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AVAP DE LANDERNEAU
JUIN
2015TRAME / LMA & OIKOS
AIRE DE VALORISATIONDE L’ARCHITECTURE ET
DU PATRIMOINE
Demande d’examenau cas par cas au tredu R122-17 du codede l’environnement
AVAP DE LANDERNEAU
JUIN
2015TRAME / LMA & OIKOS
PREAMBULE
L’ar cle 28 de la loi du 12 juillet 2010 dite « loi grenelle II » crée un nouveau type de périmètre de protec on du patrimoine appelé à se subs tuer aux Zones de Protec on du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager (ZPPAUP) dans un délai de cinq ans : les Aires de mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine (AVAP).
La réforme est portée par une grande ambi on : adapter l’ou l patrimonial aux nouveaux enjeux environnementaux et urbains. Pour autant, le nouvel instrument ne comporte aucune rupture importante par rapport à l’ancien. La cohérence avec le Plan Local d’Urbanisme (PLU) est mise en avant dans ce nouveau disposi f. Ainsi, la créa on d’une AVAP devra jus fi er d’une compa bilité avec le Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) contenu dans le PLU. En outre, elle devra être précédée d’un diagnos c avec « une par e rela ve au patrimoine architectural, urbain, paysager, historique et archéologique perme ant de déterminer l’intérêt, les caractéris ques et l’état de ce patrimoine », comportant « une analyse du territoire concerné, à diff érentes échelles », et une par e rela ve à l’environnement comportant notamment « une analyse des ssus bâ s et des espaces au regard de leur capacité esthé que et paysagère à recevoir des installa ons nécessaires à l’exploita on des énergies renouvelables (ENR), ainsi qu’une analyse de l’implanta on des construc ons, des modes construc fs existants et des matériaux u lisés, précisant au besoin l’époque de construc on des bâ ments, perme ant de déterminer des objec fs d’économie d’énergie ».
Le bâ doit ainsi pouvoir évoluer, être réhabilité, recyclé, rendu à des usages u les d’une point de vue social et économique. Le projet doit perme re d’améliorer la performance énergé que des construc ons nouvelles et anciennes et ne pas se montrer systéma quement hos le aux disposi fs de produc on d’énergie renouvelable.
DE LA ZPPAUPA l’AVAP
La réforme de la loiGrenelle II
AVAP DE LANDERNEAU
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SommaireI. – CARACTERISTIQUES NATURELLES DE LA COMMUNE, p.4I.1. Topographie et hydrographie, p.5I.2. La trame verte et bleue, p.6I.3. Un environnement riche et sensible : La hiérarchisa on des sensibilités écologiques, p.7 Les zones humides, p.8 Le risque d’inonda on, p.9I.4. Les espaces naturels de la commune, p.10I.4.1. Cadrage théorique, p.11I.4.2. Natura 2000, p.12I.4.3. Les ZNIEFF, p.13
II. – CARACTÈRE BIO-CLIMATIQUE DU BÂTI ANCIEN, p.14II.1. Connaissance du patrimoine bâ , p.15II.2. Limites du bâ ancien au regard de nos modes de vie et besoins de confort actuels, p.16II.3. Favoriser l’emploi d’énergies renouvelables, p.17II.4. Patrimoine bâ et exigences d’isola on, p.18
III - LA PRISE EN COMPTE DES VÉGÉTAUX FACTEUR DE DÉVELOPPEMENT DURABLE, p.19III.1. Les forêts et boisements : des réservoirs de biodiversité con gus à la ville, p.20III.2. Des corridors écologiques ruraux : les haies, chemins creux et con nuités plantées, p.21III.3. Des corridors écologiques urbains : Les arbres remarquables et essences singulières, p.22 Les murs et emprunts végétaux, p.23
IV - LES AIRES NATURELLES PRISES EN CHARGES PAR L’AVAP AYANT POUR OBJECTIF DE PRÉSERVER LES CORRIDORS ÉCOLOGIQUES, p.25IV.1. Périmètres de protec ons du patrimoine, p.26IV.2. Défi ni on des aires de protec ons, p.28
V - LES ENJEUX DE PROTECTION ÉCO PAYSAGÈRE, p.29V.1. Synthèse des enjeux de l’AVAP, p.30V.2. L’inscrip on éco-paysagère des grands projets urbains Le parc de la Pe te Palud, p.32 La voie de Lanrinou, p.33
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I - CARACTERISTIQUES NATURELLES DE LA COMMUNE
AVAP DE LANDERNEAU
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La commune de Landerneau s’inscrit à l’embouchure du fl euve cô er de l’Elorn. L’urbanisa on du territoire a été fortement marquée par la topographie : elle débute historiquement au creux de la vallée, sur les rives de l’Elorn, avant de s’étendre aux larges coteaux au nord et au sud. Ces derniers, au dénivelé marqué, perme ent d’accéder aux plateaux agricoles qui occupent une large par e du territoire.
Ce relief marqué a encadré l’extension urbaine perme ant de préserver de larges par es du territoire communal. Aujourd’hui encore, la nature pénètre jusqu’au coeur de la ville le long des vallées et des vallons. Dans ce paysage riche et diversifi é, chaque vallée, plus ou moins encaissée, plus ou moins large, plus ou moins naturelle, possède une atmosphère qui lui est propre.
1 TOPOGRAPHIE ET HYDROGRAPHIE
Carte des vallées de la commune(Les sources de la commune sont représentées en bleu)
Vallon de la Fontaine Blanche
Vallon du moulin du Lec
Vallon de Kerlaran
Vallée de Trémaria
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Trame bleue
Centre historique
Con nuité de la trame verte à créer
Ce e situa on territoriale explique la présence d’une trame verte et bleue riche , qui structure profondément le paysage et les vues lointaines.
