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CONCOURS GENERAUX EPS O/A /17/04 - EPS O/AD/24/04 ADMINISTRATEURS SPÉCIALISÉS DANS LE DOMAINE DE LA RECHERCHE F I

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CONCOURS GENERAUX

EPSO/A/17/04 - EPSO/AD/24/04

ADMINISTRATEURS SPÉCIALISÉSDANS LE DOMAINE DE LA RECHERCHE

FI

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Test constitué d'une série de questions à choix multiplevisant à évaluer les aptitudes et les compétences

générales du candidat, notamment en matière de capacitéde raisonnement verbal et numérique

Questions numérotées de 1 à 40

Durée: 60 minutes

Instructions:

Dans chacun des exercices suivants, vous serez confronté(e) à des questionsqui se réfèrent à un texte ou un tableau déterminé. Vous devez choisir laréponse correcte pour chaque question.Pour parvenir à votre conclusion, n'utilisez que l'information contenue dans letexte ou le tableau.

Il est important de noter que vous ne pouvez vous référer à aucuneconnaissance (préalable) quelle qu'elle soit et que l'exactitude de toutes lesréponses est uniquement basée sur l'information contenue dans le texte ou letableau.

? Vous ne pouvez choisir qu'une seule réponse par question.

? Vous n'êtes pas autorisé(e) à vous aider d'un support.

? Les réponses erronées ne seront pas pénalisées.

? Aucune correction ne sera admise sur le formulaire.

? Aucun nouveau formulaire ne vous sera distribué.

Les questionnaires peuvent servir de brouillon.

Veuillez ne pas tourner cette page avant le signal!

uropcar: ( o-r.

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Les saveurs d'Europe

L'UE protège par l'intermédiaire de sa législation certaines appellations spécifiques deproduits liées à un territoire ou à une méthode de production. Les appellationsprotégées sont indiquées au moyen d'un label de qualité. Ce système comportedifférents avantages: d'une part, les appellations protégées offrent d'importantesgaranties aux consommateurs, qui savent qu'ils achètent un produit authentique,

labels de qualité délivrent un excellent message commercial au sujet des produits àhaute valeur ajoutée. Le secteur du commerce peut informer les clients descaractéristiques et de l'origine spécifique des produits. Certains produits sontexceptionnels et méritent des précisions quant à leur origine et leur mode deproduction. Les consommateurs et le secteur du commerce alimentaire manifestent unintérêt croissant pour l'origine géographique et d'autres caractéristiques des produitsalimentaires.

1. En ce qui concerne le label attaché aux appellations protégées, quelleproposition est correcte ?

a) Il désigne le caractère exceptionnel du produit.

f^x\ Il peut indiquer que le produit provient d'une zone géographique^-s particulière.

c) Il n'implique pas nécessairement que le produit est protégé par lalégislation de l'UE.

d) Il s'applique à des appellations spécifiques qui sont en perte de vitessecommerciale.

2. Parmi les propositions suivantes, laquelle est correcte?

a\ Le label de qualité garantit que le produit appartient à une marquedéterminée.

b) Le label de qualité est utilisé à des fins surtout commerciales.

fc) : Le label de qualité garantit que le produit n'est pas une imitation.

<■[) Les informations sur le produit sont avant tout demandées par leconsommateur.

3. Parmi les propositions suivantes relatives aux appellations protégées par unlabel, laquelle est correcte?

a) Elles permettent de connaître les étapes de fabrication du produit.

M Elles permettent de voir rapidement que le produit est à haute valeurajoutée, donc plus cher.

;"'cy\ Elles permettent de rassurer le consommateur quant à la qualité duV-/' produit.

j) Elles permettent de distinguer les produits soumis à des contrôles strictsde ceux qui ne le sont pas.

