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A v i s a i . — l'I* Année
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CINO CENTIMES
L'AlTENTm DE ROUBAIX-TOURCOING J o u r n a l n ^ ï s ^ - t o l l o e t l n c*>\zotl<Uexi
Onnanme 4A Septembre l t „ „
mx DES U M K t t ANNONCES • a-. » to M i l
REÇÛMES . ; . ; . ; . ; « fr. M — " " ^
FAITS DIVERS # fr. T» -{T
LOCALES : . I fr. «t — '
Le* i n w e M seront reçue* « m d i j q u r M l , i P i n i , à > A ( i . c ^ M i « pli.a 4e le Bourse, 1»
T é l è p û o n ©
Faute de «rives , on se conleoU d« merles, dit UQ Tieox proverbe.
C'est sans doute a. une considération de 04 genre que le lieutenant-colonel Marchand doit d'être sans cesse accabla de Heurs par les journaux de la réaction,
On nous parle de lui d'une façon constante.
Ouand il ouvre la bouelie pour dire nne baa&UU, tous les ralapoila du bonapartisme se piment et les grenouillas mooar-eiiiales cessent de demander un roi pour n'extasier devant l'admirable langage du brav' colonel.
Quand il ae tait, les mêmes idiots l*ad-mirent de nouveau et vantent la réserve hautaine de ce soldat esclave de la discipline.
Il est parti ces jours derniers à Marseille. Nous avons appris avec une satisfaction des plus vives que la Compagnie P.-L.-M. lui avait fait lea honneurs d'un wagon réservé.
Il a déjeuné en route : On nous a fait connaître 1« menu de son repas et les admirables choses débitées par ce grand homme entre le fromage odoriférant et la succulente poire.
Un reporter subtil nous a même reièlè sou état intestinal.
H t . . . . Quand on assiste à ces puérilités, a ces
enthousiasmes ridicules, on se demande h quoi peut bien servir ce cabotinage et ce qu'il cache t
On reste perplexe devant celle mise en scène des moindres faits et Restes d'un homme qui n'est en réalité, ni un génie, ni un vainqueur.,, ni même un modeste.
Le lieutenant - colonel Marchand est simplement un brave soldat et un'mtelli-fefit oftieier ayant réussi à mener a bien, une mission qui luiavait été confiée.
Pour lui manifester sa satisfaction, le gouvernement l'a fait monter en grade avec nne rapidité inconnue a tous les autres officiers de l'armée.
Ce n'était pas assez. Ou l'a nommé commandeur de la Légion d'honneur à un âge où dans l'armée on eat rarement •fer* aliér.
En résumé, la République reconnaissant les services rendus par M. Marchand, a secoué au-dessus de sa tête, la corne d'abondance.
On l'a comblé de faveurs et on a tellement exagéré les manifestations à son ey-irU, qu'il eu est à se prendre pour un p u a i homme et à croire que la France ne ieut plus se passer des services d'nngénie toi que lui.
H faut remettre les choses au point. M. Marchand est un brave soldat, soit,
mais l'armée fourmille de soldats de ce genre.
C'est, a-t-on dit ainsi, un officier intelligent, bon ; mais il y en a encore quelques autres en France et nous nous demandons, quand on chante l'intelligence du* héros de Fa^hoda » , si les thuriféraires de notre grand boni nia prennent les officiers de notre armée pour une légion d'imbéciles i LA vérité est que M. Marchand, avec de belles fWsMtto militaires dont il n'a pas le monopole, » eu les bénéfices d'une chance extraordinaire.
11 s'est trouvé mis en lumière par les circonstances et aussi grâce à une presse bienveillante, ayant le compliment facile et l'enthousiasme persévérant.
On en est aujourd'hui à croire a la destinée du lieutenant-colonel Marchand
Toute la presse réactionnaire échafaude des projets sur les cinq galons de c< lieutenant-colonel.
Et M. Drumont va j oaqu'à écrire :
• Au milieu de l'abaissement général de caractères, du lamentable alTiibhsiemenl de «otontè», de l'universelle prostration de* iole
•»«
e celui-là
k*jr, qu'elle s'intéresse à tout ce qu< ictef inejonu lit tous il y a deux am demande t'ti n'a /m- le êitfue vu. nr>an<*. pour les t/nuuls devins t
le» libérateurs et lu ckrft <t> l>»>tpie:
(Test clair ! VoiU Marchand concurrent du prinei
Victor et deOamclte (Drumont pense qu'il a l'étoile mystérieuse des prédestinés.
