Le Parc de ConilhèresLe Gardon
Le Gardon
Le Grabieux
Le Bruèges
Ruisseau de Chaudebois
A B C D E F G H I J K L M
1
2
3
4
A B
C D E F G
H
I J
K L M
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
(Parc Expo)
PôleBIO
P.I.S.T. 2
Pôle
AlèsCévennes
Mécanique
SAINT-JEAN-DU-PIN
SAINT-HILAIRE-DE-BRETHMAS
SAINT-CHRISTOL-LEZ-ALÈS
SAINT-PRIVAT-DES-VIEUX
SAINT-MARTINDE-VALGALGUES
CENDRAS
SAINT-JULIEN- LES-ROSIERS
VERS VALLÉE DU GALEIZON
BAGNOLS
MENDEFLORAC
SALINDRES
AUBENASSAINT-AMBROIX
SAINT-MARTIN-DE-VALGALGUESVILLEFORT
AVIGNON
NÎMES
MONTPELLIERANDUZE
UZÈS
Aven
ue
Grab
ieux
Pont
duRo
ute
de
d' Als
ace
Rue
Gramme
du
Route
d'UzèsQuai
Rue
duFa
ubou
rgd'Auvergne
Route
Route
Bagnols sur Cèze
Avenue Jules Guesde
Quai
laBrigade
de
Languedocdu
rout
e
rout
e
d'Anduze
d'Anduze
Route de SaintJean
duPin
Quaides Prés
Rasclaux
QuaiFerreol
Quai
de
Bilina
Quai
MaxCh
apta
l
Curie
Avenue
FrédéricJoliot
Maurice Thorez
Grab
ieux
Quai
du
Avenue
du
DocteurJean
Goubert
Lumière
Avenue desFrères
Avenue d
es F
rères Lumière
Peguy
Boulevard
Charles
Peguy
BoulevardCharles
Vieille
Vieille
Monge
Avenue
Route
deNîmes
Avenuede
CroupillacAvenue
du
MaréchalJuin
Juin
Cassi
n
René
Avenue
Aven
ueMa
réch
al
Mont
ée
Av. G
énér
al d
e Ga
ulle (
St-Ch
risto
l-lez
-Alès
)des
Cypr
és
Avenue
de
Ladrecht
duMas
d' Hours
Avenue
Olivier
de
Serre
Avenue
d'Anduze
Rue
FaubourgSoleil
du
Quai Jean JaurèsAvenue Carnot
Quai
Kilmarn
ock
Quai
duOnz
e
Novembre1918
Quai
duHuit M
ai 1945
ROCADE EST
ROCAD
E EST
ROCAD
E EST
ROCADE NORD
ROCADE EST
2X2 VOIES VERS NIMES
RueJallatte
Imp.G. Sand
Pont du 18 Juin
Rue Geneviève
De Gaulle Anthonioz
Imp. Robespierre
Imp. Rue E. Zola
Rue Montgolfier
Rue
Rouget de l' Isle
Place duNord
Rue
ErnestRenan
RueMira
beau
R. Robespierre
Rue Francis Rue
du
Ruedes
Métallurgistes
doc.
Coule
t
Rue
Gabriel
Roucaute
Rue de laPlaine de Saint Félix
Rue
F. d'E
glant
ine
Pl. D. Casanova
Rue
Colonel Fabien
Rue
du
Docte
ur
Coule
t
Rue des Chalets
Chemin de Bouzac
Saint
de
Route
de
Déchetterie
Rue
Chemindu
Bas
Bresis
Rue
des
Lavandes
Chem
in d
e
l' Olm
Chemin
Chemin
Chemin
Chemin du
de l’Olm
Moulin
des Arènes
Chemin
del’A
lzon
Chemin
Chem
in
des Garrigues
du Mas
Joseph Portal
d’Ayro
lles
Serre
du
Levreau
Imp.
Chante Alouette
Imp. desFrênes
Cheminde la Luquette
Impassede l'Olm
Impasse du Masd’Ayrolles
Impasse
desCy
près
Chemin des Tilleuls
Chemin
des
Horte
nsias
Imp. desCamélias
Imp. desPromelles
Imp. des
Martinets
Chemin
Chemin
Imp.du
Vignal
Chemin
du
Vignal
Chemin
du
Bas
Bres
is
Chemin du
Ranc
TraoucaRue desCyclamens
Rue desPrimevères
Imp. Beauregard
Imp. des Grillons
Imp. Bel Horizon
Imp. Pierre Benoît
Imp. des Roseaux
Imp. Chante Merle
Chemin de la Basse
Chemin des Tabans
Chem
indu
Haut
Imp. de la Tour Vieille
Chemin
de la Tour Vieille
du RaïolImp. Cabanel
Rue
Imp. P. Eluard
Imp. des
Lavandes
Imp.
Privée
duSerre
Chemin
de
Lauriant
Imp. du
Bas Brésis
Imp. Vieille Route d'Anduze
Impasse n° 2 Vieille Route
d'Anduze
Imp. desHirondelles
Chemin des Aubépines
Chemin du Chenil
Chem
.
du
Bas
Bresis
Rue Napoléon
Chemin
Rue
Traverse Perrache
Fern
and
Pelloutier
Imp. 416 ch.
des Dupines
Imp. 204 ch.
des Dupines
Rue des Castors
Ruedes
Jacinthes Impasse Nouvel
Imp.
desPapillo
ns
Rue des Vergers
Chemindes
Prairies
Imp.
Julia
n
Imp.
H. Ro
ux
Rue desJardins
Rue de la Paix
Rue
Alph
onse
Daud
etRue Danton
Imp. D. Roux
RueCourte
Rue
Cavalerie
Imp. des Abeilles
Imp.des
Cigales
Rue J. HouletteChem
in
du
HautBresis
Imp.
Cava
lerie
Imp. desHauts PrèsRasclaux
Avenue
Marcel
Cachin
Chemin du Moulin de l'Aure
Gouttes
Pouz
aren
que
Rue de la
Chemin
de
de
l' Ermitage
l' Ermitage
Chemin
de
Chem
in
Cheminde
St-Julien
Chemin
Rue duBois Commun
Chemin du Bois Commun
de Fenoudeille
Chem. des
Promenade
Prom
enad
e
Chemin Puech des Fabres
Rue
SaintTrav St. Julien
Rue de l' Ermitage
Rue de la Gardette
Rue
Rue Paul GaussenCité Roux
TrepeloupMontée de
la
Rue Menudière 1
Rue Menudière 2
Tourilles
Chemin
Chemin
de
de
Russaud
Russaud
de
Saint
Raby
Chemin de
laCité
Sainte
Marie
RueJ. GionoRu
ede
Brou
zen
Ruedes
Acacias
Ruedes
Chèvrefeuilles
Rue des ErablesRue d
es Pl
atan
esRue des Châtaigniers
Rue
des
Orangers
Allée des CèdresChemin
Mont
ée
des
Laur
iers
Imp. des
Rue desTourilles
de la Mine
Rue
desEglantiers
Rue desViolettes
Rue des Marronniers
RueClair
Logis
Laur
iers
Chemin
de
Montaud RuedesMimosas
Imp.d
esFo
ugères
Rue
LéoLagrange
Imp.
