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Press release for the Circulation(s) photo fetsival at the Parc de Bagatelle in Paris
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Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 1/60
PREMIÈRE ÉDITION
19 février/20 mars 2011 -‐ Parc de Bagatelle Paris
Marraine & présidente du jury de l’édition #1 : Laura SERANI
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 2/60
1. PRÉSENTATION
Fetart est heureux de vous présenter la première édition de Circulation(s), festival de la jeune
photographie européenne, qui se déroulera du 19 février au 20 mars 2011 à la galerie Côté Seine du
parc de Bagatelle à Paris (16ème).
Cette manifestation présente un panorama de la nouvelle génération de photographes européens.
Elle vise à mettre en valeur l'espace culturel partagé par les Européens et fondé sur un héritage
culturel commun, à favoriser les échanges en faisant découvrir au public français des photographes
et des acteurs européens du monde de l’image et à dessiner, au travers du médium photographique,
les contours d’une identité européenne.
Au cœur de la programmation, une exposition de 36 photographes invite à découvrir combien la
jeune photographie européenne est créative et talentueuse. Quel regard les jeunes photographes
portent-‐ils aujourd’hui sur l’Europe ? Quelles sont leurs sources d’inspiration ? Leurs inquiétudes ?
Comment envisagent-‐ils l’avenir ?
Ce premier festival, unique en son genre, a pour vocation de fédérer et de développer un réseau
européen d’acteurs du monde de l’image partageant la même ambition que celle de Fetart : aider les
jeunes photographes à s’insérer dans le monde professionnel.
Un catalogue bilingue français/anglais sera édité.
Plus d’infos : www.festival-‐circulations.com
CONTACT PRESSE :
Nathalie Dran / [email protected]
+ 33 (0)9 61 30 19 46 / +33 0()6 99 41 52 49
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 3/60
Partant du constat qu’il n’existait pas en France de manifestation photographique entièrement
dédiée à la jeune photographie européenne, Fetart, fort d’une première expérience concluante en
2008 avec l’organisation d’une exposition réunissant 21 photographes européens à l’occasion du
Mois de la Photographie à Paris, a souhaité pérenniser cette initiative en organisant à Paris un
festival photographique annuel qui leur soit entièrement dédié.
Dans le prolongement de l’action de l’association créée en 2005 pour promouvoir les jeunes
photographes, le festival Circulation(s) souhaite proposer un regard croisé sur l’Europe à travers la
photographie et faire émerger les talents de demain.
Circulation(s) a également pour ambition de fédérer et de mettre en lumière les initiatives lancées
par des commissaires, des galeristes, des festivals, des collectifs, des écoles de photographie ou
encore des éditeurs européens.
Le festival se distingue par son ouverture et son positionnement paneuropéen. Au-‐delà de
l’exposition, il vise à relayer des initiatives culturelles européennes et à leur donner une visibilité au
sein du festival afin de :
-‐ encourager les échanges d'expériences par la mobilité des professionnels européens du monde de
la photographie et de l’image,
-‐ promouvoir la circulation des oeuvres culturelles en rendant accessibles les projets d'autres pays
européens au plus large public possible,
-‐ favoriser le dialogue interculturel.
Circulation(s) est une manifestation annuelle qui se déroule chaque mois de mars à Paris.
LIEU
Situé à Paris (16ème arrondissement), dans la partie ouest du bois de Boulogne, le parc de Bagatelle,
propriété de la Ville de Paris, accueillera le festival Circulation(s) durant un mois. La Mairie de Paris
s’associe à Circulation(s) en mettant à disposition de Fetart, la galerie Côté Seine du parc de Bagatelle
– d’une superficie d’environ 400m2 -‐ pour accueillir l’exposition et les diverses manifestations du
festival durant chaque mois de mars.
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APPEL A CANDIDATURES
Un appel à candidature européen a été lancé par Fetart auprès des photographes via de nombreux
relais (centres culturels, écoles d’art et de photographie, laboratoires photo, médias européens). A
l’issue de cet appel, 16 photographes ont été sélectionnés pour présenter leurs travaux au sein de
Circulation(s) du 19 février au 20 mars 2011.
JURY 2011
Laura Serani est la marraine de cette première édition.
Laura Serani (Italie) est commissaire d'expositions et de projets audiovisuels, et actuellement co-‐
directrice artistique des Rencontres de Bamako, Biennale africaine de la Photographie, après avoir
été déléguée artistique du Mois de la Photo à Paris en 2008. Elle collabore régulièrement avec les
principaux festivals et institutions européens et avec plusieurs maisons d'édition. De 1985 à 2006,
elle a dirigé les Galeries Photo de la Fnac en France et à l'étranger ainsi que la Collection Fnac.
Sous son égide, le jury composé de professionnels du monde de l’image et de l’art s’est réuni pour
sélectionner les artistes du festival sur la qualité de leur pratique artistique, la pertinence de leur
travail et la vision personnelle qu’ils expriment.
Sophie Bernard, rédactrice en chef d’Images Magazine
Oriane Bonifassi, chargée de projets photographiques, SFR jeunes Talents
Armelle Canitrot, commissaire de l'exposition Izis, chef du service photo de LA CROIX
Christophe Chaumont, chargé des partenariats, et Sylvie Depondt, sous-‐directrice chargée de
l'animation et de la communication, Direction des Espaces Verts et de l'Environnement de la Ville de
Paris (la DEVE)
Julien Frydman, directeur de l’Agence Magnum
L’équipe Fetart
Christine Ollier, Directrice artistique de la Galerie Les Filles du Calvaire
Delphine Piovant-‐Lapierre, Laboratoire Label Image
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2. PROGRAMMATION
Le festival s'articule autour de plusieurs sélections et présentera 36 artistes:
− la Carte Blanche de Laura Serani
− la sélection du jury suite à l'appel à candidature
− les artistes révélés par Fetart
− les Rendez-‐vous
− SFR Jeunes Talents
Toutes les manifestations du festival sont en accès libre et gratuit.
LES ARTISTES
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La sélection du jury suite à l’appel à candidature
La programmation de Circulation(s) s’articule autour d’une exposition d’envergure présentant les
travaux de 15 jeunes photographes européens.
Ader J. Jacques Guyenet Thomas Pillot Eric Baum Robert Imbriaco Alessandro Pinçon François Benard Julien Kakulya Alban Pralus Lionel Delangle Frederic Lassalle Bénédicte Rupp Nora Ganieva Lucia Millet Guillaume Vattard Tilby
Les artistes révélés par Fetart
Dans le cadre du festival, Fetart présente également quelques un des artistes que l’association a
révélés depuis sa création : Guillaume Amat , Thomas Jorion, Lucie & Simon et Julien Taylor,.
Les RDV 2011
Chaque année, les « RDV » permettront de donner une visibilité à des initiatives européennes valorisant la photographie et réalisées dans l’année.
LA GALERIE INVITÉE :
Galerie Café Amadeus (République tchèque) qui présente le travail photographique de JITKA
HORAZNA.
LES JEUNES COLLECTIFS INVITÉS
-‐ Fotoparisberlin (France/Allemagne) www.fotoparisberlin.com
-‐ Caravane (Belgique) www.collectif-‐caravane.com
LE FESTIVAL INVITÉ
Festival IN FOCUS (Lituanie) -‐ www.kulturosmeniu.lt qui présente le travail photographique
de
GYTIS SKUDZINSKAS et JOANA DELTUVAITE
LE PROJET PÉDAGOGIQUE INVITÉ
La Maison du Geste et de l’Image (France) présente JULIETTE AGNEL et le travail des élèves de sa
formation.