© European Communities 2003 © Communautés européennes 2003 © Europàische Gemeinschaftcn 2003

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Répartition par sexe et par pays des travailleurs à temps partiel (< 30h par semaine)

Danemark Suède France Norvège Belgique Allemagne

Femmes 1990 29,6 % 24,5 % 21,7% 39,8 % 29,8 % 29,8 %

2001 20,8 % 21,0% 23,8 % 32,7 % 33,4 % 33,9 %

Hommes 1990 10,2% 5,3 % 4,0 % 6,9 % 4,6 % 2,3 %

2001 9,0 % 7,3 % 5,0 % 9,1 % 5,6 % 4,8 %

4. En 1990, la Belgique comptait 3 500 000 travailleurs, dont 55 % étaient deshommes. Combien de travailleurs (hommes et femmes) à temps partiel laBelgique comptait-elle en 1990?

a) ' 88 550

b) 557 900

c) 633 850

d) 646 100

5. Le nombre total de travailleurs de sexe masculin en France a augmenté de 5 %entre 1990 et 2001. Selon quel pourcentage le nombre de travailleurs de sexemasculin à temps partiel a-t-il augmenté en France entre 1990 et 2001 ?

a) 1,00%

b) 10,00%

c) 25,00 %

d) 31,25%

6. Le nombre de travailleurs de sexe masculin à temps partiel au Danemarks'élevait à 216 000 en 2001. Le nombre total de travailleurs de sexe masculinau Danemark a augmenté de 2 % entre 2001 et 2003. Le pourcentage detravailleurs de sexe masculin à temps partiel est resté le même. Combien detravailleurs de sexe masculin le Danemark comptait-il en 2003?

a) ' 220 320

b) 2 160 000

c) 2 400 000

d) 2 448 000

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L'amélioration des structures agricoles

La Finlande accordera aux agriculteurs du sud de la Finlande une aide àl'investissement et à l'installation des jeunes agriculteurs, ainsi qu'une assistancetechnique au taux le plus élevé autorisé par la législation communautaire en lamatière. Afin de garantir un important développement structurel, la Commission a enoutre décidé d'autoriser la Finlande à accorder une aide à l'investissement en faveurde certains objectifs tels que les bâtiments de production, le bien-être des animaux etla protection de la nature, selon un pourcentage supérieur à celui prévu par laréglementation sur les aides d'État à l'agriculture. La Commission considère qued'autres aides nationales accordées ne contribuent à une agriculture durable que sielles sont associées à un soutien structurel de ce type. C'est pourquoi la décisiondispose qu'une aide nationale au revenu ne peut être versée à des agriculteurs que s'ilsont droit au soutien structurel maximum prévu par la décision.

7. Parmi les propositions suivantes, laquelle correspond à l'avis de laCommission?

x Favoriser le développement structurel n'implique pas des exceptions auxrègles en vigueur.

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b) Une aide nationale n'a de sens dans le cadre d'une agriculture durableque si un soutien structurel l'accompagne.

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c v La Finlande pourra dépasser le taux le plus élevé prévu par la législations'il s'agit déjeunes agriculteurs.

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n Les agriculteurs finlandais pourront récupérer jusqu'à 50 % de leurinvestissement.

8. Que pourra faire la Finlande contrairement à d'autres pays?

a) Fournir une assistance technique plus importante.

,. Accorder un taux d'aide supérieur à la normale pour la protection de lanature.

, Aider les jeunes agriculteurs en appliquant un taux plus élevé que celuidont bénéficient les agriculteurs qui ont déjà de l'expérience.

d) - Fournir un soutien structurel maximum sous certaines conditions.

9. Que vise la décision prise par la Commission ?

a) Réduire le retard technologique de l'agriculture finlandaise.

, - Favoriser les agriculteurs du sud de la Finlande par rapport auxagriculteurs du reste du pays.

c) Harmoniser les aides dans l'ensemble des Etats membres.

. a) • Faire en sorte que le développement structurel soit important.

S European Communities 2003 © Communautés européennes 2003 C Europàische Gemeinschaften 2003

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Test de présélection (c)

L'agriculture et l'élargissement

L'accord conclu à propos de l'agriculture à Copenhague est une opération avantageusepour les agriculteurs des pays adhérents et pour le secteur rural de ces pays.L'adhésion aura de nombreux effets positifs qui, malheureusement, sont délibérémentignorés par les détracteurs de l'adhésion à l'Union européenne. Affirmer que lespaiements directs seront introduits au cours d'une période de 10 ans commençanten 2004 au taux de 25 % est tout à fait réducteur. Les agriculteurs des nouveaux Étatsmembres bénéficieront immédiatement de mesures concernant le marché ainsi qued'une politique de développement rural renforcée. Autrement dit, ils disposeront d'unfilet de sécurité en cas de crise sur le marché et recevront davantage d'argent s'ilss'engagent à améliorer l'environnement ou la qualité des denrées alimentaires. Ce queles agriculteurs polonais, slovaques ou lettons constateront après l'élargissement, ceseront des niveaux plus élevés d'aides aux revenus, des prix stables ainsi qu'un soutienconsidérable pour leur processus de restructuration.

