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Numéro de convention de la poste-publications 40037621 À la une LE WEB 2.0, SUIVREZ-VOUS LA VAGUE? page 2 Printemps 2010 À la CDEBF (CLD) page 3 Nouvelles-éclair pages 4 et 5 Signature page 6 Actualité page 7 Nouvelles entreprises pages 8 et 9 Jeune entrepreneur page 10 International page 11 UNE INITIATIVE DE LA LE WEB 2.0, UTILE POUR LES AFFAIRES?

Bulletin L'Excellence - Printemps 2010

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Le Bulletin L'Excellence est distribué dans toutes les entreprises manufacturières, de distribution et de service aux entreprises sur le territoire ainsi qu'à des partenaires économiques. Les informations contenues dans les douze pages du bulletin visent non seulement à renseigner les lecteurs sur les derniers événements économiques mais aussi à faciliter le réseautage entre entreprises.

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Page 1: Bulletin L'Excellence - Printemps 2010

Numéro de convention de la poste-publications 40037621

À la une LE WEB 2.0,SUIVREZ-VOUS LA VAGUE?page 2

Printemps 2010

À la CDEBF (CLD)page 3

Nouvelles-éclairpages 4 et 5

Signaturepage 6

Actualitépage 7

Nouvelles entreprisespages 8 et 9

Jeune entrepreneurpage 10

International page 11

UNE INITIATIVE DE LA

LE WEB 2.0, UTILE POUR LES AFFAIRES?

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Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais je ne me suis pas encore totalement approprié le Web 1.0 et on parle déjà du Web 2.0! Cepen-dant, le Web 2.0 mérite toute notre attention, car il s’agit d’une véritable révolution de la Toile, étant donné qu’Internet a changé le monde, il y a fort à parier qu’il en sera de même avec le Web 2.0.

Le Web 1.0 servait à connecter diverses docu- mentations sur Internet, celles-ci étant surtout fournies par les entreprises. Mais aujourd’hui, la quantité de renseignements disponibles sur Internet est telle que l’on parle maintenant « d’infobésité La qualité et la fiabilité des don-nées exigent cependant une certaine pruden-ce chez les internautes. Le Web 2.0 vient pallier cette faiblesse. Celui-ci replace l’utilisateur et ses relations avec les autres au coeur d’Internet plutôt qu’avec ses contenus, c’est le côté humain du Web. Ainsi, les internautes devien-nent à leur tour les créateurs de contenus, commentant, bonifiant ou critiquant l’information du Web. Le Web 2.0 facilite aussi le réseautage et l’interaction entre utilisateurs par les platefor-mes sociales telles que Facebook, MySpace, Twi t ter , etc. Ces nouve l les app l icat ions permettent de tout savoir en temps réel sur nos contacts, ce qu’ils pensent, ce qu’ils font, leur champ d’intérêt, etc. Avec le Web 2.0, on partage et diffuse tout.

Mais ces technologies sont-elles transposables au monde des affaires? Quels bénéfices les entreprises peuvent-elles en soutirer? Voici deux avantages majeurs :

1. Se rapprocher de SeS conSommateurSUn aspect particulier est à respecter lorsqu’on amorce une démarche dans le Web 2.0 : le consommateur est le roi et maître des contenus qu’il choisit. L’objectif est donc de se rendre d isponible où et quand l ’ internaute le désire. L’époque de l’intrusion publicitaire est révolue sur le Web. Les plateformes d’échanges permettent une interaction directe entre le consommateur et l’entreprise. Cette proximité

rend les conversations plus riches, pouvant contribuer à fidéliser sa clientèle, à condition par contre de fournir un contenu plus utilitaire que publicitaire, d’être à l’écoute des besoins et de participer de manière proactive. Pour ce faire, il faut y consacrer des ressources internes dispo-sées à interagir avec régularité, transparence et générosité dans la diffusion d’information avec les internautes. Cette constance est également très fructueuse au niveau du référencement de l’entreprise dans Internet.

2. un nouveau mode managÉrialSelon toute vraisemblance, l’adoption du Web 2.0 semble devenir inévitable pour accueillir la nou-velle génération de travailleurs : les « Millenials En effet, selon une étude commanditée par Xerox et réalisée par Forrester Consulting, l’arrivée sur le marché du travail des personnes nées dans les années 1980, les « Millenials va bouleverser les méthodes de travail colla-boratif. Cette génération a le réflexe d’utiliser régulièrement les médias sociaux comme un outil de travail pour leur recherche d’information, d’expertise ou de contacts. Leurs aptitudes les rendent à la fois performants, rapides et effi-caces. Dans certaines grandes entreprises, les plateformes d’échanges servent d’intranet dans l’organisation contribuant à améliorer la collabo-ration interne en plus de briser l’isolement des postes individuels de travail.

