f.of-o*'*'t ^iAT10NALE Df
IiE (HiDOpéra
en quatre Actes Si dix Tableauxde V M.
Ad.D'ENNERY, LGALLETelEd.BlAU
mus/ûuf û£
ACADEMIE NATIONALE DE MUSIQUE
DIRECTION: E. RITT et P. GAILHARD.
LE cmOPERA EN QUATRE ACTES ET F)IX TABLEAUX
Représenté pour la première fois le 30 Novembre 4885.
PERSONNAGES: VOIX: ARTISTES:
CHIMENE Soprano dramatique M!"''^ FIDÈS -DEVRlÈS.
V INFANTE Soprano _ BOSMAJS.
RODRIGUE Premier Ténor MM. Jean DE RKSZKll
Don DIEGUE. Première Basse EDOUARD DE RESZKR,
Le roi Premier Baryton MELCHISSÉDEC.
Le Comte de GORMAS première Basse chantante PLANÇOJS.
St JACQUES,
Baryton __ LAMBERT.
L'ENVOYÉ MAURE Basse chantante ou Baryton BALLEROY.
DON ARIAS Ténor GIRARD.
Don ALONZO Basse __ SE!STEI^.
CHCEURS:
SEIGNEURS, DAMES de 1» COUR, ÉVÈQUES, PRETRES, MOINES,
CAPITAINES et SOLDATS, PEUPLE.
BALLETS réglés par Ml MÉRANTE:
An deuxième Acte: GRAND DIVERTIS8EMEWT. M*:"' ROSITA MAURI.Au troisième Acte: RAPSODIE MAURESQUE: M'"** KELLER, flIRSCH.
Décors:
r-'Acte: Mr CARPEZAT S^Acte: MM. ROBECCHI et AMABLE.
3^\(tc: MM. RUBE, CHAPERON et JAMBON 4^ Acte: M^ LAVASTRE.
MISE EN SCÈNE (le M'.' AD. MAYER.
Chef d'Orchestre: MT ALTÈS.
Chef duChanttM'' L. DELAMAYE Chef des Chœurs: M^ JULES COHEN.
Costumes dessinés par MT le Comte LE PIC.
NOTA. Pour fniililer la distribution des rôle» du Roi et de D. Gormas, des variantes ont été introduites
par TAutcnr; le rôle du Roi pourra donc être égaiemenl chanté par une première basse rhantaute et
celui de D. GORMAS par un premier barvlon.
Pour traiter de» représentai i(ms et de la location de la partititm et des parties d'orchestre
s'adresser à M!" G. HARTMANN, seul l-lditeiir-IVoprirfaire pour fous pavs.
^"'àonCr,,: G. H. tr,7l. Icp. Fn,„,.,el
.
TABLE.Paçes
OrVERTURE ^
ACTE I.
PREMIER TABLEAU.
À BURGOS UNE SALLE CHEZ LE COMTE DE G0RMA8.
OON ARIAS_OON ALONZO _ SEIGNEURS. (Amis du Comte de Goimas)
puis LE COMTE DEGORMAS_puis CHIMÈNE_puis L'INFANTE.
D0\ ARIAS _ DON ALONZO, Écoulez la ioyeme fanfare 16
LES SEIGNEURS_LE COMTE DE GORMASJ '"•'>.CniMÈNE (?'"' <^''''"*^ ^'^""^ ^^^ drapeaux flottants! 19
„ iiuier!... Je puis aimer librement 25
L' INFANTE ï" parais f)ien joi/euse, Chimene 27
CHIMÈNE _ L' INFANTE Laissez le Houle dans mon âme 30
DEUXIÈME TABLEAU.
UNE GALERIE DU PALAIS DU ROI CONDUISANT À LUNE DES ENTRÉES DE LA CATHÉDRALE DE BURGOS.
L"INFANTE_CHIMÈNE_RODRIGUE_LE ROI _ LE COMTE DE GORMAS_DON DlÈGUE
DON ARIAS_DON ALONZO_SEiGNEURS_PRÈTRES_DAMES de la suite de l'Infante -PEUPLE.
PErPliE liéiii soit le nom du Seigneur .î?
I E j^oi ^^ Peuple de Burgos, les Maures sont ruincns! 39
„ Faites renir Rodrigue ! 43
ENTREE DE RODRIGUE (Orchestre) 44
II? f{01 Jurez-vous d'être bon chevalier 50
RODRIGUE ^^ noble lume étincelante 56
), Puis, là-haut, dans l espace 63
LE COMTE Ainsi, vous l'emportez 80
SEIGNEURS (Amis du Comte) S'il vous plaît au disciple auguste 87
DON DlÈGUE ^ rage! désespoir! 89
DON DlÈGUE -RODRIGUE Rodrigue, as-tu du cœur? 95
» C'est lui qui m'a frappé/. 98
ACTE II.
TROISIÈME TABLEAU.
UNE RUE À BURGOS.
RODRIGUE-LE COMTE DE GORMAS_DON DIÈGUE_ CHIMÈNE_SEIGNEURS_PEUPLE.
RODRIGUE Percé jusqnes an fond du cu-ur 105
RODRIGUE- LE COMTE À moi. Comte, deux mots! 111
» Oui, tout autre que moi 115
SEIGNEURS -PEUPLE Un combat! Que s'est-il passé ? 122
RODRIGUE -DON DlÈGUE Quand rous rerient l'honneur ravi 126
CHIMÈNE î^lort! Mort! Qui t'a frappé? 127
QUATRIÈME TABLEAU.
LA GRANDE PLACE DE BURGOS.
L"INFANTE_LE R0I_CHIMÈNE_ R0DRIGUE_00N DlÈGUE
LENVOYÈ MAURE-DAMES DE LA COUR_JEUNES FILLES_M01NES_SEIGNEURS_PEUPLE.
LA FOULE Jour béni. Jour de largesse 135
L' INFANTE Pins de tourmeitts et plus de peine 142
/ Castillane 149
( Andalousk '•''>•'>
1 AUAGONAfSK 157
BALLET J AUBADE 161
\ CA I ALANK '64
I Madkilkne » 1'>8
\ Na\akkaisk 17^
LA FOULE Le Roi! Salut « notre maître!. 180
CHIMÈNE Sire! Justice! Justice! 184
» Lorsque j'irai dans l'ombre 188
DON DlÈGUE Il a vengé le sien 191
» Qu'on est digne d'envie 194
RODRIGUE tourment de la voir! 198
CHIMÈNE Rien ne peut le sauver! »
!;iNFANTE-LE ROI -DON DlÈGUE^ ^)„. /^, ^„,,^ „^„^ ^,, ,„„^., „
Amis du Comte— Amis de D. Diègue—La FOULE)L'ENVOYE* MAURE (') Roi!.. Roabdit notre maître 214
LE ROI Vous avez entendu sa parole hantaine 217
DON DlÈGUE Oui! qu'il soit votre chef! 219
i;iNFANTE-LE ROI-DON l)lÈGUE_LA FOULE. . \a combattre, Rodrigue! 224
G. H. 1571.
ACTE III.
CISQVIÈME TABLEAU.
LA CHAMBRE DE CHIMÈNE.
CHIMÈNE _ RODRIGUE. p,,^,,,.
i:.\ill' ACTt: (Orchestre) 228
CIIIMI^.NE '^'' '"''' oll'rcii.r nniihaf jr stns l'àuu' hfi^H'c .... 2.vl
„ PIriirez, (tlt'iiifz mes ifcti.v! 2.'>2
,>Toi! Hniia crf/r ((cmeiire! 235
(;Hl>ll\.M:_U()l)l;Kil K ^> jimvH (II- promicrr Imdrvssr! 2Ô7
(; !1 1 M K NI-; ' " •' je '"' '«' hais point ! ÙM„ Hélas ! Si ffiiii aii/rr que tin »
CHI>IK>r._llOI)l5H;rF, O mirarlr (t'amotiv! O comltle (tr misères! .... 244
cm .>IÈ>' li Vonrir! Tu vas mourir ! 'Zi7
„ Si jamais jp t'aimai, cher Rudri(ftn' 251
IIODIUGLE ^...^.^... Paraissez, Narartais, Maures et Castillans ! . . . 257
SIXIFMK TA IILEAU.
LE CAMP DE RODRIGUE.
RODRIGUE-CAPITAINES .t SOLDATS.
