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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 16 au 22 octobre 2017 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL Spécial immobilier : en Île-de-France, le marché s'emballe Le 16/10/2017 Prix, volumes, hausses à deux chiffres dopent certaines villes franciliennes de la petite couronne qui profitent du Grand Paris. Attractivité. La ligne 11 du métro desservira Romainville (93) en 2022. Les programmes neufs se multiplient autour de la place Carnot, qui accueillera la station. © Xavier POPY/REA Comme c'est souvent le cas, la flambée des prix immobiliers parisiens gagne toute l'Île-de-France. « Cette progression se diffuse par cercles concentriques vers la première puis la seconde couronne », résume une récente étude du site MeilleursAgents.com. Dans la petite couronne, qui rassemble les trois départements limitrophes de la capitale (92, 93, 94), le boom du volume des transactions des appartements anciens est significatif, qualifié même d'« historique » par la chambre des notaires de Paris/Île-de-France : + 23 % sur un an ! Ce regain d'achats a dopé le prix de la pierre. En un an, toujours selon les dernières statistiques des notaires, les valeurs s'arrogent + 4,1 %, à 4 440 euros/m2

S43 revue de presse kylia - semaine du 16 au 22 octobre 2017

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La revue de Presse KYLIA 1

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 16 au 22 octobre 2017

LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL

Spécial immobilier : en Île-de-France, le marché

s'emballe

Le 16/10/2017

Prix, volumes, hausses à deux chiffres dopent certaines villes franciliennes de la petite

couronne qui profitent du Grand Paris.

Attractivité. La ligne 11 du métro desservira Romainville (93) en 2022. Les programmes neufs se

multiplient autour de la place Carnot, qui accueillera la station. © Xavier POPY/REA

Comme c'est souvent le cas, la flambée des prix immobiliers parisiens gagne toute l'Île-de-France.

« Cette progression se diffuse par cercles concentriques vers la première puis la seconde couronne »,

résume une récente étude du site MeilleursAgents.com. Dans la petite couronne, qui rassemble les

trois départements limitrophes de la capitale (92, 93, 94), le boom du volume des transactions des

appartements anciens est significatif, qualifié même d'« historique » par la chambre des notaires de

Paris/Île-de-France : + 23 % sur un an ! Ce regain d'achats a dopé le prix de la pierre. En un an,

toujours selon les dernières statistiques des notaires, les valeurs s'arrogent + 4,1 %, à 4 440 euros/m2

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en moyenne. Cette hausse varie toutefois selon les départements : la valorisation des Hauts-de-Seine

atteint + 4,4 % (5 430 euros/m2), elle s'établit à + 3,7 % dans le Val-de-Marne (4 270 euros/m2) et à +

3,3 % en Seine-Saint-Denis (3 240 euros/m2). Mais, sur la base des avant-contrats signés cet été, les

notaires prévoient pour ce mois d'octobre un « relâchement des prix » des appartements anciens en

petite couronne. Affaire à suivre.Des fortunes diverses

25 villes à la loupe (prix au m2). Source : MeilleursAgents.com - août 2017. © DR

Les villes les plus concernées par la hausse se situent aux portes de Paris. À l'est et au sud, on

constate des augmentations à deux chiffres. C'est notamment le cas à Saint-Denis (+ 13,4 %) et à

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Montreuil (+ 10,5 %), dans la Seine-Saint-Denis, ainsi qu'à Choisy-le-Roi (+ 12,7 %) et à Villejuif (+

11,8 %), dans le Val-de-Marne. On relève aussi des variations notables dans ce même département à

Charenton-le-Pont (+ 9,7 %) et à Vincennes (+ 6,9 %). « En raison des taux d'intérêt encore bas, nous

voyons beaucoup de locataires parisiens des 11e, 12e et 15e arrondissements qui passent le

périphérique et achètent leur première résidence principale à Montreuil. Lorsqu'on quitte Paris, on

peut gagner 30 à 40 % de surface pour un budget équivalent à celui de la capitale », remarque Larbi

Belaychi, de l'agence locale Guy Hoquet. Le « bas Montreuil » continue d'être le secteur le plus cher

et le plus prisé, avec un mètre carré qui se négocie désormais entre 6 000 et 7 000 euros. En

revanche, du côté de la mairie de Montreuil, les valeurs sont moindres, naviguant entre 5 000 et 6 000

euros/m2. Même dynamisme à Romainville (93), qui gagne en attractivité. En 2022, cette commune

bénéficiera de l'arrivée de la ligne 11, qui la reliera à Paris. « Inexistants il y a encore six ans, les

programmes neufs dans le quartier du futur métro se multiplient. Dans l'ancien, les prix sont en

progression et se négocient autour de 5 000 euros/m2 », souligne Anne Desgranges, de l'agence

Alexan Immobilier, à Romainville. « Le budget maison des acheteurs, des Romainvillois et des

Parisiens venus des 19e et 20e arrondissements, s'est apprécié. Inférieure à 300 000 euros il y a huit

ans, l'enveloppe avoisine maintenant 500 000 euros », poursuit-elle.