LES ECOLES DE PHOTOGRAPHIE INVITÉES
L’école des Gobelins (France) présente MAIA FLORE ET LISE LACOMBE
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La carte blanche de Laura Serani
Daprile Carmine Mauro Della Valle Martina Fysakis Pavlos Gonthier Yo-‐Yo Guastavino Andrea Parchikov Tim Roncada Arno Sorochinski Viktoria Surun Flore-‐Aël
La sélection SFR Jeunes Talents
Lancé en septembre 2006, SFR Jeunes Talents est un programme pluridisciplinaire d'accompagnement des talents dans la réalisation de leurs projets. Que ce soit dans le domaine de l'art, du sport ou de l'entreprenariat, SFR leur offre un accompagnement sur la durée, la possibilité d'accéder à un réseau de professionnels et une forte visibilité grâce aux partenariats noués par SFR Jeunes Talents. SFR Jeunes Talents ouvre un concours spécial « Circulation(s) » sur son site et en écho au positionnement européen du festival, choisit le thème des Européens. A l’issue de cet appel à candidature, 4 artistes lauréats seront exposés au festival. Le jury sera le même que celui du Festival, présidé par Laura Serani, ce qui assurera une cohérence dans le choix des photographes retenus. Et coup de pouce supplémentaire, le lauréat du festival Circulation(s) fera partie de la sélection du Grand Prix SFR Jeunes Talents en 2011 ! Dans le cadre du festival, tous les lauréats de SFR Jeunes Talents auront aussi l’occasion de rencontrer des professionnels du monde de l’image au cours de rencontres organisées avec les membres du jury ou de lectures de portfolio personnalisées. La sélection SFR Jeunes Talents est en cours Retrouvez l’appel à candidature SFR : http://www.sfrjeunestalents.fr/evenements/prix-‐concours-‐sfr-‐jeunes-‐talents-‐fetart
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3. LA CARTE BLANCHE de LAURA SERANI
CARMINE MAURO DAPRILE
ITALIE
www.carminemauro.it
© Carmine Mauro Daprile
SÉRIE Mattettunin « Le travail de Daprile se réfère à la photographie de plateau, un genre devenu très populaire au milieu des années 80 (bien qu’on puisse remonter aux mises en scène surréalistes et dadaïstes de l’avant-‐garde), et qui se nourrit de la fiction et pas de réalités existantes. Avec pourtant un élément distinctif. Les cosplayers qu’il photographie sont des personnages qui ont été habillés, maquillés et mis en place non pas par l’auteur mais par les modèles eux-‐mêmes. Ils se présentent devant lui déjà prêts. En retour, l’environnement, qui lui, est réel, apparaît comme ayant aussi été inventé. » (Roberta Valtorta )
BIOGRAPHIE
Né à Bergame en 1974, il vit et travaille entre Milan et Paris. En 2004, il se spécialise dans la théorie et le langage de la photographie contemporaine au Centre Bauer (Milan). Après des années passées dans le milieu du théâtre, et des études au département des Arts de l’Université de Milan, il se tourne en 1998 vers le sténopé. En 2004, il commence un travail sur le thème de l’identité, photographiant les objets, les lieux et les comportements de personnes vivant seules, puis s’intéressant au monde alternatif du « cosplay » (communauté de personnes se déguisant). En 2008, il est reconnu comme un « photographe exceptionnel » par l’Association italienne des photographes professionnels. Entre 2004 et 2009, il a enseigné dans le cours de Miro Zagnoli à l’Institut d’architecture de Venise. Ses travaux ont été publiés dans différents magazines (Interni, Sportweek, Domus, Abitare, Habitus, GQ et Zéro)
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 9/60
MARTINA DELLA VALLE
ITALIE http://martinadellavalle.blogspot.com/
© Martina Della Valle
Installation Traces et impressions urbaines Des objets simples de la vie quotidienne (miroirs, livres), trouvés chez des antiquaires et plongés dans le noir de la camera obscura, où la gélatine fait apparaître des formes inhabituelles. Le travail de Martina della Valle est un travail d’alchimiste sur les histoires renfermées dans ces objets, mais aussi un travail de recherche sur la photographie et ses procédés.
BIOGRAPHIE
Née à Florence en 1981, elle étudie les art visuels au Liceo Artistico Sperimentale de Florence puis la
photographie à l’Institut européen du design de Milan. Depuis 2003, elle travaille en tant qu’artiste
et photographe freelance, collaborant à différents magazines (Case da Abitare, Io Donna, Rolling
Stone, Urban) et réalisant quelques projets publicitaires pour la Fondation Pitti Immagine Discovery.
Elle enseigne également la photographie à l’Institut européen du design de Milan. En 2007, elle est
sélectionnée par la Fondation Ratti (Côme, Italie) pour un workshop de 3 semaines avec Joan Jonas
et pour trois mois de résidence à Paris offerts par la Fondation DENA, au Centre des Récollets. En
2009, elle est invitée en résidence à Hiroshima (Japon) par Air Onomichi. Elle vit et travaille
actuellement entre Berlin, Paris, Florence et Milan.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 10/60
PAVLOS FYSAKIS
GRECE
www.pavlosfysakis.com
© Pavlos Fysakis
SÉRIE Land Ends
Pour les Européens, la fin géographique se rapporte à la finalité,
pas au commencement. Comme pour les frontières, dont la
fonction a toujours été positive : définir leur (notre) monde. Mais
comment est définie l'identité d'un Européen ? Quelle est sa limite
? Pour essayer de trouver la réponse, je suis parti en voyage à
Gavdos, en décembre 2006. Du sud au nord, de l'est à l'ouest de
l'Europe... Lorsque je suis revenu du terme de mon voyage, à
Sintra, au Portugal, en février 2008, j'avais toujours les mêmes
questions à l'esprit
Les quatre « fins » de l'Europe sont aussi différentes géographiquement que leurs habitants se
ressemblent. Au Sud, Gavdos et sa morphologie frustre, au nord, Nordkapp et le blanc silence de la
toundra, à l'ouest, Sintra la populaire et la splendeur de ses palais d'été, à l'est, l'Oural et le lourd
héritage des goulags, les usines nucléaires et la région la plus radioactive du monde. Un seul
dénominateur commun : les gens. Facteur le plus important mais aussi le plus imprévisible. Qu'ils
soient russes ou grecs, portugais ou norvégiens, les habitants des frontières semblent tous avoir été
au plus profond d'eux-‐mêmes. Ils sont les gardiens de ces finitudes européennes, qui, finalement,
pourraient être des commencements. (Pavlos Fysakis)
BIOGRAPHIE
Né à Athènes en 1969, il devient photographe en 1995.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 11/60
Yo-Yo GONTHIER
FRANCE -‐ NIGER http://www.yoyogonthier.com
© Yo-‐yo Gonthier
OUTRE-‐MER, DES MÉMOIRES COLONIALES Photographies, installations vidéo et sonores, un projet de Yo-‐Yo
Gonthier et Marie Guéret.
« C’est sur les vestiges de l’empire colonial français que s’est construit ce projet. Les mémoires intimes et collectives d’un passé glorieux et sanglant disparaissent parfois dans la nature et l’oubli, mais elles restent gravées dans les questionnements identitaires de notre pays. Le point de départ du projet est un regard photographique sur les traces de cette histoire. Ce travail a commencé en 2003, au Jardin d’agronomie tropicale à Nogent-‐sur-‐Marne, où s’est tenue l’exposition coloniale de 1907 dont certains bâtiments subsistent toujours. Des monuments, dédiés aux soldats coloniaux, se mêlent à la végétation et m’ont frappé par leur délabrement et leur manque de visibilité. Ce fut l’amorce de ce travail qui s’est poursuivi de 2006 à 2008 dans différentes villes de France et qui a fait l’objet d’une première exposition en France à l’Espace Khiasma, aux Lilas, en mai 2008. » (Yo-‐Yo Gonthier) OUTRE-‐MER est composé de cinq parties dont trois photographiques : Monuments, Plaques et Oui mon commandant.
BIOGRAPHIE
Né à Niamey (Niger) en 1974, il a obtenu en 1997 une Maîtrise de Sciences et Techniques en Photographie à Paris 8. Il travaille depuis comme photographe plasticien indépendant. Il questionne actuellement l’effacement de la mémoire dans une société occidentale où la vitesse, le progrès et la technologie semblent être les valeurs essentielles. Par ailleurs, il s’intéresse aux vestiges de l’Empire colonial français et aux frottements entre Histoire et mémoires. Il a participé à l’exposition Kréyol Factory (Parc de la Villette, 2009), à la Biennale africaine de la photographie (Bamako, au Mali, 2009) et à la première édition d’Addis Foto Fest (festival de photographie d’Addis Abeba, Ethiopie, décembre 2010).
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 12/60
ANDREA GUASTAVINO
ITALIE
www.myspace.com/andrea_guastavino
© Andrea Guastavino
SÉRIE Vides d'identité
« Andrea Guastavino travaille sur la fragilité de l'identité, sans
contours nets, creusée en ombres. Les images résultent d'une
ambiguïté et d'une complexité picturale, qui n'appartiennent
pas qu'au domaine photographique. Elles se dérobent à une
définition préconçue. La dureté et le manque de
complaisance hédoniste dans les images confèrent à l'oeuvre
un aspect inquiétant. Guastavino ne recourt pas, en effet, à
une imagerie explicite ou hyper-‐réaliste, mais renvoie à des
atmosphères. »
(Giancarlo Papi).
BIOGRAPHIE
Le photographe utilise le noir et blanc et une technique spéciale par oxydations, brûlures et un bain
de cire final, qui laisse émerger, avec une sensibilité picturale, toutes les gradations des cristaux
d'argent. Il joue sur la nature instantanée du médium photographique, pour une image dans laquelle
l'idée de temps est dilatée et dans laquelle l'objet assume la valeur d'une relation.
La photographie devient élément de médiation entre le monde de l'imaginaire et celui de la réalité,
car le vrai appartient toujours au monde de la mémoire.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 13/60
TIM PARCHIKOV RUSSIE
http://timparchikov.com
© Tim Parchikov
SÉRIE Vision Périphérique
Cette série d’images est consacrée aux quartiers qui
pour la plupart ont poussé au cours des vingt dernières
années. Moscou a toujours connu une urbanisation
fulgurante et intermittente. Les quartiers qui, il y a peu
encore, avaient des climats différents, aujourd’hui
respirent tous le même air urbain. J’ai grandi dans ce
qu’on appelle un quartier dortoir, "Yasenevo".
Sur les images de Yasenevo des années 70, on voit des vaches brouter l’herbe dans des prés bordant
la forêt. Depuis, les forêts ont été abattues et les marécages asséchés pour laisser place à des
gigantesques barres d’immeubles. Vue d’en bas, d’un point de vue humain, la structure de ces
quartiers peut paraître chaotique et incohérente, leur symétrie ne devient visible que sur les plans de
ville ou sur Google Earth, ce qui, bizarrement, les rapproche des grands complexes de temples
égyptiens ou aztèques. À partir des années 90, le pouls de la ville se met à battre à rythme de plus en
plus effréné.
...
J’aime cette atmosphère endormie, cette mélancolie hivernale de la périphérie, curieuse rencontre
entre les images bruegéliennes et la géométrie des barres d’immeubles.
