BALUSSEAU Clara- Architecte -
PortfoLio d’ArChitECtUrE
CUrriCULUm VitALE
ProjEtS d’ArChitECtUrE
ProjEtS CoNCEPt
doCUmENtS
EXPÉriENCES ProfESSioNNELLES
hABitEr ENSEmBLE AUtoUr d’UN tErritoirE PArtAGEUrbanisme, logements , 2014 projet de fin d’étude
UN SoL, UN GrANd VidE offErt A LA ViLLEEcole d’architecture, 2013
PAViLLioN PLEXiGLASSInfrastructure public, 2013
hABitEr LES Bord dE LA LYS Logements collectifs, 2012
UNE mAiSoN UNi fAmiLiALELogements , 2011
UNE BiBLiothÈQUE UrBAiNE Projet concept, 2014
AtmoSPhÈrE : LA ViLLA dE PLiNEProjet concept, 2014
BErLiN : rAPPort AU CiELProjet concept, 2014
L’Art UrBAiN ENtrE SCULPtUrE Et ArChitECtUrEMémoire théorique de fin d’étude, 2014
180 joUrS EN ASiE dU SUd EStPhotographies, 2015
CLArA BALUSSEAU ArChitECtE
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AroBACE ArChitECtELomme - Nord pas de Calais, 2015
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Balusseau Clara
Architecte diplômée en 2014
Née le 12 juillet 1991 à Lille
Nationalité française
00 33 6 84 44 90 82
18bis rue de Lisieux 59130 Lambersart
détenteur du permis B
fACULtE d’ArChitECtUrE, d’iNGENiEriE ArChitECtUrALE Et d’UrBANiSmE dE L’UrNiVErSitE CAthoLiQUE dE LoUVAiN-LA-NEUVE
( Anciennement iSA St LUC toUrNAi )
• 2014 Obtention du diplôme d’architecte avec distinction - Université catholique
de Louvain - Tournai ( Anciennement ISA ST LUC)
• 2014 master ii en architecture - grande distinction - Université Catholique de
Louvain - Tournai
• 2014 mémoire de recherche sur «l’Art Urbain entre sculpture et architecture, la
question de l’intégration dans le travail d’Arne Quinze»
• 2012 Licence en architecture - Université Catholique de Louvain - Tournai
• 2009 Obtention du baccalauréat série scientifique option physique chimie :
mention Bien et section Européenne anglais - Lycée Jean Perrin Lambersart
• 2015 CDD Octobre à Décembre - « Arobace Architectes » - Lomme
• 2015 VOYAGE de 6 mois en Asie du Sud Est • 2014 Hôtesse de vente - « memento mori » - Lille
• 2014 Organisatrice de l’événement «jour et Nuit de l’Architecture» - Tournai
• 2013 Stage Master I - « form’@ architectes » conception et chantier - Bailleul
• 2012 Stage BAC III - « Association rempart » - mission patrimoine - Restauration
d’une chapelle - Préchac
• 2011 Stage BAC II - « Eric Paul rénovation » - Chantier phase de conception et
exécution - Soulac-sur-mer
• 2010 Stage Bac I - « Bourseau et fils » - entreprise spécialisée dans les
constructions de maisons à ossature bois - Vendays Montalivet
• 2007 Stage au lycée - « Arobace Architectes » - Lomme
• 2003 Stage au collège - « La Cité numérique » - Villeneuve d’Ascq
• Aide à la préparation de réceptions organisées par «Nord ouest antiquités » - Bondue
• Langues :Français, Anglais (bon niveau), Espagnol (niveau moyen)• Logiciels : Autocad +++ Photoshop +++ Indesign ++ Archicad ++ Artlantis++
3ds Max + Revit + Pack Office ++
• Sports : Danse contemporaine (15 ans), Fitness• Loisirs: Dessin, photographie, cuisine• Voyages : Asie du Sud Est , ...
diPLômES
ComPEtENCES
iNtErEtS
EXPEriENCES
ProjEtS EtUdiANtS.......
5 ProjEtS
1 hABitEr ENSEmBLE AUtoUr d’UN tErritoirE PArtAGE Réflexion sur l’Habitat en milieu rural
thème: Narration spéculative , stimuler l’imaginaire par le territoireProgramme : Urbanisme et logementsLieu: Rocroi - le RouillyAnnée : Projet fin d’étude Master 2 -2014Professeurs: Ludovic Blanckaert , Adrien Verschuere, Corenthin Haubruge
Le projet de diplôme est initié par un prétexte, lié au choix d’une image satellitaire proposé par nos professeurs. Différents cadrages nous sont proposés à travers la Belgique et le nord de la France.
Ceci fut un simple prétexte afin d’éveiller notre imaginaire à travers un large territoire à étudier et analyser en profondeur. L’ambition nous apparait donc en premier lieu par une large échelle territoriale comme point de départ du projet.
Le cadrage que nous avons choisis nous interpella particulièrement par la présence d’une singularité, un densité bâtie, au milieu de ce territoire paysager de bocages, bordés par un immense territoire forestier.
Cette singularité n’est autre que la ville de rocroi, fortifiée par Vauban, et célèbre pour la bataille qui vit le jour durant la guerre de Trente ans, le 19 mai 1643.
