Guerlédan :c’est aussi des crêpes
Forges des Salles :un village sidérurgique
Golf de Bieuzy : le sport en pleine nature
n°3 - novembre • décembre 2014
Centre Bretagne :ça va rouler !
Pays de Loudéac et de Pontivy
S o c i é t é - C u l t u r e - E c o n o m i e - L o i s i r s - T o u r i s m e
et là...ici M a g a z i n e g r a t u i t d u C e n t r e B r e t a g n e
DEVENEZ PROPRIETAIRE de votre parcelle
Dans un écrin de verdurePARCELLES ET CHALETSEN TOUTE PROPRIETECessibles et transmissibles
Dans un cadre unique Sur le plus grand lac de Bretagne
Plage Bateau Pêche RandonnéeSki nautique...
Domaine de Guerlédan • Beau-Rivage en Caurel 22530 CAUREL 02 96 28 57 86 • 06 07 67 07 07 • [email protected] www.domainedeguerledan.fr
UN INVESTISSEMENTLOCATIFsûr et rentable
Ouvert à l’année
(1) Offre valable jusqu’au 29/11/14, exclusivement sur les produits signalés par une étiquette en magasin (hors promotions en cours). Voir conditions de livraison et d’installation en magasin. (2) Selon disponibilité en magasin.
monsieur-meuble.com
MARCO SERA TOUJOURS LÀ POUR VOUS TENDRE LES BRAS.
Salon d’angle contemporainavec têtières relevables, revêtu de cuir vachette fleur rectifiée pigmentée, tannage au chrome et de microfibre (100 % polyester). Piétement luge en alu. Structure en peuplier, sapin et multiplis. Suspension : sangles élastiques. Coussins : mousse polyuréthane. Densité : assise 32 kg/m3, dossier 22 kg/m3 avec garnissage de fibre acrylique (100 % polyester). L’angle 5 places, L276/217 x H75/96 x P104 cm : 2 890 € dont EP 11 €. Fabrication italienne.
VU ÀLA TV
2 890 € (1)OFFRE EXCLUSIVE
MARCO(2) Canapé d’angle en cuir
(1) Offre valable jusqu’au 29/11/14, exclusivement sur les produits signalés par une étiquette en magasin (hors promotions en cours). Voir conditions de livraison et d’installation en magasin. (2) Selon disponibilité en magasin.
monsieur-meuble.com
MARCO SERA TOUJOURS LÀ POUR VOUS TENDRE LES BRAS.
Salon d’angle contemporainavec têtières relevables, revêtu de cuir vachette fleur rectifiée pigmentée, tannage au chrome et de microfibre (100 % polyester). Piétement luge en alu. Structure en peuplier, sapin et multiplis. Suspension : sangles élastiques. Coussins : mousse polyuréthane. Densité : assise 32 kg/m3, dossier 22 kg/m3 avec garnissage de fibre acrylique (100 % polyester). L’angle 5 places, L276/217 x H75/96 x P104 cm : 2 890 € dont EP 11 €. Fabrication italienne.
VU ÀLA TV
2 890 € (1)OFFRE EXCLUSIVE
MARCO(2) Canapé d’angle en cuir
(1) Offre valable jusqu’au 29/11/14, exclusivement sur les produits signalés par une étiquette en magasin (hors promotions en cours). Voir conditions de livraison et d’installation en magasin. (2) Selon disponibilité en magasin.
monsieur-meuble.com
MARCO SERA TOUJOURS LÀ POUR VOUS TENDRE LES BRAS.
Salon d’angle contemporainavec têtières relevables, revêtu de cuir vachette fleur rectifiée pigmentée, tannage au chrome et de microfibre (100 % polyester). Piétement luge en alu. Structure en peuplier, sapin et multiplis. Suspension : sangles élastiques. Coussins : mousse polyuréthane. Densité : assise 32 kg/m3, dossier 22 kg/m3 avec garnissage de fibre acrylique (100 % polyester). L’angle 5 places, L276/217 x H75/96 x P104 cm : 2 890 € dont EP 11 €. Fabrication italienne.
VU ÀLA TV
2 890 € (1)OFFRE EXCLUSIVE
MARCO(2) Canapé d’angle en cuir
Pôle commercial duBlavet - 1, rue Mathurin-Onno(entre Mc’Do et Sport 2000)
PONTIVYwww.monsieur-meuble.com
����������� ��� ������� �������
B A T
Ordre : Annonceur : MEUBLES DE GUERLEDAN SARLCommercial Precom : Prochaine parution : 30/09/2014Point de chute : 562 UNE Couleur : Q Opérateur : Michele Macouin (tél:4302 fax:4552)Mise à dispo : 26/09/2014 16:43:19
1
Marie-Anne CHAUVEL (P85990)
2260348100
PONTIVYPôle commercial du Blavet
1, rue Mathurin Onno(entre McDonald’s et Sport 2000)
(1) Offre valable jusqu’au 29/11/14, exclusivement sur les produits signalés par une étiquette en magasin (hors promotions en cours). Voir conditions de livraison et d’installation en magasin. (2) Selon disponibilité en magasin.
monsieur-meuble.com
MARCO SERA TOUJOURS LÀ POUR VOUS TENDRE LES BRAS.
Salon d’angle contemporainavec têtières relevables, revêtu de cuir vachette fleur rectifiée pigmentée, tannage au chrome et de microfibre (100 % polyester). Piétement luge en alu. Structure en peuplier, sapin et multiplis. Suspension : sangles élastiques. Coussins : mousse polyuréthane. Densité : assise 32 kg/m3, dossier 22 kg/m3 avec garnissage de fibre acrylique (100 % polyester). L’angle 5 places, L276/217 x H75/96 x P104 cm : 2 890 € dont EP 11 €. Fabrication italienne.
VU ÀLA TV
2 890 € (1)OFFRE EXCLUSIVE
MARCO(2) Canapé d’angle en cuir
(1) Offre valable jusqu’au 29/11/14, exclusivement sur les produits signalés par une étiquette en magasin (hors promotions en cours). Voir conditions de livraison et d’installation en magasin. (2) Selon disponibilité en magasin.
monsieur-meuble.com
MARCO SERA TOUJOURS LÀ POUR VOUS TENDRE LES BRAS.
Salon d’angle contemporainavec têtières relevables, revêtu de cuir vachette fleur rectifiée pigmentée, tannage au chrome et de microfibre (100 % polyester). Piétement luge en alu. Structure en peuplier, sapin et multiplis. Suspension : sangles élastiques. Coussins : mousse polyuréthane. Densité : assise 32 kg/m3, dossier 22 kg/m3 avec garnissage de fibre acrylique (100 % polyester). L’angle 5 places, L276/217 x H75/96 x P104 cm : 2 890 € dont EP 11 €. Fabrication italienne.
VU ÀLA TV
2 890 € (1)OFFRE EXCLUSIVE
MARCO(2) Canapé d’angle en cuir
(1) Voir descriptif en magasin
D’Ici et de Là... et au-delà !Déjà deux mois depuis notre dernier numéro ! Concentrés sur nos deux pays, on n’a pas vu le temps filer. Diffusé désormais sur la totalité des pays de Pontivy et de Loudéac, Ici et Là passe en effet de 7 000 à 8 000 exemplaires. Nous éten-dons notre territoire sur cinq cantons supplémen-taires et vous offrons pour les fêtes, huit pages de plus en cadeau.Et dans ce grand et beau double pays, Ici et Là, c’est (un peu) comme une petite Rome : toutes les routes y conduisent. Surtout celles du Centre Bre-tagne... les nôtres. Celles que l’on partage avec vous et que nous empruntons avec un plaisir sans cesse renouvelé. Au point qu’on a le sentiment d’avoir visé juste en choisissant de ne faire qu’un des deux pays Pontivy-Loudéac.Parce que, nous en sommes convaincus, il existe bien, en vrai, le pays de notre magazine. Les gens d’Ici et ceux de Là constituent une véritable com-munauté. Ils se sentent bien dans ce bassin de vraie vie. Et nous aussi.Avec eux, on apprécierait donc que le réseau rou-tier qui irrigue ce beau pays soit entier. Que ses grosses artères, indispensables à une bonne cir-culation des énergies, vitale pour lui, soient enfin ouvertes. Pour aider à faire en sorte que le cœur de notre joli pays batte le plus rapidement possible au bon rythme ; pour favoriser l’alimentation du moteur en bonnes énergies, pour faciliter les belles rencontres entre les gens d’Ici et ceux de Là... notre dossier fait donc le point sur ce réseau et ses perspectives d’amélioration. En insistant sur l’importance de l’indispensable axe Triskell et de la RN 164. Sinon, comme d’habitude, Ici et Là vous raconte quelques belles histoires qui font de ce joli pays ce qu’il est. Un chouette pays !
La Rédaction
Ici et Là est une publication bimestrielle - Tirage : 8 000 exemplairesDirectrice de la publication : Christine Le Bourdonnec
Secrétariat d’édition : Daniel ThépautPhotographe : Michel Langle
Conception et réalisation : Idest Communication-Pontivy [email protected]
Iconographie : Fotolia Régie publicitaire : 07.87.36.05.64
N°ISSN : 2276-1934 Impression : Rotimpress
novembre • décembre 2014• Dossier : Les routes en Centre Bretagne (p. 5 à 8)• Économie : Prodiabio (p. 10-11) • Entreprise : La Crêperie de Guerlédan (p. 12-13)• Commune : La Chèze (p. 14-15)• Patrimoine : Les Forges des Salles (p. 16-17)• Sport : Golf de Rimaison (p. 18-19)• Cahier Spécial : Fêtes de fin d’année (p. 21 à 24)• Portrait : Nicolas Le Tutour (p. 26-27)• Agenda des loisirs (p. 28-29)• Loisirs : Festival du court-métrage (p. 30)• Gastronomie : Un menu de réveillon (p. 40-41)
et là...ici
Edito
Votre constructeur régional depuis 1986
A partir de : 107 800 e* A partir de : 96 100 e*
www.constructeur-maisons-blm22-56.fr
26, Avenue des Cités Unies 56300 Pontivy
Tél. 02 97 25 85 34 [email protected]
Rue Arthur Enaud 22600 Loudéac
Tél. 02 96 66 48 68
* version accueil sur vide sanitaire, hors terrain, branchements, adaptation au sol.
Rouler en Centre Bretagne :C’est pas encore tout à fait ça...
Dossier et là...ici
Au début des années 50, la situation de la Bretagne n’est guère brillante. La région est passée à côté du développement industriel et son agriculture demeure encore, pour l’essentiel, très traditionnelle. Surtout, déjà à l’écart des grands axes de communication, la péninsule bretonne est particulièrement en retard dans le domaine des infrastruc-tures routières. Si les routes existent, elles sont de très mauvaise qualité. Pour tenter d’enrayer un inévitable déclin, le tout nou-veau Comité d’études et de liaison des inté-rêts bretons (CELIB), va s’investir totalement dans le dossier routier breton. Certes, il ne sera pas entendu tout de suite mais dans les années 60, son influence commence à pe-ser sur les pouvoirs publics. Ainsi, à la suite des événements de mai 68, une délégation rencontre le Premier ministre qui est favo-rable au lancement d’un programme d’amé-lioration des routes bretonnes. Quelques mois plus tard le 2 février 1969, alors qu’il
est en visite à Quimper pour annoncer un référendum sur la régionalisation, le géné-ral de Gaulle confirme le lancement du Plan routier breton.
La main à la pocheDès le début des années 70, la Bretagne se couvre de chantiers routiers. Le programme prévoit de réaliser trois axes : au nord, une 2X2 voies reliant Rennes à Brest en passant par Saint-Brieuc et Morlaix ; au sud, un axe également en 2X2 voies pour relier Nantes à Quimper (et Brest), en passant par Lorient et Vannes ; enfin, un aménagement mais en trois voies seulement de l’axe de la Bretagne centrale reliant Rennes à Châteaulin en pas-sant par Loudéac, Rostrenen et Carhaix. Le programme est assurément ambitieux mais le financement pose toutefois rapidement problème. Pour la première fois en France, les collectivités vont mettre la main à la poche pour accélérer ce vaste chantier.
Un quart de siècle plus tard, au milieu des années 90, le Plan routier breton est tota-lement achevé. Enfin, pour les axes nord et sud. Car pour l’axe central, la fameuse RN 164, le compte n’y est pas, loin de là. Certes, le principe d’une « trois voies », par-ticulièrement dangereuse, a été abandonné et des portions de 2X2 voies ont été aména-gées. Aujourd’hui sur un total de 162 km, on en compte 98 km, soit 60 % de l’itinéraire.
N’empêche, depuis de nombreuses années, peu de chantiers ont été programmés. En décembre dernier, la signature du Pacte d’avenir entre le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, le préfet de Bretagne et le président du conseil régional, semble avoir débloqué la situation. La Région qui cofinance à hau-teur de 50 % ce réseau national, a claire-ment inscrit le dossier comme une priorité afin de favoriser le développement écono-mique du territoire et améliorer la sécurité
Qu’il s’agisse de la RN 164 ou de l’axe Triskell, le débat se cristallise toujours sur les portions qu’il reste encore à aménager en 2X2 voies. Lancé il y a près de 50 ans, c’était pourtant bien des voies express de ce type que prévoyait le Plan routier breton. Les automobilistes du Centre Bretagne sont particulièrement bien placés pour constater que l’objectif affiché de si longue date n’est toujours pas atteint.
5
et là...ici Dossier
6
Lorient
Vannes
Loudéac
Pourquoi les Bretons ne payent pas l’autoroute ?C’est un cliché encore très persistant. Si les Bretons ne payent pas l’autoroute, ils le doivent à Anne de Bre-tagne, qui aurait négocié ce privilège lors de son ma-riage avec le roi de France. Eh bien non… Si la légende a le mérite d’être belle, elle présente l’inconvénient d’être inexacte. C’est en fait au général de Gaulle que la région doit ce privilège. Une mesure qui doit égale-ment beaucoup au lobbying du Comité d’étude et de liaison des intérêts bretons (CELIB), qui rassemble des élus, des universitaires et des chefs d’entreprise.Dans les années 60, la Bretagne vit une révolution industrielle, agroalimentaire et agricole de grande ampleur mais demeure la seule région française à ne pas disposer d’autoroute. Le général de Gaulle promet donc un plan de désenclavement routier de la Bretagne avec un axe nord, un axe sud et un axe central pour compenser le caractère péninsulaire de la Bretagne. Le problème de la Bretagne n’est pas d’être éloignée de Paris, mais de ne pas être irriguée par les grands réseaux routiers européens. Incontestablement, il y a là un sérieux handicap. Pour le compenser, il est donc décidé que la concession autoroutière s’arrêtera aux portes de la Bretagne, au péage de La Gravelle.Il aura fallu 30 ans pour réaliser ce Plan, même si l’axe central n’est pas encore totalement achevé. Le réseau routier a certes rapproché la Bretagne de l’Europe mais il a également rapproché l’activité économique des voies express, entraînant un profond bouleversement des équilibres démographiques au sein même de toute la région.
Saint-Brieuc
vers Montauban-de-BretagnePontivy
vers Châteaulin
et le confort des usagers. Le trafic qui peut at-teindre 10 000 véhicules / jour, a augmenté de 20 % à 35 % au cours des dix dernières années, selon les secteurs. Des travaux sont en cours à Loudéac ou Saint-Méen-le-Grand et la concer-tation a été engagée pour les autres secteurs à aménager (lire p. 7).
Triskell à deux vitessesS’agissant de l’autre grand axe de circulation permettant un désenclavement de la Bre-tagne centrale, l’axe nord-sud baptisé Triskell, son aboutissement semble plus incertain et plus lointain. Aujourd’hui sur 170 km, 110 km ont été aménagés en 2X2 voies, soit 65 % de l’itinéraire. Mais d’un côté et de l’autre de la frontière départementale, il n’avance pas à la même vitesse (lire p. 8). Ici, c’est aux conseils généraux d’assurer le financement de la mise en 2X2 voies des routes départementales. Et force est de constater que s’agissant du Mor-bihan ou des Côtes-d’Armor, les choix bud-gétaires ne sont pas les mêmes. La situation pourrait néanmoins évoluer si la réforme ter-ritoriale, encore à l’état de projet confirme le transfert de la compétence «route» au conseil régional. Mais une chose au moins demeure certaine, en 2019, soit 50 ans après son lancement, le plan routier breton ne sera pas totalement achevé.
1 X 2 voies2 X 2 voies
Dossier et là...ici
7
RN 164 : « Le TGV de la Bretagne Centrale »De Châteaulin à Montauban-de-Bre-tagne, la RN 164 s’étire sur 162 km. Aujourd’hui, près de 100 km ont été aménagés en 2X2 voies. Il reste donc encore donc un peu plus de 60 km à réaliser. De Merdrignac à Goua-rec, quatre secteurs sont concernés dans le Centre Bretagne, soit tout de même plus de 30 km. « Il nous reste encore du chemin à par-courir et il faut aller plus vite, car le TGV pour la Bretagne Centrale, c’est la RN 164. » Prononcée par Gérard Lahellec, vice-président du conseil régional chargé des infrastructures, lors de l’inauguration d’une portion de 7 km de 2X2 voies à Saint-Ca-radec, en octobre 2011, cette phrase tra-duisait assurément la volonté de la région d’œuvrer au désenclavement routier du Centre Bretagne.
Aujourd’hui pourtant, cette route natio-nale qui s’étire sur plus de 160 km, entre Montauban-de-Bretagne et Châteaulin, ne compte encore que près de 100 km en 2X2 voies. Les optimistes feront valoir que les travaux en cours contribueront prochaine-ment à l’augmentation de cette proportion. C’est notamment le cas à Loudéac, où des travaux visant à doubler par le sud l’actuelle déviation nord de la ville, ont été engagés en 2007. Réalisée en deux phases, cette opéra-tion dont le coût avoisine 21 M€, permet-tra aux automobilistes de bénéficier d’une nouvelle portion d’un peu plus de 4 km de 2X2 voies. Si le calendrier prévisionnel est respecté, elle devrait être mise en service à la fin de l’année 2015. Mais force est de reconnaître que le compte n’y sera toujours pas. D’est en ouest, de Merdrignac à Gouarec, en passant par Plé-met, trois tronçons restent encore à réaliser, soit tout de même près de 30 km, dans cette partie du Centre Bretagne.