BIOGRAPHIE
Né le 3 août 1983 à Moscou, il est diplômé de l’Institut du cinéma et des Cours supérieurs de
réalisateurs et scénaristes de Moscou. Il travaille comme photographe indépendant, réalisateur et
chef opérateur dans le cinéma documentaire et de fiction, entre Paris et la Russie. Depuis 2006, il a
participé à plusieurs expositions collectives et personnelles en Europe.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 14/60
ARNO RONCADA
BELGIQUE
www.arnoroncada.com
© Arno Roncada
SÉRIE Peaceful Mountains of Desire Dans ses paysages énigmatiques en trompe-l’œil, le photographe belge Arno Roncada s’identifie à un illusionniste produisant Le Grand Tour dans lequel son sourire de diversion résonne encore après que le tour de magie a été exécuté. En tant que photographe, il fait semblant de questionner l’authenticité, la fonction figurative de ses images, l’esthétique « carte postale », la tradition des peintres de paysage romantique et le Sentiment de la Montagne. Roncada est à la recherche de l’image impossible. Sur son chemin, il se trouve face à des glaciers d’une beauté d’un autre monde aux pouvoirs surnaturels, recouverts d’un linceul de brume et d’une lumière éblouissante à l’allure fantomatique, représentant nos rêves et nos désirs. A-t-il réellement assisté à un grondement d’avalanche sous un ciel étoilé virginal ? Il ne trouve pas ces paysages vides et sans fin mais il les construit en combinant l’imagerie traditionnelle à la technologie de l’imagerie digitale. Au premier abord, ces perspectives sont liées à la tradition du paysage idéalisé en tant qu’expression de l’indicible mais en regardant de plus près, elles sont reconnues comme un dispositif factice. Il s’approprie les images des médias, et se réfère au film, au tourisme, aux clichés et aux paradigmes culturels dans une enquête approfondie sur le conditionnement de la perception humaine.
BIOGRAPHIE
Après des études à l’Académie Medias & Design de Genk (département des Arts visuels photographie) et à l’Institut des Beaux-Arts d’Anvers, il vit et travaille dans cette ville en tant que photographe. Depuis 2005, il a participé à plusieurs expositions personnelles et collectives, en Belgique et en Europe du Nord, et a remporté en 2007 le Prix Van Marcke, à la Biennale de la photographie contemporaine SMAK à Gand.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 15/60
VIKTORIA SOROCHINSKI
RUSSIE
www.viktoriart.com
© Viktoria Sorochinski
SÉRIE Anna & Eve, 2005-‐2010
« C'est à Montréal que Viktoria a commencé à
photographier une petite fille, alors âgée de 3 ans, et sa
mère de 23 ans, russes et émigrées au Canada. Elle mène
toujours aujourd'hui ce travail subtil d'observation et
d'interprétation en captant les passages de l'évolution d'Eve
et de sa relation avec Anna. Au centre de ce récit demeure
l'enfance et son corollaire de fantaisies et de peurs ainsi que
« l'apprentissage » de la maternité. S'appuyant sur les
mythes, les croyances populaires et la perception enfantine
du bien et du mal, Viktoria traduit dans des mises en scène
soignées, aussi magiques qu'inquiétantes, le monde
imaginaire fortement habité d'Eve et la relation complexe et
intense qu'elle entretient avec sa mère.
Captivé par ces images parfaites, où aucun détail n'est laissé au hasard, habitées autant par
d'inquiétants mystères que par le sens du merveilleux, le spectateur est vite perdu, comme dans un
jeu de miroirs. »
(Laura Sérani)
BIOGRAPHIE
Née en Ukraine en 1979, elle a vécu en Russie de 1985 à 1990, avant d'immigrer avec sa famille en
Israël, où elle passe ses études secondaires. Elle immigre ensuite au Canada, où elle obtient un
baccalauréat en Beaux Arts de l'Université Concordia en 2006. Elle vit et travaille actuellement à
New-‐York où elle a obtenu une maîtrise en Beaux-‐Arts en 2008. Depuis 2001, elle a participé à
diverses expositions (collectives et solo) au Canada, aux Etats-‐Unis et en Chine. Elle a aussi gagné
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 16/60
plusieurs concours internationaux de photographie. Ses travaux sont publiés dans des magazines
telles que: Vision (Chine), EYEMAZING (Nederland), New York Times, PDN, Images Magazine(France),
British Journal of Photography (UK), et plusieurs portails Web en Europe ainsi qu’en Asie et
l’Amerique du Nord.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 17/60
FLORE-AËL SURUN Membre du collectif Tendance Floue FRANCE http://surun.rebelle.com
© Flore-‐Ael Surun
SÉRIE Du désir dans les ailes Flore-‐Aël Surun photographie des « sur-‐vivants ». Parce que leurs survies de tout ordres la touchent au coeur sans crier gare. Dans les rues de Bethléem, les regards perdus des passants la poussent à chercher les lieux où la vie tient le coup, se mutine. Elle commence une série de reportages sur la paix qui l’emmène d’une marche bouddhiste dans le désert aux refuges canadiens de jeunes déserteurs américains, en passant par le village de la paix religieuse où cohabitent les trois religions.
BIOGRAPHIE
Sortie major de l’école de Photographie EFET (Paris), en 1997, elle fait partie du Collectif tendance Floue (elle a participé au projet « Mad in France » en 2009, « Mad in India » en 2008 et « Mad in China » en 2007). Depuis, son prix spécial du jury au Festival du scoop et du journalisme d’Angers pour son travail sur la Roumanie, en 1999, elle travaille sur des sujets de société à travers le monde, qu’elle publie dans la presse et expose régulièrement. En 2001, elle obtient le « Joop Swart Masterclass » de la fondation World Press (un travail sur les transsexuels intitulés « FTM-‐ MTF » en France et en Espagne), et le Grand Prix du Festival Terre d’images de Biarritz pour la parution en presse de « Sur-‐vie Sous ».
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 18/60
4. LA SELECTION FETART & JURY JEAN-‐JACQUES ADER
FRANCE http://jeanjacquesader.com
© Jean-Jacques Ader
SÉRIE Zone Naturelles Un homme se réveille en 2043 et ne reconnaît plus sa banlieue: la nature a reprit ses droits sur l’urbanisation, fini les centres commerciaux et les zones industrielles ! Désormais il n’y a plus que des champs et des fleurs “
BIOGRAPHIE Né à Toulouse, après des études secondaires, entre à l'École technique professionnelle d'audiovisuel, il effectue des formations en service photo de presse puis il devient assistant en studio pub & mode ensuite photographe pigiste en magazine, parallèlement il étudie et pratique la musique ainsi que la vidéo. Indépendant depuis 2001 il travaille pour la presse régionale et nationale, les institutions et la communication. Il développe des projets personnels dans le domaine culturel, l'apprentissage professionnel et les métiers; se réserve du temps pour exposer régulièrement.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 19/60
ROBERT BAUM
BELGIQUE http://www.robertbaum.be
© Robert Baum
SÉRIE La Photographie sans regard Ce projet explore la relation qui peut oui ou non exister entre la photographie et les non-voyants. Le travail se présente sous la forme de diptyques. A gauche est proposée une vue de l’intérieur de la personne qui révèle ou ne révèle pas la présence de photographies. Sur la droite, est repris le portrait de la personne aveugle et dont le but est de donner un visage à la personne. Chaque personne photographiée a été par la suite interviewée afin de pouvoir expliquer sa relation, ou sa non-relation, avec la photographie. Dans de nombreux cas, les personnes aveugles entretiennent une relation avec le média, possédant même pour certains des cadres photos au mur malgré le fait d’être aveugle de naissance !
BIOGRAPHIE Né en 1974 au Luxembourg, Robert Baum est rédacteur pour AgoraVox. En 1997 il a fait l'IHECS, puis en 2009 l'Ecole de Photographie de la ville de Bruxelles.
2ème
ex-‐aequo au prix Jacob Riis -‐ USA (avec la série « Photography and the Blind » -‐ 2010), 3ème du concours “Urban Dream” -‐ Belgique (PhotoGallery et Nikon – 2009) Expo collective « one shoot » -‐ Tour & Taxis – Bruxelles – 2009.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 20/60
JULIEN BENARD
FRANCE http://www.julienbenard.com
© Julien Benard
SÉRIE La Photocopieuse Quoi de plus caractéristique et de plus banal dans la vie de bureau qu'une photocopieuse ? Tout le monde s'y rend, interchangeable mais singulier, répète les mêmes gestes, machinalement, depuis le lancement de l'impression jusqu'au contrôle du résultat. On « va à la photocopieuse » seul, absorbé dans ses pensées ou par la tâche à accomplir. On s'accorde alors une petite pause. Parfois on croise un collègue en chemin. Photocopier, imprimer, c'est une histoire de duplication. C'est le fil conducteur de cette série de photographies, répliques d'un même cadre, le couloir entre le bureau et la salle des machines. A peine sorti de dix années d'une vie de bureau que j'avais choisi de quitter pour la photographie, je me suis retrouvé par hasard nez à nez avec ce petit théâtre communautaire qui m'avait été si familier. J'étais enfin dehors, bientôt extérieur à ce monde. Prêt à mettre à distance cette partie de ma vie.