« La petite couronne ouest de Paris est également bien portante et affiche des progressions de prix

plus uniformes que dans l'Est parisien », relève Thierry Delesalle, notaire à Paris. Notamment les

Hauts-de-Seine avec les villes de Boulogne-Billancourt (+ 8,6 %), Neuilly-sur-Seine (+ 7,6 %) et

Courbevoie (+ 5,5 %). À Issy-les-Moulineaux, l'activité immobilière est dynamique et ne faiblit pas en

cette rentrée. « On a pris 5 % de hausse depuis le début de cette année. Les habitations mises en

vente, à la fois bien situées et en bon état, partent vite et au prix affiché. Certaines trouvent même

preneur au-dessus de nos estimations », reconnaît Philippe Lachenal, agent immobilier à Issy-les-

Moulineaux. Cette commune constitue depuis des années un marché de report pour les Parisiens en

quête de plus de surface et soucieux d'habiter près d'une station de métro. « Outre la traditionnelle

clientèle du 15e arrondissement qui fait partie de nos clients réguliers, nous voyons maintenant des

personnes venant de secteurs plus centraux des 10e et 11e », relève ce dernier. Même constat à

Vanves et Malakoff, situées plus au sud, où les prix se tiennent et où les délais de transaction sont

rapides. Du côté de Levallois (92), « bien que les prix soient parfois plus élevés que dans certaines

parties du 17e et équivalents à ceux de Neuilly, les ventes sont nombreuses », indique Laetitia de

Francqueville, de l'agence Laforêt. Dans cette commune, l'ancien se négocie entre 7 500 euros

et 8 500 euros/m2, mais les écarts sont importants. Comptez de 6 800 à 7 000 euros le mètre carré

pour un appartement des années 1960 et 1970, avec travaux à la clé, et 9 000 euros pour des biens

de standing (dernier étage, parking) proches de la mairie.

Source : www.lepoint.fr

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Lille n'aura plus le droit d'encadrer les loyers Le 17/10/2017

Le tribunal administratif a annulé mardi l'encadrement des loyers à Lille mis en place en février

dernier à la demande de la maire Martine Aubry, selon un communiqué de cette juridiction.

Vue de Lille

PHILIPPE HUGUEN / AFP

Le tribunal administratif a annulé mardi l'encadrement des loyers à Lille mis en place en février dernier

à la demande de la maire Martine Aubry, selon un communiqué de cette juridiction.

Le juge administratif a estimé que ce dispositif fixé par un arrêté du préfet du Nord "ne pouvait pas

être appliqué dans la seule commune de Lille" et aurait dû concerner "l'ensemble de l'agglomération

lilloise", explicite le communiqué. Selon ce communiqué, "l'agglomération lilloise, qui comprend 59

communes, doit être regardée dans son ensemble comme constituant une "zone tendue" pour

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l'application du dispositif de plafonnement". La justice administrative avait été saisie par l'Union

nationale de la propriété immobilière (UNPI) du Nord.

En vigueur seulement à Paris (depuis août 2015) et à Lille, l'encadrement des loyers prévoit qu'à la

signature d'un nouveau bail ou lors d'un renouvellement, le loyer d'un logement ne puisse dépasser

de 20% un loyer de référence fixé par arrêté préfectoral, ni lui être inférieur de 30%.

Ce dispositif résulte de la loi ALUR du 24 mars 2014 qu'avait faite voter Cécile Duflot, alors ministre

du Logement. Dès son arrivée à Matignon en avril de la même année, Manuel Valls, hostile à une

réglementation de cette nature, avait décidé de restreindre son application aux seules "communes

volontaires". Une restriction que le Conseil d'Etat avait, en mars 2017, jugé illégale.

Lille est "reconnue comme la troisième ville la plus chère de France" avec une hausse des loyers

privés "de 70%" entre 2000 et 2012 (+50% en moyenne nationale), avaient expliqué le 16 décembre

2016 Martine Aubry et Emmanuelle Cosse, alors ministre du Logement, dans un communiqué

commun.

Source : www.challenges.fr

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Immobilier : qui peut vous aider à vendre ?