Dans ce numéro, nous présentons les bienfaits du Web 2.0 pour les entreprises. À la section Actualité, vous découvrirez deux outils très intéressants dans le cadre des affaires.

Ne vous laissez pas submerger et prenez la vague avec nous!

légende des formes d’aide reçues par les entreprises :

Fonds de développement des entreprises d’économie sociale

Fonds Jeunes Promoteurs

Fondation canadienne des jeunes entrepreneurs

Fonds local d’investissement

Soutien au travail autonome

Aide technique

Mentorat

LE WEB 2.0, SUIVREZ-VOUS LA VAGUE?

M. René Thivierge, directeur général

Commissariat industriel

Services à l’exportation

Communications

Aide financière

ICI ON VA PLUS LOIN

Mentorat d’affaires

Développement des communautés rurales

Des services qui mènent loin...

747, boulevard pierre-roux estvictoriaville (Québec) g6t 1S7

téléphone : 819 758-3172télécopieur : 819 758-1187

Site internet : www.cdebf.qc.ca

Page 3: Bulletin L'Excellence - Printemps 2010

VOUS chERchEZ Un mOyEn pOUR détOURnER VOS déchEtS dES SItES d’EnfOUISSEmEnt?

la cdeBF (cld) organise un déjeuner d’information, le 8 juin prochain, à compter de 7 h 30 à la place 4213 de victoriaville, ayant pour sujet le nouveau forum centrallia qui aura lieu du 20 au 22 octobre 2010 à Winnipeg, au manitoba.

centrallia reproduit une formule semblable à celle de Futurallia en proposant aux participants jusqu’à 12 rencontres avec les entreprises de leur choix pour des rendez-vous d’affaires préprogrammés de 30 minutes.

centrallia est l’activité par excellence pour trouver de nouveaux marchés ou partenaires à l’international, notamment dans les indus-tries suivantes :

- matériaux de construction- agrolimentaire et transformation des aliments- technologies de l’information et des communications- Fabrication d’équipement de transport- Énergie et environnement- tourisme- Éducation et formation professionnelle

pour obtenir plus de renseignements, commu-niquez avec madame Sandrine leclerc, com- missaire à l’exportation au 819 758-3172 poste 234 ou par courriel à : [email protected].

ce déjeuner est organisé avec la collabora-tion du carrefour Québec international et de recomeX.

La CDEBF (CLD) procède actuelle-ment au recrutement de nouveaux commerces, industries et institutions pour participer au programme ICI ON VA PLUS LOIN qui vise à rece-voir l’attestation ICI ON RECYCLE de niveau 3, émise par la société d’État RECYC-QUÉBEC.

À cet effet, la Corporation vous invite à un déjeuner d’information au coût de 10 $ par personne (plus taxes), le 16 juin prochain, à compter de 7 h 30 à la Place 4213 située au 13, rue de l’Entente à Victoriaville.

Lors de cette activité, M. David Verville, du CFER Normand-Maurice, expliquera en détail le programme et la démarche ICI ON VA PLUS LOIN qui offre un service d’accompagne-ment personnalisé ainsi que l’accès à des experts afin de réussir la dé-marche à entreprendre pour rece-

voir l’attestation. De plus, M. Yves Rochefort, de l’entreprise Gaudreau Environnement, sera également présent pour répondre aux ques-tions techniques concernant les sources de débouchés pour les ma-tières résiduelles.

En plus de contribuer activement à préserver l’environnement, cer-taines entreprises ont réalisé des gains économiques par une meilleure gestion de leurs matières rési- duelles, comme le témoignera M. Lou is Laf leur , p rés ident- directeur général des Boisés La Fleur inc. à Victoriaville.

Madame Doris Allard, chef d’équipe à la succursale Buropro de Victoriaville, parlera aussi de leur première année d’expérience au titre d’établisse-ment attesté au plus haut niveau de performance et des retombées de la démarche pour leur commerce. Pour obtenir davantage de renseigne-ments, veuillez contacter Mme AnnieTurcotte, coordonnatrice de projets à la CDEBF (CLD), par téléphone au 819 758-3172 poste 229 ou par courriel à : [email protected].

