Transcript
Page 1: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Photo:NicolasR

ighetti-R

ezo

NO 24 11 JUIN 2012www.migrosmagazine.ch

SOCIÉTÉ I 12

Pénurie delogements: lescitadins s’exilentà la campagne.INFOSMIGROS I 38

Des capsulesde café àminiprix pourun goût royal.COUPDECHANCE I 98

Agagner:des séjoursen familleà Europa-Park.

Eneauxvives

La Genevoise Elise Chabbey, 19 ans,représentera la Suisse aux JO

de Londres lors des compétitionsde kayak.Mais pour l’heure,

d’autres épreuves l’attendent:celles du bac. | 22

Veuillez annoncer le changement d’adresse à la poste s.v.p. ou au registre des coopérateurs, tél. 058 574 83 37

Edition

Neuchâtel-F

ribou

rg,JAA

2074

Marin

Page 2: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

GRILLADESEN FÊTE.

DU 22.5 AU 25.6.2012

App gril Migros pour

iPhone™ et Android™.

Téléchargement gratuit

sur: www.migros.ch/grill

9.80Bière sans alcoolEichhof10 x 33 cl

1.80RomarinEspagne / Maroc,le sachet

3.50Chips TerraSunny Forest100 g

3.65Wasabi Peanuts150 g

*En vente dans les plus grands magasins Migros.Société coopérative Migros Neuchâtel/Fribourg

3.–au lieu de 4.30Filet de saumonsauvage Sockeye,mariné, MSCde pêche durable,Alaska, les 100 g

30%

MAINTENANT À VOTRE MIGROOFFRES VALABLES DU 12.6 AU

MAINTENANT À VOTRE MAINTENANT À VOTRE

Page 3: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MG

Bw

ww

.mig

ros.

chW

MG

B

ww

w.m

igro

s.ch

5.60Burger de pouletM-Classic,surgelé4 x 90 g

5.80Cheese steakGrill mi*2 x 110 g

2.60Melon charentaisEspagne / France,la pièce

1.70au lieu de 2.–Toutes lescouronnes depain–.30 de moinsp. ex. couronnecroustillante,TerraSuisse, 300 g

3.10au lieu de 3.90Tous les fruitscoupésAnna’s Best20% de réductionp. ex. salade defruits d’été, 160 g

2.95Brochettesde poulet kebabOptigal*2 pièces, les 100 g

2.30au lieu de 2.90Laitue pomméerouge Anna’s Best20% de réduction150 g

3.30au lieu de 6.60Cervelas,TerraSuisse3 x 2 pièces, 600 g

50%

S: LE PLAISIR DES GRILLADES.18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

S: LE PLAISIR DES GRILLADES.

MG

B

ww

w.m

igro

s.ch

S: LE PLAISIR DES GRILLADES.S: LE PLAISIR DES GRILLADES.

MG

B

ww

w.m

igro

s.ch

W

S: LE PLAISIR DES GRILLADES.

Page 4: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Un an de bonne cuisine pour Fr. 39.– seulement12 numéros de Cuisine de Saison pour Fr. 39.– au lieu de 58.80*.Abonnez-vous sur www.saison.ch/fr/abo ou au 0848 877 848.

*Vente à l’unité

4 |SOMMAIRE |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

ÉDITORIAL

Steve Gaspoz, rédacteur en chef

Déménager,mais où?Le logement est une préoccupation importante pour beaucoupd’entrenous, surtout lorsqu’il s’agit d’en changer.La prochaine votation sur l’ac-cession à la propriété par l’épargne défiscalisée cristallise actuellement les opi-nions, sonnant comme un énième remake de la lutte des classes. En abordant laproblématique du logement en ville, nous avons décidé de laisser cela de côtépour nous intéresser à des gens comme vous etmoi.Cette classe ditemoyenneet laborieuse qui ne demande rien d’autre que de parvenir à se loger dans l’en-droit de son choix en conformité avec ses besoins et son budget, que ce soit parun achat ou une location (à lire en page 12).

Le constat estmalheureusement identique pour beaucoup: impossiblede trouver chaussure à sonpied.Tout simplement parce que les biens surlemarché sont rares et impayables pour lamajorité d’entre eux. Lemanque deconstruction lors des années 2000 et la croissance démographique accélérée aucours de la dernière décennie, sans compter la spéculation immobilière, anéan-tissent tout espoir d’embellie. A tel point que des villes commeZurich, Zoug etGenève, qui tenaient le haut du panier national question prix des logements,se trouvent désormais rattrapées, voire dépassées par des communes commeLausanne.Un rééquilibrage normal vu le succès économique de l’arc léma-nique? Peut-être,même s’il convient de tenir compte du différentiel fiscal plu-tôt important entre les bords du Léman et la Suisse alémanique.

La situationn’étant pas près de changer, l’unique solution qui s’offreà nombre de locataires ou propriétaires en devenir réside dans l’exil.Parcourir 10, 20 ou 50 kilomètres pour se rendre sur son lieu de travail n’a au-jourd’hui plus rien d’exceptionnel, cela le sera encoremoins demain.Une demi-heure de trajet en plus, des coûts, des trains ou routes saturés, du stress, desamis éloignés en échange d’une chambre d’enfant ou d’un peu d’espace supplé-mentaire, voilà la difficile équation qui se pose à nombre d’entre nous. Perdreen qualité de vie pour gagner en qualité de vie, un choix qui n’en est pas un.

[email protected]@mediasmigros.ch

Photos:Laurent

deSe

narclens

/MatthieuSp

ohn/F

rançoisW

avre-Rezo/T

hierryParel

M-Infoline:tél.: 0848 84 0848* ou +41 44 444 72 85 (depuis l’étranger).www.migros.ch/service-clientèle; www.migros.ch

Cumulus: tél. 0848 85 0848* ou +41 44 444 88 44 (depuis l’étranger)[email protected]; www.migros.ch/cumulus

Adresse de la rédaction: Limmatstrasse 152, case postale 1766, 8031 Zurich,tél. 058 577 12 12, fax 058 577 12 [email protected]; www.migrosmagazine.ch* tarif local

102 | LE MONDE DE…Aux Grangettes (VD), Gérard Bonneta créé un jardin qui ressemble à unvéritable petit paradis sur terre.

Publicité

Page 5: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Ovronnaz / VS - 027 305 11 00 - [email protected] - www.thermalp.ch

1470.-

Logement 7 nuits (sans service hôtelier)7 petits déjeuners avec buffetEntrée libre aux bains thermaux (8 jours)

VacancesThermalisme Montagne

1 soirée raclette ou 1 menu balanceAccès au sauna/fitnessPeignoir et sandales en prêt

Prix spécialFAMILLE (2 adultes + 2 enfants)

Au lieude Fr. 1827.-

| 5| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | SOMMAIRE

ENBREF6 | Les dernières informations

dumonde Migros.

INFOSMIGROS8 | Génération M: une nouvelle vie

pour les cintres.

SOCIÉTÉ12 | Dossier: leurs solutions à la pénurie

de logements en ville.18 | Succession: liquider son héritage

de son vivant: est-cela meilleure solution?

22 | Série Jeux olympiques: Elise Chabbey,du bac aux JO.

26 | Nature: une balade entre narcisseset montagnes sur la Riviera vaudoise.

32 | Entretien: Philippe Dessertine,économiste.

12 | SOCIÉTÉL’exilà la campagneou en Francevoisine descitadins de l’arclémanique.

80 | AU QUOTIDIENLa visite des moulinssouterrains du Locle:un véritable plongeondans le passé.

VOTRERÉGION75 | Votre coopérative régionale.

AUQUOTIDIEN80 | Escapade: dans les moulins

souterrains du Locle.84 | Santé: la méthode Tomatis.86 | Education: l’arthrite chez les enfants.88 | Voiture: la Peugeot 3008.

LEMONDEDE…102 | Gérard Bonnet: un jardin

extraordinaire aux Grangettes (VD).

RUBRIQUES10| Cette semaine31 | La chronique91 | Jeux: des bons Migros à gagner!

96 | Voyage lecteurs98 | Offre aux lecteurs

100 | Cumulus: les offres dumoment.

Publicité

68 | CUISINEDE SAISONLe tartare desaumon à lapomme vertede MichelineSpoerri.

80 | AU QUOTIDIEN

ENMAGASIN40 | Apéro: des amuse-bouche aux gressins.44 | Euro 2012: des snacks et des boissons

pour les championnats d’Europe de foot.47 | Farmer: des barres de céréales

en édition limitée.48 | Boucherie: une viande de bœuf très

spéciale en exclusivité à Migros.57 | Bifidus: coup de pouce à la digestion.59 | Bêta-glucane: le meilleur de l’avoine.61 | Cosmétiques: des soins L’Oréal pour

combattre les signes de vieillissement.63 | Sun Look: une protection solaire douce.65 | Lilibiggs Junior: un détecteur

de plaque dentaire.67 | M-Stars: la modeMigros culte.

CUISINEDESAISON68 | Micheline Spoerri: l’ancienneministre

genevoise livre sa recette du tartare desaumon à la pomme verte.

Page 6: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

6 |EN BREF |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

BAROMÈTREDESPRIXMigros baisse le prix de plus de quatre-vingts produits.

Article Ancien prix * Nouveau prix * Différence en%Légumes d’été Farmer’s Best, surgelés, 750 g 6.30 5.20 -17,5Riz Carolina M-Classic, 1 kg 2.40 2.20 -8,3Pois chiches M-Classic, 250 g 1.40 1.30 -7,1Grains demaïs M-Classic, non salés, 285 g 1.– –.90 -10Sauce Jaipur Tikka Masala, 350 g 4.50 4.10 -8,9Pain toast beurre Oliver’s, 250 g 2.– 1.80 -10Riz cantonais Anna’s Best Asia, 350 g 5.50 5.– -9,1Garniture pour toast M-Classic, 173 g 3.30 3.20 -3Bain de bouche antitartre Listerine 500ml 7.90 7.20 -8,9Crème Kukident super adhésive, 47 g 6.60 6.20 -6,1Couches-culottes Huggies Super-Dry, taille 5, 48 pces. 23.80 21.95 -7,8Coloration permanente Schwarzkopf Perfect Mousse 16.80 15.80 -6Sparadraps assortis M-Plast Sensitive, 24 pces. 2.80 2.40 -14,3Cold & Hot Pack M-Plast, 1 pce. 11.60 9.90 -14,7Lingettes de nettoyage M-Plast, 8 pces. 4.60 3.90 -15,2* En francs.

D igitec, un des plus importants ac-teurs de la vente en ligne de pro-duits informatiques et de télé-

communication, se taille un beau suc-cès depuis sa fondation, il y a onze ans.Ce magasin, qui appartient à la sociétéGalaxus, est connu pour ses prix avan-tageux et une livraison rapide de lamar-chandise. La prise de participation

de 30% par Migros n’y changera rien.Comme le souligne Herbert Bolliger,président de la Direction générale deMigros: «La stratégie gagnante de Di-gitec ne sera en rienmodifiée.»Au conseil d’administration de Ga-

laxusSA, les trois fondateurs de l’entre-prise Marcel Dobler, Oliver Herren etFlorian Teuteberg seront désormais re-

joints parHerbert Bolliger,Oskar Sager,chefdudépartementMarketing,etErnstDieter Berninghaus, chef du départe-ment Commerce àMigros.

Migros continue à développerson avance dans l’e-commerceDigitecpassepourunmodèlede réussiteen matière de commerce électronique.

Despionnierss’unissentMigros prend une participationdans Galaxus SA, une société qui

détient notamment Digitec et figureparmi les plus grands fournisseursde commerce en ligne du pays.Ce faisant,Migros consolide

sa position de leader dans le domaine.

Le plus grand tournoide golf de SuissePour la quatrième fois, les golfparcsMigros organisent sur leurs six parcours,dont le Signal de Bougy, le plus grandtournoi de golf de notre pays.La compétition se déroulera le 15 juilletprochain et récompensera le meilleurflight, soit la meilleure équipe secomposant de deux à quatre joueurs.

Infos et inscription: www.golfparcs.ch

Page 7: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Action

Montre FashionBracelet en silicone, boîtier enacier inoxydable / 7605.199

Disponible en diverses couleurs

Montre ChronoBracelet et boîtier en acier inoxy-dable, chronographe / 7607.113

Également disponible aveccadran noir

24.50Maintenant

Avant 49.–

99.50Maintenant

Avant 199.–

49.50Maintenant

Avant 99.–

50%

Montre TitanBracelet en cuir, boîtier en titane /

7607.082

Également disponible aveccadran blanc

FC

M

Les offres sont valables du 12.6 au2.7.2012 ou jusqu’à épuisement dustock.Vous trouverez ces produits et biend’autres encore dans tous les melectronicset les plus grands magasins Migros.Sous réserve d’erreurs et de fautesd’impression.

| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 |

| 7EN BREF

de poids: des prix bas,un assortiment com-plet, un service fiableet un réseau de maga-sins en ligne et tradi-tionnels.

De nouvellesperspectivesDigitec et Galaxuscontinueront d’êtregérées comme des so-ciétés et des marquesindépendantes.Lapar-ticipationdeMigrosnechange rien pour lepersonnel.Les perspectives

de croissance, déjàénormes, des ventesen ligne sont appeléesà se développer en-core à l’avenir, commel’explique Florian Teu-teberg: «Migros est

le partenaire idéal. Elle est financière-mentenpleine santé, fiable,opèreà longterme et bénéficie d’une expérience desachats, du marketing et de la logistiquedont nous ne pouvons que profiter.»En2011, selon les chiffresd’uneétude

de l’Université de Saint-Gall, le négoceen ligne suisse a généré 8,7 milliards defrancs, soit une hausse de 48% par rap-port à 2010.

Texte: Daniel Sidler

Ces dernières années,l’entreprise a régulière-ment ouvert de nou-veaux points de ventetraditionnels, tout endéveloppant son offresur internet. En paral-lèle, les trois cofonda-teurs ont poursuivi unautre objectif. Ainsi,l’entreprise centrée àl’origine sur l’informa-tique et les télécommu-nications s’est considé-rablement diversifiée.Avec la boutique ga-laxus.ch, elle comptes’élever au rang de lea-der suisse des grandsmagasins en ligne.Avec son savoir-faire

qui ne pourra queprofi-ter à l’équipe Galaxus,Migros est déjà trèsactive dans la vente enligne. L’an passé, le distributeur a dé-gagé un chiffre d’affaires de 664 mil-lions de francs dans l’e-commerce, cequi correspond à environ 3% du chiffred’affairesdesventesdedétail dugroupe.Aujourd’hui, Migros occupe déjà la

première place dans le marché suissedu commerce électronique. «Notrebut est de continuer à développer notreavance», assure Herbert Bolliger. Pourcela, Migros compte sur des arguments

Avenir communSous réserve de l’approbationde la Commission suissede la concurrence (COMCO),la Fédération descoopératives Migros (FCM)reprend 30% de Galaxus SA,propriétaire de digitec.ch etgalaxus.ch. Digitec.ch emploieplus de trois cents personneset possède son propre centrede logistique, d’une surfacede 17 000m2, alors quegalaxus.ch est un grandmagasin virtuel.

PARTENARIAT

Migrolinomet le turboLa filiale de Migros activesur le marché des produitsconvenience va étendred’un coup son réseau decinquante-cinq magasins,passant ainsi de centseptante-cinq à deux centtrente shops. Cette rapideexpansion est rendue possiblegrâce à un contrat defranchise passé avec SocarEnergy Switzerland qui arécemment racheté EssoSuisse. «Ces stations sonttrès bien situées etcompléteront idéalementle réseau Migrolino actuel àl’échelon du pays», a expliquéErnst Dieter Berninghaus, chefdu département Commerce

et membre de la Directiongénérale de Migros.Dans les nouvellesenseignes Migrolino – lapremière devrait voir le jourcet automne –, les clientstrouveront un vaste choixde produits Migros à prixavantageux, des articles de

marque ainsi que desspécialités de la nouvelleligne Migrolino. Des pointsCumulus pourront êtrecollectionnés sur lescourses effectuées dansles shops,mais aussi surles carburants achetéschez Socar.

Les heureuxfondateurs deDigitec:Marcel Dobler,Oliver Herrenet FlorianTeuteberg(de g. à dr.).

Grâce au contrat de franchise avec Socar,Migrolinodisposera de cinquante-cinq shops en plus.

«Migros estle partenaire

idéal.»Florian Teuteberg,

fondateur de Glaxus SA

Photos:DanielW

inkler,DR

Page 8: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

8 |générationm |No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |

Une secondevie pour les cintresmigros recycle un grand nombre de produits, dont les porte-habits.

L’expert en logistique Jörg Ackermann au Centre de distributionMigros Neuendorf SA: lesmagasinsMigroslui réexpédient chaque année dixmillions de cintres.

Photo:iStockph

oto/Re

néRu

is(m

ontage)

Les CD et les DVDaussiil est un domaine très particulier du recyclageoù Migros fait œuvre de pionnière. En effet,le distributeur est le seul à récupérerles CD et les DVD dans une centaine demagasins. En 2011, deux tonnes ont ainsi étécollectées. Ces supports scintillants sontconstitués à 90%de polycarbonate,unmatériau qui peut être réutilisé pourfabriquer des produits de haute qualité,tels que des casques demoto, des boîtiersd’écran ou des instrumentsmédicaux.Le système de recyclage sera élargi d’ici à fin2012 à l’ensemble des magasins Migros deSuisse. Le distributeur s’est fixé un objectifambitieux: récupérer et recycler cinqtonnes de CD et de DVD par an d’ici à 2015.

Volketswil. En moyenne, un cintre peutêtre réutilisé jusqu’à quatre fois. Ainsi,la proportion d’exemplaires récupérésavoisine actuellement les 70%.Les pièces défectueuses sont trans-

formées en granulés qui serviront à fa-briquer de nouveaux cintres.«Nous sommes heureux que Mi-

gros s’engage à limiter au maximum saconsommation de ressources, com-mente Fredi Lüthin, porte-parole duWWFSuisse.Nousvivonsau-dessusdenos moyens. Si tout le monde consom-mait autant de ressources naturellesque les Suisses, nous aurions besoin de2,8 planètes.»

Texte: Christoph PetermannPhoto: Paolo Dutto

A vez-vous déjà réfléchi au nombrede cintres utilisés chaque annéedans les magasins Migros? Et à

ce qu’ils deviennent après emploi? Cesquestions peuvent sembler anodines aupremier abord,mais en réalité,elles sontau cœur d’un véritable exploit logis-tique– et constituentmêmeunvolet dela campagne de développement durableGénérationM.Dans ce cadre-là,Migrospromet en effet de recycler l’intégralitéde ses porte-habits.Migros pourra-t-elle tenir cet enga-

gement? «Sans l’ombre d’un doute»,assure Jörg Ackermann, directeur de lalogistique des textiles au Centre de dis-tributionMigros Neuendorf SA (MVN).Sise à Volketswil (ZH), cette unité four-nit tous lesmagasinsMigros etSportXX.Aujourd’hui, le tauxde retourdescintresen plastique est déjà de 100%. En effet,tous lesmagasinsMigros les réexpédientnon triés à MVN. «Au total, cela repré-sente environ dix millions de pièces parannée», précise Jörg Ackermann.Jusqu’à il y a peu, les différents mo-

dèles étaient simplement jetés, faute desystèmede recyclage global pour ces ar-ticles à l’échelle suisse.En 2005, Migros s’est mise à la re-

cherche d’une solution, qu’elle a finipar trouver auprès de la société ErsfeldAgain à Aschaffenburg, en Allemagne.«Cette entreprise est leader dans le do-maine; c’est un partenaire idéal», sou-ligne Jörg Ackermann.Les cartons remplis de cintres sont

réceptionnés à Volketswil. Le tri et lecontrôle de qualité, deux opérations quiexigentbeaucoupde travail, s’effectuenten Allemagne. Si le crochet est mal fixéou le cintre abîmé, l’objet est écarté.Lesporte-habits enbonétat sont renvoyésà

Protection de l’environnement:Migros inspire confianceDans le domaine de la protectionde l’environnement,Migros est lamarque la plus digne de confiance.Tel est le résultat de la dernièreenquête menée par le magazine«Reader’s Digest».

En Suisse, près de 1500 personnesont pris part à ce vaste sondagequi se déroule chaque année.Les résultats sont pour le moinséloquents: 23% des votants ontdonné à Migros le titre de envié de

«Most Trusted Brand» dans ledomaine disputé de la protectionde l’environnement. Son principalconcurrent reçoit 19% des suffragesalors que la Fondation Max Havelaarconvainc 7% des sondés.

Page 9: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MG

Bw

ww

.mig

ros.

chW

PAR EXEMPLE: ANCIENPRIX

EN CHF

NOUVEAUPRIX

EN CHF

RÉDUCTIONDE PRIX

EN %

UNE NOUVELLE BAISSE DE PRIX DURABLESUR DE NOMBREUX PRODUITS.

ANCIENPRIX

EN CHF

NOUVEAUPRIX

EN CHF

RÉDUCTIONDE PRIX

EN %

Légumes d’été Farmer’s Best, surgelés, 750 g 6.30 5.20 17,5 %Riz basmati Max Havelaar, 1 kg 4.05 3.75 7,4 %Riz M-Classic Carolina, 1 kg 2.40 2.20 8,3 %Pois chiches M-Classic, 250 g 1.40 1.30 7,1 %Grains de maïs M-Classic, non salés, 285 g 1.00 0.90 10,0 %Sauce Jaipur Tikka Masala, 350 g 4.50 4.10 8,9 %Pain toast beurre Oliver’s, 250 g 2.00 1.80 10,0 %Cœurs de France Dessert, 360 g 3.00 2.90 3,3 %

Riz cantonais Anna’s Best Asia, 350 g 5.50 5.00 9,1 %Garniture pour toast M-Classic, 173 g 3.30 3.20 3,0 %Jambon roulé mini TerraSuisse, fumé, les 100 g 2.95 2.80 5,1 %Protection des dents et des gencives Listerine, 500 ml 7.90 7.20 8,9 %Bain de bouche antitartre Listerine, 500 ml 7.90 7.20 8,9 %Crème Kukident super adhésive, 47 g 6.60 6.20 6,1 %Couches-culottes Huggies Super-Dry, taille 5, 48 pièces 23.80 21.95 7,8 %Colorations permanentes Schwarzkopf Perfect Mousse 16.80 15.80 6,0 %

AVEC LA NOUVELLE BAISSE DE PRIX DE NOMBREUX AUTRES PRODUITS, MIGROS

A MAINTENANT RÉDUIT DURABLEMENT LE PRIX DE ARTICLES DEPUIS

DÉCEMBRE 2010. FAIRE SES ACHATS À MIGROS, C’EST ÉCONOMISER MALIN.

MG

B

ww

w.m

igro

s.ch

W

BAISSEDE PRIX

DURABLE

BAISSEBAISSEDE PRIX

DURABLE

Page 10: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

10 |cette semaine |No 24, 11 juiN 2012 | migrosmagazine |

saviez-vousque…?

Du pain pour les cygnes: n’en jetez

Photo:Marco

Vasini/A

P

VincentKaufmann estprofesseurde sociologieurbaine etd’analyse delamobilité,à l’EPFL.

illustration:Ko

nrad

Beck

Le pain n’est passain pour lescygnes.

sur le vif

«Unevilledynamique créedes nuisances»Pourquoi la vie nocturne pose-t-elle pro-blème à Lausanne?La ville a connu une grande croissancedémographique ces dernières années.C’est une ville étudiante. Les lieux defête s’autoalimentent et cela attire desgensvenusd’ailleurs.Ça a aussi été ren-dupossible grâce aux trains et bus pyja-ma.Alors, évidemment, une ville dyna-mique crée des nuisances. Mais lesjeunes ont besoin de s’amuser, si on lesempêche, ils s’exprimeront d’une autremanière.

Comment faire cohabiter riverains et fêtardspacifiquement?Leproblèmeduquartier duFlon, à Lau-sanne, est emblématique: dans le quar-tier réputéde lanuit,onyaconstruit deslogements, c’est incohérent.Est-il légi-time de se plaindre du bruit quand on yhabite? Il y ades règlesdu jeuà fixerpourvivre ensemble,dansune sociétédeplusen plus individualiste. Il faut de la tolé-rance et elle ne passe pas forcément pardes lois oupar la police.C’est du savoir-vivre.

Que pensez-vous des propositions émises,comme unmoratoire sur l’ouverture de nou-veaux lieux de fête, ou leur délocalisation enbanlieue?Cela créerait d’autres problèmes: au ni-veau de l’ambiance, ce n’est pas terribled’être «puni» si on veut une vie noc-turne. Pour la sécurité non plus si lesgens viennent en voiture, dans un lieupeu fonctionnel, et avec de l’alcool. En-fin, il n’y a pas demélange social. Il n’y apas de solution simple, je crois aux ver-tus de la discussion, comme lorsque sespropres voisins font trop de bruit. De-puisunequinzained’années, leshorairesde sortie se sont décalés plus tard, celaparaît doncnormalque lesdiscothèquesrestent ouvertes aussi après 2 heures dumatin.

L’alcool est-il le gros problème?L’interdiction de vente après une cer-taine heure dans quelques cantons a euune certaine utilité, car la violence estliée à la consommation. Ce problèmeainsiqueceluidutraficdedroguedoiventêtre réglé. Entretien:Mélanie Haab

C ’est dimanche, les familles sesuivent en circuit au bord du lac,des sacs remplis d’un précieux

butin que les enfants se battent pourporter: du pain pour les cygnes. But debalade familiale numéro un en Suisse,la becquée aux palmipèdes, canards etautresmouettes, oxygène la smala pourpas un rond. La pratique est tellementbien ancrée dans les traditions que cer-taines villes abritent des containers derécupération pour les restes de pain secqui serviront à nourrir ces animaux lesautres jours de la semaine.Mais tout cela n’est pas très raison-

nable. Car même si les majestueux vo-latiles ont l’air d’aimer le pain, le pain

n’est pas bon pour eux. D’abord parceque leur organisme n’est pas program-mé pour le digérer. Ensuite parce quec’est un aliment artificiel, bien maigrenutritionnellement parlant, sans vita-mine, avec du sel et beaucoup d’hy-drates de carbone. Et puis encore parce

Page 11: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 11| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | CETTE SEMAINE

MES BONS PLANS

PatriciaBrambilla,journaliste

pas trop!

DANS L’OBJECTIFCes nomades kazakhsà cheval et leur troupeaude bétail transhument dansla plaine de l’Altaï, une zonemontagneuse située entrela Russie, la provinceduXingjiang, laMongolieet le Kazakhstan.

qu’il leur tombe tout cuit dans le bec,contrairement aux plantes ou larvesd’insectes qu’ils doivent aller cherchereux-mêmes. En plus, cette pitance do-minicale fait douloureusement gonflerle ventre des oiseaux, relèvent certainsspécialistes. Quand elle ne crée pas demicropollution dans les ports où lesrestesdepain flottent sans êtremangés.Mais bon, grand observatoire suisse

des oiseaux, la Station ornithologiquede Sempach n’a pas constaté d’héca-tombes de cygnes à cause du pain. Iln’existe cependant pas de grandes re-cherches à ce sujet. Il n’y a guère qu’en2004ducôtédeZurichqu’unedouzainede cygnes avaient succombé à l’inges-

tionde restesdemiches.Et encore,c’estqu’elles étaientmoisies.Onpeutdonccontinuer à leur jeterdu

pain. Mais modérément. Et seulementd’un geste ample pour que les miettesatterrissent dans l’eau et non sur le bé-ton des rives. Les oiseaux ont plus derisques de se refiler des maladies s’ilsviennent en nombre picorer à terre…aumilieu des fientes.Mais le plus gros danger à nourrir les

cygnes, c’est qu’on engraisse aussi… lesrats! Bien planqués sous les rochers oules quais, ces petits malins des villes enprofitent. A tel point que Lucerne a dûsensibiliser lapopulationàcet effet col-latéral. Isabelle Kottelat

Deux spectaclessous chapiteau

D’abord un singe vaniteux qui vole une sta-tuette précieuse et c’est la fin de l’harmonieau royaume de Jade . Et puis, changementde décor, les pièces d’un échiquier s’animentet sortent des cases. La partie prend alorsune tournure inattendue... Deux spectaclespleins de fraîcheur à découvrir absolument.

«Maneki-Neko» et «Les échecs» par Une fois uncirque. Jusqu’au 20 juin, à Confignon. Entrée libre.

Abeillesà l’honneur

Elle pèse 85milligrammes,mais son rôle estindispensable à la vie. Pour rendre hommageà cette butineuse, le Théâtre du Crochetanpropose un spectacle inédit: 60 000 abeillessur scène! Pour accompagner ce live-show,menumellifère, dégustation de vins et demiels, forcément.

«La Sagesse des abeilles», par Michel Onfray. Du13 au 15 juin au Théâtre du Crochetan, Monthey.

Une saladede polyphénols

Savez-vous que la baie de l’argousier contienttrente fois plus de vitamine C que l’orange?Et que le jus demyrtille améliore les fonctionscognitives? Dans son dernier ouvrage, lephytochimiste passe tous les fruits en revue,de leur provenance à leurs propriétés théra-peutiques. Après la lecture, on court se prépa-rer une salade de fruits!

«Les vertus thérapeutiques des fruits de cheznous», par Kurt Hostettmann, Ed. Favre.

Portraitsd’Afrique

L’Afrique sous un autre angle, hyènes en laisseoumassacre rwandais. L’œil du photographeengagé, Pieter Hugo, décline les portraits quidérangent. A découvrir à travers la premièreexpomonographique qui lui est consacrée.

«Pieter Hugo. Selected works 2002-2011». Muséede l’Elysée, Lausanne, jusqu’au 2 septembre.

Pour annoncer un événement:[email protected]

Page 12: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

12 |société | arc lémanique |No 24, 11 juiN 2012 | migrosmagazine |

Crise du logement: l’des famillesTrouver un appartement à Lausanne ou à Genève à un prix abordable est de plusNombreux sont ceux qui choisissent de partir.

F amille genevoise ou lausannoisecherche 4 ou 5 pièces désespéré-ment. L’annonce pourrait faire le

tourdes journauxde l’arc lémanique tantla crise du logement y est aiguë.Avec untauxdevacancede0,25%àGenève et de0,5% dans le canton de Vaud et des prixqui flambent, trouver un appartement

en zone urbaine relève du parcours ducombattant. A tel point qu’après l’arri-vée d’un nouvel enfant, de plus en plusde familles de la classe moyenne, pour-tant désireuses de rester sur l’arc léma-nique, sont contraintes à l’exode.Si pour ces tribus départ rime parfois

avec accès à la propriété, quitter «leur»

Sur l’arclémanique,trouverun logementressemble pourde nombreusesfamilles à unchemin de croix.

«Les logementssont trop cherspour deux tiersdes Lausannois»Grégoire Junod,municipal lausannois

Page 13: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

arc lémanique | 13| migrosmagazine |No 24, 11 juiN 2012 | Société

ement: l’exodeen plus difficile pour la classemoyenne.