• Trame verte :
Le territoire communal est riche d’une trame verte variée, aux formes plus ou moins diff uses : - masses fores ères sur les coteaux, - haies et alignements d’arbres,- arbres isolés et emprunts végétaux dans l’aire urbanisée, - jardins privés et publics (jardins des grandes propriétés, au niveau du quai de Cornouaille et au niveau de la rue du Commandant Charcot).
• Trame bleue :
La trame bleue est structurée par l’Elorn, corridor riche et fragile, modifi é par la créa on du chenal et l’u lisa on de sa plaine alluviale en décharge.La présence de nombreuses sources dans les vallons enrichie ce e trame bleue et l’élagie à l’échelle du grand territoire.
• Les éléments de transi on :
Le maillage de chemins creux, le caractère piétonnier du centre historique, cons tuent des éléments de transi on qui prolongent ce e trame verte et bleue en off rant un cadre environnemental de qualité.
2 LA TRAME VERTE ET BLEUE
AVAP DE LANDERNEAU
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Carte de la hiérarchisa on des sensibilités écologiques
Terre de rencontres de milieux complémentaires (la terre, la rivière et la mer), Landerneau s’inscrit dans un environnement riche et sensible et, de fait contraint.
Ce e représenta on met en lumière les espaces de fortes sensibilités écologiques qui pourront nécessiter une prise en compte a en ve tant en termes de planifi ca on que d’ou ls de mise en valeur du patrimoine paysager.
3 UN ENVIRONNEMENT RICHE ET SENSIBLE
3.1 LA HIÉRARCHISATION DES SENSIBILITÉS ÉCOLOGIQUES
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Index géographique des zones humides
Le territoire communal comprend un grand nombre de zones humides de tailles et de composi ons variables.Quatre secteurs de l’AVAP englobent quelques uns de ces zones humides :
• Secteur AP4 Ecrin paysager naturel et/ou cul vé du Moulin du Leck
Bois humides et prairie humides à joncs (avec un plan d’eau)
• Secteur AP3 Elorn Ecrin PaysagerSecteur incluant une zone humide cons tuée de bois humides et d’un plan d’eau. Il recouvre une par e de la zone Natura 2000 de l’Elorn.
• Secteur AP4 Ecrin paysager par culierFrange d’une zone humide composée de planta ons monospécifi ques (peupliers et résineux).
• Secteur AP4 Ecrin paysager naturel et/ou cul vé des trois hameaux
Frange nord est du secteur est couvert par une zone humide cons tuée de bois humides et prairie humides à joncs.
Ces secteurs paysagers de l’AVAP veilleront à préserver ces zones humides et la biodiversité qu’elles accueillent.
3 UN ENVIRONNEMENT RICHE ET SENSIBLE
3.2 LES ZONES HUMIDES
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Le Plan de Préven on des Risques d’Inonda on (PPRI), applicable depuis le 5 mars 2005, iden fi e quatre types de zones selon leur exposi on au risque :
◊ Zone rouge = zone la plus exposée : s’y applique une interdic on générale des construc ons neuves, et l’interdic on de créa on de logements dans le bâ existant pour ne pas augmenter la popula on exposée. Les extensions jouxtant les construc ons existantes sont limitées, ainsi que les opéra ons de reconstruc on.
◊ Zone bleue = risque moyen : il y est prévu un ensemble d’interdic ons, de réglementa ons à caractère administra f et technique, dont la mise en oeuvre a pour objet de prévenir le risque et de réduire ses conséquences. Les construc ons nouvelles, comme les transforma ons de construc ons existantes, n’y sont très généralement admises que sous réserve de prescrip ons, en rela on avec leur exposi on au risque d’inonda on. Lors des travaux de transforma on des construc ons existantes, leur vulnérabilité ne doit pas être aggravée, et si possible, réduite.
◊ Zone orange = centre urbain situé en zone inondable. Les disposi ons applicables sont les mêmes que pour la zone bleue.
◊ Zone blanche, cons tuée par les secteurs du bassin versant de l’Elorn, non aff ectés par les inonda ons, ne fait pas l’objet de prescrip ons par culières.
COMMUNE DE PENCRAN
COMMUNE DE LA ROCHE-MAURICE
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5,90 m
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Echelle : 1 / 5.000
0 100 200 m
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Limite de communeBD-Carto ©IGN
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Communes de Landerneau, Pencran, Plouédern, Plounéventer et La Roche Maurice
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Zone blanche
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Pour le Préfet,Le Chef du Service
Interministériel de Défense
et de la Protection Civiles
signéMarguerite KERVELLA
Le territoire communal de Landerneau est concerné par deux risques d’inonda on : - par débordement de l’Elorn : risque majeur nécessitant une veille par culière, encadré par un PPRI ;- par submersion marine : si le risque est recensé à l’échelle départementale, il n’existe pas à ce jour de Plan de Pré-ven on des Risques - Submersion Marine à l’échelle communale.
Carte du PPRI de LanderneauSource : Direc on Départementale des Territoires et de la Mer
3 UN ENVIRONNEMENT RICHE ET SENSIBLE
AVAP DE LANDERNEAU
JUIN
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La richesse du cadre naturel de Landerneau est à l’origine d’un certain nombre de protec ons et espaces naturels protégés.
La commune de Landerneau est intégrée au Parc Naturel Régional d’Armorique.