CAPITAINES et SOLDATS Virons sans peur el sans remords 260
RAPSODIE MAURESQUE (Orcliesh-e) 269
RODRIGUE .Arrêtez ! Est-ee ainsi (ju'à la honteuse ivresse 278
CAPiT.AINES el SOLDATS Tu ne seras pas seul , 282
SEPTIÈME TABLE.iU.
LA TENTE DE RODRIGUE.
R0DRI6UE-S' JACQUES—VOIX DU CIEL.
RODRIGUE .4h! tout est Inen fini! 291
» souverain, à Juge, ô père! 292
S'. .lACQl'ES -VOIX DU CIEI lusqu'au ciel a monté ta prière! 298
HUITIEME TARLE.4U.
LE CAMP LA BATAILLE.
RODRIGUE -CAPITAINES .'t SOLDATS.
CAPITAl.NES et SOLD ATS Merte, amis, uu.r armes ! 500
RODRIGUE _CAPITAI.\ES et SOLDATS Ô noble lame étiurelante .105
» /•,'// avant! En arant! »
ACTE IV.
SEUVIÈME TABLEAU.
À GRENADE UNE SALLE DANS LE PALAIS DU ROI.
DON DIÈGUE- LMNFANTE-CHIMÈNE_LE ROI_SOLOATS.
D0> DIÈGUE Ainsi, mon fils est mort ! 509
» Il a fuit nohlement ce que r/tonneur eonseille! 515
L"I.^FA^TE-CHI>1È^E_D0^ DIÈGUE .V«/7.'.. Celait vrai! 5 14
» O eaeur deu.r fois brisé! 515
CHIMÈNE Ketale, à mon amour ! 519
LE 1501 Vous pleurez! 324Clir.MÈNE -DO.N DIÈGUE ih! liodrigue est riranl! 525
DIXIÈME TABLEAU.
LA GRANDE COUR DU PALAIS DES ROIS À GRENADE.
L'INFANTE_CHI!VIENE-LE ROI-RODRIGUE_DON DIEGUE
DAMES DE LA COUR-SEIGNEURS_SOLDATS_PRÈTRES_PEUPLE.
LA FOI LE liloire au Ciff! au vainqueur ! 326MARCHE DU CfD (Orclicslre) 327LE 1501 Garde rr nom de Cid! 557ltOI)l!iriUE I.a rérompcnse ifur j'envie 558CMIMKNL Que je réponde! 340LE I50I le (\,i promis un arrêt qui te ventfe 543L V lOUI.E l*avle! prononce! 545l50Dlil(.( E Puisque tu ne soi.'-ais, t himène :: 'i(!
CHLMIiM' A'o« / Tu ne mournis pas ! 501IV FOULE Elle a pardonné! ..
* (iloire au Cid! au ruinqueur! 3.")5
G II I57L
LE CIDOPERA EN 4 ACTES ET 10 TABLEAUX
d'après GUILHEN DE CASTRO et CORNEILLE.I*œiiie de M. M.
AD. D'EWl^'ERY
L. GALLET et E. BLAU.
Musique de
J. MASSEIVET.
OUVERTURE.
Lent. J-=440)
PIANO f.
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IHACTE 1.
I' TAHLKAU. r.' TABLEAU
a Burg^os.UNE SALLE CHEZ LE COMTE DE GORMAS.
Ail fond, ifraiiifr frtirtre arec balcon dnnnnnt sur une rue dont les maisons sont paroise'es.
Fanfares au lointain.
I.'IMAME, CIIIMKNE, LE COMTE DE GOUMAS, !)()> \HIAS, DOA ALONZO,
SEIGNELRS (Amis du Corale).
Airinië et brirtaiit (J=132)
PIASO
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(Orcheslic). RIDEAU.
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(ranCares à l'exfe'rieur. lointain).
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SEIGNEURS. (Ami:, dn Comte).
yiiol(|ues T('i)ors. y:y^?bz: g f '
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E_ coulez la joyeu_se fan.fa^ • m m
_ re'
i^ ^t y gi^b—•^
E-coutez la joyeu-se fan_fa re!
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(; M. 1571.
17
^DON AHIAS (aux Sci-iiciirs)
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Roi nous mando auprès de lui.
m ^— /—1=^§E
Roi nous mande auprès de lui.
^ESé(Oi-rhcslre)
* ^
DON ALONZO (de nn'inc).
f^PF^'ï-^ r-ft-^H^r^"^i^^rr^^^-gAr-
airne chevalier Don Rodrigue aujourd'hui! Et la faveur est ra _ re!..
(Kîuifares). ^ •< ï.? .? .V
P » » » m » » é i r\ï ^ àj.
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SSEIGNEURS -(enlr'c^x). Pour è-tre clieva _ lier!.
À » T ^^-f- P p ^ I
pRodrigue est jeune en _cor.
(()trh.'s(r(
^4IJ'r^j J^ -
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r. H. 1571.
18
EE COMTE DE GORMAS (qui est entre sur les dernières paroles).
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IM^ p l^ ff ;;^Mais Don Diè.gue, Messieurs, fut nn vaillant guerrier!
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Le vieillard en son fils
(Orcheslre). (Fanfares). n ^^ i=»
obtient sa récorn.
(Orcheslre).
fftiWTl I ift^^ï^^«^ b ^ Jé é é é é é
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DON ARIAS.
E^ PS p p 1 r ^ p=^ =^^=F
(Fanfares).
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_Si le prince est si juste à pa>f .er lavaillan .
M '\mm\ ^^=^^iIZ3^T-^ ^fruf
m JL
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I.K COMTE.
ms^m m
^ -^
p JM^ P tt
Que prétendez-vous
p. : i:>r FFir »'|J hJ j^igjuif)^Ar.
ce. Seigneur de Germas, comp_tez sur plus grande fa _veur!.
(Orchestre).
l:®^
DON ALONZO
."rrir- rr-^—m. m m. m m m.
I*=;i 1 V \> V •> t^ V V
di _ re? _A l'In.fant le Roi doit e _ li _ re A_vant c«^ soi^* un couver.
izc:-6—
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^^ wfc—
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^AI^ ^.neur! (avec ompipssemenf, au Comte).
i}'^' - ^ "j'i i j.^iii'i'j'Prp ^ 5SEIGNEURS.^ C'est à vous que revient un tel honneur!.
TS ^ 7\'pp^i^^r^c'est à vous (jiie revient un tel honneur!.
«F
I.K COMTE.Plus animé.
M. m. m m m 0-
f#=^ ^^ ^ r=:t ^ :;t=±=:^
Ah! ce choix comble . rait tous les voeux de ma vi _ e!
Plus animé..—^ 3 .V a
*EEftEEËËM fî^EEEf^EEî*=^jif-
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CHI.MtMi fcnfranl avec animation).
./(à son |)('rp).
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i IQue rV'sl beau ees drapeaux floi.
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.(arits!.. Ces glaives é.clatants!..^
Ou le ciel met sa
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I.K COMTIi f;iv.'c un soiiriro).
m c m ms •_ ^f.-ivi'c in(ciili(in).
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fè _ te!., et ce nom qu'on accla. me!.. Le nom surtout est beau... n'est-ce
£-hÇ,- 5!Z:
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JP -^ uf^£3,Ty
Assez lent et très soutenu. (J=58)
CIIIMKNK (roiigissnn(c).
> h \h J^ J' ^1 ^dans mon•'Ah! |e vois que mon ptre a lu
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Assez l«'nt et très soutenu. ^#^1 ^ fî
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G. II. 1571
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LE COMTE.P .t^ I
me!.. _Oui, Chimè _ ne, Ro.
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-drigueest (ligne de ton choix, Je me promets du fils ce
y l;;:!»^ ssa ifî*^J: i î'?l:t
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«r;5 m mf = 3 s
que j'ai vu du pe _ re... Et ma fil _ le,
(M.^m m mpeut l'aimer el me plai
^m(.. 11. f-yi.
22
e.ijjiessif.
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Ê- re. Ma fil peut l'ai _ mer!..
i".' mouvî
CHIMÈNE (atlendrie).
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V}' mouvîAiiimé et brillant.
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Que la parole est dou . ce au cœur de votre en . faut!... *^ m^uv.
Aiiîmé et brillant
& ^ f* »- * » é m •
LE COMTE.
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E-cou.tez la-joyeu_se fan. fa
DON ALONZO. f
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SEIGNEURS É-cou-tez la joyeu-se fan _ fa _ re!
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Comte de Gor.mas,
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Comte de Gor.mas,
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Comte de Gor.
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Cornue do Gor.
