Informations pratiques Calendrier Vendredi 16 Février 2018, de 09:00 à 16:30
Lieu Salle de conférence attenante à l’Église protestante de Bruxelles-Musée, Coudenberg 5, 4ème étage, 1000 Bruxelles.
Inscriptions
• par l’envoi du formulaire ci-joint à la FUTP.• par internet sur www.protestafac.ac.be/frAttention ! Nombre de places limité. Inscription confirmée après paiement.
Frais d’inscription 20,00 € (pause café et lunch sandwiches compris).32,00 € avec les Actes (envoyés dès parution)
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8 Vérité ou vérités ? Du rapport humain à la vérité
Vendredi 16 Février 2018
Il y a des vérités que l’on cherche, sans fin. Sans jamais qu’aucune d’entre elles n’épuise la quête. Et puis, il y a celles qui s’imposent sans autre argument que la prétention de l’universel, voire d’un absolu parfois venu d’ailleurs. Il y a celles que l’on trouve au terme d’un minutieux travail d’enquête ou d’expérimentation ponctué d’expertises, de preuves ou de contre-argumentations. Celles aussi dont on rêverait qu’elles puissent exister, simplement pour se poser, juste pour un temps, celui de calmer une angoisse passagère. Il y a aussi celles qu’on raconte — qu’on se raconte aussi — avec l’espoir secret de convaincre d’autres de partager nos récits. Et puis il y a celles que l’on cache parce qu’on en sent la force, atten-dant le temps opportun pour les partager. Il y a celles aussi qu’on instrumentalise, enivré par leur pouvoir. Celles qu’on impose, parfois même avec violence…
Quel rapport les humains entretiennent-ils avec la ou les vérités ? Rien que les déterminants utilisés pour définir la vérité par rapport à soi peuvent suffire à donner une première indica-tion sur ce rapport. Si, après l’énoncé d’une proposition je dis « c’est ma vérité », ce n’est évidemment pas la même chose que si je dis : « c’est la vérité ».
Tout le monde tient un certain nombre de choses pour vraies. Mais selon quels critères ? Les raisons sont-elles toujours objectivables ? Et pourquoi certains choix convictionnels s’inscrivent-ils d’emblée dans la pluralité pour les uns et dans l’exclusivité pour les autres ? Tant de combats et d’affron-tements au nom de « la » vérité. N’existe-t-il vraiment aucune clé pour permettre à certains d’être évités ?
Entre revendication d’absolu ou d’universel et relativisme complet, les vérités s’accrochent aux connaissances, aux croyances et aux espoirs humains, parfois dans une confusion totale de leurs niveaux de langages. Pourquoi, aujourd’hui encore, opposer des vérités purement idéologiques avec autant de force que s’il s’agissait de connaissances ?
La FUTP propose une journée d’étude pour interroger les rapports que l’être humain entretient avec les vérités.
En matinée, nous clarifierons, dans un premier temps, le champ du questionnement par la distinction des niveaux de langages et les axes autour desquels s’articulent les propositions de vérités. Ensuite nous interrogerons les méca-nismes humains qui se mettent en place dans la construction des rapports à ces propositions, à la fois dans leur énonciation, mais aussi dans leur réception.
Ensuite, nous interrogerons la démarche critique des textes fondateurs. À quel moment peut-on s’attendre au dévoilement d’une vérité ? Enfin, nous questionnerons le discours théologique. Comment peut-il nous aider dans l’énoncé de vérités qui entre en résonance avec les nôtres ?
Pour nous guider dans ces champs de réflexion, en matinée, nous écouterons les interpellations d’un philosophe (Bernard FELTZ), d’un psychiatre (Jean-Pierre LEBRUN), d’un économiste (Jean-Luc DEMEULEMEESTER), d’une exégète (Priscille DJOMHOUÉ) et d’un théologien (Christophe CHALAMET), tous deux protestants.
L’après-midi se succéderont des prises de paroles situées. Les intervenant(e)s donneront leur éclairage sur cette thématique à la lumière de leur expérience professionnelle. Ils/elles aborde-ront leur présentation, à la fois, par le biais des compétences qu’ils/elles développent, chacun(e) dans leur domaine, mais aussi par la compréhension qu’ils/elles ont du rapport que les personnes, avec lesquels leur métier les met en relation, entretiennent avec la ou les vérité(s). Nous souhaitons élargir la réflexion à d’autres domaines que la seule sphère théologique ou religieuse. Aussi réunirons-nous six personnes parmi les profils suivants : Cécile DUMORTIER (Présidente honoraire de chambre près la cour d'appel de Liège), Benoît MARIAGE (cinéaste), Alain KENTOS (médecin hématologue à l’hôpital de Jolimont), Catherine ERNENS (journaliste à Moustique), Georges QUENON (pasteur à l’EPUB),
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