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de retour de la dernière mission en pologne, qui se déroulait du 10 au 17 avril 2010, la cdeBF (cld) a choisi de mandater la f irme par tenaire pologne pour poursuivre les démar-ches d’affaires dans ce marché.

M. Patrick Edery est un consultant d’ori-gine française qui possède un bureau en Pologne depuis une dizaine d’années pour faciliter les échanges entre les entreprises des deux pays.

Ses méthodes ont démontré leur effica-cité lors de la mission économique en avril dernier. Celui-ci est venu au Québec, en février dernier, afin de visiter les entreprises composant la délégation. Ces entrevues avaient pour but de bien connaître leurs attentes et leurs besoins, mais également

leurs produits et leurs processus d’affaires respectifs. Cette étape lui a permis d’affi-ner la recherche et la sélection des parte-naires polonais les plus pertinents pour les entreprises centricoises.

« Nos huit entreprises participantes nous ont confirmé que Partenaire Pologne a été d’une aide indispensable pour la recherche de contacts pertinents et pour la coordina-tion sur place des rendez-vous d’affaires. C’est pourquoi nous avons conclu une entente avec Partenaire Pologne pour la poursuite de nos activités dans ce marché d’expor tation explique Mme Sandrine Leclerc, commissaire à l’exportation pour la CDEBF (CLD).

La Corporation dispose ainsi d’une banque de 100 jours auprès de cette firme pour

l’année 2010. Ces heures serviront, entre autres, pour obtenir le soutien de ce consul-tant pour l’organisation de la prochaine mission à la foire POLEKO à l’automne 2010 et pour répondre aux besoins ponc-tuels des entrepr ises. Les condit ions d’utilisation de cette banque sont présente-ment à l’étude. Cependant, toute entreprise intéressée peut communiquer avec la commissaire afin d’obtenir les services spécialisés de Partenaire Pologne, tels que :

- Recherche de contacts d’affaires;- Suivi des contacts d’affaires déjà établis;- Études sectorielles;- Test de produits;- Veille commerciale;- Enquête et interview;- Études de marché et de la concurrence.

pARtEnAIRE pOLOGnE,notre nouvel allié pour le développement de ce marché

lors de la parution du bulletin L’Excellence à l’hiver 2010, nous présentions le portrait de monsieur Jean-luc lavigne, résidant de notre-dame-de-ham, dont l’aventure Ma première Place des Arts s’est termi-née à l’étape ultime de la finale.

C’est depuis le mois de février dernier que l’auteur-compositeur-interprète prépare des auditions, participe à des ateliers et grimpe les échelons de ce prestigieux concours. « Ce fut une très belle aventure, mais je vis avec ce « stress de fond depuis

maintenant quatre mois et je suis content de passer à d’autres projets explique M. Lavigne.

Il faut mentionner que l’interprète a réussi à se tailler une place enviable dans ce concours, passant même du quart de finale à la finale directement, grâce à une interprétation empreinte d’émotions qui a séduit les juges.

La finale, qui se déroulait le 12 mai dernier, n’a malheureusement pas couron-né le Notre-D’Hamois, mais M. Lavigne a tout de même remporté une bourse de 500 $, remise aux finalistes, en plus d’un chèque-cadeau de 500 $ qu’i l pourra dépenser chez Archambault.

Il est possible de visionner les prestations des différents concurrents, qui furent cap-tées lors du concours, sur le site Internet de Canal Vox au www.voxtv.info/pda.Le 23 juin prochain, le public pourra enten-

dre M. Lavigne à l’occasion du spectacle de la Saint-Jean-Baptiste qui aura lieu à Victoriaville. Accompagné de sa conjointe, l’auteure de contes et illustratrice Jacinthe Lavoie, il y présentera Les contes de Petite-Souris.

Les perspectives d’avenir s’annoncent bien pour l’interprète qui a, entre autres, rencontré l’auteur Manuel Brault lors de Ma première Place des Arts et avec qui il pourrait entreprendre des projets dans le futur. Nous lui souhaitons la meilleure des chances!

