. Chaque rôle, chaque déhanche-ment, chaque battement de cils, est étudiédans le moindre détail. Et le résultat est à lam e s u re des eff o rts : Marilyn mêle innocenceet sex-appeal comme si c’était un jeu d’en-fant. Mais en privé, la femme la plus désiréedu monde cherche le rôle de sa vie et ne let rouve ni auprès de ses trois maris, ni auprèsde ses nombreux amants. Rongée par l’in-c e rtitude, la superstar succombe finalementsous le poids d’un rêve trop grand.
d i m a n c h e 4 août
Love affair
Le Milliard a i re est l’avant-dernier film deMarilyn Monroe. À l’origine, c’est Yul Bry n n e rqui devait jouer le rôle de Jean-MarcClément. Les producteurs avaient ensuitepensé à Gre g o ry Peck, Charlton Heston,C a ry Grant et Rock Hudson. À l’instigationdu réalisateur Arthur Hiller, le choix se port afinalement sur Yves Montand. Le film semoquait avant tout de Howard Hughes,industriel devenu producteur de cinéma,alors célèbre pour sa passion des bellesactrices. Mais à la demande de la pro d u c-tion, Norman Krasna atténua les re s s e m-blances par crainte d’un procès. Le tourn a-ge du M i l l i a rd a i re ne passa pas pour autantinaperçu : l’idylle qui naquit sur le plateaue n t re Monroe et Montand fit couler beaucoupd ’ e n c re, tant en France qu’aux États-Unis…G e o rge Cukor dirigea à nouveau Mary l i nM o n roe dans S o m e t h i n g ’s Got to Give, quine fut jamais terminé. Les quelquesséquences tournées ont été incluses dansun montage réalisé en 1963 intitulé M a r i l y n.
Marilyn Monroe, un rêve brisé
Cukor dirige Marilyn
qui craque pour Montand !
23.30Marilyn malgré elleDocumentaire de Patrick Jeudy(France/Pologne, 2002-52mn)Coproduction : Ciné Classics, ARTE, TVP,STO Films, Point du Jour
Grâce aux clichés inédits de Milton Greene,photographe dans les années 50 et ami deMarilyn, ce documentaire raconte la nais-sance de l’un des plus grands mythes del’histoire du cinéma. Les photos tirées des séances de pose pourMilton Greene montrent comment MarilynM o n roe anticipait ses rôles à l’écran, adap-tant ses costumes mais aussi sa personnali-té aux besoins de la photographie.Infiniment moins prétentieuse que la plupartdes stars hollywoodiennes, Marilyn sembleavoir un caractère inachevé. Lors des
séances photos, elle paraît plus accomplie.Il faut dire que l’industrie du film lui imposedes rôles figés, conformes aux stéréotypesvéhiculés par Hollywood dans les années50. Marilyn tourna dans trente films, en tantque figurante ou actrice principale. Elle re n-dait intelligents et pétillants les films les plusennuyeux. Mais peut-être sa véritable créa-tivité s’épanouit-elle plutôt sur ses photos,plus part i c u l i è rement celles prises par MiltonG reene, que dans ses films ? De nombre u xa rtistes qui l’ont photographiée soulignentcombien l’entente s’installait rapidemente n t re elle et eux, et à quel point l’appare i létait fou d’elle. Les archives de MiltonG reene retracent comment s’est façonnée lapersonnalité de Marilyn Monroe à l’écran.Elles contiennent également des clichésplus personnels, où intimité et pro f e s s i o n n a-lisme se mêlent. Elles font re v i v re un êtree x t r a o rd i n a i rement photogénique, dont lavraie vie s’efface derr i è re des milliersd ’ i m a g e s .
“Les photos de Milton
Green nous en disent
beaucoup sur les
femmes, et sur Marilyn
en particulier. Elles
parlent de ces petits
mystères que
rencontrent les femmes
sur la route de la
beauté, et c’est le début
de toute une légende.”
(Norman Mailer)
Rediffusion le 10 août
à 15.15
Les portraits de Marilyn par Milton Greene
dévoilent une personnalité différente que celle
qui transparaît à l’écran.
14.00Lola
14.30La Mecque secrète Rediffusion du 30 juillet)
15.25Ici pour toujours Rediffusion du 30 juillet)
16.20Les chants du prophète Rediffusion du 30 juillet)
16.55oilà l’Europe
Rediffusion du 3 août)
17.25Je ne l’ai pas voulu Rediffusion du 26 juillet)
19.00Flash Info
19.00Nature
19.45ARTE Info / Météo
20.15
ARTE ReportageAfrique, casse de l’Europe
20.45
Cinéma Cotton ClubFilm de Francis Ford Coppola
22.50
Grand formatAl Barnum, du bonheuren limousineDocumentaire de Bertram Verhaag
00.25Court-circuit (le magazine) n° 80
01.10Why are you creative?Michel Houellebecq
01.15La ronde Rediffusion du 25 juillet)
14.00 Câble et satellite.
LolaSeules parmi les hommesLe magazine au fémininRédaction en chef : Maren Niemeyer(France, 2002-26mn)Coproduction : ARTE, Lichtblick, AMIPARTE G.E.I.E.
Dans les rallyes automobiles ou sur leschantiers, chez les pêcheurs ou chez lesjuges, certaines femmes font aujourd’hui jeuégal avec les hommes…L o l a d resse le portrait de quatre femmes quiévoluent dans un milieu masculin : uneFinlandaise, Pirjo Haapajärvi, pêcheure ,deux Allemandes, Petra Lenski, ingénieuredes travaux publics, et Doris Hottenrot, juged’application des peines, et une Française,Caty Caly, pilote automobile pro f e s s i o n n e l l e .
19.00 Nature.
Le magazine de l’environnementMagazine de Volker Angres et Britta Troester(Allemagne, 2002-41mn)ZDF
> Renaissance d’une tribu aborigène
En Australie, les travaux de l’ethnologueanglais Michael Quinn ont permis aux abori-gènes de la tribu des Djabugay de re d é c o u-vrir leur culture, menacée de disparition.
> Le parc ornithologique
du Marquenterre
Cette réserve naturelle, sur le littoral du nord -ouest de la Picardie, abrite 320 espècesd’oiseaux et attire chaque année quelque140 000 visiteurs.
> “Rio + 10”, sommet mondial
sur le développement durable
Le sommet “Rio + 10” se tiendra du 26 aoûtau 4 septembre 2002 à Johannesburg, enAfrique du Sud. L’occasion pour l eMagazine de l’enviro n n e m e n t de faire ung ros plan sur l’Alaska, où les conséquencesdu réchauffement de la planète sont part i-c u l i è rement visibles – ce qui n’empêche pasles États-Unis de continuer à refuser de rati-fier le protocole de Kyoto…
Rediffusion le 10 août à 14.30
20.15 ARTE Reportage.
Afrique, casse de l’EuropeRéalisation : Ludovic Fossard(France, 2002-26mn)Coproduction : ARTE, VM GroupARTE G.E.I.E.(Rediffusion du 25 mars 2002)
Au Bénin, l’importation de voitures d’occa-sion européennes est devenue une véri-table industrie. Problème : ces vieux tacotspolluent l’atmosphère.
D’un côté, l’Europe obsédée par le sans-plomb, les pots d’échappement high-tech etles contrôles techniques. De l’autre, l’Afriqueet ses épaves roulantes qui consomment del’essence de contrebande et viennent sou-vent… d’Europe. Aujourd’hui, 300 000 véhi-cules en provenance du Vieux Continentsont débarqués chaque année dans le portde Cotonou, au Bénin, contre 10 000 il y adix ans. Ce commerce des voitures d’occa-sion est devenu une véritable industrie et laprincipale re s s o u rce économique du Bénin.De nouveaux métiers sont apparus : chauf-f e u r, docker, garagiste, sans compter ceuxqui font commerce des appareils électro m é-nagers transportés dans les voiture s .C e rtains font des miracles pour re s t a u re rces vieux tacots, notamment les Peugeot oules Toyota très prisées par les Africains. Lesecteur d’activité pro c u re donc un revenu àde nombreuses familles. Mais ces voiture svétustes sont aussi à l’origine de graves nui-sances, notamment un taux de pollutioni m p ressionnant. Cotonou est enveloppéed’un bro u i l l a rd permanent de vapeurstoxiques dû à l’essence frelatée, qui pro-voque une augmentation alarmante desmaladies re s p i r a t o i res.
l u n d i 5 août
es horaires correspondent ux codes PDC,
Nos vieilles bagnoles vont terminer leur vie
du côté de Cotonou.
