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1
COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL
DU JEUDI 12 JUIN 2014
Présents : MM. SIE Guy, GAUTHIER Gérard, CADENA Martine, TORRENTE André, BOFFELLI Sylvette, RUIZ
André, QUINTILLA Anita, BEAUDOUVI Anne-Marie, CIQUIER Yvon, PEREZ Julian, PUECH Jacques, BAILLY
Christian, MARTY Nicole, CROS CHETRIT Myriam, LAPITZ Martine, GAGNEPAIN Christian, RIBARD Marie-
Pierre, RAYSSEGUIER Nicolas, BENETTON Marilyn, ALIBERT Jean-Michel, PECH Marjolaine, MENGUAL
Bernadette, FABRE Rudy.
Absente excusée :
M. Jérôme CAMPI donne procuration à M. Yvon CIQUIER
M. Christian LIGNON donne procuration à Mme Marjolaine PECH
Mme Magali DAILLOUX donne procuration à Mme Marylin BENETTON. (Mme Magali DAILLOUX est arrivée à 18 H 50.)
Absente : Mme Nadège COUVIDAT
A l’unanimité, Mme Sylvette BOFFELLI a été désignée Secrétaire.
M. Rudy FABRE a posé par écrit le 11 juin, deux questions qu’il souhaite voir évoquées à l’ordre
du jour de ce conseil municipal.
M. le Maire rappelle que le règlement intérieur du conseil municipal, adopté le 30 avril 2014,
précise dans son article 6 que les questions écrites ou orales doivent être déposées 48h au moins
avant le conseil municipal pour être traitées au cours de celui-ci.
Toutefois compte tenu que le sujet abordé est complémentaire de celui concernant la formation et le
remboursement des frais des élus, M. le Maire apportera la réponse aux questions lorsque la
question 6 sera traitée.
Question 1 : Approbation du compte rendu de la dernière séance du conseil municipal
M. le Maire présente la question.
M. FABRE reprend ce qui a été écrit dans la tribune libre de RPA du Vignoble à la Mer du mois de
juin : « les élus du Rassemblement Bleu Marine n’ont pas jugé utile de voter des subventions à
certaines associations œuvrant dans l’intérêt public et en particulier auprès des enfants », et tient à
préciser que le groupe a voté des subventions liées à la jeunesse telles que l’AJP, l’école de rugby
et l’association Taille Moyenne. Mme BEAUDOUVI répond qu’ils n’ont pas voté la subvention de
l’Ecole de Tennis. M. le Maire explique que ce débat ne relève pas du conseil municipal. La tribune
a été rédigée par le groupe RPA. M. FABRE explique qu’il s’adresse au conseil municipal car M. le
Maire est le directeur de publication du journal et relève également que la tribune du groupe RPA
se composait de 652 caractères au lieu de 560.
M. le Maire souhaite également apporter une précision sur les dires de M. LIGNON, qui lors du
dernier conseil affirmait que les élus qui étaient dans l’opposition de l’équipe de M. SABLAIROL
n’avaient pas voté 90 % des délibérations au cours des 6 derniers mois du mandat. Sur 39
délibérations présentées les 6 derniers mois (de septembre à mars), le groupe RPA n’en a pas voté
7 dont 2 concernaient l’approbation des comptes rendus pour lesquels leurs remarques n’étaient
pas reprises, 4 pour manque d’informations et 1 qui était à destination politique.
L’assemblée a approuvé le compte rendu du conseil municipal du jeudi 12 juin 2014.
Votants 26 – Unanimité
Question 2 : Information sur les décisions prises dans le cadre des délégations accordées à M.
le Maire
Vu les articles L 2122-18 et L 2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu la délibération n° 26 du 17 avril 2014 donnant délégations à Monsieur le Maire sur la base de
l’article L2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales,
L’assemblée a pris acte les décisions n°2014/17 à 2014/19 prises dans le cadre de cette délégation
qui doivent faire l’objet d’un rapport au conseil municipal.
2
DECISION DU MAIRE N°2014/17
Contrat de prêt auprès de la Caisse d’Epargne d’un montant de 400 000 € –
Budget de la commune
Il est décidé de réaliser un emprunt auprès de la Caisse d’Epargne du Languedoc Roussillon aux
conditions suivantes :
Montant : 400 000 €
Taux : 3.95%
Taux effectif global : 4%.
Durée : 180 mois
Périodicité : trimestrielle
Frais : 800 €
DECISION DU MAIRE N°2014/18
Contrat de prêt auprès de la Caisse d’Epargne d’un montant de 100 000 € –
Budget du Port
Il est décidé de réaliser un emprunt auprès de la Caisse d’Epargne du Languedoc Roussillon aux
conditions suivantes :
Montant : 100 000 €
Taux : 3.95%
Taux effectif global : 4%.