Merdrignac et Plémet à l’horizon 2020Dans le secteur de Merdrignac, la mise à 2x2 voies concerne deux portions, situées de part et d’autre de la déviation de Merdri-gnac : à l’ouest la « Liaison Croix du Taloir-Merdrignac », longue de 4 km et à l’est la liaison « Merdrignac-Les Trois Moineaux », longue de 5 km. Pour faire le point sur
l’avancement du projet, un comité de suivi regroupant les représentants de l’État et du conseil régional de Bretagne, s’est réuni à Merdrignac, au mois de juin dernier. Ici, la phase de concertation publique devrait dé-marrer en janvier 2015. Du côté de Plémet la mise à 2x2 voies de la RN 164 permettra de faire la jonction entre deux sections déjà aménagées : « Loudéac-La Prénessaye », à l’ouest et « La Lande aux Chiens », sur la commune de Laurenan, à l’est, soit un linéraire d’environ 8 km. Lors d’une réunion publique qui s’est tenue au mois de juin dernier, trois variantes ont été proposées : une variante « d’aménage-ment sur place » qui consiste à élargir d’un côté ou d’un autre, la route actuelle ; une variante « proche » et une variante « éloi-gnée ».
D’un coût moins élevé (54 M€, contre plus de 60 M€ pour les deux autres), la première variante présente l’avantage d’un moindre impact sur le monde agricole et les milieux naturels. Le choix de la variante sera débat-tu lors d’un comité de suivi programmé pour ce mois de novembre.
Mûr-de-Bretagne devra encore patienterEnfin, dans le secteur de Mûr-de-Bretagne, il s’agit d’assurer une continuité entre la déviation de Saint-Caradec, depuis le lieu-dit Colmain à l’est, jusqu’à la déviation de Gouarec-Saint-Gelven à l’ouest. Située sur
les communes de Caurel, Mûr-de-Bretagne, Saint-Guen et Saint-Caradec, l’opération consiste en l’aménagement en 2 x 2 voies sur un linéaire de 11 km.
Une concertation a été engagée et une réu-nion publique s’est tenue au mois de juin dernier. Trois variantes y ont été proposées. Une variante « aménagement sur place », assez proche du tracé historiquement envi-sagé et qui recherche la réutilisation maxi-male de la chaussée existante, par élargisse-ment lorsque cela est possible ; une variante nord et une variante sud. Là encore, c’est la première variante qui semble présenter le plus d’avantages. Mais ici, la complexité technique du chantier risque d’étirer le ca-lendrier.
Pour chaque tronçon, à partir du lancement de la concertation publique, un délai de six à huit ans est nécessaire pour la mise en service du nouveau tronçon routier. Pour les secteurs de Merdrignac et de Plémet, elle pourrait être effective à l’horizon 2020. Pour celui de Mûr-de-Bretagne, il faudra en revanche être plus patient.
Sur 162 km, 98 km ont été aménagés en 2X2 voies, soit 60 % de l’itinéraire
et là...ici Dossier
8
Sur 170 km, 110 km ont été aménagés en 2X2 voies, soit 65 % de l’itinéraire
Dans le Morbihan, ce projet de développe-ment du réseau routier est clairement affi-ché comme une priorité. Mais le chantier est d’envergure. Si près de 75 km ont déjà été aménagés en 2X2 voies, il en reste tout de même encore plus de 40 km à accomplir. Et le coût est loin d’être anodin puisqu’il est estimé à plus de 150 M€ par les ser-vices du département. Quoi qu’il en soit, des chantiers ont été engagés et d’autres le seront prochainement, notamment sur la partie reliant Pontivy à Vannes.
Pas de calendrier D’ici quelques mois, une nouvelle portion de 2X2 voies, d’une longueur de 8 km, sera ainsi ouverte à la circulation dans le sec-teur de Colpo. Engagé il y a un peu plus d’un an et demi, le projet vise à doubler
la RD 767, entre l’échangeur de Collec et celui de Colpo. L’ouverture à la circulation est prévue pour le mois de novembre. Alors que ce chantier n’est pas encore achevé, l’aménagement de la déviation de Loc-miné, ainsi que la partie comprise entre Silviac et Locminé, sur un linéaire total de près de 12 km sont déjà engagés pour un coût total estimé à 30 M€. Pour les por-tions restantes, les programmes de double-ment de la route départementale en sont encore au stade de l’avant-projet. Et c’est également le cas pour la partie de RD 768 comprise entre Pontivy et Pluméliau, d’une longueur d’environ 8 km.Dans les Côtes-d’Armor en revanche, l’axe Triskell semble aujourd’hui bien loin des préoccupations des élus départementaux. Sur la quarantaine de kilomètres qui sé-
parent Loudéac de Saint-Brieuc, la moitié seulement est aujourd’hui aménagée en 2X2 voies. Si la partie située entre Plaintel et L’Hermitage semble la plus compliquée à aménager, celles de la région d’Uzel et de l’entrée de Loudéac, le sont en revanche beaucoup moins. Pendant un moment, une mise à trois voies avait été envisagée. Mais devant la levée de bouclier des élus du Centre Bretagne, elle a finalement été abandonnée. Reste que depuis, si la réali-sation d’une portion de 2,5 km a bien été évoquée, le dossier semble globalement remisé au rayon des douces utopies. Loca-lement, si les élus pointent régulièrement du doigt « des promesses qui n’ont pas été tenues », personne ne s’aventure à évoquer un calendrier prévisionnel pour l’achèvement de l’axe Triskell.
Axe Triskell :Un programme à deux vitesses
L’axe Triskell, du nom du symbole celtique à trois branches, c’est la future voie rapide qui doit relier Saint-Brieuc à Lorient et Vannes, en passant par Loudéac et Pontivy. Sur un total de 170 km, il reste encore 60 km à réaliser en 2X2 voies : une quarantaine dans le Morbihan et une vingtaine dans les Côtes-d’Armor.
Depuis maintenant plusieurs décennies, ils sont nombreux à militer pour la réalisation d’un axe structurant reliant le nord et le sud de la Bretagne et plus particulièrement Saint-Brieuc à Lorient et Vannes. À l’exception d’une portion d’une trentaine de kilomètre, (la route nationale 24 entre Baud et Lorient et dont l’État est propriétaire), cet axe Triskell est exclusivement composé de routes départementales : la RD 700, entre Saint-Brieuc et Loudéac ; la RD 768 entre Pontivy et Baud ; la RD 767 entre Pontivy et Vannes. C’est donc aux départements des Côtes-d’Armor et du Morbi-han, qu’il appartient d’engager ces travaux essentiels au désenclavement du Centre Bretagne. Si tous s’accordent sur cette nécessité, la volonté ne semble pourtant pas to-talement partagée, des deux côtés de la « frontière » dé-partementale.
9
E M B A R Q U E M E N T I M M E D I A T !
7 rue du Caire • 56300 [email protected] Le Missyl
...partenaire de vos nuits étoilées
85, rue Nationale56300 Pontivy
Tél. 02.97.25.97.30www.cmb.fr
ZAC St Niel - 56300 PONTIVY - Tél : 02 97 25 43 44
C’est une évidence. En France, entre le monde de l’enseignement et son homologue de l’industrie, les relations oscillent souvent entre indifférence et ignorance. Dans le Centre Bretagne pourtant, depuis maintenant près d’une décennie, une structure tente de créer des liens de plus en plus étroits entre l’un et l’autre. Et si on comptabilise une quarantaine de « tisseuses de liens » sur l’ensemble du territoire national, celle de Pontivy est bien la seule de Bretagne. Son nom : Prodiabio, «pro» pour procédés, «dia» pour diagnostics environnementaux et «bio» pour bio ressources.
Née en 2005, cette structure regroupe quatre partenaires : l’antenne pontivyenne de l’IUT de Lorient (dans lequel est installé le siège de Prodiabio), les lycées du Gros-Chêne et Jeanne-d’Arc-Saint-Ivy, à Pontivy et le lycée Fulgence-Bienvenüe, à Loudéac. « L’objectif est de proposer aux entreprises locales, majoritairement des PME et des TPE, l’accès aux équipements et au savoir-faire des plateaux techniques des
quatre établissements qui composent la plate-forme », explique Servanne Roze, coordinatrice de la structure depuis 2010.
Interventions à la carteForcément, les domaines d’intervention sont à l’image du bassin d’emploi essentiellement tourné vers l’agroalimentaire. Ils s’étendent néanmoins de la maintenance et de l’automatisation à la création culinaire en passant par le génie chimique ou encore le génie des procédés.
Désormais épaulée par Nicolas Hachet, ingénieur en recherche et développement, Servanne Roze joue le rôle d’intermédiaire entre les établissements d’enseignement supérieur et les entreprises. Entre les demandes de ces dernières qui souhaitent développer de nouveaux procédés de fabrication ou de traitement des effluents et les compétences des chercheurs, des enseignants et des étudiants. Mais attention, pas question de proposer aux entreprises un catalogue de prestations standardisées
et normalisées. Ici, aucun un projet ne ressemble à un autre. C’est d’ailleurs ce qui fait la spécificité de la structure, certes petite, mais aussi particulièrement réactive.Concrètement, Prodiabio propose trois types d’interventions aux entreprises. La première, effectuée à titre gracieux, peut se limiter à la recherche d’informations ponctuelles, une mise en réseau, une représentation de l’entreprise sur des salons ou encore une petite expérimentation visant à déterminer la faisabilité d’un projet.
La seconde est directement pilotée par l’ingénieur en recherche et développement de Prodiabio. En fonction des demandes de l’entreprise, un devis gratuit est d’abord établi. S’il est accepté, le projet est monté en lien étroit avec l’entreprise jusqu’à sa validation. À noter que cette formule est éligible au crédit impôt-recherche. Enfin, un troisième type d’intervention permet d’impliquer directement les étudiants. C’est lui qui prend en charge, tout ou partie du projet en lien étroit avec l’entreprise, sous la
Axée sur l’innovation et le transfert de technologie, la plate-forme Prodiabio contribue au rapprochement du monde de l’enseignement et de celui de l’industrie. Et depuis son installation dans les locaux de l’IUT de Pontivy, au milieu des années 2000, elle affiche des résultats concrets très encourageants.
et là...ici Economie
1010
Prodiabio : La rencontre de l’école et de l’industrie
11
forme d’un tutorat, d’un stage ou encore d’un contrat d’alternance.
Chaque projet étant original, quelles que soient les solutions retenues par l’entreprise, l’adaptation doit être permanente. Résultat, la plate-forme Prodiabio peut aussi bien travailler avec un industriel de l’agroalimentaire qui souhaite développer une nouvelle gamme de produits à commercialiser qu’avec une petite entreprise qui entend mettre en oeuvre un procédé de valorisation des déchets qu’elle produit.
56 projets innovantsdéveloppés en 2013Si les débuts ont forcément été un peu hésitants, la plate-forme a, depuis quelques années déjà, trouvé son rythme de croisière. En 2012 et 2013, une trentaine d’entreprises avaient fait appel aux services de Prodiabio qui avait alors développé plus de quarante projets innovants. L’an passé, l’activité est encore montée d’un palier puisque 56 projets ont été développés au profit de 37 entreprises. « Pour cette année 2014, la tendance devrait être équivalente », se réjouit Servanne Roze.
Ce développement de l’activité n’est bien évidemment pas sans conséquences sur les finances d’une structure qui compte deux salariés à plein temps. Pour autant le budget demeure encore majoritairement abondé par les subventions de la région Bretagne, celles des conseils généraux des Côtes d’Armor et du Morbihan ainsi que des deux communautés de communes : la Cidéral et Pontivy Communauté. Sur un budget annuel de 150 000 €, la part du financement des collectivités territoriales atteint 60%. « La proportion du budget provenant de nos activités propres est
en constante augmentation et notre objectif est d’atteindre les 50% », précise la coordinatrice.
Faire connaître le savoir-fairePour tenter d’y parvenir, et même si les professionnels sont de plus en plus nombreux à faire appel aux services des cette plate-forme de transfert de technologie, les responsables savent qu’ils vont devoir combler un réel déficit de communication. « Nous avons un réel savoir-faire mais nous devons aussi travailler pour le faire savoir », assure Servanne Roze, convaincue que le bassin d’emploi recèle un véritable potentiel. Et il est indéniable que le Centre Bretagne ne manque pas d’entreprises souhaitant innover pour se développer.
Associations
Agence Idest - 54 rue du Général de Gaulle - 56300 PONTIVY - 07 87 36 05 64 [email protected]
Particuliers
L i s t e d e s R u e s
Adresses Utiles27 Aire de Camping Car J625 Arboretum J401 Bibliothèque municipale K602 Centre Socio-culturel J403 Chapelle N D d’Yron I603 Prieuré N D d’Yron I622 Cimetière K523 Nouveau Collège K304 Collège François Rabelais J505 Ecole maternelle J. Prévert K406 Ecole Notre Dame d’Yron K507 Eglise Saint-Georges K408 Accès SNCF L626 Maison des Services Publics L609 Gendarmerie J610 Groupe Scolaire S. Pitard K511 Gymnase - Complexe Sportif J312 Hôtel de Ville J518 La Poste J513 Maison de Retraite I614 OfficedeTourisme J415 Parc de Loisirs J316 Parc Emile Zola J429 Passerelle J428 Piscine K217 Pompiers J424 Plateau Multi-Sports J424 Skate Parc J419 Tennis K320 TerraindeMobCross K6/721 Parcd’ActivitésSaintSéverin M6/7
MAIRIE1, Place Gambetta
02 37 98 53 18www.cloyes-sur-le-loir.com
Maison des Services Publics1, Place Gambetta
02 37 98 65 80
Bibliothèque Municipale40, rue Jean Chauveau
02 37 98 44 67
OfficeduTourisme23 rue Nationale02 37 98 55 27
www.ot-cloyes.com
La Poste1, place Gambetta
02 37 44 52 80
Plande VillePratique&Touristique
Edition 2009
Numéros UtilesPompiers 18(d’unfixe) 119(d’unportable)SAMU 15Gendarmerie 17 ou 02 37 98 65 06Sida Info Service 0800 23 13 13EDF 0801 28 48 68GDF 0801 28 27 26 Centre Anti-Poison 02 41 48 21 21
Acacias rue des H5Argent rue Charles d’ I5Bas de Romainville chemin du A3 I4Bel Air chemin de K6 L7Bois de la Roche impasse du H3 I3Bouche d’Aigre rue de L6 7Boussa rue du Colonel I6 J6Bouville rue de K5Brèche venelle de la J4Brou rue de J5Brune cité Charles J6Chanzy place K4Chartraine rue K3 5Châteaudun rue de J4Chatonnerie chemin de la I4Chauveau rue Jean J5 K6Chesneraie rue de la HI5
Courtalain rue de I3 4Croisés rue des Petits K4Dix-Neuf Mars 1962 rue du K4Dix-Neuf Mars 1962 place du L6Droué route de C4 I5Fossés rue des K4Français Libres rue des K5Galoire route de la J6 K7Gambetta place J4 5Ganne impasse K4Gourmond rue J5Haut des Rovarières chemin du K5 L3Hervé rue Yves K4 L3Huit Mai 1945 rue du J5 K5Isambert rue Victorien J5Jars chemin du I3Legrand rue Auguste K4Longères chemin des I3 I4
Montigny route de K2 4Montgreffier rue I5Nationale rue J5Onze Novembre avenue du K5 6Péan rue K5Péguy rue Charles I5Piscine chemin de la J3Pohu rue Alexis L3Ponceaux impasse des K3Prévert rue Jacques K4 Prieuré rue du I6Proust impasse Marcel I4Quatre Vents rue des I5Roche imp. du Bois de la H3 I3Romilly route de L6 M6Saint-Georges rue K4Saint Lubin ruelle J5
Saint Michel résidence J5Saint Michel rue I5 J5Saint Séverin lotissement KL5Sanitas chemin du I3 4Sources chemin des I6Taupineau cité H3 I3Temple rue du J4Terrauderie rue de la I4Teyssier imp. du Dr J7Teyssier rue du Dr J5 J9 Torrent impasse du J5Torrent rue du J5Vendôme résidence J6Vert Côteau rue du HI5Vieux Moulin rue du H5Vignes rue des J7Vivier rue du K5
SEMAINE DE LA
MUSIQUE
Le Conseil général d’Eure-et-Loir et Cinq sur Cinq présentent la
www.eurelien.fr
www.
abel
lya.fr
Conservatoire de l’agriculture - COMPA à ChartresStationnement prévu pour les visiteurs
Château de Maintenon
Par le train :Gare de Maintenon sur la ligne Paris-Montparnasse / Chartres.
Par la route :Venant de Paris : Par l’A13 (pont de Saint-Cloud), suivre l’A12 Rambouillet, puis la N10 Rambouillet. Passer les 4 sorties de Rambouillet, prendre la sortie Orphin-Epernon. Suivre Epernon, puis Maintenon. Par l’A11 (pont de Sèvres), sortie 10 Ablis, puis N10 direction Chartres.Suivre Saint-Symphorien-le-Château, Gallardon puis Maintenon.
Venant du Mans :Par l’A11, quitter l’autoroute à la sortie Thivars, contourner Chartres, suivre direction Dreux puis rejoindre Maintenon par la D906.
Venant de Tours :Par l’A10, quitter l’autoroute à la sortie Allainville, direction Ablis, suivre Chartres puisGallardon et Maintenon.
EDITO En lien avec le travail de valorisation et de sensibilisation mené dans le domaine de la musique et à l’échelle du territoire (Schéma départemental de développement de l’ensei-gnement musical, dispositif « Musique à l’école »…), le Conseil général d’Eure-et-Loir et Cinq sur Cinq vous présentent la deuxième édition de la Semaine de la Musique. Composé de temps d’écoute mais aussi d’initiations ouverts à tous, le rendez-vous annuel dédié à la célébration de la musique laisse place aux jeunes talents comme aux artistes les plus confirmés.Avec près de 5500 visiteurs et spectateurs lors de la première édition, la Semaine de la Musique est avant tout un moment festif à partager en famille et entre amis, entièrement gratuit. Comme l’an passé, la programmation 2009 se veut variée et éclectique pour satis-faire aux goûts de chacun mais aussi faire découvrir des talents originaux.La Semaine de la Musique 2009 propose du 17 au 21 juin, en journée et en soirée, des concerts et animations autour des musiques du monde, de la musique classique (lyrique et orchestrale), des musiques actuelles (pop, rock, electro et autres musiques amplifiées) ou encore de la chanson. La manifestation se déroule du mercredi au dimanche sur le site du COMPA et s’installe au château de Maintenon pour le concert du samedi soir.Cette soirée est marquée par la venue de grands noms de la musique représentants de différents registres, l’occasion de rencontres entre plusieurs artistes talentueux dont la complicité et la générosité sont indéniables sur scène.Autant d’occasions de vivre pleinement la musique !
