8/6/2019 Nexus 43 Anton Parks Sumer 1ere Partie
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-43-anton-parks-sumer-1ere-partie 1/5
PHENOMENE ANTON pARKS
Sumerdans letexte
A nto n P arks , au teu r autcd idacts
d e n a tlo n a lite f r a n c a t s e , a a cr lt
avec Le Secre t des e to ilee
sombres I e p r e m ie r t o m e d 'une
I r j l o g i e pa ss io n n an te do n t Ied e u x ie m e v o lu m e , Adam Genis is ,
p a r a i t r a [ ' e f e prochain .
A € le i! e p iq u e , myth 0 lo g iq u e ,
s a g a m e t is s e e d e sc ience- f i c i i an
e t d 'h s ro lc fa n ta sy a u l ivre
(( h is to riq u e " . . . , I 'c e u v r e d e Parks
res le in c la ssab le e t pose les
q uest io n s e s s e n t l e l l e s : q u e s e
passa i t - i : sur T e r r e a v a n t la v e n u e
de l 'homme ? Ou'es t ce q u i a
precede et p r o v o o u e l ' aveneman td es c iv ilisa tio ns hum ain es ?
Selon c e t a u t e u r prol i l ique, L a s
C hroniq ues du G i r k u ne s e n t p a s
i s s u e s d e son
im a g in a tlo n ,
m a is de v i s i o n s
q u i I 'ont a s s a i l l i
I pen da n t d e
lo n g ue s a n ne es .
D e s e x p l ic a tio n s
q u i a jo u ta n funa s a v e u r
et u n in tE r rs t
s u p p la m e n t a i r e s
a ses re c i ts.
K a r m a p olls e 2 '0 0 5
E m b le m s d 'A n zu .s ym b o Is an t
I 'h e r it ag e g e n e t i q u e
6 1 1 b y l o n l e n .
Quelques a ute urs c orn me Rene Boulay ( Fly in g S er pe nt; a nd D ra go ns ,
The B oo k T re e) ou Zecharia Sitchin (L a dO'l lZ ieme planete, Louise
. Courteau Editrkc) om reuss] il dofcrypccrlllie petite partle des in-
nornbrables textes en ecriture cunelforrne HOUVes dans lesruines d'anciennes
civilisations akkadiennes. surneriennes ouassyriennes et ont commence aliner a un grand public souvenr inc re dule de s d e s pour cornprendre et vi-sualiser ce passe lointain: ilsemble acquis que les « dieux » qui auraient jere
le a b ase s d e c olo nie s c iv ilisa tric es su r t e rre , ily a d e n orn bre ux m ille na ire s,
etalent de type « repdlten ». Boulay passe en revue dans so n ouvrage rous
les textes, chroniques histcriques et " rnythes " qui relatent que les premiers
etre.~ 1 1 a vo i r arnene sur terre les ba se s de la vie intelligenre et de La c ivi l i sa -
tion etaienr des dragons: non pas de s sortes de dinosaures et autres sauriens
mais des entites de [}'PC humanoldes reconvenes d'ecailles, possedant deux
j a rnbes, deux b ra s e t p arfo is des ailes.
