Vague 5 - mars 2012
Présidoscopie
PrésidoscopieUne étude Ipsos - Logica Business Consulting pour Le Monde, le CEVIPOF, la Fondapol et la Fondation Jean Jaurès
Nobody’s Unpredictable
Sondage Ipsos / Logica Business Consulting effectué pour :
Échantillon :
Le Monde, le Cevipof, la Fondapol et la Fondation Jean Jaurès.
4728 personnes inscrites sur les listes électorales constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.Ces personnes ont déjà répondu à la quatrième vague de ce dispositif (du 2 au 7 février 2012) et ont accepté d’être réinterrogées à intervalles réguliers jusqu’au second tour de l’élection présidentielle de mai 2012.
Nobody’s Unpredictable
Méthode :
Dates du terrain :
Échantillon interrogé on-line via l’Access Panel d’Ipsos.Méthode des quotas : sexe, âge, profession de la personne de référence du foyer, région, catégorie d’agglomération.
Du 16 au 21 février 2012
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Base : inscrits, certains d’aller voter, exprimés
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* Scores inférieurs à 0,5 %14 % des personnes interrogées et certaines d’aller voter n’ont pas exprimé d’intention de vote
*
Les changeurs Focus sur François Bayrou
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Focus sur François Bayrou
• Les évolutions liées à des transferts de votes (-1 point) :
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• Les évolutions liées au niveau de mobilisation (-0,5 point) :
3-4 février 2012
12,5 %
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17-18 février 201211 %
Pertes pour
F. Bayrou
-2,5
Gains pour
F. Bayrou
+1,5
Pertes pour
F. Bayrou
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Gains pour
F. Bayrou
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*DontF. Hollande F. Hollande --0,50,5N. Sarkozy -0,5
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Les éléments d’analyse quantitative
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Les éléments d’analyse qualitativeFocus sur les changeurs de François Bayrou vers François Hollande et Nicolas Sarkozy
Les électeurs passés de François Bayrou en vague 4 à Nicolas Sarkozy en vague 5 (5 entretiens)
Les électeurs passés de François Bayrou en vague 4 à François Hollande en vague 5 (5 entretiens)
Nobody’s Unpredictable
vague 5 (5 entretiens)
Terrain qualitatif réalisé du mardi 21 février au jeudi 23 février 2012 inclus (soit après le passage de François Bayrou sur Paroles de candidats le lundi 20).
I. LES FACTEURS EXTERNES1. AUJOURD’HUI, F. BAYROU SUBIT LA BIPOLARISATION DE LA CAMPAGNE
Les critères de stature, de puissance, de crédibilité, de clarté et d’efficacité que la campagne impose sont les révélateurs desfaiblesses du candidat. Après un départ réussi, les changeurs considèrent que le discours patine, F. Bayrou n’apparaît qu’enréaction par rapport aux autres.
2. LA CRISE ET SES ENJEUX IMPOSENT UNE ÉPREUVE DE VÉRITÉLe contexte économique implique une crédibilité présidentielle qui lui fait actuellement défaut aux yeux de ces électeurs.
II. LES FAIBLESSES INTRINSEQUES DE FRANCOIS BAYROU1. UN POSITIONNEMENT AMBIGU : OÙ F. BAYROU SE SITUE-T-IL ?
Ce qui construisait en 2007 la force de l’outsider « hors système », F. Bayrou semble le payer en 2012 : il paraît moins visible
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Ce qui construisait en 2007 la force de l’outsider « hors système », F. Bayrou semble le payer en 2012 : il paraît moins visibleet clivant que M. Le Pen ou J.L. Mélenchon, et en restant sur un principe d’autonomie centriste, il semble peu impactant, peuclair, peu cohérent. Au fond, ces électeurs ont le sentiment de ne pas vraiment savoir où il se situe politiquement.
