Integration des ressources numeriques dans l’offre documentaire

Les aspects techniques de l’intégration des ressources numériques dans l’offre

documentaire

Pierre Naegelen

Responsable du Service des Ressources ÉlectroniquesSCD Université Paul Sabatier Toulouse III

28/03/2012 Les aspects techniques de l’intégration des ressources numériques dans l’offre documentaire

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Les 2 sens du terme « intégration »


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Sens Mise à disposition facilitée des ressources

Imbrication de métadonnéesfacilitant la gestion des ressources

Lieu Front office Back office

Point de vue de …

l’usager l’administrateur

Mots-clés

Mise en valeur des ressources numériques, communication, médiation numérique et ergonomie (facilité d’accès, intégration graphique…)

Sélection, négociation, acquisition, activation, signalement, maintenance, évaluation, rapports statistiques, budgets

Concept clé

Site web ERMS

L’intégration des ressources électroniques dans un site web


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Partie 1: L’intégration des ressources numériques dans un site web

A) Intégration ergonomique

B) Intégration via un méta-outil

C) Intégration graphique


L’exemple du futur site des bibliothèques de l’Université Paul Sabatier Toulouse III


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Pour en savoir plus:http://scdblog.ups-tlse.fr/wordpress/?p=3605



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A) Intégration ergonomique


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Remarque en passant: Importance de la médiation numérique

Médiation numérique = “tout dispositiftechnique, éditorial ou interactif mis en œuvrepar des professionnels de l’information-documentation favorisant l’appropriation, la dissémination et l’accès organisé ou fortuit à tout contenu proposé par une bibliothèque à des fins de formation, d’information et de diffusion des savoirs”.

Silvère Mercier

Source: "Médiation numérique en bibliothèque : une défin ition", Bibliobsession [Blog],http://www.bibliobsession.net/2010/03/03/mediation- numerique-en-bibliotheque-une-definition/


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Une question ?


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Intégration au carré…

B) Intégration via un méta-outil

Idée: et si on intégrait via un outil unique les ressources électroniques (et même le les ressources papier) intégrées dans le site web?


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La machine bibliothèque devient encore plus important equ’auparavant car elle doit réinventer les synthèses quel’éclatement des documents ne permet plus.LATOUR, Bruno. « Plus elles se répandent, plus les bi bliothèques deviennentcentrales », BBF , 2011, n°1, p. 34-36 [ en ligne ] <http://bbf.enssib.fr/>

�� Comment offrir aux usagers un mode de recherche rapide et efficacequi propose une entrée unique pour effectuer d'un seul coup l'essentiel des recherches ? Existe-t-il un outil qui intègre la plupart des outils de recherche documentaire mis àdisposition par le site de la bibliothèque?

Question Mark. Par Winged Wolf. CC BY-NC-ND 2.0. Source: Flickr



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Réponse: l’outil de découverteExemple du moteur (Summon)de l’École Nationale des Ponts et Chaussées


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Vers une page « Google-like »?

Source: SCD Rennes 2, avec l’autorisation de Julien Sicot



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C) Les 3 types d’intégration graphique

1) Iframe

2) Application de la feuille de style à un lecteur de flux RSS

3) Application de la feuille de style à une API


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Exemple d’ iframe: le site de la BU Angers


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Intégration des données du site des thèses de l’UPS via un lecteur de flux RSS. On applique

-à la liste des résultats de la recherche sur le site web de départ (site de thèses)

- la CSS du site web d’arrivée (site BU).

