Leacutelectromagneacutetisme selon linterpreacutetation initiale de Maxwell
Andreacute Michaud
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Abstract Il est bien eacutetabli que leacutelectrodynamique classique leacutelectrodynamique quantique (QED) ainsi que la theacuteorie des champs quantiques (QFT) sont fondeacutees sur la theacuteorie ondulatoire de Maxwell et sur ses eacutequations mais il est beaucoup moins bien compris que ces theacuteories ne sont pas fondeacutees sur son interpreacutetation initiale de la relation entre les champs E et B mais plutocirct sur celle de Ludvig Lorenz avec laquelle Maxwell eacutetait en deacutesaccord Maxwell consideacuterait que ces deux champs devaient sinduire mutuellement cycliquement pour que la vitesse de la lumiegravere soit maintenue tandis que Lorenz consideacuterait que les deux champs devaient atteindre leur intensiteacute maximale de maniegravere synchrone au mecircme moment pour que cette vitesse soit maintenue les eacutequations permettant les deux interpreacutetations Toutefois deux perceacutees reacutecentes permettent maintenant de confirmer que linterpreacutetation de Maxwell eacutetait correcte car contrairement agrave linterpreacutetation de Lorenz elle permet de reacuteconcilier de faccedilon transparente la theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques de Maxwell appliqueacutee avec tant de succegraves au niveau macroscopique avec les caracteacuteristiques eacutelectromagneacutetiques applicables au niveau subatomique aux photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes ainsi quaux particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees et massives localiseacutees dont tous les atomes sont constitueacutes et permet enfin deacutetablir une meacutecanique claire deacutemission et dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons lors de leurs interactions au niveau atomique
Mots cleacutes Masse magneacutetique champ magneacutetique champ eacutelectrique eacutelectron eacutemission de photon absorption de photons
Cet article a eacuteteacute initialement publieacute au Journal of Modern Physics en Janvier 2020
Michaud A (2020) Electromagnetism according to Maxwells Initial Interpretation Journal of Modern Physics 11 16-80 httpsdoiorg104236jmp2020111003
httpswwwscirporgpdfjmp_2020010915471797pdf
Une version augmenteacutee de cet article a eacuteteacute republieacutee sur invitation en deacutecembre 2020 avec un nouveau titre en tant que Chapitre 4 dans le livre intituleacute New Insights into Physical Science Vol 10 qui fait partie dune collection qui preacuteseacutelectionne des articles jugeacutes dignes dattention dans loffre globale pour les mettre agrave la disposition plus immeacutediate de la communauteacute Cette augmentation visait agrave eacutetablir une correacutelation plus claire entre la raison pour laquelle Einstein soupccedilonnait que la gravitation eacutetait lieacutee agrave leacutelectromagneacutetisme et leacutequation de la force de Lorentz
Michaud Andreacute (2020) Emphasizing the Electromagnetism according to Maxwells Initial Interpretation In Dr Thomas F George Editor Chapter 4 In New Insights into Physical Science Vol 10 West Bengal India Book Publisher International 2020
httpsbpbookpiorgindexphpbpicatalogbook350
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La traduction franccedilaise de la version augmenteacutee est disponible ici
Voici la traduction franccedilaise de la version initiale
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1 Introduction
En 1845 Michael Faraday observa quen placcedilant une plaque de verre entre les pocircles dun
eacutelectroaimant le champ magneacutetique faisait tourner le plan de polarisation de la lumiegravere qui
traversait la plaque Il communiqua aussitocirct agrave son ami James Clerk Maxwell cette deacutecouverte
majeure qui deacutemontrait pour la premiegravere fois ce lien direct entre le champ magneacutetique et la
lumiegravere [1]
Cest donc cette expeacuterience de Faraday qui est agrave lorigine de la theacuteorie eacutelectromagneacutetique
inteacutegreacutee ensuite eacutelaboreacutee par Maxwell car ayant deacutejagrave observeacute que les deacuteriveacutees secondes des
eacutequations preacuteceacutedemment eacutetablies pour champ eacutelectrique et champ magneacutetique reacuteveacutelaient que
leacutenergie eacutelectrique et leacutenergie magneacutetique eacutetaient seacutepareacutement associeacutees agrave la vitesse de la lumiegravere
[2] Maxwell en tira la conclusion que la lumiegravere devait ecirctre de nature eacutelectromagneacutetique et fit
ensuite la deacutecouverte fondamentale que leacutenergie eacutelectromagneacutetique impliquait une relation
triplement orthogonale entre ses trois aspects fondamentaux soit ses aspects eacutelectrique et
magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun agrave lautre et sinduisant mutuellement
simultaneacutement en un mouvement oscillant cyclique stationnaire transversal par rapport agrave la
direction de mouvement de cette eacutenergie dans lespace (voir Figure 1) soit une relation
triplement orthogonale correspondant au produit vectoriel familier des champs E et B (Voir
Figure 3-a) reacutesultant en un troisiegraveme vecteur de mouvement perpendiculaire par structure au
deux premiers [3] [4]
Figure 1 Repreacutesentation bipolaire deacutephaseacutee de 180
o des champs E et B de linterpreacutetation de
Maxwell
Le fait suivant en surprendra sans doute plus dun mais cette solution deacutecouverte par
Maxwell qui est aussi bien connu pour avoir deacuteriveacute la vitesse de la lumiegravere de la relation quil
eacutetablit entre les deux constantes fondamentales du vide εo y μo [2] nest pas la seule solution
fonctionnelle qui a eacuteteacute deacutecouverte pour associer les champs E et B agrave la vitesse de la lumiegravere
En reacutesumeacute le matheacutematicien Ludvig Lorenz a eacutetabli agrave la mecircme eacutepoque indeacutependamment de
Maxwell que si les champs E et B de leacutenergie eacutelectromagneacutetique eacutetaient matheacutematiquement
repreacutesenteacutes comme atteignent tous les deux leur maximum dintensiteacute de faccedilon synchrone en
mecircme temps (voir Figure 2) cela permet aussi dexpliquer la vitesse de la lumiegravere dans le vide
dondes eacutelectromagneacutetiques se propageant sous forme dune impulsion dans un eacutether sous-jacent
aussi bien que si ils eacutetaient deacutephaseacutes de 180o comme dans la solution de Maxwell
Mais la jauge de Lorenz est un concept geacuteneacuteralisateur qui combine les aspects E et B de
leacutenergie fondamentale en un champ eacutelectromagneacutetique unique qui deacutetourne lattention
immeacutediate des diffeacuterentes orientations vectorielles des deux aspects en particulier le fait que le
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dipocircle deacutenergie repreacutesenteacute par E est orienteacutee et distribueacutee dans lespace tandis que le dipocircle
deacutenergie repreacutesenteacute par B est orienteacutee et distribueacutee temporellement pendant que ces deux aspects
sinduisent cycliquement lune lautre en orientation transversale par rapport agrave la direction du
mouvement vectoriel de leacutenergie oscillante dans un vide
Figure 2 Repreacutesentation standard monopolaire des champs E et B atteignant
simultaneacutement leur maximum dintensiteacute en phase de linterpreacutetation de Lorenz
La repreacutesentation de la Figure 2 que lon retrouve dans tous les ouvrages sur
leacutelectromagneacutetisme tout en eacutetant en accord avec la theacuteorie ondulatoire de Maxwell deacutecrivant
leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme eacutetant une impulsion se propageant dans un aether sous-
jacent et qui est aussi en accord avec ses eacutequations est toutefois geacuteneacuteralement preacutesumeacutee de
maniegravere erroneacutee comme eacutetant aussi la conclusion de Maxwell
En reacutealiteacute Maxwell eacutetait en deacutesaccord avec cette approche car le concept de jauge
deacuteveloppeacute par Lorenz avait pour conseacutequence de traiter les deux champs E et B comme eacutetant un
champ eacutelectromagneacutetique unique au niveau geacuteneacuteral sans structure interne apparente de prime
abord ce qui fait facilement perdre de vue que ces deux champs sont seacutepareacutes et sont deacutegale
importance dans la theacuteorie de Maxwell avec des caracteacuteristiques diffeacuterentes et irreacuteconciliables
en plus de sinduire mutuellement contrairement agrave la solution de Lorenz tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [3]
Le fait que cette deuxiegraveme solution fut deacuteveloppeacutee par Lorenz est cependant peu connu dans
la communauteacute scientifique car elle est associeacutee seulement agrave la jauge dite jauge de Lorenz
deacutefinie par lui et ceci seulement dans les ouvrages speacutecialiseacutes de haut niveau sur
leacutelectromagneacutetisme [5] car elle se precircte plus facilement que la repreacutesentation de Maxwell aux
divers processus de geacuteneacuteralisation matheacutematiques Mais la veacuteritable origine de cette solution
repreacutesenteacutee par la Figure 2 nest pas clairement expliqueacutee dans les ouvrages dintroduction ou de
reacutefeacuterence geacuteneacuterale en physique [6] [7]
Par conseacutequent agrave moins de se speacutecialiser en eacutelectromagneacutetisme la majoriteacute des physiciens ne
sont donc pas directement informeacutes que ce nest pas Maxwell qui a conccedilu cette deuxiegraveme
approche et que leacutelectrodynamique classique ainsi que la theacuteorie des champs quantiques (QFT)
dont leacutelectrodynamique quantique (QED) est issue [8] [9] mais quelles sont plutocirct fondeacutees sur
linterpreacutetation de Lorenz car ce fait nest nulle part clairement mis en eacutevidence dans les
ouvrages de reacutefeacuterence sur leacutelectrodynamique et sur la QFT qui furent bien sucircr deacuteveloppeacutes par
des speacutecialistes en eacutelectromagneacutetisme pour qui ce fait eacutetait une eacutevidence Contrairement aux faits
eacutetablis il en reacutesulte donc une impression geacuteneacuterale dans la communauteacute que Maxwell est le
veacuteritable auteur de cette deuxiegraveme solution et que leacutelectrodynamique et la QFT sont fondeacutee
strictement sur son interpreacutetation
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La nuance est importante cependant car lhypothegravese de de Broglie agrave propos du photon localiseacute
agrave double particule qui eacutemerge directement de linterpreacutetation de Maxwell se retrouve ainsi en
porte-agrave-faux par rapport agrave leacutelectrodynamique classique et la QED parce que lapproche de
Lorenz occulte le fait que les champs E et B sont seacutepareacutement dimportance eacutegale Par exemple le
rocircle preacutepondeacuterant donneacute aux charges eacutelectriques dans la QED semble ne laisser aucune fonction
preacutecise agrave laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dans une possible meacutecanique
dinduction mutuelle qui impliquerait les deux champs seacutepareacutes contrairement agrave linterpreacutetation de
Maxwell Mecircme le fait que la QED telle que formuleacutee ne peut expliquer linduction mutuelle
des deux champs dans les systegravemes LRC ne semble pas attirer lattention sur cette question
2 Mise en perspective en fonction des ordres de grandeur relatifs
Pour bien mettre en perspective la possibiliteacute de deacutecrire leacutenergie qui constitue la substance
mecircme dont sont constitueacutees toutes les particules eacuteleacutementaires localiseacutees telles que les photons
eacutelectromagneacutetiques les eacutelectrons et les positons au niveau subatomique dune maniegravere qui ne
serait pas en conflit avec la theacuteorie bien eacutetablie de londe eacutelectromagneacutetique continue de
Maxwell qui est appliqueacutee avec tant de succegraves agrave notre niveau macroscopique il faut en premier
lieu prendre conscience que tout les objets et processus que nous pouvons deacutetecter et mesurer
dans la reacutealiteacute objective peuvent ecirctre classeacutes comme relevant de lun des quatre ordres de
magnitude suivants Par ordre deacutecroissant damplitude ces divers ordres de grandeur peuvent ecirctre
deacutefinis de maniegravere tregraves geacuteneacuterale comme suit
1- Niveau astronomique Ordre de grandeur deacutepassant en dimensions le cadre
strict de la seule planegravete Terre
2- Niveau macroscopique Ordre de grandeur dans lequel tout objet ou processus
peut ecirctre directement mesureacute agrave la surface de la Terre et dans son environnement
3- Niveau sous-microscopique ou atomique Ordre de grandeur des moleacutecules et
atomes
4- Niveau subatomique Ordre de grandeur des particules eacuteleacutementaires dont les
atomes sont constitueacutes ainsi que de leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui constitue
leur substance qui supporte leur mouvement deacutetermine leur inertie et qui peut
aussi circuler librement sous forme quantifieacutee agrave la vitesse de la lumiegravere lorsque
non directement associeacutee agrave lune de ces particules eacuteleacutementaires
Les 3 premiers niveaux sont geacuteneacuteralement familiers pour tous mais le niveau subatomique ne
lest pas Nous pouvons directement percevoir et mesurer les objets et processus de notre
environnement au niveau macroscopique et nous percevons et mesurons indirectement avec de
plus en plus de preacutecision les objets et processus appartenant autres ordres de grandeurs agrave mesure
que nos instruments se perfectionnent
Il peut sembler paradoxal drsquoaffirmer si fermement que lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique peut ecirctre
directement deacutefinie comme eacutetant quantifieacutee sous forme de photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
au niveau subatomique conformeacutement aux eacutequations de Maxwell tout en demeurant en parfaite
harmonie avec sa theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques continues se propageant dans un medium
sous-jacent qui a eu tant de succegraves telle quappliqueacutee agrave notre niveau macroscopique soit une
question qui fait deacutebat depuis le deacutebut du 20e siegravecle
Il faut mettre en perspective ici que nous ne percevons par ailleurs aucun paradoxe dans le fait
que nous observons directement que limage dun eacutecran de teacuteleacutevision nous apparaicirct continue de
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maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien
conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi
directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee
physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement
seacutepareacutes
De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave
traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en
sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules
localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau
subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-
mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees
eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne
pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de
leacutecran de teacuteleacutevision
La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un
fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne
pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme
nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous
comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau
macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees
glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants
instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces
moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique
Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau
subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision
dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre
de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre
de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute
de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de
leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos
microscopes eacutelectroniques
Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de
grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la
perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la
diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les
moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment
petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre
niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie
eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus
grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave
sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre
niveau macroscopique
Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de
grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique
consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune
moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la
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distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi
agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome
dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons
eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au
mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres
particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave
linteacuterieur de la structure du proton et du neutron
Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau
subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au
repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument
suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique
contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement
possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la
granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une
granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est
inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des
particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique
sont les suivants
1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere
quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir
Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])
2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons
possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience
photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la
moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de
la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses
solaires [3] [11]
3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons
eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-
positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se
reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de
nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse
invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance
eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve
expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le
seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons
eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans
quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]
4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et
une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C
5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des
particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux
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de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des
systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])
Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement
nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par
ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave
partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement
des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes
soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par
les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux
en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des
changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau
atomique
Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de
leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee
lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules
infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets
qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants
microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les
cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long
de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous
prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre
[14]
Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour
que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune
intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des
atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi
que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui
peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes
seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium
Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie
eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la
traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis
pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau
subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)
mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations
eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une
onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une
harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier
chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation
tireacutee de ses Lectures on Physics [15]
There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are
not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen
electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain
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Traduction
Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne
sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement
associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique
Quantique ces difficulteacutes demeurent
Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent
matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure
granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue
uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie
des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier
deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne
de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la
structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des
neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement
eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique
transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute
matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos
Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure
eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de
Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau
subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de
reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau
subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique
3 Deux perceacutees majeures reacutecentes
Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure
interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique
qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne
semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de
Minkowski [17]
la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie
deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave
limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans
le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-
temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de
ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur
aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p
273)
Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure
eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec
les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires
stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau
subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de
Maxwell
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Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective
lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales
recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute
expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de
la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale
4 La premiegravere perceacutee majeure
Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de
lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects
fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau
subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun
agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation
stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de
cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est
perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par
ces deux champs (voir Figure 1)
La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant
de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut
formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de
Saint-Peacutetersbourg [18]
Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la
Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave
augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k
(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D
pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme
eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux
autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun
Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale
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Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au
centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la
substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des
vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale
stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux
espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-
quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-
transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui
reacuteside dans lespace-X
Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique
trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles
de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3
parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre
eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire
matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant
chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3
espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes
orthogonaux internes reacutesultants
5 La deuxiegraveme perceacutee majeure
Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul
Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre
laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui
permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui
augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ
magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de
leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article
publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de
Kazan [20]
Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees
constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne
dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une
eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de
maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee
pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]
ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin
Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes
les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules
complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et
autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules
eacuteleacutementaires [24]
Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des
atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons
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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions
destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que
sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des
seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou
lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees
eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]
Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de
larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement
sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa
deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement
deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre
directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre
article reacutecemment publieacute [4]
Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese
personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la
premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une
deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir
de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave
leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun
doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique
geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les
eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi
du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser
directement dans son article original
LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees
auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie
de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee
autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique
transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de
leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement
mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable
avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise
en eacutevidence plus loin
Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable
agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation
relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le
champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est
constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce
fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de
mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective
par Marmet au deacutebut de son article [19]
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Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis
Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui
seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie
Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du
champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle
geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant
omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute
de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans
lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme
charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept
ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter
sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de
Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et
matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee
exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement
qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration
perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation
qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui
soutient son mouvement dans lespace
Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme
rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de
laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut
donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons
dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart
Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron
en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste
ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son
champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette
derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable
avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc
2 - moc
2) car il est physiquement
et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux
directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une
de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de
laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ
magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee
Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave
mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune
seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute
deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie
du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux
quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee
que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors
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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la
veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov
22 + (γmoc
2 -
moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique
quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de
Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la
distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement
et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees
les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement
Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie
doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ
magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme
geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de
cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour
obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en
mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin
6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte
Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a
initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information
qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait
consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale
deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord
ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-
quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]
associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse
transversale mesurable
7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein
En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil
reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes
lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant
cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique
fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une
traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la
diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb
ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons
comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par
linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre
deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait
pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement
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diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten
(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du
deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de
lintroduction de la RR faisait rage
Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le
momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie
cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans
les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont
pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique
fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement
en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont
toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et
certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de
1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz
Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre
vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de
consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions
traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des
connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction
En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par
lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave
eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force
de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y
est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en
ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie
pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte
lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou
alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la
distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des
charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de
leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant
eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules
chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique
qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique
classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme
des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement
par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la
communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui
Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir
de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier
du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet
maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue
en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=
e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance
entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e
24πεod
2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique
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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse
simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil
semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui
entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce
moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir
Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et
qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment
Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la
RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et
aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la
Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de
lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement
causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de
Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules
eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron
selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse
classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de
particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective
plus loin
Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de
Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept
daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en
RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum
augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration
inertielle
8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le
demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale
mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee
du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement
ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant
dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second
point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la
vitesse
Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute
Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute
Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par
leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction
coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne
laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement
Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-
quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de
Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune
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harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse
ecirctre reacutealiseacutee
9 Les Principes axiomatiques absolus
Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les
concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient
permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu
ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee
pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de
points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la
nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir
des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences
consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le
Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction
stationnaire et de moindre action etc
La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de
conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas
activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme
dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien
compris lorsquil fut initialement formuleacute
En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances
permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous
pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant
quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat
apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement
dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction
stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]
Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des
trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]
[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel
eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de
nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les
masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial
qui eacutetait le leur avant leur lancement
En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune
hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des
eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur
astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule
maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de
ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant
une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera
examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit
les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement
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Andreacute Michaud Page 17
Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un
cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere
deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement
associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif
et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour
tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle
sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ
eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide
Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance
en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee
au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de
Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un
momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique
et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort
consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un
mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule
eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et
quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de
mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement
seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une
eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une
forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de
force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur
pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression
interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de
lexpression trompeuse force de Coulomb
Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que
quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la
physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant
suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes
axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme
dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui
savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de
linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de
Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction
adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant
correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une
interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement
10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus
Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables
observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont
constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la
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Page 18 Andreacute Michaud
confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et
processus
Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au
moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon
classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de
nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la
masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]
Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute
magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-
composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune
rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction
[39]
Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces
termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus
auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels
comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple
11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule
eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement
en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres
permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du
quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du
champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui
est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons
eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie
eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau
macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell
12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)
En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave
confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique
transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un
fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]
Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences
effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun
eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire
demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un
seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de
Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable
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Andreacute Michaud Page 19
transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation
de son champ magneacutetique transversal
Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit
directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est
aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par
analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au
repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement
2
M
r
1
8π
eμ e
e
2
0
(M-24)
Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron
ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en
correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi
que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation
(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)
Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)
dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique
rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant
perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article
[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute
graphiquement comme se deacuteplaccedilant
2
0
r
ud sd
4π
Iμd
B (M-1)
Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire
invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q
de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere
dt
)d(Ne
dt
dQI
-
(M-2)
Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure
constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv
puisque dt
dxv donc
v
dxdt (M-3)
En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par
sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint
dx
)vd(Ne
dt
d(Ne)I
-
(M-4)
Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart
dx)θsin(r4π
Iμd
2
0B (M-5)
En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-
4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte
sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition
puisque le courant demeure constant
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Page 20 Andreacute Michaud
)(Ned)θsin(r4π
vμdx)θsin(
dx
)vd(Ne
r4π
μdx)θsin(
r4π
Iμd -
2
0
-
2
0
2
0 B (M-5a)
En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant
maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus
decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant
que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute
)(Ned)θsin(r4π
vμd -
2
0B (M-6)
13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur
Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence
sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte
dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce
qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant
Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π
veμNd -
2
-
0iB (M-7)
Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant
les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer
pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est
absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous
allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de
sa deacuterivation
Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)
Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux
variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure
ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la
distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et
spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre
conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation
cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ
magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation
correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)
Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)
puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e
-) ce qui
constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de
lrsquoEacutequation (M-7)
)(ed)θsin(r4π
vμd -
2
0iB (M-6a)
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Andreacute Michaud Page 21
Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer
conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de
distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette
distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc
maintenant
)d(er4π
vμd -
2
0iB (M-6b)
Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le
calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux
occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons
agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)
-
2
0 er4π
vμiB (M-6c)
qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation
conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)
Eacutequation (M-7) correcte 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ
magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique
stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du
champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron
centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute
par lEacutequation (M-7)
Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie
trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le
flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement
propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement
ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue
lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant
physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron
Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment
stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil
meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des
eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant
donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute
les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de
saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation
triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de
leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule
eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques
individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction
transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique
macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur
dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et
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Page 22 Andreacute Michaud
cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut
rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul
eacutelectron
Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins
magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui
fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir
mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique
macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la
Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables
macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme
processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie
des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes
Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer
lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite
agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique
massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa
masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite
dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne
La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par
leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au
deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]
magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)
15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet
La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)
concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des
particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz
16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz
Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de
vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2
semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale
eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal
qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons
plus loin que ce nest pas le cas
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour
repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron
2
2
e
2
2
e
2
0cv
c
v
2
m
c
v
r8π
eμm (1)
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Andreacute Michaud Page 23
Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ
magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio
v2c
2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient
neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de
la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce
qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos
invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel
que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par
leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure
eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut
preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie
(Figure 3)
2
M
r
1
8π
eμ
c
v
r
1
8π
eμM e
e
2
0
2
2
e
2
00vuee_magneacutetiq
(M-24)
LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du
champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie
croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui
sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec
lEacutequation (M-24)
2
0cv
r4π
veμ B (2)
Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des
repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction
du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une
vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du
momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-
18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la
Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome
drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement
correct de masse relativiste
kg355E242533771
cr8π
1218764756eμ
cr8π
veμm
2
e
22
0
2
e
22
0m (3)
A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il
faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme
vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de
lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme
valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique
de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron
Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition
eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste
un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut
quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c
2 c eacutetant invariant et v
pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 24 Andreacute Michaud
preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique
transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre
vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement
proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron
(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite
de 409355207E-14 j)
Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute
invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique
intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique
de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer
leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de
Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente
toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-
magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de
leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute
totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la
masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de
masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2
Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette
somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur
gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de
calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)
Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec
leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit
leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de
leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus
leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par
structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc
2
K2E
KK4Ecv
2
(4)
Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des
eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes
de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees
C
2
CC
λ2λ
λλ4λcv
(5)
A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis
leacutelaboration de ces eacutequations
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Andreacute Michaud Page 25
17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)
Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le
rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de
lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ
magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la
deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par
lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee
transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB
mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette
augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique
constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron
409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement
eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation
entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec
leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron
Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute
deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de
Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration
spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2
=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est
obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure
fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]
m155E2817940282π
αλr Ce (6)
Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)
devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de
lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde
eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c
mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de
de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est
(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique
Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave
linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans
lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]
m11E29177208352π
λ
2π
λr B
Br (7)
Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude
transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en
multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y
a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave
lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin
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Page 26 Andreacute Michaud
atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet
maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient
mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal
invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique
correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec
lEacutequation (2)
T0405235047
113E529177208α4π
1218764756eμ
rα4π
veμ2
0
2
B
0
B (8)
Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee
que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant
une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale
serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence
Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable
comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la
avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut
eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que
cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir
lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal
Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de
leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable
soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ
magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)
sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et
nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)
T7346235051
86E455633525α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
23
0
B (9)
Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation
geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de
lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique
transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de
Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie
strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil
La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant
lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de
lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse
dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer
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Andreacute Michaud Page 27
18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse
Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer
lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa
version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire
lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de
linduction deacutenergie dans un eacutelectron
Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que
leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en
anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette
eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle
constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment
cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique
classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave
laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite
Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est
aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est
deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte
aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique
correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un
corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute
Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car
nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave
des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle
lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]
Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de
leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de
leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante
e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui
induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules
chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui
les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par
rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de
leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule
Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme
des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment
reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique
en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement
mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute
expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui
fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute
deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute
preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse
limite de la lumiegravere
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En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques
pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont
typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la
Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement
fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons
maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales
19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11
Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour
dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons
sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer
laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui
sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ
magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte
Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace
ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses
approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que
mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs
trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de
vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000
kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par
fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne
Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le
lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees
qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant
anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des
phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde
gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute
astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces
trajectoires est incapable den rendre compte
Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme
solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement
de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus
faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr
vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre
expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))
Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles
de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie
systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles
eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre
deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]
[37] [38]
Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande
publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne
que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute
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Andreacute Michaud Page 29
astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des
anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998
telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation
systeacutematique dorigine inconnue
Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec
les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses
typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal
deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces
deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie
transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette
derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les
paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation
Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de
Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement
j5E102658722731v-c
cmcΔK
22
2
(10)
Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour
Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de
kg78228E952c
ΔKΔm
2m (11)
Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour
expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de
ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la
proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse
au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent
initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de
masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele
et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la
Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du
temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne
tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont
faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des
masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin
20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui
est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme
densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne
neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du
quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron
Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le
champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en
mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui
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Page 30 Andreacute Michaud
repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en
utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de
structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette
eacutenergie
T1E1382890002212-5E242631021α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
2
C
3
0
e B (12)
Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide
quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui
pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la
densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par
exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne
comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales
Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien
connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse
relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes
deacutegales intensiteacutes
B
Ev (13)
La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en
additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de
la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)
pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de
Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne
invariant Be de la masse au repos de leacutelectron
T6E13828900024
λλ
λλ
α
ceπμ
λα
ceπμ
λα
ceπμ2
C
2
2
C
2
3
0
23
0
2
C
3
0e
BBB (14)
Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun
champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation
geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave
une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut
analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui
geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou
deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les
structures atomiques
λλdr
λE
αε2
e
α
2πe
ε4π
10
2πα
e
ε4π
1
o
22
o a 2
2
o0
(15)
Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout
quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la
constante de Planck
αλε2
ehE
o
2
f (16)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 31
Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de
forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration
fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que
linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force
classiques
Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc
eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde
longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser
avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)
NC673727E130467λαε
πe23
0
E (17)
Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au
repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron
Compton comme suit
NC4E10602933175λαε
πe2
C
3
0
e E (18)
Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la
vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple
addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique
ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE
des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique
qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ
monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute
agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave
la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =
4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron
(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante
NCE208133411211
λ2λλλ
λ4λλλλ
αε
πe
C
2
C
2
CC
2
C
2
3
0
E (19)
Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le
champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas
contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local
ms56621876476E13828900024
1E20181334112v
B
E (20)
Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE
avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement
qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos
invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement
lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la
vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle
leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la
Reacutefeacuterence [32]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 32 Andreacute Michaud
21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos
Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de
Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse
au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son
increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie
adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique
interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans
les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute
graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la
composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee
transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement
doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son
champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique
Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse
de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent
les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie
eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour
conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]
Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere
permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que
formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon
eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute
selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent
mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]
t)(ωsin
2
iL t)(ωcos
2C
e
2λ
hcE 2
2
λλ2
λ
2
(21)
ougrave
λ
2
(max)2C
eE E
et 2
iLE
2
λλ(max) B
(22)
et
αλ2εC 0λ 8π
αλμL
2
0λ
αλ
ec2πiλ (23)
La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des
champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement
aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees
avec les Eacutequations (22)
23
0 λαε
πeE 23
0
λα
πecμB (24)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 33
et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute
maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement
2
35
2π
λαV (25)
ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence
[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui
confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie
porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit
la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee
transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie
transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum
Vt)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
2λ
hcE 2
0
22
2
0
BE (26)
22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives
Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933
[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-
produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se
transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon
dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de
leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute
speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme
de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale
associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait
seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]
Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue
entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave
leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges
opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste
et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet
de construire leacutequation de la maniegravere suivante
2
0
2
m
1o
2
2λ
1
λ
1cmcΔmΔK2
λ
1
αε2
eE
C1
(27)
dans laquelle
2o
22
mλ
1
αε2
ecΔmΔK ougrave
C12 2λ
1
λ
1
2
1
λ
1 (28)
Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de
leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en
cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie
reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 34 Andreacute Michaud
invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre
les deux particules maintenant seacutepareacutees
Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford
(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons
eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau
impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires
eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave
proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur
lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]
Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces
vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel
des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel
plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une
meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou
plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en
leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des
masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit
leacutequation suivante
V
t)(ωsin K2μ
t)(ωcos)jJjJ(4
ε2
iI2λ
hciIE
2
Z0
2
2
Y
2
0
X
B
E
(29)
se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure
eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
me0
KB
jIjI
iJE
0
ν
(30)
et
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
mp
ν
0
KB
jIjI
iJE
0 (31)
dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique
maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute
lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre
constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une
oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation
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Andreacute Michaud Page 35
entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-
porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]
3
2
3
C
5
m m477E1497393262π
λαV et
2
C
3
0 λαε
eπν (32)
Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere
fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse
de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope
stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la
Reacutefeacuterence [20]
Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus
leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant
invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC
du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les
deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et
deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la
vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec
lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]
C
CC
λ2λ
λ4λλcv
ou
K2E
K4EKcv
2
(33)
Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur
donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au
repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du
photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse
de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de
Broglie [32] [3]
Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon
car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple
en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume
isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie
nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron
qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque
j148E4093552062π
λα
μ2λα
ceπμV
2μ 2
3
C
5
0
2
2
C
3
0m
0
2
B (34)
23 Construction de particules complexes stables
Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts
de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont
typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la
communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en
raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement
eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 36 Andreacute Michaud
petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue
tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]
Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont
aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que
leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre
eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps
ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction
stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des
particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par
rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-
destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)
Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions
mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-
dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence
infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux
eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement
frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions
frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes
hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)
Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible
Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors
dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons
eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules
complexes comme le proton et le neutron
Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des
eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave
ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee
(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves
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Andreacute Michaud Page 37
avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure
5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest
quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale
pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours
(Figures 5-b)
Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et
collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-
ponctuel
Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction
frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les
protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de
positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique
permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel
quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable
dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre
observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]
Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la
conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron
[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites
dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites
planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace
soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement
eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon
Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce
volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand
acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie
dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al
[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants
chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations
des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge
eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une
charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons
ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-
composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)
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Page 38 Andreacute Michaud
Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives
De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et
expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants
chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-
composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants
chargeacutes positivement [22] [25]
Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement
confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au
fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-
ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et
positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent
ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et
confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des
nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges
seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des
positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la
nature dispose pour construire les nucleacuteons
Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants
nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge
fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent
naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils
eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des
structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]
La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes
preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons
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Andreacute Michaud Page 39
correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence
de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement
estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui
peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie
agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]
soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la
seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee
pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]
2
0
eudicαn
3e
a
km
(n=1 2 3) (35)
ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la
lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale
eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de
Coulomb
8E9898755178ε4π
1k
o
(36)
En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages
expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer
cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc
2 pour la
sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux
distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe
coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de
lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]
Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la
mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la
masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient
effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour
de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces
deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance
Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie
matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee
confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et
eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent
respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas
encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et
eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des
interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures
Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres
particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par
collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees
up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee
par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de
reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant
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Page 40 Andreacute Michaud
les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach
et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee
Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave
laide de lEacutequation (35)
Masse au repos Eacutenergie Charge Ref
Eacutelectron ou positon en
mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV
plusmn1=
1602176462E-19 C [21]
Positon
eacutelectromagneacutetiquement
contraint
1 dans le neutron
2 dans le proton
2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=
1068117641E-19 C [22]
Eacutelectron
Eacutelectromagneacutetiquement
contraint
2 dans le neutron
1 dans le proton
8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=
5340588207E-20 C [22]
La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur
concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un
physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son
libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par
Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu
compte
Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The
theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far
beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks
themselves were never discovered in any scattering experiment
Traduction
Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de
succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent
quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-
mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision
Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute
produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et
quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u
(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en
parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par
Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron
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Andreacute Michaud Page 41
Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement
nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes
quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des
Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte
eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie
qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur
est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet
pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes
eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et
positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires
Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des
eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure
collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette
somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La
diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont
lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de
lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe
qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont
deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints
eacutelectromagneacutetiquement
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
U
Y
2
0
U
2
m
2
U
U
B
E
ν (37)
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
D
Y
2
0
D
2
m
2
DD
B
E
ν (38)
Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses
au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement
eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]
Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en
relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici
pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite
par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en
translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de
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reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de
translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport
une telle orbite circulaire
24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance
La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron
dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le
premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave
une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr
mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite
fermeacutee autour du proton
Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait
cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de
leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de
stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave
veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure
Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur
de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition
nhTβ-1
β
2
22
o r
cm (n eacutetant un nombre entier) (39)
Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de
reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction
donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte
cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de
nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil
identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature
eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut
expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait
rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique
deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses
eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion
dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules
eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte
cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories
dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique
Quantique sous sa forme traditionnelle
De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de
Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave
cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec
lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa
disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui
supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique
autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute
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Andreacute Michaud Page 43
perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie
eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que
leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton
En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton
nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee
autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie
concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie
induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement
Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique
strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur
temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques
eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des
orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales
de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la
freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie
du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de
reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie
sj34E662606876λvmh BB0 (40)
ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite
de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont
le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne
entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit
leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel
que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de
fB=6579683921E15 Hz
Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette
freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier
la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir
leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb
Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble
correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler
toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie
induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute
leacutenergie du quantum soit accumuleacutee
j 18-8E435974380rε4π
ehE
Bo
2
BB f (41)
dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))
Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la
longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique
la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel
quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]
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Page 44 Andreacute Michaud
αλε2
ehνE
o
2
(42)
ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale
dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue
suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec
lEacutequation (41) est donc
m82E455633525E
hcλ
B
(43)
ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave
obtenue avec lEacutequation (41) standard
j188E435974380αλε2
ehνE
o
2
B (44)
Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer
leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition
conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats
deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et
nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de
cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet
aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est
fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires
chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout
mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif
Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs
impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de
leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant
dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera
analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes
neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la
quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction
coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont
captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre
cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique
Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est
constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie
dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir
dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee
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Andreacute Michaud Page 45
par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la
valeur obtenue sera constant
Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de
lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee
de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie
eacutelectromagneacutetique (λ)
mj25E986445441α2ε
eEλH
0
2
(45)
Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur
temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la
constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante
H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui
reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que
historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee
deacutequations eacutelectromagneacutetiques
sj34E662606876c
Hh (46)
Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut
maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit
la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la
communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de
constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement
confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics
[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)
[40]
sj34E662606876αc2ε
eh
0
2
(47)
252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique
Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-
dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais
lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante
dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)
de latome dhydrogegravene et de son noyau
La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence
[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux
maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage
dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB
au carreacute
2
o
B
22
BB mj386E122085259ε4π
rerEK
(48)
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Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene
verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux
particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie
adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau
1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le
positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et
leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave
la Reacutefeacuterence [22]
26 Gravitation
En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires
induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules
chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de
maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une
eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son
existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le
permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux
Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee
leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors
quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le
centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les
accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette
pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une
eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle
tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne
peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de
momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car
leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de
masse de la Terre [4] [16]
En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune
mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum
vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules
chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et
est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum
pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque
lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une
pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne
agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la
masse de la Terre [33]
Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de
reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que
de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat
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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir
de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au
rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables
permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps
ceacuteleste autour de lastre central
Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance
moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute
freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr
le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps
ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle
oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle
chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps
ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes
Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central
peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites
qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes
par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de
reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes
de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus
doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans
lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont
reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes
Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est
aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome
dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas
cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule
eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la
stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital
Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence
en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction
stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les
cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)
Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force
gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction
coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction
stationnaire
Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les
positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques
afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble
eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave
appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules
chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image
mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces
particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee
quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire
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de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du
concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de
particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le
Tableau 2
Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])
Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques
Nom Porteacutee
Force
laquo traditionnelle raquo
associeacutee
Attracteur
primaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave
lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron
Forte
Attracteur
secondaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints
appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons
dans un noyau
Faible
Attracteur
tertiaire
Entre chaque eacutelectron captif et chaque
positon eacutelectromagneacutetiquement contraint
dun noyau et entre chaque eacutelectron et
chaque positon eacutelectromagneacutetiquement
contraint des noyaux des autres atomes de
toute accumulation de matiegravere
Eacutelectromagneacutetique
Attracteur
temporaire
local
Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun
photon Eacutelectromagneacutetique
Attracteur temporaire
eacuteloigneacute
Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du
reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique
Attracteur quaternaire
Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du
reste de lrsquounivers
Graviteacute
Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre
plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance
daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance
caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la
structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte
Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux
datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique
aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les
atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere
correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier
niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute
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libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau
astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle
Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction
coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique
transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence
quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4
forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui
savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute
dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente
dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel
Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere
permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le
centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme
dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme
dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des
atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble
des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la
direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant
en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses
Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses
macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la
profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales
eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave
la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]
Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la
Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses
macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes
une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les
eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus
eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons
retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors
un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme
dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine
section
Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme
celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et
quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des
orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute
qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne
induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des
noyaux
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Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette
pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission
de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les
eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave
mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee
denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante
dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les
eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec
linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage
de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le
deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant
agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes
quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en
chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]
Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les
masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent
les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui
diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux
atomiques
Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction
coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une
augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe
central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique
variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des
nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]
Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que
la profondeur augmente dans les masses macroscopiques
Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire
ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne
peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules
eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances
internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x
de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces
petites masses et celles de la Terre
Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes
constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction
proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est
laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons
captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des
photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale
meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant
agrave leurs orbitales daction stationnaire
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Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation
daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la
freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience
de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps
voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps
avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion
tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du
champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee
En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons
de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la
mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement
axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation
dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les
sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs
trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace
profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur
lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les
masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en
conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel
Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de
Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres
qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne
[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient
agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur
oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ
magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques
28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees
expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en
perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de
la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant
la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit
une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les
anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de
piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]
Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un
proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action
plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a
lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes
quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees
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Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos
par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de
2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-
porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]
j18-2E2179784831γcmΔKE 2
oK (49)
Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)
qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de
Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son
mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction
stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie
totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale
deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse
au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus
de stabilisation
j141875401148cmcmΔKE 2
0
2
me E (50)
Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune
quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie
j10-7E150327730cmE 2
pp (51)
Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr
0548911836
1
E
E
p
e (52)
On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de
grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la
composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par
rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele
reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en
perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de
leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus
grande
4968964481
1
E
E
p
K (53)
Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par
linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du
momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le
processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre
inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere
Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette
eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct
Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur
agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera
communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que
leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera
eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et
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mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de
freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere
La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de
Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin
Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas
vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de
lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-
2000 [18]
Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et
son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors
de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le
mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest
pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du
photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa
configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une
inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve
photoeacutelectrique de Einstein
La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum
ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur
lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de