Albéric de Montgolfier Président du Conseil général d’Eure-et-Loir
ACCES
INFOS PRATIQUES
LES ANIMATIONSPOUR LES SCOLAIRES
Mercredi 17 juin
Ateliers d’initiation à la musique klezmer, compagnie Tour de Babel, 14h-16h /16h -18h, (pour musiciens ayant 2 à 3 ans de pratique minimum)Conservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres
Jeudi 18 juin
Concerts pédagogiques « Musique de danse au temps de Louis XIV », compagnie Euréliades, 10h et 14h, durée 1h (pour cycle III) Esplanade du COMPA à Chartres
Ateliers « Découverte des instruments », 10h-16h, durée 1h (pour cycle I et II) 2 séances le matin, 2 séances l’après-midiConservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres
Vendredi 19 juin
Ateliers Mix, association Les Bouchers doubles, durée 2h (pour collèges, lycées et Maisons pour Tous)Conservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres
10h/14h « Musique de danse au temps de Louis XIV », concert pédagogique - Esplanade du COMPA à CHARTRES
10h/11h/14h/15h « Découverte des instruments », atelier Au COMPA à CHARTRES
18h Le clavecin, de la facture à l’interprétation - Archives départemen-tales d’Eure-et-Loir à CHARTRES
20h30 Soirée Mozart, par le Grand Choeur du Conservatoire de Chartres et l’orchestre Les Violons Virtuoses - Esplanade du COMPA à
CHARTRES
Jeudi 18 juin
9h30/13h30/17h Ateliers Mix - Au COMPA à CHARTRES
dès 19h Scènes musiques actuelles : Va T’en Chez Moi / GRISBI / TheAnt / TAHITI 80 - Esplanade du COMPA à CHARTRES
Vendredi 19 juin
14h30 Concerts des écoles de musique d’Eure-et-Loir Esplanade du COMPA à CHARTRES
20h30 ANAÏS invite Jeanne Cherhal, Juliette, Gonzales et Florence Foresti - Château de MAINTENON
Samedi 20 juin
16h30 ROCK EN STOCK par les chorales Voix-si, Voix-la et le Chœur des Loups - Esplanade du COMPA à CHARTRES
Dimanche 21 juin
Programme14h/16h - « Initiation à la musique klezmer », atelier Au COMPA à CHARTRES
16h - 18h45 Premières Pressions, jeunes groupes amateurs du département - Esplanade du COMPA à CHARTRES
20h FAREN KHAN, concert de musique klezmer avec la participation des stagiaires de la journée - Esplanade du COMPA à CHARTRES
Mercredi 17 juin
Réservations ateliers scolaires : Conservatoire de l’agriculture - COMPA
02 37 84 15 00
Covoiturez malin sur www.eurelien.fr/covoiturage
Restauration rapide sur les deux sites
Pour plus d’infoswww.eurelien.fr/semainedelamusique
entrée gratuite du 17 au 21 juin 2009
Animations pour les scolaires
Concerts
Les Bouleaux28290 ARROU
Tél : 02.37.97.01.95Fax : 02.37.97.09.03
Nous apportons un soin tout particulier à la confection de nos produits (Charcuterie Traditionnelle).
Tous nos transports se font en camionréfrigéré et nous mettons à votre dispositiondes remorques réfrigérées pour vos buffets.
N ’hésitez pas à nous contacter pour vos mariages, communions,
fêtes de famille, comités d’entreprises, repas d’associations, banquets ...
Garnitures de Légumes
CèpesChampignons de ParisChampignons farcis, Courgettes à ma façonCressonEndives braiséesFagots de haricots vertsFeuilleté d’épinardsFlan aux légumesGirollesGratin DauphinoisGratin de CourgettesMorillesPleurottesPommes aux airellesPommes de terre boulangèresPommes DuchessesPurée de Céleri
Riz créoleSoufflé aux trois puréesTimbale de riz trois couleursTomate farcie aux petits oignons glacés
Tomate Provençale
Desserts MaisonBûche de Noël aux fruits ou au chocolatCrème brûléeFondant au chocolat et sa crème anglaiseFruitier (fraise, framboise, mandarine, ananas)Galette des RoisGâteau au chocolatMousse au chocolatNougat glacé sur son coulis de framboisesPoire chocolatProfiteroles au chocolatSuprême au chocolatRomano (gâteau au chocolat et griottes)Salade de fruitsTartes (abricots, citron, fraises, pommes, coco, poire-amande...)Sorbets
Fontaine de Champagne
Les Bouleaux28290 ARROU
Tél : 02.37.97.01.95 Fax : [email protected]
Pour tous renseignements, n’hésitez pas à contacter l’accueil au 02 37 44 00 85
Au coeur de la ville, plus proche de vous et imaginé pour vous
30, rue Jean-Chauveau - 28220 Cloyes-sur-le-Loir 02 37 44 00 85
Foyer Résidence
Maurice Dousset
Au coeur de la Ville
L’Espace Maurice Dousset
c’est aussi :
Un centre de loisirs
Une Médiathèque
Des salles associatives
Les Petites Canailles : un espace de plus de 560 m2 réservé aux enfants de 3 à 12 ans. Les résidents du foyer peuvent participer bénévolement au Ludo-cartable, à une aide aux devoirs ou aux activités si ils le souhaitent.
Avec une collection de plus de 10000 documents (livres, CD, CD ROM, DVD et périodiques sur plus de 400 m2.Ouverte au public du lundi au samedi
Des salles à la disposition des associations cloysiennes. Elles y développent leurs activités et proposent des animations ouvertes à tous, y compris aux résidents.
Des servicesà la carte
SécuritéAccessibilité
Une présencequotidienne
ConfortCadre de vie
Foyer Résidence
Maurice Dousset
Un espace où il fait bon vivre
Des professionnels de santé
Installés dans l’espace Mau-rice Dousset, de nombreux professionnels de santé sont à votre service (infir-miers, podologue, ostéo-pathe, nutritionniste, etc...)
Accueil du public : Lundi
de 14h à 18hdu Mardi au Jeudi
de 9h à 12h et de 14h à 18hVendredi
de 9h à 12h et de 14h à 17h30Samedi
de 9h à 12hou sur rendez-vous
Prestationsincluses
• Nombreuses associations
sportives et culturelles
• A 400mde la gare
• Professionnels de santé sur place
• Arrêts de transports
(Transbeauce, TER Centre)
• Commerces et services à 100m
• A proximité du Centre nautique
Cloyes-sur-le-Loir
ides
t 06
66 3
0 05
02
Entreprises Associations
Bulletins
Rédactionnel
Dépliants
Tracts
Affiches
CommunicationAgence de Conseil en Communication
Id’Est
Logos
CollectivitésPontivy
Chem
ins de Randonnées
Arrou Autheuil Boisgasson Charray
Cloyes-sur-le-Loir Châtillon-en-Dunois
Courtalain Douy Langey
La Ferté-Villeneuil Le Mée
Montigny-le-Gannelon Romilly-sur-Aigre
Saint-Hilaire-sur-Yerre Saint-Pellerin
Carnet de Route
Quinze communes composent à la foisle Canton de Cloyes sur le Loir
et la Communauté de Communes des Trois Rivières :
Le Loir, L’Aigre, L’Yerre.
Le Loir prend sa source à Saint Eman à 2 km environ au Nord d’Illiers Combray. Sa longueur totale est de320 km. C’est un espace de rencontre entre la Beauce et le Perche. Ce cours d’eau est une rivière de plaineà larges méandres, pente faible et écoulement lent. Le Loir atteint une largeur de 20 m.
L’Aigre prend sa source dans le Nord Est du Loir-et-Cher, à Tripleville puis traverse le Sud de l’Eure & Loirpour aller se jeter en rive gauche du Loir à Bouche d’Aigre (commune de Romilly-sur-Aigre) après un“parcours” de 20 km.
L’Yerre, affluent qui se jette en rive droite du Loir, descend du massif collinaire qui sépare le bassin del’Huisne de celui du Loir, vers l’est. Ce cours d’eau coule régulièrement sur un parcours de 30 km.
Ces quinze communes, intégrant la verdoyante Vallée du Loir située au sud du Perche et de la Beauce, représentent une superficie de 264 km2 occupée
par un patrimoine bâti qui témoigne de l’importance historique de la Région.
A deux heures de Paris, l’ensemble de ce territoire comporte de nombreuses églises renfermant souvent desoriginalités comme des fresques romanes un mobilier particulier, (un tabernacle pivotant, un banc d’œuvre)ou encore une fontaine, mais également un moulin à eau, un cadran solaire…
Et aux détours des rivières s’élèvent des demeures plus imposantes notamment le château de Montigny leGannelon surplombant le Loir, qui possède de magnifiques salons meublés agrémentés de collectionsde tableaux.
Com
mun
auté
de
Com
mun
es d
es T
rois
Riv
ière
sC
arne
t de
Rou
te d
es C
hem
ins
de R
ando
nnée
s
Communauté de Communes des Trois Rivières
La Charte du promeneur Ces circuits empruntent des routes et des chemins du domaine publictraversant des propriétés privées. Ils peuvent être fréquentés par tous
types de promeneurs (marcheurs, cyclistes, cavaliers). À ce titre, nous vous invitons à suivre les conseils suivants :
- En vélo, ralentissez à l’approche d’autres usagers et avertissezde votre arrivée dans les zones sans visibilité.
- Respectez la nature et la propriété privée.- Ne jetez pas vos déchets.
- Évitez de fréquenter les circuits en période de chasse.- Soyez prudents aux croisements routiers.
- Tenez vos chiens en laisse.
CHATEAUDUN
Fete medievale
Informations Office du Tourisme 02 37 45 22 46
6 - 7 - 8Juillet 2 0 1 2
17e edition,
idest
06
66 3
0 05
02
Romillysur Aigre
Phot
os :
Julie
n Da
mer
on -
Text
e co
llect
if - C
réat
ion
: Ide
st
L’ARBORETUML’arboretum a été inauguré le 7 juin 1997, réalisé dans le cadre du Fonds de Gestion de l’Espace Rural et initié par les agriculteurs du village. Il faisait partie d’un projet plus global de création et d’aménagement de chemins de randonnée.
Cette réalisation a mobilisé spontanément les habitants du village, les enfants du regroupement pédago-gique, les enseignants qui ont axé leur travail sur l’écologie, les arbres, les plantes, la préservation et la connaissance de la nature. La plantation de cet arboretum, sur l’ancien terrain de football désaffecté, fut l’aboutissement de ce travail. Chaque participant a adopté l’un des 226 arbres plantés appartenant à 89 espèces différentes. Chaque essence est identifiée par une plaque. Ce projet, qui contribue à familiariser le public avec les différentes espèces d’arbres, s’inscrit dans une logique de développement durable puisqu’il répond déjà à quatre des cinq finalités mises en avant dans les textes fondateurs du développement durable :1. la lutte contre le changement climatique,2. la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources,3. la cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations,4. l’épanouissement de tous les êtres humains,5. une dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation respon-sables.
En effet, les arbres sont depuis toujours importants pour l’Homme : source d’alimentation, bois de chauf-fage, matériau pour les objets usuels et la construction, mais aussi élément de paysage et de cadre de vie. Ils trouvent maintenant d’autres intérêts encore, pour la préservation de la qualité de l’air et de l’eau et pour la préservation de la biodiversité.
Au cours de votre balade dans l’arboretum, vous allez découvrir, en fonction des saisons, les fleurs et baies des arbres et arbustes qui le constituent (quelques exemples spécifiques sont illustrés sur ce panneau). Elles offrent aux oiseaux un précieux garde-manger, du nectar pour les abeilles et un attrait pour les pa-pillons et les insectes. Respectez cet environnement ! Observez, touchez, sentez mais ne cueillez pas. L’arboretum est ouvert à tous, piétons uniquement !!! Merci de ne pas abandonner vos déchets. Une poubelle à l’entrée du terrain est à votre disposition.
« J’ai connu le plus pauvre des déshérités, celui pour qui l’arbre n’est rien ». Jean Giono.
BaguenaudierFaux acacia
Cerisier tardif
ErableRobinier
Buddleia
Aulne à feuille en coeur Alisier torminalRosier rugeux
Cornouillier sanguin
Poursuivez votre exploration du Parcours Nature en vous rendant au square Houmaire (vers le pont) ou sur la place des Marronniers, où vous trouverez un pupitre présen-tant le cheminement à emprunter pour découvrir la faune et la flore caractéristiques des bords de ri-vière et des plateaux. A découvrir à 4 km l’arboretum de Cloyes-sur-le-Loir et à 20 km l’éco-musée de la Haie à Châtillon-en-Dunois.
Chaque année, Prodiabio accompagne de nombreuses entreprises pour leur recherche et leur développement.
Un Ariégeois dans la galette ! Personne n’aurait misé une piécette... Et sans doute pas le jeune étudiant qui débarque à Nantes, au milieu des années 70, afin de poursuivre des études d’ingénieur dans l’agroalimentaire. Un stage effectué à l’usine Gélagri de Loudéac va pourtant changer le cours de sa vie. À l’issue de celui-ci, Marc Rodzko est en effet embauché comme chef de production dans une entreprise qui est alors en pleine phase de démarrage. Un travail et bientôt un mariage avec une Plessalienne et il adopte définitivement la région du Centre Bretagne. Fidèle pendant deux décennies à l’entreprise où il a débuté sa carrière professionnelle, il décide toutefois de la quitter à l’aube des années 2000. « J’ai toujours voulu faire quelque chose de personnel et à 40 ans passé, il était grand temps », se souvient-il. Et le nouvel entrepreneur n’a
guère de mal à trouver le secteur d’activité dans lequel il souhaite se lancer. Depuis de nombreuses années, les samedis de la famille Rodzko sont rythmés, chez sa belle-mère, par une dégustation de crêpes et de galettes. Dépositaire d’une recette ancestrale, la crêpière régale chaque semaine des convives qui ne manqueraient ce rendez-vous pour rien au monde.
Les recettes de sa belle-mèreLe projet est bien calé, mais le chef d’entreprise rencontre tout de même quelques difficultés pour trouver un bâtiment. En septembre 2002, il finit par en dénicher un dans le quartier de Kerroual, à Mûr-de-Bretagne. Si la famille met bien évidemment la main à la pâte, il démarre néanmoins sont activité, seul. Et les journées sont particulièrement chargées. Dès le
milieu de la nuit, après avoir concocté les pâtes, il fait chauffer les billigs et fabrique quotidiennement plus de 600 crêpes et galettes. « À partir de 9 h, je partais en livraison et au retour, j’essayais de trouver de nouveaux clients », explique-t-il.Les concurrents ont beau être nombreux sur le marché, le patron de la crêperie de Guerlédan est convaincu de se distinguer par un plus qualitatif. « J’ai bien évidemment repris les recettes de ma belle-mère, sourit-il. Et j’ai réussi à reproduire cette galette rustique cuite au feu de bois. » Et ça marche. Les clients apprécient et l’activité se développe. Il doit rapidement embaucher et après seulement quelques années d’activité, la production quotidienne dépasse les 10 000 unités.La croissance de l’entreprise s’accompagne
et là...ici Entreprise
12
Installée depuis un peu plus de dix ans à Mûr-de-Bretagne, l’entreprise créée par Marc Rodzko s’est taillé une solide réputation dans le monde de la crêpe et de la galette. Toujours attachée à des recettes de tradition, la Crêperie de Guerlédan entend également jouer la carte de l’innovation.
Crêperie de Guerlédan : Tradition rime avec innovation
d’une diversification de la production. À côté des crêpes de froment et des galettes de blé noir fraîches, la gamme s’étoffe avec des galettes à la purée de pommes de terre ou des crêpes aux pommes. Sans parler de la gamme bio qui affiche une progression exponentielle !
Une nouvelle usineet un magasinAlors forcément, à la fin de l’année 2012, le bâtiment de 350 m2 devient quelque peu exiguë pour la vingtaine de salariés que compte l’entreprise. Bien décidé à rester dans la commune de Mûr-de-Bretagne, il trouve finalement un nouveau bâtiment dans la zone d’activité de Kergadic. D’importants travaux sont entrepris et dès le début du mois d’avril, le déménagement vers le nouveau site, d’une surface de 1 800 m2, peut s’effectuer. Marc Rodzko, n’abandonne pas pour autant les lieux dans lesquels il a débuté. Il les transforme même en magasin et y vend aujourd’hui ses crêpes et ses galettes, ainsi que de nombreux autres produits locaux.
En une décennie, l’aventure familiale s’est transformée en une véritable entreprise qui compte aujourd’hui 42 salariés. L’outil de production s’est bien évidemment modernisé, le rythme de travail a été étendu à 2 X 8 heures pour une production quotidienne qui avoisine près de 40 000 crêpes et galettes, distribuées dans plus de 80 points de vente en Bretagne.
La nécessaire industrialisation n’a toutefois pas fait évoluer l’identité d’une entreprise toujours viscéralement attachée à la tradition. Comme au départ, Marc Rodzko privilégie les circuits courts et les producteurs locaux. Les 4 000 oeufs qu’il utilise quotidiennement viennent d’une
casserie de Lanöé. Les 500 litres de lait, soit tout même la production d’un troupeau de douze vaches, sont livrés par une ferme qui jouxte l’entreprise et la farine provient du Moulin du Pavillon, à Séglien. « Nous sommes ancrés dans le territoire et ces activités ne sont pas délocal i sables» , se réjouit le chef d’entreprise.
Un grand chefpour de nouvelles recettesLa Crêperie de Guerlédan joue résolument la carte de la tradition, mais elle la conjugue aussi avec une constante évolution.
Et dans ce domaine, la jeune et dynamique équipe qui la compose, dans laquelle son fils Yohann a d’ailleurs fait sont entrée, il y a maintenant deux ans, ne manque pas d’idées. « À partir du produit traditionnel nous essayons constamment de nous adapter aux évolutions des modes de consommation », précise le jeune homme. S’il ne souhaite bien évidemment pas communiquer sur les innovations qu’il expérimente encore, Marc Rodzko consent tout de même à préciser son intention de développer des produits plus élaborés. Une nouvelle gamme forcément de qualité qui bénéficie d’un conseiller de choix, le chef étoilé de l’auberge de Grand’Maison, Christophe Le Fur.