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Gouverneur de Tin _ faut!
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.mas, Gouverneur de l'In.fant!
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sort accompagne de ses Ahii>)
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Gouverneur de l'In_ fant!
.mas. Gouverneur del'In.fant!
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^
G. II. 1571.
25
Très animé. (J=IG8)
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CHIMENË (avec ivresse).
f Ê^ 1»—
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:fci± ^EElAi.raer!.. ai_mer!.. je puis ai
^^'^/ff ^ f^ ^fi ;fc^ ^^
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É:/t.3> n^j..^:^4^g a fc5=^z-
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^ ^ :>^ / • ê^î^^3^SE
mer librement devant tous!.. Ah! la chè-repro.
±3-» •- ^'m ^=5±^
J'if
P iSÏ5i5=t5 ^f—
^
Il7-^=^—ta:
I *Un peu moins.
T r f' H I P P P ntmes se!.. Il est des canirs parfois ti
m^
.V ^ .V
-y h. r r i^ 'rEBp 5i^ -^^—y-
^h-y-
(;. II. 1571
mides ou ja.loux Qui trouvent des douceurs à cacher leur (en _dres
W^i:*=«—*fE3i
-^ « ^
P
m m-^-^ 1^
$ ^^ i-^h-^ ^_ sel Mais à ceux-là le mien n'est point pareil, L'a _veu de mon bon.
fMz:~rr
heur enre_dou-ble li _\res _ se!, A mes f ières amours
ew i m.
m ^X i^ y 1^ Y€^^ ^^—s- fc=± 5-*:
f^^^£zg
e.rprrKsif. rail.
m&=^il faiil !<' clair so.h'il!
k ^\f^
^^Kl librement jeveux ai _
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S ±±
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G, H 1ô7l.
\ Calnie_rii;iis >;in^ lpnt«Mir. (J=104)
(Quelques t*agp> précèdent l'INFANTE et «io.ref irent aussitôt).
27
^i_ mer!
Caiuie mais sans lenteur.^7^* ^#^?i -^ A e :-
K!; *] p E=^
î!t „ b»
'9;r i;r>f.i^S fc^;i^^^ F 1 i^^1^^ ^^' e.rpresnif.
•(a part) LM>FA>TE (à Chimkne).
C /^^ X *! MZ3 #=ff'^1- P [? r ^
L'Infan.te!. _Tu parais bien joy.
JL ^ t P
iT n
' » » 1/ rffHJ.:? *
fc^ fi y >. i ffg Ï^S t^=^=^tlllL!' '
'-^—
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f9- ^CHlMKXh
In ^^ ^eu se,.. Chi _ mè ne?.. _Eh!.. qui ne pourrait
ff^^^ j ] ] n ^ 1 a
:r—3^—
^
rli^ fe=i ) u J". »^^ ^^^ti=^^
jC/'C:;''^'
I.'INKANTF. (avef melanrolip).
ff=#(:.=i«^ E ^ § ^
rt=3F—F^
l'être au beau jour (jue vol _ là!.. — Mais...
• • ^^ê_^.!^_mè ^•
—
p-
dol.
fc^P^^ ii^^zi"^i" ^ ^tt^3
(; M 1571.
28
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,-f~fJ' } \
i 1 i,J J J j I
&épeut e tre ceux a Que leur {^randeur en
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1^1 y—
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li^;\ré
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t EEEÎs p P—0-
P^^^^ ^1^— —
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cliaî . ne Kt (|iii ne sauraieul pas à ce point s'otihli . er
mm. a s^ ^
m t^^p^F?F^F—0-^'"
<h^ t tj^^ #-^—
#
Quedadmeltreen leur ame un simple rheva _ lier!..
CIIIMKINK (trouhlro). ^(Jiie (lifes^
S teâJCJu7
r-* T X =
(m |);ir( )
5=F ^^ r~Tr^vous, Ma _ (la - nie?. .le fris^ion. ne!
i c^ -ui^-
#-
^7~^>—
^
h .-^
f^ p^=qiï msf r.rprrssif.
r, H i^7\
29
L'INFANTE ("sinjpIeni.'iiO.
^ y 1
r r r F h r p^^ p ^ i
j jL'amour est un t> - ran qui nepar _ gne per . son _ ne!
=Eé P W
e i E/ rf/wj
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->„ r r 1
- ^%^ F^=^
* jjj jj #—••
P r "(^ I' f!
CHIMENE (haletante).
Mets la main sur mon coeur Et vois comme il se
^ g 1 «
PFP ' PP 1
I
Kodiigue... vous lai _ mez?.
Plus anime.
?=^tH=; afv V
u \. <>i-©-
r r p r i'
>> — s^E ^In.
p ^ rf£
trouble au nom___ de son vain.queuf, Comme il le re_connail!
CHIMENE. (vivcmcnl et finiiie).
1 ty0. \yn
p rail. r\ mm »^^ M ^' ^' "T^ \> I !?<; ^zç:
Ne l'aimez pas! ne l'aimez pas!.. Ma _ Ha me!..
Mr\ m
30
1ns=xS
Un peu lent et expressif.cJ -=56)
P
peu lenr ei expi
CHIMÈNE.
P^^^m^im tEE^Lais.sez le dou _ te dans mon a
fme.
^^=^J^ ij^Jftl- k ]> i^ i^^É --? X Z
^-—
*
Ne lai.mez pas, Ma_ da
c. Ii\> r, »^^ # ^
_sez l'espérance en mon cœur.. Ne l'aimez pas,_ Ma.da _
l^lfLX ^ ^=^%
r^ Ér
^ bp .;/>^
J 1 ^c.
(
Ë p^^sme!.. Es^ pe _ ran ce peut e _ tre
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fe
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E«OUfCMM.
G. H. 1571
3J
c -S5k>2^
('.rf)r<'ssil'.
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crcfic.
-rv^i _ ne. Don _ te peiit-e _ tre juste
En animant.hëlas!.
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#^5:
-i)^
5Ë ÎZJË
r^=^;
1 #—1»^m T} mmm \hà1 y., 1^^^
aans rigueur.
^ L; r ; i h I h h i '
Ah! pour ma des _ tl _ née In .cer.tai ne.
Pèd.
SrtH.s retenu ./^ E T^ (•—^-=1^^ p r p^^p
Ahlpai- pi_ tie'! ne Kaimez pas ! Ah.'pai' pi -lié! par pi
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lie!. ne [mmi'7 pas!
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32
L'INKANTK
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Un peu retenu. (J- =f)0)
Cl Il _ MKÏ ne
m m IT^ -^0- «F=ai «F=«?
jfJJJ rfoH. <'/ souienii.
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dol.
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ve qui l(; vient chai mer... Sois heiireii _ se!
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So^ez clé
rtj't'r la t'oix.
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E » ' m ^ 5^dim.
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tu n'es pas rei _ ni; 1 Moi, je n'ai pas le droit (J'ai
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men _ te !
i5/' rf//n
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S rnrr:r
G. H 1571.
33
I" /Wv ^^^^ ±=± •7 :? n ^r.f :
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- mer ! , .^ Gjirde le
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Sovcz cl/mcn _ te sou , ve . i.ii n<'
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In m^±=-g: ^gr ^^=
re ve... qui te vient charmer!
Et laissez-moi
avec la voix
droit. de l'aimer!
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ê ^^^ mSoin _ li<»u„reu se!
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lu n'es pas rei
^=^- ^ X rTT^i
ne !
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^Qy^ity, v\0 , nieu le!
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r;. Il 1571
ÏC
i^ëEif aitiiîiaiit peu à pou
F5^=^H—» • Wlu /V? - ^ -^?—
^
¥=^
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Moi, j<' nVii pas _ le droll dai _ mer!..
I—*»
—
^AI.! laissez -moi le
diniEn animant pou à peu.
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I P ît =»=»ir*-
tA*^ i ^ J as:^^^r
1?-^
#^- ^"l*-5/;^^Vg-fcR7
Va! SOIS licureii . se! Ah!
ï^- T X ^ ? •? 1^ e(Iroil (lai _ mer!..
gq^^fflAh!^ f S* «
^)M> I* i'u L^LiÂ
^ ï i9—9—9^
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^arçxrFFr^^ /"" ./i i'/CN rft»
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Je nai pas _ le (Iroil, le
p poro 1(1 II. più yE^
(lioil (lai _
P /^ diiu.
à i^^ * 9
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Laissez - moi _ le droit le droit.
pocn rail.mdai
i=F1 t "f t ^ X r=p
dim . p
g •? ^ *?