Nathalie Robert, 38 ans,collaboratrice scientifique,et Olivier Robert, 33 ans,œnologue, deux enfants(Lisa, bientôt 3 ans, et Eliott,6mois)

Deux ans. C’est le temps queNathalie Robert a passé àchercher un appartement d’aumoins 4 pièces dans le quartierSous-Gare, à Lausanne. C’estaussi le temps que cette colla-boratrice scientifique de 38 ans,mariée et maman de deux en-fants, dont un bébé de 6mois, amis pour réaliser que son rêvede vie dans cette ville qu’elle«adore» ne se réaliserait pas.Attablée dans son salon-salle à manger-chambrede bébé, elle raconte: «Nousvivons à quatre dans un3 pièces d’un peumoins de70m2 pour un loyer de1235 francs par mois. Monmariet moi avons tous deux un bonsalaire et je me suis dit quenous trouverions plus grandautour des 2000-2500 francspar mois.» Erreur. Avec lacontrainte d’habiter près de lagare, Nathalie se rendant entrain à Nyon où elle travaille, lafamille a dû se résoudre à cette

évidence: les prix pour un 4 ouun 4,5 pièces sont plus prochesde 3000 francs que de 2000.«Débourser autant était in-concevable pourmonmari etje le comprends. Aujourd’hui, ondoit tout mettre dans son loyer,tout cela pour du vent, s’énerveNathalie. Nous ne pensions pasquitter Lausanne,mais noussommes obligés de partir.»Résultat: les Robert ont décidéde déménager àYverdon, «làoù les prix sont plusmodé-rés». Et surtout de devenir pro-priétaires alors qu’ils n’y pen-saient pas. En juillet, ils poserontleurs valises dans un duplex de150m2 acheté en PPE, non loinde la gare afin que Nathaliepuisse se rendre facilement àNyon, et à quelques kilomètresdu lieu de travail d’Olivier, le pa-pa. «Nous sommes tombés surce projet par hasard, se souvientNathalie. Nous avons fait noscalculs, vu qu’Yverdon et Nyonétaient reliés par un intercity, etnous sommes arrivés à laconclusion qu’acheter nousreviendraitmoins cher que derester locataires.» Seul hic: l’in-tercity Genève-Yverdon-Neu-châtel ne s’arrêtera plus à Nyondès décembre 2012…

«Nous sommes obligés de partir»

famille et après y avoir vécu dix ans (lireencadré).«Jenecomprendspasune telleflambée des prix. Dans mon immeuble,un appartement de lamême taille que lenôtre s’est libéré il y a deux ans. La gé-rance l’a rénovéet lenouveau loyer estde500 francs supérieur au nôtre!» Elle etsonmari ont finalement franchi lepas etdécidédedevenirpropriétaires.Mêmesilemarchéde l’immobilier est à la hausse(plus de 30%endix ans pour l’ensemblede laSuisse selonuneétudeparueenmaidernier).

«les prix ont perdula tête»Cette réalité des prix, le municipal lau-sannois du logement Grégoire Junod laconnaît bien:«Desétudes récentes réa-lisées par nos services montrent qu’au-jourd’hui les logements disponibles surlemarché sont tropcherspourdeux tiersde la population.» La faute au dyna-misme économique de l’arc lémanique,qui a vu l’implantation de nombreusesentreprises étrangères,et à la croissancedémographique, deux facteurs poin-tés du doigt depuis longtemps. Mais cen’est pas tout. Le municipal dénonce«des prix qui ont perdu la tête», loindes coûts réels de construction, et desaugmentations abusives lors de chan-gements de locataires. «A Lausanne,relève-t-il, le prix des appartements àvendre a augmenté de 60% en cinq ansen raison d’une forte spéculation sur leprix des terrains notamment.»

«c’est le principe de l’offreet de la demande»Président romand de l’USPI, l’Unionsuisse des professionnels de l’immobi-lier, le Genevois Hugues Hiltpold ad-met que certains propriétaires fixentdes prix trop élevés. «C’est le principede l’offre et de la demande. Je ne dis pasque c’est bien,mais c’est humain.» Il le

ville ne se fait pas toujours de gaietédecœur.Ladécisiondepartir estdansde nombreux cas l’aboutissement delongs mois de recherches infruc-tueuses. Future exilée lausannoise,Nathalie Robert se dit «en colère»,elle qui s’apprête à quitter la capi-tale vaudoise pour Yverdon avec sa

Des prix dans le rougen Combien pour un 4,5 pièces à Lausanne ou à Genève? Leschiffres varient du simple au double. Tandis que certains débourse-ront 1700 francs par mois, d’autres se verront contraints de payerplus de 3000 francs. un fossé qui s’explique principalement par lechangement de locataire. Car si à Genève les loyers des logementsnon neufs n’ont grimpé «que» de 1,5% en 2011 (selon l’Office canto-nal de la statistique), ils ont progressé de 17% lorsque le locataire achangé. A Lausanne, leur prix a grimpé de 15% en cinq ans, note deson côté le municipal du logement Grégoire junod.n Selon une étude réalisée par le site Comparis qui a épluché prèsde 250 000 annonces sur les principaux portails immobiliers dupays, le prix d’un 4,5 pièces standard genevois serait de3900 francs parmois contre 2400 francs enmoyenne autourdu Léman et 2950 francs à Zurich. Le cabinet de conseilsimmobiliersWüest & Partner a lui aussi examiné les prix. Au premiertrimestre 2012, le loyer médian d’un appartement en locationde 100m2 reviendrait ainsi à 2250 francs par mois à Lausanne,et à 3000 francs à Genève.

Page 14: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MG

Bw

ww

.mig

ros.

chW

MG

B

ww

w.m

igro

s.ch

5.90Kellogg’sOptivita375 g

PRENEZ SOIN

DE VOTRE CŒUR!

5.90

DE VOTRE CŒUR!

Réduire votre taux de cholestérol est dorénavant chose facile. Kellogg’s Optivita contient une fibre alimentairesoluble appelée bêta-glucane d’avoine. Il vous suffit d’en consommer au moins 3g par jour pour faire baisserle taux de cholestérol sanguin. Les produits affichant le logo Friend-Oatwell® sont particulièrement riches enbêta-glucanes d’avoine. Vous trouverez d’autres informations à ce sujet sur www.friendoatwell.ch

En vente dans les plus grands magasins Migros.

OFFRE VALABLE DU 12.6 AU 25.6.2012,JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

PRENEZ SOIN DE VOTRE CŒUR!

20xPOINTS

Page 15: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MAGNESIUM BIOMED®

UNOComplément alimentaire sous formede granulés à boire au goût fraisd’orange, avec 300 mg de magnésium.

En vente dans les pharmacieset les drogueries. Distribution: Biomed AG, 8600 Dübendorf, www.biomed.ch

| 15| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | société | arc léManique

Sacha, 38 ans, cofondateurd’une société active danslematériel médical, etMara, 36 ans, trois enfants(Maya, 6 ans, Ophélie, 3 ans,et Matthias, 5mois)

«Le bébé dort dans notrechambre et les deux filles en-semble. Les pièces sont pe-tites, la cuisine n’est pas agencéeet l’on peut juste y mettre unetable. A cinq, nous sommes vrai-ment à l’étroit.» Sacha, sa femmeMara et leurs trois enfants viventdans un 4,5 pièces de 85m2 àdeux pas du parc de Milan, à Lau-sanne. une situation qui prendrafin dans quelques mois. La petitefamille quittera alors la capi-tale vaudoise pour un villagedu Gros-de-Vaud et unemaisonde 150m2 achetée en PPE.Le confort a pourtant un prix.Celui des trajets (Sacha et safemme travaillent à Lausanne),mais aussi du manque de facilitéd’accès aux diverses infrastruc-tures (le village n’a, par exemple,pas de crèche ouverte toute lajournée). Mais qu’importe. «Lemarché est tel que l’on paie le prixfort pour des biens qui n’en ontpas la valeur», déplore Sacha. Etde se réjouir de ce nouveau cadre

de vie pour sa tribu. «Nous auronsun jardin, les enfants pourrontjouer dehors.»Une aubaine pour ce couple detrentenaires qui caressait lerêve de devenir propriétaire«un jour» sans pour autant enfaire une priorité absolue. «Aprèsavoir cherché un appartementpendant six mois, nous avons réa-lisé que nous ne trouverions rien àLausanne, ni dans les environsproches. Aujourd’hui, un apparte-ment de 110 ou 120m2 avecbalcon revient à environ2800 francs par mois. Et pouracheter unemaison correcte, ilfaut compter 1,2 à 1,5 million defrancs. Pour nous, c’est inimagi-nable, poursuit-il. Là où nous al-lons, nous doublerons notre sur-face habitable tandis que notreloyer baissera de 1950 francs à1300 francs par mois grâce auxtaux hypothécaires qui sont bas.»

«Onpaie le prix fort»

reconnaît, «pour une famille, se logerà Genève est malheureusement devenuinaccessible». Mais, poursuit-il, la si-tuation actuelle est avant tout le résul-tatd’unmanqued’anticipationde lapartdes autorités, de procédures adminis-tratives lourdes et des trop nombreusesoppositions qui retardent les projets deconstruction. C’est aussi le fait d’unepolitique fiscale trop attractive à l’égarddes multinationales, déplore quant àlui Carlo Sommaruga, secrétaire géné-ral de la section romande de l’ASLOCA(l’Association suisse des locataires). Le

Pour faire face àla demande delogements, laVille deLausanne aréaménagé,entre 1996 et2005, le quartieranciennementoccupé par ledépôt de bus dePrélaz.

Publicité

«Nousauronsun jardin»Sacha, futur propriétaire.

Page 16: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

* Valable pour toutenouvelle souscriptiond’un abonnement SwisscomTV (p.ex. SwisscomTV start, frais de baseCHF14.–/mois). SwisscomTVnécessite un raccordementfixe (p.ex.EconomyLINE analogique, CHF25.35/mois) et unaccès Internet Swisscom (p.ex. DSL start CHF0.–/mois). Duréeminimale du contrat 12mois. Le contrat peut être résilié avant échéancependant les deuxpremiersmois. La réceptiondes chaînesHDdépenddes performances de votre raccordement. Vérificationde la disponibilité souswww.swisscom.ch/checker

Cet été, vivez lemeilleur du football avec SwisscomTV–enqualitéHDultranette.Plus d’infos au SwisscomShopet souswww.swisscom.ch/tv

Changez un goal en un

GOOOOOOAL enHD.Télévision numérique SwisscomTV.

En cadeaumoisde frais de base*4

Page 17: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 17| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | société | arc léManique

Claudine, 29 ans, assistantedentaire, actuellement au foyer,et Fabien Christinet, 34 ans,assistant technique, deux enfants(Eloïse, bientôt 4 ans, et Léo,9mois)

Jamais Claudine et Fabien Christi-net n’auraient pensé vivre un jouren France voisine. «Comme tous lesGenevois, nous avions une vision as-sez négative des frontaliers…», recon-naissent-ils. Pourtant, voilà plus d’unan que la petite famille habite Lathoy,un petit village sur les hauts de Saint-julien-en-Genevois (F). Dans unemaison bien agréable certes – cam-pagne sous les fenêtres –mais quiétait loin de constituer leur premierchoix.«jusqu’en 2010, nous vivions à Plan-les-Ouates (GE), raconte FabienChristinet. Nous prévoyions d’avoir undeuxième enfant assez rapidement etnotre appartement devenait trop pe-tit.» Au bénéfice d’un petit héritage,

le couple envisage alors d’acheter unlogement dans sa commune, à laquelleil est attaché. «Les prix étaient rédhi-bitoires. Et nous n’avions pas envie derester locataires et de devoir payerentre 2500 et 3000 francs par mois.»Les voilà donc contraints de se ra-battre sur la France. Avec pour princi-paux critères de ne pas trop s’éloignerde leur famille et de leur nounou et de«marcher au coup de cœur: nousvoulions vraiment trouver une vil-la qui nous plaise». Cette fois-ci, ilsont plus de chance: la quatrièmemai-son qu’ils visitent est la bonne. «L’eu-ro était relativement bas, nous avonsdonc pu l’obtenir à un prix intéres-sant.»Satisfaits de l’arrangement? «Noussouffrons tout demême un peu del’éloignement, notamment au niveaudes transports en commun: il fautmarcher 25 minutes pour atteindre lepremier arrêt de bus. En revanche, dixminutes suffisent pour atteindrePlan-les-Ouates en voiture.» Claudine

et Fabien Christinet ont également dûse battre avec l’administration, suisse– pour annoncer leur départ – et fran-çaise: «Avec les impôts, l’immatricu-lation de la voiture, le permis deconduire, c’est loin d’être évident!»Mais au final, le couple estime avoirfait le bon choix: «Nous vivons dansun petit village qui a une âme, notrefille a pu être scolarisée une annéeplus tôt qu’en Suisse et, reconnais-sons-le, la vie est quandmêmemoinschère en France…»

«Les prix en Suisse étaientrédhibitoires»

Genevois prône une participationactive de ces dernières à la créationde nouveaux logements lorsqu’ellesviennent s’implanter. En les contrai-gnant,par exemple,à contribuer àunfonds de développement.

Vers une politiqueproactiveSouvent accusés de ne pas avoir vuvenir l’afflux de futurs résidents (lesprévisions démographiques esti-ment leur nombre jusqu’à 100 000à Genève et 150 000 dans le cantonde Vaud d’ici 2030), les pouvoirs pu-blics tentent aujourd’hui d’enrayerle phénomène. Genève prévoit deconstruire 2500 logementspar annéedurant les vingt prochaines années,notamment grâce au déclassementde zones villas et agricoles en zonesà bâtir et en facilitant les procéduresadministratives. De son côté, Vaudfait du logement l’une des prioritésde la nouvelle législature.

les autorités planchentsur des solutionsCar l’exode de plus en plus massifdes classes moyennes résidant enville préoccupe les autorités. «Noussommes en train de proposer desstratégies plus proactives pour sou-tenir aussi la construction de loge-ments destinés à cette catégorie de lapopulation»,expliqueSamuelRoyer,chef de l’Unité logement du cantonde Vaud. Parmi les pistes: accompa-gner lesgrosprojetsdans leursprocé-dures administratives,encourager lesobjets à «loyers abordables» et sou-tenir la mise sur pied de politiquescommunales du logement plus glo-bales et systématiques.«Toute ladif-ficulté sera de faire revenir les classesmoyennes au centre ville», prévientGrégoire Junod.Pouryparvenir,Lau-sanne mise sur le développement delogements d’utilité publique commeles coopératives, suivant l’exempledeZurich.La tendance n’est toutefois pas

près de s’inverser. Pourtant, commele rappelle Hugues Hiltpold, au dé-but du XXe siècle Genève a connu lacrise inverse. On trouvait alors lesannonces suivantes:«Appartementàlouer, les trois premiersmois de loyerofferts»…

Textes: VivianeMenétreyet Tania Araman

Photos:Mathieu Rod et Thierry Parel

«La vie estquandmêmemoins chèreen France»Fabien et Claudine Christinet

Fabien et Claudine Christinet ont trouvé leur bonheur dans un petit village situé sur les hauts de Saint-Julien-en-Genevois (F), à dixminutes en voiture de la Suisse.

Page 18: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

18 |SOCIÉTÉ | SUCCESSION |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Comment liquider sonhéritagede sonvivantPour éviter la guerre lors de la succession ou que le patrimoine familial finisseentre lesmains de l’Etat, les parents sont de plus en plus nombreux à donnerbiens et argent avant demourir. Un bon calcul?

La transmission,de son vivant,du patrimoinematériel est unepratique de plusen plus courante.

Page 19: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 19| MIGROS MAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | SOCIÉTÉ | SUCCESSION

J eunes retraités, Bernard et Pierretteveulent donner leur appartement devacances à leurs enfants, en pensant

qu’il échappera ainsi à l’Etat le jour où ilsdevront entrer en EMS. Alexandre, veuf,a décidé d’offrir de grandes sommesd’argent à chacun de ses enfants pourles aider à acheter leur maison. Made-leine a cédé sa villa à l’une de ses fillescontre l’usufruit d’un appartement aurez-de-chaussée de la bâtisse, mais ellese demande qui paiera les soins si elledoit entrer au home.

Donner de son vivant devient tou-jours plus fréquent. Pour des motiva-tions multiples: régler avant l’heure lesquestions de succession et être sûr quece ne soit pas la guerre après son décès,donner des objets particuliers à des per-sonnes particulières tant qu’on y pense,pouvoir faire bénéficier ses enfants d’ar-gent ou d’une maison au moment où ilsen ont besoin, contourner le fisc ou lepaiement des soins en EMS, s’assurerque la maison reste dans la famille et queles enfants s’en occupent ainsi que desparents par la même occasion…

«La personne peut offrirtout ce qu’elle a»

En Suisse on peut donner cequ’on veut à qui on veut deson vivant. «Aussi long-temps que la personne n’est

pas sous tutelle, elle peut of-frir tout ce qu’elle a et devenir

pauvre comme Job», confirmePierre Philippe Courvoisier, délégué

des notaires vaudois. Et à n’importe qui:par exemple une personne qui fait for-

tune et décide de tout donner auxbonnes œuvres. «On a vu des en-

fants tenter de mettre leurs parentssous tutelle, parce qu’ils esti-maient qu’ils dilapidaient leurfortune.» Seule réserve: si lapersonne procède à de telles lar-gesses qu’elle s’expose à ne plus

pouvoir subvenir à ses propresbesoins et risque de tomber à la

charge de l’Etat. Et c’est là d’ail-leurs que tout se complique un brin.Si on est libre de donner, on n’est

pas libre des conséquences, et ce, sur aumoins trois plans: lors de la succession,sur le plan fiscal ainsi que celui des ré-gimes sociaux, c’est-à-dire ce qui a traitaux aides sociales, par exemple pourl’octroi des prestations complémen-taires. Les donations agissent parfoiscomme de véritables bombes à retar-

dement, estime PierrePhilippe Courvoisier.

A l’heure du décès,les membres de la fa-mille se battront selonles avantages reçus ounon avant. Parce que lesdonations faites du vivant dudéfunt seront prises en comptedans le calcul du partage.

Histoire de ne pas avantager outra-geusement l’un des enfants par exemple:s’il a déjà reçu la maison, va-t-il encoreparticiper au partage de l’argent? Maissi l’on veut justement volontairementavantager un héritier? C’est possible,mais pas totalement. La loi protège lesautres héritiers défavorisés. S’il s’agitdes plus proches parents, héritiers ré-servataires, descendants, conjoint, par-tenaire enregistré, père, mère, elle per-met aux autres héritiers, par une actionjudiciaire, de contraindre l’héritier fa-vorisé à réduire sa part, de manière queles autres puissent recevoir au moins leminimum légal.

Pour éviter de désagréables surprisesau niveau des impôts, mieux vaut aus-si respecter quelques règles. Mettre unbien au nom de ses enfants prend parfoisdes allures de cadeau empoisonné. Sur leplan fiscal, tout transfert de patrimoine

à titre gratuit estsujet à un impôt;c’est celui qui re-

çoit qui paie, maisselon les règles du

canton où est situél’immeuble ou, quand

il s’agit d’argent, du can-ton où vit celui qui donne

Franchises ou exonérationsprévuesLes cantons ont toutefois une marge demanœuvre. Avec la Confédération, lecanton de Schwytz est le seul à renon-cer à taxer les successions et les dona-tions. Cependant, plus le lien de parentéest direct, plus le taux d’imposition estbas et pas mal de cantons prévoient desfranchises ou des exonérations pour lesproches parents (lire l’encadré).

En général, les barèmes d’impositionappliqués sont les mêmes qu’en cas desuccession. Si les donations sont égale-ment taxées, c’est pour éviter que l’im-pôt sur la succession soit trop facilementcontourné par des transferts de son vi-vant, peut-on lire dans la notice du Bu-reau de l’égalité hommes-femmes et dela famille du canton de Fribourg.

Les parents ont aussi la possibilité designer avec tous leurs enfants un pacte

Le point canton par cantonFribourgLes donations d’immeubles,pour autant qu’ils se situentdans le canton, sont exoné-rées d’impôts entre parentsen ligne directe. Les dona-tions d’argent sont aussiexemptées fiscalement,pour autant que la per-sonne qui donne soit domi-ciliée dans le canton. C’estpareil pour les successions.

VaudAvec Neuchâtel et Lucerne,Vaud est l’un des seuls à im-poser les successions et do-nations entre parents et en-fants. Avec toutefois unefranchise. Les Vaudoispeuvent ainsi donnerjusqu’à 50 000 francs parannée à chacun de leurs en-

fants sans impôts à payer nipour celui qui donne ni pourcelui qui reçoit.

NeuchâtelLe canton est encore plusrestrictif que son voisin vau-dois: il ne permet de donnersans frais que jusqu’à10 000 francs par année àses enfants.

GenèveLes successions et dona-tions entre parents de lignedirecte sont exemptéesd’impôts.

JuraDepuis l’entrée en vigueurde la nouvelle loi au 1er jan-vier 2007, les conjoints etdescendants en ligne di-

recte sont exonérés d’im-pôts en ce qui concerne leslegs et les dons.

ValaisPas d’impôt sur les succes-sions et donations entreparents et enfants et entreconjoints non séparés decorps.

BerneLes successions et dona-tions dévolues aux descen-dants, à l’époux ou aux per-sonnes liées par un parte-nariat ne sont pas impo-sables.

Infos sur: www.vd.ch/fr/themes/sante-social/ems/documentation/mementos-dinformation/

les avantages reçus ou non avant. Parce que les donations faites du vivant du défunt seront prises en compte

à titre gratuit est sujet à un impôt; c’est celui qui re-

çoit qui paie, mais selon les règles du

canton où est situé l’immeuble ou, quand

il s’agit d’argent, du can-ton où vit celui qui donne

parents par la même occasion…

«La personne peut offrir tout ce qu’elle a»

En Suisse on peut donner ce qu’on veut à qui on veut de son vivant. «Aussi long-temps que la personne n’est

pas sous tutelle, elle peut of-frir tout ce qu’elle a et devenir

pauvre comme Job», confirme Pierre Philippe Courvoisier, délégué

des notaires vaudois. Et à n’importe qui: par exemple une personne qui fait for-

tune et décide de tout donner aux bonnes œuvres. «On a vu des en-

fants tenter de mettre leurs parents sous tutelle, parce qu’ils esti-maient qu’ils dilapidaient leur fortune.» Seule réserve: si la personne procède à de telles lar-gesses qu’elle s’expose à ne plus

pouvoir subvenir à ses propres besoins et risque de tomber à la

charge de l’Etat. Et c’est là d’ail-leurs que tout se complique un brin.Si on est libre de donner, on n’est

pas libre des conséquences, et ce, sur au moins trois plans: lors de la succession,

Page 20: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MGB

www.m

igros.ch

W

6.60au lieu de 9.90DentifriceCandida SensitiveProfessional3 x 75 ml

33%

6.60au lieu de 9.90DentifriceLilibiggs JuniorMint3 x 75 ml

33%5.90au lieu de 8.85Brosse à dentsCandida antitartremedium3 pièces

33%

7.50au lieu de 10.–

Solutionbucco-dentaireCandida Sensitive

25% de réduction

2 x 400 ml

7.80au lieu de 11.70DentifriceCandida WhiteMicro-Crystals3 x 75 ml

33%

SUR TOUS LES PRODUITS DE SOINS DENTAIRESCANDIDA EN EMBALLAGES MULTIPLES.OFFRES VALABLES DU 12.6 AU 25.6.2012,

JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

ACTION

Page 21: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

NOUVEAU!20xPOINTSPROFITEZ-EN MAINTENANT! OFFRES VALABLES DU 12.6 AU 25.06.2012,

JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

8.50Rasoir pour femme I amhair removal Silky SkinPour un rasage particu-lièrement sûr et une peausoignée, douce etsoyeuse. Deux lamesavec ruban lubrifiant àl’aloe vera incluses.

NOUVEAU3.30Gel de rasage I am hairremovalGel de rasage apaisantà l’aloe vera et à la vita-mine E pour les peauxsensibles. Prépare lapeau de façon optimalepour que la lame glissetout en douceur.150 ml

NOUVEAU

2.50Rasoir jetable I am hairremoval Silky SkinRasoir jetable à 2 lamespour un rasage de prèsen douceur. PoignéeSilk Touch pourune bonne tenue etun maniement aisé.5 pièces

NOUVEAU

| 21| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | SOCIÉTÉ | SUCCESSION

Publicité

successoral consacrant un accord de fa-mille et coupant court à tout risque fu-tur de contestation. Mais sur le plan civiluniquement.

Sur le plan social, le donateur doitaussi avoir les moyens de son geste,sinon il risque de se trouver dans unesituation précaire lors de son éventuelplacement dans une institution, selonla Chambre immobilière neuchâteloise.D’autant plus vrai s’il doit bénéficier deprestations complémentaires AVS/AI:la valeur de la fortune abandonnée seraprise en compte dans le calcul.

Et s’il est avéré que vous n’avez plusles moyens de payer vos frais d’EMS, lafacture pourra être salée pour la per-sonne à qui vous avez donné votre argentou vos biens: elle devra passer à la caisse!

Une erreur à nepas commettreDonner sa maison au moment d’entreren EMS s’avère toujours un mauvaiscalcul, estime le notaire vaudois, carc’est trop tard. Celui qui la reçoit devra

payer les frais de l’EMS, au moins à hau-teur du prix de la maison. C’est l’Etat quiva estimer la valeur de la maison (sousdéduction des dettes reprises). Quant àl’alternative de céder son logis encontrepartie de l’usufruit, elle a aussiune valeur. Les enfants seront la plupartdu temps obligés de louer l’appartementpour payer le home.

De plus, ne pensez pas qu’il y a pres-cription si la donation a eu lieu il y a aumoins cinq ou dix ans: la jurisprudencedes tribunaux a plusieurs fois confir-mé qu’une donation peut être prise encompte quelle que soit l’époque à la-

quelle elle a été faite! Pourautant, plus la donationse fait tôt avant l’héber-gement en EMS, moinselle entre en compte dansle calcul de régimes so-ciaux: le canton de Vaud, parexemple, applique un abatte-ment de 10 000 francs par année. Etl’octroi d’un usufruit ou droit d’habi-tation aux parents réduit encore la fac-ture potentielle, lit-on dans Mementodu Canton de Vaud sur ces questions.

On l’aura compris, c’est une équationà plusieurs inconnues et l’avis d’un no-taire n’est pas superflu. Il faut en outresavoir que tout transfert d’immeublemême gratuit entre parents et enfants,doit être considéré comme un contrat:un acte notarié s’impose. Pour les donsd’argent, mieux vaut aussi laisser unetrace écrite pour éviter les problèmes.Les querelles entre enfants, d’une part,mais aussi pour justifier que la dona-tion en était bien une et non pas un prêt.

Texte: Isabelle Kottelat

| 21

quelle elle a été faite! Pour

elle entre en compte dans le calcul de régimes so-ciaux: le canton de Vaud, par exemple, applique un abatte-

Pour les donsd’argent ou d’or,mieux vaut laisserune trace écritepour éviter lesproblèmes.

«Les dona-tions?Desbombes àretardementparfois»Pierre-PhilippeCourvoisier,déléguédesnotairesvaudois.

Photos:G

ettyIm

ages

/Istockpho

to

Page 22: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

22 |SOCIÉTÉ | JEUX OLYMPIQUES DE LONDRES |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Nom: Elise ChabbeyDate de naissance: 24 avril 1993.Discipline: «Pourmoi, le kayakc’est une grande partie de ma vie,

j’en attends beaucoup.»Le titre de film qui résume votre

vie: «Million Dollar Baby»,car on voit la rage de vaincre,c’est la clé dans le sport.»

«J’aime fairela fête mais

pendantla saison, ce n’est

pas tellementpossible»

Découvrez Elise Chabbeyen vidéo.

était dix concurrentes pour deuxplaces.J’ai passé en premier et je regardais lesrésultats des autres. Elles arrivaienttoujours derrière alors j’ai commencé ày croire.» Une participation aux JO im-pliquerades entraînements supplémen-taires, alors que ses examensdematuri-té (optionbiologie-chimie)débutent cesprochains jours. «J’ai un collège super,avec lequel j’ai pu m’arranger pour dé-placer certaines dates.Merci.»

«Je n’ai pas besoin de beaucouptravailler, j’ai de bonnes notes»Pasquestionpour ellede renoncer à l’unou l’autre, alors elle étudie durant lesdéplacements et parfois le soir. «Maisj’ai de la chance, car je n’ai pas besoinde beaucoup travailler, j’ai de bonnesnotes», confie Elise Chabbey qui admetdevoir parfois freiner l’entraînementpour consacrer de l’énergie à ses bou-quins.Plus tard, avec les études de méde-

cinequ’elle envisage,ce sera encorepire.Alorspour l’instant, leprochainobjectifsera de passer six mois en Australie, lepays du kayak, pagayer au chaud durantl’hiver. Et de rattraper le temps perdu.«J’aime faire la fête, mais pendant lasaison, ce n’est pas tellement possible.J’ai dûarrêter aussi lepiano.Des fois, j’aienvie de tout arrêter quand jeme loupe,mais ça ne dure jamais longtemps, heu-reusement.»Celle qui compare son parcours à ce-

lui de Lara Gut ne se met pas la pres-sion. Si ça nemarche pas à Londres, elleréessayera dans quatre ans, à Rio. «Il vafalloir que j’apprenne l’hymne natio-nal maintenant», rigole-t-elle, avantd’enfiler son casque, sa combinaison, lajupette et de s’élancer dans les torrentsde l’Arve.

Texte:Mélanie HaabPhoto: Nicolas Righetti-Rezo

Zig-zagdans les vagues

A tout juste 19 ans, Elise Chabbey est l’invitée de dernière minute du slalom olympique en kayak.Mais avant cela, il lui faudra passer son bac.

E lle ne tient pas en place et la noir-ceur de ses cheveux contraste avecsa joie de vivre. «Je suis explosive,

j’ai envie d’y aller. Mais parfois, j’ai be-soin qu’on me tire en avant, c’est dif-ficile d’être toujours motivée, surtoutpour faire de la musculation, ou en hi-ver.» Car elle s’entraîne douzemois parannée et même lorsque la températurede l’eaunedépasse pas quelques degrés.Le kayak est une histoire de famille

chez lesChabbey: le grand-pèrepartici-pait déjà à des compétitions, transmet-tant le virus à son fils,Martial.Celui-ci,ensuite, a pris la présidence du club deGenèveetpartait avec sesquatre enfantsen vacances pagaies à lamain.Trois d’entre eux sont aujourd’hui

dans l’élite nationale, et Elise, qui alongtemps dominé chez les juniors, de-vra bientôt se méfier de sa petite sœur.«Mongrand frère acommencé le slalom,j’ai suivi. J’aimais gagner.Cequimeplaîtdans le kayak, c’est la vitesse, cette sen-sationdeglisse, il faut à la foisde la tech-nique et un bon physique.»

«Chaque gabarit a ses avantageset ses inconvénients»Un bon physique n’est en fait souventpasconstituéd’unecarcassedemuscles.Et sa petite taille ne se révèle pas être unhandicap, au contraire: «Chaque gaba-rit a ses avantages et ses inconvénientsdansce sport,onvoit vraimentde tout.»A la voir faire corps avec son embarca-tion tel un amphibien (son kayak estréglé au millimètre près, pas questionde prendre un gramme), l’on comprendmieux où se situe son point fort.La Genevoise de 19 ans n’attend dé-

sormais plus que la validation de SwissOlympic pour acheter son ticket pourLondres (n.d.l.r.: une formalité qui de-vait tomber hier). «Je n’y pensais pasjusqu’aux épreuves de repêchage. On

Page 23: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 23| MIGROS MAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | SOCIÉTÉ | JEUX OLYMPIQUES DE LONDRES

| 23JEUX OLYMPIQUES DE LONDRES

Mespremiers

JO

EliseChabbey:«Ce quimeplaît dansle kayak,c’est lavitesse, cettesensationde glisse.»

Page 24: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

2020 %Valable du 12.6 au 25.6.2012

*Excepté les articles bénéficiant déjà d’une réduction.

20%

avant 259.–

maintenant

259.–207.20

20%20%

Jack Wolfskin

P.ex. veste de trekkingpour homme4716.088

20%

avant 119.–

maintenant

119.–95.20

20%20%

Columbia

P.ex. chemiseà manches longuespour homme4731.082

Sur toutl’assortiment devêtements detrekking pour

adulte*

Sur tous lessacs à dos

20%

avant 159.–

maintenant

159.–127.20

20%20%

Deuter

P.ex. sac à dosACT Peak 28 litres4602.001

www.sportxx.ch

Page 25: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

%20 %20 %20 %20 %20 %jusqu’à épuisement du stock.

20%

avant 29.90

maintenant

29.9023.90

20%20%

Nike

P. ex. t-shirtpour hommeTailles S–XXL.4601.065

20%

avant 69.90

maintenant

69.9055.90

20%20%

Nike

P. ex. shortpour hommeTailles S–XL.4917.853

20%

avant 59.90

maintenant

59.9047.90

20%20%

Protest

P. ex. t-shirtpour femmeTailles S–XL.4797.525

20%

avant 24.–

maintenant

24.–19.20

20%20%

Switcher

P.ex. t-shirtunisexe BobTailles S–XXL.4779.007

Sur toutl’assortiment devêtements de loisirspour adulte*

Page 26: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

L ’arrivée à Sonloup, au-dessus desAvants (VD), que ce soit en funi-culaire, en voiture ou à la force du

mollet est une bénédiction. Parce quece balcon à 360° appelle le marcheur detous les côtés.Rochers-de-Naye,Dent-de-Jaman,LesPléiadeset lacLémanplusscintillant que sur un tableau deHodler.Mais ce jour-là, l’objectif est de re-

joindre la cabane de la Planiaz, une ba-lade de moyenne montagne, en évitantla ligne droite. Place aux détours, donc,par le sommet du Molard. «Il n’y a pasd’excursion du Club alpin suisse sansl’ascension d’un sommet, fût-il mo-deste!» rigole BertrandGentizon, guide

dehautemontagne,accompagnateurderandonnée et formateur auCAS.