Durée : 180 mois
Périodicité : trimestrielle
Frais : 200 €
DECISION DU MAIRE N°2014/19
Tarif pour la Foire du 10 Mai
Il a été décidé de fixer le tarif pour la participation à la foire du 10 Mai à 30 € la journée.
Arrivée de Mme Magali DAILLOUX à 18 H 50.
Question 3 : Approbation des nouveaux rythmes scolaires
Mme Anne-Marie BEAUDOUVI présente la question.
Vu le code de l’Education,
Vu le décret n°2013-77 du 24 janvier 2013 relatif à l’organisation du temps scolaire dans les écoles
maternelles et élémentaires, qui précise le cadre réglementaire de la réforme des rythmes scolaires
qui entrera en vigueur lors des rentrées 2013-2014 ou 2014- 2015,
Vu le décret n°2014-457 du 07 mai 2014 portant autorisation d’expérimentations relatives à
l’organisation des rythmes scolaires dans les écoles maternelles et élémentaires qui prévoit que le
Recteur d’Académie peut autoriser pour une durée de un à trois ans et sur proposition conjointe de
la commune et des conseils d’école des adaptations à l’organisation de la semaine scolaire,
Vu l’avis du Conseil d’Ecole en date du 19 mai 2014,
Le conseil municipal :
- a autorisé M le Maire à mettre en œuvre la réforme des rythmes scolaires à compter de la rentrée
scolaire 2014-2015,
- a approuvé les nouveaux horaires à mettre en œuvre dans le cadre de l’expérimentation de la
réforme scolaire comme suit :
3
Lundi mardi mercredi jeudi vendredi
7h30 à 9h
ALAE
7h30 à 9h
ALAE
7h30 à 9h
ALAE
7h30 à 9h
ALAE
7h30 à 9h
ALAE
9h à 12h
temps
scolaire
9h à 12h
temps
scolaire
9h à 12h15
temps
scolaire
9h à 12h
temps
scolaire
9h à 12h 15
temps scolaire
12 h à 14h
pause
méridienne
12 h à 14h
pause
méridienne
12 h15 à
13h30 pause
méridienne
12 h à 14h
pause
méridienne
12 h15 à 14h
pause
méridienne
14h00 à
16h50 14h00 à
16h50 13h30 à
17h00 ALSH 14h00 à
16h50 14h00 à 17h00
Temps
scolaire Temps
scolaire ALSH Temps
scolaire
Temps
d’Activités
Périscolaires
16H50 à
18h30 ALAE 16H50 à
18h30 ALAE
17h00 à
17h30
garderie
ALSH 16H50 à
18h30 ALAE 17H00 à 18h30
ALAE
Il est précisé que ces horaires ont été fixés en concertation avec la communauté éducative et les
parents d’élèves.
Il sera demandé à Madame le Recteur l’autorisation de bénéficier de la mise en œuvre de
l’expérimentation de la réforme des rythmes scolaires pour une durée de 3 ans.
La présente délibération sera transmise à Monsieur le Directeur Académique des services de
l’éducation nationale, à Monsieur le Directeur de la Direction Départementale de la Cohésion
Sociale et de la Protection des Populations, à Monsieur le Directeur de la CAF de l’Aude.
Au vu du budget prévisionnel établi pour l’année scolaire 2014-2015, le coût moyen par an et par
enfant est de 148 €. Malgré le fond d’amorçage versé par l’état et les prestations de la CAF, il reste
à la charge de la Commune organisatrice un coût de 46 € par an et par enfant.
Mme MENGUAL explique que bien qu’elle trouve le projet formidable, elle s’abstiendra du fait du
coût important et incertain, surtout lorsque la commune ne percevra plus le fond d’amorçage. Il
faut faire avec l’argent que l’on a et pas avec ce que l’on n’a pas. M. le Maire explique que ce coût
est une prévision basée sur une étude prospective et qu’un premier bilan sera fait à la fin de l’année
scolaire 2014/2015. Il a été décidé de ne pas faire participer financièrement les familles pour
permettre à tous enfants de prendre part au TAP. M. FABRE précise que les parents apportent leur
contribution en payant leurs impôts et que le fait de s’abstenir n’est pas une décision contre les
enfants mais contre le coût que ces dispositions vont engendrer pour la commune. Mme
BEAUDOUVI a du mal à comprendre ce positionnement qui est en contradiction, «projet qui est
bien, mais abstention ».
Votants : 26 – Majorité (2 abstentions : M. Rudy FABRE et Mme Bernadette MENGUAL)
Question 4 : Enfance Jeunesse Éducation – Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité
(CLAS)
Mme Anne-Marie BEAUDOUVI présente la question.
Dans le cadre de l’Accueil de Loisirs associé à l’Ecole (ALAE), une activité d’accompagnement à
la scolarité est mise en œuvre dans les locaux du centre périscolaire pour les enfants de l’école
élémentaire. Cette même action est proposée dans les locaux municipaux « Maison Rives » pour les
collégiens et lycéens.
