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Cerebrum, le faiseur de réalités Conférence - spectacle sur le cerveau.

De et par Yvain Juillard

Rencontre ludique et éducative entre les neurosciences et le théâtre

DOSSIER DE DIFFUSION

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Ta réalité, ma réalité, notre réalité, leur réalité… Qu’est ce que c’est que cette chose qui semble se transformer au fur et à mesure de nos expériences, qui fluctue d’un individu à l’autre, d’une culture à l’autre, qui nous empêche parfois de nous comprendre ? Quelle est cette chose que j’appelle « ma réalité » ? Ancien biophysicien spécialisé dans la plasticité cérébrale, aujourd’hui acteur, je vous propose lors d’une conférence-spectacle d’interroger ensemble le fonctionnement de notre cerveau afin de questionner la nature multiple de notre réalité.

Distribution

Conception, écriture et interprétation : Yvain Juillard Œil extérieur: Lorent Wanson, Jo Lacrosse

Conseil dramaturgique : Dominique Roodthooft Conseil scientifique (CNRS): Céline Cappe

Une coproduction entre Les Faiseurs de réalités, soutenue par la Fédération Wallonie-Bruxelles/COPIC et Le Théâtre Epique /Compagnie

Lorent Wanson

Ce projet a été soutenu par le Théâtre Epique dans le cadre du projet culturel et participatif Une Aube Boraine, une coproduction entre

le Théâtre Epique/Compagnie Lorent Wanson soutenue par la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Fondation Mons 2015 et le Centre

culturel de Colfontaine

Avec le soutien de la SACD, de la Balsamine, du Théâtre universitaire de Liège, du Corridor

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En pratique...

Spectacle tout public, à partir de 14 ans Disponible pour des séances scolaires

Jauge: max 200

Durée: 1h10 pour la représentation, 30mn d'échange avec le public

Cachet: nous contacter

Ce spectacle bénéficie des tournées Art & Vie: code star = 6246 - 2

Captation: disponible à partir du 28 février 2015

 

Sommaire   Le projet ..................................................................................................................................... 4  

Note d’intention ...................................................................................................................... 4  Un projet pluridisciplinaire et intersectoriel ........................................................................... 7  

Error! Bookmark not defined.  Publics cibles .............................................................................................................................. 9  L’équipe ................................................................................................................................... 10  Fiche technique ........................................................................................................................ 12  Contact pour la diffusion .......................................................................................................... 14 Presse…………………………………………………………………………………………15  

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Le  projet    Note  d’intention    « Avant d’être acteur, j’ai étudié la biophysique avec un intérêt particulier pour la modélisation des réseaux neuronaux et la plasticité cérébrale… L’intitulé complet de mon diplôme est encore plus incompréhensible: Magistère Européen en Biologie Intégrative… Je crois que le jeu consistait à mettre le plus de mots-clefs possible pour avoir les subventions nécessaires… » À l’INSERM de Lyon, je me suis occupé de patients héminégligents. Ce sont des personnes qui négligent, comme leurs noms l’indiquent, une partie de leurs champs visuels suite à une lésion de leurs cerveaux après un accident vasculaire le plus souvent. Ils mangent la moitié de leurs assiettes et voient leurs assiettes vides, ils rasent une moitié de leurs visages et se voient complètement rasés dans le miroir. Si vous tournez leur assiette ou leur demandez de toucher la joue qui n’est pas rasée, leur assiette est de nouveau pleine et ils ne sont pas rasés. Ils ne comprennent pas ce qui leur arrive. C'est un choc de deux réalités aussi vraisemblables l’une que l’autre pour eux mais s’excluant mutuellement. Qu’est ce que « la réalité » et en particulier qu’est-ce que « ma réalité » ? Après… j’ai tout arrêté pour me lancer dans le théâtre, pour pousser la question plus loin et étudier de l’intérieur les processus qui amènent l’acteur à devenir un autre, dans une réalité fictive, pour avoir une compréhension organique des processus que j’avais étudié intellectuellement. Après 4 ans de formation à l'INSAS (section interprétation dramatique) et après avoir eu la chance de travailler avec des « maitres » (Yoshi Oïda, Joël Pommerat, Rafael Spregelburd,…), j’ai décidé 10 ans plus tard de me confronter à nouveau à la question : Qu’est ce que la réalité ? Dans ce but, j’ai entamé au Théâtre de l’L une résidence de recherche de plusieurs années qui m’a conduit vers un autre domaine « l’écriture », en l’occurrence celle d’une fiction sur un trouble de mémoire « Christophe Quelque Chose » (Chartreuse de Villeneuve lez Avignon en 2013). La documentation autour de ce projet a été très dense. J’ai lu et relu de nombreux livres et magazines sur les dernières découvertes liées au cerveau, visionné énormément de documentaires, repris contact avec des amis neuroscientifiques aujourd’hui au CNRS, rencontré plusieurs neurospsychologues, ergothérapeutes, psychiatres, neurologues spécialisés dans les troubles de la mémoire dans différents hôpitaux et un patient atteint du syndrome de Korsakoff1. C’est à cette période qu’a commencé à se formuler une réponse simple à la question que je m'étais posé plus de dix ans auparavant: qu’est ce que la réalité ? Une fabrication de notre cerveau. Mettre en scène une conférence ? Ce qui m’a décidé fut les retours enthousiastes des publics lors de rencontres improvisées où l’on me demandait de parler de mon travail d’écriture et de ma démarche (Chartreuse de Villeneuve lez Avignon, Théâtre de l’Oiseau Mouche à Roubaix, Théâtre de la Communauté, Halles de Schaerbeek, La fabrique de théâtre… ). Ces échanges de plus en plus long (30,40, 90 min), j’ai commencé à les appeler « conférences ». J’ai donc continué à glaner des exemples et des expériences simples et ludiques, parfois spectaculaires 1 Le syndrome de Korsakoff (ou syndrome amnésique avec fabulations ou psychose de Korsakoff ou démence de Korsakoff) est un trouble neurologique d'origine multifactorielle dont une carence en thiamine (vitamine B1) au niveau du cerveau. Il se manifeste par des troubles neurologiques notamment de la cognition (oublis).