Nos anoetres reptiliens
On retrouve ces descriptions dans les chroniques chinoises, surneriennes, in-
diennes (Mahabha ra t a ) ou egyptiennes mais ega lemenr sur des bas reliefs des
civilisations d'Amerlque centrale eedu Sud. Souvent, ces entites sont decrites
cemme etane beneflques (surtouten Chine). Dans I'ancienne Surner, u existe
des « dieux »UJlunisal.eurs bienveillanrs ec consideres cornme proreLCteur.;Ju
.genre humain comrne Enki au dictatoriaux et cruds com me Enlil. L'irnpor-
ranee-des dragons etautres reptiles s'est etendue jusqu' au Moyen Age oil les
r e ci cs d e c h ev a li er s affromant des dragons dans des gro[[es (surtout en Angle-
terre) ou de villageois bene£iciam d e s largesses et de 1aprotection de cer hre
m erv eille ux (sud de la P ra nc ere ra ie nc c on sid ere s c om m e des histoires vrnies .·
Nornbre d'aecheologues et de specialistes de s teztes sumeriens sam restes
paruoiset perplexes face 1 t la coherence de la multitude de recits narrant
la venue de ces dleux venus des trefonds du cosmos dans leurs chariots de
fe u pour creer d es c olo nie s sur te rre . U s ant vaulu y voir de s metaphores
et des paraboles symbclisanr les lurtes eternellesentre les pulsions des-
trucrrices et constructrices de l'bornme t ace a Lanature ..D'aurres cornme
Boulay et Sltchin ont decide de ne pas interpreter ces textes mais de les
prendre pour ce quits sont: des narrations d'tvencmcncs reels cr fantas-
tiques PHCC qu'incornprehenstbles pour I'emendemem de !'homme de
cetre epoque f a c e a la puissanc e d 'un te l deplolem enr re c hnolog iqa e ,
Anton Parks poursuit les travaux de Sitchin et Boulay et les pousse bien
plus lo in . 11 n ous rnontre pa r ex e rnple que e el a rrie re -fond « reptilien » e st
vrairnent vaste et pregnant puis que ro n trouve encore aujourd'hui dans de
nornbreuses ethnics de rypeanimj.itc, surtout en Afrique (comrne au Mali)
de rres claires allusions a l:i presence de ces @:nesrepriliens, Sans vouloir
NEXUS n·o·43mars-avril 2006
8/6/2019 Nexus 43 Anton Parks Sumer 1ere Partie
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-43-anton-parks-sumer-1ere-partie 2/5
j
devoiler le contenu complet
d e cene trilogie dans l'inter-
v i ew, l 'a u e e ur , treS p roc he de s
conceptions que le s Gnosti-
ques avaient du monde, nous
explique comment et pour-
quoides systernes de pouvoirs
er de croyance de [}'Pe patriar-
cal et rres hierarchises om prisles rennes 'd e notre civilisa-
tion. ! B t e n fin de c omp te , le s
c onflits rne urtrie rs que nous
avons roujours cormus et qui
A m u, I 'u n!! d es r ac es d 'A nu nn a. semblent aller en s'inrensifiant
ainsi que l'avenernent d'un Nouvel Ordre mendial (lntronise
pa r Ie d iscours de Geo rg e Bush « pere » le 11 se pre mbre 1991,
soir dix ans avant Ie 11 septembre 2001) ne seraicnt que lcs.con-
se que nc es de de cisions prise s U y a p lu sie urs m illie rs d'annees.
Selon Parks, ces « dieux » reptiliens de I'anrique Sumer ne
seraienr pas nos cresteurs cornme I'affiyme Sitchin rnais
nos «re-creareurs ». li s onr falt main basse sur une partie
la banque gencdque du vivant, I'ant pfisc en orage pam
Ia detourner et servir leurs propres ambitions: le pouvoir.
Comment Amon Parksa-c-ilete mis en presence d'une relle
qualite d'mformarion si coherence ? D' ou lui vienr cette vision
si penerrante de La langue sumerienne et des ehroniques de
cette ancienne civilisation, surgie de millepan comme si die
avair fait un bond rechnologique inexplicable? Rien que certe
paHie de fa question m erite ra it tou t un liv re . A nton se rnonrre
circonspect sur ret aspeo: du livre rnais il n'en fait par ailleurs
aucun rnystere : depuis n.ge de 14 ans, ila e te t ra v e rs e par des
visions de rnonde s, de galaxies, de c iv ilisa do nse r d 'e rre s e tra n-
ges. Apres avoir douce de son equillbre mental, ils;est eusuitedernande s'il ne s'agisliait pas de visions d'un improbable avenin
Ce n' est que bien plus rard, apresavoir cornpulse les premiers
ouvrages relatifs 1 1 [a civilisation sumerienne, qn'Aaton consta-
tera que ce.qu'il voyair elair relie au«
reel» et a l'histoire.TOUL
prenait corps et signifitalion !
Incroyable iPeur-etre , Mais pour ceux qu e cer aspect qua-
si initiarique et propherique laisse indifferents, pour ceux
qui refusent de croire j ' e rooname avenrure interieure qui
a mene Anton Parks a nous livrer oe recit dense elf d€taill€,
Le Secret de s t to il es s ombre s reste une sagit au souffle epique qui
ravira les amateurs de mysteres,
A rc ht le ct ur e s um e ri en n e d e P er se po lis , l r an ,
NEXUS n"43rna rs-avril 2006
8/6/2019 Nexus 43 Anton Parks Sumer 1ere Partie
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-43-anton-parks-sumer-1ere-partie 3/5
INTERVIEW
« Je suis l11anifestel11entporteur d'un message »
K armaone : Racontez-nous votre parcoUIS. Votre premier
livre Le Secret des etoi/es sombres, aux Editions Nenki,
propose de nomhreux elements inedits sur letMme de la
civilisation sumerienne mais aussi des reptiliens Annunakis
et autres peuples interdimensionnels. VOllS decrivez dans Ie
detail un univers t e e s dense. D'ou viennent ces ccnnaissances
aussi precises ?