Aujourd’hui Rocroi possède une structure particulière. À sa droite les remparts et la ville se fondent, un front bâti s’est formé suivant la morphologie en étoile des fortifications. Par la présence d’une route nationale, une urbanisation incontrôlée est en train de voir le jour de ce côté. À sa droite, les remparts restent libre, Rocroi possède toujours un champ d’action en vue : C’est un territoire naturel aux caractéristiques remarquables qui fait la richesse de cette région des Ardennes.
PROJET DE DIPLÔME
Le projet consiste à mettre en évidence le périmètre de ce territoire, champ d’action de Rocroi, comme territoire naturel à préserver de l’urbanisation incontrôlée et de l’étalement urbain. des séquences bâties sont identifiées. Elles sont à densifier pour mieux renforcer les vides intermédiaires, qui sont de véritables fenêtres sur le paysage.
Habiter ensemble autour d’un territoire préservé
Balusseau | Cailleux | Duhamel | Harbonnier | Lesage
Un paysage rural bordé par une forêt, ponctué d’une singularité
DUHAMEL Thomas - MASSON Florian - TAISNE Nelson - PAUPÉRIO João
DUHAMEL Thomas - MASSON Florian - TAISNE Nelson - PAUPÉRIO João
Echelle M
Structure une singularité finie
Fond un entre-deux préservé
Finitude & non-finitude relation entre singularité et réseaux
SingularitéEchelle M
Une limite urbanisée pour préserver un territoire revalorisant une singularité
DUHAMEL Thomas - MASSON Florian - TAISNE Nelson - PAUPÉRIO João
Echelle XL
DUHAMEL Thomas - MASSON Florian - TAISNE Nelson - PAUPÉRIO João
Echelle XL
Projet du territoire
Structure un territoire et une limite : la forêt
Fond Entre-deux à densifier
Projet du territoire
Limite
Un territoire au service d’une singularité
DUHAMEL Thomas - MASSON Florian - TAISNE Nelson - PAUPÉRIO João
Territoire
Echelle L
Une première analyse paysagère nous amène à dégager trois éléments indissociables du caractère particulier de ce territoire ardennais : les bosquets, les bocages et le réseau hydrographique.
Le territoire paysager de Rocroi
Balusseau | Cailleux | Duhamel | Harbonnier | Lesage
Bocageslignes
Bosquets surface
Hydrographie Point, Ligne & surface
Invariants Paysagers
Balusseau | Cailleux | Duhamel | Harbonnier | Lesage
Bocageslignes
Bosquets surface
Hydrographie Point, Ligne & surface
Invariants Paysagers
Balusseau | Cailleux | Duhamel | Harbonnier | Lesage
Bocageslignes
Bosquets surface
Hydrographie Point, Ligne & surface
Invariants Paysagers
Balusseau | Cailleux | Duhamel | Harbonnier | Lesage
Plan GuidePour densifier et renforcer ces séquences bâties existantes, Nous avons établie protocole collectif, pour identifier les actions à mener et les lieux qui leur correspondent. Nous avons ainsi travaillé sur ces différentes notions : Borner, Tisser-connecter, Requalifier un arrière, Réaffirmer une centre. Le processus s’est ensuite développé individuellement
Vides paysagers
Ils sont pour ce projet des espaces d’exception à contenir et mettre en valeur. Ces vides nous projettent dans le cœur du paysage et nous font prendre conscience de l’épaisseur d’action du projet.Volonté de conserver et préserver cette profondeur
du paysage
Le Rouilly, petit village appartenant à ce territoire partagé est une séquence habitée qui se densifie en ligne et qui tend à vouloir s’étendre au reste de la «boucle». Le projet cherche à préserver les fenêtres sur le paysage et à densifier les séquences habitées d’une autre manière qu’aujourd’hui. En effet on observe un mode de vie très individualiste où les maisons flottent sur d’immenses parcelles. On cherche alors à redonner de la valeur à ce village dispersé et lui offrir une nouvelle identité. En premier lieu on lui donne de l’épaisseur : une nouvelle manière d’habiter le paysage en alternant le logement et de grands sols partagés.On requalifie les arrières pour offrir une nouvelle façade au cœur paysager, on borne la séquence par des équipements publics qui reconnectent le village au cœur du paysage et réactivent les chemins existants.L’épaisseur partagée est donc traversée par un grand chemin, véritable espace de vie, de rencontre et d’échange qui s’ouvre sur des parcs publics, des grandes percées paysagères et des habitats groupés.On partage un même territoire , un même paysage, un même ciel, un même sol...
imPLANtAtioN séquence SudRévéler l’épaisseur paysagère et créer une épaisseur habité comme espace partagé
Le rouilly Séquence urbanisée
à densifierfenêtre paysagère
Séquence vide à préserver
Borner par des équipements publics
Requalifier les arrières: offrir une nouvelle façade au paysage
Le chemin: lieu de vie, de rencontre et d’échange
Ligne paysagère : Habiter une épaisseur Pleins paysagers : Connecter au territoire
Une épaisseur habitée comme espace partagé
Le chemin: lieu de vie, de rencontre et d’échange
Borner la séquence habitée et la connecter au cœur paysager
Préserver la fenêtre paysagère
Pleins paysagers : Connecter au territoire Vides paysagers : Préserver et Contenir
JardinsPotagers
Paysage VergersPotagersParc
Che-min
hABitEr ENSEmBLE
dANS UN mÊmE PAYSAGE
Cela implique la présence d’une valeur centrale : celle du PArtAGE. Le partage de sols, d’espaces de vie au quotidien. C’est une nouvelle manière de vivre où l’on doit apprendre à se connaitre, à échanger avec son voisin. Les espaces partagés sont la représentation physique du partage dans un habitat groupé.
