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Balade La montagne du Glandasse L’abbaye de Valcroissant – le dôme du Pié Ferré 7 septembre 2006 V2 16/03/2007 La balade démarre de l’Abbaye cistercienne de Valcroissant. Après un cheminement sous bois dans une forêt de résineux, de hêtres, de chênes et de buis le sentier passe à proximité d’une carrière de meules et permet d’accéder au sommet des falaises du Glandasse. On pourra profiter de beaux points de vue le long du cheminement et du sommet. Le temps n’a pas permis d’accomplir la totalité de la balade. Les caractéristiques correspondent au parcours réellement effectué. Carte IGN TOP 25 3237 OT Glandasse – Col de la Croix-Haute – PNR du Vercors Longueur 8,520 Km Dénivelé + 697 m Dénivelé - 697 m Durée 4h 30 Alt. Max 1216 m Alt. Min 656 m Profil randonneur Vit. montée 300 m/h Vit. descente 400 m/h Vit. plat 4 km/h Départ de Grenoble : Prendre la direction Sisteron par la N 75. Au niveau du col de la Croix Haute, prendre la direction de Die par la D539 jusqu’au pont du Quart, remonter la D93 en direction de Molières Glandaz, la direction de l’abbaye de Valcroissant est indiquée sur la droite. Se garer sur le parking, point de départ de la balade. Compter un peu plus de 2 heures de route. Randonnée : A partir du parking situé à proximité de l’Abbaye, prendre le sentier balisé vers le col de l’Abbaye et le col du Ménil. Laisser à droite 1 la voie qui part à droite vers la cabane de Josseaume, le sentier monte en lacets jusqu’à un autre croisement 2 , laisser à droite le chemin qui mène au col Fauchard et prendre le sentier de droite vers les quatre chemins 3 . Aux quatre chemins prendre sur la droite vers la source de juillet (l’eau de la source est très fraîche et potable) et continuer vers la pierre des sacrifices (prendre un petit sentier sur la gauche indiqué par des pancartes pour accéder aux carrières d’extraction de meule et revenir sur le sentier principal). Le sentie continue à monter en sous bois, de part et d’autres du sentier des meules ont été abandonnées … Le retour s’est effectué par le même chemin. L’Abbaye de Valcroissant

2006 09 07 Glandasse Valcroissant V2 - …jean.louis.negre.free.fr/.../2006_09_07_Glandasse_Valcroissant_V2.pdf · Extrait du Dictionnaire Topographique de la Drôme de 1891 ABBAYE

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Balade La montagne du Glandasse L’abbaye de Valcroissant – le dôme du Pié Ferré

7 septembre 2006 V2 16/03/2007

La balade démarre de l’Abbaye cistercienne de Valcroissant. Après un cheminement sous bois dans une forêt de résineux, de hêtres, de chênes et de buis le sentier passe à proximité d’une carrière de meules et permet d’accéder au sommet des falaises du Glandasse. On pourra profiter de beaux points de vue le long du cheminement et du sommet. Le temps n’a pas permis d’accomplir la totalité de la balade. Les caractéristiques correspondent au parcours réellement effectué.

Carte IGN TOP 25 3237 OT Glandasse – Col de la Croix-Haute – PNR du Vercors Longueur 8,520 KmDénivelé + 697 mDénivelé - 697 mDurée 4h 30Alt. Max 1216 mAlt. Min 656 m

Profil randonneur Vit. montée 300 m/hVit. descente 400 m/hVit. plat 4 km/h

Départ de Grenoble : Prendre la direction Sisteron par la N 75. Au niveau du col de la Croix Haute, prendre la direction de Die par la D539 jusqu’au pont du Quart, remonter la D93 en direction de Molières Glandaz, la direction de l’abbaye de Valcroissant est indiquée sur la droite. Se garer sur le parking, point de départ de la balade. Compter un peu plus de 2 heures de route. Randonnée : A partir du parking situé à proximité de l’Abbaye, prendre le sentier balisé vers le col de l’Abbaye et le col du Ménil. Laisser à droite 1 la voie qui part à droite vers la cabane de Josseaume, le sentier monte en lacets jusqu’à un autre croisement 2 , laisser à droite le chemin qui mène au col Fauchard et prendre le sentier de droite vers les quatre chemins 3 . Aux quatre chemins prendre sur la droite vers la source de juillet (l’eau de la source est très fraîche et potable) et continuer vers la pierre des sacrifices (prendre un petit sentier sur la gauche indiqué par des pancartes pour accéder aux carrières d’extraction de meule et revenir sur le sentier principal). Le sentie continue à monter en sous bois, de part et d’autres du sentier des meules ont été abandonnées … Le retour s’est effectué par le même chemin.

