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DROIT DE REPONSE notifié le 2 juin 2015 RELATIF AU MESSAGE « n°169 Excommunications publiques », publié le 30 mai 2015 dans le site diffamatoire de M Jean Michel Dhimoila (Jean-Michel Dhimoïla ) [email protected] Monsieur Dhimoïla, Une fois de plus, vos publications me forcent de réagir. Je commencerai, là encore, par ce qui me vise de façon strictement personnelle et, déjà, le façon dont vous avez pris l’habitude de me désigner : pas Georges X., G. XYNOPOULOS, ou encore, comme je l’aurais voulu, membre de l’association, mais, sans aucune raison, « l’avocat ». C’est, certes, mon métier, mais il n’a rien à voir avec les initiatives, réelles ou, bien plus souvent, imaginaires, que vous me prêtez sur vos messages. D’où ma question : souhaiteriez vous que je vous désigne, dorénavant, non pas par votre nom ou votre qualité de « blogueur » (cf. message n°165) mais par votre métier de chômeur professionnel tuant son temps en tentant de détruire le prêtre et le Métropolite de l’association cultuelle à laquelle il voudrait appartenir ? Merci de réfléchir au moins à cela si, d’aventure, vous entendez me viser à nouveau. Car, à l’évidence, espérer ne plus vous lire me prêter des idées, des actions et une influence occulte que je n’ai pas, cela serait trop optimiste… Cette fois, j’apparais dans le rôle du stratège bon, mais général désobéi par ses troupes, puisque j’aurais sagement envoyé le père Nicolas demander pardon à S. KOUROUGIORGAKIS, dans le but de « prévenir la contestation de son exclusion » sans, cependant, pouvoir l’empêcher de s’écarter de cette bonne stratégie dès sa première phrase (!), en ajoutant ce qu’il ne fallait surtout pas : « mais toi aussi, tu dois me demander pardon ». Ce scénario est, clairement, ridicule. Mais c’est aussi volontairement imprécis, même dans cette version par définition contestable puisque ni vous, ni moi même n’étions témoins directs de l’entretien. Dès lors, puisque, comme toujours, vous présentez comme faits avérés des propos rapportés (ceux, j’imagine, de S. KOUROUGIORGAKIS), voilà la version de l’autre protagoniste de la scène, le père Nicolas : « Mon frère, tes actions ne sont pas justes mais je préfère croire que tu es induit en erreur : Pâques arrive, et les chrétiens pardonnent les uns aux autres. Si, donc, de mon côté, j’ai fait quelque chose qui t’a blessé, je te demande pardon. Mais je veux que tu saches que j’attends la même chose de ton côté, car par la façon que tu t’exprimes tu fais du tort, à l’Eglise avant tout, à son prêtre ensuite ». Il m’a dit qu’il n’a rien fait pour qu’il ait à demander pardon. Je luis ai dit à nouveau : « Mon frère, tant que tu ne reconnais pas regretter certaines de tes actions, je me trouverai dans l’impossibilité de te donner la sainte communion ». « Peu m’importe », me dit-il, « si tu me donnes la communion ou pas ». « Dans ce cas », je lui ai dit, « je ne pourrai pas te communier et je te le dis clairement. Je ne t’empêche pas d’aller à un autre prêtre et communier là, si ta conscience te le permet ». Je laisse à vos lecteurs le soin de choisir la version la plus crédible et je crois bien que ça sera celle du père Nicolas. Mais, en toute hypothèse, là où votre présentation s’avère absolument fantaisiste, c’est en ce qui

Dhimoila Jean-Michel Dhimoïla [email protected]

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Droit de réponse site diffamatoire http://amisdelacommunautehelleniquedelyon.blogspot.fr Jean-Michel DHIMOÏLA

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  • DROIT DE REPONSE notifi le 2 juin 2015 RELATIF AU MESSAGE n169 Excommunications publiques , publi le 30 mai 2015

    dans le site diffamatoire de M Jean Michel Dhimoila (Jean-Michel Dhimola ) [email protected]

