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:
● 24 mars 1968 : Labé (Guinée) approbation du Statut général de l’ rganisation destats iverains du énégal ( ) par la Guinée, Le Mali, la Mauritanie et le
Sénégal.
● 11 mars 1972 : création de l’ rganisation pour la ise en aleur du fleuve énégal ( ) par le Mali, la Mauritanie et le Sénégal. La Guinée est membre de l’OMVS depuis 17 mars 2006.
SOGEOH
3
:
● Réaliser l’autosuffisance alimentaire pour les populations du Bassin;
● Réduire la vulnérabilité des économies des États membres de l’OMVS face aux aléas climatiques ainsi qu’aux facteurs externes;
● Accélérer le développement économique des États membres ;
● Préserver l’équilibre des écosystèmes dans la sous région et plus particulièrement dans le Bassin;
● Sécuriser et améliorer les revenus des populations du bassin
● Schéma Directeur de Gestion des Eaux (SDAGE) du Bassin ;
● Plan d’Actions Stratégiques (PAS) ;
● Plan d’Action Régional pour l’Amélioration des Cultures Irriguées (PARACI) ;
● Système Intégré de Transport Multimodal
● Politique Énergétique Commune : augmenter, améliorer et intégrer la productiond’énergie pour les États membres ;
● ERS.
4
● SDAGE (horizon 2025) : document de planification stratégique de l’OMVS, ildonne une vison global du développement local en 6 Orientations Fondamentales et91 mesures dont 44 sont de priorités 1. Le budget d’investissement global pour lamise en œuvre du SDAGE est estimé à 278 milliards de Frs CFA, sans lesinfrastructures régionales avec lesquelles il revient à 6500 milliards de Frs CFA.
● PAS (horizon 2037) : outil de gestion transfrontalière durable des problèmesenvironnementaux prioritaires de l’Environnement du bassin du fleuve Sénégal.
Le PAS : (a) décline les actions et mesures prioritaires en vue de résoudre lesproblèmes environnementaux les plus urgents identifiés dans l’ADT ; (b) identifieles rôles et responsabilités des différents acteurs dans la mise en œuvre des actionsretenues ; (c) défini le cadre institutionnel et réglementaire —et au besoin lesréformes nécessaires— pour créer un environnement habilitant pour la mise enœuvre des mesures suggérées et ; (d) défini un plan d’investissement, demobilisation des ressources financières et humaines pour la mise en œuvre desactions proposées.
Il faut noter que l’ADT, qui a précédé le PAS, avait identifié 5 grands problèmesenvironnementaux comme étant les plus préoccupants parmi ceux auxquels lebassin du fleuve Sénégal est confronté : (i) la dégradation des terres et ladésertification ; (ii) la baisse de la disponibilité et la dégradation de la qualité deseaux ; (iii) la prolifération des espèces envahissantes ; (iv) la prévalence desmaladies liées à l’eau, et ; (v) les menaces sur la diversité biologique.
Le budget du PAS pour la première phase 2017-2027 est de 228.540.000 €, dontun peu plus de 130 millions pour les premiers 5 années. Le budget de laseconde phase 2027-2037 n’a pas été estimé, beaucoup de paramètrespouvant changer d’ici là.
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● PARACI (Horizon 2025) :
● PGIRE : Programme de Gestion Intégré des Ressources en Eau & Développementdes usages à buts multiples (PGIRE & DUBM), financé par la BM, en deux phases. Ilvise la promotion du développement économique et social des États membres del’OMVS.
o Phase 1 (2007 - 2013) : 120 millions $US
La phase 1 du PGIRE Comprenait trois composantes : (i) le développementinstitutionnel régional des ressources en eau, (ii) la mise en valeur intégrée desressources en eau au niveau local et, (iii) la planification régionale intégrée etmultisectorielle.
o Phase 2 (2014 – 2021) : 240,5 millions $US dont :
212,5 millions au titre de l’IDA, 16 millions de $US du Fonds pour l’Environnement Mondial et, 12 millions de $US au titre de la contrepartie des États membres.
La seconde phase du programme bénéficie également d’un don de plus de 11millions € du Pays-Bas, dans le cadre du Fonds mondial pour l’environnement(FEM).
La phase 2 du PGIRE Comprend aussi trois composantes : (i) le développementinstitutionnel, (ii) le développement des usages à buts multiples de l’eau et, (iii) lagestion et la planification des infrastructures.
