1. 4 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard Animations illustrant certains processus dynamiques
Actine-myosine Pompe Na-K
2. 5 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard Partie 1 Plans dorganisation et classification QCM
supplmentaires Indiquez la ou les rponses exactes 1 Les
Eumtazoaires a ne renferment que les diploblastiques b possdent des
tissus vrais c sont des Eucaryotes pluricellulaires 2 Les Cnidaires
a possdent une lame basale entre lendoderme et lectoderme b
possdent des cellules nerveuses regroupes en organes nerveux c ont
une larve de type Nauplius 3 La mtamrie a est trs marque chez les
Mollusques Polyplacophores b existe uniquement chez les
Triploblastiques c est obligatoire chez les clomates 4 La cavit
pallale a correspond un repli du manteau chez les Mollusques b joue
un rle analogue celui du clome c peut servir la locomotion 5 La
classification phylogntique cladistique des Mtazoaires a traduit
des liens de parent entre espces b repose sur des hypothses
dhomologies entre organes c repose sur lutilisation de critres
dhomoplasies
3. 6 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard QCM supplmentaires Corrig 1 b et c (fiche 23) Les
Mtazoaires sont des pluricellulaires possdant des tissus vrais.
Certains Diploblastiques, tels les Porifres ne sont pas des
Eumtazoaires. Tous les Triploblastiques sont des Eumtazoaires. 2 a
(fiche 26) Les Cnidaires sont des Eumtazoaires. Ils possdent deux
tissus : endo- derme et ectoderme, spars par une lame basale. Ils
disposent galement de cellules nerveuses diffuses. Leur
dveloppement passe par une larve de type Planula et non Nauplius. 3
b (fiche 30) La mtamrie nexiste que chez certains Triploblastiques
condition quils aient un clome. Cependant, tous les clomates ne
sont pas mtamriss. Les Mollusques Polyplacophores sont des
Triploblastiques aclomates. Les segments de leur corps ne
proviennent pas dun dcoupage du corps par mtamrie mais de
ladjonction de segments 4 a et c (fiche 29) La cavit pallale est un
repli du manteau qui apparat chez les Mollusques. Les Mollusques
sont des clomates clome rduit. Cette cavit remplace certaines
fonctions du clome. Chez les Mollusques Cphalopodes elle per- met
une locomotion par propulsion. 5 a et b (fiches, 33 ; 34 ; 35 ; 84)
Dans la classification phylogntique, les homoplasies sont cartes
des cri- tres retenus. Seules sont conserves les homologies pour
tablir des liens de parent entre espces.
4. 7 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard Partie 2 ADN support de linformation gntique Indiquez la ou
les rponses exactes 1 Linformation gntique est porte : a - par les
protines constituant la chromatine b - par la molcule dADN c - par
les nuclosomes 2 Les nuclosomes sont : a - des complexes protiques
b - des rgions du noyau c - forms dun cur protique autour duquel
senroule lADN 3 Lhtrochromatine correspond de la chromatine : a -
htrogne b - fortement condense c - toujours inactive 4 La
rplication est : a - un mode dexpression de linformation gntique b
- catalyse par des ADN polymrases c - un processus de duplication
de lADN 5 Les transversions : a - sont des processus dchange de
matriel gntique b - rsultent derreurs de la rplication c - sont des
substitutions de bases 6 La rparation de lADN : a - passe forcment
par llimination de nuclotides b - peut se faire par recombinaison c
- est assure par un processus unique
5. 8 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard QCM supplmentaires 7 Les transposons : a - se dplacent
entre les cellules b - sont qualifis dlments gntiques mobiles c -
sont lorigine de mutations 8 Les recombinaisons gntiques : a - se
produisent uniquement dans les cellules germinales b - ncessitent
de vastes homologies de squences c - permettent des rarrangements
du matriel gntique 9 Les agents mutagnes : a - agissent en
perturbant la traduction des protines b - induisent la formation de
mutations sur lADN c - peuvent sintercaler dans la molcule dADN 10
La transduction bactrienne : a - est un processus impliqu dans la
communication cellulaire b - est un mode de transfert de gnes entre
bactrie c - est une cause de la variabilit gntique
6. 9 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard Corrig 1 b (Fiche 37) Linformation gntique est porte par la
molcule dADN. Dans les cellules eucaryotes, lADN est associ des
protines pour former la chromatine. 2 c (Fiche 38) Les nuclosomes
sont constitus dun noyau protique, rsultant de las- sociation de 8
histones, autour duquel senroule lADN. Ils constituent les lments
structuraux de base de la chromatine. 3 b (Fiche 38)
Lhtrochromatine correspond une forme condense de la chromatine. On
distingue lhtrochromatine constitutive en permanence inactive et
lhtrochromatine facultative qui peut tre active dans certains types
cellu- laires. 4 b et c (Fiche 39) La rplication est un processus
de duplication de lADN catalys par des ADN polymrases
ADN-dpendantes. Elle se droule avant les divisions cel- lulaires et
permet la synthse de nouvelles molcules dADN partir dune molcule
matrice. 5 b et c (Fiche 42) Les transversions sont des
substitutions de base correspondant au rempla- cement dune base
purique par une base pyrimidique ou inversement. On les oppose aux
transitions qui impliquent la substitution dune base purique par
une autre base purique ou dune base pyrimidique par une autre base
pyrimidique. Elles peuvent rsulter derreur de lADN polymrase lors
de la rplication. 6 b (Fiche 44) La rparation de lADN met en jeu
diffrents processus cellulaires. Certains induisent lexcision de
nuclotides, dautres lexcision de bases et dautres encore passent
par le renversement direct de la lsion sans passer par une
excision. Certains processus impliquent des recombinaisons entre
fragments homologues.
7. 10 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard QCM supplmentaires 7 b et c (Fiche 46) Les transposons sont
des lments gntiques mobiles pouvant se dpla- cer, lintrieur dune
mme cellule, entre des rgions du chromosome. Le mode de dplacement
peut induire des mutations par insertion, ou par dltion. 8 c (Fiche
45) Les recombinaisons gntiques se produisent aussi bien dans les
cellules germinales que somatiques. Elles induisent des
rarrangements gntiques selon deux mcanismes distincts. La
recombinaison homologue ncessite de vastes homologies de squences,
tandis que la recombinaison site spci- fique, se produit entre
squences ne prsentant pas de vastes rgions ho- mologues. 9- b et c
(Fiche 42) Les agents mutagnes induisent la formation de mutations
sur lADN. Ils peuvent agir en sincorporant la place des bases, en
sintercalant entre les paires de bases provoquant un dcalage du
cadre de lecture, ou encore en favorisant lapparition de mutations
spontanes. 10- b et c (Fiche 47) La transduction bactrienne est un
mode de transfert de gne chez les bac- tries se produisant via des
bactriophages dits transducteurs. En partici- pant aux changes de
gnes entre bactries, elle est lorigine de la varia- bilit
gntique.