L’Abbaye de Valcroissant

Balade vue en plan

Col Fauchard

Carrière de Meules

Le pré de l’Ours

Source de Juillet

Abbaye de Valcroissant

Pique-nique

Départ

Col de l’Abbaye

Quatre chemins

Vers le col de Ménil N

Col de Cologne

Fin balade

Pas de la Roche

1

2

3

Cabane de Josseaume

Pié Ferré

Itinéraire global

Abbaye de Valcroissant

Comboire

Itinéraire arrivée

Abbeye de Valcroissant

Balade coupe

Abbaye de Valcroissant 656 m

Abbaye de Valcroissant 656 m

Fin balade 1215 m

Pique-nique

Source de Juillet 1066 m

Source de Juillet 1066 m

Quatre chemins 1017 m

Quatre chemins 1017 m

9h 45 11h 35 12h 44 13h 37 13h 58

12h 28

14h 52

8,520 km 0,000 km 4,260 km

Vue 3D Google earth

Col de l’Abbaye

Col Fauchard

N

Départ Abbaye de Valcroissant

La situation - Diois

Vercors

Diois

La situation – Diois (Suite)

La situation – Diois (Suite)

Bien entendu lorsque l’on essaye de déterminer les limites de ce que l’on appelle le Diois … Il y a autant de limites que de documents trouvés. On a déjà vu que « Le Diois » était l’une des 6 régions du Parc National du Vercors, ce n’est bien entendu pas l’ensemble du « Diois » que l’on connaît intuitivement. Voici donc encore deux cartes ….

Communauté des communes du Diois http://www.paysdiois.fr/

La situation – Diois (Suite) Etudes Drômoises (http://etudesdromoises.free.fr/)

Toponymie

Le Diois et son étymologie … Difficile !!

Onomastique : Substantif féminin, LING. Discipline ayant pour objet l'étude des noms propres (emprunté au grec «propre à dénommer; qui appartient au nom, qui sert de nom») et comprenant diverses branches telles que : L’anthroponymie, l'hydronymie, la toponymie etc. … Mais aussi …

Hagiotoponyme : toponyme portant le nom d'un saint.

Macrotoponyme, microtoponyme : on a coutume d'appeler macrotoponymes les noms de lieux désignant des agglomérations, des reliefs ou des cours d'eau suffisamment importants. Le terme de microtoponymes est réservé aux lieux-dits, noms figurant sur les cadastres mais généralement absents des cartes topographiques.

Odonyme (parfois écrit hodonyme) : nom désignant une route, une rue, un chemin.

Oronyme : nom de lieu lié au relief : montagnes, collines, mais aussi plaines, plateaux, vallées.

Die : Dea Andarta, grande ville religieuse et capitale des Voconces, puis Augusta Dea après la conquête romaine, puis Dea Vocontiorum peu avant la chute de l'empire, puis siège à partir du IV° siècle de l'évêché de Diensis. Elle est citée sur l'itinéraire d'Antonin et la table de Peutinger sous le nom de Dea Vocontiorum.

Abbaye de Valcroissant

Extrait du Dictionnaire Topographique de la Drôme de 1891 ABBAYE (L'), forêt et ruines de la commune de Die. Abbatia Vallis Crescensis, 1203 (Cartulaire des Écouges, 15) - Monasasterium Vallis Crescentis, 1243 (Choix de documents 3). - Valcreissent, 1486 (Archives de la Drôme, fonds de l'évêché de Die) - Abbatia Vallis Crescentis in montibus, 1516 (Rôle de décimes) - L'abbaie de Valcressant, 1576 (ibid.). Ancienne abbaye de l'ordre de Citeaux et de la dépendance de Bonnevaux, fondée vers 1188 et ruinée pendant les guerres de religion, mais dont le titre a subsisté jusqu'à la Révolution. L'abbé de Valcroissant était seigneur temporel du lieu et décimateur dans la paroisse de la Chaudière.