Le 19/10/2017

Immobilier : qui peut vous aider à vendre votre logement? - Michel GAILLARD/REA

L'agent immobilier classique n'est pas le seul vendeur de biens immobiliers. Dans certains cas

il peut être plus approprié de confier la vente ou l'achat de son bien à des notaires, des

mandataires ou des chasseurs d'appartements.

Si tout acte de vente définitif passe chez le notaire, la profession peut également jouer le rôle d' agent

immobilier . Les notaires totalisent 6 % des ventes en France, une proportion plutôt en baisse depuis

20 ans. Incontournables dans les zones rurales, ils sont historiquement assez présents dans les

transactions immobilières de Bretagne, du nord de la France, la région bordelaise - grandes villes

comprises. Ils sont en revanche totalement absents à Paris et dans le Midi. Leur principal atout : des

honoraires réduits (3 à 4 % maximum).

Autres vendeurs de biens immobiliers : les agents commerciaux indépendants, autrement appelés

mandataires, représentent près de 10 % des transactions. Sortes d'« Uber de l'immobilier » selon un

notaire spécialisé en immobilier, ils sont rattachés à une enseigne mère (I@D France, OptimHome,

Safti ou CapiFrance pour les plus connues). Leurs prérogatives sont plus restreintes que celles des

agents classiques : autorisés à signer des mandats, ils ne peuvent pas rédiger des promesses de

vente. Côté location, ils n'ont pas le droit de prendre de chèque d'acompte ou de loyer. Ils annoncent

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des taux de commission plus faibles que ceux des agences classiques. « Il n'est pas évident qu'il y ait

de différence de rémunération finale entre les mandataires et les agents classiques car ces derniers

sont parfois soumis à des contraintes de négociation de leur rémunération pour faire passer l'offre de

l'acquéreur » ajoute le notaire.

Les chasseurs d'appartements, au service de l'acquéreur

Dernière catégorie, les agents privés, aussi appelés chasseurs d'appartements. Ils s'appellent

« Flathunter », « Perle rare », « Côté acheteur » et sont des professionnels 100 % au service de

l'acheteur. Leurs services sont recherchés par des particuliers n'ayant pas le temps de prospecter ou

en quête d'un bien hors du commun : un moulin, un château, une demeure de chasse par exemple.

C'est alors l'acquéreur qui paie les honoraires (libres). Ces derniers sont en général fonction de la

valeur du bien recherché et dégressifs. Il faut prévoir entre 2 % et 6 % du prix de vente.

Source : www.lesechos.fr

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Logement: projet de loi présenté en conseil des

ministres mi-décembre

Le 19/10/2017

Un projet de loi sur la stratégie logement sera présenté mi-décembre en conseil des ministres, puis

devant le Parlement au premier trimestre 2018, a indiqué jeudi le secrétaire d'Etat à la Cohésion des

territoires, Julien Denormandie. "Nous avons un projet de loi en préparation que nous présenterons

mi-décembre en conseil des ministres" puis au parlement au premier trimestre 2018, a déclaré M.

Denormandie sur CNews. Pour mettre au point cette stratégie qui prévoit notamment la construction

de 80.000 logements pour les étudiants et jeunes actifs ou encore un "bail mobilité" à destination des

personnes en formation, "2.500 personnes ont été consultées", a-t-il ajouté.

Le gouvernement prévoit également "d'encadrer les recours" contentieux qui bloquent actuellement,

selon le secrétaire d'Etat, 40.000 projets de logements. Par ailleurs, M. Denormandie a confirmé que

le gouvernement fera "effectivement appel dans les toutes prochaines heures" de la décision du

tribunal administratif de Lille d'annuler dans cette ville l'encadrement des loyers, un dispositif mis en

place en février dernier à la demande de la maire Martine Aubry. "Il faut tester l'encadrement des

loyers. On ira jusqu'au bout de l'expérimentation avant de voir si on le généralise ou non", a-t-il

souligné. Mis en place sous le quinquennat de François Hollande, ce dispositif est destiné à protéger

les locataires des abus de certains bailleurs.

L'encadrement des loyers prévoit qu'à la signature d'un nouveau bail ou lors d'un renouvellement, le

loyer d'un logement ne puisse dépasser de 20% un loyer de référence fixé par arrêté préfectoral (ni lui

être inférieur de 30%).

Source : www.lefigaro.fr

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Les Français sous-estiment très souvent le prix

d'un achat immobilier

Le 19/10/2017

Selon une enquête Opinionway pour Fortuneo, les candidats à l'achat immobilier dans les

grandes villes sont nombreux. Pour une large majorité, ils plébiscitent les centres-villes.