Le directeur de la Libre Parole a sa.m doute des voix, comme Jeanne d'Arc. Un ange lui a suggéré U pensée que Marchand avait au front le signe des conducteurs de peuples.
Et nous avons un prétendant de plus I L'Eclair, moins emballé que M. Dru-
mint, se contente d'exprimer le désir de voir le lieutenant-colonel Marchand placé a la tête d'un* colonie africaine.
Voici la nouvelle idée de notre nat lislc confrère :
fiiiÛn, tl eit for <p.; i m, pour l'organisa-niîajr;* du Chi ' ir'.t>mnt au min .
i tel i
kt.>.aiMcapable éorcasiMt lauilaireneut i
...... eoromé, doue d'un dispentsble, le lieutenant-colonel Mar
chand a'impotait.
Toat'à-lait enrieux t Il s'imposait tellement que personne n a
;ongé à lai. Mais demain ne doit pas ressembler à
hier et U a été décidé, dans les milieux réactionnaires que le nom du lieutenant-colonel Marchand devait être constamment placé sous les yeux des lecteurs Aa certains journaux, afin de maintenir dans l'esprit des ma«ses, le souvenir en même temps que 1a popularité du Grand Explorateur.
Pour bien indiquer quel réle on entend faire jouer au lieutenant-colonel Mar-band, on l'oppose depuis quelque temps,
an chef de l'État. On imagine des scènes où M. Loubet
est en cause en même temps que le lieutenant eolonel Marchand.
Voici encore, i ce sujet, un eitrait de
Libre Parole d'hier matin. La scène se passe à l'Exposition (Pano
rama Marchand.) Ko armant devant, le dernier tableau, où :hand apparait debout sur un mamelon ou
floife le drapeau tricolore, une espèce de bousculade eut lieu : les hommes, les femmes-, les enfanta ae pressèrent DOUT mieux voir... Un cri sortit 'I" lestée les roitrinei : « Voila Fachoda ! Voila Fachoda 1 a
* Ce n'eat pas Kachodfl, dit l'employé chargé des explications, c'est le plateau central uu Bangui... Noua avons lu retirer par ordre le tableau qui réorientait Fachoda... i
Des protestations s'élevèrent... . — 0«' a pu donner un le) ordre } infci.-o
geail-on, — C'est I.oihel ! fit quelquVi
iniplement : • Loubet ttt <tn -aUaid ! a
L'homme cordial et sincère, nous a 'air d'être surtout un goujat, mais l'inci
dent est de peu d'importance. Ce qu'il convient de retenir; ce qui
fiappe les yeux, c'est que les partis réactionnaire!?, las d'avoir mis leurs espérances en des prétondanU sans prestige et sans énergie, sont en train de couver ''œuf Marchand..
Ils révent d'en faire un nouveau Boulanger.
Et il n'est plus douteux pour personne que le lieutenant-colonel Marchand se prête à la manœuvre.
Nous nons en tiendrons, pour aujourd'hui, à cette con-datation.
E LAGR1LL1ÈRE-BE AU CLERC.
La, grève des corps élus M. Vigne d'ûcloo, député de Lodéve, viei
i l i m t t k M électeurs une circulaire dar laquelle il rappelé aue, sur sa nroposition, confrè* ritïasUda fVstaae, avait voie une r toluiion eu vue d'obtenir du gouvernemoi
brobiilion du d'crei «JelKfi me U délai
quence, nt et vice-pre«ueni nu I-.OIUI« ra-
dttaf socialiste éa bodève, iui a louienu ta | W , une leKre par
laquelle il deoose eatre leur* tmtus uae déini»-sion de déuuie.
lt déclare, en outre, dans cette lettre qu'il faut faire la greva genéraie des corps élue : criri«eila miieieiDtux, conseils d'arrondissements, conseils généraux, déuutés, sénatcuri.
M. Vigne d'Oc'.on va un peu loin, et ai on .'écoulait il serait peut être le premier a regr.t-
La grève générale dos corps de métiers est une arme économique puissante pour les ouvriers, mais celle que nropos': M. Vigne d'Uot-m
osa le meini ;otjt d'abord-il a aie, ce ne serait i régionale.
appeler ffrève quu
ÉCHOS & HOUVEkliES
m •eatttr antiot da plaça que la •*.!••
LA notivilla hQ»cUa csi décoré» da anneau, dj Serra*. Dans toot
luiicnrirt er»nd-r>rii de Rome d uni r-v iinmiBI de lt villa Medif
CM qaatra panneam repréui ;'ea'r,ien iiijilique uoar un aud t ntaX, . pro'aïqua qa« la
qaatra grauda
aijiuiri-,
d..»t,i-
!.l-i!Z
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i«rf» da kras
faible**» ipfcial*. ptrea qaa laar* m t u •• i n*t a««i largts pour lai (iireicaa qa't» leur posa.