Histoire et légendes

Histoire et légendes (suite)

Abbaye Une abbaye (abbatia) est une communauté de moines gouvernée par un abbé (abbas). C'est un terme relativement récent : on ne le trouve qu'après le IXe siècle. Avant il n'est question que de "monastères" (maison où vivent des moines). Son usage se répand pour distinguer les monastères normaux ayant à leur tête un abbé, des monastères encore insuffisamment développés et gouvernés par un prieur.

L’abbaye de Valcroissant En 1188, un groupe de moines cistercien, venant de Die et marchant en direction du Vercors, s’arrête dans un vallon frais, aux pied de la muraille du Glandasse qui barre l’horizon. L’endroit est isolé au milieu de terres cultivables et de forêts, l’eau du torrent abondante. Séduits par la beauté de ce site sauvage à l’écart du monde, les moines décident de s’y installer. Ils fondent l’abbaye, et avec les pierres taillées dans la falaise, entreprennent la construction des bâtiments à l’architecture essentiellement romane (avec quelques éléments gothiques comme les ogives de la salle capitulaire). L’église se trouve au nord et le réfectoire, éclairé par une large rose à son fronton, au sud. L’abbaye ne connut pas le même rayonnement que celle voisine de Léoncel, fondée quelques dizaines d’années plus tôt, et les moines y vécurent dans une grande pauvreté, vivant difficilement des produits de la terre. Menacée pendant la guerre de Cent

Tél. 04 75 22 12 70 - Adultes 3 €, enfants (- 12 ans) gratuit (ou à l'Office de tourisme de Die : 04 75 22 03 03) Visites guidées pour individuels de mai à septembre : Mai : vendredis à 17h Juin & septembre : mercredis à 17h Juillet & août : lundis - mercredis - vendredis à 17h Toute l'année groupes sur réservation : ad. 2,50 €.

ans, pillée au XV ième siècle, abandonnée par les moines et saccagée pendant les guerres de religion, l’abbaye fut vendue à Marcel Légaut en 1791 et transformée en exploitation agricole. Son dernier propriétaire, et maintenant son fils ont entrepris de la restaurer. En plus de l'élevage de brebis, ils ont développé une activité de gîte rural et gîte d'étape ainsi que l'organisation de concerts... C'est une autre manière de découvrir l'abbaye, mais qui convient parfaitement au lieu ! Vous pourrez visiter la cuisine voûtée transformée en gîte, la bergerie a temporairement pris possession de la nef, le réfectoire est devenu salle de concert, la salle du chapitre, le cloître, l'armorium ... Souhaitons que le classement de l’abbaye par les monuments historiques accélère les travaux de restauration de ce joyau de l’art roman.

Gîte d'étape tél. 04 75 83 01 70

Abbé Dans l'évangile, le Christ appelle son Père "Abba" (Marc 14, 36). Ce terme sémitique revêt en araméen (la langue du Christ) une nuance d'intimité et de familiarité. Faisant écho à cette parole du Christ, saint Paul parle du cri de l'Esprit-Saint dans le coeur du Chrétien. Comme Jésus, ceux-ci sont poussés par l'Esprit filial à invoquer Dieu sous ce titre de Père : "Abba". C'est dans cette ligne que se situe cette appellation d' "Abbé", l'Abbé étant dans le monastère le représentant du Christ-Dieu. C'est à Dieu que le moine obéit quand il se soumet à son abbé. C'est la noblesse de l'obéissance monastique. Il faut ici se souvenir ici de ce que dit saint Benoît de l'abbé dans le second chapitre de sa Règle : "L'abbé tient dans le monastère la place du Christ". L'abbé est élu par ses frères, soit pour un temps indéterminé, qui maintenant prend fin nécessairement à 75 ans, soit pour 6 ans, renouvelables.

Ordre des cisterciens - Ordre de Cîteaux L'ordre de Cîteaux (Ordo cisterciensis), également connu sous le nom d'ordre cistercien ou encore de saint ordre de Cîteaux (s.o.c.) est un ordre monastique catholique réformé, fondé en 1098 à l'abbaye de Cîteaux par Robert de Molesme (mort en 1110) pour suivre la règle de saint Benoît. Le plus célèbre des cisterciens saint Bernard, (1090, Fontaine-lès-Dijon - 20 août 1153 à Clairvaux) à qui l'ordre doit son considérable développement de la première moitié du XIIe siècle.