Prairies de narcissesmenacées de disparitionPour cet amoureux de la région, tous lesdétails prennent vie et la nature s’ouvrecomme un livre. Normal, puisquel’homme est aussi géobotaniste, tou-jours prompt à déceler le merveilleux.Comme les inévitables déclins. «Danscette région, les narcisses ont dimi-nué de 90% depuis les années 1960, engrande partie à cause des mutations del’agriculture. Le piétinement du bétailempêche la fleurde repousser.Autrefois,

tout ça,c’était blanc»,dit-il enpointantle vallon de Villard. La Neige de mai sefait doncplus rare,mais continuedegri-ser,çà et là, lesversantsqui surplombentla Riviera.Quand il se retrouvedans sonbiotope,

Bertrand Gentizon devient soudain in-tarissable. Il identifie au quart d’oreilleles fioritures du pinson des arbres etles notes acidulées du pouillot véloce,se penche sur toutes les fleurs, palpele calice d’un silène, donne une recettepour apprêter la renouée bistorte, –«délicieuse avecunpeudebeurre et deséchalotes» – tout en scrutant les sous-bois.C’estquedansces zonesdedéprise

Sur les terres intimesdu tétras-lyreVoilà une rando pour tous les mollets! De Sonloup à la cabane de la Planiaz,dans les Préalpes vaudoises, en faisant beaucoup de détours.

26 |société | nature |No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |

Page 27: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

agricole, où les forêts s’enhardissent etse referment, la flore est elle aussi enmutation.Ainsi laprésenceconjointedela renouée, vivace des prairies humidesavec son épi rose en forme de brosse àdents, et de l’aspérule odorante est unindiceque lepâturage semuegentimenten hêtraie.Quand on arrive à l’auberge de la

Cergniaulaz, la tentation est grande desuivre le fumet des cuisines et de s’at-tabler aussitôt. Mais non, il faut conti-nuer à monter par la route goudronnée,la récompense viendra plus tard. Et, à labifurcation signalétique, prendre la di-rection Châtel-Saint-Denis. Le chemin

ne fera quemonter, pour cette premièrepartie de la balade. L’occasion de ralen-tir le rythme pourmieux se pencher surles beautés cachées.Commecelle d’unesaxifrageà feuilles rondes,appelée aussiDésespoir des peintres.Mieux vaut avoirune loupe dans sa poche pour admirerla finesse de cette étoile blanche, avecson calice, sa corolle et ses minusculesgrains de beauté violacés. Une porce-laine de Limoges,un tableau pointillisteà elle toute seule.Le chemin s’enfonce toujours plus

dans la forêt, jusqu’à soudain émergercomme d’un long sommeil arborisé,s’étirant au soleil, à ciel ouvert, sur le

BienvenueauClub alpinsuisseL’histoire du Club alpin suisse seconfond avec la découverte desAlpes, la grande époque del’alpinisme romantique,des écri-vains voyageurs, scientifiquesà grosses chaussettes et bour-geoisie anglaise attirés par lamontagne idéalisée, hauts som-mets du Mont-Blanc, du Cervin etautres Drus. Ainsi le Club alpinsuisse voit le jour en 1863 avecune première cabane dans lesGrisons, la Grünhornhutte, abrisommaire aujourd’hui fermé.Mais très vite les cabanespoussent sur tous les versants:60 en 1900 et quelque 170 au-jourd’hui, avec presque autant derefuges privés. Entre les premiersabris, quatre murs de pierre avecun toit décapotable, et les der-nières réalisations, bijoux high-tech comme la cabane du Mont-Rose, l’évolution est évidente: onrénove, on agrandit et surtout onmontre patte verte.«Les exi-gences écologiques sont trèsfortes. On tend de plus en plusvers la cabane propre, auto-nome, sans impact sur l’envi-ronnement.Certaines ont unestation d’épuration, d’autres leurpetite éolienne ou leurs panneauxsolaires», explique Bertrand Gen-tizon, guide et formateur au CAS.Quant au Club alpin, il compteaujourd’hui quelque 130 000membres, répartis en 112 sec-tions, s’est féminisé depuis 1980,s’est ouvert aux nouveaux sports,de la grimpe à l’escalade sur glaceen passant par le canyoning.

Infos sur www.sac-cas.ch

«Lesnarcisses

ontdiminuéde 90%depuis

les années1960»

Bertrand Gentizon

La balade jusqu’à la cabane de la Planiaz (à g.) est rythmée pardemagnifiques prairies de narcisses.

BertrandGentizon,guidede hautemontagne,accompa-gnateur derandonnéeet formateurau CAS.

| 27| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | SOCIÉTÉ | NATURE

Page 28: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

replat du lieu dit la Forclaz, où coulissele vent. Le paysage s’ouvre alors sur lesrondeurs buissonnantes desmyrtilliers.Nous voilà sur les terres intimes du té-tras-lyre, un oiseau dont la densité adiminué de 20 à 50% suivant les zones.«Il a besoin de forêts pour se percher,depâturagespourparader,demyrtillierspour nourrir ses petits et de neige tar-dive où il reste calfeutré jusqu’en find’hiver», explique le biologiste.Alors, forcément, on tend l’oreille,

on guette un peu mieux, espérant voirne serait-ce qu’un bouquet de plumes.Mais madame couve en cette saison etmonsieur se fait discret. Et du gallina-cé, on ne verra que les déjections dansun buisson de myrtilles, reste probabled’un campement hivernal.Reste à attaquer la dernière étape de

la face nord duMolard, entre tourbièresnaissantes et gentianes. Et soudain, le

nezencoredans les sphaignesdusentier,on débarque au sommet, fauché par levol fou desmartinets noirs qui strient leciel à toute voilure, amplifiant le vertigedupanoramacirculaire.Moléson,Dent-de-Lys, Vanil-des-Artses, Cape-au-Moine et l’incroyable crête déchiquetéedesVerraux,avec ses ravines,sespansdeverdure fluorescente lacérés de neige.

Les traces de«Lothar»encore visiblesIl faut se faire violence pour s’arracherà l’ivresse du lieu et accepter de redes-cendre.Mais la suiteducheminvaut sonpesant de jumelles. Parce qu’il traverseune zone dévastée par Lothar, arbresculbutés racines à l’air.«L’ouraganest lelaboureur des forêts», philosophe Ber-trand Gentizon, soulignant par là que larégénération passe parfois par le pire.«Dans un élan de naturalité, visant lasauvegarde de la biodiversité florale etfaunistique, un projet de réserve fores-tière autour des sommets du Folly et duMolard fait l’objet d’une étude de fai-sabilité. Certaines zones seront livréesà elles-mêmes, sans exploitation.» Leboismort est laissé là, simplement fenduà la scie par endroits, histoire de limiterla prolifération du bostryche et d’assu-rer des niches pour la rosalie des Alpeset autres coléoptères.La descente se poursuit par un pas-

sage à la Goille aux Cerfs, où tritons etcrapauds badinent ensemble dans lamême mare. A ce stade, le chalet de laPlaniaz n’est plus très loin. Assez viteon aperçoit, sur la gauche, en contre-bas,son toit de tavillons.Comme il s’agit

d’une cabane privée du club alpin, nongardiennée,mieuxvautpréveniravantdedébarquer et apporter son pique-nique.

Unpassage féerique à traversune forêt de feuillusAvec ses quarante-deux places en dor-toir, son fourneau à bois et sa terrasseplein sud, l’envie pourrait vous saisird’écourter la balade.Mais ce serait raterunpassage féeriqueà traversune forêtdefeuillus (suivre la direction des Avantspar le pâturage de Jor), le conciliabuledes fougères, l’angélique des bois, lesjeunes troncsmoussusdes érables syco-mores courbés en cors des Alpes par lepoids des hivers et le tamis des branchesqui laisse passer les pépites vert tendrede la lumière.«Lobaria pulmonaria!» s’exclame

soudain Bertrand Gentizon, visible-ment ravi en tapotant un tronc. «C’estun lichen très rare! Pour certains, saprésence est un indicateur d’une bonnequalité de l’air.» La fin du parcours sefait au coude à coude avec la Baye, quigalope à grandes eaux vers Montreux,puis sur la route goudronnée qui revientaux Avants. Les plus coriaces pourrontencore s’essayer aumurdegrimpe, justeavant le village, et les autres s’affalerontà la terrasse du Buffet de la Gare.

Texte: Patricia BrambillaPhotos: Isabelle Favre

Carnet de routeDépart: Sonloup (1158 m), que l’on rejoint habituellement avecun funiculaire depuis les Avants. Mais attention celui-ci est fermépour révision jusqu’à la fin de l’année. Possibilité de rejoindreSonloup en voiture (env. 1 km depuis les Avants).Arrivée: Les Avants (1000m)Distance: 8 km.Altitudemaximale: sommet du Molard à 1750m.Durée: 4 h à 5 h.En voiture: autoroute A9, sortie Montreux. Et puis continuer,direction Glion, Les Avants.En transports publics: en train jusqu’à Montreux, puis prendrele MOB qui relie Montreux à la Lenk. Descendre aux Avants.Horaires sur www.goldenpass.ch

Au sommet duMolard,Moléson, Dent-de-Lys, Vanil-des-Artses, Cape-au-Moine et la crête desVerraux s’offrent au regard des promeneurs.

«L’ouraganest lelaboureurdes forêts»

Sponsoring byMigros est le sponsor principal du Club alpinsuisse. www.sac-cas.ch

28 |Société | natUre |No 24, 11 juiN 2012 | MigroSMagazine |

Page 29: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Savourez les produits Suisse Garantie.Savourez les produits Suisse Garantie, collectionnez les logos sur les emballages d’origine et offrez-vous ainsi un cadeau chic et sympa. Voici commentprocéder: découpez dans les emballages d’origine les logos Suisse Garantie avec la désignation des produits. Nettoyez-les si nécessaire, remplissez le talon etenvoyez le tout à AMS Agro-Marketing Suisse, «Suisse Garantie», case postale, 3024 Berne. Dernier délai d’envoi: le 16 juillet 2012.

Conditions de participation: délai d’envoi: le 16 juillet 2012. Les envois après cette date ne peuvent plus être pris en considération. La participation est ouverte à toute personne résidant en Suisse. Il nesera envoyé qu’une seule prime par foyer suisse. L’offre n’est valable que jusqu’à épuisement des stocks. Ne sont acceptés que les logos découpés dans l’emballage d’origine de produits Suisse Garantie.Il n’est pas tenu compte des logos découpés dans des annonces, articles de presse ou supports similaires. La prime désirée est envoyée le plus rapidement possible. Un délai de livraison ne peut être garanti.AMS se réserve le droit d’envoyer une autre prime similaire à celle qui a été annoncée. Pas de versement en espèces. Aucune correspondance ne sera échangée à propos de la promotion. Tout recours juridiqueest exclu. En participant, vous acceptez qu’AMS Agro-Marketing Suisse et ses partenaires utilisent éventuellement vos données à des fins de marketing. Vos données personnelles seront traitées de manièreconfidentielle.

Veuillez cocher la prime désiréePrime 1 pour 10 logos Prime 2 pour 40 logos Prime 3 pour 75 logosPorte-clés avec jeton d‘achat Couteau Sac à commissions

blanc rouge brun vert

Madame Monsieur Prénom Nom

Adresse NPA/Localité Courriel

Téléphone Année de naissance Des enfants vivent-ils dans votre ménage? Oui Non602 105 213

Cherchez le logo Suisse Garantie.Une récompense vous attend!

Collectionnez des

logos et offrez-vous des

cadeaux chics et sympa!

Informations sous

www.suissegarantie.ch

031 359 57 10

Cherchez le logo Suisse Garantie.Une récompense vous attend!

Collectionnez des

logos et offrez-vous des

cadeaux chics et sympa!

Couteau WENGER «EvoWood»en bois de noyer suisse de qualité.

40 ×

Sac à commissions et de loisirsavec fermeture éclair. Dimensions env. 32 × 45cm.

Couleurs:

75 ×75 ×75 ×

Les valeurs contrôlées de Suisse.

Porte-clésavec jeton d’achat magnétique.

10 × 031 359 57 10

Couteau WENGER «EvoWood»Couteau WENGER «EvoWood»

40 ×40 ×

Porte-clésavec jeton d’achat magnétique.avec jeton d’achat magnétique.avec jeton d’achat magnétique.

Page 30: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Lotus est en vente à votre Migros

A chaque café, un speculoos Lotus.

A la maison et au café, le biscuitparfait pour vous accompagner

Lotus Speculoos250g

Achat minimal: Fr. 2.80Valable: du 12.06 au 09.07.2012

1.–RABAIS

VALEUR

Fr.

Utilisable dans les plus grandsmagasins Migros de Suisse.1 coupon de rabais par offresera accepté. Non cumulableavec d’autres coupons.

ACTIONoffres valables seulement du 12.06 au 09.07.2012, jusqu’à épuisement du stock

sur lotus speculoos 250g

Page 31: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Genève:Centres commerciaux Balexert,Cornavin „LesCygnes“Vaud:Centres commerciauxMMMCrissier,Métropole Lausanne,Métropole YverdonValais:Centre commercial Métropole Sion

Genève:Centres commerciauxNyon LaCombe,PlanèteCharmilles, Migros Chêne-Bourg, VibertVaud:Centres commerciauxMMMChablais Centre AigleValais:Centres commerciauxMartigny-Manoir, Monthey,Migros Brigue, Sierre, Zermatt

BijouxCARAT or 18 carats, argent, acier

du 12 juinau 6 août

50%produits spécialement

signalésjusqu’à épuisement du stock

Montres & bijoux deMARque inclus

| 31| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | CHRONIQUE

Stéphane Garelli,professeur àl’Université deLausanne età l’IMD.

IMPULSION

Austérités

Publicité

Au pluriel, car le problème est qu’ily a précisément plusieurs concep-tions trèsdifférentesdeceque renfermele termed’austérité.AngelaMerkel:«Nepas dépenser plus que ce que l’on reçoit– c’est étonnant que quelque chosed’aussi simple conduise à tant de dé-bats…»L’intransigeanced’AngelaMer-kel sur la nécessité d’imposer unedisci-pline fiscale rigoureuse à tous les Etatseuropéens (et surtout à ceux du Sud)n’estpasqu’uneaffairedepolitiqueéco-nomiqueoude stratégie politique.C’estbeaucoup plus profond.

Lorsd’uneconférenceàFlorence ilya quelques semaines,MarioMonti, lepremier ministre italien, soulignait ladifficulté de réconcilier une approcheanglo-saxonne de la relance écono-mique par la dépense avec une profonderéticence allemande pour le sujet. Etd’ajouter qu’en Allemagne, l’économieest perçue comme «une branche de laphilosophie morale et la croissancecomme la récompense d’un bon com-portement».Pour simplifier, lesAméri-cains considèrent les dépenses oul’épargne comme de simples instru-ments de politique économique tandisque lesAllemands y ajoutent une consi-dération éthique.

En 1905, MaxWeber publiait son cé-lèbre livre sur l’Ethique protestante et

l’esprit du capitalisme dans lequel ilmontrait que les valeursmorales du cal-vinisme ont soutenu le développementéconomique des pays protestants. Unesorte d’ascétisme austère favorisant letravail et l’épargne conduit à de plushautsniveauxdeproductivité.Le succèsest un signe de la grâce deDieu et le tra-vail créeun liendirect entre l’individuetDieu. Rappelons que le père d’AngelaMerkel était pasteur…

Riendetoutceladans leSudde l’Eu-rope. Le mot austérité vient du latinausterus qui veut dire âpre et sévère. Ilest lui-mêmeempruntéaugrecaustêrosqui se traduit par sec ou amer.Quandonajoute que le mot travail vient du latintripaliarequi signifie torturer,on s’ima-ginevolontiersque le«plusd’austérité»d’Angela Merkel ou le «plus de travail»de Nicolas Sarkozy n’ont pas toujourssuscité l’enthousiasme des foules… Lesmots véhiculent des sentiments diffé-rents, car ils sont profondément ancrésdans la culture des pays. Les techno-crates de l’économie ont créé beaucoupde problèmes en l’oubliant.

«Lesmots véhiculentdes sentimentsdifférents»

Page 32: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

32 |entretien | philippe dessertine |No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |

«Notre niveaude vie s’est bâtien partie surdu vent»

Philippe Dessertine

Page 33: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 33| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | entretien | philippe dessertine

Comment définiriez-vous ce que vous nom-mez la décompression?En quelque sorte, le passage à l’âgeadulte de la mondialisation. Les criseséconomiques successives dont nous nesommes pas encore sortis montrentcombien nous allons dans le mur. Laplanche à billets, les dettes qui se ra-joutent auxdettes,cen’estpluspossible.Deplus enplusdecitoyenscomprennentquenotreniveaudevie s’est bâti enpar-tie sur du vent, et qu’il n’est pas expor-table aux milliards d’individus des paysémergents. Cette accumulation d’er-reurs, je l’appelle la compression del’économie. Il est maintenant urgentd’en venir à la décompression.

LeVertallemandJoschkaFischer rappellequela dépression a souvent mené à la guerre enEurope.Etmilite,pour l’éviter,uneeuropéani-sation de la dette via les fameux euro bonds,les euro-obligations. Votre avis?A court terme, c’est en effet la seule so-lution pour éviter l’éclatement de lazone euro qui produirait un effondre-ment de l’économie. Simplement, l’Al-lemagne ne peut pas l’assumer touteseule. Il faudra une autre locomotive etc’est la France: elle nedoit pas abandon-ner ce rôle et encore moins devenir unwagon. Et pour cela, elle doit commen-cer par la rigueur et assainir ses financespubliques. L’Europe va avoir la respon-sabilité demettre en place de véritablesplans Marshall pour les pays les plustouchés. Parce que cela prendra dutemps, comme en Espagne, pour sortirde cette logique de croissance sans is-sue, fondée notamment sur le dévelop-pement immobilier.

Vousne faitesdoncpaspartiedeceuxqui es-timentque l’europeutêtreabandonné,ne re-posantpassurdesbaseséconomiquesetpo-litiques suffisamment saines?

Jepense l’inverse.Dès l’après-guerre,dèsle départ, le fondement de l’Europeconsiste à permettre à des pays pluspauvres d’échanger librement avec lesplus riches. Un pas de plus a été franchiavec l’euro,événementsansprécédentdecréation d’une monnaie ex nihilo. Qui ad’ailleurs coûté très cher, l’équivalent decent programmes Apollo, et qui n’a puêtre réalisé que grâce à une croissancetrès forte. Le but n’était rien de moinsque d’éviter le retour de la guerre, tou-joursprovoquéeparuneabsencede liber-tédans lacirculationdesmarchandisesetdes hommes. Et ensuite par des diffé-rences trop fortes entre des pays voisins.Notre destin ne peut être que commun.

Reste qu’il y a eu de jolis dérapages...Oui. Le principal a été de laisser les paysles plus faibles se développer par l’ac-croissementde leurdette,etnonpardescompensations financières. Une dettefolle sans les pousser à se restructurer,notamment fiscalement. Ce n’est pasune erreur de conception européenne.Mais de fonctionnement, ce qui est trèsdifférent.

Mais au fond ce problème de la dette n’est-ilpasmondial?D’abord, il ne touche pas les pays émer-gents. C’est un problème occidental,avecen têtede liste lesEtats-Unis: beau-coup de leurs Etats sont surendettés,mais protégés par l’Etat fédéral et lapuissancedudollar.EnEurope,depar lajeunesse de notre monnaie unique,chaque Etat finance sa dette. Et les plusfaibles se trouventdésormais sous l’eau.Si demain la Californie devait se finan-cer toute seule, elle serait dans la mêmesituation.

La dette n’est-elle pas consubstantielle del’économiemoderne?

En soi, elle n’est pas mauvaise. C’est unmodèle économique qui permet à unjeunecoupled’acheterunemaisonavantd’avoir économisé suffisamment. Parceque l’on estime que durant sa vie activeil aura la capacité de remboursement duprêt.Ladettedoit donc toujours être re-liée à la perspective de création de ri-chesse de celui qui emprunte. L’écono-mie occidentale a perdu cette logique decréation de richesse ultérieure. Elle aémis toujours plus de dette tout encréant demoins enmoins de richesse.

Il est de bon ton d’accuser la finance danscette dérive...C’est le vecteur qui a amené la catas-trophe.Mais c’est lepolitiquequi avou-luundéveloppement sans contrôle de ladette. Malheureusement, cette volontéest toujours là.Tantque l’onémetdes li-quidités de manière folle comme lesAméricains, par définition cela dé-bouche sur une finance au diapason.Onn’a pas suffisamment tiré les leçons del’été 2011. Un krach basé sur des méca-nismes identiques: l’émission de liqui-ditéspar lesbanquescentrales àdes tauxtrès faibles, contraignant la finance à du

«Il faut d’urgencenous repenser»

Economiste et spécialiste de la finance réputé, Philippe Dessertinedresse des pistes* vers de nouveaux paradigmes économiques

et sociaux. Car il y a urgence.

Bio expressNé à Bordeaux, PhilippeDessertine est agrégé ensciences de gestion, professeurde finance et de gestion, direc-teur de l’institut de hautefinance à l’institut français degestion (iFG). il enseignenotamment à Paris Nanterreainsi qu’à Bordeaux.Spécialiste de l’économie et dela finance, il rédige des articles

sur l’information financièredans «Libération», apparaîtsouvent sur les plateaux detélévision en France et a écritdeux précédents ouvragesremarqués: «Ceci n’est pas unecrise» et «Le Monde s’en va-t-en guerre». En 2009, il a étémembre de la Commission duGrand Emprunt, présidée parAlain juppé et Michel Rocard.

Page 34: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Développée par nos vétérinaires etnutritionnistes de Purina, la formuleSOLELIOS deVITAL BALANCE®

contient des morceaux sélectionnésde poulet, d’agneau ou de dindecomme ingrédient principal – unesource de protéines de haute qualité :

1 pour une digestibilité élevée

2 pour aider à soutenir les défensesnaturelles

3 pour des muscles fermes et forts

4 pour aider à maintenir une massecorporelle idéale

UNE SANTÉ RAYONNANTE

www.vitalbalance.purina.ch

Une santérayonnante avecVITAL BALANCE

VITAL BALANCE est en vente à votre Migros

Page 35: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Maag Helpline 0900 800 009 (49 ct./min)www.maag-garden.ch

Réveiller le jardinierqui sommeille en vous.

Cachez-vous aussiun jardinier en vous?

www.maag-garden.ch

Faites le test en ligne dès àprésent et gagnez un iPad 3!

Belrose® contre lespucerons, 250 ml,matière active:pirimicarbe.

Belrose® contre lesmaladies fongiques,250 ml,matières actives:difénoconazole,penconazole.

Pour le Chevalier à la roseque vous êtes:un succès rapide et aisé dans le jardin.Par exemple avec Belrose®, la protectionidéale contre les pucerons et les mala-dies fongiques: il suffit de mélanger avecde l‘eau et de vaporiser – c‘est tout!

| 35| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | entretien | philippe dessertine

Publicité

profit à court terme.L’étédernier, les in-vestisseurs se sont rués sur les marchéseuropéensparcequ’il y avait du risqueetdonc de l’argent à se faire. Puis, lorsqueledanger estdevenupatent, ils sontpar-tis enmasse,provoquant l’effondrementdesmarchés. Il fautdoncpallier cedérè-glementà sa source,ducôtédesbanquescentrales.

Et la spéculation?C’est la conséquence de la surliquidité,qui la crée. Les Américains continuentd’émettre des quantités démentes dedevises, parce qu’ils considèrent queleur chômage et leur consommationsont plus importants que la stabilité deséconomies mondiales. Les pays émer-gents ont souligné avec raison le côtéégoïste de cette attitude.

Donc, la finance, les banques, ce ne sont pasles grandsméchants?Visionabsurde.Fairemarcher laplancheàbilletsd’uncôté et jeterun regardeffa-

rouché sur la finance folle de l’autre,c’est de l’hypocrisie. De plus, répondreaux défis qui nous attendent ne se ferapas sans investissement.Etque je sache,c’est le boulot de la banque, de la fi-nance: collecter de l’épargne et la réin-jecter dans l’économie.

Et pourquoi ne pas tout simplement conti-nuer à vivre à crédit?D’abord, encore une fois, parce que c’estimpossible si l’on ne crée pas parallèle-ment de la richesse. Qu’on le veuille ounon, cette dernière provient de plus enplus des pays anciennement pauvrescomme l’Inde ou la Chine. Pas de choixpour les pays occidentaux, donc: il fautarrêterdevivreau-dessusdesesmoyens.

Mais le monde politique sort alors son armefatale: le retour de la croissance. Vous n’ycroyez pas?Elle ne reviendrapas enEurope.Oncréedes hypothèses de croissance pour nepas avoir trop à rembourser de dettespubliques.Maisonvadans lemur.Et ce-la remet en cause, selonmoi, unmodèlequin’estplus fondé sur la créationde ri-chesse,mais sur la seule consommation.Selon la logique américaine. D’où, enplus, un secondmur juste derrière celuide la dette: le dysfonctionnement dumodèledeconsommationoccidental quine peut être étendu à toute la planète.Les scientifiques nous le disent depuislongtemps.La remise en cause de l’éco-nomie autour de la dettemeparaît, à cetégard,une chance: elle nous oblige à re-penser notre mode de vie et notre ma-nière de consommer.

Reste que cela va coûter beaucoup d’argent,demanderd’importantssacrificesauxpopu-lations occidentales...

«LesAméricainscontinuent d’émettre

des quantitésdémentes de liquidités»

Page 36: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

30% DE RÉDUCTION

SodaStream est en vente à votre Migros

30%6.85au lieu de 9.80BouteilleSodaStream 1 litre

30%362.85au lieu de 89.80Appareil Jet,titan & silver, 60 l

Des boissons pétillantes

en 3 secondes.

En vente dans les plus grands magasins Migros

Chaque set contient:• 1 appareil à gazéifier• 1 bouteille SodaStreamde 1 litre

• 1 cylindre contre avancede location à 60L, rem-plissage de CO2 inclus

30%69.85au lieu de 99.80Appareil Dynamo,

blanc & gris, 60 lDes boissons pétillantes

sans transport de bou-

teilles.

OFFRES VALABLES SEULEMENT DU 12.6. AU 25.6.2012 OU JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCKSUR TOUS LES APPAREILS ET BOUTEILLES RÉUTILISABLES SODASTREAM

www.sodastream.ch

Avec Mme O. Theofanidis,responsable du département«post-secondaire»de l’Ecole Lémania,à Lausanne,

nous avons fait le point ausujet l’avenir des enfantsaprès l’orientation, et sur lesdifférentes manières d’ac-céder aux études supé-rieures.

La deuxième année du CYT est sou-vent une période stressante pour lesparents vaudois qui pensent quel’avenir de leur enfant dépend uni-quement de la décision d’orientationprise à ce moment là.

Cette vision est-elle correcte, ou bienexiste-t-il une façon d’échapper àcette logique guillotine ?Heureusement, la réponse est claire-ment oui; il existe de nombreuses ma-nières d’accéder aux Hautes Ecoles.

Mme Theofanidis, est-il vraiment indispensabled’obtenir un diplôme ?Le marché de l’emploi devient toujours plus com-pétitif et les sélections sont de plus en plus pous-sées; un titre universitaire peut faire toute ladifférence dans un CV. Toutefois, il est très impor-tant de relever que toutes les orientations permet-tent d’en obtenir un. Surtout si la sélection

n’intervient pas trop tôt; par exemple, à l’Ecole Lé-mania, l’orientation n’est effectuée qu’en fin de8ème année scolaire.

La voie royale reste cependant la maturité ?Oui la Maturité suisse, mais aussi le Baccalauréatfrançais. Je voudrais souligner que toutes les per-sonnes déterminées à réussir finissent souvent,moyennant un encadrement favorable et le suivid’objectifs précis, par obtenir des résultats satis-faisants dans ces deux formations. En outre, afinde mettre le maximum de chances de son côté, onpeut aussi se préparer efficacement aux études dusecondaire II, en suivant un cours de Prématurité.

Matu et bac demeurent malgré tout des «passe-ports» indispensables ?Passeport certainement, indispensables non. Ilexiste également la possibilité d’accéder, sans bacni matu, aux facultés de Lettres, de SSP et deHEC de l’Université de Lausanne en suivant uncours «passerelle».Et pour les personnes qui ont obtenu un CFC aprèsun apprentissage et qui veulent obtenir un titre su-périeur, je recommanderais les cours de laMaturitéprofessionnelle, en soi un indicateur de compé-tences supplémentaires, qui permet égalementl’accès à certaines Hautes écoles.

MR

Accès aux Hautes EcolesQue l a ve n i r p o u r vo t r e e n fa n ta p r è s s o n o r i e n t a t i o n ?

Un concept inédit qui intègretoutes ces recommandationsPour en savoir plus sur les programmesd’accès aux Hautes Ecoles proposés parl’Ecole Lémania, consultez le sitewww.lemania.ch (ou contactez le 021320 15 01). Vous y trouverez égalementles nombreuses offres de formation decette école plus que centenaire.

Publicité Lémania : Ecole secondaire, formations commerciales, cours intensifs de langues,cours passerelle, cours du soir, NOUVEAU : High Schol Programme in English

Page 37: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 37| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | entretien | philippe dessertine

Oui, mais c’est cela ou la catastropheannoncée. Nous avons vécu au-dessusde nos moyens, notre niveau de confortest condamné par l’état même de laplanète. Il faut se laisser interpeller parl’incohérence climatique, et changer deparadigme.

Et pourquoi ne pas abandonner en cheminla Grèce?La finance et l’économiedoivent arrêterde fonctionner envaseclos,sebasant surdes modèles considérés comme quasi-ment de la physique. En tant qu’écono-mistes,nousdevons intégrer la géopoli-

tique. Et se souvenirqu’il s’agirait demettre en dehors del’Europeunpays sur-armé dans l’une deszones les plus sen-sibles du monde, et

dans ce qui a souvent été le creuset desguerres continentales etmondiales.

Beaucoup de vos confrères pensent quecontinueràconsommeréviterauneaugmen-tation dramatique du chômage, le début dela récession et d’éventuels troubles sociaux.Pas vous?Je propose plutôt une remise à plat denotre fonctionnement.Regardonscequin’est pas extensible au reste du monde.Après la consommation, prenons unautre exemple: l’hypermobilité. La voi-ture, c’est un cas d’école: d’abord à tra-vers les dégâts climatiques qu’elle en-gendre, et aussi parce qu’elle représentele premier budget de la dette d’un mé-nage occidental après le logement. Ellese trouve donc au cœur des deux pro-blèmes en même temps. Il convient deréfléchir au fonctionnement du travail,de la vie sociale, des entreprises.

Des pistes?Unaccentimportantmissurlesnouvellestechnologies de communication, quipermettent dans beaucoup de domainesle travail depuis chez soi, en est une.

Tout en faisant, écrivez-vous, attention à latentation du protectionnisme…Le repli sur soi n’est jamais une solution.En politique comme en économie, c’estla plus sûre marche vers le risque degraves troubles. Il faut se souvenir desannées 1930, et de ce qui a amenéHitlerau pouvoir. Par ailleurs, la mondialisa-tion permet aux pays pauvres de se dé-velopper. C’est, il faut le rappeler, sapremière finalité: faire en sorte que lespays pauvres le soient un peu moins.Mais en revenant aux coûts réels du

transport, totalement sous-évalués denos jours, pour réfléchir au bien-fondédesmodesdeproduction et nepas tom-ber dans des délocalisations artificiel-lement avantageuses. C’est une ques-tion d’équilibre.