P. de
Coubert
in
RueWinston
Churchill
Imp. de Brouzen
Rue desSorbiers
Rue desPervenches
Rue desMuguets
Ruedes
Lierres
Rout
ede
laRo
yale
Quai
deCauvel
Rue desPivoines
Rue de
Cauvel
RuedesDahlias
Av. Diderot
Pont de Brouzen
Rue des Capucines
Imp. des
Lauriers
Rue
Rue
de
Lajudie
Rue
Rue de la Gourdouze
Rue des Romarins
Impasse Alfred César
Rue P. Lebon
Rue Auguste Delaune
Rue
du docteur
Mercier
Rue Saint Paul
St. JustImp.J. Ferry
Place des Forges
RueCité
Reille
Aven
ue A
ugus
te C
omte
de Pressensé
Rue Claude BernardRue Pierre Curie
Voie S.N.C.FVers Clermont-Ferrand
et Paris-Lyon
Martin
Grabieux
Pont de
Imp.des Crêtes
RueAboulinJean Roupain
Rue Lafayette
J. Valles
Bruèges
Imp.
des
Quatre
Vent
s
Imp. des Hannetons
Imp. des Tulipes
Imp. des Libellules
Imp. de Bruèges
Imp. Philippe Nell
Imp.GideImp.
des Cerisiers
Ruedes
Pinsons
Chemin
des
Potences
Av. du Dr Je
an Goubert
Rue André Gide
Rue
Rue Elsa Trio
let
Imp. des
Tisserands
Elsa
Imp. desFile
uses
Triolet
RueJean
Perrin
Rue
AndréBoule
Imp. des Potences
Imp.Puechredon
Rue André
Gide
RueSaint
Saëns
Chemin d
es P
eupliers
Chemin
de
Imp. des Ajoncs
Imp.
de la
Tann
erie
l'Abattoir
Rue
Romain
Roussel
Chemin
du
Viget
Chemin de l' Usclade
Chemin
de
Voie S.N.C.F
Vers Bessè
ges
Vern
e
Rue d
es Ch
ênes
Rue Loti Impasse Saint Alban
Rue
Alain Fournier
Imp.Fournier
Rue
JulesRenard
Avenue
Vincent
d' Indy
Baudelaire
Allée
de
s Pe
uplie
rsEs
plana
de de
Clav
ières
Rue Doc. Calmette
RueParmentier
Rue
G. PhilipeRue
Cezanne
Rue
Balza
c
Imp.
Rons
ard
Imp.
La Pléiad
e Rue
Jule
s V
erne
Imp. MarotImp. Bellay
Rue S
tend
hal
Rue Proust
Rue Colette
Pl.Mas Bringer
Boulevard Laennec
Imp.Corneille
Imp. Ch. Peguy
RueBall
ard
R. T.Gautier
Rue
Mau
rice
Rav
el
RueJacquard
RueD. Papin
Cheminde
Ribot
Molière
Lavo
isier
Rue
Andr
é Ch
enier
Rue
Marce
lPa
ul
Dubois
Rue de la Glacière
Imp. de la
Aven
ue
d
e
Clav
ières
RueJean de la Fontaine
Rue
Avenue Paul Langevin
Rue
Mazade à Clavières
Imp.
des Chardons
Acanthes
Rue
Rue
du
Loz
ère
Rue des
Causses
Rue de l' Aigoual
Rue
duFin
iel
Rue duBouges
Imp. de Lajudie
deLajudie
Rue
Avenue
d' Alsace
Avenue
Gaston
Bertr
and
Appert
Youri
Gagarine
des Iris
Rue B. Marcet
Clos des
Frênes Imp. desAnémones
Rue
Jules
Renard
R. Coquelicots
Imp.
des Bleuets
Rue des Glaïeuls
Chemin
de
Sauvezon
Rue Marcel P
agnol Imp.M. Pagnol
Rue des Pâquerettes
Imp.Sauvezon
Imp. deCroupillac
Imp. desBouvreuils
Chem
inde
Croupillac
Chemin
Montée
de
Silhol
Mazoyer
Av.Frédéric
JoliotCurie
Rue François
Rue Soleil
R. Petit Nice
Imp.Petit
NiceBeau-
séjour
Imp. DesGlycines
Rue
Perg
aud
Vabr
elong
ue
Rue Vabrelongue
Rue
JeanNicot
Rue Granier
Charles
Gounod
Boulevarddu
Midi
R. Arène
Imp.
Camus
R. Charcot
RueMerm
oz
Rue Jules
RueRacine
Rue Aicard
Rue Joseph Vernet
Imp. des
Mûriers
Imp. d
esCapu
cines
Rue
Antoine Bigot
Imp. des
Myosotis
Avenue
Imp.
Imp.
Imp.Berlioz
Beau
Chemin
des Amandiers
Chemin
de
Imp. des
Moineaux
Cheminde
la Forêt
RueE. Jeanbrau
Conilhères
Imp. de la
Montagnette
Av. HélèneBoucher
Ancien Chemin de MonsImp. des Colombes
Cheminde
Combe
Julia
nne
Imp. d
es
Micocoulie
rs
Imp. deCombe Julianne
Imp.
du
Parc
de Silhol
Rue desTourtelles
Imp.
des
Malad
rerie
s
de
Jean
BaptisteLulli
Imp.
J. B. Lulli
Rue
de l
a
Forêt
Imp. de laForêt Rue des
Pensées
Ancien Cheminde
Avenue
Avenue
des
des
Montée
de
Silhol
Rue
M.
Sous
Saint
St. Etienne
Imp. d
e la
Chapelle
Rue B
acha
ga
Boua
lem
Imp.
deRe
donn
elImp. des Magnans
Imp. des Genêts
Imp. des 3 Chênes
Rue des Figuiers
Imp. Thierry
Maulnier
Perusse
Chemin de L' Olivette
Avenue Jean Philippe
RameauAv. J. P. R
ameauImp.
Imp. de
la Péruse
G. Fauré
Imp.
F. Couperin
Imp. M
assenetIm
p. Poulenc
Imp. Sciortino
Routede
SaintPriv
atdes
Vieux
Imp. Chabrier
de
Cheminde
Etienne Nord
Saint
chemin
de
Imp. deNazareth
Rue du Professeur Claude Gateff
Etie
nne
Mons
Etienne
d'Alensac
Chemin duMas
deTrève
Rue Georges Brassens
Imp. B. de Ventadour PlacedesTroubadours
Rue J. Brel
Impasse des Lones
Imp. Weiner
Imp.C. d' AnduzeChemin
de
Saint Etienne à l' Arnac
Traverse
des
Espinaux
à
la
Bedosse
Cheminde
Saint
Georges
Ancien
Chemin
chemin
de
Chemin deTrespeaux
Chemin
Chemin desPommiers
duMas
de laBedosse
Impa
sse de
la Be
dosse
Saint
Etien
ne
Chemin de
Chemin de
L'Avène
Cheminde
la VoieFerrée
Avenue
des
Cévenols
Cheminde Trespeaux
Chem
in
sous
Saint
Imp. des Palmiers
Mons
Saint
Etienne
àl' Arnac
à
l' Arn
ac
desAv.
