Consortium national pour l’ agriculture, l’ alimentation, … · Sa stratégie est fondée sur : •6 axes prioritaires de recherche : intensification écologique - Biomasse énergie

Consortium national

pour l’agriculture,

l’alimentation,

la santé animale

et l’environnement

© Agreenium - Février 2010

cet établissement public de coopération scientifique (ePcS) a été créé

en mai 2009 par les ministres de l’Alimentation et de l’Agriculture, de

l’enseignement supérieur et de la recherche et des Affaires étrangères.

Agreenium s’appuiera sur un comité d’orientation stratégique large-

ment ouvert à des personnalités françaises et étrangères. il promouvra

des actions et des programmes liant recherche formation et déve -

loppement et représentera de manière regroupée l’offre française à

l’international.

D’autres organismes de recherche et établissements d’enseignement

supérieur pourront ultérieurement rejoindre Agreenium en tant que

membres fondateurs ou associés. cette dynamique ≤de partenariat pri-

vilégié complète et renforce les alliances déjà conclues par les six fon-

dateurs avec les autres acteurs du système français de recherche et

d’enseignement dans le cadre des PreS, ainsi qu’avec les autres orga-

nismes de recherche et les universités.

Agreenium • conSorTium nATionAL • 3

L’INRA, le CIRAD, AgroParisTech,

Agrocampus Ouest, Montpellier SupAgro

et l’ENV Toulouse sont les six membres

fondateurs d’AGREENIUM

AGREENIUM a été constitué par décret du 10 mai 2009 sous

forme d’un établissement public de coopération scientifique

respectant l’autonomie et les statuts propres de chacun des

membres. Les forces des 6 membres fondateurs :

12 000 personnes dont 5 700 scientifiques, (5 150 chercheurs

et ingénieurs et 600 enseignants-chercheurs).

4 700 étudiants de niveau L3 et master et 2 200 doctorants

travaillant dans les domaines agronomiques et vétérinaires.

environ 300 unités de recherche labellisées.

4 campus de formation et de recherche partagés

en ile-de-France, à montpellier, rennes–Angers et Toulouse.

un réseau de plates-formes technologiques de haut niveau

et un dispositif expérimental ouvert.

Des partenariats universitaires riches et diversifiés.

Des coopérations avec les partenaires professionnels

et les acteurs du développement.

une présence à l’international dans plus de 50 pays du nord

comme du Sud.

Une organisation à la hauteur des défis mondiaux.

Le triple défi démographique, environnemental et énergétique du

21ème siècle appelle à une évolution en profondeur des modèles d’agri-

culture, d’alimentation et de gestion des ressources et des territoires.

il place les enjeux et les questions scientifiques à une échelle mondiale.

il rend nécessaire un renouvellement et un renforcement des processus

de production et transmission des savoirs. en fondant ce consortium,

les six membres fondateurs, acteurs de la recherche et de l’enseigne-

ment supérieur agronomiques, veulent mettre en synergie leurs com-

pétences pour répondre à ces défis à une échelle internationale, pour

le nord comme pour le Sud.

Une offre regroupée de compétencesfrançaises à l’international

en créant Agreenium, les six fondateurs marquent leur volonté

d’accroître la performance du dispositif national de recherche et de for-

mation dans les domaines de l’agriculture, de l’alimentation, de la santé

animale et de l’environnement, et de renforcer sa visibilité, son attrac-

tivité et ses capacités d’action à l’international.

en fondant ce partenariat privilégié, ils entendent relever ensemble les

défis de la conception de nouveaux modèles agricoles, alimentaires et

de gestion durable des ressources et des territoires, tant au nord qu’au

Sud, par la production scientifique et l’innovation, la formation, le

partage et la transmission des savoirs.

4 • Agreenium • conSorTium nATionAL

Pourquoi AGREENIUM ?

Contribuer à la définition des orientations françaises en matière de recherche agronomique internationale.

Agreenium a récemment livré sa contribution à la crAi (commis -

sion interministérielle de la recherche agronomique internationale).

Agreenium donne au dispositif français de recherche une configuration

plus à même de développer des collaborations avec les établissements

analogues à l’international en rapprochant recherche et enseignement

supérieur. Le développement des capacités pour le Sud, les collabo -

rations nombreuses avec les pays de l’ocDe et les pays émergents,

l’aptitude à couvrir la chaîne de l’innovation, constituent un atout pour

la contribution à la recherche Agronomique internationale.