Les Français qui veulent acheter un bien immobilier visent en priorité les centres-villes.

Thomas Samson/AFP

Dans les grandes villes, un habitant sur quatre a un projet d'achat immobilier. C'est ce qui ressort de

l'étude OpinionWay pour Fortuneo, parue ce jeudi 19 octobre, sur les intentions d'achat des habitants

de dix grandes agglomérations. Si l'on ajoute, aux 25 % de citadins qui ont l'intention d'acheter un

bien dans les cinq prochaines années, les 19 % qui en ont déjà acquis un au cours de cinq dernières

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années, 44% d'entre eux auront, sur une période de dix ans, réalisé une opération immobilière. Le

goût des Français pour la pierre ne se dément pas…

Et comme, lorsqu'on investit en immobilier, les trois règles d'or sont l'emplacement, l'emplacement et

l'emplacement, les citadins interrogés, sans surprise, plébiscitent le centre-ville, qui permet souvent

d'effectuer des trajets domicile-travail plus courts et plus fluides. C'est le cas pour tous ceux qui

envisagent l'achat d'un appartement, et ce, dans toutes les grandes villes passées au crible

(Toulouse, Bordeaux, Nantes, Paris, Lyon, Nice, Aix-Marseille, Lille, Rouen, Strasbourg). A Paris,

c'est même de très loin la solution préférée : ils sont 70% à préférer un appartement en centre-ville, et

seulement 12% à envisager d'acheter en périphérie… Ils sont peu nombreux à imaginer une maison :

9% pour le centre-ville (on peut toujours rêver) et 13% pour la périphérie. Toutefois, à Lille, à

Bordeaux, à Nantes, à Rouen et à Toulouse, la maison de périphérie l'emporte (souvent de peu) sur

l'appartement de centre-ville.

L'impact des donations et héritages

Quoique pleins de projets, les candidats à l'achat interrogés risquent de buter sur une question de

budget. Ainsi, à Nice, la surface moyenne qu'ils prévoient d'acquérir est de 80 mètres carrés, pour un

budget moyen de 276.000 euros. Soit 3.450 euros le mètre carré… 500 euros de moins que le prix

moyen du marché dans la Baie des Anges (source MeilleursAgents). Les prix moyens sont aussi

nettement sous-estimés à Bordeaux (de 800 euros), à Lille (de 440 euros), à Lyon (de 730 euros) ou à

Paris. Pour la capitale, le bien envisagé a une surface de 78 mètres carrés mais l'enveloppe financière

est, elle, de 416.000 euros. Soit un prix moyen de 5.333 euros, bien en-dessous des 8.823 euros de

prix moyen au mètre carré affichés par MeilleursAgents.

Cela n'empêche pas les candidats à l'achat de pressentir que leur capacité d'endettement n'est pas

toujours suffisante. Lorsqu'on les interroge sur les situations les plus propices à l'achat d'un bien,

avant le mariage ou l'agrandissement de la famille, ils citent en premier déclencheur… une donation

ou un héritage. Avec un apport, ils peuvent non seulement viser plus grand, mais aussi obtenir de

meilleures conditions de crédit. Dans des marchés tendus où certains appartements se vendent à leur

prix affiché en quelques heures, l'apport permet aussi de rassurer le vendeur, soucieux de vendre à

l'acquéreur qui présente le dossier de financement le plus solide.

Enfin, s'ils ne sont pas toujours très réalistes sur les prix du marché, les candidats à l'achat ont tout de

même l'intuition que sur le long terme, ils seront gagnants. Aux deux premiers rangs de leurs

motivations, loin devant les autres raisons invoquées, ils avancent le fait de se constituer un

patrimoine pour l'avenir (36 %) et celui de cesser de payer un loyer (33 %).

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Un calcul pas toujours évident

Le calcul n'est pas toujours évident. Prenons un exemple théorique. Pour louer un appartement de

trois pièces et de 55 mètres carrés dans le vingtième arrondissement parisien, il faut compter entre

1.420 et 1.650 euros par mois. Pour acquérir le même bien, il faut prévoir 440.000 euros de budget,

soit un remboursement de 2.295 euros par mois sur vingt ans (un montant qui est toutefois accessible

à peu de ménages). Et ce, sans compter les frais d'acquisition (notaire et droits de mutation), ni les

charges de copropriété. Lissées sur vingt ans, ces dépenses reviennent à 365 euros par mois. Soit un

total mensuel à débourser de 2.660 euros par mois… à supposer qu'un ménage puisse se le

permettre, ce sont tout de même 1.000 euros de plus à débourser que pour le foyer de locataires. A

court terme, donc, la location est clairement gagnante.