Anton Parks : Aussl loin que je rn'en souvierine, je pense
avoir e re un enfant plutor tranquille, si ce dest que j 'ai
toujours e r e sensible, ce qui rn'a parfois pu~c des pw-
blernes relationnels avec rexterieur, surtout pendant
I'entance. J' ai e l e eleve dans un milieu chretien. Corn-me beaucoup, rai fait mon cacechisrne et rna communion.
Tout a commend en 1981. j'avais alors 14 ans, Au rnois de
rnai de cette annee, pour une raison totalernent indererminee,
j'ai irecu rnes premiers « flashs ». Comment expliquer cela
en des termes simples ... ? Je dirai que cela
s'est roujours manifesre de fa<;»n spontanee
a n'importe quelle heme de Ia [ournee. Je
n 'a i ja ma is eu de controle sur ce pheno-
mene, Je ne le considere done pas comme
du channeling, puisque, sauf erreur de ma
part, un channel decide de rcccvoir, il deter-
mine rneme le moment O U ilva se detendre
pour enrrer en contact. Ceci n'a jarnais e n ~le cas pour moi, Je concois qu'il ne soit pas
tres evident de se Her aveuglernent au chan-
nelling, j'ai rnoi-rnerne du mal avec certe
pratique, car u y aautant de gens extraordi-
naires que de charlatans averes dans ce milieu.
II existe aussi des personnes sinceres qui,
parfois, interprerent mal ce qu'elles recoivent,
Au tour debut, le s premiers« flashs » sont apl?arus rimidement
er au fi I des sernaines, lcs « visions » sc sour formidablemenr
r e g l e e s a man insu, Au bout de cinq a six:rnois, le rythme $'tr.ait
acdlere POUt atteindre une it trois manifestations pur jour ...
II y aneanmoins unelemenr important qu'il me faut predser,La lumiere sernblait er re I 'e l emen r d e c le n c he u r du processus.
Chaque fois que Ie phenomene de flash se .manifestait, il e ta i t
toujours e n r e la t io n avec la lumiere ambiante O U je m e, situais.
C'est-a-dire que Iorsqu'une « vision " apparaissait, celle-ci pos-
s ed a ir Ie m em e spectre qiJe l a lu rn i e re du lieu O U je me trouvais.
It y avait comme tine connexlon subtile que [e ne rri'expllque
pas roralemene.aujourd'hul. Ces flashs eraienr en. quelque sorte
des jets de lumlere qui venalent « d' en haut » er qui penetraienr
le sommet de rnon crane, au niveau .da septierne chakra princi-
pal . Cette action me dcconncctait instantancrncntdc la realite
et m'envoyait un. S011 et lumiere d'une grande precision; des
scenes completes m'apparaissaient, souvenr avec Its memO's
persorulages amour de l'etre dans lequel je me trouvais a cha-
que fois. Comme jel'ai dit, cela pouvair se produire n'irnporte
quand, quel le que soit la d en site lu rn in eu se , Le phenornene
s'est souvent manifesre alors que j'erais accornpagne d'amis on
de collegues de travail. Le temps sernblait s'arreter autour de
mol, r avais L a sensation de vivre des scenes de deux, cinq ou
encore di x minutes! On ne m' a jamais fairaucune reflexion ... !
fen aldeduirque cela devait ressembler pour em: a une absencede quelques secondes tout au plus.
Kannaone ; Comment aVe.'l-VOU5 reagi a I'epoque ?
Anton Parks: La premiere annee fu t tres difficile. ravais Ie sen-timent de devenir fou. Les images que je recevais ressemblaient11de lapure science-fiction. Etait-ce moi qui rn'envoyais tour
cela ? O'OU de telles connaissances pouvalenr-elles proven i r ?