Jean-luc lavigneTéléphone : 819 344-5214 Courriel : [email protected] Internet : www.planeterebelle.qc.ca

JEAn-LUc LAVIGnE, gagnant sur toute la ligne

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la firme consortech, spécialisée dans les solutions logicielles en génie civil et géomatique, présente cinq capsules vidéo 3d élaborées par la cdeBF (cld) lors de leurs séminaires sur la créa-tion de maquettes virtuelles à ottawa, montréal et Québec.

Située à Brossard, cette entreprise est, depuis peu, le revendeur autor isé du logiciel Autodesk LandXplorer pour le Québec, celui-là même utilisé par la Corporation pour réaliser ses simulations 3D, notamment celles produites pour l’agrandissement du parc industriel de Daveluyville à Sainte-Anne-du-Sault, l’amé-nagement de l’aéroport André-Fortin et le projet du centre aquatique Édouard-Dubord à Victoriaville.

« Nous étions à la recherche de réalisations québécoises pour démontrer les applications de ce logiciel européen. La firme GENIVAR nous a référé à la CDEBF (CLD), qui s’avé-rait pour nous un exemple parfait d’autono-mie d’utilisation par une organisation dont le champ principal d’activités n’est pas re-lié à la géomatique, démontrant ainsi sa convivialité. Selon nos informations, la Cor-poration est le seul CLD au Québec à uti-liser cette technologie sans intermédiaire explique Mme Louise Doyon, gestionnaire de comptes pour Consortech. Depuis 2009,

GENIVAR travaille de concert avec la Corporation pour l’accompagner dans l’implantation de ce nouveau service à la CDEBF (CLD). La firme GENIVAR est également celle qui a fourni les maquettes informatisées en 3D, reflétant exactement la topographie du territoire de la MRC d’Arthabaska. Ainsi, les capsules vidéo de la Corporation font le tour du Québec par le biais de séminaires, webinaires, présen-tations privées et même lors du dernier congrès de l’Association de Géomatique Municipale du Québec.

La CDEBF (CLD) s’est dotée de cette tech-nologie qui a démontré à de nombreuses reprises sa pertinence et son utilité pour simuler, de façon très réaliste, des projets d’agrandissement, d’implantation et autres scénarios d’occupation du territoire. Cette technologie est un puissant moyen de compréhension, de planification, de gestion et d’aide à la décision pour les personnes im-pliquées dans les projets de développement.

LES VIdéOS 3d dE LA cORpORAtIOn font le tour du Québec

Phase III du parc industriel Fidèle-Édouard-Alain à Victoriaville

Prolongement du parc industriel de Daveluyville à Sainte-Anne-du-Sault

Aménagement de l’aéroport André-Fortin de Victoriaville

Geneviève Lecomte, chargée de projet - Simulation 3D à la CDEBF (CLD) et

conceptrice des capsules vidéo

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provenant d’une troisième généra-tion de franchisé automobile, m. Éric thibodeau a été une des victimes de la récession qui a grandement touché general motors (gm) au cours de l’année 2009. loin de s’apitoyer sur son sort, l’homme d’affaires avait déjà commencé à mettre en place une architecture de marketing qui allait grandement faire appel aux nouvelles technologies offertes par le Web 2.0. cette entreprise porte le nom de thibodeau communication. Le domaine automobile est un secteur quipossède d’énormes budgets de publicité etde marketing. Selon M. Thibodeau, il seraitsupérieur à 95 % du secteur industriel et commercial. « Dans le monde des conces-sionnaires automobiles, les décideurs ont le réflexe de se tourner vers les types traditionnels de publicités comme les im-primés dans les journaux ou les commer-ciaux télévisuels. Je veux leur faire voir qu’Internet, avec le Web 2.0, est une sour-ce quasi inépuisable de possibilités, tout en leur permettant de diminuer substantielle-ment le budget marketing. À long terme, contrairement à la croyance populaire, le résultat sera meilleur mentionne celui-ci.Ayant une vaste expérience en matière

automobile, l’entrepreneur a démarré une entreprise qui permet à ses clients de se démarquer de la compétition. Pour y arriver, il utilise les sites largement visités tels que Facebook, Twitter et YouTube. « Il faut savoir que les gens effectuant des recherches sur Google cliquent sur un résultat apparaissant sur la première page dans 95 % des cas. D’où l’extrême impor-tance pour une entreprise d’avoir une stra-tégie qui permet de se retrouver sur cette fameuse première page, et ce, le plus souvent possible et idéalement, plusieurs fois sur la première page! C’est ce que nous permettons à nos clients expli-que l’entrepreneur.