Agir dans la zone Méditerranée constitue une des prio-

rités pour Agreenium. Agreenium contribue à l’Atelier de réflexion

prospective « Partenariats-recherche-méditerranée » (PArme), qui

définit les recherches prioritaires à développer dans les dix prochaines

années pour la méditerranée autour de quatre axes privilégiés : santé,

agriculture et alimentation, énergie et eau, culture et civilisation.

Agreenium proposera des modes opératoires pour faciliter les coopé-

rations dans le domaine de la recherche, de la formation et du déve-

loppement.

Mettre en place des formations d’excellenceadossées à la recherche et ouvertes à l’international dont un collège doctoral international.

il s’agit notamment de construire des parcours associant les écoles doc-

torales auxquelles contribuent les membres fondateurs d’Agreenium

et des partenaires étrangers partageant les mêmes objectifs, en europe

mais aussi dans les grands pays de la recherche agronomique.

Favoriser la mobilité des chercheurs et des enseignants cher-

cheurs à l’international via les programmes nationaux et européens.

Mettre en œuvre des programmesde recherche-formation-développement

Sur des thématiques porteuses des grands enjeux de l’agronomie

(sécurité alimentaire, intensification agro-écologique, préservation de

l’environnement) dans un contexte de partenariat international.


Quelles prioritéspour AGREENIUM ?


L’institut national de la recherche agronomique est un établissementpublic à caractère scientifique et technologique (ePST) sous la tutelledes ministères en charge de la recherche et de l’Agriculture. Premierinstitut de recherche agronomique en europe, au deuxième rang mon-dial pour ses publications en agronomie, l’inra, organisme de recherchefinalisée ouvert sur le monde, conduit ses recherches dans un conti-nuum allant de la recherche fondamentale à l’innovation, de l'échellelocale à celle de la planète, pour :

• une alimentation saine et de qualité,

• une agriculture compétitive et durable,

• un environnement préservé et valorisé.

L’inrA coordonne 33 projets européens dans le cadre du 7e PcrD(Programme-cadre de recherche et de développement) et participe à66 autres projets. L’institut mène de nombreuses coopérations avec seshomologues européens (WLg, Wur, BBSrc, etc.), des coopérations ren-forcées en méditerranée via le pilotage de l’era-net Arimnet (12 payspartenaires), et des coopérations renforcées avec les pays émergents :chine, inde, Brésil.

L’inra déploie sa stratégie de recherche en mobilisant ses 14 départe-ments scientifiques autour de ses 6 axes stratégiques :

• gérer durablement et améliorer l’environnement, maîtriser lesimpacts des changements globaux et les activités productrices

• Améliorer l’alimentation humaine, préserver la santé des consomma-teurs, comprendre leurs comportements

• Diversifier les produits et leurs usages, accroître leur compétitivité

• Développer les recherches et produire les données génériques pourla connaissance du vivant

• Adapter les espèces, les pratiques et les systèmes de production agricole

• comprendre les stratégies des acteurs, analyser les politiquespubliques, anticiper leurs évolutions

Son dispositif de recherche est organisé en 20 centres de rechercherépartis sur tous le territoire métropolitain et outre-mer. il comprend :

• 218 unités de recherche dont 140 unités mixtes avec l’enseignementsupérieur agronomique et vétérinaire, les universités, les organismesde recherche,

• 52 unités expérimentales, plus de 10000 Ha et 94000 animaux,

• 5 plates-formes, labellisées iBiSA (coordination nationale des infra-structures en biologie, santé et agronomie), portées par l’inra,

• 7 observatoires de recherche en environnement,

Le transfert et la valorisation s’effectuent au travers d’un dispositif deprévalorisation amorçant le cycle « invention, innovation, création d’en-treprises », la société ABA (accélérateur de projets en biotechnologiesagronomiques) et AgroVALo. Deux filiales, inra Transfert et Agriobtentions, complètent ce dispositif.