On appartient à un même territoire, un même paysage : une identité collective au sein du village se crée
Sols Partager
Public Collectif Patio Privé
hiérarchie des sols
ProjetUne « Villa »
ExistantMaisons éparpillées
Réinterprétation du Corps de ferme
hABitAt GroUPÉ
CArACtÈrE UNitAirE Et iNdiVidUEL
Le vivre ensemble
Habiter avec le Paysage : Volonté de s’ouvrir sur le paysage, de le laisser entrer dans l’architecture. Multiplication de « murs » fuyant vers le paysage
hABitEr ENSEmBLE
Séquences Vecues
Habiter un paysage
Habiter un jardin partagé
Habiter un paysage
Habiter un jardin partagé
Habiter un paysage
Habiter un jardin partagé
Habiter un paysage
Habiter un jardin partagé
2 UN SoL , UN GrANd VidE offErt A LA ViLLE Une Ecole d’Architecture à Tournai : réhabilitation de la piscine Madame
thème: Une infrastructure urbaine , la piscine madame comme cœur de l’écoleProgramme : Une école d’architectureLieu: TournaiAnnée : Master 1Professeurs: Ludovic Blanckaert , Adrien Verschuere, Corenthin Haubruge
L’école se situe le long du plus grand espace public de Tournai, les quais : un sol qui longe l’Escault et entre aujourd’hui t i m i d e m e n t dans la ville .Le projet a donc la volonté d’investir les bords de l’Escault et d’étendre l’espace des quais à la ville.
MANIÈRE DE PENSER L’APPRENTISSAGE ET LES ÉTUDES D’ARCHITECTURE:
Un étudiants dans une école d’architecture doit savoir s’isoler, être dans son monde , mais surtout il doit savoir participer, s’intégrer, écouter et se lier aux autres.Dialoguer, communiquer et observer sont indispensable pour un architecte car pour élaborer un projet on se nourrit de tout ce qui nous entoure, il faut donc être ouvert sur la ville et les autres. Pour cela il faut un lieux propice à l’échange et au partage entre étudiants mais aussi entre étudiants et habitants.
Cela serait possible par le biais d’un grand espace public qui réunirait à la fois étudiants et habitants et qui permettrait le lien entre l’école et la ville.
Ce sol libéré est permis grâce au flottement de l’école au dessus des vides
rÉhABiLitAtioN dE LA PiSCiNE mAdAmE : La piscine comme cœur du projet : le premier vide
Le projet tente de réhabiliter et d’intégrer cette piscine à l’école d’architecture et son sol. Etant un beau lieu on l’imagine comme cœur de l’école.
Le vide crée par le bassin de la piscine est le début de l’inspiration du projet.En effet ce vide induit d’autres vides et nous pousse à aller plus loin dans l’analyse du vide.
Le projet est une fabrication de vides à plusieurs échelles et différentes valeurs, où le vide de la piscine en construit d’autres
Vide de la ville Vide du sol : quais Vide de la piscine Vide délimité
EXISTANT PROJET
Les quais, sol continu qui s’étend à la ville : le plus grand espace public de tournai
« La perception des vides comme lieu de tous les possibles » Dominique Perrault
Un sol continu qui traverse la piscine où le bassin est ouvert au public pour des conférences, des expositions, ou juste pour admirer les œuvres échelle 1/1 des étudiants
Le flottement au dessus du sol crée une zone d’ombre qui annonce la lumière du vide de la piscine.
D’abord lieu offert aux étudiants, ou lieu de marché et de déballage ou encore lieu d’exposition en continuité du bassin de la piscine, ce grand vide s’offre à la ville comme lieu de partage et de rencontre.
UNE StrUCtUrE AU SErViCE dE L’idÉALitÉ
3 UN PAViLLoN PLEXiGLAS - ArChitECtUrE CommE miLiEU
thème: un seul matériau et un seul module avec une dimension variableProgramme : Pavillon d’exposition éphémèreAnnée : Master 1 - Séminaire StructureProfesseur invité: Klass de Rycke, Bollinger + Ghohman ingenieur
Aujourd’hui nous vivons dans une société mondialisée où la prédominance des médias et des moyens de communication mettent en exergue un culte de l’image. L’image est une interprétation subjective de la réalité : elle sublime, banalise , dramatise, caricature , focalise… Mêlant le vrai , le faux , la fiction et la réalité, se pose la question de son authenticité.En réponse à la fascination actuelle de la société pour le visuel, notre installation dénonce le conditionnement des images médiatiques en proposant d’appréhender l’art à travers un filtre.