Au fil du temps, pourtant, l'acquéreur s'enrichit plus vite : avec des taux d'emprunt exceptionnellement

bas, dès les premières mensualités, il amortit 1.540 euros de capital, soit plus de 18.000 euros

épargnés la première année. Au bout de cinq ans, il aura déjà remboursé 96.000 euros de capital. Le

locataire, lui, à supposer qu'il ait réussi à épargner les 1.000 euros économisés chaque mois (grâce

au loyer moins cher que les mensualités du prêt), et qu'il les ait placés à 1,2 % net (hypothèse assez

optimiste), il sera à la tête d'un capital de 62.000 euros.

Dans cette situation, et même avec des prix d'achat qui peuvent parfois être considérés comme

stratosphériques et qui excluent, de fait, un grand nombre de Français de l'acquisition dans les

grandes villes, l'acquéreur est gagnant… à condition, toutefois, que les prix de l'immobilier ne

s'effondrent pas. Et qu'il n'ait pas été contraint de revendre son bien trop rapidement. Des conditions

qui, on le voit, ne font pas pour autant reculer les intentions d'achat.

Source : www.challenges.fr

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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE

100 000 postes non pourvus dans l’hôtellerie-

restauration

Le 28/09/2017

L'hôtellerie-restauration enregistre une pénurie de personnel depuis plusieurs années. | Photo

d'illustration : Fotolia

Le tourisme est reparti à la hausse en France cette année. La profession embauche mais peine à

trouver du personnel qualifié. C’est le constat de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie

(Umih). Son vice-président national, Hervé Becam, hôtelier-restaurateur à Plouider (Finistère), détaille

les pistes explorées par la profession.

L’hôtellerie-restauration peine à embaucher. C’est une situation nouvelle ?

Pas tout à fait, mais la situation s’aggrave. Depuis plusieurs années, nous enregistrons une pénurie

de personnel en France d’environ 30 000 à 50 000 personnes, pour un total d’un million d’actifs dans

la branche : 700 000 salariés et 300 000 indépendants. Cette année, ce déficit est encore plus élevé.

Nous estimons à 100 000 le nombre de postes non pourvus.

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Pourquoi ce phénomène ?

Nous constatons une reprise de la fréquentation touristique française et étrangère, notamment

américaine et chinoise. Le phénomène est particulièrement marqué en Ile-de-France et en Provence-

Côte d’Azur. Nous avons besoin de salariés, mais nous avons des difficultés à trouver du personnel

qualifié, alors que la France connaît un chômage très important.

Comment l’expliquez-vous ?

C’est un problème d’image de nos métiers. Quand les jeunes sont en période d’orientation, leurs

parents ne les incitent pas, en général, à se tourner vers nos professions. Ils les poussent plutôt à

faire des études universitaires longues. Mais on voit de plus en plus de bac plus cinq, sans

perspective, face à un mur. Car leur filière ne mène pas à un emploi. C’est pourquoi nous voulons

rappeler que l’éventail des métiers et des compétences requises dans nos métiers est très large :

cuisiniers, réceptionnistes, serveurs, personnels des étages dans les hôtels…

C’est un problème de rémunération ?

Non. En signant le contrat d’avenir avec l’État en 2009, impliquant une baisse de la TVA (aujourd’hui à

10 %), nous nous sommes engagés à proposer des salaires au-dessus du Smic. Aujourd’hui, on

recense de nombreuses offres d’emploi à 1 700-1 800 € net, qui ne trouvent pas preneur. Et qui ne

nécessitent pas cinq ans d’études.

Que préconisez-vous ?

Nous travaillons à des propositions que nous allons soumettre au gouvernement, avant la

présentation du projet de loi sur la formation professionnelle cet automne. Cela concerne notamment

les certificats de qualification professionnelle (CQP). Ils permettent d’acquérir rapidement une

connaissance technique de nos métiers, en formation continue. Aujourd’hui, seuls trois CQP sont

tournés vers nos métiers. Nous proposerons à l’État d’allonger cette liste. Par exemple, en créant un

certificat dédié à la numérisation de l’approche commerciale. Nous comptons aussi travailler avec

l’Éducation nationale afin de favoriser l’orientation vers nos métiers. Pour cela, nous comptons créer

un observatoire de la profession, permettant de mesurer l’évolution des salaires, du temps de travail

etc. Certes, nos métiers présentent des contraintes : on travaille souvent le week-end ou le soir. Mais

on gagne très correctement sa vie. Dans l’hôtellerie-restauration, l’ascenseur social fonctionne.