8. 11 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard Partie 3 Alimentation Indiquez la ou les rponses exactes 1
Les nectarivores : a sont exclusivement des Insectes b se
nourrissent du nectar des fleurs c ont des stylets capables de
perforer le bois 2 Le sphincter pylorique : a empche le reflux
oesophagien b ferme lestomac, cot duodnal c scrte des enzymes
digestives 3 Le pristaltisme : a est d des contractions coordonnes
des deux couches musculaires de lintestin b permet la progression
du bol alimentaire dans le tube digestif c est un processus limit
au duodnum 4 La bile : a est riche en protases b est une scrtion
hpatique c contient des dchets mtaboliques 5 Labsorption
intestinale des lipides : a se fait par voie paracellulaire b se
fait par endocytose c concerne les monoglycrides et acides gras
libres
9. 12 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de Daniel
Richard QCM supplmentaires Corrig 1 b (Fiche 114) Les nectarivores
se nourrissent du nectar des fleurs. Ce mode alimentaire est prsent
chez certains Insectes (Lpidoptres, Diptres) mais galement chez des
Oiseaux tels les Colibris. 2 b (Fiche 116) Le sphincter pylorique
est situ au niveau du pylore, point de passage du chyme entre
lestomac et lintestin. Cest une structure musculaire qui contrle
lvacuation gastrique. Le sphincter pylorique ne scrte pas den-
zymes. Cest le sphincter sophagien qui intervient dans la
communication entre sophage et estomac. 3 a et b (Fiche 116) Les
mouvements de pristaltisme sont des contractions coordonnes des
deux couches musculaires du tube digestif. Ils permettent la
progression du bol alimentaire ou du chyme. Le pristaltisme
concerne lensemble de lin- testin et non le seul duodnum. 4 b et c
(Fiche 117) La bile est une scrtion dorigine hpatique stocke dans
la vsicule bi- liaire. Elle contient essentiellement des dchets
hpatiques et des sels bi- liaires, mais aucune enzyme
digestive.
10. 13 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Partie 3 Circulation Indiquez la ou les rponses
exactes 1 Le cur des Mollusques : a possde deux ventricules b nest
pas cloisonn c est entour dun pricarde rigide 2 La systole est : a
la phase de contraction cardiaque b la phase de relchement
cardiaque c la phase de repos cardiaque 3 Le muscle cardiaque : a
est de type lisse b est de type stri c permet la propagation de
linformation lectrique 4 Laorte : a est la plus grosse veine de
lorganisme b est une artre trs compliante c est un vaisseau riche
en muscle lisse 5 La filtration capillaire : a est dpendante de la
pression atmosphrique b se produit lextrmit veineuse des
capillaires c est la rsultante des pressions oncotique et
hydrostatique
11. 14 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard QCM supplmentaires Corrig 1 b et c (Fiche 98) Le cur
des Mollusques possde deux chambres successives ; un atrium et un
ventricule. Il nest pas cloisonn. Le pricarde est rigide et ce cur
se comporte galement comme une pompe aspirante. 2 a (Fiche 99) La
systole est la phase de contraction cardiaque ; elle comprend une
courte phase de contraction isovolumtrique (sans jection) et une
phase djec- tion du sang vers les artres. La phase de relchement
sappelle la diastole. Il ny a pas de phase de repos cardiaque. 3 b
et c (Fiche 100) Le muscle cardiaque est un muscle stri. Il diffre
cependant du muscle stri squelettique et il est qualifi de muscle
stri cardiaque. Les cardiomyocytes, lments unitaires de ce muscle,
communiquent entre eux par linterm- diaire de jonctions gap qui
permettent une propagation lectrique. 4 b (Fiche 105) Laorte est la
plus grosse des artres. Sa paroi pauvre en muscle lisse lui confre
une grande compliance. Sa compliance permet damortir les varia-
tions de pression dans le circuit vasculaire. 5 c (Fiche 105) La
filtration capillaire se produit essentiellement du ct artriel des
capil- laires. Cette sortie de liquide dpend de la pression
oncotique (pression os- motique due aux protines sanguines) et de
la pression hydrostatique. Elle est indpendante de la pression
atmosphrique.
12. 15 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Partie 3 Lquilibre des compartiments liquidiens
Indiquez la ou les rponses exactes 1 Le compartiment
intracellulaire est : a riche en Na+ et en K+ b riche en K+ et
pauvre en Na+ c riche en Na+ et pauvre en K+ 2 Les rythrocytes sont
: a des cellules sanguines nucles b des cellules sanguines
contenant les molcules dhmoglobine c impliqus directement dans la
formation du clou plaquettaire 3 La glycmie est : a le taux
plasmatique de glucose b la concentration cellulaire en glucose c
lensemble des glucides du sang 4 Les rponses de lorganisme une
acidose sont : a llimination de HCO3- au niveau rnal b llimination
de H+ au niveau rnal c lhyperventilation 5 Les contraintes
osmotiques du milieu marin sont : a une forte osmolarit b une
faible osmolarit c une forte variabilit osmotique 6 Les animaux
endothermes : a doivent bnficier de lnergie solaire pour se
rchauffer b maintiennent leur temprature interne par leur
production de chaleur c sont tous des homothermes
13. 16 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard QCM supplmentaires 7 La thermogense sans frisson : a
est une contraction involontaire des muscles squelettiques b met en
jeu la dgradation des rserves lipidiques c met en jeu une protine
dcouplante, lUCP 8 Le calcium est ingalement rparti dans
lorganisme, la plus grande partie se trouve : a dans les liquides
extracellulaires b dans los c dans les liquides intracellulaires 9
Un organisme hyperosmotique : a a une osmolarit suprieure celle du
milieu b est soumis une entre deau c a une osmolarit infrieure
celle du milieu 10 Dans le nphron, les ions Na+ : a ne sont pas
filtrs au niveau du glomrule b sont rabsorbs au niveau du tube
distal sous linfluence de laldost- rone c sont rabsorbs au niveau
du tube collecteur sous linfluence de lADH
14. 17 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrig 1 b (fiche 82) Les compositions
lectrolytiques des compartiments intracellulaire et extra-
cellulaire sont diffrentes. Le compartiment intracellulaire est
riche en K+, phosphates et protines et pauvre en Na+. Le
compartiment extracellulaire est linverse, riche en Na+ et Cl-. 2 b
(fiche 83) Les rythrocytes, ou hmaties, sont des petites cellules
dpourvues de noyau. Ils contiennent diverses protines dont
lhmoglobine qui reprsente 70 % de leur masse. Ce sont les
plaquettes et non les rythrocytes qui sont impliques dans la
formation du clou plaquettaire. 3 a (fiche 85) La glycmie reprsente
le taux plasmatique de glucose. Sa valeur normale est de 5
mmole.L-1, soit environ 0,9 g.L-1. 4 b et c (fiche 86) Lacidose est
une diminution du pH sanguin, elle peut se faire avec accumu-
lation de CO2 (acidose respiratoire) ou sans modification de CO2
(acidose mtabolique). La rponse de lorganisme une acidose
respiratoire est lli- mination rnale de H+, tandis que la rponse
une acidose mtabolique est lhyperventilation. 5 a (fiche 89) Le
milieu marin est un milieu aquatique concentr en lectrolytes, son
os- molarit est leve. lexception des zones destuaire, le milieu
marin est un milieu trs stable au plan osmotique. 6 b (fiche 92)
Les animaux endothermes produisent suffisamment de chaleur pour
main- tenir leur temprature interne au-dessus de la temprature
ambiante. Les animaux homothermes sont ceux qui maintiennent une
temprature in- terne stable. Certains endothermes comme les
mammifres hibernants sont temporairement htrothermes, donc
endothermie nest pas synonyme dhomothermie.