4
L’objectif est d’apporter un soutien aux enfants des écoles élémentaires, aux collégiens et lycéens
pour contribuer à leur réussite scolaire et éducative et de renforcer l’implication des parents dans
leur rôle éducatif.
Le dispositif « Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité » - CLAS - est géré par la Caisse
d’Allocations Familiales de l’Aude qui apporte un soutien financier à ce type d’action.
Une prestation de service de 2 354 € par action peut être accordée par la CAF ;
M le Maire est autorisé à déposer un dossier de demande de subvention dans le cadre du dispositif
« Contrat Local d'Accompagnement à la Scolarité » pour l'année scolaire 2014-2015.
Votants : 26 – Unanimité
Question 5 : Exercice du droit de formation des élus
M. le Maire présente la question.
Vu la Loi n° 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment ses
articles fixant les dispositions relatives à la formation des élus,
Vu les articles L 2 123-12 à 16, R 2123-12 à 21 du code des collectivités territoriales
********** Les articles L 2123-12 à 16 et R 2123-12 à 21 du Code Général des Collectivités Territoriales
réglementent le droit à la formation des membres des conseils municipaux.
En application de ces dispositions, l’assemblée a délibéré sur les conditions d’exercice de ce droit
pour ses membres et déterminé les orientations ainsi que les crédits ouverts à ce titre au budget de la
Collectivité.
Les membres du conseil municipal ont droit à une formation adaptée à leurs fonctions. La formation
doit permettre l’acquisition des connaissances et compétences directement liées à l’exercice du
mandat local. Seules les formations dispensées par des organismes publics ou privés agréés par le
Ministère de l’Intérieur sont prises en charge par la Collectivité. Il est à noter que ne sont pas
concernés les voyages d’études qui nécessitent une délibération spécifique.
Indépendamment des autorisations d’absence et du crédit d’heures prévus aux articles L.2123-1,
L.2123-2 et L.2123-4, les membres du conseil municipal qui ont la qualité de salarié ont droit à un
congé de formation fixé à dix-huit jours par élu pour la durée du mandat.
Sur le plan financier, sont pris en charge par la Ville de Fleury d’Aude dans les conditions fixées
par les articles L 2123-14 et R 2123-13 à 14 du code précité, au titre des dépenses de formation :
- les frais d’enseignement, de déplacement et de séjour
Les frais d’enseignement seront payés, sur facture, directement à l’organisme formateur agréé.
Les frais de séjour (hébergement et restauration) et de déplacement seront remboursés dans les
mêmes conditions que pour le personnel municipal et en application des textes en vigueur pour
les agents de la Fonction Publique.
- les pertes de revenus subies par l’élu du fait de l’exercice de son droit à la formation sont
compensées par la commune dans la limite de 18 jours par élu pour la durée du mandat et d’une
fois et demie la valeur horaire du salaire minimum de croissance par heure.
Le montant des dépenses de formation, ouvert, sera plafonné à 20 % du montant total des
indemnités susceptibles d’être allouées aux élus conformément à l’article L2123-14.
L’exécutif de la Collectivité est le seul ordonnateur des dépenses et doit être saisi préalablement à
toute action de formation afin d’engager les formalités afférentes entre la Ville et l’organisme agréé
choisi.
Le conseil municipal a approuvé les modalités d’exercice du droit de formation des élus comme
énoncées ci-dessus. Les crédits figurent au budget de l’exercice en cours.
Votants 26 – Unanimité
5
Question 6 : Frais de missions et de déplacements des élus municipaux
M. le Maire présente la question.
Vu les articles L 2123-17 à 20, R 2123-22-1 à 4 du code des collectivités territoriales,
Vu le décret n° 2006-781 du 3 juillet 2006 fixant les conditions et les modalités de règlement des
frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils de l’état,
Vu l’arrêté ministériel du 26 août 2008 fixant les taux kilométriques prévues à l’article 10 du décret
2006-781 du 3 juillet 2006,
------------------------
L’exercice d’un mandat électif local ne constituant pas, par nature, une activité professionnelle, la
loi pose pour principe que les fonctions électives sont gratuites.
Cependant, les élus locaux peuvent bénéficier d’indemnités de fonction qui viennent compenser les
dépenses et sujétions qui résultent de l’exercice de leur charge publique. Afin de faciliter l’exercice
de leur mandat, ils peuvent également prétendre au remboursement des certaines dépenses engagées
dans ce cadre.
Les différentes situations justifiant un remboursement sont prévues par le code général des
collectivités territoriales.
Dans tous les cas, les remboursements de frais impliquent de pouvoir produire des justificatifs de
dépenses sous peine de constituer un traitement déguisé.
