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26ème Dimanche du Temps Ordinaire

Lecture du livre de Tobie (Tb 12,11-15)

L’ange Raphaël dit à Tobie : « Je vais vous dévoiler la vérité, sans

rien vous cacher. Quand tu priais en pleurant, quand tu abandonnais ton repas pour ensevelir les morts,

quand tu cachais les morts chez toi pendant le jour,

pour les ensevelir la nuit, moi, je présentais ta prière

au Seigneur. Et parce que tu étais agréable au Seigneur,

il fallait que la tentation te mette à l’épreuve. Mais

maintenant, le Seigneur m’a envoyé pour te guérir et

pour délivrer Sara, l’épouse de ton fils, de l’emprise du

démon. Car je suis l’ange Raphaël, l’un des sept

qui se tiennent devant le Seigneur. »

« Fête de saint Raphaël, archange »

par Don Bruno Attuyt, curé

Le livre de Tobie n’est entré que tardivement dans le canon des Écritures, c’est-à-dire la liste officielle des écrits bibliques que l’Église catholique reconnaît comme inspirés et source de sa Foi. Il figure dans la liste officielle du Canon en Occident à partir de 382 et en Orient à partir de 692. Non présent dans la recension hébraïque de la Bible, il n’est pas reçu par les Protestants. Ce qui explique qu’on ne trouve pas le livre de Tobie dans les éditions protestantes de la Bible. Saint Jérôme pour la Vulgate (la première traduction latine de la Bible), s’était en effet servi d’un texte araméen que

nous ne possédons plus mais il existe actuellement quelques fragments de manuscrits hébreux et araméens de ce livre

qui ont été découverts près de la mer Morte. La famille de Tobie, dont le nom signifie « Dieu

est bon », vivait en exil à Ninive, c’est-à-dire en terre païenne et corrompue (cf. le livre

de Jonas). L’histoire de Tobie est celle d’un voyage entrepris afin de récupérer une créance. Voyage qui deviendra en quelque sorte un voyage initiatique où le

jeune Tobie accompagné d’un chien et d’un étrange compagnon de voyage qui s’avèrera

être l’archange Raphaël, échappera au danger, trouvera une épouse qu’il délivrera des liens du démon

et obtiendra un remède pour la cécité de son père. Récit d’édification du III°s avant notre ère où le devoir envers les

morts, le sens de l’aumône, les valeurs familiales et la piété ont une grande place, le livre de Tobie est un récit pour notre temps. Tous les ingrédients qui font l’intrigue de cette histoire rejoignent les préoccupations de nos contemporains : l’argent, les voyages, les animaux de compagnie, la santé et l’amour de sa vie.A qui ouvre son cœur durant son chemin sur terre à la piété filiale envers Dieu et sa famille, à l’attention aux autres, la providence de Dieu ne manquera pas de se manifester dans les domaines les plus concrets de la vie humaine. Il ne s’agit pas de s’évader de ses responsabilités en s’en remettant aux mains du marionnettiste que serait Dieu, mais bien au contraire, découvrir expérimentalement l’efficacité de la providence divine comme un compagnonnage avec les anges que le Seigneur met à notre service. Puissions-nous à l’occasion de la fête patronale de notre cité lire ou relire ce récit qui rejoint si précisément nos préoccupations contemporaines et nous invite à découvrir nos compagnons spirituels.Bonne saint Raphaël à tous.

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Nous recommandons à votre prière nos frères défunts :à Notre-Dame de la Paix : Laurent AUDUBERT, Elvire CANARD

à Agay : Anne GAUCHERY, Germaine PELLERO

Sauf indication contraire, les messes du dimanche et de la semaine sont aux heures indiquées sur les feuillets disponibles à l’église.

Agenda de la semaineDimanche 30 septembre 26e dimanche du Temps Ordinaire. À la basilique : Pas de Messe à 8h30. Grand’Messe à 10h00 célébrée et prêchée par Mgr Raniero Cantalamessa. 17h30: salut du Saint Sacrement et chapelet. 18h30 Messe basse à la Basilique. Baptême : Tom MARCOYOUX-MAUPAS.