Chênes Rouges
Chênes Rouges Imp. des
Avenuedes Cévenols
Chemin
des Pins d'Alep
Rue de la
Bergerie
Chemin
de
l'Ardoise
Imp. Chopin
Imp. Lisz
t
Chemin du Rhône
Chemin
deBerenguery
Cheminde
Dourtoulan
Cheminde
Trespeaux
Rue
Andr
éMa
lraux
Rue de
la Pierre
Plantée
Rue
Richard-
Ducros
Avenue
de
Larminat
Rue d
uDo
cteur
Zamen
hof
TrespeauxImp. de
la
Tour Pouget
Chemin
Redonnel
Cheminde
la
Tourtugue
Rue
Rue
Grac
chus
Babeuf
Imp. Anc.Chem.de Méjannes
Maladreries
Maladreries
Imp.
Gai Logis
Imp. du Parc
Imp.Jeanbrau
sous
AncienMéjannes
Chem
in
CheminGas Gardonnet
Ruedes
Rouges
Rue
des Més
ange
sGo
rges Im
p.de
s
Fauvettes
Cheminde
Pare
nove
Rue
LouisBrailleRue
A. Mahaut
ChemindeLarnac
Avenue Léon Blum
Chemin
de
Chemin de Larnac
chem
in de
chem
in de
Saint
Saint
- Étienne
- Étie
nne
à L’Ar
nacChemin de LarnacImp. du Gardonnet
Larn
ac
Aven
ue
Je
an
Bapt
iste
Dumas
Aven
ue
Jean
Bap
tiste
Du
mas
Rue S
ully P
rudh
omme
Paul
R. E. Rostand
Rue G. Bizet
Pl.d'Alembert
Rue
Rue
Rue du M
oulin
R. du
Vieu
x Moulin
Imp.
des M
oulin
s
RueAmbroise
Croizat
André
Rue
Guy d
e Mau
passa
ntRu
e Moli
ère
Rue des
Pins
Pierre
Coiras
Chemin
des
Rue
Alfred de Musset
Clos
Fleuri
Imp.
Bellevue
Rue du Plateau
Rue G. Apollinaire
R. A. BlavetPl.
Chantilly
Imp.
Rue des Oliviers
Rue A
. de V
igny
Imp.
Bour
ly
Rue des
Cévennes
Imp.Oliveraie
Imp.
Glacière
Chemin
Av. de Lattre de Ta
ssigny
Rue Joseph LoiretRue A
rago
PlacedeBelgique
Rue Claris
Rue d'Herstal
R. Prés St. Jean
R. Xavier de laMareille
Rue
Ampè
re
Rue
Marce
l Rue des
Lilas
Rue Mayodon
Avenue
Pins Imp.
Beau SoleilBel Air
Imp.
E. Ma
net Rue de Provence
Rue
Gasto
n
Gleizette
Chemin
Puech
des
Fades
CheminFontaine
desTrois
Fours à Chaux
de
Chaudebois
Julien
Rue NotreDame
Faubourg
Faubourg
de
deRochebelle
RochebellePansera
Pl.G. Dupuis
Daude
RueTraversière
Rue du
R. Ca
p.Alb
ert
Rue Menudière 3
Imp.
Fenoudages
Bres
is
Chem
in d
eSa
intGe
rmain
Cheminde Saint Germain
Chemin
dela
Saint GermainImp. de
Chemin
Chemin
Mazade
des
Dupines
AncienChemin
deSommières
Chem. de la Miraillette
Chemin
desSports
Chem
in
deSaint Brancas
Chemin
des
Prairies
Rue Abbé Lemire
Rue
des SambucsRue Roland Garros
Rue Blériot
Rue René Rousseau
Imp. des Roses
Imp. Pibarot
Rue George
Sand
(Quai du Gardon)
de
Imp. Des
Hautes-Prairies
des
Astries
desDupines
des
Basses
Prairies
Chemin
des
Sports
de Francezon
du
Voie S.N.C.F
Vers Nîmes
de
Imp. Malaussel
ch. des
Deux Mas
Imp. des Petits Ducs
Imp. de Conilhères
Escaliers
Rue de laColline du Brésis
rue des Rossignols
RampeF. Croze Rue Cdt.
Pl.du
Temple
Pablo Picasso
R. J. Duclos
Ruede la Roque
R. del'ancienHôpital
R. Soeur
Marianne
Rue St.Sébastien Pl. des
Martyrsde laRésistance
Sq.A. Brabo
Mistral
Rue
Soubeyranne
R.Dhombres
Firmas
Vauban
R. AbbéBruyère
Av. du Cdt. Viala
Rue
Pont de Resca
Meunièr
e
Audibert
Rue R. LafareAlais
R. Rollin
Imp.
de l'E
vêch
é
pl.St.-Jean Rue Saint Vincent
Rue Taisson
Rue de Beauteville
Rue Jean
Rue de la République
RueMourges
Rue
d '
Avéja
n
Rue Pasteur
Place H. Barbusse
Rue
RueChampeyrache
Pl.Gal.
Leclerc R. S.AllendeM.N.E.
Rue Rd.Pellet
pl. del'Hôtel de
ville
Bd.
Rue Doc.
Pont de Rochebelle
Albert 1er
Rue
du 19/03/62
Michelet
Rue
Rue Florian
Gambetta
R. J. Louche
R. Guiraudet
des R. Veigalier
Boulevard
Mandajors
Rue Duclaux
Rue
Rue
Rue
Rue Monbounoux
Boule
vard
Victo
rHu
go
RueA.Barbes
J.B.
Clément
RueFrères
Rue Pottier
R. Baronnie
Boulevard
Benoît Malon
Rue Paul Valéry
R.P. Brossolette
Trellys
RichelieuRue J. de Ramel
Monteils
C. Desmoulins
BlanquiBoulevardAnatole
France
Rue C.Pelletan
Rue Voltaire
Rue Goirand
R. Jeanned'Arc
Rue G. Galliéni
Rue
Rue
Duclau
x
Monteils
RueGuynemer
Arnavielle
Rue
Rue J. J. Rousseau
Rue R. Layrisse Rue A. de
SquareAlban Bernat
Saint Exupery
Ruedu
Repos
R. PaulVerlaine
M. Bourdet
Rue C. Debussy
Rue
Maximin Dhombres
Rue Gal. de Cambis
RueMontalet
R. Lamartine
PlacePierre Semard
RueMassane
R.
Marat
RueRomain
RollandRue
RueR. du TemperasRue
Bir Rue
Hakeim
Rue Mandajors
Rue
Chotard
Place de laLibération
R. Sauvages
Serre
Pl.G. Péri
Rue du 14 Juillet
R. des Hortes
Rue Deparcieux
Gambetta
Pont
Neu
f
Imp.de laChadenède
JeanJulien Temperas
Av. deMadrid
Rue Amiral de Suffren
du
Rue
de la
Castagno
E. d'O
rves
Pl. del'Abbaye
Rue
Rue
Grand' RueRueBalore
R. de Brésis
Passe
relle
des P
rés
Rascl
aux
Pont Vieux
rue BranlyR. de Beausset
Office duTourisme
Avenue Général deGaulle
Boulevard Talabot
Blanc
Louis
Bd.
