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No 1269 - 11 Mars 2015 5 numéros par semaine • Gratuit avec Le Nouvelliste ...EPI DAT 7

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No 1269 - 11 Mars 20155 numéros par semaine • Gratuit avec Le Nouvelliste

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2 11 Mars 2015No 1269

46 456FANS

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL

RÉDACTEUR EN CHEFFrantz Duval

SECRÉTAIRE DE RÉDACTIONDaphney Valsaint MALANDRE

RÉDACTIONChancy VICTORINDimitry Nader ORISMAGilles FRESLET Myria CHARLESWinnie Hugot GABRIELTeddy Keser MOMBRUNJunior Plésius LOUISRaphaël FÉQUIÈREEnock NÉRÉLégupeterson ALEXANDRE

CORRECTION

CRÉATION ARTISTIQUEResponsable graphiqueRéginald GUSTAVEStevenson ESTÈVEPhotographesFrederick C. ALEXISHomère CARDICHONJean Jules Bernard DELVAMoranvil MERCIDIEUYonel LOUIS

Publicité: 2941-4646 [email protected]

Rédaction: 2945-4646

Une publication de Ticket Magazine S.A.

Ceux qui ont donné l’un des plus beaux exemples d’union et de respect mutuel dans la musique haïtienne, se sont encore retrouvé ce lundi 9 mars 2015 à la Croix-des-Bouquets pour, pour pérenniser leur mouvement de promotion de valeurs éducatives et sociales à la jeunesse du pays. Belo, BIC et Jean Jean Roosevelt, ont donc repris la Caravane sous le haut patronnage de Malta H et HandzUp group.

Belo a reçu chez lui au « Sant Komi-notè Nway », nouvel établissement à caractère communautaire situé au village artistique de Noailles, (Croix-des-Bou-quets), ses confrères de la Caravane et Ti Paul Beaubrun de Zing Eksperyans pour le lancement officiel de cet événe-ment annuel. Devant un public composé d’enfants en majeure partie, le Crussiens a donné la bénédiction avec « Moun yo ». Le public a apprécié les titres entremêlés des artistes qui ont fait de la paix et la tolérance le thème à débattre lors des interventions dans les écoles.

Sourires complices, interactions avec l’assistance, « Kalkile » de BIC est le premier hit repris à l’unisson. Jean Jean Roosevelt s’est vite vu gronder en feignant de ne pas vouloir faire « mar-cher le rara », une danse très appréciée. En tournée dans le pays à la veille de la vente signature de son premier album solo, Ti Paul Beaubrun et ses musiciens se sont donné à cœur joie sur la scène du Sant Kominotè Nway (SKN).

Avec Lakou trankil, Belo a lancé un message clair, le prix RFI musique

Et La CaravaNE Est LaNCéE !

du monde 2006, en a profiter pour se ressourcer sur sa terre natale avant de reprendre la route jusqu’au 19 mars en compagnie de ses amis.

Plésius Junior [email protected]

GEorGy MEtELLus pRÉSENTE

« It’s too LatE Elle se passe de présentation, pour

avoir presque tout vécu avec Zin comme chanteuse et danseuse.

Au moment où Zin se prépare à affronter musicalement Phantoms de King Kino lors d’un concert à Amazura le 4 avril 2015, Princess Georgy sort un single. Intitulée « It’s too late », cette chanson dans laquelle l’artiste se révolte contre son conjoint et refuse la récon-ciliation en déclarant qu’il est trop tard, sera gravée sur l’album solo de l’artiste. Princess Georgy a coécrit le texte avec Féquière Joseph.

Cet album, qui comportera environ une dizaine de morceaux, aura comme producteur exécutif Perky Joseph. Des musiciens comme Olivier Duret de Dat 7, Shedly Abraham à la batterie et aux arrangements, Youyou à la basse, JP à la guitare, Mario Michel, en background vocal, participeront à l’élaboration de cet opus dont Georgy ne souhaite pas encore dévoiler le nom. Toutefois, la chanteuse annonce que comme d’habi-tude, elle participera sur toutes les chan-sons qui y figureront.

Gilles [email protected]

Belo, Jean Jean et BIC encore réunis. Ti Paul Beaubrun et sa bandeLesn enfants ont répondu é ce premier concert

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311 Mars 2015No 1269

Au Karibe, le samedi 7 mars, des femmes,

Suzie Trébeau, Béatrice Kébreau, Leila Chicot,

Orlane, Danielle René-Corail, étaient sur scène

pour ressusciter Edith Lefel dans le cœur des

fans de celle qu’on sur-nommait « la petite fée ». Rutshelle Guillaume, Darline Desca, Sandra

Jean ont ouvert ce spec-tacle organisé en hom-

mage aux femmes.

ELLEs oNt ChaNtéEdIth LEfEL

Dans la grande salle de l’hôtel, des gens d’un certain âge, attablés, savourent entre deux gorgées de vin ou de champagne des morceaux d’Edith Lefel, ancienne gloire du Zouk décédée en 2003. Accompagnées des musiciens de Kwaxicolor, le quatuor Suzie Trébeau, Leila Chicot, Orlane, Danielle René-Corail, que Béatrice Kébreau rejoint de temps à autre, revisite le répertoire de l’artiste.