Lundi 1er octobre - Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus. Pas de Messe à 8h00 à la Basilique.

Mardi 2 octobre- Sts Anges gardiens. 9h00 Messe à Sainte-Bernadette. 14h15 Réunion du Service Évangélique des Malades Salle Don Bosco.

Mercredi 3 octobre - Férie. 11h30 Messe à Sainte-Bernadette. Jeudi 4 octobre - St François d’Assise.Vendredi 5 octobre - Férie. 15h00 Chapelet de la Miséricorde à Boulouris. 17h00-18h00 Adoration du 1er vendredi du mois à Sainte-Bernadette. 17h45 Chapelet pour les défunts à la Basilique suivi à 18h30 Messe pour les défunts du mois de septembre. 20h30 Heure sainte d’adoration à la Basilique.Samedi 6 octobre - Saint Bruno. 10h00-12h00 Répétition des Servants de Messe et Servantes de Jésus à Notre-Dame de la Paix. 17h30-21h00 Réunion des collégiens à l’aumônerie.Mariage : M. Giuseppe COMITOGIANNI et Melle Stéphanie LAUGIER.

Dimanche 7 octobre - 27e dimanche du Temps Ordinaire. 17h30 Vêpres. 18h30 Messe grégorienne à la Basilique. Baptême : Théo SALLIO.

Prière de la semaine «Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l’union. Là où est l’erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi. Là où est le désespoir, que je mette l’espérance. Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière. Là où est la tristesse, que je mette la joie. O Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu’à consoler, à être compris qu’à comprendre, à être aimé qu’à aimer. Car c’est en se donnant qu’on reçoit, c’est en s’oubliant qu’on se retrouve, c’est en pardonnant qu’on est pardonné, c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie.»

Prière de Saint François d’Assise

Jubilés sacerdotaux(voir page 4)

« Saint-Raphaël en fête » et deuxième édition

du Colloque.Prédications du RP.

CantalamessaPrédicateur de la Maison

Pontificale au Vatican

À l’occasion de la «Saint-Raphaël en fête» dimanche 30 septembre

La Messe du dimanche à 10h00 à la Basilique sera célébrée et prêchée par Mgr Raniero Cantalamessa

Attention... Pas de Messe dimanche à 8h30 et à 18h30 à la Basilique

Dimanche à 17h30 Salut du Saint Sacrement et chapelet suivis à 18h30 de la Messe lue à la Basilique

...car installation curiale17h30 Installation du nouveau curé de Fréjus présidée par

Mgr Dominique Rey à la cathédrale de Fréjus

Publication des bans Il y a projet de mariage entre :

M. Giuseppe COMITOGIANNI et Melle Stéphanie LAUGIER le 6 octobre 2012 à 15h00 à Notre-Dame de la Victoire

Nouveaux horaires de Messe et adoration à Agay-Le Dramont

• Église Notre-Dame du Sacré-Cœur d’Agay Messe : Dimanche à 10h30 Mercredi et samedi à 9h Vendredi à 17h adoration, 18h Messe

• Chapelle Saint-Roch du Dramont Messe : Dimanche à 9h Mardi à 18h Jeudi à 17h adoration, 18h Messe

Jubilés sacerdotauxA l’occasion des 25 ans de sacerdoce de Don Emmanuel (Saint-Raphaël), Don François (Gênes), Don Jean-Marcel

(Chinon) et Don Damien (Saint-Raphaël)

Messe d’action de grâces à Notre-Dame de la Victoire Dimanche 7 octobre à 18h30, suivie d’un apéritif festif

Indulgence plénière à la Basilique à l’occasion de Notre-Dame du Rosaire

Attention : nouveauté !À compter du mois d’octobre,

la Messe du jeudi soir célébrée jusqu’à présent à la chapelle de Boulouris, le sera dorénavant

chaque semaine, à la Maison de retraite de l’Hermitage (580, avenue Léo-Lagrange – derrière le Centre Leclerc),

à 16h30, au bénéfice des personnes âgées et dépendantes.