URL source:http://thesesups.ups-tlse.fr/view/subjects/E.htmlFlux RSS source:http://thesesups.ups-tlse.fr/cgi/exportview/subjects/E/Atom/E.xml

Intégration des données du site du CERIMES via un lecteur de flux RSS. On applique:

-à la liste des résultats de la recherche sur le site web de départ (CERIMES)

- la CSS du site web d’arrivée (site BU)

URL source:

http://www.signets-universites.fr/fr/#a_theme_6

Flux RSS source:

http://www.signets-universites.fr/fr/les-signets/bdd/theme/125

Intégration au cube…

Exemple d’intégration graphique sur le site du SICD de Toulouse

�Application de la CSS du site du SICD à la page de résultats de l’outil de découverte Summon(SerialsSolutions)


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Avant intégration graphique…


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http://univtoulouse.summon.serialssolutions.com

Après intégration graphique…


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Partie 2ERMS: qu’est-ce ?

Le projet d’ERMS partagé du consortium Couperin


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I) Qu'est-ce qu'un ERMS ?– Les problématiques de la gestion des ressources

électroniques– Les éléments composant un ERMS– Ce que doit proposer un ERMS pour résoudre les

problématiques de la gestion des ressources électroniques

– ERMS libres ou sous licence, installés localement ou hébergés

– Exemple de l'ERMS Gold Rush– Echanges avec d'autres briques du système

d'information documentaire


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L’intégration des ressources électroniques via un ERMS

II) Pourquoi l'ERMS partagé de Couperin ?– Objectifs et caractéristiques– Pourquoi le projet a-t-il été arrêté?


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L’intégration des ressources électroniques via un ERMS

QQu’est-ce qu’un ERMS ?

SOMETHING WEIRDQu’est-ce qu’un ERMS ?

Akbar Simonse

Un logiciel documentaire

• Conçu pour répondre aux problématiques de la gestion des ressources électroniques.

• Installé localement ou hébergé.• Appelé à s'appuyer sur un service de veille et de

mise à jour des données fluctuantes.• Appelé à échanger avec d'autres outils (SIGB,

portail documentaire, résolveur de liens, métamoteur...)


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Source:

le blog de Fabrizio Tinti,http://pintiniblog.wordpress.com/Post du 12/09/2010.

Ce que n’est pas un ERMS

Un ERMS n'est pas� un catalogue d’éditeurs

� un outil d’acquisition

� un outil de comptabilité

� un calculateur permettant la prévision des prix, (diversité infinie des modèlestarifaires)

MAIS un outil de pilotage


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Auteur: Marlène Delhaye


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Gestion des métadonnées

●La gestion, dans un environnement ergonomique, de toutes les métadonnéesprésentées précédemment

- champs natifs, champs libres et zones de notes.- recherche et tri multicritères.- liens entre notices (notices des éditions successives

de licence, notices d'un bouquet et ses titres, etc.)- duplication de notices- importation et exportation des métadonnées.● Les moyens de contrôler facilement les

contenus des ressources et le suivi de leur évolution.

● L'analyse comparative des ressources (contenus, fonctionnalités, termes contractuels).


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Intégration dynamique des données de l'ERMS sur un site ou portail

• Par un service web mis en place par le fournisseur de l'ERMS avec possibilité de sélectionner les métadonnées à afficherpour chaque catégorie de ressource :

– Interroge l'ERMS

– Récupère les métadonnées

– Les affiche sur une page du site ou du portaillocal


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Accès soumis à authentification: clauses contractuelles, coûts,

codes de tests

La gestion statistique etl’édition de rapports

Les rapports statistiques permettent de définir une politique documentaire:

- déterminer le coût à l’article téléchargé pour chaque base de données, revue, e-book ou bouquet

- connaître les ressources électroniques les plus consultées

- désabonner les revues avec un très faible taux de consultation ou un coût à l’article trop élevé


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Nombre de téléchargements


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Coût par article de 2008 à 2011


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La norme COUNTER (Counting online usage ofnetworked electronic resources) a vu le jour en mars 2004. � Les fournisseurs qui respectent cette norme

sont dits : « counter compliant »

(voir la liste: http://www.projectcounter.org/articles.html)


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Plusieurs types de rapports selon le type de ressources:

Périodiques : le « Journal Report »• JR1 = Journal Report 1: Number of Successful Full-

Text Article Requests by Month and Journal • JR2 = Journal Report 2: Turnaways by Month and

Journal • JR3 = Number of Successful Item Requests and

Turnaways by Month, Journal and Page Type • JR4 = Total Searches Run by Month and Service


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Exemple de Journal Report 1

Liste des revues Nb de téléch. par mois

Totaux html et pdf

Bases de données:• DB1 = Database Report 1: Total Searches and

Sessions by Month and Database• DB2 = Database Report 2: Turnaways by Month and

Database• DB3 = Database Report 3: Total Searches and

Sessions by Month and Service


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E-books: le Book Report• BR1 = Book Report 1: Number of Successful Title

Requests by Month and Title• BR2 = Book Report 2: Number of Successful Section

Requests by Month and Title• BR3 = Turnaways by Month and Title• BR4 = Turnaways by Month and Service • BR5 = Total Searches and Sessions by Month and

Title• BR6 = Total Searches and Sessions by Month and

Service


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Le module statistique d’un ERMS fait bien mieux et plus vite …

• SUSHI (Standardized Usage Statistics HarvestingInitiative , ANSI / NISO Z39.93-2007) est un protocole standard de collecte automatisée des statistiques d’usage, via un service Web.� gain de temps pour les gestionnaires

• Le module statistique d’un ERMS permet de produire àla volée un grand nombre de rapports:– Les 50 revues les plus (ou les moins) consultées– Les 50 revues dont le coût à l’article est le plus (ou le

moins) élevé– Coût à l’article par sujet– Coût à l’article par plate-forme– Croisement de rapports, etc.


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Les ERMS libres ou sous licence, installés localement ou hébergés

Paul Linton

Les ERMScommercialisés


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Les ERMS libres

Installation locale Coral (University of Notre Dame)E-Matrix (North Carolina State University)OLLARA (University of Wisconsin


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BCERMS

Résolveur de liens

Liste A à Z

SIGB

ENT

CMS

Cas des établissements pilotes

Linksource (EBSCO)

SFX (ExLibris)

Millenium

Horizon

Aleph

Loris

E-SUP

K-SUP

Dreamweaver

Typo 3

Spip

DRUPAL

Amethys

Maison

Maison

AtoZ (EBSCO)

SFX (Ex Libris)

360 Core (SerialsSolutions)

Et le SIGB dans tout ça ????

Beth Warner

Résolveurde liens

Périodiques électroniques en texte intégral

Bases de données

Moteur de recherche Base de

connaissancesPériodiques

électroniques

Module de signalement public

Bibliothécaire

Editeur

Fournisseur

Hïatus

numérique

Fin 90s-début 2000s: schématisation des étapes de l a rech. doc.

Usager

Site WebBib.

Autresressources

électroniques(thèses, e-books, cours en ligne…)

Ouvrages, thèses et

périodiques papier

SIGB

1ère solution: cataloguer les ressources électroniques dans le

SIGB (années 2000)

SIGB

Notices bibliographiques des ressources papier


Notices d’exemplaire ou d’état de collection


Notices bibliographiques des ressources électroniques

Notices bibliographiques des ressources électroniques Notices

d’exemplaire ou d’état de collection


Avantages :

• Un point d’accès unique aux ressources papier et électroniques

• Garantie de qualité du catalogage

Inconvénients :

• Masse considérable des ressources électroniques

• Lenteur des mises à jour


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Bibliothécaire

Base de connaissances

ERMS

Fournisseur

SIGB


Notices bibliographiques des ressources papier Notices



Fourniture de notices MARC

Notices bibliographiques des ressources électroniques

Notices bibliographiques des ressources électroniques Notices



2e solution possible si implémentation d’un ERMS: achat de notices MARC liées aux ressources référencées dans la base de

connaissances

Avantages:

• Un point d’accès unique aux ressources papier et électroniques

• Mise à jour des notices par paquets en temps réel

Inconvénients:

• Coût élevé des notices

• Notices d’autorité: risques de doublons


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Usager

Base de connaissances

ERMS

Module de signalement public

Bibliothécaire

Editeur

Fournisseur

Outil de découverte

3ème solution possible: la convergence

Moteur de recherche

Site WebBib.