Armes de l'ordre de Cîteaux

Les monastères cisterciens se distinguent par la simplicité et la sobriété de l'architecture et des ornements. La robe est blanche avec un capuchon noir. On les appelle parfois "bénédictins blancs" ou Bernardins, du nom de St Bernard. Le symbole de l'ordre est la feuille d'eau (cîteaux). Des couvents de religieuses cisterciennes ont été établis ; l'un des plus célèbres est celui de Port-Royal.

Chapiteau en feuille d'eau caractéristique des Abbayes cisterciennes. En architecture, un chapiteau est un élément de forme évasée qui couronne une colonne et lui transmet les charges qu'elle doit porter. D'un point de vue ornemental, il est le couronnement, la partie supérieure d'un poteau, d'une colonne, d'un pilastre, d'un pilier,

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_C%C3%AEteaux

Histoire et légendes (suite) http://affetuoso.chez-alice.fr/2006/2006.html

Histoire et légendes (suite) L'héritage des moines (http://www.oldcook.com/heritage_moines.htm) Fromages, vins, bière, eau-de-vie Parmi les produits du terroir d'origine médiévale, un nombre important d'entre eux ont pour origine les monastères qui envahirent l'Europe entre le 9e et le 15e siècle. On compte près d'un millier de monastères dans la France médiévale, dont 251 abbayes cisterciennes et 412 abbayes bénédictines … Dans le vin de Côtes du Rhône il y a notamment : Cisterciens de l'abbaye de Valcroissant : vin de Die (qui deviendra plus tard Clairette)

Les villages du Nord du Vercors, éclatés en hameaux, éloignés les uns des autres, isolés par la forme du relief et le manque de routes praticables, étaient obligés de vivre en quasi autarcie, ce qui explique que de nombreux petits moulins aient été implantés sur chaque cours d'eau dévalant des montagnes. Ces machines hydrauliques furent situées en des points favorables, dès le Moyen Age, le long des eaux rapides et abondantes de la Bourne, en aval de Villard de Lans. Dans différentes communes du massif, on a pu relever des toponymes renvoyant au thème du "moulin" : à St Martin, St Julien (site de Moulin Marquis), à la Balme de Rencurel et à Châtillon en Diois notamment. A proximité de l'abbaye de Valcroissant, sur les premières pentes du Glandasse, une ancienne carrière abrite encore quelques meules partiellement extraites de la roche. Les plans cadastraux des mairies des Quatre Montagnes en dévoilent également quelques-uns, comme l'Ecluse à Lans ou les Grands Moulins à Méaudre.

Meule, pierre du sacrifice (http://www.ac-grenoble.fr/vercors/cahier-du-peuil/numero-2/moulins.htm) Une place de choix dans l'économie locale Participant d'une architecture inscrite dans la vie quotidienne (la forme des bâtiments ne se singularise pratiquement pas du reste des constructions du village), le moulin occupe une place de choix dans l'économie et la société villageoise, organisées autour de l'échange de service et d'une exploitation de toutes les possibilités naturelles de la montagne. Les premiers habitants du massif se seraient-ils fixés dans ces lieux, s'ils n'avaient eu la possibilité de faire moudre des céréales, qui constituent la base essentielle de l'alimentation traditionnelle? De manière générale, ces micro-installations au fil de l'eau étaient également utilisées comme scieries, dans le débitage des bois du terroir et parfois associées à un battoir à chanvre ou à gruau. A St Martin en Vercors, dans le hameau de Tourtre certains entrepreneurs ont même utilisé la force de l’Adoin pour le moulinage de la soie.

Les pierres à meule La nature de la pierre a une grande importance ; une pierre trop tendre s'effritera et la farine obtenue sera mélangée de particules pierreuses (Égypte) et son usure sera anormalement rapide ; une pierre trop dure se polit à l'usage et les grains glissent trop facilement à la surface ... On a utilisé des pierres granitiques dans le Jura, en Savoie et en Bretagne, des pierres de grès en Haute-Loire, en Forêt Noire, en suède et en Grande-Bretagne ; la lave a été aussi utilisée pour la fabrication des meules et c'est elle que les Romains préféraient ; et aussi des pierres calcaires en Anjou et en Aquitaine ... La meilleure est une variété de silex, constitué par de la silice, connue sous le nom de silex meunier, ou plus simplement de meulière. Il existe des gisements dans beaucoup de pays d'Europe et d'Amérique, mais la France en est particulièrement bien dotée. Le gisement le plus important est celui de la Ferté-sous-Jouarre. On en trouve aussi dans la Marne, à Montmirail et Épernay, à Épernon, dans l'Eure-et-Loir, à Lésigny dans la Vienne, à Bergerac en Dordogne, et à Saint-Mars-la-Pile en Indre-et-Loire. On trouve aussi des pierres dans l'Yonne, l'Eure, les Deux-Sèvres.