10. À quoi un agriculteur appartenant à un pays adhérent peut-il s'attendre?

a) • À une aide dans les changements qu'il veut introduire.

b) À une concurrence moindre.

c) À un soutien dans ses processus de fabrication.

d) À de meilleurs taux pour l'achat de ses matières premières.

11. Pourquoi l'accord conclu à Copenhague aura-t-il un impact sur le secteurrural ?

. Car des paiements directs seront introduits sous forme de versementsréguliers dès 2004.

,, Car les agriculteurs auront plus de facilité à gagner de l'argentrapidement.

c) Car les prix seront diminués.

,, Car des primes seront versées s'il y a une amélioration del'environnement.

© European Communities 2003 © Communautés européennes 2003 C Europâische Gerneinschaften 2003

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L'emploi en 2000

Emploi total(en milliers)

% salariés % employeurs(exception faite

desindépendants)

% indépendants % parentsaidants

Italie 21 514,4 72,1 % 12,1 % 10,5 % 5,3 %

Pays-Bas 7 929 88,5 % 10,1 % 0,8 % 0,6 %

Portugal 4 960 72,3 % 6,4 % 19,3% 2,0 %

Espagne 16 025,8 80,2 % 5,3 % 11,9% 2,6 %

Suède 4 300 90,0 % 8,0 % 1,0% 1,0 %

Royaume-Uni 28 225 80,0 % 2,9 % 6,8 % 10,3%

12. Combien de salariés de plus que d'employeurs et d'indépendants réunis laSuède comptait-elle en 2000?

a) - 3 483 000

b) 3 869 656

c) 3 869 957

d) 3 870 387

13. En 2003, le Portugal comptait 82 336 parents aidants. Selon quel pourcentagece nombre a-t-il diminué entre 2000 et 2003?

a) . 8,60 %

b) 16,60%

c) 17,00%

d) 83,00 %

14. L'emploi total au Royaume-Uni a diminué de 3 % entre 2000 et 2003. Lerapport proportionnel entre les différents types d'emploi est resté le mêmequ'en 2000: En 2003, combien de salariés le Royaume-Uni comptait-il de plusque d'indépendants?

a) « 19 000 800

b) 20 660 700

c) 21902 600

d) 20 040 879

© European Communities 2003 © Communautés européennes 2003 © Europâische Gerneinschaften 2003

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EPSO/A/17/04 - EPSO/AD/24/04 FRTest de présélection (c)

La lutte contre le terrorisme

L'Union doit mettre en place un centre d'échange d'informations au sein duquel lesautorités répressives et judiciaires et les services de renseignements pourraientconsolider leur confiance mutuelle et échanger des renseignements opérationnelspermettant à chacun de s'acquitter parfaitement de sa mission. Le Conseil définira lesobjectifs prioritaires de ce mécanisme d'échange d'informations, mais il est néanmoinsenvisageable de mettre prioritairement en œuvre des activités relatives aux méthodesde recrutement des organisations terroristes, à l'identification des cellules dormantes,aux relais financiers dans la société civile et à leurs relations extérieures. Il convientd'améliorer l'échange d'informations entre les autorités nationales et au niveau del'UE. Plus que de nouveaux organes ou institutions, l'Union a besoin d'uneméthodologie globale à tous les niveaux pour l'échange d'informations.

15. Que faudrait-il faire avant tout?

a) Accroître la connaissance des cellules dormantes.

b) Accroître la répression.

c). Mettre à disposition des données plus fiables.

^ Identifier les relations entre les groupes terroristes et les autoritésnationales.

16. Que va permettre la création d'un centre d'échange d'informations ?

a) ■, La définition plus claire des objectifs prioritaires à mettre en œuvre.

, x La mise en place d'une méthodologie d'échange d'informationsspécifique à chaque État.

c) L'échange des données entre pays.