Thibodeau Communication offre une mul-titude de services à ses clients, tels que :

Service complet de conception de sites « Auto Web TV et de microsites pour campagnes promotionnelles;Tournage et édition professionnels de vidéos;Formation sur l’utilisation des médias sociaux tels que Facebook, Twitter, YouTube, etc.; Création et envoi de promotions et d’infolettres mensuelles par courriel;Conception et création de campagnes marketing de tous genres.

Un des points que les gens doivent savoir, c’est que l’utilisation du Web 2.0 est un travail de longue haleine. « Contrairement aux publicités traditionnelles, le marketing sur Internet prend souvent plus de temps avant de donner des résultats. Il faut agir selon la loi du 80/20, soit un minimum de 80 % d’information pour un maximum de 20 % de marketing de vente ajoute M. Thibodeau.

Dans ce sens, l’entrepreneur peut créer une infolettre mensuelle qui donnera des suggestions et des conseils sur l’achat

d’une nouvelle automobile puis, après quatre infolettres, inviter les abonnés à se rendre à une grande vente. De cette façon, les gens ne se sentent pas harcelés par de la publicité et ils risquent moins de mettre ces envois directement à la poubelle.

L’homme d’affaires précise qu’il est tout à fait contre l’achat de listes de courriels. « Nous pratiquons le marketing de per-mission donc, si nous envoyons de l’information et que l’internaute souhaite se désabonner de notre liste d’envois, nous a l l ons r aye r son nom de l a l i s te sur-le-champ, car le respect du client est essentiel dans ce type de relation

Monsieur Thibodeau désire mettre ses connaissances du Web 2.0 au profit des concessionnaires automobiles, même si ce type de marketing en est qu’à ses balbu-tiements. Il est convaincu d’influencer ces décideurs et lorsque ceux-ci sortiront de leur zone de confort pour embarquer dans la parade virtuelle, le nouveau Web risque de les mener beaucoup plus loin qu’ils ne pourraient l’imaginer!

357, boulevard des Bois-Francs NordVictoriaville (Québec) G6P 1G8 Téléphone : 819 552-2636Courriel : [email protected] Internet : www.thibodeauenquete.ca

thIBOdEAU cOmmUnIcAtIOn,mettre les technologies offertes par le Web 2.0 au service du domaine de l’automobile

M. Éric Thibodeau

Tournage d’une publicité destinée au Web

AdvancedDCSDealer Communication System

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le rÉSeautage virtuel entre proFeSSionnelSLancée en mai 2003, cette application est très connue en Europe et de plus en plus au Québec, qui compte mainte-nant 200 000 utilisateurs. En avril 2010, le site revendique plus de 65 millions de membres issus de 170 secteurs d’activités dans plus de 200 pays. LinkedIn offre un service qui permet de construire son réseau professionnel, qui facilite le dialogue entre spécialistes de différents domaines, aug-mentant et diversifiant ainsi nos champs de connaissances. Comme spécifié précé-demment, LinkedIn s’adresse surtout aux professionnels, en fait, près de 80 % des utilisateurs possèdent un diplôme universi-taire. Cette clientèle a un âge moyen de 43 ans et la moitié de celle-ci prend des décisions d’affaires pour leur entreprise.

LinkedIn est aussi très intéressant pour les consultants ainsi que les f irmes spécialisées offrant des services ou des savoir-faire qui peuvent se servir de cette application pour faire du « branding personnel. En participant aux discussions, ceux-ci peuvent faire valoir leur exper-tise et leur compétence. LinkedIn permet également d’effectuer de la veille informa-tionnelle sans compter qu’il constitue aussi un bottin de contacts relativement fiable et une source de renseignements pour mieux connaître ses clients et ses compétiteurs.

S’inFormer rapidement, en tout tempS!Twitter est un « microblog qui permet aux utilisateurs, depuis 2006, d’avoir leur fil de presse personnel. Cette application permet d’envoyer gratuitement des messa-ges de 140 caractères, appelés « tweets par Internet, par messagerie instantanée ou par SMS. Ainsi, nous pouvons suivre une personnalité ou un contact connu afin de savoir ce qu’il fait, pense et dit. Un fait à noter : 40 % de la clientèle de Twitter est âgée de 35 à 49 ans.