Dans le cadre des frais de missions et de déplacements des élus municipaux, l’assemblée s’est
prononcée sur les différentes possibilités de prise en charge :
a) Frais liés à l’exécution de mandats spéciaux (article L 2123-18 et R 2123-22-1 du Code
Général des Collectivités Territoriales)
La notion de mandat spécial s’applique uniquement aux missions accomplies dans l’intérêt de la
commune par un membre du Conseil Municipal avec l’autorisation de celui-ci. Cette notion exclut
toutes les activités courantes des élus et doit correspondre à une opération dont l’objet est déterminé
de façon précise et limitée dans sa durée. Les déplacements occasionnés devront être inhabituels et
indispensables.
Le mandat spécial doit être conféré à l’élu par une délibération du Conseil Municipal qui pourra être
postérieure à l’exécution de la mission en cas d’urgence.
A cet effet, l’élu devra signer un ordre de mission établi préalablement au départ, prévoyant le motif
du déplacement, les dates de départ et de retour ainsi que le moyen de déplacement utilisé.
Les élus peuvent prétendre au remboursement des frais exposés dans le cadre de leur mission:
- Les frais de séjour (hébergement et restauration) sont remboursés forfaitairement en vertu de
l’article R.2123-22-1 du CGCT (voir annexe).
- Les frais de transport sont remboursés sur les dépenses réelles sur présentation d’un état de frais
accompagné des factures acquittées par l’élu. S’il utilise son véhicule personnel, les indemnités
kilométriques seront réglées selon l’annexe jointe.
Tous les autres frais des élus à l’occasion d’un mandat spécial peuvent également donner lieu à un
remboursement dès lors qu’ils apparaissent comme nécessaires au bon accomplissement du mandat
et qu’ils peuvent en être justifiés.
b) Frais de déplacement des élus pour se rendre à des réunions hors du territoire de la
commune (art. L 2123-18-1, R 2123-22-1 à R2123-22-3 du CGCT)
Les membres du Conseil Municipal peuvent bénéficier du remboursement des frais de déplacement,
des frais de transport et de séjour qu’ils ont engagés pour se rendre à des réunions dans des
instances ou organismes où ils représentent la commune, lorsque la réunion a lieu hors du territoire
de celle-ci.
La prise en charge de ces frais est assurée dans les mêmes conditions que pour les frais liés à
l’exécution d’un mandat spécial c'est-à-dire sur une base forfaitaire pour les frais de séjour et au
réel pour les frais de transport. Il sera remboursé à l’élu des indemnités kilométriques prévues, en
annexe, s’il utilise son véhicule personnel.
6
c) Frais de déplacement des élus en situation de handicap
Lorsqu’ils sont en situation de handicap, les élus municipaux peuvent bénéficier du remboursement
des frais spécifiques de déplacement, d’accompagnement et d’aide technique résultant de la
participation à des réunions. Cette indemnisation ne peut dépasser par mois le montant de la fraction
représentative de frais d’emplois, soit 646,26 € depuis le 1er juillet 2010.
Mme MENGUAL précise que les frais des élus en situation de handicap concernent aussi les
déplacements sur le territoire de la commune.
Réponses de M. le Maire aux questions posées par écrit par M. FABRE :
1. Compensation pour perte de salaire pour l’exercice d’un mandat local
La population pérignanaise a, lors des élections municipales, largement accordé sa confiance à
l’équipe RPA pour gérer les affaires de la commune pendant 6 ans de plus.
Au bénéfice du scrutin de liste à la proportionnelle, il y a des élus minoritaires ou d’opposition.
Les affaires de la commune sont donc confiées à l’équipe majoritaire de ce conseil, moi-même en
tant que Maire, les adjoints et les conseillers municipaux délégués. Ces élus engagent leur
responsabilité et passent du temps dans le cadre de leurs délégations, d’où la perception d’une
indemnité.
C’est cette équipe qui conduit les affaires de la commune, qui travaille chaque jour dans tous les
domaines et qui assure la responsabilité pleine et entière que lui a confiée le suffrage universel.
De par la loi, les élus minoritaires font partie des commissions municipales et, bien sûr, participent
aux conseils municipaux.
Ces réunions (entre 15 et 20 dans l’année !) sont organisées très majoritairement après 18h et
donc, en principe, en dehors des heures de travail.
Le CGCT prévoit des dispositions à l’endroit des titulaires d’un mandat public pour permettre
l’exercice de ce mandat.
Ces dispositions s’imposent à tout employeur public et privé. Il s’agit :
- D’autorisations d’absences, en principe rémunérées par l’employeur,
- Du crédit d’heures, non rémunéré.
Compte tenu de ce qui a été développé plus avant et de la tenue des réunions en dehors des
périodes travaillées, il n’a pas été envisagé de compenser une éventuelle perte de salaire pour les
élus minoritaires, cette disposition n’étant pas d’ailleurs obligatoire (article L2123-3 du CGCT)
« …peuvent bénéficier d’une compensation financière de la commune… »
M. FABRE fait savoir que parfois il travaille jusqu’à 21 H et constate l’absence de
Mme COUVIDAT alors qu’elle perçoit une indemnité. Il lui est répondu que Mme COUVIDAT
assure ses délégations même si elle n’est pas toujours présente aux conseils municipaux et qu’en
cas d’absence, il y a aussi la possibilité de donner un pouvoir.