,x La diminution des tensions entre les services de renseignement et lesautorités répressives et judiciaires.

Q Europe» Communities 2003 © Communautés européennes 2003 © Europâische Gemeinschaften 2003

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EPSO/A/17/04-EPSO/AD/24/04 FRTest de présélection (c)

Les équipes communes d'enquête

Il convient de veiller à tirer pleinement parti des moyens d'action créés par deuxdécisions du Conseil dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, à savoir ladécision instituant Eurojust et la décision relative à l'application de mesuresspécifiques de coopération policière et judiciaire. Ce dernier instrument prévoit quetous les États membres sont tenus de désigner des points de contact nationaux chargésde recueillir toutes les informations pertinentes concernant les enquêtes pénales ettoutes les informations découlant de celles-ci en ce qui concerne les infractionsterroristes qui impliquent toute personne, tout groupe ou toute entité figurant sur laliste annexée à la position commune 2001/931/PESC, et de transmettre cesinformations à Europol et à Eurojust. En outre, la décision-cadre relative aux équipescommunes d'enquête met en place un outil opérationnel essentiel permettant à desenquêteurs de deux ou plusieurs États membres de collaborer en matière de luttecontre les activités criminelles transfrontalières.

17. Comment la coopération policière et judiciaire va-t-elle être concrétisée?

a) Par la mise sur pied de cellules d'enquêtes nationales.

b) * Par la mise à disposition d'informations à l'intention d'Europol et

d'Eurojust.

c) Par la collecte et la communication d'informations relatives à toutes lesenquêtes pénales.

d) Par une meilleure exploitation des moyens d'action existants.

18. Que prévoit l'une des deux décisions du Conseil ?

a)-* Que toutes les données pertinentes sur le terrorisme devront êtrecommuniquées à Europol et à Eurojust.

b) Que la position commune 2001/931/PESC sera remise en question.

c) Que chaque État membre devra établir un nombre minimal de points decontact nationaux.

d) Que la coopération policière et judiciaire sera coordonnée par Eurojust.

•0 European Communities 2003 €> Communautés européennes 2003 © Europaisehe Gemeinschaften 2003

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Nombre d'enseignants par rapport au nombre d'élèves/étudiants (2000)

Nombre d'élèves/étudiants par enseignant % de femmes dans le corps enseignant

Ens. primaire Ens. secondaire

Ens. supérieur Ens. primaire Ens. secondaire

Ens. supérieur

Allemagne 19 14 12 82% 60% 31 %

Grèce 13 10 12 55% 54% 35%

Irlande 23 17 17 80% 56% 30 %

Italie 10 9 12 95% 65% 26%

UE-15 16 12 16 77% 56% 36%

19. En 2000, l'Allemagne comptait 35 000 hommes enseignants dansl'enseignement secondaire. Combien d'élèves l'Allemagne comptait-elle dansl'enseignement secondaire en 2000?

a) 1225 000

b) 816 667

c) 490 000

d) 87 500

20. En 2000, l'Italie comptait 949 200 étudiants dans l'enseignement supérieur.Combien de femmes enseignantes l'Italie comptait-elle dans l'enseignementprimaire en 2000, sachant que l'Italie comptait 20 % de personnel enseignanten plus dans l'enseignement primaire que dans l'enseignement supérieur?

a) - 24 679

b) 75 145

c) 90174

d) 94 920

21. En 2000, la Grèce comptait 40 000 personnes enseignantes, dont 1/5 travaillaitdans l'enseignement supérieur. Combien d'hommes le personnel enseignant del'enseignement supérieur grec comptait-il de plus que de femmes en 2000?

a) . 640

b) 2 400

c) 5 200

d) 12 000

C European Communities 2003 © Communautés européennes 2003 C Europâische Gemeinschaften 2003

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L'Europe ouverte aux échanges

Depuis 1978, les échanges entre TUE et la Chine ont été multipliés par plus de 40. LaChine est désormais le deuxième partenaire commercial de l'UE après les États-Unis.Alors que la balance commerciale de TUE avec la Chine était excédentaire au débutdes années 80, elle accuse désormais un déficit important et croissant. La capacité del'agriculture européenne de produire de grandes quantités de produits alimentairesd'excellence ainsi que la diversité et la qualité de ses produits ont permis à l'UE dedevenir un exportateur très important de nombreux produits alimentaires, et ils laplacent au second rang des exportateurs mondiaux avec un volume d'exportationsagricoles d'une valeur de 61 088 millions d'euros en 2002. L'UE est le principalproducteur mondial de vin et d'huile d'olive (avec respectivement 65 et 80 % de laproduction mondiale), le premier exportateur de vin (70 % du marché mondial) et unacteur essentiel sur d'autres marchés (les produits horticoles et laitiers, la viande, lesœufs et le sucre).