Twitter est une plateforme de commu-nications qui peut aider les entreprises à construire des relations avec leurs clients, leurs partenaires et toutes autres person-nes susceptibles d’être intéressées par leur organisation. Ce contact direct per-met le partage des informations, le recueil des commentaires pouvant contribuer à l’amélioration des produits, des services et des processus d’affaires des entreprises. Twit ter est un excellent moyen pour renseigner ses abonnés sur les promotions intéressantes du moment, les activités à ne pas manquer, etc. Encore une fois, ce réseau à la fois social ou professionnel, selon votre utilisation, est une excellente source de veille informationnelle et de création d’une image de marque person-nelle ou organisationnelle.

Pour les entreprises, la clé du succès pour réussir dans l’univers 2.0 réside dans l’interaction régulière, pertinente et conti-nue avec leur public cible. Le Web 2.0 n’est pas une question de coût, mais de disponibilité des ressources. L’introduction de ces nouvelles applications à l’intérieur de ses processus d’affaires commande certes un effort de changement et d’adap-tation, mais les gains sont bien réels pour les entreprises branchées.

dEUX OUtILS dU WEB 2.0 faciles à apprivoiser et rentables

mais, il en existe bien d’autres, moins connus!

certains sites du Web 2.0 sont très populaires...

Page 8: Bulletin L'Excellence - Printemps 2010

afin de contrer la récession qui tou-che durement l’industrie du textile et du vêtement, qui a pour effet de couper des postes, m. gilles Boulet a démarré sa propre entreprise de réparation de machines à coudre industrielles et à usage domestique.

Technicien de machines à coudre depuis

28 ans, dont 16 années au service de la même entreprise, M. Boulet a su s’adapter aux différents types d’équipements qui se sont présentés à lui depuis près de trois décennies. « Les machines sont diffé-rentes dépendamment du genre de tissu utilisé ou de l’étape de fabrication qu’elles ont à accomplir explique l’entrepreneur.

Compte tenu du fait que la MRCA a vu son nombre d’entreprises de confection diminué depuis les dernières années, M. Boulet a été dans l’obligation d’élargir sa clientèle sur un plus grand territoire. Interrogé à savoir s’il y a de la relève comme technicien de machines à coudre, M. Boulet nous a répondu qu’un cours avait déjà été offert dans les écoles mais

que, possiblement faute d’inscription, il n’était désormais plus disponible. « Proba- blement que les jeunes ont peur de manquer de travail à cause de toutes les fermetures de manufactures constate le technicien.

Tant que le Québec comptera des usines textiles, le métier de mécanicien de machi-nes à coudre sera nécessaire car, il ne faut pas l’oublier, derrière de beaux vêtements durables, il y a des machines qui fonction-nent bien!

machine à coudre g.B.Téléphone : 819 460-2382Courriel : [email protected]

mAchInE À cOUdRE G.B.,de bonnes machines pour de beaux vêtements durables

M. Gilles Boulet

EntREpRISE fOREStIÈRE RIchARd St-pIERRE Et KAthLEEn cAROn, le duo qui s’occupe de votre forêt

ils sont originaires des régions de montréal et du Bas-Saint-laurent, mais c’est à Sainte-clotilde-de-horton que le couple, formé de Kathleen caron et richard St-pierre, a décidé de s’établir et de démarrer leur entre-prise spécialisée dans l’aménagement forestier.

Ayant travaillé chez un concessionnaire automobile pendant un certain temps, le duo n’en pouvait plus du rythme effréné et de la pression de vente, et ce, malgré un niveau de vie très confortable. « Nous avions tous les deux de bons salaires, mais nous

n’avions plus de qualité de vie explique ceux-ci. Ils ont donc décidé de déménager à Sainte-Clotilde-de-Horton dans une fermette qui allait devenir leur maison de rêve. C’est en arrivant dans la nou-velle municipalité que les deux entrepre-neurs ont rapidement perçu le potentiel de démarrer Entreprise forestière Richard St-Pierre et Kathleen Caron. « Nous avons remarqué que les gens étaient propriétai-res de terres à bois, mais que, faute de temps, ils ne les entretenaient pas. C’est à ce niveau que nous pouvons intervenir explique M. St-Pierre.