13
Marc Rodzko et son fils Yohann
Vente et abattage de volailles pour [email protected]
02 96 28 13 47 - 06 74 28 04 08
La tradition est toujours respectée dans la fabrication.
et là...ici Commune
La Chèze, un des hauts lieux du pouvoir po-litique breton ! Aujourd’hui, l’affirmation fe-rait sourire… N’empêche, c’est bien le châ-teau de cette commune, construit quelques siècles plus tôt, que la famille des Rohan privilégiait comme résidence principale, aux XIVe et XVe siècles. Elle lui préférera ensuite celui de Josselin entraînant ainsi l’inexorable déclin de l’édifice chézien. Il sera définitif lorsque le cardinal de Richelieu ordonnera son démantèlement, en 1629. Les pierres seront ensuite vendues et serviront à construire l’église Saint-Nicolas de Loudéac.
Bien plantée sur un éperon schisteux, l’une des tours, désormais régulièrement restau-rée par une association de défense du pa-trimoine, continue de dominer la commune. Fière des legs de son passé moyen-âgeux, La Chèze entend également faire rayonner la richesse d’un passé plus récent et plus po-pulaire. C’est la mission que s’est assignée, depuis le début des années 80, le musée ré-gional des métiers. De l’enclume du forgeron
à l’herminette du charpentier, en passant par la machine à pédale de l’imprimeur ou encore la hache du sabotier… Les milliers d’outils exposés retracent la mémoire du sa-voir-faire artisanal du Centre Bretagne.Installé dans une ancienne tannerie, en bordure du Lié, ce musée dirigé depuis sa création par Robert Rocaboy, attire chaque année près d’un millier de visiteurs.
Faciliter l’installation de nouveaux habitantsCe n’est d’ailleurs pas la seule attraction de la commune qui offre un cadre de vie de qualité, aux abords de l’étang ou sur les rives du Lié. Des réels atouts patrimoniaux et naturels qui sont chaque année mis en valeur au travers de deux manifestations : le festival du blues, programmé au château au mois d’août et la foire de la Saint-Leau, une foire aux chevaux qui se tient depuis déjà plusieurs siècles, au mois de septembre. Sans parler des assemblées gallèses, une fête de la langue gallo également organisée
sur d’autres communes mais à laquelle La Chèze participe activement, tous les ans au début du mois de juillet.
Avec un peu plus de 600 habitants et une superficie de seulement 250 hectares, la commune demeure le plus petit chef-lieu de canton du département des Côtes-d’Armor. Elle n’en affiche pas moins un impression-nant dynamisme dans le domaine du com-merce et des services. Outre une épicerie, une boulangerie, un salon de coiffure et un autre d’esthétique, deux bars tabac et deux restaurants, elle dispose également d’un médecin, d’une pharmacie, de deux banques et d’un bureau de poste. Bref, une offre que nombre de communes beaucoup plus im-portantes lui envieraient.
Dans le domaine scolaire, la commune n’est pas en reste puisqu’elle compte deux écoles. L’école privée Saint-Louis-de-Montfort ac-cueille 46 écoliers alors que l’école publique
Située à une dizaine de kilomètres de Loudéac et traversée par la rivière le Lié, la petite commune de La Chèze cultive une réelle qualité de vie. Avec une population qui dépasse légèrement les 600 habitants, ce petit chef-lieu de canton entend bien jouer de cet atout pour attirer de nouveaux ha-bitants.
14
La Chèze : Un écrin de verdure
15
Vous avez-été élue maire au mois de mars der-nier. Après plus de six mois d’exercice, com-ment appréhendez-vous la fonction ?Lors du mandat précédent, j’étais déjà conseillère mu-nicipale. Mais là, c’est beaucoup plus impliquant que je ne l’imaginais. À côté de mon métier de vétérinaire, j’y consacre énormément de temps. Mais la fonction reste passionnante car on doit intervenir dans une multitude de domaines. Surtout, nous avons de gros projets, ce qui donne un sens à notre mission.
Justement, à l’aube de ce mandat quels pro-jets souhaitez-vous développer pour les six années à venir ?Notre grande ambition du mandat vise à faciliter l’im-plantation de nouveaux habitants dans la commune. Pour tenter d’y parvenir nous allons développer plu-sieurs projets. Ce sera d’abord le cas du lotissement de Bellevue. Nous devrions très rapidement y viabiliser 18 lots. Ce sera ensuite le tour du quartier des Colom-bières. Deux friches industrielles vont être détruites pour faire place à un nouveau quartier, en bordure de l’étang, qui regroupera à la fois des logements collec-tifs et des logements individuels. Enfin, nous souhai-tons également engager un programme de réhabilita-tion des logements anciens de la commune qui ne sont plus habitables.
Êtes-vous favorable à un rapprochement entre la Cidéral et Pontivy-Communauté ? En janvier dernier, la Cidéral est déjà passée de 21 à 33 communes. C’est très récent et je pense qu’il est nécessaire de faire une pause pour bien maîtriser l’en-semble des services que la communauté apporte à la population. A plus long terme, même si ces commu-nautés de communes sont culturellement différentes, elles seraient aussi complémentaires.
Interview/Catherine JournelMaire de la Chèze
Jean-Cadoret comptabilise 34 enfants. Enfin et ce n’est pas le moindre de ses atouts, la commune dispose également d’un tissu associatif très riche, avec plus d’une vingtaine d’associations.Forte de ce potentiel, allié à une volonté de conserver le cadre de vie, la nouvelle équipe municipale s’emploie à développer une po-litique d’accueil de nouveaux habitants. Pour cela elle compte bien sûr s’appuyer sur l’existant mais également concrétiser d’ambitieux programmes immobiliers (lire interview ci-contre).
Maire de la Chèze, Catherine Journel entend bien utiliser les nombreux atouts de sa commune pour attirer de nou-veaux habitants.
Chaque année, le festival du blues prend ses quartiers d’été au pied de la tour du château
Traversée par le Lié, la commune offre un très beau cadre de vie.
Robert Rocaboy dans le musée régional des métiers qu’il a contribué à créer début des années 80.
Comme souvent en Centre Bretagne, lorsqu’on remonte le temps, on y retrouve forcément la famille des Rohan. Située en plein cœur de la forêt de Quénécan, à cheval sur les communes de Sainte-Brigitte, dans le Morbihan et de Perret, dans les Côtes-d’Armor, les Forges des Salles, n’échappent pas à la règle. C’est en effet en 1623, que Geoffroy Finement d’Angicourt obtient de la famille des Rohan, l’autorisation d’y exploiter le fer de manière industrielle. Le site n’est bien évidemment pas choisi au hasard. Ici, tout est rassemblé pour faire de la sidérurgie : le sous-sol riche en minerai de fer ; la forêt alentour qui permet de produire du charbon de bois ; l’eau en abondance avec le ruisseau de Pont Lann qui je jette ensuite dans le Blavet, pour actionner les roues à aube.
Marmites et boulets de canonUn peu moins de deux siècles après leur création, les forges des Salles sont rachetées en 1802 à la famille des Rohan par le comte Louis-Henri de Janzé. Le nouveau propriétaire en confie la direction à des régisseurs, dont notamment Louis Bourdonnay du Clézio. Tout au long du XIXe siècle l’équipement va constamment être modernisé pour afficher une production annuelle d’un million de livres de fonte. Une partie est revendue brute à l’État et prend la direction de l’arsenal de Brest, une autre est transformée sur place. On y produit ainsi des chaudrons, des marmites, des galletoires et même, parfois,
des boulets de canon…
Si la forge demeure moderne et productive, la concurrence de la technologie au coke, inventée par les Anglais, alliée à la mise en place d’accords commerciaux, vont sceller le sort des Forges des Salles. Le manque de rentabilité face à la concurrence d’outre-Manche, entraîne leur fermeture définitive le 1er juillet 1877. Le site retrouve son calme et le domaine se tourne alors vers l’exploitation du bois et et de l’ardoise.Près d’un siècle et demi plus tard, le site qui a fait l’objet d’un travail de restauration depuis le début des années 90, livre un véritable témoignage de la vie ouvrière dans la sidérurgie, aux XVIIIe et XIXe siècles. Organisée autour du haut-fourneau, la vie quotidienne s’y concentrait sur une superfice d’à peine trois hectares. Le bâtiment le plus imposant demeure bien évidemment le logis du maître des forges. Particulièrement mis en valeur par une belle cour aménagée, il est aujourd’hui habité par la famille du Pontavice, propriétaire du domaine et de la forêt de Quénécan. À l’ouest, les maisons des contremaîtres, cossues et orientées au sud, datent du XIXe siècle. Face à la demeure du maître, celles des forgerons, construites en schiste gris local et en pierre de taille de granit pour les encadrements, forment une rangée de 13 maisons. Le rez-de-chaussée était
Pendant plus de deux siècles et demi (1623-1877), les Forges des Salles, situées en plein cœur de la forêt de Quénécan, ont été le plus grand village sidérurgique de Bretagne. Aujourd’hui ouvert au public, il offre un témoignage de la vie ouvrière dans le Centre Bretagne, aux XVIIIe et XIXe siècles.
et là...ici Patrimoine
16
Les Forges des Salles : Un village sidérurgique en Centre Bretagne
17
3 Questions à ....Emmanuelle du Pontavice Comment s’est passée la restauration du site des Forges des Salles ?Le village a été habité jusqu’en 1970. Une fois désaffectés, les bâtiments se sont très vite degradés. Le village a fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques en 1981, mais la restauration n’a officiellement été engagée qu’en 1990. Elle a débuté par la rangée des forgerons et le village a tout de suite été ouvert à la visite. L’engouement a été reel et immédiat.
Près de 25 ans après son ouverture au public, cet engouement ne s’est pas démenti ?Non, nos visiteurs sont surpris par la richesse et la diversité des sujets abordés lors de la
visite. Cela plaît aux petits et aux grands et notre meilleure publicité est le bouche à oreille. Depuis 25 ans, toutes ces visites nous ont permis d’entreprendre de nombreux travaux de restauration. Tout a été fait dans les règles de l’art, en accord avec les architectes des Bâtiments de France, afin de préserver l’authenticité des lieux. Nous pouvons en plus bénéficier du soutien de l’association des Amis des Forges des Salles, présidée par la comtesse du Pontavice. Résultat, chaque année nous accueillons entre 12 000 et 14 000 visiteurs.
Avez-vous des projets pour développer encore l’attrait de ce site touristique unique en Bretagne ?L’an prochain avec la vidange du lac de Guerlédan, nous devrions bénéficier d’un afflux très important de visiteurs. Nous allons tout mettre en oeuvre pour les accueillir dans des conditions optimales. Nous sommes en train de refaire la muséographie pour aider
à la visite et nous préparons aussi une boutique ainsi que de nouvelles expositions. D’autre part, depuis deux ans, nous avons construit des hébergements insolites : cabanes dans les arbres, cabanes sur pilotis au bord de l’étang du Fourneau. Cela nous permet de recevoir des personnes pour un séjour en Centre Bretagne. Nous avons aussi un gîte insolite au coeur du village. Tout cela dans une dynamique autour du village des Forges des Sallles bien sûr. Nous avons des idées et doucement nous les mettons en place. Le chantier ne sera jamais terminé mais nous avançons et ne manquons pas d’enthousiasme.
composé d’une seule pièce, généralement en terre battue avec une cheminée. Chaque logis avait son jardin et une famille pouvait posséder une vache et une poule. Pour la centaine de personnes, recencées au milieu du XIXe siècle, la vie était vraisemblablement très communautaire.
Un esprit paternalisteL’esprit était aussi très paternaliste, et les habitants y trouvaient tous les services utiles à la vie quotidienne. En plus d’utiliser le four à pain collectif, le lavoir et le pressoir à cidre, ils habitants pouvaient se retrouver dans le café-épicerie, situé juste à côté de l’atelier du forgeron.
On y buvait du cidre, on pouvait s’y ravitailler et y rencontrer les marchands ambulants qui colportaient aussi les nouvelles. Particulièrement prégnante, la religion n’était pas oubliée et le village disposait d’un lieu de culte. Près de la régie, où les ouvriers venaient chercher leur paye chaque semaine, se dresse en effet la chapelle Saint-Eloi, du nom du saint patron des forgerons. Très dépouillée car sans doute d’obédience protestante avant que les propriétaires ne se convertissent au catholicisme. Enfin, située un peu à l’écart pour éviter les nuissances du bruit et des fumées, une école était dirigée par les soeurs du Saint-Esprit. Ce petit établissement scolaire, entièrement financé par le propriétaire a survécu jusqu’aux années 70.
Réouverture au public à PâquesComme chaque année, le site ferme ses portes aux visiteurs pendant l’automne et l’hiver. Sa réouverture est prévue à Pâques.
Contacts : Tél. 02.96.24.94.85 ou 02.96.24.90.12 • Mail : info@lesforgesdes salles.fr • Site : lesforgesdessalles.fr
Depuis un peu plus de 20 ans, le golf de Rimaison, à Bieuzy-les-Eaux, permet aux amoureux de la petite balle blanche et de l’herbe verte de s’adonner à leur passion favorite. À moins de 10 km de Pontivy, dans la vallée du Blavet, il offre la possibilité de pratiquer une activité sportive en pleine nature.
Golf de Rimaison : Le sport en pleine nature
et là...ici Sport
18
« Le golf ? C’est un sport où l’on doit tenter de contrôler une balle avec des outils tout à fait inadaptés à cet effet », affirme une célèbre maxime. Ceux qui s’y sont essayés avant de renoncer acquiesceront forcément. Ceux qui ont choisi de persévérer l’ont méditée. Parfois. Souvent, même ! Exigeant pour les débutants, ce sport créé par nos voisins d’outre-Manche, l’est tout autant pour les confirmés qui doivent rapidement s’armer d’une bonne dose d’humilité.
Mais la difficulté n’est pas de nature à décourager tous ceux qui foulent les greens et les fairways du golf de Bieuzy-les-Eaux, depuis maintenant plus de 20 ans. C’est en effet dans la vallée du Blavet, sur les ruines du château de Rimaison, que deux Anglais, Paul Corfield et Steve Gallier, décident en 1992, d’implanter un golf en plein cœur de la Bretagne. À l’époque, le pari est osé. Même
si depuis la décennie précédente, le golf commence doucement à se démocratiser dans l’Hexagone. D’une centaine en 1980, le nombre de golfs en France dépasse les 500 au début des années 90. Une explosion confirmée par un afflux sans précédent de nouveaux licenciés. Le plus souvent, d’anciens joueurs de tennis qui préfèrent opter pour une activité sportive moins physique.
Un projet d’agrandissement avortéLe contexte général à beau être porteur, l’ouverture d’un golf de neuf trous en Centre Bretagne est néanmoins perçue avec curiosité et même circonspection par le voisinage. De fait, si la Bretagne compte aujourd’hui une cinquantaine de golfs, tous ou presque sont situés sur la côte et plus spécialement sur la côte nord.Quoi qu’il en soit, les débuts sont
plutôt encourageants. Rimaison profite naturellement d’un engouement qui ne se dément pas tout au long des années 90 et 2000. « Pendant cette période, la discipline va enregistrer une progression du nombre de licenciés de 10% chaque année », se souvient avec un sourire nostalgique Matthieu Grillo, professeur indépendant au golf de Rimaison depuis septembre 2009. En cette glorieuse période, le golf local va compter jusqu’à 250 licenciés.
Alors tout naturellement, lorsqu’en 2004 des investisseurs anglais en deviennent les nouveaux propriétaires, ils débarquent avec un ambitieux projet de développement. Dans cette partie de la vallée du Blavet, à la fois boisée et vallonnée, l’idée est d’abord d’agrandir l’équipement existant, en faisant évoluer le parcours de 9 à 18 trous. Surtout, le projet comprend un important programme
Les Tarifs 19
immobilier prévoyant la construction de près de 390 logements, avec piscine, restaurants et courts de tennis... répartis dans onze villages. Dans une commune qui ne compte alors que 700 habitants, le projet peut paraître démesuré et même inquiéter. Au printemps 2008, même s’il recommande « une programmation phase par phase, afin de limiter les impacts négatifs en cas de difficultés de commercialisation », le commissaire enquêteur délivre un avis favorable.Mais les travaux ne peuvent cependant pas démarrer. Une association dépose immédiatement un recours auprès du tribunal administratif, jugeant ce projet « surdimensionné et portant atteinte au patrimoine architectural et naturel d’un site historique exceptionnel ». Entre le jugement et l’appel, le dossier va rester bloqué pendant plus de six ans !
Érosion des effectifsAu printemps dernier, une décision de justice autorise finalement les promoteurs à réaliser le projet. Mais depuis sa genèse, le contexte économique a considérablement modifié la donne. Et aujourd’hui personne ne sait quelle suite les propriétaires souhaitent lui donner.Car au-delà des problèmes spécifiques au projet de Rimaison, le golf doit également faire face à une grave crise du recrutement. « La France compte encore 400 000 golfeurs, mais les effectifs sont en constante diminution depuis quelques années, explique Mathieu Grillo. Le vieillissement des joueurs qui finissent par arrêter, le prix de l’abonnement en période de crise économique ou l’aspect chronophage de ce sport, expliquent cette baisse .»En affichant encore près de 200 licenciés, le golf de Bieuzy-les-Eaux, tente courageusement de faire face. Indépendant mais néanmoins impliqué, le professeur Matthieu Grillo, multiplie les initiatives pour satisfaire les demandes des joueurs et tenter d’en attirer de nouveaux. Chaque mercredi, c’est lui qui dirige l’école de golf qui accueille cette année une quinzaine de jeunes, âgés de 6 à 18 ans.
L’association sportive, désormais présidée par Philippe Allée, reste aussi très déterminée. Née immédiatement après la création du golf, elle a toujours contribué à l’animation du golf de Rimaison et s’est employée à faire du club-house un espace de convivialité. Tout en participant ponctuellement à des opérations d’amélioration de l’équipement, elle contribue surtout à le faire vivre en organisant notamment des compétitions chaque semaine.Alors si la pratique du golf peut régulièrement provoquer des « migraines et des nervousses brékdones », comme disait Audiard... il génère également d’insdescriptibles plaisirs. Celui d’offrir une belle balade au calme et en pleine nature (certes parfois contrariée par une petite balle capricieuse...), en est un. Celui de partager un verre à l’issue d’une partie, en évoquant avec humour et dérision sa performance du jour, en est un autre...
Abonnement annuelAdulte : 680 €. Senior : 650 €. Couple : 995 €. Moins de 30 ans : 300 €. Moins de 18 ans : 120 €.Forfait initiation nouveau golfeur : 150 €.Forfait carte verte : 200 €.École de golf : 165 € (matériel prêté).