Anous de donner l’exemple?Oui, l’Occident doitmontrer la voie.Al-ler expliquer aux pays émergents qu’ilsne doivent pas faire comme nous depuisplusieurs décennies ne peut être enten-du. D’autant que même les pays émer-gentsontencore fortà faireavantderéel-lement devenir consommateurs: sixcents millions de Chinois vivent encoresous le seuildepauvreté!C’estnotre res-ponsabilitédepays richesdont lemodèleproposé au monde dysfonctionne qued’enchanger.Celacommence.Deplusen

plus de citoyens appellent à un nouveaumodèle,à seposer lesvraiesquestions. Ilest plus que temps.

Et c’est possible?Je le crois. Regardez le Japon, troisièmepuissance économique mondiale, quidécide de tirer les conséquences de latragédiedeFukushimaetde renoncer aunucléaire,enarrêtant les climatiseurs etles escaliers roulants.Commepour rap-peler que l’énergie électrique ne se pro-duit pas à n’importe quel prix. C’est unsigne fort.

Entretien: Pierre LéderreyPhotos: David Ignaszewski /

Reuters / Keystone

*Philippe Dessertine, «La Décompression, dessolutions d’après le krach», Ed. Anne Carrière.

Pour Philippe Dessertine, il faut entièrement repenser notremobilité. La voiture,par exemple, contribue aux dégâts climatiques et représente une bonne partie dela dette d’unménage.

Philippe Dessertine: «En Europe, chaque Etat finance sa dette. Et les plus faiblesse trouvent désormais sous l’eau.»

«En tant qu’économistes,nous devonsintégrer

la géopolitique»

Page 38: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

38 |Infos MIgros | café |No 24, 11 juiN 2012 | MIgrosMagazIne |

UnealternativebienpenséeEn lançant récemment Café Royal, soit des capsulescompatibles avec lesmachines Nespresso,Migros a fait sensation. Retour avec la cheffe de projet,Melina Inderbitzin, sur la genèse de cette gamme.

«Nousavonsparallèlement testédes ca-fés du monde entier, pour finalementcréer des variétés qui se distinguent parl’intensité, l’arôme et l’amertume», ra-conte Melina Inderbitzin. Café Royalcomprend au final cinq nouvelles sortesde capsules à base de café arabica et ro-busta,qui recouvrent lesprincipalesva-riétés de goût, de l’espresso au lungo,sans oublier le ristretto.

café royal: dans la lignedu fondateur deMigrosAu lieu de faire la queue dans les bou-tiquesNespressooude commander leurcafé sur internet, les clientspeuventdé-

«Endeuxans,nousavonsdûrattrapervingt ansde travail.»

L ’annonce fin mai a fait l’effet d’uncoup de tonnerre. La presse a par-lé d’«offensive», d’«attaque», de

«nouveau front dans la guerre des cap-sules». Pourquoi donc tout ce remue-ménage? Sous le nom de Café Royal,Migrosvenait alorsd’introduiredans sesrayons des capsules de café compatiblesavec lesmachinesNespresso.Et jusqu’àce jour, elles s’y trouvent encore!Un tel lancement ne va pas de soi. En

2011, Denner a dû retirer ses capsulesde la vente d’un jour à l’autre, suite à laplainte que Nespresso a déposée contrela filiale de Migros. Mais si la vente decapsules de café ressemble à un champde mines, Migros ne craint plus de s’yaventurer. La nouvelle variante qu’ellepropose repose en effet sur une solu-tion technique propre. Elle n’enfreint nila marque de forme ni les brevets Nes-presso (lire encadré).

Plus de quarante formesde capsules ont été testéesCes nouvelles capsules ont été mises aupoint par les experts en café de Delica,une filialedugroupeM-Industrie etnu-méro deux du marché suisse des cap-sules de café.«Nous avons travaillé d’arrache-

pied à ce projet durant deux ans», dé-clare Melina Inderbitzin, responsabledu projet Café Royal, qui a œuvré avecune équipe composée d’ingénieurs enpackaging et en technologie alimentaireainsi que de techniciens.

Quels ont été les principaux obstacles àsurmonter? «Nous devions en deux ansrattraper les vingt ans d’expérience deNespresso»,explique la cheffedeprojet.Concrètement, il s’agissait de déve-

lopper une forme de capsule originale,sans copier celle de Nespresso. «Notremarge demanœuvre était extrêmementréduite. Tout s’est joué au dixième demillimètre,cequin’estpashabituel dansle secteur alimentaire.»En tout,plus dequarante formesdecapsulesont été tes-tées dans ce but.«Particulièrement décisive, l’inte-

raction entre la capsule et lamembrane,soit la partie supérieure de la capsule,nous a demandé beaucoup de temps.Après d’innombrables essais, nousavons opté pour un couvercle constituéd’un aluminiumparticulier – le seul quipermette d’obtenir une mousse assezfine et stable.»Il existe aujourd’hui dans le monde

cinq variétés de capsules compatiblesavec les machines Nespresso. Dévelop-perunnouveaumodèle qui ne lèsepas lapropriété intellectuelle était une chose.«Mais la difficulté était aussi de trans-férer cette formule à la production demasse, tout en garantissant des variétésde café de première qualité», indique laresponsable de projet. Aussi les expertsDelica ont-ils parcouru l’Europe durantces deux dernières années pour trouverles éléments convenant à lanouvelle ins-tallationdestinéeàproduire les capsulesde Café Royal en grande quantité.

Page 39: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

café | 39| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | INfosMIgros

Lemonopoledes capsules vacille

Le système Nespresso est protégé par toutun arsenal de brevets et unemarque deforme.Cela n’aura toutefois été qu’unequestion de temps pour que desconcurrents se dressent faceà Nespresso. Le brevet clé – qui consisteen une capsule fermée hermétiquementet dont le couvercle est percé – est échudébut mai 2012. Dans certains pays euro-péens, deux concurrents sont déjà pré-sents sur le marché avec Ethical Coffee etL’Or, de l’entreprise américaine Sara Lee.En Suisse, la filiale de Migros Dennera été la première à lancer des capsulescompatibles avec les machines Nespresso.Nestlé a porté plainte et Dennera dû retirer ses capsules de la vente.Le tribunal de commerce de Saint-Galla cependant levé début février 2012lamesure superprovisionnelle(la décision sur cette disposition provisoireest attendue pour cette année encore).Media Markt, qui a proposé les capsulesd’Ethical Coffee en automne 2011, a dûcesser momentanément leur vente envertu d’une mesure d’interdiction de ventesuperprovisoire. Fust a vécu lemêmeépisode finmai 2012, alors qu’ellevenait d’introduire ses capsulescompatibles avec lesmachinesNespresso sur lemarché.Migros doit-elle s’attendre à des interdictions? «Touteentreprise a le droit de saisir la justicepour protéger ses brevets, explique AndreaMoser, cheffe du service juridique deMigros. Mais la nouvelle variante de Migrosest basée sur une solution techniquepropre. Elle se distingue nettementdes capsules Nespresso par la forme.LesmodèlesMigros respectent lesbrevets et une éventuellemarque deforme deNespresso.»

Informations: www.cafe-royal.com

Delica en brefDelica SA, dont le siège est situé àBirsfelden (BL), est une des principalesentreprises de torréfaction de Suisse.Elle transforme chaque année14 000 tonnes de café et importe4000 tonnes de noix et 3000 tonnes defruits secs par an ainsi que de grandesquantités d’épices et de champignonssecs. Delica emploie actuellement deuxcent onze collaborateurs et a réaliséen 2011 un chiffre d’affaires de prèsde 250millions de francs.

Informations: www.delica.ch

sormais simplement acheter des cap-sules àMigros.

Ce lancement rejoint tout à fait lesidées du fondateur de Migros. Qu’ils’agisse de voyages, de cours de langueou de café, Gottlieb Duttweiler s’est eneffet toujours efforcédemettre cesbienset services à la portée du plus grandnombre. Pari tenu: le prix de lancementdes produits Café Royal est de 30 cen-times la capsule (puis 38 centimes lapièce à partir demi-juin). En comparai-son, le client débourse un quart de pluspour boire un caféNespresso.

Texte: Christoph PetermannPhotos: Christian Flierl

Nouveau sur lemarché: les capsulesCafé Royal sont compatibles avec lesmachines Nespresso.

Un travail dehaute précision:Melina Inderbitzin,responsablede projet, et sonéquipe ont dû fairepreuve d’unegrande ingéniositépour lancer lescapsulesMigros.

Page 40: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

40 |ENMAGASIN | GRILLADES |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Bour, nellet snacksTandis que ses amis font une partie de jass,

KilianWenger apporte la touche finale à ses amuse-bouches.Avec eux, la bonne humeur est assurée.

L es convives étant aunombre de cinq, l’und’entre eux est de trop

pour la partie de chibre. Ki-lian Wenger a donc cédé saplace et en profite pour pré-parer de quoi grignoter. Bien

conscientqu’il estdifficiledemanger avec des cartes dansles mains, le roi de la lutte achoisi des snackspratiques etsimples à déguster. «Quandla partie est serrée et que lapressionmonte,onaimebien

Le roi de la lutte organise un barbecueLe roi de la lutte KilianWenger (à gauche) prouve qu’il est également le roi des grillades.

Ruedi (au centre) et Markus (à droite), ses deuxmeilleurs amis et colocataires, lutteurs eux aussi,seront de la partie, tout comme leurs deux charmantes amies Rosanna (à gauche)

et Melanie (à droite).

Brochettede filet de bœuf,les 100 g, Fr. 4.30au lieu de Fr. 5.40** Action valable du 12 au 18.6.12.

Brochetteflambeau,les 100 g, Fr. 2.55au lieu de Fr. 3.20** Action valable du 12 au 18.6.12

Brochette

Kilian Wenger est un hôte attentionné: il a pr

Vive les brochettesUne action spécialesur les brochettesaura lieu du 12 au18 juin au rayonboucherie des plusgrands magasins.Viande rouge, volaille,poisson: il y en aurapour tous les goûts!Durant ces jours,vous pourrezmêmebénéficier d’un rabaisde 20% sur les bro-chettes de viande.

Brochette de bœufà la hussarde,les 100 g, Fr. 3.20au lieu de Fr. 4.-** Action valable du 12 au 18.6.12

Page 41: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| MIGROSMAGAZINE | No 24, 11 JUIN 2012 | ENMAGASINGRILLADES | 41

24, 11 JUIN 2012 |

CONCOURS!Pour des grillades réussies,

il suffit de quelques ingrédients:une météo clémente

et des convives de bonnehumeur. Gagnez une fêtebarbecue avec vos amis!

Pour participer, rendez-voussur www.migros.ch/grill

entionné: il a préparé des amuse-bouches pour ses convives qui disputent une partie de jass.

Page 42: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

42 |ENMAGASIN | GRILLADES |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Grissini Torinesi,250 g, Fr. 2.55

Couronne soleil Bio,360 g, Fr. 2.60

Ailes de poulet Optigal,épicées, les 100 g, Fr. 1.45

Sauce piquante PanchoVilla, 290 g, Fr. 3.90**** En vente dans les plus grandsmagasins.

Chips aumaïs PanchoVilla, 200 g, Fr. 3.80

pouvoir picorer avec sa mainlibre. Et pour ça, les amuse-bouches sont idéaux», ex-plique-t-il.Le premier snack est prêt

en un clin d’œil: KilianWen-ger badigeonne les lamellesde jambon cru de pesto,ajoute quelques feuilles debasilic et enroule le tout au-tour de gressins.Les convives, ravis, en-

gloutissent ces délicieusesspécialités enmoinsde tempsqu’il n’en faut pour le dire.

Heureusement, Kilian Wen-ger a plus d’un tour dans sonsac: il a préparé une sauceraffinée à l’avocat et à la to-mate pour accompagner leschipsmexicaines.Ce jour-là, les snacks du

roi de la lutte sont assuré-ment les atouts incontestésde la partie de jass.

Texte: Claudia SchmidtPhotos: Gaëtan Bally,Claire Lehmann (Food)Stylisme: Esther Egli

Recettes: Cuisine de Saison

«Lors despartiesde jass,les amuse-bouchessontidéaux.»

Gressins fins au pesto et au jambon cru: vite pr

Dés d’ananasAnna’s Best,150 g, Fr. 2.30au lieu de Fr. 2.90** Prix action valabledu 12 au 18 juin 2012.

Page 43: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 43| MIGROSMAGAZINE | No 24, 11 JUIN 2012 | ENMAGASIN | GRILLADES

Le gril dela semaineSi, après vos grillades, vous avez envie devous réchauffer près du feu à la nuit tombée,vous apprécierez ce gril 2 en 1 faisant à la foisoffice de barbecue et braséro. Il est possiblede l’alimenter avec du charbon de bois,mais aussi avec du bois en retirant la grille.Cet élégant objet en acier inoxydableprésente un grand avantage: ses bords nechauffent pas, ce qui permet d’éviter toutesbrûlures et garantit des moments de puredétente autour du barbecue.

Gressins au jambon cruet au pestoAmuse-bouches pour 4 personnes300 g de jambon cru en tranches, 2 cs de pesto alla genovese,poivre, 1 bouquet de basilic, 60 g de gressins

Badigeonner uniformément le jambon cru de pesto et poivrerlégèrement. Garnir chaque tranche de jambon de 2 feuilles de basilicet enrouler bien serré autour des gressins. Servir immédiatement.Conseil: préparer les gressins au dernier moment,car ils ramollissent vite.Préparation: env. 10 minutes.Valeurs nutritionnelles: env. 24 g de protéines, 15 g de lipides, 12 g

de glucides, 1200 kJ/290 kcal

car ils ramollissent vite.Préparation: Valeurs nutritionnelles:

de glucides, 1200 kJ/290 kcal

NOTRE SÉRIEGRILLADES CONTINUE

La semaine prochaine dans«Migros Magazine», Kilian Wengervous montrera comment préparer

des desserts sur le gril.

e préparés, vite dévorés!

Barbecueet braséroDancook 9000,77 x 51 x 77 cm,Ø 58 cm,Fr. 299.-** En vente dans lesDo it + Garden Migros.

Recette:

Vous trouverez la recette de la sauce à l’avocat età la tomate (photo ci-dessus) sur www.migros.ch/grill.

Page 44: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

44 |ENMAGASIN | BOISSONS ET APÉRITIF |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Les trois amiesse réjouissent deleur soirée foot.Boissons etsnacks sontservis. Lematchpeut commencer.

I l y a déjà bien longtempsque la passion du footballn’est plus l’apanage des

hommes. Désormais, nom-breuses sont les femmes quisuivent les compétitions etvibrentpour leuréquipefavo-rite. Elles organisent des soi-rées foot, affichent chez ellesles posters de leurs joueurspréférés et achètent la pressespécialisée. Enfin, durant unmatch, elles font preuve deconnaissances étendues surles points forts de tel sportifou les péripéties de tel club.

Mais ce qu’elles apprécientpar-dessus tout,c’estqu’ellesne doivent pas cuisiner. Deschips,desbâtonnets salés,duthé froid et un soda suffisent.D’autant que pour l’achatd’un multipack Coca-Cola,undes sixverres à collection-ner est offert.

Ainsi à l’aise, les femmesn’auront plus aucunmal avecles règles d’arbitrage et irontmême jusqu’à faire la diffé-rence entre le hors-jeu actifet passif.

Texte: Heidi Bacchilega

Le foot estaussi uneaffairede fillesA l’occasion de l’Euro 2012, qui sedéroulera du 8 juin au 1er juillet,Migrospropose des actions sur les snackset les boissons les plus appréciés. Unverre à collectionner seramême offertà l’achat d’unmultipack Coca-Cola.

Chips Salt &Vinegar Zweifel,170 g, Fr. 2.95 au lieu de Fr. 3.95** Action valable du 12 au 18.6.12.

Chips Paprika Zweifel, 280 g,Fr. 4.60 au lieu de Fr. 5.60** Action valable du 12 au 18.6.12.

Pizza Crackers Party, 150 g,Fr. 2.– au lieu de Fr. 2.40** Action valable du 12 au 18.6.12.

Longs bâtonnets salés Party,250 g, Fr. 1.60 au lieu de Fr. 1.90** Action valable du 12 au 18.6.12. Ph

oto:MirkoRies,stiy

lisme:EstherEgli

Page 45: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 45| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | ENMAGASIN | BOISSONS ET APÉRITIF

Ice Tea Peach, 6 x 1,5 l,Fr. 4.65 au lieu de 9.30** Action valable du 12 au 18.6.12.

Ice Tea Lemon, 6 x 1,5 l,Fr. 4.65 au lieu de Fr. 9.30** Action valable du 12 au 18.6.12.

Jus de pommeM-Classic,10 x 1 l, Fr. 6.– au lieu de Fr. 12.–** Action valable du 12 au 18.6.12.

Coca-Cola, 6 x 1,5 l, Fr. 13.20** Avec un verre gratuit à collectionnerpar lot de six bouteilles.

Page 46: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Ou retournez-nous le coupon-réponse à : Culture et FormationBoulevard de Pérolles, 26 - 1700 FRIBOURG

Pour recevoir des renseignements complets,vous pouvez prendre contact avec

Centre privé d’enseignement à distancePar SMS au 9889 (Fr. 0.20/SMS) : Tapez le code CF MIG suivi de votreNOM, Prénom, Adresse, Numéro fixe, Numéro de portable.Par exemple : CF MIG, ROULIN, Christine, l’Impasse du Couchant 3, 1700 Fribourg,026.443.12.25, 079.334.74.75 (Max. 160 caractères).

www.culture-formation.ch026 347 47 47Par Téléphone

Par Internet

Première École de Secrétariat Médical en Suisse

Vous étudiez chez vousLes cours par correspondance de CULTUREET FORMATION vous permettent d’apprendrece métier valorisant chez vous, à votrerythme, selon votre propre emploi du temps.Que vous soyez célibataire ou mère de famille,vous pouvez commencer les cours à toutmoment de l’année. Cette souplesse permetégalement à celles qui le souhaitent de serecycler sans quitter leur emploi actuel.

Un enseignement sérieuxC’est la meilleure garantie de réussite. CULTUREET FORMATION étant une école spécialisée dansla formation de secrétaires médicales, elle a su

mettre au point des cours très concrets, fondéssur la pratique. Ils sont donc à la portée detoutes. Des experts professionnels vous suiventpersonnellement jusqu’à la fin de vos études.Et, bien sûr, vous pouvez appeler votreassistante aussi souvent que vous le désirezpour bénéficier de ses conseils.

Un métier recherchéet bien rémunéréAvec le diplôme de secrétaire médicale délivrépar CULTURE ET FORMATION, vous pouvezexercer dans des cabinets médicaux, centreshospitaliers, cliniques, crèches, laboratoires, etc.Les débouchés sont donc nombreux et variés.

Vous êtes ouverte aux autres, vous avez le sens de l’accueil... Alors, vous avez les qualités pour devenir uneexcellente secrétaire médicale, un métier réellement passionnant et très recherché dans l’univers de la santé.

BON REPONSE A RETOURNER A CULTURE ET FORMATION,Boulevard de Pérolles, 26 - 1700 FRIBOURG

Je désire recevoir, gratuitement et sans engagement, des renseignements completssur votre cours de secrétaire médicale.Mme ❏ Mlle ❏ M. ❏ NOM : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Prénom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Né(e) le : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Rue : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . N° . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

NPA : Localité :. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tél. (fixe) : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Niveau d'études : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tél. (portable) : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Profession : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

E-mail : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

MIG 06/12 DSM2

Accessible aussi aux hommes

AvecAvecAvec

Culture et FormationCulture et FormationCulture et Formation

10 ans 10 ans 10 ans d'expérienced'expérienced'expérience

enenen SuisseSuisseSuisseDevenezSecrétaire MédicaleUn métier passionnant et bien rémunéré.

DevenezSecrétaire MédicaleUn métier passionnant et bien rémunéré.

Die Kurse sind ebenfalls auf Deutsch erhältlichwww.kultur-ausbildung.ch

« Ce qui m’a intéressée, c’est que jepouvais travailler à mon rythme. J’ai donc fait

cette formation en 11 mois sans être surchargée,ni stressée ! Je travaillais 3 heures par semaine avec

bonne humeur car les manuels étaient non seulementtrès bien faits mais surtout ludiques et compréhensibles.J’ai appelé deux fois l’école pour que l’on m’éclaire sur

les questions d’un devoir. En fait, avec Culture etFormation, j’ai appris un nouveau métier tout

en restant chez moi ! »

Natacha J. 1258 Perly

Certificat suisse de qualité pour lesinstitutions de formation continue

Certifiée EduQua, Culture et Formationest reconnue pour son excellente qualité

d’institution de formation continueau niveau fédéral.

L’école, accréditée par l’SQS, remplit lesexigences suisses liées à l’enseignement.

Pour plus d'informations, visitez :www.EduQua.ch ou www.sqs.ch.

Page 47: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 47| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | ENMAGASIN | IDÉES GOURMANDES

BON&BONMARCHÉ

Salade piquanteEnv. Fr. 3.15

Entrée pour 4 personnes■ Parer 250 g de salade verte et réserver dans un saladier. Env. Fr. 2.–■Mélanger 3 cs d’huile d’olive, 2 cs de vinaigre balsamique, 1 cc demoutarde grosgrains, ½ cc demoutarde de Dijon et 1 cc demiel afin d’obtenir une vinaigrette.Saler et poivrer. Env. Fr. –.65■ Pour les croûtons: couper 2 tranches de pain toast en gros dés de 1 cm.Chauffer 2 cs d’huile d’olive dans une poêle et faire dorer les croûtons. Env. Fr. –.50■ Verser la vinaigrette sur la salade et bien mélanger. Ajouter les croûtons avant deservir.Conseil: vous pouvez également relever la saveur de la salade avec des noix grilléesou des graines de tournesol et de courge. De la moutarde pour le piquant,

des croûtons pour le croquant.

Irrésistibles

Un mélange étonnantFinis les banals assortiments de fruits séchés,les Suisses veulent de la nouveauté!Tant mieux: c’est justement ce qu’apportece mélange américain de canneberges,d’amandes, de noix et de noix de pécan.Des sensations dignes d’un périple surla route 66…American Dream Sun Queen World Tour,175 g, Fr. 3.90** En vente dans les plus grands magasins.

Dans le sacProposées en éditionlimitée, les barresde céréales Farmerà la grenade et à lagoyave s’avèrentaussi savoureusesqu’exotiques.A placer sans hésiterdans son sac à dospour la prochainerandonnée.Barres de céréalesFarmer Softgrenade/goyave,6 pièces, 120 g,Fr. 4.40

Fraiset fruitéL’arrivée prochainede l’été marque leretour du bircher auxfraises et aux baiesdes bois, exemptde colorants etd’arômes artificiels.Bircher d’étéAnna’s Best,280 g, Fr. 3.70** En vente dans les plusgrands magasins.

Un plaisir simpleCes délicieux sablés aux noix de macadamiasont préparés avec desœufs issus d’élevagesen plein air.Sablé macadamia Tradition,120 g, Fr. 3.30** En vente dans les plus grands magasins.

De la moutarde pour le piquant, des croûtons pour le croquant.

Page 48: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

48 |ENMAGASIN | BOUCHERIE |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Labels de qualitéLes directives applicables auBœuf de pâturage Bio ont étédéfinies par Migros: il s’agit d’uneviande tendre, savoureuse et issued’exploitations de notre payscertifiées Bio Suisse.

Le bœuf de pâturage «De la région»est produit par des paysans locaux.

P our nombre de Suisses,une belle pièce de bœuffait souvent partie in-

tégrante d’un bon repas. Defait, une viande bien prépa-rée peut être un véritable ré-gal pour les papilles. Et si elleprovientd’unélevage respec-tueux des animaux, le plaisirn’en est que plus grand.La viande arborant le label

«Bœuf depâturage»est pro-duite à partir de bêtes élevéesen troupeau dans des préssuisses et senourrissantprin-cipalement d’herbe fraîche.Parce qu’elles bougent da-vantage et grandissentmoinsvite que les animaux engrais-sés selon les méthodes tra-ditionnelles, leur chair déli-catement marbrée est plustendre et plus savoureuse.De plus, les morceaux de

bœuf provenant d’un éle-vage respectueux conserventpresque tout leur jus pendantla cuisson.Conforme aux directives

Bio Suisse, le bœuf de pâtu-rage Bio a reçu la mention«très recommandable» duWWF. Il est en vente à Mi-gros Zurich, Migros Suisseorientale et Migros Aar (quipropose de plus du bœuf depâturage classique). Quant àla viande estampillée «De larégion», elle est disponibleà Migros Lucerne et MigrosBâle. Texte: Heidi Bacchilega

Tous les morceauxde viande de bœufsont disponiblesen qualité «bœufde pâturage»au rayon boucheriedes magasinsde certainescoopérativesrégionales.

Un élevage exemplaireDe l’herbe fraîche et des sorties en plein air: les bœufs de pâturage suisses mènent une vie en harmonieavec les besoins de leur espèce. Tendre et savoureuse, la viande est disponible en exclusivité à Migros.

Tous les morceaux de viande de bœuf sont disponibles en qualité «bœuf de pâturage» au rayon boucherie des magasins de certaines coopératives régionales. Ph

oto:Ha

nsSchü

rmann

Page 49: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

3.20au lieu de 4.–Festival debrochettesvente à l’étal20% de réduction

p. ex. brochette de

hussard au bœuf,

Suisse, les 100 g

6.80au lieu de 9.50

Poulets OptigalentiersSuisse, 2 pièces25% de réductionle kg

3.20Tomatesen grappeSuisse/Pays-Bas,le kg

1.70au lieu de 2.–

Toutes lescouronnes depain–.30 de moinsp.ex. couronnecroustillante,TerraSuisse, 300 g

1.70au lieu de 2.–

Toutes les couronnes de pain–.30 de moinsp.ex. couronne croustillante, TerraSuisse, 300 g3.–

au lieu de 4.35MozzarellaAlfredoen lot de 33 x 150 g

30%3.–au lieu de 4.35Mozzarella

30%10.40au lieu de 12.50

Lait entier UHTValflora, 10 x 1 litre15% de réduction

INCROYABLEMENT FRAISOFFRES VALABLES DU 12.6 AU 18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

Les articles M-Budget, Sélection et ceux bénéficiant déjà d’une réduction sont exclus de toutes les offres.

Idéal pour accompa-

gner vos brochettes

estivales: panaché de

légumes grillés au

parmesan. Voustrouverez la recette

sur www.saison.ch/

fr/m-malin et tous les

ingrédients bien frais

à votre Migros.

M-MALIN

ENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLE ENT FRAISENT FRAISMMMENT FRAISENT FRAISMMMMMMMMMINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLE ENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLE ENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLE ENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLE ENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLE

Page 50: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

2.30au lieu de 2.90

Laitue pomméerouge Anna’sBest20% de réduction150 g

2.30au lieu de 2.90

Laitue pommée

2.60MelonsCharentaisEspagne/France,la pièce

4.40au lieu de 7.40

NectarinesEspagne,le kg

40%

14.80Roses,Max Havelaarle bouquet de 15

2.60au lieu de 3.30Choux-fleursSuisse,le kg

3.90au lieu de 5.60

FraisesSuisse,la barquette de500 g

30%

12.30au lieu de 17.70

Pizza FiorentinaBarbey en triopackl’emballage de3 x 350 g

30%

1.85au lieu de 2.30

Vacherin Fribour-geois surchoixSuisse, l’emballagede 250 g env.,les 100 g

2.80au lieu de 3.60Tranches à lacannelle20% de réduction

l’emballage de320 g

OFFRES VALABLES DU 12.6 AU

Société coopérative Migros Neuchâtel/Fribourg

BIENVENUE DANS LE MOBIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.MMO NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.MMO NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.MO NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.MO NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMBIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE BIENVENUE DANS LE

Page 51: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

9.10au lieu de 13.–Produits Cornatur

en lot de 2p.ex. escalopes au

fromage à la crème

et aux épinards,

2 x 240 g

30%9.10au lieu de 13.–Produits Cornatur

30%4.70au lieu de 6.30

Party SticksMalbunerSuisse25% de réduction3 x 40 g

3.30au lieu de 6.60

Cervelas,TerraSuisseSuisse,3 x 2 pièces, 600 g

50%3.30au lieu de 6.60

Cervelas, TerraSuisse

50%6.70au lieu de 8.40

Tout l’assortimentde charcuterieHeidi20% de réductionp.ex. viandeséchée de monta-gne des Grisons,Suisse, les 100 g

6.703.–au lieu de 4.30

Filet de saumonsauvage marinéSockeye, MSCde pêche durable,Alaska, les 100 g

30%

2.45au lieu de 3.55

Jambon Gourmet,TerraSuisse,en duopackprétranché, Suisse,le lot de 2 x 140 g,les 100 g

30%12.50au lieu de 18.–Viande hachée mé-

langée en duopack

fraîche, Suisse,

le lot de 2 x 500 g

30%

1.35au lieu de 2.30

Rôti de cou deporc lardé ficelé,TerraSuissefrais, Suisse,le morceaude 2,2 kg env.,les 100 gen libre-service

40%

9.90au lieu de 19.80

Saumon fumécoupéEcosse,la barquette de300 g

50%

18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.O NDE DE LA FRAÎCHEUR.

Page 52: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

19.90au lieu de 33.60Tablettes de choco-lat Frey assorties enlot de 20, avec sacisotherme gratuit20 x 100 g

5.40au lieu de 6.80Cerealino ouChocinoTradition,en lot de 220% de réductionp. ex. CerealinoTradition, 2 x 270 g

20xPUNTI

20xPOINTS

2.60Tous les fruitssecs, noix, etmélangesp. ex. amandes

M-Classic,entières, 200 g

1.20au lieu de 1.55Toutes lesmoutardes,Fit-onnaises etmayonnaises(excepté Thomyet M-Budget)20% de réductionp. ex. mayonnai-se M-Classic, entube, 265 g

1.55au lieu de 1.95Toutes les pâtesAgnesi et Garo-faloà partir de2 paquets–.40 de moins l’unp. ex. spaghettisAgnesi, 500 g

2.60au lieu de 3.10Tous les produitsà tartiner en tubeà partir de2 produits–.50 de moins l’unp. ex. CrèmeSandwich, 200 g

8.60au lieu de 10.80Toutes les pâtis-series aux fraises20% de réductionp. ex. gâteau auxfraises, 550 g

3.10au lieu de 3.75Œufs suissesd’élevage au sol,15% de réduction9 pièces de 53 g+

3.05au lieu de 3.60Tous les Yogosen lot de 4–.55 de moinsp. ex. au miel,4 x 180 g

OFFRES VALABLES DU 12.6 AU 18.6.2012,

ENCORE DES

Page 53: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

4.65au lieu de 9.30Tous les Ice Teaen bouteilles PET,l’emballage de6 x 1,5 litrep. ex. Ice TeaLemon

50% 5.75au lieu de 7.20Bâtonnets decrème glacée,l’emballage de 1220% de réductionp. ex. bâtonnets decrème glacée à lavanille, 12 pièces,684 ml

8.15au lieu de 16.30Cornets de glaceFun vanille etfraise,l’emballagede 16 pièces

50%

10.20au lieu de 12.80Délices au fromageM-Classic en lotde 2surgelées20% de réduction2 x 10 pièces

6.85au lieu de 11.45

Emincé de poulet

M-Classic en lot

de 2surgelé,2 x 350 g

40%6.–au lieu de 12.–Jus de pommeM-Classicen lot de 1010 x 1 litre

50%

7.80au lieu de 9.80Produit de net-toyage et détar-trant en lot de 220% de réductionp. ex. Potz Calc, lelot de 2, 2 x 1 litre

7.802.75au lieu de 5.50Tout l’assortimentMigros Toplinep. ex. boîte àyogourt Clic-Clacavec cuillèreValablejusqu’au 25.6

50%7.95au lieu de 15.95Toutes lescouches-culottesMilette, Naturalset Pants incl.(excepté Swim-pants),p. ex. Junior 5,44 pièces

50%

18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

ÉCONOMIES.