]e lisais- tres peu, et absolument pas de science-fiction. Les
personnages parlaienr un l a ng ag e totalernent inconnu que je
saisissais sur l 'Instant, mais qui n ' av a i r rien 11voir
avec la langue franr;:aise... ce n'est que rardivement,
a la fin des' annees 90, apres. bien des peripeties que
r a i flnalement compris qu'il s'agissaic du sumerien
ou plur6r d'unlangage doni est issu lesurnerien ...
I1 m'a £llIut plusieurs rnois a l'epoque avant de
roe decider it en parler it rna mere. VOIlS savez
a 14 ans, .recevoir ce genre
d'images peU[ creer des trou-
bles pro fonds de la personna-
lite. Heureusemenr, et ce n'est
sans doutepas un hasard , j'ai
eu une tres bonne ecoute E[
un soutien extraordinaire du
cote rnaternel... on 11 'arrive
jamais par hasard d an s une
fa rn ille . [e me dome que c a
n'arrangera pas tout le monde
d'enrendre c e l a , rnais c'est une
realire, Je crois profondement
a la reincarnation. Avant dedescendre, er en fonction de ce
qu'jl nous teste a experimenter,
on remplir sa « boire » et on
choisir les grandes !ignes de son destin. Personne ne Ie fait anotre place, inutile de chercher des responsables caches dans
l'astral l Nos guides peuvent parfois nous inciter a prendre une
vole plus qu'une.autre rnais sauf exception, no us avons roujours
Ie choix. Lorsque nous sornmes <I la-haur», entre deux vies,
nos guides nous conseillent et n'hesitent pas a nous signa le r
si llOUS avons e t e uop " g<)urmands» dans nos decisions. Le
problerne, c'est qu'on est terrlblement tetn et plein de dyna-
misme avant de redescerrdre .... On se dit souvent, mais non,
pas de problemes, ~ passera : ilm 'arrivera telle ou relle chose
NEXUS n043
mars-avril 2006
8/6/2019 Nexus 43 Anton Parks Sumer 1ere Partie
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-43-anton-parks-sumer-1ere-partie 4/5
porrante, je rencontrerai relle ou relle personne (psrfois
que ron tOiinrutdeji), be ef tou t e st possible e t d a ns !':absolu
-11 ce moment pr ec i s entre deux vies .- on est en connexion
avec notre moi profond. Le voile est en partie retire, lavie etIa mort terrestres ne Fonr qu'un et ne generen-c aucune peur.
Idyllique n'est-ce pas? Pourrant, la descente et Ia vie SUI" Terre
someprouv : an t e s et on I'oublie souvenr a v a n t de r e de sc e nd re ....
En ce qui me concerne, j'ai l'impression d ' em : reste en
COJ] .D l iC [ avec quelque chose ou quelqu'un et c'est aussi eels
qu i m :a pe rrn is de te n ir bon . C e ux qui on t e n la gentillesse
de lire mon premier ouvr-age auront sans doute remarque
la durere de certains pas s ages . La vie que je decris e st as-
sez imphoyable. [e ne sals pas si j'ai un lien direct avec
certe histoire et si J ' a i e t e le pe~sonnage de Sa'am dont je
retrace i l l . de stin e e. Toujours e st-Il qu 'it c ha que Eois que rai
recu ces flashs, je me trouvais a I'lnrerieur de SO D corps !rat certe hiseoire a raoonter, II s'agit de la transcription d'une
partie des annales qui proviennent du cristal dent Siam etait Ie
proprietaire, Ai-je e t c : en contact direct avec le conteau du cris-
ta l ~ S : a am ayane e r e en cappOICfrequent avec ce crista] (Gfrku)et la [plus grande partie de ses chroniques y ayant e t e consi-
gn e e s par se s .soins, quedois-je en conclure ? Je me sills pose
be aucoup de quesnoes It l'epoque e t ·~Oljabi ,~ ! l -fa i ll i me rendre
dirig ue . M oo dl[C egods re se ra it re nte d ' a f f i rmer «O w ! j'ai
e re c e tte e nrite »e t m on C O t e rn od ere d ira it p lu s s im p le m e nt
que j'ai e f e en contact avec des enrires qui possedenr le cristal,bien que ces dew: probabilires ne soienr pas incompatibles ..