Il est précisé que la collectivité prendra en charge la perte de salaire pour la formation des élus, à
hauteur de 18 jours par élu pour la durée du mandat.
2. Protection sociale des élus non indemnisés
Oui, bien sûr, tous les élus ont droit à la protection sociale dans l’exercice de leur fonction et le
service de la DRH va contacter tous les élus pour remplir l’imprimé de déclaration à transmettre à
l’assurance maladie pour l’affiliation au régime général de sécurité sociale.
3. Les droits des élus porteurs de handicap
Le nécessaire sera fait pour permettre à Mme MENGUAL d’exercer son mandat dans des
conditions matérielles sinon optimales, tout au moins adaptées à sa situation personnelle. Mais
nous devons également gérer au plus près les deniers publics.
7
En conséquence, il est envisagé, par exemple, de mettre en place du covoiturage pour lui permettre
de se déplacer de Saint-Pierre à Fleury pour les réunions des commissions ou du conseil municipal.
Les élus majoritaires de Saint-Pierre mettront donc en place une procédure pour les déplacements
de ce type. Mme MENGUAL remercie M. le Maire.
4. L’Assurance personnelle des élus
Chaque élu dans l’exercice de son mandat peut bénéficier de la protection fonctionnelle de la
collectivité.
Celle-ci est accordée, au cas par cas, par le conseil municipal qui doit faire preuve de discernement
en examinant notamment s’il y a eu faute détachable du service ou faute personnelle qui pourrait
relever de la sanction pénale, ce qui ne permettrait pas l’attribution de la protection fonctionnelle.
Reste à l’élu à se prémunir de cela en contractant lui-même une assurance personnelle.
Bien entendu, ceci ne concerne que les élus titulaires d’une délégation de fonction ou (et) de
signature puisque ce sont eux qui engagent la responsabilité de la commune et donc par voie de
conséquence, leur responsabilité.
Il n’est donc nul besoin que les élus d’opposition contractent une assurance personnelle pour
l’exercice de leur mandat, mais s’ils le souhaitent, ils peuvent le faire…
Votants 26 – Unanimité
Question 7 : Régime indemnitaire
M. GAUTHIER présente la question.
Vu le code général des collectivités territoriales,
Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires,
Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la Fonction
Publique Territoriale,
Vu le décret n°91-875 du 6 septembre 1991 pris pour l'application du premier alinéa de l'article 88
de la loi du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique
territoriale,
Vu le décret n° 2002-61 du 14 janvier 2002 relatif à l’indemnité d’administration et de technicité,
Vu l’arrêté ministériel du 14 janvier 2002 modifié fixant les montants de référence de l’indemnité
d’administration et de technicité,
Vu le décret 2002-63 du 14 janvier 2002 modifié, fixant les montants mensuels annuels de
l’indemnité forfaitaire pour travaux supplémentaires,
Vu l’arrêté ministériel du 24 décembre 2012 fixant les montants moyens annuels de l’indemnité
forfaitaires pour travaux supplémentaires,
Vu la délibération n°127 du 20 décembre 2012 fixant le régime indemnitaire applicable au
personnel de la commune de Fleury d’Aude,
Vu les délibérations n°73 du 19 juin 2013 et n° 22 du 27 février 2014 portant modification de la
délibération n° 127 du 20 décembre 2011,
Considérant qu’il convient de tenir compte des évolutions statutaires des agents de la collectivité,
1 – Il a été décidé à compter du 1er juin de compléter le tableau, rubrique II, de la délibération
initiale n° 127 du 20 décembre 2011 et donc de créer en sus une indemnité forfaitaire pour travaux
supplémentaire (IFTS) par référence à celle prévue par le décret n° 2002-63 susvisé au profit des
personnels suivants, selon les taux moyens réglementaires en vigueur et les coefficients
multiplicateurs votés ci-après :
8
2 – Il a été décidé à compter du 1er juin de compléter le tableau, rubrique III, de la délibération
initiale n° 127 du 20 décembre 2011 et donc de créer, en sus, selon les modalités ci-après et dans la
limite des textes applicables aux agents de l’état (décret n° 2002-61 et arrêté du 14 février 2002)
l’indemnité d’administration et de technicité (IAT) aux agents relevant des cadres d’emplois
suivants :
FILIERE /
CADRE
D’EMPLOIS
GRADE
MONTANT DE REFERENCE
ANNUEL
REGLEMENTAIRE
(VALEUR
INDICATIVE AU
01/07/2010)
COEFFICIENT
MULTIPLICATEUR
VOTE
(ENTRE 0 ET 8)
MONTANT
ANNUEL
Animation
Cadre
d’emplois des
animateurs
Animateur
jusqu’au 5ème
échelon
588.69
8 4 709.52
M. le Maire est autorisé à signer tout document relatif à ce dossier.
Les crédits sont prévus au budget de l’exercice en cours.