Golf de Rimaison56310 Bieuzy-les-Eaux
Tél. 02 97 27 74 03Courriel : [email protected]
Mon club à Loudéac : 7, boulevard de la gare(anciennement Sport 2000)22600 LOUDEACTél. 02 97 27 54 51
Mon club à Pontivy: Rue Edison-ZI Signan56300 PONTIVYTél. 02 97 27 54 51
* 19
,90€
par
moi
s p
end
ant
3 m
ois
pou
r un
e d
urée
d
’eng
agem
ent
de
27 m
ois.
Voi
r co
nditi
ons
en c
lub
.
Mon club à Loudéac : 7, boulevard de la gare(anciennement Sport 2000)22600 LOUDEACTél. 02 97 27 54 51
Mon club à Pontivy: Rue Edison-ZI Signan56300 PONTIVYTél. 02 97 27 54 51
* 19
,90€
par
moi
s p
end
ant
3 m
ois
pou
r un
e d
urée
d
’eng
agem
ent
de
27 m
ois.
Voi
r co
nditi
ons
en c
lub
.
20
EMAPZ.I . DE TRÉHONIN56300 LE SOURN
OBJETS PUBLICITAIRES · CADEAUX
CRÉATION ET FABRICATION
TEXTILE IMPRIMÉ ET BRODÉ · MÉDAILLES · INSIGNES · PORTE-CLÉS · TAMPONS ENCREURS · COUPES ET TROPHÉES · CALENDRIERS · COFFRETS SOMMELIERS · CADEAUX PERSONNALISÉS · PLAQUES GRAVÉES · GRAVURE LASER...
www.emap.fr emap-publicite.fr coffret-sommelier.fr tél: 02 97 27 85 34
Annonceurs, n’hésitez pas à contacter notre service publicité au 07 87 36 05 64
Loudéac
PlouguenastUzel
La Chèze
Mûr-de-Bretagne
Cléguérec
PontivyRohan
Corlay
Un magazine gratuit de 44 pages, sur papier brillant, format A4
Un tirage de 8 000 exemplaires et une distribution au coeur du bassin de vie Loudéac-Pontivy
300 points de distribution : commerces, mairies, professionnels...
Un lectorat de près de 100 000 habitants, répartis sur plus de 80 communes des Pays de Pontivy et du Centre Bretagne.
Loudéac • Pontivy
et là...ici 300 points de distributionsur les Pays du Centre Bretagne et de Pontivy
Retrouvez-nous sur :
@icietlamagazineici et là
Baud Locminé
Saint-Jean-Brevelay
Collinée
Merdrignac
21
Ici et Là n’a pas résisté au plaisir de vous offrir en cadeau de fin d’année, quelques conseils pour que vos fêtes soient réussies. Quelques petits riens, des mises en scène qui apporteront une dimension supplémentaire à votre table de réveillon. Mais aussi quelques petites attentions qui feront plaisir à ceux qui vous sont chers...
Faites confiance à vos commerçants, artisans et prestataires de service, qui seront, cette année encore sur leur 31, pour rendre ces fêtes inoubliables.
et là...ici
Pensez à offrirun bon
cadeau !
Spécial Fêtes de fin d’année
22
Ma table a l’esprit festifPour celles qui aiment recevoir, Noël est toujours un moment privilégié pour transformer leur maison en cocon chaleureux qui donnera une tonalité particulière à vos fêtes de fin d’année. La table sera particulièrement soignée, mais chaque année, il faut redoubler d’imagination pour trouver de nouvelles idées. Nous avons sélectionné pour vous quatre thèmes autour des-quels pour pourrez laisser votre créativité s’exprimer.
- Du rouge, du gris et du blanc donnent le ton à des accessoires très naïfs. Des sucres d’orge dans les verres, de grosses bougies colorées, des photophores en étoile... Et une jolie nappe style chalet, réutilisable hors fêtes de fin d’année.
- Décoration verte, blanche et dorée pour une am-biance très nature. Une idée que l’on pourra décliner en dehors des fêtes de fin d’année.
- Du blanc, du nacré, une touche d’argent : on se laisse prendre au jeu de cette table chic. De jolis ronds de ser-viettes en fleurs, un énorme vase en plein centre de la table, garni d’un branchage argenté... On choisira l’originalité ap-portée par de petits artichauts peints en blanc (à l’aide d’une bombe de peinture) dans des pots remplis de perles des mêmes tons. Et les petites bougies près de chaque couvert, qui appor-tent une réelle chaleur à la déco.
- Faites le choix d’un aspect très naturel avec l’as-sociation du rouge et du bois pour votre décoration de table. On y ajoute du blanc,pour une réelle harmonie des couleurs. Des branchages nus, sans feuilles en guise de couronnes, des bougeoirs au gré de vos assiettes et des chemins de table transversaux, apporteront une touche trendy ! Fabriquez des dessous d’assiettes en forme de nid, en branchages...
ART ISAN C HOCOL AT IER
12 Rue Nationale
56300 PONTIVY
02 97 25 19 02
11 Rue de Cadélac
22600 LOUDEAC
02 96 26 01 52
Champion de France - Vice Champion du monde chocolatier
L E G O Û T D E L A D É L I C A T E S S E
Auprès de vos saveurs
1, rue des Nobles56580 ROHAN
02 97 51 50 1906 75 37 33 63
Menu "Le Séduction" à partir de 9,95 €Menu "Le Délice" à partir de 14,90 €
Menu "L’Excellence" à partir de 19,90 €Pour 5 menus achetés vos desserts sont offerts.
Possibilité de composer vos menus sur commande.
Plateaux de fruits de mer adaptés à votre budget et spécialitées maison :
foie gras, saumon fumé, boudin truffé....
mariage • cocktails • assemblée générale anniversaire • séminaires d’entreprises • congrès.....
Votre traiteur organise vos menus de fêtes de fin d’année
23
La Boutique Côté Tourisme (face à la péniche de l’Office de Tourisme de Pontivy Communauté)vous accueille du lundi au vendredi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 18 h.
Nouveau à Pontivy !
Une pomme d’Ambre qui embaume !La pomme d’Ambre est en réalité une orange. Il suffit de piquer de clous de girofle une orange, de la poser ou de la suspendre dans la maison. Elle assainira l’air et le par-fumera délicatement. Cette orange précieuse nous vient de la fin du Moyen-Age et de la Renaissance. Les gens les plus pauvres se sont inspirés de la fameuse « pomme de senteur », ou « pomander », que les nobles utilisaient pour se parfumer, chasser le mauvais sort et éloigner les maladies. Pourquoi cela marche-t-il ? Parce que le clou de girofle libère ses molécules aromatiques et notamment les phénols au coeur de l’orange. Ces molécules sont de puissantes anti-oxydantes (l’orange sèche mais ne pourrit pas) et l’odeur de l’eugénol se mêle au parfum de l’orange.
Délice de NoëlPetits Gateaux en pain d’épices
Ingrédients / pour 10 personnes600 g de farine 225 g de miel 125 g de sucre 100 g de beurre 20 g d’épices à pain d’épices 7 g de cacao amer en poudre 1/2 sachet de levure chimique 1 œuf 1 pincée de sel
Préparation 1 - Faire chauffer dans une casserole à feu moyen le beurre, le miel et le sucre jusqu’à ce que le sucre soit complètement fondu. Lais-ser refroidir. Mélanger dans un saladier, la farine avec la levure, le sel, les épices et le cacao. Ajouter l’œuf et le mélange au miel. Pétrir pour obtenir une pâte homogène. Laisser reposer 24 heures à température ambiante. 2 - Le lendemain, étaler la pâte sur 1/2 cm d’épaisseur et découper des formes. Faire cuire au milieu du four 8 à 10 minutes à 200°C (thermostat 6-7). Pour finir, décorer avec un glaçage à base de sucre glace et d’eau (et de colorants, vermicelles...).
Spécial Fêtes de fin d’année
La Boutique Côté Tourismeune boutique de souvenirs et une vitrine des producteurs locaux.
Produits locaux vendus individuellement ou dans des paniers garnis :Terrines des cerfs de Kerfulus à CléguérecGâteaux JoubardPâtes de fruits de TimadeucConfitures et confits de St Gonnery...
Passeport Gourmands (réductions dans les restaurants bretons)
Livres (canal, Pontivy, randonnées...)
Parapluies adultes et enfants
Objets pour les cyclistes
Médaille Napoléonville frappée par la Monnaie de Paris
Tee-shirts, verres, mugs,
dés à coudre et cuillères de collection...
2424
Il y a eu les toupies Beyblade, les poupées Monster High... qui ont agité les cours de récré mais qui ont surtout fait carton plein à Noël. En 2014, quels seront les jouets à la pointe de la tendance ? Ceux que tous les enfants s’ar-racheront ? Nous vous livrons les tendances phare de cette fin d’année 2014 pour viser juste !
Les jouets High tech. De-puis quelques années déjà, les jeux high-tech ont le vent en poupe. Dans la catégorie «compagnons interactifs», les nouveaux venus sont de petits oiseaux. Vous aurez le choix entre les «DigiBirds» de Silver-lit et les «Little Bird» de Kanaï Kids. Les premiers s’activent et sifflent de jolies mélodies, les autres réagissent quand on les caresse et entonnent des chan-sons.
Les jeux de société. Ce n’est pas parce que les enfants ado-rent les écrans qu’ils délaissent
pour autant les bons vieux jeux de société ! Et leur en offrir fera plaisir à toute la famille. His-toire de se retrouver ensemble autour de la table du salon et partager une soirée en famille. Ainsi le célèbre Monopoly peut désormais se personnaliser à souhait avec des photos des joueurs et le Mille Bornes qui fête ses 60 ans cette année s’enrichit d’un buzzer qui com-plexifie la partie. Cette année, les marques de jouets suivent attentivement les tendances culinaires et pro-posent des coffrets pour fabri-quer des Rainbow Cakes, des pizzas, des chocolats ou encore décorer des cupcakes .
A l’effigie de leurs héros. Après le succès de La Reine des Neiges au cinéma, la folie se poursuit au rayon des jouets... Des poupées à l’effigie d’Elsa, de Violetta et de Planes se déclinent en journaux intimes ou en petits mobiles. Enfin, les personnages de Stars Wars font leur grand retour chez Lego.
Tendances : les jouets qui vont cartonner à Noël
Spécial Fêtes de fin d’année
www.happy-park.fr - 02 97 08 17 34PONTIVY (direction Mûr de Bretagne)
Ouvert tous les jours de 10h à 19h pendant les vacances
Parc de jeuxcouvert pourles enfantsde 1 à 12 ans
En période scolaire :ouvert le mercredi, samedi, dimanche de 10h à 19het vendredi de 14h à 19h
- Matinée assistantes maternelles : 3ème vendredi du mois de 9h30 à 12h00
25Chemins de fer du Centre Bretagne :Prenez le train avec le Père Noël
Créée il y a maintenant plus de vingt ans, l’association « Chemin de fer du Centre Bretagne », rassemble aujourd’hui une quarantaine de bénévoles. La très grande majorité n’ont jamais exercé d’activité professionnelle dans le ferroviaire, mais tous partagent une même passion pour le train… Et plus particulièrement pour ceux qui ont roulé sur les rails de la Bretagne centrale. Le Picasso X3890, ce fa-meux train de couleur rouge et crème, fait partie de ceux-là. Après avoir patiemment restauré cet autorail de 1953, l’association est parvenue à atteindre son but ultime : le faire rouler. C’était en 2005, au port du Légué, à Saint-Brieuc. Depuis, il a largement étendu son rayon d’action pour transporter des passagers jusqu’aux gares de Quintin, de Plœuc, de L’Hermitage et, plus récemment, de Loudéac. Et un autre autorail, le X2830, de couleur bleue et blanche, est même venu depuis, renforcer un parc désormais basé en gare de Loudéac.
Souvenirs partagésRéparer, nettoyer, bichonner... Les bénévoles ne comptent par les heures passées autour de ces belles machines. Mais rien ne saurait remplacer le plaisir de se transformer en un voyageur, que beaucoup ont d’ailleurs été, il y a plusieurs décennies. « Voyager dans un train d’époque permet de retrouver un côté convivial, assure Michel Joindot, le président de l’association. À beaucoup, cela rappelle des souvenirs qu’ils sont d’ailleurs
heureux de faire revivre à leurs enfants ou petits-enfants. »Ce voyage dans le temps, l’association le propose depuis 2010, es-sentiellement pendant deux périodes : durant les vacances d’été et avant les fêtes de Noël. Cette année n’échappera pas à la règle puisque trois voyages seront organisés entre le 7 et le 21 décembre, au départ de Loudéac. Une expédition pleine de surprises sur les rails du Centre Bretagne pendant laquelle les voyageurs pourront, en outre, partager un goûter festif avec le Père Noël.
L’espace de trois après-midis, l’autorail va de nouveau circuler sur les rails du Centre Bretagne, au départ de Loudéac. Les 7, 20 et 21 décembre, les voyageurs vont même pouvoir voyager avec le Père Noël, pour une fois en déplacement sans son traîneau et ses rennes.
Ne restez pas à quai... Embarquez !Le dimanche 7 décembre, le samedi 20 et le dimanche 21 décembre, le train du Père Noël circulera une nouvelle fois sur la ligne Loudéac-Saint-Brieuc.Départ en gare de Loudéac à 14 h 30 et retour en gare de Loudéac à 18 h.Tarifs : naissance de 2013 à 2014, gratuit ; naissance de 2011 à 2012, 6,50 € ; naissance de 2003 à 2010, 12,50 € ; naissance avant 2003, 16,50€.Réservations au 06 77 09 38 86 ou au 06 03 12 14 31.http://www.cfcb-asso.org - Accès dans la limite des places dispo-nibles.
et là...ici Evénement
et là...ici Portrait
26
©Sy
lvie
Ru
aulxNicolas Le Tutour :
Voyage dessiné en Pays de PontivyDessinateur professionnel installé à Pontivy depuis le début des années 2000, Nicolas Le Tutour, dit « Niko », vient de signer une nouvelle bande dessinée. Titrée « Bretonnants voyageurs », elle raconte les aventures de trois photographes amateurs qui partent à la découverte des 48 com-munes du Pays de Pontivy.Une partie de soule (ancêtre du rugby) à Pontivy ; le fantôme de Perros à Malgué-nac ou encore les chiens noirs du dolmen de Kermorvan, à Moustoir-Ac… Telles sont quelques unes des intrigues que les lecteurs vont prochainement pouvoir découvrir au travers d’une bande dessinée sur le Pays de Pontivy, baptisée «Bretonnants voya-geurs». Née il y a maintenant plus de deux ans, le projet sera officiellement présenté à la fin du mois de novembre, à la salle de la Maillette, à Locminé. Au départ, l’idée semblait simple. Il s’agis-sait de concevoir un document permettant de mettre en valeur le Pays de Pontivy. Simple, l’idée... mais pas forcément évidente à concrétiser lorsqu’il s’agit de regrouper 48 communes qui ont chacune leurs spécifici-tés. C’est finalement le dessinateur Nicolas Le Tutour qui va trouver la solution en pro-posant une bande dessinée.Âgé de 39 ans, l’homme a des racines dans la région. Sa grand-mère était en effet ma-
raîchère à Pontivy. Entre Paris et la province il a bourlingué un peu partout en France, mais jamais ici. Jamais, avant de s’installer défini-tivement à Pontivy, en 2003. À l’école, celui qui dévorait les albums d’Astérix, de Tintin, de Lucky Luke ou encore Pif Gadget, n’était pas ce que l’on peut appeler un élève atten-tif. Plutôt que d’écouter les cours, il préférait griffoner sur ses cahiers. « Je dessinais tout le temps, se souvient-il. J’avais envie et besoin d’exprimer ce que je ressentais.»
« Aller au devant des gens »L’autodidacte a beau avoir du talent, il veut apprendre pour vivre pleinement sa passion. Nicolas choisit donc d’abandonner le cursus scolaire classique après le Bac pour intégrer une école privée de dessin, à Paris. Il y res-tera trois ans. Cette fois, l’enseignement lui plaît et l’élève est brillant. Il aurait adoré travailler dans le film d’animation mais c’est dans la publicité qu’il va faire ses premiers pas dans le monde professionnel. « Je me
suis très vite embêté et au bout d’un an, j’ai décidé de quitter l’agence Plu-bicis.» Il enchaîne alors les boulots alimen-taires de commis de cuisine ou de barman, mais la passion pour le dessin et la peinture demeure plus forte. Et c’est en plein cœur de la Bretagne qu’il décide de s’y consacrer pleinement. Forcément, les débuts sont difficiles. Il se cherche, il papillonne. Il écoute aussi, les conseils d’éditeurs ou de dessinateurs déjà installés. « Pars du principe que personne ne t’attend et qu’il faut aller au devant des gens », lui dit-on pour le mettre en garde et lui éviter de grandes désillusions. Il s’en souviendra toujours, mais en même temps il explore de nouvelles pistes, étend son réseau et pousse des pions sur l’échi-quier de son avenir. Et ça marche. En 2008, il publie sa première BD intitulée « Dracoz ». Peu diffusée, elle ne lui rapporte rien mais lui ouvre des portes. Et pas des moindres puisque la même année il
27
Portrait et là...iciest invité au célèbre festival Quai des Bulles, à Saint-Malo. L’horizon se dégage et il com-mence à enchaîner les travaux et les col-laborations. L’homme est un touche à tout et entend continuer à multiplier les expé-riences. Aujourd’hui, entre l’illustration pour un mensuel jeunesse spécialisé dans l’art, « Le Petit Léonard », les bandes dessinées, la communication d’entreprise ou encore le dessin de presse pour un quotidien local, ce-lui qui signe toujours ses travaux « Niko », s’emploie encore à cultiver la diversité.
