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Page 1: GABON FLASH - Novembre 2012

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La lettre interne trimestrielle d’Olam Gabon

Novembre 2012

ÉDITORIALMot du Directeur Pays

ACTUALITÉSSéminaire à FrancevilleSalon de l’Agriculture

SUR LE TERRAINActualité des sites et projets en chiffres

CÔTÉ BUREAUModernisation du département informatique

NOS PARTENAIRES EN ACTIONDrill Watt

S’INVESTIR POUR LE GABONKits médicaux et kits scolaires

NOUS SOMMES OLAM GABON ! Portrait de Fatoumata

L’EQUIPE S’AGRANDITUne équipe en pleine expansion

PHOTOS DU MOIS

Gabon Flash

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C hers collègues et chers partenaires,

Novembre représente un mois important dans nos relations avec le Gabon, puisque nous célébrons les deux ans de la signature de nos accords avec la République gabonaise. Nous sommes honorés d’être l’un des principaux partenaires du pays et de contribuer à

son avancée vers ses objectifs « d’émergence». De nombreuses étapes restent encore à franchir : nous sommes engagés dans un processus de développement responsable visant à créer des valeurs communes. En l’espace de deux ans, nous avons investi plus de 400 millions USD (220 milliards de FCFA) et développé nos projets conformément aux six Etudes d’Evaluation de l’Impact Environnemental et Social (Environmental and Social Impacts Assessment, ESIA) qui ont été validées. Nous sommes extrêmement impliqués dans le développement et le bien-être des communautés qui entourent nos sites et nous nous réjouissons d’établir des relations à long terme avec les habitants des provinces de l’Estuaire, Ogooue-Maritime, Woleu Ntem, Ngounie et Ogooue-Ivindo, tout en les associant de plus en plus à nos projets.

Au cours de ce long voyage nous avons commencé de vastes projets seront menés à bien. Ils requièrent du temps, de la motivation et des efforts. Les collaborateurs d’ Olam Gabon sont passés de 800 en 2011 à 3 200 aujourd’hui, et l’équipe continue de s’agrandir. Ce

qui a été accompli jusqu’à maintenant ne l’aurait pas été sans eux. Ils sont l’essence même des réalisations d’Olam et sans eux rien n’aurait été possible. Grâce à cette équipe dynamique et au partenariat solide avec la République gabonaise, nous avançons dans les délais prévus, à l’exception de Gabon Fertilizer Company qui a pris un peu de retard dans l’obtention d’agréments EIES.

Ces deux années ne sont que les prémisses d’un avenir empli de défis prometteur.s Nous sommes fiers des projets déjà accomplis dans cette aventure.

Au nom d’Olam, je tiens chaleureusement à remercier les Gabonais et le Gouvernement du pays avec lesquels nous jetons les bases d’un avenir solide et durable.

Gagan Gupta,Directeur Pays

Chiffres-clésà octobre 2012

220milliards CFA

déjà investis au Gabon

1 200 000de plants d’hévéa dans notre pépinière

650lampadaires solaires installés en 6 mois

AgendaFIN 2012

Installation du système électronique de paie

Le processus de plantation de l’hévéa a débuté à Bitam avec une pépinière de 240 hectares

2 000 hectares ont été plantés pour nos activités liées aux palmiers à huile

GFC : le dragage et le remblayage du terrain ont commencé sur le lot F de la zone économique spéciale de Mandji

Modernisation de notre scierie de Makokou

GABON FLASH - LETTRE TRIMESTRIELLE D’OLAM GABON Directeur de la publication : Gaëlle Dupuis - 06 00 52 00 Comité de rédaction : Lauriane Guillemin - 06 00 51 99Version électronique disponible sur : www.insuu.com

édito

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3 200 Employés d’Olam au Gabon

2 196hectares plantés pour les palmiers1

société a déjà débuté ses activités dans la Zone Economique Spéciale de Nkok

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Actualités

Notre « Réunion pays » a rassemblé 97 membres de l’équipe, à Franceville. Les participants ont evoqué les projets d’Olam au Gabon, du Gabon, d’opportunités, en sus des réussites et des problèmes rencontrés par nos équipes à travers le pays.

La réunion pays à Franceville : « Nous les réaliserons ! »

Les 8 et 9 septembre, une présentation interactive a permis

aux représentants des unités opérationnelles de partager leurs points de vue et leurs expériences. Les discussions ont porté sur les investissements au Gabon et la stratégie de chaque projet. Chacun a pu prendre la parole et échanger ses idées ou ses préoccupations sur la société.

Trois activités en plein air, de cohésion d’équipe, ont été

organisées. Les participants qui

étaient répartis en 12 groupes ont concouru tout en mettant à l’épreuve leur esprit d’équipe, leur concentration, leur plan d’action, leur solidarité et leur communication interpersonnelle.

Dans la soirée, danseurs et musiciens locaux ont donné un

spectacle étincelant apportant une touche unique à cette rencontre. La réunion a remarquablement renforcé les liens professionnels entre les intervenants travaillant habituellement sur sept sites à travers le Gabon.

Le Salon National de l’Agriculture s’est tenu du 16 au 20 octobre

derniers. Le Premier Ministre Raymond Ndong Sima a coupé le traditionnel ruban inaugural avant de s’arrêter à chaque stand et de discuter avec les exposants. Le thème national était « les coopératives agricoles nourrissent le monde », choisi en raison du contexte économique international de cette année, affecté par la hausse mondiale du

prix des denrées alimentaires. Les stands d’information couvraient les domaines de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche.

Notre société a saisi cette opportunité unique pour

informer un large public sur nos projets agricoles. Nous avons eu 230 visiteurs, dont beaucoup étaient des étudiants et des enseignants.

Notre stand au Salon national de l’Agriculture, à Gabon Expo, a attiré 230 visiteurs.