Autres ressources

électroniques(thèses, e-books, cours en ligne…)

- périodiques électroniques - e-books

Bases de données Résolveur

de liens

Ouvrages, thèses et périodiques papier + ress.

élec cataloguées

SIGB

Avantage:Un point d’accès unique qui permet d’avoir une vue panoramique sur l’ensemble des ressources.

Inconvénients:– Coût élevé de l’outil– On revoit les ambitions à la baisse: concernant les

ressources électroniques, a priori il n’est plus besoin ici d’importer dans le SIGB des notices bibliographiques de ressources numériques


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Le projet d’ERMSpartagé :

pour quoi faire ?


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Objectifs et caractéristiques

Mike Stimpson


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• Fournir au consortium et à ses membres un système leur permettant de gérer collectivement les métadonnées des ressources électroniques possédant des valeurs communes à tous les membres, tout en mettant à la disposition de chaque partenaire un espace « privé » pour gérer les métadonnées dont les valeurs lui sont propres.


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Qu’attend-on de ce système?

• Pour le consortium, ce système doit permettre– Une gestion simplifiée des négociations et desachats groupés.– Une gestion efficace des métadonnées des ressources

négociées- L’établissement d’une source centrale d’informations

décrivant de façon complète et pointue les ressources électroniques dans le réseau COUPERIN et leur localisation


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Qu’attend-on de ce système?

• Pour les membres, il doit

– Aider à la gestion complète des métadonnées des ressources gérées (payantes et libres) et de leur circuit.

– Faciliter l'implication de toutes les activités documentaires dans la gestion des ressources électroniques.

– Aider à gérer les statistiques d'utilisation des ressources et à établir des indicateurs.

– Avoir un bon rapport qualité/prix.– Être utilisable par l’utilisateur final comme un outil

de découverte.


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Les solutions envisagées

• ERMS consortial, modèle vertical : un réseau d'ERMS partiellement alimentés par le département négociations du consortium

• ERMS consortial, modèle collaboratif (ERMS« partagé ») : un réseau d'ERMS collectivement

alimentés par le consortium et ses membres.


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Le modèle vertical

Intérêt

– Le consortium négocie une grosse partie des ressources payantes des membres : ce modèle soulagerait donc sensiblement les membres.

– La qualité des données entrées est garantie.

Inconvénient

– Chaque membre doit assurer seul la gestion des métadonnées des ressources non négociées par COUPERIN.


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Le modèle collaboratif

Principe et intérêt

– Plusieurs acteurs interagissent ;– Différentes informations alimentent un même

ERMS (compte central) ;– Toutes les ressources y sont collectivement

gérées ;– Ce compte central alimente les comptes

membres ;

Inconvénient

– Fort risque de perte de contrôle des données entrées => nécessite une solide organisation.


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La solution retenue : lemodèle collaboratif

Les raisons objectives de ce choix :

– COUPERIN = gros “fournisseur” des ressources des membres ;

– une ressource non négociée par Couperin (payante ou libre) est au minimum utilisée par 5 membres ;

– les membres utilisent les mêmes catégories demétadonnées et 70 à 80% de leurs valeurs ne sont pas

spécifiques à une institution.


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L'organisation envisagée

• Seraient habilités à entrer des données au niveau central :

– la cinquantaine de négociateurs,– les correspondants des membres.

• Validation des entrées par les membres utilisateur s de la ressource.


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Le schéma de gestion desmétadonnées


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Le schéma de transfert desmétadonnées


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L’institution 5 est membre du PRES mais pas du consortium Couperin.