N’hésitez pas à leur faire la joie de votre présence.

Échos de l'Église universelleVie des ParoissesLe Concile Vatican II a mis en

relief le primat absolu de Dieu

Catéchèse de Benoît XVI sur la liturgie

Après ses catéchèses sur la prière dans l’Ancien et le Nouveau Testament, le pape a abordé le thème de la liturgie comme « mi-lieu privilégié dans lequel Dieu parle à chacun de nous, ici et maintenant, et attend notre réponse ».

« En relation étroite avec la Parole de Dieu, la liturgie est une source précieuse pour grandir dans la prière. Elle est le « service » du nouveau Peuple de Dieu formé grâce au Mystère pascal. À travers elle, le Christ, grand Prêtre, continue son œuvre de Salut », a expliqué le pape.

« En commençant ses travaux avec le thème de la « liturgie », le Concile Vatican II a mis en relief le primat absolu de Dieu. Le critère fon-damental pour la liturgie est son orientation à Dieu, qui nous fait participer à son œuvre, dont le sommet est le Mystère de la Mort et de la Résurrection du Christ », a ajouté le pape.

Il insiste sur le lien entre la rédemption et la liturgie des sacrements : « La Rédemption du monde et de l’homme est actualisée dans l’action du Christ à travers l’Église et dans la liturgie, particulièrement dans le Sacrement

de l’Eucharistie et de la Réconciliation, et les autres actes sacramentels. La liturgie est le lieu privilégié de la rencontre avec le Seigneur ».

Et de préciser : « Toute bonne célébration litur-gique est une prière et un dialogue avec Dieu, caractérisé par l’harmonie entre ce que nous disons et ce que nous portons dans le cœur ».

Commentant l’expression liturgique latine qui invite à tourner le cœur vers Dieu, le pape précise : « « Sursum corda », élevons notre cœur en sortant du désordre de nos préoccupations, de nos désirs, de nos an-goisses, de nos distractions. Notre cœur, notre propre intimité, doit s’ouvrir docile-ment à la Parole de Dieu et se recueillir dans la prière de l’Eglise, pour recevoir son orienta-tion vers Dieu des paroles mêmes qu’il écoute et qu’il dit. Le regard de notre cœur doit se diriger vers le Seigneur qui est au milieu de nous : c’est une disposition fondamentale ».

Il précise ce qui se passe alors dans le cœur humain : « Quand nous vivons la liturgie dans cette attitude de fond, notre cœur est comme soustrait à la force de gravité qui l’attire vers le bas et il s’élève intérieurement vers le haut, vers la vérité, vers l’amour, vers Dieu. Comme le rappelle le Catéchisme de l’Eglise catho-lique : « La mission du Christ et de l’Esprit Saint qui, dans la Liturgie sacramentelle de l’Église, annonce, actualise et communique le Mystère du salut, se poursuit dans le cœur qui prie. Les

Pères spirituels comparent parfois le cœur à un autel » (n. 2655) : altare Dei est cor nostrum. »

Le secret d’une liturgie pleinement vécue, ce n’est pas ce que le baptisé « fait » mais l’action de Dieu, précise le pape : « Nous célébrons et nous ne vivons bien la liturgie que si nous res-tons dans une attitude de prière, et non pas si nous voulons « faire quelque chose », nous faire voir ou agir, mais si nous orientons notre cœur vers Dieu et si nous restons dans une atti-tude de prière en nous unissant au mystère du Christ et au colloque du Fils avec le Père. Dieu lui-même nous apprend à prier, affirme saint Paul (cf. Rm 8, 26). Il nous a donné lui-même les paroles adéquates pour nous diriger vers lui, des paroles que nous trouvons dans le psautier, dans les grandes oraisons de la liturgie sacrée et dans la célébration eucharistique ».