Avenue
Stalingradde
Rue EdgarQuinet
Rue Jules Cazot
Grand'
Jean Moulin
Rue
Jean Moulin
Grand’Rue Avenuede
laGibertine
Quai Boissier de Sauvages
PRÉSST. JEAN
ROCHEBELLE
ST. ÉTIENNED'ALENSAC
GRABIEUX
LESCÉVENNES
MOULINET
BRUÈGES
TAMARIS
PIERREDON
CAMONT
CLAVIÈRES
CONILHÈRES
LA FORÊT
LE RIEU
BERENGUERYDOURTOULAN
LARNACGARDONNET
BASSE PRAIRIEMAS D'AYROLLES
LAURIAN
BAS BRESIS
FAUBOURGDU SOLEIL
LA PRAIRIE
HAUTEPRAIRIE
LE BRÉSIS
HAUT BRESIS
MONTAUD
CAUVEL
LAROYALE
BROUZEN
CHANTILLY
LALOUBIÈRE
D'AUVERGNEFAUBOURG
Z.I.DE
CROUPILLAC
ERMITAGE
SILHOL
MONTRICATO
P.I.S.T.OASIS 1
A.N.P.E.
Parc dela Tour Vieille
ParcMéditerranéende Conilhères
ComplexeSportif deLa Prairie
P.I.S.T. 4
P.I.S.T. 3
Parc desCamélias
Stadedu Rieu
LETEMPERAS
Stadedu
Moulinet
Pisted’Athlétisme
R.Pujazon
StadeDelaune
StadeLouisRaffin
Eglisede Tamaris
HôpitalPsychiatrique
Logistique
Magasin
Le Cantou
IFSI
Internat
SSR
Centre
Taxi BusEntréevisiteur
Urgences
Entrée prin
cipale
Hospitalier
Maison
Maisondu Peuple
des Sports
Gymnasede Tamaris
Temple
Cimetière Tamaris
PuitsDestival
Stade
Mandela
Eglisedes
PrésSt.Jean
Gymnase
Espace AlèsPrés St-Jean
C.A.M.S.P.
J. Macé
ParcColombier
Piscine
MineTémoin
MuséeP.A.B.
MuséeMinéralogique
Lycée
Collège
CollègeDIDEROT
Ecole desMINES
Collège GymnaseDaudetDAUDET
Hôpitalde Rochebelle
CentreEquestre
ParcoursSanté
MuséeColombier
Temple
Police Municipale
MuséePôle
culturel et scientifique
Collège
Maisonpour TousL. Aragon
Bellevue
I.U.P.
Jean MOULIN
GymnaseRené
Gatien
PibarotStade
Cimetièrede la Montée de Silhol
N. D.Table d'Orientation
Point InfoTourisme
J.B. DUMAS
Centre nautique
Le Toboggan
ChapelleSt-Julien des Causses
Patinoire
TennisC.F.A.
CentreHorticole
290 mde Rochebelle
PrieuréSt-Germain-de-Montaigu360 m
Egl.St. Bernadette
Hôtel deCommunauté
Déchetterie
Chambrede Métiers
Myriapôle
CentreJean Sadoul
N. D.des Clés
ChapelleSt-Étienne
Stadede Clavières
Centrede loisirs
duMas Sanier
Halles deBruèges /Boulodrome
Sallede roller
Stadede laMontée deSilhol
CollègeRACINE
Country ClubTennis
Casernedes Pompiers
Halledes Sports
Jardindu
Bosquet
du
du
Clinique
Bonnefon
FortVauban
Palaisde
Justice
Espace
Maisonde l’emploi
A. Chamson
École demusique
Hôtelde Ville
Police
Chambre deCommerce
Temple
MarchéCouvert
Cath.St.Jean
Gare S.N.C.F.
MédiathèqueA.Daudet
St. Joseph
Gare routière
CratèreThéâtre
SousPréfecture
La Poste
Arènes
EspaceAlès Cazot
AncienEvêché
Maison du Commerce
Archives
MairiePrim’
LEPLAN
d' ALES
Gendarmerie
Police municipale
Service public
Office de tourismeInformation touristique
Église, chapelle
Curiosité
Police, gendarmerie
Parking
Hôpital
StadeÉquipement sportif
Bâtiment. Écoles.Collèges.
Voie verte
NORD
Mairie d’AlèsService CommunicationNovembre 2013
La ville d’Alès possède un terrain de 2.2 ha dans le quartier de Conilhères.
En 1995, le service Nature y réouvre le milieu et développe des zones naturelles identifiées.Des aménagements, tels que mobiliers d’agrément et de sécurité sont installés, ainsi qu’une aire de jeux. Ce parc devient lieu de détente et de sensibilisation à la biodiversité.
Parc de ConilhèresAncien chemin de Mons30100 Alès
Le Parc de Conilhères,histoire et projet d’écolabellisation
Depuis 2013, les différents espaces prennent progressivement forme : O platanes et leur ombrage O haie écologique, pour maintenir la biodiversitéO oliveraie, aux sujet identifiés et répertoriés O verger partagé, planté de quelque 80 fruitiersO jardin d’aromatiques et petits fruitsO zone naturelle identifiée « lieu refuge » par la L.P.O.O rocailleO zone de sous-boisetc.
L’entrée du parc est aménagée et des panneaux pédagogiques sont installés.
Le 23 avril 2014, l’audit d’éco-labellisation «EcoJardin» a lieu sur le parc de Conilhères.
Le label «EcoJardin» est un outil de communication et de reconnaissance à destination du public, des équipes d’entretien du service Nature et des élus.
Les principes de base de ce label sont :O l’assurance que le gestionnaire du site est bien engagé dans une démarche globale de gestion écologique, O la réalisation d’un audit par des organismes externes compétents et indépendants et basés sur des grilles d’évaluation communes, O l’engagement dans une démarche d’amélioration continue.
Le 30 juin 2014, le Parc de Conilhères a reçu officiellement le label «EcoJardin».Il a ainsi rejoint les quelque 180 sites labellisés en France à cette date.
La gestion différenciée sur le Parc de ConilhèresLe parc de Conilhères fait l’objet d’une gestion différenciée, afin de pré-server l’identité de chaque zone. Un programme spécifique des périodes de fauches est mis en place, tenant compte de la saison, de la végétation et de l’activité des insectes.
C’est ainsi que nous avons déterminé 4 zones différentes sur le parc :
Une zone technique matérialise l’accès des équipes et des engins d’en-tretien. Ce chemin longtemps érodé par les pluies est aujourd’hui profilé pour fa-voriser l’écoulement de l’eau. Un revêtement de cailloux grossiers com-pactés de couleur jaune ocre apporte une touche de couleur à cette voie minérale qui débute sur l’ancien chemin de Mons au niveau de la barrière ONF et qui va jusqu’au sommet de la plataneraie.
Les parcours et cheminements, incitant le promeneur à explorer les zones du parc font l’objet d’une tonte effectuée toutes les 3 semaines. Les abords des tables de pique-nique, bancs, garages à vélos, aire de jeux, panneaux d’information, hôtel à insectes et poubelles sont également in-tégrés dans cette tonte. Cette gestion des cheminements n’est pas néces-sairement visible si on reste aux abords du parc. La curiosité du chemin qui s’ouvre devant soi a comme un parfum d’aventure...
La plataneraie bénéficie d’une tonte 3 fois par an. En mai et en juillet, la fauche favorise et facilite l’accessibilité par les usagers de cet espace de rencontre et de relative fraîcheur. En octobre, la fauche assure aux agents du service Nature une meilleure accessibilité pour rassembler les feuilles des platanes tombées au sol.