Film de Francis Ford Coppola(États-Unis, 1984-2h03mn) - VOSTFScénario : William Kennedy,Francis Ford Coppola et Mario PuzoAvec : Richard Gere (Dixie Dwyer), Diane Lane(Vera Cicero), Gregory Hines (Sandman),Lonette McKee (Lila Rose Oliver), Bob Hoskins(Madden), James Rewar (Dutch), Nicolas Cage(Vincent Dwyer), Tom Waits (Irving Stark)Image : Stephen GoldblattMontage : Gian-Carlo CoppolaMusique : John BarryChorégraphies : Michael Smuin, Henry Le Tang& Gregory HinesProduction : Robert EvansARTE FRANCE
Harlem, 1928. Dixie, trompettiste jazz issude la communauté irlandaise, sauve la viede Dutch, un chef mafieux. Ce dern i e r,reconnaissant, le prend à son service et enfait le chaperon de sa maîtresse Vera. MaisDixie est profondément épris de Ve r a …Pendant ce temps Sandman, danseur declaquettes issu de la communauté noire ,réussit à se faire engager par le gangsterMadden, pro p r i é t a i re du Cotton Club. Iltombe amoureux de Lonette, chanteusemétisse qui passera à Bro a d w a y. Sous lacoupe de Madden, Dixie devient acteur àHollywood, où il interprète des rôles degangster dans des films noirs, tandis queVera, grâce à la fortune de Dutch, anime àB roadway un cabaret qui porte son nom.Mais bientôt, la lutte d’influence entre gangsdécime le clan de Dutch…
Show-biz et mafia
Cotton Club est une comédie musicale inti-mement mêlée à un film noir. La musique,a rrangée par John Barry, constitue un élé-ment d’inspiration essentiel. Les airs de CabCalloway et les harmonies soyeuses deDuke Ellington rythment rackets et flin-guages. Entre le spectacle sur scène et lesséquences en contrechamp, de savantsmontages parallèles jouent sur une complé-mentarité visuelle, sonore et émotionnellee n t re deux univers. Ainsi, le numéro de cla-quettes des frères Hines, époustouflant,f o rme un contrepoint vertigineux à l’exécu-tion de Dutch et de ses hommes par quatretueurs. Avec cette belle anthologie du jazz,Coppola dresse en outre un tableau socio-logique des annéesfolles : la pègre et lesminorités – noire, juiveet irlandaise – sontlivrées aux mainsd’une mafia blanchequi récupère leurstalents et pratique laségrégation tout enjouant le rôle d’indis-pensable mécène…Rediffusion le 7 août
à 00.25 et le 23 août
à 23.55
Un fabuleux spectacle sur le jazz et les années folles dans
le cadre du grand cabaret de Harlem. Coppola mêle
comédie musicale et film noir, la pègre et la mafia jouent
des claquettes !
En partenariat
avec
20.45 Cotton Club
Noir sur scène,
blanc dans la salle :
la couleur du Cotton Club
est sans mélange.
Coppola fusionne la comédie
musicale et le film de gangsters
dans une fresque époustouflante
de l’Amérique des années 20 et 30.
Rediffusion le 16 août
à 17.20
Documentaire de Bertram Verhaag(Allemagne, 2002-1h30mn)BR
Al Barnum est né dans un quartier ouvrierde Philadelphie. Il a d’abord été enseignant,puis s’est lancé dans un travail plus rému-n é r a t e u r, en devenant chauffeur de limou-sines de luxe. Il a ensuite fondé sa pro p resociété de services, baptisée Chauff e u rConnection, entreprise aujourd’hui florissan-te qui illustre une fois de plus le mythe dulaveur d’assiettes devenu millionnaire. AlB a rnum, dont les parents vivaient de l’assis-tance sociale, a conduit durant quinze ansdes célébrités du cinéma, de la musique etde la politique, et s’est même lié d’amitié
avec certaines d’entre elles. Aujourd’hui, il s’engage avant tout dans l’action sociale.Il a mis en place des programmes d’inser-tion pour les enfants noirs et les jeunes défa-vorisés, notamment dans le cadre de l’école“kids at risk”. Il essaie de leur transmettre saphilosophie de vie, le respect des autres etde l’environnement. Il souhaite les aiderdans leur quête d’identité, leur appre n d re àt rouver leur voie. Pour lui, l’“american way oflife”, ce n’est pas qu’une quête effrénée del ’ a rgent, mais aussi un ensemble de valeursqu’il faut défendre .
lundi 5 août
À Philadelphie, un Noir connaît la
réussite sociale et économique en
créant une société de services. Une
vision diff é rente des États-Unis, dans
laquelle d’autres valeurs prennent le
pas sur la quête de l’arg e n t .
22.50Al Barnum, du bonheur en limousine
Un documentaire sur
le business, sur la quête
d’un sens à la vie,
sur le racisme, sur
la responsabilité sociale,
sur la spiritualité…
et sur un homme
qui met tout son cœur
dans ce qu’il fait.
Al Barnum, chauffeur de limousine
et guide spirituel.
> Tonight, Tonight
des Smashing Pumpkins
Cinéaste du passé, Méliès ? Ses court smétrages plein d’effets spéciaux et de tro u-vailles visuelles ont trouvé un pro l o n g e m e n tn a t u rel dans le vidéoclip. La preuve : To n i g h t ,To n i g h t (1995), clip des Smashing Pumpkinsen forme d’hommage au réalisateur et plusprécisément à son Voyage dans la Lune,dont on fête aujourd’hui le centenaire .
> Deux
Court métrage de Franz-Josef Holzer(Suisse, 2000-25mn)Avec : Franziska Kahl, François Florey,Pietro MusilloImage : Hans SchürmannSon : Alexander MieschMontage : Christine HoffetProduction : Franz-Josef Holzer,TSR/SSR/SRG idée suissePardino d’or, Locarno 2001
Eugène est dans le coma. Dans le couloir del’hôpital, une jeune femme attend un rein…La veille de Noël, Eugène se tire une balledans la tête. Conduit d’urgence à l’hôpital, ilest suspendu entre la vie et la mort. Pendantque les médecins s’interrogent sur la possi-bilité de donner ses organes, un jeunehomme erre dans les couloirs. Il est commele “fantôme” d’Eugène. Il croise une jeunefemme qui attend un re i n …
Plaisir d’offrir, joie de recevoir
Pour son premier film, Franz-Josef Holzer achoisi un sujet difficile. Les relations entre ledonneur d’organe et lepatient gre ffé sont souvents o u rce d’interro g a t i o n .Accepter la mort de l’autrepour vivre est parfois untraumatisme pour le re c e-v e u r. En parallèle, on s’inter-roge sur ce que peut être lavie quand on est obligé dep re n d re des médicamentstous les jours.
“Il faut être deux pour mourir.”
(Eugène)
00.20Court-circuit (le magazine) n° 80 Le rendez-vous du court métrageRédaction en chef : Luc LagierDirection artistique : Phillipe Truffault(France, 2002-45mn)Coproduction : ARTE France, MK2 TVARTE FRANCE
> La Boutik
Court métrage d’animation de Céline Fakhouriet Isabelle Guillaume (France, 2001-4mn)Scénario : Céline Fakhouri, Isabelle GuillaumeImage : Vincent EscribeMontage : Cyril Gastaud, Guillaume DenisAnimation : Arnaud Pendrié, Sébastien RauSon : Laurent NeumannMusique : Joseph DahanProduction : Je suis bien content, en association avec ARTE FranceInédit
En pâte à remodeler les formes, des petitspersonnages pour se moquer de notreobsession du poids idéal.Petite et ronde, Lydie Bodet n’est pas gâtéepar la nature. Une habile vendeuse la per-suade d’entrer dans sa boutique defringues, où elle lui remodèle comme parmagie une silhouette de rêve. Et Lydie selaisse pre n d re au piège… Avec ses drôlesde figurines en pâte à modeler, ce pre m i e rfilm de Céline Fakhouri et Isabelle Guillaumese moque de la quête perpétuelle du poidsidéal et des victimes de la mode.
> Georges Méliès
À Paris, l’espace Électra accueille jusqu’au1e r s e p t e m b re une exposition sur Georg e sMéliès, un des réalisateurs de court smétrages les plus prolifiques du cinéma. Aup rogramme : diffusion de la plupart de sesfilms, présentation de croquis préparatoire set de documents inédits, etc.
Le miroir aux alouettes de la mode revisité
en pâte à modeler.
Tous les lundis vers minuit
Tous les mardis à 17.30
sur le câble et le satellite
En liaison avec www.arte-tv.com
Mardi 6 août sur le câble
et le satellite :
Promène-toi donc tout nu,
moyen métrage d’Emmanuel Mouret
Le Voyage dans la lune
de Méliès fait des émules.
20.15 ARTE Reportage.
Bébés cherchent mamiesRéalisation : Alexandre Fronty(France, 2002-26mn) Coproduction : ARTE, Zoulou CompagnieARTE G.E.I.E.(Rediffusion du 21 février 2002)
Confier la garde de jeunes enfants à despersonnes âgées solitaires : c’est l’excellen-te idée expérimentée dans des maisons deretraite de Saint-Maur et de Bonneuil, prèsde Paris.