Source : www.ouestfrance.fr

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La revue de Presse KYLIA 14

Crowdfunding et Franchise

Le 17/10/2017

En octobre, le financement participatif s’invite dans les couloirs et conférences des Salons de

la franchise de Marseille et de Lyon, un an tout juste après leur première entrée à l’automne

2016 !

Entrepreneurs juridiquement et financièrement indépendants, les futurs franchisés rencontrent parfois

des difficultés à trouver les derniers financements nécessaires au bouclage du projet.

Pour les franchisés installés, trouver les ressources nécessaires auprès des institutions bancaires

classiques pour des besoins immatériels comme des travaux ou des recrutements peut également

devenir un casse-tête. Idem pour des enseignes qui souhaitent se structurer ou lancer une campagne

de recrutement de franchisés ou une campagne de marketing/communication.

De plus en plus d’acteurs du commerce organisé se laissent alors séduire par les emprunts

participatifs. Sur les plateformes de crowdlending, les dirigeants lancent leur collecte pour obtenir les

fonds nécessaires à leur développement directement auprès des Français et les remboursent ensuite

chaque mois durant une période déterminée. La plateforme de prêts de particuliers à entrepreneurs,

Lendopolis (KissKissBankBank & Co) était présente début octobre au Top Franchise Méditerranée et

sera au Forum de la Franchise (le 19 octobre) pour présenter cette solution alternative pour financer

sa franchise.

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La revue de Presse KYLIA 15

100 % de réussite pour les entreprises en franchise

“Il y a un peu plus d’un an, nous lancions une offre d’accompagnement et de financement dédiée au

commerce organisée en nous associant à une experte du secteur, Nathalie Dubiez (Aureabee)”,

débute Guillaume Miltin, chargé d’affaires de la plateforme Lendopolis. Ici, les entreprises peuvent

emprunter entre 10 000 à 350 000 euros - pour la totalité d’un besoin, en complément avec une

institution bancaire ou d’un apport personnel. “Les entreprises collectent en dix jours en moyenne les

fonds dont elles ont besoin. Dans un monde fait d’opportunité business, cette rapidité n’est pas

négligeable”, souligne ce dernier.

Sur cette plateforme, les prêts sont sans caution ni garantie : ce sont les Français qui ont le dernier

mot sur la réalisation du projet. Si la société ne parvient pas au bout de sa collecte : les investisseurs

sont remboursés. “Si elle réussit, soit dans 100 % des cas pour les entreprises issues du commerce

organisé, et dans 93 % des cas pour l’ensemble des TPE/PME qui lancent une collecte sur notre

plateforme, l’entreprise rembourse chaque mois, grâce à un prélèvement automatique, sa

communauté de 200, 500, 800 ou encore 1 200 micro-investisseurs”, souligne Guillaume Miltin.

Des besoins de financement de 25 à 200 000 euros

“Bien sûr, les taux d’emprunt sont plus importants - entre 6 % et 10,5 % - que dans les institutions

bancaires classiques. En effet, ces derniers, déterminés par notre équipe d’analystes sont attribués en

fonction de la typologie du projet, de la durée d’emprunt et prennent en compte la fiscalité du prêteur

et le risque d’un emprunt sans caution ni garantie supportée par les investisseurs”, ajoute ce dernier.

Aujourd’hui, ce sont déjà 2,2 millions d’euros qui ont été collectés par des franchiseurs et (futurs)

franchisés pour concrétiser plus de 6,5 millions d’euros de projets. “Les fonds obtenus sur la

plateforme permettent généralement de compléter des emprunts bancaires ou apports personnels”

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La revue de Presse KYLIA 16

souligne l’apporteur d’affaires. “Depuis l’année dernière, nous avons réalisé un très important travail

de pédagogie. Le résultat ? 30 projets d’acteurs du monde de la franchise issus de 25 enseignes

différentes ! Nous sommes très fiers et très heureux de permettre la concrétisation de ces

développements !”, se réjouit-il également. Avec un montant moyen de 78 000 d’euros par collecte,

ces enseignes et franchisés ont réalisé des collectes entre 25 et 200 000 euros.