Deux Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Faunis que et Floris que (ZNIEFF) s’étendent en par e sur le territoire de la commune : - L’estuaire de l’Elorn : ZNIEFF de type 1 d’intérêt faunis que et fl oris que. Au tre de l’habitat (Vasières et bancs de sable sans végéta ons ; Marais salés, prés salés (schorres), steppes salées et fourrés sur gypse ; Prairies améliorées ; Cultures) et d’espèces à statut règlementé : 7 oiseaux (Aythya ferina ; Aythya fuligula ; Phalacrocorax carbo ; Ardea cinerea Linnaeus ; Tadorna tadorna ; Calidris alpina ; Fulica atra Linnaeus) et 2 espèces végétales (Limonium vulgare Mill. ; Salicornia obscura P.W.Ball & Tu n).- La forêt de Landerneau : ZNIEFF de type 2 d’intérêt fl oris que. Ce e forêt abrite quatre espèces végétales à statut réglementé (Ilex aquifolium ; Ruscus aculeatus ; Vaccinium myr llus ; Taxus baccata).
La commune comprend également une Zone de protec on spéciale (ZPS) des oiseaux, ancienne Zone d’Importance pour la Conserva on des Oiseaux (ZICO).
Par ailleurs, l’Elorn, dans son intégralité sur le territoire landernéen, est classée en zone Natura 2000. au tre de la direc ve Habitat. Ce e zone s’étend au-delà du territoire communal, ce qui suppose une responsabilité forte de la commune pour la préserva on en amont des caractéris ques naturelles et paysagères du cours d’eau.
4 LES ESPACES NATURELS SENSIBLES DE LA COMMUNE
Carte des espaces naturels sensibles
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4.1 CADRAGE THÉORIQUE
L 2000
Natura 2000 est un réseau de sites naturels ou semi-naturels de l’Union européenne ayant une grande valeur patrimoniale1, par la faune et la fl ore excep onnelles qu’ils con ennent2,3.La cons tu on du réseau Natura 2000 a pour objec f de maintenir la diversité biologique des milieux, tout en tenant compte des exigences économiques, sociales, culturelles et régionales dans une logique de développement durable, et sachant que la conserva on d’aires protégées et de la biodiversité présente également un intérêt économique à long terme 4.
L (ZPS) - Z ’ (ZICO)
La direc ve Oiseaux de 1979 demandait aux États membres de l’Union européenne de me re en place des ZPS ou zones de protec on spéciale sur les territoires les plus appropriés en nombre et en superfi cie afi n d’assurer un bon état de conserva on des espèces d’oiseaux menacées, vulnérables ou rares. Ces ZPS sont directement issues des anciennes ZICO (« zone importante pour la conserva on des oiseaux », réseau interna onal de sites naturels importants pour la reproduc on, la migra on ou l’habitat des oiseaux) mises en place par BirdLife Interna onal. Ce sont des zones jugées par culièrement importantes pour la conserva on des oiseaux au sein de l’Union, que ce soit pour leur reproduc on, leur alimenta on ou simplement leur migra on. Descendant en droite ligne des ZICO déjà en place, leur désigna on est donc assez simple, et reste au niveau na onal sans nécessiter un dialogue avec la Commission européenne.
L ZNIEFF
ZNIEFF est le sigle qui désigne en France une zone naturelle d’intérêt écologique, faunis que et fl oris que. Pour informa on, l’équivalent belge des ZNIEFF est le Site de Grand Intérêt Biologique (SGIB).L’inventaire des ZNIEFF est un programme d’inventaire naturaliste et scien fi que lancé en 1982 par le ministère Bouchardeau chargé de l’environnement et confi rmé par la loi du 12 juillet 1983 dite Loi Bouchardeau.Il correspond au recensement d’espaces naturels terrestres remarquables dans les vingt-deux régions métropolitaines ainsi que les départements d’outre-mer. La désigna on d’une ZNIEFF repose surtout sur la présence d’espèces ou d’associa ons d’espèces à fort intérêt patrimonial. La présence d’au moins une popula on d’une espèce déterminante permet de défi nir une ZNIEFF.
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4.2 LA ZONE NATURA 2000
La rivière Elorn a été désignée, par arrêté ministériel du 4 mai 2007 , en Zone Spéciale de Conserva on par arrêté au tre de la Direc ve 92/43 /CEE. L’opérateur est le Syndicat de Bassin versant Elorn – rivière de Daoulas. Le site Natura 2000 totalise environ 2 300 ha et concerne 21 communes.
Ce site Natura 2000 bénéfi cie d’une diversité importante d’espèces et d’habitats en par culier li oraux et aqua ques. Il représente un maillon essen el pour le fonc onnement de l’écosystème à l’échelle de la Bretagne en reliant le li oral à l’intérieur des terres. L’Elorn, cours d’eau caractérisé par les groupements à renoncules est remarquable par l’importance des eff ec fs de saumons atlan ques reproducteurs, exploitant un très grand nombre de frayères en amont de Landerneau. Le secteur estuarien présente un con nuum d’habitats d’intérêt communautaire (vasières, prés salés atlan ques, prés à Spar na alternifl ora) de l’embouchure à Landerneau , à l’entrée de la rade de Brest.Les principaux milieux de l’estuaire (limite = pont habité) sont les suivants : spar naie, prés salés atlan ques à puccinellie, fourrés halophiles. Dans le cadre du secteur d’étude, seuls les habitats « prés salés » et « végéta ons des estuaires à hauts de plage de sable » sont suscep bles d’être concernés. Ils cons tuent des enjeux modérés ou faibles, ce qui signifi e que ces habitats sont largement répandus dans le site et en Europe et sont peu vulnérables. Ils devront donc être préservés (pour le fonc onnement global du site), mais ne feront pas l’objet de contraintes majeures de ges on. Remarque : le DOCOB (document d’objec fs) est à la fois un document de diagnos c et un document d’orienta on pour la ges on du site Natura 2000 . Il précise que les prés salés sont parfois jugés dégradés sur un critère d’espèces invasives comme la Spar ne à fl eurs alternes. Ce e espèce menace à moyen ou long terme la pérennité de l’habitat à l’échelle de la parcelle mais aussi du paysage. Aujourd’hui, les prés salés de l’estuaire de l’Elorn sont colonisés à 90 % par ce e espèce très compé ve. La Spar ne indigène (Spa na mari ma) semble avoir totalement disparue aujourd’hui).