Car ce chantre de la musique afro-caribéenne parti pour l’au-delà suite à un malaise cardiaque, à seulement 39 ans, a légué, entre 1988 à 2003, environ six albums : La Klé (1988), Mèci (1992) ; Rendez-vous (1996) ; À l’Olympia (1992) ; À fleur de peau (1999) ; Best of Edith Lefel (2001) ; Si seulement (2002), ainsi que des tubes provenant de collaborations très fructueuses, avec le groupe Malavoi notamment.

Dans la foulée, on redécouvre et emporte chez soi plusieurs titres dont le mythique « Si seulement », ainsi que «Mari », « Fanm fò » « La Sirène », « Bonm’

saindoux », pour s’en arrêter là. Leila Chicot offre au public « Tousèl », une chanson qui a eu beaucoup de succès tandis que dans une robe de David André, agrémentée de bijoux de Bijou Lakay, Orlane fait une superbe interpré-tation de « Jalouse », un de ses morceaux phare.

Le public semble s’être bien amusé à ce spectacle où des étoiles du Zouk, San-dra Jean et nos jeunes espoirs féminins Darline Desca et Rutshelle Guillaume ont fait de leur mieux pour rendre hommage à la femme. Edith Lefel fut une artiste qui,

avec plusieurs albums solos à son actif, a tracé le sillon d’une carrière dense qui a combiné bonheur, talent, professionna-lisme et beauté.

Honneur et mérite aux Femmes ! On a vu à ce spectacle qui s’est tenue

la veille de la Journée internationale des droits des femmes une représentante du Groupe Sogebank décerner une plaque d’honneur pour récompenser le travail de Margareth Cazeau qui s’occupe de l’orphelinat Foyer Bon Samaritain pour les enfants depuis plus d’une décennie.

Ce fut aussi l’occasion de reconnaître le mérite de Magalie Racine, ex ministre de la Jeunesse, des Sports et de l’Action civique et MC de la soirée. Surmontant sa surprise, dans un discours improvisé, elle assure : « Je serai toujours là pour les jeunes de mon pays ! »

Winnie H. Gabriel

[email protected]

Luck Mervil remet une plaque d’honneur à Magalie Racine

Darline Desca charme son public

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4 11 Mars 2015No 1269

LE MarrIot uNE bELLE vItrINE pour L’art haïtIEN !

Eh oui, le premier Marriott construit en Haïti a le mérite d’avoir su savamment incorporer la touche haïtienne dans son décor dominé par des tons de beige, de rouge et de vert, ainsi que dans son staff, car 99% des employés sont haïtiens. Les investisseurs misent beaucoup sur l’utilisation des produits du terroir et entendent établir des partenariats avec des fournisseurs locaux, pour les fruits, par exemple. Au Marriott on peut boire du café au coffee shop Rebo, manger les légumes qui proviennent de Kenscoff, du poulet élevé dans une ferme à Léogane, nous apprend Peter Antinoph, le direc-teur général, dans une conférence de presse. Les produits de toilette qu’on fournit généralement dans les salles de bains ont été remplacés par d’autres pré-parés par Ayiti Natives de Caroline Sada.

Les yeux du visiteur captent mille et une petites œuvres made in Haiti. Une architecte irlandaise, Nikki O’Donnell, a été recrutée pour concevoir la décoration intérieure du Marriott Haïti. Et, entourée de Philippe Dodard et de Monique Gar-dère comme commissaires, plus de 1 500 pièces d’art et d’artisanat haïtiens ont été choisies pour orner les espaces d’accueil de l’hôtel. Pour Philippe Dodard, « le projet de Marriott Haïti montre l’impor-tance d’intégrer l’art haïtien au niveau de

l’architecture et de la décoration inté-rieure. Un bel exemple pour la recons-truction nationale ».

Les pièces décoratives ajoutent une note colorée et chaleureuse dans les espaces du Marriott. Ainsi, on retrouve des mosaïques et des cloisons en fer for-gé de Philippe Dodard, des tableaux de plusieurs peintres de l’école Saint Soleil dont Pierre Sylvain Augustin (Payas), Eri-vaux Prospère, Magda Magloire, Maxan Jean-Louis dans l’espace Lobby Bar-Res-taurant. On y rencontre aussi d’autres peintres tels que Ronald Mevs, Sono Laguerre. Un peu partout des œuvres en papier mâché et/ou vases en feuilles de tabac de Peter Satyr, et de Sylvestre. Des sculptures en bois de Delva, en pierre de Roklo sur la terrasse extérieure ou en mé-tal découpé de Serge Jolimeau, dont une grande sirène au bar. C’est d’ailleurs cette œuvre maîtresse qui a inspiré le nom du bar. Des lustres en cristal et corne de Cookie Villard. De superbes tapisseries en textile recyclé dans l’escalier et la grande salle de conférence par Paula Coles.