Une conférence à venir dédiée au financement participatif de la franchise

À l’occasion du Forum de la Franchise de Lyon, deux têtes de réseau témoigneront de leur

expérience au cours de la conférence "Crowdfunding et crowdlending au service des porteurs de

projets”. Guillaume Miltin précise : « Aureabee, expert dans le financement du commerce organisé

sera également présent. Nous vous donnons rendez-vous le jeudi 19 octobre, à 15h au Forum de la

Franchise de Lyon. »

Source : www.leparsien.fr

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La revue de Presse KYLIA 17

10 conseils pour préparer son hôtel pour une séance photo Le 18/10/2017

Les hôtels sont plus que jamais exposés et subissent parfois l'image qu'ils renvoient. À l'heure de préparer des prises de vue pour internet ou des brochures, quelques précautions permettront de rendre plus attractif votre établissement.

© Thinkstock

Lors d'une séance photo, pensez à agrémenter les lieux grâce à un livre ou un plateau de courtoisie posé sur le lit.

1. Préparez un document de projet incluant : présentation de l'hôtel et objectifs du projet (réseaux sociaux, mise à jour du site internet, création d'un dossier de presse…), cible, format et quantité de photos désirées, délai de livraison et enveloppe budgétaire.

2. Prenez en photo les chambres prioritaires avant qu'elles soient relouées et évitez les check-in anticipés. Communiquer avec vos équipes sur la séance photo évitera des problématiques de dernière minute.

3. Éventuellement, recrutez des modèles pour la ou les journée(s).

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4. Choisissez avec le photographe les meilleurs moments pour chaque espace de vie, selon l'exposition de votre hôtel. Le soleil couchant sera souvent plus valorisant pour les espaces de restauration, le lever de soleil plus intéressant pour les chambres.

5. Ôtez les accessoires disgracieux de la chambre, comme la corbeille ou le sèche-cheveux. En revanche, pensez à agrémenter les lieux : 6. En chambre, un livre ou ordinateur posé sur le lit, le plateau de courtoisie bien disposé.

7. Au restaurant, des tables dressées, une table de petit déjeuner garnie, le buffet de petit déjeuner complet avant qu'il soit occupé par les clients, et au bar, les modèles sirotant des cocktails.

8. Dans le lobby, un réceptionniste remettant ses clefs au modèle ; un jeu d'échecs sur une table, des magazines, des compositions florales.

9. Dans l'espace fitness, des serviettes et bouteilles d'eau bien disposées.

10. N'oubliez pas les espaces séminaires, en les équipant de verres, bouteilles, bloc-notes…

Source : www.lhôtellerie-restauration.fr

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Face à une difficulté de financement, pensez à

la Médiation du crédit

Le 19/10/2017

Problème de trésorerie, rejet d'une demande de rééchelonnement de dette, projet de développement

bloqué à cause d'un crédit refusé... Quand les relations avec votre partenaire bancaire deviennent

tendues, la Médiation du crédit peut vous sortir de l'impasse. Explications avec Fabrice Pesin,

médiateur national du crédit.

L'Hôtellerie Restauration : À quoi sert la Médiation du crédit ?

Fabrice Pessin : À aider le dirigeant qui fait face à un refus ou à une dénonciation de crédit

professionnel qui le bloque dans la gestion de son entreprise jusqu'à, parfois, la mettre en péril.

Quel est le profil des entreprises qui saisissent la Médiation du crédit ?

Toutes les entreprises sont concernées quelle que soit leur forme juridique. La grande majorité d'entre

elles sont des TPE.

Dans quels cas la Médiation du crédit peut-elle intervenir ?

Le fait générateur qui va permettre au dirigeant de saisir la Médiation du crédit est une difficulté de

financement bancaire. Une dénonciation de découvert, un refus de rééchelonnement d'une dette ou

un rejet de crédit… Qu'il s'agisse d'un crédit d'investissement à moyen terme ou d'un crédit de

trésorerie pour faire face à des problématiques de délais de paiement ou de gestion des stocks par

exemple. Nous intervenons aussi en cas de problèmes liés à l'assurance-crédit.

Quelles sont les démarches pour bénéficier de votre intervention ?

Le dirigeant remplit un dossier en ligne qui lui permet de présenter son entreprise, ses partenaires

financiers, sa situation financière, la nature des difficultés rencontrées (refus de crédit, suppression

d'une ligne de crédit...) ainsi que les montants en jeu. Il sera contacté dans les 48 heures par le

médiateur de son département.

Une fois le dossier accepté, comment intervenez-vous ?

Nous essayons de débloquer la situation par le dialogue, après avoir discuté avec le dirigeant et le

banquier en bilatéral, et avoir posé un diagnostic. Il faut bien comprendre que s'il y a blocage de la

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part de l'établissement bancaire, c'est qu'il n'y a plus de confiance. Et s'il y a rupture de confiance,

c'est qu'il y a une raison. En analysant la situation de manière extérieure et objective, nous pouvons

déterminer si le motif de blocage est ponctuel, conjoncturel ou structurel. Si nous estimons qu'il y a un

potentiel de rebond pour l'entreprise, on propose des solutions adaptées.