4 LES ESPACES NATURELS SENSIBLES DE LA COMMUNE
Le Trichomanès remarquable se localise dans des affl eurements et des chaos rocheux non
calcaires (Page, 1997 ; Prelli, 1992), dans des ravines étroites profondément encaissées, sous couverts boisés (fi gure 13). La fougère y occupe le dessous des surplombs légèrement ruisselants, les parois humides des excavations, des fi ssures ou les rochers proches de cours d’eau, de petite cascade. Dans ces habitats, abrités des courants d’air, l’atmosphère semble constamment saturée d’humidité (Prelli et al., 1992). La plante peut également coloniser l’entrée de grottes suintantes situées dans les falaises des côtes maritimes (fi gure 14). Trichomanes speciosum Willd. se développe dans des sites peu éclairés où règnent des luminosités faibles et diff uses (Annezo et al ., 1996).
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4.3 LES ZNIEFF
La ZNIEFF « estuaire de l’Elorn » de type 1 s’étend sur 81 hectares, seule une pe te par e est située sur le territoire communal de Landerneau (amont de l’estuaire entre la limite communale et la RD 712 ). La ZNIEFF est caractérisée comme suit (DIREN Bretagne) : vaste spar naie et beaux schorres encadrés par des coteaux largement boisés. Milieux principaux : spar naie, prés salés atlan ques à puccinellie, fourrés halophiles. Espèces remarquables : Flore : prés salés comportant 27 espèces de plantes à fl eurs et spar naie à Spar na alternifl ora (Spar ne à fl eurs alternes) très rependue. Présence d’une des 37 espèces végétales de très haut intérêt patrimonial en Bretagne (Conservatoire Botanique de Brest). Faune : deuxième site ornithologique de la rade de Brest après la baie de Daoulas. Reproduc on du Tadorn de Belon (Tadorna tadorna). Zones d’hivernage importante pour las ana dés (Colverts, Sarcelles d’hiver, Siffl eurs, Fuligules milouins, Milouinans et Morillons) et les limicoles (Huitriers-pie, Vanneaux, Pluviers, Tounepierres, Chevaliers). Zone importante pour le saumon atlan que (Salmo salar).
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II - CARACTÈRE BIO-CLIMATIQUE DU BÂTI ANCIEN
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INTRODUCTION
Le patrimoine bâ cons tue la trame et le support matériel de notre espace géographique, historique, socialet culturel.De façon générale, le patrimoine est menacé par les nouvelles règles et la normalisa on, or les construc onsanciennes sont par essence non normalisables. Il se révèle donc indispensable de bien les connaitre.
CONNAISSANCE DU PATRIMOINE BATI
1 - C
Le bâ rural ancien est issu de son environnement immédiat ; il bénéfi cie d’une concep on bioclima que. Il vit avec et par son environnement. Il se caractérise par son implanta on en fonc on du site, de son relief, de sa géologie, son orienta on par rapport au soleil, aux vents, à la pluie.
Ce bâ ancien est, par nécessité, basé sur l’économie des moyens ; il est fruit de la solidarité sociale, d’un développement local autosuffi sant.
Il est construit avec les matériaux disponibles à proximité et peu transformés qui sont issus du sous-sol ou des végétaux. Il est également basé sur une économie de ges on de l’espace qui se manifeste par le mode de groupement d’habitat qui joue un rôle important dans le confort thermique (mitoyenneté, écran solaire, protec on au vent …).
2 - C
- Des murs épais et des sols lourds - iner e thermique et « respira on » : L’ensemble des parois ver cales et horizontales jouent un rôle de stockage et de régula on thermique en saison froide, mais off rent aussi un excellent confort d’été.
- Les espaces tampon - combles, mitoyens, caves : Ces espaces protègent les lieux de vie du contact direct avec l’extérieur, en a énuant considérablement les varia ons de température et d’humidité.
- Le second oeuvre - apport de lumière, voire de chaleur, protec on, ven la on… : Le système construc f ancien n’off rait pas pour des raisons de protec on et de confort de très grandes surfaces de baies. Mais les fenêtres, presque toujours en hauteur, perme aient à la lumière de pénétrer profondément. Les volets et contrevents contribuent fortement au dosage du confort thermique d’hiver et d’été.
- Un comportement thermique d’été très favorable : En été, une iner e très forte permet de res tuer pendant la journée la fraîcheur nocturne à l’intérieur des logements.
1 CONNAISSANCE DU PATRIMOINE BÂTI
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1 - L ,
- Doubler un mur, isoler une toiture, installer des doubles vitrages ... impliquent des transforma ons en chaîne qui peuvent conduire à une dénatura on profonde de ce qui fait le caractère des espaces, des mises en oeuvre et des matériaux tradi onnels.
- L’isola on thermique par l’extérieur est fortement déconseillée : l’isola on thermique par l’extérieur est de façon générale la meilleure solu on à la condi on qu’elle ne soit pas une barrière au passage de la vapeur d’eau, mais ne peut être envisagée qu’excep onnellement sur le bâ ancien pour des raisons historiques et architecturales.