Page 54: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

5.90au lieu de 8.85

Articles de soinsdentairesCandida en em-ballagesmultiplesp. ex. Fresh Gel,3 pour 2,3 x 125 ml

5.90au lieu de 8.85

Articles de soins dentaires Candida en em-

4.80au lieu de 6.–

Mouchoirs enpapier et serviet-tes à démaquillerLinsoft et Kleenexen emballagesmultiplesp. ex. serviettes àdémaquiller LinsoftUltra Soft, le lotde 3 boîtes, FSC,3 x 90 pièces

12.80Maillots de corpspour homme, le lotde 2, ou shorty pourhommep.ex. shorty

5.85au lieu de 9.80

Tout l’assortimentde sous-vêtementspour hommeJohn Adamset Nick Tylerp. ex. short JohnAdams

40%

9.90Shorty pourenfantp. ex. shorty pourgarçon

4.80au lieu de 6.–

Mouchoirs en papier et serviet-tes à démaquiller Linsoft et Kleenex en emballages multiplesp. ex. serviettes à démaquiller Linsoft Ultra Soft, le lot de 3 boîtes, FSC,

6.30au lieu de 9.–

Lingettes im-prégnées Soften emballagesmultiplesp. ex. lingettesimprégnées Com-fort en lot de 5,5 x 50 pièces

30%

6.55au lieu de 9.40

Essuie-toutménager Twisten emballagesmultiplesp. ex. Style avecmotif Euro, FSC,8 rouleaux

30%129.–au lieu de 149.–

Solis EasyVac Pro2 modes de fonctionne-

ment pour les aliments

secs et humides,puissante pomped’aspiration (jusqu’à-0,8 bar)

55.–au lieu de 110.–

Set Classic dévidoirGardena15 mètres

50%

OFFRES VALABLES DU 12.6 AU 18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

*En vente dans les plus grands magasins Migros.

POUR LES CHASSEURS DE BONNES AFFAIRES.

Page 55: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

FRUITS & LÉGUMESTous les fruits coupés Anna’sBest, p.ex. dés d’ananas, 150 g2.30 au lieu de 2.90 20%Laitue rouge Anna’s Best,150 g 20%Nectarines, Espagne, le kg4.40 au lieu de 7.40 40%Melons charentais, Espagne/France, la pièce 2.60Tomates en grappe, Suisse/Pays-Bas, le kg 3.20Soupe estivale gazpacho,Suisse, la barquette3.90 NOUVEAU **Pommes Gala, Suisse, le kg2.40 au lieu de 3.40Mangue, Côte d’Ivoire/République Dominicaine/Mali,la pièce 1.60 au lieu de 2.40 33%Fraises, Suisse, la barquettede 500 g 3.90 au lieu de 5.60 30%Rucola bio, «De la région.»,Seeland, le sachet de 100 g1.90 au lieu de 2.80 30%Choux-fleurs, Suisse, le kg2.60 au lieu de 3.30

POISSON & VIANDEBrochettes Festival,en vente à l’étal 20%Cervelas, TerraSuisse, Suisse,3 x 2 pièces, 600 g 50%Party Sticks Malbuner, Suisse,3 x 40 g 25%Tout l’assortimentde charcuteries Heidi 20%Poulets Optigal entiers, Suisse,2 pièces, le kg 25%Piccata de filets de sandreSélection, de pêche durable,Kazakhstan, 200 g9.50 NOUVEAU **Emincé de poulet M-Classic enlot de 2, surgelé, 2 x 350 g 40%Viande hachée mélangée enduopack, fraîche, Suisse,le lot de 2 x 500 g12.50 au lieu de 18.– 30%Emincé de bœuf, frais, Suisse,les 100 g 2.80 au lieu de 3.65 20%Rôti de cou de porc lardé ficelé,TerraSuisse, frais, Suisse,le morceau de 2,2 kg env.,les 100 g 1.35 au lieu de 2.30 40%en libre-serviceRacks d’agneau marinés, frais,Nouvelle-Zélande/Australie,les 100 g 4.45 au lieu de 5.60 20%en libre-serviceSaucisse à rôtir de porc,«De la région.», fraîche, Suisse,les 100 g 1.35 au lieu de 1.70 20%Saucisses à rôtir pasteurisées,Suisse, 2 x 5 pièces, le kg9.40 au lieu de 15.80 40%Saucisse de veau délicatesseM-Classic, prétranchée, Suisse,les 100 g 1.65 au lieu de 2.10 20%Jambon Gourmet, TerraSuisse,en duopack, prétranché, Suisse,le lot de 2 x 140 g, les 100 g2.45 au lieu de 3.55 30%Antipasti Rapelli, p.ex. carpacciode bœuf, Suisse, les 100 g4.85 au lieu de 6.10 20%

Escalopes de dinde, 6 pièces,fraîches, France, les 100 g1.65 au lieu de 2.10 20%Grignottes de poulet naturerôties, France, le sachet de 250 g5.80 au lieu de 7.30 20%Plat grill brochettesde cabillaud/crevettes,la barquette de 330 g10.30 au lieu de 12.90 20%Dorade royale, 2 pièces, Grèce,les 100 g 2.– au lieu de 2.50 20%Filet de maquereau mariné,Atlantique Nord-Ouest,la barquette de 300 g7.10 au lieu de 8.90 20%Filet de sardine mariné,Atlantique Nord-Ouest,la barquette de 375 g8.70 au lieu de 10.90 20%Filet de saumon sauvagemariné Sockeye, MSC, de pêchedurable, Alaska, les 100 g3.– au lieu de 4.30 30%Saumon fumé coupé, Ecosse,la barquette de 300 g9.90 au lieu de 19.80 50%Tous les Coraya Fish & Dipavec sauce, France,p.ex. Cocktail, l’emballagede 200 g 4.10 au lieu de 5.90 30%

PAIN & PRODUITS LAITIERSToutes les couronnescroustillantes –.30 de réductionMozzarella Alfredo en lot de 3,3 x 150 g 30%Lait entier UHT Valflora,10 x 1 litre 15%Tous les Yogos en lot de 4,–.55 de moins l’unFromage des Grisonsà la crème Heidi, les 100 g1.90 au lieu de 2.40 20%Tous les fromages à grilleret à rôtir, p.ex. Panadoro nature,2 x 145 g 4.05 au lieu de 5.10Leerdammer Caractère,150 g 4.10 NOUVEAU **Vacherin Fribourgeois surchoix,Suisse, l’emballage de 250 g env.,les 100 g 1.85 au lieu de 2.30Chamois d’Or, France,l’emballage de 220 g env.,les 100 g 2.10 au lieu de 2.60

FLEURS & PLANTESPivoines, le bouquet de 5 pièces9.80 au lieu de 13.80Roses, Max Havelaar,le bouquet de 15 14.80Balconi bio, le pot de 18 cm,la plante 12.80 au lieu de 16.80Lavande Hidcote Blue, le potde 14 cm 4.50 au lieu de 5.90Sempervivum «De la région.»,le pot de 10 cm3.80 au lieu de 4.50

AUTRES ALIMENTSTablettes de chocolat Freyassorties en lot de 20, avec sacisotherme gratuit, 20 x 100 g19.90 au lieu de 33.60

Ferrero Tic Tac en lot de 4,Giotto, Raffaello et Yogurette,p.ex. Ferrero Raffaello, 23 pièces3.80 au lieu de 4.75 20%Chips Zweifel 170 g, 280 g et300 g 1.– de réduction, p.ex.chips au paprika Zweifel, 280 g4.60 au lieu de 5.60Toutes les pâtes Agnesi etGarofalo, à partir de 2 paquets–.40 de moins l’unTous les birchermueslis,700–800 g, p.ex. birchermuesliReddy Nature, bio, 700 g4.10 au lieu de 5.50 25%Kellogg’s Optivita Berry*,375 g 5.90 NOUVEAU **Tous les Mister Rice, 1 kg,p.ex. Wild Rice Mix4.50 NOUVEAU **Tous les fruits secs,noix, et mélangesSoupe à l’avoine, bio,38 g 2.10 NOUVEAU **Toutes les moutardes,Fit-onnaises et mayonnaises(excepté Thomy) 20%Tous les thés Tetley, p. ex.English Breakfast Tea, 25 sachets2.40 au lieu de 3.– 20%Cerealino Tradition ou Chocino,en lot de 2 20%Tout l’assortiment de biscuitsapéritif Party, p.ex. crackerspizza Party, 150 g2.– au lieu de 2.40 15%Cookie Monster, 40 g1.40 NOUVEAU **Toutes les pâtisseriesaux fraises 20%Toutes les rouladesnon réfrigérées, p.ex. rouladeaux framboises, 330 g2.95 au lieu de 3.70 20%Tous les Ice Tea en bouteillesPET de 6 x 1,5 litre 50%Jus de pomme M-Classic,en lot de 10, 10 x 1 litre 50%Pizza Lunga Anna’s BestPomodorini/Pesto,205 g 4.90 NOUVEAU **Mini-Fruste en lot de 2,2 x 200 g 7.80 au lieu de 10.40 25%Poulet à la sauce Sweet & SourM-Classic, 370 g4.90 NOUVEAU **Produits Cornaturen lot de 2 30%Toutes les sauces Agnesi,p. ex. sugo al basilico Agnesi,400 g 2.15 au lieu de 2.70 20%Tous les produits à tartineren tube, à partir de 2 produits–.50 de réduction l’unSubito Hot Snacks Napoli,Tomato ou Mushroom,p.ex. Hot Snack Napoli,70 g 2.60 NOUVEAU **Bâtonnets de crème glacée,l’emballage de 12 20%Cornets de glace Fun à lavanille et fraise, l’emballagede 16 50%Crêpes au fromage M-Classicen lot de 2, surgelées 20%

Œufs suisses d’élevage au sol,9 pièces de 53 g+ 15%Tranches à la cannelle,l’emballage de 320 g2.80 au lieu de 3.60 20%Cappelletti jambon-fromageM-Classic, l’emballagede 3 x 250 g 9.– au lieu de 12.90Pizza Fiorentina Barbeyen triopack, l’emballagede 3 x 350 g12.30 au lieu de 17.70 30%Tous les sandwiches baguettesBarbey, p.ex. au jambon, la piècede 180 g 3.90 au lieu de 4.95 20%Toutes les sauces Fresh DipAnna’s Best, p.ex. cocktail,la pièce de 125 g1.10 au lieu de 1.40 20%

NON-ALIMENTAIREProduit de nettoyageet détartrant en lot de 2 20%Support pour double diffuseurMigros Fresh Press & Go1.90 NOUVEAU **Baume de douche Kneipp,en lot de 2, p.ex. baumede douche aux fleurs d’amandier,2 x 200 ml 11.– au lieu de 13.80Rasage pour dame I am hairremoval, p.ex. gel de rasageRemoval Sensitive,150 ml 3.30 NOUVEAU **Articles de soins dentairesCandida en emballagesmultiples, p. ex. Fresh Gel,3 pour 2, 3 x 125 ml5.90 au lieu de 8.85Toutes les couches-culottesMilette, avec Naturals et Pants(sans Swimpants) 50%Essuie-tout ménager Twisten emballages multiples 30%Lingettes imprégnées Soft enemballages multiples 30%Mouchoirs en papieret serviettes à démaquillerLinsoft et Kleenex enemballages multiples,p.ex. serviettes à démaquillerLinsoft Ultra Soft, le lotde 3 boîtes, FSC, 3 x 90 pièces4.80 au lieu de 6.–Set Classic dévidoir Gardena,15 mètres 50%Tout l’assortiment MigrosTopline 50%Tous les articles de préparationde l’eau Brita, Soda-Club,Cucina & Tavola et M-Classic,p. ex. cartouches pour filtreà eau Cucina & Tavola Duomax,3 cartouches11.55 au lieu de 16.50 30%Solis EasyVac Pro129.– au lieu de 149.–Shorty pour enfant,p.ex. shorty pour garçon 9.90Big-shirt ou shorty pour femme,p.ex. shorty 14.90Tout l’assortiment desous-vêtements pour hommeJohn Adams et Nick Tyler 40%Shirt en duopack ou shortypour homme, p.ex. shorty 12.80

Société coopérative Migros Neuchâtel/Fribourg **Valable jusqu’au 25.6Vous trouverez plus d’informations sur les prix, les produits et les réductions sur les étiquettes des articles dans cet encart.

Pourvosachats,détachezici.

LISTE D’ÉCONOMIES.OFFRES VALABLES DU 12.6 AU 18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

Page 56: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

2.60Hot Snack Napoli,

Tomato ou Mush-

rooms Subitop. ex. Hot Snack Napoli,

70 g

NOUVEAU

4.50Tous les Mister Rice,1 kgp. ex. Wild Rice Mix

NOUVEAU

2.10Soupe à l’avoine, bio38 g

NOUVEAU

1.40Cookie MonsterSnack au chocolat etaux céréales,en tablette pratique,40 g

NOUVEAU

4.90M-Classic ChickenSweet & Sour370 g

NOUVEAU

4.10LeerdammerCaractère150 g

NOUVEAU9.50Piccata de filets desandre Sélectionde pêche durable,Kazakhstan, 200 g

NOUVEAU

3.90Soupe estivalegazpachoSuisse,la barquette

NOUVEAU

2.60Hot Snack Napoli,

Tomato ou Mush-

rooms Subitop. ex. Hot Snack Napoli,

70 g

NOUVEAU

4.90Pizza Lunga Anna’sBest Pomodorini/Pesto205 g

NOUVEAU

NOUVEAU À VOTRE MIGROS.OFFRES VALABLES DU 12.6 AU 25.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

En vente dans les plus grands magasins Migros.

NOUVEAU À VOTRE MIGROS.NOUVEAU À VOTRE MIGROS.NOUVEAU À VOTRE MIGROS.20x0x0x

POINTS

0x0xPOINTS

0x20xPOINTS

Page 57: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 57| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | ENMAGASIN | BIFIDUS

Yogourt Bifidus,mangue, 150 g, Fr. –.85Yogourt Bifidus,nature, 500 g, Fr. 1.70Yogourt Bifidus,abricot/myrtille,4 x 125 g, Fr. 2.85

Sabine Wiederkehr, quel est le secret d’unedigestion facile?L’alimentation jouebienentenduunrôleessentiel. Il importe de manger beau-coupde légumes,de fruits etdeproduitscéréaliers complets riches en fibres. Laconsommation quotidienne de produitsprobiotiques tels que les yogourts Bifi-dus peut aussi donner un coup de pouceà la digestion.

Avez-vous d’autres recommandations?Il est primordial de boire suffisamment,soit au moins 1,5 litre d’eau par jour. Deplus, une activité physique régulières’impose.Enfin, il faut essayer de ralen-tir son rythme de vie. Pendant les repas,il est importantdecréeruneatmosphèrepropice à la détente.

Quelle est la fonctiondesbactériesprésentesdans l’intestin?Lesmicro-organismesde l’intestingrêle– la fameuse flore intestinale – per-mettent au corps d’assimiler les nutri-ments contenus dans les aliments. Avecleursmétabolites, ils peuvent aussi faci-liter le transportdes restesdenourriturejusqu’à l’intestin. Les bactéries bifiduscontenues dans les yogourts Bifiduspeuvent ainsi contribuer à labonne san-té de la flore intestinale.

Qu’est-ce qui rend le bifidus si spécial?Lesbactériesbifidus résistentmieuxauxacides et aux sels biliaires que les bacté-ries lactiquesdesyogourts traditionnels.Elles parviennent donc en meilleur étatjusqu’à la partie inférieure de l’intestin,où elles peuvent jouer un rôle actif.

Entretien: Anna-Katharina Ris

Bien dans son corpsPour éviter les problèmes digestifs, rien ne vaut une activité physique régulière, une alimentation variéeet la consommation d’un yogourt Bifidus par jour. Andrea Abderhalden le sait bien.

Andrea Abderhalden, l’épouse du lutteur Jörg Abderhalden, reste en forme et lestegrâce à un mode de vie sain et aux produits Bifidus.

Sabine Wiederkehrest responsabledu secteurAlimentation etsanté à Migros.

«UnproduitBifidus parjour peutdonner uncoupdepouce à ladigestion.»

mangue, 150 g, Fr. –.85nature, 500 g, Fr. 1.70abricot/myrtille, 4 x 125 g, Fr. 2.85

Entretien: Anna-Katharina Ris

Photos:DanielAmmann,stylisme:Mirjam

Käser

Page 58: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

POWER,FUN!

MORE POWER,MORE FUN!

Energizer est en vente à votre Migros

OFFRES VALABLES SEULEMENT DU 12.6.2012 AU 25.6.2012 OU JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

Les

pile

sus

agée

sdo

iven

têtre

rapp

orté

esau

poin

tde

vent

e!

50%DE RÉDUCTION

19.80au lieu de 39.60Piles alcalinesEnergizer Ultra+ AA

ou AAA en lot de 20

50%

Page 59: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 59| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | ENMAGASIN | BÊTA-GLUCANE

C omme nombre de Bri-tanniques, qui nepeuvent envisager un

déjeuner sans leur tradition-nel porridge, cette fameusebouillie d’avoine, les Suissessont très attachés à leur bir-cher.Etpour cause: lorsqu’ona goûté à cette spécialité, onlui reste fidèle toute sa vie.Les amateurs d’avoine

apprécient également cettecéréale parce qu’ils saventqu’elle contient des nutri-ments essentiels à l’orga-nisme tels que des protéines,des acidesgras insaturés etdela vitamine B. De plus, l’en-veloppe des grains d’avoine

renferme une substance par-ticulièrement précieuse: lebêta-glucane d’avoine. Cettefibre alimentaire permet defaire baisser le taux de cho-lestérol dans le sang, ce quiréduit à son tour le risque demaladie cardiaque.La teneur en bêta-glu-

cane du son d’avoine – et, afortiori, celle des flocons –est en principe relativementfaible. Mais aujourd’hui, unprocessus spécial de mou-ture permet de faire passerla proportion de cette subs-tance dans le son d’avoine à28%, contre seulement 5%habituellement.

Les bienfaits du bêta-glucane■ Les produits arborant le logo en forme de cœur contiennentbeaucoup plus de bêta-glucane d’avoine que le sond’avoine traditionnel.■ Le bêta-glucane est une fibre végétale solubleet présente naturellement dans le son d’avoine.■ Des études scientifiques ont montré que lebêta-glucane d’avoine réduit le taux de cholestérol.

Lemeilleur de l’avoineUn grand nombre des précieux nutriments de cette céréale se trouve dans l’enveloppe du grain: le son.Aujourd’hui, ce dernier est enrichi en bêta-glucane d’avoine, une fibre bénéfique pour la santé.

Des produits contenant dubêta-glucane d’avoine sontdésormais en vente au rayondéjeuner de Migros. Ils sontidentifiables grâce à leur logoen forme de cœur, qui garan-tit que leproduit a été élaboré

avec du son d’avoine riche enbêta-glucane. Et avec troisgrammes de cette précieusefibre, le bircherou l’en-cas setransforme en une collationaussi saine que savoureuse.

Texte: Claudia Schmidt

Photo:Ge

ttyImages

Page 60: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

20% sur la gamme de produits alboPROFITEZ-EN MAINTENANT! OFFRES VALABLES du 12 Au 18 juIN 2012 Ou juSQu’À ÉPuISEMENT du STOCK

En vente dans les plus grands magasins Migros de Suisse romande.

2.95au lieu de 3.70Thon blanc entierà l’huile d’olive, Albo90 g

5.65au lieu de 7.10Filets de thon blancà l’huile d’olive, Albo85 g

1.80au lieu de 2.25Miettes de thonà la sauce tomate, Albo120 g

2.50au lieu de 3.15Calamars en morceaux

dans leur encre, Albo

115 g

1.80au lieu de 2.30Sardines à la saucepicantonas, Albo120 g

Page 61: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 61| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | enMagasin | L’oréaL

«Pourmoi, il estimportant que lesoin de jour ne soitpas superficiel.C’est pourquoij’aime le sérumanti-rides qui nour-rit en profondeur.»Regula, 41 ans, mère au foyer.

Des soinsindispensables pourles femmes de 40 ans:

� SérumRevitaliftTotal Repair 10 L’Oréal,30ml, Fr. 21.40�Crème BBRevitaliftTotal Repair 10 L’Oréal,50ml, Fr. 17.80�Crème de jour et denuit Revitalift TotalRepair 10 L’Oréal,50ml, l’une, Fr. 17.80

Q u’elle soit businesswo-man toujours en dé-placement ou mère au

foyer, la femme de 40 ans estde nos jours très sollicitée. Etcomme il n’est pas questionde négliger son apparence,elle recherche un soin pour levisage répondant auxbesoinsde sa peau. L’objectif: com-battre les signesduvieillisse-ment cutané tout en laissantune sensation de fraîcheur.

LagammeRevitaliftTotalRe-pair 10deL’Oréal offre tout ceque recherchent les quadra-génaires. Se composant desoins de jour ou de nuit, d’unsérum et d’une crème BB(Blenish BalmCream) légère-ment teintée, l’assortimentaux principes actifs ultra-concentrés à petits budgetsconviendra à toutes lesfemmes.Texte: AnetteWolffram Eugster

«J’ai testé les soinsde jour et de nuitRevitalift TotalRepair 10. L’effetlissant sur la peaum’a tout de suiteconvaincue.»Maya, 39 ans, laborantine

«Je voulais des résultats immédiats.J’ai alors essayé la crèmeBB.Ce soin de jouraux pigments légers est vraiment super.»Martina, 43 ans, vendeuse en parfumerie.

SimplementrayonnanteLes soins Revitalift Total Repair 10 de L’Oréalcombattent pas moins de dix signesdu vieillissement cutané. De quoi réjouirla femme de 40 ans.

Photos:Shu

tterstock,Ge

ttyimages

Page 62: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

A saisirmaintenant!

www.doit-garden-migros.chActions valables du 12.6 au 18.6.12, sauf indication contraire.

Liste des magasins et inscription à la Newsletter sur

* TAR: taxe anticipée de recyclage, tous les prix sont indiqués en francs suisses.** Les accumulateurs usagés doivent être rapportés au point de vente.

avant 32.90, maintenant

16.45

avant 699.–, maintenant

349.50

avant 449.–, maintenant

224.50

PhalaenopsisOrchidées papillon, 2 hampes en diversescouleurs, en pot de 15 cm.Jusqu’à épuisement du stock, 3001.047

Déshumidificateur DGM 20DO IT + GARDEN MIGROS370 W, puissance de déshumidification 20 l/24 h,capacité du réservoir 3,5 l.Jusqu’à épuisement du stock, TAR* incl., 6142.116

avant 399.–, maintenant

199.50Nettoyeur à haute pressionK 4.200 Compact KÄRCHER1900 W, débit de 440 l/h, pression de 130 bars.Jusqu’à épuisement du stock, TAR* incl., 6166.394

Tondeuse à gazonà essence BHR 46 HWDO IT + GARDEN MIGROSHighWheeler avec traction à roues, puissance dumoteur 2,4 kW/3,3 CV à 2900 t/min, pour surfacesjusqu’à 1100 m2, largeur de coupe 46 cm, réglagecentralisé de la hauteur de coupe sur 6 positions de2,0 à 9,0 cm, collecteur d’herbe de 70 l avec capotrigide et témoin de remplissage, 34 kg.Jusqu’à épuisement du stock, 6307.324

Perceuse-visseusesans fil PSR 14,4 LI-2Upgrade BOSCH14,4 V, technologie au lithium-ion, 1,5 Ah, diamètrede vissage: max. 8 mm. Diamètre de perçage: bois30 mm, acier 10 mm, engrenage à 2 vitesses.**Jusqu’à épuisement du stock, TAR* incl., 6160.695

224.50

à partir de

1.75

224.50224.50Tous les terreaux universels,15/20/40 l6580.116/118/6581.083/084

Ensemble bistro Notting HillBois d’eucalyptus FSC, 1 table et 2 chaises pliantes.Jusqu’à épuisement du stock, 7531.092

avant 239.–, maintenant

119.50Perceuse-visseuse

119.50119.50119.50avec

chargeur 1 h

maintenant! 50%50%Journéesmarteau

Ensemble bistro Notting HillEnsemble bistro Notting Hill

avant 199.–, maintenant

99.50

Page 63: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 63| MIGROS MAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | EN MAGASIN | SUN LOOK

Un label pourles allergiquesLes personnes souffrant d’allergieset d’intolérances trouveront à Migros

un large choix d’articles portant le label aha! dont des produitsalimentaires exempts de lactose et de gluten ainsi que descosmétiques pour peau sensible. Ces derniers sont regroupéssous les marques Sun Look ultra sensitive et Zoé ultra sensitive.Toutes les références aha! sont contrôlées et certifiéespar un organisme indépendant.

Face Cream Sun Look ultra sensitive,IP 30, 50 ml, Fr. 9.50

I l suffit parfois d’un seulbain de soleil pour quenotre cou et notre décolle-

té se parent de points rouges,et ce, malgré l’application decrème solaire. L’explicationest à chercher dans le fait quecertainsproduits contiennentdu parfum, des émulsifiants,des conservateurs et des co-lorants qui, sous l’effet desUV,provoquentdes réactionschimiques et causent des al-lergies si l’épiderme est sen-sible.Sun Look a donc mis au

point une gamme spéciale-ment conçue pour ce type depeaux. Recommandés par laFondation aha! Centre d’Al-

lergie Suisse, ces soins hypo-allergéniques répondent àdes critères stricts.Les filtresUVA/UVB sont aussi perfor-mants que le permettent lesconnaissances actuelles etconformes aux normes euro-péennes.Le soin du visage Face

Cream ultra sensitive pré-sente une nouvelle textureplus légère, ainsi qu’uneformule riche en pan-thénol,envitamineEet en bisabolol, quihydrate la peaupendant vingt-quatre heures.

Texte: NicoleOchsenbein

Une douceprotectionLes peaux sensibles ne réagissent pas seulementau soleil, mais aussi à des substances contenuesdans les crèmes solaires. Heureusement,Sun Look ultra sensitive a trouvé la parade.

Service Allergie

Empfohlen durchRecommandé parRaccomandato da

un large choix d’articles portant le label aha! dont des produits alimentaires exempts de lactose et de gluten ainsi que des cosmétiques pour peau sensible. Ces derniers sont regroupés sous les marques Sun Look ultra sensitive et Zoé ultra sensitive. Toutes les références aha! sont contrôlées et certifiées par un organisme indépendant.

Face Cream Sun Look ultra sensitive, IP 30, 50 ml, Fr. 9.50

Service Allergie

Empfohlen durchRecommandé parRaccomandato da

| 63EN MAGASIN | SUN LOOK

Les peaux sensibles ne réagissent pas seulement au soleil, mais aussi à des substances contenues

Photo:Ge

ttyImages

Page 64: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

OFFRES VALABLES SEULEMENT DU 12.6. AU 25.06.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

Kneipp est en vente à votre Migros et sur LeShop.ch

OFFRES VALABLES SEULEMENT DU 12.6. AU 25.06.2012 JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

ACTION

Des produits de soin efficaces en qualité Kneipp.

11.–au lieu de 13.80

Produits pourla douche Kneippen lot de 2Douche & shampooingpour hommes, rosessauvages, pavot rougeet chanvre, fleursd‘amandier, lavande,aloe vera

2 x 200 ml

30% DE RÉDUCTION

Badoit est en vente à votre Migros

Offres valables seulement du 11.6 au 17.6.2012 ou jusqu’à épuisement du stock sur Badoit 115 cl et 50 cl

4.20au lieu de 6.–p. ex. Badoit enlot de 6 bouteilles1,15 litre

Recommandée par les JeunesRestaurateurs d’Europe en Suisse

Avec sa teneur naturellement augmentéeen bicarbonates et ses bulles fines etdélicates, Badoit aide aussi à se sentirplus léger après le repas.

Badoit est en vente à votre Migros

Page 65: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 65| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | ENMAGASIN | CANDIDA

P our de nombreux en-fants, se brosser lesdents est une corvée.

Les parents doivent donc re-doubler d’inventivité pourmotiver leurs chers bambins.Heureusement, pour les

aider, ils peuvent comptersur les soins dentaires Lili-biggs Junior élaborés parCandida. Ces articles hautsen couleur présentent uncôté ludique qui plaît auxplus jeunes, tout enétantparfaitement adap-tés à leurs besoins.Dernière nouveau-té en date: le bain debouchequi démasque,

un peu comme un détective,la plaque dentaire et la rendvisible.L’enfant commence par se

rincer la bouche avec le li-quide: sous ses yeux ébahis,ses dents et sa langue virentalors au rouge là où la plaques’est formée pendant la jour-née. Il ne lui reste ensuiteplusqu’à brosser pour faire partirle tout, une mission qu’il ac-complira avec plaisir.Cerise sur le gâteau: les

enfants affichentunedenturesaine,et lesparentsn’ontplusbesoin de hausser la voix.

Texte: Jacqueline VinzelbergPhoto:Max de Vree

Amusant, ludique et efficaceGrâce au nouveau détecteur de plaque dentaire Lilibiggs Junior, les enfants ne rechigneront plus à se brosser les dents.

Dentifrice à la menthe Lilibiggs Junior, 75 ml, Fr. 3.30, brosse à dents Lilibiggs Junior, Fr. 1.70,bain de bouche détecteur de plaque Lilibiggs Junior, 250 ml, Fr. 3.90Dentifrice à la menthe Lilibiggs Junior, 75 ml, Fr. 3.30, brosse à dents Lilibiggs Junior, Fr. 1.70,

Page 66: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Pasta Garofalo est en vente à votre Migros et sur LeShop.ch

Disponibles dans les plus grands magasins Migros

Participez et gagnezune précieuse montre sur

www.pastagarofalo.it/preziosi-momenti/

Passione di Napoli

Page 67: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

PROFITEZ-EN MAINTENANT! OFFRES VALABLES DU12.6 AU 18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

20% DE RÉDUCTION

4.70au lieu de 5.90Jambon cru de lagrange HeidiSuisse, les 100 gToute la charcuterieHeidi 20% deréduction

5.60au lieu de 7.–Assiette dumontagnard HeidiSuisse, les 100 gToute la charcuterieHeidi 20% deréduction

1.90au lieu de 2.40Fromage desGrisons à lacrème Heidiles 100 g

| 67| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | ENMAGASIN | M-STARS

Ballon gratuitLa boutique en lignewww.m-stars.chregorge devêtements etd’accessoires quiraviront les fansde Migros. Bien vu:qui passe commandejusqu’au 17 juin 2012recevra un ballongratuit aux couleursdes célèbres glacesMigros.

CollectionMigrosUn design intemporel pour desvêtements de tous les jours: telle estla mode Migros sur www.m-stars.ch.

T-shirt vanilleclassic, Fr. 34.90* Besace vanille,Fr. 49.90* T-shirtmokaenfant, Fr. 24.90* T-shirt Ice Teafemme, Fr. 34.90* Lunettes desoleil Ice Tea,Fr. 19.90** En vente uniquementsur www.m-stars.ch.

Publicité

Page 68: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

68 |CUISINE DE SAISON | MICHELINE SPOERRI |No 24, 11 juiN 2012 | MIgROSMAgAzINE |

■ Pour vous, cuisiner c’est…M’occuper de ma familleet de mes amis.■ Quel est votre plat favori?Le couscous.■ Que ne mangeriez-vouspour rien au monde?Rien.■ Qu’avez-vous toujoursen réserve?Du champagne et des fruits.■ Avec qui aimeriez-vouspartager un repas?Avec ma mère décédée il y asix mois et qui m’a tout appriset en particulier à cuisiner.

gOûtSEtDégOûtS

Secretsde cuisine

O naurait pu la croirevaccinée.Quelapolitique,merci,elle avait don-né. On a revu pourtant Miche-

line Spoerri, le temps d’une campagneélectorale à l’Assemblée nationale, danscette sixième circonscription des Fran-çais de l’étranger couvrant la Suisse et leLiechtenstein et verrouillée dès le pre-mier tour le 3 juinpar lesdeuxcandidatesde l’UMPet duPS.Elle que lesGenevoisavaient brutalement remerciée en 2005,après un seulmandat au Conseil d’Etat.Et que lesmédias avaient copieusementassassinée à la suite des émeutes et de lamise à sac du centre de Genève pendantle G8 d’Evian, au printemps 2003.«Je n’ai pas été abîmée par tout ça,

raconte-t-elle aujourd’hui, j’ai réinté-gré très vite ma vie sociale et profes-sionnelle,dansmondomaine, labiologiemédicale.»Etpuis, si elle a été critiquée,«c’est comme toutes les personnes pu-bliques. Quand on se lance en politiqueil faut admettre que ça se passe commeça.»QuantauG8,c’est simple,elle a été«le principal bouc émissaire à la suited’un événement compliqué».Ce fameux G8, dont elle dit au-

jourd’hui, «à froid», que «non seule-ment il aurait étédifficilede fairemieux,mais facile de faire pire.Ça a fini demé-moire avec 25 blessés légers, un seul né-cessitant une hospitalisation.» Alorsque lebilanduG8deGênes,c’était«500blessés graves et un mort. Aujourd’hui

dans les conférences internationales,celui d’Evian est cité comme exempledeG8 réussi.»