6
Les axes d’intervention du PGIRE 2 mettent l’accent sur 5 activités clés :
o la modernisation des institutions intervenant dans la gestion du bassin du fleuve Sénégal,
o la planification, la gestion et la mise en valeur des ressources au niveau régional,
o l'expansion des ouvrages hydrauliques,
o l'atténuation des effets sanitaires induits par ces ouvrages,
o la promotion de la croissance économique à travers des activités connexes dedéveloppement du secteur de l'eau tout en améliorant les conditions socialeset environnementales
● SITRAM : Système Intégré de Transport Multimodal la navigationpérenne sur le fleuve est placée dans un système intégré de transportmultimodal.
Il consiste en la réalisation d’infrastructures fluviales et routières devant êtreexploitées de manière coordonnée et complémentaire, pour assurer l’acheminementet l’évacuation des trafics (marchandises et passagers) du bassin du fleuveSénégal, dans les meilleures conditions de sécurité et de coût.
● De façon non exhaustive, les principaux Partenaires techniques et Financiers del’OMVS sont la Banque mondiale, l’Union Européenne, l’Agence française deDéveloppement, etc.
7
• Cadre Physique: Situé dans la partie ouest
de l’Afrique entre latitudes 10°30 et 17°
30 et les longitudes 7° 30 et 16° 30
• Longueur du Fleuve: 1800Km ;
• Superficie : environ 325 000 Km² ;
• Source: Fouta Djallon (Rép. De Guinée) ;
• Extension : Hauts Plateaux du Nord de la
Guinée, la partie occidentale du Mali, les
régions méridionales de la Mauritanie et les
régions septentrionales du Sénégal.
Affluents:Le Bafing / Bakoye /Falémé
le Kolombiné
la Falémé formée par la réunion du Balinko et du
Koundako
le Karakoro
l’Oued Ghorfa
le Niordé
le Gorgol
8
9
Baisse de la pluviométrie du sud vers le nord : environ 1900 mm/an en Guinée à 200 mm/an en Mauritanie
10
Maximum de pluies à Dalaba et Mamou : environ 1800 mm/an
11
Maximum de pluies à Bakel, Nioro et Selibaby : environ 600 mm/an
12
Concentration des écoulements
0
500
1000
1500
2000
2500
3000
Dé
bit
s e
n m
3/s
Evolution des débits (m3/s) mensuels aux stations du bassin versant du fleuve Sénégal en 2012
BAFING MAKANA
BAKEL
DAKA SAIDOU
DIAMA AVAL
GOURBASSI
KAYES
KIDIRA
MANANTALI AVAL
MATAM
OUALIA
Hauts débits observés dans la période de juillet – novembre de chaque année avec un pic en septembre : environ 2600 m3/s
13
Concentration des écoulements
0
100
200
300
400
500
600
700
800
900
Dé
bit
s e
n m
3/s
Evolution des débits (m3/s) annuels aux stations de 2009 à 2012
Année 2009
Année 2010
Année 2011
Année 2012
Hauts débits observés à Bakel et Matam même au niveau de Diama il s ’écoule beaucoup d’eau : environ 600 m3/s
14
Domaines de valorisation des ressources en eau
Agriculture
Energie
navigation
Autres (AEP, pêche,élevage,environnement)
15
Usages de l’eau SecteursDemande 2008(Mm3)
Demande 2025(Mm3)
Utilisationsconsommatrices
Agricultureirriguée
1.450,5 5.250
Élevage 61 84,0
Eau potable 26,5 132,3
Mines/industries
13 235,0
Utilisations nonconsommatrices
Hydroélectricité
6.300 8.800
Navigation - 630)
Besoinsenvironnementaux
Culture dedécrue
4.500 4.500
Environnement
8.130 8.130
16
● PARACI (horizon 2025) : voies et moyens pour une mise en valeur et une gestionrationnelles des ressources du bassin.
En 2018, à la suite de la mise à jour du document du PARACI, le potentiel des terresirrigables initialement retenu (375 000 ha) est passé à environ 408 900 ha (Guinée : 19 600ha, Mali : 19 300 ha, Mauritanie : 130 000 ha, Sénégal : 240 000 ha).
Guinée: Sur la base des données de la DNGR, le potentiel aménageable est estimé à environ
19 600 ha dans le BFS. La superficie aménagée en 2015 est de 6898,75 ha répartie en
plaines alluviales (6542ha) et bas fonds (356,75 ha). La superficie exploitée est estimée à 4
589 ha.