« Prions le Seigneur qu’il nous rende chaque jour plus conscients du fait que la liturgie est action de Dieu et de l’homme, prière qui jaillit de l’Esprit-Saint et de nous-mêmes, entièrement tournée vers le Père, en union avec le Fils de Dieu fait homme (cf. Catéchisme de l’Eglise catholique, n. 2564) », conclut le pape. (zenit)

Rentrée des scouts et des familles à N.-D.-de-la-PaixDimanche dernier, 23 septembre, s’est déroulée la journée de rentrée des scouts de la paroisse, à Notre-Dame de la Paix.

A cette occasion, les familles se sont aussi retrouvées pour partager un pique-nique de début d’année.

Chaque année, une journée de rentrée rassemble les enfants et les adolescents engagés dans les mouvements scouts de la paroisse : la meute des louveteaux, qui réunit les garçons de 8 à 12 ans, la troupe des éclaireurs, pour les jeunes gens de 12 à 17 ans, et les patrouilles libres des guides, qui rassemblent les jeunes filles de 12 à 17 ans. À cette occasion, les parents se retrouvent, accueillent les nouvelles familles intéressées par cette proposition édu-cative, font connaissance des chefs d’unités et peuvent avoir un aperçu des activités de leurs enfants, en particu-lier des grands camps d’été dont on leur présente les pho-tos ou les films.

Cette année, cette journée s’est déroulée à l’église Notre-Dame-de-la-Paix en même temps que la rentrée des enfants du catéchisme, des servants de Messe, et celle aussi des Associations Familiales Catholiques de Saint-Raphaël. Cette rentrée groupée a ainsi permis à un très grand nombre d’enfants de se retrouver, d’abord pour la célébration de la Messe dominicale, puis pour un pique-nique en plein air suivi d’activités ludiques.

Ce n’est pas sans fierté que nos scouts ont tenu leur premier rassemblement de l’année. En effet, quatre ans après le lancement du groupe, celui-ci connaît à présent un bel essor : des quelques graines d’enfants semées

en septembre 2008 lors de la fondation de la Meute 1ère Saint-Raphaël, est sorti, pour ainsi dire, un bel arbre à trois branches déjà chargées de beaux fruits. Outre la Meute qui rassemble une quinzaine de garçons,

une Troupe de quatre patrouilles vit maintenant tambour battant sous

la houlette d’une maîtrise dyna-mique ; quant aux guides,

elles comptent aujourd’hui dans leurs rangs près d’une vingtaine de jeunes filles de la paroisse, qui vivent leur

idéal avec le plus grand sérieux et savent le partager tant à l’Au-

mônerie des jeunes que dans leurs établissements scolaires. Ce sont ainsi

près de soixante-cinq jeunes qui arborent fièrement le foulard bleu et blanc du groupe « Notre-Dame-Montjoie » des paroisses de Saint-Raphaël. Tous

ces enfants et adolescents partagent avec les adultes qui les encadrent ce bel idéal scout fait d’esprit de service et de charité, d’éducation du sens de la responsabilité et de l’exigence envers soi-même et son prochain, de vie saine

au grand air, d’attention équilibrée au corps et à l’âme, de fierté chrétienne, enfin, et de piété filiale envers l’Église, la Patrie et l’Europe. Tout cela dans la fidélité à l’engagement pris au jour de la Promesse.