LES SIx MEMbRES FONDATEURS

EFFECTIFS

8 390 agents titulaires dont 48 % de femmes• Scientifiques : 1820 agents • Ingénieurs : 2462 agents • Techniciens : 4108 agents21 % de chercheurs étrangers recrutés en 20081800 doctorants accueillis


etablissement public à caractère industriel et commercial, placé sousla double tutelle du ministère de l’enseignement supérieur et de larecherche et du ministère des Affaires étrangères et européennes, lecirad est un centre de recherche français qui répond, avec les pays duSud, aux enjeux internationaux de l’agriculture et du développement.

en partenariat avec les pays du Sud dans leur diversité, le cirad produitet transmet de nouvelles connaissances, pour accompagner leur déve-loppement agricole et contribuer au débat sur les grands enjeux mon-diaux de l’agronomie.

organisme de recherche finalisée, le cirad établit sa programmation àpartir des besoins du développement, du terrain au laboratoire, du localau planétaire. Ses activités relèvent des sciences du vivant, dessciences sociales et des sciences de l’ingénieur appliquées à l’agricul-ture, à l’alimentation et aux territoires ruraux. Le cirad s’engage auplus près des hommes et de la Terre sur des défis complexes et évolutifs :sécurité alimentaire, intensification écologique, maladies émergentes,devenir des agricultures des pays du Sud.

Sa stratégie est fondée sur :

• 6 axes prioritaires de recherche : intensification écologique -Biomasse énergie - Sécurité alimentaire - Santé animale et mala-dies émergentes - Politiques publiques, pauvreté et inégalités -Agriculture, nature et sociétés.

• 25 dispositifs de recherche en partenariat dans le monde (Brésil,madagascar, cameroun, Thaïlande, Vietnam, Sénégal, costa rica,Laos, niger, Bénin, etc.). une nouvelle approche géo partenariale quivise à resserrer et conforter le dispositif international de coopérationdu cirad.

• 7 pôles scientifiques à vocation régionale dans l’outre-mer français(réunion- Antille- guyane)

Le cirad possède un réseau mondial de partenaires. A partir de sesdirections régionales, il mène des activités de coopération avec plus de90 pays. il veille à inscrire ses partenariats bilatéraux avec les systèmesnationaux dans des dynamiques multilatérales d’intérêt régional.

il renforce ses relations avec les universités et fait bénéficier ses par-tenaires de son réseau international et de sa place centrale dans larecherche agronomique européenne.

en France métropolitaine, il met à la disposition de la communautéscientifique nationale et internationale, un important dispositif derecherche et de formation situé principalement à montpellier.

EFFECTIFS

1800 agents, dont 800 chercheurs.52 unités de recherche.12 directions régionales en France métropolitaine, dans l’outre-merfrançais et à l'étranger. 800 chercheurs et techniciens du mondeentier accueillis et formés chaque année.


AgrocAmPuS oueST, institut supérieur des sciences agronomiques,agroalimentaires, horticoles et du paysage, est un établissement publicà caractère scientifique, culturel et professionnel (ePScP), doté du sta-tut de « grand établissement ». créé en juillet 2008, il est issu de lafusion d’Agrocampus rennes et de l’’institut national d’horticultured’Angers (inH). composé de deux centres de formation et de recherche(Angers et rennes), AgrocAmPuS oueST est certifié iSo 9001 :2008pour l’ensemble de ses activités.

Au cœur du 1er bassin agricole et alimentaire européen, l’établissementest membre fondateur de deux PreS régionaux (l’université euro-péenne de Bretagne et l’université nantes Angers Le mans) et du « Pôleouest en sciences et technologies du vivant », porté par le ministèrechargé de l’agriculture.

L’offre d’AgrocAmPuS oueST, originellement centrée sur les cursusd’ingénieurs (agronome, en agroalimentaire, en horticulture, en pay-sage), s’est élargie à la totalité des formations composant le référentielinternational des diplômés (16 masters, co-accréditation dans 5 écolesdoctorales).

AgrocAmPuS oueST a pour ambition de former des cadres mesurantpleinement la dimension internationale de leurs secteurs d’activités.L’établissement a donc construit une offre pédagogique conforme auprocessus de Bologne, intégrant la dimension internationale (mobilitéde 100% des étudiants) et permettant des échanges multiples avecplus de 80 partenaires académiques à travers le monde (chine, Brésil,canada, Syrie, Tunisie, irlande…).

L’institut est organisé en départements d’enseignement et de recherche,structurés par champs disciplinaires autour de 8 thématiques :

• Agroalimentaire, aliments et santé

• Agriculture et sciences phytosanitaires

• Bio-industries

• Biomathématiques

• economie, gestion

• environnement, paysage

• mer, littoral

• Sciences et productions animales

• Végétal, semences, horticulture

AgrocAmPuS oueST est tutelle de 18 unités de recherche, dont 15 unités mixtes de recherche en partenariat avec l’inrA.