Bref, peu importe de savoie si r a i e te ou pas ce persormage auxmains palrnees done le premier nom emit Sa ' am . Tout ceci a
suffisamment bculeverse rna vie pOllr en conclureque ce n'esr
pas UIiJ.« hasard ». Lorsqu'en 2001-2002;.j'ai finalement decide
de mente pareerie toute cette histoire, rues vie s socialeet a f-
fective se sent litteralernent desintegrees ! J e : me suis rerrouvecomme s accidente» sur le bard de Ia route .... j'ai une ehanee
inouie d'etre soutenu pa r que lque s m em bre s de rna fam ille , des
amis fldeles rotale-
mentextr-aordinai-
res , et a u ] o u r d 'h u i
un editeur qui croir
fermemenra c e pro-
je t. M a is v ou s.sa v ez ,
lorsque n 'on f;' engage
dans cetre voie, on
est rerriblernenr sew
et je pense que c'esr
un passag.e oblige,
Je suis maniresre-
ment portern: d'un
message . J e le fais aLa fois pour I€S [e c -
teurs qui Ie liront e t
bien sur pO Ul" mol,
CaE cela me lib e re
d'un paids i!Q.com-
mensurabne. raj
vraisemblablemen t
A u tr e r ae ad ' A n u O f l a k i ,I e M l is g i r,
d r a g ; o n a i l e
et l i .J l ieu~.
E n k i ( I I : g a u c h e ) e n l( lu re d e s e r p e nt s ( . s . - y m b o l e s d e f e rl il n e ) p r o o o d e
a u C lo na ge ( j'u ne , fe m m e mlfllJ u n e m a t ric a , te c hn o lo g ie fig J U re e p a r lab ra nene s a te rm na nt en va g in s - ad ro i t e f ig ur ete c he f o ou rr ou ce , En lil.
choisi de recevoir ces informations et ensuire de [es transmettre
a qui voudra bien les en t endr e . Sans vouloir i n f luence r qui que
c e s oit, j'ai la c onv ic tion a l:! plus profond de rnon e toc q ue to me
c e tte h iso oir e e st v e rid iq ue , r a l rn a conscience pour mni e t je
sais ce qu'il en cortltede myscifier S OD ! prochain, cat il dr a paspice juge qUle soi-rneme en-haut ! L'hiswire redlgee dans cetre
serie ci te t rois volumes e st la s tr rcee transcripelon de ce que j'a]
re~u pendant dlx longues annees,
Karmaone : Pourquoi ne recevez-vous plus ees fla.shs
aujoUlid'hui? Que s'est-il passe?
Anton Parks: Tout simplernenc paree que ce phenornene
prenalt trop de place dans rn a vic. ra i v e c u pies de dix-huit
a ns a v ec une f emm e re rna rqua ble . Elle e ta it a sse z ca r t e s i en ae
et j'ai d a jongler .avec ces flashs et rna vie q_uotidienne. Une
dizaine d'annees apres les premieres manifestations, j'avais la
sensat ion de ne pas pouveir vivre une vie norrnale si je lais-
sais ces Ilashs continuer it bouleverser mOI1 existence. II erair
tcemps pour rnoi de profiter enfln de la vie.
Coaume je I'aidit, je ne maltrisais pasce phencmene, j'en
etais merne prisonnler, II y a eu un ras-le-bol et Je me suis
force a ne plus den recevoir, j'ai donc tout fair pout" blequer
le processus. Mais [e mecanisme etait tenement ancre qu'i!
n'a pas disparu du jour au lendemain, Au m des semaines
ecdes mois, le phenom~ne s'est estompe, J'irnage devenait
de moins en mains precise, par centre le son a en plus de
difficulte a s'eclipser, Cela ressemblait peu .3 . peu aux diseor-
s ions d'une r ad io lo rs qu e ron essayc de la regler. Au bam de
quaue it cinq mois, le phenomene avair rotalement disparu,
c'erair en debut 1991, en pReine Guerre du Golfe version 1 !
Apre s c da , j'a j tefite de mener une vie ordinaire tout en
digt:tam rranquillement routes ces informations sans trop
savoir quoi en faire. )'ai decouvertpetit fa
petit des (luvragesqui traitaient de sujets sirnilaires. Cela m'a arnene progressi-
vement vets les tablerres sumeriennes .. Qa a e r e un veritable
e ho c pOU,f moi e t le s pe rsonne s qu i ro ' e ntoure n t d .e decouvri t"
ces decu.ment'i et de constater qu'iJs raco.menr pradquernen f .