15. 18 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard QCM supplmentaires 7 b et c (fiche 93) La
thermogense sans frisson met en jeu la dgradation des rserves lipi-
diques. Le tissu adipeux brun est particulirement efficace dans ce
type de production calorifique. Cette spcificit est due au fait
quil possde une protine particulire, lUCP (uncoupled protein) qui
annule le gradient de protons de la membrane mitochondriale. 8 b
(fiche 87) Le calcium de lorganisme se trouve majoritairement dans
los (99,9 %). Dans los, le calcium se trouve sous sa forme
minralise. 9 a et b (fiche 88) Un organisme est dit hyperosmotique
lorsque son osmolarit interne est suprieure celle du milieu
aquatique ambiant. Leau se dplace, par os- mose, des milieux faible
osmolarit vers les milieux forte osmolarit ; donc lanimal
hyperosmotique est soumis une entre potentielle deau par osmose. 10
b (fiche 91) Les ions Na+ sont normalement filtrs au niveau du
glomrule rnal. Leur rabsorption se produit essentiellement au
niveau du tube contourn distal. Cette rabsorption est sous la
double influence de laldostrone, qui la sti- mule, et de lANF, qui
linhibe. LADH nagit pas sur les mouvements rnaux de Na+.
16. 19 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Partie 4 Communication hormonale Indiquez la ou les
rponses exactes 1 Lhypothalamus : a ne scrte aucune hormone b scrte
le CRH c scrte lACTH 2 La zone glomrule : a est une partie de la
mdullosurrnale b scrte les catcholamines c est une des zones du
cortex surrnalien 3 Les hormones thyrodiennes: a sont sous la
dpendance de TSH et TRH b ont des effets sur la croissance c
participent la mtamorphose des Amphibiens 4 La scrtion de glucagon
: a est stimule par une hyperglycmie b est stimule par la
somatostatine c est stimule par une hypoglycmie 5 Les parathyrodes
: a sont au nombre de six chez lhumain b produisent la PTH c
produisent la calcitonine
17. 20 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard QCM supplmentaires Corrig 1 b (Fiche 153)
Lhypothalamus produit des neurohormones. Le CRH est une de ces hor-
mones, elle agit sur ladnohypophyse et stimule la production dACTH,
qui est donc une hormone hypophysaire et non hypothalamique. 2 c
(Fiche 154) La zone glomrule est la plus externe des trois zones du
cortex surrnalien, les deux autres zones sont la fascicule et la
rticule. Les catcholamines sont des hormones produites par la
mdullosurrnale. 3 a, b et c (Fiche 156) Les hormones thyrodiennes
T3 et T4 sont produites sous le contrle dune hormone hypophysaire,
la TSH et dune hormone hypothalamique, la TRH. Les effets des
hormones thyrodiennes portent sur le mtabolisme, la crois- sance et
le dveloppement. Chez les Amphibiens, elles jouent un rle im-
portant dans la mtamorphose. 4 c (Fiche 157) Le glucagon est une
hormone pancratique dont la scrtion est sous la dpendance directe
de la glycmie. Une hyperglycmie inhibe sa scrtion tandis quune
hypoglycmie la stimule. La somatostatine, autre hormone
pancratique, inhibe la scrtion du glucagon et galement celle de
linsu- line. 5 b (Fiche 158) Les parathyrodes sont au nombre de
quatre, elles sont situes dans la partie postrieure des lobes
thyrodiens. Les cellules parathyrodiennes produisent une hormone
hypercalcmiante, la PTH ou parathormone. La calcitonine, hormone
hypocalcmiante, est produite par les cellules C de la thyrode.
18. 21 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Partie 5 Croissance et dveloppement Indiquez la ou
les rponses exactes 1 Lontogense : a correspond aux tapes du
dveloppement embryonnaire b exclut le dveloppement indirect c
consiste en une construction de lorganisme 2 La croissance
cellulaire consiste : a en une augmentation de taille des cellules
b en une multiplication du nombre de cellules c est conditionne par
une horloge molculaire cytoplasmique 3 Lapoptose : a consiste en
une mort cellulaire programme des cellules b ne peut pas se raliser
lors du dveloppement embryonnaire c est sous dpendance de signaux
de survie et de suicide 4 Les mouvements morphogntiques lors du
dveloppement embryonnaire : a sont les mouvements de lembryon pour
prendre une forme spcifique b saccompagnent de modifications du
cytosquelette c mettent en jeu des reconnaissances cellulaires, des
migrations, un gui- dage et une adhrence cellulaire 5 La
segmentation lors du dveloppement embryonnaire : a consiste en un
dcoupage de lembryon selon un axe antropostrieur b consiste en des
divisions cellulaires de la cellule fconde c se ralise aussi chez
les Triploblastiques et les Diploblastiques 6 La blastula : a est
une structure triploblastique b est forme par un hmisphre vgtatif
avec des cellules cohrentes entre elles c est forme des cellules
fondatrices de lendoderme, du msoderme et de lectoderme.
19. 22 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard QCM supplmentaires 7 La gastrulation : a se ralise
chez tous les Mtazoaires b ne peut se raliser que chez les
Tribloblastiques chez lesquels elle met en place les trois
feuillets embryonnaires c correspond une priode o lembryon
naugmente pas de taille 8 La neurulation : a met en place un tube
neural dorsal b met en place la chorde c ne se rpercute pas sur
lvolution de lendoderme 9 Le membre chiridien : a diffrencie dabord
les lments distaux du membre b est sous contrle de trois centres
organisateurs c dpend de lexpression de facteurs de croissance et
de gnes homo- tiques.
20. 23 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrig 1 a et c (Fiche 240) Lontogense correspond
aux tapes du dveloppement dun orga- nisme depuis la formation de la
cellule uf jusquau jeune. Elle se ralise donc, que le dveloppement
soit direct ou indirect 2 a, b et c (Fiche 240) La croissance
cellulaire consiste en une prolifration cellulaire et/ou
agrandissement de la taille des cellules. Cette croissance est sous
dpen- dance dune horloge molculaire cytoplasmique qui permet dune
part les divisions cellulaires lors du cycle cellulaire. Elle
permet galement, selon la rpartition de molcules de position
cytoplasmique, que les divisions varient en fonction de la charge
en cytoplasme dans la cellule. 3 a et c (Fiche 240) Lapoptose
correspond une mort cellulaire programme qui se ralise lors du
dveloppement embryonnaire, chez les jeunes et chez les adultes.