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(illusions d’optique, tours de magie, tests d’attention…) pour donner du corps à mes connaissances scientifiques afin de les rendre palpables, accessibles au public. L’envie d’ajouter "spectacle" à "conférence" est venue d’une "non-rencontre que j’ai faite dans le borinage, au Musée des Arts Contemporains du grand Hornu, pendant l’exposition science et fiction. Avant d’entamer la visite du musée, je suis entré dans une salle avec des animations pour les enfants. L’une des animations leur proposait de répondre sur un bout de papier à la question : comment imagines-tu l’avenir dans 100 ans ? Qu’est ce que vous auriez répondu ? Mme… Mr… Les enfants écrivent leur réponse sur un papier qu’ils mettent dans un petit œuf. Des centaines d’œufs se trouvaient dans un grand récipient transparent au milieu de la pièce. J’en ai pris un au hasard, il y avait écrit maladroitement mais avec conviction : « dans 100 ans, il n’y aura plus d’humain sur terre ». "

Cette conférence tente de répondre à son message. "Peut-être lui raconter le fonctionnement de cette fabuleuse machine, cet ultime continent… Qu’on cherche à imiter de part le monde… Notre cerveau… Peut être lui dire pourquoi notre cerveau dans sa structure même contient les récepteurs de nos angoisses mais aussi les circuits de nos espoirs… lui dire pourquoi de toute façon ni le cerveau, ni ceux qui l’étudie ne pourront véritablement répondre à cette question: Comment imagines-tu l’avenir dans 100 ans ?" Mes premières références ont été les conférences gesticulées de Frank Lepage et les conférences performatives de Dominique Roodthooft que je trouve en terme d’éducation et d’exigence artistique très abouties. A la fin de conférence-spectacle, un débat d’une demi-heure sera proposé au public pour qu’on réfléchisse ensemble à ce que ces connaissances impliquent aujourd’hui dans notre rapport au monde. La science me fascine parce qu’elle est l’inverse d’une discipline dogmatique. Le concept de vérité n’est pas opérant en science, on y substitue celui de théorie. Si un seul fait ne peut

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pas être expliqué par cette théorie alors cela veut dire qu’elle est fausse ou incomplète. C’est comme cela que la science évolue.

Les principaux enjeux de cette conférence-spectacle sont :

- Donner le goût des sciences au public. - Permettre au public de garder un lien avec les connaissances scientifiques et les

nouvelles compréhensions et découvertes du monde qui nous entoure. Ces savoirs construiront notre avenir et aussi celui d’enfants que nous n’aurons jamais rencontré.