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Pèd
G. H. 1571.
35
"1PP l'".'" Mouvt (plus c«line)
I".=/k^ 1 g *1 t . ^ ^P ^^^
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_ mer!
PPc.lhi^ i
*1 3? 1g *1 ^mei" 1'.'" Mouv*. (plus cal me)
i; INFANTE.
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Va! je me souvie» - drai (!<' (iiii le sms la
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le! I>oi'_gueii (les jHinces (le Castil _ le
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ji ;K,_i< ê ^ ^%^^^^CTlI;^^* J- V
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Doil elouLlei' en moi les rêves les plus doux!
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^^^^f^rte^ T=»=
n II. 1571,
36
fîivcc ro'^oliilioti h
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^ 1 fr_J zzizx=3:
Rodrigue e^l ion aPlus retenu.
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|j^--7L"T ^ ^ P ^ê;^=F
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mant, .. il se _ ra ton e.poux!CIIIMÈNE (avfc joie).
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J'J'¥éi\ animant
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X teIl—» ¥ Fin du r/ Tahicau.
G M l^7^
57
Une GalerieCONDUISANT DU PALAIS À L'UNE DES ENTREES DE LA CATHEDRALE.
a travers la colonnade une rue de la rille du Buryus. Ciel clair.
Les cloches sonnent ^Actions de grâce du peuple.
L'INFANTE, CHIMENE, RODRIGIE.LE ROI, LE COMTE DE (.ORMAS, DON DlEGl'E.DON ARIA^, DON ALONZO,
SEIGNEIRS. PRETRES, DAMES DE LA SLITE DE L'LNFaNTE. PELPLE.
le Ures brillant; (J=ir"^AlliDK
(Cloches)
126)
PIANO.
^Eàà
tt^f^f
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Ped.
PEUPLESop.
soit le nom du Sei _ ^neui
1^2-©-
soit le nom du Sei _ ^neiii Dont la
soit le nom du Sei _ pieur. DonI l:i
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i6 p—PEZ p f' n ir ^ "p I \ \\ \^à Saint Jacques le Ma . jiMir, Sou _ ve . rain pa.tion de l'Ks
^ P p P 1/ M r ' 'iJrW E p^
à Saint Jacques le Ma - jeur. Sou . ve _ rain pa.tron de TEs .
à Saint Jacques le Ma. jeur, Sou . ve _ ràin pa.lron de l'E
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LES PRETRES. f#=^S m(jIoiic ;i Saint .lac _ (jtn's
(Grand orgue dans la cathodrajo)
^ -i> m.
g ¥ ^=F^ ^=FT E^r"^1/
(Orchestre)
^ fS'-v- # . #
le Ma _ jeur! Gloiro à Saitil
L «>"
1 < > ii:
^^ r^^^i^^H3=F= #^H« •^ • *
ÏS==?K^3 ^^3 o # ±3=5 SS^^yrt
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I.E ROI. y*
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^Jyc _ ques K Ma - jeur!
(OrchcNdf)
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iifff^33: ^
X :r"î:r't^ '«-f ;^
^ ij. i f i ft^nr^peu _ ()!(> (icHur.gos,.
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les Mail _ i('ss(»rit v;nn.
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( tt'^- v\A ^
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s =r=i^
(.11 1571
if)
eus!
^Et dans cette jour- no'
s m ^ \ s s m ;^./
m ^^Ké-^
<i^
mTfm ïNous rendons au Sei_ gneui- le _ gli _ se pro.fa - ne' _ e Et
Sg ^ ^?f
^ i
V fe^i ^^pt
nous nous re _ le _ vous noire a_bais_se , ment.,
y T.èJ 4Ji^s^îâ^m ^^ £F=^
Peu . pie, nous nous re_ le . vons , de noire a _ bais _ sèment!
(;. M. 1571.
41
Lks Dames de la suite de l 'INFANTE avec les Soprani ./
E^Bé-ni soit le nom du Sei.
Don AKIAS,Dx)N ALONZO. Les SEIGNKLRS avec les Ténors et les Basses.^^ i ^LE PEUPLE.
Les Prêtres avec, les liasse
Bé.ni soit le nom du Sei
J M. M. JL_ f. f. ^ ^
ig HBé_ni soit le nom du Sei
ff
.(Cloches)
-^Ç—--
m f r r^*~^
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?-i?—--
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p p p 1/ p gg -
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gneur Gloire ^ à Saint Jacques le Ma.
-o-:|^=S: i5>- P p p p p p—
^neur! Gioi i'e à Sniiit Jacques le Ma.
1 f i ffft^ff£gneur!
^A^t ft . ^ t^^ 1^ ^ f^I Gloire
-*—--
à Saint Jaajiies le Ma.
f Ir f
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.jeur, Sou_ve ra n [)a_tron de l'Es _ pa^ î^
^nie!
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eur, Sou.ve rain pa-tron de l'Ks _ |)a
iJ\'^ U \U\ i
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(;.H. 1^71.
42
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3:
^^ I^ ^=^^Bë - ni soit le nom du Sei. gneur
^^ ^ ^Bé _ ni soit le nom du Sei> gneur!
£i Si^
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Bé _ ni soit le nom du Sei_ gneui!
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l^n peu plus l:u-;;4Mn(>nt
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f ^ F F f F
.l.'veuMvcoinpen. ser i. ci, publique . nient, Heu.reux diui jumelé (euioi
l'ii peu plus lîw^emenl.
¥ y(;.H. 1571
4.5
_^ria-ge, Une an _ ti .que valeur dans un jeu _ ne coura _ ^v\
mm -O-
ET7
.9 .?
t^y i^nfjTifri
%-u.u.miii
i^M4=Qà
f=^-j j [
r î f
LE HOI., ol *l
^Fai . tes ve.nir
DON DIKCLE.
Ro _ di'i _ ^ue.
m.(se firoslL-rnant Hcv; uil !» HoQ
^^ ^ ^mon mai . tre! () mon
^^'-* i
wa
(arrf'fiint le ffcstc A<- DON DIKGUh)
i.-rc^ ? ^I E? ;t
P T I fNon, Com.te, pas ain _ si... prends place auprès de
Roi!..
^5=^
g
"1
r i:
G. M. 1571.
44
^>^-f-
inoi:L
m(^=100)
Le même mouv.t avec (i.i peu da.npleur. ENTREE DE RODRIGUE.
^ ^ bien chante, sunore et soutenum
mL'INFANTE, (à part, rc^;,r(l,in( Chimhm:)
^PCHIMKNE. (aver eniolioii)
Comme elle
^^^Trouble deJi.ci . eux
lif/mentez peu à peu.
wque je
(.'. M. \h7\
45
lu 6 ' r [?r^ s: ./
semble é_mu^ ^gfe^Be!..,
^'' rI
' Fr""P
Ahîdans son eœui- quel
./*.
^
^
sens a sa vue
DON DIK(7l'E.(kpart) p
Neme tra.hls pas!...
M^ [• r I ^"
i^ -^ ' -g
(^Ui' son re _ gaid est fier!. Voy _ ez !
(àpnrt) p
AMIS DE OON DIEGUE
(à parO /i
<^^-^
Quesonre- garcl est fier! Voy . c/
!
^^^^^ ^^ ^
Soi
Que son re . gard est fier ! Vov _ ez !
^ 7 .
PEUPLE ET PRETRES.
T(.„.»!t'
Voy _ e/ !
^3^^^ ^
B;isses.
^E
Vbv_ez ! voy _ ez !
X ^^
Vov . ez !
--i^ 1
Il sssa
Il sa.
Il s';a_
S^- ^y
Il s'a.
Il Si,.
E^2Il s'il
È=ÉZ a^^ ^^^
(.. II. 1571.
4 fi
in
<;.
tf #:Ê=^t
WZIM-ri J ^
trou _i)le .. a sa vu e! sa
-^ ^^ du
^ËEËitrou_ble dé . li . ci - eux que je sens...
^ tp:
a sa vu _ e...
LE ROI,
^ Vft ^itef:
dim.
ê^ Que son re
LE COMTE. Xgai-d est fwr\
±f c rr ce ^>JLl_^ 1» )•—
^
?^De quel air souve _ rain il s'a _ van_ ce vers nous!
dim.
itê ^^ E^.van ce vers nous sa _ van.ce.
Ja4^ J'' J'' J J-: J'- I J j> j' ^X tl^'^' =t
AMIS DU COMTEDe quel air souve - rain il sa. van.ce vers nous!..