Les artisans de Noailles de la Croix-des-Bouquets ne sont pas en reste. Le métal découpé de Jean Raymond, de Richardson Erisma et de Ti Ben habille les murs. Les photographies signées Raphaelle Castera enjolivent divers coins

de l’hôtel, notamment les chambres. C’est une évidence ! L’art haïtien s’in-

cruste dans tous les recoins du Marriott. Et bien entendu, ces œuvres ne manque-ront sans doute pas d’attirer les visiteurs, d’éveiller leur curiosité ou même l’envie de repartir avec une réplique du genre.

L’Hôtel Marriott de Port-au-Prince a ouvert officiellement ses portes le 1er mars dernier. Au delà de la dimension écono-mique et commerciale, de ce bel immeuble qui se tient majestueusement sur la route de Turgeau, il faut souligner que ce nouvel hôtel quatre étoiles ou cinq hibiscus, selon la nouvelle nomenclature du ministère du Tourisme et des Industries Créa-tives, constitue une belle vitrine pour l’art haïtien.

Un vrai coup de pouce pour nos artisans de génie !

Winnie H. [email protected]

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511 Mars 2015No 1269

tout NouvEautout bEau !DAT7

...EpI DAT7

Depuis environ sept mois on entend parler de Dat 7. Basé à Miami et n’ayant pas encore de représentant en Haïti (où pourtant il a pris naissance), le groupe a choisi finalement de se présenter officiellement à la presse le mardi 10 mars 2015 à l’hôtel Oasis Hôtel, à Pétion-Ville.

Parmi tous les membres qui com-posent Dat 7, seulement les quatre prin-cipales figures étaient présentes. Ce sont des musiciens connus, aussi les proprié-taires de la nouvelle formation musicale. Trois d’entre eux (Ricot « T-Tanbou » Ama-zan, tambourineur, Eddy « T-Eddy » Viau, gongiste, et Olivier Duret, chanteur) sont des anciens musiciens de T-Vice ayant abandonné ce ténor du compas il n’y a pas trop longtemps. L’autre est Vladimir Alexis, ex-batteur de Kreyòl La. Ils étaient accompagnés du très connu promoteur Gérald Firmin dit Gérald Kaliko, leur manager et aussi propriétaire.

Cette présentation à la presse de Dat 7 où Mike On The Mic jouait le rôle de MC était l’occasion pour ces musiciens et propriétaires de préciser pourquoi ils

ont choisi de lancer le groupe à Port-au-Prince. « Lakay se lakay ! Nous sommes nés ici. Nous venons d’Haïti, là où le compas a pris naissance, son quartier général. C’est la raison pour laquelle que nous avons choisi de lancer Dat 7 en Haïti », a expliqué Olivier Duret.

Au cours de cette conférence, Dat 7 a d’entrée de jeu permis aux travailleurs de presse présents d’écouter et de visionner sa première chanson, « Se konsa ». Ils ont aussi pu écouter sa deuxième composi-tion, « Depozit », en attendant « la sortie prochaine l’album ».

C’est T-Tanbou, ex-tambourineur de T-Vice, qui a choisi le nom du groupe, pour sa simplicité. « C’est une expression utilisée par tout le monde pour dire qu’on est d’accord, qu’on accepte une chose positive », a-t-il justifié.

En ce qui a trait aux inquiétudes de

plus d’un sur une éventuelle dislocation de la jeune formation musicale peu de temps après sa création à cause de l’instabilité des musiciens, manager, propriétaires et… musiciens rassurent le public qu’il n’en sera pas question. « Nous sommes des humains, on ne sait pas ce qui pourrait se passer à l’avenir, mais Dat 7 est nôtre. Ce groupe est une affaire d’amis et de famille. Nous étions des amis avant de faire business ensemble ; c’est à notre avantage et la garantie que Dat 7 ne disparaîtra pas demain de la scène musicale », ont-ils fait savoir.

Vladimir Alexis, qui disait avoir quitté Kreyòl La après neuf ans pour des raisons familiales, se montre fier d’intégrer Dat 7 dont il est copropriétaire. T-Tanbou, qui confirme avoir quitté T-Vice pour les mêmes raisons, précise que cela ne voulait pas dire pour autant qu’il avait

abandonné la musique. Le tambouri-neur promet que Dat 7 existera toujours même quand il y des problèmes fami-liaux surviendraient. Quant à T-Eddy, il rappelle qu’il n’a pas laissé T-Vice pour des raisons familiales mais pour d’autres insatisfactions, car, estime-t-il, il n’évo-luait pas dans le groupe.

Même si la plupart des musiciens de Dat 7 faisaient partie d’autres groupes musicaux, en dépit du fait qu’il y a des formations musicales avec le vent en poupe dans l’HMI, les musiciens et propriétaires de Dat 7 déclarent que leur groupe est venu pour faire de belles choses. « Nous sommes en compétition avec le compas direct. Nous sommes là pour le jouer live, pour faire plaisir à tout le monde », concluent-ils.