BIOGRAPHIE Né en 1975 à Paris. Issu d'un milieu citadin mais ancré dans les montagnes de son enfance, cadre dans de grandes entreprises mais poète dans l'âme, il développe un sens aigu de l'observation et un regard décalé sur ses contemporains. C'est lors d'un stage avec le photographe d'actualité Sébastien Calvet en 2007 que le déclic se produit : il a des choses à dire en photo. Il prend une année sabbatique qui confirme cet appel à la création grâce notamment aux rencontres avec Bernard Plossu, Klavdij Sluban, Diana Lui ou encore Mat Jacob. En 2009 il obtient son diplôme de photographe polyvalent à l'Institut National de l'Audiovisuel et s'installe dans la foulée comme photographe indépendant. Il mène de front ses recherches personnelles et des commandes dans des domaines variés comme le portrait, la nature ou le reportage de communication.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 21/60
FRÉDÉRIC DELANGLE
FRANCE www.fredericdelangle.com
© Frédéric Delangle
SÉRIE Primates Il aura fallu plusieurs millions d’années à l’homme pour remonter dans les arbres.
Les grands primates sont descendus des arbres pour devenir des hommes et après plusieurs milliers d’années passées sur le plancher des vaches ils ont décidé de remonter dans les arbres. Ils y remontent avec tout ce qu’ils ont acquis pendant cette période passé sur le sol, cet à dire la sagesse dont il ont tiré leur nom « homo sapiens ».
BIOGRAPHIE Frédéric Delangle né le 24/10/1965 Vit et travaille à Rueil-‐Malmaison, France. Représenté par la galerie Philippe Chaume,Paris et par l’agent de photographe Florence Faisan. Membre de l’agence Signature, de Label-‐exposition et de Fetart.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 22/60
LUCIA GANIEVA
PAYS BAS - RUSSIE www.luciaganieva.com
© Lucia Ganieva
SÉRIE Dreaming Walls Les Udmurts sont une ethnie de Russie centrale intensément connectés à la nature, qui joue un rôle important dans leur vie quotidienne. Leurs villages sont entourés de forêts de bouleaux. Près de chaque village, il y a un bosquet de bouleaux particulier, auprès duquel ils viennent prier et adorer les esprits. Ils travaillent dur et sont très hospitaliers. Leurs intérieurs sont très propres, éclatants de couleurs et tapissés de papiers peints représentant la nature. Ils conservent précieusement les rouleaux de papiers peints qui sont trop grands pour être collés aux murs. Ils sont très fiers de montrer leurs décorations de papiers peints, qui symbolisent pour eux les endroits exotiques et lointains qu'ils ne pourront jamais visiter, excepté dans leurs rêves.
BIOGRAPHIE
Lucia Ganieva a commencé par étudier le management de la mode avant de faire des études de photographie à la Foto Academie d'Amsterdam entre 2003 et 2007. En mai 2007 elle est reçue à l’examen avec éloges. Elle a été remarquée dans de nombreuses manifestations internationales, parmi lesquelles le festival SCAN (Espagne), le Centre Santa de Fé (Etats Unis), la Foto Triennale (Danemark), Photolucida (Etats Unis). En 2010, elle a été nominée pour le prix Kandinsky (Russie) et son oeuvre est exposé dans le Musée Nationale de la Photographie Finlandaise à Helsinki et le Musée de l’Hermitage à Amsterdam.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 23/60
THOMAS GUYENET
FRANCE www.thomasguyenet.net
© Thomas Guyenet
SÉRIE Atlas La série Atlas dont les images tirées de plusieurs voyages en Europe se décomposent en diverses sous-‐séries pouvant former un tout est le résultat d’une volonté de découvrir un territoire européen en l’arpentant et d’y confronter un regard photographique dans un format spécifique se rapprochant de celui du carnet de voyage. Le point de vue assez libre que je peux porter sur le paysage à cette occasion lors de mes déplacements est nuancé par le fait que je tente ensuite de les relier dans une entité cohérente. J’assemble progressivement ces images afin de créer un paysage plus global où viennent dialoguer des réalités géographiques, économiques et culturelles, construisant d’une part un atlas de paysages européens, et d’autre part une place d’observation particulière d’interrogation de mon propre travail.
BIOGRAPHIE Né en 1977, vit et travaille à Paris. Après avoir participé en 2001 à la 8ème mission photographique du Conseil Général de Seine-‐Saint-‐Denis, il obtient en 2003 une maîtrise des sciences et techniques en photographie à l'Université de Paris VIII. Il poursuit dès lors un travail photographique sur le paysage et l’architecture dans la lignée de la photographie documentaire. Il cherche à traduire une réalité avec une certaine distance et neutralité. Il participe à plusieurs expositions collectives, en 2006 au festival international de photographie de Pingyao en Chine et en 2007 à Saint-‐Pétersbourg lors des International summer photography workshop du Foto Departament. Il poursuit en 2010 un travail sur la Plaine Saint Denis. Il expose actuellement à la cave du sanglier en bottes de cuir, à Paris 18ème
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 24/60
ALESSANDRO IMBRIACO
ITALIE http://www.alessandroimbriaco.com
© Alessandro Imbriaco
SÉRIE A place to stay Rome vit une période particulièrement critique dans le
traitement des nouveaux immigrants qui arrivent en ville
à la recherche d'un emploi et d’une nouvelle vie. Un des
éléments les plus visibles de cette crise est l'augmentation
du nombre de colonies illégales en milieu urbain. Cette
série de photos est une petite collection de ces
temporaires et précaires "hébergements" en croissance à
la fois dans les banlieues et dans le centre-‐ville. Dans ces
lieux, où l'asphalte laisse place à la nature, les nouveaux
immigrants (provenant surtout d’Europe de l'Est et
d'Afrique du Nord) peuvent trouver un abri ...
BIOGRAPHIE Né en 1980 en Italie il a un diplôme d’ingénieur. Étoile montant italienne, ses images sont diffusées dans les magazines internationaux comme L'Espresso, Ojo de Pez, Le Monde Magazine, D, Io Donna, Abitare ou Rolling Stones . Il est représenté par l’agence italienne “Contrasto”.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 25/60
ALBAN KAKULYA SUISSE http://www.albankakulya.com
© Alban Kakulya
SÉRIE Landmark / Birthmark La tache de naissance est une marque visible dont on ne se défait pas. Une tache qui parfois s'offre au regard de tous et qui, d'autres fois, se dissimule en des endroits plus intimes. Elle nous accompagne tout au long de la vie que cela nous plaise ou non. Elle est en cela assez semblable à notre origine qui se révèle sur notre visage, qui fait partie de nous et s'offre pourtant au regard d'autrui. En imposant sur leur peau, telle une tache de naissance, la forme du pays d'origine des personnes réfugiées en Suisse posant pour cette série, je voulais souligner le fait que nous appartenons à la terre d'où nous venons, que celle-‐ci vit en nous, même si nous vivons loin d'elle. Cette appartenance est parfois discrète, à peine visible ou peu reconnaissable, mais elle se révèlera à qui saura la voir.
BIOGRAPHIE Né en 1971 Alban kakulya a suivi les cours de l’Ecole de Photographie de la Ville de Vevey en Suisse. En 1992, il part au Nicaragua pour travailler dans un projet d’aide aux enfants toxicomanes. Revenu en Suisse en 1996, il reprend la photographie et fait des reportages pour la presse nationale et internationale. Il suit une formation de journaliste, et, en 2003, récompensé pour son travail artistique par une bourse Fulbright, il part étudier le cinéma à New York pour ensuite travailler dans le film documentaire. Il travaille également pour des ONG et des organisations internationales comme l’Organisation Météorologique Mondiale. Ses travaux photographiques ont été publiés dans des magazines de renom tels que : Eight, Die Zeit, Colors, Libération, Courrier International, Intelligent Life, etc. Il a exposé à Paris, Londres, New York et Moscou.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 26/60
BENEDICTE LASSALLE
FRANCE http://www.lassalle.biz
© Bénédicte Lassalle
SÉRIE Par Chez Moi Des rangées d'immeubles, des séries de fenêtres, un parking, des portes défraîchies -‐ voici les silhouettes d'apparence anodines d'un paysage urbain auxquelles la plupart prêtent peu d'attention et encore moins d'intérêt. Mais dans tout, même les choses les plus ordinaires, il y a de la beauté et de l'émotion. Les arbres, transposés sur ces gravures urbaines, créent une ville poétique et éthérée. Les labyrinthes de branches, les bourgeons et les feuilles créent un oculus enveloppé dans un filtre de mysticisme -‐ Le cristallin de la nature dans l'âme de Paris. La ville semble abandonner sa rigueur à la nature. Paris peint par ces arbres se perd dans sa propre forêt ...
BIOGRAPHIE Bénédicte Lassalle, née en 1975, vit et travaille à Boston. En 2006 elle est diplômée du Centre IRIS à
Paris et obtient sa première publication dans Leica World Magazine. En 2007 elle publie dans Photos
Nouvelles. En 2008 elle obtient le Prix du Public au Festival de l’Image Environnementale. En 2009
elle expose à la Maison de la Photographie de Toulouse. En 2010 elle expose à The Rayko Gallery à
San Francisco en Californie et à Rose Desbois à Paris. Elle publie dans Psychologies Magazine et dans
Enfant Magazine.
Dans son travail, elle trouve de la beauté et de l’art dans son entourage et dans les objets de la vie
quotidienne. Elle est inspirée par les traces de l’individualité, de l’intemporalité et de la composition.