A la question de Mme MENGUAL qui demande le nom de la personne, M. le Maire lui explique
qu’il est interdit de citer nominativement l’intéressé.
M. FABRE demande le nombre de saisonniers. Ceci ne relève pas de l’ordre du jour, mais M.
le Maire précise que la réception des saisonniers a lieu le 20 juin et que l’élue responsable,
Mme QUINTILLA établira un rapport.
Votants : 26 - Unanimité
Question 8 : Révision des valeurs locatives d’habitation – Convention d’audit avec le Cabinet
« FIDEL EXPERTISE »
Mme CADENA présente la question.
Les valeurs locatives des locaux d’habitation qui permettent de calculer les impôts locaux (taxe
d’habitation et taxe foncière) datent de 1970 et sont aujourd’hui totalement obsolètes.
Cette obsolescence provoque des inégalités criardes entre contribuables, la réalité du patrimoine
immobilier pérignanais étant toute autre que celle de références physiques très anciennes.
Ce postulat augmenté de la nécessaire optimisation des recettes fiscales de la collectivité locale eu
égard à la baisse des dotations envisagée par l’Etat au cours des exercices à venir, nous amène à
lancer une démarche de révision des valeurs locatives d’habitation.
Celle-ci s’opérera au cours de l’exercice 2014 pour une prise en compte des nouvelles données
fiscales sur l’exercice 2015.
FILIERE
GRADE
TAUX
REGLEMENTAIRE
ANNUEL MOYEN au
01/07/2010
COEFFICIENT
MULTIPLICATEUR
VOTE (entre 0 et 8)
Animation
Animateur chef 857.82 8
Animateur principal 857.82 8
Animateur à partir du
6ème
échelon
857.82 8
9
Afin de mener à bien ce projet, la ville de Fleury d’Aude souhaite s’adjoindre les services d’un
prestataire qui possède de nombreuses références en ce domaine, le cabinet « FIDEL
EXPERTISE ».
Le Conseil Municipal a autorisé M. le Maire à signer une convention avec le cabinet « FIDEL
EXPERTISE » pour le déroulement de cette mission dont le coût estimé maximum est de
15 000 HT.
Mme MENGUAL dit que c’est un Cabinet d’expertise spécialisé dans la délation. Des contrôles ont
déjà été réalisés il y a 6 ans par du personnel des impôts qui enjambaient les clôtures.
Mme CADENA précise que ce cabinet travaillera essentiellement sur la base de photos aériennes et
de cartes. M. le Maire explique que des personnes ont amélioré le confort de la maison en ne
déclarant rien (piscine, pièces supplémentaires, aménagements de garage…). Il y a donc des
inégalités devant l’impôt par rapport aux personnes honnêtes. La commune doit réunir chaque
année la Commission des Impôts Directs pour faire cette révision, mais elle ne se base que sur des
déclarations transmises par les services de l’Etat. C’est donc bien à la commune de réaliser ces
contrôles.
Mme MENGUAL est d’accord sur le principe mais s’étonne que ce soit à la charge de la commune
et non des impôts. M. FABRE dit que c’est encore le particulier qui va payer, mais si la commune
perçoit plus de recettes, la municipalité pourra peut-être diminuer les taux.
Votants : 26 - Majorité (Pour : 24 – Contre : 2 : Mme Bernadette MENGUAL et M. Rudy
FABRE)
Question 9 : Demande d’autorisation pour la commune de se porter caution d’un contrat de
prêt contracté par l’Office Municipal de Tourisme auprès de la Caisse d’Epargne
M. GAUTHIER présente la question.
Dans sa séance en date du 24 avril 2014, le comité directeur de l’Office Municipal de Tourisme a
approuvé la signature d’un contrat de prêt d’un montant de 150 000 € auprès de la Caisse
d’Epargne, dont les caractéristiques sont les suivantes :
- Montant : 150 000 €
- Durée : 180 mois
- Taux proportionnel : 4 %
- Périodicité : Trimestrielle
- Commission d’intervention : 300 €
- Taux effectif global : 4,1 %
- Taux de période : 1 %
L’article 3 du contrat de prêt stipule : « Le prêt est consenti avec la garantie de la Commune de
Fleury d’Aude, caution à hauteur de 100 % du montant du prêt. »
L’assemblée a autorisé la commune à se porter caution pour la totalité de ce prêt.