2. LA VULNÉRABILITÉ DE LA STRATÉGIE DU « SEUL CONTRE TOUS »Contrairement à F. Hollande et à N. Sarkozy, F. Bayrou apparaît comme ne disposant ni d’une équipe, ni de soutiensidentifiés, ni d’une machine électorale, ni d’une majorité potentielle : autant de facteurs majeurs pour gagner et gouverner.Ces faiblesses sont peu rassurantes pour les changeurs interrogés.
AU FINAL, UN VOTE QUI APPARAIT PEU EFFICACE ET PEU UTILEDe fait, F. Bayrou semble aux yeux de ces changeurs avoir perdu de son efficacité : 1. pour porter un message centristedécouplé du système droite-gauche ; 2. comme candidat anti-Sarkozy (F. Hollande étant le plus opérant dans ce rôle) ; 3.Comme candidat de centre-droit modérateur de la droite (F. Bayrou ayant choisi l’anti-sarkozisme).
I. PORTRAIT DES CHANGEURS DE F. BAYROU VERS N. SARKOZYDes CSP moyennes âgées au niveau de revenu et d’études relativement élevé .Des modérés à la droite « dure » : l’ancrage assumé à droite.
II. POURQUOI QUITTER F. BAYROU ? : LE CAVALIER SEULL’ambigüité politique de F. Bayrou agace chez ces électeurs de droite et semble peu cohérent : le centredoit être un allié naturel et modérateur de la droite. Cette attitude traduit également à leurs yeux leproblème d’ego et l’arrogance d’un homme enfermé dans sa logique d’isolement. Face à l’autorité et àla stature de N. Sarkozy, F. Bayrou ne soutient pas la comparaison, dans sa personnalité, son discoursperçu comme peu structuré ou encore son isolement.
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IIII. LES RAISONS DU CHOIX N. SARKOZY1. LE CANDIDAT NATUREL DE LA DROITE, QUI SEMBLE LE MIEUX PLACÉ
Le vote devient plus réfléchi, moins impulsif, et se construit désormais autour de celui dont le profil estperçu comme le plus présidentiel et le plus efficace pour barrer la route à F. Hollande.Pour cette population foncièrement inquiète, N. Sarkozy détient les atouts rassurants et l’expérience duchef, dans la crise et sur la scène internationale.
2. UN CHOIX PAR DÉFAUT, MAIS UN CHOIX LÉGITIMISTESi N. Sarkozy suscite de nombreuses réserves, notamment parce qu’il est perçu comme ayant écornéune fonction présidentielle sacralisée, le réflexe légitimiste vers le chef perdure : il s’agit de traverser lacrise, de réformer le pays, mais d’abord de barrer la route à la gauche, et aujourd’hui seul le présidentsortant en est capable.
I. PORTRAIT DES CHANGEURS DE F. BAYROU VERS F. HOLLANDEUn profil sociologique populaire, d’âge moyen et actif.Dans le vote de 2007 et dans les vagues précédentes, l’ancrage politique de ces changeurs est assez erratique, allant, surun large éventail politique, de l’extrême gauche au FN.
II. POURQUOI QUITTER BAYROU ?1. F. BAYROU, UN CANDIDAT PERCU EN RETRAIT, QUI SUBIT LABIPOLARISATION
F. Bayrou opère un retrait assez net : moins acéré que M. Le Pen ou J.L. Mélenchon, moins institutionnelque F. Hollande et N. Sarkozy, son discours laisse moins de traces, il semble s’effacer et parfois seperdre dans la recherche d’un champ politique « à part ».
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perdre dans la recherche d’un champ politique « à part ».2. LE DESTIN DE L’ÉTERNEL TROISIÈME CANDIDAT
F. Bayrou porte à leurs yeux le stigmate de l’éternel troisième et d’un candidat dont le destin consiste àse présenter à l’élection présidentielle puis à disparaître des écrans pendant cinq ans.