22. Qu'est-ce qui explique le succès commercial de l'UE?

a) • La richesse de son agriculture.

b) Une compétitivité stimulante avec les États-Unis.

c) Sa politique agricole favorable et compétitive.

,. Sa production supérieure de produits tels que les produits horticoles etles produits laitiers.

23. Quel élément illustre la place commerciale qu'occupe la Chine auprès del'UE?

a) L'excédent de la balance commerciale entre l'UE et la Chine.

, s L'importation de produits chinois atteignant 61 088 millions d'euros en; 2002.

c) La quantité des échanges entre la Chine et l'UE.

n Le prestige et l'image de marque de l'Europe auprès des consommateurschinois.

24. Parmi les propositions suivantes, laquelle est correcte?

a) L'UE est le premier exportateur mondial, devant les États-Unis.

b) L'UE est le premier exportateur de vin vers la Chine.

c) La Chine importe avant tout des produits alimentaires de TUE.

,v La balance commerciale entre l'UE et la Chine s'est inversée durant lesà) .,

20 dernières armées.

C European Communities 2003 © Communautés européennes 2003 C Europâische Gemeinschaften 2003

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Nombre de grossesses dans TUE

1989 1990 1991 1992 1993 1994

Danemark 82 807 84 022 84 087 86 600 86 167 87 201

Finlande 76 006 77 781 77 142 77 802 75 168 75 244

France 928 530 932 835 921 958 902 590 869 490 863 956

Allemagne 1 029 655 1 050 942 954 396 927 700 909 680 873 189

Italie 732 039 735 301 722 186 720 265 697 158 672 002

Pays-Bas 206 975 216 349 214 042 216 156 215 552 216 422

25. Si l'on considère la moyenne entre la France et l'Allemagne, quelle a été ladiminution annuelle du nombre de grossesses entre 1991 et 1993 ?

a) . 24 296

b) 26 234

c) 48 592

d) 97 184

26. En 1991, la France comptait 56 000 000 d'habitants et les Pays-Bas15 000 000 d'habitants. Quelle proportion de la population totale en France etaux Pays-Bas réunis les femmes enceintes représentaient-elles en 1991?

a) 1,54%

b) 1,60 %

c) • 0,80 %

d) 0,77 %

27. Selon quel pourcentage le nombre total de grossesses au Danemark a-t-il

évolué en moyenne annuellement entre 1992 et 1994?

a) Diminution de moins de 0,5 %

b) < Diminution comprise entre 0,5 et 1 %

c) Augmentation de moins de 0,5 %

d) Augmentation comprise entre 0,5 et 1 %

C Europcan Communities 2003 © Communautés européennes 2003 O Europâische Gemeinschaften 2003

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Le suivi des pêches minotières

Les États membres doivent faire en sorte que les règles applicables aux capturesaccessoires soient respectées; ils ne sont toutefois pas obligés de communiquer lacomposition par espèce ou les quantités d'espèces faisant l'objet de capturesaccessoires. À des fins de conservation et d'équité dans la mise en œuvre, laCommission définit une série d'options concernant les mesures de gestion, de contrôleet de suivi. Parmi celles-ci figure la fixation de quotas spécifiques pour les capturesaccessoires des espèces les plus importantes destinées à la consommation humaine.En cas d'épuisement d'un ou de plusieurs de ces quotas, les débarquements d'espècesminotières provenant de la zone concernée seraient interdits. Une méthodologiecommune serait appliquée pour le pesage de toutes les quantités débarquées ainsi quepour l'échantillonnage des débarquements non triés. Les navires pratiquant la pêcheminotière devraient procéder à une notification préalable des débarquements.