Des bambins de 18 mois à 3 ans viennentse faire dorloter par des anciens âgés de 65à 104 ans : les pédopsychiatres et les géro n-tologues plébiscitent cette idée, qui perm e taux enfants et aux personnes âgées de par-tager des activités – art floral, pâte à sel,pâtisserie, contes et chants, sans compterles repas pris en commun. Les enfants ontleur espace à eux, mais ils peuvent aussijouer dans les couloirs, courir dans lesétages et re n d re visite aux résidents desmaisons de re t r a i t e .
14.00Cuisines des terroirs Rediffusion du 4 août)
14.30Monserrat Caballé présente Les stars de demain (1)Rediffusion du 4 mars 2001)
15.15Abracadabra Rediffusion du 14 octobre 1998)
15.55India dance Rediffusion du 4 août)
16.25ies d’eunuques
Rediffusion du 17 juillet)
16.55Lola Rediffusion du 5 août)
17.25Court-circuit (le magazine) n° 80
Promène-toi donc tout nu ,oyen métrage d’Emmanuel Mouret
19.00 Flash Info
19.00Archimède
19.45ARTE Info / Météo
20.15
ARTE Reportageébés cherchent mamies
20.45-23.10
ThemaPour Dieu, envers et contre tout
20.45Les colonsDocumentaire de Ruth Walk
21.45Ils tremblent devant DieuDocumentaire de Sandi Simcha DuBowski
23.10
Music PlanetBrad MehldauDocumentaire de Nicolas Klotz
00.05La nuit s’anime Rediffusion du 5 février)
00.35Cinémaniac Rediffusion du 29 juillet 2001)
00.55Why are you creative?Lee Clow
01.00Le trio Rediffusion du 1er août)
19.00Archimède Magazine scientifique européen de Philippe Boulanger, Vincent Gaullier,Hervé Guérin, Jean-Jacques Henry,François Lévy Kuentz et Hervé This(France, 2001-43mn)Coproduction : ARTE France, Ex Nihilo, Aune Productions, avec la collaboration du CNRS Images Média/FEMISARTE FRANCE (Rediffusion du 6 mars 2001)
> Voir : boule de cristal
G ros plan sur une boule à plasma.
> Expérience : paroles de manchots
En Antarctique, Pierre Jouventin et son équi-pe tentent de décoder le langage du man-chot royal. Ils nous expliquent notammentcomment le jeune manchot peut re c o n n a î t rele chant de ses parents au milieu de touteune colonie.
> Histoire : la science et le cinéma
To u rné en 1967, un document qui rappellel ’ i m p o rtance des techniques cinématogra-phiques, par exemple l’“image par image”,dans la science.
> Sciences animées : la rosée
Les mystères de la rosée révélés par lesicônes animées d’A rc h i m è d e.
> Application : avant la pluie
Afin de mieux prévoir les intempéries, lesingénieurs de Météo France travaillent à lamise en service, à Trappes, d’un radar pours u rveiller la pluviométrie. Comment fonction-nent ces appareils ?
> Mise au point : sacrée famille
A rc h i m è d e fait le point sur le phénomène ElN i ñ o .
19.45ARTE Info Le journal de la rédaction d’ARTE (2002-28mn) ARTE G.E.I.E.
Tous les soirs, de 19.45 à 20.15, le journ a lA RTE Info p ropose l’essentiel de l’actualitéd’un point de vue européen.
m a rd i 6 août
es horaires correspondent ux codes PDC,
Les personnes âgées se sentent à nouveau utiles,
investies d’une responsabilité pédagogique.
Les enfants, eux, font des progrès spectaculaires
dans l’apprentissage du langage.
20.45Les colonsDocumentaire de Ruth Walk(Israël/Allemagne/Royaume-Uni, 2002-57mn)
Rien, pas même la tension extrême quirègne en permanence dans la villed’Hébron, ne semble pouvoir entacher lasatisfaction des habitants du quartier de TelRumeida, au cœur de l’enclave juive, devivre sur la terre de leurs ancêtres. Naomi Horowitz, jeune femme de 34 ans,a ff i rme son bonheur dans un large sourire .Sous ses fenêtres protégées par des grillesp a t rouillent en permanence des soldatsisraéliens, ses enfants vont à l’école dans unvéhicule blindé et pourtant, elle est heure u-se d’habiter avec d’autres colons juifs, safamille et ses amis le pays de Canaan où elleattend la venue du Messie. Environ 400colons vivent dans l’enclave juive de la
vieille ville d’Hébron, au milieu de 120 000Palestiniens. Pas moins de 1 500 soldatsa s s u rent leur sécurité. C’est autour de la colline de Tel Rumeida qu’ont eu lieu lesh e u rts les plus violents ayant opposé, cesdix dern i è res années, colons israéliens etPalestiniens. C’est également là que vivaitB a ruch Goldstein, l’homme qui tua de sang-f roid, le 25 février 1994, 29 Palestiniens entrain de prier sur le tombeau des Patriarc h e sd ’ H é b ron. Caméra au point, la réalisatrice Ruth Walk a partagé pendant deux ans le quotidien de Naomi Horowitz et de la colonie de Tel Rumeida, composée de sept famillescomptant 43 enfants. Par le calme des ● ● ●
ZDF
20.45-23.10 Pour Dieu, envers et contre tout
Avec deux documentaires exceptionnels sur
des juifs orthodoxes qui vivent leur foi au quotidien
dans des contextes et sur des modes totalement étrangers,
mais tout aussi intenses, ARTE éclaire de l’intérieur
des expériences où la religion est primord i a l e .
La colonie Tel Rumeida à Hébron.
images et la rareté des commentaires, led o c u m e n t a i re traduit avec force la banalitéde cette vie. Les colons réussissent à la tro u-ver “normale” uniquement parce qu’ils re f u-sent de voir le chaos politique et militaire quiles entoure et – dans le meilleur des cas –i g n o rent leurs voisins arabes. C’est dans lefondamentalisme religieux qu’ils puisent laf o rce de mener une telle vie. Les Colons e s tun document unique en son genre, car il estr a re que les habitants du quartier de Te lRumeida, les plus fanatiques et cert a i n e-ment aussi les plus dangereux des colonsjuifs, se confient aux étrangers.Rediffusion le 12 août à 14.30
21.45Ils tremblent devant DieuDocumentaire de Sandi Simcha DuBowski(Israël/États-Unis, 2000-1h24mn)
Salué par la critique internationale, le docu-mentaire de Sandi Simcha DuBowski donnela parole, sur fond de pratique religieuse, àceux qui tentent de concilier foi et homo-sexualité.Le documentaire de Sandi SimchaDuBowski brise un tabou, celui de l’homo-sexualité dans les milieux orthodoxes. Pourbeaucoup d’homosexuels juifs, hommes etfemmes, il est extrêmement difficile deconcilier une foi profonde et une sexualitém a rquée par de forts interdits religieux. Pourcondamner l’amour entre deux personnesde même sexe, les fondamentalistes se réfè-rent inlassablement aux lois du Livre duLévitique : “ Tu ne coucheras point avec unhomme comme on couche avec une femme.C’est une abomination” (Lévitique 18/22), et“Si un homme couche avec un hommecomme on couche avec une femme, ils ontfait tous deux une chose abominable ; ilss e ront punis de mort : leur sang re t o m b e r asur eux” (Lévitique 20/13).Pendant cinq ans, la réalisatrice a filmé deshomosexuels à Brooklyn, Jéru s a l e m ,L o n d res, Miami, Los Angeles et SanFrancisco. Devant la rigueur d’une traditionremontant à plusieurs millénaires et par peurd ’ ê t re rejetés par leurs familles, certains ontfini par se marier. D’autres continent de lut-ter dans l’ombre ou au grand jour, commeSteve Gre e n b e rg, le premier rabbin ort h o-doxe ouvertement homosexuel. Actuellement dans les salles aux États-Unis,le film a fait naître un débat aussi violent quen é c e s s a i re au sein des cercles juifs ort h o-doxes. Il a également marqué la critique eta été récompensé par un Teddy au Festivalde Berlin 2001, ainsi que par le Prix dumeilleur documentaire sur l’expérience juiveau Festival international du film deJ é rusalem 2001.Rediffusion le 12 août à 15.30
m a rdi 6 août
Pour Dieu, envers et contre tout
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23.10 Music Planet.
Brad MehldauDocumentaire de Nicolas Klotz(France, 1999-56mn)Coproduction : ARTE France, Ex NihiloARTE FRANCE(Rediffusion du 18 septembre 1999)
Brad Mehldau : une sensibilité écorchée, unpianiste au talent renversant, une culturemusicale où se bousculent Schubert,Mahler, Bill Evans et John Coltrane.Penché sur son clavier jusqu’à le toucher duf ront, le visage douloureux, le jeune pianistep rojette un orage d’harmonies menaçantes.Quand les ombres se dissipent, il re p a rt flir-ter avec une mélodie simple. Filmé lors del ’ e n re g i s t rement de The Art of the Trio vol. 4,Back at the Va n g u a rd à New York et enc o n c e rt solo à Berlin, Brad Mehldau livrequelques clés de ses compositions. Plus lec a d re musical est réfléchi et déterminé, plusil se sent libre de surpre n d re son auditeur.Et de le malmener ? “C’est presque lui dire :‘ Va te faire foutre’, mais aussi : ‘Je t’aime’ !”