Le palmier à huile et l’hévéa sur le podium au Salon de l’Agriculture

Olam a gagné le 11 octobre dernier, le

prix Africa Investor de cette année pour son leadership dans les investissements durables en Afrique [Africa Investor - Leadership in Sustainable Investment in Africa of the Year Award], remis

lors des « Investment and Business Leader Awards » (au cours d’une cérémonie à Tokyo, Japon), dans le cadre du sommet Africa Investor CEO Investment Climate Summit. Le prix reconnaît la charte Olam du bien-être [The Olam Livelihood Charter

(OLC)], qui formalise l’engagement de longue date de la société pour l’investissement en faveur des communautés rurales des marchés émergents et des agriculteurs du monde entier.

Olam a gagné le prix du « Leader dans les investissements durables en Afrique »

ACTUALITÉS MONDE

L’équipe qui a assisté à la réunion de Franceville.

De gauche à droite : M. Adrien Nkoghe Essingone, 3e Vice-pré-sident de l’Assemblée nationale ; M. Julien Nkoghé Békalé, Ministre de l’Agriculture ; M. Raymond Ndong Sima, Premier Ministre ; M. Georges Mboussougou, communicateur social pour Olam Palm.

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Depuis janvier 2012, des consultations publiques ont été organisées par notre société pour s’assurer, avec l’aide des ONG, des chefs de villages et des consultants, que les populations sont bien informées des impacts du projet. Dans les faits, 800 ha de terres ont été cédés à 2 villages pour leurs propres besoins de culture et des sites anciens et sacrés seront protégés en respect aux droits coutumiers des autochtones. Environ 50 personnes étaient présentes lors de la signature du contrat social, y compris les délégués

d’Olam et 29 représentants des huit différents villages (les Chefs de village, les Préfets et les Présidents des conseils départementaux de Douya Onoye et Tsamba Magotsi). 500 réverbères solaires ont déjà été installés et sont opérationnels dans la région. Un total de 30 pompes à eau manuelles a été autorisé par le Ministère du Pétrole, de l’Énergie et des Ressources Hydrauliques et est en cours d’installation par des sous-traitants locaux.

Premier anniversaire d’Awala (Kango)

Plantation de Mouila - Octobre 2012

Awala a démarré avec un premier semis de sept mois planté par le Président de la République gabonaise, Son Excellence Ali Bongo Ondimba. D’environ 100 personnes au premier jour nous sommes

passés à 945 personnes aujourd’hui. Au cours des trois derniers mois, nous avons pu planter jusqu’à 820 hectares. Nous envisageons d’achever les 7 500 hectares prévus courant juin 2013.

Le Président Ali Bongo Ondimba nous honore de sa présence à Mouila !

Au cours d’un déplacement dans le sud du Gabon (Lambaréné, Fougamou, Ndendé, Lebamba…), le Président de la République gabonaise, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, a inclus la visite de notre plantation de palmiers dans son programme. Son Excellence nous a fait l’honneur de planter le premier palmier à huile de notre plantation à Mouila et il a également pu se rendre compte de l’important travail réalisé. Au cours des deux derniers mois, nous avons recruté environ 600

ouvriers pour développer à Mouila une pépinière d’environ 70 hectares, soit 900 000 semis, laquelle atteint maintenant 140 hectares. Le processus de plantation commencera en mars 2013 et 10 000 hectares au total devront être couverts à la fin de l’année 2013. La zone de plantation a été déterminée après validation de l’Evaluation des Impacts Environnementaux et Sociaux par toutes les autorités compétentes le 1er août 2012.

Liens avec la population de Mouila Suite au processus de Consentement Libre, Informé et Préalable (CLIP) des populations, un contrat social a été signé entre notre compagnie et les représentants des communautés de Mouila. Cette étape marque le début du processus de plantation sur notre site.

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Sur le terrain : PALMIER A HUILE

Il y a un an, la première plantation de palmiers à huile par Olam au Gabon a vu le jour.

Son Excellence M. Ali Bongo Ondimba et Alida Dissielou, Assistante du Res-ponsable de la palmeraie de Mouila.

Nous nous souviendrons avec fierté du 10 septembre 2012, jour où le Président est venu visiter nos plantations à Mouila.

M. Michel Mouguiama, Gouverneur de la Ngounie signe le contrat social à Mouila - Août 2012

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Coup d’envoi de la plantation

Plantation de Btouri (Bitam) - Septembre 2012

Les tous premiers plants bourgeonnés d’hévéa ont été livrés à Bitam le 25 juillet dernier. Ils ont été acheminés par voie aérienne depuis la Côte d’Ivoire jusqu’à Douala, et conduits à leur lieu de destination finale dans quatre camions. Cette livraison

est importante car elle marque le début de la pépinière. L’opération a représenté 360 caisses contenant 150 000 plants d’hévéa bourgeonnés déstinés à être ensachées dans la pépinière dans les 72 heures qui ont suivi leur arrivée.

Le contrat social est signé pour 4 300 hectares à Batouri (Bitam)

Le contrat social couvrant les 4 300 hectares d’ une parcelle sur la partie ouest de la rivière Nye, a été signé le 9 octobre. Ce contrat concerne 7 villages : Okok, Toulouse, Edoum, Nyazang, Woumou, Essong Milang et Ongongo Bibe Eba. Le Consentement Libre, Informé et Préalable (CLIP) vise à parvenir à un accord entre notre société et les communautés vivant autour du site du projet. Sur les 4 300 hectares de terrains couverts par le contrat social, 1 479 hectares ont été identifiés comme des zones protégées et ne seront pas plantés, soit 34 % de la zone totale. Trente-trois personnes incluant le Préfect de Ntem, M. Boniface Foungues, ainsi que d’autres chefs de la

communauté, ont assisté à la cérémonie de signature. Entre 2012 et 2013, 1 500 hectares pour la parcelle 1 seront plantés et la production commencera en 2018.