Mali: Selon les données de l’ADRS, le potentiel aménageable est estimé à environ 19 300
ha. Les superficies aménagées dans la région de Kayes sont estimées à 6000 ha en 2016
réparties comme suit: bas fonds (3795 ha), périmètres maraichers (131 ha); submersion
contrôlée (202 ha) et maîtrise totale (1879 ha). Sur la superficie aménagée, seul près de 3505
ha sont mis en valeur.
Mauritanie: Le potentiel irrigué en Mauritanie (vallée du fleuve et Gorgol compris) a été
estimé en 2016, à 130 000 ha. A ce jour, la superficie brute aménagée est d’environ 61 986
ha. Les superficies exploitées sont estimées à 'environ 28 000 ha, entre 2015 et 2016.
Sénégal: Selon les données de la SAED le potentiel irrigué au Sénégal est de 240 000 ha. Il
existe 128 052 ha aménagés compte non tenu des 10 000 ha de cultures industrielles de
canne à sucre (à comptabiliser en irrigation privée). Les superficies mises en valeur sont
estimées à 93 300 ha.
Les superficies exploitées en Guinée, au Mali, en Mauritanie et au Sénégal sont estimées à
129 381 ha soit 60,76% de la superficie totale aménagée de 212 936,75 ha pour tout le
bassin du fleuve.
17
● PARACI (horizon 2025) : le coût global des projets du PARACI à l’horizon 2025 estde 840 780 000 $US dont : (a) 405 500 000 $US pour les projets régionaux et(b) 435 280 000 $US pour les projets nationaux.
● Les barrages, Manantali et Diama ensemble, permettent l’irrigation de 375 000 ha.
● Le rythme d’aménagement reste encore faible par rapport aux prévisions de 5000 à8000 ha par an.
Zone/Pays Coûts estimés $US Pourcentage
Région OMVS 405 500 000 48,2
Guinée 66 000 000 7,8
Mali 110 030 000 13,1
Mauritanie 210 250 000 25
Sénégal 49 000 000 5,8
TOTAL 840 780 000 100
18
● Répartition des superficie par culture dans les régions de Labé et de Mamou (ha)
Recensement National de l’Agriculture, 2004.
Cultures Labé Mamou Ensemble national
Riz 35 729 40 209 1 140 809
Fonio 85 993 27 467 179 154
Sorgho 6 795 63 32 192
Mil 6721 9047 119 630
Maïs 87 111 33 627 329 025
Arachide 22 562 13 964 199 661
Manioc 145 060 112 483 845 488
Patate 133 705 6 167 168 580
Taro 73 271 27 001 116 280
Pomme de terre 2 210 7 815 10 025
19
● Production, superficie et rendement réalisés par culture dans la Région de Kayes(Campagnes Agricoles 2001/ 2002 et 2002 / 2003)
DRAMR Kares.
Cultures2001 / 2002 2002 / 2003
Production(t)
Superficie(ha)
Rendement(kg/ha)
Production(t)
Superficie(ha)
Rendement(kg/ha)
MilSorghoRizMaïsFonioNiébéArachideCoton
5 74391 7626 895
35 1885 769
-47 83837 358
12 704139 916
4 45137 3449 504
-64 82834 058
452655
1 549942607
-738
1 097
13 505123 608
10 484,1550 792
3 9841 470
48 62331 340
25 643164 445
10 17944 963
8 03612 34772 25432 517
527752
1 0301 129
496119673978
20
● Superficie cultivée en Mauritanie par type d’aménagement en 2003/2004 (ha)
Division statistiques agricoles /DPCSE/MDRE.
Dièri Bas fonds Walo Irrigué
Trarza 150 - 3 500 14 754
Gorgol20 109 2 901 10 215 4 277
21
● Évolution des superficies emblavées pendant les cinq dernières années (ha)
SAED.