Elle est sous la dpendance de rythmes endognes qui sont sous le
double contrle de signaux de survie et de signaux de suicide. 4 b
et c (Fiche 240) Les mouvements morphogntiques, lors du
dveloppement embryon- naire concernent des mouvements cellulaires
et non ceux de lembryon. Ils se ralisent grce des modifications du
cytosquelette. Ils mettent en jeu des migrations guides de
cellules, des reconnaissances cellulaires ainsi quune adhrence
slective entre cellules. 5 a et b (Fiche 241) Le mot segmentation
signifie deux choses diffrentes qui se ralisent lors du
dveloppement embryonnaire. La premire correspond au clivage de luf
en plusieurs cellules, par mitose ; que lon soit chez les
Diploblas- tiques ou les Triploblastiques. La seconde correspond un
dcoupage du corps en units rptitives, ou mtamres. Cette
segmentation ne se ralise que chez certains Clomates. 6 b et c
(Fiche 241)
Lablastuladrivedunemorulalissuedunetransitionblastulenne.Cetteblastula
estdiblastique(endoblasteetectoblaste)maisrenfermelescellulesfondatricesdestrois
feuillets:ectoderme;endoderme;msoderme.Lhmisphreanimalestformdecel-
lulesjointivesentreelles;alorsquelesblastomresvgtatifssontmoinscohrents.
21. 24 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard QCM supplmentaires 7 c (Fiche 242) La gastrulation
se ralise chez les Eumtazoaires (except chez les Spongiaires qui
closent au stade blastula et chez lesquels y a une invagina- tion
du ple animal et non du ple vgtatif.) quils soient Diploblastiques
ou Triploblastiques. Chez les Triploblastiques, elle met en place
les trois feuillets. Au dbut de la gastrulation lembryon ne change
ni de forme, ni de volume. 8 b (Fiche 243) Lors de la neurulation
se met en place un tube neural dorsal chez les pineuriens, ventral
chez les Hyponeuriens. Elle entrane galement lisole- ment, au sein
du msoderme, dune tige rigide : la chorde. De plus, lendo- derme
forme galement une gouttire qui dlimite le tube digestif. 9 b et c
(Fiche 247) Lors de lorganogense du membre chiridien, se mettent en
place, tout dabord les lments proximaux, puis distaux. Cette
organisation est sous dpendance de trois centres organisateurs : la
crte ectodermique apicale (croissance proximodistale) ; la zone
dactivit polarisante (croissance ant- ropostrieure) ; lectoderme
(axe dorsoventral). Le contrle des diffrentes tapes dans le temps
et dans lespace est sous dpendance de facteurs de croissance et des
gnes homotiques.
22. 25 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Partie 5 Reproduction Indiquez la ou les rponses
exactes 1 Linhibine : a est une hormone qui inhibe la gestation b
est une glycoprotine testiculaire c agit au niveau hypophysaire et
inhibe la scrtion de FSH 2 Lovulation : a se produit la fin de la
phase folliculaire b se produit la fin de la phase lutale c est la
lyse de lovocyte 3 La spermatogense : a est un phnomne dj prsent la
naissance b est un phnomne qui dmarre la pubert c se ralise dans
les parois des tubes sminifres 4 La raction corticale : a consolide
la structure de la zone pellucide b vite la polyspermie c est
spcifique du cortex surrnalien 5 la naissance : a il y a fermeture
du trou de Botal b la circulation pulmonaire devient importante c
il y a une augmentation du travail myocardique
23. 26 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard QCM supplmentaires Corrig 1 b et c (Fiche 221)
Linhibine est une hormone de nature glycoprotique qui est synthtise
et scrte par les cellules de Sertoli. Son effet principal est
linhibition de la scrtion hypophysaire de FSH. 2 a (Fiche 222)
Lovulation correspond la libration de lovocyte II. Elle se produit
la fin de la phase folliculaire sous linfluence dune forte dcharge
de LH. 3 b et c (Fiche 223) La spermatogense est le processus de
formation des gamtes mles, les spermatozodes. Elle se ralise dans
la paroi des tubes sminifres, les sper- matozodes sont librs dans
la lumire du tube. La spermatogense est un phnomne qui dmarre la
pubert. 4 a et b (Fiche 224) La raction corticale consiste en un
relargage des granules corticaux ovo- cytaires lors de la
fcondation. Les enzymes de ces granules modifient la structure de
la zone pellucide qui devient impermable aux spermatozodes. Ceci
permet dviter la polyspermie cest--dire les fcondations multiples 5
a, b et c (Fiche 227) la naissance, la communication cardiaque
inter-auriculaire (trou de Botal) se ferme. Cela aboutit un
fonctionnement du cur en srie avec une aug- mentation de la
circulation pulmonaire. Le travail myocardique augmente
rapidement.
24. 27 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse LATP LATP, adnosine
triphosphate, est un mononucloside triphosphoryl du mtabolisme
intermdiaire dcouvert en 1929 par Lohmann. Ces caractristiques
structurales lui confrent un certain nombre de fonctions au sein
des cellules. Son rle indispensable au niveau cellulaire implique
par ailleurs des systmes de synthse efficaces. CARACTRISTIQUES
STRUCTURALES ET PROPRITS Structure Ribonucloside triphosphate
constitu dune adnine relie par une liaison N osidique un D-ribose
phosphoryl sur son carbone 5. Les deux autres phosphates sont relis
par des liaisons phosphoanhydres, dont lhydrolyse saccompagne dune
forte libration dnergie, ( 30 kJmol-1 ). Proprits Solubilit dans
leau : pH physiologique, lATP est sous forme ionique et donc
soluble dans leau. Molcule haut potentiel dhydrolyse, car elle
possde 2 liaisons riches en nergie , liaisons dont lenthalpie
dhydrolyse est trs ngatif. LATP tient une place centrale dans le
mtabolisme nergtique : intermdiaire entre les molcules trs haut
potentiel dhydrolyse et les molcules moindre potentiel dhydrolyse.
RECHARGE DE LA CELLULE EN ATP Production dATP par phosphorylation
au niveau du substrat Transfert de groupe phosphate dun
intermdiaire trs haut potentiel dhydrolyse vers lADP. Exemple lors
de la glycolyse, partir du 2,3 bis phosphoglycrate et du phosphonol
pyruvate. Production dATP par phosphorylation oxydative Roxydation
des coenzymes : origine des coenzymes rduits (glycolyse, cycle de
Krebs, oxydation des acides gras), nergie libre lors des ractions
doxydation. Cration dune force protomotrice : description de la
chane respiratoire, transport des lectrons, expulsion des protons
et cration dun gradient de protons.