Un toit pour nos ouvriersUn plan d’hébergement est en cours de mise en place afin de faciliter le quotidien des travailleurs sur site.

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Sur le terrain : HÉVÉA

Le Président visite Bitam – Août 2012

Notre pépinière d’hévéa a débuté après livraison des plants par voie aérienne.

Caisses de plants d’hévéa

Signature du contrat social

La signature du contrat social nous permet de débuter le développement de nos activités sur une première parcelle de 4 300 hectares.

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Pépinière d’hévéasLes équipes sociales et communication rencontrent les villageois d’Okok

Un plan d’hébergement est destiné à fournir des infrastructures de base à nos travailleurs dans tout le pays. Nous faisons actuellement construire 216 chambres réparties sur trois bâtiments et 40 appartements, deux laveries, un réfectoire et sa cuisine sur 500 m². Des logements pour l’encadrement et 60 dortoirs en bois sont également en construction.

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Dortoirs en construction sur notre site près d’Okok.

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Les premiers produits « made in GSEZ » sont sortis

Chemins de fer de la Zone Economique Spéciale de Nkok – Novembre 2012

Nous avons accueilli, au cours du dernier trimestre, huit clients confirmés dont les projets couvriront 14,7 hectares ; la Zone Economique Spéciale de Nkok totalise actuellement soixante-deux clients confirmés dont plus de quarante sont issus du secteur industriel. Resurgent Gabon est une société forestière asiatique qui a construit une scierie sur site, ayant une capacité de production de 5 000 m3 par an. Vingt employés seront nécessaires pour faire fonctionner la

scierie, dont la production est destinée à l’export. Les activités de Resurgent ont débuté le 1er novembre, seulement quatre mois après que les premières fondations ont été posées. Shinago et CDG (Chaudronnerie du Gabon) ont également commencé à construire leurs usines de transformation. Les projets de nos investisseurs confirmés représentent, aujourd’hui, 1,7 milliard USD d’investissements étrangers directs.

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Sur le terrain : ZONE ÉCONOMIQUE SPÉCIALE DU GABON

Des investisseurs étrangers regardant la maquette de la ZES – Août 2012

En l’espace de six mois, nous avons accueilli environ 600 visiteurs

(investisseurs potentiels, journalistes, ONG, partenaires, organisations

internationales, autorités nationales…), dont certains nous ont

fait part de leurs impressions :

« Une visite impressionnante de ce site ”émergent”. Il donne à espérer

qu’un pays comme le Gabon se développera en utilisant ses

innombrables ressources naturelles de manière durable. »

Un visiteur de la Banque mondiale

« Merci beaucoup de votre hospitalité. Il est réconfortant de voir une équipe

si impressionnante et compétente mise sur pied par Olam.

Meilleurs vœux de réussite. » Un visiteur d’HSBC

« Stupéfait par les progrès ! Félicitations ! »

Un visiteur de l’ambassade américaine

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Le 4 octobre, environ quarante journalistes ont pu visiter le site de Nkok et constater les progrès réalisés. Gabon Matin, L’Union, BBC, Télé Africa, La Griffe, Gabaon, RFI et de nombreux autres médias importants ont accepté de monter à bord pour découvrir les infrastructures récemment construites.

La ZES sous les projecteurs

Constructions à la Chaudronnerie du Gabon, GSEZ de Nkok.

Une scie automatique de Resurgent, GSEZ de Nkok.GSEZ de Nkok.

Des journalistes visitant la principale sous-station de distribution électrique, accompagnés de Théophile Ogandaga, Coordinateur général et Jasveer Singh, Dirceteur de GSEZ.

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Les investisseurs de Nkok ont commencé leurs premières constructions et productions.

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Forêt en fête

Viana à Makokou - Août 2012

Entre le 1er et le 4 août, les populations locales d’Okondja (Makokou) et les représentants d’Olam se sont rassemblés afin d’identifier les sites culturels et ancestraux se trouvant dans la zone d’exploitation autorisée par la licence d’exploitation forestière. Cette réunion participative, prolongée par des festivités, a été gérée par Benjamin N’nang Akare, communicateur social ; Toussaint Ndong Abesssolo, botaniste ; Saint-Louis Ndongo, prospecteur. Des sacrifices ont été consentis à Cocomoicala par les représentants de cinq villages (Cocomoicala, Melondomiole, Turwaya, Makebe, Bakwaka). L’étape de ritualisation s’est achevée par une identification concertée d’importantes zones dans

le secteur défini par le permis d’exploitation. Le processus détaillé définit des zones d’usage coutumier (sites sacrés, zones critiques pour l’agriculture de subsistance, etc.). Les sacrifices rituels symbolisent une demande de bienfaits aux esprits de la forêt. Des membres désignés de la communauté (le chef du village de Bakwaka et deux

figures publiques venant des cinq villages) invoquent

les esprits pour qu’ils leur donnent leur bénédiction et et assurent la réussite des travaux sur la zone.

Sur le terrain : BOIS

Shanghaï : Livraison du nouveau matériel - Novembre 2012

La modernisation de l’une de nos scieries à Makokou permettra d’augmenter la production et d’élargir notre ligne de produits, ce qui devrait nous rendre compétitifs sur le marché européen des fendeuses à bois hydrauliques. Nous disposons actuellement de deux usines de transformation du bois. L’une s’appelle Viana et elle est opérationnelle, la seconde s’appelle Shanghaï celle-ci est en cours de modernisation et devrait pouvoir recommencer à produire courant décembre 2012. Ces deux scieries possèdent deux scies de tête et deux reprise déligneuse. Viana a une capacité de production de 1 000 m3 par mois.