Une légende en marche
Deux disques ont décidé de l’orientationmusicale de Brad Mehldau : The KölnC o n c e rt de Keith Jarrett et un duo entre JoePass et Oscar Peterson. À New York, BradMehldau suit les cours de “développementrythmique” de Jimmy Cobb, ancien batteurde Miles Davis et de Wynton Kelly. En 1994,il apparaît dans le quartett du saxophonisteJoshua Redman. Suivent les trois tomes deThe Art of the Tr i o, avec Larry Grenadier à labasse et Jorge Rossy à la batterie – trio quel’on re t rouve ici dans un extrait de “All thethings you are”. Certains critiques voient enBrad Mehldau le nouveau Bill Evans, leGlenn Gould du XXIe siècle ou le fantôme deKeith Jarrett. Des comparaisons flatteuses,mais Brad Mehldau préfère brouiller lespistes. Adolescent, il jouait dans un gro u p ede rock baptisé The Rolling Pebbles enhommage aux Rolling Stones. Aujourd’hui, ilinterprète “Exit Music” de Radiohead et“River Man” de Nick Drake – on le voit icijouer ces titres lors d’un concert solo donnéau A-Trane à Berlin.
Nouvel album : Largo, sortie le 27 août
chez Warner Music.
Concerts : le 6 août à Crest jazz vocal,
le 8 août au festival Jazz in Marciac,
le 19 octobre à Bourges, le 23 octobre
à Blois, le 26 octobre à Lyon et
du 2 au 5 novembre au Sunside à Paris.
“J’aime que la musique
exprime ce qui est
pour moi la clé
de l’art moderne : l’ironie.”
(Brad Mehldau)
14.00Album de famille Rediffusion du 17 juillet)
14.30oyages, voyages
Rediffusion du 1er août)
15.15Chercheurs pour la guerre (2) Rediffusion du 31 juillet)
16.15Passion flamenco Rediffusion du 19 juillet)
16.45Capté Rediffusion du 17 juillet)
17.25Pepe CarvalhoHistoire de familleRediffusion du 3 août)
19.00Flash Info
19.00
ConnaissanceEt l’homme descenditdu singe (6)
19.45ARTE Info / Météo
20.15
ARTE ReportagePéchés suédois
20.45
Les mercredis de l’histoireChercheurs pour la guerre3. Missiles nucléaires : a mort haute technologie
Réalisation : Marcus Kiggell
21.35
MusicaMusiques tziganes, une histoire de famillePortrait de Schnuckenack ReinhardtDocumentaire d’Andreas Öhler
22.55
Ciné-découverteUn homme comme E.V.A.Film de Radu Gabrea
00.20Why are you creative?sabella Rossellini
00.25Cotton Club Rediffusion du 5 août)
02.30Parlons d’amourRediffusion du 29 juillet)
19.00 Connaissance.
Et l’homme descendit du singe (6)
Documentaire en six parties de John Lynch(Royaume-Uni, 2000-43mn)Production : BBC SWR(Rediffusion du 15 novembre 2000)
6. Âme
En 1922, deux jeunes gens découvrent lag rotte préhistorique de Pech Merle, dans leLot. Elles abritent un nombre considérablede traces de fresques et de dessins – lesplus anciennes remontant à 25 000 ans.Sont représentés des animaux (lion, bisons,chevaux, aurochs, mammouths, cerv i d é s ) ,mais aussi des silhouettes féminines et unhomme blessé… Dernier volet d’une spec-t a c u l a i re série documentaire, qui conclutque les hommes préhistoriques se préoccu-paient déjà de leur âme.Rediffusion le 10 août à 17.15
et le 16 août à 14.30
20.15 ARTE Reportage.
Péchés suédoisRéalisation : Lars Köhne et Simon Fountain(Allemagne, 2002-26mn)ARTE G.E.I.E.(Rediffusion du 26 mars 2002)
En janvier 1999, la Suède a introduit denouvelles mesures de lutte contre la prosti-tution. Trois ans après, le bilan est mitigé.Le 1e r janvier 1999, une nouvelle législationest entrée en vigueur en Suède : acheter less e rvices d’une prostituée est devenu un délitpassible de sanctions. Trois ans plus tard ,quel est le bilan de ce “modèle suédois” enm a t i è re de lutte contre la prostitution ?C e rtes, les prostituées ont pour beaucoupquitté la rue. En revanche, la pro s t i t u t i o ndans des hôtels, des appartements ou desparkings a considérablement augmenté…
2 0 . 4 5Chercheurs pour la guerre (3)
Série documentaire en trois parties(Royaume-Uni, 2000-49mn)NDR(Rediffusion du 26 juillet 2000)
Présenté par Alexandre Adler
De la Première Guerre mondiale à nos jours,une histoire des armes chimiques, bactério-logiques et atomiques et de leur utilisationdans les principaux conflits mondiaux. Oucomment des scientifiques se sont mis auservice des militaires pour inventer les plusterribles outils de destruction…
3. Missiles nucléaires :
la mort haute technologie
Réalisation : Marcus Kiggell
Soucieuses de préserver un subtil équilibrede la terreur dans la course aux arm e m e n t s ,les grandes puissances ont inventé les mis-siles nucléaires. Tout a commencé pendantla Seconde Guerre mondiale sur la base dePeenemünde, en Allemagne, au bord de laBaltique. Là, de jeunes chercheurs ambi-tieux – comme le célèbre We rnher vonBraun, qui développera ensuite le pro g r a m-me de fusées américain – travaillent maindans la main avec les militaires et constru i-sent les V2. Devenus opérationnels, 2 000d ’ e n t re eux seront lancés sur Londres etf e ront des milliers de victimes. La pro p u l s i o nn’était pas encore atomique mais les prin-cipes balistiques des fusées étaientacquis… Rediffusion le 14 août à 15.15
m e rc re d i 7 août
es horaires correspondent ux codes PDC,
Dans les années 80, après plus de trois décennies de
course aux missiles nucléaires avec les Soviétiques,
Ronald Reagan lance le programme SDI,
communément appelé “guerre des étoiles”…
Les merc redis de l’histoire
21.35 Musica.
Musiques tziganes, une histoire de famillePortrait de Schnuckenack ReinhardtDocumentaire d’Andreas Öhler(Allemagne, 2000-1h18mn)ZDF(Rediffusion du 6 septembre 2000)
Violoniste virtuose, père de la “musique desTziganes allemands”, SchnuckenackReinhardt a su faire revivre la tradition dulégendaire Django. Dans ce documentaire,il refait le voyage de sa vie mouvementéeet revisite les endroits qui ont marqué samusique.
Pour la première fois depuis 1947, le musi-cien re t o u rne avec ses fils en Pologne, sur leslieux de la persécution nazie, où Reinhardt etsa famille ont miraculeusement échappé à lamort. Dans les moments désespérés, c’estd’ailleurs à son immense virtuosité de musi-cien qu’il dut son salut. Aujourd’hui, le violo-niste, petit-neveu de Django, a plus de 80ans. À Paris, sur scène, il se prête à une joutemusicale avec les représentants français du“jazz à la Django”…Rediffusion le 13 août à 15.15
22.55 Un hommecomme E.V.A.
E . V.A., cinéaste habité
et personnalité
t roublante, est un
double à peine déguisé
de Rainer We rn e r
Fassbinder… Un film
e n t re psychodrame
et mélodrame,
dans lequel le rôle
du réalisateur est
tenu par Eva Mattes,
actrice qui a tourné
à trois reprises
avec Fassbinder.
Schnuckenack Reinhardt a longtemps été le seul
à empêcher que la musique de Django ne sombre
dans l’oubli.
(Ein Mann wie E.V.A.)
Film de Radu Gabrea(Allemagne, 1984-1h26mn) – VOSTFScénario : Radu Gabrea et Laurens StraubAvec : Eva Mattes (E.V.A.), Lisa Kreuzer(Gudrun), Werner Stocker (Walter)Image : Horst SchierZDF
E . V.A. (prononcer “éfa”) est un cinéasteextravagant et égocentrique. Il travaille à laréalisation d’une version filmée du célèbreopéra de Ve rdi la Dame aux camélias. Dansla villa à moitié en ruines qui sert de décorau film, le réalisateur embarque les techni-ciens et les acteurs dans l’univers de sespassions et de ses tendances autodestru c-trices. E.V.A., qui aime indiff é remment (oup resque) hommes et femmes, s’éprend dujeune interprète principal. Mais celui-ciconvoite une actrice, qui, à son tour, seraitprête à tout pour plaire à… E.V.A.