L’institution 4 est membre du PRES et du consortium Couperin


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Les services rendus


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Les services rendus


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Les services rendus


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Les raisons d’espérer

Les besoins des membres

Résultats de l’enquête d’intérêt sur un ERMS partag éauprès des membres de Couperin (fin 2008)

Option 1: Accès en lecture seule à une bonne partie des données gérées dans l'ERMS Couperin

�� 44 établissements

Option 2: Accès en plus à un module local de signalement adossé à l'ERMS Couperin



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Les besoins des membres

Résultats de l’enquête d’intérêt sur un ERMS partag éauprès des membres de Couperin (fin 2008)

Option 3: Un ERMS local connecté à l’ERMS consortialModule de signalement public adossé à l'ERMS localModule de gestion des statistiques, d'analyse crois ée et d'édition de rapportsServices complémentaires (en option): -Résolveur de liens adossé à l'ERMS local-Fourniture de notices bibliographiques



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Où en en est le projet ?

Où en est le projet ? Calendrier 2009-2011

• Juillet 2009 : fin de la rédaction du CCTP par le GTERMS

• Octobre 2009 : embauche du consultant Marc Maisonneuve de Tosca

• 21 octobre 2009: première réunion ABES/Tosca/Couperin

• 3 novembre 2009 : conclusions de Tosca• un pilote, 5 établissements, • un dialogue compétitif, un portage par

l’ABES• 12 et 19 novembre 2009 : validation du projet par

les CA de l’ABES et COUPERIN


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• Décembre 2009 : le conseil d’administration de Couperin adopte le principe d'un pilote avec cinq établissements :

– Institut national de recherche en informatique et automatique (INRIA)

– Université Bordeaux 1– Université Lumière Lyon 2– Université Paris Descartes– Université de Toulouse (PRES de Toulouse)

Panel reflétant une diversité de structures et de disciplines du consortium

Où en est le projet? Calendrier 2009-2011


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Rédaction des pièces constitutives du marché Semaine 11 à 16, 2010

Publication de l'appel d'offre par l'ABES Semaine 17 : avril 2010

Remise des réponses des candidats Semaine 25 : juin 2010

Analyse des offres et auditions des candidats Semaine 26 : juillet Semaine 37 : septembre

Remise des offres définitives par les candidats Semaine 39 : octobre 2010

Notification Semaine 40 : octobre 2010

Déploiement de l'ERMS, formations A partir de semaine 41

Admission Mai 2011

Fin du pilote Mai 2012

Calendrier initial…

Rédaction des pièces constitutives du marché Semaine 11 à 16, 2010

Publication de l'appel d'offre par l'ABES Semaine 17 : avril 2010

Remise des réponses des candidats Semaine 25 : juin 2010

Analyse des offres et auditions des candidats Semaine 26 : juillet Semaine 37 : septembre

Remise des offres définitives par les candidats Semaine 39 : octobre 2010

Notification Semaine 40 : octobre 2010

Déploiement de l'ERMS, formations A partir de semaine 41

Ajournement de la Validation d’Aptitude Avril 2011

Calendrier final…

Les raisons de l’ajournement du projet…


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• Points bloquants

- L’héritage des données et l’architecture du système

- Architecture logicielle trop rigide pour les institutions membres de PRES ou les institutions requérant plusieurs instances

• Défauts majeurs

- L’outil de signalement (e-books par exemple)- La recherche- La gestion des métadonnées d’acquisition- La formation et la langue employée dans les

présentations et les supports


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• Défauts mineurs

- Le système de notes- Le système d’alertes- L’exportation dynamique vers les sites et

portails- La gestion, lourde, des importations• Points positifs

- La base de connaissance, sa complétude et la rapidité de sa mise à jour

- L’export de notices MARC- Le lien entre les outils


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Exe

mpl

e de

scé

nario

de

solu

tion

com

plex

e de

con

tour

nem

ent…



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26 mai 2011: SerialsSolutions répondait que l’héritage et la modification étaient rendus possibles mais seulement pour les licences, les contacts et les notes. Les bouquets eux devaient rester non modifiables une fois hérités Mais cela n’a pas suffi

Qu’envisage Couperin pour le futur?