Amélioration en cours de notre unité de production

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L’utilisation des ressources forestières représente un enjeu important de l’histoire du Gabon, les sites ont une valeur particulière pour les populations locales du fait qu’ils représentent leur héritage. Après la traditionnelle cartographie de la zone de production, l’accès et le développement des activités requièrent le respect de certains rituels et cérémonies.

Notre scierie de Makokou est en cours de modernisation pour augmenter sa production de 50 %.

Ritualisation avec des représentants élus des villages de Melon-domiole, Turwaya et Cocomoicala.

Installation d’une scie automatique Schulte.

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Dragage et remblayage du terrain sur site - Octobre 2012

Fertiliser la croissance du Gabon

Sur le terrain : GABON FERTILIZER COMPANY

En raison des études approfondies et techniques, sociales et environnementales, qui sont nécessaires à l’implémentation du projetsur site et de changements dans le coût total du projet, la construction de l’usine a pris du retard. En effet, avant que nous puissions commencer la construction de l’usine d’engrais, nous devons finaliser la phase d’ingénierie et de conception préliminaires (Front End Engineering and Design, FEED), faire valider par les autorités compétentes l’évaluation des impacts environnementaux et sociaux (EIES), et obtenir le Consentement Libre, Informé et Préalable (CLIP) des populations locales. Les derniers mois ont permis de faire un pas en direction de l’ESIA et de la FEED. Les études d’ingénierie et de conception préliminaires (FEED) ont eu lieu entre octobre 2011 et juin 2012. Le plan d’ingénierie de base est nécessaire en vue de procéder à l’estimation documentée et la conclusion du contrat Lum Sum Turnkey (un contrat dans lequel un prestataire conçoit, construit et gère un projet jusqu’à ce qu’il soit prêt à être remis au client et puisse immédiatement être opérationnel). L’ingénierie détaillée et la construction peuvent donc maintenant commencer. L’EIES est en train d’être réalisée par des consultants d’URS Scot Wilson et d’Ecosphere. En septembre dernier, le rapport ESIA a été mis à la disposition du public à la Direction générale de l’environnement (DGE).

Gabon Fertilizer Company est une coentreprise commune entre Olam International Ltd (62,9 %), le gouvernement du Gabon (12 %) et Tata Chemicals (25,1 %). Le projet en est à ses débuts et fait l’objet d’études en vue d’obtenir les agréments nécessaires.

Localisation du Site dans la ZES de Mandji

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À ce jour, nous avons finalisé pour le rapport ESIA : • La phase 1, qui nous permet de préparer le terrain (défrichement

et construction de routes d’accès). • La phase 2, qui nous permet de draguer et remblayer le terrain.• La phase 3, qui nous permet de commencer le principal plan

de construction.La phase 4, une fois acquise, nous permettra de construire les canalisations d’eau.

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Sur le terrain

Projets opérationnels :

Palmier à huile

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Nouvelles du terrain

GSEZ

Bois

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Nouvelles du terrain

Hectares déjà développés par Olam au Gabon

(pépinières et plantations, par semestre)

Emploi

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Depuis le début de l’année 2012, nous avons déjà investi 216 milliards FCFA au Gabon, tout en consacrant 986 millions FCFA à des actions à caractère social. Ces actions comprennent la construction de réverbères solaires, l’installation ou la réhabilitation de pompes à eau manuelles, la construction ou la réhabilitation de dispensaires et les dons en faveur de la santé et de l’éducation.

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2011 Semestre 1-2012

Semestre 2-2012

Emploi ( incluant lesemploi indirects de la ZESde Nkok)

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Activités transversales

Notre équipe informatique est constituée du Directeur, Vinodanand Jha, des Responsables informatiques, Induprasad Nair et Rodrigue Mintsa Mengue, et de l’équipe de soutien : Malick Pambou Mbokou Rangue, Brice Kenzam, Michel Nguema, Andreï Olago Mboumba, Parfait Edou (Bitam), Vivian Kombila (Mouila), Lionel Mezui Ogouta (Makokou). Ils travaillent pour la modernisation des moyens de télécommunication dans la société. Les ambitions du service informatique sont d’apporter une amélioration significative au sein du groupe Olam, ainsi que de développer les moyens technologiques au sein de la Zone Economique Spéciale du Gabon.

Nous avons sept implantations dans le pays entre lesquelles nous avons besoin de maintenir de la connectivité, et qui doivent par ailleurs commu-niquer avec notre siège social et autres implantations d’Olam à travers le monde. Jusqu’à cinq établissements peuvent être appelés simultané-ment pour une vidéo-conférence et quatre établissements pour une au-dio-conférence depuis Libreville. Bitam, Kango, Makokou, Mouila, Nkok et Port-Gentil seront dotés de ces services à la fin du mois de novembre.

Activation de la vidéo-conférence

De nouveaux systèmes sont en cours d’installation afin de standardiser les pratiques pour l’ensemble

des ressources de l’entreprise (finance, logistique, comptabilité…). Le System Application Products (SAP ERP) que nous installons est le logiciel de planification des ressources d’entreprise le plus important jamais conçu. Ce SAP multilingue couvrira les processus opérationnels, depuis l’acquisition par achat jusqu’à la création du bon de commande et la réception du matériel pour les divisions Palmier à Huile, Hévéa, Bois, Gabon Fertilizer Company et GSEZ. Ce système est utilisé dans le monde entier et est sensé faciliter le travail quotidien de chacun étant donné qu’il standardise tous les processus administratifs

des divisions opérationnelles sur sites.

Progressivement, la Business Intelligence sera intégrée à la mise en œuvre et nous permettra d’avoir une

analyse automatique des données et des graphiques.