    Monsieur Dhimola, Une fois de plus, vos publications me forcent de ragir. Je commencerai, l encore, par ce qui me vise de faon strictement personnelle et, dj, le faon dont vous avez pris lhabitude de me dsigner : pas Georges X., G. XYNOPOULOS, ou encore, comme je laurais voulu, membre de lassociation, mais, sans aucune raison, lavocat . Cest, certes, mon mtier, mais il na rien voir avec les initiatives, relles ou, bien plus souvent, imaginaires, que vous me prtez sur vos messages. Do ma question : souhaiteriez vous que je vous dsigne, dornavant, non pas par votre nom ou votre qualit de blogueur (cf. message n165) mais par votre mtier de chmeur professionnel tuant son temps en tentant de dtruire le prtre et le Mtropolite de lassociation cultuelle laquelle il voudrait appartenir ? Merci de rflchir au moins cela si, daventure, vous entendez me viser nouveau. Car, lvidence, esprer ne plus vous lire me prter des ides, des actions et une influence occulte que je nai pas, cela serait trop optimiste Cette fois, japparais dans le rle du stratge bon, mais gnral dsobi par ses troupes, puisque jaurais sagement envoy le pre Nicolas demander pardon S. KOUROUGIORGAKIS, dans le but de prvenir la contestation de son exclusion sans, cependant, pouvoir lempcher de scarter de cette bonne stratgie ds sa premire phrase (!), en ajoutant ce quil ne fallait surtout pas : mais toi aussi, tu dois me demander pardon . Ce scnario est, clairement, ridicule. Mais cest aussi volontairement imprcis, mme dans cette version par dfinition contestable puisque ni vous, ni moi mme ntions tmoins directs de lentretien. Ds lors, puisque, comme toujours, vous prsentez comme faits avrs des propos rapports (ceux, jimagine, de S. KOUROUGIORGAKIS), voil la version de lautre protagoniste de la scne, le pre Nicolas :

    Mon frre, tes actions ne sont pas justes mais je prfre croire que tu es induit en erreur : Pques arrive, et les chrtiens pardonnent les uns aux autres. Si, donc, de mon ct, jai fait quelque chose qui ta bless, je te demande pardon. Mais je veux que tu saches que jattends la mme chose de ton ct, car par la faon que tu texprimes tu fais du tort, lEglise avant tout, son prtre ensuite . Il ma dit quil na rien fait pour quil ait demander pardon. Je luis ai dit nouveau : Mon frre, tant que tu ne reconnais pas regretter certaines de tes actions, je me trouverai dans limpossibilit de te donner la sainte communion . Peu mimporte , me dit-il, si tu me donnes la communion ou pas . Dans ce cas , je lui ai dit, je ne pourrai pas te communier et je te le dis clairement. Je ne tempche pas daller un autre prtre et communier l, si ta conscience te le permet .

    Je laisse vos lecteurs le soin de choisir la version la plus crdible et je crois bien que a sera celle du pre Nicolas. Mais, en toute hypothse, l o votre prsentation savre absolument fantaisiste, cest en ce qui

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    concerne les prtendus motifs de la dmarche quaurait eu le pre si on devait vous suivre : Quest ce que S. KOUROUGIORGAKIS aurait pu dire ou faire, en mars 2015, quil naurait pas dj pu dire et faire depuis 2011 et pendant des annes et qui maurait incit convaincre le pre KAKAVELAKIS de feindre solliciter son pardon ? Ecrire nouveau (comme en novembre 2012, lettre publie sur votre site) que le pre Nicolas se serait tromp de mtier (en ajoutant : maintenant, la seule chose digne quil te reste faire, si tu sais ce que ce mot veut dire, cest de dmissionner et de partir ) ? Imiter ces autres paroissiens qui refusent dsormais de communier chez lui (dcembre 2012, lettre publie sur votre site) ? Ou encore sabstenir de rdiger et dadresser une nouvelle LRAR (celle que vous publiez en bas de votre message n169) informant le prtre de sa paroisse quil salit cet habit quil porte et quil a les mains et le cur noirs ? Eh bien, non : le pre Nicolas aurait seulement tent, incit par lavocat nayant rien dun confesseur que je suis, de convaincre S. KOUROUGIORGAKIS de ne pas contester son exclusion de la Communaut ! Quel dommage que, ne vous en dplaise, cette exclusion ne datait pas de 5 jours , mais de fin 2012, ce que notre doyen aux propos doux mais fermes prcits savait trs bien, mais na pas estim pouvoir contester alors, comme il ne le fait toujours pas aujourdhui, malgr lchec de la manuvre ! Soyons plus srieux et abordons un terrain plus spirituel , qui devrait tre plus la spcialit de lancien moine que vous tes que de lavocat que je suis, mais qui me frappe singulirement. Vous insistez sur la dmarche que devrait tre celle dun prtre orthodoxe digne de ce nom, savoir donner la communion Judas parallle avec S. KOUROUGIORGAKIS qui ne manque pas, ici, de piquant. Mais vous semblez ignorer la dmarche qui doit tre celle du fidle orthodoxe qui sapproche de la sainte table pour communier, pntr de sa propre indignit et, en mme temps, dune confiance totale la misricorde divine , faute de quoi il communie pour sa condamnation car Dieu rsiste aux orgueilleux (http://www.pagesorthodoxes.net/liturgie/conditions-communion.htm). Vous semblez aussi ignorer que le pcheur, aprs sa confession, reoit une pnitence suivant l'importance du pch, l'tat spirituel du pnitent et le discernement du pre spirituel (propos l encore rvlateurs) et que, pendant cette priode, il nest pas reu la sainte communion, sans tre pour autant excommuni : Il demeure membre de l'glise qui prie d'ailleurs pour lui comme elle prie pour les catchumnes et pour les malades. L'glise a cette pratique, car elle sait qu'il est ncessaire de suivre les commandements du Christ pour tre admis dans le Royaume. C'est donc autant par souci du salut du pnitent qu'elle fait cela, que pour souligner la saintet et la puret du Corps du Christ (ibid). Voici comment le profane que je suis comprend, en bon sens, ces propos savants : Le fidle qui souhaite communier choisit de le faire, aprs avoir t pardonn de ses pchs par le pre spirituel quil aura choisi. Et il le fait auprs du prtre quil choisit parce quil le reconnat comme son pre spirituel, aprs lui avoir confess ses propres pchers pour lui demander son pardon. Le fidle ne choisira donc pas un prtre quil estime indigne , ni nira communier pour sa