- Décloisonner les différents domaines de connaissances (ici les neurosciences, le

théâtre, mais aussi la magie, la peinture, les nouvelles technologies, la philosophie…) pour encourager l’intégration des connaissances à l’image de savant tel que Léonard de Vinci qui était à la fois anatomiste, ingénieur, peintre, astrophysicien,…

- D’un point de vue plus pratique, ces connaissances permettront d’avoir un regard

plus critique sur les stimulations quotidiennes que génère la société de consommation sur notre cerveau et qui façonnent malgré nous notre réalité. À titre d’exemple un cerveau humain reçoit par jour en moyenne 15 000 stimulations publicitaires (télévision, radio, affiches publicitaires, vêtements,…). Une compétition dont l’enjeu est notre temps de cerveau disponible… Nous aborderons le Neuromarketing qui emprunte les outils de la science (IRM fonctionnel, électroencéphalogramme) pour observer notre cerveau et tenter d’influencer, sans que nous en ayons conscience, notre réalité et nos choix de consommateur. Nous pourrons même franchir le mur de la science-fiction en parlant de Google qui désire faire d’internet d’ici 2045 une intelligence supérieur à celle du cerveau humain.

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- Et aussi et surtout faire que le vertige de la compréhension, l’émotion profondément humaine qu’elle produit nous permette de nous évader, car quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, aucun cerveau, aucune recherche sur le cerveau ne permettra de répondre véritablement à cette question : « Comment imagines tu l’avenir dans 100 ans ? »

Cette conférence-spectacle, ce projet citoyen, a donc pour enjeu principal d’amener la connaissance scientifique, son émotion, dans de nouveaux espaces publics, de la rendre accessible et de partager une passion. Ce projet se veut en phase avec notre ici et maintenant d’aujourd’hui, c’est pourquoi il se place au croisement des neurosciences, du théâtre et de la performance.

Un  projet  pluridisciplinaire  et  intersectoriel  

– Le Théâtre : Le conférencier est aussi un narrateur qui nous raconte les étapes de sa découverte en répondant aux angoisses de cet enfant, à ses probables réflexions s’il était là. La science change notre rapport au monde mais elle offre un très grand nombre de directions possible, à nous de choisir… Le conférencier devient un acteur lorsqu’il nous lit le scénario d’un scénariste de science fiction hollywoodien… Lorsqu’il nous amène au plus proche de la réalité des patients cérébrolésés qu’il a rencontré… Quel est le quotidien d’une personne dont le cerveau néglige une part de sa réalité ?

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Le conférencier est aussi un corps performatif, qui en écrivant les schémas anatomiques au sol, nous embarque à un rythme frénétique dans une sorte de danse, en partant du neurone jusqu’au système nerveux dans son ensemble… – Les Vidéos : Les vidéos projetées sur le fond de scène auront deux fonctions fondamentales :

- Vidéos illustratives des propos du narrateur : Par exemple, pour parler des neurones miroirs je projetterai des nuées d’oiseaux… Mais nous pourrons aussi voir le câblage qui relie les différentes zones de notre cerveau entre elles… Ainsi que l’étonnante plasticité de nos neurones…

- Vidéo sollicitant la participation du spectateur : Des illusions seront proposées

au spectateur afin de lui faire entrevoir de manière sensible et concrète le fonctionnement de son attention limitée, de sa mémoire trompeuse, et ainsi lui permettre de prendre conscience de façon ludique et surprenante du travail phénoménal qu’effectue en permanence son cerveau à son insu.

- La science : Le squelette de la conférence est mon désir de parler à cet enfant que je n’ai pas rencontré, présent en chacun de nous, répondre à ses questions, à ses inquiétudes, le voir grandir, lui donner certains des éléments qui construiront son avenir. La chair de cette conférence sont les découvertes scientifiques récentes, les dernières hypothèses sur le fonctionnement du cerveau, les projets en cours, leurs utilisations futures. L’utilisation de ces connaissances dans le domaine de la publicité, du neuromarketing pose question quant à l’impact de ces techniques sur le libre-arbitre du consommateur. Mais dans le domaine de la santé, la plasticité cérébrale offre des opportunités inespérées pour aider les personnes qui ont subi une lésion cérébrale à retrouver une vie dite normale.

 

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Publics  cibles  

  L’enjeu est de destiner cette conférence au tout public à partir de 14 ans. Les découvertes sur le cerveau sont spectaculaires à notre époque, elles sont à la base du développement d’un très grand nombre de technologies: l’intelligence artificielle, la robotique, la neurogénétique entre autres… Ce mouvement ne va faire que s’accentuer, qu’elle sera l’avenir de cet enfant que je n’ai pas rencontré ? Les neurosciences nous fascinent car elles réinterrogent de façon troublante notre représentation du monde, la compréhension que l’on en a et donc notre condition d’humain.