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• tirer les conséquences de cet arrêt et les rendre publiques en créant un document de retour d’expérience en français et en anglais pour diffusion large qui pourra servir à d’autres consortia et établissements.

• commander une étude de marché sur les ERMS open sour ce et leur adéquation avec les besoins exprimés dans le cahier des charges de l’ERMS. Ce document devrait éclairer Couperin dans ses futures décisions.

• continuer la veille sur les solutions open source pour un éventuel déploiement chez les membres qui le souhaitent.

• mener une veille accrue sur les SIGB de nouvelle gé nération , construits autour d’une brique de type ERMS ? Ouverture de la discussion autour de la mutualisation possible et prévue au sein de ce nouveau type d’outils.

Pour en savoir plus sur les ERMS:

http://www.couperin.org

Contacts : [email protected]

– Mariette Naud [email protected]– André Dazy [email protected]

Informations sur le projet

Pour en savoir plus sur l’arrêt du projet :http://www.couperin.org/fr/groupes-de-travail-et-

projets-deap/erms-partage/item/910-pilote-erms-arret-du-projet

Les nouveaux chantiers…

Les URM (Unified Resource Management)

Systèmes qui fusionnent le SIGB et l’ERMS

2 produits actuellement sur le marché:• Alma (Ex-Libris)• Worldshare (OCLC)

Bientôt un 3ème:Intota (SerialsSolutions)


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Pour en savoir plus: http://nicolasmorin.com/2012/02/21/sgb-xxl-3/


Des URM au « Système de Gestion de Bibliothèque mutualisé »…

L’ABES a engagé dès 2011 une réflexion dans le sens d’un SGB mutualisé :• lors d’un séminaire interne puis d’un atelier ouvert aux établissements du

réseau Sudoc ;• en participant aux travaux d’un groupe technique piloté par le PRES de

Toulouse pour la préparation d’un cahier des charges collectif ;• en commandant à un groupe d’élèves conservateurs de l’ENSSIB des

scénarios d’articulation des solutions de nouvelle génération avec le Sudoc.


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Pour en savoir plus: http://fil.abes.fr/2012/02/21/projet-de-systeme-de-gestion-de-bibliotheque-mutualise-point-detape/


• « hub de métadonnées de la recherche »:

Sa finalité peut se résumer ainsi : redistribuer dans n’importe quel format des métadonnéesenrichies importées dans n’importe quel format». (B.Bober)

• l’initiative d’excellence ISTEX: déposée par l’université de Lorraine, qui vise à constituer une plateforme nationale innovante de diffusion des ressources acquises et de services associés.


119

Pour en savoir plus: http://www.abes.fr/content/download/2111/9059/version/1/file/ABES+N65+.pdf

Projet ISTEX


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Pour en savoir plus: http://www.abes.fr/content/download/2111/9059/version/1/file/ABES+N65+.pdf


�� Projet qui s’inspire du portail JUSP au Royaume-Uni


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• Projet Couperin de portail d'agrégation et d'archivage des statistiques éditeurs : MESURE (Mutualisation pour l’Évaluation des Statistiques d’Usage des Ressources Électroniques)

Note:

Pour les pages consacrées au projet ERMS du consortium Couperin, les principaux auteurs du présent diaporama sont: Kareen Louembé et Emilie Barthet:

http://www.rnbm.org/cirm2010/Barthet_Louembe_ERMS.pdf

03/04/201203/04/2012 Les aspects techniques de l’intégration des ressources numériques dans l’offre documentaire

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Education

Integration des ressources numeriques dans l’offre documentaire