Le reste du parc bénéficie d’une fauche annuelle aux alentours du mois de juin, afin de développer les fleurs de prairies sèches et donc d’attirer une biodiversité conséquente, sans sacrifier un traitement naturel favo-risant le maintien des talus et limitant les zones de piétinement des uti-lisateurs. Cette fauche concerne principalement l’oliveraie, le fruitier, le sous-bois.
Oliveraie
Verger
Sous-bois
Jardin aromatique
Aire de jeux
Plataneraie
Haie écologique
L Accès technique
L Cheminements Tonte toutes les trois semaines
L La plataneraie Tonte en mai, juillet et octobre
L Reste du parc Une fauche annuelle, mi-juin
Le verger partagé
Une action municipale concrète en faveur de la biodiversité, via le Centre national de pomologie et l’exemple de la pomme...
A la fin du XIXe siècle, on compte à l’échelon mondial près de 15 000 variétés de pommes.Le déclin de la diversité fruitière intervient au début du XXe siècle et s’accélère durant l’Entre-deux Guerres. La France et l’Europe ont faim : il faut produire en grande quantité des variétés s’adaptant sur tous les sols et produisant de façon régulière.Les variétés locales sont arrachées au profit de variétés plus modernes, souvent d’origine étrangère, à calibre homogène et qui produisent des fruits chaque année.Il s’avère que la majorité des variétés obtenues depuis les années 1950, l’ont été à partir de cinq variétés : Golden Delicious, Jonathan, Granny Smith, Reinette blanche du Canada et Red delicious.Cette hybridation à outrance à partir d’un génome restreint entraîne forcément un appauvrissement génétique et explique la résistance de plus en plus faible des variétés modernes aux maladies.
O Plus d’infoCentre national de PomologiePôle culturel et scientifique de Rochebelle71 chemin de Saint-Raby - 30100 Alèstél : 04 66 56 50 24mail : [email protected]://pomologie.ville-ales.fr
L’oliveraieTémoins immobiles d’une grandeur passée, les oliviers ont traversé les siècles pour des utilisations diverses.
L’huile d’olive en cuisine, en soin du corps, servait aussi à s’éclairer dans la Grèce antique.
Puis à la chute de l’Empire romain et au Moyen Âge avec les croisades, le brassage entre Orient et Occident engendre des liens commerciaux fructueux.
La fabrication du savon et l’apprêtage du textile impulsent le développement de l’olivier en France. L’Espagne amène l’olivier dans le nouveau monde en Argentine, Chili, Pérou et Mexique jusqu’à la révolution industrielle.
En 1840 on compte 26 millions d’oliviers en France sur 170 000 ha. Mais la vigne plus rentable, l’importation d’huile d’arachide, l’exode rural et les épisodes de gels vont entraîner le déclin de l’oliveraie française.
En février 1956, les températures tombent jusqu’à moins 23 degrés dans le Sud de la France entraînant la disparition des deux tiers des oliviers.
O Plus d’infodans un dossier spécialement conçu en lien avec l’équipe sur les variétés d’olives présentes sur le site de Conilhères ainsi qu’un schéma expliquant la transformation de l’olive en huile.
Centre national de PomologiePôle culturel et ccientifique de Rochebelle71 chemin de St Raby - 30100 Alèstél : 04 66 56 50 24mail : [email protected]://pomologie.ville-ales.fr
5 variétés d’olives sur le parc
Les fiches complètes, ainsi que d’autres, sont consultables
au Centre National de Pomologie :
Pôle Scientifique et Culturel de Rochebelle
70, chemin de Saint-Raby - 30100 Alès
Tél. : 04 66 56 50 24Internet : http://pomologie.ville-ales.fr
Carte d’identité fruitière rédigée et éditée par le Centre National de Pomologie, 155 fbg de Rochebelle, 30100 Alès.Les droits d’auteur de cette fiche sont strictement réservés.
OLE-OLIV
Olea europea ‘Olivastre’ Ruby.
OrigineNon encore déterminée. Répandue dans le nord du département du Gard, aux environs d’ Alès, Anduze, Saint-hyppolite-du-Fort, Monoblet et Sauve.
DescriptionArbre : de moyenne à grande taille, très vigoureux, résistant à la sécheresse et au froid; assez productif. Il a
un couvert dense et un port étalé.Rameaux : longs, feuillus, généralement horizontaux, infléchis en angle droit.Feuilles : moyennes ou grandes,peu divergentes, souvent rapprochées du rameau redressées ou inclinées avec
lui.Fruits : petits à moyens, 2 gr. environ, pendants, isolés ou groupés; maturité moyenne.Epicarpe : lisse, noir, légèrement pointillé, très pruiné à maturité.Pulpe : moyennement abondante, ferme, violacée, assez riche en huile.Noyau : allongé, faiblement incurvé, régulièrement amainci vers la base.Utilisation : huile de bonne qualité avec un bon rendement; le fruit cède facilement son huile qui est limpide,
dorée, et de moyenne conservation; rendement de 18 à 25 %.
Création : janv. 2002Mise à jour mars 2014
Synonymes : Béchude, Bouquetière
Variété locale du Gard
CultureNécessite des tailles fréquentes et exige peu de fumure, il présente également une bonne résistance aux pa-rasites et aux maladies. Dans un terrain sec, les fruits seront petits, mais si l’arbre est trop arrosé, les olives ont tendance à pourrir.
photos André Martre, 2008
Ne pas confondre avecLes oliviers non-greffés sont souvent appelés oléastre et de nombreuses variétés se sont appelées Olivastre, Olivière, aussi est-il important de préciser l’Olivastre de Ruby .
Plusieurs descriptions : Ruby (1918), Bonnet (1924),
André Martre (1998).
Carte d’identité fruitière rédigée et éditée par le Centre National de Pomologie, 155 fbg de Rochebelle, 30100 Alès.Les droits d’auteur de cette fiche sont strictement réservés.
OLE-NEGR
Olea europea ‘Negrette’ Rozier.
OrigineOriginaire du Gard, de l’Ardèche et de l’Hérault. Les arbres les plus anciens se retrouvent surtout dans la région d’Aubenas et de Branoux pour l’Ardèche et autour de Sommières et Calvisson pour le Gard.
DescriptionArbre : n’alterne pas, rustique, il s’accommode des plus mauvais terrains et résiste bien à la sècheresse et au
froid.Feuilles : elles sont cintrées en longueur contrairement à la Noirette; de couleur vert foncé.Fruit : moyen 2 à 3 g, en forme de baril, surface finement mamelonnée. Les fruits sont généralement portés
sur toute la longueur du rameau. Précoce, ils mûrissent généralement tous en même temps.Pulpe : abondante, très ferme, brun noirâtre à maturité, riche en huile. Epicarpe : vert franc, tiqueté avant la véraison; passe ensuite sans décoloration sensible au violet marbré, puis
au noir très pruiné.Noyau : noyau moyen, ovale allongé, une valve plus bombée que l’autre, sillons profonds et la ligne suturale
très apparente.Utilisation : donne une huile fine et douce, de bonne qualité, rendement autour de 18 %.
Création : janv. 2002Mise à jour mars 2014
Synonymes : Nigrale, Négrale,
Négret, Petite noire, Noirette, Sayern dans la
région de Sommières.