Gilles [email protected]

Un nouveau groupe dans l’industrie musicale haïtienne. Dat 7 (dérivé de l’anglais « That’s it ») a été officielle-ment présenté à la presse, de fait au grand public, le mardi 10 mars lors d’une conférence à l’hôtel Oasis. Consti-tué de plusieurs musiciens démission-naires d’autres groupes musicaux, Dat 7 démarre l’aventure avec deux chansons : « Depozit » et « Se konsa », cette der-nière accompagnée d’un clip.

Ils avancent un peu vite. Olivier Duret, Ricot Amazan, Eddy Viau, respec-tivement ex-chanteur, tambourineur et gongiste de T-Vice, et Vladimir Alexis, ancien batteur de Kreyòl La, traînent chacun de longues expériences derrière eux. Lesquelles expériences vont être mises au service de ce nouveau groupe dont ils sont non seulement musiciens mais aussi propriétaires. Ce double statut est une sorte de ligne rouge, pour que chacun entretienne un sentiment d’appartenance à l’entreprise, mais aussi s’y implique davantage. Ils sont tous des « Mèt Djaz ».

Dat 7 répète depuis seulement un mois. Cependant, le projet existe depuis mi-2014. Ayant tous renoncé à leur formation musicale précédente pour des raisons distinctes, certains avouent toutefois n’avoir pas eu au départ cette idée de fonder un groupe ; d’autres,en revanche, comme Olivier, croient qu’avoir un statut de propriétaire est mieux que celui de « giggeur ». « Nous sommes des musiciens professionnels. Nous vivons de la musique, tout comme le médecin, l’avocat, entre autres vivent de leur pro-fession », explique Ricot dit T-Tanbou.

Sur la pochette du disque présentant leurs deux nouvelles chansons, on les voit sur cette photo inédite corps à moi-tié dans l’eau, comme pour expliquer une sortie de l’auberge.

D’autres musiciens résidant à Miami comme eux et dont ils choisissent de

taire les noms pour le moment font partie du groupe. À une vitesse verti-gineuse, Dat 7 annonce déjà sa sortie officielle pour fin avril prochain, et mieux, l’album est, selon les musiciens, prêt à 90 % ! On y retrouvera une diversité côté style, dévoile Olivier Duret, lead vocal du groupe. Ils n’ont pas voulu faire de promesses ou anticiper sur les boude-ries qui souvent sapent les structures des groupes musicaux. Conscients des différences au niveau comportement, ils misent sur l’amitié mais aussi le profes-sionnalisme pour pouvoir avancer.

Olivier Duret

Pour l’interprète de « Danre ra », c’est un plaisir de travailler avec des gens qui ont la même vision que lui. Ils se fréquentent depuis un bail, ce qui à son avis facilite la collaboration. L’ex-chanteur de T-Vice reconnaît les limites d’une carrière solo. Aussi a-t-il répondu positivement à cette nouvelle proposi-tion dont les conditions sont différentes et avantageuses. Néanmoins, ce n’est pas demain qu’Olivier va mettre un terme sa carrière solo. Laquelle répond à certaines exigences et propositions spécifiques. Oli reconnaît toutefois que « nan biznis konpa a, se gwoup ki mache ».

Ricot Amazan (T-Tanbou).

Depuis 1 an et 7 mois il ne joue plus aux côtés des Martino. Le tambourineur a prêté ses services au groupe pendant trois longues années. Aujourd’hui, l’ex-musicien de Beldjazz aborde cette nou-velle aventure avec beaucoup d’excita-tion. « C’est une nouvelle expérience du genre pour moi, alors je vais en profiter pleinement », annonce-t-il.

Vladimir Alexis

On se demandait où il était passé après avoir laissé Kreyòl La en avril 2014. Vlad était là. Il avait d’autres occupations,

comme prendre soin de sa famille, avoir de nouveaux boulots. En dehors de la musique, les musiciens ont une vie nor-male qu’ils doivent entretenir. Vladimir a bossé un peu dans le graphique, la sono, afin de pouvoir continuer à se reproduire dignement. « Avec Kreyòl La, j’ai passé neuf bonnes années ; jusque-là les meil-leures de ma vie. Ces neuf années m’ont introduit à la vraie vie. Je suis passé d’un gamin à un homme, d’un mari et un père de famille ». Dat 7 est tout autre chose pour Vladimir. Son ambition est de voir sa nouvelle équipe apporter une touche différente dans la musique haïtienne.