Son travail, influencé par le photojournalisme a pour but de capturer les sensations de ses sujets -‐
d’enregistrer plutôt que d’embellir.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 27/60
GUILLAUME MILLET
FRANCE http://www.guillaumemillet.com
© Guillaume Millet
SÉRIE Kurai En japonais, quelqu'un de "kurai" (sombre, renfermé) s'oppose à un individu "akarui" (sociable). J'ai découvert un certain Tokyo à travers le regard d'auteurs contemporains, plus particulièrement en découvrant la littérature obsessionnelle de Murakami Ryû et le cinéma névrosé de Shinya Tsukamoto. J'ai reçu la fureur de leur écriture, la violence étrangement belle de leur esthétique dans un état quasi hypnotique. Subissant ces assauts esthétiques au point qu'une idée d'un Tokyo fantasmagorique m'apparut comme une évidence. Il fallait y aller, marcher la nuit, voir le métal, sentir la chair, rencontrer ces héros perdus des romans de Murakami Ryû, affronter ce monstre froid décrit par Shinya Tsukamoto. Croiser ces individus, comme l'a écrit l'éditeur Philippe Picquier : "Des êtres habités de cauchemars et de rêves fous, exaltés par les peurs qui hantent leurs nuits, promènent en pleine lumière leur tristesse et leur incompréhension devant le spectacle d'un monde désolé qui se défait devant eux".
BIOGRAPHIE Né en 1982, formé à l’école des Gobelins, Guillaume Millet est le premier assistant de Hervé
Haddad depuis 2009. La série KURAI est montré en 2010 aux Boutographies et sera montré
pour la première fois à Paris.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 28/60
ERIC PILLOT
FRANCE http://www.ericpillot.com
© Eric Pillot
SÉRIE In Situ Les photographies de cette série «In Situ » ont été réalisées dans de nombreux parcs zoologiques urbains européens, allemands notamment."Dans un souci plus poétique que documentaire, elles associent des bêtes et des scènes. Les installations, théâtres d’apparences conçus et aménagés par l’homme, présentent, offrent aux regards. Bien souvent, elles privent l’animal de la possibilité de se soustraire aux regards, de se cacher. L’animal y est soumis, sans répit, à une visibilité totale. Les installations protègent, et isolent également : l’antilope n’y connaîtra ni l’ivresse des courses dans la savane, ni les griffes du lion. En cela il est question de liberté.
BIOGRAPHIE Né en 1968 dans le Pas de Calais , il vit et travaille à Paris. Découvre la photographie après avoir effectué des études scientifiques (lycée Louis-‐le-‐Grand, Ecole Polytechnique, agrégation de Mathématiques) et travaillé plusieurs années comme ingénieur dans les constructions navales. Après quelques travaux de commande (le couturier Christian Lacroix, Harmonia Mundi, Label Bleu, Julliard, ....), il privilégie depuis quelques années ses recherches personnelles, notamment sur le thème animal. Finaliste de la Bourse du talent 2010 Paysage, espace, architecture. Il obtient un prix Mention spéciale du Jury lors de la 3ème Nuit de la Photographie contemporaine à Paris et a participé depuis 2004 à une vingtaine d'expositions, personnelles et collectives
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 29/60
FRANÇOIS PINCON
FRANCE
© François Pinçon
SÉRIE Courlande « intérieure » « Comme la Pologne d'Ubu roi, la Courlande intérieure (Lettonie), "le pays dont l'hiver est la vérité"(*1) dont il va s'agir dans ces photos pourrait bien se situer nulle part. Nulle part en Europe, nulle part en hiver. »
« Ça y est, nous sommes en Courlande*
J’ignore si cette entrée en Courlande* sur une
chaussée mal goudronnée est de bon augure.
Il y a dans le décor où alternent à présent prairies et
forêts de pins, un élément que je ne parviens pas à
identifier. Discordance, anomalie, à moins que ce ne soit
une beauté impossible à cerner. Cette particularité se
niche quelque part entre les lignes du paysage. Mais
où ? »
*1Courlande. Jean-‐Paul Kauffmann. Edition Fayard, mars
2009.
BIOGRAPHIE
François Pinçon est né en 1957. Il a effectué de nombreux voyages en Allemagne, Iran, Afghanistan,
et suivi une formation aux Beaux Arts d'Angers puis d'Orléans, spécialisation cinéma. Il a obtenu en
1991 une licence de cinéma à Paris I-‐Panthéon Sorbonne.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 30/60
LIONEL PRALUS
FRANCE http://lionel_pralus.ultra-book.com
© Lionel Pralus
SÉRIE Détours A l’origine du projet, l’envie de travailler à partir d’images préexistantes, comme lien direct à la mémoire d’un territoire et de ses habitants. Proposant aux habitants d'un village de me montrer leurs albums de photographies, j'ai isolé des détails de ces archives, les confrontant à des paysages sur lesquels je me suis focalisé avec la même attention. Cette confrontation est aussi présente dans mes textes, mêlant faits-‐divers et propos recueillis, toujours dans une ambivalence entre trace réelle et réalité réinterprétée. Alternant entre photographies couleur et noir&blanc, paysages et humains, d'une image à l'autre, le spectateur crée ses propres associations, brode un récit, émet des hypothèses.
BIOGRAPHIE Né à Tours en 1982. Il vit et travaille à Paris. Diplômé de l’ENSAD (Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris) en 2008. Membre co-‐fondateur du collectif Faux Amis en 2008. Il est projeté et nominé dans les 6 premiers de la sélection Voies Off, cour de l’Archevêché en Arles en 2008.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 41/60
BIOGRAPHIE Née 1981, Nora Rupp a suivi une Formation Supérieure en Photographie à l'école des Arts Appliqués de Vevey. Elle a travaillé en tant que reporter photographe et co-‐commissaire d'expositions. En 2010, elle a participée à l'exposition NEAR, Helvétie, projection pour les 25 ans du Musée de l’Elysée à Lausanne
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 42/60
TILBY VATTARD
FRANCE http://www.tilby.fr
© Tilby Vattard
SÉRIE Refuges intimes “Des images composites mêlant éléments graphiques et paysages imaginaires, faisant naître un univers sensible où les éléments naturels prennent toute leur force, où le silence murmure une étrange réalité et nous entraîne au coeur d’une nature qu’il nous faut redécouvrir. Des paysages comme des instants de pause, des sanctuaires intimes où l’on peut se réfugier, reprendre notre souffle, et écouter la féerie du monde se déployer autour de nous.”
BIOGRAPHIE Après un MASTER à l’Institut d’Arts Visuels d’Orléans, Tilby Vattard s’installe à Montpellier en 2002. Pendant plusieurs années il collabore avec les milieux culturels en tant que designer graphique, et développe parallèlement son travail d’auteur photographique. En 2008 il s’engage professionnellement dans la création photographique, participe à des publications et organise ses expositions.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 43/60
5. LES ARTISTES RÉVÉLÉS PAR FETART GUILLAUME AMAT PRIX PHOTO D’HOTEL, PHOTO D’AUTEUR 2010 FRANCE www.guillaumeamat.com Agence France : Signatures Photographies : www.signatures-‐photographies.com Galerie : La Galerie Particulière : www.lagalerieparticuliere.com
© Guillaume Amat
SÉRIE : « Bardenas Reales » C’est à l’occasion d’un reportage dans la région de Navarre en 2007 que j’ai découvert le Parc Naturel des Bardenas Reales. J’y ai « trouvé » la parcelle qui, par la suite, servirait de décorum pour les images de cette série. Une fois rentré à Paris, j’ai commencé à imaginer des scènes photographiques qui joueraient sur le caractère miniature de ce paysage parcellaire. Par l’utilisation d’éléments miniaturisés je monte des mises en scène réalistes, étranges et perturbantes. Le spectateur navigue alors entre factice et réalité entre confusion, acceptation et remise en cause du réel qui lui est ainsi donné à voir. Sous forme d’esquisses, j’ai élaboré une sorte de story-‐board. En fond sonore, l’atmosphère musicale de Tom Waits ou Nick Cave et, comme atmosphère visuelle, David Lynch et Wim Wenders : matières premières à l’imaginaire.
La série Bardenas Reales est construite à l’image d’un road movie, une longue marche dans un désert marqué par des stigmates et des signes de vie : des traces d’occupations passées ou présentes. J’aime aussi l’idée d’un lieu d’exploration fictif qui se mêle à des paysages énigmatiques et silencieux. En filigrane, il est possible de deviner une réflexion sur cette notion de territoire épuisé et asséché par l’activité humaine. Ce travail photographique questionne l’échelle et la mise en scène du paysage, ainsi que ses frontières tant géographiques que plastiques. L’univers hautement médiatisé et informatisé dans lequel nous vivons aujourd’hui installe une représentation du monde géographique référencé. La mise à disposition de ce monde, notamment par l’imagerie satellite et par la profusion d’informations disponibles sur Internet participe à son épuisement, dans ce sens où il n’existe plus, par essence, d’ailleurs inexploré. Rassemblées dans ce corpus d’images, les mises en scène et les possibilités narratives qu’elles recèlent construisent une forme de carnet d’exploration. La mise en relation de lieux, d’évènements et de scènes diverses révèle alors la possibilité d’un nouveau territoire, les Bardenas Reales comme les barrières d’un réel ou d’un inaccessible ailleurs. BIOGRAPHIE Né en 1980 à Angers, vit et travaille à Paris. Pendant ses études en photographie, Guillaume Amat travaille un an comme archiviste/iconographe à l’Agence Magnum-‐Photos-‐Paris. Intègre la maison de photographes Signatures-‐photographies en octobre 2008 et est
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 44/60
représenté par La Galerie Particulière (Paris) depuis mars 2010. Dans ses projets, il ne cesse de questionner la représentation photographique elle-‐même en utilisant différents appareils, formats et surfaces sensibles. Il se sert de toutes les spécificités qu’offrent les supports et les techniques, cherchant à chaque fois le média adapté au point de vue photographique choisi. Avec ses images, il cherche à construire des récits photographiques qui naviguent entre poésie et reportage.