25. 28 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse Page 2/2 27/08/2010
Leon Synthse dATP : l'ATP synthase (structure, mode daction),
utilisation de lnergie contenue dans le gradient de protons. RLES
DE LATP DANS LA CELLULE Rle nergtique Rle de lATP dans les
couplages nergtiques : couplage chimique (hydrolyse dATP et synthse
de protine), couplage osmotique (rle de lATP dans le fonctionnement
de la pompe Na/K), couplage mcanique (rle de lATP dans la
contraction musculaire). Rle de lATP pour activer les molcules
(activation du glucose lors de la glycolyse en glucose 6P,
augmentation de lenthalpie libre des molcules). Rle de prcurseur
Prcurseur dans la synthse des acides nucliques. Prcurseur de second
messager (prcurseur de lAMPc). Rle de rgulateur LATP en tant
queffecteur allostrique (inhibiteur allostrique de la
phospho-fructokinase, enzyme de la glycolyse). Implication de lATP
dans les rgulations par modifications covalentes : phosphorylation
(rgulation de la glycogne synthase), adnylation (rgulation de la
glutamine synthtase)
26. 29 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Page 1/2 27/08/2010 Leon LE MSODERME Chez les
Mtazoaires Triploblastiques Bilatraliens il apparat, lors de la
gastrulation, un feuillet embryonnaire intermdiaire, le msoderme,
qui se met en place entre lendoderme et lectoderme et envahit le
blastocle. Sa prsence est gnralement induite par des cellules
endodermiques. APPARITION, VOLUTION ET MISE EN PLACE DU MSODERME
Apparition et volution du msoderme dans les diffrents taxons
Organisation dun Diploblastique (Ascon, ponge) Organisation dun
Triploblastique aclomate (Planaire, Plathelminthe) avec un
parenchyme msodermique massif intervenant dans les dplacements.
Cavit blastoclienne brasse par des cellules myopithliales
(Nmertiens). Triploblastique clomate (Nreis, Annlide) avec
diffrenciation dorganes nouveaux, appareil digestif, circulatoire,
respiratoire, excrteur, gnital. Triploblastique clomate
(Grenouille, Vertbr) avec la plaque segmentaire et les somites, les
drivs squelettiques msenchymateux assurant la posture, le mouvement
et la protection. Mise en place du msoderme lors de lontogense De
la segmentation la gastrulation, avec mise en place du msoderme
chez la Grenouille. Autres modalits de mise en place du msoderme :
par embolie (Oursin), pibolie (Annlide), bandelette germinative et
lentomsoblaste (Insectes), plasme organogne (Amphioxus). Induction
du msoderme par lendoderme (expriences de Nieuwkoop, Dale et Slack)
et rcapitulation des inductions par les cellules vgtatives
aboutissant la dtermination du msoderme. DESTINE DU MSODERME
(EXEMPLE DES AMPHIBIENS) Devenir du msoderme embryonnaire Le
msoderme contribue la formation dorganes de la motricit (muscles
stris squelettiques ou muscles lisses, squelette). Le msoderme
intervient dans la constitution de lappareil cardiovasculaire (cur
et vaisseaux). Le msoderme participe la formation des appareils
gnitaux.
27. 30 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse Le msoderme se rpand
comme tissu demballage des organes (plvre, pricarde, pritoine) en
formant des msentres. Devenir du msoderme extra-embryonnaire Le
msoderme forme lamnios. Le msoderme forme le chorion. IMPORTANCE DU
MSODERME DANS LINDUCTION DE TISSUS ET DANS LES PLANS DORGANISATION
Inductions msodermiques Induction neurogne fondamentale. Induction
des cellules hpatiques. Inductions dans lespace et dans le temps
(mise en place de lappareil urognital). Du msoderme au clome puis
la mtamrie Chez certains Triploblastiques le msoderme se creuse de
cavits clomiques (Annlides). Chez certains clomates, le corps se
mtamrise (Annlides).
28. 31 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard La communication intra- et inter-cellulaire La
communication correspond la capacit dchanger des informations entre
lments. Au sein de lorganisme, diffrents processus permettent aux
cellules de communiquer entre elles. Cette communication est relaye
par des processus intra- cellulaires spcifiques. PRINCIPES DE BASE
DE LA COMMUNICATION Les lments du systme metteur, canal de
communication et rcepteur Messagers et messages Cellules cibles et
rcepteurs cellulaires Communication courte et longue distance,
inter et intra-cellulaire Les processus Encodage, transport,
dcodage Transduction et signalisation intracellulaire LORIGINE DES
MESSAGES Spontan (type pace-maker) Stimulation externe la cellule
Intgration cellulaire en rponse un autre message LABORATION DU
MESSAGE ET CODAGE DE LINFORMATION Gense dun messager chimique Gense
dun messager lectrique mission du messager Codage de linformation :
notion de message LE TRANSPORT DE LINFORMATION Communication
hormonale : transport extracellulaire de molcules Communication
nerveuse et propagation lectrique LA RCEPTION DU MESSAGE Notion de
site rcepteur Affinit, spcificit et rversibilit de la liaison
TRANSDUCTION ET SIGNALISATION INTRACELLULAIRE La transduction
membranaire Formation des seconds messagers, communication
intracellulaire Potentiel daction et mission des
neurotransmetteurs
29. 32 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse Page 1/2 27/08/2010
Leon EXCRTION AZOTE ET MILIEU DE VIE Les dchets mtaboliques ne sont
que trs peu recycls par lorganisme et ncessitent donc une
limination ou un stockage. Les composs azots reprsentent la majeure
partie de ces dchets. EXCRTION AZOTE ET MILIEU AQUATIQUE Excrtion
azote chez un poisson Tlosten Donnes exprimentales : ammoniac (90
%) et ure (10 %). Lammoniac et son origine mtabolique, dfinition de
lammoniotlie. Sites dlimination : branchies (diffusion simple) et
rein (filtration glomrulaire), avec une prpondrance de llimination
branchiale. Lammoniotlie a un cot hydrique lev : 500 mL deau par
gramme dazote. Ammoniotlie secondaire de certains animaux
aquatiques Lammoniotlie secondaire dsigne llimination dazote sous
forme dammoniac de certains animaux qui ont ralis un retour
secondaire dans le milieu aquatique, alors que les reprsentants
terrestres du groupe sont urotliques ou uricotliques. Dans ce cas,
lammoniac provient de la dgradation des composs azots terminaux
caractristiques du groupe (uricolyse par exemple). Toute surface
dchange (branchie, tgument fin) en contact avec leau permet
llimination de lammoniac. EXCRTION AZOTE ET MILIEU TERRESTRE
Urogense et uricogense Voies de production de lure et de lacide
urique. quipement enzymatique spcifique, spcialisation tissulaire
(rle du foie). Modalits de llimination des dchets azots en milieu
terrestre limination rnale (Amphibiens, Reptiles, Oiseaux,
Mammifres). limination au niveau des tubes de Malpighi (Insectes).