Double à l’écran
Le personnage imaginé par les scénaristesRadu Gabrea et Laurens Straub re p r é s e n t ede façon à peine déguisée le cinéasteRainer We rner Fassbinder. E.V.A. est incar-né par l’actrice Eva Mattes, qui a travaillé àplusieurs reprises avec Fassbinder (l e sL a rmes amères de Petra von Kant, l ’ A n n é edes treize lunes et Gibier de passage). Lacomédienne met toute son âme et toute sat e n d resse dans ce rôle. Elle incarne unhomme dur et fragile, passionné et déses-péré. Son personnage oscille entre folie desgrandeurs et créativité, autodestruction etpeur de la solitude.
Le réalisateur E.V.A. (interprété
par Eva Mattes, à gauche, qui s’est
littéralement métamorphosée
pour le rôle) noie ses angoisses
dans le sexe.
14.00HippocrateRediffusion du 5 mars 2001)
14.30BiographiesRediffusion du 3 août)
15.15Père de fortune Rediffusion du 2 août)
16.15Pilleurs de tombes Rediffusion du 25 février 2001)
16.45Création(s)Rediffusion du 4 août)
17.25Inca de OroRediffusion du 2 février)
19.00Flash Info
19.00
oyages, voyagesle de La Réunion
19.45ARTE Info / météo
20.15
ARTE Reportage La folie MS 13
20.45
Première séanceGéographie de la peurFilm d’Auli Mantila
22.15-01.55
Thema Prohibition
22.15Prohibition (1)Documentaire d’Edward Behr
Anthony Geffen
23.15 Film.
Scarface Film de Howard Hawks
00.45Prohibition (2)
01.40Why are you creative?Luciano Benetton
01.45Une nuit au La VilletteJazz Festival 1999Rediffusion du 23 juillet)
19.00 Voyages, voyages.
Île de La RéunionDocumentaire de Marc Jampolsky(France, 2002-41mn)Production : Gédéon ProgrammesARTE FRANCE
Un voyage à sensations au cœur d’une îlevolcanique surgie il y a trois millions d’an-nées dans l’océan Indien.L’île de La Réunion, Marc Jampolsky laconnaît déjà… un peu. Il connaît, parexemple, les bois de pandanus aux racinesreptiliennes derr i è re lesquels se cachentdes plages, des lagons et de jolies piscinesn a t u relles qui vous protègent des requins etdes vagues. Il connaît tous les terr a i n sd ’ a v e n t u re que cette île paradisiaque off reaux sportifs. Mais ce qu’il veut nous montre ra u j o u rd’hui, ce sont les paysages de débutdu monde qui subsistent au cœur de l’île ;ce sont les habitants dont l’aventure a com-mencé il y a trois siècles mais qui la racon-tent quotidiennement dans leurs cro y a n c e s ,leurs musiques et leurs modes de vie.Rediffusion le 10 août à 02.05, le 11 août
à 14.30 et le 14 août à 14.30
20.15 ARTE Reportage.
La folie MS 13Réalisation : Stephan Rocker (Allemagne, 2002-26mn)Coproduction : ARTE, SWRARTE G.E.I.E.(Rediffusion du 22 février 2002)
MS 13, autrement dit Mara Salvatrucha 13 :13 secondes pendant lesquelles la nouvellerecrue se fait passer à tabac par tous lesmembres de la bande à laquelle elle sou-haite appartenir, avant d’être marquée dusceau de l’appartenance sous la forme d’untatouage sommaire.Au Honduras et au San Salvador, ce rited’initiation pour le moins brutal est à l’imagedes méthodes employées par la MaraS a l v a t rucha, une formation composée dequelque 30 000 jeunes, filles et garçonsconfondus, qui sèment la terreur à travers lepays. Vols, trafics de drogue et meurt re scomposent leur quotidien. Les pre m i è re sbandes ont fait leur apparition au début desannées 80, à Los Angeles. Le prétexte : ser-vir de “gardes du corps” aux Salvadoriensinstallés en Californie. Un statut jugé hors laloi par la justice américaine, ce qui leur avalu un renvoi ferme et définitif dans leurpays d’origine. Devant le désarroi de la poli-ce locale, désarmée et mise à mal par desp rovocations successives, des escadro n sde la mort ont été chargés de réprimer lap rolifération de ces bandes et de ramenerl ’ o rd re. Stephan Rocker a été accueilli, sansdevoir subir le rite d’initiation, par une de cesbandes de jeunes à la dérive…
j e u d i 8 août
es horaires correspondent ux codes PDC,
Maximin et Léonie Plante, planteurs de vanille.
Le tatouage signe
l’appartenance à la bande.
(Pelon Maantiede)
Film d’Auli Mantila (Finlande, 1999-1h31mn) - VF Scénario : Auli Mantila, d’après le roman d’Anja KauranenAvec : Tanjalotta Räikkä (Oili Lyyra), Leea Klemola (Maaru Tang), Pertti Sveholm(Rainer Auvinen), Kari Sorvali (Eero Harakka),Anna-Elina Lyytikäinen (Laura Lyyra), Elsa Saisio (Riikka Malkavaara)Image : Heikki FärmMontage : Kimmo TaavilaMusique : Hilmar Örn HilmarssonCoproduction : Blind Spot Pictures, Wüste Filmproduktion, Zentrupa Productions,NDR, ARTENDR(Rediffusion du 18 juin 2001)
Le cadavre d’un homme a été re t rouvé dansle port d’Helsinki. Oili Lyyra, médecin légis-te, et son amant, Eero Harakka, agent de lapolice judiciaire, sont chargés d’enquêtersur l’aff a i re. Dans le même temps, Laura, lapetite sœur d’Oili, grièvement blessée, esthospitalisée. Elle a été violée la nuit précé-dente dans un parc. Oili est alors amenée àre n c o n t rer les nouvelles amies de Laura. Elled é c o u v re bientôt que le noyé du port
d’Helsinki n’est pas dû au hasard mais qu’ilfait partie d’un plan subtil dans lequel sasœur est impliquée. Oili doit alors choisire n t re sa loyauté envers son policier d’amantet son amour pour sa petite sœur. Et plusl’enquête avance, plus elle soupçonned ’ a u t res morts douteuses…
Politiquement incorrect
Qui est le noyé du port d’Helsinki ? Lare c h e rche de son identité se révèle politi-quement délicate, car des féministes radi-cales sont mises en cause. Passant outre lepolitiquement correct, la réalisatrice pousseici jusqu’à la caricature l’image de féministesprêtes à recourir à la violence. Les fémi-nistes estiment qu’il existe une “géographiede la peur” selon laquelle, en de trop nom-b reux endroits, les femmes ne peuvent pasc i rculer librement en toute sécurité. À part i rde ce constat, elles ne sont pas forc é m e n td ’ a c c o rd sur les modes d’intervention… “ O nn’a pas à aimer tout le monde, mais il fautrespecter les gens”, estime Auli Mantila,expliquant ainsi pourquoi elle a choisi dedénoncer des méthodes trop radicales àson goût. La réalisatrice a notamment signéla Collectionneuse, film présenté au Festivalde Venise en 1997.
Comment pouvoir aller partout
sans avoir peur quand on est une
femme ? Certaines féministes, dont
l’universitaire Maaru Tang (Leea
Klemola), apportent une réponse
quelque peu radicale à la question.
Tout commence avec la
d é c o u v e rte d’un noyé dans le
p o rt d’Helsinki… Un thriller
psycho-politique qui prend pour
cible certaines tendances
radicales du mouvement
f é m i n i s t e .
20.45 Géographie de la peur
Rediffusion le 15 août
à 01.20
22.15Prohibition (1)Documentaire d’Edward Behr et Anthony Geffen(1997-57mn)Coproduction : ARTE France, AtlanticProduction Ltd, BBC Wales, Sodaperaga
À l’aide d’archives souvent inédites, cedocumentaire en deux parties brosse untableau particulièrement vivant des années20 et 30 aux États-Unis. Un récit émailléd’anecdotes sur l’histoire de la prohibition,de sa mise en place à ses conséquencessur la société américaine.La prohibition est l’ultime combat d’uneAmérique anglo-saxonne, puritaine et ru r a l eface à la montée des “nouveauxAméricains” (immigrants allemands, juifsd ’ E u rope centrale et de Russie, Irlandais,Italiens…). Il faut combattre l’alcoolismepour se débarrasser de tous les maux de lasociété. Deux mouvements montent en puis-sance : l’ASL (Anti-Saloon League) et laWCTU (Wo m e n ’s Christian Te m p e r a n c eAssociation). Ils sont financés par les donsdes Églises, de personnes privées et surt o u tde gros industriels...