L* «ODfiei a discuta la qiaRlion «ta savoir »'i (allait MI «anitrairs dti piaaoi po«r la jaua» daat les toacba» aaraïaat MOIDI larj*• qaa catlai fjtaaoa ardi—tita. x
M. R.var éait faaiar qatl vasdiait aaltu iBppn-
ci, paratt-il, la saison des canarda. Je ne ici ni dt) volaillea. ni de gibier . il t'ugit
aaa palmipèdes BtùonalUtei qui prennent leur vui dans lea journaux du parti. CM aur le ministère qu'on travaille : oa nous donne deux
«relies qui ne sont pas positivement d'accord 'Belles. D'après l'une, ie gouvernement se
nt si désireux de rester, qu'il retarderait convocation jusqu'au 7 novembre, alla
d'ajourner le plus longtemps ses chances de
Bien entendu, ce sont les mêmes qui lancent es deux informations, bien qu'c.lcï soici/. lô èreœent contradictoires. On comprendra sans peine pourquoi je n'ad-
u ta majorité lui fait défaut ?
e !<r, iteroandi qu'une chose; c'est de vj mauquer a lui-même ; c'eat de reste
fidtde à son programme et h sa ti"he, Tunte les foia qu'il a «ngoge la lutte avec son drapet
' " srtr de la victoire. Il n'a jamais «te cora . es dôWllances,
il donc également inintelligible qu'il promis que par i
"1 serait donc le projet d'ndaoter l'u
formidables Ces interpeltatioi
blet qu'on le dit f 11
l'atlendcn aussi formrda-
is d'en douler. surtout M. Decraii qu'il (.'agirait
meut plus que fraternel, s'inmioleraicnt pour lui épargner U peine de répondre a des accusations accablantes. J'clime, nour ma part, que M. Décrois doit être beùuco'jp raoiui oj.ouïauiê -l'on ne le prétend.
Doux interpelhlions surfont toat annoncées, une, de notre ami Vijrné d'Oclon, aura un s -;iix intérêt et peut révéler des kits Irea gr«-a, des abus odieux nnquela il est urgent de
mettre un ter#e, de crimittcllea vialenc .î qu'ii faut réprimer et arrêter. Bill nombre de ces faits sont antérieur* au ministère actue': *, et le
:tuel n'est pis suspect, de sympathie
La Candidature Hax Régis
U gf» dwva te i
l'atrle, lesjifir.THuiqui ont p.ib:ie le manifeste il: départ d" M. It^is n'en ayani souilla mot. -Nous voila lises ofacietiement.
Qui v* {'ire ln>m .iirun» de ajstl résolution ibite du maire d'Aiger f fout d'abord Isa prs-tUH> ces braves antiaennies algériens, que iiir chef aosodonne pour ies Parisiens .«le h
•Meeicoort. Atf^r sttes Mit K^gis, ceii
pour les abus militaire qu'il les déleste i les a-t avec l'énergie nécessaire ? Tume'la qu' là. L'interpellation Vian' -
lui don-ie la force contre les infl-
quelles il a narfois reculé. Je n'affirmerai pas qu'il (a désire ; mais s'il
Ht bien inspiré, il en profilera ; et il ae félicitera plus tara d'en avoir profité. Le militarisme colonial a pria de* mesures DIUS intolérables encore que le militarisme mètroDOhtain fl s'est
sanglantes brutalités, grâce aux légendes chai lepiei
Voulet-de bonnes raisons de pen-
pent fort, s'ils imïgini-nt que le gouverne mont craint lea implications sur ce sujet. Tous les hommes de bon sens ont déjà re-
iirqiié l'absurdité du roman lancé oer la presse îiiitaristc. On s'en rapoelle tes éléments . le
ministre envoyant a, la Fièvre Jaune lea instructions les plus précises, pour qu'eile supprime
lusvile les témoins qui pourraient le gêner: :1a pour conclure que les faits attestés de
la façon la plue probante sont de pure imagina-; et que jamais Voulel ni Chanoine n'ont
fait de mal au lieutenant-colonel Kiob. Tout cela est si ridicule (dans une question qui n'est
ible) qu'on voit mai le \.>inisiére
M. Wal-deck Housseau ie déplacement du farouche M. Lutaud. De projets d'avenir parlemeniaira, il
nullement question, " " ut du ininiatn
préfet- Les aigerieus, là-bas, tendent. (Je pauvre M. Lutaud t Ali I il n'a «s «u'a faire tet malles o.i-ind Max va tt-
Ilelaa ! c'est M. Lutaud qui restera tt M. Mai U-'gis qui parfira. Son rêve est d'être d*nute de Paris. Alger n'a puis aaa préfer
effrayé d'avoir dage decalomn , pour raa t>art, qu'il
pas attendre, et de > de détromper jus-
isble à admettre qu'il ne compte pas confondre Je;
Il faut ae faire une étrange idée des n • duels pour croire qti ils puissent avoii
tion ie quitter leur xfosti "
actuels estiment que l'œ binet a été institué est t
convient dp reoasterla m?