Un cas particulier : le guanotlisme (excrtion de guanine) de
certains Arachnides.
30. 33 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Interprtation des modalits de lexcrtion azote chez
les animaux terrestres Relations entre le dveloppement de
lurotlisme et celui de luricotlisme avec affranchissement des
animaux du milieu de vie aquatique. Les cots hydriques de ces
formes dlimination sont moins levs. LES VARIATIONS DE LEXCRTION
AZOTE Lors dun changement de milieu de vie au cours du cycle
biologique Comparaison de la nature du dchet azot principal limin
au cours du dveloppement de deux animaux : Insecte et Amphibien,
larve aquatique et adulte terrestre. Mtamorphose et expression des
enzymes de lurogense. Lors de fluctuations du milieu de vie
Exemples de situations : alternance exondation/inondation dans la
zone de balancement des mares, alternance saisonnire de la
disponibilit en eau. Dipneustes : alternance ammoniotlie (dans
leau)/urotlie (lors de lasschement du milieu de vie). Gastropodes
terrestres : alternance urotlie (temps normal) / uricotlie (en
priode dinactivit, estivation). Littorines : excrtion durate
pendant les phases dmersion et dure lors de limmersion
(uricolyse).
31. 34 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse Page 1/2 27/08/2010
Leon LINSECTE, ANIMAL ARIEN La russite des Insectes en milieu
terrestre semble paradoxale car ce milieu, comparativement au
milieu aquatique est hostile : faible hygromtrie, absence de pousse
hydrostatique pouvant compenser les effets de la pesanteur,
instabilit des conditions climatiques. Les Insectes, par leur
organisation et leur physiologie ont rsolu ces divers problmes,
assurant la russite volutive du groupe. UNE PHYSIOLOGIE DE
LINDIVIDU ADAPTE AU MILIEU ARIEN Respiration trachenne Diffusion
des gaz favorise par des mouvements viscraux, des sacs ariens, des
traches qui se plient en accordon (Libellules, sauterelles), ou
encore la contraction active des traches abdominales grce des
muscles abdominaux dorso-ventraux (Criquets, Hymnoptres, Diptres).
Stigmates ouverture et fermeture asynchrones assurent des
mouvements ventilatoires antropostrieurs (Criquet). Ce systme,
limit par les phnomnes de diffusion, induit une petite taille de
lanimal. Limitation des pertes en eau lors de lexcrtion Cuticule
impermable. Les appareils excrteurs des Insectes, les tubes de
Malpighi, filtrent lhmolymphe. Lexcrtion uricotlique et la
rabsorption slective de leau permettent dconomiser leau. Les reins
daccumulation assurent un stockage temporaire ou dfinitif des
dchets dans les plages cuticulaires, le tissu adipeux, les yeux,
les ailes (Lpidoptres). CYCLE VITAL DE LESPCE EN MILIEU ARIEN
Fcondation interne favorisant la rencontre des gamtes Dveloppement
embryonnaire protg dans un microcosme aquatique uf avec des
rserves, centrolcithe. Annexes embryonnaires (allanto-chorion,
amnios) favorisant les changes gazeux et nutritifs. Protection
mcanique, hydrominrale. Oviparit protge, ou viviparit aplacentaire
(Blattes).
32. 35 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard UNE EXPLOITATION OPTIMALE DU MILIEU ARIEN
Exploitation de toutes les ressources du milieu Occupations de
divers habitats en fonction des espces et de leur stade de
dveloppement. Adaptations des sources alimentaires varies grce aux
pices buccales. Reprsentants divers des rseaux trophiques
(consommateurs primaires, secondaires, etc.). Extension
biogographique par la locomotion Diverses modalits de locomotion :
pattes articules, ailes. Linsecte peroit son environnement arien
Gnralement une paire dyeux composs assurant une bonne vision ; et
des yeux simples. Structures (poils, tympans, antennes) permettant
de ressentir les vibrations. Antennes et poils sensibles des pattes
permettant de dtecter les gots et les odeurs. Linsecte se dfend
dans cet environnement Structures de rsistance (ufs, larves),
diapause. Fuite du milieu : vol et grandes migrations. Grande
variabilit gntique.
33. 36 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse LES PARTICULARITS DE LA
CELLULE VGTALE CHLOROPHYLLIENNE La cellule vgtale possde une
organisation typiquement eucaryote. Cependant, elle prsente des
particularits qui dterminent sa physiologie et son mtabolisme. LE
PROTOPLASTE VGTAL EST ENTOUR DUNE PAROI PECTO-CELLULOSIQUE
Lexosquelette parital est un difice plurimolculaire Constituants
macromolculaires des parois primaire et secondaire. Modle
architectural de la paroi primaire et interactions molculaires.
Exosquelette rigide et rles de protection et de soutien pour le
protoplaste. La paroi, tout dabord mallable devient ensuite rigide
Comparaison de la composition de la paroi primaire et secondaire.
Proprits visco-plastiques de la paroi et acidification paritale.
Extension paritale lors de lauxse et rigidification de la paroi
secondaire. Les cloisons paritales sont perfores par des jonctions
Plasmodesmes : jonctions communicantes intercellulaires assurant
galement le positionnement du protoplaste dans le cadre
apoplasmique. Continuit cytosolique par les plasmodesmes =
symplasme, syncitium fonctionnel. Cellule ouverte vers le systme
circulatoire par les voies apoplasmique et symplasmique. LA CELLULE
CHLOROPHYLLIENNE PRSENTE DES PLASTES PHOTOSYNTHTIQUES Le
chloroplaste est spcialis dans la photosynthse Ultrastructure du
chloroplaste et sa mise en mouvement par cyclose. Membranes
thylakodiennes dveloppes, assurant la conversion de lnergie
lumineuse incidente en nergie chimique lors de la phase
photo-chimique.
34. 37 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Stroma, sige de la rduction du CO2 en C3P lors de la
phase chimique. Proprits mtaboliques du stroma confrant
lautotrophie vis--vis du carbone. Le chloroplaste est le sige
dautres activits mtaboliques Synthse damidon au niveau du stroma
lors dun excs de mtabolites glucidiques et dgradation lors de la
baisse de lactivit photosynthtique. Sige de la rduction du NO3 -
par lintervention de la nitrate et nitrite rductase. Lazote rduit
est combin des chanes organiques (formation dacides amins et
amides). Le chloroplaste participe des cooprations entre les
organites Association des chloroplastes, mitochondries et
peroxysomes des C3. tapes de la photorespiration et signification
de cette voie. LA CELLULE VGTALE RENFERME UNE VACUOLE
MULTIFONCTIONNELLE La vacuole dtermine la taille de la cellule
Lappareil vacuolaire occupe jusqu 90 % du volume cellulaire. Le
compartiment vacuolaire permet daugmenter la taille de la cellule
pour un volume cytosolique rduit. Au cours de lauxse, la
turgescence vacuolaire assure lextension paritale. La vacuole est
un compartiment de stockage Stockage et dstockage des mtabolites
organiques en fonction de lactivit mtabolique (accumulation
dintermdiaires et isolement de produits nocifs). Stockage et
dstockage dosmoticums gnrant des variations du niveau de
turgescence qui modifient la forme de la cellule. La vacuole est un
compartiment lytique Labsence de lysosomes est compense par la
vacuole acide (pH de 5,5 5) renfermant des enzymes digestives
(fructosidases, protases, estrases, etc.) Ces catalyseurs assurent
les hydrolyses intra-vacuolaires (saccharose, protines).