./:JHIM ê^^ ^^^z 13: t=^tv
^
De quel air souverain il sa. van. ce vers nous !..
5-t
.van . ce...
to —^-rf»»l.
J J. JM J^Y
_ van ce vers nous ! Il sa . van.ce..,
van _ ce...
^t^
van _ ce
J. JM J >^ -^ ^van ce vers nousil Il s'a _ van. ce..
^-^rfim,.
»=^ :^ r^tez itjz: ^f f
^m.
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3-
(;. H. 1571.
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p îin peu retenti. l*:*^ MoUv.t
ti y"-^î --
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Ne me trahis pas!,
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C'est lui!.
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C'est lui!.
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C'est lui!
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C'est lui!.
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C'est lui!..
±322 É =^==
C'est
PPlui!,
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C'est lui!
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Que son regaifl est doux ! .
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^ ji_^ ^''"^--^^-^^3=^dË^3r=^ •V 3 5
I.K i{(il. (à RnnKrcuH)^ # * y r^:^ ^
J/M 7?^'M ClUI-f/lTe vol _ ci (le\;m( notis,
mmms * it=tï^Wa -f--
I^H
ca'ur f'orvoni, cœur loy . ni. Et (Irvani Dieu qui te re
^tfO^
fP
-t*^-or^ :^:
W-('y4 ' >'
5^ Ff^:j;—
^
f:^^ f^f^
i. fj ^^ ^;r , ^if EHE?^•Av (le [*!•(' _|)Ji - l'é (li.f,''n('m('ri( à cel lioiiut'iir rovjil
,
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tF^J ^
f f
^:
f(Î.II. 1571
49
So|). TOUS. 'î KoHri-i.H)
it4i=t_^=M^-jp m ^m ^^
Te voi_<i |)ie_|)a . vr (li_j^ri(MiU'iit à tel hotiiiciii- lov.jii!
=È^E^Ë^^^P^^^ '^mt./
Te voi.ci piv_|)a . ro di.^uemenl à ccl li(;rrm'ur rov-Jil!
Basses.
A A -* 'AW^^ ^ ^ ^^ï tê:
ïo voi.ci pre.pa _ re dLg'iiement à
(les Prêtres avec les Basses)
cet honriem- rov-al!
^W\-Iz^ 5pi i
f^^^*=a:
f
^;¥:
IK HOI (a lUiDKIci K)
=^=?=|T'
^
g^H^
(;. H. 1571
50
j;iM-4M I-; <;mMi:NK ( ;i koi.hk.i kj
15¥l=. noiix !
LE COMTE. f')' - « P
-e-
()().\ iJlEd'lE.
A fîi'.iioiix!
,.(à KoDl:ir,iK)
^-« - ^H-
-o-
A ^o.noux!
LE ROI.
MajcsfuOUX.fsJtiis IfMltcur) ..(avec snlcnnilt'
r^ ^ — f/m ^ r.
r-^-m^]!lfaj<>stueux.(sai)s lenlcur)
Ju_rf/-voiis(IV'tie bon che.valicr?
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(cl=o52)
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l^FSîG. H. 1571
r>l
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SG. II. 1571
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Keçois donc cette ëpe . e, Elle a dans dix comhals ë _ f In.ce _
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- le claire et fi „ de _ le! Qu'eLle prenne en tes mains u _ ne
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mM^^ f iigloi _ re nou\<'l le!
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S feit^^S ^- 7 .^ .-< 3 .9 .9
Rfm'Rir.lE.(monlrarif ^on pt'^re) (éner)fique>
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8---,J'ai devant moi lex. em_ple, et ne faibli.rai pas!
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feS^^ \-^w^
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G. H l")?!
mLE hOI (en forme de consérratioii relisieusej
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(^iJcMonseij^ronr Saint Jacque et que Dieu no.lir Si _ rc \«nfs .lieiif
Même mouv.i
L'INFANTE. Jwint
t=^
CHIMENE.
Que Monsei^neui' Saint
^^i^iiG Monseigneur Sain!
i :f:
^ '"-f.1&-
(le KOl donne l'accolade à RODKir.UE)
?^^pourchevalier et
LE COMTE.
daignent vous condui _ re!
J'S ^^^^DON DIEGLE.m
Que Monseigneur Saint
i
^ Sop.
(}ue Monseigneur Saint
R=F^TOUS.
Que Monseigneur Saint
^B»
Que Moiisci^iieiD'Sîiinl
S feê^Que Monseigneur Saint
i ^ B"cr # # =ff
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G. H. 1571,
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Jacque et qutrDieu notre Si . re Vous aient pour che.va. lier e(
P f m f P \ o '—&- ^-lS^
r^Jacqne et que Dieu notre Si _ re Vous aient pour clie .va. lier et
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ISQu'il.
mf rr rffif r /r r i^rr,ïac que et que Dieu notre Si . re Vous aient pour che.va. lier et
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f r iTrr riia.S Pi:=::h^^
Jacque et que Dieu notre Si _ re Vous aient pour che.va. lier et
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Jacque et que Dieu notre Si _ re Vous aient pourche.va.lier et
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Jacque et que Dieu notre Si _ re Vous aient pour che.va .lier
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Jacque et (jue Dieu notre Si', re Vous aient pour che.va .lier et
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G. H. 1571.
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Avec plus de qiouv.i
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S lê: ^^ ^r:4: B.^i? r g
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dai . gncnt V(nis_c(M) _ ddi
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dai _. i> lient voiis_ COI
33: ' =*=^33 -^
giient vons_con - dui Vi" iW.
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(lai l'K'iil vous con _ dut iw. '
^ i& (» ^3g ^^ -ar—--
(iai . Client vous_c(>it - (lui
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Avec plus (le mouvi
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r; H. 1571.
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(.. II. 1571,
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(J U. 1571,
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sa liberté!
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sa liberté!
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¥^sa liberlé!
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sa libei'h'!
(J:J) [iomuca K. mf' ^m^ -j5—
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^3ÂSainl.lactjues de ComposfeModéré .(J—9fi)
8-.-.
IX
<; 11.1571.
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le, jiii voiK' ma foi; me ver.ra toujours à sa eau - se fi.dè
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r ^ p r r p M r^ t=t==:l>K.-i«5k>-
_ le. Quand je rin.vo(|ue -rai, qu'il rejj^ar _ devers moi!
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Lj I LUpp
^^ ^ ^^ jTj «^ ^^8r r
I((l;ins mil' surd^ d'i'\l;i-.p).
# ^2 5^
II. «f r ^ ^o-
Puis. là - hanl. dans Ic^.pa _ ce
l^j'' .rj -1 S3C=C :îtD:
:i ^.iV(tll . diin.
iéu^f-t-^--' f'^' r'' i f^S^^^Une vi_si_on pas -se KLIe seni-hle ve _ nir des mondes in_ f'i
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64(J. r66)
Vn peu plus lent. (i-.-Hniunt chimknk).
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. nls! An\L\\ peW plus lent
^e ou feni _ me. ni''s jouis a le->
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jours sont u . nis; vec ce lier re
rê±m ^—r Zl.
fP^^ ^^m dol.
^ ^e/j animant.
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u u 1571.
CHIMK.Mi (à paru.
uif aICC (imc
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quaux sentiers be _ nis! ...
rail * -"^ jtouv'
^^iP
rail.V! llI<>uvt(J«io*)1^
et je n'ai pliis def
^^^^^tejoui-s à tes joins sont w _ nis!
«i. II. 1571.
6B
LMNKANTE.CHIMENE
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No-ble la
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me! Pu
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LE HOlPu _ le comme un regard den _ fant;
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No_ble la
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No.ble la .
DON diè(;i;e.
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S t^-^
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No.ble la
Sop.
me! Pu re
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No-ble la _ .me!LE PEUPLE, LES SEIGNEURS ET LES PRETRES
t'Ten
Pu re
G. H 1571
87
comme un regard den . fant
comme un regard den _ f'a„t.
dim
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^^comme un regard d'en . fant;
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comme un regard d'en
dim
(ant-
comme un regard d'en . fani
comme un regard dV,, _ f j,,^^
.
dim.i^^comme un regard d'en . fanl;
<J. H i67f.
68
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Va combat _ tre
l^ F m rj ^m ivi _ gi.lari _ te. El fais rhonneiir
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Va combat Ire
f .o.5ÎPti i ar -
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Va combat tre
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(i. Il I57f.