 

 

 

 

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L’équipe  

Acteur formé à l’INSAS à Bruxelles (2003-2007), Yvain Juillard est également un ancien scientifique spécialisé dans la plasticité cérébrale - Master de Biophysique et Magistère Européen en Biologie Intégrative (1998-2003). Sur scène (Théâtre et Danse), il joue sous la direction de Yoshi Oïda, Michel Dezoteux, Philippe Sireuil, Jean-Baptiste Sastre (Festival Avignon IN 2010), Nicole Mossoux et Patrick Bonté, Lorent Wanson, Virginie Thirion,... En 2012, il travaille avec Rafaël Spregelburd, dans le cadre du projet Européen "l’Ecole des maîtres". Depuis 2011, il participe régulièrement aux différents ateliers de recherche que dirige Joël Pommerat en Belgique et en France. Au cinéma, il tourne avec la jeune

génération des réalisateurs belges et français : Ian Menoyot, Bernard Dresse, Camille Meynard (Tokyo Anyway - nominé au Magritte 2015), Pamela Varela,... et prête sa voix pour des fictions/documentaires radiophoniques (RTBF, France Culture). Par ailleurs, plusieurs créations et recherches personnelles l’ont amené à travailler au Bénin, au Cameroun, en Grande-Bretagne (Central School of Speech and Drama) et en France (Institut International de la Marionnette). Yvain Juillard a bénéficié d’une résidence d’écriture à La Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, en 2013 pour le texte "Christophe Quelque Chose". Il est actuellement artiste résident au Théâtre de l’L à Bruxelles. En septembre 2015, il participera à la prochaine création de Joël Pommerat.

Lorent Wanson, ŒIL EXTERIEUR : Né à Huy le 22 juin 1967. Diplômé de l’INSAS, section Théâtre et Action Culturelle. -Chargé de cours au conservatoire de Liège, classe de Max Parfondry et Jacques Delcuvellerie de 1990 à 1999. -Chargé de cours au conservatoire de Mons, classe de Frédéric Dussenne depuis 1998. -Chargé de cours à l’INSAS, section d’interprétation dramatique depuis 1998. -Chargé de cours au conservatoire de Bruxelles, classe de Bernard Marbaix en 2000. -Directeur de stage à l’ISTS, Avignon, en 2001. -Prix Tenue de Ville du meilleur spectacle pour Un Ennemi du Peuple, en 1996. -Lauréat des jeunes talents de la province de Liège, section arts de diffusion en 1999. -Prix du Théâtre du meilleur metteur en scène pour En attendant Godot en 2001. -Mention spéciale pour Les Ambassadeurs de l’ombre au Prix du Théâtre

2001. -Trois fois nominé au prix OCÉ des arts de la scène, en 1998, 2000 et 2001. -Prix des Arts de la scène du Hainaut en 2010. -Membre de la Pépinière de recherche de Franco Dragone en 2009/2010. Il a mis en scène près de 55 pièces entre 1988 et 2012. Pour en citer quelques unes: en 2000, il met en scène les Ambassadeurs de l'Ombre dans le cadre de Bruxelles 2000 en collaboration avec le Théâtre National et l'association ATD Quart Monde; en 2004 Trous/Rupe/Gaten, une collaboration du Théâtre National de Belgrade (Serbie), du Théâtre National (Belgique), du KVS et du Théâtre Epique avec la collaboration de Emigrativ'Art, en 2007; Africare, co-produit par le Théâtre Epique, le manège.mons/Centre dramatique, le Théâtre de Poche et le Tarmac de la Villette; en 2011 Historia Abierta, une co-production du manège.mons/centre dramatique, du Théâtre Epique et du Centro cultural de Matucana 100 (Santiago de Chile). En 2013, il met en scène et coécrit avec Yvain Juillard Penser avec les mains, une co-production du Théâtre de la Communauté et du Théâtre Epique. Depuis Juin 2013, il mène dans le cadre de Mons 2015 un vaste projet participatif, Une Aube Boraine, une coproduction entre le Théâtre Epique, la Fondation Mons 2015, le Centre culturel de Colfontaine.

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Jo Lacrosse ŒIL EXTERIEUR A partir de son parcours professionnel centré initialement autour de l’acrobatie puis de la danse contemporaine, Jo Lacrosse a exploré et interprété diverses formes du spectacle vivant chorégraphique et théâtral. Au travers de cette expérience pratique associée à une recherche scientifique pluridisciplinaire, il s’est spécialisé dans la préparation des acteurs du spectacle vivant. Les références cognitives de sa didactique fondent son approche corporelle de la performance et du mouvement scénique sur l'étude du phénomène de stress. A l'Université Libre de Bruxelles (ULB) il enseigne à la Faculté des Sciences de la

Motricité et à l’Institut des Sciences de l'Information et de la Communication, dans le cadre du Master Européen en Arts du Spectacle Vivant. Il est professeur à l'Institut National Supérieur des Arts et du Spectacle et Techniques de Diffusion (I.N.S.A.S.), de la Communauté Française de Belgique. De 2004 à 2014, à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts de la Marionnette (ESNAM) de Charleville-Mézières (Fr), il a collaboré à la formation corporelle et gestuelle appliquée à l'Art de l'Acteur Marionnettiste.