C’est peut-être, sous toutes réserves, l’Olea
pausia Virgile. ou l’olivia media rotunda praecox de Tournefort appelée aussi Mourette
ou Moirale.
Variété locale de l’Hérault
CultureArbre à port érigé qui nécessite peu de taille. Rameaux abondants, courts, feuillus, mais tendant à se redres-ser à l’extrémité. Cette variété auto fertile fait aujourd’hui l’objet d’une replantation importante, en raison surtout de son extrême précocité ainsi que de la qualité de son huile, un mois avant les autres variétés, mais aussi du fait que l’ensemble des fruits mûrissent en même temps (vers le 20 novembre).Cette variété auto fertile fait aujourd’hui l’objet d’une replantation importante, en raison surtout de son extrême précocité ainsi que de la qualité de son huile, un mois avant les autres variétés, mais aussi du fait que l’ensemble des fruits mûrissent en même temps (vers le 20 novembre).
photo André Martre, 2008
Caractère discriminant Sa feuille hyponastique; son extrème précocité, de plus, toutes les olives noircissent en même temps.
Nombreuses descriptions dont : Abbé Rozier (1822),
Ruby (1918), Martre (1998), Fruits Oubliés (1999).
Carte d’identité fruitière rédigée et éditée par le Centre National de Pomologie, 155 fbg de Rochebelle, 30100 Alès.Les droits d’auteur de cette fiche sont strictement réservés.
OLE-PICH
OrigineBien que diffusée sous le nom de Picholine, son vrai nom devrait être Plant de Collias ou Coïasse (Collias étant une petite localité des environs d’Uzes), car il a existé une variété historiquement plus ancienne qui avait pris le nom de la fameuse préparation «à la Picholine» datant des frères Picholini au XVIIIème siècle établis à St. Chamas. Par la suite ce nom fût donné à au moins cinq variétés.Répandue dans le département du Gard, notamment dans les cantons de l’Est et du Sud-Est, elle domine aux environs de Nîmes où on l’a substituée par le greffage aux anciennes variétés locales de moindre valeur ; on la retrouve ça et là dans l’Ardèche, l’Hérault , rarement dans le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône. De grande souplesse d’adaptation, elle est introduite dans d’autres pays oléïcole.
DescriptionArbre : moyen à grand, à port relativement étalé en dôme élargi.Fruits : pendants, parfois groupés sur le même pédoncule et portés au-dessous de la portion feuillue du ra-
meau, moyens ou gros, ovoïdes allongés, nettement plus bombés d’un côté que de l’autre. Pulpe : très abondante, rose violacé, ferme, moyennement riche en huile.Noyau : long, mince, fusiforme, effilé aux deux bouts, un peu incurvé.Epicarpe : lisse vert franc jusqu’aux approches de la véraison, se teinte alors de rose vineux puis, tardivement,
de violet foncé presque noir.Maturité tardive : décembre/janvier pour l’huile ; pour la table septembre en vert, octobre/novembre en
noir.Utilistation : première variété française utilisée pour les olives vertes. Son huile bien qu’excellente, est d’ex-
traction difficile, elle rentre dans l’AOC «Huile d’olive de Nîmes».Elément discriminant : son noyau petit et incurvé.
Création : janv. 2002Mise à jour mars 2014
Synonymes : Coïasse, Olive de
Nîmes, Fausse Lucques, Sauzin, Olea europaea
Gouan.
Variété locale du Gard
CultureRustique, elle produit de façon assez régulière, mais réclame de bonnes fumures et des tailles fréquentes (annuelles) pour donner de beaux fruits. Elle devra être traitée contre la mouche (Dacus) et le cycloconium (ou oeil de paon). Les sols argilo-calcaires profonds lui conviennent particulièrement, mais elle s’accommode de tous les terrains. Elle se greffe sans difficulté sur toute les variétés. Toutefois, le porte-greffe qui a donné les meilleurs résultats est le Saurin ou Sauzen. Mais attention l’olive à maturité gèle à - 5°C et l’arbre est moyennement résistant au gel.
Descriptions nombreuses dont les plus connues
Abbé Rozier (France, 1822), Ruby (France, 1918),
Long et Bonnet (France, 1950), Catalogue mondial 2000,
Martre A., Moutier N., Pinatel C. & Roger JP. 2004.
photos André Martre, 2008
Olea europea ‘Picholine du Gard’ Ruby.
ou Plant de Collias
Carte d’identité fruitière rédigée et éditée par le Centre National de Pomologie, 155 fbg de Rochebelle, 30100 Alès.Les droits d’auteur de cette fiche sont strictement réservés.
OLE-PIQU
Olea europea ‘Piquette’ Martre.
OrigineGardoise, sa principale zone de culture se situe dans la région d’Alès et d’Anduze. Il est fort possible que cet olivier soit ancien et décrit sous d’autres noms dans la littérature; nous n’avons, à ce jour, pu faire aucun rapprochement.
DescriptionArbre : de petite taille, il est étalé, broussailleux avec de nombreux rejets sur les branches lui donnant un
aspect «dressé» en fin d’été. Il s’adapte aux terres sèches du Gard.Feuillage : dense, sombre et buissonnant . Feuilles spatulées. Pulpe : blanche à maturité.Noyau : de bon diamètre, lisse, et peu sillonné.Fruit : petit à moyen, de forme ovoïde, il est très légèrement asymétrique, plus bombé d’un côté que de
l’autre. Il ressemble à la Capelen. Les olives ont souvent groupées sur le même pédoncule. Moyennes, elles pèsent entre 2 et 3 g.
Epicarpe : lisse et piqueté comme son nom l’indique.Maturité : moyenne, de production régulière.Utilistation : huile de bonne conservation et d’extraction facile. Rendement 18 à 22 %.
Création : janv. 2002Mise à jour mars 2014
Piquette veut dire pique-tée, marbrée.
Variété locale du Gard
CultureTrès rustique, cette variété vigoureuse est bien adaptée aux terres sèches de nos garrigues, mais elle est sen-sible à la cochenille et à la fumagine.
Une seule description : André Martre
Ne pas confondre avecavec Capelen pour l’aspect : l’olive Piquette est asymétrique tandis que la Capelen est symétrique. Les termes piqueté, marbré, pigale sont des synonymes, de nombreuses variétés ont adopté ces appellations.
Éléments discriminantsSes feuilles spatulées et ses olives qui forment des grappes rapprochées en amas compacts.
photos André Martre, 2008
Carte d’identité fruitière rédigée et éditée par le Centre National de Pomologie, 155 fbg de Rochebelle, 30100 Alès.Les droits d’auteur de cette fiche sont strictement réservés.
OLE-ROGA
Olea europea ‘Rougette du Gard’ Rozier.
OrigineGard, partie nord-ouest du département. Son fief aujourd’hui est Saint-hippolyte-du-Fort et Monoblet. L’Abbé Rozier (France, 1822) nous dit qu’elle était cultivée surtout à Pont-Saint-Esprit et que son fruit à la couleur rouge de la Jujube à sa plus grande maturité.