L’entreprise forestière offre, entre autres, des services de coupe de bois de chauf-fage, d’entretien forestier, d’élagage et de reboisement. « Comme nous avons recours qu’à de la petite machinerie, notre travail reste « propre Nos interventions sont exé-cutées sans laisser de gros trous et aucun arbre n’est cassé inutilement dans la forêt, seulement pour permettre l’espace néces-saire pour notre équipement mentionne Mme Caron qui, malgré son apparence me-nue, manie très bien les scies et autres

outils requis pour l’aménagement forestier.Le domaine sylvestre a été quelque peu affecté par une baisse de demandes des papetières et autres transformateurs de bois d’oeuvre, mais ce ralentissement ne semble pas trop nuire aux entrepreneurs. « Nous avons des clients fidèles et le bouche-à-oreille a été pour nous la meil-leure des publicités termine le couple.

La saison de la coupe de bois de chauffage est maintenant terminée, mais les idées continuent de se bousculer dans la tête des entrepreneurs. Ils ont d’ailleurs un nouveau projet d’entreprise qui s’apprête à germer et ce, tant au sens propre qu’au sens figuré. Un indice? Cette grosse courge orange risque fort d’habiller votre décor lors de la prochaine Halloween!

entrepriSe ForeStière richard St-pierre et Kathleen caron1271, rang 10 et 11Sainte-Clotilde-de-Horton (Québec) J0A 1H0Téléphone : 819 336-5233

Mme Kathleen Caron et M. Richard St-Pierre

Page 9: Bulletin L'Excellence - Printemps 2010

l’entreprise S.o.S. transport, démar-rée au mois d’avril dernier, offre un service de transport destiné aux com-merces, aux pme, aux travailleurs autonomes et aux particuliers de la mrc d’arthabaska.

Ayant pour but d’offrir un service person-nalisé à sa clientèle, M. Alain Fecteau, propriétaire de l’entreprise, possède une flotte de trois véhicules et une remorque. « De cette manière, je peux utiliser le bon véhicule selon la demande, ce qui est

beaucoup moins coûteux pour le client explique M. Fecteau.

Les avantages de faire des affaires avec S.O.S. Transport sont nombreux; outre la multitude du choix des transports, l’entre-preneur offre un service d’urgence 24 h sur 24, 7 jours sur 7 sur les territoires régional, provincial voire canadien et américain.

L’entreprise peut véhiculer n’importe la-quelle des marchandises, mais elle se spé-cialise aussi dans le transport de motos, de reproductions d’antiquités et d’autres objets fragiles. « Je me fais un devoir de bien attacher et protéger le chargement et j’arrête régulièrement au cours d’un tra-jet afin de m’assurer que la cargaison est toujours sécurisée mentionne M. Fecteau.

L’homme d’affaires profite du fait que les voitures d’aujourd’hui sont de plus en plus compactes, ce qui est un plus pour l’environnement, mais un problème lorsque

vient le temps de transporter de la mar-chandise de grandes dimensions. « Je suis aussi disponible pour les déménagements et la livraison de meubles, bains ou autres articles aux proportions généreuses

Un service personnalisé à un coût des plus concurrentiels, voilà qui devrait être très pratique au cours des prochains mois, là où la valse des changements d’adresses bat-tra son plein et où un transport sécuritaire évitera bien des déceptions aux nouveaux propriétaires et locataires.

9, rue des PeupliersVictoriaville (Québec) G6T 1G1 Téléphone : 819 357-0083 Courriel : [email protected]

S.O.S. tRAnSpORt,un transport personnalisé à vos besoins

M. Alain Fecteau devant l’un de ses équipements de transport

Page 10: Bulletin L'Excellence - Printemps 2010

LA SAISOn EStIVALE déBUtE BIEntÔt, soyez prêts et en sécurité avec MÉCANO

olivier laroche a concrétisé son rêve de démarrer sa propre entreprise en janvier 2010. cumulant 13 années d’expérience dans le domaine de la réparation et l’entretien mécanique de véhicules récréatifs, le jeune entre-preneur a toute l’expertise nécessaire pour sécuriser la pratique de vos loisirs en plein air.

L’entreprise Mécano offre aux propriétaires de bateau, moteur hors-bord, motomarine, ponton, VTT et motoneige, la réparation ou l’entretien à domicile. Grâce à son unité mobile, nul besoin de vous déplacer, il le fera pour vous.

Le jeune entrepreneur de 31 ans effec-tue une foule de services qui permettront aux amateurs de randonnées motorisées et aux pêcheurs de profiter pleinement de leur été. Voici quelques exemples de services offerts par Mécano :- Démarrage printanier;- Réparation mécanique, électrique et électronique;- Vidange d’huile;- Service de transport, de livraison et mise à l’eau de bateaux;- Installation d’accessoires tels que : - « Downrigger - Radio; - Sonar; - Batterie supplémentaire.