Combien de temps une médiation dure-t-elle ?

Une médiation peut peut durer quelques jours, ou bien une à deux semaines. Certains cas

compliqués peuvent exiger plusieurs mois.

Ce service est-il gratuit ?

Oui, la Médiation du crédit est un dispositif gratuit et confidentiel proposé par l'État depuis 2008.

Un conseil pour les chefs d'entreprise du secteur ?

Considérer les difficultés de financement comme des signaux d'alerte qui vous incitent à vous

interroger sur vos méthodes de gestion, et surtout avant cela, consacrer une partie de votre temps au

pilotage de vos entreprises : tableaux de bord, de suivi de trésorerie, échéanciers fournisseurs.

Certes, c'est plus facile à dire qu'à faire, mais c'est primordial pour bien évaluer vos besoins en

financement et anticiper d'éventuelles difficultés avec vos banquiers.

Source : www.lhôtellerie-restauration.com

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Ces concepts de restauration qui misent sur une offre 100 % poulet

Le 20/10/2017

Très en vogue dans la restauration rapide, les concepts à base de poulet essaiment partout en

France. Et si après le burger et le bagel, c’était au tour de ce produit de rencontrer le succès ?

Crédits photo : Ingrid Balabanova / shutterstock.com

Les acteurs se multiplient

Bientôt, les Montpelliérains découvriront un tout nouveau concept de fast-food tout droit importé des

États-Unis : Popeyes. Sa particularité : il s’agit d’une chaîne de restauration rapide entièrement

dédiée au poulet et qui recense plus de 2 000 unités dans le monde. Ce rival direct de KFC lorgnait la

France depuis un moment et il vient de signer un contrat de master-franchise avec le groupe

Lodarest. L’objectif : ouvrir une centaine de restaurants ces dix prochaines années.

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Crédits photo : Jonathan Weiss / Shutterstock.com Le numéro 2 mondial du poulet en restauration

rapide ouvre un premier restaurant à Montpellier.

Récemment, ce sont les Parisiens qui ont découvert un nouveau restaurant au drôle de nom dans le

quartier Montparnasse : Poulet Poulette. Ici aussi, l’intégralité de la carte tourne autour du poulet,

celui-ci étant même certifié fermier Loué. « Mais le véritable coup de génie de cette enseigne, c’est de

décliner le poulet à toutes les sauces », souligne Bernard Boutboul, président du cabinet Gira Conseil.

En salade, en sandwich, en tortilla, en burger, rôti… Bref, il y en a pour tous les goûts.

Et cet établissement n’est pas le seul à avoir fait du poulet la pièce maîtresse de son menu. En 2011,

deux frères – Frédéric et Jean-François Marteau – ont en effet ouvert à Lyon un restaurant

entièrement centré sur cette volaille : Lucien & la Cocotte. Le concept ? « C’est l’histoire d’un renard

qui voyage autour du monde, qui chaparde toutes les recettes de poulet qu’il rencontre pour les

ramener en France », répond l’un des cofondateurs. Là encore, tous les plats sont préparés à base de

poulet, la viande étant revisitée sous toutes ses formes.

Le poulet, une valeur sûre

Et la liste est longue : le nombre de concepts spécialisés ne cesse en effet de grandir. Comment

expliquer un tel engouement ? « Tout simplement parce que les Français adorent le poulet », répond

Bernard Boutboul. « Il s’agit d’un produit dont les volumes de vente sont colossaux, mais qui se

déploie encore peu dans la restauration hors domicile. On constate toutefois que c’est en train de

changer », ajoute-t-il. Que ce soit sous forme de wrap, de burger, de sandwich, de plat cuisiné ou tout

simplement en rôtissoire, le poulet est largement consommé dans le pays.

Cela, les restaurateurs l’ont bien compris. « Il y a fort à parier que le poulet fera partie des grands

produits de masse de demain, au même titre que le burger et la pizza aujourd’hui », estime le

président de Gira Conseil. À la différence que le poulet peut se décliner en un grand nombre de

recettes. « On constate même que des concepts étrangers commencent à se développer avec

succès, comme le sud-africain Nandos qui existe un peu partout dans le monde sauf en France, mais

qui pourrait, qui sait, arriver prochainement », renchérit Bernard Boutboul.

Source : www.lesechosdelafranchise.com

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A propos de Kylia KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

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