L’histoire de trois joyeux lascarsL’expérience qu’il vient de mener avec la création de la bande dessinée « Breton-nants Voyageurs » illustre sa démarche, son besoin de nouveauté. « Nous avions l’obligation de faire apparaître dans une nouvelle, chacune des 48 com-munes du Pays de Pontivy, explique-t-il. Il a donc fallu trouver un scénario et un fil conducteur pour dérouler une his-toire.» Cette histoire, ce sera finalement la sienne et celle de deux amis, Gaël et Yann. Les trois lascars veulent monter un site In-ternet de partage de photos. Seul petit pro-blème, ils n’en ont pas pour alimenter leur site naissant. Ils vont donc par-tir en reportage dans les différentes communes pour l’approvisionner en clichés.Le scénario arrêté, restait à le trans-crire sur la planche à dessin. Et ce tra-vail va se faire en groupe. Dans chaque canton, des ateliers regroupant des élus, des «sages», des jeunes et des anima-teurs du Pays, sont ainsi mis en place. Les premiers commençent à se retrouver au début de l’année 2013. « Nous avons fait un gros travail de recherche et d’écri-ture, se souvient Nicolas. À chaque fois ces rencontres ont été des moments très intéressants et enrichissants. » Les
idées fusent et les souvenirs des anciens renaissent. Alors que pour certaines com-munes, on fait référence à une légende très ancienne, pour d’autres les auteurs choi-sissent de mettre en avant un personnage célèbre ou encore une activité économique. À chaque page, l’histoire change de thème et d’environnement. Mais à chaque page aussi, les aventures parfois rocambolesques et souvent drôles des trois loustics, per-mettent aux lecteurs de ne pas perdre le fil conducteur tout en découvrant les richesses et les particularités du Pays de Pontivy. Ils pourront d’ailleurs suivre ce fil dès la fin du mois de novembre. Car avant d’être éditée sur papier, la bande dessinée « Breton-nants voyageurs » sera en effet mise en ligne sur le site du Pays de Pontivy qui, cette fois, est joliment alimenté...
7 rue Charles le Tellier (face à la caserne des pompiers)
Ordinateurs - Smartphones - iphones- Tablettes
Réparation toutes marques
Vente PC fixes et portables, neufs et d’occasion.
Vins de propriétéVracFontaines à vinsSpiritueuxBières PressionJus de fruitsChampagne
Pour toutes vos manifestations associatives et particuliersPrêts de tireuses-Barnums-location de camion frigos
Fermé le mercredi après-midi
Saint-Niel • Route de Noyal-Pontivy • 56300 PONTIVYTél/ Fax. 02 97 25 21 25
coffret cadeaux paniers gourmands
28
AGENDA
Samedi 15 novembre
Théâtre en gallo par la Troupe Les Préchous«Pourqhi q’y a des pertus dan le fromaije?»Adaptation en gallo d’un texte de Tucholsky. Une réunion de famille est perturbée par la question du fils : «Pourquoi y a-t-il des trous dans le fromage?» Personne ne veut perdre la face, tout le monde s’enferre...20 h 30, salle des fêtes, Merléac. Tarifs : 5 € Gratuit pour les participants et les moins de 12 ans.
Tonycello« Chansons pauvres… à rimes riches »Tonycello (Antoine Payen) est seul sur scène. Seul avec son violoncelle, sa maladresse calculée, son panthéon de chanteurs et chanteuses : Georges Brassens, Boby Lapointe, Barbara, Eric Toulis et autres… Seul avec sa verve, son attitude à la Buster Keaton et ses silences gourmands.20 h 30, salle des fêtes, Billio. Tarifs : adulte, 9 € ; enfant moins de 12 ans, 5 €.
Mardi 18 novembre
Mimie MathyJe (re)papote avec vousAprès 10 longues années d’absence de la scène, Mimie Mathy vient re-papoter avec vous ! « Des propos pleins d’autodérision et de drôlerie (…) Outre le talent de faire rire, la généreuse Mimie Mathy en possède un autre bien plus rare, celui de transmettre sa joie de vivre. » 20 h, palais des congrès et de la culture de Loudéac. Complet.
Vendredi 21 novembre
Soirée cinéma documentaireDans le cadre du mois du film documentaire, le centre culturel propose une projection avec deux films à l’affiche : « Anaïs s’en va en guerre » et « La jungle étroite » de Benjamin Hennot qui sera présent à cette soirée.A partir de 19 h 30 au centre culturel de Clé-guérec. Gratuit.
Tonycello« Chansons pauvres… à rimes riches »« Tonycello( Antoine Payen) est seul sur scène. Seul avec son violoncelle, sa maladresse calculée, son panthéon de chanteurs et chanteuses : Georges Brassens, Boby Lapointe, Barbara, Eric Toulis et autres… Seul avec sa verve, son attitude à la Buster Keaton et ses silences gourmands.20 h 30, salle des fêtes, Saint-Barthélémy. Tarifs : adulte, 9 € ; enfant moins de 12 ans, 5 €
culturelVendredi 7 novembre
« Nous irons pleurer sur vos tombes »Yann-Fanch Kemener a créé ce spectacle musical en hommage à son grand-père, mort oublié et aban-donné en 1918, après avoir été incarcéré dans un bagne militaire. C’est donc l’histoire d’un homme pris dans la tourmente de la Grande guerre.20 h 30, palais des congrès, Pontivy. Tarifs : adulte plein tarif, 11,40 € ; sur réservation, 9,90 €. Réduit, 8,40 € ; sur réservation, 6,70 €.
Compagnie « La Bao Acou »« Je »Accompagnée par Mil-Tamm, la compagnie « La Bao Acou », présente le premier spectacle d’une série de trois. « Je » narre les aventures d’enfants qui s’échappent du bagne pour fuir la barbarie des matons.20 h 30, espace culturel La Maillette, Locminé. Tarifs : adultes, 9 € ; enfant, 5 €.
Samedi 8 novembre
Gouelioù Kerlenn PondiComme chaque année pour marquer la fin de la saison, la Kerlenn Pondi présente un spectacle. Invités de cette édition : Kaloneu Derv bro Pondi. Un fest-deiz clôturera la journée.20 h 30, palais des congrès, Pontivy. Tarifs : adulte, (spectacle et fest deiz), 10 € ; moins de 15 ans, 7 €.
Mickaël MiroVariété françaiseAuteur-compositeur-interprète, Mickaël Miro a conquis le cœur du public dès la sortie de son premier album et lors de sa tournée intitulée « Juste comme ça » en 2011. Le secret de ce succès populaire ? Des mélodies légères et entraînantes, qui sonnent juste, et des mots sincères, parfois nostalgiques, qui touchent le cœur de chacun. De retour sur scène avec son nouvel album : “La route des sourires”.20 h 45, salle culturelle Kastell d’Ô, Uzel. Tarif plein : 18 € ; tarif abonné, enfant, moins de 16 ans : 15 €.
Soirée cinéma documentaire« Entré du personnel », de Manuela Frésil, raconte le quotidien des employés d’un abattoir. Ce film a été réalisé à partir de récits de vie de salariés et tourné dans de grands abattoirs industriels.17 h, projection ; 18 h, débat ; 19 h 30, soirée festive avec repas, salle des fêtes, Saint-Connec. Tarif : 4 €.
Lundi 10 novembre
Baptiste Lecaplain se tape l’afficheL’un des humoristes les plus talentueux de sa gé-nération raconte avec toute l’énergie et la candeur qui le caractérisent, le parcours semé de doutes et d’embûches qui l’a mené sur les planches.20 h 45, espace culturel La Maillette, Locminé. Tarifs : 20 € ; prévente 18 € ; réduit, 14 €.
Samedi 22 novembre
MorsgoëlMusiques et chansons irlandaisesUne soirée cabaret de découverte musicale avec Morsgoël, mais également œnologique avec dégustation de vins, animée par Jean-Pierre Le Moing, de JP Cave à Saint-Caradec. 20 h 45, salle culturelle Kastell d’Ô, Uzel. Tarif plein : 12 € ; tarif réduit : 10 € ; tarif abonné : 8 € ; tarif enfant : 4 €.
La Troupe Levée de Rideau« Trois chambres à zéro ! »Pour échapper à l’expropriation qui les guette, les Durandet n’ont pas d’autre choix que de prendre des locataires pour occuper les chambres de leur grande et vieille maison. Entre une punk, un clochard et une coincée, la cohabitation s’avère délicate... 20 h 30, salle Athéna, La Motte. Tarif : 6 €.Représentations le dimanche 23, à 14 h 30 et le samedi 29, à 20 h 30.
Dimanche 23 novembre
Show musicalIls sont trois, à la fois musiciens, chanteurs et comédiens. Leur charme est ravageur, leur énergie débordante, leurs corps débridés... Leurs textes, habillés jazz, funk, pop, font de leurs chansons, un comic strip délirant. Un programme proposé par Mil-Tamm dans le cadre de l’opération « Le spectacle s’invite chez vous ».17 h, salle des fêtes, Bignan. Tarifs : adulte, 9 € ; enfant moins de 12 ans, 5 €.
Mardi 25 novembre
« La Trace »D’un côté, une route jonchée de ren-contres, d’accidents, d’aventures…De l’autre, le corps, la création, le spectacle vivant de danse contemporaine par la compagnie Gilschamber.18 h 30, palais des congrès, Pontivy. Gratuit.
Jeudi 27 novembre
La famille SemianykiCes clowns russes ne parlent pas et pourtant on comprend tout. Le spectacle retrace la joie, le vent de folie, la stratégie de survie d’individus en prise avec les dilemmes de l’esprit de famille.20 h 30, palais des congrès, Pontivy. Tarifs : adulte plein tarif, 11,40 € ; sur réservation, 9,90 €. Réduit, 8,40 € ; sur réservation, 6,70 €.
musiquespectacl
e
© S
klér
ijenn
Hav
ouis
© L
ise
Gau
daire
12
29
Vendredi 28 novembre
Théâtre du VestiaireFolkestoneC’est la rentrée des classes. Deux jeunes garçons, Matia et Luca, gravi-tent dans la galaxie de Cloé, une jeune fille solaire et incandescente, qui n’a pas froid aux yeux. A un âge où tout est possible, chacun cherche sa place dans ce trio amoureux et amical, qui n’est pas sans rappeler celui de « Jules et Jim ».20 h 45, Palais des congrès et de la culture de Loudéac. Séance scolaire à 14 h.Tarif B : 7 € ; 11 € ; 14 € ; moins de 18 ans, 7 €.
Samedi 29 novembre
Le lexique en vracTrois comédiens, Lionel Epaillard, Catherine Dartevelle et Matthieu Gourmel entreprennent de filer la laine de dessus le dos des mots… Ça tricote de toutes les couleurs, du pas-tel poétique au noir acerbe, du jaune potache aux roses enchantées. 20 h 30, médiathèque de Melrand. Gratuit. Tarifs : adulte, 9 € ; en-fant moins de 12 ans, 5 €.
Tonycello« Chansons pauvres… à rimes riches »Tonycello ( Antoine Payen) est seul sur scène. Seul avec son violoncelle, sa maladresse calculée, son panthéon de chanteurs et chanteuses : Georges Brassens, Boby Lapointe, Barbara, Eric Toulis et autres… Seul avec sa verve, son attitude à la Buster Keaton et ses silences gourmands.20 h 30, salle polyvalente, Plu-melin. Tarifs : adulte, 9 €; enfant moins de 12 ans, 5 €.
Jeudi 18 décembre
Bérengère KriefElle fait rimer cupcake et politiquement incorrect dans un show ou Jeanne d’Arc croise Batman et Freud côtoie Ribéry.20 h 30, palais des congrès, Pontivy. Tarifs : adulte plein tarif, 11,40 € ; sur réservation, 9,90 €. Réduit, 8,40 € ; sur réservation, 6,70 €.
Vendredi 19 décembre
Calico« La mue »Calico, ce sont trois frères et deux amis. Une musique pop/rock pleine de maîtrise, des arran-gements riches et fouillés, des paroles précises, ciselées, à fleur de peau, le groupe cultive depuis plusieurs années son univers et a trouvé un bel équilibre entre chansons intimistes et morceaux entraînants. Avec leur dernier opus « La mue », album viscéral, généreux et inscrit dans son époque, ils posent et imposent leur style fait autant de poésie que de joie de vivre. 20 h 45, Palais des congrès et de la culture de Loudéac. Tarif B : 7 € ; 11 € ; 14 €.
« La Princesse de Clèves » L’histoire de la Princesse de Clèves est racon-tée au moment du repas par le comédien et conteur Benoît Schwartz, amoureux de la plume et des plaisirs de la table. Un programme pro-posé par Mil-Tamm dans le cadre de l’opération « Le spectacle s’invite chez vous ».20 h, salle des fêtes de Cléguérec. Tarif : 18 € (spectacle et repas).
Samedi 20 décembre
Cie Le Théâtre Grenadine« Le Noël de Kokeshi »15 h 30, espace culturel, Mûr-de-Bretagne. Gratuit.
théâtre
spectacle
humourConcert
Vendredi 5 décembre
Sandrine CressantEDwigeDans cette pièce, avec espièglerie, amour, douceur, EDwige - le clown - raconte sa vie jusqu’à sa vieillesse, ce point final, ce réceptacle, ce traducteur de la vie passée, cet endroit qui contient une vie entière accumulée. Touchante et attachante, EDwige est magnifiquement interprétée par Sandrine Cressant.20 h 45, palais des congrès et de la culture de Loudéac. Séance scolaire à 14 h.Tarif B : 7 € ; 11 € ; 14 €.
Tim Taoù et TiléonLa course périlleuse de deux frères dans le quartier de leur ville. Un programme proposé par Mil-Tamm dans le cadre de l’opération « Le spectacle s’invite chez vous ».19 h 30, salle des fêtes de Cléguérec. Tarifs : adulte, 9 € ; enfant moins de 12 ans, 5 €.
Samedi 6 décembre
OutsideLes deux compositeurs et showmen ont mis les doigts dans la prise et déversent une euphorisante complicité électrique, avec leurs instruments acoustiques. Un invité surprise sera également à l’affiche.20 h 30, palais des congrès, Pontivy. Tarifs : adulte, 6,70 € ; jeunes, étudiants, demandeurs d’emploi, 2,30 €.
Dimanche 7 décembre
Compagnie Bakelite« Galère »Au cours de cette expédition courte mais intense, la compagnie maritime Bakélite vous promet une aventure pleine de surprises et de rebondissements, à base d’objets, d’eau (beaucoup d’eau !) et de bidouilles nautiques.16 h 30, salle Kaméléon, Kergrist. Tarifs : adulte, 9 € ; enfant moins de 12 ans, 5 €.
© Ju
lien
Web
er
© D
. Ver
hass
elt
43
5
4
5
2
1
et là...ici Culture
Mois du Film Documentaire :«Aller à la rencontre de l’autre»
Vendredi 7 novembre« Sur le chemin de l’école », de Pascal Plisson.20 h 30, salle polyvalente Kergohy, Trévé. Samedi 8 novembre« Entrée du personnel », de Manuela Frésil.17 h, «FeST-BAR», 6-8 rue de la Fontaine Saint-Gonery, Saint-Connec.
Vendredi 14 novembre« Pierdel », de Nathalie Marcault. Projection suivie d’un échange avec la réalisatrice, Nathalie Marcault.20 h 30, salle des réceptions de la mairie de Plémet. Samedi 15 novembre« Hiver Nomade », de Manuel Von Stürler.Projection suivie d’un échange avec Thierry Machard, berger dans le Finistère.20 h 30, salle des fêtes de Hémonstoir. Dimanche 16 novembre« Sur le chemin de l’école », de Pascal Plisson.Exposition de photos de classes et d’objets scolaires coëtlogonais anciens.14 h 30, salle des fêtes de Coëtlogon. Vendredi 21 novembre« Sur le chemin de l’école », de Pascal Plisson.14 h 30, Maison de retraite « Le Cosquer » à Le Quillio. Vendredi 21 novembre« Courts métrages 14/18 » Lettres de femmes - Augusto Zanovello ; AEF To France – Anonyme ; L’emprunt – Anonyme ; Le Puits – Gabriel Le Bomin.20 h 30, salle Athena, rue Joseph-Duprés, La Motte. Samedi 22 novembre« Un village sans dimanche », de Corinne Jacob et Philippe Baron.Projection suivie d’un échange avec la coréalisatrice, Corinne Jacob. 20 h 30, Espace Philomène, place de l’Église, La Prenes-saye. Vendredi 28 novembre« Mon lapin bleu », de Gérard Alle.Projection suivie d’un échange avec le réalisateur Gérard Alle.20 h 30, salle des fêtes, rue de l’Argoat, Plumieux. Samedi 29 novembre« Qui a tué Poulain Corbion ? », de Jean Kergrist.Projection suivie d’un échange avec le réalisateur Jean Kergrist.20 h 30, salle polyvalente, rue du Centre, Saint-Barnabé. Dimanche 30 novembre« Examen d’État », de Dieudo Hamadi.Projection suivie d’un échange. Partenariat avec l’asso-ciation Tche’Kanam.14 h 30, cinéma Le Cithéa, 6 rue des Écoles, Plougue-nast.
Toutes les séances sont au prix de 4 €. Les pro-jections se terminent de façon conviviale au-tour d’un verre et de petits gâteaux.Des animations sont proposées autour des films pour enrichir la projection et permettre d’aller plus loin sur la thématique abordée.
Initiée en 2000 par Images en Biblio-thèques avec le ministère de la Culture et de la Communication et le Centre national du cinéma et de l’image animée, l’opéra-tion baptisée « Le mois du film documen-taire », se déroule tous les ans au mois de novembre. Depuis l’origine, ses objectifs demeurent identiques : « rendre visibles à un large public des films documentaires peu vus » et faire découvrir le documen-taire de création, avec un programme riche et foisonnant partout en France et dans le monde.
Engagé dans l’aventure, le CAC Sud 22 a su, en lien avec l’association départemen-tale Double Vue et le conseil général des Côtes-d’Armor, développer une manifesta-tion qui permet au public de se réunir au-tour d’œuvres et de confronter leur point de vue sur le monde, en rencontrant les réalisateurs ou les intervenants dans un climat convivial. Alors qu’au départ, les projections étaient essentiellement pro-
posées dans les bibliothèques, elles sont désormais organisées aussi dans les ciné-mas, les salles des fêtes et même les mai-sons de retraite. Une large et belle ouver-ture qui permet aux programmateurs de tisser des partenariats avec des structures différentes et d’accompagner les œuvres auprès d’un vaste public.
Ecouter et regarder« Cette manifestation est capitale car elle permet aux spectateurs de décou-vrir un autre cinéma, celui qui va à la rencontre de l’autre, prend le temps de l’écouter et de le regarder », assure Cécile Mazurier, directrice du CAC Sud 22.Et l’édition 2014 n’échappera pas à la règle. Comme lors des précédentes, les organisateurs vont une nouvelle fois s’at-tacher à faire découvrir des films surpre-nants, souvent inattendus loin des sentiers battus. Pour les cinéphiles comme pour les néophytes, le plaisir est donc à partager sans modération.
Programmation
30
Tout au long du mois de no-vembre, le Pays du Centre Bre-tagne va vivre au rythme de la 15e édition du film documen-taire. De Trévé à Plouguenast en passant par La Motte, Hémons-toir ou encore Plumieux, onze structures dans onze communes différentes participeront à l’opération et présenteront une large variété de films documen-taires.