69
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70
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justes querel . les Reste iiu
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É^EEÉSm justes (jiicrel
iijiles Reste Im
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dîuit les iti _ justes queiel _ les Reste im
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P(laiit les in . justes querel - les Reste im _ mo
^ Et
P É(l.int- (I.int les m justes querel _ les Reste im
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clant les in _ justes querel _ les Reste im _ mo
_ <l:iut l<'s in _ justes (jiierel - le>i Reste im _ mo
H\i\ÉM\À\à.
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(; H 1571
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En élargissant un peu
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a son eo - te VI-iis|)i('iKls(les
^ tt:: ^^^J'^^fM'"àmoncô _ te, Mîiissois de flamme
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- «r ^à son cô _ te. Mais prends (les
^ i^ =^=^ -^—
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Mais pi'endsdes
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à son cô _ te. Mais prends des
m m a^^ mif
à son cô _ té.
^Mais prends des
é ==H mà son cô . te. Mais prends des
^^ t«=# 1»-^—
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a son cô _ te. Mais prends des
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En élargissant un peu.
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(i. II. 1571
7 2
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les Pour l'Es.
Yai les !P«ur l'Es.
avec In voix.
F t'^- ,.- .- <^dpc^
^^
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t?FF?
G. H. 1571.
r: Mouvî
- pa _ gne et sa liberté! Sois de flîam
|j^±jj- pa . gne et sa liberté!
- pa _ gneet sa liberté! Sois de f'Iî]un
^^^^pa . gneet sa liberté!
T ''''
ifff
- pa . gne et sa liberté!
pa . gne et sa liberté!
i'I' MouvI
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(i.fl 1S7I.
74
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^_ me, prends des
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G H. 1571.
En retenant toujours.
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Pour l'Es pa _ gne et
Pour l'Es - pa _ gne et
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iPour l'Es _ pa _ gne et
^^^^Pour l'Es . pa _ gne el
^^Pour l'Es _ pa _ i^^m^ et
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Pour l'Es _ pa - gne el
Kn retenant toujours)/:r
G. H. 1571.
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rail. JXf£1 SI
It"" Mouvî animé,(du détut de la scène);
S;:'t*^—
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fe^sa li _ ber _ fë !
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sa li _ ber _ te !
Sii li _ ber _ te !
^—^ r .o^s i ^ i
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sa li - ber _ te!
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I
sa li _ ber _ te!
1,^ jyfn.^rt=r, =&:
ii::g^
m: -X—
sa li _ ber _ te'!
"^^frTunrnrurfTffir^I,V .9 -V .V '^
LE HOI (à Rodrigue).
Ped.
iN.,f^Nf^VQ^,i
f ^¥|f-^P-!f^
Vii,iiionb<)ii('lii'v;i _li(']', v:i dans notre cliapcl .le Ite
5=f=l^ -f- Cf r r
^v ^ ^^X ^^^
r [^rr
(i.H. ir)7i.
ff PI
r-0—0- f fff^Tf
.un- Ce _ lui qui fait les \aillants comme toi!.
./•
/ f^ P P ^^LE PEUPLE ET LES SEIGNEURS.
Gloire à Saint Jacques le Ma.
^ y y y \
,>
Gloire à Saint Jacques le iMa.
^ f i fff f f ft.
(Orchestre).
Gloire à Saint Jacques le Ma.
I ir=T 1^
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,/ (Cloches).
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0-^m -o-1> f y TTC-
_jeur Sou.ve _ rain pa.tron del'Es-pa
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gne!
1 »' r> f r
(Cloihes).
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(.. H. 1,S7I.
LES PRETRES../
â^ ---f •*- >r>
Gloire à Saint Jiic _ qiios le Ma_
{(','} Or 'njr d;ms ia Cathédrale).
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mon Uoi, soy>/ anssi l)e'_ni!
Modéré. (J=104)
?=i=J=«E;wW^i
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l.K ROI (ù l)<.ii Diègue).
g# # ^E# zzz
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N<tn! ma rcfonnais.san _ ce ne s'est pas aeqnilh'- II fant un ^on ver_
^=i= JÎ3 J n I
J J j ii/^^-3=^^T -^-3^:^l^
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neur à l'heri _tier demapuissan _ ce C'e>t
P^^ ^ aèmm ^i—Z—*» -^J i
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eF5ï fCf^f^f^f^ ,
fJ f-^u^
Aiiinié (Violent).
tf I rî
toi que j'ai ju _ ge di-gne de cet hon . neur!LE COMTE. J'
m
I
Lui!
^é ^
AMIS DU COMTE (avec colèif)- ^ui! lui!
mLui
Jlui!
mAMIS DE DON DIEGUE (a>cc joie). Lui!
./^*-
-^t—
^
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Lui!
Animé (Violent). ^zl-ia:
m.r
LE COMTE (axervioiciire).
./
i -lî^ m m. m—
*
=^=^^ t=^t E?Si _ re! Ah! qui me vaut celle in -jii _ re su . juè _ me!'.V
k... II. 1571.
HO
Modéré. ^LE ROI (a\ec hautt-ui).
n=4 -m—m. - - r- rr
tt yv
, , S'at_ta_qner à mon choix eest se prendre à moi-nièModère. ^ '
nie^ ^ âV
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À-
y f(!>-
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^
(Lk Roi entre dans le pahiis suivi des Amis de DoN D(KGUE._Lk CoMïK demeure atlere' ainsi que ses partisan
Au moment de sortir DoN DiKGl K revient sur ses pas, et, la main tendue, s'avance vers le C(jMTH).
m ^ ^^ ^.^ dim
Tî
t ^ V^g^ nz"cr
pj^JLLti r ff tr x^fTrès animé, agité. LE COMTE (à Don Dièfji.e).
''\)m 'm m m m
ê r rrrrfs :^I» p p F~F
y 1 y y y v p
-, ' /J i^nv Aillai \ous remportez! et lafavenrdii B()i^'onsé_Iè\eenTrès anime, agite.(#=l32) r
un
P^ w ^ > ;; -
i.V ^^
Modère' (sau;? lenteur). DON DIKCrK (amicjil. in.ul)
m m m m.Ë^ ffi ;; X- -g-nS- :^-
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ran^^ qui n'était du qu'à moi! (J=n2)Modéré (sans lenleiir).
P=F=^_ Al honneur qu'il m'a
m ^»i/'
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fT=f:t;.H. 15 71.
81.
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a_joutez-en un ;iu_tre Vous n'a
_
P 4 J
^^ ^=^^f=f=^
-^^' ^ -^-ie
-\ez qu'une fil
tit;cz^iê±
le, el moi, je n'ai qu'un fils,
1
g -jg ^ ^^^^^^m ^^
-^—Joi _ gnons dunnoeudsa _cre mamai_son à la \o.lre!..
P ^
LE COSrre (iLoniqiu'int'i)l).
m^^^ ^Plus \i(('(A<;i(«
-;f ;?
Adeplushaulspar.lis ce beau fils doil ,)iv. (m _ _ i\vi^\
1
(;. H. l-57f.
82
DON DlKCrE (se contcnanl
Vous mollirez un cour . rouxque je ne pins coin .
)ren dre.Doit -on pas ce res . pect
En _ ten-clez-\ous?
SEIGNEURS (à part, eiitiVux).
l'e'.trangeau-da. ce!
1» 0-
(i. n. 1571.
83
..n COMTE.
^00 (Ê 0L
^'-.
-7 P [^ P k P m
re_trange au _ da _ ce!
W^ .rJ2_& m 0.
t=Z t=t
rien... quand le Roi l'a vou _
mf
^ESip I ^'^ p r
SEIGNEURS (eiitrVux).En
»lti
^teu- dez- vous?
ê*; i^ =^^^=4^"T
En _ teu _ dez -\ous?
*7 ^sf'sec.
Plus vite.
/^. p |Pir
(riaiif). r:' Mouvî
#—^
—
£i=? y ^ i
En _ ten _ dez -\ous?
^M" ^
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!
hi.
I./•
A-iaii()
t i-^Hh^-^h^En _ ten_dez-\ous? Ah! ah! ah! ah!
/' (riiint).
^ v ^^ / k g=F=y=^==FV
Plus vite
{en_d<'Z-vous?Ah! ah! ah!
r.H. 1571.
8'i
I.K COMTE (à Don Diègiiej.
!?.^ êDON DiEcrr:.
Plus \\U\(Aj^ite pou à p<'ii).