Parallèlement, un système de gestion des documents par lequel tous les documents électroniques seront stockés

dans un dépositaire central est en cours de réalisation. Ce système de gestion des documents permettra aux employés autorisés à visualiser, imprimer, modifier, copier ou effacer des documents stockés dans le système. Un moteur de recherche facilitera toutes les recherches dans le système.

Modernisation et standardisation des activités commerciales d’Olam via SAP

Nous travaillons actuellement à l’amélioration de notre système

de paie via l’introduction du logiciel SAGE, p e r m e t t a n t d ’automat iser les procédures de paiements. La mise en œuvre de cette nouvelle procédure a entraîné des variations en numéraire et parfois, pour une courte période, des paiements irréguliers. La transition vers l’utilisation de ce tout nouveau système de paie nécessitent un temps d’adaptation afin d’être parfaitement opérationnel.

A Mouila, un nouveau système de paie qui modernisera les tâches quotidiennes et mensuelles de notre service des ressources humaines a été introduit.

Mise en service du logiciel de paie SAGE

Nous devons prochainement faire l’acquisition d’un « dépositaire central » dans lequel les documents électroniques pourront être accessibles sous autorisation. Nous serons en mesure de visualiser, imprimer, modifier, effacer ou copier avec une autorisation spécifique et en conservant une traçabilité. Quitter ses bureaux pour obtenir un document sera bientôt inutile, car il sera accessible depuis votre ordinateur et votre compte.

Système de gestion des documents

Chaîne de valeur de solutions agricoles : Exemple d’un traitement SAP

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Olivier Aveyra est directeur de projet HRM SAGE

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Département informatique (I.T.)

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Notre objectif est de contribuer au développement des communautés

à côté desquelles nous opérons. Nous souhaitons bâtir des relations à long terme basées sur la loyauté et la confiance, et permettre l’accès aux infrastructures de base pour les communautés vivant aux alentours de nos projets fait partie de nos actions sociales. L’un de nos sous-traitants gabonais, Drill-Watt, installe et réhabilite des pompes à eau manuelles autour des sites de nos projets et il s’assure de la bonne qualité de l’eau au bénéfice des communautés. Le travail de Drill Watt est approuvé et contrôlé par le Ministère du Pétrole, de l’Énergie et des Ressources hydrauliques.

Depuis juillet 2012, Drill Watt nous a fourni des pompes à eau manuelles

(contrairement aux pompes activées à l’énergie électrique) étant donné l’absence d’électricité dans la plupart

des villages. Tous les puits forés (d’une profondeur de 20 mètres en moyenne) dans les villages à proximité des sites d’Olam ont des revêtements en béton pour éviter la contamination par infiltration. Par ailleurs, toutes les pompes sont mues par les mains, contrairement aux pompes à pédales plus communément utilisées. Cette particularité les rend plus faciles à utiliser pour les personnes âgées et les enfants (qui sont majoritaires dans la plupart des villages).

« Notre collaboration avec Olam nous permet, tout en faisant une opération

commerciale, de participer, à notre niveau, à un effort commun et d’apporter une contribution déterminante aux populations rurales » déclare Jean-Medard Madama, Directeur général de Drill Watt.

« D’autres sociétés sollicitent nos services pour ce qui est de leur

Responsabilité Sociale d’Entreprise. Néanmoins, Olam a été la seule jusqu’à présent à faire une opération de cette importance du point de vue de la quantité. D’habitude, les entreprises nous demandent d’installer deux ou trois pompes à eau, Olam envisage de couvrir environ 100 villages, et davantage encore dans le futur. »

À ce jour, Drill Watt a foré ou réhabilité 19 pompes. Onze forages

supplémentaires ont été réalisés, mais se sont avérés être négatifs, en d’autres termes, contrairement aux estimations, il n’y avait pas d’eau ou bien nous sommes tombés sur de la roche. Heureusement, les nappes phréatiques du Gabon sont pleines et fréquemment remplies par de fortes chutes de pluie.

Actions de nos partenairesDrill Watt : notre partenaire pour l’accès aux besoins essentielsDrill Watt est l’un de nos nombreux partenaires locaux qui nous aide à remplir nos engagements envers les communautés locales. Drill Watt installe et réhabilite des pompes à eau manuelles autour de nos sites.

« Olam a été la seule jusqu’à présent à faire une opération de cette importance du point de vue de la quantité. »

Pompe à eau à Okok, près de Bitam, dans le cadre du programme de soutenabilité et de responsabilité d’entreprise d’Olam - Septembre 2012

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Bien qu'il nous reste un long chemin à parcourir, les impacts positifs socio-économiques de nos projets

sont de plus en plus visibles. Nous sommes déterminés à garantir la croissance responsable sur le long terme de tous nos projets au Gabon et à faire en sorte qu’ils contribuent à l’amélioration du bien-être rural. Richard appartient à la communauté en pleine croissance habitant autour de l’une de nos plantations et profitede l’impact économique que nos projets ont dans plusieurs zones du pays. Il possède un petit magasin de vêtements d’occasion, situé juste à l’entrée de la palmeraie d’Awala.

Richard est un homme de 55 ans qui a lancé son activité il y a six mois, au moment où le nombre

d’ouvriers dans les plantations a commencé à augmenter. Pour pourvoir à leurs besoins vestimentaires, il a commencé à vendre un stock de chemises et des jeans d’occasion pour hommes aux ouvriers se rendant à la palmeraie ou à ceux qui en revenaient. « Les ouvriers d’Olam sont mes principaux clients. Lorsqu’ils ont été payés, ils viennent et s’offrent quelques nouveaux vêtements. J’ai des Gabonais et des expatriés comme clients… », nous explique Richard souriant. À l’arrière

de son magasin se trouve une petite chambre pour son usage personnel « c’est ici que je vis pour le moment. Mais le marché s’agrandit et il y a de plus en plus d’entreprises qui s’installent dans le secteur. Je souhaiterais ouvrir une petite auberge un jour, je pense que les camionneurs pourraient devenir de bons clients », ajoute-t-il.