« Qui a tué Poulain Corbion », de Jean Kergrist.
St JEAN BREVELAY6 nov. – 19h30Salle des fêtes
LOCMINE7 nov. – 20h30La Maillette
BILLIO15 nov. – 20h30Salle des fêtes
St BARTHELEMY21 nov. – 20h30Salle des fêtes
BIGNAN23 nov. – 17hSalle des fêtes
PLUMELIN29 nov. – 20h30Salle des fêtes
CLEGUEREC5 déc. – 19h30Salle des fêtes
CLEGUEREC19 déc. – 19hSalle des fêtes
LOCMINE21 déc. – 16hSalle des fêtes
Mus
ique
/Hum
our
Cont
e/Th
éâtr
e d’
obje
ts
Cie La Faux Populairewww.lafauxpopulaire.com
« Le cirque précaire «
Cirq
ue
Théa
tre
Cie La Bao Acouwww.baoacou.com
« "Je" création 2014 «
TONYCELLO www.tonycello.com
Mus
ique
/Hum
our
TONYCELLO www.tonycello.com
Mus
ique
/Hum
our
Et si on s’en mêlait ?
TRIWAP - Orphée Théâtre www.triwap.com
Cie Bouffou Théâtre www.bouffoutheatre.com
« « Tim Taou »
Cie Le Vent des Forges www.leventdesforges.com
Théâ
tre
d’ar
gile
Théâ
tre/
Repa
s
« La Princesse de Clèves
Mar
ionn
ette
s
Cie La Bao Acou www.baoacou.com
Le spectacle s’invite
chez vous (au pays de Pontivy)
Renseignements :02.97.27.86.66
[email protected] - www.pays-pontivy.fr facebook : [email protected]
« « Chansons pauvres... à rimes riches » « « Nomade si j’veux ! »
« « Chansons pauvres... à rimes riches »
Mutualiser la diffusion de spectacles vivants professionnels et l’action culturelle
« « Bynocchio de Mergerac »
Cie Bouffou Théâtre www.bouffoutheatre.com
et là...ici Lire et écouter
32
A lire...
Shake Shook Shaken The DØ /WagramLe troisième album du groupe The DØ, formé par le duo d’Olivia Merilathi (chanteuse) et Dan Levy (Musicien) sort enfin !! A l’écoute des 12 chansons de Shake Shook Shaken, nous retrouvons la touche pop rock du groupe. Mais il se renouvelle dans une tonalité plus électronique. Et cela pour notre plus grand plaisir ! Plus abouti, Shake Shook Shaken est sans doute le meilleur album du groupe !! Bénédicte
Trente-six chandelles Marie-Sabine Roger
ed. La Brune au RouergueLe dernier roman de Marie-Sabine
Roger est un excellent remède contre la morosité ambiante. Avec finesse, sensibilité et surtout beau-
coup d’humour, l’auteur nous conte l’histoire de Mortimer Décime qui est persuadé, que comme tous les
hommes de sa famille, il passera de vie à trépas le jour de son 36ème
anniversaire à 11 heures pétantes !! Le jour J, revêtu de son plus beau
costume, il attend que le destin ac-complisse son œuvre. Mais à l’heure
dite… rien… Mortimer Décime respire toujours !!
Tout simplement jubilatoire !Bénédicte
Half BadSally Green- ed. Milan jeunesse (dès 14 ans)
Notre monde est peuplé de sorciers, bons ou mauvais selon le Conseil.
Nathan est issu d’une puissante union défendue de magie blanche et noire. Le jour de ses 17 ans, il recevra son Don que seul son père peut lui oc-
troyer, père qui n’est autre que Marcus le terrible sorcier noir. Seulement le Conseil désapprouve et de peur de
voir Nathan hériter des terrifiants dons de son père, l’enferme tel un animal.
Nathan parviendra-t-il à s’échapper et à accomplir sa mission ? Sally Green signe ici le premier volet d’une série
jeunesse très prometteuse.Déborah
N’oublier jamais Michel Bussi / Presses de la CitéJamal Salaoui croit devenir fou. Alors qu’il tentait de sauver une jeune femme, il se retrouve accusé de meurtre. Alors, il court, court contre sa destinée, pour tenter de comprendre et surtout pour son innocence. Michel Bussi entretient un suspense machiavélique, brouille les pistes et multiplie les rebondissements. Captivant.Marie
A écouter...
Wanted on voyageGeorges Ezra/Caroline RecordsAttention Talent !Une voix profonde à nulle autre pareille, des sonorités pop-folk… Voici quelques ingrédients de l’album du nouveau prodige de la musique Georges Ezra. Jeune chanteur, auteur-compositeur, il nous com-pose une magnifique surprise de 16 chansons ! Bénédicte
Les coups de coeur
Pontivy
Sweet Sixteen Annelise Heurtier Casterman Poche (dès 12 ans)Pour la première fois, neuf élèves noirs intègrent un lycée de blancs à l’époque de la ségrégation aux Etats-Unis. Annelise Heurtier s’est inspirée de faits réels pour nous conter l’extraordinaire courage de ces étudiants, dont Molly fait partie. Elle prend le risque de s’inscrire dans ce lycée. Grace, elle, blanche, y est inscrite de toute façon. Entre Molly et Grace les préoccupations ne sont pas les mêmes. Tout les oppose. Et par cette double narration, on découvre le quotidien de l’Amérique ségrégation-niste et les prémices d’un changement à venir. A lire absolument !Stéphanie
Jeunesse
33
www.pontivy.fr
20 h 30, au Palais des congrès
Jeudi 27 novembre 2014PONTIVY
Tarifs Adultes plein tarif : 11,40 €Adultes sur réservation : 9,90 €Jeunes, étudiants, demandeurs d’emploi, plein tarif : 8,40 €Jeunes, étudiants, demandeurs d’emploi, sur réservation : 6,70 €
Inventif et humoristique
Hilarant et corrosif
Des clowns pas tristes
AURAY LORIENT PONTIVY VANNES
Constructeur de Maisons Individuellesde référence en Morbihan.
Garanties Constructeur.
Poêles à bois ou à granulés: Le retour au chauffage naturel
et là...ici Habitat
34
Comment bien choisir son poêle à bois ?
Le poêle a bois revient sur le devant de la scène après la flambée du prix des autres modes de chauffage. Avec des performances ac-crues et des aides financières à l’achat comme le crédit d’impôt ou la prime énergie, il offre une alternative très complète, à la fois éco-nomique, confortable et économe en CO2.
Contrairement aux clichés qui circulent sur son compte, le poêle a bois n’est pas un objet issu de l’époque de nos grands-parents. Les fabricants ont su le faire évoluer pour qu’il s’adapte aux normes de plus en plus strictes qui encadrent les rendements et les rejets de particules des appareils de chauffage au bois.Ce mode de chauffage convient dans beaucoup de situations dif-férentes, mais il faut surtout retenir que le poêle est avant tout un chauffage d’appoint qui pourra difficilement chauffer toute une ha-bitation. Chauffer une grande pièce, ou un groupe de pièces où la circulation d’air est réelle est tout à fait possible.En revanche pour chauffer tout un logement, il faudra prévoir des conduits d’air chaud pour alimenter les autres pièces, à l’étage par exemple. C’est tout à fait faisable.
Il existe près de 1 000 modèles différents de poêles et inserts à bois disponibles sur le marché. Il est donc important d’identifier les cri-tères de choix les plus importants pour vous, votre usage, votre mai-
son, et également votre budget.Contrairement à une chaudière ou une pompe à chaleur, le poêle à bois habite avec vous. Il est dans votre logement, le plus souvent dans votre séjour, là où vous passez le plus de temps. Il doit donc s’intégrer parfaitement à votre logement, vos meubles et apporter la touche qui vous plaira, en été comme en hiver. Surveillez donc ses mensurations de près (notamment la profondeur).
Quel usage voulez-vous faire de votre poêle ? Allez vous l’allumer en permanence ? Allez-vous l’utiliser uniquement pour le plaisir de la flamme ? Avez-vous un mode de chauffage complémentaire dans la pièce en question ? Un poêle d’appoint n’a en effet pas les mêmes caractéristiques qu’un poêle utilisé comme chauffage principal. Par exemple la taille des bûches peut etre plus petite pour un poêle d’appoint (30 ou 40 cm) car la durée de feu n’est pas très importante. Alors que pour un chauffage principal, il faut que les bûches puissent durer jusqu’au lendemain matin et que la fréquence de chargement soit plus faible.
Opter pour le poêle à granulés
Les poêles à granulés de bois sont la version moderne, pratique et efficace du poêle à bois traditionnel. Le granulé procure des avan-tages incontestables. Il est plus propre que la bûche, évite de la ma-nutention et permet une autonomie de quelques jours impossible avec les appareils traditionnels. La régulation de la température se
DETENTE CHEMINEES34 Avenue des Cités Unies (Face à LIDL)
56300 PONTIVY Tél. 02 97 25 09 69
cheminées • foyers
poêles à bois
poêles à granulés
Ça fait chaud au coeur ! 35
fait à la demande et la puissance est modulable, sans les in-convénients d’encrassage et de mauvais rendement qui ca-ractérisent la marche au ralenti quand les appareils brûlent des bûches.
Quel logement pour un poêle à granulés ?Le poêle à granulés convient parfaitement aux logements équipés d’un ancien appareil à bûches qui a fait son temps ou qui chauffe mal, les gains en confort sont importants, les corvées de bois terminées. Mais de plus en plus, il intéresse les propriétaires de maisons chauffées à l’électricité, soucieux d’avoir chaud tout en réduisant leurs factures. Si l’architec-ture est assez compacte, il peut y devenir le mode de chauf-fage principal. Néanmoins, il n’est pas toujours compatible avec le bâti. Jusqu’en 2006, les maisons individuelles conçues en tout-électrique pouvaient être construites sans conduit d’évacua-tion des fumées. Quand on décide de se chauffer au bois, ça complique sé-rieusement les choses. Il faut installer un tube métallique qui monte du poêle jusqu’au toit afin d’évacuer les fumées. Cer-tains aménagements intérieurs s’y prêtent bien, d’autres pas. Il existe heureusement des poêles étanches à ventouse. Une bonne solution en l’absence de conduit de fumée, à condition de faire preuve d’une grande vigilance. Les poêles certifiés étanches sont encore rares et des installateurs peu scrupu-leux ou inconscients des risques posent des poêles non certi-fiés en assurant qu’ils sont étanches, c’est dangereux. En cas de coupure d’électricité, le combustible déjà enga-gé continue de brûler et si la porte n’est pas parfaitement étanche, il y a un risque de refoulement de monoxyde de car-bone, un gaz inodore mais mortel.
Le bon réglagePour bénéficier de tous les atouts d’un poêle à granulés, il faut qu’il soit bien réglé. La difficulté pour le client, c’est qu’il ignore si c’est le cas. Il faut sans hésiter aborder cette question des réglages avec son installateur ou son vendeur avant de conclure l’achat. Un bon professionnel doit pouvoir y répondre en indiquant s’il dispose d’une fiche de réglages fournie par le fabricant ou si l’appareil effectue lui-même les réglages automatiquement. Les poêles sont parfois vendus par des professionnels qui maîtrisent la technologie de l’in-sert mais pas celle des appareils à granulés. Il faut insister lourdement sur cette question cruciale et prendre le temps de trouver un professionnel qui maîtrise le sujet. Cet élément est essentiel, car seul un réglage optimisé permet d’obtenir au quotidien les rendements promis par le fabricant et donc de consommer le moins de bois possible.
S’approvisionner en granulés
Inutile d’investir dans un poêle à granulés si vous habitez une région qui ne produit pas le combustible. Faire voyager les granulés sur des centaines de kilomètres par camion consti-tue une aberration écologique, ce qui est gênant quand on choisit une énergie renouvelable. « L’intérêt pour la planète » parfois annoncé comme argu-ment de vente s’écroule alors. C’est aussi une aberration éco-nomique puisqu’un long trajet renchérit les coûts et le prix de vente. Mais les sites de granulation se sont multipliés, on compte une cinquantaine de producteurs. Des distributeurs se sont implantés un peu partout. Contactez l’Espace Info Énergie de votre département avant d’investir pour vous as-surer qu’il existe un approvisionnement local. Le granulé peut s’acheter en vrac ou en sacs, il coûte évidemment moins cher en vrac mais il faut avoir investi dans un silo pour l’entre-poser en toute sécurité, c’est un coût à prendre en compte. Quand on achète les granulés en sacs, mieux vaut les prendre par palettes plutôt qu’à quelques unités pour réduire la fac-ture. Il faut ensuite les entreposer au sec.Veillez à vous approvisionner en granulés de qualité. Des problèmes d’humidité et de composition ont provoqué des encrassements d’appareils il y a quelques années, mais le marché semble assaini.
36
Les conseilsdu Jardinier
Savez-vous planter... les arbustes ? « A la Sainte Catherine, tout arbre prend racine ». Cet adage nous indique que le mois de novembre est la meilleure période pour planter rosiers, arbres fruitiers et arbustes. En plantant à cette époque, vous facilitez l’enracinement avant les premières gelées hivernales. Vous aurez donc une meilleure reprise au printemps et la floraison sera plus belle. - Creusez un trou de diamètre 4 à 5 fois supérieur à celui de la motte que vous allez planter.- Emiettez la terre qui a été retirée. Vérifiez qu’il n’y ait plus de morceaux, type cailloux ou morceaux de bois.- Mélangez cette terre avec du terreau plantation et un amen-dement organique du type fumier et algues. Vous pouvez éga-lement ajouter du sable si votre sol est peu drainant.- Mettez la motte dans un seau d’eau afin de réhydrater la terre et les racines de l’arbre.- Griffez les racines légèrement et sans les abîmer afin de les détacher les unes des autres si elles sont trop croisées.- Mettez un peu d’engrais organique en granulé au fond du trou.- Disposez votre arbre au milieu du trou en prenant soin d’éta-ler les racines au fond.- Comblez le trou avec le mélange que vous avez préparé (terre + tourbe + amendement)- Tassez légèrement le sol.- Arrosez abondammentNous vous conseillons de mettre un tuteur aux demi-tiges pour un meilleur maintien les premières années. La fructification surviendra dans deux ou trois ans en fonction de la forme de l’arbre choisi.
no
vem
bre
Les fruitiers
Le Nashi (la pomme-poire)Le nashi (pyrus pirifolia) est un poirier d’ori-gine asiatique et portant le même nom que ses fruits. On le retrouve en Chine, au Japon et en Corée. Comme les poiriers communs, le nashi peut être planté à l’automne, pour un arbrisseau aux racines nues, ou au prin-temps, pour un spécimen vendu en pot. Cet arbre fruitier se plaît dans un sol bien drainé et non calcaire. Les premières poires nashi font leur apparition en moyenne dans les deux ans après la plantation. Ce poirier asiatique ne demande qu’une période d’en-graissement au début du printemps pour lui permettre de donner de beaux fruits. Sujet au carpocapse et à la tavelure, il faut le surveiller de toute contamination pour que ces maladies ne l’affaiblissent pas trop.
ZOOM
Acheter le sapin de Noël : une démarche qui se fait souvent en famille. Chaque année, environ un ménage sur quatre en France achète un sapin pour Noël. Parmi eux, 80% optent pour un sapin naturel, issu d’une production agricole raisonnée. Si vous aussi, vous comptez l’acheter, ou le repérer, voici quelques sapins et leurs caractéristiques :
- Le Nordmann. Son avantage : il ne perd pas ses aiguilles même longtemps après avoir été coupé. En plus, il supporte la chaleur du chauffage de la maison et ses aiguilles ne sont pas trop piquantes. Mais contrairement à l’Epicéa, il dégage très peu d’odeur. caractéristiques...
- Le Nobilis. Ce sapin est très proche du Nordmann car il conserve longtemps ses aiguilles, jusqu’à un mois. Il se ca-ractérise par une couleur bleutée et une certaine douceur au toucher. Il dégage un parfum légèrement boisé très agréable. Si vous l’avez acheté en «motte» vous pourrez le replanter après les fêtes. Si c’est votre intention, faites attention à ne pas abî-mer la pointe (la flèche) lorsque vous le manipulez...
- Le Fraser. Cet arbre est une des espèces les plus culti-vées comme arbre de Noël en Amérique du Nord du fait de son parfum, de sa forme, de ces branches robustes capables de supporter de lourdes décorations, et sa capacité à conserver ses aiguilles longtemps après la coupe...
- L’Epicea. Le plus traditionnel des sapins de Noël a long-temps été la variété la plus commercialisée avant d’être dépas-sée par le Nordmann, plus résistant. C’est le plus traditionnel des sapins de Noël. Vert et robuste, il dégage un parfum de forêt et une odeur de résine. Son seul défaut : la perte rapide de ses aiguilles, notamment à cause de la chaleur dans les ha-bitations.
Mais aussi...- Le sapin artificiel. Pratique et durable dans le temps, le sapin artificiel est une excellente alternative aux sapins natu-rels. Il est résistant et plus vrai que nature. Finies les épines au sol; optez pour un sapin artificiel et décorez-le selon vos envies, l’esprit de Noël sera au rendez-vous !
déce
mb
re
Mes beaux sapins !
74, rue Albert-de-Mun PONTIVY
Ouvert le dimanche de 14h à 18h30
Beauté - Santé et là...ici
Nous avons sélectionné des astuces de grand-mères qui de-vraient changer radicalement votre routine beauté capilaire. Rapides, sains, et surtout bons pour la planète, les trucs de grand-mères ont la cote. - Vous voulez un shampooing naturel mais efficace pour votre chevelure : mélangez deux à trois jaunes d’œuf, un demi citron et quelques gouttes de rhum. Massez doucement votre cuir chevelu puis rincez vos cheveux à l’eau tiède (l’eau chaude fait « coaguler » l’œuf). - Vous avez les cheveux secs et abimés : pour créer votre masque à l’huile d’amande douce, il suffit de mixer les ingrédients dans un bol et de les appliquer (minimum 15 minutes sur vos longueurs) avant votre shampoing. Pour cela il vous faut un jaune d’œuf, une cuillère à café de beurre de karité et deux cuillères à soupe d’huile d’amande douce. - Vous avez les cheveux gras et/ou des pellicules : ce soin ré-gule l’excès de sébum et prévient l’apparition des pellicules. En d’autres termes, il recrée un cuir chevelu sain pour des cheveux éclatants de vitalité. Verser 10 gouttes d’huile essentielle de citron dans un yaourt en pot. Mélangez et appliquez sur l’ensemble de votre chevelure, racines incluses. Rincez après 10 minutes de pause et procédez à votre shampoing habituel. - Vos cheveux manquent de brillance : cette astuce toute simple pourrait changer la donne. Fabriquez très simplement votre eau de rinçage de la manière suivante ! Dans une bouteille d’eau vide, pressez le jus d’un demi citron puis ajoutez-y de l’eau froide. Versez ce mélange sur votre chevelure, sans rinçage supplémentaire. Le résultat ? Des écailles resserrées et des cheveux plus brillants.