Le filtre se manifeste par la superposition de la matière fabriquant la transparence, la translucidité, l’opacité. L’assemblage de ses couches constitue un milieu dans lequel on déambule, où le spectateur devient acteur de l’œuvre. Le tout déposé dans un contexte applique une texture au paysage.
L’ellipse , comme une représentation du monde, associée à notre système architectural , efface les limites du pavillon au profit d’un milieu hétérogène et orienté où le vide se met en scène à travers des lignes ou à travers des surfaces.
Référence Mondrian
Plan de sol
Perspective éclatée - assemblage
Le projet consiste à revaloriser la Lys et ses infrastructures en créant de grands espaces de respiration et d’aération autour de ces infrastructures fluviales comme les ponts ne recevant aujourd’hui que des zones de friches inexploitées. Création d’un habitat au bord d’un parc urbain et de la lys. On habite autour du parc, on le borde.On propose une densité habité sur les bords du parc pour dégager ce belle espace public : le parc .La zone habitée est différenciée du parc par un parvis faisant office d’espace de rencontre et d’échange.Le parc et le parvis s’animent par des jeux de strates et d’escalier nous laissant doucement glisser vers la lys.On met en place une typologie d’appartements traversants : les espaces de vie s’ouvre sur le parc et la lys.
4 hABitEr LES Bord dE LA LYS
thème: Un grand parc urbain comme espace de respiration Programme : Logements collectifs et équipementsLieu: CourtraiAnnée : BAC 3 - 2012 - Professeurs : Olivier Laloux - Gauthier Cotton
5 UNE mAiSoN UNifAmiLiALE
thème: La bibliothèque comme cœur du projetProgramme : Une maison de plein pied dans un paysage «infini»Année : BAC 2 -2010 Professeurs : Weiss
Ce projet est une réflexion de la maison «horizontale» installé sur un terrain vague, dans un paysage infini. L’idée est donc de créer des espaces à dimension humaine, de recréer de l’intimité en multipliant les espaces «semi patio». Ainsi un dialogue s’installe entre les patio et les strates intérieurs.Le cœur du projet est une longue bibliothèque centrale qui distribue chaque strates de la maisons uni familiale. La système de strates permet de donner à chaque zone de la maison une fonction bien distincte des autres , ainsi on arrive à déterminer un espace parent , un espace enfants,un espace bureau , et un espace salon-cuisine bien séparé les uns des autres tout en gardant un lien grâce à cette bibliothèque centrale.Ces strates permettent aussi de faire entrer le jardin a l’intérieur de la maison. En créant ces semi patios chaque strates de la maison disposent d’un espace extérieur attenant extérieur.
Un bibliothèque, un axe , la structure de la maison , le lien de chaque strate habitable.
LE LiEN EN ArChitECtUrE
Un thème traverse l’idée que je me fais de l’architecture, celui de la liaison, de la connexion, de l’emboîtement d’échelle, de
l’articulation, du partage.Ces mots ont un lien fort :ils ont comme volonté de toujours assembler des éléments sans coupure avec comme seul but, la
continuité.......
3 ProjEtS CoNCEPt
6 UNE BiBLiothÈQUE UrBAiNE
Emboîtement d’échelle - Articulation - Continuité d’un tissu existant
Une image de référence comme point de départ
Ce jour là, j’errais sans trop savoir où j’allais, perdu dans ce dédale de rues. Elles étaient toutes di�érentes mais avaient quelque chose en commun, mais je n’aurais pas pu dire quoi. Je continuais ma promenade perdu dans mes pensées tout d’un coup revenant à moi je me rendit compte que quelque chose avait changé. Les briques s’étaient transformées en livres, les pignons en étagères
et les habitants en lecteurs…Pourtant je regardais au loin, les rues étaient alignés, leur largeur était la même, les seules di�érences étaient le nom des rues, rue du roman, des bandes dessinées, je vis même un auditorium. Je percevais une structure urbaine qu’il m’avait été incapable de déceler plus tôt dans la ville.
Je pris a droite, ruelle des sciences, puis des polars, celle-ci débouchait sur une grande place baignée de lumière et bordée de façades ouvertes. Intrigué, je me renfonçais dans les ruelles jusqu'à me perdre. Tout se ressemblait et pourtant tout était di�èrent, je �ni par tomber sur l’auditorium que j’avais aperçu de loin en arrivant. Sachant où j’allais je le contournais et peu à peu les livres faisaient place aux briques.
Continuité de l’espace public
Ce jour là, j’errais sans trop savoir où j’allais, perdu dans ce dédale de rues. Elles étaient toutes di�érentes mais avaient quelque chose en commun, mais je n’aurais pas pu dire quoi. Je continuais ma promenade perdu dans mes pensées tout d’un coup revenant à moi je me rendit compte que quelque chose avait changé. Les briques s’étaient transformées en livres, les pignons en étagères
et les habitants en lecteurs…Pourtant je regardais au loin, les rues étaient alignés, leur largeur était la même, les seules di�érences étaient le nom des rues, rue du roman, des bandes dessinées, je vis même un auditorium. Je percevais une structure urbaine qu’il m’avait été incapable de déceler plus tôt dans la ville.