'êfre exatiqués sur ton ce qu'on leur reoroche. Il seraientbten ennemis d'eux-mêmes s'ila fai-aienl à leurs adversaires le plaisir de sembler
t DIUS de même? Voi o-itrçmtaaff qu'il ou' que LtW politique
B« produire des ine' L t L heure à laqueli
majorité des • - écrasant nfestntion écrasante que v
sorte de plébiscita municipal parable. D* tous cô.és, les élus des coi crient : « Nous ne vouions connaître invitation que cel!» du youverneuism fense rcpublicaine ».
— Assurément, ce n'est pa* dans un ment que le cibiuet awrt se coflitderer vaincu d'avance, et né voir de reloge q une sorte de déroute avant la bataii.e. ! sa lâche terminée, et si le anjarilé est I sentiment, c'est la tête imite, en prcl représentants du o«ys qu'il doit reiOi
de bien imiràen
ùde. Quant à retarder, au-delà de la mesu
sonnable, la date de la convocation des bt-es, et aérait un<i fente toute gratuit' aurait d'abord, pour la politique répubi les olus graves conséquences ai elle devait
actes de fai des deui
Chambres ei'tt probablement épargnés an eebt. net. D'une la<;on générale, la cause que repre
)p mollement) le miniatere n'a qu'a la discussion. L'expérience l'a prouvé
1 sérieusement contester que la réac-t perdu, par c*a attaques
Camille PELLETAI».
t-t-ile l ia
! Alger ? certes p i celle-là. les
Lt?» Puissances L'ALLEMAGNE
Cologne, 14 septembre. — La Gaself de eiogrte reçoit de Berlin une commuait n date du 13 dans laquelle on s'attache
futer les opinions fausses exposées à l'étranger concernait la politique de lAllemagaa Chine.
On s'est déjà efforcé,
'.e de Cologne,
Yang Tké-kniiig, <
cette région t Au point de vue interaaliont
platement d'accord avec lea puis déclaré que la politique de la porte o
•rnant la »alle0
que relativemet E >' un grand nombre de navires de guerre
allemands se sont rassemblés à l'embouchure Yang-Tje Kiang, et ai l'Allemagne, suivant
autres puissances, a débarqué, a Î compagnie du 1er
.lSêri . „ , , ! •
Nos Dépêches Par Fil Téléphonique soéciîl
EN CHINE Où en sont les négociations
V iici une importante dépé-.us que le Dail Mail dit lui être adressé par son correspondais
fixe i« point ou en sont bu m
bi eiii! r f'ise les prouosittons. i L'AuUiche et ilialie n'ont pas idu d'une ftçon oflicielie, car eilei :n.m de i'Angltterre et de i'Allemi . l.'Vllemntjn", qui a été la prern idre, dit qu: i'«.-.ceptationds ces p
a impossible'' i v t-r. Les massue •s de atatteiM icr«tent alors à re ! Ea même lemus, l'Aiemsgne
qu'elle ne s'oppose pas a l'envoi de »<
• Ma^r-: c i Pckiti
Sa Maieitê !?'
i plan diploi :iueni a'«*t Duiietnent a'at
st il 7 aura betacoup a
Il Itratffictoé par la vois i i leal liomnio nour l'aceon
BiDar lea«lraa«iri. praitqie da ta* poHr<.
dùmoatré com'i>i tu. prâfeot. aaeatia des puissant
asien de Urrito.ru. a» idant ajoute quî Li-Uang Ching question concernant les respon-
par l'impératrice au sujet
détourné bilitêa
des édita ordonnant l'exterminati
Shanghai, fanterie d'Kitrême-Orient, ces mesures étaient
"remeni justifiées par les graves inquiétudes mèea à Shanghai par lea nationaux de
de-vjnerre à Uan-Keou.