son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant
son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son
volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)
Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie
eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum
unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum
complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)
La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe
dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de
jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule
transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme
dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du
photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y
pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut
ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8
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Page 54 Andreacute Michaud
La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant
inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux
champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du
proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence
darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J
vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la
quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement
qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du
photon porteur
T4692470103λα
ceπμ22
23
0 B (54)
ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout
deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs
magneacutetiques
En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de
leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome
dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable
coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la
meacutecanique actuelle deacutemission de photons
Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que
leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant
vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste
eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie
vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une
flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication
suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et
le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas
par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron
agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]
De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre
faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et
un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement
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Andreacute Michaud Page 55
compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite
lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis
artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion
initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la
rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en
permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence
Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation
de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron
dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute
eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence
[33]
Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette
distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque
la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de
remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement
induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la
direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression
stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente
eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie
que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant
momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV
temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon
eacutelectromagneacutetique seacutepareacute
La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra
leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ
magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le
montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence
dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe
devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]
Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y
eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se
deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges
opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la
valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le
proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de
leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la
part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue
par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne
Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui
fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit
de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que
leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave
saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe
de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous
forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des
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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau
macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d
La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton
comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie
ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique
incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La
reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience
que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que
linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de
leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis
et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce
processus de freinage si bref
Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de
lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers
lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum
qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du
reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-
quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par
deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet
leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller
transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi
loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se
deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]
Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la
seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet
momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la
vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre
compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du
photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave
lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale
des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de
la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute
totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement
invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton [4]
29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques
Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la
massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-
eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee
par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant
adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK
nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui
interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais
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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du
proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale
dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que
deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum
ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression
momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs
eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie
transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de
2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de
Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du
systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur
vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut
maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-
porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
le permettra [52]
Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en
conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee
plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos
eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou
agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme
eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par
accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18
j
Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et
documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent
document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui
permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons
eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de
leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article
30 Conclusion
Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie
eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de
concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme
si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait
dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne
La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de
Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la
deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin
complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit
une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus
deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit
preacuteceacutedemment
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Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une
conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies
anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux
expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les
eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un
ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par
Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz
Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations
eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees
provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire
Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique
quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident
geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant
donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision
cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants
magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013
pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]
Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des
eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]
Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet
dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques
denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave
lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du
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Autres articles dans le mecircme projet
Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique
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1 Introduction
En 1845 Michael Faraday observa quen placcedilant une plaque de verre entre les pocircles dun
eacutelectroaimant le champ magneacutetique faisait tourner le plan de polarisation de la lumiegravere qui
traversait la plaque Il communiqua aussitocirct agrave son ami James Clerk Maxwell cette deacutecouverte
majeure qui deacutemontrait pour la premiegravere fois ce lien direct entre le champ magneacutetique et la
lumiegravere [1]
Cest donc cette expeacuterience de Faraday qui est agrave lorigine de la theacuteorie eacutelectromagneacutetique
inteacutegreacutee ensuite eacutelaboreacutee par Maxwell car ayant deacutejagrave observeacute que les deacuteriveacutees secondes des
eacutequations preacuteceacutedemment eacutetablies pour champ eacutelectrique et champ magneacutetique reacuteveacutelaient que
leacutenergie eacutelectrique et leacutenergie magneacutetique eacutetaient seacutepareacutement associeacutees agrave la vitesse de la lumiegravere
[2] Maxwell en tira la conclusion que la lumiegravere devait ecirctre de nature eacutelectromagneacutetique et fit
ensuite la deacutecouverte fondamentale que leacutenergie eacutelectromagneacutetique impliquait une relation
triplement orthogonale entre ses trois aspects fondamentaux soit ses aspects eacutelectrique et
magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun agrave lautre et sinduisant mutuellement
simultaneacutement en un mouvement oscillant cyclique stationnaire transversal par rapport agrave la
direction de mouvement de cette eacutenergie dans lespace (voir Figure 1) soit une relation
triplement orthogonale correspondant au produit vectoriel familier des champs E et B (Voir
Figure 3-a) reacutesultant en un troisiegraveme vecteur de mouvement perpendiculaire par structure au
deux premiers [3] [4]
Figure 1 Repreacutesentation bipolaire deacutephaseacutee de 180
o des champs E et B de linterpreacutetation de
Maxwell
Le fait suivant en surprendra sans doute plus dun mais cette solution deacutecouverte par
Maxwell qui est aussi bien connu pour avoir deacuteriveacute la vitesse de la lumiegravere de la relation quil
eacutetablit entre les deux constantes fondamentales du vide εo y μo [2] nest pas la seule solution
fonctionnelle qui a eacuteteacute deacutecouverte pour associer les champs E et B agrave la vitesse de la lumiegravere
En reacutesumeacute le matheacutematicien Ludvig Lorenz a eacutetabli agrave la mecircme eacutepoque indeacutependamment de
Maxwell que si les champs E et B de leacutenergie eacutelectromagneacutetique eacutetaient matheacutematiquement
repreacutesenteacutes comme atteignent tous les deux leur maximum dintensiteacute de faccedilon synchrone en
mecircme temps (voir Figure 2) cela permet aussi dexpliquer la vitesse de la lumiegravere dans le vide
dondes eacutelectromagneacutetiques se propageant sous forme dune impulsion dans un eacutether sous-jacent
aussi bien que si ils eacutetaient deacutephaseacutes de 180o comme dans la solution de Maxwell
Mais la jauge de Lorenz est un concept geacuteneacuteralisateur qui combine les aspects E et B de
leacutenergie fondamentale en un champ eacutelectromagneacutetique unique qui deacutetourne lattention
immeacutediate des diffeacuterentes orientations vectorielles des deux aspects en particulier le fait que le
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dipocircle deacutenergie repreacutesenteacute par E est orienteacutee et distribueacutee dans lespace tandis que le dipocircle
deacutenergie repreacutesenteacute par B est orienteacutee et distribueacutee temporellement pendant que ces deux aspects
sinduisent cycliquement lune lautre en orientation transversale par rapport agrave la direction du
mouvement vectoriel de leacutenergie oscillante dans un vide
Figure 2 Repreacutesentation standard monopolaire des champs E et B atteignant
simultaneacutement leur maximum dintensiteacute en phase de linterpreacutetation de Lorenz
La repreacutesentation de la Figure 2 que lon retrouve dans tous les ouvrages sur
leacutelectromagneacutetisme tout en eacutetant en accord avec la theacuteorie ondulatoire de Maxwell deacutecrivant
leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme eacutetant une impulsion se propageant dans un aether sous-
jacent et qui est aussi en accord avec ses eacutequations est toutefois geacuteneacuteralement preacutesumeacutee de
maniegravere erroneacutee comme eacutetant aussi la conclusion de Maxwell
En reacutealiteacute Maxwell eacutetait en deacutesaccord avec cette approche car le concept de jauge
deacuteveloppeacute par Lorenz avait pour conseacutequence de traiter les deux champs E et B comme eacutetant un
champ eacutelectromagneacutetique unique au niveau geacuteneacuteral sans structure interne apparente de prime
abord ce qui fait facilement perdre de vue que ces deux champs sont seacutepareacutes et sont deacutegale
importance dans la theacuteorie de Maxwell avec des caracteacuteristiques diffeacuterentes et irreacuteconciliables
en plus de sinduire mutuellement contrairement agrave la solution de Lorenz tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [3]
Le fait que cette deuxiegraveme solution fut deacuteveloppeacutee par Lorenz est cependant peu connu dans
la communauteacute scientifique car elle est associeacutee seulement agrave la jauge dite jauge de Lorenz
deacutefinie par lui et ceci seulement dans les ouvrages speacutecialiseacutes de haut niveau sur
leacutelectromagneacutetisme [5] car elle se precircte plus facilement que la repreacutesentation de Maxwell aux
divers processus de geacuteneacuteralisation matheacutematiques Mais la veacuteritable origine de cette solution
repreacutesenteacutee par la Figure 2 nest pas clairement expliqueacutee dans les ouvrages dintroduction ou de
reacutefeacuterence geacuteneacuterale en physique [6] [7]
Par conseacutequent agrave moins de se speacutecialiser en eacutelectromagneacutetisme la majoriteacute des physiciens ne
sont donc pas directement informeacutes que ce nest pas Maxwell qui a conccedilu cette deuxiegraveme
approche et que leacutelectrodynamique classique ainsi que la theacuteorie des champs quantiques (QFT)
dont leacutelectrodynamique quantique (QED) est issue [8] [9] mais quelles sont plutocirct fondeacutees sur
linterpreacutetation de Lorenz car ce fait nest nulle part clairement mis en eacutevidence dans les
ouvrages de reacutefeacuterence sur leacutelectrodynamique et sur la QFT qui furent bien sucircr deacuteveloppeacutes par
des speacutecialistes en eacutelectromagneacutetisme pour qui ce fait eacutetait une eacutevidence Contrairement aux faits
eacutetablis il en reacutesulte donc une impression geacuteneacuterale dans la communauteacute que Maxwell est le
veacuteritable auteur de cette deuxiegraveme solution et que leacutelectrodynamique et la QFT sont fondeacutee
strictement sur son interpreacutetation
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La nuance est importante cependant car lhypothegravese de de Broglie agrave propos du photon localiseacute
agrave double particule qui eacutemerge directement de linterpreacutetation de Maxwell se retrouve ainsi en
porte-agrave-faux par rapport agrave leacutelectrodynamique classique et la QED parce que lapproche de
Lorenz occulte le fait que les champs E et B sont seacutepareacutement dimportance eacutegale Par exemple le
rocircle preacutepondeacuterant donneacute aux charges eacutelectriques dans la QED semble ne laisser aucune fonction
preacutecise agrave laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dans une possible meacutecanique
dinduction mutuelle qui impliquerait les deux champs seacutepareacutes contrairement agrave linterpreacutetation de
Maxwell Mecircme le fait que la QED telle que formuleacutee ne peut expliquer linduction mutuelle
des deux champs dans les systegravemes LRC ne semble pas attirer lattention sur cette question
2 Mise en perspective en fonction des ordres de grandeur relatifs
Pour bien mettre en perspective la possibiliteacute de deacutecrire leacutenergie qui constitue la substance
mecircme dont sont constitueacutees toutes les particules eacuteleacutementaires localiseacutees telles que les photons
eacutelectromagneacutetiques les eacutelectrons et les positons au niveau subatomique dune maniegravere qui ne
serait pas en conflit avec la theacuteorie bien eacutetablie de londe eacutelectromagneacutetique continue de
Maxwell qui est appliqueacutee avec tant de succegraves agrave notre niveau macroscopique il faut en premier
lieu prendre conscience que tout les objets et processus que nous pouvons deacutetecter et mesurer
dans la reacutealiteacute objective peuvent ecirctre classeacutes comme relevant de lun des quatre ordres de
magnitude suivants Par ordre deacutecroissant damplitude ces divers ordres de grandeur peuvent ecirctre
deacutefinis de maniegravere tregraves geacuteneacuterale comme suit
1- Niveau astronomique Ordre de grandeur deacutepassant en dimensions le cadre
strict de la seule planegravete Terre
2- Niveau macroscopique Ordre de grandeur dans lequel tout objet ou processus
peut ecirctre directement mesureacute agrave la surface de la Terre et dans son environnement
3- Niveau sous-microscopique ou atomique Ordre de grandeur des moleacutecules et
atomes
4- Niveau subatomique Ordre de grandeur des particules eacuteleacutementaires dont les
atomes sont constitueacutes ainsi que de leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui constitue
leur substance qui supporte leur mouvement deacutetermine leur inertie et qui peut
aussi circuler librement sous forme quantifieacutee agrave la vitesse de la lumiegravere lorsque
non directement associeacutee agrave lune de ces particules eacuteleacutementaires
Les 3 premiers niveaux sont geacuteneacuteralement familiers pour tous mais le niveau subatomique ne
lest pas Nous pouvons directement percevoir et mesurer les objets et processus de notre
environnement au niveau macroscopique et nous percevons et mesurons indirectement avec de
plus en plus de preacutecision les objets et processus appartenant autres ordres de grandeurs agrave mesure
que nos instruments se perfectionnent
Il peut sembler paradoxal drsquoaffirmer si fermement que lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique peut ecirctre
directement deacutefinie comme eacutetant quantifieacutee sous forme de photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
au niveau subatomique conformeacutement aux eacutequations de Maxwell tout en demeurant en parfaite
harmonie avec sa theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques continues se propageant dans un medium
sous-jacent qui a eu tant de succegraves telle quappliqueacutee agrave notre niveau macroscopique soit une
question qui fait deacutebat depuis le deacutebut du 20e siegravecle
Il faut mettre en perspective ici que nous ne percevons par ailleurs aucun paradoxe dans le fait
que nous observons directement que limage dun eacutecran de teacuteleacutevision nous apparaicirct continue de
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maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien
conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi
directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee
physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement
seacutepareacutes
De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave
traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en
sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules
localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau
subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-
mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees
eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne
pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de
leacutecran de teacuteleacutevision
La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un
fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne
pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme
nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous
comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau
macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees
glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants
instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces
moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique
Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau
subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision
dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre
de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre
de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute
de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de
leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos
microscopes eacutelectroniques
Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de
grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la
perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la
diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les
moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment
petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre
niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie
eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus
grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave
sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre
niveau macroscopique
Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de
grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique
consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune
moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la
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distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi
agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome
dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons
eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au
mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres
particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave
linteacuterieur de la structure du proton et du neutron
Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau
subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au
repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument
suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique
contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement
possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la
granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une
granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est
inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des
particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique
sont les suivants
1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere
quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir
Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])
2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons
possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience
photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la
moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de
la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses
solaires [3] [11]
3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons
eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-
positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se
reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de
nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse
invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance
eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve
expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le
seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons
eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans
quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]
4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et
une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C
5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des
particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux
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de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des
systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])
Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement
nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par
ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave
partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement
des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes
soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par
les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux
en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des
changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau
atomique
Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de
leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee
lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules
infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets
qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants
microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les
cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long
de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous
prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre
[14]
Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour
que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune
intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des
atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi
que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui
peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes
seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium
Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie
eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la
traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis
pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau
subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)
mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations
eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une
onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une
harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier
chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation
tireacutee de ses Lectures on Physics [15]
There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are
not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen
electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain
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Page 8 Andreacute Michaud
Traduction
Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne
sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement
associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique
Quantique ces difficulteacutes demeurent
Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent
matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure
granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue
uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie
des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier
deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne
de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la
structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des
neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement
eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique
transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute
matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos
Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure
eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de
Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau
subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de
reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau
subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique
3 Deux perceacutees majeures reacutecentes
Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure
interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique
qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne
semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de
Minkowski [17]
la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie
deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave
limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans
le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-
temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de
ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur
aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p
273)
Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure
eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec
les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires
stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau
subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de
Maxwell
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Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective
lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales
recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute
expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de
la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale
4 La premiegravere perceacutee majeure
Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de
lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects
fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau
subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun
agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation
stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de
cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est
perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par
ces deux champs (voir Figure 1)
La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant
de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut
formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de
Saint-Peacutetersbourg [18]
Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la
Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave
augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k
(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D
pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme
eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux
autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun
Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale
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Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au
centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la
substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des
vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale
stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux
espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-
quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-
transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui
reacuteside dans lespace-X
Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique
trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles
de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3
parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre
eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire
matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant
chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3
espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes
orthogonaux internes reacutesultants
5 La deuxiegraveme perceacutee majeure
Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul
Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre
laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui
permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui
augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ
magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de
leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article
publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de
Kazan [20]
Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees
constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne
dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une
eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de
maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee
pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]
ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin
Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes
les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules
complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et
autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules
eacuteleacutementaires [24]
Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des
atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons
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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions
destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que
sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des
seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou
lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees
eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]
Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de
larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement
sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa
deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement
deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre
directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre
article reacutecemment publieacute [4]
Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese
personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la
premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une
deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir
de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave
leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun
doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique
geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les
eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi
du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser
directement dans son article original
LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees
auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie
de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee
autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique
transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de
leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement
mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable
avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise
en eacutevidence plus loin
Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable
agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation
relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le
champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est
constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce
fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de
mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective
par Marmet au deacutebut de son article [19]
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Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis
Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui
seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie
Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du
champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle
geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant
omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute
de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans
lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme
charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept
ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter
sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de
Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et
matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee
exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement
qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration
perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation
qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui
soutient son mouvement dans lespace
Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme
rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de
laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut
donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons
dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart
Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron
en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste
ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son
champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette
derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable
avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc
2 - moc
2) car il est physiquement
et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux
directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une
de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de
laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ
magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee
Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave
mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune
seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute
deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie
du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux
quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee
que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors
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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la
veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov
22 + (γmoc
2 -
moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique
quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de
Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la
distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement
et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees
les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement
Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie
doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ
magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme
geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de
cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour
obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en
mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin
6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte
Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a
initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information
qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait
consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale
deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord
ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-
quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]
associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse
transversale mesurable
7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein
En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil
reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes
lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant
cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique
fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une
traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la
diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb
ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons
comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par
linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre
deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait
pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement
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diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten
(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du
deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de
lintroduction de la RR faisait rage
Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le
momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie
cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans
les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont
pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique
fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement
en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont
toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et
certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de
1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz
Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre
vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de
consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions
traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des
connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction
En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par
lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave
eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force
de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y
est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en
ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie
pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte
lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou
alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la
distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des
charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de
leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant
eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules
chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique
qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique
classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme
des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement
par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la
communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui
Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir
de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier
du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet
maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue
en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=
e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance
entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e
24πεod
2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique
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Andreacute Michaud Page 15
adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse
simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil
semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui
entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce
moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir
Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et
qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment
Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la
RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et
aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la
Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de
lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement
causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de
Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules
eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron
selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse
classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de
particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective
plus loin
Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de
Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept
daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en
RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum
augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration
inertielle
8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le
demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale
mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee
du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement
ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant
dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second
point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la
vitesse
Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute
Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute
Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par
leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction
coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne
laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement
Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-
quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de
Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune
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harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse
ecirctre reacutealiseacutee
9 Les Principes axiomatiques absolus
Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les
concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient
permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu
ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee
pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de
points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la
nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir
des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences
consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le
Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction
stationnaire et de moindre action etc
La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de
conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas
activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme
dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien
compris lorsquil fut initialement formuleacute
En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances
permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous
pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant
quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat
apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement
dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction
stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]
Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des
trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]
[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel
eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de
nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les
masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial
qui eacutetait le leur avant leur lancement
En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune
hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des
eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur
astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule
maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de
ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant
une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera
examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit
les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement
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Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un
cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere
deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement
associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif
et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour
tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle
sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ
eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide
Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance
en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee
au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de
Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un
momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique
et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort
consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un
mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule
eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et
quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de
mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement
seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une
eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une
forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de
force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur
pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression
interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de
lexpression trompeuse force de Coulomb
Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que
quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la
physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant
suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes
axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme
dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui
savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de
linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de
Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction
adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant
correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une
interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement
10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus
Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables
observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont
constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la
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confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et
processus
Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au
moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon
classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de
nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la
masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]
Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute
magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-
composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune
rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction
[39]
Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces
termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus
auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels
comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple
11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule
eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement
en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres
permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du
quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du
champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui
est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons
eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie
eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau
macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell
12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)
En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave
confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique
transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un
fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]
Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences
effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun
eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire
demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un
seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de
Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable
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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation
de son champ magneacutetique transversal
Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit
directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est
aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par
analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au
repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement
2
M
r
1
8π
eμ e
e
2
0
(M-24)
Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron
ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en
correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi
que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation
(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)
Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)
dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique
rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant
perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article
[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute
graphiquement comme se deacuteplaccedilant
2
0
r
ud sd
4π
Iμd
B (M-1)
Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire
invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q
de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere
dt
)d(Ne
dt
dQI
-
(M-2)
Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure
constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv
puisque dt
dxv donc
v
dxdt (M-3)
En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par
sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint
dx
)vd(Ne
dt
d(Ne)I
-
(M-4)
Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart
dx)θsin(r4π
Iμd
2
0B (M-5)
En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-
4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte
sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition
puisque le courant demeure constant
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)(Ned)θsin(r4π
vμdx)θsin(
dx
)vd(Ne
r4π
μdx)θsin(
r4π
Iμd -
2
0
-
2
0
2
0 B (M-5a)
En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant
maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus
decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant
que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute
)(Ned)θsin(r4π
vμd -
2
0B (M-6)
13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur
Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence
sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte
dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce
qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant
Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π
veμNd -
2
-
0iB (M-7)
Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant
les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer
pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est
absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous
allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de
sa deacuterivation
Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)
Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux
variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure
ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la
distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et
spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre
conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation
cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ
magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation
correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)
Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)
puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e
-) ce qui
constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de
lrsquoEacutequation (M-7)
)(ed)θsin(r4π
vμd -
2
0iB (M-6a)
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Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer
conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de
distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette
distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc
maintenant
)d(er4π
vμd -
2
0iB (M-6b)
Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le
calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux
occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons
agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)
-
2
0 er4π
vμiB (M-6c)
qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation
conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)
Eacutequation (M-7) correcte 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ
magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique
stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du
champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron
centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute
par lEacutequation (M-7)
Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie
trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le
flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement
propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement
ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue
lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant
physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron
Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment
stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil
meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des
eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant
donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute
les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de
saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation
triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de
leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule
eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques
individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction
transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique
macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur
dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et
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cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut
rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul
eacutelectron
Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins
magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui
fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir
mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique
macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la
Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables
macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme
processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie
des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes
Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer
lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite
agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique
massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa
masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite
dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne
La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par
leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au
deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]
magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)
15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet
La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)
concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des
particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz
16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz
Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de
vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2
semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale
eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal
qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons
plus loin que ce nest pas le cas
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour
repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron
2
2
e
2
2
e
2
0cv
c
v
2
m
c
v
r8π
eμm (1)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 23
Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ
magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio
v2c
2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient
neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de
la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce
qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos
invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel
que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par
leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure
eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut
preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie
(Figure 3)
2
M
r
1
8π
eμ
c
v
r
1
8π
eμM e
e
2
0
2
2
e
2
00vuee_magneacutetiq
(M-24)
LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du
champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie
croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui
sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec
lEacutequation (M-24)
2
0cv
r4π
veμ B (2)
Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des
repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction
du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une
vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du
momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-
18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la
Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome
drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement
correct de masse relativiste
kg355E242533771
cr8π
1218764756eμ
cr8π
veμm
2
e
22
0
2
e
22
0m (3)
A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il
faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme
vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de
lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme
valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique
de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron
Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition
eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste
un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut
quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c
2 c eacutetant invariant et v
pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute
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Page 24 Andreacute Michaud
preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique
transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre
vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement
proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron
(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite
de 409355207E-14 j)
Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute
invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique
intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique
de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer
leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de
Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente
toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-
magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de
leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute
totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la
masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de
masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2
Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette
somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur
gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de
calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)
Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec
leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit
leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de
leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus
leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par
structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc
2
K2E
KK4Ecv
2
(4)
Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des
eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes
de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees
C
2
CC
λ2λ
λλ4λcv
(5)
A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis
leacutelaboration de ces eacutequations
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17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)
Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le
rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de
lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ
magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la
deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par
lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee
transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB
mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette
augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique
constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron
409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement
eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation
entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec
leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron
Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute
deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de
Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration
spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2
=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est
obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure
fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]
m155E2817940282π
αλr Ce (6)
Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)
devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de
lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde
eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c
mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de
de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est
(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique
Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave
linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans
lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]
m11E29177208352π
λ
2π
λr B
Br (7)
Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude
transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en
multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y
a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave
lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin
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Page 26 Andreacute Michaud
atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet
maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient
mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal
invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique
correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec
lEacutequation (2)
T0405235047
113E529177208α4π
1218764756eμ
rα4π
veμ2
0
2
B
0
B (8)
Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee
que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant
une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale
serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence
Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable
comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la
avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut
eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que
cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir
lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal
Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de
leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable
soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ
magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)
sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et
nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)
T7346235051
86E455633525α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
23
0
B (9)
Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation
geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de
lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique
transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de
Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie
strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil
La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant
lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de
lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse
dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer
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Andreacute Michaud Page 27
18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse
Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer
lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa
version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire
lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de
linduction deacutenergie dans un eacutelectron
Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que
leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en
anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette
eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle
constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment
cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique
classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave
laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite
Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est
aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est
deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte
aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique
correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un
corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute
Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car
nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave
des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle
lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]
Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de
leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de
leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante
e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui
induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules
chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui
les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par
rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de
leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule
Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme
des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment
reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique
en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement
mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute
expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui
fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute
deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute
preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse
limite de la lumiegravere
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En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques
pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont
typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la
Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement
fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons
maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales
19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11
Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour
dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons
sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer
laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui
sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ
magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte
Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace
ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses
approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que
mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs
trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de
vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000
kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par
fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne
Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le
lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees
qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant
anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des
phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde
gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute
astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces
trajectoires est incapable den rendre compte
Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme
solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement
de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus
faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr
vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre
expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))
Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles
de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie
systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles
eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre
deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]
[37] [38]
Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande
publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne
que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 29
astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des
anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998
telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation
systeacutematique dorigine inconnue
Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec
les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses
typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal
deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces
deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie
transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette
derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les
paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation
Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de
Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement
j5E102658722731v-c
cmcΔK
22
2
(10)
Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour
Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de
kg78228E952c
ΔKΔm
2m (11)
Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour
expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de
ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la
proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse
au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent
initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de
masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele
et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la
Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du
temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne
tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont
faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des
masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin
20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui
est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme
densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne
neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du
quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron
Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le
champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en
mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 30 Andreacute Michaud
repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en
utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de
structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette
eacutenergie
T1E1382890002212-5E242631021α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
2
C
3
0
e B (12)
Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide
quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui
pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la
densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par
exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne
comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales
Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien
connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse
relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes
deacutegales intensiteacutes
B
Ev (13)
La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en
additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de
la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)
pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de
Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne
invariant Be de la masse au repos de leacutelectron
T6E13828900024
λλ
λλ
α
ceπμ
λα
ceπμ
λα
ceπμ2
C
2
2
C
2
3
0
23
0
2
C
3
0e
BBB (14)
Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun
champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation
geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave
une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut
analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui
geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou
deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les
structures atomiques
λλdr
λE
αε2
e
α
2πe
ε4π
10
2πα
e
ε4π
1
o
22
o a 2
2
o0
(15)
Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout
quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la
constante de Planck
αλε2
ehE
o
2
f (16)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 31
Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de
forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration
fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que
linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force
classiques
Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc
eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde
longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser
avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)
NC673727E130467λαε
πe23
0
E (17)
Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au
repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron
Compton comme suit
NC4E10602933175λαε
πe2
C
3
0
e E (18)
Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la
vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple
addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique
ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE
des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique
qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ
monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute
agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave
la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =
4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron
(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante
NCE208133411211
λ2λλλ
λ4λλλλ
αε
πe
C
2
C
2
CC
2
C
2
3
0
E (19)
Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le
champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas
contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local
ms56621876476E13828900024
1E20181334112v
B
E (20)
Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE
avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement
qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos
invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement
lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la
vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle
leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la
Reacutefeacuterence [32]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 32 Andreacute Michaud
21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos
Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de
Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse
au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son
increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie
adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique
interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans
les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute
graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la
composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee
transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement
doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son
champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique
Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse
de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent
les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie
eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour
conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]
Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere
permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que
formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon
eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute
selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent
mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]
t)(ωsin
2
iL t)(ωcos
2C
e
2λ
hcE 2
2
λλ2
λ
2
(21)
ougrave
λ
2
(max)2C
eE E
et 2
iLE
2
λλ(max) B
(22)
et
αλ2εC 0λ 8π
αλμL
2
0λ
αλ
ec2πiλ (23)
La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des
champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement
aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees
avec les Eacutequations (22)
23
0 λαε
πeE 23
0
λα
πecμB (24)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 33
et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute
maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement
2
35
2π
λαV (25)
ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence
[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui
confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie
porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit
la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee
transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie
transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum
Vt)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
2λ
hcE 2
0
22
2
0
BE (26)
22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives
Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933
[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-
produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se
transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon
dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de
leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute
speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme
de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale
associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait
seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]
Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue
entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave
leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges
opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste
et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet
de construire leacutequation de la maniegravere suivante
2
0
2
m
1o
2
2λ
1
λ
1cmcΔmΔK2
λ
1
αε2
eE
C1
(27)
dans laquelle
2o
22
mλ
1
αε2
ecΔmΔK ougrave
C12 2λ
1
λ
1
2
1
λ
1 (28)
Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de
leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en
cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie
reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 34 Andreacute Michaud
invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre
les deux particules maintenant seacutepareacutees
Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford
(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons
eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau
impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires
eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave
proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur
lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]
Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces
vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel
des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel
plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une
meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou
plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en
leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des
masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit
leacutequation suivante
V
t)(ωsin K2μ
t)(ωcos)jJjJ(4
ε2
iI2λ
hciIE
2
Z0
2
2
Y
2
0
X
B
E
(29)
se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure
eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
me0
KB
jIjI
iJE
0
ν
(30)
et
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
mp
ν
0
KB
jIjI
iJE
0 (31)
dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique
maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute
lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre
constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une
oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation
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Andreacute Michaud Page 35
entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-
porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]
3
2
3
C
5
m m477E1497393262π
λαV et
2
C
3
0 λαε
eπν (32)
Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere
fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse
de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope
stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la
Reacutefeacuterence [20]
Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus
leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant
invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC
du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les
deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et
deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la
vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec
lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]
C
CC
λ2λ
λ4λλcv
ou
K2E
K4EKcv
2
(33)
Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur
donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au
repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du
photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse
de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de
Broglie [32] [3]
Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon
car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple
en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume
isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie
nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron
qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque
j148E4093552062π
λα
μ2λα
ceπμV
2μ 2
3
C
5
0
2
2
C
3
0m
0
2
B (34)
23 Construction de particules complexes stables
Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts
de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont
typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la
communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en
raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement
eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus
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petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue
tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]
Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont
aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que
leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre
eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps
ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction
stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des
particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par
rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-
destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)
Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions
mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-
dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence
infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux
eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement
frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions
frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes
hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)
Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible
Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors
dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons
eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules
complexes comme le proton et le neutron
Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des
eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave
ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee
(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves
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avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure
5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest
quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale
pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours
(Figures 5-b)
Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et
collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-
ponctuel
Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction
frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les
protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de
positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique
permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel
quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable
dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre
observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]
Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la
conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron
[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites
dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites
planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace
soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement
eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon
Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce
volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand
acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie
dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al
[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants
chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations
des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge
eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une
charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons
ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-
composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)
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Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives
De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et
expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants
chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-
composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants
chargeacutes positivement [22] [25]
Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement
confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au
fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-
ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et
positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent
ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et
confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des
nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges
seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des
positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la
nature dispose pour construire les nucleacuteons
Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants
nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge
fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent
naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils
eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des
structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]
La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes
preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons
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correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence
de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement
estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui
peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie
agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]
soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la
seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee
pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]
2
0
eudicαn
3e
a
km
(n=1 2 3) (35)
ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la
lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale
eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de
Coulomb
8E9898755178ε4π
1k
o
(36)
En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages
expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer
cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc
2 pour la
sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux
distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe
coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de
lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]
Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la
mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la
masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient
effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour
de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces
deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance
Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie
matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee
confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et
eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent
respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas
encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et
eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des
interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures
Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres
particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par
collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees
up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee
par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de
reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant
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les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach
et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee
Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave
laide de lEacutequation (35)
Masse au repos Eacutenergie Charge Ref
Eacutelectron ou positon en
mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV
plusmn1=
1602176462E-19 C [21]
Positon
eacutelectromagneacutetiquement
contraint
1 dans le neutron
2 dans le proton
2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=
1068117641E-19 C [22]
Eacutelectron
Eacutelectromagneacutetiquement
contraint
2 dans le neutron
1 dans le proton
8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=
5340588207E-20 C [22]
La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur
concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un
physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son
libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par
Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu
compte
Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The
theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far
beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks
themselves were never discovered in any scattering experiment
Traduction
Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de
succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent
quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-
mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision
Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute
produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et
quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u
(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en
parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par
Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron
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Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement
nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes
quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des
Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte
eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie
qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur
est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet
pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes
eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et
positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires
Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des
eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure
collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette
somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La
diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont
lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de
lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe
qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont
deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints
eacutelectromagneacutetiquement
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
U
Y
2
0
U
2
m
2
U
U
B
E
ν (37)
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
D
Y
2
0
D
2
m
2
DD
B
E
ν (38)
Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses
au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement
eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]
Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en
relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici
pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite
par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en
translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de
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reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de
translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport
une telle orbite circulaire
24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance
La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron
dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le
premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave
une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr
mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite
fermeacutee autour du proton
Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait
cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de
leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de
stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave
veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure
Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur
de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition
nhTβ-1
β
2
22
o r
cm (n eacutetant un nombre entier) (39)
Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de
reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction
donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte
cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de
nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil
identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature
eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut
expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait
rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique
deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses
eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion
dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules
eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte
cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories
dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique
Quantique sous sa forme traditionnelle
De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de
Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave
cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec
lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa
disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui
supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique
autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute
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perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie
eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que
leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton
En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton
nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee
autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie
concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie
induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement
Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique
strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur
temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques
eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des
orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales
de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la
freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie
du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de
reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie
sj34E662606876λvmh BB0 (40)
ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite
de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont
le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne
entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit
leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel
que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de
fB=6579683921E15 Hz
Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette
freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier
la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir
leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb
Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble
correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler
toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie
induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute
leacutenergie du quantum soit accumuleacutee
j 18-8E435974380rε4π
ehE
Bo
2
BB f (41)
dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))
Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la
longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique
la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel
quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]
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αλε2
ehνE
o
2
(42)
ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale
dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue
suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec
lEacutequation (41) est donc
m82E455633525E
hcλ
B
(43)
ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave
obtenue avec lEacutequation (41) standard
j188E435974380αλε2
ehνE
o
2
B (44)
Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer
leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition
conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats
deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et
nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de
cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet
aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est
fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires
chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout
mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif
Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs
impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de
leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant
dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera
analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes
neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la
quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction
coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont
captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre
cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique
Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est
constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie
dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir
dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee
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Andreacute Michaud Page 45
par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la
valeur obtenue sera constant
Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de
lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee
de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie
eacutelectromagneacutetique (λ)
mj25E986445441α2ε
eEλH
0
2
(45)
Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur
temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la
constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante
H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui
reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que
historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee
deacutequations eacutelectromagneacutetiques
sj34E662606876c
Hh (46)
Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut
maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit
la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la
communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de
constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement
confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics
[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)
[40]
sj34E662606876αc2ε
eh
0
2
(47)
252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique
Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-
dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais
lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante
dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)
de latome dhydrogegravene et de son noyau
La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence
[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux
maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage
dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB
au carreacute
2
o
B
22
BB mj386E122085259ε4π
rerEK
(48)
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Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene
verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux
particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie
adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau
1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le
positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et
leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave
la Reacutefeacuterence [22]
26 Gravitation
En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires
induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules
chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de
maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une
eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son
existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le
permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux
Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee
leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors
quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le
centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les
accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette
pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une
eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle
tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne
peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de
momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car
leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de
masse de la Terre [4] [16]
En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune
mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum
vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules
chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et
est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum
pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque
lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une
pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne
agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la
masse de la Terre [33]
Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de
reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que
de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat
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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir
de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au
rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables
permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps
ceacuteleste autour de lastre central
Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance
moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute
freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr
le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps
ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle
oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle
chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps
ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes
Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central
peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites
qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes
par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de
reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes
de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus
doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans
lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont
reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes
Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est
aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome
dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas
cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule
eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la
stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital
Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence
en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction
stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les
cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)
Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force
gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction
coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction
stationnaire
Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les
positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques
afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble
eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave
appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules
chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image
mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces
particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee
quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire
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de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du
concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de
particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le
Tableau 2
Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])
Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques
Nom Porteacutee
Force
laquo traditionnelle raquo
associeacutee
Attracteur
primaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave
lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron
Forte
Attracteur
secondaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints
appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons
dans un noyau
Faible
Attracteur
tertiaire
Entre chaque eacutelectron captif et chaque
positon eacutelectromagneacutetiquement contraint
dun noyau et entre chaque eacutelectron et
chaque positon eacutelectromagneacutetiquement
contraint des noyaux des autres atomes de
toute accumulation de matiegravere
Eacutelectromagneacutetique
Attracteur
temporaire
local
Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun
photon Eacutelectromagneacutetique
Attracteur temporaire
eacuteloigneacute
Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du
reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique
Attracteur quaternaire
Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du
reste de lrsquounivers
Graviteacute
Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre
plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance
daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance
caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la
structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte
Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux
datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique
aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les
atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere
correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier
niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute
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libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau
astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle
Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction
coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique
transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence
quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4
forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui
savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute
dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente
dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel
Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere
permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le
centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme
dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme
dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des
atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble
des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la
direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant
en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses
Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses
macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la
profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales
eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave
la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]
Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la
Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses
macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes
une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les
eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus
eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons
retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors
un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme
dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine
section
Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme
celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et
quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des
orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute
qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne
induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des
noyaux
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Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette
pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission
de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les
eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave
mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee
denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante
dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les
eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec
linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage
de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le
deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant
agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes
quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en
chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]
Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les
masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent
les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui
diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux
atomiques
Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction
coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une
augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe
central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique
variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des
nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]
Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que
la profondeur augmente dans les masses macroscopiques
Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire
ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne
peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules
eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances
internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x
de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces
petites masses et celles de la Terre
Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes
constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction
proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est
laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons
captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des
photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale
meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant
agrave leurs orbitales daction stationnaire
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Andreacute Michaud Page 51
Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation
daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la
freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience
de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps
voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps
avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion
tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du
champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee
En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons
de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la
mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement
axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation
dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les
sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs
trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace
profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur
lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les
masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en
conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel
Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de
Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres
qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne
[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient
agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur
oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ
magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques
28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees
expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en
perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de
la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant
la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit
une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les
anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de
piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]
Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un
proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action
plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a
lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes
quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees
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Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos
par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de
2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-
porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]
j18-2E2179784831γcmΔKE 2
oK (49)
Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)
qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de
Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son
mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction
stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie
totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale
deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse
au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus
de stabilisation
j141875401148cmcmΔKE 2
0
2
me E (50)
Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune
quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie
j10-7E150327730cmE 2
pp (51)
Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr
0548911836
1
E
E
p
e (52)
On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de
grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la
composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par
rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele
reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en
perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de
leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus
grande
4968964481
1
E
E
p
K (53)
Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par
linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du
momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le
processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre
inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere
Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette
eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct
Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur
agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera
communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que
leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera
eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et
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Andreacute Michaud Page 53
mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de
freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere
La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de
Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin
Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas
vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de
lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-
2000 [18]
Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et
son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors
de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le
mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest
pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du
photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa
configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une
inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve
photoeacutelectrique de Einstein
La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum
ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur
lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de
son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant
son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son
volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)
Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie
eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum
unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum
complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)
La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe
dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de
jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule
transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme
dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du
photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y
pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut
ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8
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La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant
inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux
champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du
proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence
darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J
vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la
quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement
qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du
photon porteur
T4692470103λα
ceπμ22
23
0 B (54)
ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout
deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs
magneacutetiques
En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de
leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome
dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable
coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la
meacutecanique actuelle deacutemission de photons
Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que
leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant
vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste
eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie
vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une
flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication
suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et
le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas
par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron
agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]
De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre
faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et
un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement
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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite
lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis
artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion
initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la
rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en
permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence
Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation
de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron
dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute
eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence
[33]
Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette
distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque
la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de
remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement
induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la
direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression
stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente
eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie
que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant
momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV
temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon
eacutelectromagneacutetique seacutepareacute
La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra
leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ
magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le
montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence
dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe
devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]
Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y
eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se
deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges
opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la
valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le
proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de
leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la
part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue
par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne
Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui
fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit
de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que
leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave
saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe
de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous
forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des
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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau
macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d
La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton
comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie
ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique
incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La
reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience
que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que
linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de
leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis
et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce
processus de freinage si bref
Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de
lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers
lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum
qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du
reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-
quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par
deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet
leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller
transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi
loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se
deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]
Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la
seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet
momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la
vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre
compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du
photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave
lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale
des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de
la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute
totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement
invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton [4]
29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques
Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la
massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-
eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee
par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant
adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK
nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui
interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais
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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du
proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale
dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que
deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum
ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression
momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs
eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie
transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de
2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de
Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du
systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur
vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut
maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-
porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
le permettra [52]
Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en
conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee
plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos
eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou
agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme
eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par
accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18
j
Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et
documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent
document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui
permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons
eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de
leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article
30 Conclusion
Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie
eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de
concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme
si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait
dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne
La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de
Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la
deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin
complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit
une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus
deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit
preacuteceacutedemment
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Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une
conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies
anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux
expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les
eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un
ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par
Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz
Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations
eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees
provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire
Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique
quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident
geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant
donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision
cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants
magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013
pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]
Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des
eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]
Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet
dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques
denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave
lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du
comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Bibliographie
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Autres articles dans le mecircme projet
Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique
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dipocircle deacutenergie repreacutesenteacute par E est orienteacutee et distribueacutee dans lespace tandis que le dipocircle
deacutenergie repreacutesenteacute par B est orienteacutee et distribueacutee temporellement pendant que ces deux aspects
sinduisent cycliquement lune lautre en orientation transversale par rapport agrave la direction du
mouvement vectoriel de leacutenergie oscillante dans un vide
Figure 2 Repreacutesentation standard monopolaire des champs E et B atteignant
simultaneacutement leur maximum dintensiteacute en phase de linterpreacutetation de Lorenz
La repreacutesentation de la Figure 2 que lon retrouve dans tous les ouvrages sur
leacutelectromagneacutetisme tout en eacutetant en accord avec la theacuteorie ondulatoire de Maxwell deacutecrivant
leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme eacutetant une impulsion se propageant dans un aether sous-
jacent et qui est aussi en accord avec ses eacutequations est toutefois geacuteneacuteralement preacutesumeacutee de
maniegravere erroneacutee comme eacutetant aussi la conclusion de Maxwell
En reacutealiteacute Maxwell eacutetait en deacutesaccord avec cette approche car le concept de jauge
deacuteveloppeacute par Lorenz avait pour conseacutequence de traiter les deux champs E et B comme eacutetant un
champ eacutelectromagneacutetique unique au niveau geacuteneacuteral sans structure interne apparente de prime
abord ce qui fait facilement perdre de vue que ces deux champs sont seacutepareacutes et sont deacutegale
importance dans la theacuteorie de Maxwell avec des caracteacuteristiques diffeacuterentes et irreacuteconciliables
en plus de sinduire mutuellement contrairement agrave la solution de Lorenz tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [3]
Le fait que cette deuxiegraveme solution fut deacuteveloppeacutee par Lorenz est cependant peu connu dans
la communauteacute scientifique car elle est associeacutee seulement agrave la jauge dite jauge de Lorenz
deacutefinie par lui et ceci seulement dans les ouvrages speacutecialiseacutes de haut niveau sur
leacutelectromagneacutetisme [5] car elle se precircte plus facilement que la repreacutesentation de Maxwell aux
divers processus de geacuteneacuteralisation matheacutematiques Mais la veacuteritable origine de cette solution
repreacutesenteacutee par la Figure 2 nest pas clairement expliqueacutee dans les ouvrages dintroduction ou de
reacutefeacuterence geacuteneacuterale en physique [6] [7]
Par conseacutequent agrave moins de se speacutecialiser en eacutelectromagneacutetisme la majoriteacute des physiciens ne
sont donc pas directement informeacutes que ce nest pas Maxwell qui a conccedilu cette deuxiegraveme
approche et que leacutelectrodynamique classique ainsi que la theacuteorie des champs quantiques (QFT)
dont leacutelectrodynamique quantique (QED) est issue [8] [9] mais quelles sont plutocirct fondeacutees sur
linterpreacutetation de Lorenz car ce fait nest nulle part clairement mis en eacutevidence dans les
ouvrages de reacutefeacuterence sur leacutelectrodynamique et sur la QFT qui furent bien sucircr deacuteveloppeacutes par
des speacutecialistes en eacutelectromagneacutetisme pour qui ce fait eacutetait une eacutevidence Contrairement aux faits
eacutetablis il en reacutesulte donc une impression geacuteneacuterale dans la communauteacute que Maxwell est le
veacuteritable auteur de cette deuxiegraveme solution et que leacutelectrodynamique et la QFT sont fondeacutee
strictement sur son interpreacutetation
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La nuance est importante cependant car lhypothegravese de de Broglie agrave propos du photon localiseacute
agrave double particule qui eacutemerge directement de linterpreacutetation de Maxwell se retrouve ainsi en
porte-agrave-faux par rapport agrave leacutelectrodynamique classique et la QED parce que lapproche de
Lorenz occulte le fait que les champs E et B sont seacutepareacutement dimportance eacutegale Par exemple le
rocircle preacutepondeacuterant donneacute aux charges eacutelectriques dans la QED semble ne laisser aucune fonction
preacutecise agrave laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dans une possible meacutecanique
dinduction mutuelle qui impliquerait les deux champs seacutepareacutes contrairement agrave linterpreacutetation de
Maxwell Mecircme le fait que la QED telle que formuleacutee ne peut expliquer linduction mutuelle
des deux champs dans les systegravemes LRC ne semble pas attirer lattention sur cette question
2 Mise en perspective en fonction des ordres de grandeur relatifs
Pour bien mettre en perspective la possibiliteacute de deacutecrire leacutenergie qui constitue la substance
mecircme dont sont constitueacutees toutes les particules eacuteleacutementaires localiseacutees telles que les photons
eacutelectromagneacutetiques les eacutelectrons et les positons au niveau subatomique dune maniegravere qui ne
serait pas en conflit avec la theacuteorie bien eacutetablie de londe eacutelectromagneacutetique continue de
Maxwell qui est appliqueacutee avec tant de succegraves agrave notre niveau macroscopique il faut en premier
lieu prendre conscience que tout les objets et processus que nous pouvons deacutetecter et mesurer
dans la reacutealiteacute objective peuvent ecirctre classeacutes comme relevant de lun des quatre ordres de
magnitude suivants Par ordre deacutecroissant damplitude ces divers ordres de grandeur peuvent ecirctre
deacutefinis de maniegravere tregraves geacuteneacuterale comme suit
1- Niveau astronomique Ordre de grandeur deacutepassant en dimensions le cadre
strict de la seule planegravete Terre
2- Niveau macroscopique Ordre de grandeur dans lequel tout objet ou processus
peut ecirctre directement mesureacute agrave la surface de la Terre et dans son environnement
3- Niveau sous-microscopique ou atomique Ordre de grandeur des moleacutecules et
atomes
4- Niveau subatomique Ordre de grandeur des particules eacuteleacutementaires dont les
atomes sont constitueacutes ainsi que de leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui constitue
leur substance qui supporte leur mouvement deacutetermine leur inertie et qui peut
aussi circuler librement sous forme quantifieacutee agrave la vitesse de la lumiegravere lorsque
non directement associeacutee agrave lune de ces particules eacuteleacutementaires
Les 3 premiers niveaux sont geacuteneacuteralement familiers pour tous mais le niveau subatomique ne
lest pas Nous pouvons directement percevoir et mesurer les objets et processus de notre
environnement au niveau macroscopique et nous percevons et mesurons indirectement avec de
plus en plus de preacutecision les objets et processus appartenant autres ordres de grandeurs agrave mesure
que nos instruments se perfectionnent
Il peut sembler paradoxal drsquoaffirmer si fermement que lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique peut ecirctre
directement deacutefinie comme eacutetant quantifieacutee sous forme de photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
au niveau subatomique conformeacutement aux eacutequations de Maxwell tout en demeurant en parfaite
harmonie avec sa theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques continues se propageant dans un medium
sous-jacent qui a eu tant de succegraves telle quappliqueacutee agrave notre niveau macroscopique soit une
question qui fait deacutebat depuis le deacutebut du 20e siegravecle
Il faut mettre en perspective ici que nous ne percevons par ailleurs aucun paradoxe dans le fait
que nous observons directement que limage dun eacutecran de teacuteleacutevision nous apparaicirct continue de
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maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien
conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi
directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee
physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement
seacutepareacutes
De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave
traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en
sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules
localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau
subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-
mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees
eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne
pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de
leacutecran de teacuteleacutevision
La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un
fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne
pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme
nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous
comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau
macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees
glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants
instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces
moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique
Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau
subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision
dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre
de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre
de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute
de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de
leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos
microscopes eacutelectroniques
Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de
grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la
perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la
diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les
moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment
petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre
niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie
eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus
grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave
sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre
niveau macroscopique
Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de
grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique
consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune
moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la
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distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi
agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome
dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons
eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au
mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres
particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave
linteacuterieur de la structure du proton et du neutron
Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau
subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au
repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument
suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique
contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement
possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la
granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une
granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est
inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des
particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique
sont les suivants
1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere
quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir
Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])
2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons
possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience
photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la
moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de
la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses
solaires [3] [11]
3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons
eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-
positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se
reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de
nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse
invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance
eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve
expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le
seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons
eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans
quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]
4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et
une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C
5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des
particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux
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Andreacute Michaud Page 7
de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des
systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])
Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement
nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par
ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave
partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement
des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes
soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par
les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux
en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des
changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau
atomique
Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de
leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee
lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules
infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets
qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants
microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les
cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long
de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous
prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre
[14]
Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour
que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune
intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des
atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi
que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui
peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes
seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium
Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie
eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la
traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis
pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau
subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)
mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations
eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une
onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une
harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier
chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation
tireacutee de ses Lectures on Physics [15]
There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are
not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen
electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain
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Traduction
Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne
sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement
associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique
Quantique ces difficulteacutes demeurent
Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent
matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure
granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue
uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie
des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier
deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne
de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la
structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des
neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement
eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique
transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute
matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos
Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure
eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de
Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau
subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de
reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau
subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique
3 Deux perceacutees majeures reacutecentes
Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure
interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique
qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne
semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de
Minkowski [17]
la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie
deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave
limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans
le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-
temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de
ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur
aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p
273)
Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure
eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec
les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires
stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau
subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de
Maxwell
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Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective
lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales
recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute
expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de
la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale
4 La premiegravere perceacutee majeure
Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de
lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects
fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau
subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun
agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation
stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de
cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est
perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par
ces deux champs (voir Figure 1)
La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant
de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut
formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de
Saint-Peacutetersbourg [18]
Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la
Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave
augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k
(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D
pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme
eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux
autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun
Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale
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Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au
centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la
substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des
vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale
stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux
espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-
quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-
transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui
reacuteside dans lespace-X
Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique
trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles
de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3
parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre
eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire
matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant
chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3
espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes
orthogonaux internes reacutesultants
5 La deuxiegraveme perceacutee majeure
Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul
Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre
laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui
permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui
augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ
magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de
leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article
publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de
Kazan [20]
Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees
constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne
dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une
eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de
maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee
pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]
ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin
Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes
les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules
complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et
autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules
eacuteleacutementaires [24]
Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des
atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons
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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions
destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que
sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des
seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou
lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees
eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]
Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de
larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement
sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa
deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement
deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre
directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre
article reacutecemment publieacute [4]
Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese
personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la
premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une
deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir
de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave
leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun
doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique
geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les
eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi
du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser
directement dans son article original
LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees
auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie
de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee
autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique
transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de
leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement
mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable
avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise
en eacutevidence plus loin
Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable
agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation
relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le
champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est
constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce
fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de
mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective
par Marmet au deacutebut de son article [19]
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Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis
Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui
seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie
Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du
champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle
geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant
omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute
de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans
lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme
charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept
ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter
sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de
Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et
matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee
exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement
qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration
perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation
qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui
soutient son mouvement dans lespace
Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme
rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de
laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut
donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons
dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart
Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron
en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste
ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son
champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette
derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable
avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc
2 - moc
2) car il est physiquement
et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux
directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une
de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de
laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ
magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee
Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave
mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune
seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute
deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie
du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux
quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee
que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors
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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la
veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov
22 + (γmoc
2 -
moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique
quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de
Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la
distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement
et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees
les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement
Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie
doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ
magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme
geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de
cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour
obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en
mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin
6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte
Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a
initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information
qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait
consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale
deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord
ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-
quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]
associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse
transversale mesurable
7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein
En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil
reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes
lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant
cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique
fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une
traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la
diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb
ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons
comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par
linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre
deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait
pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement
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diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten
(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du
deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de
lintroduction de la RR faisait rage
Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le
momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie
cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans
les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont
pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique
fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement
en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont
toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et
certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de
1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz
Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre
vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de
consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions
traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des
connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction
En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par
lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave
eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force
de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y
est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en
ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie
pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte
lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou
alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la
distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des
charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de
leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant
eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules
chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique
qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique
classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme
des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement
par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la
communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui
Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir
de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier
du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet
maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue
en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=
e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance
entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e
24πεod
2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique
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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse
simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil
semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui
entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce
moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir
Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et
qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment
Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la
RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et
aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la
Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de
lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement
causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de
Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules
eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron
selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse
classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de
particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective
plus loin
Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de
Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept
daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en
RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum
augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration
inertielle
8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le
demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale
mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee
du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement
ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant
dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second
point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la
vitesse
Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute
Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute
Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par
leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction
coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne
laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement
Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-
quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de
Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune
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harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse
ecirctre reacutealiseacutee
9 Les Principes axiomatiques absolus
Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les
concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient
permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu
ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee
pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de
points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la
nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir
des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences
consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le
Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction
stationnaire et de moindre action etc
La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de
conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas
activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme
dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien
compris lorsquil fut initialement formuleacute
En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances
permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous
pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant
quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat
apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement
dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction
stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]
Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des
trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]
[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel
eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de
nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les
masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial
qui eacutetait le leur avant leur lancement
En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune
hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des
eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur
astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule
maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de
ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant
une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera
examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit
les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement
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Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un
cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere
deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement
associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif
et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour
tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle
sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ
eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide
Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance
en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee
au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de
Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un
momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique
et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort
consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un
mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule
eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et
quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de
mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement
seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une
eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une
forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de
force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur
pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression
interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de
lexpression trompeuse force de Coulomb
Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que
quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la
physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant
suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes
axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme
dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui
savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de
linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de
Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction
adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant
correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une
interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement
10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus
Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables
observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont
constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la
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confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et
processus
Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au
moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon
classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de
nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la
masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]
Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute
magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-
composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune
rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction
[39]
Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces
termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus
auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels
comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple
11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule
eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement
en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres
permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du
quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du
champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui
est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons
eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie
eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau
macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell
12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)
En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave
confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique
transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un
fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]
Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences
effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun
eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire
demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un
seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de
Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable
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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation
de son champ magneacutetique transversal
Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit
directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est
aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par
analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au
repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement
2
M
r
1
8π
eμ e
e
2
0
(M-24)
Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron
ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en
correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi
que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation
(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)
Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)
dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique
rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant
perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article
[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute
graphiquement comme se deacuteplaccedilant
2
0
r
ud sd
4π
Iμd
B (M-1)
Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire
invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q
de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere
dt
)d(Ne
dt
dQI
-
(M-2)
Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure
constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv
puisque dt
dxv donc
v
dxdt (M-3)
En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par
sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint
dx
)vd(Ne
dt
d(Ne)I
-
(M-4)
Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart
dx)θsin(r4π
Iμd
2
0B (M-5)
En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-
4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte
sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition
puisque le courant demeure constant
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)(Ned)θsin(r4π
vμdx)θsin(
dx
)vd(Ne
r4π
μdx)θsin(
r4π
Iμd -
2
0
-
2
0
2
0 B (M-5a)
En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant
maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus
decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant
que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute
)(Ned)θsin(r4π
vμd -
2
0B (M-6)
13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur
Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence
sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte
dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce
qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant
Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π
veμNd -
2
-
0iB (M-7)
Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant
les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer
pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est
absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous
allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de
sa deacuterivation
Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)
Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux
variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure
ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la
distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et
spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre
conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation
cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ
magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation
correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)
Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)
puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e
-) ce qui
constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de
lrsquoEacutequation (M-7)
)(ed)θsin(r4π
vμd -
2
0iB (M-6a)
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Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer
conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de
distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette
distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc
maintenant
)d(er4π
vμd -
2
0iB (M-6b)
Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le
calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux
occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons
agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)
-
2
0 er4π
vμiB (M-6c)
qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation
conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)
Eacutequation (M-7) correcte 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ
magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique
stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du
champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron
centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute
par lEacutequation (M-7)
Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie
trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le
flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement
propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement
ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue
lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant
physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron
Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment
stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil
meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des
eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant
donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute
les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de
saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation
triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de
leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule
eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques
individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction
transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique
macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur
dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 22 Andreacute Michaud
cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut
rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul
eacutelectron
Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins
magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui
fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir
mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique
macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la
Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables
macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme
processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie
des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes
Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer
lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite
agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique
massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa
masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite
dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne
La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par
leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au
deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]
magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)
15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet
La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)
concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des
particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz
16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz
Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de
vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2
semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale
eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal
qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons
plus loin que ce nest pas le cas
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour
repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron
2
2
e
2
2
e
2
0cv
c
v
2
m
c
v
r8π
eμm (1)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 23
Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ
magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio
v2c
2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient
neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de
la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce
qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos
invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel
que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par
leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure
eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut
preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie
(Figure 3)
2
M
r
1
8π
eμ
c
v
r
1
8π
eμM e
e
2
0
2
2
e
2
00vuee_magneacutetiq
(M-24)
LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du
champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie
croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui
sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec
lEacutequation (M-24)
2
0cv
r4π
veμ B (2)
Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des
repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction
du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une
vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du
momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-
18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la
Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome
drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement
correct de masse relativiste
kg355E242533771
cr8π
1218764756eμ
cr8π
veμm
2
e
22
0
2
e
22
0m (3)
A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il
faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme
vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de
lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme
valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique
de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron
Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition
eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste
un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut
quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c
2 c eacutetant invariant et v
pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute
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Page 24 Andreacute Michaud
preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique
transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre
vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement
proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron
(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite
de 409355207E-14 j)
Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute
invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique
intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique
de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer
leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de
Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente
toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-
magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de
leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute
totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la
masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de
masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2
Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette
somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur
gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de
calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)
Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec
leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit
leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de
leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus
leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par
structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc
2
K2E
KK4Ecv
2
(4)
Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des
eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes
de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees
C
2
CC
λ2λ
λλ4λcv
(5)
A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis
leacutelaboration de ces eacutequations
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Andreacute Michaud Page 25
17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)
Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le
rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de
lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ
magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la
deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par
lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee
transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB
mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette
augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique
constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron
409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement
eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation
entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec
leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron
Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute
deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de
Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration
spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2
=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est
obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure
fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]
m155E2817940282π
αλr Ce (6)
Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)
devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de
lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde
eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c
mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de
de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est
(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique
Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave
linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans
lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]
m11E29177208352π
λ
2π
λr B
Br (7)
Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude
transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en
multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y
a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave
lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin
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Page 26 Andreacute Michaud
atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet
maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient
mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal
invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique
correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec
lEacutequation (2)
T0405235047
113E529177208α4π
1218764756eμ
rα4π
veμ2
0
2
B
0
B (8)
Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee
que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant
une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale
serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence
Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable
comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la
avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut
eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que
cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir
lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal
Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de
leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable
soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ
magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)
sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et
nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)
T7346235051
86E455633525α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
23
0
B (9)
Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation
geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de
lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique
transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de
Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie
strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil
La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant
lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de
lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse
dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer
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Andreacute Michaud Page 27
18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse
Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer
lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa
version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire
lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de
linduction deacutenergie dans un eacutelectron
Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que
leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en
anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette
eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle
constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment
cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique
classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave
laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite
Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est
aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est
deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte
aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique
correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un
corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute
Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car
nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave
des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle
lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]
Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de
leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de
leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante
e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui
induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules
chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui
les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par
rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de
leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule
Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme
des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment
reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique
en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement
mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute
expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui
fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute
deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute
preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse
limite de la lumiegravere
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Page 28 Andreacute Michaud
En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques
pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont
typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la
Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement
fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons
maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales
19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11
Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour
dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons
sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer
laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui
sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ
magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte
Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace
ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses
approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que
mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs
trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de
vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000
kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par
fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne
Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le
lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees
qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant
anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des
phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde
gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute
astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces
trajectoires est incapable den rendre compte
Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme
solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement
de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus
faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr
vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre
expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))
Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles
de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie
systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles
eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre
deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]
[37] [38]
Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande
publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne
que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 29
astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des
anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998
telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation
systeacutematique dorigine inconnue
Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec
les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses
typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal
deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces
deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie
transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette
derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les
paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation
Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de
Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement
j5E102658722731v-c
cmcΔK
22
2
(10)
Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour
Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de
kg78228E952c
ΔKΔm
2m (11)
Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour
expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de
ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la
proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse
au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent
initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de
masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele
et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la
Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du
temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne
tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont
faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des
masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin
20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui
est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme
densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne
neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du
quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron
Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le
champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en
mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 30 Andreacute Michaud
repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en
utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de
structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette
eacutenergie
T1E1382890002212-5E242631021α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
2
C
3
0
e B (12)
Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide
quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui
pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la
densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par
exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne
comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales
Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien
connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse
relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes
deacutegales intensiteacutes
B
Ev (13)
La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en
additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de
la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)
pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de
Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne
invariant Be de la masse au repos de leacutelectron
T6E13828900024
λλ
λλ
α
ceπμ
λα
ceπμ
λα
ceπμ2
C
2
2
C
2
3
0
23
0
2
C
3
0e
BBB (14)
Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun
champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation
geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave
une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut
analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui
geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou
deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les
structures atomiques
λλdr
λE
αε2
e
α
2πe
ε4π
10
2πα
e
ε4π
1
o
22
o a 2
2
o0
(15)
Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout
quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la
constante de Planck
αλε2
ehE
o
2
f (16)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 31
Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de
forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration
fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que
linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force
classiques
Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc
eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde
longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser
avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)
NC673727E130467λαε
πe23
0
E (17)
Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au
repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron
Compton comme suit
NC4E10602933175λαε
πe2
C
3
0
e E (18)
Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la
vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple
addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique
ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE
des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique
qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ
monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute
agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave
la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =
4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron
(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante
NCE208133411211
λ2λλλ
λ4λλλλ
αε
πe
C
2
C
2
CC
2
C
2
3
0
E (19)
Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le
champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas
contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local
ms56621876476E13828900024
1E20181334112v
B
E (20)
Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE
avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement
qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos
invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement
lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la
vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle
leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la
Reacutefeacuterence [32]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 32 Andreacute Michaud
21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos
Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de
Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse
au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son
increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie
adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique
interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans
les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute
graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la
composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee
transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement
doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son
champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique
Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse
de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent
les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie
eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour
conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]
Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere
permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que
formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon
eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute
selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent
mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]
t)(ωsin
2
iL t)(ωcos
2C
e
2λ
hcE 2
2
λλ2
λ
2
(21)
ougrave
λ
2
(max)2C
eE E
et 2
iLE
2
λλ(max) B
(22)
et
αλ2εC 0λ 8π
αλμL
2
0λ
αλ
ec2πiλ (23)
La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des
champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement
aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees
avec les Eacutequations (22)
23
0 λαε
πeE 23
0
λα
πecμB (24)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 33
et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute
maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement
2
35
2π
λαV (25)
ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence
[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui
confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie
porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit
la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee
transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie
transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum
Vt)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
2λ
hcE 2
0
22
2
0
BE (26)
22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives
Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933
[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-
produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se
transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon
dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de
leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute
speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme
de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale
associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait
seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]
Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue
entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave
leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges
opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste
et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet
de construire leacutequation de la maniegravere suivante
2
0
2
m
1o
2
2λ
1
λ
1cmcΔmΔK2
λ
1
αε2
eE
C1
(27)
dans laquelle
2o
22
mλ
1
αε2
ecΔmΔK ougrave
C12 2λ
1
λ
1
2
1
λ
1 (28)
Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de
leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en
cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie
reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 34 Andreacute Michaud
invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre
les deux particules maintenant seacutepareacutees
Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford
(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons
eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau
impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires
eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave
proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur
lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]
Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces
vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel
des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel
plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une
meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou
plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en
leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des
masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit
leacutequation suivante
V
t)(ωsin K2μ
t)(ωcos)jJjJ(4
ε2
iI2λ
hciIE
2
Z0
2
2
Y
2
0
X
B
E
(29)
se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure
eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
me0
KB
jIjI
iJE
0
ν
(30)
et
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
mp
ν
0
KB
jIjI
iJE
0 (31)
dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique
maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute
lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre
constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une
oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation
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Andreacute Michaud Page 35
entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-
porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]
3
2
3
C
5
m m477E1497393262π
λαV et
2
C
3
0 λαε
eπν (32)
Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere
fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse
de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope
stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la
Reacutefeacuterence [20]
Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus
leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant
invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC
du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les
deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et
deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la
vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec
lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]
C
CC
λ2λ
λ4λλcv
ou
K2E
K4EKcv
2
(33)
Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur
donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au
repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du
photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse
de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de
Broglie [32] [3]
Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon
car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple
en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume
isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie
nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron
qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque
j148E4093552062π
λα
μ2λα
ceπμV
2μ 2
3
C
5
0
2
2
C
3
0m
0
2
B (34)
23 Construction de particules complexes stables
Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts
de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont
typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la
communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en
raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement
eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus
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Page 36 Andreacute Michaud
petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue
tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]
Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont
aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que
leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre
eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps
ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction
stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des
particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par
rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-
destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)
Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions
mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-
dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence
infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux
eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement
frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions
frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes
hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)
Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible
Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors
dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons
eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules
complexes comme le proton et le neutron
Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des
eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave
ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee
(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves
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Andreacute Michaud Page 37
avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure
5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest
quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale
pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours
(Figures 5-b)
Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et
collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-
ponctuel
Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction
frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les
protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de
positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique
permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel
quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable
dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre
observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]
Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la
conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron
[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites
dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites
planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace
soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement
eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon
Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce
volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand
acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie
dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al
[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants
chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations
des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge
eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une
charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons
ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-
composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)
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Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives
De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et
expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants
chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-
composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants
chargeacutes positivement [22] [25]
Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement
confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au
fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-
ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et
positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent
ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et
confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des
nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges
seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des
positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la
nature dispose pour construire les nucleacuteons
Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants
nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge
fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent
naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils
eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des
structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]
La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes
preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons
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correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence
de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement
estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui
peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie
agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]
soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la
seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee
pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]
2
0
eudicαn
3e
a
km
(n=1 2 3) (35)
ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la
lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale
eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de
Coulomb
8E9898755178ε4π
1k
o
(36)
En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages
expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer
cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc
2 pour la
sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux
distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe
coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de
lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]
Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la
mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la
masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient
effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour
de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces
deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance
Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie
matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee
confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et
eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent
respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas
encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et
eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des
interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures
Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres
particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par
collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees
up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee
par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de
reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant
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les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach
et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee
Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave
laide de lEacutequation (35)
Masse au repos Eacutenergie Charge Ref
Eacutelectron ou positon en
mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV
plusmn1=
1602176462E-19 C [21]
Positon
eacutelectromagneacutetiquement
contraint
1 dans le neutron
2 dans le proton
2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=
1068117641E-19 C [22]
Eacutelectron
Eacutelectromagneacutetiquement
contraint
2 dans le neutron
1 dans le proton
8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=
5340588207E-20 C [22]
La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur
concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un
physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son
libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par
Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu
compte
Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The
theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far
beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks
themselves were never discovered in any scattering experiment
Traduction
Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de
succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent
quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-
mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision
Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute
produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et
quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u
(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en
parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par
Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron
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Andreacute Michaud Page 41
Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement
nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes
quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des
Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte
eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie
qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur
est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet
pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes
eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et
positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires
Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des
eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure
collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette
somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La
diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont
lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de
lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe
qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont
deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints
eacutelectromagneacutetiquement
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
U
Y
2
0
U
2
m
2
U
U
B
E
ν (37)
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
D
Y
2
0
D
2
m
2
DD
B
E
ν (38)
Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses
au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement
eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]
Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en
relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici
pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite
par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en
translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de
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reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de
translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport
une telle orbite circulaire
24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance
La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron
dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le
premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave
une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr
mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite
fermeacutee autour du proton
Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait
cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de
leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de
stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave
veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure
Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur
de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition
nhTβ-1
β
2
22
o r
cm (n eacutetant un nombre entier) (39)
Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de
reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction
donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte
cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de
nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil
identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature
eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut
expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait
rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique
deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses
eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion
dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules
eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte
cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories
dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique
Quantique sous sa forme traditionnelle
De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de
Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave
cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec
lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa
disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui
supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique
autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute
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Andreacute Michaud Page 43
perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie
eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que
leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton
En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton
nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee
autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie
concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie
induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement
Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique
strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur
temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques
eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des
orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales
de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la
freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie
du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de
reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie
sj34E662606876λvmh BB0 (40)
ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite
de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont
le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne
entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit
leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel
que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de
fB=6579683921E15 Hz
Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette
freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier
la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir
leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb
Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble
correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler
toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie
induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute
leacutenergie du quantum soit accumuleacutee
j 18-8E435974380rε4π
ehE
Bo
2
BB f (41)
dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))
Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la
longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique
la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel
quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 44 Andreacute Michaud
αλε2
ehνE
o
2
(42)
ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale
dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue
suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec
lEacutequation (41) est donc
m82E455633525E
hcλ
B
(43)
ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave
obtenue avec lEacutequation (41) standard
j188E435974380αλε2
ehνE
o
2
B (44)
Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer
leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition
conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats
deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et
nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de
cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet
aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est
fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires
chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout
mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif
Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs
impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de
leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant
dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera
analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes
neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la
quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction
coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont
captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre
cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique
Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est
constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie
dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir
dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 45
par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la
valeur obtenue sera constant
Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de
lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee
de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie
eacutelectromagneacutetique (λ)
mj25E986445441α2ε
eEλH
0
2
(45)
Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur
temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la
constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante
H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui
reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que
historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee
deacutequations eacutelectromagneacutetiques
sj34E662606876c
Hh (46)
Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut
maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit
la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la
communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de
constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement
confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics
[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)
[40]
sj34E662606876αc2ε
eh
0
2
(47)
252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique
Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-
dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais
lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante
dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)
de latome dhydrogegravene et de son noyau
La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence
[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux
maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage
dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB
au carreacute
2
o
B
22
BB mj386E122085259ε4π
rerEK
(48)
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Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene
verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux
particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie
adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau
1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le
positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et
leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave
la Reacutefeacuterence [22]
26 Gravitation
En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires
induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules
chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de
maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une
eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son
existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le
permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux
Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee
leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors
quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le
centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les
accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette
pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une
eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle
tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne
peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de
momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car
leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de
masse de la Terre [4] [16]
En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune
mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum
vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules
chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et
est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum
pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque
lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une
pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne
agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la
masse de la Terre [33]
Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de
reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que
de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat
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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir
de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au
rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables
permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps
ceacuteleste autour de lastre central
Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance
moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute
freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr
le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps
ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle
oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle
chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps
ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes
Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central
peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites
qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes
par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de
reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes
de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus
doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans
lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont
reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes
Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est
aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome
dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas
cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule
eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la
stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital
Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence
en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction
stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les
cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)
Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force
gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction
coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction
stationnaire
Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les
positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques
afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble
eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave
appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules
chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image
mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces
particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee
quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire
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de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du
concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de
particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le
Tableau 2
Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])
Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques
Nom Porteacutee
Force
laquo traditionnelle raquo
associeacutee
Attracteur
primaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave
lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron
Forte
Attracteur
secondaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints
appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons
dans un noyau
Faible
Attracteur
tertiaire
Entre chaque eacutelectron captif et chaque
positon eacutelectromagneacutetiquement contraint
dun noyau et entre chaque eacutelectron et
chaque positon eacutelectromagneacutetiquement
contraint des noyaux des autres atomes de
toute accumulation de matiegravere
Eacutelectromagneacutetique
Attracteur
temporaire
local
Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun
photon Eacutelectromagneacutetique
Attracteur temporaire
eacuteloigneacute
Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du
reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique
Attracteur quaternaire
Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du
reste de lrsquounivers
Graviteacute
Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre
plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance
daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance
caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la
structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte
Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux
datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique
aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les
atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere
correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier
niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute
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Andreacute Michaud Page 49
libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau
astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle
Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction
coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique
transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence
quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4
forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui
savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute
dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente
dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel
Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere
permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le
centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme
dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme
dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des
atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble
des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la
direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant
en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses
Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses
macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la
profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales
eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave
la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]
Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la
Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses
macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes
une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les
eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus
eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons
retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors
un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme
dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine
section
Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme
celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et
quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des
orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute
qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne
induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des
noyaux
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Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette
pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission
de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les
eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave
mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee
denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante
dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les
eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec
linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage
de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le
deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant
agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes
quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en
chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]
Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les
masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent
les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui
diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux
atomiques
Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction
coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une
augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe
central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique
variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des
nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]
Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que
la profondeur augmente dans les masses macroscopiques
Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire
ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne
peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules
eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances
internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x
de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces
petites masses et celles de la Terre
Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes
constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction
proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est
laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons
captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des
photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale
meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant
agrave leurs orbitales daction stationnaire
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Andreacute Michaud Page 51
Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation
daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la
freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience
de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps
voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps
avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion
tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du
champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee
En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons
de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la
mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement
axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation
dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les
sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs
trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace
profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur
lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les
masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en
conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel
Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de
Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres
qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne
[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient
agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur
oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ
magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques
28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees
expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en
perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de
la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant
la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit
une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les
anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de
piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]
Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un
proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action
plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a
lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes
quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees
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Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos
par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de
2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-
porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]
j18-2E2179784831γcmΔKE 2
oK (49)
Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)
qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de
Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son
mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction
stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie
totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale
deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse
au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus
de stabilisation
j141875401148cmcmΔKE 2
0
2
me E (50)
Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune
quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie
j10-7E150327730cmE 2
pp (51)
Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr
0548911836
1
E
E
p
e (52)
On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de
grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la
composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par
rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele
reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en
perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de
leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus
grande
4968964481
1
E
E
p
K (53)
Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par
linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du
momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le
processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre
inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere
Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette
eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct
Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur
agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera
communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que
leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera
eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et
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mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de
freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere
La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de
Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin
Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas
vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de
lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-
2000 [18]
Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et
son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors
de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le
mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest
pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du
photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa
configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une
inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve
photoeacutelectrique de Einstein
La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum
ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur
lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de
son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant
son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son
volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)
Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie
eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum
unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum
complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)
La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe
dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de
jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule
transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme
dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du
photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y
pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut
ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8
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La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant
inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux
champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du
proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence
darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J
vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la
quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement
qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du
photon porteur
T4692470103λα
ceπμ22
23
0 B (54)
ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout
deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs
magneacutetiques
En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de
leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome
dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable
coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la
meacutecanique actuelle deacutemission de photons
Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que
leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant
vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste
eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie
vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une
flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication
suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et
le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas
par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron
agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]
De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre
faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et
un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement
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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite
lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis
artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion
initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la
rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en
permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence
Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation
de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron
dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute
eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence
[33]
Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette
distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque
la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de
remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement
induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la
direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression
stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente
eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie
que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant
momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV
temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon
eacutelectromagneacutetique seacutepareacute
La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra
leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ
magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le
montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence
dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe
devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]
Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y
eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se
deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges
opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la
valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le
proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de
leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la
part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue
par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne
Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui
fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit
de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que
leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave
saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe
de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous
forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des
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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau
macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d
La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton
comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie
ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique
incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La
reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience
que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que
linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de
leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis
et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce
processus de freinage si bref
Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de
lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers
lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum
qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du
reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-
quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par
deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet
leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller
transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi
loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se
deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]
Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la
seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet
momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la
vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre
compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du
photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave
lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale
des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de
la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute
totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement
invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton [4]
29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques
Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la
massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-
eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee
par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant
adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK
nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui
interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais
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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du
proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale
dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que
deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum
ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression
momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs
eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie
transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de
2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de
Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du
systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur
vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut
maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-
porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
le permettra [52]
Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en
conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee
plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos
eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou
agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme
eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par
accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18
j
Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et
documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent
document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui
permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons
eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de
leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article
30 Conclusion
Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie
eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de
concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme
si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait
dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne
La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de
Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la
deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin
complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit
une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus
deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit
preacuteceacutedemment
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Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une
conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies
anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux
expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les
eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un
ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par
Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz
Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations
eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees
provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire
Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique
quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident
geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant
donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision
cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants
magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013
pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]
Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des
eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]
Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet
dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques
denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave
lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du
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Autres articles dans le mecircme projet
Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 4 Andreacute Michaud
La nuance est importante cependant car lhypothegravese de de Broglie agrave propos du photon localiseacute
agrave double particule qui eacutemerge directement de linterpreacutetation de Maxwell se retrouve ainsi en
porte-agrave-faux par rapport agrave leacutelectrodynamique classique et la QED parce que lapproche de
Lorenz occulte le fait que les champs E et B sont seacutepareacutement dimportance eacutegale Par exemple le
rocircle preacutepondeacuterant donneacute aux charges eacutelectriques dans la QED semble ne laisser aucune fonction
preacutecise agrave laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dans une possible meacutecanique
dinduction mutuelle qui impliquerait les deux champs seacutepareacutes contrairement agrave linterpreacutetation de
Maxwell Mecircme le fait que la QED telle que formuleacutee ne peut expliquer linduction mutuelle
des deux champs dans les systegravemes LRC ne semble pas attirer lattention sur cette question
2 Mise en perspective en fonction des ordres de grandeur relatifs
Pour bien mettre en perspective la possibiliteacute de deacutecrire leacutenergie qui constitue la substance
mecircme dont sont constitueacutees toutes les particules eacuteleacutementaires localiseacutees telles que les photons
eacutelectromagneacutetiques les eacutelectrons et les positons au niveau subatomique dune maniegravere qui ne
serait pas en conflit avec la theacuteorie bien eacutetablie de londe eacutelectromagneacutetique continue de
Maxwell qui est appliqueacutee avec tant de succegraves agrave notre niveau macroscopique il faut en premier
lieu prendre conscience que tout les objets et processus que nous pouvons deacutetecter et mesurer
dans la reacutealiteacute objective peuvent ecirctre classeacutes comme relevant de lun des quatre ordres de
magnitude suivants Par ordre deacutecroissant damplitude ces divers ordres de grandeur peuvent ecirctre
deacutefinis de maniegravere tregraves geacuteneacuterale comme suit
1- Niveau astronomique Ordre de grandeur deacutepassant en dimensions le cadre
strict de la seule planegravete Terre
2- Niveau macroscopique Ordre de grandeur dans lequel tout objet ou processus
peut ecirctre directement mesureacute agrave la surface de la Terre et dans son environnement
3- Niveau sous-microscopique ou atomique Ordre de grandeur des moleacutecules et
atomes
4- Niveau subatomique Ordre de grandeur des particules eacuteleacutementaires dont les
atomes sont constitueacutes ainsi que de leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui constitue
leur substance qui supporte leur mouvement deacutetermine leur inertie et qui peut
aussi circuler librement sous forme quantifieacutee agrave la vitesse de la lumiegravere lorsque
non directement associeacutee agrave lune de ces particules eacuteleacutementaires
Les 3 premiers niveaux sont geacuteneacuteralement familiers pour tous mais le niveau subatomique ne
lest pas Nous pouvons directement percevoir et mesurer les objets et processus de notre
environnement au niveau macroscopique et nous percevons et mesurons indirectement avec de
plus en plus de preacutecision les objets et processus appartenant autres ordres de grandeurs agrave mesure
que nos instruments se perfectionnent
Il peut sembler paradoxal drsquoaffirmer si fermement que lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique peut ecirctre
directement deacutefinie comme eacutetant quantifieacutee sous forme de photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
au niveau subatomique conformeacutement aux eacutequations de Maxwell tout en demeurant en parfaite
harmonie avec sa theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques continues se propageant dans un medium
sous-jacent qui a eu tant de succegraves telle quappliqueacutee agrave notre niveau macroscopique soit une
question qui fait deacutebat depuis le deacutebut du 20e siegravecle
Il faut mettre en perspective ici que nous ne percevons par ailleurs aucun paradoxe dans le fait
que nous observons directement que limage dun eacutecran de teacuteleacutevision nous apparaicirct continue de
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Andreacute Michaud Page 5
maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien
conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi
directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee
physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement
seacutepareacutes
De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave
traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en
sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules
localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau
subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-
mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees
eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne
pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de
leacutecran de teacuteleacutevision
La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un
fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne
pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme
nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous
comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau
macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees
glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants
instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces
moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique
Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau
subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision
dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre
de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre
de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute
de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de
leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos
microscopes eacutelectroniques
Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de
grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la
perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la
diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les
moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment
petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre
niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie
eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus
grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave
sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre
niveau macroscopique
Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de
grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique
consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune
moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la
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distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi
agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome
dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons
eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au
mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres
particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave
linteacuterieur de la structure du proton et du neutron
Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau
subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au
repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument
suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique
contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement
possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la
granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une
granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est
inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des
particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique
sont les suivants
1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere
quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir
Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])
2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons
possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience
photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la
moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de
la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses
solaires [3] [11]
3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons
eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-
positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se
reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de
nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse
invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance
eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve
expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le
seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons
eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans
quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]
4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et
une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C
5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des
particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux
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de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des
systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])
Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement
nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par
ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave
partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement
des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes
soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par
les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux
en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des
changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau
atomique
Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de
leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee
lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules
infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets
qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants
microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les
cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long
de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous
prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre
[14]
Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour
que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune
intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des
atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi
que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui
peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes
seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium
Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie
eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la
traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis
pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau
subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)
mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations
eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une
onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une
harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier
chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation
tireacutee de ses Lectures on Physics [15]
There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are
not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen
electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain
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Traduction
Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne
sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement
associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique
Quantique ces difficulteacutes demeurent
Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent
matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure
granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue
uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie
des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier
deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne
de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la
structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des
neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement
eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique
transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute
matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos
Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure
eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de
Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau
subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de
reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau
subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique
3 Deux perceacutees majeures reacutecentes
Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure
interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique
qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne
semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de
Minkowski [17]
la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie
deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave
limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans
le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-
temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de
ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur
aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p
273)
Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure
eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec
les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires
stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau
subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de
Maxwell
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Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective
lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales
recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute
expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de
la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale
4 La premiegravere perceacutee majeure
Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de
lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects
fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau
subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun
agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation
stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de
cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est
perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par
ces deux champs (voir Figure 1)
La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant
de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut
formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de
Saint-Peacutetersbourg [18]
Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la
Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave
augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k
(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D
pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme
eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux
autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun
Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale
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Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au
centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la
substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des
vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale
stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux
espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-
quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-
transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui
reacuteside dans lespace-X
Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique
trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles
de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3
parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre
eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire
matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant
chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3
espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes
orthogonaux internes reacutesultants
5 La deuxiegraveme perceacutee majeure
Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul
Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre
laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui
permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui
augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ
magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de
leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article
publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de
Kazan [20]
Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees
constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne
dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une
eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de
maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee
pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]
ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin
Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes
les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules
complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et
autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules
eacuteleacutementaires [24]
Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des
atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons
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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions
destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que
sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des
seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou
lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees
eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]
Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de
larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement
sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa
deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement
deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre
directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre
article reacutecemment publieacute [4]
Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese
personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la
premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une
deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir
de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave
leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun
doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique
geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les
eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi
du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser
directement dans son article original
LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees
auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie
de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee
autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique
transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de
leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement
mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable
avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise
en eacutevidence plus loin
Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable
agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation
relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le
champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est
constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce
fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de
mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective
par Marmet au deacutebut de son article [19]
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Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis
Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui
seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie
Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du
champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle
geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant
omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute
de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans
lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme
charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept
ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter
sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de
Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et
matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee
exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement
qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration
perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation
qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui
soutient son mouvement dans lespace
Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme
rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de
laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut
donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons
dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart
Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron
en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste
ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son
champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette
derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable
avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc
2 - moc
2) car il est physiquement
et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux
directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une
de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de
laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ
magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee
Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave
mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune
seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute
deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie
du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux
quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee
que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors
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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la
veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov
22 + (γmoc
2 -
moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique
quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de
Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la
distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement
et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees
les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement
Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie
doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ
magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme
geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de
cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour
obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en
mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin
6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte
Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a
initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information
qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait
consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale
deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord
ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-
quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]
associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse
transversale mesurable
7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein
En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil
reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes
lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant
cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique
fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une
traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la
diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb
ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons
comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par
linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre
deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait
pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement
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diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten
(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du
deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de
lintroduction de la RR faisait rage
Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le
momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie
cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans
les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont
pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique
fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement
en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont
toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et
certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de
1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz
Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre
vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de
consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions
traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des
connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction
En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par
lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave
eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force
de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y
est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en
ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie
pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte
lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou
alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la
distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des
charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de
leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant
eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules
chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique
qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique
classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme
des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement
par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la
communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui
Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir
de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier
du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet
maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue
en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=
e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance
entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e
24πεod
2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique
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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse
simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil
semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui
entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce
moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir
Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et
qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment
Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la
RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et
aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la
Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de
lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement
causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de
Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules
eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron
selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse
classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de
particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective
plus loin
Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de
Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept
daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en
RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum
augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration
inertielle
8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le
demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale
mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee
du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement
ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant
dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second
point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la
vitesse
Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute
Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute
Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par
leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction
coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne
laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement
Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-
quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de
Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune
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harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse
ecirctre reacutealiseacutee
9 Les Principes axiomatiques absolus
Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les
concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient
permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu
ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee
pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de
points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la
nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir
des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences
consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le
Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction
stationnaire et de moindre action etc
La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de
conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas
activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme
dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien
compris lorsquil fut initialement formuleacute
En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances
permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous
pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant
quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat
apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement
dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction
stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]
Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des
trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]
[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel
eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de
nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les
masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial
qui eacutetait le leur avant leur lancement
En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune
hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des
eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur
astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule
maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de
ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant
une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera
examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit
les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement
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Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un
cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere
deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement
associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif
et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour
tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle
sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ
eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide
Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance
en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee
au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de
Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un
momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique
et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort
consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un
mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule
eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et
quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de
mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement
seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une
eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une
forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de
force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur
pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression
interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de
lexpression trompeuse force de Coulomb
Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que
quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la
physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant
suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes
axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme
dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui
savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de
linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de
Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction
adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant
correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une
interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement
10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus
Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables
observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont
constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la
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confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et
processus
Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au
moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon
classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de
nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la
masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]
Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute
magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-
composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune
rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction
[39]
Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces
termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus
auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels
comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple
11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule
eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement
en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres
permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du
quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du
champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui
est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons
eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie
eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau
macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell
12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)
En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave
confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique
transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un
fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]
Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences
effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun
eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire
demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un
seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de
Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable
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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation
de son champ magneacutetique transversal
Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit
directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est
aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par
analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au
repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement
2
M
r
1
8π
eμ e
e
2
0
(M-24)
Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron
ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en
correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi
que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation
(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)
Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)
dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique
rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant
perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article
[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute
graphiquement comme se deacuteplaccedilant
2
0
r
ud sd
4π
Iμd
B (M-1)
Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire
invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q
de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere
dt
)d(Ne
dt
dQI
-
(M-2)
Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure
constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv
puisque dt
dxv donc
v
dxdt (M-3)
En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par
sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint
dx
)vd(Ne
dt
d(Ne)I
-
(M-4)
Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart
dx)θsin(r4π
Iμd
2
0B (M-5)
En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-
4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte
sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition
puisque le courant demeure constant
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)(Ned)θsin(r4π
vμdx)θsin(
dx
)vd(Ne
r4π
μdx)θsin(
r4π
Iμd -
2
0
-
2
0
2
0 B (M-5a)
En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant
maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus
decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant
que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute
)(Ned)θsin(r4π
vμd -
2
0B (M-6)
13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur
Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence
sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte
dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce
qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant
Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π
veμNd -
2
-
0iB (M-7)
Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant
les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer
pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est
absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous
allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de
sa deacuterivation
Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)
Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux
variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure
ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la
distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et
spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre
conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation
cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ
magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation
correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)
Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)
puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e
-) ce qui
constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de
lrsquoEacutequation (M-7)
)(ed)θsin(r4π
vμd -
2
0iB (M-6a)
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Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer
conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de
distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette
distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc
maintenant
)d(er4π
vμd -
2
0iB (M-6b)
Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le
calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux
occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons
agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)
-
2
0 er4π
vμiB (M-6c)
qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation
conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)
Eacutequation (M-7) correcte 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ
magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique
stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du
champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron
centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute
par lEacutequation (M-7)
Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie
trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le
flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement
propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement
ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue
lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant
physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron
Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment
stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil
meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des
eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant
donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute
les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de
saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation
triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de
leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule
eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques
individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction
transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique
macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur
dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 22 Andreacute Michaud
cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut
rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul
eacutelectron
Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins
magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui
fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir
mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique
macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la
Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables
macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme
processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie
des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes
Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer
lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite
agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique
massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa
masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite
dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne
La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par
leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au
deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]
magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)
15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet
La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)
concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des
particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz
16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz
Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de
vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2
semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale
eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal
qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons
plus loin que ce nest pas le cas
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour
repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron
2
2
e
2
2
e
2
0cv
c
v
2
m
c
v
r8π
eμm (1)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 23
Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ
magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio
v2c
2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient
neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de
la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce
qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos
invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel
que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par
leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure
eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut
preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie
(Figure 3)
2
M
r
1
8π
eμ
c
v
r
1
8π
eμM e
e
2
0
2
2
e
2
00vuee_magneacutetiq
(M-24)
LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du
champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie
croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui
sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec
lEacutequation (M-24)
2
0cv
r4π
veμ B (2)
Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des
repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction
du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une
vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du
momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-
18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la
Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome
drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement
correct de masse relativiste
kg355E242533771
cr8π
1218764756eμ
cr8π
veμm
2
e
22
0
2
e
22
0m (3)
A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il
faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme
vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de
lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme
valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique
de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron
Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition
eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste
un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut
quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c
2 c eacutetant invariant et v
pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute
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Page 24 Andreacute Michaud
preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique
transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre
vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement
proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron
(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite
de 409355207E-14 j)
Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute
invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique
intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique
de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer
leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de
Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente
toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-
magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de
leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute
totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la
masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de
masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2
Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette
somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur
gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de
calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)
Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec
leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit
leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de
leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus
leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par
structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc
2
K2E
KK4Ecv
2
(4)
Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des
eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes
de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees
C
2
CC
λ2λ
λλ4λcv
(5)
A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis
leacutelaboration de ces eacutequations
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Andreacute Michaud Page 25
17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)
Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le
rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de
lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ
magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la
deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par
lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee
transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB
mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette
augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique
constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron
409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement
eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation
entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec
leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron
Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute
deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de
Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration
spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2
=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est
obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure
fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]
m155E2817940282π
αλr Ce (6)
Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)
devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de
lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde
eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c
mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de
de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est
(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique
Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave
linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans
lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]
m11E29177208352π
λ
2π
λr B
Br (7)
Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude
transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en
multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y
a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave
lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin
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Page 26 Andreacute Michaud
atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet
maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient
mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal
invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique
correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec
lEacutequation (2)
T0405235047
113E529177208α4π
1218764756eμ
rα4π
veμ2
0
2
B
0
B (8)
Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee
que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant
une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale
serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence
Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable
comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la
avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut
eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que
cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir
lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal
Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de
leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable
soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ
magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)
sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et
nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)
T7346235051
86E455633525α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
23
0
B (9)
Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation
geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de
lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique
transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de
Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie
strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil
La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant
lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de
lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse
dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer
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Andreacute Michaud Page 27
18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse
Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer
lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa
version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire
lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de
linduction deacutenergie dans un eacutelectron
Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que
leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en
anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette
eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle
constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment
cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique
classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave
laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite
Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est
aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est
deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte
aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique
correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un
corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute
Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car
nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave
des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle
lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]
Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de
leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de
leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante
e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui
induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules
chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui
les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par
rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de
leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule
Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme
des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment
reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique
en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement
mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute
expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui
fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute
deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute
preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse
limite de la lumiegravere
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Page 28 Andreacute Michaud
En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques
pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont
typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la
Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement
fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons
maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales
19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11
Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour
dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons
sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer
laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui
sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ
magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte
Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace
ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses
approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que
mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs
trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de
vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000
kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par
fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne
Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le
lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees
qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant
anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des
phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde
gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute
astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces
trajectoires est incapable den rendre compte
Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme
solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement
de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus
faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr
vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre
expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))
Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles
de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie
systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles
eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre
deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]
[37] [38]
Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande
publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne
que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 29
astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des
anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998
telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation
systeacutematique dorigine inconnue
Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec
les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses
typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal
deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces
deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie
transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette
derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les
paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation
Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de
Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement
j5E102658722731v-c
cmcΔK
22
2
(10)
Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour
Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de
kg78228E952c
ΔKΔm
2m (11)
Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour
expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de
ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la
proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse
au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent
initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de
masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele
et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la
Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du
temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne
tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont
faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des
masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin
20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui
est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme
densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne
neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du
quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron
Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le
champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en
mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 30 Andreacute Michaud
repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en
utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de
structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette
eacutenergie
T1E1382890002212-5E242631021α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
2
C
3
0
e B (12)
Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide
quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui
pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la
densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par
exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne
comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales
Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien
connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse
relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes
deacutegales intensiteacutes
B
Ev (13)
La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en
additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de
la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)
pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de
Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne
invariant Be de la masse au repos de leacutelectron
T6E13828900024
λλ
λλ
α
ceπμ
λα
ceπμ
λα
ceπμ2
C
2
2
C
2
3
0
23
0
2
C
3
0e
BBB (14)
Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun
champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation
geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave
une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut
analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui
geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou
deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les
structures atomiques
λλdr
λE
αε2
e
α
2πe
ε4π
10
2πα
e
ε4π
1
o
22
o a 2
2
o0
(15)
Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout
quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la
constante de Planck
αλε2
ehE
o
2
f (16)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 31
Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de
forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration
fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que
linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force
classiques
Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc
eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde
longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser
avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)
NC673727E130467λαε
πe23
0
E (17)
Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au
repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron
Compton comme suit
NC4E10602933175λαε
πe2
C
3
0
e E (18)
Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la
vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple
addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique
ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE
des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique
qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ
monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute
agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave
la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =
4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron
(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante
NCE208133411211
λ2λλλ
λ4λλλλ
αε
πe
C
2
C
2
CC
2
C
2
3
0
E (19)
Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le
champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas
contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local
ms56621876476E13828900024
1E20181334112v
B
E (20)
Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE
avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement
qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos
invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement
lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la
vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle
leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la
Reacutefeacuterence [32]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 32 Andreacute Michaud
21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos
Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de
Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse
au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son
increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie
adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique
interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans
les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute
graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la
composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee
transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement
doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son
champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique
Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse
de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent
les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie
eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour
conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]
Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere
permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que
formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon
eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute
selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent
mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]
t)(ωsin
2
iL t)(ωcos
2C
e
2λ
hcE 2
2
λλ2
λ
2
(21)
ougrave
λ
2
(max)2C
eE E
et 2
iLE
2
λλ(max) B
(22)
et
αλ2εC 0λ 8π
αλμL
2
0λ
αλ
ec2πiλ (23)
La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des
champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement
aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees
avec les Eacutequations (22)
23
0 λαε
πeE 23
0
λα
πecμB (24)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 33
et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute
maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement
2
35
2π
λαV (25)
ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence
[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui
confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie
porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit
la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee
transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie
transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum
Vt)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
2λ
hcE 2
0
22
2
0
BE (26)
22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives
Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933
[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-
produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se
transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon
dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de
leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute
speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme
de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale
associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait
seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]
Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue
entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave
leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges
opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste
et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet
de construire leacutequation de la maniegravere suivante
2
0
2
m
1o
2
2λ
1
λ
1cmcΔmΔK2
λ
1
αε2
eE
C1
(27)
dans laquelle
2o
22
mλ
1
αε2
ecΔmΔK ougrave
C12 2λ
1
λ
1
2
1
λ
1 (28)
Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de
leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en
cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie
reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 34 Andreacute Michaud
invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre
les deux particules maintenant seacutepareacutees
Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford
(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons
eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau
impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires
eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave
proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur
lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]
Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces
vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel
des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel
plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une
meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou
plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en
leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des
masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit
leacutequation suivante
V
t)(ωsin K2μ
t)(ωcos)jJjJ(4
ε2
iI2λ
hciIE
2
Z0
2
2
Y
2
0
X
B
E
(29)
se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure
eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
me0
KB
jIjI
iJE
0
ν
(30)
et
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
mp
ν
0
KB
jIjI
iJE
0 (31)
dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique
maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute
lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre
constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une
oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation
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Andreacute Michaud Page 35
entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-
porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]
3
2
3
C
5
m m477E1497393262π
λαV et
2
C
3
0 λαε
eπν (32)
Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere
fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse
de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope
stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la
Reacutefeacuterence [20]
Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus
leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant
invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC
du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les
deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et
deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la
vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec
lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]
C
CC
λ2λ
λ4λλcv
ou
K2E
K4EKcv
2
(33)
Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur
donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au
repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du
photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse
de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de
Broglie [32] [3]
Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon
car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple
en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume
isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie
nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron
qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque
j148E4093552062π
λα
μ2λα
ceπμV
2μ 2
3
C
5
0
2
2
C
3
0m
0
2
B (34)
23 Construction de particules complexes stables
Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts
de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont
typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la
communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en
raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement
eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus
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Page 36 Andreacute Michaud
petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue
tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]
Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont
aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que
leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre
eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps
ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction
stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des
particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par
rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-
destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)
Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions
mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-
dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence
infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux
eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement
frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions
frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes
hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)
Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible
Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors
dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons
eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules
complexes comme le proton et le neutron
Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des
eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave
ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee
(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves
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Andreacute Michaud Page 37
avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure
5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest
quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale
pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours
(Figures 5-b)
Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et
collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-
ponctuel
Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction
frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les
protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de
positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique
permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel
quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable
dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre
observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]
Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la
conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron
[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites
dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites
planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace
soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement
eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon
Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce
volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand
acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie
dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al
[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants
chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations
des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge
eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une
charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons
ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-
composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)
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Page 38 Andreacute Michaud
Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives
De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et
expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants
chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-
composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants
chargeacutes positivement [22] [25]
Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement
confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au
fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-
ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et
positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent
ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et
confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des
nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges
seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des
positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la
nature dispose pour construire les nucleacuteons
Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants
nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge
fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent
naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils
eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des
structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]
La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes
preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons
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Andreacute Michaud Page 39
correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence
de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement
estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui
peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie
agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]
soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la
seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee
pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]
2
0
eudicαn
3e
a
km
(n=1 2 3) (35)
ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la
lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale
eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de
Coulomb
8E9898755178ε4π
1k
o
(36)
En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages
expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer
cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc
2 pour la
sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux
distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe
coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de
lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]
Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la
mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la
masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient
effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour
de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces
deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance
Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie
matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee
confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et
eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent
respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas
encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et
eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des
interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures
Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres
particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par
collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees
up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee
par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de
reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant
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les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach
et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee
Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave
laide de lEacutequation (35)
Masse au repos Eacutenergie Charge Ref
Eacutelectron ou positon en
mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV
plusmn1=
1602176462E-19 C [21]
Positon
eacutelectromagneacutetiquement
contraint
1 dans le neutron
2 dans le proton
2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=
1068117641E-19 C [22]
Eacutelectron
Eacutelectromagneacutetiquement
contraint
2 dans le neutron
1 dans le proton
8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=
5340588207E-20 C [22]
La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur
concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un
physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son
libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par
Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu
compte
Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The
theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far
beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks
themselves were never discovered in any scattering experiment
Traduction
Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de
succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent
quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-
mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision
Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute
produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et
quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u
(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en
parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par
Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron
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Andreacute Michaud Page 41
Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement
nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes
quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des
Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte
eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie
qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur
est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet
pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes
eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et
positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires
Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des
eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure
collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette
somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La
diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont
lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de
lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe
qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont
deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints
eacutelectromagneacutetiquement
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
U
Y
2
0
U
2
m
2
U
U
B
E
ν (37)
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
D
Y
2
0
D
2
m
2
DD
B
E
ν (38)
Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses
au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement
eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]
Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en
relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici
pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite
par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en
translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de
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reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de
translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport
une telle orbite circulaire
24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance
La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron
dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le
premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave
une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr
mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite
fermeacutee autour du proton
Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait
cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de
leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de
stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave
veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure
Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur
de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition
nhTβ-1
β
2
22
o r
cm (n eacutetant un nombre entier) (39)
Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de
reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction
donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte
cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de
nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil
identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature
eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut
expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait
rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique
deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses
eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion
dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules
eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte
cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories
dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique
Quantique sous sa forme traditionnelle
De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de
Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave
cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec
lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa
disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui
supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique
autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute
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Andreacute Michaud Page 43
perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie
eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que
leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton
En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton
nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee
autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie
concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie
induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement
Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique
strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur
temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques
eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des
orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales
de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la
freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie
du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de
reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie
sj34E662606876λvmh BB0 (40)
ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite
de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont
le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne
entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit
leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel
que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de
fB=6579683921E15 Hz
Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette
freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier
la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir
leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb
Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble
correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler
toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie
induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute
leacutenergie du quantum soit accumuleacutee
j 18-8E435974380rε4π
ehE
Bo
2
BB f (41)
dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))
Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la
longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique
la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel
quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 44 Andreacute Michaud
αλε2
ehνE
o
2
(42)
ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale
dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue
suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec
lEacutequation (41) est donc
m82E455633525E
hcλ
B
(43)
ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave
obtenue avec lEacutequation (41) standard
j188E435974380αλε2
ehνE
o
2
B (44)
Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer
leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition
conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats
deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et
nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de
cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet
aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est
fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires
chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout
mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif
Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs
impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de
leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant
dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera
analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes
neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la
quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction
coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont
captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre
cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique
Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est
constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie
dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir
dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee
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Andreacute Michaud Page 45
par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la
valeur obtenue sera constant
Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de
lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee
de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie
eacutelectromagneacutetique (λ)
mj25E986445441α2ε
eEλH
0
2
(45)
Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur
temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la
constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante
H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui
reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que
historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee
deacutequations eacutelectromagneacutetiques
sj34E662606876c
Hh (46)
Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut
maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit
la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la
communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de
constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement
confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics
[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)
[40]
sj34E662606876αc2ε
eh
0
2
(47)
252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique
Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-
dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais
lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante
dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)
de latome dhydrogegravene et de son noyau
La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence
[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux
maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage
dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB
au carreacute
2
o
B
22
BB mj386E122085259ε4π
rerEK
(48)
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Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene
verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux
particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie
adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau
1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le
positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et
leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave
la Reacutefeacuterence [22]
26 Gravitation
En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires
induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules
chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de
maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une
eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son
existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le
permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux
Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee
leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors
quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le
centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les
accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette
pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une
eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle
tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne
peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de
momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car
leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de
masse de la Terre [4] [16]
En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune
mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum
vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules
chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et
est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum
pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque
lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une
pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne
agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la
masse de la Terre [33]
Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de
reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que
de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat
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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir
de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au
rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables
permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps
ceacuteleste autour de lastre central
Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance
moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute
freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr
le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps
ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle
oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle
chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps
ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes
Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central
peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites
qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes
par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de
reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes
de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus
doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans
lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont
reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes
Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est
aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome
dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas
cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule
eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la
stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital
Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence
en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction
stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les
cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)
Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force
gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction
coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction
stationnaire
Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les
positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques
afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble
eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave
appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules
chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image
mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces
particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee
quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire
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Page 48 Andreacute Michaud
de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du
concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de
particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le
Tableau 2
Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])
Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques
Nom Porteacutee
Force
laquo traditionnelle raquo
associeacutee
Attracteur
primaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave
lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron
Forte
Attracteur
secondaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints
appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons
dans un noyau
Faible
Attracteur
tertiaire
Entre chaque eacutelectron captif et chaque
positon eacutelectromagneacutetiquement contraint
dun noyau et entre chaque eacutelectron et
chaque positon eacutelectromagneacutetiquement
contraint des noyaux des autres atomes de
toute accumulation de matiegravere
Eacutelectromagneacutetique
Attracteur
temporaire
local
Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun
photon Eacutelectromagneacutetique
Attracteur temporaire
eacuteloigneacute
Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du
reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique
Attracteur quaternaire
Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du
reste de lrsquounivers
Graviteacute
Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre
plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance
daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance
caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la
structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte
Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux
datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique
aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les
atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere
correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier
niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute
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Andreacute Michaud Page 49
libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau
astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle
Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction
coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique
transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence
quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4
forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui
savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute
dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente
dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel
Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere
permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le
centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme
dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme
dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des
atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble
des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la
direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant
en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses
Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses
macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la
profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales
eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave
la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]
Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la
Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses
macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes
une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les
eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus
eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons
retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors
un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme
dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine
section
Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme
celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et
quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des
orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute
qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne
induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des
noyaux
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Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette
pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission
de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les
eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave
mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee
denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante
dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les
eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec
linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage
de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le
deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant
agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes
quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en
chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]
Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les
masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent
les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui
diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux
atomiques
Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction
coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une
augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe
central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique
variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des
nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]
Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que
la profondeur augmente dans les masses macroscopiques
Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire
ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne
peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules
eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances
internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x
de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces
petites masses et celles de la Terre
Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes
constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction
proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est
laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons
captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des
photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale
meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant
agrave leurs orbitales daction stationnaire
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Andreacute Michaud Page 51
Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation
daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la
freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience
de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps
voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps
avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion
tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du
champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee
En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons
de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la
mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement
axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation
dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les
sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs
trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace
profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur
lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les
masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en
conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel
Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de
Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres
qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne
[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient
agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur
oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ
magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques
28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees
expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en
perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de
la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant
la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit
une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les
anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de
piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]
Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un
proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action
plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a
lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes
quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees
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Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos
par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de
2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-
porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]
j18-2E2179784831γcmΔKE 2
oK (49)
Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)
qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de
Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son
mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction
stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie
totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale
deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse
au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus
de stabilisation
j141875401148cmcmΔKE 2
0
2
me E (50)
Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune
quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie
j10-7E150327730cmE 2
pp (51)
Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr
0548911836
1
E
E
p
e (52)
On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de
grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la
composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par
rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele
reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en
perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de
leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus
grande
4968964481
1
E
E
p
K (53)
Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par
linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du
momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le
processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre
inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere
Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette
eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct
Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur
agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera
communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que
leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera
eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et
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Andreacute Michaud Page 53
mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de
freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere
La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de
Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin
Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas
vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de
lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-
2000 [18]
Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et
son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors
de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le
mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest
pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du
photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa
configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une
inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve
photoeacutelectrique de Einstein
La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum
ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur
lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de
son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant
son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son
volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)
Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie
eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum
unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum
complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)
La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe
dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de
jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule
transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme
dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du
photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y
pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut
ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8
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La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant
inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux
champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du
proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence
darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J
vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la
quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement
qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du
photon porteur
T4692470103λα
ceπμ22
23
0 B (54)
ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout
deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs
magneacutetiques
En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de
leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome
dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable
coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la
meacutecanique actuelle deacutemission de photons
Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que
leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant
vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste
eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie
vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une
flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication
suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et
le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas
par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron
agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]
De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre
faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et
un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement
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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite
lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis
artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion
initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la
rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en
permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence
Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation
de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron
dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute
eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence
[33]
Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette
distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque
la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de
remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement
induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la
direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression
stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente
eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie
que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant
momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV
temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon
eacutelectromagneacutetique seacutepareacute
La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra
leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ
magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le
montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence
dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe
devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]
Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y
eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se
deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges
opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la
valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le
proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de
leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la
part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue
par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne
Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui
fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit
de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que
leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave
saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe
de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous
forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des
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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau
macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d
La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton
comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie
ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique
incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La
reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience
que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que
linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de
leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis
et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce
processus de freinage si bref
Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de
lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers
lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum
qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du
reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-
quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par
deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet
leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller
transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi
loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se
deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]
Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la
seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet
momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la
vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre
compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du
photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave
lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale
des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de
la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute
totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement
invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton [4]
29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques
Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la
massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-
eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee
par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant
adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK
nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui
interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais
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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du
proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale
dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que
deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum
ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression
momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs
eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie
transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de
2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de
Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du
systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur
vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut
maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-
porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
le permettra [52]
Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en
conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee
plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos
eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou
agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme
eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par
accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18
j
Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et
documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent
document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui
permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons
eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de
leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article
30 Conclusion
Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie
eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de
concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme
si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait
dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne
La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de
Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la
deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin
complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit
une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus
deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit
preacuteceacutedemment
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Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une
conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies
anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux
expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les
eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un
ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par
Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz
Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations
eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees
provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire
Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique
quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident
geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant
donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision
cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants
magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013
pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]
Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des
eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]
Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet
dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques
denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave
lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du
comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
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Autres articles dans le mecircme projet
Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 5
maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien
conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi
directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee
physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement
seacutepareacutes
De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave
traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en
sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules
localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau
subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-
mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees
eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne
pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de
leacutecran de teacuteleacutevision
La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un
fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne
pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme
nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous
comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau
macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees
glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants
instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces
moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique
Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau
subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision
dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre
de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre
de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute
de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de
leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos
microscopes eacutelectroniques
Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de
grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la
perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la
diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les
moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment
petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre
niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie
eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus
grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave
sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre
niveau macroscopique
Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de
grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique
consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune
moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la
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distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi
agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome
dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons
eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au
mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres
particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave
linteacuterieur de la structure du proton et du neutron
Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau
subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au
repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument
suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique
contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement
possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la
granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une
granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est
inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des
particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique
sont les suivants
1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere
quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir
Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])
2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons
possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience
photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la
moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de
la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses
solaires [3] [11]
3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons
eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-
positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se
reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de
nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse
invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance
eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve
expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le
seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons
eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans
quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]
4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et
une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C
5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des
particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux
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de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des
systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])
Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement
nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par
ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave
partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement
des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes
soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par
les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux
en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des
changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau
atomique
Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de
leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee
lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules
infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets
qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants
microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les
cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long
de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous
prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre
[14]
Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour
que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune
intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des
atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi
que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui
peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes
seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium
Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie
eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la
traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis
pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau
subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)
mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations
eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une
onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une
harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier
chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation
tireacutee de ses Lectures on Physics [15]
There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are
not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen
electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 8 Andreacute Michaud
Traduction
Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne
sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement
associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique
Quantique ces difficulteacutes demeurent
Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent
matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure
granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue
uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie
des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier
deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne
de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la
structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des
neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement
eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique
transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute
matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos
Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure
eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de
Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau
subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de
reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau
subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique
3 Deux perceacutees majeures reacutecentes
Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure
interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique
qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne
semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de
Minkowski [17]
la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie
deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave
limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans
le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-
temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de
ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur
aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p
273)
Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure
eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec
les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires
stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau
subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de
Maxwell
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Andreacute Michaud Page 9
Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective
lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales
recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute
expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de
la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale
4 La premiegravere perceacutee majeure
Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de
lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects
fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau
subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun
agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation
stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de
cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est
perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par
ces deux champs (voir Figure 1)
La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant
de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut
formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de
Saint-Peacutetersbourg [18]
Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la
Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave
augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k
(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D
pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme
eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux
autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun
Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale
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Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au
centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la
substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des
vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale
stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux
espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-
quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-
transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui
reacuteside dans lespace-X
Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique
trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles
de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3
parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre
eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire
matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant
chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3
espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes
orthogonaux internes reacutesultants
5 La deuxiegraveme perceacutee majeure
Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul
Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre
laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui
permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui
augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ
magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de
leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article
publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de
Kazan [20]
Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees
constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne
dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une
eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de
maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee
pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]
ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin
Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes
les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules
complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et
autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules
eacuteleacutementaires [24]
Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des
atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons
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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions
destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que
sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des
seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou
lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees
eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]
Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de
larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement
sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa
deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement
deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre
directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre
article reacutecemment publieacute [4]
Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese
personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la
premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une
deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir
de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave
leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun
doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique
geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les
eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi
du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser
directement dans son article original
LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees
auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie
de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee
autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique
transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de
leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement
mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable
avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise
en eacutevidence plus loin
Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable
agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation
relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le
champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est
constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce
fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de
mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective
par Marmet au deacutebut de son article [19]
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Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis
Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui
seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie
Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du
champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle
geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant
omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute
de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans
lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme
charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept
ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter
sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de
Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et
matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee
exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement
qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration
perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation
qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui
soutient son mouvement dans lespace
Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme
rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de
laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut
donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons
dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart
Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron
en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste
ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son
champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette
derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable
avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc
2 - moc
2) car il est physiquement
et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux
directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une
de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de
laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ
magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee
Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave
mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune
seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute
deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie
du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux
quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee
que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors
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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la
veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov
22 + (γmoc
2 -
moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique
quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de
Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la
distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement
et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees
les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement
Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie
doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ
magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme
geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de
cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour
obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en
mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin
6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte
Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a
initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information
qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait
consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale
deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord
ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-
quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]
associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse
transversale mesurable
7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein
En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil
reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes
lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant
cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique
fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une
traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la
diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb
ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons
comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par
linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre
deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait
pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement
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diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten
(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du
deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de
lintroduction de la RR faisait rage
Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le
momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie
cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans
les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont
pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique
fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement
en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont
toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et
certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de
1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz
Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre
vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de
consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions
traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des
connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction
En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par
lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave
eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force
de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y
est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en
ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie
pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte
lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou
alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la
distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des
charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de
leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant
eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules
chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique
qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique
classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme
des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement
par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la
communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui
Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir
de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier
du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet
maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue
en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=
e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance
entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e
24πεod
2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique
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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse
simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil
semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui
entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce
moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir
Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et
qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment
Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la
RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et
aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la
Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de
lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement
causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de
Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules
eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron
selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse
classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de
particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective
plus loin
Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de
Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept
daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en
RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum
augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration
inertielle
8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le
demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale
mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee
du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement
ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant
dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second
point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la
vitesse
Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute
Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute
Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par
leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction
coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne
laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement
Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-
quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de
Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune
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harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse
ecirctre reacutealiseacutee
9 Les Principes axiomatiques absolus
Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les
concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient
permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu
ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee
pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de
points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la
nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir
des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences
consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le
Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction
stationnaire et de moindre action etc
La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de
conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas
activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme
dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien
compris lorsquil fut initialement formuleacute
En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances
permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous
pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant
quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat
apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement
dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction
stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]
Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des
trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]
[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel
eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de
nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les
masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial
qui eacutetait le leur avant leur lancement
En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune
hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des
eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur
astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule
maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de
ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant
une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera
examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit
les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement
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Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un
cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere
deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement
associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif
et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour
tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle
sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ
eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide
Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance
en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee
au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de
Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un
momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique
et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort
consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un
mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule
eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et
quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de
mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement
seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une
eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une
forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de
force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur
pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression
interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de
lexpression trompeuse force de Coulomb
Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que
quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la
physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant
suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes
axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme
dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui
savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de
linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de
Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction
adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant
correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une
interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement
10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus
Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables
observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont
constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la
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confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et
processus
Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au
moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon
classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de
nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la
masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]
Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute
magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-
composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune
rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction
[39]
Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces
termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus
auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels
comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple
11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule
eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement
en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres
permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du
quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du
champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui
est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons
eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie
eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau
macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell
12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)
En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave
confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique
transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un
fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]
Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences
effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun
eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire
demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un
seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de
Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable
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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation
de son champ magneacutetique transversal
Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit
directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est
aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par
analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au
repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement
2
M
r
1
8π
eμ e
e
2
0
(M-24)
Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron
ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en
correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi
que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation
(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)
Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)
dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique
rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant
perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article
[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute
graphiquement comme se deacuteplaccedilant
2
0
r
ud sd
4π
Iμd
B (M-1)
Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire
invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q
de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere
dt
)d(Ne
dt
dQI
-
(M-2)
Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure
constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv
puisque dt
dxv donc
v
dxdt (M-3)
En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par
sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint
dx
)vd(Ne
dt
d(Ne)I
-
(M-4)
Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart
dx)θsin(r4π
Iμd
2
0B (M-5)
En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-
4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte
sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition
puisque le courant demeure constant
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)(Ned)θsin(r4π
vμdx)θsin(
dx
)vd(Ne
r4π
μdx)θsin(
r4π
Iμd -
2
0
-
2
0
2
0 B (M-5a)
En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant
maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus
decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant
que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute
)(Ned)θsin(r4π
vμd -
2
0B (M-6)
13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur
Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence
sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte
dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce
qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant
Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π
veμNd -
2
-
0iB (M-7)
Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant
les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer
pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est
absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous
allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de
sa deacuterivation
Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)
Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux
variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure
ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la
distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et
spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre
conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation
cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ
magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation
correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)
Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)
puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e
-) ce qui
constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de
lrsquoEacutequation (M-7)
)(ed)θsin(r4π
vμd -
2
0iB (M-6a)
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Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer
conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de
distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette
distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc
maintenant
)d(er4π
vμd -
2
0iB (M-6b)
Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le
calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux
occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons
agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)
-
2
0 er4π
vμiB (M-6c)
qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation
conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)
Eacutequation (M-7) correcte 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ
magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique
stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du
champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron
centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute
par lEacutequation (M-7)
Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie
trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le
flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement
propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement
ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue
lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant
physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron
Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment
stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil
meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des
eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant
donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute
les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de
saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation
triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de
leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule
eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques
individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction
transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique
macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur
dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et
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cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut
rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul
eacutelectron
Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins
magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui
fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir
mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique
macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la
Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables
macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme
processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie
des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes
Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer
lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite
agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique
massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa
masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite
dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne
La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par
leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au
deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]
magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)
15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet
La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)
concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des
particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz
16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz
Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de
vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2
semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale
eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal
qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons
plus loin que ce nest pas le cas
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour
repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron
2
2
e
2
2
e
2
0cv
c
v
2
m
c
v
r8π
eμm (1)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 23
Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ
magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio
v2c
2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient
neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de
la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce
qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos
invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel
que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par
leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure
eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut
preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie
(Figure 3)
2
M
r
1
8π
eμ
c
v
r
1
8π
eμM e
e
2
0
2
2
e
2
00vuee_magneacutetiq
(M-24)
LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du
champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie
croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui
sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec
lEacutequation (M-24)
2
0cv
r4π
veμ B (2)
Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des
repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction
du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une
vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du
momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-
18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la
Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome
drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement
correct de masse relativiste
kg355E242533771
cr8π
1218764756eμ
cr8π
veμm
2
e
22
0
2
e
22
0m (3)
A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il
faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme
vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de
lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme
valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique
de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron
Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition
eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste
un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut
quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c
2 c eacutetant invariant et v
pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 24 Andreacute Michaud
preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique
transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre
vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement
proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron
(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite
de 409355207E-14 j)
Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute
invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique
intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique
de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer
leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de
Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente
toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-
magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de
leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute
totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la
masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de
masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2
Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette
somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur
gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de
calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)
Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec
leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit
leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de
leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus
leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par
structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc
2
K2E
KK4Ecv
2
(4)
Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des
eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes
de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees
C
2
CC
λ2λ
λλ4λcv
(5)
A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis
leacutelaboration de ces eacutequations
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Andreacute Michaud Page 25
17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)
Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le
rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de
lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ
magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la
deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par
lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee
transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB
mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette
augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique
constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron
409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement
eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation
entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec
leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron
Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute
deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de
Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration
spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2
=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est
obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure
fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]
m155E2817940282π
αλr Ce (6)
Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)
devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de
lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde
eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c
mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de
de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est
(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique
Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave
linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans
lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]
m11E29177208352π
λ
2π
λr B
Br (7)
Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude
transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en
multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y
a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave
lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin
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Page 26 Andreacute Michaud
atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet
maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient
mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal
invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique
correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec
lEacutequation (2)
T0405235047
113E529177208α4π
1218764756eμ
rα4π
veμ2
0
2
B
0
B (8)
Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee
que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant
une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale
serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence
Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable
comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la
avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut
eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que
cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir
lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal
Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de
leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable
soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ
magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)
sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et
nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)
T7346235051
86E455633525α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
23
0
B (9)
Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation
geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de
lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique
transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de
Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie
strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil
La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant
lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de
lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse
dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer
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Andreacute Michaud Page 27
18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse
Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer
lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa
version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire
lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de
linduction deacutenergie dans un eacutelectron
Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que
leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en
anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette
eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle
constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment
cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique
classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave
laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite
Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est
aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est
deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte
aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique
correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un
corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute
Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car
nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave
des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle
lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]
Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de
leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de
leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante
e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui
induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules
chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui
les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par
rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de
leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule
Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme
des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment
reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique
en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement
mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute
expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui
fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute
deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute
preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse
limite de la lumiegravere
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Page 28 Andreacute Michaud
En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques
pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont
typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la
Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement
fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons
maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales
19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11
Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour
dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons
sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer
laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui
sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ
magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte
Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace
ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses
approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que
mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs
trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de
vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000
kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par
fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne
Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le
lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees
qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant
anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des
phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde
gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute
astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces
trajectoires est incapable den rendre compte
Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme
solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement
de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus
faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr
vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre
expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))
Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles
de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie
systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles
eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre
deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]
[37] [38]
Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande
publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne
que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute
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Andreacute Michaud Page 29
astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des
anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998
telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation
systeacutematique dorigine inconnue
Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec
les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses
typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal
deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces
deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie
transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette
derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les
paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation
Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de
Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement
j5E102658722731v-c
cmcΔK
22
2
(10)
Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour
Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de
kg78228E952c
ΔKΔm
2m (11)
Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour
expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de
ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la
proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse
au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent
initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de
masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele
et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la
Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du
temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne
tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont
faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des
masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin
20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui
est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme
densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne
neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du
quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron
Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le
champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en
mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 30 Andreacute Michaud
repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en
utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de
structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette
eacutenergie
T1E1382890002212-5E242631021α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
2
C
3
0
e B (12)
Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide
quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui
pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la
densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par
exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne
comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales
Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien
connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse
relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes
deacutegales intensiteacutes
B
Ev (13)
La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en
additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de
la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)
pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de
Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne
invariant Be de la masse au repos de leacutelectron
T6E13828900024
λλ
λλ
α
ceπμ
λα
ceπμ
λα
ceπμ2
C
2
2
C
2
3
0
23
0
2
C
3
0e
BBB (14)
Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun
champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation
geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave
une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut
analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui
geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou
deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les
structures atomiques
λλdr
λE
αε2
e
α
2πe
ε4π
10
2πα
e
ε4π
1
o
22
o a 2
2
o0
(15)
Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout
quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la
constante de Planck
αλε2
ehE
o
2
f (16)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 31
Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de
forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration
fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que
linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force
classiques
Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc
eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde
longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser
avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)
NC673727E130467λαε
πe23
0
E (17)
Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au
repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron
Compton comme suit
NC4E10602933175λαε
πe2
C
3
0
e E (18)
Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la
vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple
addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique
ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE
des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique
qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ
monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute
agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave
la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =
4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron
(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante
NCE208133411211
λ2λλλ
λ4λλλλ
αε
πe
C
2
C
2
CC
2
C
2
3
0
E (19)
Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le
champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas
contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local
ms56621876476E13828900024
1E20181334112v
B
E (20)
Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE
avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement
qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos
invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement
lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la
vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle
leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la
Reacutefeacuterence [32]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 32 Andreacute Michaud
21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos
Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de
Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse
au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son
increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie
adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique
interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans
les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute
graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la
composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee
transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement
doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son
champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique
Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse
de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent
les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie
eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour
conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]
Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere
permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que
formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon
eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute
selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent
mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]
t)(ωsin
2
iL t)(ωcos
2C
e
2λ
hcE 2
2
λλ2
λ
2
(21)
ougrave
λ
2
(max)2C
eE E
et 2
iLE
2
λλ(max) B
(22)
et
αλ2εC 0λ 8π
αλμL
2
0λ
αλ
ec2πiλ (23)
La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des
champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement
aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees
avec les Eacutequations (22)
23
0 λαε
πeE 23
0
λα
πecμB (24)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 33
et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute
maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement
2
35
2π
λαV (25)
ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence
[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui
confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie
porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit
la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee
transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie
transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum
Vt)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
2λ
hcE 2
0
22
2
0
BE (26)
22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives
Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933
[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-
produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se
transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon
dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de
leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute
speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme
de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale
associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait
seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]
Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue
entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave
leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges
opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste
et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet
de construire leacutequation de la maniegravere suivante
2
0
2
m
1o
2
2λ
1
λ
1cmcΔmΔK2
λ
1
αε2
eE
C1
(27)
dans laquelle
2o
22
mλ
1
αε2
ecΔmΔK ougrave
C12 2λ
1
λ
1
2
1
λ
1 (28)
Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de
leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en
cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie
reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 34 Andreacute Michaud
invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre
les deux particules maintenant seacutepareacutees
Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford
(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons
eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau
impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires
eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave
proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur
lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]
Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces
vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel
des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel
plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une
meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou
plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en
leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des
masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit
leacutequation suivante
V
t)(ωsin K2μ
t)(ωcos)jJjJ(4
ε2
iI2λ
hciIE
2
Z0
2
2
Y
2
0
X
B
E
(29)
se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure
eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
me0
KB
jIjI
iJE
0
ν
(30)
et
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
mp
ν
0
KB
jIjI
iJE
0 (31)
dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique
maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute
lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre
constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une
oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 35
entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-
porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]
3
2
3
C
5
m m477E1497393262π
λαV et
2
C
3
0 λαε
eπν (32)
Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere
fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse
de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope
stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la
Reacutefeacuterence [20]
Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus
leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant
invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC
du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les
deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et
deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la
vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec
lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]
C
CC
λ2λ
λ4λλcv
ou
K2E
K4EKcv
2
(33)
Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur
donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au
repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du
photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse
de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de
Broglie [32] [3]
Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon
car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple
en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume
isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie
nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron
qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque
j148E4093552062π
λα
μ2λα
ceπμV
2μ 2
3
C
5
0
2
2
C
3
0m
0
2
B (34)
23 Construction de particules complexes stables
Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts
de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont
typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la
communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en
raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement
eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 36 Andreacute Michaud
petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue
tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]
Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont
aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que
leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre
eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps
ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction
stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des
particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par
rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-
destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)
Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions
mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-
dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence
infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux
eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement
frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions
frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes
hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)
Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible
Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors
dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons
eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules
complexes comme le proton et le neutron
Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des
eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave
ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee
(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves
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Andreacute Michaud Page 37
avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure
5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest
quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale
pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours
(Figures 5-b)
Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et
collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-
ponctuel
Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction
frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les
protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de
positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique
permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel
quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable
dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre
observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]
Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la
conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron
[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites
dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites
planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace
soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement
eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon
Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce
volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand
acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie
dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al
[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants
chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations
des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge
eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une
charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons
ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-
composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)
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Page 38 Andreacute Michaud
Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives
De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et
expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants
chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-
composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants
chargeacutes positivement [22] [25]
Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement
confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au
fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-
ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et
positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent
ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et
confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des
nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges
seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des
positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la
nature dispose pour construire les nucleacuteons
Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants
nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge
fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent
naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils
eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des
structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]
La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes
preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons
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Andreacute Michaud Page 39
correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence
de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement
estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui
peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie
agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]
soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la
seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee
pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]
2
0
eudicαn
3e
a
km
(n=1 2 3) (35)
ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la
lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale
eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de
Coulomb
8E9898755178ε4π
1k
o
(36)
En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages
expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer
cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc
2 pour la
sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux
distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe
coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de
lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]
Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la
mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la
masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient
effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour
de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces
deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance
Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie
matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee
confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et
eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent
respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas
encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et
eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des
interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures
Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres
particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par
collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees
up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee
par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de
reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant
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les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach
et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee
Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave
laide de lEacutequation (35)
Masse au repos Eacutenergie Charge Ref
Eacutelectron ou positon en
mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV
plusmn1=
1602176462E-19 C [21]
Positon
eacutelectromagneacutetiquement
contraint
1 dans le neutron
2 dans le proton
2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=
1068117641E-19 C [22]
Eacutelectron
Eacutelectromagneacutetiquement
contraint
2 dans le neutron
1 dans le proton
8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=
5340588207E-20 C [22]
La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur
concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un
physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son
libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par
Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu
compte
Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The
theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far
beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks
themselves were never discovered in any scattering experiment
Traduction
Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de
succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent
quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-
mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision
Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute
produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et
quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u
(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en
parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par
Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron
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Andreacute Michaud Page 41
Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement
nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes
quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des
Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte
eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie
qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur
est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet
pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes
eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et
positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires
Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des
eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure
collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette
somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La
diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont
lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de
lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe
qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont
deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints
eacutelectromagneacutetiquement
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
U
Y
2
0
U
2
m
2
U
U
B
E
ν (37)
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
D
Y
2
0
D
2
m
2
DD
B
E
ν (38)
Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses
au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement
eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]
Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en
relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici
pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite
par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en
translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de
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reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de
translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport
une telle orbite circulaire
24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance
La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron
dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le
premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave
une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr
mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite
fermeacutee autour du proton
Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait
cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de
leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de
stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave
veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure
Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur
de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition
nhTβ-1
β
2
22
o r
cm (n eacutetant un nombre entier) (39)
Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de
reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction
donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte
cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de
nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil
identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature
eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut
expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait
rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique
deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses
eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion
dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules
eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte
cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories
dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique
Quantique sous sa forme traditionnelle
De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de
Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave
cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec
lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa
disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui
supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique
autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute
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Andreacute Michaud Page 43
perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie
eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que
leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton
En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton
nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee
autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie
concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie
induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement
Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique
strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur
temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques
eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des
orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales
de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la
freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie
du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de
reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie
sj34E662606876λvmh BB0 (40)
ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite
de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont
le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne
entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit
leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel
que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de
fB=6579683921E15 Hz
Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette
freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier
la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir
leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb
Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble
correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler
toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie
induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute
leacutenergie du quantum soit accumuleacutee
j 18-8E435974380rε4π
ehE
Bo
2
BB f (41)
dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))
Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la
longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique
la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel
quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]
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Page 44 Andreacute Michaud
αλε2
ehνE
o
2
(42)
ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale
dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue
suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec
lEacutequation (41) est donc
m82E455633525E
hcλ
B
(43)
ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave
obtenue avec lEacutequation (41) standard
j188E435974380αλε2
ehνE
o
2
B (44)
Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer
leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition
conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats
deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et
nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de
cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet
aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est
fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires
chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout
mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif
Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs
impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de
leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant
dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera
analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes
neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la
quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction
coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont
captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre
cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique
Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est
constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie
dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir
dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee
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Andreacute Michaud Page 45
par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la
valeur obtenue sera constant
Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de
lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee
de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie
eacutelectromagneacutetique (λ)
mj25E986445441α2ε
eEλH
0
2
(45)
Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur
temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la
constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante
H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui
reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que
historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee
deacutequations eacutelectromagneacutetiques
sj34E662606876c
Hh (46)
Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut
maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit
la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la
communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de
constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement
confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics
[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)
[40]
sj34E662606876αc2ε
eh
0
2
(47)
252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique
Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-
dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais
lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante
dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)
de latome dhydrogegravene et de son noyau
La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence
[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux
maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage
dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB
au carreacute
2
o
B
22
BB mj386E122085259ε4π
rerEK
(48)
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Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene
verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux
particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie
adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau
1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le
positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et
leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave
la Reacutefeacuterence [22]
26 Gravitation
En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires
induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules
chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de
maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une
eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son
existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le
permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux
Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee
leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors
quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le
centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les
accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette
pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une
eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle
tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne
peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de
momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car
leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de
masse de la Terre [4] [16]
En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune
mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum
vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules
chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et
est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum
pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque
lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une
pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne
agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la
masse de la Terre [33]
Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de
reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que
de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat
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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir
de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au
rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables
permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps
ceacuteleste autour de lastre central
Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance
moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute
freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr
le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps
ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle
oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle
chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps
ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes
Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central
peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites
qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes
par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de
reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes
de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus
doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans
lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont
reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes
Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est
aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome
dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas
cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule
eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la
stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital
Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence
en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction
stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les
cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)
Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force
gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction
coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction
stationnaire
Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les
positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques
afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble
eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave
appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules
chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image
mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces
particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee
quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire
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de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du
concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de
particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le
Tableau 2
Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])
Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques
Nom Porteacutee
Force
laquo traditionnelle raquo
associeacutee
Attracteur
primaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave
lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron
Forte
Attracteur
secondaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints
appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons
dans un noyau
Faible
Attracteur
tertiaire
Entre chaque eacutelectron captif et chaque
positon eacutelectromagneacutetiquement contraint
dun noyau et entre chaque eacutelectron et
chaque positon eacutelectromagneacutetiquement
contraint des noyaux des autres atomes de
toute accumulation de matiegravere
Eacutelectromagneacutetique
Attracteur
temporaire
local
Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun
photon Eacutelectromagneacutetique
Attracteur temporaire
eacuteloigneacute
Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du
reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique
Attracteur quaternaire
Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du
reste de lrsquounivers
Graviteacute
Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre
plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance
daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance
caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la
structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte
Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux
datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique
aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les
atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere
correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier
niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute
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libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau
astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle
Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction
coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique
transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence
quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4
forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui
savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute
dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente
dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel
Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere
permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le
centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme
dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme
dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des
atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble
des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la
direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant
en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses
Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses
macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la
profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales
eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave
la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]
Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la
Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses
macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes
une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les
eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus
eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons
retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors
un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme
dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine
section
Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme
celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et
quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des
orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute
qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne
induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des
noyaux
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Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette
pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission
de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les
eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave
mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee
denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante
dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les
eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec
linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage
de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le
deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant
agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes
quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en
chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]
Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les
masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent
les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui
diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux
atomiques
Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction
coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une
augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe
central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique
variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des
nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]
Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que
la profondeur augmente dans les masses macroscopiques
Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire
ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne
peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules
eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances
internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x
de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces
petites masses et celles de la Terre
Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes
constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction
proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est
laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons
captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des
photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale
meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant
agrave leurs orbitales daction stationnaire
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Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation
daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la
freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience
de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps
voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps
avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion
tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du
champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee
En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons
de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la
mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement
axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation
dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les
sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs
trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace
profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur
lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les
masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en
conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel
Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de
Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres
qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne
[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient
agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur
oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ
magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques
28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees
expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en
perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de
la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant
la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit
une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les
anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de
piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]
Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un
proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action
plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a
lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes
quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees
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Page 52 Andreacute Michaud
Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos
par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de
2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-
porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]
j18-2E2179784831γcmΔKE 2
oK (49)
Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)
qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de
Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son
mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction
stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie
totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale
deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse
au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus
de stabilisation
j141875401148cmcmΔKE 2
0
2
me E (50)
Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune
quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie
j10-7E150327730cmE 2
pp (51)
Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr
0548911836
1
E
E
p
e (52)
On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de
grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la
composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par
rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele
reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en
perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de
leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus
grande
4968964481
1
E
E
p
K (53)
Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par
linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du
momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le
processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre
inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere
Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette
eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct
Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur
agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera
communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que
leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera
eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et
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Andreacute Michaud Page 53
mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de
freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere
La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de
Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin
Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas
vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de
lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-
2000 [18]
Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et
son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors
de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le
mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest
pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du
photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa
configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une
inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve
photoeacutelectrique de Einstein
La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum
ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur
lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de
son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant
son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son
volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)
Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie
eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum
unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum
complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)
La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe
dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de
jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule
transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme
dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du
photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y
pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut
ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8
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Page 54 Andreacute Michaud
La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant
inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux
champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du
proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence
darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J
vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la
quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement
qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du
photon porteur
T4692470103λα
ceπμ22
23
0 B (54)
ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout
deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs
magneacutetiques
En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de
leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome
dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable
coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la
meacutecanique actuelle deacutemission de photons
Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que
leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant
vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste
eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie
vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une
flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication
suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et
le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas
par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron
agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]
De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre
faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et
un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement
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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite
lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis
artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion
initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la
rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en
permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence
Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation
de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron
dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute
eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence
[33]
Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette
distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque
la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de
remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement
induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la
direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression
stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente
eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie
que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant
momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV
temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon
eacutelectromagneacutetique seacutepareacute
La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra
leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ
magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le
montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence
dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe
devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]
Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y
eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se
deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges
opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la
valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le
proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de
leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la
part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue
par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne
Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui
fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit
de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que
leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave
saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe
de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous
forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des
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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau
macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d
La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton
comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie
ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique
incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La
reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience
que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que
linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de
leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis
et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce
processus de freinage si bref
Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de
lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers
lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum
qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du
reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-
quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par
deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet
leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller
transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi
loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se
deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]
Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la
seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet
momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la
vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre
compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du
photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave
lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale
des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de
la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute
totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement
invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton [4]
29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques
Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la
massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-
eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee
par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant
adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK
nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui
interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais
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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du
proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale
dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que
deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum
ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression
momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs
eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie
transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de
2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de
Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du
systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur
vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut
maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-
porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
le permettra [52]
Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en
conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee
plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos
eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou
agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme
eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par
accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18
j
Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et
documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent
document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui
permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons
eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de
leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article
30 Conclusion
Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie
eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de
concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme
si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait
dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne
La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de
Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la
deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin
complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit
une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus
deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit
preacuteceacutedemment
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Page 58 Andreacute Michaud
Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une
conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies
anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux
expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les
eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un
ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par
Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz
Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations
eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees
provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire
Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique
quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident
geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant
donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision
cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants
magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013
pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]
Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des
eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]
Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet
dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques
denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave
lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du
comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
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Autres articles dans le mecircme projet
Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique
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Page 6 Andreacute Michaud
distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi
agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome
dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons
eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au
mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres
particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave
linteacuterieur de la structure du proton et du neutron
Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau
subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au
repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument
suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique
contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement
possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la
granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une
granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est
inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des
particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique
sont les suivants
1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere
quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir
Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])
2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons
possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience
photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la
moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de
la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses
solaires [3] [11]
3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons
eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-
positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se
reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de
nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse
invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance
eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve
expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le
seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons
eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans
quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]
4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons
en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et
une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C
5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des
particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux
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de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des
systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])
Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement
nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par
ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave
partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement
des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes
soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par
les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux
en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des
changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau
atomique
Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de
leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee
lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules
infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets
qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants
microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les
cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long
de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous
prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre
[14]
Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour
que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune
intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des
atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi
que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui
peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes
seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium
Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie
eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la
traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis
pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau
subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)
mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations
eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une
onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une
harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier
chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation
tireacutee de ses Lectures on Physics [15]
There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are
not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen
electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain
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Traduction
Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne
sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement
associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique
Quantique ces difficulteacutes demeurent
Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent
matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure
granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue
uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie
des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier
deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne
de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la
structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des
neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement
eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique
transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute
matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos
Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure
eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de
Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau
subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de
reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau
subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique
3 Deux perceacutees majeures reacutecentes
Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure
interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique
qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne
semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de
Minkowski [17]
la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie
deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave
limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans
le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-
temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de
ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur
aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p
273)
Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure
eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec
les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires
stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau
subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de
Maxwell
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Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective
lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales
recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute
expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de
la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale
4 La premiegravere perceacutee majeure
Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de
lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects
fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau
subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun
agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation
stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de
cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est
perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par
ces deux champs (voir Figure 1)
La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant
de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut
formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de
Saint-Peacutetersbourg [18]
Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la
Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave
augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k
(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D
pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme
eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux
autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun
Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale
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Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au
centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la
substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des
vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale
stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux
espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-
quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-
transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui
reacuteside dans lespace-X
Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique
trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles
de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3
parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre
eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire
matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant
chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3
espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes
orthogonaux internes reacutesultants
5 La deuxiegraveme perceacutee majeure
Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul
Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre
laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui
permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui
augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ
magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de
leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article
publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de
Kazan [20]
Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees
constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne
dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une
eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de
maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee
pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]
ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin
Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes
les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules
complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et
autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules
eacuteleacutementaires [24]
Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des
atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons
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Andreacute Michaud Page 11
eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions
destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que
sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des
seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou
lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees
eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]
Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de
larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement
sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa
deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement
deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre
directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre
article reacutecemment publieacute [4]
Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese
personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la
premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une
deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir
de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave
leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun
doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique
geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les
eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi
du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser
directement dans son article original
LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees
auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie
de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee
autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique
transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de
leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement
mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable
avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise
en eacutevidence plus loin
Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable
agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation
relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le
champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est
constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce
fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de
mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective
par Marmet au deacutebut de son article [19]
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Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis
Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui
seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie
Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du
champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle
geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant
omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute
de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans
lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme
charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept
ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter
sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de
Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et
matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee
exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement
qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration
perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation
qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui
soutient son mouvement dans lespace
Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme
rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de
laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut
donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons
dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart
Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron
en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste
ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son
champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette
derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable
avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc
2 - moc
2) car il est physiquement
et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux
directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une
de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de
laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ
magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee
Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave
mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune
seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute
deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie
du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux
quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee
que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors
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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la
veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov
22 + (γmoc
2 -
moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique
quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de
Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la
distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement
et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees
les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement
Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie
doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ
magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme
geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de
cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour
obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en
mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin
6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte
Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a
initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information
qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait
consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale
deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord
ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-
quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]
associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse
transversale mesurable
7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein
En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil
reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes
lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant
cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique
fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une
traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la
diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb
ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons
comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par
linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre
deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait
pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement
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diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten
(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du
deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de
lintroduction de la RR faisait rage
Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le
momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie
cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans
les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont
pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique
fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement
en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont
toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et
certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de
1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz
Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre
vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de
consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions
traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des
connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction
En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par
lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave
eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force
de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y
est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en
ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie
pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte
lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou
alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la
distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des
charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de
leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant
eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules
chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique
qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique
classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme
des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement
par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la
communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui
Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir
de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier
du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet
maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue
en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=
e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance
entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e
24πεod
2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique
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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse
simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil
semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui
entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce
moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir
Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et
qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment
Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la
RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et
aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la
Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de
lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement
causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de
Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules
eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron
selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse
classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de
particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective
plus loin
Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de
Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept
daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en
RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum
augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration
inertielle
8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le
demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale
mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee
du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement
ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant
dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second
point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la
vitesse
Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute
Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute
Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par
leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction
coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne
laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement
Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-
quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de
Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune
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harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse
ecirctre reacutealiseacutee
9 Les Principes axiomatiques absolus
Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les
concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient
permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu
ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee
pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de
points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la
nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir
des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences
consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le
Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction
stationnaire et de moindre action etc
La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de
conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas
activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme
dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien
compris lorsquil fut initialement formuleacute
En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances
permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous
pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant
quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat
apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement
dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction
stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]
Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des
trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]
[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel
eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de
nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les
masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial
qui eacutetait le leur avant leur lancement
En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune
hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des
eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur
astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule
maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de
ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant
une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera
examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit
les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement
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Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un
cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere
deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement
associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif
et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour
tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle
sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ
eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide
Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance
en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee
au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de
Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un
momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique
et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort
consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un
mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule
eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et
quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de
mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement
seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une
eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une
forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de
force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur
pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression
interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de
lexpression trompeuse force de Coulomb
Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que
quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la
physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant
suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes
axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme
dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui
savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de
linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de
Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction
adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant
correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une
interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement
10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus
Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables
observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont
constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 18 Andreacute Michaud
confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et
processus
Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au
moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon
classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de
nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la
masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]
Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute
magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-
composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune
rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction
[39]
Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces
termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus
auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels
comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple
11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule
eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement
en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres
permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du
quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du
champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui
est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons
eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie
eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau
macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell
12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)
En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave
confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique
transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un
fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]
Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences
effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun
eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire
demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un
seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de
Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable
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Andreacute Michaud Page 19
transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation
de son champ magneacutetique transversal
Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit
directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est
aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par
analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au
repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement
2
M
r
1
8π
eμ e
e
2
0
(M-24)
Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron
ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en
correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi
que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation
(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)
Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)
dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique
rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant
perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article
[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute
graphiquement comme se deacuteplaccedilant
2
0
r
ud sd
4π
Iμd
B (M-1)
Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire
invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q
de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere
dt
)d(Ne
dt
dQI
-
(M-2)
Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure
constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv
puisque dt
dxv donc
v
dxdt (M-3)
En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par
sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint
dx
)vd(Ne
dt
d(Ne)I
-
(M-4)
Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart
dx)θsin(r4π
Iμd
2
0B (M-5)
En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-
4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte
sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition
puisque le courant demeure constant
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Page 20 Andreacute Michaud
)(Ned)θsin(r4π
vμdx)θsin(
dx
)vd(Ne
r4π
μdx)θsin(
r4π
Iμd -
2
0
-
2
0
2
0 B (M-5a)
En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant
maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus
decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant
que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute
)(Ned)θsin(r4π
vμd -
2
0B (M-6)
13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur
Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence
sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte
dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce
qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant
Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π
veμNd -
2
-
0iB (M-7)
Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant
les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer
pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est
absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous
allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de
sa deacuterivation
Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)
Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux
variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure
ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la
distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et
spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre
conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation
cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ
magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation
correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)
Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)
puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e
-) ce qui
constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de
lrsquoEacutequation (M-7)
)(ed)θsin(r4π
vμd -
2
0iB (M-6a)
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Andreacute Michaud Page 21
Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer
conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de
distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette
distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc
maintenant
)d(er4π
vμd -
2
0iB (M-6b)
Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le
calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux
occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons
agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)
-
2
0 er4π
vμiB (M-6c)
qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation
conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)
Eacutequation (M-7) correcte 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ
magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique
stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du
champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron
centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute
par lEacutequation (M-7)
Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie
trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le
flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement
propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement
ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue
lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant
physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron
Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment
stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil
meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des
eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant
donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute
les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de
saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation
triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de
leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule
eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques
individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction
transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique
macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur
dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et
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cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut
rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul
eacutelectron
Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins
magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui
fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir
mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique
macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la
Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables
macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme
processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie
des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes
Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer
lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite
agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique
massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa
masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite
dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne
La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par
leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au
deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]
magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)
15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet
La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)
concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des
particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz
16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz
Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de
vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2
semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale
eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal
qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons
plus loin que ce nest pas le cas
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour
repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron
2
2
e
2
2
e
2
0cv
c
v
2
m
c
v
r8π
eμm (1)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 23
Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ
magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio
v2c
2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient
neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de
la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce
qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos
invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel
que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par
leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure
eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut
preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie
(Figure 3)
2
M
r
1
8π
eμ
c
v
r
1
8π
eμM e
e
2
0
2
2
e
2
00vuee_magneacutetiq
(M-24)
LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du
champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie
croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui
sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec
lEacutequation (M-24)
2
0cv
r4π
veμ B (2)
Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des
repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction
du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une
vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du
momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-
18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la
Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome
drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement
correct de masse relativiste
kg355E242533771
cr8π
1218764756eμ
cr8π
veμm
2
e
22
0
2
e
22
0m (3)
A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il
faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme
vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de
lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme
valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique
de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron
Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition
eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste
un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut
quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c
2 c eacutetant invariant et v
pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute
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preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique
transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre
vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement
proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron
(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite
de 409355207E-14 j)
Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute
invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique
intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique
de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer
leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de
Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente
toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-
magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de
leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute
totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la
masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de
masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2
Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette
somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur
gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de
calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)
Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec
leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit
leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de
leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus
leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par
structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc
2
K2E
KK4Ecv
2
(4)
Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des
eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes
de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees
C
2
CC
λ2λ
λλ4λcv
(5)
A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis
leacutelaboration de ces eacutequations
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Andreacute Michaud Page 25
17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)
Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le
rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de
lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ
magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la
deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par
lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee
transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB
mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette
augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique
constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron
409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement
eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation
entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec
leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron
Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute
deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de
Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration
spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2
=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est
obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure
fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]
m155E2817940282π
αλr Ce (6)
Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)
devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de
lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde
eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c
mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de
de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est
(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique
Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave
linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans
lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]
m11E29177208352π
λ
2π
λr B
Br (7)
Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude
transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en
multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y
a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave
lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin
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Page 26 Andreacute Michaud
atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet
maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient
mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal
invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique
correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec
lEacutequation (2)
T0405235047
113E529177208α4π
1218764756eμ
rα4π
veμ2
0
2
B
0
B (8)
Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee
que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant
une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale
serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence
Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable
comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la
avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut
eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que
cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir
lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal
Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de
leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable
soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ
magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)
sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et
nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)
T7346235051
86E455633525α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
23
0
B (9)
Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation
geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de
lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique
transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de
Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie
strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil
La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant
lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de
lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse
dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer
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Andreacute Michaud Page 27
18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse
Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer
lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa
version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire
lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de
linduction deacutenergie dans un eacutelectron
Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que
leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en
anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette
eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle
constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment
cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique
classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave
laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite
Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est
aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est
deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte
aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique
correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un
corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute
Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car
nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave
des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle
lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]
Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de
leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de
leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante
e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui
induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules
chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui
les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par
rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de
leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule
Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme
des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment
reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique
en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement
mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute
expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui
fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute
deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute
preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse
limite de la lumiegravere
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En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques
pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont
typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la
Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement
fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons
maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales
19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11
Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour
dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons
sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer
laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui
sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ
magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte
Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace
ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses
approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que
mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs
trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de
vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000
kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par
fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne
Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le
lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees
qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant
anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des
phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde
gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute
astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces
trajectoires est incapable den rendre compte
Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme
solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement
de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus
faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr
vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre
expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))
Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles
de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie
systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles
eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre
deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]
[37] [38]
Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande
publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne
que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute
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Andreacute Michaud Page 29
astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des
anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998
telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation
systeacutematique dorigine inconnue
Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec
les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses
typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal
deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces
deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie
transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette
derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les
paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation
Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de
Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement
j5E102658722731v-c
cmcΔK
22
2
(10)
Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour
Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de
kg78228E952c
ΔKΔm
2m (11)
Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour
expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de
ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la
proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse
au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent
initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de
masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele
et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la
Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du
temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne
tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont
faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des
masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin
20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui
est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme
densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne
neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du
quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron
Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le
champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en
mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui
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repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en
utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de
structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette
eacutenergie
T1E1382890002212-5E242631021α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
2
C
3
0
e B (12)
Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide
quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui
pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la
densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par
exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne
comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales
Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien
connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse
relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes
deacutegales intensiteacutes
B
Ev (13)
La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en
additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de
la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)
pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de
Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne
invariant Be de la masse au repos de leacutelectron
T6E13828900024
λλ
λλ
α
ceπμ
λα
ceπμ
λα
ceπμ2
C
2
2
C
2
3
0
23
0
2
C
3
0e
BBB (14)
Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun
champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation
geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave
une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut
analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui
geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou
deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les
structures atomiques
λλdr
λE
αε2
e
α
2πe
ε4π
10
2πα
e
ε4π
1
o
22
o a 2
2
o0
(15)
Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout
quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la
constante de Planck
αλε2
ehE
o
2
f (16)
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Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de
forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration
fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que
linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force
classiques
Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc
eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde
longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser
avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)
NC673727E130467λαε
πe23
0
E (17)
Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au
repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron
Compton comme suit
NC4E10602933175λαε
πe2
C
3
0
e E (18)
Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la
vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple
addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique
ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE
des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique
qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ
monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute
agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave
la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =
4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron
(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante
NCE208133411211
λ2λλλ
λ4λλλλ
αε
πe
C
2
C
2
CC
2
C
2
3
0
E (19)
Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le
champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas
contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local
ms56621876476E13828900024
1E20181334112v
B
E (20)
Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE
avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement
qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos
invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement
lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la
vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle
leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la
Reacutefeacuterence [32]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 32 Andreacute Michaud
21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos
Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de
Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse
au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son
increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie
adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique
interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans
les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute
graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la
composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee
transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement
doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son
champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique
Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse
de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent
les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie
eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour
conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]
Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere
permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que
formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon
eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute
selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent
mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]
t)(ωsin
2
iL t)(ωcos
2C
e
2λ
hcE 2
2
λλ2
λ
2
(21)
ougrave
λ
2
(max)2C
eE E
et 2
iLE
2
λλ(max) B
(22)
et
αλ2εC 0λ 8π
αλμL
2
0λ
αλ
ec2πiλ (23)
La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des
champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement
aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees
avec les Eacutequations (22)
23
0 λαε
πeE 23
0
λα
πecμB (24)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 33
et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute
maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement
2
35
2π
λαV (25)
ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence
[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui
confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie
porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit
la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee
transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie
transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum
Vt)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
2λ
hcE 2
0
22
2
0
BE (26)
22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives
Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933
[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-
produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se
transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon
dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de
leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute
speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme
de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale
associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait
seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]
Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue
entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave
leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges
opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste
et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet
de construire leacutequation de la maniegravere suivante
2
0
2
m
1o
2
2λ
1
λ
1cmcΔmΔK2
λ
1
αε2
eE
C1
(27)
dans laquelle
2o
22
mλ
1
αε2
ecΔmΔK ougrave
C12 2λ
1
λ
1
2
1
λ
1 (28)
Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de
leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en
cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie
reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 34 Andreacute Michaud
invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre
les deux particules maintenant seacutepareacutees
Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford
(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons
eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau
impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires
eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave
proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur
lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]
Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces
vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel
des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel
plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une
meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou
plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en
leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des
masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit
leacutequation suivante
V
t)(ωsin K2μ
t)(ωcos)jJjJ(4
ε2
iI2λ
hciIE
2
Z0
2
2
Y
2
0
X
B
E
(29)
se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure
eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
me0
KB
jIjI
iJE
0
ν
(30)
et
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
mp
ν
0
KB
jIjI
iJE
0 (31)
dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique
maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute
lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre
constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une
oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation
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Andreacute Michaud Page 35
entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-
porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]
3
2
3
C
5
m m477E1497393262π
λαV et
2
C
3
0 λαε
eπν (32)
Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere
fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse
de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope
stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la
Reacutefeacuterence [20]
Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus
leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant
invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC
du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les
deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et
deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la
vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec
lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]
C
CC
λ2λ
λ4λλcv
ou
K2E
K4EKcv
2
(33)
Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur
donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au
repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du
photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse
de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de
Broglie [32] [3]
Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon
car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple
en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume
isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie
nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron
qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque
j148E4093552062π
λα
μ2λα
ceπμV
2μ 2
3
C
5
0
2
2
C
3
0m
0
2
B (34)
23 Construction de particules complexes stables
Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts
de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont
typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la
communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en
raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement
eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus
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Page 36 Andreacute Michaud
petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue
tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]
Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont
aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que
leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre
eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps
ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction
stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des
particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par
rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-
destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)
Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions
mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-
dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence
infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux
eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement
frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions
frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes
hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)
Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible
Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors
dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons
eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules
complexes comme le proton et le neutron
Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des
eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave
ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee
(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves
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Andreacute Michaud Page 37
avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure
5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest
quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale
pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours
(Figures 5-b)
Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et
collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-
ponctuel
Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction
frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les
protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de
positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique
permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel
quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable
dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre
observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]
Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la
conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron
[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites
dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites
planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace
soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement
eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon
Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce
volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand
acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie
dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al
[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants
chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations
des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge
eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une
charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons
ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-
composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)
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Page 38 Andreacute Michaud
Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives
De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et
expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants
chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-
composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants
chargeacutes positivement [22] [25]
Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement
confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au
fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-
ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et
positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent
ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et
confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des
nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges
seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des
positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la
nature dispose pour construire les nucleacuteons
Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants
nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge
fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent
naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils
eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des
structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]
La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes
preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons
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Andreacute Michaud Page 39
correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence
de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement
estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui
peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie
agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]
soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la
seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee
pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]
2
0
eudicαn
3e
a
km
(n=1 2 3) (35)
ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la
lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale
eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de
Coulomb
8E9898755178ε4π
1k
o
(36)
En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages
expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer
cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc
2 pour la
sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux
distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe
coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de
lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]
Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la
mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la
masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient
effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour
de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces
deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance
Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie
matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee
confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et
eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent
respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas
encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et
eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des
interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures
Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres
particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par
collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees
up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee
par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de
reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant
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Page 40 Andreacute Michaud
les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach
et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee
Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave
laide de lEacutequation (35)
Masse au repos Eacutenergie Charge Ref
Eacutelectron ou positon en
mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV
plusmn1=
1602176462E-19 C [21]
Positon
eacutelectromagneacutetiquement
contraint
1 dans le neutron
2 dans le proton
2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=
1068117641E-19 C [22]
Eacutelectron
Eacutelectromagneacutetiquement
contraint
2 dans le neutron
1 dans le proton
8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=
5340588207E-20 C [22]
La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur
concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un
physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son
libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par
Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu
compte
Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The
theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far
beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks
themselves were never discovered in any scattering experiment
Traduction
Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de
succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent
quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-
mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision
Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute
produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et
quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u
(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en
parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par
Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron
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Andreacute Michaud Page 41
Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement
nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes
quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des
Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte
eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie
qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur
est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet
pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes
eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et
positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires
Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des
eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure
collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette
somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La
diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont
lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de
lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe
qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont
deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints
eacutelectromagneacutetiquement
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
U
Y
2
0
U
2
m
2
U
U
B
E
ν (37)
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
D
Y
2
0
D
2
m
2
DD
B
E
ν (38)
Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses
au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement
eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]
Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en
relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici
pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite
par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en
translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de
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Page 42 Andreacute Michaud
reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de
translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport
une telle orbite circulaire
24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance
La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron
dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le
premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave
une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr
mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite
fermeacutee autour du proton
Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait
cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de
leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de
stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave
veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure
Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur
de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition
nhTβ-1
β
2
22
o r
cm (n eacutetant un nombre entier) (39)
Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de
reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction
donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte
cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de
nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil
identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature
eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut
expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait
rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique
deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses
eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion
dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules
eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte
cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories
dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique
Quantique sous sa forme traditionnelle
De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de
Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave
cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec
lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa
disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui
supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique
autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute
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Andreacute Michaud Page 43
perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie
eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que
leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton
En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton
nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee
autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie
concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie
induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement
Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique
strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur
temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques
eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des
orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales
de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la
freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie
du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de
reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie
sj34E662606876λvmh BB0 (40)
ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite
de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont
le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne
entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit
leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel
que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de
fB=6579683921E15 Hz
Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette
freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier
la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir
leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb
Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble
correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler
toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie
induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute
leacutenergie du quantum soit accumuleacutee
j 18-8E435974380rε4π
ehE
Bo
2
BB f (41)
dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))
Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la
longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique
la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel
quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]
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Page 44 Andreacute Michaud
αλε2
ehνE
o
2
(42)
ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale
dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue
suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec
lEacutequation (41) est donc
m82E455633525E
hcλ
B
(43)
ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave
obtenue avec lEacutequation (41) standard
j188E435974380αλε2
ehνE
o
2
B (44)
Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer
leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition
conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats
deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et
nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de
cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet
aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est
fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires
chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout
mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif
Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs
impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de
leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant
dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera
analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes
neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la
quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction
coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont
captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre
cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique
Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est
constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie
dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir
dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee
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Andreacute Michaud Page 45
par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la
valeur obtenue sera constant
Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de
lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee
de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie
eacutelectromagneacutetique (λ)
mj25E986445441α2ε
eEλH
0
2
(45)
Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur
temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la
constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante
H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui
reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que
historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee
deacutequations eacutelectromagneacutetiques
sj34E662606876c
Hh (46)
Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut
maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit
la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la
communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de
constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement
confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics
[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)
[40]
sj34E662606876αc2ε
eh
0
2
(47)
252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique
Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-
dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais
lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante
dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)
de latome dhydrogegravene et de son noyau
La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence
[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux
maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage
dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB
au carreacute
2
o
B
22
BB mj386E122085259ε4π
rerEK
(48)
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Page 46 Andreacute Michaud
Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene
verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux
particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie
adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau
1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le
positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et
leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave
la Reacutefeacuterence [22]
26 Gravitation
En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires
induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules
chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de
maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une
eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son
existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le
permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux
Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee
leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors
quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le
centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les
accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette
pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une
eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle
tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne
peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de
momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car
leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de
masse de la Terre [4] [16]
En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune
mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum
vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules
chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et
est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum
pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque
lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une
pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne
agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la
masse de la Terre [33]
Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de
reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que
de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat
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Andreacute Michaud Page 47
de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir
de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au
rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables
permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps
ceacuteleste autour de lastre central
Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance
moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute
freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr
le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps
ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle
oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle
chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps
ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes
Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central
peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites
qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes
par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de
reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes
de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus
doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans
lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont
reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes
Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est
aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome
dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas
cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule
eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la
stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital
Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence
en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction
stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les
cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)
Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force
gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction
coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction
stationnaire
Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les
positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques
afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble
eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave
appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules
chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image
mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces
particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee
quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire
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de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du
concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de
particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le
Tableau 2
Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])
Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques
Nom Porteacutee
Force
laquo traditionnelle raquo
associeacutee
Attracteur
primaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave
lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron
Forte
Attracteur
secondaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints
appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons
dans un noyau
Faible
Attracteur
tertiaire
Entre chaque eacutelectron captif et chaque
positon eacutelectromagneacutetiquement contraint
dun noyau et entre chaque eacutelectron et
chaque positon eacutelectromagneacutetiquement
contraint des noyaux des autres atomes de
toute accumulation de matiegravere
Eacutelectromagneacutetique
Attracteur
temporaire
local
Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun
photon Eacutelectromagneacutetique
Attracteur temporaire
eacuteloigneacute
Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du
reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique
Attracteur quaternaire
Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du
reste de lrsquounivers
Graviteacute
Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre
plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance
daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance
caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la
structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte
Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux
datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique
aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les
atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere
correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier
niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute
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Andreacute Michaud Page 49
libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau
astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle
Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction
coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique
transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence
quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4
forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui
savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute
dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente
dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel
Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere
permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le
centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme
dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme
dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des
atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble
des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la
direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant
en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses
Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses
macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la
profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales
eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave
la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]
Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la
Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses
macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes
une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les
eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus
eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons
retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors
un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme
dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine
section
Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme
celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et
quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des
orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute
qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne
induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des
noyaux
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Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette
pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission
de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les
eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave
mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee
denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante
dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les
eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec
linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage
de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le
deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant
agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes
quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en
chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]
Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les
masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent
les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui
diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux
atomiques
Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction
coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une
augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe
central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique
variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des
nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]
Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que
la profondeur augmente dans les masses macroscopiques
Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire
ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne
peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules
eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances
internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x
de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces
petites masses et celles de la Terre
Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes
constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction
proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est
laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons
captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des
photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale
meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant
agrave leurs orbitales daction stationnaire
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Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation
daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la
freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience
de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps
voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps
avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion
tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du
champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee
En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons
de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la
mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement
axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation
dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les
sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs
trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace
profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur
lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les
masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en
conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel
Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de
Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres
qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne
[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient
agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur
oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ
magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques
28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees
expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en
perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de
la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant
la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit
une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les
anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de
piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]
Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un
proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action
plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a
lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes
quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees
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Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos
par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de
2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-
porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]
j18-2E2179784831γcmΔKE 2
oK (49)
Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)
qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de
Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son
mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction
stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie
totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale
deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse
au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus
de stabilisation
j141875401148cmcmΔKE 2
0
2
me E (50)
Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune
quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie
j10-7E150327730cmE 2
pp (51)
Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr
0548911836
1
E
E
p
e (52)
On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de
grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la
composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par
rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele
reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en
perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de
leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus
grande
4968964481
1
E
E
p
K (53)
Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par
linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du
momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le
processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre
inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere
Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette
eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct
Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur
agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera
communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que
leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera
eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et
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mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de
freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere
La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de
Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin
Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas
vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de
lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-
2000 [18]
Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et
son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors
de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le
mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest
pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du
photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa
configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une
inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve
photoeacutelectrique de Einstein
La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum
ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur
lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de
son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant
son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son
volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)
Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie
eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum
unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum
complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)
La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe
dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de
jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule
transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme
dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du
photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y
pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut
ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8
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La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant
inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux
champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du
proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence
darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J
vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la
quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement
qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du
photon porteur
T4692470103λα
ceπμ22
23
0 B (54)
ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout
deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs
magneacutetiques
En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de
leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome
dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable
coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la
meacutecanique actuelle deacutemission de photons
Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que
leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant
vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste
eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie
vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une
flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication
suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et
le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas
par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron
agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]
De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre
faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et
un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement
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Andreacute Michaud Page 55
compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite
lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis
artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion
initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la
rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en
permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence
Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation
de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron
dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute
eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence
[33]
Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette
distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque
la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de
remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement
induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la
direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression
stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente
eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie
que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant
momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV
temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon
eacutelectromagneacutetique seacutepareacute
La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra
leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ
magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le
montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence
dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe
devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]
Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y
eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se
deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges
opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la
valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le
proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de
leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la
part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue
par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne
Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui
fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit
de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que
leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave
saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe
de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous
forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des
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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau
macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d
La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton
comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie
ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique
incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La
reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience
que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que
linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de
leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis
et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce
processus de freinage si bref
Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de
lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers
lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum
qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du
reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-
quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par
deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet
leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller
transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi
loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se
deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]
Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la
seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet
momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la
vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre
compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du
photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave
lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale
des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de
la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute
totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement
invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton [4]
29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques
Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la
massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-
eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee
par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant
adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK
nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui
interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais
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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du
proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale
dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que
deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum
ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression
momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs
eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie
transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de
2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de
Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du
systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur
vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut
maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-
porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
le permettra [52]
Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en
conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee
plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos
eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou
agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme
eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par
accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18
j
Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et
documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent
document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui
permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons
eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de
leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article
30 Conclusion
Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie
eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de
concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme
si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait
dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne
La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de
Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la
deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin
complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit
une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus
deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit
preacuteceacutedemment
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Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une
conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies
anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux
expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les
eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un
ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par
Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz
Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations
eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees
provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire
Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique
quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident
geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant
donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision
cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants
magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013
pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]
Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des
eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]
Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet
dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques
denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave
lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du
comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
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L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
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qQo2OMX_XYURkzBSUZCrxM8VipvnG8FofxB39P4lc-1UIKEO1
Autres articles dans le mecircme projet
Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique
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de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des
systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])
Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement
nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par
ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave
partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement
des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes
soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par
les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux
en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des
changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau
atomique
Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de
leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee
lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules
infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets
qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants
microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les
cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long
de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous
prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre
[14]
Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour
que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune
intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des
atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi
que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui
peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes
seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium
Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie
eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la
traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis
pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau
subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)
mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations
eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une
onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une
harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier
chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation
tireacutee de ses Lectures on Physics [15]
There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are
not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen
electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain
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Traduction
Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne
sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement
associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique
Quantique ces difficulteacutes demeurent
Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent
matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure
granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue
uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie
des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier
deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne
de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la
structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des
neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement
eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique
transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute
matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos
Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure
eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de
Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau
subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de
reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau
subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique
3 Deux perceacutees majeures reacutecentes
Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure
interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique
qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne
semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de
Minkowski [17]
la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie
deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave
limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans
le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-
temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de
ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur
aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p
273)
Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure
eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec
les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires
stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau
subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de
Maxwell
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Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective
lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales
recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute
expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de
la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale
4 La premiegravere perceacutee majeure
Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de
lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects
fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau
subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun
agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation
stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de
cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est
perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par
ces deux champs (voir Figure 1)
La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant
de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut
formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de
Saint-Peacutetersbourg [18]
Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la
Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave
augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k
(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D
pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme
eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux
autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun
Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale
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Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au
centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la
substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des
vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale
stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux
espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-
quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-
transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui
reacuteside dans lespace-X
Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique
trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles
de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3
parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre
eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire
matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant
chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3
espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes
orthogonaux internes reacutesultants
5 La deuxiegraveme perceacutee majeure
Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul
Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre
laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui
permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui
augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ
magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de
leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article
publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de
Kazan [20]
Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees
constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne
dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une
eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de
maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee
pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]
ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin
Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes
les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules
complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et
autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules
eacuteleacutementaires [24]
Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des
atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons
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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions
destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que
sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des
seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou
lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees
eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]
Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de
larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement
sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa
deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement
deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre
directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre
article reacutecemment publieacute [4]
Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese
personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la
premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une
deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir
de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave
leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun
doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique
geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les
eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi
du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser
directement dans son article original
LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees
auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie
de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee
autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique
transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de
leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement
mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable
avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise
en eacutevidence plus loin
Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable
agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation
relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le
champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est
constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce
fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de
mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective
par Marmet au deacutebut de son article [19]
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Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis
Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui
seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie
Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du
champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle
geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant
omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute
de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans
lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme
charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept
ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter
sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de
Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et
matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee
exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement
qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration
perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation
qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui
soutient son mouvement dans lespace
Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme
rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de
laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut
donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons
dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart
Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron
en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste
ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son
champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette
derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable
avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc
2 - moc
2) car il est physiquement
et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux
directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une
de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de
laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ
magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee
Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave
mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune
seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute
deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie
du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux
quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee
que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors
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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la
veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov
22 + (γmoc
2 -
moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique
quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de
Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la
distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement
et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees
les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement
Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie
doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ
magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme
geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de
cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour
obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en
mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin
6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte
Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a
initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information
qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait
consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale
deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord
ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-
quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]
associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse
transversale mesurable
7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein
En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil
reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes
lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant
cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique
fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une
traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la
diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb
ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons
comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par
linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre
deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait
pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement
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diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten
(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du
deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de
lintroduction de la RR faisait rage
Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le
momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie
cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans
les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont
pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique
fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement
en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont
toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et
certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de
1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz
Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre
vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de
consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions
traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des
connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction
En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par
lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave
eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force
de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y
est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en
ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie
pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte
lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou
alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la
distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des
charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de
leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant
eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules
chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique
qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique
classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme
des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement
par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la
communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui
Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir
de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier
du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet
maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue
en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=
e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance
entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e
24πεod
2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique
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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse
simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil
semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui
entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce
moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir
Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et
qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment
Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la
RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et
aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la
Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de
lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement
causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de
Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules
eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron
selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse
classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de
particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective
plus loin
Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de
Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept
daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en
RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum
augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration
inertielle
8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le
demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale
mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee
du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement
ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant
dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second
point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la
vitesse
Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute
Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute
Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par
leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction
coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne
laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement
Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-
quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de
Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune
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harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse
ecirctre reacutealiseacutee
9 Les Principes axiomatiques absolus
Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les
concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient
permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu
ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee
pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de
points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la
nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir
des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences
consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le
Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction
stationnaire et de moindre action etc
La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de
conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas
activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme
dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien
compris lorsquil fut initialement formuleacute
En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances
permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous
pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant
quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat
apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement
dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction
stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]
Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des
trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]
[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel
eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de
nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les
masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial
qui eacutetait le leur avant leur lancement
En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune
hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des
eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur
astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule
maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de
ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant
une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera
examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit
les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement
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Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un
cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere
deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement
associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif
et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour
tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle
sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ
eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide
Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance
en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee
au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de
Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un
momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique
et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort
consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un
mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule
eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et
quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de
mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement
seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une
eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une
forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de
force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur
pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression
interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de
lexpression trompeuse force de Coulomb
Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que
quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la
physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant
suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes
axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme
dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui
savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de
linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de
Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction
adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant
correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une
interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement
10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus
Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables
observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont
constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la
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confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et
processus
Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au
moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon
classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de
nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la
masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]
Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute
magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-
composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune
rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction
[39]
Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces
termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus
auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels
comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple
11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule
eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement
en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres
permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du
quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du
champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui
est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons
eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie
eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau
macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell
12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)
En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave
confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique
transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un
fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]
Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences
effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun
eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire
demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un
seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de
Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable
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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation
de son champ magneacutetique transversal
Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit
directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est
aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par
analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au
repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement
2
M
r
1
8π
eμ e
e
2
0
(M-24)
Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron
ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en
correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi
que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation
(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)
Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)
dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique
rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant
perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article
[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute
graphiquement comme se deacuteplaccedilant
2
0
r
ud sd
4π
Iμd
B (M-1)
Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire
invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q
de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere
dt
)d(Ne
dt
dQI
-
(M-2)
Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure
constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv
puisque dt
dxv donc
v
dxdt (M-3)
En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par
sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint
dx
)vd(Ne
dt
d(Ne)I
-
(M-4)
Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart
dx)θsin(r4π
Iμd
2
0B (M-5)
En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-
4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte
sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition
puisque le courant demeure constant
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)(Ned)θsin(r4π
vμdx)θsin(
dx
)vd(Ne
r4π
μdx)θsin(
r4π
Iμd -
2
0
-
2
0
2
0 B (M-5a)
En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant
maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus
decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant
que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute
)(Ned)θsin(r4π
vμd -
2
0B (M-6)
13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur
Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence
sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte
dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce
qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant
Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π
veμNd -
2
-
0iB (M-7)
Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant
les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer
pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est
absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous
allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de
sa deacuterivation
Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)
Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux
variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure
ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la
distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et
spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre
conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation
cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ
magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation
correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)
Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)
puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e
-) ce qui
constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de
lrsquoEacutequation (M-7)
)(ed)θsin(r4π
vμd -
2
0iB (M-6a)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 21
Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer
conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de
distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette
distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc
maintenant
)d(er4π
vμd -
2
0iB (M-6b)
Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le
calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux
occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons
agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)
-
2
0 er4π
vμiB (M-6c)
qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation
conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)
Eacutequation (M-7) correcte 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ
magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique
stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du
champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron
centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute
par lEacutequation (M-7)
Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie
trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le
flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement
propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement
ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue
lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant
physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron
Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment
stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil
meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des
eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant
donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute
les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de
saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation
triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de
leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule
eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques
individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction
transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique
macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur
dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et
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Page 22 Andreacute Michaud
cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut
rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul
eacutelectron
Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins
magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui
fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir
mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique
macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la
Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables
macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme
processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie
des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes
Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer
lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite
agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique
massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa
masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite
dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne
La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par
leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au
deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]
magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)
15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet
La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)
concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des
particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz
16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz
Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de
vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2
semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale
eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal
qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons
plus loin que ce nest pas le cas
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour
repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron
2
2
e
2
2
e
2
0cv
c
v
2
m
c
v
r8π
eμm (1)
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Andreacute Michaud Page 23
Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ
magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio
v2c
2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient
neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de
la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce
qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos
invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel
que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par
leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure
eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut
preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie
(Figure 3)
2
M
r
1
8π
eμ
c
v
r
1
8π
eμM e
e
2
0
2
2
e
2
00vuee_magneacutetiq
(M-24)
LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du
champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie
croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui
sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec
lEacutequation (M-24)
2
0cv
r4π
veμ B (2)
Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des
repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction
du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une
vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du
momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-
18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la
Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome
drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement
correct de masse relativiste
kg355E242533771
cr8π
1218764756eμ
cr8π
veμm
2
e
22
0
2
e
22
0m (3)
A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il
faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme
vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de
lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme
valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique
de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron
Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition
eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste
un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut
quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c
2 c eacutetant invariant et v
pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute
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Page 24 Andreacute Michaud
preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique
transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre
vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement
proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron
(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite
de 409355207E-14 j)
Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute
invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique
intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique
de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer
leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de
Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente
toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-
magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de
leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute
totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la
masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de
masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2
Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette
somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur
gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de
calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)
Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec
leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit
leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de
leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus
leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par
structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc
2
K2E
KK4Ecv
2
(4)
Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des
eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes
de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees
C
2
CC
λ2λ
λλ4λcv
(5)
A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis
leacutelaboration de ces eacutequations
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17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)
Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le
rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de
lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ
magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la
deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par
lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee
transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB
mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette
augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique
constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron
409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement
eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation
entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec
leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron
Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute
deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de
Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration
spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2
=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est
obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure
fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]
m155E2817940282π
αλr Ce (6)
Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)
devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de
lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde
eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c
mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de
de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est
(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique
Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave
linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans
lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]
m11E29177208352π
λ
2π
λr B
Br (7)
Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude
transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en
multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y
a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave
lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin
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atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet
maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient
mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal
invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique
correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec
lEacutequation (2)
T0405235047
113E529177208α4π
1218764756eμ
rα4π
veμ2
0
2
B
0
B (8)
Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee
que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant
une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale
serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence
Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable
comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la
avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut
eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que
cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir
lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal
Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de
leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable
soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ
magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)
sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et
nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)
T7346235051
86E455633525α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
23
0
B (9)
Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation
geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de
lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique
transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de
Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie
strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil
La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant
lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de
lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse
dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer
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18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse
Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer
lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa
version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire
lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de
linduction deacutenergie dans un eacutelectron
Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que
leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en
anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette
eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle
constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment
cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique
classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave
laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite
Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est
aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est
deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte
aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique
correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un
corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute
Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car
nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave
des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle
lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]
Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de
leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de
leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante
e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui
induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules
chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui
les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par
rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de
leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule
Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme
des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment
reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique
en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement
mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute
expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui
fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute
deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute
preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse
limite de la lumiegravere
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 28 Andreacute Michaud
En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques
pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont
typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la
Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement
fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons
maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales
19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11
Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour
dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons
sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer
laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui
sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ
magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte
Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace
ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses
approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que
mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs
trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de
vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000
kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par
fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne
Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le
lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees
qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant
anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des
phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde
gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute
astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces
trajectoires est incapable den rendre compte
Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme
solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement
de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus
faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr
vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre
expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))
Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles
de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie
systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles
eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre
deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]
[37] [38]
Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande
publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne
que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute
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Andreacute Michaud Page 29
astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des
anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998
telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation
systeacutematique dorigine inconnue
Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec
les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses
typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal
deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces
deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie
transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette
derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les
paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation
Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de
Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement
j5E102658722731v-c
cmcΔK
22
2
(10)
Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour
Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de
kg78228E952c
ΔKΔm
2m (11)
Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour
expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de
ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la
proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse
au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent
initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de
masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele
et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la
Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du
temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne
tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont
faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des
masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin
20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui
est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme
densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne
neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du
quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron
Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le
champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en
mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 30 Andreacute Michaud
repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en
utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de
structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette
eacutenergie
T1E1382890002212-5E242631021α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
2
C
3
0
e B (12)
Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide
quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui
pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la
densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par
exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne
comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales
Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien
connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse
relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes
deacutegales intensiteacutes
B
Ev (13)
La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en
additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de
la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)
pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de
Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne
invariant Be de la masse au repos de leacutelectron
T6E13828900024
λλ
λλ
α
ceπμ
λα
ceπμ
λα
ceπμ2
C
2
2
C
2
3
0
23
0
2
C
3
0e
BBB (14)
Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun
champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation
geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave
une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut
analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui
geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou
deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les
structures atomiques
λλdr
λE
αε2
e
α
2πe
ε4π
10
2πα
e
ε4π
1
o
22
o a 2
2
o0
(15)
Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout
quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la
constante de Planck
αλε2
ehE
o
2
f (16)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 31
Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de
forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration
fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que
linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force
classiques
Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc
eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde
longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser
avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)
NC673727E130467λαε
πe23
0
E (17)
Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au
repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron
Compton comme suit
NC4E10602933175λαε
πe2
C
3
0
e E (18)
Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la
vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple
addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique
ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE
des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique
qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ
monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute
agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave
la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =
4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron
(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante
NCE208133411211
λ2λλλ
λ4λλλλ
αε
πe
C
2
C
2
CC
2
C
2
3
0
E (19)
Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le
champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas
contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local
ms56621876476E13828900024
1E20181334112v
B
E (20)
Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE
avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement
qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos
invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement
lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la
vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle
leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la
Reacutefeacuterence [32]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 32 Andreacute Michaud
21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos
Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de
Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse
au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son
increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie
adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique
interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans
les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute
graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la
composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee
transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement
doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son
champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique
Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse
de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent
les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie
eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour
conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]
Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere
permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que
formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon
eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute
selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent
mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]
t)(ωsin
2
iL t)(ωcos
2C
e
2λ
hcE 2
2
λλ2
λ
2
(21)
ougrave
λ
2
(max)2C
eE E
et 2
iLE
2
λλ(max) B
(22)
et
αλ2εC 0λ 8π
αλμL
2
0λ
αλ
ec2πiλ (23)
La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des
champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement
aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees
avec les Eacutequations (22)
23
0 λαε
πeE 23
0
λα
πecμB (24)
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Andreacute Michaud Page 33
et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute
maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement
2
35
2π
λαV (25)
ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence
[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui
confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie
porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit
la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee
transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie
transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum
Vt)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
2λ
hcE 2
0
22
2
0
BE (26)
22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives
Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933
[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-
produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se
transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon
dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de
leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute
speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme
de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale
associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait
seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]
Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue
entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave
leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges
opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste
et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet
de construire leacutequation de la maniegravere suivante
2
0
2
m
1o
2
2λ
1
λ
1cmcΔmΔK2
λ
1
αε2
eE
C1
(27)
dans laquelle
2o
22
mλ
1
αε2
ecΔmΔK ougrave
C12 2λ
1
λ
1
2
1
λ
1 (28)
Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de
leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en
cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie
reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos
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Page 34 Andreacute Michaud
invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre
les deux particules maintenant seacutepareacutees
Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford
(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons
eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau
impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires
eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave
proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur
lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]
Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces
vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel
des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel
plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une
meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou
plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en
leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des
masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit
leacutequation suivante
V
t)(ωsin K2μ
t)(ωcos)jJjJ(4
ε2
iI2λ
hciIE
2
Z0
2
2
Y
2
0
X
B
E
(29)
se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure
eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
me0
KB
jIjI
iJE
0
ν
(30)
et
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
mp
ν
0
KB
jIjI
iJE
0 (31)
dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique
maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute
lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre
constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une
oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation
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Andreacute Michaud Page 35
entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-
porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]
3
2
3
C
5
m m477E1497393262π
λαV et
2
C
3
0 λαε
eπν (32)
Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere
fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse
de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope
stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la
Reacutefeacuterence [20]
Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus
leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant
invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC
du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les
deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et
deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la
vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec
lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]
C
CC
λ2λ
λ4λλcv
ou
K2E
K4EKcv
2
(33)
Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur
donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au
repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du
photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse
de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de
Broglie [32] [3]
Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon
car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple
en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume
isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie
nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron
qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque
j148E4093552062π
λα
μ2λα
ceπμV
2μ 2
3
C
5
0
2
2
C
3
0m
0
2
B (34)
23 Construction de particules complexes stables
Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts
de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont
typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la
communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en
raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement
eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus
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Page 36 Andreacute Michaud
petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue
tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]
Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont
aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que
leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre
eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps
ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction
stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des
particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par
rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-
destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)
Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions
mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-
dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence
infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux
eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement
frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions
frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes
hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)
Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible
Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors
dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons
eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules
complexes comme le proton et le neutron
Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des
eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave
ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee
(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves
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Andreacute Michaud Page 37
avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure
5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest
quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale
pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours
(Figures 5-b)
Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et
collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-
ponctuel
Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction
frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les
protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de
positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique
permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel
quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable
dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre
observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]
Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la
conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron
[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites
dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites
planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace
soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement
eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon
Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce
volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand
acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie
dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al
[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants
chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations
des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge
eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une
charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons
ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-
composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)
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Page 38 Andreacute Michaud
Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives
De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et
expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants
chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-
composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants
chargeacutes positivement [22] [25]
Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement
confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au
fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-
ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et
positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent
ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et
confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des
nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges
seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des
positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la
nature dispose pour construire les nucleacuteons
Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants
nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge
fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent
naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils
eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des
structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]
La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes
preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons
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Andreacute Michaud Page 39
correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence
de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement
estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui
peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie
agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]
soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la
seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee
pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]
2
0
eudicαn
3e
a
km
(n=1 2 3) (35)
ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la
lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale
eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de
Coulomb
8E9898755178ε4π
1k
o
(36)
En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages
expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer
cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc
2 pour la
sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux
distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe
coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de
lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]
Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la
mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la
masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient
effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour
de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces
deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance
Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie
matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee
confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et
eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent
respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas
encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et
eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des
interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures
Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres
particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par
collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees
up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee
par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de
reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant
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Page 40 Andreacute Michaud
les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach
et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee
Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave
laide de lEacutequation (35)
Masse au repos Eacutenergie Charge Ref
Eacutelectron ou positon en
mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV
plusmn1=
1602176462E-19 C [21]
Positon
eacutelectromagneacutetiquement
contraint
1 dans le neutron
2 dans le proton
2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=
1068117641E-19 C [22]
Eacutelectron
Eacutelectromagneacutetiquement
contraint
2 dans le neutron
1 dans le proton
8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=
5340588207E-20 C [22]
La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur
concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un
physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son
libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par
Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu
compte
Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The
theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far
beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks
themselves were never discovered in any scattering experiment
Traduction
Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de
succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent
quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-
mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision
Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute
produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et
quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u
(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en
parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par
Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron
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Andreacute Michaud Page 41
Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement
nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes
quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des
Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte
eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie
qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur
est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet
pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes
eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et
positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires
Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des
eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure
collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette
somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La
diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont
lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de
lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe
qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont
deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints
eacutelectromagneacutetiquement
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
U
Y
2
0
U
2
m
2
U
U
B
E
ν (37)
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
D
Y
2
0
D
2
m
2
DD
B
E
ν (38)
Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses
au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement
eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]
Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en
relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici
pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite
par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en
translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de
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Page 42 Andreacute Michaud
reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de
translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport
une telle orbite circulaire
24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance
La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron
dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le
premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave
une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr
mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite
fermeacutee autour du proton
Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait
cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de
leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de
stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave
veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure
Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur
de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition
nhTβ-1
β
2
22
o r
cm (n eacutetant un nombre entier) (39)
Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de
reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction
donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte
cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de
nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil
identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature
eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut
expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait
rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique
deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses
eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion
dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules
eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte
cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories
dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique
Quantique sous sa forme traditionnelle
De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de
Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave
cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec
lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa
disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui
supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique
autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 43
perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie
eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que
leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton
En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton
nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee
autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie
concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie
induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement
Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique
strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur
temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques
eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des
orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales
de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la
freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie
du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de
reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie
sj34E662606876λvmh BB0 (40)
ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite
de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont
le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne
entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit
leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel
que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de
fB=6579683921E15 Hz
Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette
freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier
la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir
leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb
Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble
correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler
toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie
induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute
leacutenergie du quantum soit accumuleacutee
j 18-8E435974380rε4π
ehE
Bo
2
BB f (41)
dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))
Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la
longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique
la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel
quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]
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Page 44 Andreacute Michaud
αλε2
ehνE
o
2
(42)
ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale
dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue
suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec
lEacutequation (41) est donc
m82E455633525E
hcλ
B
(43)
ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave
obtenue avec lEacutequation (41) standard
j188E435974380αλε2
ehνE
o
2
B (44)
Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer
leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition
conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats
deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et
nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de
cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet
aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est
fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires
chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout
mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif
Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs
impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de
leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant
dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera
analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes
neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la
quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction
coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont
captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre
cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique
Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est
constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie
dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir
dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee
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Andreacute Michaud Page 45
par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la
valeur obtenue sera constant
Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de
lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee
de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie
eacutelectromagneacutetique (λ)
mj25E986445441α2ε
eEλH
0
2
(45)
Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur
temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la
constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante
H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui
reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que
historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee
deacutequations eacutelectromagneacutetiques
sj34E662606876c
Hh (46)
Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut
maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit
la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la
communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de
constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement
confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics
[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)
[40]
sj34E662606876αc2ε
eh
0
2
(47)
252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique
Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-
dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais
lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante
dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)
de latome dhydrogegravene et de son noyau
La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence
[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux
maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage
dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB
au carreacute
2
o
B
22
BB mj386E122085259ε4π
rerEK
(48)
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Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene
verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux
particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie
adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau
1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le
positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et
leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave
la Reacutefeacuterence [22]
26 Gravitation
En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires
induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules
chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de
maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une
eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son
existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le
permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux
Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee
leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors
quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le
centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les
accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette
pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une
eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle
tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne
peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de
momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car
leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de
masse de la Terre [4] [16]
En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune
mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum
vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules
chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et
est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum
pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque
lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une
pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne
agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la
masse de la Terre [33]
Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de
reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que
de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat
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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir
de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au
rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables
permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps
ceacuteleste autour de lastre central
Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance
moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute
freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr
le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps
ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle
oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle
chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps
ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes
Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central
peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites
qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes
par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de
reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes
de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus
doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans
lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont
reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes
Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est
aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome
dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas
cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule
eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la
stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital
Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence
en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction
stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les
cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)
Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force
gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction
coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction
stationnaire
Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les
positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques
afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble
eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave
appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules
chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image
mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces
particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee
quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire
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de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du
concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de
particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le
Tableau 2
Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])
Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques
Nom Porteacutee
Force
laquo traditionnelle raquo
associeacutee
Attracteur
primaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave
lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron
Forte
Attracteur
secondaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints
appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons
dans un noyau
Faible
Attracteur
tertiaire
Entre chaque eacutelectron captif et chaque
positon eacutelectromagneacutetiquement contraint
dun noyau et entre chaque eacutelectron et
chaque positon eacutelectromagneacutetiquement
contraint des noyaux des autres atomes de
toute accumulation de matiegravere
Eacutelectromagneacutetique
Attracteur
temporaire
local
Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun
photon Eacutelectromagneacutetique
Attracteur temporaire
eacuteloigneacute
Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du
reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique
Attracteur quaternaire
Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du
reste de lrsquounivers
Graviteacute
Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre
plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance
daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance
caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la
structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte
Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux
datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique
aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les
atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere
correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier
niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute
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libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau
astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle
Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction
coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique
transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence
quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4
forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui
savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute
dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente
dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel
Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere
permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le
centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme
dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme
dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des
atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble
des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la
direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant
en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses
Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses
macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la
profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales
eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave
la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]
Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la
Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses
macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes
une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les
eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus
eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons
retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors
un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme
dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine
section
Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme
celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et
quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des
orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute
qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne
induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des
noyaux
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Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette
pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission
de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les
eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave
mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee
denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante
dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les
eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec
linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage
de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le
deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant
agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes
quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en
chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]
Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les
masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent
les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui
diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux
atomiques
Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction
coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une
augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe
central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique
variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des
nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]
Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que
la profondeur augmente dans les masses macroscopiques
Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire
ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne
peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules
eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances
internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x
de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces
petites masses et celles de la Terre
Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes
constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction
proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est
laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons
captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des
photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale
meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant
agrave leurs orbitales daction stationnaire
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Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation
daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la
freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience
de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps
voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps
avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion
tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du
champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee
En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons
de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la
mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement
axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation
dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les
sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs
trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace
profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur
lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les
masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en
conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel
Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de
Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres
qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne
[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient
agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur
oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ
magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques
28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees
expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en
perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de
la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant
la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit
une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les
anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de
piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]
Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un
proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action
plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a
lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes
quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees
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Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos
par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de
2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-
porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]
j18-2E2179784831γcmΔKE 2
oK (49)
Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)
qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de
Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son
mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction
stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie
totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale
deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse
au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus
de stabilisation
j141875401148cmcmΔKE 2
0
2
me E (50)
Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune
quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie
j10-7E150327730cmE 2
pp (51)
Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr
0548911836
1
E
E
p
e (52)
On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de
grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la
composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par
rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele
reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en
perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de
leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus
grande
4968964481
1
E
E
p
K (53)
Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par
linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du
momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le
processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre
inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere
Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette
eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct
Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur
agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera
communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que
leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera
eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et
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mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de
freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere
La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de
Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin
Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas
vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de
lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-
2000 [18]
Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et
son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors
de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le
mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest
pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du
photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa
configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une
inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve
photoeacutelectrique de Einstein
La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum
ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur
lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de
son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant
son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son
volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)
Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie
eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum
unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum
complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)
La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe
dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de
jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule
transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme
dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du
photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y
pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut
ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8
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La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant
inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux
champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du
proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence
darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J
vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la
quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement
qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du
photon porteur
T4692470103λα
ceπμ22
23
0 B (54)
ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout
deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs
magneacutetiques
En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de
leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome
dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable
coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la
meacutecanique actuelle deacutemission de photons
Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que
leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant
vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste
eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie
vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une
flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication
suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et
le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas
par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron
agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]
De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre
faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et
un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement
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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite
lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis
artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion
initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la
rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en
permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence
Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation
de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron
dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute
eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence
[33]
Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette
distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque
la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de
remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement
induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la
direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression
stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente
eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie
que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant
momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV
temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon
eacutelectromagneacutetique seacutepareacute
La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra
leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ
magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le
montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence
dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe
devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]
Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y
eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se
deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges
opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la
valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le
proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de
leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la
part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue
par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne
Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui
fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit
de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que
leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave
saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe
de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous
forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des
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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau
macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d
La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton
comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie
ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique
incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La
reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience
que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que
linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de
leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis
et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce
processus de freinage si bref
Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de
lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers
lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum
qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du
reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-
quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par
deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet
leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller
transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi
loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se
deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]
Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la
seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet
momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la
vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre
compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du
photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave
lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale
des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de
la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute
totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement
invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton [4]
29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques
Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la
massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-
eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee
par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant
adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK
nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui
interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais
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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du
proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale
dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que
deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum
ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression
momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs
eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie
transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de
2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de
Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du
systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur
vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut
maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-
porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
le permettra [52]
Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en
conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee
plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos
eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou
agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme
eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par
accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18
j
Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et
documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent
document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui
permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons
eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de
leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article
30 Conclusion
Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie
eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de
concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme
si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait
dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne
La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de
Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la
deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin
complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit
une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus
deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit
preacuteceacutedemment
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Page 58 Andreacute Michaud
Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une
conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies
anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux
expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les
eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un
ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par
Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz
Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations
eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees
provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire
Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique
quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident
geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant
donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision
cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants
magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013
pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]
Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des
eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]
Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet
dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques
denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave
lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du
comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
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Autres articles dans le mecircme projet
Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique
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Page 8 Andreacute Michaud
Traduction
Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne
sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement
associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique
Quantique ces difficulteacutes demeurent
Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent
matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure
granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue
uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie
des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier
deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne
de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la
structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des
neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement
eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique
transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute
matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos
Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure
eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes
et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de
Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau
subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de
reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau
subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique
3 Deux perceacutees majeures reacutecentes
Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure
interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique
qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne
semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de
Minkowski [17]
la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie
deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave
limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans
le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-
temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de
ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur
aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p
273)
Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure
eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec
les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires
stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau
subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de
Maxwell
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Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective
lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales
recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute
expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de
la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale
4 La premiegravere perceacutee majeure
Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de
lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects
fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau
subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun
agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation
stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de
cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est
perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par
ces deux champs (voir Figure 1)
La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant
de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut
formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de
Saint-Peacutetersbourg [18]
Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la
Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave
augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k
(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D
pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme
eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux
autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun
Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale
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Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au
centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la
substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des
vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale
stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux
espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-
quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-
transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui
reacuteside dans lespace-X
Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique
trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles
de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3
parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre
eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire
matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant
chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3
espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes
orthogonaux internes reacutesultants
5 La deuxiegraveme perceacutee majeure
Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul
Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre
laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui
permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui
augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ
magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de
leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article
publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de
Kazan [20]
Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees
constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne
dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une
eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de
maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee
pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]
ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin
Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes
les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules
complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et
autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules
eacuteleacutementaires [24]
Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des
atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons
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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions
destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que
sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des
seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou
lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees
eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]
Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de
larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement
sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa
deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement
deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre
directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre
article reacutecemment publieacute [4]
Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese
personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la
premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une
deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir
de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave
leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun
doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique
geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les
eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi
du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser
directement dans son article original
LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees
auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie
de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee
autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique
transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de
leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement
mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable
avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise
en eacutevidence plus loin
Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable
agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation
relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le
champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est
constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce
fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de
mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective
par Marmet au deacutebut de son article [19]
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Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis
Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui
seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie
Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du
champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle
geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant
omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute
de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans
lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme
charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept
ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter
sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de
Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et
matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee
exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement
qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration
perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation
qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui
soutient son mouvement dans lespace
Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme
rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de
laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut
donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons
dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart
Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron
en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste
ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son
champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette
derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable
avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc
2 - moc
2) car il est physiquement
et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux
directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une
de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de
laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ
magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee
Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave
mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune
seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute
deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie
du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux
quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee
que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors
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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la
veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov
22 + (γmoc
2 -
moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique
quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de
Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la
distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement
et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees
les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement
Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie
doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ
magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme
geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de
cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour
obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en
mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin
6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte
Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a
initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information
qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait
consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale
deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord
ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-
quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]
associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse
transversale mesurable
7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein
En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil
reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes
lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant
cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique
fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une
traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la
diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb
ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons
comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par
linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre
deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait
pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement
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diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten
(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du
deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de
lintroduction de la RR faisait rage
Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le
momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie
cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans
les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont
pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique
fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement
en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont
toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et
certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de
1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz
Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre
vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de
consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions
traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des
connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction
En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par
lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave
eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force
de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y
est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en
ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie
pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte
lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou
alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la
distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des
charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de
leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant
eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules
chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique
qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique
classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme
des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement
par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la
communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui
Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir
de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier
du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet
maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue
en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=
e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance
entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e
24πεod
2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique
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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse
simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil
semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui
entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce
moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir
Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et
qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment
Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la
RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et
aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la
Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de
lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement
causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de
Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules
eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron
selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse
classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de
particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective
plus loin
Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de
Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept
daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en
RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum
augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration
inertielle
8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le
demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale
mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee
du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement
ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant
dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second
point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la
vitesse
Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute
Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute
Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par
leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction
coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne
laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement
Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-
quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de
Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune
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harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse
ecirctre reacutealiseacutee
9 Les Principes axiomatiques absolus
Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les
concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la
theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle
Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient
permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu
ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee
pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de
points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la
nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir
des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences
consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le
Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction
stationnaire et de moindre action etc
La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de
conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas
activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme
dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien
compris lorsquil fut initialement formuleacute
En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances
permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous
pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant
quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat
apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement
dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction
stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]
Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des
trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]
[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel
eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de
nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les
masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial
qui eacutetait le leur avant leur lancement
En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune
hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des
eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur
astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule
maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de
ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant
une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera
examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit
les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement
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Andreacute Michaud Page 17
Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un
cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere
deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement
associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif
et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour
tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle
sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ
eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide
Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance
en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee
au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de
Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un
momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique
et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort
consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un
mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule
eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et
quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de
mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement
seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une
eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une
forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de
force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur
pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression
interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de
lexpression trompeuse force de Coulomb
Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que
quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la
physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant
suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes
axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme
dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui
savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de
linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de
Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction
adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant
correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une
interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement
10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus
Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables
observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont
constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la
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confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et
processus
Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au
moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon
classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de
nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la
masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]
Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute
magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-
composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune
rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction
[39]
Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces
termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus
auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels
comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple
11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie
mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule
eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement
en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres
permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du
quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du
champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui
est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons
eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie
eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau
macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell
12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)
En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave
confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique
transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un
fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]
Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences
effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun
eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire
demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un
seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de
Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable
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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation
de son champ magneacutetique transversal
Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit
directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est
aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par
analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au
repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement
2
M
r
1
8π
eμ e
e
2
0
(M-24)
Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron
ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en
correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi
que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de
leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation
(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)
Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)
dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique
rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant
perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article
[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute
graphiquement comme se deacuteplaccedilant
2
0
r
ud sd
4π
Iμd
B (M-1)
Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire
invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q
de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere
dt
)d(Ne
dt
dQI
-
(M-2)
Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure
constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv
puisque dt
dxv donc
v
dxdt (M-3)
En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par
sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint
dx
)vd(Ne
dt
d(Ne)I
-
(M-4)
Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart
dx)θsin(r4π
Iμd
2
0B (M-5)
En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-
4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte
sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition
puisque le courant demeure constant
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)(Ned)θsin(r4π
vμdx)θsin(
dx
)vd(Ne
r4π
μdx)θsin(
r4π
Iμd -
2
0
-
2
0
2
0 B (M-5a)
En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant
maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus
decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant
que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute
)(Ned)θsin(r4π
vμd -
2
0B (M-6)
13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur
Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence
sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte
dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce
qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant
Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π
veμNd -
2
-
0iB (M-7)
Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant
les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer
pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est
absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous
allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de
sa deacuterivation
Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)
Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux
variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure
ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la
distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et
spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre
conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation
cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ
magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation
correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)
Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)
puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e
-) ce qui
constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de
lrsquoEacutequation (M-7)
)(ed)θsin(r4π
vμd -
2
0iB (M-6a)
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Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer
conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de
distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette
distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc
maintenant
)d(er4π
vμd -
2
0iB (M-6b)
Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le
calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux
occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons
agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)
-
2
0 er4π
vμiB (M-6c)
qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation
conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)
Eacutequation (M-7) correcte 2
-
0
r4π
veμiB (M-7)
Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ
magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique
stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du
champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron
centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute
par lEacutequation (M-7)
Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie
trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le
flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement
propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement
ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue
lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant
physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron
Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment
stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil
meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des
eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant
donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute
les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de
saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation
triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de
leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule
eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques
individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction
transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique
macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur
dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et
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cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut
rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul
eacutelectron
Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins
magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui
fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir
mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique
macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la
Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables
macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme
processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie
des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes
Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer
lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite
agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique
massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa
masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite
dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne
La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par
leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au
deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]
magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)
15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet
La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)
concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des
particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz
16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz
Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de
vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2
semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale
eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal
qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons
plus loin que ce nest pas le cas
2
2
e
2
2
e
2
0
c
v
2
M
c
v
r
1
8π
eμ
(M-23)
Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour
repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron
2
2
e
2
2
e
2
0cv
c
v
2
m
c
v
r8π
eμm (1)
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Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ
magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio
v2c
2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient
neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de
la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce
qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos
invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel
que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par
leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure
eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut
preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie
(Figure 3)
2
M
r
1
8π
eμ
c
v
r
1
8π
eμM e
e
2
0
2
2
e
2
00vuee_magneacutetiq
(M-24)
LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du
champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie
croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui
sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec
lEacutequation (M-24)
2
0cv
r4π
veμ B (2)
Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des
repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction
du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une
vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du
momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-
18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la
Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome
drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement
correct de masse relativiste
kg355E242533771
cr8π
1218764756eμ
cr8π
veμm
2
e
22
0
2
e
22
0m (3)
A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il
faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme
vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de
lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme
valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique
de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron
Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition
eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste
un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut
quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c
2 c eacutetant invariant et v
pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute
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preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique
transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre
vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement
proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron
(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite
de 409355207E-14 j)
Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-
relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute
invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique
intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique
de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer
leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de
Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente
toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-
magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de
leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute
totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la
masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de
masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2
Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours
dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette
somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur
gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de
calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)
Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec
leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit
leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de
leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus
leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par
structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc
2
K2E
KK4Ecv
2
(4)
Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des
eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes
de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees
C
2
CC
λ2λ
λλ4λcv
(5)
A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis
leacutelaboration de ces eacutequations
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Andreacute Michaud Page 25
17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)
Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le
rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de
lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ
magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la
deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par
lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee
transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB
mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette
augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique
constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron
409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement
eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation
entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec
leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron
Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute
deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de
Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration
spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2
=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est
obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure
fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]
m155E2817940282π
αλr Ce (6)
Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)
devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de
lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde
eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c
mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de
de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est
(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique
Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave
linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans
lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]
m11E29177208352π
λ
2π
λr B
Br (7)
Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude
transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en
multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y
a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave
lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin
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Page 26 Andreacute Michaud
atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet
maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient
mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal
invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique
correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec
lEacutequation (2)
T0405235047
113E529177208α4π
1218764756eμ
rα4π
veμ2
0
2
B
0
B (8)
Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee
que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant
une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale
serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence
Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable
comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la
avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut
eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que
cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir
lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal
Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de
leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable
soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ
magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)
sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et
nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)
T7346235051
86E455633525α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
23
0
B (9)
Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation
geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ
magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de
lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique
transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de
Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie
strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil
La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant
lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de
lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse
dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer
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Andreacute Michaud Page 27
18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse
Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer
lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa
version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire
lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de
linduction deacutenergie dans un eacutelectron
Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que
leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en
anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette
eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle
constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment
cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique
classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave
laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite
Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est
aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est
deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte
aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique
correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un
corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute
Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car
nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave
des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle
lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]
Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de
leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de
leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante
e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui
induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules
chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui
les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par
rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de
leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule
Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme
des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment
reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique
en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement
mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute
expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui
fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute
deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute
preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse
limite de la lumiegravere
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En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques
pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont
typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la
Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement
fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons
maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales
19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11
Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour
dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons
sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer
laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui
sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ
magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte
Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace
ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses
approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que
mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs
trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de
vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000
kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par
fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne
Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le
lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees
qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant
anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des
phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde
gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute
astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces
trajectoires est incapable den rendre compte
Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme
solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement
de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus
faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr
vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre
expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))
Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles
de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie
systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles
eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre
deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]
[37] [38]
Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande
publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne
que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute
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astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des
anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998
telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation
systeacutematique dorigine inconnue
Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec
les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses
typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal
deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces
deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie
transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette
derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les
paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation
Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de
Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement
j5E102658722731v-c
cmcΔK
22
2
(10)
Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour
Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de
kg78228E952c
ΔKΔm
2m (11)
Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour
expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de
ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la
proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse
au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent
initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de
masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele
et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la
Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du
temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne
tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont
faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des
masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin
20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal
Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui
est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme
densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne
neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du
quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron
Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le
champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en
mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui
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repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en
utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de
structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette
eacutenergie
T1E1382890002212-5E242631021α
ceπμ
λα
ceπμ23
0
2
C
3
0
e B (12)
Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide
quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui
pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la
densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par
exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde
eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne
comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales
Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien
connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse
relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes
deacutegales intensiteacutes
B
Ev (13)
La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en
additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de
la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)
pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de
Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne
invariant Be de la masse au repos de leacutelectron
T6E13828900024
λλ
λλ
α
ceπμ
λα
ceπμ
λα
ceπμ2
C
2
2
C
2
3
0
23
0
2
C
3
0e
BBB (14)
Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun
champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation
geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave
une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut
analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui
geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules
eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou
deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les
structures atomiques
λλdr
λE
αε2
e
α
2πe
ε4π
10
2πα
e
ε4π
1
o
22
o a 2
2
o0
(15)
Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout
quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la
constante de Planck
αλε2
ehE
o
2
f (16)
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Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de
forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration
fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que
linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force
classiques
Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc
eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde
longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser
avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)
NC673727E130467λαε
πe23
0
E (17)
Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au
repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron
Compton comme suit
NC4E10602933175λαε
πe2
C
3
0
e E (18)
Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la
vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple
addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique
ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE
des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique
qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ
monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute
agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave
la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =
4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron
(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante
NCE208133411211
λ2λλλ
λ4λλλλ
αε
πe
C
2
C
2
CC
2
C
2
3
0
E (19)
Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le
champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas
contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local
ms56621876476E13828900024
1E20181334112v
B
E (20)
Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE
avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement
qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos
invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement
lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la
vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle
leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la
Reacutefeacuterence [32]
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Page 32 Andreacute Michaud
21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos
Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de
Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse
au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son
increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie
adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique
interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans
les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute
graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la
composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee
transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement
doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son
champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique
Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse
de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent
les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie
eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour
conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]
Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere
permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que
formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell
permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon
eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute
selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent
mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]
t)(ωsin
2
iL t)(ωcos
2C
e
2λ
hcE 2
2
λλ2
λ
2
(21)
ougrave
λ
2
(max)2C
eE E
et 2
iLE
2
λλ(max) B
(22)
et
αλ2εC 0λ 8π
αλμL
2
0λ
αλ
ec2πiλ (23)
La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des
champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement
aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees
avec les Eacutequations (22)
23
0 λαε
πeE 23
0
λα
πecμB (24)
L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L
Andreacute Michaud Page 33
et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute
maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement
2
35
2π
λαV (25)
ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence
[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui
confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie
porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit
la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee
transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie
transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum
Vt)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
2λ
hcE 2
0
22
2
0
BE (26)
22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives
Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933
[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-
produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se
transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon
dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de
leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute
speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme
de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale
associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait
seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]
Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue
entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave
leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges
opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste
et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet
de construire leacutequation de la maniegravere suivante
2
0
2
m
1o
2
2λ
1
λ
1cmcΔmΔK2
λ
1
αε2
eE
C1
(27)
dans laquelle
2o
22
mλ
1
αε2
ecΔmΔK ougrave
C12 2λ
1
λ
1
2
1
λ
1 (28)
Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de
leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en
cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie
reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos
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Page 34 Andreacute Michaud
invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre
les deux particules maintenant seacutepareacutees
Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford
(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons
eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau
impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires
eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave
proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur
lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]
Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces
vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel
des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel
plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une
meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou
plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en
leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des
masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit
leacutequation suivante
V
t)(ωsin K2μ
t)(ωcos)jJjJ(4
ε2
iI2λ
hciIE
2
Z0
2
2
Y
2
0
X
B
E
(29)
se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure
eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
me0
KB
jIjI
iJE
0
ν
(30)
et
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos)(4
ε2
2
ε
c
Vm
2
Z0
2
2
X
2
0
Y
2
0
2
mp
ν
0
KB
jIjI
iJE
0 (31)
dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique
maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute
lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre
constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une
oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation
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Andreacute Michaud Page 35
entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-
porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]
3
2
3
C
5
m m477E1497393262π
λαV et
2
C
3
0 λαε
eπν (32)
Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere
fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse
de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope
stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la
Reacutefeacuterence [20]
Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus
leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant
invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC
du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les
deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et
deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la
vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec
lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]
C
CC
λ2λ
λ4λλcv
ou
K2E
K4EKcv
2
(33)
Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur
donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au
repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du
photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse
de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de
Broglie [32] [3]
Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon
car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple
en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume
isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie
nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron
qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque
j148E4093552062π
λα
μ2λα
ceπμV
2μ 2
3
C
5
0
2
2
C
3
0m
0
2
B (34)
23 Construction de particules complexes stables
Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts
de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont
typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la
communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en
raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement
eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus
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Page 36 Andreacute Michaud
petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie
eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue
tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]
Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont
aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que
leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre
eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps
ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction
stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des
particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par
rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-
destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)
Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions
mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-
dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence
infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux
eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement
frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions
frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes
hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)
Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible
Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors
dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons
eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules
complexes comme le proton et le neutron
Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des
eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave
ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee
(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves
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Andreacute Michaud Page 37
avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des
positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure
5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest
quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale
pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours
(Figures 5-b)
Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et
collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-
ponctuel
Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction
frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les
protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de
positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique
permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel
quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable
dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre
observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]
Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la
conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron
[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites
dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites
planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace
soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement
eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon
Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce
volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand
acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie
dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al
[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants
chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations
des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge
eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une
charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons
ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-
composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)
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Page 38 Andreacute Michaud
Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives
De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et
expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants
chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-
composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants
chargeacutes positivement [22] [25]
Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement
confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au
fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-
ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et
positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent
ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et
confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des
nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges
seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des
positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la
nature dispose pour construire les nucleacuteons
Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants
nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge
fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent
naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils
eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des
structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]
La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes
preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons
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correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence
de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement
estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui
peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie
agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]
soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la
seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee
pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]
2
0
eudicαn
3e
a
km
(n=1 2 3) (35)
ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la
lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale
eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de
Coulomb
8E9898755178ε4π
1k
o
(36)
En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages
expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer
cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc
2 pour la
sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux
distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe
coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de
lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]
Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la
mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la
masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient
effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour
de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces
deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance
Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie
matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee
confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et
eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent
respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas
encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et
eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des
interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures
Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres
particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par
collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees
up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee
par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de
reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant
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Page 40 Andreacute Michaud
les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach
et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee
Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave
laide de lEacutequation (35)
Masse au repos Eacutenergie Charge Ref
Eacutelectron ou positon en
mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV
plusmn1=
1602176462E-19 C [21]
Positon
eacutelectromagneacutetiquement
contraint
1 dans le neutron
2 dans le proton
2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=
1068117641E-19 C [22]
Eacutelectron
Eacutelectromagneacutetiquement
contraint
2 dans le neutron
1 dans le proton
8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=
5340588207E-20 C [22]
La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur
concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un
physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son
libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par
Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu
compte
Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The
theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far
beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks
themselves were never discovered in any scattering experiment
Traduction
Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de
succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent
quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-
mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision
Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute
produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et
quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u
(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en
parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par
Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron
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Andreacute Michaud Page 41
Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement
nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes
quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des
Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte
eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie
qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur
est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet
pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes
eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et
positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires
Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des
eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure
collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette
somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La
diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont
lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de
lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe
qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont
deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints
eacutelectromagneacutetiquement
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
U
Y
2
0
U
2
m
2
U
U
B
E
ν (37)
t)(ωsin 2μ
t)(ωcos4
ε2
S2
2
εS
c
V
c
Em
2
Z0
2
2
X
2
0
D
Y
2
0
D
2
m
2
DD
B
E
ν (38)
Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses
au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement
eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]
Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en
relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici
pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite
par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en
translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de
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Page 42 Andreacute Michaud
reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de
translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport
une telle orbite circulaire
24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance
La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron
dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le
premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave
une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr
mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite
fermeacutee autour du proton
Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait
cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de
leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de
stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave
veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure
Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur
de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition
nhTβ-1
β
2
22
o r
cm (n eacutetant un nombre entier) (39)
Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de
reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction
donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte
cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de
nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil
identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature
eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]
Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut
expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait
rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique
deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses
eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion
dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules
eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte
cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories
dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique
Quantique sous sa forme traditionnelle
De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de
Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave
cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec
lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa
disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui
supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique
autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute
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Andreacute Michaud Page 43
perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie
eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que
leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton
En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton
nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee
autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie
concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie
induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement
Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique
strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur
temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques
eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des
orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales
de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la
freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie
du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de
reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie
sj34E662606876λvmh BB0 (40)
ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite
de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont
le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne
entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit
leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel
que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de
fB=6579683921E15 Hz
Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette
freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier
la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir
leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb
Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble
correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler
toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie
induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute
leacutenergie du quantum soit accumuleacutee
j 18-8E435974380rε4π
ehE
Bo
2
BB f (41)
dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))
Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la
longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique
la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel
quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]
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Page 44 Andreacute Michaud
αλε2
ehνE
o
2
(42)
ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale
dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue
suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec
lEacutequation (41) est donc
m82E455633525E
hcλ
B
(43)
ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave
obtenue avec lEacutequation (41) standard
j188E435974380αλε2
ehνE
o
2
B (44)
Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer
leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition
conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats
deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et
nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de
cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet
aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est
fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires
chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout
mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif
Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs
impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de
leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant
dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera
analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes
neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la
quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction
coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont
captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre
cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel
quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique
Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est
constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie
dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir
dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee
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Andreacute Michaud Page 45
par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la
valeur obtenue sera constant
Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de
lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee
de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie
eacutelectromagneacutetique (λ)
mj25E986445441α2ε
eEλH
0
2
(45)
Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur
temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la
constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante
H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui
reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que
historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee
deacutequations eacutelectromagneacutetiques
sj34E662606876c
Hh (46)
Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut
maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit
la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la
communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de
constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement
confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics
[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)
[40]
sj34E662606876αc2ε
eh
0
2
(47)
252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique
Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-
dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais
lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante
dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)
de latome dhydrogegravene et de son noyau
La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence
[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux
maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage
dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la
Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB
au carreacute
2
o
B
22
BB mj386E122085259ε4π
rerEK
(48)
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Page 46 Andreacute Michaud
Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene
verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux
particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie
adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau
1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le
positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et
leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave
la Reacutefeacuterence [22]
26 Gravitation
En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires
induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules
chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de
maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une
eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son
existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le
permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux
eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux
Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee
leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors
quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le
centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les
accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette
pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une
eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle
tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne
peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de
momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car
leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de
masse de la Terre [4] [16]
En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune
mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum
vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules
chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et
est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum
pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque
lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une
pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne
agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la
masse de la Terre [33]
Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de
reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que
de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat
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Andreacute Michaud Page 47
de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir
de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au
rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables
permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps
ceacuteleste autour de lastre central
Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance
moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute
freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr
le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps
ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle
oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle
chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps
ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes
Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central
peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites
qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes
par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de
reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes
de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus
doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans
lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont
reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes
Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est
aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome
dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas
cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule
eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la
stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital
Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence
en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction
stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les
cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)
Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force
gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction
coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction
stationnaire
Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les
positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques
afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble
eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave
appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules
chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image
mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces
particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee
quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire
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Page 48 Andreacute Michaud
de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du
concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de
particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le
Tableau 2
Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])
Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques
Nom Porteacutee
Force
laquo traditionnelle raquo
associeacutee
Attracteur
primaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave
lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron
Forte
Attracteur
secondaire
Entre eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints
appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons
dans un noyau
Faible
Attracteur
tertiaire
Entre chaque eacutelectron captif et chaque
positon eacutelectromagneacutetiquement contraint
dun noyau et entre chaque eacutelectron et
chaque positon eacutelectromagneacutetiquement
contraint des noyaux des autres atomes de
toute accumulation de matiegravere
Eacutelectromagneacutetique
Attracteur
temporaire
local
Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun
photon Eacutelectromagneacutetique
Attracteur temporaire
eacuteloigneacute
Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du
reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique
Attracteur quaternaire
Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du
reste de lrsquounivers
Graviteacute
Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre
plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance
daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en
perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance
caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la
structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte
Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux
datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique
aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les
atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere
correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier
niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute
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Andreacute Michaud Page 49
libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau
astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle
Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction
coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique
transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence
quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4
forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui
savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute
dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente
dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]
27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel
Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere
permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le
centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme
dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme
dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des
atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble
des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la
direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant
en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses
Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses
macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la
profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales
eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave
la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]
Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la
Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses
macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes
une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les
eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus
eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons
retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors
un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme
dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine
section
Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme
celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et
quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des
orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute
qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne
induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des
noyaux
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Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette
pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission
de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les
eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave
mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee
denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]
Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante
dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les
eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec
linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage
de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le
deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant
agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes
quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en
chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]
Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les
masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent
les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui
diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux
atomiques
Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction
coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une
augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe
central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique
variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des
nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]
Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que
la profondeur augmente dans les masses macroscopiques
Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire
ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons
eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne
peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules
eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances
internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x
de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces
petites masses et celles de la Terre
Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes
constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction
proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est
laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons
captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des
photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale
meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant
agrave leurs orbitales daction stationnaire
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Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation
daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la
freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience
de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps
voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps
avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion
tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du
champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee
En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons
de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la
mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement
axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation
dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre
eacutelectromagneacutetique local
Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les
sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs
trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace
profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur
lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les
masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en
conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel
Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de
Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres
qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne
[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient
agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur
oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ
magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques
28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees
expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en
perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de
la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant
la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit
une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les
anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de
piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]
Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un
proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action
plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la
Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a
lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes
quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees
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Page 52 Andreacute Michaud
Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos
par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de
2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-
porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]
j18-2E2179784831γcmΔKE 2
oK (49)
Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)
qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de
Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son
mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction
stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie
totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale
deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse
au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus
de stabilisation
j141875401148cmcmΔKE 2
0
2
me E (50)
Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune
quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie
j10-7E150327730cmE 2
pp (51)
Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr
0548911836
1
E
E
p
e (52)
On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de
grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la
composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par
rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele
reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en
perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de
leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus
grande
4968964481
1
E
E
p
K (53)
Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par
linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du
momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le
processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre
inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere
Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette
eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct
Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur
agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera
communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que
leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera
eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et
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mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de
freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere
La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de
Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin
Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas
vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de
lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-
2000 [18]
Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et
son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors
de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le
mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest
pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du
photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa
configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une
inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve
photoeacutelectrique de Einstein
La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum
ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur
lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de
son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant
son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son
volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)
Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie
eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum
unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum
complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)
La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe
dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de
jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule
transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme
dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du
photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y
pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut
ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8
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La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant
inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux
champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du
proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele
tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]
Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung
La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence
darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J
vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la
quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement
qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du
photon porteur
T4692470103λα
ceπμ22
23
0 B (54)
ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout
deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs
magneacutetiques
En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de
leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome
dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable
coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la
meacutecanique actuelle deacutemission de photons
Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que
leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant
vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste
eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie
vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une
flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication
suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et
le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas
par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron
agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]
De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre
faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et
un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement
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Andreacute Michaud Page 55
compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite
lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis
artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion
initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la
rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en
permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence
Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation
de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron
dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute
eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence
[33]
Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette
distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque
la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de
remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement
induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la
direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression
stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente
eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie
que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant
momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV
temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon
eacutelectromagneacutetique seacutepareacute
La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra
leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ
magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le
montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence
dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe
devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]
Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y
eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se
deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges
opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la
valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le
proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de
leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la
part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue
par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne
Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui
fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit
de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que
leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave
saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe
de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous
forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des
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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau
macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d
La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton
comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie
ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique
incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La
reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience
que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que
linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de
leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis
et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce
processus de freinage si bref
Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de
lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers
lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum
qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du
reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-
quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par
deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet
leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller
transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi
loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se
deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]
Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la
seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet
momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la
vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre
compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du
photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave
lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale
des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de
la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute
totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement
invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du
proton [4]
29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques
Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la
massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-
eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee
par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant
adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK
nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui
interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais
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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du
proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale
dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que
deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]
Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum
ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression
momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs
eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie
transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de
2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de
Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du
systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur
vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut
maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-
porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
le permettra [52]
Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en
conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee
plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos
eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou
agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme
eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par
accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18
j
Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et
documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent
document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui
permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons
eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de
leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene
preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article
30 Conclusion
Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie
eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de
concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme
si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait
dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne
La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de
Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la
deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin
complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit
une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus
deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit
preacuteceacutedemment
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Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une
conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies
anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux
expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les
eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un
ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par
Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz
Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations
eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees
provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire
Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique
quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident
geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant
donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision
cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants
magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013
pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]
Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des
eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]
Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet
dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques
denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave
lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du
comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique
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