2 - T , -
: , , ’
- Privilégier la chaleur des parois à celle de l’air et la perfec onner - renforcer le revêtement interne : le meilleur rendement thermique est obtenu en renforçant l’isola on thermique du revêtement interne tout en privilégiant une faible épaisseur pour ne pas nuire à l’iner e du mur (enduit de chanvre et chaux, fi bres de bois, torchis allégé…)- Renforcer les performances thermiques des fenêtres : lorsque la menuiserie ancienne est en bon état ou peut être restaurée les vitrages d’origine peuvent être remplacés par des doubles vitrages minces qui conservent les pe ts bois de la fenêtre.
- Préserver les occulta ons tels que volets et contrevents : voire les réinstaller en compa bilité avec l’architecture du bâ (pas de coff res de volets roulants…).
- Renforcer les performances thermiques des combles : maintenir l’aéra on de la charpente. Dans le cas fréquent du comble devenu habitable l’isolant est placé en « rampant » avec une épaisseur de plus 25 cm pour garan r une bonne isola on.
- Maintenir une ven la on adaptée : l’extrac on ponctuelle dans chaque pièce humide dénommée « ven la on mécanique répar e » cons tue la solu on la plus adaptée.
- Supprimer les sources d’humidité : la suppression de l’humidité implique la suppression de tous les enduits étanches et la res tu on d’enduits respirants.> Un drainage extérieur périphérique, voire intérieur, s’impose souvent ; en milieu urbain l’imperméabilisa on de sols extérieurs (tro oirs…) ne le permet pas ; la ven la on des caves et sous-sols n’en est que plus nécessaire.> Un bon système de couverture s’impose pour éviter les infi ltra ons et implique notamment un bon entre en des gou ères lorsqu’il y en a.
2 LIMITES DU BATI ANCIEN AU REGARD DE NOS MODES DE VIE ET BESOINS DE CONFORT ACTUELS
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1 – L’ Le captage de ce e énergie réclame des condi ons d’exposi on spécifi ques : orienta on préféren elle au Sud et inclinaison op male allant de 30° à 60°.
- Le solaire thermique : Les chauff e-eau solaires simples ou combinés pour chauff er l’eau et la maison sont des systèmes dont la durée de vie fait encore débat. Ce système doit être installé près des lieux d’u lisa on et sur toiture pour bénéfi cier du meilleur ensoleillement.L’inclinaison op male est de 45° voire 60°. Ces capteurs avec leurs matériaux très réfl échissants ont un fort impact visuel. Le solaire thermique demande beaucoup de surface ; 10 m2 perme ent de chauff er 5 m2. Une tendance actuelle est d’en réaliser la couverture de grands bâ ments agricoles.
- Le solaire photovoltaïque : Le solaire photovoltaïque ne peut dans les condi ons actuelles que cons tuer une source énergé que d’appoint mais semble cependant promis à un bel avenir. Le problème de l’intégra on des panneaux est moins délicat que dans le cas des panneaux thermiques ; en eff et, malgré leur brillance, leur couleur et leur texture lisse proches de l’ardoise, avec des cadres métalliques sombres il y a la possibilité d’en faire des éléments de couverture et non des structures rapportées.Cependant ces nouvelles possibilités d’u lisa on comme matériau de construc on, très intéressantes dans le bâ contemporain, ne peuvent être considérées que de façon très marginale dans le bâ ancien.
2 - L : la géothermie u lise la diff érence de température du sol et celle de l’intérieur du bâ . Deux confi gura ons existent :
> les capteurs horizontaux : La surface nécessaire est à 1,5 à 2 fois la surface à chauff er ; installa on sur un sol peu pentu, perméable, sans réseau d’eau.> les capteurs ver caux : Ils sont délicates à poser et il est nécessaire de faire appel à une entreprise de forage qualifi ée.Les PAC géothermiques connaissent un fort développement et s’intègrent facilement dans le bâ ancien mais seulement dans la mesure où la réfec on de la structure des sols de l’habita on est envisagée.
3 - L : Le bois est une source d’énergie non seulement renouvelable mais neutre par rapport à l’eff et de serre.
4 - L’ : A l’échelle individuelle, le matériel actuel, à condi on d’être judicieusement implanté, ne semble pas pénalisant dans l’environnement rural. Les nuisances sonores peuvent cependant gêner le voisinage.
3 - A - Agir sur l’environnement :> en choisissant judicieusement l’implanta on d’une extension, espace tampon…> en veillant à la répar on judicieuse des nouvelles planta ons : haies contre le vent, treilles, arbres assurant un meilleur confort d’été par leur ombrage…- Adopter un comportement responsable et économe : Ges on économe de l’électricité, ges on du confort thermique, ges on des eaux (en prévoyant la récupéra on des eaux de pluie, en envisageant un double réseau d’alimenta on en eau potable, eau de pluie), ges on des déchets (par le tri et le stockage des déchets, en u lisant des matériaux recyclables ou recyclés…).
3 FAVORISER L’EMPLOI D’ÉNERGIES RENOUVELABLES
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Pour le moment en l’année 2014, nous devons nous appuyer sur la RT Existant qui ne date que de 2007 !Toute la RT 2012 actuellement étant dédié au neuf RT 2007 : Règlementa on thermique par éléments arrêté du 3 mai 2007 : Ce texte concerne principalement l’isola on des parois opaques (murs, planchers, toitures), vitrées (fenêtres) et l’améliora on ou le remplacement du système de chauff age. Il est rela f aux caractéris ques thermiques et à la performance énergé que des bâ ments existants et fi xe des exigences et des seuils de résistance thermique pour la rénova on des parois.