Eddy Viau

Avant T-Vice, Eddy a joué au sein de Hang Out, depuis sa genèse jusqu’à la deuxième année du groupe. Il n’avait que 19 ans. Ensuite, il a intégré la bande à Roberto Martino où il a passé sept ans comme gongiste. « C’était une très belle expérience, vu la notoriété du groupe. J’ai beaucoup voyagé avec eux et j’ai aussi beaucoup appris du business », confie-t-il. Eddy a toujours rêvé d’avoir son propre groupe. Né et ayant grandi aux USA, il ne s’est jamais pour autant intéressé à la musique américaine. Il croit qu’il a hérité de la musique mais surtout du compas génétiquement, puisque son grand-père, Hector Lemony, a joué dans l’orchestre de Nemours et était directeur de l’Orchestre de l’Ecole Sainte-Trinité. Eddy a tenu à préciser que sa démission de T-Vice a été une décision normale. Après sept ans de collaboration, le musicien estimait avoir appris assez pour pouvoir mettre son énergie dans une entreprise qui lui est propre. Dat 7 est un risque qu’il veut prendre tout simple-ment ; et il est très optimiste quant à la réussite de ce projet.

Joël Fanfan

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Jeudi 12 mars 20156

Quinze (15) équipes issues de neuf (9) associations dûment affiliées à l’Union caribéenne

de football (CFU) disputeront du 15 au 17 avril la dix-septième (17e) édition du CFU Club Championship 2015. Les deux représentants d’Haïti dans ce tournoi qualificatif à la Li-gue des champions de la Concacaf 2015/2016, l’America FC (Cayes) et le Don Bosco FC (Pétiton-Ville) joueront leurs matches à domicile dans les groupes 3 et 4.

Exceptionnellement cette an-née, les deux représentants d’Haïti au CFU Club Championship 2015, l’America FC (Cayes) et le Don Bon Bosco FC (Pétion-Ville) recevront leurs adversaires au stade Sylvio Cator (Port-au-Prince) et au Land des Gabions (Cayes). L’annonce of-ficielle en a été faite par les autorités de la CFU. Ces dernières ont dévoilé la composition des quatre (4) grou-pes. A priori, le Don Bosco FC a eu un meilleur sort que l’America FC, qui doit se mesurer à des équipes issues de pays ayant une grande tradition de football.

En effet, auréolée de deux titres majeurs acquis l’an dernier dans le championnat national de D1, l’équipe de l’America FC, champion du tournoi d’ouverture et du Super 8, n’aura pas la partie facile dans

CFU ClUb Championship 2015

le groupe 3 du CFU Club Cham-pionship 2015 meme si elle aura en revanche, le privillège de jouer ce tournoi dans son fief, le Land des Gabions. Les Cayens seront opposés au vice-champion de Suriname, SV Excelsior avant d’affronter succes-sivement le champion de la Guade-loupe, CS Moulien (tenant du titre de la Coupe de Guadeloupe et le club phare de l’île au même niveau que l’Etoile de Morne-à-l’Eau), et le champion de la Jamaïque, Montego Bay United FC. Ce dernier est un ha-bitué de la compétition. En contre-partie, l’América y fera ses premières armes. Autant dire que l’America FC se trouve dans un groupe difficile.

Pour se qualifier, il va falloir que les Cayens prennent dès aujourd’hui les choses en main.

Pour ce qui est du Don Bosco FC, vainqueur l’année dernière du tournoi de fermeture et du trophée des champions, il a bénéficié sur le papier d’un groupe largement à sa portée. Ses trois adversaires sont issus de pays qui ne représentent pas grand-chose au niveau footbal-listique. Pour preuve, les Pétion-vil-lois en découdront respectivement avec Helenites, champion des Iles Vierges US, Lyford Cay FC Dragons, champion des Bahamas, et Unité Sainte Rosienne, vice-champion de la Guadeloupe.

Par ailleurs, le Groupe 1 est com-posé d’ Alpha United FC (Guyana), Central FC (T&T) et Inter Moengo-tapoe (Suriname) et le Groupe 2 est constitué de W Connection (T&T), Guyana Defense Force FC (Guyana), SAP FC (Antigua-&-Barbuda) et Waterhouse FC (Jamaïque). Les équipes du groupe 1 jouent au Bourda Georgetown (Guyana) et celles du groupe 2 s’affrontent au stade Manny Ramjohn de Marabella (Trinité & Tobago).

Le vainqueur de chaque groupe est qualifié pour les ½ finales qui auront lieu le 22 mai dans un lieu à déterminer. Idem pour la finale programmée pour le 24 mai. Les finalistes et les vainqueurs du match de classement (3e place) disputeront directement l’édition 2015/2016 de la Ligue des Champions de la Concacaf.

Pour l’instant, rien de spécial n’est à signaler en termes de prépa-ration pour les équipes haïtiennes, America FC (Cayes) et Don Bosco FC (Pétion-Ville). Cependant, elles seront très en jambe pour jouer cette compétition dans la mesure où le championnat national Digicel de D1 bat son plein, et cela, depuis la fin du mois de février.

Légupeterson Alexandre /[email protected]

Les adversaires de l’America FC et du Don Bosco FC connus

Huit (8) rencontres étaient au programme le week-end écoulé pour le compte de la

10e édition du « tournoi de l’Unité » organisé par le Ciba. La plus forte impression est à mettre à l’actif des élèves du Nouveau Collège Bird. A Contrario, les filles du Collège Catherine Flon ont vécu un week-end cauchemardesque. Coup de projecteur sur les principaux mat-ches joués par les élèves de la zone métropolitaine.