28. À quel risque s'expose-t-on si l'on épuise un quota de capture accessoired'espèces destinées à la consommation humaine ?

a) L'extinction de l'espèce considérée.

b) Une interdiction de pêche globale à court terme dans la zone concernée.

c) Une interdiction de vente des espèces capturées.

Page 21: EPSO-A-17-04 - Test RVN_fr

d) Une interdiction de débarquement des espèces minotières issues de lazone considérée.

Page 22: EPSO-A-17-04 - Test RVN_fr

29. Quelle obligation les États membres doivent-ils respecter?

a) Distinguer dans les stocks débarqués les espèces protégées des autres.

b) Trier les espèces lorsqu'elles proviennent de pêcheries mixtes.

c) « Respecter les mesures en vigueur concernant les prises accessoires.

d) Ne pas autoriser la pêche minotière pour les captures accessoires.

© European Comrnuniîies 2003 © Communautés européennes 2003 © Europâische Gemeinschaften 2003

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EPSO/A/17/04-EPSO/AD/24/04 FRTest de présélection (c)

Étude sur les zones de montagne en Europe

Les initiatives prises concernent les politiques sectorielles, les politiques de développementintégré, ainsi qu'une gamme de politiques et d'instruments transnationaux. L'étude indique quede nombreuses zones de montagne se voient offrir des possibilités de développement grâceaux nouvelles technologies de l'information et de la communication. Ces zones pourraientconstituer des espaces de loisirs pour les citadins, cette évolution devant toutefois être géréed'une manière durable pour assurer la protection de l'environnement. On aurait beaucoup àgagner en améliorant la coordination et la diffusion des expériences entre les régions et lespays. Il importe donc que les différents acteurs nationaux et internationaux travaillent enréseau dans le cadre d'une coopération à plusieurs niveaux entre les pays mais également ausein d'un même pays. La coopération internationale est fondamentale, tant pour les zones demontagne que pour les zones de plaine qu'elles séparent.

30. Que pourrait générer le développement des zones de montagne ?

a) • Le développement du secteur de la communication.

b) Une meilleure coordination entre les pays.

c) Une dégradation du milieu naturel.

d) Un effet néfaste sur les zones de plaine.

31. Qu'est-il nécessaire de faire pour stimuler le développement des zones demontagne?

Page 24: EPSO-A-17-04 - Test RVN_fr

a)>

b)

c)

Envisager une coopération entre les institutions nationales et lesinstitutions internationales.

Réglementer les entreprises présentes dans les montagnes ou à proximitédes montagnes.

Élaborer des politiques touristiques sectorielles et des politiques dedéveloppement intégré.

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d) Créer des espaces de loisirs pour les enfants citadins.

32. Parmi les propositions suivantes concernant les problèmes des zones demontagne, laquelle est correcte?

a) Ils sont traités de façon semblable à travers les différents pays.

b) Ils seront résolus si le tourisme peut s'intensifier.

Ils seraient déjà moindres si les régions et les pays collaboraientdavantage.

j- Ils sont dus aux initiatives ne tenant pas compte de la protection de1 ' environnement.

C European Communities 2003 © Communautés européennes 2003 © Europlische Gemeinschaften 2003

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EPSO/A/17/04 - EPSO/AD/24/04Test de présélection (c)

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1994 Espérance de vie à la naissance dans l'UE-151996 1998 2000

2002

Hommes Femmes Hommes Femmes Hommes Femmes Hommes Femmes Hommes FemmesPays A 75 80 75 79 75 80 76 81 76 81PaysB 74 80 74 80 75 80 75 81 75 81PaysC 74 80 74 80 75 81 76 81 76 81

UE-15 72 80 73 80 74 80 75 80 74 80

33. Si, en 1996, la proportion d'hommes et de femmes dans les pays A, B et Cétait respectivement de 50-50,45-55 et 55-45, lequel des pays suivantsprésentait l'espérance de vie la plus élevée?

a) - Pays A

b) Pays B

c) PaysC

d) Pays B et C

34. En ce qui concerne le rapport entre les pays A, B et C et les autres membres del'UE-15, quelle proposition est correcte pour 2002?

. t Les 3 pays ont l'espérance de vie la plus élevée si l'on considère l'UE-15dans sa globalité.

,. Il y a au moins un pays dans l'UE-15 dont l'espérance de vie pour les^ " hommes est plus faible que celle des pays A, B et C.