«Mes parents étaient des genscourageux, généreux»Micheline Spoerri est née à Alger d’unemère «pied-noire de cinquième géné-ration et d’origine alsacienne» et d’unpère zurichois ayant fuguéàParis à l’âgede 16 ans, où il apprendra les ficelles del’import-export. L’ancienne conseillèred’Etat garde de cette période «non pasde la nostalgie mais des souvenirs im-périssables. Contrairement à ce qu’onraconte, il n’y avait pas que des colons.Mesparents étaientdesgenscourageux,indépendants, généreux.»Elle se souvient«d’unemaison com-

mune où nous vivions où il y avait descatholiques, des juifs et desmusulmanset où l’on vivait confraternellement».Et dont elle tire pour aujourd’hui la le-çon que«ce ne sont pas les religions quidivisent mais les nations». Une Algériequ’elle quitte à l’âge de 15 ans, au mo-ment de l’indépendance et «au lende-main d’un attentat épouvantable». Sesparents la rejoindront six ans plus tard àGenèveoùelle se lanceradansdesétudescouronnéespar undoctorat en sciences.Retour à la politique française et à la

principale raison de l’échec de NicolasSarkozy à la présidentielle. «Personnen’aime les réformes. Surtout en France.

«Lesnationsdivisent, pasles religions»L’ancienneministre genevoiseMicheline Spoerri s’est présentéesans succès comme candidateà l’Assemblée nationale française.Ce qui ne l’empêche pas de revenir,autour d’un tartare de saumon, sursa carrière politique.

La recette: tartare de saumon et pomme verte.

«J’ai étéle principalboucémissairependantle G8»

Page 69: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MICHELINE SPOERRI | 69| MIgROSMagazINE |No 24, 11 juiN 2012 | cuisine de saison

Micheline Spoerri:«Mamèrem’a tout appriset en particulierà cuisiner.»

Couper un quartier de la pomme en bâtonnets. Ajouter la crème entière. Ajouter les concombres coupés en dés.

Page 70: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

20xPUNKTE

NOUVEAU20x

PUNKTE

20xPOINTS

PROFITEZ-EN! LES OFFRES SONT VALABLES DU 5.6 AU 18.6.2012, DANS LA LIMITE DES STOCKSDISPONIBLES, SUR TOUS LES SHAMPOOINGS ET APRÈS-SHAMPOOINGS SYOSS SILICONE FREE

Syoss est en vente à votre Migros

Shampooings et

après-shampooings

Syoss Silicone Free

p. ex. shampooing

Repair & Fullness, 500 ml

7.90

SYOSS

SILICONE FREE

3e jour: Aujourd’hui, vous avez la possibilitéde découvrir la capitale secrète de l’Espagne,Barcelone. Cette métropole attire chaque an-née des milliers de touristes et séduit chacun.Pour la soirée du Nouvel-An, savourez un mer-veilleux repas.

4e jour: Votre navire accoste aujourd’hui leport de Palma de Majorque. Cette île est unedestination de voyage appréciée. Participez àun tour de ville ou flânez le long des plages.

5e jour: Vers midi, arrivée à Cagliari, le chef-lieu de la Sardaigne. Découvrez la vieille villeperchée au sommet d’une colline, d’où vousaurez une vue magnifique sur toute la baie deCagliari.

1er jour: Voyage en car à Savone depuis lepoint de départ choisi. Embarquement et attri-bution des cabines.Votre bateau Costa Pacificalève l’ancre en début de soirée.

2e jour: Arrivée au matin au port de Marseille,la ville portuaire la plus importante de France.Après Paris, Marseille est la plus grande villefrançaise. Profitez de la journée pour partir àla découverte de la ville décorée pour les fêtesde Noël.

6e jour: Au matin, arrivée en Sicile, dans leport de Palerme. La capitale de l’île possèdeune riche culture. Découvrez la ville par vous-même ou réservez une excursion de Costa.

7e jour: Le clou de votre croisière se nommeRome. Vous avez aujourd’hui la possibilité departir à la découverte de la capitale italienne.Ne manquez en aucun cas cette magnifiquecité et visitez le Vatican, le Colosseum ou leschâteaux et forteresses de la ville.

8e jour: Votre croisière de Nouvel-An toucheà sa fin. Après le déjeuner, débarquement etretour en Suisse en car à votre lieu de départ.

Costa Pacifica

Croisière de Nouvel-An 201229.12.12 – 05.01.2013

ISABELLA

Dates du voyage et prix par personne

Costa Pacifica, 29.12.12 – 05.01.13, prix en cabinedouble par personne, transfert et pension complè-te à bord compris

Cabine intérieure classic 1590.– 1390.–Cabine intérieure premium 1660.– 1460.–Cabine extérieure classic 1830.– 1630.–Cabine extérieure premium 1950.– 1750.–Cabine extérieure avec balcon classic 2080.– 1880.–Cabine extérieure avec balcon premium 2230.– 2030.–

Sous réserve de modification de prix.Nos prestations

• Voyage en car de/en Suisse• Croisière dans la catégorie de cabine réservée• Service 24h/24• Pension complète à bord

Non compris

• Boissons, dépenses personnelles à bord• Excursions facultatives de Costa• Pourboires obligatoires (payable à bord)• Assurance annulation et SOS

Frais de dossier

Fr. 30.– par personne, max. Fr. 60.– par dossier.

Lieux de départ

06.00 Bâle CFF, Meret Oppenheimserstrasse07.15 Zurich aéroport, terminal car07.45 Affoltern a. Albis, restoroute08.15 Lucerne Inseli06.00 Kallnach car terminal Marti07.15 Genève aéroport08.15 Lausanne, gare09.15 Martigny, gare10.30 Bellinzone, restorouteSous réserve de modification de route!

Prix action valable

jusqu’au 30juin

ISABELLA

Dates du voyage et prix par personne

Croisière y com

pris

pensioncomplè

te et

transferts

dès Fr. 1390.–

Vous avez toujours rêvé de fêter Nou-vel-An en haute mer? Nous vous offronsde réaliser votre vœu en participant àcette croisière unique. Ne manquez pascet évènement et accompagnez-nousen mer! Bienvenue à bord!

Chez diga on y va! Réserver immédiatement et assurer des places 0848 735 735 ou www.digareisen.ch

Prix catalogue Prix hit

Page 71: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Toute la saveur de l’UruguayLe riz Carolina de Mister Rice a une valeur nutritive proche decelle du riz complet. De couleur légèrement jaune, il devientblanc comme neige à la cuisson. Et même si le temps de cuis-son est un peu plus long, il reste toujours al dente et conservesa structure grenée. Le riz Mister Rice Carolina s’avère particu-lièrement pratique si vous disposez de peu de temps pourfaire la cuisine. Il s’intègre parfaitement aux plats à base delégumes, de viande et de volaille.

Riz aux poireaux etau fromage de montagnePour 4 personnes

Hacher finement 1 petit oignon et 2 gousses d’ail. Couper enrondelles 500g de poireaux en prenant soin d’enlever lesfeuilles externes et le vert. Laver à l’eau tiède 300g de MisterRice Carolina «10 minutes» à l’aide d’une fine passoire.

Faire revenir l’oignon, l’ail et les poireaux dans 2cs de beurre.Ajouter ensuite le riz et faire revenir. Verser 1dl de vin blancet 5dl de bouillon de volaille ou de légumes. Laisser mijoterà feu doux pendant 10 minutes. Ajouter 2dl de bouillon etlaisser mijoter encore 2 à 3 minutes. Saler et poivrer.

Couper en tranches fines 2 oignons de taille moyenne et lesfaire dorer dans 2cs de beurre. Ajouter 2 feuilles d’estragon.Mélanger au riz 100g de fromage de montagne râpé puisgarnir avec les oignons.

Accueillez d’autres cultures à votre table.

| 71| cuisine de saison | micheline spoerri

Et surtout pas à ce rythme-là: c’est unhomme impatient et il a voulu aller viteTrois ans de crise ont encore aggravé leschoses.»

Ce qui n’empêche pas MichelineSpoerri de semontrer trèsmodérémentoptimiste quant au destin d’une Francedésormais hollandaise: «Onn’a pas be-soinaujourd’huid’unprésidentmalthu-sien, mais d’un président qui soit ca-pabledegérer les crises.NicolasSarkozyje crois avait cette qualité.»

Elle redoute que le 17 juin sorte desurnes une gauche majoritaire aux 3/5 etdonc capable de faire passer n’importequel projet: «Y compris et d’abord laVIe République. Dans cette hypothèse,impossible de prévoir ce qui va advenirdans les cinq ou dix prochaines annéesen France.» Sans trop y croire, elle ver-rait bien des avantages, au contraire, àunecohabitation.«Maculturepolitiquesuisse me fait juger cette perspectiveintéressante. Et puis ce qui serait dan-gereux, c’est que pendant cinq annéesconsécutives, lamoitié de laFrancen’aitplus voix au chapitre nulle part, puisquetoutes les régions,sauf l’Alsace,ainsi quele Sénat sont déjà passés à gauche.»

Evidemment, qui dit Français éta-blis en Suisse pense aussitôt forfait fis-cal, fuite peu citoyenne pour échap-per à l’impôt. Une image que Miche-line Spoerri entend faire voler en éclats«D’abord je vous défie de savoir où allerfiscalementaujourd’huipournepas être

«J’ai réintégrétrès vitemavieprofessionnelleet sociale»

Micheline Spoerri s’est présentée sur une liste indépendante.

Page 72: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

BRITA est en vente à votre Migros

www.brita.ch

BRITA® – Votre source à la maison

30%

au lieu de 39.–Filtre à eauMARELLAavec clapet de

remplissage pratique

27.3030%17.50au lieu de 25.–Cartouches filtrantesMAXTRA 3 pièces

30% DE RÉDUCTIONOFFRES VALABLES DU 12.6. AU 25.6.2012 OU JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

SUR L’ASSORTIMENT BRITA

adidas,the

3-Ba

rslogo,a

ndthe3-Strip

esmarkareregistered

tradem

arks

oftheadidas

Group

-©20

12CO

TY(SCH

WEIZ)

AG-C

otyInc.,a

didasLicensee

adidas Body Care est en vente à votre Migros

Page 73: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 73| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | CUISINE DE SAISON | MICHELINE SPOERRI

Tartarede saumonet pommeverteUne recettedeMicheline Spoerri

Dèsmaintenant dans votre kiosque favoripour Fr. 4.90oupar abonnementsurwww.saison.chDouze numérospour seulement Fr. 39.-

Préparation:1) Frotter le saumon de sel marin etle laisser mariner env. 15 min au ré-frigérateur. Entre-temps, couper unoignon nouveau en rouelles et les ré-server pour la finition. Hacher le restedes oignons. Partager la pomme enquatre et l’épépiner. Couper un quar-tier de la pomme en petits bâton-nets, les trois autres quartiers et leconcombre en dés. Presser le citron.Ecraser la chair de l’avocat à la four-chette et la mélanger immédiate-ment avec un peu de jus de citron.Fouetter la crème avec une pincée defleur de sel. L’incorporer délicate-

ment à la purée d’avocat. Rectifierl’assaisonnement en fleur de sel eten jus de citron selon les goûts.Réserver la mousse d’avocat au frais.2) Rincer brièvement le saumon sousl’eau froide, l’éponger et le détailleren dés. Les mélanger avec lesoignons hachés, les dés de pommeet de concombre et la moitié del’huile. Relever le tartare de fleur desel et le réserver env. 30min auréfrigérateur. Emulsionner le restede l’huile avec la sauce soja.3) Dresser le tartare de saumon surdes assiettes. A l’aide de deuxcuillères, former des quenelles avec

la mousse d’avocat et les disposersur les assiettes. Ciseler l’estragonet la coriandre, les répartir sur letartare avec les rouelles d’oignon etles bâtonnets de pomme réservés.Arroser de sauce. Servir immédiate-ment le tartare avec la moussed’avocat. Selon les goûts, présenterdes demi-citrons verts à part.

Préparation: 30min, sans compterle temps de réfrigération; repos dansla marinade: env. 15 minValeur nutritive: par personne,env. 22 g de protéines, 44 g de lipides,8 g de glucides, 2150 kJ / 510 kcal

INGRÉDIENTS POUR4 PERSONNES

400 g de filet de saumonsans la peau2 cs de gros sel marin3 oignons nouveaux1 pomme verte acidulée,p. ex. granny smith1 petit concombre1 citron1 avocatmûrfleur de sel1 dl de crème entièrefroide6 cs d’huile d’olive2 cs de sauce soja1 brin d’estragon4 brins de coriandre

dans le collimateurde l’autorité.Onavulamanièrepeu judicieuseni très amicaleavec laquelle Nicolas Sarkozy a traité laSuisse.»Si elle ne nie pas que «des gens

viennent encore ici planquer leur po-gnon», elle certifie que ce n’est plus,de loin, le seul motif. Les quelques se-mainesdecampagne, raconte-t-elle, luiont permis de rencontrer «des jeunesFrançais de toute origine, formation etconfession» et qui ont beaucoup utili-sé la possibilité offerte par Schengen deliberté d’établissement pour «fuir no-tamment une administration françaised’une lourdeur épouvantable».

Une liberté d’entreprendreappréciée en SuisseDes jeunes lui expliquant qu’en France«chaque fois qu’ils voulaient créerquelque chose, c’était la croix et la ban-nière.Cequ’ils aiment enSuisse,c’est lalibertéd’entreprendre.»Davantageque,par exemple, la sécurité: «Il faut savoirqu’aujourd’hui 50%des Français établisen Suisse ontmoins de 40 ans.»Des jeunesFrançaisquin’attendraient

qu’unechose:«que les relations franco-suisses soient les meilleures possible».Mieux vaut alors ne pas demander àMicheline Spoerri ce que la Suisse, pouraméliorer ces relations, devrait céder enmatière fiscale.Elle vous répondra, sanshésiter: «Rien!» Parce que la Suisse,pour elle,«contrairement à cequ’on ra-conte, n’est pas un paradis fiscal. Affir-mer que notre pays ne prend pas assezd’argent aux riches n’est rien d’autreque du dogmatisme.» Et puis céder, ceserait «mettre le souk dans le systèmebancaire. Si on pense que la Suisse peutvivre sans sesbanques,et se contenterdefabriquer du chocolat…»

Texte: Laurent Nicolet

Photos:FrançoisW

avre-Rezo

Page 74: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

OFFRES VALABLES SEULEMENT DU 5.6 AU 18.6.2012 OU JUSQU’ÀÉPUISEMENT DU STOCK. SUR TOUS LES PRODUITS GATORADE.

30%

Gatorade est en vente à votre Migros

2.20Gatorade

75cl

au lieu de 3.20

www.msf.chCCP 12-100-2

Dansl’urgence,donner lespremierssoins

Envoyez-nous votre documentation gratuite, sans engagement:

Nom / prénom:

Rue:

Code postal / ville:

Téléphone:

Bernard BussardLes Courtes-Poses 17Case Postale 3CH-1609 St-MartinTél. 079 824 49 80

www.kyburz-classic.ch

Moteur électronique, jusqu‘ à 30km/hPas de permis de conduire nécessaireEn route en toute sécurite

··

·

MF1

Loèche-les-BainsOffres Top été / automne 2010dès le 4 janvier 09 au 30 avril 09

Hôtel Alpenblickà côté du Burgerbad

[email protected]

tél. 027/4727070, fax. 027/47270753954 Loèche-les-Bains

3 nuitées avec demi-pension3 entrées au Burgerbad, sauna et bainde vapeur1 billet aller/retour pour le téléfériquede la GemmiFr. 375.– par personne

5 nuitées avec demi-pension5 entrées au Burgerbad, sauna et bainde vapeur1 billet aller/retour pour le téléfériquede la GemmiFr. 625.– par personne

7 nuitées avec demi-pension7 entrées au Burgerbad, sauna et bainde vapeur1 billet aller/retour pour le téléfériquede la GemmiFr. 845.– par personne

Supplément pour la chambre indivi-duelle Fr. 10.– par jour sur tous lesarrangements.

La plus grande piscine thermale alpinede l’Europe (Burgerbad) est à votredisposition le jour d’arrivée dès 12h 00(sauf le jour du départ).

du 04 juillet 2010 au 21 novembre 2010Offres Top été / automne

dès 29.06.2012 au 18.11.2012

3 nuitées avec demi-pension3 entrées au Burgerbad, sauna et bain vapeur,accès libre au téléférique de la Gemmi,Leukerbad plus Card

Fr. 384.– par personne

5 nuitées avec demi-pension5 entrées au Burgerbad, sauna et bain vapeur,accès libre au téléférique de la Gemmi,Leukerbad plus Card

Fr. 640.– par personne

7 nuitées avec demi-pension7 entrées au Burgerbad, sauna et bain vapeur,accès libre au téléférique de la Gemmi,Leukerbad plus Card

Fr. 875.– par personne

12h00

L’offre de lasemaine:

Page 75: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Les fruits à noyaux bénéficiantde l’appellation «Terre de Crau»sont garantis de qualitésupérieure et gorgés d’unsoleil généreux.Que ce soit des pêches, desnectarines ou des abricots, ilsrappellent en bouche l’été. Celan’a rien de surprenant puisqu’ilssont cultivés dans le sud de la

France, tout près des Baux-de-Provence.Migros représente cettemarque en exclusivité.Des dégustations sontorganisées dans certainsmagasins de la coopérative.Plus d’informations surwww.terredecrau.comLaissez-vous tenter!

NEWSNEWSDes fruits d’exception

Photo:Sh

utterstock

/RenéWalker/

NicolasB

roda

rd

R endez-vous incontournable enSuisse romande, la prochaineédition du Belluard Festival fera

preuve d’audace. Parmi les nombreuxprojetsprésentés cette année,on retien-dra notamment la performance sonoreintitulée Bolidage de Stéphane Monta-von, Antoine Chessex et Gilles Lepore.Cette expérience unique en son genreproposera aux spectateurs d’assister à

un concert urbain pour voitures tunées.Expérience en grand format, sonore etvisuelle, Bolidage offrira un spectacleinsolite tant aux aficionados du ma-quillage automobile qu’aux amateurs demusique. Un événement rassembleurqui aura lieu le 1er juillet à 16 h à la placedu Petit-Saint-Jean. En parallèle de saprogrammation riche et variée (théâtre,danse, performance), la vie du festival

sera ponctuée de nombreuses activités(ateliers, concerts, conférences, projec-tions et dégustations de cocktails).

Texte: RP

Belluard, Ancienne Gare et autres lieux, Fribourg.Du 29 juin au 7 juillet, www.belluard.ch

LeBelluard Festival ou l’artde la découverteLamanifestation s’annonceunenouvelle fois riche en substance.Du29 juin au 7 juillet à Fribourg.

Le label «Terre de Crau» garantitune qualité supérieure.

La Kitchain,le cœurdu BelluardFestival.

MIGROSNEUCHÂTEL-FRIBOURG | 75VOTRE RÉGION| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 |

Page 76: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

L ’Ecole-club Migros Neuchâtel-Fribourg vous réserve un pro-grammepassionnantpour sa saison

de cours d’été 2012. Pour vous guiderdanscetocéandepossibilités,vouspou-vez consulter lemoteur de recherche dusite www.ecole-club.ch «cours d’été»,en inscrivant vos disponibilités (matin,midi ou soir), votre localisation et bienévidemmentvosgoûts.Le sitevouspro-poseraalorsune sélectionpersonnalisée.En attendant votre visite sur internet,voici déjà quelques pistes alléchantes.

Apprenez les langues en immersion!L’apprentissage peut devenir une expé-rience conviviale. Un cours destiné auxadosde 12à 14ansproposede se familia-riser avec l’allemand ou l’anglais durantune semaine. Les jeunes participent àdes activités comme lapréparationd’unrepas qu’ils partagent ensuite tout enpratiquant une nouvelle langue.Trouvezvotre équilibre au travers des

galets! Reprenez confiance en empilantartistiquement des pierres plates. Unexercice très zen.

Domptez le métal! Fabriquez vous-même vos propres bijoux en argent.

Des formules originalespour tous les goûtsYes you can! Améliorez vos connais-sances en informatiqueou enphotogra-phie numérique.Bougez! Danse sportive, aquabike,

volleyball fitness, les formules les plusoriginales dans l’Ecole-club la plusprochede chez vous.Nous vous souhai-tons un bel été! Texte: Pauline Seiterle

Des cours,en veux-tuenvoilà!Cet été, l’Ecole-clubMigros vous permetd’acquérir, entre deux bains de soleil,de précieuses connaissances.

Adresses des Ecoles-clubs: Neuchâtel: rue du Musée 3, 2001 Neuchâtel, tél. 058 568 83 50. Fribourg: rue Hans-Fries 4, 1700 Fribourg,tél. 058 568 82 75. La Chaux-de-Fonds: rue Jaquet-Droz 12, 2300 La Chaux-de-Fonds, tél. 058 568 84 00. Bulle: rue de Toula 20, 1630 Bulle,tél. 058 568 83 25.Cours au Val-de-Travers: tél. 058 568 84 75. Cours au Val-de-Ruz: tél. 058 568 84 75. Internet:www.ecole-club.ch

votre région | migros neuchâtel-fribourg |No 24, 11 juiN 2012 | migrosmagazine |

76 |

Page 77: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Photo:Sh

utterstock

Adresse: Société coopérative Migros Neuchâtel-Fribourg, case postale 114, 2074 Marin-Epagnier, tél. 058 574 81 11Changements d’adresse: les changements d’adresse sont à communiquer à la poste. Le journal suivra automatiquementà la nouvelle adresse.Abonnement à «MigrosMagazine»: 058 574 83 37, [email protected]

Concours«Mon coursd’été 2013!»Imaginez le cours d’étéle plus original que voussouhaitez voir dansl’offre 2013, remplissez leformulaire et envoyez-leà l’Ecole-club la plusproche de chez vous.Le gagnant se verraoffrir un cours decuisine indienne pourlui et ses amis!Les bulletinsd’inscription setrouvent dans labrochure 2012 ou sont àdisposition dans l’Ecole-club Migros la plusproche.Délai deremise: 25 août 2012.Les propositions seronttout d’abord analyséespar les responsables descentres de Neuchâtel,Fribourg, La Chaux-de-Fonds et Bulle.Untirage au sort desidées les plusoriginales etréalisables aura lieule 30 septembre.Les participants serontinformés par courrierdans les deux semainessuivantes.Bonnechance à tous!

ASaint-Blaise, la cuisine vousattrape et ne vous quitte plus.Chaque plat est unique et sur-

prenant, fruit de l’imagination d’unchef passionné: Claude Frôté. S’ilétait un ingrédient, il serait lepiment.L’homme derrière les fourneaux faitpreuved’un fort tempérament.«Pourtenir dans ce métier, il faut une salegueule, un caractère bien trempé!»Le chef ne se repose jamais sur seslauriers.AuBocca, il élabore une cui-sine rigoureuseet créativepour satis-

faire lespalais lesplus exigeants.C’estla seule table neuchâteloise à détenirune étoile au guideMichelin.Une ré-compense? «Une consécration!»tonne le patron. Pour conserver sonrang, Claude Frôté est en perpétuellerecherche. L’évolution est la clé dusuccès, «mais évolution ne signifiepas sophistication!» Sa gastronomievaà l’essentiel: desproduitsdequalitéet la richesse du terroir.

Texte: Pauline SeiterlePhotos: Stéphane Gerber

Uneviandepourles gastronomesLe bœuf Pure Simmental est à la carte du restaurant étoiléBocca à Saint-Blaise. Claude Frôté, chef de l’établissement,dévoile deux recettes à réaliser chez vous.

Bœuf à lamodedeBudapestLe goulasch revisité avec unmé-daillon prélevé au cœur du filet. Laviande est assaisonnée, enferméedans un sachet de cuisson sous videet pochée – 4minutes et30 secondes précisément.En accompagnement, le chef cuit depetites billes de pommes de terre etcarottes. Il nappe d’une saucepaprika-pinot noir et décore derondelles d’oignons séchés.

Tartare de filet debœuf et crevettes àla crèmede vodkaClaude Frôté a uni la mer et la terredans ce plat. Les morceaux debœuf sont hachés menu, comme lescrevettes. Une pointe de piment,une pincée de sel et un zeste de lime.Aumoment du dressage, nappez letartare de crème fouettée parfuméed’une tombée de vodka. La crevetteet le Pure Simmental, un couple fraiset onctueux.

Claude Frôté, unchef au caractèrebien trempé.

Le bœuf

Pure Simmental

se trouve à votre

Migros.

| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | VOTRE RÉGION | MIGROS NEUCHÂTEL-FRIBOURG| 77

Page 78: Migros-Magazin-24-2012-f-NE
Page 79: Migros-Magazin-24-2012-f-NE
Page 80: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

80 |au quotidien | escapade |No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |

C ’est la seule fabrique souterrained’Europe encore en état. Des-cendre le long des puits aména-

gés dans les grottes du Col-des-Rochescorrespondàunvéritablevoyagedans lepassé: jusqu’en l’an de grâce 1549 exac-tement.Cetteannée-là,RenédeChallant,sei-

gneurdeValangin,accorde l’autorisationde construire unmoulin sur le cours in-férieur du Bied. «L’exact emplacementdu premiermoulin, entre le Châtelard etles Portes-du-Locle, n’est pas précisé,explique notre accompagnatrice, Ca-roline Calame, conservatrice du Muséedes moulins souterrains du Locle. Maisl’emplacement actuel, correspondant àl’emposieu du Col-des-Roches, était leseul endroit où le cours d’eau développeune énergie suffisante.»

une colonisation précocedu siteNous sommes donc dans la vallée duLocle, où son principal cours d’eau,le Bied, suffit aujourd’hui encore à laconsommation des 10 000 habitants dela ville. «Cette richesse en eau expliquela colonisationprécocedusite,depuis leMésolithique, et son rapide développe-ment», souligne Caroline Calame, rap-pelant qu’avant l’époque industrielle,LeLocle était bienplus importantque savoisine chaux-de-fonnière. Le nom duLocle vient d’ailleurs du celte «Lochle»signifiant «eau cachée.»

Baladedansun…moulinsouterrainA l’entrée du Locle, visite d’uneinstallation unique en son genre.

L’incroyable aventure dumoulin des grottes ramène le visiteur au XVIe siècle.

Page 81: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 |

escapade | 81auquotidien

Et durant des siècles, l’eau constitueégalement une source d’énergie capi-tale. Que l’on est prêt à aller cherchersous terre s’il le faut. «Dans cette val-lée assez plate, elle s’écoule lentement.Alors qu’il y avait ici une chute de plu-sieursmètres avecune forcehydrauliquebien plus importante.»Au XVIIe siècle, le puissant Daniel

Sandoz, collecteur d’impôts déjà pro-priétaire duMoulin de la Roche (près duSaut-du-Doubs), agrandit les moulinssouterrains, «rajoutant trois roues hy-drauliques aux deux existantes, et por-tant le nombre de puits à trois. Ce quitransforme l’endroit en véritable usinesouterraine pour moudre le grain maisdisposant également d’une scierie»,détaille la conservatrice. Aujourd’huiencore, l’ingéniositénécessaire àdomp-ter cette cascade souterraine à travers cesystème de roues superposées impres-sionne.Et pour l’époque, il s’agit d’aména-

gements colossaux. Creuser dans le roccalcaireuncanald’accèspour l’eau,puistailler les excavations naturelles pour yaménager les immenses roues (la plusimportante faisait 4 m 50 de diamètre)et les meules pour moudre le grain.Entre ces trois puits, glisser trois aque-ducs (appelés coursiers) qui dirigentl’eau par chutes successives sur les dif-férents rouages. Sans oublier trois ga-leries de contrôle et d’accès aux paliersinférieurs descendant par de petits es-

caliers taillés à même la pierre jusqu’àune profondeur de 23 mètres. «Le bou-chagedes eaux souterraines et lamenacede graves inondations demandaient untravail d’entretienconstant, tout commelesmeules et les engrenages.»

Le pain au cœurde l’alimentationCe remarquable ouvrage tournera àplein régime durant des décennies, lepain constituant la principale sourcede nourriture jusqu’à la fin du XIXe

siècle (chaque habitant en consommait800 grammes par jour).Le dernier meunier – profession à la

fois capitale et honnie d’où son obliga-tion de prêter serment, comme en at-testent plusieurs documents de l’expo-sition permanente du rez-de-chaussée– s’y installe en 1844,des turbines rem-plaçant brièvement les grandes roueshydrauliques une décennie plus tard.«Puis les moulins tombent lentementen désuétude, jusqu’à leur acquisitionpar la ville du Locle en 1884. En 1899, àla demande de la Confédération, les bâ-timents existants servent à la créationd’un abattoir frontière.»D’autres bâtiments et annexes sont

construits en surface, et l’exploitationse prolonge jusqu’au milieu des années60. En 1973 se forme une équipe de bé-névoles désireuse de réhabiliter les an-ciensmoulins souterrains etde lesouvrirà la visite. Pour cela, cetteConfrérie des

CarolineCalame,conservatricedumusée.Des pétrins d’époque sont exposés auMusée desmoulins souterrains du Locle.

UnnouvelaudioguideDepuis quelquessemaines, unaudioguide permetd’effectuer la visitedes moulins demanière autonome,les visites guidéesrestant naturelle-ment d’actualitépour les groupes.L’ouverture seprolonge demaià octobre, tousles jours de 10 h à 17 het dumardi audimanche de 14 hà 17 h de novembreà avril. Ouverture endehors des horairessur réservation.

www.lesmoulins.ch

«L’en-droit

disposaitégale-mentd’unescierie»CarolineCalame

Page 82: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

LA CROiSiEREDU RiRE!

`

MARiE-THERESEfête ses 20 ans avecPIERRICYann LAMBIELThierry MEURYVincent KOHLERLaurent NICOLETPierre AUCAIGNESandrine VIGLINONathanaël ROCHATLaurent DESHUSSESCUCHE et BARBEZAT

´ `

du 6 au 13 mai 2013CORSEITALIEMALTE

Programme détaillé et renseignements079 210 86 50 ou [email protected]

Nombre de places limité

Page 83: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MG

Bw

ww

.mig

ros.

chW

MG

B

ww

w.m

igro

s.ch

Sac

isotherme

gratuit

19.90au lieu de 33.60

Tablettes Freyassorties avec sac

isotherme gratuit

20 x 100 g

40%

POUR LES 125 ANS DE CHOCOLAT FREY.OFFRE VALABLE DU 12.6 AU 18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

POUR LES 125 ANS DE CHOCOLAT FREY.

| 83| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | au quotidien | escapade

meuniers abat un important travail deremise en état et de nettoyage puisquela grotte avait servi à abriter quelque2000m3 de déchets carnés.Le premier circuit à l’intérieur de la

grotte ouvre en 1987, l’éclairage per-mettant d’admirer l’importance et laprofondeur des moulins de l’époque,alors que les escaliers métalliques de lapartie inférieure laissent percevoir lesmarches de pierre de l’époque, le froidhumideenvironnant achevantde rappe-ler les difficiles conditions de travail desmeuniers des temps passés. «Ces toitsenbois au-dessusdesmoulins existaientdéjà, chargés de limiter les écoulementsd’eau et de protéger les grains.»L’exposition permanente du rez-de-

chaussée est inaugurée la même année,grâce notamment au travail de Marc-Olivier Gonseth, à l’époque conserva-teur adjoint du Musée d’ethnographiede Neuchâtel. Une passionnante plon-gée dans le temps. Texte: Pierre Léderrey

Photos:Matthieu SpohnL’humidité qui règne à l’intérieur donne unaperçu des conditions de travail de l’époque.

De 1899 jusqu’aumilieu des années soixante, lesite a servi d’abattoir.

Publicité

Page 84: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

84 |au quotidien | santé |No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |

Chaque curecommencepar un testd’écoute.

P artant du principe que l’auditionet la phonation sont étroitementliées, le médecin français Alfred

Tomatis a développé dès 1957 une dis-cipline – l’audio-psycho-phonologie –qui est aujourd’hui dispensée dans descentaines de centres à travers lemonde.Plus connue sous le nom deméthode

Tomatis, cette thérapie avance que lavoix contientuniquementceque l’oreilleentend.Forts de cette loi, les défenseursde la discipline estiment que les champsd’application sont nombreux, allant desproblèmes de communication à l’ap-prentissage des langues étrangères.