^ W^ ÎEEE Ê1_neur à \otre a _ ge! Le Roi, quand il en t'ait,^
Plus vi(f,
(Aj^itt• peu à peu).
^A. J ^B^^Tn
n-ttij ^¥^ •^-#-*7 i; i?
b
LE COMTE (eiuoie plus violt'iil).
^^ \Lm. m m. * m. . \>m m. 1t^ ^-t=:t=^=z^-;t
le me_sure au cou _ ra _ ge! _Et par là ce! hon.neur
^^-^m m. n b.n.. j^. \ïA^ 1^ .n .g. nî*
r^-f T ;7?r^
g ^lM^^- -=^=rfDON DIECl'E (hors do lui).
Fi^ r 7 flat
nV-tait du quVi mon bras! _Oiii n'a pu l'ol) _ te _
^^m i /;^:e^
fe'^n JSB5 /^-
C.U.t57l,
'il s<,.itn.-(l,. |)„„ Dii.:;,,.
-laixi... Ion im.pii _ dou _ («• An _ ra sa re_com _ })('M _ se!...
Très anime
^^
:=^::==E?££
^. II. 1571.
86
fÊ
c :
DON DIKGLE.N'at_ tends rien de ton bras!.
(tirant son epee).
«^ 1» 1^ f f ^tWL:Ê==£t È
Ah! a_chè_\e... et prends mon san^!.
^y g r*?¥*?y ff -^ tir*7^ ~^ ^ ^=^SEIGNEURS.
Pi . tie
J2«-
pour lui! pi
i y X k y- / •? y ^¥=^ -7=^ x g -^ X *? ^
"V
^E4# 3HE
Pi _ tië
-t0-
)our lui!
4*t^ï
P'-
il ^^Jr
^3
^
«I î I=5^:
«î bf îf
i ^«â:
f if(il desarme de suite Don Diègue).
rS
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Va!
.)-.T- iT.
/T\"if
*Va!
tie!
^.tie!
EL ^«I 1
Ï#P=
31
1
1 1 1 18---
Ah!
r>.
r\
<i. 11. 1571.
»/
hntf.
»VTJTt^ ^ '^i \M 4^Ui|jP~^^ *=t:^ -#ma force. a tra-hi... mon cou.ra^e!.
/ong. En retenant peu à peu.
â S sI
^f ^
f.ipi-essif.
Q-#-
/O
*7 g y
(Don DlKGlK tombe, aicable, sur un banc).
^Très modéré. (J=llii)
i' J' > hî=^
SEIGNEURS (à Don Dièf^ue, ironi(jnt'monl, en s'éloi^^nant).S'il \ous plaît au disciple au. ^
PP
à r- t' p [: rv
S il \ous plaît au disciple au_
$Très modéré.
w it* ^^ ^d
PP
éi ^ . ^Tim m
PP
j li'jj'^^5^us _ te Cou
^
i)^f—
J
^-yX
ter \olre lus
1
loire, ô sei _ fJneur'.QiiMIcsarrête à
t:V.^yts _ te Cotl _ I er V()ti-e lus _ loire, ô sei _ ijiicnr
(;. H if.7t,
^^^ m ^ Ë ¥
l'heure jus.te Où l'on \ous fit son gou_\er_neur!
g^p-^r—^—^ ff ~r w—
^ ^ f- r'
p«i E i^ 1^' I p, ^' ^
Quel. le s'àr.rêfe à l'hedre jn^-t'* Où l'on vous fit son
tri-h-r±^^
^^ig 3=^ H-^
^ ,/• ^/>(au Comtr).
m^ ^ ï^=if
En.tendez-^ous? Ay.ons pi - liV de sa lui _ bics ,
TS=^r ^ r 1 >
?"^^^ ^^ g
Vgouverneur Ay.oDs pi - tie' de sa f";ii _ hies
(;. II. i^7f.
89
^'\f(riîuit a\er dediiinj />/>
Ah! ah! ayons pi _ tie!..
(de nii''ni(')
Très lent. UON Dlk(;it (scul..mi:an(i)
P p P J~T^ [^
(* F'
[?
!» #^ tzi
Très leut. ^ ^a _ ^e!. o dc'scspoii'.. o vieillisse ennemi _ e>t
a. L^
ito-
*? [>g••
J-(^-*o)
4Vv^ ^^Sp/j TJ
C. H. 1571.
crcsc .
m m—m-H ,c^#—*
—m ^—m
mf--4-f ^ ^ Ç^Ah! |)()ui'(|iioi n'ai-je pas, au tombeau ^^lo.ri _ eux,
>n/' ùresc.
)
%3E||3 ig=:
f
mK>-
«^
A - vant cette in_('a_uil _ e Ho . joint les grands aï.eiix!
dim
.
PP
>3"3>'^^^3
g ^^xnPP
trt's l'.vpressif et soutenu.^ "X 7 f^^ ;t=^Main -te _ nant
PP
que je vi ve. ou
/j/>
mflim.
:t^3i^* ' Mmi: k i* »h^tl-j^^-^i^
^1 ' '^ ?bu'U (jUf je suc'com l)e.. . De eel af . (Vonl ^N-irde __ tue sui-
^ JS^SEI
«*
^^^^m- "t ?«ffrr—'iT ^'ri'f
G H. 1571
a^BB^H
91
.A^
ffN 'r r :?
vra le remords!.. Et j'Lrai sous le ciel...
f ^^r^f ?^r^ y>^
/^
-f ^ ^^FFT^ ^ FJ
z:^
£ i:^»oiij'iraidaZiS latoin _ he...Mepri _ se des vivants ou rejjous.
diin.
dim.T-^'g^f^
—^r 7 ^î^r-
(/im
,
^Ua peu moins lent. (la VOIX de KODRIGLE)
gP i * • #-^i^-j^ fc=^^
se
Poco rail;
des morts!.. ./iJe l(
Un peu moins lent—à^—
^'.
vn.d.
"^'^ ^ -fi»'
i»K 7 g ^^lrJ
^irrf 'L^8** bas-io.
i
(Grand crgiie dans la cathédrale)
./:itê
y 1/ y
ju . rel
Don Dlt-'GrK (ii\»'c ('^'arenient)
Je l(^ JU . re!
^^ ^^^±±P
Cette voix. Rodrigue!.
-^^
3 <y 6-:?-
n^-y
G. H. 1571,
92
Avec ai^itation
ij (f'ièvrciistMDciit)
'>-, }} j ^ i i JW^ h »p P r ^ p ^
il fau.dra
(Orchfsde)
que j'alTron _ te .. a finsfanL. son le.gard !.
• • -^ ^ PPlus lent
(fim
.
^r p M
e fui. r"ai, o Dieu!... roii _ ^11'-
Phis lent.
_ de_vanl mon
P
i
r\
rail.
PP ",'/*
IV" Mouv.' beaucoup plus passionne.^mp
t 1 ^ ^fils!.,
rail.
Mainle . nniil (jiie je VI ve ou
If" Mouv.' beaucoup plus passionné.PP
(i.H. 1571.
m
^^^rrr-^ ^ ''nr j^-Via le remords ! Et j'i_rai sous le ciel.
'P^T=?^gT^g — très e.vpresxif et chanté.
m p
^T' I' r-~i<J" j'i - rai dans la to
^^F^±31 s^m=t rail
ra-gy!. 6 désespoir!
./rail.
Qu':ii-je (\\\1.. fjiir mon
^ Avec <l» mouv>
:5±:
./>»/'
—t—3ftïJ—-—-^-
^.^' 7
i=*
/Cn
-^—X-
«^ diin.
(i.ll. 1571,8"' llJISSO.
94
PJ2^ f
I . f f-^ V- -P ^
i*- -iS-
E d22Z:
fils!. Non! non! je le rë - cla _ me! Qu'il vien _ ne!
J2ii_ ^R.
^^^^^r
>T5
^>
^^ -O- -©-
JP ^
y^Tji^ "r i^T
f."p r r i"r
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i . T Ff p^
A.vec mon s.-mj^ je lui donr);»! mon à . me!.. Et ce fer qne mon
T^ ^f fJJ (soiiilirc)
feff=ff-#—i-^F
bras ne (R'ul |)lns soiile _ nif
r I r r r r
créât:
mt 1
Je veu\ le mettre an sien ponr ven
dim.^1
rt
ITT^
'W
m:
r w :*'*
-&- -ô-
./rPlus vite. RODRIGUF, rayonnant, a paru DON DiEGUK, s'élance au devant de lui.
t
gep e( pu _ nir!...