Années agricoles 00/01 01/02 02/03 03/04 04/05
Riz 25 952 24 970 23 197 26 296 33 259
Tomate 2 046 2 657 3 039 3 262 3 123
Maïs 1 071 1 664 2 177 4 129 2 476
Sorgho 1 387 1 108 1 154 1 120 865
Oignon 2 052 3 096 3 229 3 046 2 615
Arachide 83 225 422 664 586
Coton 27 65 0 42 30
Patate 1 150 4 769 2 947 3 355 4 243
Gombo 33 768 38 554 36 165 41 914 47 197
22
Selon les données de recensement des animaux d’élevage dans les 4 pays membres de
l’OMVS, en 2018, nous avons :
PaysCheptel (millions de têtes)
Bovins Ovins Caprins Volaille Camelins Équins Asins Porcs
Guinée 7,728 2,709 3,346 34 - - 0,140
Mali 9,1 11,8 16,5 36,7 0,9 0,4 0,8 -
RIM 1,849101 11,660916 7,772343 - 1,418448 - - -
Sénégal 3,430 6,081 5,199 23 - 0,529 0,453 0,364
23
• Etude Régionale Stratégique (2012) : classement des sites et définition d’un ordre depriorité d’intervention
• Plan directeur de développement du réseau de transport électrique de l’OMVS(2013) puis actualisé
• Politique Energétique Commune (PEC) 2014-2030
• Manantali 2
• Initiative de 400 MW d’énergie solaire en cours de formalisation.
24
Manantali et Diama
!
!
!
!
d
d
MANANTALI
DIAMA
M a l iM a l i
M a u r i t a n i eM a u r i t a n i e
S é n é g a lS é n é g a l
R é p u b l i q u e d e G u i n é eR é p u b l i q u e d e G u i n é e
G u i n é e B i s s a uG u i n é e B i s s a u
G a m b i eG a m b i e
C ô t e - d ' I v o i r eC ô t e - d ' I v o i r e
Bafin
g
Sénégal
Ferlo
Falém
é
Doué
Bakoye
Baoulé
Kara
koro
Bakoyé
Térékolé
O.Garfa
Gor
gol B
lanc
Gorgol
O.G
ué
loua
Gorgol Noir
Kolim
bin
é
Sénégal
Sénégal
DAKAR
BAMAKO
Nouakchott
Source et réalisation : OMVS 2012
0 100 20050
Kilomètres
4
BARRAGES CONSTRUITS
Légende
d Barrage existant
! Capitale
Réseau hydrographique
Limite bassin versant
Pays Afrique Ouest_region
25
26
27
28
29
30
31
32
Le volet navigation du SITRAM vise à restaurer le transport sur le fleuve Sénégal,
qui fut florissant au début du 20ème siècle, mais a été quasiment interrompu depuis les
années 1970, en raison principalement de l’absence totale d’investissements pour soutenir
la concurrence avec les modes de transport alternatifs (routes, chemin de fer, etc.).
COMPOSANTE COUT D’INVESTISSEMENT
1. Navigation sur le fleuve Sénégal
Distance : 905 km
49 229 000 000 F CFA
2. Routes d’accès au barrage de Manantali. Distance : 193 km
39 000 100 000 F CFA
3. Route Diama-Rosso : 94 km 35 155 000 000 F CFA
4. Route Labé-Tougué-Dinguiraye-
Siguiri. Distance : 224 km/480 km
31 781 000 000 F CFA
TOTAL Investissements 155 165 000 000 F CFA
33
• Modèles
o SIMULSEN,
o COREDIAM,
o Pluies/débit
o Arpège avec Météo France
• Plan d’alerte
• Tableau de bord (Besoins/Ressources)
• Clé de répartition des couts et charges des ouvrages communs
• Commission Permanente des Eaux (CPE)
• Comité de Bassin
Renforcement des capacités du HCt-OMVS pour faire face aux effets du CC : gestion del’information, meilleure maîtrise de la ressource, etc.
Notamment, les besoins de renforcement des capacités se font sentir dans tous les domainesliés à la GIRE, au suivi-évaluation et protection de l’Environnement et à la planificationopérationnelle des projets et programmes.