DescriptionArbre : auto-fertile, il est de grandeur moyenne, rustique et vigoureux, à port érigé. Ses rameaux nombreux
courts et minces ont tendance à monter.Feuille: assez divergente, petite, droite et ferme, limbe lancéolé, assez étroit et franchement en gouttière. Fruits : pendants, moyens ou petits (2 gr.), de cylindriques à ovoides, légèrement atténués à la base. Maturité
moyenne.Noyau: allongé, un peu piriforme, asymétrique, sillons bien accusés sur le noyau. Pulpe : abondante, blanche lavée de rose, riche en huile.Utilisation : huile de bonne qualité; rendement autour de 20%.
Création : janv. 2002Mise à jour mars 2014
Synonymes : Olive rouge, Rouget.
Variété locale du Gard
CultureAuto-fertile il produit avec peu d’alternance. Très rustique, il résiste au froid et est donc très précieux pour le peuplement des terrains de mauvaise qualité. Se plaît à 300 mètres d’altitude.
Ne pas confondre avecAttention, toutes les variétés qui passent au rouge avant ou à maturité ce sont appelées rougettes : Rougette de l’Ardèche, Rougette du Gard, Rougette de l’Hérault, Rougette de Pignan.
photos André Martre, 2008
Caractère discriminantEn octobre, les olives tournent et prennent une teinte rouge, tiquetées à la véraison, avant de noircir. Les rameaux nombreux ont une forte tendance à monter.
Descriptions nombreuses dont : Abbé Rozier (1822),
Degrully (1907), Ruby (1918),
Martre (1999).
Un toit pour tousUne grande variété d’insectes auxiliaires peuvent se voir offrir le gîte :
O Les coccinellessont de grandes prédatrices de pucerons, et apprécient de se réfugier sous les amas de feuilles mortes, dans les tiges creuses, dans les trous percés dans des briques ou des bûches.
O Les chrysopes ou mouches aux yeux d’or se nourrissent de pucerons et s’installeront dans la moelle des tiges de su-reau, dans des bûches percées ou encore dans des boîtes remplies de fibres d’emballage ou de papier froissé.
O Les osmies sont de petites abeilles solidaires, à l’abdomen roux et poilu. Elles sont très utiles pour la pollinisation. Leurs abris de prédilection sont des tiges creuses ou des bûches percées de trous.
O Les pemphédrons sont des petites guêpes noires inoffensives, solitaires, nourrissant leurs larves de pucerons. Elles s’installent dans les bottes de tiges à moelle (sureau, ronce, framboisier, rosier).
O Les carabes appartiennent à la famille des coléoptères. Leurs larves sont de grandes dévoreuses de parasites : balanin des noisettes, chenilles de carpocapse... Ils trouvent refuge dans les vieilles souches ou sous des morceaux de branches.
O Les aphidius sont de petits hyménoptères, ressemblant à la fois à la guêpe et au moucheron. Leurs larves parasitent les pucerons, en se développant à l’intérieur de leur corps.
O Les syrphes ressemblent à des guêpes, mais font partie de la famille des mouches : on les identifie facilement à leur vol stationnaire au-dessus des fleurs à butiner. Leur larve se nourrit de pucerons et l’adulte assure la pollinisation. Ils apprécient les tiges à moelle.
O Les perce-oreilles ou forficules sont de bons auxiliaires contre les pucerons. Ils s’installent volontiers sous un pot de fleur retourné et rempli de paille, de foin ou de fibres de bois.
Voici la légende de Conilhères Il nous faut remonter aux temps les plus reculés du Moyen âge. Le sire Adhémar Béringuier, seigneur de Conilhères, héritier à vingt ans du château de ce nom et des terres qui l’entouraient, portait une âme ambitieuse incapable de borner ses désirs à l’humble condition dont ses pères s’étaient contentés.A la première tentative que fit Adhémar pour agrandir son domaine vers les prairies du gardon, le baron d’Alès, Raymond Pelet, son suzerain, qui n’était pas très endurant, le paya de telles nasardes, qu’il lui ôta pour longtemps l’envie de recommencer.« Nouveaux temps, nouveaux moyens, se dit le sire de Conilhères, où l’épée est arrêtée, l’or peut être passera ; je n’ai plus qu’à devenir riche ! »Et il se jeta dans l’alchimie.Voilà comment pendant les nuits d’hiver, de la plus haute cheminée de son château, on voyait souvent jaillir de longues flammes. C’était Adhémar qui dans une salle basse dont il avait fait son laboratoire, chauffait les cornues, fondait, calcinait, sublimait, s’efforçant de faire de l’or avec des métaux communs et des terres rares.Pour se faire aider dans ce Grand Œuvre, il avait pris à son service un vieil
Il était une fois la légende de ConilhèresPendant des siècles, chimie et alchimie ne formèrent qu’une science. Mais après le siècle des Lumières mouvement intellectuel visant à supprimer les idées obscurantistes au 18è siècle, une évolution commença à s’opérer.L’image de l’alchimiste prit une autre tournure, influencée en partie par l’attitude d’imposteurs et de charlatans qui ambitionnèrent de tirer quelques profits de cette discipline.L’alchimie a basculé dans la catégorie de l’ésotérisme, reléguée au rang de science occulte, et l’alchimiste, philosophe et chercheur érudit, fut présenté sous les traits d’un savant fou, voire d’un illuminé dans son laboratoire, pactisant avec le diable.A la recherche des secrets de la matière et de la composition des métaux, ces adeptes de la chimie
entendaient pourtant améliorer la nature, transmuter les métaux vils en or ou en argent, découvrir les secrets de l’élixir de jouvence, dans l’idée d’œuvrer au bien-être de leurs concitoyens, et trouver la pierre philosophale souvent représentée par un dragon se mordant la queue qui devait transformer le plomb en or.
homme, moitié savant, moitié sorcier, dont le seul aspect , quand il lui arrivait de sortir du château, faisait peur à tout le voisinage.Aussi les paysans d’Alès, lorsqu’ils voyaient sortir les flammes par la haute cheminée, se signaient-ils dévotement, car ils pensaient que c’était flammes d’enfer, et qu’Adhémar et son sorcier faisaient œuvre commune avec le diable. D’autant plus que d’autres mauvais bruits couraient sur Conilhères. Ne parlait-on pas de bohémiens qui venaient au château de temps en temps, sur le tard, et laissaient là de jeunes enfants dont on avait plus de nouvelles?On disait même que le baron d’Alès s’était ému de tous ces bruits, qu’il en avait fait rapport à son cousin le comte de Toulouse, et que s’il ne procédait pas juridiquement contre son vassal, c’était par égard pour la douce Etiennette, la jeune femme d’Adhémar, pieuse, belle et bonne que tout le monde vénérait. On faisait plus que de la vénérer, on l’aimait ! On reportait en affection tendre sur elle, ce qu’on ne pouvait accorder de confiance et de respect au redouté sire son époux.Or après trois années de mariage, le bon Dieu lui avait donné un délicieux petit enfant qui souriait aux anges et promettait à l’avenir de Conilhères, un seigneur sage et bon, pour le bonheur de tous.