Cheveux : Vive les recettes de grand-mères !
Sur la bouche :protectionmaximale !
Sans couche graisseuse sous-cutanée, la peau des lèvres ne peut pas s’épaissir pour se dé-fendre, alors elle tiraille, se fen-dille et gerce. Le bon réflexe : ap-pliquez avant votre rouge à lèvres un baume riche en cire et en huile végétale. Renouvelez l’opération plusieurs fois dans la journée.
Maquillage protecteur et enlimineurL’hiver, quand la lumière se ra-réfie, utilisez un fond de teint spécialement étudié pour la ré-fléchir. Pour que le froid ne fige pas votre maquillage, choisissez des fards à paupières avec une texture crème, qui font le regard lumineux sans creuser les traits. Et sur les cils, posez un mascara waterproof.
Défendez votre peau contre le froidContrairement à une idée reçue, en hiver, ce n’est pas l’eau qui hydrate mais le gras. Lui seul empêche l’évaporation de l’eau de la cellule tout en agissant comme une barrière protectrice. Aussi, remplacez votre crème hydratante par une crème plus nourrissante. Et choisissez la version un cran au-dessus de votre soin habituel : peau sèche si vous avez la peau normale, peau normale si vous avez la peau grasse. Plus fragile, la peau sèche a besoin d’une double protection : appliquez un sérum réhydratant sous la crème de jour protectrice. Si vous rougissez facilement, choisissez un soin pour peau réactive : il associe une protection vasculaire à une protection climatique. La crème (légère-ment verte !) s’applique matin et soir. Vous pouvez aussi dissimuler vos rougeurs sous une crème de teint spécialement étudiée.
37
et là...ici Publireportage
38Breizh Mod : La Bretagne sous toutes ses coutures
Proposer une collection de vêtements et accessoires conçue, coupée et cousue en Bretagne... Tel est l’objectif du projet Breizh Mod, initié par la Scarmor. Avec sept fabricants bretons engagés dans l’aventure et une deuxième collection (automne-hiver 2014) déjà dans les rayons, ce projet innovant est bien lancé.
C’était au mois de mars dernier ! L’espace d’une soirée à Châtelaudren, le siège d’un magazine très réputé dans la première moi-tié du XXe siècle, “Le Petit Écho de la mode”, a retrouvé son lustre d’antan. En présence d’une marraine de caractère, la chanteuse Gwennyn, il a en effet été le théâtre d’une première en Bretagne : le lancement d’une nouvelle collection 100 % bretonne, Breizh Mod. Portée par l’équipe textile de la Scar-mor (la centrale d’achats des 40 magasins LECLERC de l’Ouest de la Bretagne), ce projet visait à proposer une collection de vêtements femmes et accessoires, conçue, coupée et cousue en Bretagne. Contactés, les fabricants bretons ont immé-diatement été séduits. D’entrée, dix entre-prises ont accepté de mettre leurs talents au service de la première création printemps-été 2014 : Orca à Fougères ; Fileuse d’Arvor à Quimper ; Le Minor à Guidel ; Créations Cantin à Lamballe ; Rosemay Créations à Paimpol ; Itoha à Dinan ; Dolmen à Pabu ; Rivalin à Quimper ; Charlotte M à Paimpol et, bien sûr, Roc’Han Maille à Rohan. Présentée dans des espaces spécialement
dédiés et dans près d’une quarantaine de Centres Leclerc du Morbihan, des Côtes-d’Armor et du Finistère, la première collec-tion composée d’une quinzaine de modèles a plu immédiatement.
Les hommes aussi« Nous avons réussi à séduire une clien-tèle soucieuse de soutenir l’économie lo-cale et appréciant l’idée d’investir dans un article de mode haut de gamme, ex-plique Sandrine Fournier, membre de l’équipe de Breizh Mod. Plus de 5 000 clientes ont été convaincues par la pre-mière collection et de nombreux com-pliments ont été formulés en magasin ou sur le site Internet. »C’est donc fort de ce succès initial, qu’a été présentée, au début du mois d’octobre à Landerneau, la collection automne-hiver 2014. Toujours enthousiastes, les fabricants ont cette fois collaborés avec la styliste, Bleuenn Seveno, qui a dessiné des modèles de vestes, de robes, de pulls ou encore un manteau. « La sobriété des modèles et le fait de ne pas transiger dans le choix
des matières, confère à la collection un côté chic et intemporel, tout en gardant un look actuel pour un prix qui oscille entre 14 € et 109 €», se réjouit la respon-sable de l’établissement pontivyen.Mise en place dans les différents Centres Leclerc depuis début octobre, la première collection automne-hiver, accorde cette fois une petite place à la gent masculine en pro-posant notamment une écharpe, un pull et une ceinture. Selon les résultats, le créneau pourraît devenir plus important à l’avenir. De même, la distribution des collections Breizh Mod devrait prochainement s’étendre à l’ensemble des Centres Leclerc de Bretagne. Un développement qui réjouit évidemment les frabricants, tous convaincus du bien-fon-dé de la démarche. Car si tous bénéficient d’un savoir-faire qui leur ouvre très souvent les portes de marchés à l’exportation, ils ont parfois du mal à exister et à commerciali-ser leur production localement. Avec Breizh Mod, ils vont donc désormais pouvoir tou-cher aussi, une clientèle de proximité. Celle qui contribue à faire la mode dont la ten-dance s’annonce breizh dès cet automne !
39
Distribuée en exclusivité par les centres Loudéac - 73 bd de Penthièvre à LOUDEAC
Pontivy - ZA de St Niel à PONTIVY
Découvrez la conception de la collection Breizh Mod : reportages complets dans les ateliers et interview de nos partenaires sur le site www.breizhmod.fr
Ingrédients : (pour 4 personnes)
Pour l’agneau4 côtes d’agneau2 filets d’agneau (120 g chaque)4 oignons rouges de Roscoff4 pommes de terre4 figues de Solliès4 choux de BruxellesUne carottePaprika, menthe, aneth, cerfeuil
Pour le jus au romarinUn oignonUne carotteUn verre de vin blanc secUne branche de romarin50 g de beurre
Pour la croute végétale100 g de mie de pain blancUne demi botte de persil
PréparationJus au romarinAvec les os du filet d’agneau, faire suer l’oignon et la carotte. Dé-glacer au vin blanc puis réduire. Mouiller à l’eau et cuire 20 minutes.Filtrer, réduire de moitié et monter avec 50 g de beurre.Ajouter sel, poivre et romarin haché très fin.
AgneauFaire griller simplement les côtes d’agneau, 2 minutes de chaque côté et assaisonner.Ficeler et cuire le filet d’agneau à l’huile d’olive, à feu doux pendant 5-6 minutes.
Farce pour l’oignonRéaliser une farce en hâchant les parures du filet d’agneau, ajouter du paprika, de la menthe, de l’aneth et du cerfeuil (en quantité suffi-sante), ainsi que du sel et du poivre.Farcir l’oignon et cuire au four à 180°pendant 20 minutes.
GarnitureCuire les pommes de terre à l’eau bouillante pendants 15 minutes.Cuire les carottes et les choux de Bruxelles pendant 5 minutes.Inciser les figues en croix, arroser d’huile d’olive et faire cuire au four pendant 5-6 minutes.
Croute végétaleMixer au blender la chapelure et le persil.Après la cuisson des filets d’agneau, rouler les dans la chapelure.
Dressez, servez et dégustez…Merci à Christophe Le Fur
Chef de l’Auberge Grand’Maison
Canon et côtes d’agneau en croute végétale, petit farçi d’oignon rouge de Roscoff et jus de romarin
40
Repas de Fêtes !Nous avons lancé le défi à Christophe Le Fur et Yvonnick Le Maux de nous concocter leur repas idéal pour les fêtes de fin d’année. Ils se sont gentiment prêtés au jeux et ont accepté de livrer leurs secrets aux lecteurs d’Ici et Là.
et là...ici Gastronomie
Merci à Yvonnick Le MauxChampion de France - Vice-champion du monde chocolatier
41
Ingrédients :
Crème diplomate225 g de lait entier1 gousse de vanille de Madagascar45 g de jaunes d’oeufs45 g de sucre semoule25 g de Maïzena2 feuilles de gélatine75 g de mascarpone150 g de crème liquide
Mousse chocolat au lait65 g de lait200 g de chocolat au lait 40%250 de crème fleurette
Glaçage chocolat15 g d’eau15 g de sucre90 g de crème15 g de miel115 g de chocolat au lait 40%15 g d’huile de pépins de raisins
Biscuit dacquoise100 g de blancs d’oeufs100 g de sucre semoule100 g de poudre d’amande
PréparationMonter au fouet la crème liquide et le mascarpone jusqu’à obtention d’un mélange bien ferme.Dans une casserole, faire bouillir le lait et les gousses de vanille grattées.Mélanger au fouet le sucre, les jaunes d’oeufs et la Maïzena dans une jatte.Verser le lait bouillant sur le mélange et remettre sur le feu à ébullition pendant une minute sans cesser de remuer.Retirer du feu, puis ajouter la gélatine, préalablement ramollie dans de l’eau froide et essorée. Remuer éner-giquement pour obtenir un mélange homogène.Réserver la crème. Lorsque celle-ci est à 30°C, incor-porer le mélange crème montée-mascarpone.Réserver pour le montage.
Chauffer le lait, le verser petit à petit sur le chocolat fondu.Mélanger l’ensemble.Mixer pour avoir une texture bien brillante.Ajouter la crème fleurette mousseuse (montée au fouet).Mélanger le chocolat et la crème montée à la maryse.Réserver pour le montage.
Dans une casserole, faire bouillir l’eau et le sucre. Ajouter la crème, le miel et faire bouillir de nouveau.Verser sur le chocolat noir et le chocolat au lait, préala-blement hachés.
Ajouter l’huile et mixer le tout.Utiliser le glaçage à 35°C.
Monter les blancs d’oeufs et le sucre au fouet jusqu’à obtention d’une texture meringuée. Incorporer délica-tement à la maryse la poudre d’amande.Dresser sur feuille cuisson selon la taille de votre moule.Cuisson : 180°C pendant 12 minutes.
MontageDéposer dans votre moule à bûche la mousse au cho-colat au lait.Puis votre crème diplomate vanille. Recouvrer avec le biscuit dacquoise. Réserver 4 heures au réfrigérateur. Glâcer votre bûche.Décorer à votre convenance.
Bûche de Noël au chocolat au lait
42
Cancer (22/06-22/07) Novembre Vous allez devoir aider, accompagner certaines de vos connaissances dans des changements nécessaires à leur évolution. Ce qui aura pour impact de vous faire apprécier davantage encore la stabilité de votre vie, même si elle n’est que relative en ce moment.Décembre Dans vos rapports avec les autres, vous aurez tendance à faire des gaffes, à moins faire attention à l’im-pact de vos paroles. Vos relations familiales vous apporteront malgré tout des joies profondes. Votre vie professionnelle va connaître un courant de sérénité.
Lion (23/07-22/08) Novembre Ce mois sera fait de succès, de victoires qui, pe-tites ou grandes, vont vous aider à stabiliser vos projets. L’op-timisme grandit et vous ouvre toutes grandes les portes à de nouvelles relations dans votre vie sociale, extrêmement fertiles en possibilités d’avenir. Décembre Devoir patienter et guetter le moment d’agir idéal n’est pas toujours facile ! Les trois premières semaines sont tout indiquées pour faire un grand bilan en profondeur, dans les côtés les plus sombres des situations qui appartiennent au passé, car vous aurez des facilités à accepter vos propres erreurs.
Vierge (23/08-22/09) Novembre Votre créativité sera positivement attisée par votre curiosité intellectuelle, mais attention à ne pas vous jeter à corps perdu dans des engagements ou des décisions trop hâtives pour autant. Votre vie sentimentale va gagner en in-tensité.Décembre Les influx planétaires de ce mois vont vous pous-ser dans une quête de vérité qui va vous donner de grandes satisfactions. Dans tous les domaines, vous verrez plus net-tement le faux, votre instinct s’aiguise ce qui est positif dans tout ce qui touche aux recherches au sens large.
Balance (23/09-22/10)Novembre Votre vie va prendre un essor positif ce mois-ci, si vous acceptez d’avancer vers l’inconnu, l’inédit, l’étranger au sens large. Les influx de Mars vont rehausser votre fantaisie, ce qui vous permettra de vous faire remarquer, de sortir du lot, notamment au plan social. Décembre Vous allez vivre dans un climat agréable, dans lequel vos liens, dans tous les domaines, vont vous donner des satisfactions et vous permettre d’évoluer avec légèreté et optimisme. C’est le moment de chercher à officialiser et à mettre en oeuvre dans tous les domaines.
Scorpion (23/10-21/11) Novembre Ce mois va vous apporter un flux de chance im-portant dans le domaine des finances et par ricochet, dans votre vie intime. Vous saurez saisir les opportunités avec ra-pidité, et vous entourer de personnes qui ont avec vous une profonde complémentarité.Décembre La période vous pousse à des approfondisse-ments dans votre vie sentimentale. Cela vous rendra plus sé-rieux dans vos amours, mais aussi plus avide de tendresse. En revanche, votre expression ne sert pas spécialement ces besoins, vous aurez tendance à paraître plus dur que ce que vous êtes.
Sagittaire (22/11-20/12) Novembre Ce mois de novembre sera pour vous synonyme de facilités de prises de conscience, d’introspection, de bilans qui vont assainir votre vision de l’avenir. Les influx de Mars vont stimuler vos ambitions et vous donner des audaces fer-tiles pour asseoir plus solidement votre situation matérielle et financière.Décembre Ce mois vous conduit à des aboutissements qui seront synonymes de consécrations de vos efforts passés, tout particulièrement dans le domaine professionnel et dans le domaine familial. Votre influence s’humanise, se raffine davan-tage, ce qui vous rend plus crédible, plus accessible.
Capricorne (21/12-19/01) Novembre Vous avez le goût du don de soi dans le domaine affectif. Le tout sera de canaliser cette tendance avec des pré-cautions, et surtout de les vivre avec des personnes dignes de confiance. Réfléchissez à deux fois avant de prendre des engagements sur un coup de cœur éphémère.Décembre Vous serez sollicité largement, et c’est surtout des questions d’achèvement, de bouclage qui vous mono-poliseront. Vous connaîtrez des situations qui vous donnent l’occasion de planter des repères solides pour l’avenir.
Verseau (20/01-18/02) Novembre Votre vie professionnelle vous semblera traînante au quotidien. Vous serez intéressé par de nouveaux projets, et votre curiosité sera la source de succès pour le printemps prochain. Protégez-vous des remous émotionnels qui vous renvoient à des limitations du passé.Décembre Un besoin de vous recentrer sur vous-même se fait sentir et vous conduit à aller au bout de vous-même. Faites en sorte de ménager votre énergie sur la durée. Votre efficacité et votre conscience professionnelle avive l’admira-tion de vos supérieurs mais peut créer des jalousies.
Poisson (19/02-20/03) Novembre Ce mois sera bouillonnant, riche en nouvelles possibilités de vie. N’hésitez pas à vous lancer si vous devez prétendre à une promotion, ou lancer un projet, vous avez toutes les chances de trouver satisfaction, et de trouver des personnes réceptives. Décembre Vous allez devoir composer avec de nouvelles données au plan familial, ce qui n’aura rien de négatif, à condition d’accepter de les tolérer sans rechigner et sans mauvaise foi ! Vos élans de passion dans votre vie intime ne vous retireront pas, bien au contraire, votre esprit pragma-tique, qui tend à se renforcer.
Bélier (21/03-20/04) Novembre Ce mois de novembre sera pour vous générateur de profondes énergies. Mais il faudra veiller à ne pas favori-ser votre vie professionnelle au détriment de la vie de couple ou de famille, cela peut vous mener à saboter les efforts que vous avez produits en août dernier.Décembre Les influx de Vénus dans votre signe vous pro-mettent des amours passionnés, avec toutefois des ten-dances à s’installer dans des situations troubles ! Vos amitiés, ainsi que vos liens sociaux sont sur le devant de la scène. On vous écoute, on prend en considération ce que vous dites et pensez.
Taureau (21/04-20/05) Novembre Le transit du Soleil en opposition à votre signe va vous permettre de prendre du recul sur vos projets, de ra-lentir le flux du quotidien sur les détails et de vous hisser plus facilement sur les hauteurs qui permettent une vraie réflexion de fond.Décembre Le transit du Soleil dans votre signe va vous per-mettre de mener un quotidien plus serein, surtout par rapport à votre entourage. Celui-ci sera moins pressant que le mois dernier, et vous serez de ce fait, moins facilement dans la po-lémique ou le rapport de force.
Gémeaux (21/05-21/06) Novembre Ce mois vous fera rencontrer des personnes tout à fait différentes de celles que vous côtoyez habituellement. Ces influences vont susciter en vous de nouvelles idées qui vont aérer votre quotidien et vous pousser à échafauder de nouveaux projets. Décembre Ne prenez pas de décisions radicales au plan fa-milial dans cette période, vous manquez de recul pour vous y consacrer de façon judicieuse sur le long terme. Vous aurez la bougeotte, surtout par rapport à tout ce qui pourra vous évader du quotidien.
FeuTerre
EauAir
NovembreDécembre2014
et là...ici Horoscope
43
Mickaël Adelis
Tél. 02 97 28 33 38
SARL MONDIVINO3 bis, avenue des Cités Unies56300 PONTIVYFax 02 97 28 33 [email protected]
Vins - Champagnes - Spiritueux - Vins en vrac - Coffrets Cadeaux - Articles de cave...
VILLA
JULIE
TT
EA
pp
arte
men
ts T2 e
t T3 n
eu
fs... au
prix
de l’a
ncie
n
2 a
pp
arte
men
ts tém
oin
s à v
isiter - Rue de Kerjalotte à Pontivy
ww
w.villa-juliette-pontivy.com
- Tel: 06.60.12.74.03
Des tarifs
imbattables
T2 74.900 €
*
T3 99.900 €
*
*(à partir de)