23.15ScarfaceFilm de Howard Hawks(États-Unis, 1932-1h33mn) – VOSTF, NBScénario : Ben Hecht, Seton Miller, John Mahin,F. Pasley, W. R. Burnett, d’après le romand’Armitage TrailAvec : Paul Muni (Tony Camonte) George Raft(Guido Rinaldo), Ann Dvorak (Cesca Calmonte),Karen Morley (Poppy), Osgood Perkins (JohnnyLovo), Boris Karloff (Tom Gaffney), Henry Gordon (Guarino)Image : Lee Garmes, William O’ConnellMontage : Edward D. CurtissMusique : Adolph Tandler, Gus ArnheimProduction : Howard Hughes Productions,United Artists
Directement inspiré de la vie d’Al Capone etd’une rare audace pour l’époque, S c a r f a c e
retrace l’ascension et la chute d’un gang-ster amoral durant la Prohibition. Un modè-le du genre qui provoqua une polémique etdont Brian De Palma donnera une version“gore” cinquante ans plus tard.Chicago, les années 20, en pleine Pro h i b i t i o n .Tony Camonte, un jeune et ambitieux gang-s t e r, tue son patron, “Big Louis”, et rejoint legang du sud de la ville contrôlé par Lovo dontil devient le garde du corps. Aidé de son amiRinaldo, il gravit rapidement les échelons del ’ o rganisation. Mais Tony a une faiblesse : sasœur Cesca, dont il est amoureux et qu’il veutà tout prix protéger des autres hommes…
jeudi 8 août
22.15-01.55ProhibitionDe 1920 à 1933, l’alcool
est interdit aux États-Unis.
De cette interd i c t i o n
généralisée naît la corru p t i o n ,
présente à tous les niveaux de
la société. À p a rtir d’une foule
d’anecdotes, Edward Behr
et Anthony Geffen racontent
avec humour l’histoire
de la prohibition, en la replaçant dans le contexte
historique, social et politique de l’Amérique
des années folles. Et Howard Hawks s’inspire
de la vie d’Al Capone dans le légendaire S c a rf a c e.
ARTE FRANCE (Rediffusion partielle du 29 janvier 1998)
Don’t call him Scarface…
his name is Capone.
Le commerce illégal d’alcool fit la fortune
des organisations criminelles…
Fascination criminelle
Audacieux et d’une rare violence pourl’époque, S c a rf a c e de Howard Hawks mitplus de deux ans à sortir en salles, re t a rd épar les menaces du “milieu” et surtout parla censure. Accusant le film de faire l’apolo-gie du gangstérisme, l’industrie cinémato-graphique imposa en effet au cinéaste et àson producteur de nombreuses modifica-tions (l’adjonction d’un sous-titre “la hontede la nation” et de cartons moralisateurs,une fin remodelée, des coupes…). Il est vraique décrire l’ascension et la chute d’unef i g u re de la pègre, d’un personnage veule,cynique, amoral et amoureux de sa sœur, ilfallait oser ! Car les gangsters ont ici l’aird’enfants ignorants et sans re m o rds qui pas-sent leur temps à jouer. Parmi eux, To n yCamonte le balafré flirte avec la figure duh é ros glamour, séduisant et pro t e c t e u r. Aumoment où Al Capone – dont HowardHawks s’est inspiré – purge une peine deprison, pas étonnant que cette vision fasci-née de la criminalité ait suscité un scandale.Bien que méconnu de la nouvelle généra-tion qui lui préfère la version de De Palma,S c a rf a c e fit la renommée de son réalisateuret réserve des scènes inoubliables, maintesfois pastichées par la suite : la pièce demonnaie que fait sauter Rinaldo, l’éphéméri-de mitraillé… À déguster sans re m o rds !Rediffusion le 12 août à 01.15
et le 19 août à 17.25
00.45Prohibition (2)Documentaire d’Edward Behr et Anthony Geffen(1997-52mn)
À New York, pendant la prohibition, les barsclandestins se multiplient : cinq mille en1921, vingt-cinq mille en 1927. Mais c’estChicago, véritable capitale des aff a i res desÉtats-Unis, qui l’emporte dans la démesure .Si elle devient la cité du jazz, c’est un peup a rce qu’elle reflète la personnalité d’un seulhomme, Al Capone, fan de jazz, esthète ete s c roc débonnaire, dont on suit ici le par-cours, de ses débuts dans la ville de Ciceroà sa mainmise sur Chicago…
Prohibition : des destructions de
tonneaux d’alcool illégal sur la voie
publique aux scènes de gymnastique
chez Ford pour repérer les gueules
de bois…
“Prodigieux
documentaire sur
l’interdiction de l’alcool
en Amérique : le flot
d’anecdotes coule
avec la même rapidité
que l’alcool lui-même.”
(Desmond Christy,
The Guardian)
14.00Capté !Rediffusion du 7 août)
14.30Et l’homme descenditdu singe (5)Rediffusion du 31 juillet)
15.15Les routes du vent (2)Rediffusion du 3 août)
16.15Fous de météorites Rediffusion du 7 mars 2000)
16.45Album de familleRediffusion du 17 juillet)
17.30Pepe CarvalhoLe petit frèreRediffusion du 27 juillet)
19.00Flash Info
19.00racks
19.45ARTE Info / Météo
20.15
ReportageLes papys top models
20.45
FictionExpérimentations nterdites (1)
Téléfilm en deux parties de Hartmut Schoen
22.15
La vie en face’affranchi du Bronx
Documentaire de Félix Olivier
23.15
Profils ’art d’Aloïse
Documentaire de Muriel Edelstein
00.10Why are you creative?Liv Ullmann
00.15Le milliardaireRediffusion du 4 août)
02.10PalettesRediffusion du 3 août)
02.40Le dessous des cartes Rediffusion du 3 août)
19.00TracksMagazine musicalRédacteurs en chef : Jean-Marc Barbieux et David Combe (France, 2002-40mn)Coproduction : ARTE France, Program 33 ARTE FRANCE
Les best of de Tr a c k s : pendant tout l’été,une sélection des meilleurs sujets de l’an-née. Cette semaine : ghetto culture.
> Tribal : gothabilly
E n t re New York et Austin (Texas), le gotha-billy mélange l’exubérance des psycho-billies des années 80 – un courant né dansle sillage des Cramps et des Meteors – et legoût pour les ambiances macabres chère saux gothiques. Résultat : des punks à iro-quois qui roulent en corbillard et dorm e n tdans des cercueils et des groupes de majo-rettes – les 666 Cheerleaders – qui dansentpour Lucifer.
> Backstage : Mixtape
Pur produit de l’underg round, la mixtape est,avant l’autoproduction, le passage obligépour les DJ et les MC’s qui veulent se fairec o n n a î t re dans le monde du hip-hop. Cescassettes pourraient-elles créer un marc h éparallèle sur lequel les majors n’auraient pasla mainmise ?
> Vibration : cinéma chicano
Quand ils pastichent Star Tre k à la saucechili, le vaisseau “Enterprise” a la forme d’uns o m b re ro. Entre S c a rf a c e cheap et thrillersdu barrio, dans un monde loin du m a i n -s t re a m gringo, les jeunes cinéastes chica-nos de Los Angeles ne comptent pas surHollywood pour créer leur cinéma.
> Et aussi : Tribal : graffiti vandales
20.15 Reportage.
Les papys top modelsRéalisation : Christian Siquier(France, 2001-26mn)ARTE G.E.I.E.(Rediffusion du 4 janvier 2002)
Sonia a 60 ans, Fernando 69 ans, Maria 81ans. Ces retraités brésiliens sont tous destop models en vogue !
Depuis deux ans, le troisième âge a le venten poupe au Brésil. Publicités, défilés demode, castings pour participer aux t e l e n o-v e l a s… les plus de soixante ans sont un cré-neau très port e u r. La Chambre de commer-ce de Rio a ouvert un institut de form a t i o noù les papys et les mamies viennenta p p re n d re à défiler, à se tenir devant unecaméra, à réaliser leur p ress book. Eduard oAraujo, 40 ans, a été le premier à monter uneagence de mannequins du troisième âge. Ils ’ e n o rgueillit d’avoir lancé Fernando, 69 ans,ancien directeur de la Banque du Brésil, oue n c o re Maria, 81 ans. Au pays de la jeunes-se triomphante, les papys c o ro a s ont désor-mais de beaux jours devant eux.
v e n d re d i 9 août
es horaires correspondent ux codes PDC,
Les “seniors” ont un fort pouvoir d’achat : il leur faut
des mannequins qui leur ressemblent.
Adeptes du gothabilly, à vos crânes !