^„ll Plus vile.
i
j^^crcsc.
H:;^T-t^
îzit
T) T5
JP ^(;. II. 1571,
L».mA u im ^
Animé
(avpc vi^^ucur;
r
Ho _ (Jii . ^ue , as - tu du(parlé.)
1y st'£
m^\> l f=i=t=r -^—
-
f
mRODRIGIE.
(avec ardeur)
fÈ # P T^
# # ^F' F [î r r ^
g •/ t= / ' kTout au-tre que mon pè _ re le - prou.ve-rait sur l'heu-re!,
sans retenir.
i=£ ^coeur?
Animé
^ h ^
1
t>7
(a(ixicux)
5^h. ^ 7'
I?J'
•^;-
•ai- loz!
•> ï f f-=^ f f f fI).
^—ir^^S? ^^Al>! jaiiiR' (a (•() _ le . le, mon fils! On
p Sans retd'nir.
'..ff. 1571,
îfb
ma fle.vant tous ou -Ira _ ^é!.
t -,J'> I
,i> "JHv i' «' ~~^]
Ln homme m'a IVappë
./'. PP
tRODRICÎE (bondissant)
î ^ ^.>'AI,:., «ion pè . ro!. son nom?... son
"^-^T p r ^ pp i T F >
lâ.chement.. au vi _ sa.go!
en animant.
U^> ^ nr^t^y
1^-Qq-
3 -«>-
DON DIEGLE.
nom?.. Et cet outra, e^e mon bras affai _ bli ne la nas ver
sans retenir.
iRODRIGUE (avor une fiJ-vip croissante)
p r ^p 1 7in^^ i^ I k 1^^bp m 0- m 0' ^m.
Sonnom!..son nom enfin!.. Il faut que je l'apprenne!..
^ X JMM i^
-K'' Tu comi.-ii^ sa va.
en animant
G ;H/157«(
97hOURir.i F.
! vivi-iiie/i()
^^ =F=;^ Ë P g X F f.:^=î^t
_lt'ur!.. _II conjiaitra la mien _ ne!.. Son nom!. nhé.si -tez
^3«1
pr^ X p
r
P/^* (avec épouvante) _ i
-
». P|» 1» 1» 1»-^—
^
pas I .
.
DON DIEGL'E (palpitant)sans rigueur.—r
Le pè. re de Chi.
ï "t' ^ y y v =ift
C'est... le com.te de Gor _ mas!.
g ^ 1
j
mp
TT
_ti- ::ê=?=^
nie ne!
Très animé.
latU-rrr) Lent.
jg.JM J
r\^^=5= S
Le pè - re.. de Clii - mè . ne!
Lent. r\
1^ y
p/':
> 3f m1('.. H 1571
Lt^nt et dramatique.b<)!S D/ÈGLt (h lun,HiGVE)
Céstlui qui m'y fiap.pé...
^ Lent et drania_tique.(J.=40) bienchantc et très expressif.
n as-tu pas t'i]S(}n.
<;.'i. fSTf
KOOHJC.LE.
^"i. -, I' } )^ è=à r^rrM/'•> u 'P
^'^—g- 1 ^JT. 1
Ah! l'jul monsaîï^s'estgla.i'o dîuis mon cœui'e-(>er_
g 7 if 7
_du!.
P
8--
PP -
r
m I-4"^^ • *
5t--»^_>
1 ^g ^^J>^^-A^f^-^—
^
fX 7
^^f^f^
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Êcrt'.V£
A-
J'' J' j- P nR.=/?k5 ^r • -^ ff=^ :tf?E
P M' F r.(lu!... De _vais-(ii ininipo - soi-, o foi.tujio criLcl _ l<'
-7 1^ ^[>-i^. -^ «^.
-y
^^^^^^^^^._:_-' 3 5 3
^^^^^^ z:^R.
£ ^ / ^^ i^ P T it:^
Pour la première épreuve une épreuve nior. (d _ le!..
DON DIKC.IK.
S:^ ^' M ^=9=
N'as-tu pas eiilcii.
(;.ii 1571.
lUU
ij
m
9—^ WE?pr ^T F
^?—^
^ i f X ^ '
Hélas! tout mon bon- heur per _ du!..
rf„Ji)ii|r ?|'f -.I
'p ft"^*? X -? 7 ^
du?..
mC'est lui (jui m'a frnp.pé! Monf'ils!.. nas-lu pas ciilen
m53=1:^=1 a *^' ±
^^^^5^?J7^-^ ^^^B ^=^t=^rr*/>
^ï TfnTT—
«
«_x/
^ ^ i iHélas! (ont mon bon-hour per _ du!...
j^--"
Hé. las!
^ y 7 *? s t'fJii.(lu?.
^^s
C'est lui (jui ma frap.pé!...
"'.7'
^^^3MÊ
Sans toi
1^m •? •? y •?
i^:it
E-j:/
g^^-^^4^^^^4J^-^
^cresc.
/J rail . rf,,« />/>
y 7 gp^8? II.
m^M=¥rs
7 y 7 ^;^=^
lout mon bonheur peidii !.
iâ /^
— tout notie honneur perdu!
.
rail.""
^ 7 X 7 IH
^^
fri
-Cn
seip g £
^gj-?" ^ J^^T^^
(;. H. 1571.'^—
'
J;.4,.iJXg
^
loi
^^(rHIMKN'Kjsorl fit' l'église.)
Assez lent. (J=66) ..
ROUHUa F (à la VU'- lie (JhIMKNK) ./' LL';l£l!^'
^Zài^ r ff 7f
Assez lent. Kl . le!
"''
\fï'^
^^^^2 Ped.
fein,j
fc^ i7 [/ 7 ' n -7
sî^^g ; rZ y^^^S j3I II fl
ISE
(CHIMt'Nt s'arrête près de la colotinado du fond)
p e.rpresstf.
H I F fm;,ç<^.3S -jg—
r
tt
Pi>
f^^^l^U U^~
Serment d'amour, promesse éterne
^ izi ^^« . ^ ^ - ^^Esbiè^ É
'^z:
7
±i=5=5 s it=^ri
Ped.
i.i'^^S^ -^—#--
—
^ I fi
rail.r////?
.
^ ; p P rTs ï^ î Fle Je lac _ cep _ le
IU)1)HI(;[ E (avec un sans!"!)m i
el je n'ai plus <lel
f/ini
feV V V ^^^'^ Meurs en mon a m(î, (li _ vin a
rail.suivi-:.
t. Il 1571,
102
1.' Mouv.t
c- (^ ^!;
i
.froi!..
He
.iMoiir !
DON I)It"(;i K. (obscrvanl KoDRIr.iiK ;ivi'e arixi.'l.')m^ ±L ^2FTu trem _ Mes y.. tu fin"
l^*" Mouv.t
,4^ »^Û'^E / •/
l' 7i y
r^ r^
ffi N^rKt^^^^^U^feî^it^
2 Ped.
(CHIMÈnK il passi- lentement (lerrièri' l:i roloniiade.)
'n\>\. f ^ fe^^-hlis?.
pp
$
'À
s . ii':\ $XJ^F?eï ^ p ''T' g
^ ^^'J)
1 p ^I±^
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ïhvjN -. I^ ^§
fS tew-5¥?ïr=^
IT ^r-T5
H0DRK;I K fn'veiiiiri! îi luil
^ ^E? fei^ d§fe ^^Z ;ez•^"Ah qui peut vivre in _ fà _ me.
Aiiiniô. n volonté.
^TT-âTPKsi in _ di - i>ne (lu
B
^ ./
t, o i »±-^—
-
G. H f«;7l
lo;
"#VjDi.r!.,
DON DIEfilE (avo<t j_iolence)
Ç¥=§Meurs 0»
Très agité.
1 èiiJU ^^fe
î-^^ X 7 <p"^=5fi^
^ =^5b^ M
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b ^ tti
kit ii?i
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7 5
>s:;
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rail. J(/1-,
^^/T / ^AI _ Ions!.. mon pè _ re! tu se>ras ven.gé!
S/. (parlé) f- •j:f
p— p—p tttL^JU1 1/ ^ F=V=E^tu e!.. Ah! je se_ rai ven_ ge
rail.
il
i
(RIDEAU)
Très animé.
1œn^ M4?f f I #
^'
^^^ ^^ *^F^=^=^=^-o-
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33: ^^^ -o- -o-^ ¥ I
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^^Fin du l'7Acto
G. H. 1.57.1