Je pris a droite, ruelle des sciences, puis des polars, celle-ci débouchait sur une grande place baignée de lumière et bordée de façades ouvertes. Intrigué, je me renfonçais dans les ruelles jusqu'à me perdre. Tout se ressemblait et pourtant tout était di�èrent, je �ni par tomber sur l’auditorium que j’avais aperçu de loin en arrivant. Sachant où j’allais je le contournais et peu à peu les livres faisaient place aux briques.
Continuité de l’espace publicIntégration dans une ville existante : Lucas en Italie
Continuité de l’espace public
Plan de Timgad
UNE ViLLE dANS LA ViLLE
Ce jour là, j’errais sans trop savoir où j’allais, perdu dans ce dédale de rues. Elles étaient toutes différentes mais avaient quelque chose en commun, mais je n’aurais pas pu dire quoi.
Je continuais ma promenade perdu dans mes pensées tout d’un coup revenant à moi je me rendit compte que quelque chose avait changé. Les briques s’étaient transformées en livres, les pignons en étagères et les habitants en lecteurs…Pourtant je regardais au loin, les rues étaient alignés, leur largeur était la même, les seules différences étaient le nom des rues, rue du roman, des bandes dessinées, je vis même un auditorium.
Je percevais une structure urbaine qu’il m’avait été incapable de déceler plus tôt dans la ville.Je pris a droite, ruelle des sciences, puis des polars, celle-ci débouchait sur une grande place baignée de
lumière et bordée de façades ouvertes. Intrigué, je me renfonçais dans les ruelles jusqu'à me perdre.Tout se ressemblait et pourtant tout était diffèrent, je fini par tomber sur l’auditorium que j’avais aperçu de
loin en arrivant. Sachant où j’allais je le contournais et peu à peu les livres faisaient place aux briques.
Vous êtes surpris que je trouve tant de charmes à ma villa du Laurentin, ou, si vous voulez, de Laurente. Vous reviendrez de votre étonnement, quand vous connaî-trez les agréments de cette demeure, les avantages de sa situation et sa distance de la mer.
Elle n’est qu’à dix-sept milles de Rome, et l’on peut s’y transporter après avoir achevé toutes ses affaires, sans rien prendre sur sa journée. Deux chemins y conduisent, celui de Laurente et celui d’Ostie mais on quitte le premier au quatorzième milliaire, et le second au onzième. En sortant de l’un ou de l’autre, on entre dans une voie en partie sablonneuse, où les voitures roulent avec assez de difficulté et de lenteur. A cheval, le trajet est plus court et plus doux. Ce n’est partout que paysages. Tantôt la route se resserre entre des bois, tantôt elle s’ouvre et s étend sur de vastes prairies. Là de nombreux troupeaux de brebis, de boeufs et de chevaux, dès que rimer les a chassés des montagnes, s’engraissent en paissant au sein d’une température printanière.
La villa est commode, sans être d’un entretien dispendieux. L’entrée, d’une élégante simplicité, fait face à un portique courbé en forme de D, et qui entoure une petite cour charmante. C’est une retraite précieuse contre le mauvais temps car on y est protégé par les vitres qui le ferment, et surtout par les toits qui le couvrent. Ce por-tique conduit à une cour intérieure fort gaie. De là on passe dans une assez belle salle à manger qui s’avance sur la mer, dont les vagues viennent mourir au pied du mur, lorsque souffle le vent du midi. De tous les côtés, cette salle est garnie de portes à deux battants et de fenêtres qui sont aussi grandes que les portes ; de manière que, à droite, à gauche et en face, on découvre comme trois mers différentes. Derrière soi, on a pour horizon la cour intérieure, le portique, l’aire, puis encore le portique, enfin l’entrée, et, dans le lointain, les forêts et les montagnes. A la gauche de cette salle à manger, est une grande pièce moins avancée vers la mer et de là, on entre dans une plus petite, qui a deux fenêtres, l’une au levant, l’autre au couchant. Celle-ci donne aussi sur la mer, que l’on voit de plus loin, mais avec plus de charme.
L’angle que forme la salle à manger avec le mur de la chambre, semble fait pour rassembler, pour concentrer tous les rayons du soleil. C’est le refuge de mes gens en hiver, c’est le théâtre de leurs exercices. Là se taisent tous les vents, excepté ceux qui chargent le ciel de nuages, et nuisent plutôt à la clarté du lieu qu’aux agréments qu’il pré-sente. A cet angle est annexée une rotonde dont les fenêtres reçoivent successivement tous les soleils. On a ménagé dans le mur une armoire qui me sert de bibliothèque, et qui contient, non les livres qu’on lit une fois, mais ceux qu’on doit relire sans cesse. A côté sont des chambres à coucher, séparées de la bibliothèque par un conduit garni de tuyaux suspendus qui répandent et distribuent de tous côtés une chaleur salutaire. Le reste de cette aile est occupé par des affranchis ou par des valets et cependant la plupart des pièces sont tenues si proprement, qu’on pourrait y loger des maîtres.