Les activités de transfert sont réalisées en lien avec trois pôles de com-pétitivité (mer Bretagne, Végépolys et Valorial) et deux incubateursrégionaux (emergys et Angers Technopole). AgrocAmPuS oueST dis-pose, en partenariat avec l’inrA et inrA Transfert, d’une plateformede montage et d’accompagnement de projets de valorisation (AgroValoouest).

EFFECTIFS

1880 étudiants dont 15% d’étudiants étrangers, 1100 élèves ingénieurs, 130 doctorants.150 enseignants-chercheurs198 agents administratifs et techniques



AgroParisTech appartient à la catégorie des établissements publics àcaractère scientifique, culturel et professionnel (ePScP), doté du statutde « grand établissement ». créé au 1er janvier 2007, il est issu duregroupement de l’engreF, l’enSiA et l’inA P-g. AgroParisTech estmembre fondateur de ParisTech, qui rassemble 11 des plus presti-gieuses grandes écoles françaises, et de la fondation de coopérationscientifique du campus Saclay. il est partenaire du Pôle Paris ile-de-France STVe en Sciences et Technologies du Vivant et de l’environ -nement, porté par le ministère chargé de l’agriculture.

La gamme de diplômes délivrés par AgroParisTech couvre des cursusd’ingénieurs de niveaux m (bac+5), master (bac+5), et cursus de for-mation doctorale, dont l’école doctorale (ABieS). Dans le cadre del’école interne engref, AgroParisTech propose des formations de niveaupost-master (bac+7) et une vaste gamme de formations en formationcontinue courte et certifiante.

L’ensemble de ces cursus est en cours de réforme pour une mise enœuvre à la rentrée 2010.

72 % des étudiants d’AgroParisTech accomplissent un séjour à l’étran-ger dans le cadre de leur scolarité. AgroParisTech dispose de 117accords bilatéraux avec des établissements étrangers. ces accordsconcernent pour 55% des universités européennes, pour 24 % des uni-versités américaines (uSA, canada, mexique, chili, Brésil, Argentine),pour 14% des universités asiatiques et pour 17 % le reste du monde.

AgroParisTech est organisé en cinq départements d’enseignement et derecherche, structurés par grands champs disciplinaires :

• Sciences et ingénierie Agronomiques et Forestières, de l’eau et del’environnement

• Sciences et Procédés des Aliments et Bioproduits

• Sciences de la Vie et Santé

• Sciences economiques, Sociales et de gestion

• modélisation, mathématiques, informatiques et Physiques

ce dispositif s’appuie sur 32 unités de recherche, dont 29 sont des uni-tés mixtes en partenariat avec des organismes de recherche, notam-ment avec l’inrA. outre ces unités, certains enseignants-chercheursentretiennent leurs compétences et développent leur recherche dansdes laboratoires dont AgroParisTech n’est pas tutelle.

AgroParisTech dispose de quatre structures d’appui au dispositif d’en-seignement et de recherche.

Le transfert et la valorisation des recherches s’effectuent via l’associa-tion ADePrinA, sous convention validée par la direction générale pourla recherche et l'innovation (ministère de l'enseignement supérieur etde la recherche), et l’incubateur ParisTech.

EFFECTIFS

2000 étudiants dont 1200 élèves ingénieurs, 450 doctorants.260 enseignants-chercheurs328 agents administratifs et techniques


Le centre international d’études supérieures en sciences agronomiquesest un établissement public à caractère scientifique, culturel et profes-sionnel (ePScP), doté du statut de « grand etablissement ». créé au1er janvier 2007, il est issu de la fusion de quatre établissements pré-existants : enSA.m, cneArc, enSiA-SiArc, ceP Florac.

membre associé du PreS « umSF », montpellier SupAgro est porteuravec les universités montpelliéraines du projet « université montpellierSud de France » sélectionné pour l’opération campus. L’établissementest fondateur avec l’inra, le cirad et l’irD de la fondation de coopérationscientifique « Agropolis Fondation » ; support du rTrA « agronomie etdéveloppement durable » labellisé par l’etat. il est fortement impliquéau sein du pôle agronomique Agropolis international qui regroupe lesprincipaux acteurs de la recherche et de l’enseignement supérieur enLanguedoc-roussillon.