« Les ouvriers d’Olam sont mes principaux clients. »

Une discussion constructive a eu lieu entre les participants et notre

Directeur des plantations d’Awala, Velan Mahadeva ; notre Vice-président chargé du développement durable chez Olam Palm Gabon, Arun Venkatarama ; notre Responsable régional, Ramesh Kumar ; notre Responsable de la santé & et de la sécurité et Médecin du travail, Pearl Comlan ; notre Responsable EIES/RSPO, Raphael Aouba ; notre Responsable qualité, hygiène, sécurité et environnement, Synclair OKOH ; et le Chef du personnel, Hugues Maguena.

A la suite de nos échanges des kits médicaux ont été distribués avec

des explications fournies par l’infirmière qui travaille pour les planteurs de Kango. Ces kits sont distribués à toutes les femmes travaillant dans nos plantations ainsi qu’aux chefs de villages.

Chaque kit contient : du sirop de paracétamol pour les enfants, des

comprimés de paracétamol pour les

adultes, des médicaments contre la malaria pour les adultes et les enfants, des médicaments contre la diarrhée pour les adultes et les enfants, des médicaments contre les parasites, du sel de réhydratation orale pour les enfants, un thermomètre, une brochure illustrée pour l’utilisation et les précautions.

Jacqueline Bindang Mengue, notre infirmière à Kango, a expliqué les

précautions d’utilisation à suivre pour tous les médicaments et la nécessité pour tous de vérifier les dates avant de les prendre.

S’investir pour le GabonDistribution de kits médicauxLe 18 septembre, nos équipes à Kango ont organisé un dîner officiel avec les chefs de villages. Ce fut l’opportunité de discussion entre les autorités locales et les représentants d’Olam. De plus, les kits médicaux furent distribués aux trente participants. Les kits médicaux ont été fournis par notre partenaire, la Fondation de la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba, qui fait la promotion de l’information, de la prévention, de la protection, de la diffusion, du soin et du respect (par la distribution de kits médicaux et de préservatifs).

Témoignage de Richard : un commerçant d’Awala

Distribution de kits médicaux à des ouvrières travaillant sur les plantations. Photo de gauche : discours du Dr Pearl Comlan (médecin du travail) en face des Chefs de villages et des représentants de Nsilé, Woubélé 1 et 2, Ayeme Bokoué 1 et 2 Agricole Centre et Agricole Frontière (près de Kango).

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Richard est un commerçant qui travaille à quelques kilomètres de notre plantation d’Awala, juste à l’entrée de celle-ci. Il nous parle de l’impact positif qu’Olam a eu sur son activité.

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S’investir pour le Gabon4 973 enfants équipés pour l’annéeOlam Gabon distribue des kits scolaires aux enfants des villages voisins.

L’école de Nsilé (près de Kango), où 165 élèves ont reçu des fournitures scolaires.

Dans notre engagement pour le bien-être social, nous investissons dans des projets communautaires qui

améliorent les conditions de vie de nos ouvriers et de leurs communautés. Contribuer à l’éducation est un élément clé de notre investissement social, puisqu’elle contribue à multiplier les chances d’un avenir meilleur pour les familles de nos ouvriers.

La distribution de nos kits scolaires a commencé le mois dernier pour les villages situés à proximité de

nos projets. 4 973 enfants de 20 villages situés autour de notre site de Makokou, 13 villages autour de nos sites de palmeraies et 37 villages autour de nos sites de plantations d’hévéa profitent de nos actions. Chaque cartable contenait un cahier de texte, une boîte de crayons de couleurs, une boîte de feutres de couleurs, une règle, un compas, une trousse de quatre crayons, un taille-crayon, trois gommes et un stylo à bille de quatre couleurs. Pour les plus jeunes, les cartables contenaient une gourde d’eau, une ardoise et des craies, et pour les classes supérieures (4e et 5e année) une rame de papier a été ajoutée.

Des cérémonies d’accueil dans les écoles ont été organisées, et les parents qui y assistaient ont

accepté les kits d’écoliers avec reconnaissance.

Nous aimerions adresser un remerciement particulier aux équipes sociales et leurs coordinateurs pour le

brillant travail qu’ils ont accompli :- Pour la division Hévéa : Olivier Desmet, Responsable pour le développement durable et la certification ; Tatiana Eoua, Responsable sociale ; Fatoumata Alene Eba’a, Responsable et communicatrice sociale ; et Communicateurs sociaux, Emvo Ovono Parfait et Ayom Essono Franckie.- Pour la division Palmier à Huile : Arun Venkataraman, Vice-président chargé de du développement durable chez Olam Palm Gabon ; Akornefa Akeya stagiaire pour les questionsde Responsabilité Sociale d’Entreprise ; Nina Koubahangoue, Responsable et communicatrice sociale ; les Communicateurs sociaux, Christelle Moavele Atabi et Dieudonné Akessa à Mouila ; Rapahael Aouba, Responsable RSPO ; Gyslaine Milebe, Responsable sociale ; et les Communicateurs sociaux Georges Boussougou et Murielle Madjinou à Kango. - Pour la division Bois : Communicateurs sociaux, Olivia Dezona et Benjamin N’nang.- et les coordinatrices Roselyne Chambrier et Monica Burlacu

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Nous sommes Olam Gabon ! La Palme d’Or

OLAM Communications : Depuis combien de temps travaillez-vous pour Olam ? Fatouma : sept mois, j’ai commencé en mai.