34
SOE - OMVS
DAKAR
Coordination Régional - SOE
SEN
PF national - CNC
Mali
PF national - CNC
Guin
PF national - CNC
RIM
PF national - CNC
PF ClimatPF Eau de surface
PF Cultures irriguées
PF Maladies Animales
PF Eau souterraine
PF Maladies Humaines
PF Climat
PF Maladies animales
PF Maladies Humaines
PF Climat
PF cultures irriguées
PF Eau souterraine
PF Maladies animales
PF Eau de surface
PF Maladies humaines
PF Cultures irriguées
PF Maladies Animales
PF Eau souterraine
PF Eau de surface
PF maladies Humaines
PF Végétation
PF Eau de surface
PF Eau souterraine
PF Cultures irriguées
SCHEMA FONCTIONNEL DU SOE
janvier 2005
Classe 1 : Ressources en eau et milieu physique regroupant les thématiques :
• Climatologie (1.1),• Eaux de surface (quantité) (1.2)• Eaux souterraines (quantité) (1.3)• Pédologie - Dégradation des sols (1.4)
• Classe 2 : Biodiversité et milieu naturel regroupant les thématiques :
• Zones humides (2.1)• Couvert végétal (2.2)• Végétaux envahissants (2.3)• Faune terrestre et aquatique (2.4)• Pédologie - dégradation des berges – (2.5)
• Classe 3 : Economie et population• Maladies hydriques humaines (3.1) et animales (3.2)• Activité halieutique (3.3)• Activités hydrogricoles – cultures irriguées (3.4)• Activités hydroagricoles – élevage (3.5)
• Classe 4 : Qualité des eaux• Eaux de surface – aspect qualité – (4.1)• Eaux souterraines – aspect qualité – (4.2)• Engrais et pesticides (4.3)• Mines et carrières (4.4)
333333333
MAURITANIEMAURITANIEMAURITANIEMAURITANIEMAURITANIEMAURITANIEMAURITANIEMAURITANIEMAURITANIE
MALIMALIMALIMALIMALIMALIMALIMALIMALI
SÉNÉGALSÉNÉGALSÉNÉGALSÉNÉGALSÉNÉGALSÉNÉGALSÉNÉGALSÉNÉGALSÉNÉGAL
BURKINABURKINABURKINABURKINABURKINABURKINABURKINABURKINABURKINA
GAMBIEGAMBIEGAMBIEGAMBIEGAMBIEGAMBIEGAMBIEGAMBIEGAMBIE
GUINÉE BISSAUGUINÉE BISSAUGUINÉE BISSAUGUINÉE BISSAUGUINÉE BISSAUGUINÉE BISSAUGUINÉE BISSAUGUINÉE BISSAUGUINÉE BISSAU
RÉPUBLIQUE DE GUINÉERÉPUBLIQUE DE GUINÉERÉPUBLIQUE DE GUINÉERÉPUBLIQUE DE GUINÉERÉPUBLIQUE DE GUINÉERÉPUBLIQUE DE GUINÉERÉPUBLIQUE DE GUINÉERÉPUBLIQUE DE GUINÉERÉPUBLIQUE DE GUINÉE
SIERRA LEONESIERRA LEONESIERRA LEONESIERRA LEONESIERRA LEONESIERRA LEONESIERRA LEONESIERRA LEONESIERRA LEONE
Bafoulabe
DiemaKayes
Kenieba
Kita
NioroYelimane
Banamba
Kangaba
Kati
Kolokani
Koulikoro
Nara
Aftout (Barkew o
Boumdeid
Kankossa
KiffaAleg
Bababe
Magta-Lahjar
Kaedi M Bout
Maghama
Selibaby
Aioun al Atrous
Kobenni
Tamchekket
Tintane
Moudjeria
TichitTidjikja
Boutilimit
Keur Massene
Mederdra
Ouad Naga
R Kiz
Kebemer
Linguere
Louga
Kanel
Matam
Ranerou-Ferlo
DaganaPodor
Saint Louis
Bakel
Kedougou
Tambacounda
BamakoBamakoBamakoBamakoBamakoBamakoBamakoBamakoBamako
ConakryConakryConakryConakryConakryConakryConakryConakryConakry
DakarDakarDakarDakarDakarDakarDakarDakarDakar
Superficies cultivées en double culture
en ha en 2005
0 - 200 (5)
200 - 300 (2)
300 - 700 (3)
700 - 4 000 (5)
4 000 - 4 600 (1)
5
Réalisation SOE/OMVS
Octobre 2006
OMVS : Carte du taux de pratique de la double cultureOMVS : Carte du taux de pratique de la double cultureOMVS : Carte du taux de pratique de la double cultureOMVS : Carte du taux de pratique de la double cultureOMVS : Carte du taux de pratique de la double cultureOMVS : Carte du taux de pratique de la double cultureOMVS : Carte du taux de pratique de la double cultureOMVS : Carte du taux de pratique de la double cultureOMVS : Carte du taux de pratique de la double culture
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Merci de votre aimable attention !!!