Comme elle eût frémi d’horreur la sainte dame, si elle avait pu voir l’œuvre infernale à laquelle son époux et le sorcier se livraient en cette première nuit de Décembre !Quinze jours et quinze nuits d’obscur travail avaient préparé le Grand Œuvre. Maintenant dans le four chauffé à blanc, grondait un feu de forge. Les deux hommes avaient versé selon le rite, dans l’énorme matras où la dernière transformation allait s’achever, le contenu de cinq cornues, huit creusets et trois coupelles. Alors le sorcier, prenant un jeune enfant qui dormait dans un berceau voisin, lui plongea d’un seul coup un poignard dans le cœur, et du sang qui jaillit ayant rempli le matras, jeta le corps dans la fournaise.On pouvait maintenant calciner toute la matière on en aurait de l’or avant le matin.Avec quelle hâte, ils brisèrent le matras à peine refroidi, quand parurent les premiers rayons de l’aube !Une masse brillante apparut à leurs yeux : de l’or ! C’était de l’or ! Ils avaient enfin fixé le succès et la fortune !Hélas! Il fallut bientôt déchanter et se rendre à l’évidence : la surface seule du lingot était de l’or, l’intérieur était fait d’une substance noire et sans valeur.« Tous nos produits étaient de choix, dit le sire de Conilhères, pourquoi donc la surface seule a-t-elle été transformée? »« Oui, tous, dit le sorcier, sauf peut être l’enfant. On ne sais jamais en quoi l’on peut se fier à la parole des bohémiennes ; elles promettent un enfants de chrétiens, bien conformé, bien portant et qui ait reçu le baptême, car il faut tous ces points acquis pour réussir puis elles nous apportent un enfant quelconque, fils de va-nu-pieds, taré, malade ou flétri. Ah! Si l’on avait... »« Je t’entends, dit Adhémar après avoir posé sur le vieux sorcier un regard terrible... On l’aura ! Et ce sera pour la nuit de Noël ! »Voilà pourquoi, ce soir de Noël, le grand fourneau du laboratoire était encore chauffé à blanc. Voilà pourquoi le sire de Conilhères envoya sa femme et tout son monde entendre, en l’église St Jean, la Messe de Minuit.« Et mon enfant ? » interrogea Etiennette« Sa nourrice suffira bien à le garder.»Un narcotique administré à point vint endormir profondément la nourrice. L’enfant arraché d’auprès d’elle était maintenant dans le laboratoire et souriait en vagissant. Tantôt sa nourrice s’éveillera devant un berceau vide,
et nul ne pourra dire comment l’enfant aura disparu...
Qu’attendaient maintenant les deux misérables ? Le sorcier saisit l’enfant dont il avait mis à nu la poitrine, Adhémar tenant le poignard cette fois.Ils attendaient que soit frappé le premier coup de minuit à l’horloge toute voisine.Mais avant qu’il soit tombé, la terre s’entr’ouvrit subitement autour de Conilhères ; une flamme d’enfer monta de ses profondeurs qui calcina en un instant les murailles et le château, le corps central et les tourelles.A sa place se dressa un noir rocher qui gardait vaguement la forme du bâtiment disparu, et dans une grotte ouverte dans ses flancs, une nourrice dormait auprès d’un petit enfant qui sommeillait. Cétaitt l’enfant d’Etiennette que son bon ange avait préservé.
Longtemps Conilhères demeura terre maudite. Longtemps on entendit gronder sous son rocher des voix infernales : Adhémar sans doute et son sorcier s’agitant toujours dans les flammes de leur effroyable fourneau, car on voyait parfois monter d’en bas des lueurs rougeâtres.Jusqu’à ce que le fils d’Etiennette, demeuré pauvre mais devenu gentil damoiseau, fit construire sur le haut du rocher une chapelle dédiée à Saint Michel vainqueur du démon, qui fit cesser toutes ces diableries.
Extrait des « cloches d’Alais » N° 143 de Janvier 1932 O Plus d’infoUne version audio de la légende dans son intégralité, telle qu’elle a été redécouverte dans les dossiers des archives municipales, est disponible.
La plataneraie
Le saviez vous ?
Dans la mythologie grecque, le platane est un symbole de la régénération (l’écorce se régénérant par plaques). Il aurait servi à construire le cheval de Troie. Les noces de platane symbolisent 61 ans de mariage.Il y a de nombreuses routes bordées de platanes depuis la période des guerres napoléoniennes. Napoléon a en effet fait planter des arbres sur les bords des routes afin de protéger ses armées de la chaleur et du soleil lorsque celles-ci se déplaçaient pour se rendre en campagne.
La maladie du « chancre coloré » est due à un champignon. Ce parasite originaire des USA a été décelé dès 1929. Il a probablement été introduit lors de la Seconde guerre mondiale, avec les caisses en bois d’armement américain. La contamination se fait par les plaies d’élagage et se propage par le système racinaire d’un arbre à l’autre.
En France, près de 50 000 arbres ont déjà péri et en particulier le long du canal du Midi.
Le tigre du platane est une punaise exotique envahissante qui prolifère sous l’écorce et affecte les feuilles.
Une haie écologique Pour bien comprendre l’intérêt de notre haie, il faut considérer sa situation dans l’espace.
Celle-ci est implantée dans un milieu urbain en favorisant un «effet de lisière» bénéfique pour la faune.
Cette situation permet la coexistence, sur un espace restreint, de diverses populations animales provenant de différents milieux (forêt, friches, cultures, prairies, ville).
La composition de la haie est également déterminante pour la faune. Notre haie est constituée de multiples arbustes à baies.La «zone tampon», située vers l’intérieur du parc, privilégie les végétaux herbacés et les arbres. Cette végétation abondante va être à l’ori-gine de nombreuses chaînes alimentaires.
La floraison échelonnée des diverses plantes attire bon nombre d’ insectes. D’autres animaux se nourrissent des feuilles ou des tiges, d’autres encore, prédateurs, consomment les premiers.
Toute cette microfaune va provoquer l’arrivée de nombreux animaux insectivores qui bénéficieront du couvert végétal abondant pour installer leur nid.
De la même manière, la fructification étalée des plantes herbacées, des arbres et des arbustes, assure l’existence d’ animaux granivores et frugivores.
Les prédateurs viendront tout naturellement prélever leur repas parmi ce petit monde ! La richesse faunistique et floristique de la haie est donc la garantie d’une biodiversité équilibrée.
Chaîne alimentaire ou réseau trophique
Le premier schéma illustre une pyramide alimentaire ou chaque partie de la base vers le sommet est moindre à chaque étage ; on évoque une histoire de rendement entre chaque étage de 10 %. Cela signifie que 1000 kg de fruits graines ou feuilles donneront 100 kg d’insectes, lapins, mulots qui donneront eux même 10 kg de hérissons, mésanges ou bergeronnettes qui eux même donneront 1 kg de hibou ou de belette ou de vipère...
Si le rendement est de 10 % que deviennent les 90 % restants ?Ils sont employés pour les activités de la vie de l’animal. Le premier schéma montre également que la base d’une pyramide alimentaire est constituée de végétaux et le sommet de super prédateurs.
Le second schéma illustre un réseau trophique dans lequel on évoque la présence d’organismes qui vont décomposer la matière organique en sels minéraux assimilables par les végétaux.De plus, le réseau trophique évoque la complexité des relations proies/prédateurs.Enfin, le réseau trophique évoque le cycle de la Vie depuis les sels minéraux, les végétaux, les animaux herbivores, puis les carnivores, qui retournent à la terre et se décomposent pour de nouveau contribuer à alimenter les végétaux.