35. 38 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse PLANS DORGANISATION DES
PRINCIPAUX TAXONS ANIMAUX Ltude compare des tres vivants peut se
raliser divers niveaux dobservation tels que la morphologie externe
(type de symtrie, division du corps), lanatomie interne (position
du systme nerveux), lembryologie (type de segmentation ou de
gastrulation). Ces observations permettent de dterminer le plan
dorganisation de lanimal. LTAT PLURICELLULAIRE DIPLOBLASTIQUE ET
LACQUISITION DUNE SYMTRIE RADIAIRE Les Spongiaires : des
Parazoaires sans symtrie particulire Deux feuillets aux types
cellulaires rduits, sans pithliums vrais, ectoderme et endoderme
associs par la matrice extracellulaire et quelques jonctions
septes. Un systme aquifre qui achemine la matire. Un dveloppement
embryonnaire limit au clivage et une larve lcithotrophe. Une
invagination du ple animal, diffrente dune gastrulation. La symtrie
radiaire apparat chez les Cnidaires Diblastiques Eumtazoaires Les
Cnidaires ont une unit de dveloppement, la larve planula, et le
polype possde une symtrie radiaire selon le ple oral/aboral ; ils
sont prdateurs. Ce sont des Eumtazoaires tissus vrais. Le passage
ltat pluricellulaire a ncessit que les cellules sunissent entre
elles et la matrice extracellulaire. La structure diblastique
innove : pithlium, cellules nerveuses et musculaires. La
gastrulation se fait par invagination du ple vgtatif
blastoporal.
36. 39 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard LTAT TRIPLOBLASTIQUE : ACQUISITION DE LA SYMTRIE
BILATRALE, DUN AXE ANTROPOSTRIEUR ET DUNE CPHALISATION La
dtermination embryologique et molculaire de la symtrie bilatrale
Mise en place prcoce de la symtrie bilatrale chez les Amphibiens :
la disposition du msoderme lors de la gastrulation tablit
dfinitivement cette symtrie. Dtermination molculaire de laxe
antropostrieur et dorsoventral. Existence dasymtries secondaires
(Mollusques Gastropodes, Mammifres). La formation dun nouveau
feuillet lors de la gastrulation : le msoderme Msoderme pithlial et
msenchymateux chez lOursin. Msoderme tloblastique des Annlides
Polychtes. Apparition prcoce du msoderme en relation avec
lendoderme. Drivs du msoderme. Du msoderme au clome Les
Bilatraliens aclomates (Plathelminthes et Nmertiens) ont un systme
nerveux rduit. Les pseudo-clomates ont un clome issu de blastocle
(Nmatodes). Parfois le msoderme se creuse dune cavit par entroclie
(Oursin), par schyzoclie (Annlides), par creusement rgionalis
(Amphibiens) : le clome. Celui-ci joue un rle anti-compressif,
hydrostatique, hydraulique, de transport de substances dans
lorganisme et vers lextrieur (produits gnitaux, azots). Le
creusement est rgionalis chez les Amphibiens (splanchnopleure,
somatopleure) ; volution du clome des Poissons aux Mammifres. Du
clome la mtamrie La mtamrie napparat que chez certains clomates :
Annlides, Arthropodes, Vertbrs. Dautres espces sont non segmentes,
malgr la prsence du clome (Lophotrochozoaires). Dautres animaux
sont pseudo-mtamriss et nont pas de clome (Cestodes, Tnia).
37. 40 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse LA COMMUNICATION
NERVEUSE Chez les Mtazoaires, la communication intercellulaire est
un lment essentiel au maintien de lintgrit de lorganisme. Trois
grands systmes ont volu en ce sens : paracrine, endocrine et
nerveux, ayant chacun leur spcificit. On sintressera ici uniquement
au dernier. NOTION DE COMMUNICATION Communiquer entre deux lments
ncessite trois tapes fondamentales Coder linformation partir
dlments dun code (ex : alphabet). Transmettre linformation (ex :
langage, tlphone, criture, etc.). Dcoder et interprter linformation
(ex : rponse une question, etc.). Ncessit de cohrence Les lments
metteurs et receveurs doivent utiliser le mme code. LES SYSTMES DE
CODAGE DE LINFORMATION Un exemple de codage en amplitude : le
potentiel de rcepteur Variation graduable de la diffrence de
potentiel (ddp) transmembranaire. Augmentation de lamplitude
proportionnelle lintensit de stimulation. Notion de seuil et de
maximum. Notion de sommation spatio-temporelle. Conduction
immdiate, mais dcrmentielle. Le codage en frquence : le potentiel
daction Variation standard de la ddp transmembranaire (phnomne de
tout ou rien). Le code est ici un systme 0/1 et le message
informationnel est contenu dans la frquence de ces lments de code.
Mcanismes ioniques ; canaux Na+ , K+ , tension dpendants.
Conduction apparente non dcrmentielle, mais lente. Modalits
dutilisation de ces deux systmes de codage par le neurone
Rpartition des canaux Na+ , K+ le long des membranes du neurone ;
spcificit de laxone.
38. 41 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Le neurone, en fonction des fragments de membrane
considrs et des protines qui y sont incorpores, utilise un codage
de linformation sous la forme de variations damplitude de la ddp
transmembranaire (dendrites et corps cellulaire) ou sous celle de
variations de la frquence dlments unitaires (axones). TRANSFERT DE
LINFORMATION LE LONG DES FIBRES NERVEUSES Conduction lectrique le
long des membranes Proprits lectriques des membranes (rsistance et
capacit membranaires). Notion de constante de temps ; liens avec la
densit en protines. Notion de constante despace ; liens avec le
diamtre des fibres. Propagation rgnrative du potentiel daction le
long de laxone Invasion lectrique de la membrane et stimulation des
portions voisines de celle o sest form un potentiel daction. Notion
de priode rfractaire, indispensable la conduction. Gaine de myline
et augmentation de la vitesse apparente de conduction. DCODAGE ET
INTGRATION DE LINFORMATION Transmission synaptique. Mcanismes de la
transmission synaptique. Notion de trans-codage et dutilisation dun
nouveau code correspondant la concentration en neuromdiateur.
Intgration post-synaptique. Potentiels post-synaptiques excitateurs
et inhibiteurs. Le segment initial (ou cne axonique), est le point
de sommation des informations. Sommation spatiale et temporelle des
informations post- synaptiques.