« Les travaux d’isola on des murs par l’extérieur ne doivent pas entraîner de modifi ca ons de l’aspect de la construc on en contradic on avec les protec ons prévues pour les secteurs sauvegardés, les zones de protec on du patrimoine architectural, urbain et paysager, les abords des monuments historiques, les sites inscrits et classés, les sites inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité de l’UNESCO ou tout autre préserva on édictées par les collec vitésterritoriales, ainsi que pour les immeubles bénéfi ciant du label patrimoine du XXème siècle et les immeubles désignés par l’alinéa 7 de l’ar cle L123-1 du code de l’urbanisme. »
4 PATRIMOINE BÂTI ET EXIGENCES D’ISOLATION
- Le principe de base consiste donc en secteur protégé à isoler au maximum les construc ons par l’intérieur ou bien u lliser des méthodes non destructrices type :
- Isola on par enduits extérieurs à base de granulats isolants
- Les combles doivent être isolés
- La menuiserie ancienne conservée peut faire l’objet de répara ons (jets d’eau, pièces d’appui).
- La menuiserie ancienne conservée peut faire l’objet de double vitrage.
- Dans tous les cas il est nécessaire de ven ler, car plus on isole plus la condensa on est importante.
Source : Site du Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie
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III - LA PRISE EN COMPTE DES SOLS ET DES VÉGÉTAUX, FACTEUR DE DÉVELOPPEMENT DURABLE
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Les espaces boisés autour de la ville se retrouvent accompagnant les vallées (Kermalvezan, Penquelen, Kergoat), ou coiff ant les coteaux (le bois de Pencran au Sud de la commune). Associés au maillage de haies bocagères et chemins creux, ils cons tuent un réservoir de biodiversité qui co oie l’urbanisa on, off re des espaces de détente et de loisirs essen els. Préserver les con nuités écologiques, maintenir et renforcer les modes de déplacement doux dans ces espaces permet de renforcer leur iden té et d’y maintenir la lecture des vallons et vallée.Riches d’une pale e végétale diversifi ée, ces boisements qui habitent les vallons ou racontent l’histoire de grandes propriétés, comme le bois de Pencran, font par e du patrimoine paysager de la commune.Le bois de Penguelen off re des promenades pédestres qui perme ent de relier le Nord-Ouest de la commune au centre ville. La D770 crée une rupture dans ces con nuités, au niveau du croisement avec la route Saint Thonan. Des con nuités mériteraient d’être retrouvées.
Le bois de Penguelen La ville cadrée par le bois de Pen-cran
1 LES FORETS ET BOISEMENTS : RÉSERVOIRS DE BIODIVERSITÉ CONTIGUS À LA VILLE
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Les chemins creux, cadrés par des talus généralement plantés d’arbres formant des haies, servaient tradi onnellement de voies de circula on dans les paysages de bocage. Ils relient les parcelles agricoles aux villages, hameaux et fermes.
Ces chemins creux sont cons tués de pierres grossièrement appareillées ou de mo es de terre empilées par les paysans au cours du temps. Ils jouent un rôle agronomique essen el dans un territoire de type bocager (conserva on de l’eau et de la ma ère organique), et supportent une strate buissonnante et arborée importante. Il jouent de plus un rôle essen el dans la biodiversité locale et par cipent au maillage de corridors écologiques perme ant la protec on et le déplacement de nombreuses espèces.
Pare-vents effi caces, ces chemins off rent des sen ers ombragés protecteurs. Ces veines paysagères à l’iden té très forte imprègnent encore aujourd’hui le paysage de la commune de Landerneau. Il paraît essen el, pour des raisons autant patrimoniales qu’écologiques, de les préserver et de les renforcer.
Ici, le chemin a été comblé par des gravas, probablement pour empecher les randonneurs d’y pénetrer... Une dégrada on malheureuse et anormale de ce patrimoine de sen ers et de chelins qui disparaissent au profi t d’une priva sa on abusive du territoire.
La ferme de Kerzioc’h, encore accompagnée du chemin creux qui la reliait à la ville...
Chemins creux.
2 CORRIDORS ÉCOLOGIQUES RURAUX : LES HAIES ET CONTINUITÉS PLANTÉES
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Les arbres d’alignements et sujets isolés remarquables composent et dialoguent avec la ville et ses rues, ssant des fi ls de nature dans le ssu urbain. Outre leur rôle d’améliora on de la qualité de vie urbaine, ces présences végétales cons tuent de véritables corridors biologiques perme ant à la faune urbaine de se déplacer à l’intérieur de la commune.
Jardins de propriétés et jardins d’entreprises accueillent parfois des essences exo ques qui trouvent dans ce climat tempéré océanique des condi ons favorables à leur développement.
En plantant des séquoias et des cèdres du Liban, en les soignant et en les regardant grandir, je me suis, en quelque sorte, donné un compte à rebours. Je ne les accompagnerai pas au-dessus d’une certaine taille. Mais je sais par d’autres jardins ce qu’ils seront dans quelques siècles. Et pour moi, ces images concrétisent une période où je ne serais plus.