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    condamnation , avant de se pendre, tel Judas dans votre exemple ; mais sil le fait, alors le prtre choisi devra, de son ct, viter sa brebis gare un tel sort atroce. Enfin, la confession supposant le pardon accord par le prtre au fidle, elle ne serait daucune utilit, mais dune grande hypocrisie pour une personne qui sestime tout aussi irrprochable quelle considre son prtre avoir les mains sales et le cur noir . Bref, S. KOUROUGIORGAKIS savait trs bien ne pas avoir t excommuni (dailleurs, il lcrit dans sa lettre du 18 dcembre 2012 que vous reproduisez sur votre blog : seul le Mtropolite aurait pu prononcer une telle sentence) ; et le pre Nicolas na nullement entendu lexcommunier, car dans ce cas la confession lui serait interdite tout autant que la communion, et il ne pourrait ly inciter. Ds lors, le 27 mars 2015, S. KOUROUGIORGAKIS sest prsent non pas pour communier sans stre confess, mais pour jouer la comdie, ce qui se passe de plus de commentaires. Mais que dire de votre propre rle dinstigateur, metteur en scne, producteur et promoteur de vidos rcratifs, ou encore de celui quy joue votre autre comdienne, la mystrieuse vielle dame ? Reprenons votre mise en scne : ce 27 mars 2015, notre vnrable doyen sapproche, tel Judas, du pre au moment de la communion. Tout aussi prvenu que lui que sa communion naura pas lieu, vous vous approchez par derrire pour immortaliser la scne en vido, accompagn dune vieille dame , choisie judicieusement pour son aptitude aux commentaires savoureux . Vous filmez un pre Nicolas faisant, impassible aux menaces, ce quil avait dj annonc, mais Antonia (soyons ce que vous ne savez pas du tout tre : charitable, et taisons, pour le moment, son nom de famille) excde quelque peu vos attentes: putain, encore un escommuni (sic), dit elle, de faon attendue mais en ajoutant, soudain : Il na pas honte ? Putain de sa race de merde de chien ! . L, vous vous sentez oblig de confessez que son langage est si cru que vous ne pouvez pas dcemment le reproduire avant de vous reprendre : ses commentaires restent savoureux et si, ne les reproduisant pas, vous vous bornez publier votre film dauteur sur youtube et linsrer votre message n196, l, votre honneur et votre dcence seraient saufs Dautant que vous tes convaincu, linstar de S. KOUROUGIORGAKIS (cf. sa lettre en bas du message) quil sagit dun cri qui vient du cur et qui exprime si bien ce que pense la Communaut de son prtre ! Personnellement, je trouve quil ne serait pas inutile de se demander qui, dans votre comdie, entre le pre Nicolas et vous mme joue le rle du fondamentaliste islamique, estimant seul dtenir la vrit et avoir droit de vie et de mort sur les autres . Mais, pour le moment, laissons, Monsieur DHIMOILA, les lecteurs et les cinphiles apprcier ; avant le juge, sil venait se pencher sur la question.

    Georges XYNOPOULOS Membre du CA de lAssociation Communaut hellnique de LYON et des environs