1:1meme histoire que j'ai re9ue. Je me suis done interesse
8/6/2019 Nexus 43 Anton Parks Sumer 1ere Partie
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-43-anton-parks-sumer-1ere-partie 5/5
I t'l'I-"~-';tl~>t;cllo!!ll_~io,*",,~l!i' 'I'- :"< '-~'<}- i '" t; ; : t~~>{ l! ! ; - . ' \ :""" '~'''''-e. 4-'$'< . l : - ;. , , ~ < ~ - ,
ilI«--~f ! ! l < I ; ; t , ,, , ," U - " J & < 'f - . _ . - . : r \ >. ;0 - " ~ , , ~ ! ! l- t - • .j:;j~4;.':t>-,~$ ..r !" ' ' ' ' ' ', : i0i4;!< ~1;jI. i l iF-j : : ;}.<: ! tO - ~ 'i : ' . "" '- : : . w " , ,~fii. t~-: : :>' li"*'~~"""~ ,*'~ ~l'~$I~"-"""-':"~~ ~"?J#! l I ! . - ' - " j;;,.i..,.~~!i-'4'-'-~'9'~..a' -",,4'M
. . . . . . . ~ . . . : . ~ < rY .. . l ' _ ~ : ; ( * . . - o . : ! . 1 < . ) 0 0 4;J::. ~ . . : ; i i ' t , f& ~ , f I J I . < • .. . . : ~ ~i-yp ".-$l~ ~;
~ ""~ ,,.~ ,:m .'~ '~ ,;:<~ ~~ .~ ,*,~ \i"""" 4 -'5 l~ '$ > -> -t ;; j. _~ ,~ ~ . ..«, ;;..~~
au sumerien et c'est comme cela que j'ai decouvert le code
J iQ _ g ui st iq u e d e s « dieux I). Sans res f las ! is , jamais je ne l 'aur~'is
-~ ece l e et decrypre aussi vite .. ",
Anton Parks: Comme je l'a i dit precedemment, lorsque j'ai recu
ces informations, j' a i bien petqtI que le langageutilise ri 'avait riena
voir avec Ie franr;ais , meme s i s ud ' instant je Ie comprenais comme
s 'i l s 'ag i s s a i r de rn a la ng ue n ara le , G en e h is ro ire d e: c od lllc au on d u
langage erait ITeS presenre et est due Ii l'existence de casteschez lesGiniabul (lezard(s) en sumerien), j'ai cru pendant plusieurs an-
n ee s q u'il s 'a gis sa ir d e l'h eb re u, r na is mes que lques incursions « h e -rofques IIdans cette l angue nem' ont absolurnent pas ntis sur la voie
d'une codif ica t ion grice a so n s yl la : ba i re (NDR : un syl labaire est
un ens emble d e s ig ne s ou desymboles qu i representent des sons.
S ys te rn e d ' e cr it ur e, voire un manuel de lecture, qui pre se nc e le s
mots d'une.langue decoupes e n s yl la b es . L e d ec o up ag e de mots ell
s yl la b e s p e rm e t de t ra v a il le r s ur le s e a s en Investiguant su r la c om-
binaison de p lu sie urs re e me s q ui combines ensemble forment un
mot et un concept plus ou mains complexe),
Ce n'esr que bien rardlvement, vers Ia fm des
annccs 90, que la piste Sumer s 'esr definitive-
merit presentee a mol, j'erais au bout de tout.J 'a v a is r e us si It rne ttre un debure r une fin a c e s«a r ch iv e s s qu e j' a v a is r ec u es pendan t toutes
c e s a nne e s da ns le de sordre , m ais le la nga g e
. m e r e me manquait et du coup certa ines com-
prehensions aussi, Lorsque j'a i eu en main.
moo premier sy l l aba l r e sumer i en , j'ai auss i tot
decompose certa ins t e rmes bibliques e t c e la
a fo nc u on ne , Pour r eu ss ir la decomposition
d'un mot, U f aut connaitre le contexte qui a
conduit vers I'a ss em b la g e d e te l ou te l rerme.
Prenons par e xe m ple , Ie v oc a ble su me rle n
Cina'abul (l6:aId(s))_ Une fois decompose,ce l a donne GINA-AB-UL, solt « veritablefs)
ance t re (s) de la splendeur », Lorsque l'on con-
nair la v a nite m a la div e d es etres d on r je d ec ris
e n p a rtie l'h is ro ire , o n ne s 'e to nn e ra p a s d 'u ne
relleappellarion !