Hubert Reeves. L’espace prend la forme de mon regard
“
“Il n’est pas rare, et cela est encore vrai de nos jours, qu’un arbre remarquable ait été planté ou préservé en remplacement d’un arbre antérieur; ce n’est donc pas seulement l’arbre ancien qu’il faut considérer mais le site où il se trouve
Histoire de France racontée par les arbres, Robert Bourdu
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3 CORRIDORS ÉCOLOGIQUES URBAINS : LES ARBRES REMARQUABLES ET ESSENCES SINGULIÈRES
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3 CORRIDORS ÉCOLOGIQUES URBAINS : MURS ET EMPRUNTS VÉGÉTAUX
Les murs et murets en pierre cons tuent un véritable écosystème à protéger.Ils font souvent par e du paysage des rues et ruelles de la ville, et génèrent bien des surprises au promeneur qui saura les regarder d’un autre oeil ; en eff et, ils se révèlent parfois tels des jardins ver caux, pi oresques et poé ques...Ainsi les arases des murs, les moindres fentes, off rent-elles un support opportun pour toute une végéta on spécifi que et diversifi ée, cons tuée essen ellement de plantes lapidaires se suffi sant d’un complexe pauvre et sec : nombril de vénus, faux-capillaire, polypodium, valériane...A celles-ci se mêlent des graines « échappées » des jardins, qui trouvent refuge dans l’inters ce d’un joint, ou encore entre mur et sol comme le montre la photo ci-dessous. Autant de singulières rencontres entre pierre et macadam.
Au pied des murs, on rencontre parfois une bande de planta on étroite (rosiers grimpants, iris, roses trémières, érigeron ...), entre espace privé et espace publlic. Ce e zone de transi on apporte une réelle plus-value dans la qualité des ambiances ; aussi est-il important d’éviter à tout prix leur imperméabilisa on. Ce e végéta on atypique contribue à l’atmosphère colorée, verdoyante et pi oresque de ces venelles, et enrichit la biodiversité locale.
Murs en pierre et végéta on
La végéta on joue un rôle essen el dans l’accompagnement des murs en pierre. La préserva on de ce e végéta on qui accompagne et habille le paysage de ces murs est tout aussi essen el que la préserva on des murs eux-mêmes.
Très présent, l’érigéron rend souvent plus « aimable » la fron ère entre macadam et mur.
Une graine échappée des jardins avec ce cotonéaster horizontalis qui coiff e un mur en pierre. Mais a en on au système racinaire plus puissant que nos plantes lapidaires
bien-aimées, car il pourrait y faire quelques dégâts. Acceptons-le donc, mais sous surveillance.
Étonnant, mais bienvenu, un fraisier
trouve sa place entre deux pierres...
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Linaire cymbalaire
Linaire cymbalaire des murs et campanuleValériane rose et valériane blancheValériane rose et clocher
Mur coiff é de Valérianes
3 CORRIDORS ÉCOLOGIQUES URBAINS : MURS ET EMPRUNTS VÉGÉTAUX
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IV - LES AIRES NATURELLES PRISES EN CHARGES PAR L’AVAP AYANT POUR OBJECTIF DE PRÉSERVER LES CORRIDORS ÉCOLOGIQUES
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AP1 - L’AIRE DU CENTRE VILLE
AP2 - L’AIRE DES FRANGES URBAINES
AP3 - L’AIRE DE L’ELORNS AP3 L ES AP3 E
AP4 - L’AIRE DE L’ÉCRIN PAYSAGERS AP4 E
/ S AP4 E
1 LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION DU PATRIMOINE
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LES AIRES URBAINES
AP1 - L’AIRE DU CENTRE VILLE Ce e aire englobe l’ensemble des espaces urbanisés anciens à protéger. Elle rassemble l’essen el des construc ons protégées ainsi que les espaces communs ou publics autour desquels celles-ci s’organisent. Les prescrip ons portent sur les possibilités d’évolu on de ce e aire historique. Elles défi nissent ainsi les condi ons dans lesquelles de nouvelles construc ons peuvent être réalisées sur la trame cadastrale non colorée de la carte AVAP. Les règles urbaines et architecturales pour les nouvelles construc ons défi nissent leur mode d’implanta on et leur volume en fonc on de la réalité du ssu urbain déjà cons tué, en exigeant une référence à la volumétrie, à la composi on architecturale et aux matériaux qui font l’homogénéité de la ville, sans pour autant faire de pas che.
AP2 - L’AIRE DES FRANGES URBAINESCe e aire concerne les secteurs périphériques et d’entrée de ville de proximité, qui sont par nature des espaces de projet et de redéveloppement de la ville. L’objec f est de perme re ce développement tout en préservant une harmonie générale.
LES AIRES PAYSAGERES ET RURALES
AP3 - L’AIRE DE L’ELORNL’Elorn cons tue un axe majeur à l’origine de la créa on de la cité. Tout aménagement ou toute construc on nouvelle sera basé sur la mise en valeur du paysage.L’aire de l’ELorn se subdivise en deux grandes zones :- l’aire du lit majeur de l’Elorn- l’aire d’accompagnement de l’Elorn
AP4 - L’AIRE DE L’ÉCRIN PAYSAGERCe e aire concerne la première ceinture écrin autour des éléments remarquables repérés sur le territoire, église, manoir ... Elle se subdivise en diff érentes aires d’écrin paysager. Certaines seront inconstruc bles tandis que d’autres seront construc bles (à l’exclusion d’extensions aux construc ons existantes et de construc ons à usage agricole).
2 DÉFINITION DES AIRES DE PROTECTIONS
AIRES NATURELLES PRISES EN CHARGE PAR L’AVAP AYANT POUR OBJECTIF DE PRÉSERVER LES CORRIDORS ÉCOLOGIQUES
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AP3 - L’AIRE DE L’ELORNS AP3 L ES AP3 E
L’Elorn cons tue un axe majeur à l’origine de la créa on de la cité. Tout aménagement ou toute construc on nouvelle sera basé sur la mise en valeur du paysage.
AP4 - L’AIRE DE L’ÉCRIN PAYSAGER
S AP4 E /
Ce e aire concerne la première ceinture écrin autour des manoirs de Kernevez, Kersioch et Kerlezérien.L’objec f est la protec on de ces éléments architecturaux et paysagers remarquables, témoins d’une économie tradi onnelle.