Une nouvelle fois, les fans du basket scolaire étaient au rendez-vous dans les locaux de l’Institution Sainte Rose de Lima (Mère Lalue), au Collège des Normaliens Réunis et sur le terrain du Ciba pour sup-porter leurs équipes respectives. Chez les hommes, les élèves de l’Institution Saint-Louis de Gon-

zague ont baissé pavillon face à ceux de Victor Barolette (23-27) dans la catégorie cadette garçon. Parallèlement, les Saint-louisiens se sont bien repris dans la catégorie junior en battant (52-46) les élèves du Collège Isaac Newton dans un match âprement disputé.

De son côté, le Collège Nouvelle Lune a dû puiser dans ses ressources pour prendre la mesure de l’équipe du Collège Les Normaliens Réunis. Au terme du temps réglementaire, les locaux se sont inclinés sur le score de 42-36. L’unique fausse note de la journée a été le match gagné par forfait dans la catégorie open par les élèves du Collège Ed-mond Laforêt aux dépens de ceux du Collège La Providence. Ces der-niers n’ont pas fait le déplacement. Ainsi, ils ont perdu le match sur le

score de 20-0.Chez les dames, les élèves de

l’Institution Sainte Rose ont dû batailler très ferme pour gagner contre la solide équipe de l’Insti-tution Notre Dame de Lourdes. Cette dernière s’est inclinée pour deux points d’écart (12-10) dans la catégorie minime. Dans la catégo-rie cadette, le Lycée Marie Jeanne a fait une victoire très significative face à l’Institution Marie Louise Trichet. Pour l’occasion, les lycéen-nes l’ont remporté sur le score de (17-13).

Réputé pour être une équipe très solide dans la catégorie open garçon du Ciba, le Collège Cathe-rine Flon a été ridicule le week-end écoulé dans les catégories junior et cadette fille. Opposées aux filles du Collège Victor Barolette, les Carre-

fouroises ont mordu la poussière sans même transformer un panier. Tout compte fait, Catherine Flon perd le match (6-0). Cependant, la plus belle performance est à mettre au crédit des élèves du Nouveau Collège Bird. Elle sont imposées sur le score net et sans bavure de 36-0. Sa victime porte le nom de Catherine Flon dans la catégorie junior.

A en croire les responsables du Ciba, plusieurs bons matches sont au programme pour le week-end à venir. « Grâce à nos sponsors : Digicel, SOGEBANK, Diri Mega et SogeXpress, nous prenons la disposition d’enchanter le cœur des fans avant les examens du troisième contrôle », Emmanuel Bonnefil, dixit.

Légupeterson Alexandre /[email protected]

Promenade de santépour Nouveau Collège Bird

america des Cayes (photo : Yonel louis)

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Jeudi 12 mars 2015 7

Héroïque, le PSG arrache son billet pour les quarts !

Ligue des champions

Héroïque à dix contre onze, le PSG s’est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des champions en éliminant Chelsea en prolongation (2-2). Le champion de France tient son match référence sur la scène européenne.

Un cap enfin franchiStamford Bridge, station de

métro Fulham Broadway. L’his-toire retiendra donc que c’est dans l’antre de Chelsea, cimetière de ses ambitions l’an dernier (2-0), que le Paris Saint-Germain version Qatar a écrit la plus belle page de sa récente histoire. Eliminé sans perdre par le FC Barcelone en 2013 (1-1, 2-2) et, donc, par les Blues en 2014, le champion de France était en quête d’une performance référence face à un grand d’Eu-rope. Il l’a ! Malgré des éléments contraires, qui ne manqueront pas de susciter la polémique, le PSG rêve enfin. Dans l’obligation de marquer après le but à l’extérieur de Chelsea à l’aller (1-1), Paris a fait ce qu’il fallait, respecté le plan de jeu dévoilé par Laurent Blanc la veille en conférence de presse. Attaquer oui, mais ne pas se jeter inconsciemment dans la gueule du loup, la fleur au fusil. En infériorité numérique pendant une heure trente après le carton rouge reçu par Zlatan Ibrahimovic, les Pari-siens, soutenus par 2.000 suppor-

transformé par Hazard (90e+6) en inscrivant d’une tête rageuse le but de la qualification (114e). La marche était haute mais, cette fois, Paris l’a gravie. Et se hisse, pour la troisième fois consécutive, en quarts de finale.