THOMAS JORION COUP DE CŒUR RÉPONSES PHOTO 2010 FRANCE http://www.thomasjorion.com
© Thomas Jorion
SÉRIE Ilots Intemporels Mon travail se base sur notre perception du temps, de la
façon dont il s’écoule et surtout de son absence de
linéarité. Certains lieux se retrouvent ainsi comme « figés
» dans le temps, alors même que notre société se
développe et file à cent à l’heure. Ils paraissent comme
inanimés ou en veille alors qu’en réalité, ils suivent un
écoulement temporel déformé, allongé, qui leur est
propre. Aujourd’hui je parcours le monde avec une idée
en tête : chercher et présenter ces îlots intemporels. Je
choisis de rentrer dans des lieux clos et laissés à
l’abandon, autrefois lieux animés, de vie, de loisirs ou de
prestige pour les saisir et les partager.
BIOGRAPHIE
Né en 1976, Thomas Jorion est un photographe français. Après des études de droit et un métier juridique, il se
consacre entièrement à la photographie à partir de 2009. Il s'attache dans son travail à présenter des lieux
laissés à l’abandon. Son choix de travailler avec une chambre photographique renforce sa maîtrise de la
lumière et du cadrage.
Il a été sélectionné en 2009 pour le Prix Voies Off à Arles et a exposé à Cutlog en 2010, au mois de la Photo
OFF, à Archiphoto et à la galerie du Magasin de jouet pendant les rencontres photographique d’Arles. Il
exposera début 2011 à la galerie Place M à Tokyo. Son travail a été publié dans différents revues papiers et
web : Platform magazine, Focus magazine, Réponses photo et Actu Photo.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 45/60
LUCIE & SIMON PRIX HSBC 201O FRANCE www.lucieandsimon.com
© Lucie & Simon
SÉRIE Scenes of life Dans cette galerie de portraits, l’objectif, en organisant des
points de vue inattendus, est d’offrir une large possibilité de
lecture. Afin de rester au plus proche de la réalité, les
personnages se mettent en scène chez eux dans diverses
activités familières, et donnent à voir leurs instants de vie,
d’intimité, suggérés par les photographes ou par les
personnages eux-‐mêmes. Moments habituels donc, mais qui se
parent d’étrangeté puisque chaque photo peut être regardée
sous différents angles, sans pour cela perdre son sujet ni sa
structure.
BIOGRAPHIE
Lucie de Barbuat, française, et Simon Brodbeck, allemand, sont deux jeunes photographes basés à Paris et travaillant ensemble depuis 2005. En unissant et confrontant leurs différences, leur travail consiste à créer une vision s’attachant à étudier l’Homme et la société au 21ème siècle. Découverts par Fetart, ils viennent de recevoir le prix HSBC.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 46/60
JULIEN TAYLOR PRIX ART CONTEMPORAIN 2011 (confidentiel) FRANCE http://julientaylor.com
© Julien Taylor – « Dessus de cartes sur table »
SÉRIE Trous de Mémoire
J'ai cherché dans cette série d'installations à présenter
conjointement l'objet réel et sa représentation
photographique.
J'ai ainsi réalisé "Dessus de cartes sur table", une table de
poker grandeur nature, ou de vraies cartes à jouer se
mélangent avec la représentation photographique du jackpot.
"Le comptoir" est une installation qui présente en
chronophotographie la soirée d'une cliente dans un bar
parisien. L'horloge au centre du bar indique réellement l'heure
au moyen de vraies aiguilles qui tournent...
Dans "Fool Screen" on découvre la façade ouverte d'un
immeuble et tous ses habitants dans chacune de leurs
occupations. Chacun s'affaire devant un écran (ordinateur,
téléphone, minitel, console de jeu, vidéo projecteur...). L'image
est présentée sur un caisson lumineux géant.
"Sale demain" présente une salle de bain abandonnée et son téléviseur qui trône au centre. La télévision
fonctionne réellement : le tirage, découpé à l'endroit de l'écran, a été contrecollé sur un téléviseur réel et
allumé.
BIOGRAPHIE
Né en 1976, vit et travaille à Paris.
Il quitte la recherche scientifique en 2005 pour se réserver tout entier à la photographie. Il fête cette décision
pendant deux ans en photographiant la nuit, et initie une méthode de prise de vue spécifiquement dédiée au
photomontage. Il intègre ensuite différents collectifs d’artistes avec lesquels il développe une recherche
plastique qui donne matérialité à ses déconstructions/reconstructions numériques. Son travail est
régulièrement exposé en galerie. Il travaille par ailleurs en indépendant pour la publicité et la communication,
cultivant le désir des clients de ses clients par la portée narrative, l'humour, et l'onirisme d'espaces temps
imaginaires imbriqués aux illusions de perspectives cubistes.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 47/60
6. LES « RENDEZ-‐VOUS » 2011
RDV L’ÉCOLE DE PHOTOGRAPHIE INVITÉE : GOBELINS,
L’ÉCOLE DE L’IMAGE
www.gobelins.fr
Acteur de référence dans les formations aux métiers de l’image, GOBELINS,
l’école de l’image est l’une des 11 écoles de la Chambre de commerce et
d’industrie de Paris (CCIP). Elle accueille chaque année plus de 700 élèves et
apprentis et 1 400 stagiaires en formation continue dans les domaines suivants :
multimédia, jeu vidéo, cinéma d’animation, communication et industries
graphiques, photographie, vidéo & son. L’activité formation continue de l’école
est certifiée ISO 9001.
------------------------------------- MAIA FLORE FRANCE www.maiaflore.com
© Maia Flore
SÉRIE Sleep Elevations
« Ceux qui rêvent le jour sont ceux qui savent beaucoup de choses
qui échappent à ceux qui rêvent la nuit » Edgar Allan Poe
C'est ainsi que ces filles emportées par des objets dans les airs se
laissent voyager aux travers de paysages infinis. Voler vers des
espaces rêvés, matérialiser une complète attraction entre le
personnage, son univers idéal et le monde dans lequel elles vivent
voilà où ces jeunes filles nous transportent. Les mouvements
contorsionnés ne font plus qu'un avec la forme de celui qui révèle
leur passion. Mêlés d'un réalisme imaginaire et de souvenirs
d'enfances, ces êtres en lévitation nous invitent à rêver sans limites.
BIOGRAPHIE
Née en 1988, Maia Flore est diplômée en photographie aux Gobelins, l’École de l’image section Traitement de
l’image en 2010. Après un stage au laboratoire photographique Processus, elle a été assistante de Carl Kleiner
et de Julia Hetta, Agent Bauer (Stockholm). Ses travaux ont été publiés dans Ninja Magazine #18, Out of the
box Novembre 2010, Urban Outfitters, Fubiz...
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 48/60
LISE LACOMBE
FRANCE
www.liselacombe.com
© Lise Lacombe
SÉRIE L’habitant des Travers
Cette série est extraite d'un projet en cours, La Tierce des
Paumés, vaste reportage qui présente de multiples modes de
vie, échappant à cette masse dite "société", adoptés par des
êtres dissidents par leur singularité. Cet extrait s'attache à l'un
d'eux, un personnage mystérieux, vivant dans la montagne:
l'habitant des Travers. Il se balade souvent pieds nus dans les
champs, la voie ferrée désaffectée est son terrain de jeux, tous
les matins il fixe pendant dix minutes le lever du soleil sans
cligner des yeux, mange des fleurs à l'huile d'olive et croit
parfois être un prophète. On pourrait le classer comme
marginal, hippie... Loin de ces considérations, c'est simplement
un dissident, une identité singulière, un personnage
profondément unique qui nous invite dans un monde onirique.
Le caractère du personnage, lié à la nature, détaché de tout repère et code de notre société crée dans la
photographie un côté mystique, une douce étrangeté. Suite à notre rencontre, j'ai accompagné cet être qui
erre dans les Pyrénées à de nombreuses reprises, quelques heures ou plusieurs jours à vagabonder à pied et en
stop à travers la montagne, le photographiant, poussée par le besoin d'exprimer cette beauté singulière.