Fatouma est une collaboratrice âgée de 31 ans qui vit et travaille à Bitam pour notre division Hévéa. Fatouma est originaire d’Oyem et est diplômée en psychologie sociale et évaluation environnementale. Elle a montré de l’intérêt pour Olam lorsqu’elle était encore à l’université et qu’elle effectuait une étude indépendante sur les impacts sociaux et économiques de notre projet de palmeraie à Mouila. Le travail quotidien de Fatouma contribue grandement au développement de nos projets et à l’adhésion des communautés.

Portrait de Fatouma Alene Eba’a, Responsable et communicatrice sociale

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Quelques collaborateurs sont félicités chaque mois sur la base de leurs réalisations, de leurs efforts et de leurs résultats. On leur décerne un certificat d’Employé du Mois.

Amandine Ogouebandja, Responsable marketing GSEZ à Manji, Librevillea joué un rôle important, avec Eric Bygodt, en signant le contrat de prêt s’élevant à 228 millions USD pour la

première phase des palmeraies d’Olam Palm Gabon. Le prêt a été obtenu auprès de BGFI, Afreximbank, EcoBank & BEDAC.

Cedrig Bouessy, Assistant du Responsable du service Haute Valeur pour la Conservation (HVC)à Awala (Kango)Dirige une équipe d’assistants de terrain HVC issus des villages situés autour de Kango au cours de l’année afin de délimiter et préserver les zones tampons dans la plantation d’Awala, incluant le campement en forêt durant plusieurs jours sous la pluie et le soleil, et a fourni des données précieuses sur la biodiversité.

Eric Bygodt, Directeur du service juridique, à LibrevilleA joué un rôle important avec Amandine Ogouebandja, en signant le contrat de prêt s’élevant à 228 millions USD pour la pre-mière phase des palmeraies d’Olam Palm Gabon. Le prêt a été obtenu auprès de BGFI, Afreximbank, EcoBank & BEDAC.

Henri Wora, magasinier à Awala (Kango)A montré une grande intégrité et est très impliqué dans son travail. Il a mis en oeuvre de manière rigoureuse de nou-velles pratiques pour les achats de carburants qui s’avèrent très économiques pour Olam.

Lauriane Guillemin, Communication à LibrevilleA accompli un énorme travail avec Gaëlle Dupuis, en améliorant la communication d’Olam avec les parties prenantes internes et externes.

Marie Paule Mazondomaya, équipe technique à MakokouApporte une motivation supplémentaire aux autres membres de l’équipe, ne ménage pas ses efforts et fait très atten-tion à ce qu’elle fait. Elle participe actuellement à l’aspect mécanique de notre nouvelle unité de production.

Parfait Edou, Informatique, Hévéa BU à BitamUn employé motivé, acceptant de travailler sur tout ce qui lui est confié. Il est passionné dans tout ce qu’il fait et son enthousiasme positif a été un exemple pour ses collègues.

Rock Ella, Superviseur de machines, GSEZ de NkokUn modèle de référence qui a rejoint Olam comme garçon de bureau, qui a montré de l’intérêt à apprendre tout en travaillant et supervise maintenant le parc de machines de location et contrôle la consommation de carburant. Per-sonne très dévouée et sincère.

Roselyne Chambrier, Conseiller technique à la Direction Générale, à LibrevilleA mené de manière rigoureuse différents projets à valeur ajoutée dans tout le pays.

Sasitharan Mathavan, Directeur de Palm à MouilaA fait preuve d’un leadership remarquable en développant la plantation de Mouila et en travaillant dans un

contexte défavorable, sans équipements, tout en mettant sur pied une équipe formidable.

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Nous sommes Olam Gabon ! OLAM Coms : En quoi consiste votre travail ? Fatoumata : Je suis chargée des questions sociales au sein de la division Hévéa. Avec les autres membres de mon équipe, nous nous rendons dans les villages situés à proximité de nos projets de plantations d’hévéas pour rencontrer les populations et leur expliquer comment la mise en œuvre de ces projets pourrait avoir un impact sur leur environnement. Mon objectif principal est d’informer les communautés sur le projet, de parvenir à une convergence de vues et d’obtenir leur adhésion. Elles le font habituellement après qu’un processus de Consentement Libre, Informé et Préalable (CLIP) ait été mené.

OLAM Coms : Comment décririez-vous une journée de travail type ?

Fatouma : Habituellement, je vais au bureau puis je me rends dans les villages. Je m’occupe de deux départements Bitam et Minvoul qui représentent au moins 32 villages. En principe je scinde mes déplacements en trois axes : un déplacement de Bitam à Okok, un second déplacement à Bikondom et un troisième à Volosso Ville. Cela me prend normalement deux jours pour effectuer un déplacement. C’est une communication à double sens. Notre équipe peut avoir d’importantes informations à faire partager, mais elles sont suivies par des discussions. Nous prenons le temps qu’il faut pour écouter toutes leurs demandes et tous leurs retours d’informations.

OLAM Coms : Avec combien de personnes communiquez-vous et qui sont-elles ?

Fatouma : 192 personnes… Les villageois ont élu des représentants et des porte-paroles. Dans chaque village, je communique avec le Chef de village, le comité consultatif, le comité de suivi (seule Bitam a un comité de suivi). Parfois, pour des communications importantes, nous les faisons à tous les habitants des villages. Toutes les fois que nous procédons à la validation d’un document officiel, nous rencontrons bien évidemment les Préfets et sous-préfets des départements, ainsi que les Présidents des Conseils départementaux. Ensuite, nous rendons compte à M. Pascal Mathieu Responsable de site à Bitam et à M. Olivier Desmet Responsable pour le développement durable et la certification.

OLAM Coms : Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre travail à Olam ?

Fatouma : Du fait que je parle avec les populations, j’en apprends beaucoup. J’essaie de m’adapter aux communautés… Mon travail me permet d’instaurer une meilleure compréhension mutuelle, nous essayons de répondre et faire tout ce que nous

pouvons afin de satisfaire les attentes des communautés locales, dans le cadre d’un engagement réciproque, tout en s’assurant qu’elles comprennent bien ce que la compagnie ne sera pas en mesure de leur apporter.