S AP4 E L’objec f est la « sanctuarisa on » de ce e aire.Toute nouvelle construc on sera interdite à l’exclusion de construc ons à usage agricole ou des extensions aux construc ons existantes.
2 DÉFINITION DES AIRES DE PROTECTIONS
AVAP DE LANDERNEAU
JUIN
2015TRAME / LMA & OIKOS
V - LES ENJEUX DE PROTECTION ÉCO PAYSAGÈRE
AVAP DE LANDERNEAU
JUIN
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SYNTHÈSE DES GRANDS ENJEUX ÉCO PAYSAGERS
• L’ElornLe fl euve présente un double visage sur le territoire communal : son visage de fl euve cô er en aval du pont de Rohan et son visage de ruisseau verdoyant en amont. La créa on du chenal, l’u lisa on de la plaine alluvionnaire comme décharge ont causé de nombreux bouleversements.Me re en valeur les paysages naturels de l’Elorn.
• Le relief et les vuesDe nombreux points de vue me ent en valeur le relief accentué des vallons et off rent des perspec ves singulières sur la ville et ses clochers.Me re en valeur des points de vue depuis le grand paysage et valoriser les vues internes pour renouveler le lien entre la ville et l’Elorn.
• Les cheminsL’ensemble de ces vallées et vallons off re un maillage de circula ons piétonnes au cœur d’une atmosphère baignée de verdure. Réaffi rmer la trame des vallons, préserver l’écrin paysager rural.
• La végéta on (boisements, haies et arbres)Ce e végéta on de formes variées et d’espèces diversifi ées, cons tuent un réservoir de biodiversité qui côtoie l’urbanisa on et off re des espaces de détente et de loisirs essen els. Préserver les con nuités écologiques, maintenir et renforcer les modes de déplacement doux dans ces espaces permet de renforcer leur iden té et d’y maintenir la lecture des vallons et vallée.La trame verte et bleue du territoire landernéen
1 SYNTHESE DES ENJEUX DE L’AVAP
AVAP DE LANDERNEAU
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Trame bleue
Centre historique
Con nuité de la trame verte à créer
ENJEUX DE PRÉSERVATON ET DE VALORISATION DE LA TRAME VERTE ET BLEUE
- Renforcer le caractère piétonnier et les con nuités écologiques de la vallée Trémaria en l’ouvrant vers de nouveaux poten els de con nuités douces et de corridors écologiques et en renforcant les liens avec le futur parc. Le schéma directeur instauré par le parc ouvre les portes d’une requalifi ca on des abords de l’Elorn qu’il est intéressant de prolonger à l’ensemble du fi l conducteur cons tué par la trame bleue de la vallée de l’Elorn.
- Respecter et renforcer le maillage de chemins creux qui trame le paysage de la commune.
- Réserver et valoriser les jardins des grandes propriétés, au niveau du quai de Cornouaille et au niveau de la rue du Commandant Charcot, qui par cipent au maillage de ce e trame verte.
- Renforcer le caractère piétonnier du centre historique (voie partagée...).
1 SYNTHESE DES ENJEUX DE L’AVAP
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Le futur aménagement
Le projet de l’Agence URBICUS propose la créa on d’un parc urbain sur les rives de l’Elorn, ainsi que de mails plantés qui perme ront une meilleure lisibilité de cet espace.
Le schéma directeur instauré par le parc ouvre les portes d’une requalifi ca on des abords de l’Elorn qu’il est intéressant de prolonger à l’ensemble du fi l conducteur cons tué par la trame bleue de la vallée de l’Elorn et off re la possibilité de créer de nouveaux cheminements doux et corridors écologiques à relier notamment avec ceux de la vallée Trémaria.
Il perme ra par ailleurs de renouveler l’image du cœur de ville et de restaurer les liens avec le reste de la ville.
Source : Agence URBICUS
2 L’INSCRIPTION ÉCO PAYSAGÈRE DES PROJETS URBAINS
AVAP DE LANDERNEAU
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LA VOIE DE LANRINOU La voie de Lanrinou, est un projet rou er de dévia on sud de la ville, présenté en 1993.Le projet a été soumis à enquête publique en 1999.
Son tracé traverse le chemin reliant les hameaux de Kerlezerien et Kerzioc’h, remarquables par leur qualité patrimoniale et environnementale. Il a donc été par culièrement étudié dans le cadre de l’élabora on de la ZPPAUP.
Le cahier des prescrip ons réglementaires de la ZPPAUP s pule :« Kerzioc’h, Kerlezerien :• protec on du talus reliant les deux hameaux,• protec on des murs existants,• respect du parcellaire.Une a en on par culière sera apportée au traitement de toute traversée du secteur : éviter les remblais et déblais perturbant le passage de Kerzioc’h à Kerlezerien. Le sens de la protec on ent à l’intérêt et à la qualité du cheminement répertorié. Il serait nécessaire de ‘cicatriser’ le paysage par la recons tu on de talus, bandes boisées et autres éléments structurant l’espace et lui donnant son caractère propre. »
La Commission Départementale des Sites a donné un avis favorable au projet de voie le 31 août 1999 au vu du rapport de l’inspecteur régional des sites du 17 juin 1999 et de l’avis de l’ABF annexé. L’ABF ne fait aucune observa on sur le projet au regard de la ZPPAUP.
L’AVAP s’inscrit dans la con nuité de la ZPPAUP dans la prise en compte de ce projet.Réalisa on : Trame
2 L’INSCRIPTION ÉCO PAYSAGÈRE DES PROJETS URBAINS