BIOGRAPHIE
Née en 1985, Lise Lacombe est titulaire d'une licence d'arts plastiques et du diplôme de Photographie-‐
Traitement de l'image, à l'école GOBELINS de Paris. Dotée tout d'abord d'un Yashika Mat puis d'un Hasselblad,
elle s'applique au format carré, caractéristique de son travail, et s'oriente vers le reportage. Après plusieurs
séries sur le milieu urbain (Skateparks, 9.3, Berlin...), elle a conçu en collaboration avec le collectif SILURES une
installation nommée Mittelwerk Express, exposé à l'école de La Fémis (Paris, juin 2010), puis La Tierce des
Paumés. Il s'agit d'un travail sur toutes les formes de modes de vie qui échappent au système, sur des êtres
dissidents face à la société. Les premières images furent montrées en septembre 2010, au Musée des Abattoirs
de Toulouse. Fascinée par la chromie, elle réalise elle-‐même le post-‐traitement de ses images.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 49/60
RDV LE PROJET PÉDAGOGIQUE INVITÉ : LA MAISON DU GESTE ET DE L’IMAGE
www.mgi-‐paris.org
Centre de recherche et d’éducation artistique, la Maison du
Geste et de l’Image permet aux enfants et adolescents de
s’initier à la pratique et à la réflexion artistiques. Chaque
année, elle est partenaire de nombreux ateliers de théâtre,
d’écriture, de photographie et de vidéo dans les
établissements scolaires et propose, hors temps scolaire dans
ses locaux, des stages thématiques.
Chaque année, elle est partenaire de nombreux ateliers de théâtre, d’écriture, de photographie et de vidéo
dans les établissements scolaires et propose, hors temps scolaire dans ses locaux, des stages thématiques.
Tous les ateliers de la Maison du Geste et de l’Image sont menés par des professionnels confirmés.
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ARTISTE MENANT LE PROJET PÉDAGOGIQUE : JULIETTE AGNEL et les élèves du lycée Pierre Lescot
FRANCE
www.julietteagnel.com
Juliette Agnel, résidente à la MGI en 2010, expose un projet pédagogique intitulé « Dans l’écriture de lumière,
vivre l’expérience de la formation d’une image dans un appareil photo ». Elle présente, en parallèle, une photo
extraite de sa série Laps, réalisée entre 2003 et 2006 à partir de films réalisés en Super 8 sur les routes de la
Côte d’Ivoire, de la Guinée et du Niger.
Photographie réalisée par des élèves du Lycée Pierre Lescot
Juliette Agnel propose une nouvelle manière d’utiliser le sténopé
(ou camera obscura), boîte peinte en noir, hermétique à la
lumière, avec un minuscule trou par lequel se dirigent les rayons
lumineux qui permit à Nièpce, en 1822, de réaliser la première
photo en huit heures de pose. Juliette Agnel propose pour ce
projet deux versions d’un sténopé géant : l’une fixe en
transformant des salles de classe en sténopés, l’autre mobile en
fabriquant une boite roulante, type voiture à bras, pouvant
contenir une ou plusieurs personnes. Les élèves accueillis par la
MGI sont invités à se placer à l’intérieur de la boîte pour voir
comment se forme cette image « primitive », et à utiliser toutes
les particularités et les capacités de ce sténopé géant pour la
réalisation d’un travail photographique sur le quartier des Halles
à Paris, qui va faire l’objet d’une prochaine rénovation.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 50/60
Le résultat de ce travail -‐ des images en mouvement, des images fixes, des prises de son, et des textes -‐ sera
présenté dans le cadre du festival.
BIOGRAPHIE
Née en 1973, Juliette Agnel vit et travaille à Paris. Elle obtient en 1999 son diplôme aux Beaux Arts de Paris. De
ses études d’éthno-‐esthétique, elle conserve le goût des voyages et de l’observation, s’en suivent de nombreux
séjours en Afrique où la pensée de Jean Rouch et les écrits de Michel Leiris l’accompagnent. Au Mali et au pays
Dogon, elle réalise son premier film en Super 8 Geste du regard qui sera présenté aux musées de l’Homme de
Paris et de Hambourg.
De 2003 à 2006, Juliette Agnel filme en Super 8 les routes de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, et du Niger. Elle fixe
le mouvement de ses films pour en extraire des images. Ce découpage des images dans le diaporama Laps et
dans la série de photographies qui en est extraite propose un nouveau rapport au temps, une extension de
celui-‐ci et fait passer du cinéma à la peinture en utilisant la photographie.
À Paris, elle enseigne à La maison du geste et de l’image les différentes approches de la photographie et
sensibilise le public au rapport à l’image dans des ateliers pédagogiques. Se définissant elle-‐même comme
plasticienne plus que comme photographe, ses collaborations avec d’autres artistes sont nombreuses. En 2005
elle devient notamment membre actif du collectif La Générale et participe en tant qu’artiste et commissaire à
l’exposition Flux. Depuis 2006, dans le spectacle jeune public Le mouton cachalot, conçu avec sa sœur, Sophie
Agnel au piano, et Catherine Jauniaux à la voix, elle projette sur scène des images prises au zoo du Bronx à New
York.
Dans l’exposition collective Arcadia au château d’Oiron, en 2007, elle présente sa dernière série de
photographies, Forêts.
(d’après Dominique Pineau)
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 51/60
RDV LE COLLECTIF INVITÉ : PARISBERLIN>FOTOGROUP
FRANCE -‐ ALLEMAGNE www.fotoparisberlin.com
© Laurent Moynat
ParisBerlin>fotogroup représente des photographes
d’origine parisienne et berlinoise. À travers de nombreuses
initiatives, ParisBerlin>fotogroup s’engage à promouvoir
activement la photographie entre Paris et Berlin mais
également en Europe. Sa vocation est double: accompagner
ces photographes dans leur démarche commerciale et
mettre en avant leurs travaux artistiques sous forme
d´événements et projets culturels, individuels et collectifs
où sont régulièrement invités à collaborer de nombreux
photographes.
ParisBerlin>fotogroup assure aussi depuis 2003 le commissariat d´expositions de photographes d’envergure
internationale tels que Erich Lessing, photoreporter d´après-‐guerre et Léon Herschtritt, photographe
humaniste français.
PROJET PRÉSENTE : « LE CADAVRE EXQUIS »
Reprenant le jeu collectif, inventé par les surréalistes dans les années 20, du cadavre exquis « consistant à faire
composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu’aucune d’elles ne puisse tenir compte de
la collaboration ou des collaborations précédentes.» (Dictionnaire abrégé du surréalisme),
ParisBerlin>fotogroup a souhaité adapter ce processus à la photographie : le jeu étant pour chaque
photographe d’interpréter l’image d´un autre. Il n´a été donné aucune contrainte de thème, l’accent a été mis
essentiellement sur le sens, la forme, la couleur, la composition de l’image.
Cet « exercice » photographique a été lancé par un appel à projet en avril 2009. 47 photographes de Berlin et
de Paris mais aussi d’autres villes à travers le globe, se sont inscrits pour participer à ce projet. La première
photo a été réalisée par l’un des participants, tirés au sort. L´ordre des participants avait été établi au
préalable. Dès qu’un des participants reçoit une image, il a une semaine pour lui répondre, libre à lui de
l´interpréter et de la continuer. Sa réponse est envoyée par mail, elle sera à son tour envoyée au suivant de la
liste.
Les 47 photos de la chaîne photographique sont présentées dans le cadre du festival.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 52/60
RDV LE JEUNE COLLECTIF INVITÉ : CARAVANE BELGIQUE www.collectif-‐caravane.com
© Laura Geerts
Nos sept regards d’auteurs proposent une photographie documentaire et sociale qui s’attache aux expériences et aux réalités humaines. En roue libre, notre curiosité nous pousse à traverser les frontières pour aller au-‐devant de petits bouts du monde. Nos images sont le carnet de route de cette observation, de ces rencontres, de la découverte de microcosmes, de territoires et d’identités, d’histoires et de modes de vie que nous cherchons à comprendre et à transcrire dans un souci de respect et d’authenticité. Nous tenons à ce que nos photographies rencontrent un public le plus large possible et c'est pourquoi nous présentons nos travaux lors d'expositions collectives spontanées ou en partenariat, de projections multimédias et de publications en Belgique et ailleurs.
Nos différentes formations issues de la presse écrite, des sciences politiques, du marketing, de la comptabilité, du graphisme et du multimédia nous permettent de mener et de gérer ces projets dans leur intégralité. Il y a des temps d’escales au fond du jardin qui nous dépaysent, et des voyages lointains qui nous ramènent à nous. Le tout près et le très loin nous intéressent tout autant pour donner la parole par l’image et rassembler les morceaux d’un puzzle fait de fragments d’humanité.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 53/60
RDV LA GALERIE INVITÉE : Galerie Café Amadeus à Olomouc RÉPUBLIQUE TCHEQUE www.olmuart.cz Inaugurée en 2009, la galerie a pour but de présenter et faire connaître le travail de jeunes photographes des pays post-‐communistes d'Europe centrale (République tchèque, Slovaquie, Pologne). Depuis 2009, la galerie Café Amadeus a présenté neuf expositions monographiques et entretient une étroite collaboration avec des anciens élèves des écoles des Beaux-‐Arts, notamment du département de l’Université de Silésie à Opava, ainsi qu'avec l’Ecole indépendante de photo tchèque. Sous l'impulsion de Gina Renotière, du Musée des Beaux-‐Arts d'Olomouc, et de Stepanka Bieleszova, qui gère la collection de photographies, la galerie fait émerger les jeunes talents, les encourage et soutient leurs projets, qui vont de l’art conceptuel à la photo documentaire.