Géologie

Les abrupts occidentaux de la montagne du Glandasse ferment, du côté est, la dépression de Die. Toutefois cette montagne, qui a la forme d'un navire incliné du côté est, constitue, du point de vue géologique, le promontoire le plus méridional du Vercors. En effet elle est formée par les derniers affleurements des calcaires massifs, ici d'âge Barrémien inférieur, de la plate-forme urgonienne.

Cette coupe naturelle montre comment se termine vers le sud la falaise urgonienne du Vercors, par indentation des faciès de calcaires massifs dans des formations plus marneuses donnant un simple talus boisé. f.Q = faille de la Queyrie ; f.J = faille du Jasneuf (ces deux grandes cassures sont vues trop en oblique pour que leur incidence sur le relief des hauts plateaux, qu'elles traversent en biais, soit perceptible) On remarque l'énorme épaisseur des dépôts du Barrémien inférieur. Au sein de ces couches, les passages latéraux se font (du nord vers le sud), par indentations, entre des calcaires plus ou moins massifs (faciès bioclastiques déposés par coulées, au sommet du talus) et des marno-calcaires (faciès plus profonds, de décantation de vases en suspension).

La partie septentrionale de la montagne du Glandasse Vue d'avion, du sud-sud-ouest, depuis l'aplomb de Molières-Glandaz

Montagne du Glandasse Promontoire le plus méridional des plateaux du Vercors

http://www.geol-alp.com/

La partie septentrionale de la montagne du Glandasse Vue d'avion, du sud-sud.ouest, depuis l'aplomb de Molières-Glandaz

Roc de Peyrole

Grand Veymont Mont Aiguille Roc de Plautret

La Palle

Géologie (suite)

Le versant oriental de la montagne de Glandasse Vu de l'est depuis la Tête des Chaneaux

On voit bien la terminaison en promontoire de la dalle des calcaires bioclastiques du Barrémien inférieur qui forme la montagne et qu'entaille le cirque d'Archiane (dont le fond est masqué par l'échine boisée du Serre Chomille). En avant-plan la dépression de Glandage et l'entrée amont des gorges des Gâts (voir section Diois).

Géologie (suite)

A l'exception de quelques chapeaux sommitaux, formés de calcaires bioclastiques du Barrémien supérieur, toute l'étendue de ces plateaux de l'extrémité sud-orientale du Vercors est formée par des calcaires plus ou moins grossièrement bioclastiques du Barrémien inférieur.

L'extrémité méridionale de la crête du Glandasse Vue du sud-est, depuis la crête de Toussière

Eléments de faune et de flore

Balade La montagne du Glandasse - L’abbaye de Valcroissant – le dôme du Pié Ferré 7 septembre 2006

Photo : Anonyme Buis Buxus sempervirens Vercors

Description : La fleur crème, le buis est un petit arbre au bois très dur, dont le grain très fin en fait un bois précieux (objets tournés, marqueterie). Le buis peut vivre très longtemps. Spontané en région péri méditerranéenne, cette plante a largement été introduite au moment de la conquête romaine. Les romains vénéraient le buis, en transportaient des plants partout où ils allaient et en plantaient aussitôt qu’ils s’installaient durablement dans une région. la conquête romaine. Assez souvent, la présence de buis est synonyme de restes archéologiques de l’époque romaine ou gallo-romaine (oppidum, thermes, etc.).

Photo: Balade P1000003.JPG

Chemin vers la source de juillet

Photo: Balade P1000006.JPG L’abbaye

Photo: Balade P1000009.JPG Pierre du sacrifice

Photo: Balade P10000010.JPG Pierre à meule

Photo: Balade P10000012.JPG Meule (en mouvement)

Photo: Balade P10000016.JPG Pique-nique dans la pierre à meule

Photo: Balade P10000021.JPG Abbaye de Valcroissant

Photo: Anonyme Abbaye de Valcroissant

Photo: Anonyme Abbaye de Valcroissant