X^es EItctt»-TJrHai New-Vork, U s
i publie hier eoir hingîon :
- Les membres du eib-r,
préoccupés qu'autrefois par le conflit d'intérêts qu'a fait naître et se développer la question de la politique du gouvernement en Chine.
Toutefois, i. n'est pas invraisemblable que représentations diplomatiques seront taitea puissances, faisant ressortir que les opéra
tions contre Pao-Ting Fou impliquent la prolongation de la guerre,
a Un groupe considérable d'exportateurs emé-icains, qui ont de grants intérêts dans les ffaires chinoises, ont adressé un appel près* aot à l'administration pour quelle ne fasse
entions déjà formulées de maintenir la porti •uverte en Chine et l'intégrité d% l'empire.
prépondérante et
r les .' 1 J d " ;
<•
•
-T
1
gouvernement ne
expression dans
P»'
<: elle
ques.Celte OD ette formais*:
iricaines ne doivent oas rest a que le temp ait reinarquei
n des troupes si 1* l'opinion se manifeste a
fond dans
« Les trou-
maintenant, qui la
i Pékin. qui prévaut en
e n'exige le
Amérique vec force, même parmi
ULTIMATUM DE U RUSSIE fa l ï H i i i É ^ - t : i i i * i i * i
Li Daify éfXf/rmt publie la dépêcha sui' le Berlin :
« La Ligue navale allemande nia ipprend que Li-fliinR-Ciang a reçu du goi
. et au'enfarnaés tdttt leur inactivité sereine, lea chers d'Etat, lea gouvariav itient», les Parlements n'écoutent p*$ le voie sttV peuples de l'ancien et do nouveau monde déffe acquis aux Boira tt reclamant poor eux justice. K K l i i F K I I X B O I I I A
Le OaiOj Mail publie une dépêche de «M correspondant particulier de Leorenço Marquez ainsi conçue :
a J'apprends que le «résident Krûger vient da i rien de p rendent de la Kepa-
blique du Tranavaal, mais qu'if raaU a e m a n du Comité Exicutif, et c 'es t» cette qualité) qu'il a reç i un congé de an meie.
M. Kmger a visiie au>ourd'had lee fooetion-ei portugais de Lourenço-alarquM. Pendant le trajet du Transvaal à Lourtnao-
Marquet, en chemin de fer, la préaideot n'a quitté son wagon-aaloa qu'à deux milles de lat
nli la reste du voyage en ba-ville. Il a
Le général B-n Viljon le remplat il en qualité de commandant auprème. »
Le Central JVttos, data awe éapeche de Cape-
qaex.
Proclamation de lord Roberts Londres, l \ sentembre. — Le ministère de
i guerre vient de' recevoir une r , i-x-' laneé
dépêche de lont i-oclnma-"
•le départ dot mi- laquelle il déclara «ui président Krûger prouve que la lutte est déset--'-^- et qu'il ne-peut se produire atterro- intar-
•<'* avoir enumér- le nombre des Boera i.-i son niera, lord Rofcerte termine sa pta-tioa en disant que la campagne a d>g«-m opération irrégulière.
y M m M mm Paria, le septembre. - Certaines difficonuiei
de lottementa peuvent se pradnlre peur les K),00t) maires qui arriveront, la plupart, avec leur famille, sait 50 à 60,000 personnes. Lu président du syndicat des hôtelière de Paris, If.
•a(z, se met t la disposition des maires peur iliter la découverte de chambres et d'hoiese. illeurs, la plupart de ceux qui doivent venir banquet ont déjà pris leurs précautions «C i trouve encore asses aisément à ae lofer, t sont nombreux lee habitants de Paris ejof , ouvert dea appartements meublés.
de régler soit lea divers détesta H - •
peux points, i
le fflOQvemoBt préfectoral ET LE PREFET DU MORD.