A l’autre aile, est un cabinet fort élégant ; ensuite une grande chambre ou une petite salle à manger que le soleil et la mer égayent à l’envi. Puis on passe dans une chambre à laquelle est jointe une antichambre. Cette salle est aussi fraîche en été par son élévation, que chaude en hiver par les abris qui la préservent de tous les vents. A côté se trouve une autre pièce et son antichambre.
De là on communique dans la salle des bains où est un réservoir d’eau froide. L’emplacement est grand et spacieux. Des deux murs opposés sortent en hémicycles deux baignoires si profondes et si larges, qu’on pourrait y nager. Près de là est un cabinet de toilette, une étuve et le fourneau nécessaire au service du bain. De plain-pied se succèdent deux pièces plus élégantes que magnifiques. Le bain d’eau chaude s’y rattache d’une manière si admirable, qu’on aperçoit la mer en se baignant.
Non loin de là est un jeu de paume qui, dans les jours les plus chauds, ne reçoit le soleil qu’à son déclin. D’un côté s’élève une tour, au bas de laquelle sont deux ca-binets ; deux autres sont au-dessus, avec une salle à manger d’où la vue embrasse une mer immense, de vastes côtes et de délicieuses villas. De l’autre côté est une autre tour où se trouve une chambre qui regarde le levant et le couchant. Derrière est une grande cave et un grenier. Au-dessous de ce grenier est une salle à manger, où, quand la mer est agitée, on n’entend que le bruit faible et presque amorti de ses vagues. Cette salle donne sur le jardin et sur l’allée destinée à la promenade qui règne à l’entour. L’allée est bordée de buis, ou, à son défaut, de romarin : car, dans la partie où le bâtiment abrite le buis, il conserve toute sa verdure. Mais, au grand air et en plein vent, l’eau de la mer le dessèche, quoiqu’elle n’y rejaillisse que de fort loin.
Près de l’allée, croît, dans une enceinte, une vigne tendre et touffue, dont le bois ploie mollement, même sous les pieds nus. Le jardin est couvert de figuiers et de mûriers auxquels le terrain est aussi favorable qu’il est contraire à tous les autres arbres. D’une salle à manger voisine, on jouit de cet aspect, qui n’est guère moins agréable que celui de la mer dont elle est éloignée. Derrière cette salle, il y a deux appartements dont les fenêtres dominent l’entrée de la maison, et un autre jardin moins élé-gant, mais mieux fourni. De là se prolonge une galerie voûtée qu’on prendrait pour un monument public. Elle est percée de fenêtres des deux côtés ; mais, du côté de la mer, le nombre en est double : une seule sur le jardin répond à deux sur la mer. Quand le temps est calme et serein, on les ouvre toutes. Si le vent donne d’un côté, on ouvre, sans aucun risque, les fenêtres de l’autre. Devant cette galerie est un parterre parfumé de violettes. Le soleil, en frappant sur la galerie, en élève la température, et, la galerie, en concentrant, les ardeurs du soleil, repousse et chasse l’aquilon. Ainsi, d’une part, elle retient la chaleur, de l’autre, elle garantit du froid. Elle vous défend aussi de l’autan: de sorte que, de différents côtés, elle offre un abri contre les vents opposée L’agrément qu’elle offre en hiver augmente en été. Avant midi, l’ombre de la galerie s’étend sur le parterre; après midi, sur la promenade et sur la partie du jardin qui en est voisine. Selon que les jours deviennent plus longs ou plus courts, l’ombre décroît ou s’allonge, soit d’un côté, soit de l’autre. La galerie elle-même ne ressent jamais moins les effets du soleil que quand ses rayons ardents tombent d’aplomb sur la voûte. Je dirai plus, par ses fenêtres ouvertes, elle reçoit et transmet les brises, et l’air qui se renouvelle n’y devient jamais épais ni malfaisant.
A l’extrémité du parterre et de la galerie s’élève dans le jardin un pavillon que j’appelle mes délices, mes vrais délices. Je l’ai construit moi-même. Là j’ai une espèce de foyer solaire qui, d’un côté, regarde le parterre, de l’autre la mer, et de tous les deux reçoit le soleil. Son entrée répond à une chambre voisine, et une de ses fenêtres donne sur la galerie. Au milieu du côté qui a la mer pour horizon, j’ai ménagé un cabinet charmant qui, au moyen de vitres et de rideaux que l’on ouvre ou que l’on ferme, peut à volonté se joindre à la chambre ou en être séparé. Il y a place pour un lit et deux chaises. A ses pieds on voit la mer, derrière soi, des villas; en face, des forêts. Trois fenêtres réunissent ces paysages sans les confondre. De là on entre dans une chambre à coucher où la voix des valets, le bruit de la mer, le fracas des orages, les éclairs et le jour même ne peuvent pénétrer, à moins qu’on n’ouvre les fenêtres.
Ce qui rend le calme de cette retraite si profond, c’est qu’entre le mur de la chambre et celui du jardin il existe un espace vide qui absorbe le bruit. A cette chambre tient une petite étuve dont l’étroite fenêtre retient ou dissipera chaleur, selon le besoin. Plus loin on trouve une antichambre et une chambre que le soleil dore à son lever, et qu’il frappe encore après midi, de ses rayons obliques. Quand je suis retiré dans ce pavillon, je crois être bien loin, même de ma villa, et je m’y plais singulièrement, surtout aux Saturnales, tandis que tout le reste de la maison retentit des cris de joie autorisés par la licence de ces jours de fêtes. Ainsi je ne nuis pas plus aux plaisirs de mes gens qu’ils ne troublent mes études.