Dominique Roodthooft CONSEIL DRAMATURGIQUE : Travaille en tant que metteure en scène et comédienne. En 1993, elle a remporté le Premier Prix d’Art dramatique du Conservatoire Royal de Liège. A participé à divers projets artistiques et exploré différents domaines de création des arts de la scène : mise en scène, jeu, scénographie et la création de productions itinérantes ou de spectacles jeune public. En 1994, elle a fondé la compagnie Grand-Guignol, rebaptisée Le Corridor en 2004, avec laquelle elle a réalisé bon nombre de projets collectifs. Dominique

Roodthooft a collaboré avec les compagnies Arsenic, Transquinquennal et Dito’Dito. Elle a mis en scène L’Opéra bègue (2004) et Du pain pour les écureuils (2006) sur un texte de Pieter De Buysser, a joué dans Incendies (2008) de Wajdi Mouawad, mis en scène par David Strosberg, et dans Le Diable abandonné (2007-2009), un poème épique en trois actes de Patrick Corillon. Depuis quelques années, Dominique Roodthooft travaille à une trilogie, SMATCH , dont le premier volet était à l’affiche du Kunstenfestivaldesarts 2009.

Céline Cappe (Chargée de recherche au CNRS), CONSEILLERE SCIENTIFIQUE : Ses divers projets de recherche ont tous en commun une recherche des mécanismes de la perception multisensorielle. Après un doctorat franco-suisse et plusieurs post-doctorats dans le domaine des Neurosciences, elle obtient en 2013 un poste de chercheur au CNRS en France dans la section Neurosciences, Comportement et Cognition après un concours très sélectif. Elle choisit d’intégrer l’Institut des Sciences du Cerveau et plus précisément le Centre de recherche Cerveau et Cognition à Toulouse. Elle obtient également un financement ANR (Agence Nationale pour la Recherche, France) qui lui permet

de mettre en place dans d’excellentes conditions son projet de recherche qui a pour but de mieux comprendre comment le réseau complexe au niveau cortical et sous cortical impliqué dans l’intégration multisensorielle fonctionne dans un mode cohérent afin de construire un percept multisensoriel unifié.

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Fiche  technique   Espace Scénique

Dimension Idéale : Ouverture : 7m – Profondeur : 7m – Hauteur : 5m

Pendrillons Espace de jeux doit être occulté par des pendrillons, fermeture en allemande .

Eclairage

Le lieux d’accueil doit fournir ( jeux d’orgue - projecteur – câblage ) -24 PC

-1 PAR 36(F1) -Eclairage salle doit être pilotable depuis le jeux d’orgue .

-Le jeux d’orgue se trouve sur scène. (voir plan)

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Son -1 système adapté à la salle (min stéréo)

-1 console analogique avec eq paramétrique -1 micro SM58

-2 di diffusion sonore - premier plan à l'avant- scène, -second plan au lointain. Vidéo 1* vidéo projecteur de min 4000 lumen avec un système d'accroche professionnel 1*écran de projection face 4m/3m Régie

La régie se trouve sur scène à jardin (voir plan ) Il faut donc prévoir - une table - deux arrivées électriques séparées -1x16A mono son et vidéo -1x16A pour la lumière

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Planning et Personnel Montage Pour le montage, nous demandons minimum deux personnes pour tout le montage technique. -1er service montage lumière , installation vidéo , écran vidéo, installation régie. -2éme service pointage lumière , balance son, micro, pointage vidéo projecteur. Spectacle Durée : 1h 10 min Pendant la représentation, nous demandons une présence technique en cas de problèmes éventuels Loge Prévoir dans la loge chauffée pour une personne : avec douche ,w-c, miroir et porte manteau . Remarque : veuillez prévoir banane , pomme , fruit sec , eau et café pour le comédien et technicien. Public nombre de spectateurs maximum : 200

Contact  pour  la  diffusion  

Les faiseurs de réalités

Arnaud Timmermans

arnaud.timmermans@gmail.com // 0032489192344

Yvain Juillard

yvainjuillard@yahoo.fr

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La Libre Belgique 24.01.2015 !!

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