Ibrahimovic dans le rouge

Est-ce la couleur du maillot porté par le PSG qui l’a inspiré ? Toujours est-il que Zlatan Ibrahi-movic a mis son équipe dans le rouge en se jetant maladroitement dans les pieds d’Oscar à la demi-heure de jeu. Une faute specta-culaire aussitôt sanctionnée d’une exclusion par l’arbitre néerlandais, Björn Kuipers. Sévère peut-être. Préjudiciable assurément. Car en laissant ses coéquipiers à dix, le géant suédois a déséquilibré une rencontre jusque-là indécise. A un de moins, Paris a reculé, parfois plié et mais jamais rompu. Forfait et en tribunes lors du match retour l’an dernier, «Ibracadabra» était attendu au tournant mercredi. Mais c’est un mauvais tour qu’il a joué (seulement 16 ballons joués, dont un seul dans la surface ad-verse). Comme trop souvent dans les rendez-vous couperets. Et à son manque d’efficacité dans les matches à éliminations directes de Ligue des champions (8 buts en 38 matches), il faudra désormais ajouter ses quatre expulsions dans la compétition. Un triste record. Heureusement pour lui, ses parte-naires se sont chargés de le faire passer au second plan.

ters en furie, ont fait preuve d’un immense caractère qui a fini par avoir raison d’un Chelsea encore peu emballant mercredi soir.

Des regrets, encore et toujours

Le PSG n’avait jamais marqué en Angleterre et le «sorcier» José Mourinho jamais perdu une dou-ble confrontation contre un club français. La montagne à gravir était donc haute. Mais Thiago Silva et ses coéquipiers étaient équipés. Malgré la pression impo-sée d’entrée par Chelsea, ils ont passé sans encombre les premiers lacets. Jusqu’à ce tacle mal maîtrisé d’Ibrahimovic sur Oscar synonyme d’expulsion (31e). Un tournant qui faisait grimper d’un cran la température. Mauvais gestes, avertissements, échauffourées, l’ascension virait à la bataille ran-gée (7 cartons jaunes et, donc, un rouge sur l’ensemble de la partie). Mais Paris ne déposait pas les ar-

mes. Au contraire. Malmené en début de seconde période, le PSG se procurait la meilleure occasion de la partie grâce à Cavani, qui se jouait de Courtois mais butait sur le poteau (58e).

Un raté qui aurait pu coûter cher. Car Chelsea, sans profiter de sa supériorité numérique pour acculer les Parisiens, finissait par trouver la faille. Comme à l’aller, c’est un défenseur, Gary Cahill, qui crucifiait Sirigu après une action confuse dans la surface (81e). Et de ressurgir le spectre de l’an der-nier, avec ce but décisif de Demba Ba dans le money time. Mais face aux vents défavorables, Paris mon-trait des ressources insoupçon-nées, dignes de la grande équipe qu’il aspire à être. David Luiz, déchaîné pour son retour à Stam-ford Bridge, arrachait d’abord une prolongation inespérée sur corner (86e). Avant que Thiago Silva, en capitaine courage, se rattrape du penalty concédé sur une main et

Le Bayern atomise le ShakhtarLigue des champions

Le Bayern Munich n’a pas eu le temps de trembler. Très rapide-ment en supériorité numérique,

les hommes de Pep Guardiola se sont largement imposés face à Donetsk (7-0). Ils rejoignent les quarts de finale de la Ligue des champions.

Bayern Munich – Shakhtar Donetsk (7-0)

Bayern Munich : Muller (4e s.p, 52e), Boateng (34e), Ribéry (50e), Badstuber (63e), Lewan-dowski (75e), Gotze (88e).

Bousculé lors du match aller en Ukraine par le Shakhtar Donetsk (0-0), le Bayern Munich n’a pas lais-sé l’histoire se répéter. Les hommes

de Pep Guardiola ont pris le match par le bon bout et dès la troisième minute de la rencontre, ils ont fait basculé le destin de leur côté. A la suite d’un jeu à trois entre Gotze, Ribéry et Robben, l’Allemand a obtenu un pénalty évident pour une faute de Kucher. Ce dernier a même écopé d’un carton rouge de la part de M. Collum, l’arbitre écossais de la rencontre, jugeant que le défenseur ukrainien avait annihilé une action de but. Thomas Muller ne s’est pas fait prier et a transformé la sentence en prenant à contre-pied Pyatov (4e). Par la sui-te, les Munichois ont monopolisé le ballon et se sont créés de nombreu-

ses occasions. Arjen Robben était tout proche d’inscrire le deuxième but mais il n’a pu reprendre la balle piquée de Lewandowski (9e). Le Néerlandais est d’ailleurs sorti peu de temps après se plaignant des ischio-jambiers (19e). Le Polonais Robert Lewandowski a lui trouvé le poteau de la tête suite à un magni-fique centre de Rafinha (24e). Fina-lement, c’est Jérôme Boateng qui a doublé la mise. Après un bel arrêt de Pyatov devant Lewandowski, le défenseur international allemand a poussé le ballon au fond des filets. Ce qui a permis aux Bavarois de rentrer aux vestiaires avec un bel avantage.

La promenade bavaroiseEn seconde mi-temps, les Mu-

nichois sont restés fidèles à leur philosophie avec un jeu offensif particulièrement léché. Ribéry a très rapidement trouvé la faille. Au terme d’un magnifique une-deux entre lui et Alaba, le Français a trompé Pyatov d’une frappe croisée puis-sante (50e). Puis, c’est Muller qui a aggravé le score quelques minutes après. L’international allemand a poussé le ballon dans le but vide à la suite d’un dégagement hasardeux du gardien ukrainien après un centre de Ribéry (53e). Le Shakhtar a es-sayé de sauver l’honneur mais sans succès. Le champion d’Allemagne accède donc aux quarts de finale de la Ligue des champions et s’affirme comme un candidat sérieux au titre de champion d’Europe.