Prenons un autre exernple simple: le nom
{{Ada m », n ' e s c abso lument pas , comme on
souhai te nous le faire c roire , de l'he bre u e n
relation avec les iermes « adama .» ( g l ebe ) .ou
encore adorn (rouge) ... [e m'etonne encore
a u jo ur d'h ui q u 'a u c un auteur n 'a it r ele v e que
c e terme existe en sumerien e n cant que A -
DAlvl et veur dire: « betes, animaux, trou-
p e a ux » ou encore « .p re l e v em e nt , e t a bl is se -
ment, instaliarion ou colonisation), e t SOllS
forme verbale : «infliger» !Si A-DAMetait
utilise pour designer de s personnes, celadon-
ne ra lt : « les b ete s, Ie s animaux, les pre leves,
l es e r a bl ls , l es i ns ta l le s ou e n c or e l es c o lo n is e s,
les inf:liges»" , Ddee d'unetre esclavetota lementsoumis aux dieux
est renforce dans l 'equivalence du terme A-DAM en akksdienqui
CS t Na r omaS s u er qui se t radui t phoneriquernenr 'en sumerien en
nam-mas-sr) , soit litteralement : « la -d.emi-portion a charge »,., Je
pense que I' on ne peut eITe plus precis!
La s uite d an s la p rc ch aln nuimlra d e Nexusau sur Ie site http://www.karmapolis.be
Karmaone : Avez-vous pu verifier la qualite de vosinforrna-dons sur la base des travaux de chercheurs aya.nt travaille
s u r les nombreux textes sumeriens ? Quels i o n r e t e les
rapprochements les plus surprenantsientre VQ$ visions er
les textes et analyses d'auteurs, comme Sitchin par exem-
pIe? Avez-vous remarque un auteur plus yal~bl~ qu'un
autre j
Anton Parks : Qui et non . Bien entendu, des que j'ai pu
faire ce rapprochement entre ce que j'avais recu er les ta-
blertes sumeriennes, j'ai essaye de me procurer Ie plus de,documentation possible. J 'ai e xam ine le s
travaux de traduction de Samuel Kra-
mer, Jean Botterc, Marie-Joseph Seux,
Thorkild Ja c obse n, R e ne L aba t ou en-
core Andre Caquot. .. [ 'ai tout de suite
rernarque que le s transcriptions eraient
souvent differentes les unes des autres,
Cependant, le sujet cen t r a l restant le me-
me.rmes proches et rnoi n'avons pu que
constater la surprena:nte similitude entre
mes flashs et I'histoire fondamenrale pro-
duite sur ces tablettes d'argiles vieilles
_pour certaines de plus de 5 a 6 000 ans !
D'un autre c o t e , rai tout fait pour ne
pa s m e plong e r_ [fOP profondem enr dansces rraductions afin de preserver intacte
l'hlstoire telle que je l'avais recue, car
~e tres nornbreux elements inedits pa-
raissent tctalemenr absents des rablettes.
'Parmi cequi me semble le plus singuller
au niveau des similitudes est q u'il e xiste
de nombreux points cornmuns comme
celui du clonage qui est assez deraille su r
les tabletteset qu e des au t eu r s mcdernes
comme Zacharia Sitehln, R. Boulay et -
David Icke ont bien remarque. Mais il y a
surtout tour ce qui entoure le pe r sonnage
~entr:al qui se nomme Sa'am dans le pte-
mler tome et qui portera d'aucres noms
Sur la Terre. Je ne peux e n pa rle r p_our
l ' iri.staQ:t sous pe ine de devoiler par avance
cer ta ins details im porra nrs du deuxie me
~uvrag e [ Ad am G en is is J qui n'esr pas en-
c ore e dite a l'heure O U je reponds avos
_questions.
Karmaone ; VOU!; uavaillez beaucoup SUI' le langag~, Ia decom-
position des mots sumeriens, pour y analyser les significations
profoades et Ie lien avec nos langues moderues, Vous &res -vous
base sur un t ravai l d'intuition et de documentation ou bien cer-~ns 8ements de cette langue sont «imprimes. en vous ?
NEX,US ;'043
marscavril 2006