(Gefährliche Nähe und du ahnst nichts)
Téléfilm en deux parties de Hartmut Schoen (Allemagne, 2002-1h28mn) - VFScénario : Hartmut SchoenAvec : Hans-Michael Rehberg (le professeurMax Buchheim), Claudia Michelsen (PeggyBachmann), Henry Hübchen (Frank Häussler),Tobias Moretti (Harry Möllemann), Felix Eitner(Michel Broeder), Johannes Brandrup (ChristianBuchheim), Eva-Maria Hagen (GerlindeMilcher), April Hailer (Christa Möllemann)Image : Peter DöttlingSon : Ed CantuMontage : Vessela MartschewskiCoproduction : Cinecentrum Berlin, ZDF, ARTEZDF
À peine a-t-elle intégré la direction du serv i-ce de sécurité militaire de la Républiquefédérale d’Allemagne que Peggy Bachmannest affectée à une mission des plus sen-sibles. Son équipe est chargée de la sur-veillance rapprochée du professeur MaxBuchheim, un chercheur qui se montre réti-cent à fournir à l’armée les résultats de sesre c h e rches. Pour la jeune femme, cette mis-sion s’apparente à un défi personnel, d’au-tant qu’elle est rapidement confrontée à unvéritable dilemme. Parmi ses proches colla-borateurs se trouve en effet Michel, anciencamarade de promo, qu’elle se met à fré-quenter en dehors des heures de travail.Mais si Peggy préfère s’en tenir à un flirtsans conséquences, Michel, lui, tombea m o u reux… La situation se compliquequand la jeune femme est chargée de sep ro c u re r, par tous les moyens, les résultatsdu professeur Max Buchheim. Elle vaessayer de re n c o n t rer son fils…
Rediffusion le 14 août à 17.25
et le 17 août à 00.55
L’équipe
Scénariste et réalisateur, Hartmut Schoenest né en 1951. Il a fait ses débuts commedocumentariste et son œuvre a été récom-pensée, à quatre reprises, par lePrix Adolf-Grimme. Depuis 1996, ilse consacre en priorité à la fiction.Il a mis en scène certains épisodesde Ta t o rt et réalisé de nombre u xtéléfilms, comme Au septième ciel( d i ffusé sur ARTE le 22 février 2002)ou le Dernier Vo l ( d i ffusé le 25 août2001). Hans-Michael Rehberg, quii n c a rne le professeur MaxBuchheim, est né en 1938. Il s’estillustré à maintes reprises aut h é â t re, comme au cinéma et à latélévision. On a pu le voir dern i è re-ment dans Thomas Mann et less i e n s ( d i ffusé sur ARTE end é c e m b re 2001).La seconde partie de ce téléfilm
sera diffusée le samedi 10 août
à 20.45.
20.45Expérimentations interdites (1)Les résultats des expériences du professeur Max Buchheim sont part i c u l i è re m e n t
i n t é ressants. Mais leur utilisation à des fins militaires lui fait froid dans le dos et il
refuse de les communiquer à l’armée. La chasse à l’homme qui s’ouvre alors est une
véritable épreuve pour la jeune Peggy, du service de sécurité militaire …
Peggy/Claudia Michelsen et
Michel/Felix Eitner (en haut) fouillent
la corbeille à papiers du professeur
Max Buchheim/Hans-Michael
Rehberg (en bas) pour mettre la main
sur le résultat de ses recherches.
v e n d redi 9 août
Documentaire de Félix Olivier(États-Unis, 2000-55mn)ZDF(Rediffusion du 13 juin 2000)
A u t refois, Ralph Nieves traquait les dealerset les drogués pour le compte de la policenew-yorkaise, avant d’atterrir lui-même enprison, accusé à tort de trafic de stupéfiants.Sa mère put démontrer son innocence.Depuis, il travaille comme détective privépour les habitants des ghettos du sud duB ronx, du Queens, de Harlem et deB rooklyn. À New York, la loi – plus précisé-ment l’article 18b – permet aux prévenusd’engager un détective privé pour assure rgratuitement leur défense. Pour beaucoup,une enquête de Ralph Nieves est la seulechance d’avoir un procès équitable et dep rouver leur innocence.
Un privé dans les ghettos
Le réalisateur a suivi le détective pendantsept mois dans ses investigations : interro-g a t o i res, re c h e rches d’indices, passage deses clients au détecteur de mensonges… Àtravers ses enquêtes, nous découvrons une
a u t re facette de New York, celle des marg i-naux et des paumés qui vivent dans la pau-v reté extrême des bidonvilles. Mais tout n’estpas forcément sinistre, notamment dans lacommunauté hispanique, où la joie de vivre ,l’humour et la musique sont souvent au re n-d e z - v o u s .
Félix Olivier
Félix Olivier a collaboré pendant quinze ansà la réalisation de films pour le grand et lepetit écran en tant qu’assistant de pro d u c-tion, à New York et à Paris. Il a participé pen-dant plusieurs années à la réalisation de lasérie télévisée A m e r i c a ’s Most Wa n t e d,financée par le FBI. Il a rencontré à cetteoccasion plusieurs commissaires de la poli-ce new-yorkaise et a pu se faire une idée deleur mentalité. Avant l ’ A ffranchi du Bro n x,Félix Olivier a réalisé deux courts métrageset un documentaire, diffusés sur Canal+ etA RTE. Il a reçu le Prix du court métrage deCanal+, le Prix Beaumarchais de la SACDainsi que des prix aux festivals deMontecatini et de San Francisco.
Rediffusion le 15 août à 15.15
22.15L’affranchi du BronxUn ancien policier new-yorkais, autrefois accusé à tort de trafic
de stupéfiant et devenu détective privé, tente d’assurer la défense
des marginaux des ghettos. Félix Olivier l’a suivi pendant sept mois
durant ses investigations.
Un privé à New York :
au-delà des clichés,
la réalité sociale.
23.15 Profils.
L’art d’AloïseDocumentaire de Muriel Edelstein (France, 2000-53mn) Production : Long par court ARTE FRANCE
Aloïse Corbaz est l’une des artistesmajeures de la collection du musée de l’Artbrut, fondé à Lausanne par Jean Dubuff e t .Ses œuvres furent présentées au peintre en1947 par Jacqueline Forel, unique témoininterrogé dans ce film, qui nous aide peu à peu à pénétrer l’univers d’une artiste étonnante, internée dans un asile suissependant plus de quarante ans. Muriel Edelstein a découvert des arc h i v e sinédites dans lesquelles on voit AloïseCorbaz travailler à l’asile psychiatrique.Dans le documentaire, elle mêle ces imagesaux témoignages de Jacqueline Forel lorsd’un voyage en train de Lausanne àPotsdam (où doit se trouver la clé de la foliecréatrice d’Aloïse) et aux tableaux et des-sins d’Aloïse. On y découvre l’extraord i n a i représence de l’artiste, son langage impro-bable, ses élans de créativité. JacquelineF o rel étudie les détails de son œuvre colo-rée et naïve, se penche sur ses ro u l e a u xgigantesques disposés à terre et les analy-se à la loupe. Le plus grand est une fre s q u ede quatorze mètres de long, et raconte l’his-t o i re d’amour malheureuse d’Aloïse, qui l’ap robablement conduite à la folie.
L’internée et l’étudiante
En 1941, Jacqueline Forel est étudiante enmédecine et re n c o n t re dans un asile suis-se Aloïse Corbaz, 55 ans, internée depuis1918. Aloïse parle entre ses dents, dans unlangage difficile à décrypter, mais ses des-sins fascinent la jeune étudiante. Celle-ciréussit à entrer en contact avec Aloïse enlui apportant le matériel à dessin dont ellea tant besoin. Les deux femmes, qui n’onta priori rien en commun, vont constru i reune relation qui ne s’interrompra qu’à lam o rt d’Aloïse, en 1964, après quarante-sixans d’internement. Un an auparavant, en1963, une exposition de femmes peintre sconnaît un succès retentissant auprès desgaleries. Les pouvoirs cantonaux suissesc o n s i d è rent alors qu’Aloïse doit pouvoirrembourser sa longue prise en charge psy-chiatrique. On décide de la faire travaillerde manière rationalisée : elle doit signer sesœ u v res, elle ne doit plus écrire n’import eoù sur les tableaux… En quelques mois,p a rce qu’on lui a volé la liberté qu’elles’était construite en se réfugiant dans sesdessins, Aloïse se laisse alors mourir.
Fax
ARTE coproduit le prochain film de Wong Kar-wai
ARTE entre, aux côtés deParadis/Orly Films, dans lacoproduction internationale de2046, le prochain film de WongKar-wai. Le casting réunira lesacteurs fétiches du réalisateurhongkongais, Tony Leung etMaggie Cheung ( In the Mood fo
Love), Zhang Ziyi (Tigre et drag
et Chang Chen (Happy Togethe
Le tournage devrait débuter enaoût à Hong Kong et Shangai,dans des décors évoquantl’ambiance nostalgique des ann60, chère au réalisateur, et l’utofuturiste de l’an 2046.
Contact presse :
Agnès Buiche / Martina Bang
01 55 00 70 47 / 73 43
Jacqueline Forel,
qui a aujourd’hui 84 ans,
n’a jamais cessé d’étudier
l’univers d’Aloïse Corbaz.