III. L’EFFET N. SARKOZY1. LE REJET DE N. SARKOZY : UN LEVIER PUISSANT
Les évolutions des intentions sont intimement liées au rejet de N. Sarkozy : sa personnalité, son bilan et la profondedéception qu’il a créée. Le « tout sauf Sarkozy » est érigé en axiome électoral. Le choix de F. Bayrou révélait la recherched’un « anti-Sarkozy » idéal.
2. L’ENTRÉE DYNAMIQUE EN CAMPAGNE DE N. SARKOZY FAIT PEURL’entrée en lice de N. Sarkozy fait resurgir l’hypothèse d’une réélection. En parallèle, la campagne de F. Hollande semblemarquer le pas. Le danger redevenant réel déclenche un réflexe mécanique du report utile sur le candidat le mieux placépour battre le président sortant, même par défaut.
A DROITE COMME À GAUCHE, ON N’IMAGINE PAS F. BAYROU CAPABLEDE RENVERSER LA TENDANCE ET D’ACCÉDER AU 2ÈME TOUR.
I. L’EFFET VOTE UTILE EST DÉVASTATEURLe retour vers F. Bayrou apparaît peu probable. Les craintes de victoire du camp d’en face sont tropimportantes pour pouvoir éparpiller ses voix.
II. LA CONCURRENCE DES CANDIDATS DU 2ÈME CERCLESi les circonstances permettent un retour à des candidats secondaires, F. Bayrou subit alors la
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Si les circonstances permettent un retour à des candidats secondaires, F. Bayrou subit alors lacomparaison des discours plus mordants de J.L. Mélenchon à gauche, ou de M. Le Pen à droite.
III. LE SECOND SOUFFLE EST JUGE HYPOTHÉTIQUEL’hypothèse d’un second souffle est jugée très peu probable tant les défis sont importants : uneredynamisation de la campagne, un nouveau programme, la construction d’une majorité politique, uneremontée fulgurante dans les sondages. Trop d’éléments rentrent en jeu.Il faudrait en somme que F. Bayrou effectue le redémarrage parfait d’une seconde campagne dansdes délais très courts. Les changeurs interrogés ne croient guère ce scénario possible.
Conséquence de cette désaffection, le décrochage de F. Bayrou dans les sondages alimenteet parfois conforte, chez ces électeurs, les doutes et interrogations sur sa capacité às’imposer.
Les changeurs en ce qui concerne : Nicolas SarkozyFrançois Hollande
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Jean-Luc MélenchonEva JolyMarine Le Pen
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17-18 février 201225 %
Pertes pour
N. Sarkozy
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N.Sarkozy
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N. Sarkozy
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N.Sarkozy
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*Dont F. Bayrou +0,5
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17-18 février 201232 %
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F.Hollande
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F. Hollande
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*Dont JL. Mélenchon -0,5F. Bayrou +0,5
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Pertes pourJ-L
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17-18 février 20123 %
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E. Joly0
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E. Joly0
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*Dont F. Hollande / F. Bayrou +0,5
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17-18 février 201216 %
Gains pourM.
Le Pen+1,5
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Le Pen-1
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Le Pen +1
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Pertes pourM.
Le Pen-1,5
Indicateurs d’opinionLes motivations de voteLes principales préoccupations des FrançaisLa perception de leur action et de leurs déclarations au cours des dernières semaines La crédibilité comparée de François Hollande et de Nicolas Sarkozy
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La crédibilité comparée de François Hollande et de Nicolas SarkozyLa popularité des candidatsL’image des candidats
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Intention de vote 1er tour de l’élection présidentielleIntention de vote 1er tour de l’élection présidentielle
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… pour la France… pour la France
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… pour vous … pour vous personnellementpersonnellement
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François HOLLANDE
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Présidoscopie– Ipsos / Logica Business Consulting pour Le Monde, le CEVIPOF, la Fondapol et la Fondation Jean Jaurès / Février 2012 – Vague 5
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