Largement ouvert sur la méditerranée et les pays du Sud, montpellierSupAgro propose trois cursus d’ingénieur dont un cursus d’ingénieur despécialisation et un large éventail de formations initiales et continues,inscrites dans le référentiel européen LmD. il a crée en 2009 « SupAgroFondation », la première fondation universitaire en sciences agrono-miques avec huit entreprises et organismes partenaires.

montpellier SupAgro est composé de :

• cinq départements d’enseignement autour de grands champs théma-tiques : Sciences du végétal, Sciences pour la protection des planteset l’écologie, milieux productions, ressources et systèmes, Sciencespour les agrobioprocédés, Sciences économiques, sociales et de gestion

• quatre directions d’appui

• quatre structures de formation spécialisées : l’institut des régionschaudes, l’institut des hautes études de la vigne et du vin, SupAgroFlorac et le centre de formation professionnelle de Salon-de-Provence.

Les enseignants chercheurs de montpellier SupAgro sont associés auxtravaux de 22 unités mixtes de recherche qui couvrent la quasi totalitédes champs disciplinaires des formations dispensées. co-accrédité pour trois écoles doctorales, l’établissement est habilité à délivrer ledoctorat.

Le transfert et la valorisation s’effectuent à travers un incubateur d’entreprises, un centre de transfert, une plate-forme de montage etd’accompagnement de projet de valorisation (AgroValo méditerranée)et quatre domaines agricoles expérimentaux.

membre de nombreux réseaux internationaux, montpellier SupAgrocoordonne deux consortiums erasmus mundus. il a conclu des accordsd’échanges avec 39 universités européennes et de coopération avec 21 pays tiers. il pilote plusieurs projets d’expertise en ingénierie de formation et d’appui à l’enseignement agricole à travers le monde.

EFFECTIFS

1300 étudiants dont 265 étudiants étrangers, 600 élèves ingénieurs, 180 doctorants.100 enseignants-chercheurs et cadres scientifiques300 agents administratifs et techniques360 intervenants en formation professionnels et chercheurs



L’ecole nationale vétérinaire de Toulouse est un établissement publicd’enseignement et de recherche. elle est également un centre hospi-talo-universitaire ouvert au public. L’enVT forme au métier de vétéri-naire 570 étudiants répartis sur 5 années, et assure parallèlement laformation continue des praticiens en médecine vétérinaire.

Au cœur de la dynamique scientifique régionale, l’enVT participe auxpôles de compétitivité « cancer-Bio-Santé » et « Agrimip innovation ».elle est membre associé du PreS université de Toulouse, et membrefondateur du pôle Toulouse Agri campus, porté par le ministère chargéde l’agriculture (Dger). elle est en voie de rattachement à l’institutnational Polytechnique de Toulouse (inPT).

Très largement ouverte à l’international, l’enVT a comme objectif departiciper pleinement à la construction de l’espace européen de larecherche. elle possède des accords erasmus avec 18 universités dans8 pays européens.

Au-delà des frontières européennes, l’enVT développe des actions decoopération internationale en particulier avec les pays du Sud, à traversdes programmes Tempus (maroc, Arménie), des partenariats avec denombreuses institutions en Australie, au Brésil, en Argentine, etc. elleaccueille en retour des étudiants du monde entier.

L’enVT produit des connaissances avec un double souci d’excellencescientifique et de pertinence thématique.

Les résultats de ces recherches conduisent notamment à des applica-tions et recommandations, répondant aux demandes de la société ou àcelles des filières professionnelles dans les domaines suivants :

• Sécurité chimique et microbiologique des aliments

• infectiologie

• cytogénétique

• Biostatistique

• Biomatériaux et biomécanique

• Alimentation animale

• economie des productions animales

elle contribue fortement à l’expertise scientifique collective dans le système d’agences françaises et internationales.

EFFECTIFS

570 étudiants en formation, répartis sur 5 années26 formations continues diplômantes de 560 personnes par an97 enseignants-chercheurs et enseignants chargés de consultation,praticiens hospitaliers164 personnels administratifs, techniques et scientifiques

147, rue de l’université75338 Paris cedex 07 • FrAnce

Web : http://www.agreenium.org/

contact : [email protected]

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Consortium national pour l’ agriculture, l’ alimentation, … · Sa stratégie est fondée sur : •6 axes prioritaires de recherche : intensification écologique - Biomasse énergie