«une pédagogiede l’écoute»«Il ne s’agit pas d’une médecine del’oreille, prévient Christine Luthi,consultante au centre Tomatis de Lau-sanne, mais bel et bien d’une pédago-gie de l’écoute.»Praticienne en relationd’aide forméeparRosettePoletti,Chris-tine Luthi a dû suivre un cursus séparéavant de pouvoir recevoir ses premierspatients. C’était en 2006. Depuis, elle aaidédes centainesd’enfants etd’adultesà se sentirmieux dans leur peau.Chaque cure commence par un test

d’écoute. La personne est alors invitée

à porter un casque et à indiquer de quelcôté elle entend des sons de différentesfréquences. Le procédé se répète maiscette fois avec un casque émettant desvibrations. Au final, le thérapeute estapte à saisir les lacunes dans le spectrede l’audition–«personnen’auneécouteparfaite», indiqueChristineLuthi–et àdresser un profil de l’individu.Ensuite, le traitement commence vé-

ritablement grâce à ce qu’Alfred Toma-tis a baptisé «l’oreille électronique». Ils’agit en fait d’un appareil qui va dis-tordre de la musique (du Mozart essen-tiellement) en alternant les fréquencesgraves et aiguës– ces dernières deman-dantuneffortd’accommodationcertainà l’auditeur.Ce faisant, l’oreille est sou-mise à une gymnastique auditive et ap-prend ou réapprend à écouter.Précisons encore que dans un pre-

mier temps, les séances sont passives etque le curiste peut se détendre ou jouer(s’il s’agit d’un enfant). Dans un secondtemps, le patient acquiert par contre unrôle actif et doit répéter ce qu’il entendou lire un texte à haute voix.En tout, le traitement se divise en

deux séries de dix jours, à raison dedeux heures par jour, qu’il est possiblede prolonger. Remboursée par plusieurs

Unegymnastiquepour l’oreilleLa méthode Tomatis permet de muscler son écoute, de faciliter sonapprentissage des langues, de lutter contre la dyslexie et même d’augmenterson sentiment de bien-être. Explications.

Valérie* a franchi les portes du centreTomatis de Lausanne pour la premièrefois il y a plus de dix ans. «Mon fils ren-contrait des problèmes d’apprentis-sage de la lecture, j’ai donc cherchéune solution efficace qui pourrait l’ai-der. Après le premier test d’écoute, lapsychologue du centre a très bien sucerner les difficultés demon enfant.

Cela nous amis en confiance.»Après deux séries de deuxsemaines de cure, les premierseffets ont pu être observés:«C’était comme si jean* avait étépropulsé dans un catalyseur lui per-mettant de prendre confiance en lui,de devenir plus mature et, dès lors,j’avais en face demoi un petit ado.»

«Cette méthode place les individus dans un

assurances-maladie complémentaires,la méthode demande surtout un inves-tissement en temps important. «C’estvrai, admet Christine Luthi, mais le jeuen vaut la chandelle puisqu’on obtienttrès vite des résultats.»

des longueurs d’ondesdifférentes pour chaque langueLes résultats justement, parlons-en.Dans le cas de l’apprentissage d’unelangue étrangère, il est admis que lesdifférents idiomes n’ont pas les mêmesfréquences. Si le français demande une

Page 85: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 85| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | au quotidien | santé

Aussi appelée audio-psycho-phonologie, laméthodeTomatis a pour but de comblerles lacunes dans le spectre del’audition de chaque individu.

Quels sentimentsvous inspire laméthode Tomatis?il ne s’agit pas d’untraitement en soi, maisd’un outil qui participe à lastimulation de l’écoute.La méthode, parallèlementappliquée à un traitementplus spécifique, peutaccélérer les résultats dansles cas de certains retardsdu langage oral ou écrit,dans l’apprentissage delangues étrangères etégalement dans la relationmère-enfant.

Est-ce la panacée?Non, la méthode estintéressante mais ne sesuffit pas à elle seule.Elle ne remplace pas desséances d’orthophonieou une psychothérapie.

Présente-t-elle desdangers?Non, il n’y a pas d’effetsnégatifs. Cela étant,il y a quelques années,certains centres sont alléstrop loin en prétendantque la méthode Tomatispouvait soigner la surdité.Cela n’est pas vrai.

écouteentre1000et2000hertz, l’anglaissesitueplutôtentre2000et12000hertz.Oncomprenddonc facilementque le faitd’étendre son spectre permet de mieuxcomprendre unLondonienpar exemple.Quant à la difficulté que rencontrent

certains enfants à se concentrer, il sem-blerait que l’audio-psycho-phonologieapporte une aide, souvent couplée avecuntravail avecdes logopédistes.Làaussi,le fait de mieux distinguer les différentssons apporterait de l’assurance à l’éco-lier.D’unemanière générale, laméthodeTomatisdoitégalementgénérerunsenti-

mentdemieux-être à ceuxqui l’ont pra-tiquée. «La musique filtrée ressembleà ce qu’entend un fœtus dès 4 mois etdemi, lorsqu’il y avait une communica-tion permanente avec la maman», as-sure Christine Luthi. Cet effet rendraitlecuristemoinsagressif etplusconfiant.Et si lespreuves scientifiques fontdé-

faut, un point joue en faveur de la mé-thode. «Elle existe depuis des décen-nies. S’il n’y avait pas d’effets positifs,cela fait longtemps que nous aurionsdisparu.» Texte: PierreWuthrich

Photos: Carine Roth

terrain propice à l’apprentissage»Et qu’en est-il des difficultés de lec-ture? «Pourmoi, la méthode Tomatisa ceci de positif qu’elle met lesindividus dans de bonnes disposi-tions, elle les place dans un terrainpropice à un apprentissage. Alors oui,nous avons par la suite suivi desséances de logopédie, qui ont avan-tageusement complété le traite-

ment, car il s’est avéré quemon filssouffrait d’une dyslexie légère. Au-jourd’hui, il a trouvé sa place dansla société et a réussi à acquérir debonnes connaissances dans leslangues étrangères.» Du coup, tou-jours avec la volonté de soutenir sesenfants dans leur parcours, Valérie ainitié ses deux autres enfants, qui

avaient tendance à être hypersen-sibles, à la méthode Tomatis. Là aus-si, les cures ont permis de les extrairede leur cocon. «C’est très efficace et,surtout, il s’agit d’uneméthode res-pectueuse de la personne.Apartdurant le test d’écoute, il n’y a pasd’intervention extérieure d’unthérapeute qui évalue autrui. Ce

n’est vraiment pas invasif. Enfin, ils’agit d’une thérapie sûre. Dans lepire des cas, les résultats escomptésne sont pas obtenus,mais aumoinson s’est donné une chance d’éviter laprise demédicaments censés soi-gner l’hyperactivité ou des passagesà vide.»* Identités connues de la rédaction.

Parolesd’exPerte

Une aide, pasune thérapieDanielle Blochest orthophonisteà Lausanne.

Page 86: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

L es articulations qui enflent et lesmembres qui se raidissent, se re-croquevillent, deviennent doulou-

reux. On connaît l’arthrose, cette usuredes articulations, qui freine les élans etla mobilité des personnes âgées. Maisce qu’on sait moins, c’est que l’arthritepeut toucher les enfants, même en basâge, dès leur première année de vie (lireencadré). «Les arthrites sont l’une desmaladies chroniques lesplus fréquenteschez l’enfant. Elles sont plus courantesque les cancers ou la mucoviscidose,puisqu’elles touchent au moins un en-fant surmille»,expliqueMichaëlHofer,responsable de l’Unité romandede rhu-matologie pédiatrique.

Deplus en plusd’enfants touchésAutrement dit, ce sont donc entre 350et 1000 enfants concernés en Suisse ro-mande. Qui se réveillent chaque matinavec des douleurs dans les chevilles oulespoignets,auxgenouxouauxhanches.Car l’arthrite peut toucher quelques ar-ticulations (oligoarthrite) ou de nom-breuses (polyarthrite). Une maladiequi serait même en plein boom. «On aune forte augmentation des consulta-tions. En plus des arthrites, nous soi-gnons beaucoup de jeunes patients quise plaignent de douleurs, expressionpeut-êtred’unstresspsychologique.Demême que les maladies auto-immunes,comme les allergies, ne cessent d’aug-menter. Notre mode de vie favorise cegenre de manifestation», reconnaît lemédecinqui travaille auxHUGàGenèveet auCHUV à Lausanne.

Autant demaladies, parfois chroniques,mais sans cause connue. Car,mis à partles cas d’arthrite infectieuse, due à unebactérie comme le staphylocoque, et lescas d’arthrite d’origine génétique, onne sait pas ce qui pro-voque ces inflamma-tions soudaines. «Onsait comment se déroulele processus, mais on neconnaît pas le déclen-cheur.» Le système im-munitaire, toujours surle qui-vive, soudain en-gage le combat contreun ennemi imaginaire,se trompe de cible, s’enprend à lui-même. C’estce qu’on appelle les ma-ladies auto-immunes etauto-inflammatoires.L’arthrite juvénile faitpartie de cette catégo-rie, escortée parfois parquelques symptômescomme des poussées occasionnelles defièvre ou des éruptions cutanées. Maispas toujours. Ce qui rend le diagnosticparticulièrement difficile, surtout chezunenfant enbas âge,qui neparvientpasà exprimer verbalement sa douleur.Côté traitement, la recherche avance

à pas de géant. «Il y a vingt ans, la rhu-matologie pédiatrique était encore unebranche sous-développée. Les enfantstraités recevaientde l’aspirine,de la cor-tisone (responsable de nombreux effetssecondaires comme le risque de limita-tionde la croissance).Mais aujourd’hui,grâceà l’immunologie,ona fait despro-

grès considérables et on contrôle beau-coup mieux l’inflammation», expliqueMichaël Hofer.

De nouveauxmédicamentschangent la donneDans la cohorte des médicaments arri-vent donc les anti-inflammatoires et lesinjectionsdecortisonedans les articula-tionsainsi que les immunosuppresseurs.En plus, depuis quelques années, l’arri-

Quand lesenfants souffrentd’arthriteMéconnue, souvent invisible,mais douloureuse, cettemaladiene concerne pas que les adultes,mais aussi les enfants.Une affection qui, si elle ne se guérit pas toujours, se soignedemieux enmieux.

«Onneconnaîtpas ledéclencheur»Michaël Hofer

86 |au quotiDien | éDucation |No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |

Page 87: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

vée sur le marché d’un nouveau genredemédicament a changé la donne: «Cesont des agents biologiques qui ciblentet neutralisent des molécules précises,en particulier le TNF, molécule abon-dante dans les arthrites.» Un traite-ment qui soulage, qui atténue les crises,rend possible une vie normale entredeux orages. Car on ignore toujours cequi déclenche ces poussées d’inflam-mation. L’environnement joue-t-il un

rôle? «Comme on ne sait pas, toutes leshypothèses sont possibles. Je crois sur-toutqu’il fautdéculpabiliser lesparents,leur dire qu’ils n’ont rien fait de mal oude faux.»Mais pour quelles perspectives? La

guérison au bout du tunnel? Là encore,aucune certitude. Certaines arthritesdurent toute la vie avec des périodesd’accalmie. D’autres ne s’installent quepour quelques semaines. «Unemaladie

«J’avais du chagrin à voirma fillemarcher commeun robot»

Pour Garance, tout a com-mencé quand elle était en-core au berceau. A l’âge oùles autres enfants partent à ladécouverte dumonde àgrandes enjambées, chacun deses réveils est une souffrance.«Tous les matins ou l’après-mi-di après la sieste, elle pleuraitparce qu’elle avait mal. Ellevoulait aussi qu’on la portedans les escaliers», se souvientsa mère, Désirée Monnier. Maiselle est loin d’imaginer alorspourquoi sa fille de 2 ans, aunaturel si enjoué, a des réveilsaussi difficiles. Les premièresanalyses médicales nedonnent rien. Et puis, uncontrôle chez un spécialistedu CHUVmet unmot sur lesdouleurs: polyarthrite.«Rienqu’en voyant sa manière de setenir, le médecin a compris queGarance souffrait d’inflamma-tions aiguës à toutes les arti-culations. Alors quemoi je nedécelais rien, les enfants étantsouvent encore potelés à cetâge-là. Et puis, jamais je n’avaisentendu parler de cette mala-die, je ne savais pas que çaexistait pour les enfants!»Débute alors la ribambelled’injections à la cortisone.Avec tous les effets indési-rables de cemédicament: arrêtde la croissance, augmentationde la pilosité, accroissementde l’appétit et obésité du vi-sage. «Elle se réveillait la nuitpourmanger parce qu’elle avaitfaim et avait les joues gonfléescomme un hamster», se sou-

vient la maman. L’objectif estbien sûr de trouver au plus viteun autre immunosuppresseur.Et d’accepter l’idée de vivre,pour une durée indétermi-née, avec cette maladie à réci-dive. «Il y avait des momentsde chagrin quand je la voyaismarcher toute raide comme unrobot. Toutes ses articulationsétaient touchées, elle ne pou-vait même plus s’asseoir entailleur à la gymnastique.»L’origine de cettemaladiechronique?Mystère.Les crises se déclenchentlorsque Garance attrape unrhume ou toute autre maladieinfectieuse. Désirée Monniergarde alors sa fille à la maison,en isolement, dès qu’un virustraîne dans les préauxscolaires.Aujourd’hui, à 6 ans, Garancevit presque normalement.Suitun nouveau traitement, quilui évite la prise de corti-sone. «Elle doit faire une injec-tion tous les mois à l’hôpital etune infirmière vient à domicilechaque semaine pour lui admi-nistrer un autre médicament.Elle n’a plus que de petitescrises inflammatoires qu’on ar-rive à juguler.» Elle a repris sacroissance et a même com-mencé un cours de danse.«Comme tous les enfants quiont unemaladie chronique, ellea une joie de vivre décuplée.Mais moi, je vis au jour le jour,je neme projette plus dansl’avenir. Je veux seulement luifaciliter le quotidien.»

sans rémission pendant dix ans n’a quede faibles chances de s’en aller.»Michaël Hofer, qui lance justement

une vaste étude en collaboration inter-nationale, histoire de récolter des don-nées sur dix ans, insiste sur la recon-naissancedecettemaladie,quine sevoitpas, dont on nemeurt pas,mais qui, la-tente et douloureuse, dure parfois toutela vie.

Texte: Patricia Brambilla

En Suisseromande,entre 350 et 1000enfants souffrentd’arthrite.

Illustration:An

drea

Caprez

| 87| MigrosMagazine |No 24, 11 JuIN 2012 | au quotidien | éducation

Page 88: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

88 |VOITURE | PEUGEOT 3008 |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Le lookLa 3008 est un SUV qui n’en a pas l’air. Un ensembleharmonieux, mais très imposant. Des ailes galbées,des projecteurs soulignés par une rangée de LED,une calandre expressive. L’ensemble est réussi, mais nes’illustre pas particulièrement par une grande originalité.

dumoins, de l’idée que jem’enfais. Sensation renforcée lorsde lamise enmarche du véhicule,lorsqu’une petite plaque transpa-rente, appelée «Head Up Display»,s’est dressée au sommet dutableau de bord et que j’y ai vuapparaître les km/h demanièreholographique. Ainsi, ma vitesseétait affichée en chiffres lumineuxdirectement sur la route que je

Et dans la vraie vie, elle est comment cette voiture?

Par Leïla Rölli,chroniqueuse automobile

Le toit panoramiqueComme bien d’autres voitures actuelles,la 3008 dispose d’un toit vitré étendusur tout l’habitacle. L’ambiance estsublimée par une luminosité rafraîchis-sante. Comment s’en passer?

Par Leïla Rölli,Par Leïla Rölli,

En entrant dans la Peugeot 3008, j’aiété frappée par le grand nombre decommandes et boutons présentssur sa console centrale. Avec unsiège conducteur à la positionlégèrement inclinée, trèsconfortable, ainsi que le sentimentde cloisonnement induit par lahauteur de la console, j’avaisla vague impression deme trouverà bord d’une capsule de la NASA ou,

n’avais plus à quitter des yeux.Agréable à conduire, souple etraisonnablement réactive, la 3008Hybrid 4 est aussi très intuitive.Toutefois, l’abondance decommandes et l’idée préconçuequ’une hybride de ce genre nepouvait en aucun cas disposerd’un mode tout-terrain m’ont faitocculter unemolette bien utile.Me rendant chez des amis en

Sensations deconduite futuristesAbord de cette Peugeot, le conducteur se croiraitpresque à l’intérieur d’une navette spatiale.

Le moteur dieselOptimal sur trajets routiers, autoroutierset extra-urbains, il développe une puissancemaximale de 120 kW à 3750 tr/minainsi qu’un couple maximal fixé à 300 Nmà 1580 tr/min.

Page 89: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 89| MIGROSMAGAZINE | No 24, 11 JUIN 2012 | VOITURE | PEUGEOT 3008

Quatre modesZEV: donne accès à un mode électriqueétendu à 100%, si l’autonomie lepermet. AUTO: l’électronique gèreautomatiquement l’apport des deuxmoteurs en fonction de la demandeen minimisant la consommation. SPORT:additionne la puissance des deux moteurspour une conduite très dynamique.4WD: combinaison des deux moteurspour une motricité optimale.

120

montagne, je devais prendre un cheminde terre très raide et glissant. Lesdimensions de la 3008 étant assezimposantes, j’avais peur de la frottercontre les branches ou le mur depierres qui bordaient le chemin etme suis appliquée tant bien que malà gravir la pente en mode sport, modeque j’avais activé un peu plus tôt. C’estseulement arrivée en haut, après avoirpeiné pendant dix minutes, que je me

suis rappelé qu’ilm’était possibled’enclencher lemode quatre roues motrices.Forte de cette expérience, je mesuis empressée de passer le modeautomatique pour que, si mamémoire venait à nouveau àme jouer des tours, l’ordinateur debord décide lui-même de la fonctionadéquate.

mode quatre roues motrices. ÉMISSION DE CO2 EN G/KM

159

80

100

200

modèlete

sté

180

140

99

160

moyenne suisse

Quatre modesZEV:étendu à 100%, si l’autonomie le permet. automatiquement l’apport des deux moen additionne la puissance des deux moteurs pour une conduite très dynamique. 4WD:pour une motricité optimale.

La technologieUn vrai petit bijou d’innovation! Outre samotorisation, la 3008 regorge de technologiesde confort (audio, connectivité, navigation,etc.) et de sécurité (Head Up Display, ESP, etc.).Un écran de 7’’ 16⁄9 couleur permet notammentde s’informer sur l’activité des moteurs entemps réel et de surveiller sa consommation.

Fiche techniquePeugeot 3008 Hybrid4

Moteur / transmission: électriqueet diesel 2,0 HDo FAP. 4 cylindres,1997 cm3, 163 ch (jusqu’à 200 ch avecmoteur électrique en renfort).Boîte automatique 6 rapports.Performance: 0-100 km/h = 8 s,vitesse de pointe: 191 km/h.Dimensions: Lxlxh = 436,5 cm × 183,7 cm× 163,9 cm.Poids: 1660 kgConsommation: mixte: 3,8 l/100 kmEmission de CO2: 99 g/kmEtiquette énergie: APrix: à partir de Fr. 46 500.-

Page 90: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Jeu numéro 3: le TicTacToe.

Un jeu de stratégie pour deux. Si vous remplissez tous les champscomprenant le chiffre «3». Ensuite, le joueur 1 écrit un X

dans un champ, puis le joueur 2 un 0. Le premier qui aligne trois Xou trois 0 horizontalement, verticalement ou en diagonale a gagné.

JOUE AVEC MOI.

Jeunuméro1:lecodeQR.

IlvousfamiliariseavecLEPOUVOIRUNIQUED’UNEANNONCE.Sivousremplisseztousleschampscomprenantlechiffre«1».

Chargezl’APPgratuiteBeeTaggsurvotreiPhoneouvotreportableAndroid.PhotographiezlecodeQRaveclelecteurQRBeeTagg.

Ouvisitezdirectementle-pouvoir-unique-d-une-annonce.ch.

Jeunu

méro4:

lemotifde

brod

erie.

Ilpren

dun

airàla

foiscristallin

etscan

dina

ve.S

ivou

srempliss

eztous

lesch

amps

compren

antlech

iffre

«4».

Jeunum

éro2:M

onsieurMonnet.

Grâce

àvous,ilretrouve

sonjournal.Sivous

remplissez

tousles

champs

comprenantle

chiffre«2».

1

2

1

2 4

1

2

1

2 4

1

2

1

2

1

2 4

1

2

1

2

3

1

2

1

2 4

1

2

1

2

1

2

1

2

1

2 4

1

2

1

2

3

1

2

1

2 4

1

2

1

2

1

2 4

1

2

1

2 4

1

2

4

1 1

4

1 1

2 4 2 3

1

4 4

1

4

1

2 2 4 3

1

4 2

1

4

1

2 2

1 1

2 4

1

2

1

2 4

1

2

1

4 2 43

2 2

1

2 4 4

1

2 4 2 4

1

2 43

1 1

2 4

1 1

4

1 1

2

2 4

1 1

2

1

2 4 2 2 2 4 2 3

1

4

1 1

2

1

4

1

4 2

1

2 4 2 3

2 4

1

2

1

4

1

2 2

1

2

1

2 4

1

2

1

4 2 4 2 4 3

1 1

4

1

2

1

2

1

4 2

3

1 1

4

1

2

1

4

1 1

4

1

2

2

1 1

2 4

1

4

1

2 2

1

2 432

1

2 2 4

1 1 1

2 4

1

2 2

1

2 43

2 2 4

1 1

2 4

1

2

1

2 4

1

2

1

2

1

2 4

1

2

1

43

1

4 2 4 2 4 2

1

2 4 43

1 1

4 2

1

2

1

2

1

2 4

2 4

1

4 2

1 1

2 43

2 4 4

1 1 1

2 4

1

4 43

1

2

1

2

1 1

2

1

2 4

14

1

2

1

2

3

2

3

2 43

2

3

1

2

3

1

43

1

2 43

1

2 43

2

3

1

2 43

1

43

1

2 43

1

2

3

1

2

3

1

2 43

2 43 43

1

2

3

1

2 43

1

43 43

1

3

1

3 43 3

1

2

3

2

1

4

1 1

4

1

2

1

2 4

1

4 43

2 4 4

1

2 4

1

2 4

1 1

2 43

2 4 4 2 2

1

2 4 2

1

4

1

2

1

2 4

1

2

1

2 4 2 2

1

2 4 43

2 4

1

2 4

1 1

4 2 4

1

43 4

1

2

14

1 1

2 4

2

1

4

12

1

4 2

1

2 43

1

2 4

1

4

1

2

1

2 2 4 4

1

2 43

1 14

1 1

2

1

4

1

2

1

2

1

2 4 2 4

1

2 4

1

2 4 3

2 2

1

2

1

2 4 2 4

1

2

1 1

2

3

1 1

2 4 2

1

2 4

1

4 4

1

2

2

1

4

1

2 4 4

1

2

1 12 4

1

2 2

3

2

1

2 4 2 4 2 2

1

2

3

1

2 2 4

1

2

1

2

1

2 4 2 4

1

4

1

2

1

2

1

4

1

2

1

4

12

1

43

2 4 4 2

1

2 4

1

4

143

1

2 2 4

1

2 4

1

2

2 4

1

2 4

1 1

2 4 43

1

4 2 4

1 1

4

14

1

2 43

1

4

1

2 4

1 1 1 1

2 4

1

2 4 2 2 4

1

2

1

2 2 4 4

1

2 43

12 2 4

1

2 4 2

1

2 4 2 4 2

1

2 43

2 4

1

4 2 4

1

2 4

1

2

2

3 3 43 3 3 43

2 43 43 3

1

43

12 43 43

1

2

3 3

1

2 43

1

43

1

2 43

1

3

1

2 43 43

1

43

1

3

1

2

3

2 43

2

3

1

2

31

2

1

4

1

2

1

2 4

1 1

2 43

1

4

1

4

1 1

2

1

2

1

4 2 4

1

43

1

2

1 1

2

1

4

1

4

1

2

2 4 2

1

4

1

2

1

2

1

2

1

2 43

2 4

1

2 2

12 4 2 4

1

2

1

2 4 43

1 1

2 2 4 2 2

1

2 4

1

2 4 2

1 1

4 2

1

43

1 14 2 4

1 1

43

1

2 4

1 1

2 4

1 1

2

2 2 4

1 1

2 4

1

2 2 4 2 2

3

1

2

1

2 4 2

1

2

12 2 4 2 3

1

2

1

2 4

1

2 2 4 2

1

4

1

2

1

2 4

1

2

1

4

1 1

4

1

3

1

2 41

4

1

4

1

4

1

3 4

1 1 1

4

1

2

1 1

2 4

2

1

2 4 2

1

2 2 4 2

1

2 43

2

1

2

1

2 4

1

2 4 2 4 2 4 2

1 1

2 43

2 2 4 2 2

1

2 4

1 1

2

1

2 4

1 1

4

1

2

14 3

1

4

1

4 4

1 1

4 3

1

4

1

2

1

2 4

1 1 1

4

2

1

2 4 2

1

2 4 2

1

2 2 41

2 2

3

1

2 2 4

1

2 2

1

2 2

1

2 4 2

1

2

3

21

2 4 2

1

2 2 4

1

2 2 4

1

2

Cette annonce promeut la publicité dans les journaux et les périodiques. L’association MÉDIAS SUISSESorganise chaque année un concours sur ce thème s’adressant à de jeunes créatifs. Voici un travail qui s’estégalement illustré dans ce concours – il est signé par Silvio Seiler, de l’agence de publicité SilvioSeiler.ch.www.le-pouvoir-unique-d-une-annonce.ch.

Page 91: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

REJOINS-NOUS AU CLUB LILIBIGGSDes surprises t’attendent, comme des jeux, des devi-nettes, le magazine du club et des événements super.Inscris-toi gratuitement ici: www.lilibiggs.chwww.lilibiggs.chwww.lilibiggs.chwww.lilibiggs.chwww.lilibiggs.chwww.lilibiggs.chwww.lilibiggs.chwww.lilibiggs.chwww.lilibiggs.ch

Les Lilibiggs et leurs amis jouent au foot.Mais qui fera donc la prochaine passe? Pourle savoir, observe bien les numéros sur lemaillot des joueurs. Comme c’est Flix, l’amimartien des Lilibiggs, qui a confectionnéles maillots, il a écrit les numéros enmartien! À toi de les déchiffrer et de lesplacer dans le bon ordre. Le joueur quia le plus petit numéro tire en premier.

Solution:1.Kroko,2.Flix(lemartien),3.Tobi,4.Hugo,5.Fanny(lapirate),6.Phanto(lefantôme),7.Nina

Solution:HUGOBALL

À QUI LE BALLON?

Solution:

DEVINETTE DE FOOTBALLTrouve les noms justes des images.La solution est un jeu inventé par les Lilibiggs.

ÉNIGMES

LE COIN DES ENFANTS

E

Comment participerTéléphone Composez le 0901 591 903(Fr. 1.–/appel depuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF3 suivi de la solution,vos nom et adresse au 920 (Fr. 1.–/SMS).Exemple: MMF3 AHESR Pierre LexempleRue Lexemple 22 8000 ModèlevilleCarte postale (courrier A) Migros Ma-gazine, paroli, case postale, 8074 ZurichInternet www.migrosmagazine.ch/motsfleches

Délai de participation:dimanche 17.06.2012, à minuit

Le recours juridique est exclu. Aucunecorrespondance ne sera échangée ausujet du concours. Pas de versement enespèces. Concourir au moyen d’un logicielde participation automatisé est exclu.

PAROLI: VALEUR TOTALE DES GAINS 300 FRANCS

Agagner, 3 bons d’achatMigrosd’une valeur de 100 francs chacun!

Solution n° 23: EEAAO

Gagnants n° 22:Yolanda Borri, Renens VD;Christine Groux, Lausanne;Sonja Jallon, Courfaivre JU

Remplissez la grille avec les dix mots. La solutionse lit dans les cases orange, de bas en haut:elle ne donne pas forcément un mot.

AACCDNOSSU

MRIRIOCACT

ARCOANEBIO

RIEISSARAP

IERSPENESI

NROEONIUSS

EENURSEREM

SESRAENSSE

EXTRA 1 | 91| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | jeux

Page 92: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MOTS FLÉCHÉS: VALEUR TOTALE DES GAINS 1450 FRANCS

Agagner, 10 bons d’achatMigros d’une valeur de100 francs chacun ou 20 casquettes Espagne de SportXX!

2

ENPLUS: à gagner, 5 bonsd’achatMigros d’une valeurde 50 francs chacun pourla case bleue!Téléphone Composez le 0901 591 905 (Fr. 1.–/appeldepuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF5 suivi de la solution, vos nom etadresse au 920 (Fr. 1.–/SMS).Chances égales et sans frais supplémentairesparwap http://m.vpch.ch/MMF12415 (gratuit depuis leréseau portable)

Délai de participation:dimanche 17.06.2012, àminuit

Comment participerTéléphone Composez le 0901 591 901 (Fr. 1.–/appeldepuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF1 suivi de la solution, vos nom etadresse au 920 (Fr. 1.–/SMS).Exemple: MMF1 CHAT Pierre LexempleRue Lexemple 22 8000 ModèlevilleCarte postale (courrier A) Migros Magazine,mots fléchés, case postale, 8074 ZurichInternet www.migrosmagazine.ch/motsfleches

Délai de participation:dimanche 17.06.2012, à minuit

Le recours juridique est exclu. Aucune correspondancene sera échangée au sujet du concours. Pas de verse-ment en espèces. Concourir au moyen d’un logiciel departicipation automatisé est exclu.

Gagnants n° 22: Chantal Ruffieux, Moudon VD; Véronique Aldao, Satigny GE;Roselyne Drapel, Lausanne; Rose-Marie Grandchamp, Vevey VD; Raymond Veuthey, Carouge GEGagnants «en plus» n° 22: Denise Tinguely, Corminboeuf FR; Monique Jolliet, Chernex VD;Anne Marie Maspoli, Lausanne; Edmée Humbert, Les Ponts-de-Martel NE;Jacqueline Filippin, Châtonnaye FR

Solution n° 23: MAILLOT

Horizontal

1. Organisateur Euro 20082. Lieu de la finale de l’Euro 20123. Ballon officiel de l’Euro 20124. Equipe de Cristiano Ronaldo5. Note de musique6. Perroquets d’Océanie7. Sport d’hiver8. Maltraité9. Chien d’arrêt10. Jeune entêté11. Orient12. Comprimait13. Avec eux, on mettrait Paris en bouteille14. Céramique15. Se débarrasser16. Qui se réserve la part du lion17. Conifère18. Contestée19. Le gourou la dirige20. Portée aux nues21. Aperçus22. Pour appeler23. A l’intérieur24. Avec lui le Déluge25. Indien à l’automne26. Vieille colère27. Avion sans pilote28. Jupes d’écossais29. Grivois30. Roulés dans la farine31. Général sudiste32. Champion d’Europe actuel33. Symbole du plomp34. Individus35. Troisièmes dimensions36. Symbole de l’étain37. Enchâssé38. Notre bonne vieille planète39. Perdue40. Marché du poisson41. Cri de douleur42. Couteaux sur la plage43. Note de musique44. Arrivés parmi nous

Vertical

1. L’une des mascottes de l’Euro 20122. On y conservait le pain3. Profitable4. Il vient du ciel5. Des marteaux ou des enclumes6. Co-organisateur Euro 20127. Sans éclat8. Sonné9. Qui ont fait fortune10. Symbole du gallium11. On l’a à l’œil12. Greffer13. Il est à transformer14. Manche15. Règles de dessinateur16. Fines lames17. Longues périodes18. Luettes19. Saint à Rome20. Jeu chinois21. Bons pour le service22. Vedettes23. Joyeux comme un pinson24. Indéfini25. Diffamées26. Négation27. Parfois anglaise28. Dans29. Qui ne produit rien30. Mouches31. Soldat américain32. Ce qu’il y a de plus intime33. Mamelle34. Il n’est pas du tout vilain35. Marques36. Co-organisateur Euro 201237. Etoffe de laine38. Insulaire39. Note de musique40. Retranchée41. Souvent au plat42. Songe

GE

SC

HE

NK

KA

RTE

•C

AR

TEC

AD

EA

U•

CA

RTA

RE

GA

LO

GE

SC

HE

NK

KA

RT

E•

CA

RT

EC

AD

EA

U•

CA

RTA

RE

GA

LO

GE

SC

HE

NK

KA

RT

E•

CA

RT

EC

AD

EA

U•

CA

RTA

RE

GA

LOG

ES

CH

EN

KK

AR

TE

•C

AR

TE

CA

DE

AU

•C

AR

TAR

EG

ALO

LO

LO

LOG

ES

CH

EN

KK

AR

TE

• C

AR

TE

CA

DE

AU

• C

AR

TA R

EG

ALO

GE

SC

HE

NK

KA

RTE

•C

AR

TEC

AD

EA

U•

CA

RTA

RE

GA

LO

92 |jeux |No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |

www.rigert.ch · 021 793 18 56Nouveau en Suisse romande

Livrable

de suite!

monte-escalier

Page 93: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

3

www.hoegglift.ch

Monte-escaliers

CH-9620 LichtensteigTél. 071987 66 80

| 93| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | jeux

Page 94: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

JEUX | No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

94 |

CONSEIL DE BRICOLAGE

LE JEU

|

Découvre le monde avec …

Solution:

LA PROCHAINE PAGE D’EXPLORATEURS SERA PUBLIÉE

DANS LE NUMÉRO 26 DE «MIGROS MAGAZINE» (25 JUIN).