39. 42 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse LA REPRODUCTION SEXUE
CHEZ LES ANIMAUX La reproduction sexue, suppose une production de
gamtes haplodes issus dun seul parent, gntiquement diffrents, qui
se rencontrent ou non et qui sont lorigine dun nouvel individu
original de lespce. DTERMINISME DE LA REPRODUCTION SEXUE ET DU SEXE
Dterminisme de la reproduction sexue Reproduction sexue lors des
cycles du dveloppement (Hydre, Protozoaires). Modalit reproductive
(sexue ou asexue). Activation de la gamtogense dpendant de facteurs
pigntiques ou gntiques. Dtermination du sexe chez les espces
gonochoriques et hermaphrodites (rle des facteurs pigntiques,
gntiques et endocriniens). Hermaphrodisme : un sexe labile chez les
monoques sous dtermination hormonale (Patelle) ou pigntique
(facteurs sociaux chez les Crpidules). FORMATION DE GAMTES
GNTIQUEMENT DIFFRENTS Origine des gamtes : sgrgation et migration
de la ligne germinale Sgrgation prcoce des cellules de la ligne
germinale (Insectes, Hydre). Migration des blastomres goniaux
(Mammifres, Oiseaux) et leur adhsion. Prolifration cellulaire
mitotique lors de la migration et dans les gonades. La gamtogense
gonadique et extragonadique engendre des gamtes gntiquement
diffrents La miose : Passage lhaplodie et brassages gntiques intra
et interchromosomiques (de la spermatogonie la spermatide).
Croissance des gamtes sous contrle hormonal (ovocyte des Insectes),
maturation des gamtes (spermiogense : de la spermatide
40. 43 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard au spermatozode), complmentarit de la diffrenciation
du gamte mle et femelle. LA FCONDATION RTABLIT LES CARACTRISTIQUES
DE LESPCE ET AUGMENTE LE BRASSAGE GNTIQUE Rencontre des gamtes
Simultanit dmission ou stockage de gamtes en attente.
Chimiotactisme, comportements reproducteurs permettant le
rapprochement des sexes, fcondation externe ou interne.
Reconnaissances intraspcifiques des gamtes. Fcondation La
fcondation est de rgle chez les espces gonochoriques et
hermaphrodites (autofcondation rare chez les hermaphrodites,
Cestodes). tapes de la fcondation. GYNOGENSE ET PARTHNOGENSE La
parthnogense Principaux types de parthnogense. Parthnogense
apomictique, ses consquences cytologiques (Aphidiens). Retour selon
diverses modalits la diplodie. Rpercussion sur la dtermination du
sexe (Criquet, Puceron). Consquences de la parthnogense sur la
diminution de plasticit du gnome. La gynogense ou pseudogamie Rle
activateur dterminant du spermatozode.
41. 44 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse 1 La vie en milieu
terrestre La vie terrestre apparat il y 470 millions dannes, tout
dabord par la prsence de vgtaux puis des animaux. Le milieu
terrestre est reprsent par lensemble des terres merges, en contact
avec latmosphre. Ce milieu prsente des contraintes desquelles seuls
les tres vivants qui y sont adapts peuvent saffranchir. SE
POSITIONNER ET SE REPRER DANS LE MILIEU TERRESTRE La contrainte
gravitaire Le passage de la vie aquatique la vie arienne
saccompagne de la disparition quasi complte de la pousse dArchimde.
Laction de la pesanteur ncessite le dveloppement dun squelette.
Chez les vgtaux : Ancrage prcoce lors de la germination avec une
racine sminale puis des racines adventives chez les vgtaux
(gravitropisme positif). cotypes anti-arrachement (Htre) Liber et
le bois (Gymnospermes, Angiospermes dicotyldones) Chez les animaux
: Colonne antigravitaire Membre chiridien sustentatoire des
Ttrapodes Diversit du membre chiridien permettant des modes de
locomotion varis : marche, course, saut, vol. Les organes des sens
Vision (Oiseaux, Insectes) quilibration (Vertbrs, Insectes)
SATISFAIRE LA SURVIE DE LINDIVIDU ET DE LESPCE Fonctions de
nutrition Autotrophie des Vgtaux : - disposition par rapport aux
radiations lumineuses, espces dombre et de lumire - photosynthse
CAM et C4 et conomie deau - prlvement et circulation de leau
Respiration : - poumons et traches des animaux - stomates des
vgtaux quilibre hydrominral, osmorgulation, excrtion azote - ADH,
nphrons longs Affronter la mauvaise saison Rester : - en tant
actif, thermorgulation des endothermes - en tant inactif,
endothermes hibernants, disparition des formes ariennes et formes
de rsistance (tubercule, rhizome, graines, ufs), abscission
foliaire chez les plantes pluriannuelles. Partir : -
migrations
42. 45 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard 1 La vie en milieu aquatique La vie apparat en
milieu aquatique, il y a 3,8 milliards dannes. Le milieu aquatique
comprend divers cosystmes, possdant diverses contraintes, dans
lesquels les tres vivants naissent, vivent, se perptuent grce
lacquisition dadaptions spcifiques. SE POSITIONNER DANS LEAU ET SY
MOUVOIR Les contraintes hydrodynamiques Pousse dArchimde Viscosit
Masse Pression Temprature Positionnement Problme de maintien dans
la tranche deau favorable : Rsistance lenfoncement, flottabilit
(Loi de Stockes), accroissement des forces de frottement, rduction
de la taille, augmentation de la surface portante Lallgement du
corps, diminution gnrale des structures squelettiques externes et
internes, teneur leve en eau, mise en place de flotteurs gaz. Nage
Fixation au substrat pour viter larrachement (vgtaux, animaux)
Dplacement Lutte contre la viscosit, forme hydrodynamique
(Poissons, Mammifres), squelette, membres et propulsion. SE REPRER
DANS SON ENVIRONNEMENT Photosensibilit quilibration : ligne latrale
des Poissons, mcanorcepteurs, neuromastes, oreille moyenne Oreille
externe estompe chez les Mammifres aquatiques ASSURER LA SURVIE DE
LINDIVIDU ET DE LESPCE Fonctions de nutrition Autotrophie
(radiations lumineuses, sels minraux, dioxyde de carbone
Htrotrophie : microphagie (avec courant deau existant ou cr, ou
sans courant deau (limivores)), macrophagie. Respiration Branchies
externes des Amphibiens, des Poissons Parenchyme arifre des Vgtaux
Adaptation la plonge des Mammifres aquatiques quilibre hydrominral
et excrtion des dchets azots Thermorsistance Homothermes,
htrothermes, migrations ou quiescence
43. 46 Dunod 2010, Biologie Licence, sous la direction de
Daniel Richard Corrigs de sujets de synthse Reproduction et
dissmination de lespce Reproduction asexue Reproduction sexue
Stratgies de dissmination de lespce en milieu aquatique Stratgies
de dveloppement embryonnaire en milieu aquatique