Ce qui manque à tant d’avantages, à tant d’agréments, ce sont des eaux courantes. A leur défaut, nous avons des puits ou plutôt, des fontaines : car ils sont peu profonds. La nature du terrain est merveilleuse. En quelque endroit que vous le creusiez, vous avez de l’eau à souhait, mais de l’eau pure, et dont la douceur n’est nullement altérée par la proximité de la mer. Les forêts voisines fournissent du bois en abondance, et Ostie procure toutes les autres choses nécessaires à la vie. Le village même peut suffire aux besoins d’un homme frugal, et une seule maison de campagne m’en sépare. On trouve en ce lieu jusqu’à trois bains publics: ressource précieuse, lorsque une arrivée inattendue ou un départ précipité ne permet pas de se baigner chez soi. Tout le rivage est bordé de maisons contiguës ou séparées qui charment par leur diversité, et qui, vues de la mer ou même de la côte, présentent l’aspect d’une multitude de villes. Le rivage, après un long calme, offre une promenade assez douce mais l’agitation fré-quente des flots le rend souvent, impraticable. La mer n’abonde point en poissons délicats; on y prend pourtant des soles et des squilles excellentes. La terre fournit aussi ses richesses à mon habitation. Nous avons surtout du lait en abondance : car c’est là que les troupeaux sa rendent en quittant leurs pâturages, quand ils veulent se reposer à l’ombre ou se désaltérer.
N’ai-je pas raison d’habiter, de chérir cette retraite, et d’en faire mes délices? En vérité, vous êtes trop citadin, si elle ne vous fait pas envie. Venez, je vous en prie, venez ajouter à tous les charmes de ma villa le prix inestimable qu’elle emprunterait de votre présence.
Adieu.
LETTRE XVIIPLINE A GALLUS
Groupe 2 - BALUSSEAU Clara, CAILLEUX Amélie, VANDENBROUCKE Elise
SUCCESSION DE SÉQUENCESUNE ATMOSPHÈRE
S’inspirant d’un texte de Pline Le Jeune, les séquence suivantes questionnent l’architecture avec la construction d’une atmosphère comme point de départ du
projet.
7 AtmoSPhÈrE : LA ViLLA dE PLiNE
Un paysage dans une architecture - Un intérieur où l’extérieur s’y projette
Un texte de Pline Le Jeune comme point de départ
«Derrière soi, on a pour horizon la cour intérieure, le portique, l’aire, puis encore le portique, enfin l’entrée, et, dans le lointain, les forêts et les montagnes.»
«De plain-pied se succèdent deux pièces plus élégantes que magnifiques. Le bain d’eau chaude s’y rattache d’une manière si admirable, qu’on aperçoit la mer en se baignant.»
8 BErLiN - rAPPort AU CiEL
Une même ville - un même ciel - mais quatre bâtiments différents
Un même ciel mais des BORDS différents
NEUE NAtioNAL GALEriEmiES VAN dEr rohE
mUSEE jUif - LiBESKiNd
NEUES mUSEUm - dAVid ChiPPErfiELd
AtLES mUSEUm
doCUmENtS
MÉMOIRE THÉORIQUE DE FIN D’ÉTUDE
EXPÉRIENCE DE VIE180 JOURS EN ASIE DU SUD EST
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Mémoire théorique de fin d’étude :
L’Art UrBAiN ENtrE SCULPtUrE Et ArChitECtUrE
La Question de l’Intégration dans le Travail d’Arne Quinze
Problématique : Pourquoi et comment, au fil du temps, l’art dans la ville a pu se transformer en une
forme d’architecture ?
L’art public c’est un travail qui s’articule autour de la ville dont l’enjeu est de rapprocher les habitants, de créer de nouveaux espaces publics. L’intégration de l’art contemporain dans la ville implique une nouvelle manière de vivre la ville : les habitants sont confrontés à l’art dans leur quotidien : l’art vient à eux. C’est une sorte d’obligation d’observer, analyser, vivre les lieux.
Peu à peu l’art s’est transformé, s’échappant du musée pour s’offrir à la ville, l’art s’est adapté au fil du temps au paysage urbain. Pour ne pas perturber ce tissu urbain l’art contemporain a tout fait pour s’inscrire dans la maille de la ville de manière fluide. L’art dans la ville trouve et déploie une nouvelle fonction qui n’existait pas dans les musées. Cette fonction c’est l’espace public que crée l’art urbain et où chacun peut profiter du lieu pour se retrouver et échanger librement sans devoir faire le pas d’entrer dans un musée, l’art est ici à notre porte.
La création d’un espace, d’un lieu défini peut-elle être considérée comme une forme d’architecture ?
ii – ÉVoLUtioN dE L’Art dANS LA ViLLE dEPUiS LA fiN dU XiXEmE SiÈCLE : AttitUdE dE LA SCULPtUrE, dE L’oBjEt à LA mAiLLE : LA QUEStioN dU SoCLE, 3 EXEmPLES ?