“Elle m’a insufflé une forme
de vie”, dit-elle.
Immortalisée dans un long
métrage avec Delphine
Seyrig et Isabelle Huppert,
Aloïse Corbaz (à gauche)
n’avait jamais fait l’objet
d’un documentaire.
Tony Leung (à gauche, dans Happy
Together, avec Leslie Cheung),
sera à l’affiche du prochain film
de Wong Kar-wai, coproduit par ARTE
A RTE G.E.I.E. Téléphone 03 88 14 22 22
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et de la coord i n a t i o n
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M u l t i m é d i a
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Publication d’ARTE France
ISSN 1168-6707
Rédacteur en chef
Olivier Apprill et/ou Nicolas Bert r a n d
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Scanneriste
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Emelie De Jong, Catherine We i n z o rn,
Josie Mély, Clarisse Bonanni,
Esther Lehoczky, Barbara Levendangeur,
Anne-Cécile Fontaine, Ruth Legrand
Crédits photos : Photo : X-DR. Toute re p roduction
des photos sans autorisation est interd i t e .
© Couvert u re : SUNRGIA
D i recteur de la publication : Jérôme Clément
E x e m p l a i re n° 32 jeudi 11 juillet 2002
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m d - b o u s s i e re s @ a rt e f r a n c e . f rNathalie Loiseaux (secrétariat) 01 55 00 70 35
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P u b l i c i t é - m a r k e t i n gOlivia Olivi (chef de serv i c e ) 01 55 00 70 59
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S e rvice de pre s s eD o c u m e n t a i re sCéline Chevalier 01 55 00 70 41
c - c h e v a l i e r @ a rt e f r a n c e . f rNadia Refsi 01 55 00 70 23
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S p e c t a c l e s / M e t ro p o l i sFrédérique Champs 01 55 00 70 45
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c - b r a u n @ a rt e f r a n c e . f r
C i n é m a / A RTE France CinémaAgnès Buiche 01 55 00 70 47
a - b u i c h e @ a rt e f r a n c e . f rM a rtina Bangert 01 55 00 73 43 ( a s s i s t a n t e + grille de pro g r a m m e s )
m - b a n g e rt @a rt e f r a n c e. f r
Soirées thématiquesG r é g o i re Mauban 01 55 00 70 42(En remplacement de Françoise Landesque)
g - m a u b a n @ a rt e f r a n c e . f rSouad Khaldi ( a s s i s t a n t e ) 01 55 00 70 43
s - k h a l d i@a rt e f r a n c e. f rD o rothée van Beusekom (assistante) 01 55 00 73 25
d - v a n b e u s e k o m @ a rt e f r a n c e . f r
F i c t i o nVi rginie Doré 01 55 00 70 46
v - d o re @ a rt e f r a n c e . f r
F l o rence Bouché (assistante) 01 55 00 70 48f - b o u c h e @ a rt e f r a n c e . f r
F o rum, Le dessous des cart e sIsabelle Courty 01 55 00 72 90
i - c o u rt y @ a rt e f r a n c e . f r
A RTE Info, Reportage, Reportage GEONadia Refsi 01 55 00 70 23
n - re f s i @ a rt e f r a n c e . f rFichier pre s s eSouad Khaldi 01 55 00 70 37
s - k h a l d i @ a rt e f r a n c e . f rS e rvice photoElisabetta Zampa 01 55 00 70 50
e - z a m p a @ a rt e f r a n c e . f rOlivier de Clare m b a u t 01 55 00 70 49( a s s i s t a n t ) o - d e c l a re m b a u t @ a rt e f r a n c e . f rGeneviève Duigou 01 55 00 70 53( a s s i s t a n t e ) g - d u i g o u @ a rt e f r a n c e . f r
A RTE Éditions, ARTE Vidéo Henriette Souk 01 55 00 70 83
h - s o u k @ a rt e f r a n c e . f r
S e rvice téléspectateurs
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Minitel
3615 ARTE (1,29 F/mn)
I n t e rnet
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> A RTE Magazineet les dossiers de pre s s edes programmes sont téléchargeables sur w w w. a rt e p ro . c o m
La semaine prochaine (33)(Attention, ces programmes et ces horaires peuvent être soumis à des modifications)
Samedi 10 août
19.00 Biographies : Werner Spies
19.45 ARTE Info
20.00 Le dessous des cartes
20.10 ARTE Météo
20.15 Palettes : Le retable d’Issenheim
20.45 Fiction : Expérimentations interdites (2)
22.20 Metropolis
23.15 Fiction : Pepe Carvalho
La solitude du manager
00.50 La lucarne : L’opération WISOR
02.05 Voyages, voyages : La Réunion (r)
Dimanche 11 août
19.00 Maestro
19.45 ARTE Info / Météo
20.15 Danse
20.45 Thema : Sous-marins, avec le film
le Bateau de Wolfgang Petersen
01.05 Metropolis (r)
02.00 Vers Tombouctou (r)
Lundi 12 août
19.00 Nature : Enterrés vivants
19.45 ARTE Info / Météo
20.15 La vie en feuilleton : Il était une fois
une famille des Landes (1)
20.45 Cinéma : Yentl, de Barbra Streisand
22.55 Grand format : Dernier voyage
vers Jupiter
00.25 Court-circuit (le magazine) n° 81
01.10 Why are you creative? Takeshi Kitano
01.15 Scarface (r)
Mardi 13 août
19.00 Archimède
19.45 ARTE Info / Météo
20.15 La vie en feuilleton : Il était une fois
une famille des Landes (2)
20.45 Thema : De quoi j’me mêle ! -
Couple : faut-il être fidèle ?
23.00 Music Planet : Le festival de jazz
de Marciac
01.00 Why are you creative?
Oliviero Toscani
01.05 Pepe Carvalho : Le petit frère (r)
Mercredi 14 août
19.00 Connaissance : Le déclin
des antibiotiques
19.45 ARTE Info / Météo
20.15 La vie en feuilleton : Il était une fois
une famille des Landes (3)
20.45 Les mercredis de l’histoire :
Les hydravions, dinosaures
de l’aéronautique
21.40 Musica : Mille et une danses
orientales
22.35 Ciné-découverte : L’été d’Avia,
d’Eli Cohen
00.05 Le bassin de J. W.,
de João César Monteiro
02.25 Je ne comprends pas (r)
Jeudi 15 août
19.00 Voyages, voyages : Bombay
19.45 ARTE Info / Météo
20.15 La vie en feuilleton : Il était une fois
une famille des Landes (4)
20.45 Première séance : Lithium,
de David Flamholc
22.55 Thema : Les mères juives
01.15 Why are you creative?
Stephen Spielberg
01.20 Géographie de la peur (r)
Vendredi 16 août
19.00 Tracks
19.45 ARTE Info / Météo
20.15 La vie en feuilleton : Il était une fois
une famille des Landes (5)
20.45 Fiction : La course de l’escargot
22.10 La vie en face
23.05 Profils : John Irving
00.05 Yentl (r)
02.15 Le dessous des cartes (r)
02.25 Deux (r)
Jazz in MarciacCet été, du 2 au 13 août,
Jazz in Marciac fête ses
vingt-cinq ans en réunissant
les musiciens qui ont fait
sa renommée. ARTE capte
les meilleurs moments
du festival avec Shirley
Horn, Dave Douglas,
McCoy Tyner, Wynton
Marsalis (ci-dessus),
Dee Dee Bridgewater,
Ahmad Jamal, Michel
Portal, Richard Galiano,
Eddy Louis, Ray Barretto,
Michel Camilo… En direct,
mercredi 13 août à 23.00.
32
ARTE G.E.I.E. 2a, rue de la Fonderie
67080 Strasbourg cedexTél. 03 88 14 22 22
ARTE France8, rue Marceau
92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9
Tél. 01 55 00 77 77
ARTE Deutschland(Allemagne)
Schützenstraße 176530 Baden-Baden
Tél. 00 49 7221 9369-0
RTBF (Belgique)
52, Boulevard Reyers1044 Bruxelles
Tél. 00 32 2 737 25 57
TVE (Espagne)
TorrespañaAlcade Sainz de Baranda, 92
28007 MadridTél. 00 34 1 346 88 45
SRG SSR idée suisse(Suisse)
Giacomettistrasse 3case postale 26
3000 BerneTél. 00 41 31 350 91 11
TVP (Pologne)
17, J. P. Woronicza St00-999 Warszawa
Tél. 00 48 22 547 85 01
ORF (Autriche)
Würzburggasse 30 A1136 Wien
Tél. 00 43 1 87878-0
YLE (TV1) (Finlande)
Radiokatu 5, HelsinkiFIN-00024 YleisradioTél. 00 358 9 14801
NPS (Pays-Bas)
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Tél. 00 31 35 677 93 33www.arte-tv.com