Mécano peut également réparer des tondeuses, des génératr ices et des souffleurs à neige.

De plus, M. Laroche est mécanicien diplômé pour les moteurs des marques Mercury, Mercruiser, Evinrude et Bombardier.

Le jeune entrepreneur, or iginaire de Warwick, a réalisé son souhait de démarrer en affaires grâce à son exper-tise, mais aussi grâce à deux importants partenaires et clients : MC Marine et Michel Maheu Sports. Avec ceux-ci, M. Laroche a développé une entente afin d’effectuer en sous-traitance l’installation de pièces et d’accessoires de bateaux ainsi que les réparations et l’entretien des embarca-tions nautiques en atelier ou directement à l’endroit où elles se trouvent. Un essaimage d’entreprises utilisant et encourageant le plein potentiel des talents locaux disponi-bles et compétents.

mÉcano1336, rue Notre-Dame OuestVictoriaville (Québec) G6P 7L7Téléphone : 819 758-8558Cellulaire : 819 806-4175

M. Olivier Laroche pose devant son unité mobile

La Corporation de développement économique des Bois-Francs (CLD) peut vous aider à faire FLEURIR vos projets d’affaires

V O T R E P A R C O U R S D ’ E N T R E P R E N E U R E S T É P I N E U X ?

Services à l’exportation - Commissariat industriel - Mentorat d’affaires Programmes d’aide financière - Développement des communautés rurales

819 758-3172www.cdebf.qc.ca

Page 11: Bulletin L'Excellence - Printemps 2010

OppORtUnItéS d’AffAIRES fUtURALLIA 2010

La CDEBF (CLD) participait à la dernière édition de Futurallia 2010, qui se déroulait à Poitiers, en France, les 29 et 30 avril 2010. Voici d’ailleurs quelques contacts intéres-sants :

recrutement à l’internationalLa CDEBF (CLD) a rencontré un cabinet français qui effectue le recrutement de travailleurs de la France qui souhaitent s’installer au Québec. Cette firme procède à de nombreux tests de sélection dont l’un porte sur la capacité du candidat à s’adap-ter à la culture québécoise. Le but de cette

entreprise est de fournir des employés qui resteront au Québec avec une optique à long terme. Ce cabinet désire également établir un partenariat avec une entreprise de placement de personnel au Québec.

un viSage Bien connu Monsieur Adam Bisek était également présent à Futurallia. Pour présenter son entreprise, M. Bisek illustrait ses propos avec, entre autres, de nombreuses photos du banc d’essai en asphalte de caoutchouc, posé sur le rang Anctil à Victoriaville en septembre 2009, ainsi que de son unité de malaxage bitume-caoutchouc, installée à l’usine de Pavage Centre Sud du Québec.

diStriButeur recherchÉ Une autre entreprise polonaise a établi un contact avec la CDEBF (CLD). Situé en Basse-Silésie, ce fabricant de machinerie industrielle pour les secteurs des mines, du ciment et de l’emballage, cherche un distributeur au Canada pour ses produits.

rendez-vouS au manitoBa en octoBre prochainUn deuxième contact s’avère aussi très prometteur avec l’Agence nationale et internationale du Manitoba (ANIM). Cet organisme à but non lucratif a pour mandat de développer des liens d’affaires avec les communautés francophones de partout dans le monde. Cette agence organise aussi l’évé-nement Centrallia, une version canadienne de Futurallia. Ce forum mondial de la PME se tiendra à Winnipeg, au Manitoba, du 20 au 22 octobre 2010. La CDEBF (CLD) tiendra une activité d’information en juin afin de promouvoir localement cette activité.

tranSFert de technologieS environnementaleSUne compagnie de la Belgique propose aux industries de transformer leurs rebuts en matières premières pour la fabrication de divers produits. Elle a d’ailleurs développé une technologie qui permet de séparer les résidus de peinture dilués dans l’eau.

LES PARTICIPAnTS à FuTuRALLIA 2010 : M. Stéphane Carrière de Somum, Mme Catherine

Gervais de CQI, Mme Sandrine Leclerc de la CDEBF (CLD) et M. Sylvain Laroche

de Distribution R. Désilets

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