Un sac en jeansLes jeans qui ne te vont plus sontsystématiquement rangés au fonddu placard? Pourquoi ne pas en faireplutôt de jolis sacs? Commencepar découper les jambes de tonvieux pantalon. Fais un ourlet auniveau des ouvertures en le cousantà l’intérieur. Couds ensuiteune bandoulière dans une jambedu pantalon puis fixe-la à la ceinture.Ton sac est déjà terminé! Tu peuxencore l’embellir en ajoutantquelques détails. Glisse par exemple

une ceinture ou un foulard colorésdans les passants. Cette activitén’est bien sûr pas réservéeaux filles: les garçons peuvent aussitrès bien concevoir un sac de sportou une pochette de poitrine. Et si tuas peur de ne pas y arriver, demandedonc de l’aide à ton professeurde travaux manuels. Cetteoccupation a un grand avantage:elle permet d’exprimer toute sacréativité, et ce n’est pas bien gravesi la couture n’est pas parfaite.

Arriveras-tuà repérerles dixdifférences?

Cirque StarlightViens découvrir la vie de tous les joursau cirque et assister à un des spectaclesde la tournée 2012 du Cirque Starlight!Dates de l’activité: le 10 juinà Villeneuve, le 17 juin à Martigny, le 24 juinà Sion, le 1er juillet à Brigue, le 8 juilletà Biasca, le 15 juillet à Lugano et le 22 juilletà Locarno. Conditions: les enfants doiventêtre accompagnés par au moins un de leurs

parents. Entrée: gratuite pour les enfants;les parents paient la place réservéeà la représentation en catégorie fauteuil(Fr. 26.–). Inscriptions obligatoires:à [email protected]. Participants:dans le cas où il y aurait moins devingt personnes inscrites, le cirque se laissele droit d’annuler.

LE SAVAIS-TU?

Cirque StarlightViens découvrir la vie de tous les joursau cirque et assister à un des spectaclesde la tournée 2012 du Cirque Starlight! Dates de là Villeneuve, le 17 juin à Martigny, le 24 juin à Sion, le 1

PASSEPORT D’EXPLORATEUR

Le sexe des tortues dépend de la température.Il n’est en effet pas encore déterminé au momentde la ponte. C’est la chaleur du nid qui joueraun rôle décisif: au-dessous de 31 °C, la plupartdes bébés tortues seront des mâles, et au-dessus,il s’agira essentiellement de femelles.

Page 95: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| 95| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | jeux

SUDOKU: VALEUR TOTALE DES GAINS 500 FRANCS

Agagner, 5 bons d’achatMigrosd’une valeur de 100 francs chacun!

4

95

4

61

6

4

3

9

8

1

3

5

2

4

9

4

7

2

8

1

4

3

69

5

87

Comment participerTéléphone Composez le 0901 591 904 (Fr. 1.–/appel depuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF4 suivi de la solution, vos nom et adresse au 920 (Fr. 1.–/SMS). Exemple: MMF4 234 Pierre Lexemple Rue Lexemple 22 8000 ModèlevilleCarte postale (courrier A) Migros Magazine, sudoku, case postale, 8074 ZurichInternet www.migrosmagazine.ch/motsfleches

Délai de participation: dimanche 17.06.2012, à minuit

Le recours juridique est exclu. Aucune correspondance ne sera échangéeau sujet du concours. Pas de versement en espèces. Concourir au moyend’un logiciel de participation automatisé est exclu.

174853926

826941573

539267841

315492768

792186435

468735192

641378259

257619384

983524617

Remplissez les cases blanches avec les chiffres 1 à 9. Chaque chiffre ne peutapparaître qu’une seule fois dans chaque rangée, chaque colonne et chacun desneuf blocs 3×3. La solution s’affiche dans les cases orange, de gauche à droite.

Solution n° 23: 983Gagnants n° 22:Robert Haldemann,Tägertschi BE;Emanuel Jurt,Lucerne;Jérome Brandt,Neuchâtel;Heidi Studer,Olten SO;G. Fivaz,Plagne BE

| 95| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 | jeux

iMpressuMMIGROSMagazineConstruirecase postale 1766,8031 ZurichHebdomadaire du capitalà but socialwww.migrosmagazine.ch

Tirage contrôlé:505 869 exemplaires(REMP 2011)Lecteurs: 598 000(REMP,MACH Basic 2012-1)

Direction des publications:Monica Glisenti

Directeur desmédiasMigros:Lorenz Bruegger

Rédaction:[email protected]éléphone: 058 577 12 12Fax: 058 577 12 09

Rédacteur en chef:Steve Gaspoz

Rédacteur en chef adjoint:Alain Kouo

DépartementMagazine:Tania Araman, Patricia Brambilla,Mélanie Haab, Pierre Léderrey,Viviane Menétrey, Laurent Nicolet,Alain Portner

DépartementActualitésMigros:Daniel Sidler (responsable),PierreWuthrich (coordinateurpour la Suisse romande),jean-Sébastien Clément, AndreasDürrenberger, Béatrice Eigenmann,Christoph Petermann, Anna Meister,MichaelWest

Département Shopping& Food:jacqueline jane Can (responsable),Heidi Bacchilega, Emilia Gamito,Dora Horvath, Sonja Leissing, FatimaNezirevic, Nicole Ochsenbein, ClaudiaSchmidt, jacqueline Vinzelberg,AnetteWolffram

Mise en pages:Daniel Eggspühler (responsable),Marlyse Flückiger (direction artis-

tique),Werner Gämperli (adj.),Nicole Gut, Petra Hennek,Gabriela Masciadri, Tatiana Vergara

Photolithographie: René Feller,Reto MainettiPrépresse:Peter Bleichenbacher, Marcel Gerber,Felicitas HeringService photo:Olivier Paky (responsable),Lea Truffer (resp. pour la Suisseromande), Susanne Oberli

Correction:Paul-André Loye

Nouveauxmédias: Sarah Ettlinger(responsable), Laurence Caille,Véronique Kipfer, Manuela Vonwiller

Secrétariat:Stefanie Zweifel (responsable),imelda Catovic Simone, Nadja Thoma

Communication& coordinationdesmédias:Eveline Schmid (responsable),Rea Tschumi

Département des éditions:PatrickWehrli(chef du département)Alexa julier, Margrit von [email protected]éléphone: 058 577 13 70Fax: 058 577 13 71Thomas Brügger,(responsable annonces), Carina Haid(responsable marketing),Patrick Rohner

(responsable Media Services),Nicole Thalmann(responsable service interne).Annonces:[email protected]éléphone: 058 577 13 73Fax: 058 577 13 72Abonnements:[email protected] Frick (responsable),Téléphone: 058 577 13 13Fax: 058 577 13 01

Editeur:Fédération des coopératives Migros

Imprimerie:Centre d’impression Edipresse,1030 BussignyTamedia SA, Zurich

A

commander

gratuitement!

03/2012

La santé des sédentaires

Les vertus de l’huile

Le nirvana des sportifs

Le magazine du bien-être et du développement durable

Nos amiesles bêtes A commander dès aujourd’hui gratuitement sur: www.migros.ch/vivai,

par mail à: [email protected] ou en appelant le 0800 180 180.

Reflet des nouvelles tendances, Vivai, le magazine du bien-être et du développementdurable édité par Migros, est une véritable source d’inspiration.

Dans le numéro Vivai 03/2012: Comment se portent les animaux en Suisse?Par ailleurs, vous en apprendrez davantage sur les effets bénéfiques des huiles etsur tout ce qu’il est possible de faire pour avoir des dents d’un blanc éclatant.

Publicité

Page 96: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

96 | L’AFRIQUEDUSUDAUTREMENTVOYAGE LECTEURS |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Mosaïque sud-africaineNotre voyage exclusif de quinze jours vous entraînera au cœurd’un pays authentique et différent.

Date et prixPrix par personne, en chambre double01.12.12 – 15.12.12 CHF 5395.–Suppl. chambre individuelle CHF 725.–

TP / F / JNB 029

Prestations: vols Air France / KLM deGenève à Johannesburg, retour du Cap (viaParis / Amsterdam) en classe éco. – Taxes ethausse carburant (CHF 548.–, val. mai 2012) –2 vols internes et leurs taxes – transferts de /à l’aéroport – circuit en bus climatisé – safarismentionnés en 4X4, 12 nuits en hôtels etlodges de classe moyenne / charme – pensioncomplète du déjeuner du 2e jour au petit-déjeuner du 14e jour (sauf 2 déjeuners) –visites, excursions et entrées mentionnéesau programme – guides locaux francophonesaux étapes – documentation de voyage.Non inclus: assurance obligatoiremultirisques (EUROPÉENNE AssurancesVoyages SA) – Frais de réservation. Renseignements et réservations:demandez notre programme détaillé:Par téléphone au 021 341 10 80. Par courriel:[email protected] Remarques:min. 12, max. env.18 personnes. Circuit sous réserve demodifications et soumis aux conditionsgénérales de contrat et de voyage deHotelplan SA, disponibles dans toutesles agences de voyages ou souswww.tourismepourtous.ch

Ci-dessus:la ville du Capavec une vue surlamontagnede la Table.A droite: unrhinocéros àPilanesberg.

V ous découvrez d’abord l’une desréserves les plus extraordinairesdu pays, le Pilanesberg. Vous

plongez ensuite au cœur de la provinceduCap-Oriental,patriedeNelsonMan-dela, et progressez le long de la «WildCoast»,notre coupde cœur! Fin du cir-cuit au Cap, dans un décor grandiose…

1er/2e jours: GENÈVE–JOHANNESBURG–PILANESBERGVol à destination de Johannesburg.Arrivée le lendemainmatinet routepourle Parcnational duPilanesberg.Premiersafari en 4X4 dans la réserve.3e jour: PARCNATIONALDUPILANESBERGSafari matinal à la recherche des «BigFive» puis détente au lodge. Dansl’après-midi, nouveau safari pour en-suite apprécier le coucher de soleil dansla savane.4e jour: PILANESBERG–JOHANNESBURG–DURBANSafarimatinal puis transfert à l’aéroportde Johannesburg et vol à destination deDurban.5e jour:DURBAN–PORTEDWARDDécouverte de la ville deDurban et arrêtaumarché indien. Route en direction dela côte sauvage et arrêt aux impression-nantes chutes d’Oribi.6e /7e jours: PORTEDWARD–COFFEEBAYRoute pour le Transkei, une régionpauvre mais superbe où agriculture etélevage constituent les deux ressourcesprincipales. C’est ici que sont nées lespersonnalités les plus marquantes de lalutte contre l’Apartheid, tel Nelson

Mandela. Découverte de la somptueuse«côte sauvage», visite d’un village del’ethnie Xhosa avec ses habitationstraditionnelles.8e jour: COFFEEBAY–EASTLONDONVous traversez les superbes paysages duTranskei jusqu’à East London.9e jour:EASTLONDON–PARCAD-DO–PORTELIZABETHSafari dans leparcAddo,connupour sesénormes troupeauxd’éléphants.Conti-nuation jusqu’à Port Elizabeth.10e jour: PORTELIZABETH–LECAPDécouverte des projets de l’ONGIMBEWU, première ONG à avoir étésoutenue par la Roger Federer Founda-tion.Aucœurdu township,vousaurez leprivilège dedécouvrir une autreAfriquedu Sud, pleine de défis et remplied’espoirs. Vol pour LeCap.11e jour: LECAPVisite de Robben Island, île-prisonclassée à l’UNESCO.Tour panoramiquede la ville, ascension en téléphérique ausommetde lamontagnede laTable où lavue est à couper le souffle!12e/13e jours: EXCURSIONSAUTOURDUCAPDécouverte de la péninsule du Cap: l’îleaux phoques, la colonie de manchots etle cap de Bonne-Espérance. Le lende-main vous partez pour la célèbre routedes vins dans la région de Stellenbosch.Dégustations de crus sud-africains.14e/ 15e jours: LECAP–GENÈVEJournée libre jusqu’au transfert àl’aéroport. Vol pour Genève et arrivée lelendemain.

Page 97: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

❑ Madame ❑ Monsieur

Nom: Prénom:

Rue/N°:

NPA/lieu:

N°Tél.:

BON DE COMMANDE❑OUI, je veux pouvoir comprendre à nouveau des conversationsnormales et entendre des sons à peine perceptibles. C’est pourquoi, jecommande contre facture (10 jours) plus frais d’envoi (Fr. 6. 90):

AIDE AUDITIVE N° d’art. 2141 Fr. 98.–(Quantité)

328-4

Grâce à ce nouveau type d’aide auditive, vous aurez désor-mais l’ouïe d’un félin. Vous pouvez la placer facilement dans

l’oreille et à partir de là, elle veille discrètement mais sûrement àce que vous entendiez tout bien mieux et bien plus clairement.Les sons sont restitués de manière amplifiée dans l’oreille et lesbruits de fond sont simultanément réduits. Enfin, vous entendeztoutes les conversations quotidiennes sans avoir sans cesse à de-mander aux gens de répéter. Vous pouvez même entendre à nou-veau facilement des bruits à peine perceptible grâce au micropro-cesseur vocal progressiste. Commandez encore aujourd’hui pourprofiter d’un parfait plaisir d’écoute dès demain.

«Désormais, jepeux à nouveau toutentendre clairement

et nettement!»

Enfin, toutentendre!

Aideauditiverechargeable

NOUVEAU

Avoir l’ouïe d’un félinpour seulement Fr. 98.–✓ Tout comprendre en regardant la télévision

✓ Suivre facilement les conversations à table

✓ Entendre chaque mot lors de réunionsd’affaires

✓ Capter les sons les plus légers de la nature

Vos avantageséconomiques:

Cette aide auditive estéquipée du même micropro-cesseur vocal qui est utilisédans des appareils coûtantplusieurs milliers d’euros.

Équipé de piles rechargeables,vous économisez des centainesd’euros.

En plus gratuitement:un étui pratique

Microphone

Port USB(connexiondu câble derecharge)

ON / OFF

Bouton de réglagedu volumePartie principale

Tampon auriculaire(comprend 5 taillesdifférentes de tamponsauriculaires en silicone)

Très légère et aussi petite qu’un boutde doigt, cette aide auditive se place dis-crètement et en toute sécurité dans l’oreille.Dimensions L x P x H: 1,4 x 2 x 1,8 cm

Aide auditive certifiée CE et adaptateurVDE (Fédération allemande des indus-tries de l’électrotechnique) certifié parl’organisme de contrôle TÜV.

Commander rapidement? Par Tél: 071 634 81 25, par Fax: 071 634 81 29 ou surwww.trendmail.ch

A envoyer à: TRENDMAIL SA, Service-Center, Bahnhofstr. 23, 8575 Bürglen TG

et nettement!»Aide auditive rechargeableAvoir l’ouïe d’un félin pour seulement Fr. 98.– ✓✓ Tout comprendre en regardant la télévision

✓✓ Suivre facilement les conversations à table

✓✓ Entendre chaque mot lors de réunions d’affaires

✓✓ Capter les sons les plus légers de la nature

Page 98: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

|No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |Coup de ChanCe | europa-park |No 24, 11 juiN 2012 | MigrosMagazine |

98 |

A l’Europa-Park de Rust, en Alle-magne, même les visiteurs che-vronnés qui connaissent l’endroit

comme leur poche ydécouvrent chaquefois quelque chose de nouveau. Ehoui, la palette des attractions s’élargitchaque année! Les dernières consistenten un hôtel recréant une ambiance depionniers et un fabuleux grand huit enbois.Leplus récentdes cinqhôtels théma-

tiques s’appelle Bell Rock. Il a ouvert sesportes en juillet dernier et propose à ses

Grandhuit pourVikings d’aujourd’huiL’Europa-Park de Rust, en Allemagne, dispose de deux nouvellesattractions: l’hôtel thématique Bell Rock et le spectaculaire grandhuit en bois «Wodan-Timburcoaster». «MigrosMagazine» offrepar tirage au sort douze séjours sur place (nuit incluse) ainsi quecinquante entrées «famille».

hôtes de partir sur les traces des aven-turiers et des pèlerins en route pour laNouvelle-Angleterre. Il dispose de 225chambres. On le reconnaît à son pharehaut de 35 mètres, inspiré par un mo-dèle érigé le long des côtes écossaises etqui a donné son nom à l’établissement.Six suites sontdisposéesdans cette tour,aménagéesdansun style propre auxdif-férentes colonies anglaises. D’autressuites à thème offrent beaucoup d’es-pace ainsi qu’un design personnalisé.Les 190 chambres restantes, idéales

pour des familles, épousent le stylema-rin caractéristique de la Nouvelle-An-gleterre. Elles comportent des écransplats, une connexion internet ainsiqu’une climatisation ultramoderne.Trois restaurants et un café-bar sont àdisposition des grands et petits aven-turiers. Souhaiteriez-vous faire un peud’exercice? Le complexe hôtelier vousoffre maints espaces pour vous défou-ler.Celles et ceuxqui aiment l’eauprofi-teront d’unbassin intérieur et extérieuren formedebateau. Plus au calme,dans

Page 99: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

| MigrosMagazine |No 24, 11 juiN 2012 |

europa-park | 99CoupdeChanCe

Participez et gagnez!Gagnez un des 12 séjours en jeu dans undes hôtels thématiques d’Europa-Park(nuit incluse), valables pour une famille(4 personnes aumaximum) ainsi que lesbillets d’entrée correspondants (pour 2 jours)ou une des 50 entrées «famille», valablesun jour (4 personnes aumaximum).

� Par téléphone:en appelant le 0901 560 089(Fr. 1.–/appel à partir du réseau fixe)et en indiquant vos nom et adresse.

� Par SMS:en envoyant un SMS avec le mot GAGNER,ainsi que votre adresse au numéro 920(Fr. 1.–/SMS). Exemple: GAGNER , AdamPremier, rue du Paradis 1, 9999 jardinville.

� Par internet:www.migrosmagazine.ch/coupdechance

� Par courrier:en envoyant une carte postale en courrier A à:Migros Magazine, «Europa-Park»,case postale, 8099 Zurich.

�Date limite de participation:dimanche 17 juin 2012.

Les gagnants seront avertis par écrit.Le versement en espèces de la contre-valeurne peut être exigé. Tout échange decorrespondance et le recours à la voiejudiciaire sont exclus. Les collaborateurs de«Migros Magazine» ne sont pas autorisés àparticiper.

www.europapark.fr

Agauche:le nouveau grand huiten bois «Wodan-Tim-burcoaster», quis’élève à 40mau-dessus du sol,permet des vitessesde 100 km/h.

A droite / ci-dessous:l’hôtel Bell Rockrestitue le style de laNouvelle-Angleterreet offre des chambresultramodernes ainsique des suitesspacieuses.

Emblème du nouvel hôtel:un phare écossais qui a donné sonnomà l’établissement.

le parc, les rives dupaysagemarin ferontle bonheur de celles et ceux qui veulentse détendre.La deuxième attraction entièrement

nouvelle d’Europa-Park est plutôt dustyle turbulent. «Wodan-Timburcoas-ter»estungrandhuitenboisquineman-quera pas d’enthousiasmer les amateursde sensations fortes. Le parcours toni-truant passe par les mondes mystiqueset périlleux des Vikings et des dieuxnordiques.Cettepremière réalisation enbois a été construite d’une seule traite

en exactement neuf mois. Elle consisteen un circuit de 1050mètres de long, de40mètres dehaut et sur lequel on sedé-place à plus de 100 km/h. Les passagerssubissent une accélération maximale de3,5 G –à peine moins que le très connu«Silver Star», autre grand huit d’Euro-pa-Park.Outre leBellRocket le«Wodan-Tim-

burcoaster», le parc de Rust offre plusd’une centaine d’attractions et showspour toute la famille. Pas possible de s’yennuyer, c’est garanti! Texte: RP

Page 100: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Des points pour l’e-mobilité

Depuis 2010, l’entreprise de Migrosm-way est pionnière en matière de mobilitéélectrique avec une offre unique devéhicules électriques novateurs à deux ouquatre roues, d’accessoires attrayants,de services et d’offres de financement oud’assurance.

Collectez des points avec m-wayLors de vos achats *, collectez désormaisun point Cumulus par franc dépensé.Informations supplémentaires sur m-way.ch,à l’Infoline au 0800 600 555 ou dansnos shops de Genève, Lausanne, Berne,Bâle, Zurich ou St-Gall. Prenez d’ores etdéjà rendez-vous pour une course d’essaiet découvrez le plaisir de rouler aux com-mandes d’un véhicule électrique.

M-WAY DÉSORMAIS PARTENAIRE

Recevez cinq fois plus de points Cumulus survos achats comme cadeau de bienvenue.

Validité du 1er au 31 juillet 2012Profitez: en présentant votre carte Cumulus etle coupon de rabais dans un shop m-way.Plus d’informations: www.m-way.ch

5xPOINTS

Avec m-way vous optez pour des moyens de locomotion rapides et écologiques.

Votre cadeau de bienvenueValidité du 1er au 31 juillet 2012Présentez votre carte Cumulus ainsi quele coupon de rabais dans un shop m-way etrecevez cinq fois plus de points Cumuluspour tout achat.

5xPOINTS

* excepté les voitures (sauf Think City), les locations, les vignetteséco-courant et les services.

DES POINTS.DES ÉCONOMIES.DU PLAISIR.

Page 101: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

Le rockeur allemand s’arrêtera à Sursee le5 juillet pour un concert exclusif en Suisseavec tous ses plus grands succès. Nul douteque Peter Maffay et son orchestre mettrontle feu au Summer Sound 2012!

Date: 5 juillet 2012, SurseePrix: Fr. 116.– au lieu de Fr 145.–et Fr. 76.– au lieu de Fr. 95.–Profitez: billets en vente jusqu’au3 juillet 2012 ou jusqu’à épuisement dustock sur www.migros.ch/cumulus-ticketshop. Indiquez simplement votrenuméro Cumulus lors de la réservation.Remarque: téléchargez directementvos billets sur votre carte Cumulus. Vouséconomisez ainsi les frais d’envoi etprofitez des prix les plus bas. Quatre billetsau maximum par carte Cumulus. Lescommandes multiples seront annuléesd’office.Plus d’informations:www.summersound.ch

Vous trouverez d’autres manifestationsà prix réduit sur www.migros.ch/cumulus-ticketshop et aux points devente sélectionnés.

PETER MAFFAY ENCONCERT

20%DE RABAIS

SE RESSOURCER ÀL’HÔTEL MISANI

3pour2NUITÉES

Le très tendance hôtel Misani à Celerinavous propose un séjour inoubliable. L’offrecomprend:• 3 nuitées en chambre double Basic Style

Room• petit-déjeuner Misani-Basic servi jusqu’à 16 h• utilisation gratuite des remontées mécani-

ques et des transports publics (Chemins defer rhétiques, car postal, bus local St-Moritz/Engadine et bus de Maloja à Alp Grüm viaSpinas et Cinuos-chel-Brail)

• taxes de séjour incluses

Valable du 22 juin au 7 octobre 2012Prix: Fr. 295.– au lieu de Fr. 469.– par per-sonne pour un séjour en chambre doubleBasic Style Room (supplément de Fr. 30.–par personne et séjour du 13 juillet au19 août 2012), réservation d’une nuit supplé-mentaire possible.Profitez: réservez gratuitement avec votrecarte Cumulus au 00800 100 200 27 ou surwww.myswitzerland.com/cumulus etbénéficiez de trois nuitées au prix de deux.Remarque: offre par personne et par séjour,sous réserve de disponibilités. La sommesera débitée de votre carte de crédit. Desfrais de traitement de Fr. 30.– seront ajoutésen cas de paiement sur facture.Plus d’informations: www.hotelmisani.ch

Pourquoi perdre du temps? Grâce ausupermarché en ligne LeShop.ch,vous effectuez vos courses confortable-ment depuis chez vous, votre bureauou en déplacement. Commandez en ligneet faites-vous livrer à domicile. Du 11 au30 juin 2012, vous bénéficiez en outred’un rabais de Fr. 30.– sur votre premièrecommande.

Valable du 11 au 30 juin 2012Profitez:1. Faites vos courses sur www.LeShop.ch

ou via l’application pour iPhone etAndroid.

2. Avant de payer, saisissez le code1206MM30 à l’étape «Bons & Cadeaux».

3. Le rabais de Fr. 30.– sera déduit auto-matiquement.

Remarque: offre réservée aux nouveauxclients et valable une seule fois par ménage.Minimum d’achat de Fr. 150.– (surgelés ettaxes non compris) et produits livrés parLeShop.ch. Frais de livraison entre Fr. 7.90et Fr. 15.90, voir les conditions de com-mande et de livraison sur www.LeShop.ch.

FAITES VOS COURSESSUR LESHOP.CH

Offre première commandeValable du 11 au 30 juin 2012Saisir le code 1206MM30 lors de la commandesur www.LeShop.ch ou via l’application iPhone/Android. La somme de Fr. 30.– sera automati-quement déduite.

30.–DE RABAIS

Offre première commandeOffre première commandeOffre première commandeOffre première commandeOffre première commandeOffre première commandeOffre première commandeOffre première commande

POUR TOUTE QUESTION SUR CUMULUS: INFOLINE CUMULUS: 0848 85 0848

DAVANTAGE DE RABAIS CUMULUS:www.migros.ch/cumulus

Page 102: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

102 |LE MONDE DE... | GÉRARD BONNET |No 24, 11 JUIN 2012 | MIGROSMAGAZINE |

CARTED’IDENTITÉ

Naissance:le 22 août 1946en Champagne.Etat civil: célibatairedepuis toujours.Signe particulier:porte toujoursun bonnet de laine.Il aime: la générositéet la spontanéité.Il n’aime pas: lessondages d’opinionUn grand rêve:«J’aimerais continuer,malgré l’âge venant,à être au plus prèsde ce qui m’habite.»

Gérard auxmains d’argentOn y entre par hasard.Mais on y revient à tous les coups! Parce que le jardininstinctif de Gérard Bonnet, situé auxGrangettes (VD), est un paradis sur terre.

«Sentir les odeurs, toucher la terreàmains nues, se faire grifferpar les rosiers. C’est nourricier.»

Mes sculptures«Je manipulais la ferrailleet j’ai commencé à faire desassemblages. Des oiseaux, desêtres improbables qui sortentdes abysses ou là, au centredu jardin, cet hommageau cercle, la forme parfaite.Tumulus, buis taillés en boules,sphères demétal rouillé,c’est une façon terrestred’exprimer le céleste.»

Mes amies«J’aime la volaille et sonmode de vie. J’ai choisides poules de Marans,auxœufs très foncés,trois coqs, des poulessoie de Chine et uneOrloff de Russie. Je lesélève pour leur présencecolorée, mais je ne lesmangerai jamais!»

Moncompagnon«J’ai récupéré «Juko»à 11 mois dans un refuge.C’est un chien merveil-leux, un bergerd’Australie, que j’ai dûéduquer, rassurer. Et qui,aujourd’hui, tient magni-fiquement son rôlede gardien de poules!»

U n jour, il a lâché l’objectif pour labinette,maispoursuivantquelquepart lemême but: la beauté végé-

tale, les reliefs dessinés par la lumière,les clairs-obscurs d’une nature intacte.Donc partir en Islande pour attendrel’éclat sur les mousses fluorescentes oucultiverunmassif d’euphorbes empour-prées dans un coin de terre participe delamêmedémarche.«Les émotions sontidentiques, les déclencheurs aussi.»Gérard Bonnet, photographe voya-

geur pendant vingt ans, éducateur àtemps partiel, s’est donc improvisé jar-dinier il y a quelques années, laissantremonter en lui ses origines paysannes.Autodidacte et heureux de l’être, parceque «non contraint par les codes», ila empoigné la bêche, ne suivant que lecycle de ses passions. «Ce jardin m’estlittéralement tombé du ciel, puisquec’est la tempête Lothar en 1999 qui, endétruisant la zone de forêt derrière mamaison,m’a permis de le créer.»Des pierres brutes d’abord qui des-

sinent un chemin improvisé. Et puisdes fougères luminescentes, hostas auxfeuilles géantes et gaufrées où roulentles dernières gouttes de rosée, alliumset ancolies perchées sur leurs hautestiges. Quelques rhododendrons, maispas trop. Ce n’est pas ici un jardin de ladémonstration ni de la fioriture exubé-rante,mais plutôt un lieu qui fait la partbelle aux plantes botaniques, vivaces àfleurs fines, et au temps qui passe.L’herbe à Robert perce entre des bris

de terre cuite, des sculptures de boisflotté et de ferraille se mêlent au végé-tal et aux poules en liberté, pour unegrande œuvre en constante évolution.«On y circule comme dans un tableau.C’est une photographie de qui je suis,dansmes contradictions etmes excès.»Depuis, Gérard Bonnet ne part plus

en voyage. «Je trouve là ce que je cher-chais avant à l’autre bout du monde.»Un plaisir qui n’a de sens que partagé.C’estpourquoi il a décidéd’ouvrir le lieuau public. Qui peut venir y flâner libre-ment, d’avril à octobre, dans l’embau-mementdes lilasoudes roses anciennes.

Texte: Patricia BrambillaPhotos: Laurent de Senarclens

Page 103: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

GÉRARDBONNET | 103| MIGROSMAGAZINE |No 24, 11 JUIN 2012 | LEMONDE DE…

Monoutilindispensable«Je suis allé chercher cette binettechez un petit artisan en Savoie. J’aimela qualité de sa ferraille, elle est faitepour aller au plus près des plantessans les abîmer.»

Maplante fétiche«C’est une glycine assez rare, avecson blanc d’ivoire très délicat. Je gardeles fruits en décoration. Et quand il faittrès chaud, on entend les gousses quiexplosent dans le silence du jardin.»

Mapassion«Ce jardin tient compte des fulgurancesqui me traversent. Ce qui n’exclut pasune bonne connaissance des plantes.Pour qu’il ait l’air naturel, cela demandebeaucoup d’entretien et de taille, maisaucun engrais.»

Page 104: Migros-Magazin-24-2012-f-NE

MGB

www.m

igros.ch

W

’Y A DE L’AMBIANCE!OFFRES VALABLES DU 12.6 AU 18.6.2012, JUSQU’À ÉPUISEMENT DU STOCK

LES STARS DE LA SOIRÉE

4.70au lieu de 5.70Chips Zweifel170/280/300 g1.– de moinsp. ex. chips Zweifelnature, 300 g

2.–au lieu de 2.40Tous les biscuitspour l’apéritifParty15% de réductionp. ex. crackerspizza Party, 150 g

4.65au lieu de 9.30Tous les Ice Teaen bouteille PET6 x 1,5 litrep. ex. Ice TeaLemon, 6 x 1,5 litre

50%

6.–au lieu de 12.–Jus de pommeM-Classic10 x 1 litre

50%

©2012

TheCoca-ColaCompany.Coca-Cola,theContour

BottleandtheDynamicRibbonare

registeredtrademarksofTheCoca-ColaCompany.

1GRATuITjusqu’à épuisement du stock