Paris, 10 aeplembre. — L'Agence ftttoa* immunique, sur le prochain mouvement ad-imatratif, la note suivante, dans laquelle il eet it à nouveau allusion au départ de H. Via» ml, orefet du Nord : « Lé mouvement administratif actueUeosent i preparatisn au miniaière de l'intérieur s a ra définitivement arrêté que vers ta fin de ra
• Ce mouvement qui sera très important, irfera sur un grand nombre de préfecture!. » On sait qu'il y a lieu tout d'abord de dési
gner ie titulaire de la préfecture des Boucfaes-Bbone, vacant depuis quelque temps déifc
, : suite de ta nomination de M. Fioret à d'astres fonctions.
lutres préfets doivent quitter l'adaai-préfectorale, à savoir . H. Boudier.
préfet de la Haute-Vienne, qui va êire pourvu ste dtj trésorier-payeur géoéral ; H. Re-préfet de l'Aube, qui i
et N. Leroux, préfet du Rhône*
de Chine reprendra le goi de l'empire. Le prince Tuan et tes
des Boxers seront mis en prison et punie. » L'influence de l'imperairice sera en outre
entièrement exclue ». » Si cette information est exacte, la Russie
aurait donc l'intention d abandonner, du moins en princioe, sa tentative d'évacuation et cber-
errer la pré-
qui sera appelé à d'autres fonctions. a M. Watdeck-Rousseau ne compte pas limi
ter le mouvement a ces quatre postes. » Il se pourrait qu'un cinquième préfet qait-
ttt l'administration : M. Vincent, préfet da Nord, parait devoir être nommé dans un autre département.
Une lettre du docteur Eenric septembre. — Le docteur tienne, n Voiilet-Cuanoine, arrivé i-i Séod-t'auban, vient d'adresser au Petit
tre suivante, datée du laxaret
pas pressées
du budget, '
ut incompréhensible que t uniquement pour te plais
a risquât de
i m pê lie misent élaboration des reforme: tendue*. Le début de li été brillant à eei égard
la* réfléchit que la Chambre,
I aiaaplainsat t
elle, latUfe acce; en t...-clin-ut les ûroposilions.
» Hier, le geuveraem'ml bii'.anniqie s'est cidt à rïponire, en disant iiuil lui «4*il iuti sii.ie de retirer ses troupes a «mit que l'eni. toit eomplètcmeul elsblie avec le gouveroe»
» Celle réponse diffère tin tant soit, M
» Je ii 'use que la Russie et la Franc dans une position quelqui et qu'elles ne seront cens • i nhindonner la cil* en ni
a Le prince Ching a été delinitivemeat ac-eeptl comme négociateur de pais. L'Allemagne
' opposées à Li-llung-Cliang;
cuent IVkm, les autres puiaaaaceay resteront. »
Hal-IXVLXX#£«Ol3L£iri4X Le Daiiu Express publie une dépèche de eo&
corresapndaut partiealitr de Shanghai, aiaei
Li-Haag-Chang e d*-
» .„ , i ,
La Guerre _au TransYaal L a flilttiA-tlaorL
Le jTeiident Krûger, dont nojsavo.'jsannona 1" pr-x-uiiu départ pour l'Europe, vient, parait il. de donner sa démission de Président de 11 République du Tranvaal ; le général H6>;ha, dé'
irage par l'attitude sans énergie de s> '
i l'echo lufSt d'aill i garde. Oa ae saurait oui ins ont encore pour deux s
lart qn'il qaillsrait Sbaagh; Piia-Tiia, I M « M I , as pns
- U prise* Ck.af «i Mi, dit-il, sass SVMI «M | d* ton pesple ii loianaa avw tieias pesvetoi par l'amcaresr ' "
Quant Krsger, c
— ..nglai^ considèrent ce voyage te m acte de desespoir, U plue vulgaire Mr.liment e générosité commanderait alors de respecter n vieillarl exilé et proscrH. En vérité, il ne drierte pas *an poste, il chol-
it un autre terrain d'action . il vient au nos ot une dernière* baïaiila devant . A teti le* sHssonaes «alsar-
du Frioui, 12 septsmbre :
TSS& ISS F
i Seaégit t dMJda M
m*. . j« sais abialumciu décid
«*•! jof» des rseaste
Dacltmr Haamin.
LE PROCÈS DS L'ABBE SAlfTOX Parie, l i sçpteaibre- — A midi, l'andleoeaT
ne , fe déûii dci léffloias coalinue. ire, igé oe K> ans. v ent d*el*-qu'il a élé, i
Le je'il
aitouchemenu i
hareèr* questions emnarrM*asise,ea
de l'ahbe Sanlol. M' Henri
•cènet de ta
s arrivée à •
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