1) Objet : Rapport de la sculpture à la ville dans l’art moderne
2) Transition du « socle » au « sol » : le début de l’intégration
3) Maille : Rapport de la sculpture à la ville dans l’art contemporain
iii – LE trAVAiL d’ArNE QUiNzE1) Qui est Arne Quinze ?2) Son travail ses oeuvres en résumé3) But social et spatial de son art4) Question de l’œuvre éphémère et de son
élasticité5) Approfondissement sur l’œuvre The
Sequence à Bruxelles
iV – CoNCLUSioN : SCULPtUrE oU ArChitECtUrE : AmBiGUïtÉ
1) Processus constructif2) L’œuvre installée dans son contexte déploie un espace, un lieu et possède sa propre structure : architecture ?3) Œuvre à l’image d’une maison4) Collaboration entre artiste et architecte5) Invasion de l’art dans l’architecture : confrontation
6) Conclusion
jAPoN ViEtNAm CAmBodGE LAoS thAiLANdE mALAiSiE SiNGAPoUr iNdoNESiE
jAPoN ViEtNAm CAmBodGE LAoS thAiLANdE mALAiSiE SiNGAPoUr iNdoNESiE
EXPÉriENCES ProfESSioNNELLES
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14 x 0,19 = 2,70
1
2
3
4567891011121314
45,37 m2
8,81 m2R
4,25
3,561,60
1,58
1,076,65 3,79
1,60
4,35
5,70
Sud20
27,08 m2
24,86 m2
17,95 m2
15,65 m2 5,69 m
2
0,00 m2
1,99 m2
13,79 m2
9,79 m2
0,00 m2
cellier
garage
chambre 1
sejour
salon
cuisine hall
espaceexterieurplanté et pavé
douche àl'italienne
WC
espacebanquette
SU
RFA
CE
PLA
NC
HE
R = 154,37 m
2
PLA
N R
EZ 1/100
Esquisse Maison Bondues
Esquisse Maison Perenchies
AroBACE ArChitECtE
Octobre à Decembre 20151 rue Pierre Curie 59160 Lomme
missions effectuées:
- Déclaration préalable pour la rénovation d’une banque
- Permis de construire de plusieurs extension bois dans la région lilloise
- DCE pour la rénovation de plusieurs banques dans le nord-pas-de calais
-Esquisse d’un nouveau concept de banque «open space - apple store»
-Conception et DCE d’un garage à vélo et d’un abri fumeur pour le siège social d’une banque à Marc-en Baroeul
- Conception et permis de construire d’une maison individuelle à Perenchies
-Esquisse d’une maison individuelle à Bondues
2
847
566
32,32 m2
894
847 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 59700 MARCQ-EN-BAROEUL
BANQUE POPULAIREDU NORD C R E A T IO N D ' U N G A R A G E A V E L O S U R L E P A R K ING D U S I E G E S O C IA L
PLAN REZ Etat projeté
Ech 1/50
VERSION 2Novembre 2015
AXONOMETRIE
2016
10 POTEAU ACIER GALVANISE
EQUERRE METALLIQUE
MUR BETON COULE
BOULON
LATTE DE BOIS
PLATINE METALLIQUE 2016
10 POTEAU ACIER GALVANISE
EQUERRE METALLIQUE
MUR BETON COULE
BOULON
LATTE DE BOIS
PLATINE METALLIQUE
2016
10 POTEAU ACIER GALVANISE
EQUERRE METALLIQUE
MUR BETON COULE
BOULON
LATTE DE BOIS
PLATINE METALLIQUE
2
847
566
32,32 m2
894
847 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 59700 MARCQ-EN-BAROEUL
BANQUE POPULAIREDU NORD C R E A T IO N D ' U N G A R A G E A V E L O S U R L E P A R K ING D U S I E G E S O C IA L
PLAN REZ Etat projeté
Ech 1/50
VERSION 2Novembre 2015
AroBACE ArChitECtE Création d’un garage a vélo pour le siège social d’une banque à marc en Baroeul
64
64
64
2
346
28
360
144
94
240
28
20
bandeau zinc
equerre
poteau acier galvanisé
mur béton coulé en placeou panneaux préfabriquéslattes bois 4mm/200mm
acrotère zinc
goutière /descente d'eaupluviale
Même rythme surla façade Nord etla façade Est
FACADE SUD
236
28
311
309
banc assise boispied acier galvanisé
acrotère zinc
Poteau /goutièrerécupération deseaux de pluies
Pente de toit3,80°
FACADE NORD
360
250
28346
236
28
94
144
20
goutière
FACADE EST
410
410
4
309
28
346
28gond porte
lecteur de badge
porte cadre acier interieur lattes de bois
serrure electromagnetique
Rythme des lattes sur la façadeouest est différents des autresfaçades
FACADE OUEST
250
310
340
139
110
847 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 59700 MARCQ-EN-BAROEUL
BANQUE POPULAIREDU NORD C R E A T IO N D ' U N G A R A G E A V E L O S U R L E P A R K ING D U S I E G E S O C IA L
COUPE Etat projeté
Ech 1/50
VERSION 2Novembre 2015