Il est confirmé à M. FABRE que si l’OMT ne rembourse plus l’emprunt, ce sera la commune qui le
fera. A titre de comparaison, il en est de même pour les logements sociaux dont les prêts sont
cautionnés par le Grand Narbonne
Votants : 26 - Majorité (Pour : 25 et 1 abstention : M. Rudy FABRE)
Question 10 : Marché public de travaux, exploitation, maintenance, renouvellement et
réaménagement du réseau d’éclairage public, vidéo surveillance, cartographie et travaux
ponctuels - Groupement de commande Commune de Fleury d’Aude - Office de Tourisme de
Fleury d’Aude
M. GAUTHIER présente la question.
Le marché public de travaux, exploitation, maintenance, renouvellement et réaménagement du
réseau d’éclairage public conclu avec l’entreprise SPIE SUD OUEST se termine le 23 août 2014
(prolongé par l’avenant n° 2 en date du 20 février 2014).
1
0
Afin d’assurer la pérennité de ce service M. le maire est autorisé à engager la procédure de
passation du marché public, de recourir à la procédure d’appel d’offres ouvert dans le cadre du
projet d’exploitation, maintenance, renouvellement et réaménagement du réseau d’éclairage public,
vidéo surveillance, cartographie et travaux ponctuels dont les caractéristiques essentielles sont
énoncées ci-dessous :
LOT 1 : Exploitation, maintenance, renouvellement et réaménagement du réseau Eclairage Public
sur la commune de Fleury d’Aude (Ordonnateur : commune de Fleury d’Aude).
Les travaux sont décomposés en 3 postes :
G2 : Maintenance à garantie de résultats des installations, économie d’énergie ;
G3 : Gestion des sinistres, grosses réparations et petites interventions ;
G4 : Réaménagement et renouvellement des installations.
(Ordonnateur : office de Tourisme)
LOT 2 : Exploitation, maintenance, renouvellement et réaménagement du réseau Eclairage Public
sur les campings gérés par l’Office de Tourisme.
Les travaux sont décomposés en 3 postes :
G2 : Maintenance à garantie de résultats des installations ;
G3 : Gestion des sinistres, grosses réparations et petites interventions ;
G4 : Réaménagement et renouvellement des installations.
LOT 3 : Mise en place et exploitation de vidéosurveillance sur la commune de Fleury d’Aude.
(Ordonnateur : Commune de Fleury d’Aude).
LOT 4 : Relevés de l’Eclairage Public et du réseau pluvial dans le cadre des DICT.
(Ordonnateur : commune de Fleury d’Aude).
LOT 5 : Travaux ponctuels sur des parties connexes à l’Eclairage Public.
(Ordonnateur : commune de Fleury d’Aude).
M. le maire est autorisé à signer le marché à intervenir. Les crédits nécessaires sont prévus au
budget primitif.
Votants : 26 - Unanimité
Question 11 : Convention de mise à disposition de sapeurs-pompiers nageurs sauveteurs pour
la surveillance des baignades avec le Service Départemental d’Incendie et de Secours
M. André RUIZ présente la question.
A l’instar de ce qui a été réalisé en 2013, il a été décidé de faire appel aux sapeurs-pompiers nageurs
sauveteurs pour assurer la surveillance des baignades au cours de la saison estivale 2014.
M. le Maire est donc autorisé à signer avec le Service Départemental d’Incendie et de Secours la
convention fixant les modalités de mise à disposition et les obligations des deux parties. Le coût de
la prestation est fixé à 74 € par jour et par personnel.
Les crédits sont prévus au budget de l’exercice en cours.
A la question de M. PUECH qui demande le nombre de personnels, M. RUIZ lui répond qu’il y en a
environ 25 répartis sur les 4 postes.
Votants : 26 - Unanimité
Question 12 : Signature des contrats de partenariats presse au titre de l’année 2014
Mme BENETTON présente la question.
Afin de mieux faire connaître notre territoire, ainsi que les projets et les actions réalisés par la
municipalité au cours de l’année 2014, il est nécessaire de recourir à des partenariats presse sur
différents supports de publication.
Après sélection des supports, en fonction des cibles visées, de la nature des informations à diffuser,
des tarifs d’insertion et de la qualité d’édition, il a été décidé de traiter avec les supports suivants :
1
1
1 – Support papier et pages jaunes.fr :
Référencement sur l’annuaire téléphonique et le web des services de la mairie de Fleury, de
la mairie annexe de Saint-Pierre, de la Capitainerie des Cabanes et des Services Techniques
de Fleury pour un coût annuel de 2 801,03 €
2 Le Zappeur Narbonne pour promouvoir les animations :
- 1/2 page pour les Rues en fête
- 1 page pour la Fête du 11 novembre
-1 page pour les animations de Noël et Saint Sylvestre
51 000 exemplaires distribués dans le narbonnais en boîtes aux lettres.
Coût total : 1 914 €
M. le Maire est autorisé à conclure les partenariats presse ci-dessus exposés, au titre de l’année
2014, pour un montant total de 4 715,03 €.