OLAM Coms : Que considérez-vous être votre plus grande réussite ?

Fatouma : Nous avons mené une procédure de Consentement Libre, Informé et Préalable (CLIP) pour l’octroi de 4 300 ha de terres à Olam Rubber. Nous avons travaillé dur depuis mai pour réussir notre mission et signer les contrats sociaux avec les autorités compétentes et les représentants des populations. La somme de travail a été telle que nous avons dû diviser les terres en petites parcelles et mener la procédure du CLIP pour chaque parcelle. Ceci explique pourquoi nous n’avons couvert que 4 300 hectares sur les 28 000 que constitue la

zone totale prévue pour les plantations.

OLAM Coms : Quels sont vos plus grands défis ?

Fatouma : Les p o p u l a t i o n s attendent beaucoup d’Olam, et parfois au-delà de ce qui est convenu dans le contrat social signé par les représentants

des communautés eux-mêmes. Les demandes peuvent concerner l’éclairage public, les routes, la fourniture d’électricité, les écoles et les dispensaires, et ce, sans tenir compte du plan et de la cartographie au niveau national. Nous devons parfois demander à des fonctionnaires du Ministère de la Santé ou de l’Éducation d’intervenir dans les discussions et les débats auxquels nous sommes confrontés dans les villages. Ils permettent de préciser que certaines demandes relèvent du domaine du gouvernement, et tout projet à caractère social ne peut être effectivement mis en œuvre que s’il respecte la cartographie scolaire et sanitaire au niveau national. Par conséquent, les fonctionnaires sont obligés de prendre d’autres dispositions, c’est ce qui explique pourquoi certains projets peuvent prendre du temps. Olam renforce les infrastructures de base, mais elle ne peut pas pleinement s’engager si les projets à caractère social ne sont pas en phase avec la cartographie nationale. Construire une école et un dispensaire là où des professeurs et des médecins manquent serait inefficace.

« Mon travail me permet d’instaurer une meilleure compréhension

mutuelle, nous essayons de répondre et faire tout ce que nous pouvons afin de satisfaire les attentes des

communautés locales, dans le cadre d’un engagement réciproque. »

À proximité de Mouila : Nina Koubahangoue, Communicatrice sociale pour Olam Palm, parlant à des villageois de Mutambe Sane Fumu

Communicateurs sociaux à Okok (près de Bitam)

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Arnaud OYIBA Agent des paiements à Libreville

Jérôme CASTAGNEDirecteur commercial, à Libreville, pour Olam Timber

Lionel MOUNGUENGUI Comptable à Libreville, pour Olam Palm

Caroline OZOUAKI Assistante des ressources humaines à Libreville, pour Olam Palm

Manish KUMARDirecteur financier à Bitam pour Olam Rubber

Laurielle AGHOZANOAssistante-comptable à Bitam, pour Olam Rubber

Nadège BEKALÉ Responsable des ressources

humaines à Libreville

Grazuella TOVIGNONAssistante des ressources humaines à Libreville

Gaëlle DUPUIS Directrice de la communication à Libreville

Hervé SCHILTDirecteur de site à Makokou

Iwan Dermawan DAMANIK Directeur des achats et de la logistique pour Olam Palm à Libreville

Keshab CHAUDHURI Responsable des achats à

Libreville

Muriel OUBEMBI MAGUENA Assistante logistique à Libreville

Ornela ONDENO Chargée des relations et des

partenariats, Guichet Unique de GSEZ, à Libreville

Andreï OLAGO MBOUMBAAgent I.T. à Libreville

L’équipe s’agrandit Au cours des trois derniers mois, 31 personnes nous ont rejoints à notre siège.

Linda AZIZE DEJAN Réceptionniste à Libreville

Herman KAMONOMONOCoordinateur général des projets agricoles à Libreville

Cindy GIRARD BOUCHARDAssistante des achats à Libreville pour Olam Palm

Laurence ANGUEAssistante-comptable à Libreville pour Olam Rubber

BIENVENUE À

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Chamika GUNASINGHEResponsable financier à Kango

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Yvette BIVIGOUChargée de la Communication externe à Libreville

Sumit PARAB Responsable administratif à Libreville

Pascal MATHIEUResponsable du site de Bitam pour Olam Rubber

René MENGHOME EYEGHEChef du personnel à Bitam pour Olam Rubber

Paola MEKUI BIYOGOCartographe à Libreville

Sumith FERNANDO Responsable financier à

Mouila pour Olam Palm

Sanjay SHRIVASTAVA Directeur marketing GSEZ à

Libreville

Sant Saran GUPTADirecteur de construction pour GSEZ à Nkok

Prashant REDKAR Assistance administrative à Libreville

Rodrigue MINTSA MENGUE Responsable IT des

infrastructures à Libreville

L’équipe s’agrandit

Félicitations à

Sandra Bayeni (Administration), Audrey Bipanda (Comptabilité), Alvine Ouatata (GFC), Marie Thérèse Nyangui (Administration) and Eva

Louembe (Olam Palm) pour la naissance de leurs enfants.

BIENVENUE À

Pour recevoir la lettre interne par voie électronique ou pour toute question ou information à partager, merci d’envoyer un e-mail à :

[email protected]

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Patrice LOBETDirecteur d’Olam Rubber à Bitam

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Photos du mois

Le Préfet de Mouila, M. Hervé P. Nguembe Diyembou, offre un présent au Directeur Général d’Olam au Gabon, M. Gagan Gupta, en reconnaissance des bénéfices apportés à Mouila par le projet Palm en cours.

Pendant ce temps-là à Bitam…

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