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8 11 Mars 2015No 1269

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Les mots peuvent figurer dans tous les sens : horizontalement, verticalement, en diagonale, de haut en bas et vice versa, de droite à gauche et inversement. Les cinq lettres restantes désignent le nom scientifique de la luette.

MOTS CACHÉS

MOTS ADDITIONNÉS

Prenez l’ensemble des lettres des mots qui sont additionnés et remettez-les dans l’ordre pour former le mot-solution. Les accents et les cédilles ne se retrouvent pas nécessairementdans la réponse.

MISÈRENORD

RAISON+ GRÉ

TERMEPRÊT

LIERRE+ PUNCH

JEUX - 200

ABCÈS CONÇU INDIGNE REPASAGONIE CRAWL INDIVIDUEL RODÉOALAISE CRÊPER INFÉODER RONDOALÉSEUR CUIVRE LOPIN SABOTALPHA DIACRE MANDRIN SÉNATAPPRIS ÉCHINER MERCI SERPENTINARYTHMIE ÉCUME MOLLE SERRÉBAISER ENFONCÉ MUFLERIE SNOBERBANCAL ENRAYURE NECTAR SOUCIBARBER ÉPURER OBIER STUDIOBAVOLET ESQUINTER OLIVETTE TAUPINBLOUSE GÎTER OURSIN UNTELBRAIMENT HEURE RAZZIA USINECANARI IGNARE RENOM VENIR

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MOTS CROISÉS

Horizontalement 1 - Limitation. 2 - Joignit en entrelaçant les torons. Petit écureuil. 3 - Capitaine du Nautilus. Habitant de Rome. 4 - Fricot. Sur la croix de Jésus. 5 - Festivités où on maîtrise des bêtes. Le revers de la

médaille. 6 - Évitée. Dans. 7 - Gadolinium. Sans dents. Titane. 8 - Issus. Geste. 9 - Qui a la couleur de l’ivoire. Hue. 10 - Retour du même son à la fin de deux vers. Convoiter.` 11 - Laisser. Cheville. 12 - Tristes. Embarrassées.

Verticalement 1 - Bouder. 2 - Appéritif. Fou. 3 - Gêné. Amarante. 4 - Qui a deux côtés égaux. Quittance. 5 - Tibia. Poule. Hassium. 6 - Éclot. Mort. 7 - Impriment. Région couverte de dunes. 8 - Lettre grecque. Général romain. 9 - Futé. Du vent. 10 - Coupe en tranche fine. Gouvernante. 11 - Contesteront. Frustre. 12 - Astringent. De l’Ibérie.

PYRAMIDE

Complétez la pyramide avec les nombres manquants. Chaque brique contient la somme des deux cases situées en dessous de celle-ci.

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Horizontalement 1 - Dégriser. 2 - Palmier. Pelle creuse. 3 - Comprimable. 4 - Agha. Évaluées. 5 - Risque. Baudet. Est anglais. 6 - Explose. Seule. 7 - Neptunium. Fort mince. Terre. 8 - Meurtri, en parlant d’un fruit. Rien. 9 - Ample. Manufacture. 10 - Téléphonée. Dromaiidé.` 11 - Sudiste. Apériteur. 12 - Vagabondas. Femelle de l’âne.

Verticalement 1 - Sablant. Blonde enivrante. 2 - Louange. Tâter. 3 - Fruit de l’érable. Boire à coups de langue. 4 - Pièce de charrue. Jaunisse. 5 - Myrtille. Tintement lent et répété annonçant la mort. 6 - Tentes. Ans. 7 - Sculpture. Agence spatiale européenne. 8 - Rogne sur les dépenses. Or. Unique. 9 - Étêté. Intercalé. 10 - Vêtement. Derniers. 11 - Remplie. Vous et moi. 12 - Pétard. 60 minutes.

Horizontalement 1 - Chef-lieu. 2 - Recueil de bons mots. Chargements. 3 - Diminué. Symbole chimique. 4 - Prétextes. 5 - Démonstratif. Breuvage divin. 6 - Poisson d’eau douce d’Europe. Dans l’oeil. 7 - Plantes ligneuses grimpantes. 8 - Institution haïtienne. Dirigée. 9 - Aplanies. 10 - Amabilité.

Verticalement 1 - Parc industriel. Interjection. 2 - Relatif à l’anus. Génisse. 3 - D’une capitale européenne. 4 - Symbole chimique inversé. Canal. 5 - Amincir. Romain. 6 - Navré. Répand. 7 - Au golf. Fignolé. 8 - Titane inversé. Rongeur en désordre. Négation. 9 - Direction. Appréciées. 10 - Labourées.

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CITATION ÉLASTIQUE

Pour lire la citation de la semaine, penchez votre journal. L’amour déçoit souvent où il promet le plus