Les crédits figurent au budget de l’exercice en cours.
M. FABRE propose de remplacer le zappeur par le bulletin municipal. Mme BENETTON lui
répond qu’il y a aussi de l’information dans le journal municipal et que le zappeur vient en
supplément.
Votants : 26 - Unanimité
Question 13 : Convention de gestion du domaine terrestre et maritime du Conservatoire du
Littoral – Site Basse Plaine de l’Aude
Mme CADENA présente la question.
M le Maire est autorisé à signer une convention tripartite entre le Syndicat Mixe du Delta de
l’Aude, le conservatoire du Littoral et la commune qui définit les droits et obligations des parties
contractantes pour la mise en œuvre de la gestion des sites du conservatoire situés sur le territoire de
la commune de Fleury d’Aude.
Votants : 26 - Unanimité
Question 14 : SIVOM NARBONNE RURAL : Désignation des délégués du Conseil Municipal
M. le Maire présente la question.
Par délibération municipale n°2014/41 du 17 avril 2014, l’assemblée avait procédé à la désignation
des délégués auprès du SIVOM NARBONNE RURAL.
Mme Myriam CROS CHETRIT, par lettre en date du 19 mai 2014, a fait part à M. le Maire de sa
démission du SIVOM Narbonne Rural pour raisons personnelles. Il convient donc de procéder à
nouveau à la désignation de deux délégués titulaires et deux délégués suppléants.
Les délégués sont élus au scrutin secret à la majorité absolue.
Après appel à candidature, M. le Maire propose la candidature de
DELEGUES TITULAIRES DELEGUES SUPPLEANTS
Sylvette BOFFELLI Anita QUINTILLA
Martine LAPITZ Christian BAILLY
A l’issue du dépouillement, il a été constaté :
Nombre de votants : 26
Bulletins blancs : 1
Bulletins nuls : 1
Nombre de suffrages exprimés : 24
DELEGUES
TITULAIRES
NOMBRE
DE VOIX
DELEGUES
SUPPLEANTS
NOMBRE
DE VOIX
Sylvette BOFFELLI 24 Anita QUINTILLA 24
Martine LAPITZ 24 Christian BAILLY 24
1
2
Question 15 : Création d’une chambre funéraire – Avis du Conseil Municipal
Mme QUINTILLA présente la question.
Vu l’article R 2223-74 du Code général des collectivités territoriales,
Vu la demande du 25 avril 2014 de la Préfecture de l’Aude qui sollicite l’avis du Conseil
Municipal.
Vu l’avis de la Commission Incendie et Panique du 3 janvier 2014
Vu l’avis favorable de la commission d’accessibilité en date du 17 février 2014
Vu l’arrêté du Maire n° 27-2014 accordant l’autorisation d’aménager un Etablissement Recevant du
Public de 5ième
catégorie Type PE n°11 145 13L0006 du 26 février 2014,
Vu la demande d’autorisation présentée auprès de la Préfecture de l’Aude le 23 avril 2014 par la
SARL « Secours Ambulances BRUN » représentée par Madame Isabelle BRUN – 1, rue Francis
Andrieu à Fleury d’Aude – pour la création d’une chambre funéraire à Fleury d’Aude, 1, rue Porte
Saint Martin.
Considérant le dossier de demande d’autorisation présenté par la SARL « Secours Ambulances
BRUN » qui est composé d’une notice explicative, d’un plan de situation, d’une notice de sécurité,
d’un dossier d’accessibilité, d’un règlement intérieur et d’un plan,
Le conseil municipal a émis un avis favorable à la création d’une chambre funéraire par la SARL
« Secours Ambulances BRUN ».
Votants : 26 – Unanimité
Question 16 : Acquisition de la parcelle section CK n° 128 appartenant au GFA Laquirou
pour l’euro symbolique
Mme CADENA présente la question.
L’aménagement qui a été réalisé afin de sécuriser le carrefour au lieudit « Laquirou » par
l’élargissement de la route départementale n°1118 et une liaison à la bretelle du carrefour existant
au chemin rural n°429 dit « Moyau », nécessite l’acquisition d’une parcelle appartenant à Madame
HUG représentante du Château Laquirou.
Une autorisation de prise de possession anticipée entre la commune et Mme HUG a été signée pour
autoriser les travaux avant l’acquisition de cette parcelle. Cette autorisation prévoyait également la
cession de la partie nécessaire pour l’euro symbolique par Madame HUG.
Un document d’arpentage a été établi pour la partie concernée qui porte aujourd’hui le numéro 128
de la section CK d’une superficie de 681 m².
Le conseil municipal a approuvé l’acquisition de la parcelle section CK n° 128 d’une superficie de
681 m² appartenant au GFA Laquirou représentée par Madame HUG pour l’euro symbolique.
Votants : 26 – Unanimité
L'ordre du jour est épuisé. La séance est levée à 21 H 55.