ARTISTE PRESENTÉ :
JITKA HORAZNA TCHEQUE
© Jitka Horázná
SÉRIE : « Dimanche après-‐midi, 2009-‐2010 »
L'œuvre de la photographe Jitka Horázná dialogue librement avec la tradition de la photographie tchèque de l'entre deux guerres. Sa vision poétique et ses expérimentations techniques font penser à des artistes comme František Drtikol, Josef Sudek ou Jaromír Funke. Elle travaille depuis ses débuts au format carré et panoramique. Elle utilise de vieux appareils et de la pellicule classique. Elle aime la photo en noir et blanc, et, pour créer une ambiance originale, elle utilise des pellicules dont la date d'utilisation a expiré et fait des expériences avec des diapositives périmées. La série « Dimanche après-‐midi » est un ensemble de photos documentaires panoramiques. De ces photos, émanent un jeu poétique, un calme particulier, une luminosité intérieure. Il n'y a ni agressivité, ni ironie, ni actualité. Ses photographies montrent le paysage urbain et « le monde où nous sommes en train de vivre » comme un endroit familier et simple.
BIOGRAPHIE Née en 1982 à Ostrava, République tchèque. Elle a fait ses études à l’Université de Silésie à Opava. En 2009, elle remporte le deuxième prix de la compétition internationale Frame. Elle a exposé au Café Amadeus du 22 juin au 5 septembre 2010.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 54/60
RDV LE FESTIVAL INVITÉ : IN FOCUS
LITUANIE
www.culturemenu.com www.kulturosmeniu.lt
IN FOCUS, le premier festival dédié à la photographie artistique s’est tenu
pour la première fois à Vilnius en septembre 2008. Les photographies de 53
artistes venant de Belgique, de Grande-‐Bretagne, d’Islande, du Japon, de
France, de Lettonie, de Pologne, de Finlande, d’Allemagne et de Lituanie
ont été présentées dans une dizaine d’expositions. En 2010 ce sont 83
artistes d’origine française, néerlandaise, hongroise, russe,
luxembourgeoise, biélorusse, suisse, lettone et lituanienne qui ont été
exposés dans les galeries de Vilnius. IN FOCUS 2011 se tiendra en Lituanie à
l’automne 2011. Cette édition confrontera la photographie contemporaine
émergente aux trésors de la photographie classique.
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JOANA DELTUVAITE Lituanie
© Joana Deltuvaite
SÉRIE After
La relation qu’entretient le corps aux objets est
déterminante. Dans cette série, l’attention est portée sur
des produits de beauté -‐ produits cosmétiques,
shampoings, rasoirs, etc -‐ trouvés dans une salle de bain
que se partagent quatre femmes. Les photographies
prises en gros plans suggèrent toutefois plus les objets
qu’elles ne les représentent -‐ leurs contours sont flous et
couverts par une couche de saleté qui indique qu’ils sont
utilisés couramment ou -‐ au contraire -‐ délaissés. Cette
vision microscopique révèle la laideur des objets dédiés à
la beauté et à l’hygiène corporelles. C’est paradoxal -‐ leur
propre beauté leur est retirée tandis que le corps se
purifie.
Ce n’est pas un sacrifice mais une trahison : un rasoir, un shampoing nous montrent la malpropreté d’un corps.
Le corps humain n’est pas parfait pas plus qu’il ne sent toujours bon et contrairement à ce que nous montrent
les photos des publicités, le corps est sale. C’est le message de cette série que nous devons toujours avoir à
l’esprit.
BIOGRAPHIE
Née en 1981 à Klaipeda, Lituanie. Vit et travaille à Vilnius.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 55/60
GYTIS SKUDZINSKAS LITUANIE www.gys.lt
© Gytis Skudzinskas
SÉRIE Silence (en cours depuis 2008) Les photographies, dans cette série, abandonnent les paramètres liés à l’espace et au temps qui facilitent l’orientation. Elles interrogent le marché saturé des images reproduites. Les images, prises dans la nature, ainsi que dans des espaces privés ou publics, ne portent pas ces paramètres précis de localisation, mais donnent à voir une structure visuelle continue. L’objectif principal étant de mettre en valeur la ligne qui sépare le visible de l’invisible, le familier de l’étranger, le naturel du social.
BIOGRAPHIE
Né en 1975 en Lituanie, il vit et travaille à Palanga/Klaipeda. Diplômé de l’Académie des Beaux-‐Arts de Vilnius en 2003 et du Département de design visuel de Klaipeda, il participe depuis 1999 à de nombreuses expositions collectives et supervise différents projets dans l’ouest de la Lituanie depuis 2001. Il est membre de l’Union photographique lituanienne. Entre 1995 et 2005, il a fait partie du groupe d’action SaliKApalikau.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 56/60
7. AUTOUR DE L’EXPO
Les « Week-‐ends »
Samedi 12 mars de 11h à 20h /Dimanche 13 mars de 11h à 19h
Samedi 19 mars de 11h à 20h / Dimanche 20 mars de 11h à 19h
Lectures de portfolios
Le week-‐end du 12/13 mars, des lectures de portfolios gratuites sont organisées pour permettre aux jeunes
photographes de présenter leurs travaux aux professionnels : galeristes, éditeurs, commissaires d’exposition,
iconographes, responsables des festivals, membres de collectifs. Il s’agit d’un moment privilégié et précieux
d’expertise et de conseil. Une véritable opportunité donnée aux jeunes photographes de rencontrer des
professionnels et aux professionnels de découvrir des jeunes talents européens.
Librairie photographique
Marc Pussemier de la Librairie Photographique (17 rue de la Villette 75019 Paris) installe sa librairie à Bagatelle
le soir du vernissage, le week-‐end du 12/13 mars et celui du finissage (19/20 mars). A cette occasion, il propose
à la vente une sélection d’ouvrages d’éditeurs européens.
Conférences
Durant les « week-‐ends », des conférences gratuites sont proposées au public (programmation en cours).
L’association FreeLens viendra animer une conférence intitulée « Les nouveaux usages de la photographie »
consacrée aux POM (Petite OEuvre Multimédia) ou web-‐documentaires.
Projections
Des écrans avec casques individuels sont mis à la disposition du public et lui permettent de visualiser une
sélection de Petites Œuvres Multimédia.
L’exposition de la Direction des Espaces Verts et de l’Environnement
Au sein de Circulation(s), une exposition présente une sélection de photographies répondant au thème annuel
de la Direction des Espaces Verts et de l’Environnement (DEVE) qui est en 2011 : « Les forêts périurbaines
d’Europe » et « L’arbre comme élément fondamental du paysage urbain ».
VERNISSAGE :
Le vernissage presse aura lieu vendredi 18 février de 9h à 11h. Le vernissage officiel samedi 19 février de 15h
à 19h. A cette occasion, un bus de la RATP datant des années 50 assurera la navette entre la Porte Maillot et le
Parc de Bagatelle. Le public gardera un souvenir de sa venue grâce au studio photo installé pour l’occasion dans
lequel il pourra se faire photographier sur un fond original et repartir avec le cliché.
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 58/60
8. LES ORGANISATEURS DU FESTIVAL
Association loi 1901 reconnue d’intérêt général, Fetart a pour objectif de faire la
promotion des photographes émergents en leur donnant une première occasion d’exposer leur travail.
Véritable tremplin pour lancer la carrière des photographes, l’association a permis de révéler de nombreux
talents et de leur fournir un premier ancrage dans le marché de l’art. La plupart de ces photographes sont
aujourd’hui exposés dans des galeries, suivis par des agents ou présents dans des foires internationales.
Depuis sa création en 2005, l’équipe de Fetart, qui regroupe une dizaine de passionnés de photographie, tous
bénévoles, a organisé plus de 40 expositions et présenté une centaine d’artistes français mais aussi européens.
Le succès rencontré par ces événements a permis de montrer à un large public, la vitalité de la scène
photographique contemporaine. Le nombre de visiteurs présents lors des manifestations et la venue de
nombreux professionnels (galeristes, agents d’artistes...) témoignent de la réussite de cette démarche.
Au fil des ans, Fetart a noué avec des collectifs, des organisateurs de festivals, des galeries, des revues et des
écoles de photographies, un véritable réseau de contacts afin de créer une véritable dynamique autour de la
photographie européenne.
La volonté d’ouverture de l’association sur l’Europe s’est traduite par la création en 2009 des « Entrevues », un
regard croisé entre deux photographes européens visible sur le site internet de Fetart (www.fetart.org).
Web : www.fetart.org et www.festival-‐circulations.com
Festival « Circulations » -‐ Dossier de presse 59/60
9. INFOS PRATIQUES
Du 19 février au 20 mars 2011 à la galerie Côté Seine.
Parc de Bagatelle, route de Sèvres à Neuilly et Allée de Longchamp, 75016 Paris. Tous les jours de 11h à 17h
ACCÈS :
Métro : Porte Maillot (ligne 1) puis bus 244 : Bagatelle -‐ Pré Catelan (43 place de Bagatelle)
Métro : Pont-‐de-‐Neuilly (ligne 1) puis bus 43
SAVE THE DATE
> Vernissages Vernissage presse : vendredi 18 février 2011 de 9h à 11h Vernissage officiel : samedi 19 février 2011 de 15h à 19h
> Week-‐end lecture de portfolios Samedi 12 mars de 11h à 20h / Dimanche 13 mars de 11h à 19h
> Week-‐end finissage
Samedi 19 mars de 11h à 20h / Dimanche 20 mars de 11h à 19h
www.festival-‐circulations.com
CONTACT PRESSE :
Nathalie Dran : [email protected] /
Mobile : +33 (0)6 99 41 52 49 – Fixe: +33 (0)9 61 30 19 46
CONTACT FETART :
Marion Hislen : [email protected] / +33 (0)6 03 36 26 62
Audrey Turpin : [email protected] / +33 (0)6 07 59 86 38