Il est toujours possible de rejoindre le groupe scout de Saint-Raphaël en s’adressant directement à la paroisse (04 94 19 81 28). Les activités se déroulent en moyenne toutes les trois semaines, le samedi ou le dimanche. Th. D. +

Hélène Kowalska est née en 1905 dans le village de Głogowiec en Pologne, la troisième des dix enfants d’une famille d’agriculteurs pauvres.Elle sent un appel à la vie religieuse dès l’âge de 7 ans. À quinze ans, elle sent la vocation et est persuadée que Dieu lui-même l’appelle à devenir religieuse. Elle a une première appa-rition de Jésus, sous la forme du Christ souf-frant. Hélène part pour Varsovie et tente d’être admise dans plusieurs cou-vents de la capitale, pour être à chaque fois refusée. Finalement, elle est admise au couvent de la congrégation des sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde à l’âge de 20 ans, le 1er août 1925, sous le nom de sœur Marie Faus-tine. Elle y prononce ses vœux le 30 avril 1926, et prend le nom de sœur Marie Faustine du Saint-Sacrement.Sœur Marie Faustine raconte qu’elle a vu le Christ dans le Purgatoire, Jésus et Marie à plu-sieurs reprises et qu’elle leur a parlé. Par la suite, la future sainte Faustine écrit dans son journal que Jésus lui a révélé ce qu’elle devait faire : pro-pager la dévotion envers la Miséricorde de Dieu.

À Plock le 22 février 1931, Jésus lui est appa-ru, portant un vêtement blanc, comme le « Roi de la Miséricorde divine » : sa main droite se levant en signe de bénédiction et l’autre touchant le vêtement sur la poitrine. De sous ses vêtements sortent deux grands rayons, l’un rouge, l’autre blanc. Se conformant aux ordres qu’elle dit avoir reçus du Christ, Faus-tine fait peindre une représentation de cette

vision. Avec l’aide du Père Michel Sopocko son confesseur, elle en-treprend la mission confiée par Jésus lors de ses apparitions. Jésus demanda que l’on vénère l’heure de sa mort sur la Croix, soit 15 h. D’après le Petit Journal, Jésus lui a dit «A trois heures im-plore ma miséricorde, tout parti-culièrement, pour les pécheurs,

et ne fût-ce que pour un bref instant, plonge-toi dans ma passion… C’est là une heure de grande miséricorde pour le monde entier… en cette heure, je ne saurais rien refuser à l’âme qui me prie, par ma passion...». C’est l’Heure de la Miséricorde.En 1936, Faustine tomba gravement malade,

sans doute de la tuberculose, et fut transférée à l’hôpital de Pradnik. Elle pas-sa les deux dernières années de sa vie à rédi-ger son journal. En juin 1938, elle ne fut plus capable d’écrire, et il devint évident qu’elle n’avait plus longtemps à vivre. Elle mourut le 5 octobre. Quand la supérieure fit nettoyer sa chambre, elle ouvrit le tiroir et trouva des peintures de la Miséricorde divine.Dans le Petit Journal qu’elle a laissé on peut lire les promesses qu’elle dit avoir reçues de Jésus, tout particulièrement pour ceux qui célébreraient le dimanche de la Miséricorde. D’autre part, Faustine indique que, au cours de révélations successives, Jésus a demandé à plusieurs reprises que l’on honore une image miraculeuse par le biais de la récita-tion d’une prière spéciale : «Je promets que l’âme qui honorera cette image ne sera pas perdue. « «Par cette image, j’accorderai beaucoup de grâces aux âmes... que chaque âme ait donc accès à elle...»Sœur Marie Faustine a été béatifiée le 18 avril 1993, puis canonisée le 30 avril 2000 par le Pape Jean-Paul II à Rome. (Wikipédia)

Fête le 5 octobreSainte Faustine

Mobilisation générale contre le projet de loi sur l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples homosexuels.

À l’appel de nos évêques, nous sommes invités à soutenir les démarches démocratiques visant à manifester publiquement notre opposition à ce projet de loi.

1. Demande officielle de référendum national. Signer la demande sur : http://www.referendum-officiel.fr

2. Pétition adressée à M. le Premier Ministre. Signer la pétition sur : http://www.tous-pour-le-mariage.fr

3. Pétition paroissiale adressée à M. le Député-Maire. Signer à la main la pétition disponible au fond de l’église.

Grande manifestation nationale à Paris, le dimanche 18 novembre