. Les pays A, B et C font partie des pays de l'UE-15 qui ont une espérancede vie plus courte que la moyenne.

,, Il est impossible de déterminer ce rapport puisqu'on ne dispose pas dedonnées pour les autres pays de l'UE-15.

35. Avant 1994, l'espérance de vie des hommes a augmenté annuellement de0,3 % dans l'UE-15. Quelle était l'espérance de vie des hommes en 1992?

a) * Entre 70,5 et 71,5

b) Entre 71,5 et 72,5

c) Entre 72,5 et 73.5

d) Entre 73,5 et 74.5

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A propos de la sécurité routière

Les constructeurs de véhicules vont devoir satisfaire à des exigences plus strictes enmatière de sécurité afin de réduire la gravité des blessures subies par les piétons et lescyclistes lors d'accidents avec des véhicules automobiles. Les exigences de sécuritédéfinies dans la proposition de directive du Conseil et du Parlement européenréduiront de manière significative la gravité des blessures subies par les piétons lorsd'accidents avec des véhicules automobiles circulant à une vitesse pouvant atteindre40 km/h, celle-ci étant la vitesse de circulation courante dans le milieu urbain, où seproduisent la majorité des accidents impliquant des piétons. La mise en application dela directive devrait permettre d'éviter jusqu'à 2 000 accidents mortels. Les tests serontpratiqués sur les nouveaux types de véhicules en deux étapes, la premièrecommençant en 2005 et la seconde, pour laquelle des critères de réussite améliorésseront appliqués, en 2010.

36. En ce qui concerne les piétons en milieu urbain, quelle proposition estcorrecte ?

a) Ils ont des accidents à cause de voitures roulant à 40 km/h.

b) Ceux qui sont accidentés sont toujours victimes de blessures très graves.

c) ■ Ceux qui sont victimes d'un accident le sont surtout avec des voitures

circulant jusqu'à 40 km/h.

d) Ceux qui sont accidentés sont des personnes ayant toujours vécu en ville.

37. Que propose la directive présentée par le Conseil et le Parlement européen ?

a) De réduire les limitations de vitesse dans les milieux urbains.

b) D'imposer des exigences strictes de sécurité sur tout véhicule mis encirculation à partir de 2005.

c) ■ D'imposer des tests stricts de sécurité sur les véhicules à partir de 2005.

d) De commencer des tests de sécurité sur les véhicules à partir de 2005.

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La reprise économique dans la zone euro

L'analyse des déterminants de la consommation privée dans la zone euro montre queles dépenses de consommation y sont actuellement inférieures à ce que l'on pourraitattendre au vu des principaux facteurs macroéconomiques. L'apathie de laconsommation, ces dernières années, s'explique en partie par la lenteur de lacroissance du revenu disponible et par des effets de richesse négatifs persistants. Maisd'autres éléments semblent avoir pesé sur la consommation également. La confiancedes ménages a probablement souffert des craintes suscitées par la détérioration desfinances publiques dans certains États membres, d'une prise de conscience accrue desproblèmes que pose le vieillissement de la population et de la lenteur excessive duprocessus de réforme structurelle. Enfin, les écarts entre l'inflation perçue et l'inflationeffective ont sans doute joué un rôle.

38. En ce qui concerne le manque de confiance des ménages, quelle propositionest correcte ?

a) Il est un des principaux déterminants des finances publiques.

b) Il est étonnant compte tenu de certains facteurs macroéconomiques.

c) Il provient essentiellement de l'accélération du vieillissement de lapopulation.

d) - Il provient de l'augmentation inattendue de l'inflation.

39. Qu'est-ce qui, entre autres, explique la faiblesse relative de la consommationprivée?

a) L'inflation reste importante.

b) Les revenus des ménages évoluent trop lentement.

c) Les principaux facteurs macroéconomiques empêchent la repriseéconomique.

d) ' Le vieillissement de la population implique une réforme structurellelente.

40. Que pourrait-on faire pour stimuler la consommation?

a) Réformer les structures plus rapidement.

b) Réduire les écarts entre la richesse perçue et la richesse effective.

c) Inciter les ménages à augmenter leurs dépenses en réduisant les effetsnégatifs de la richesse.

d) . Rassurer les ménages quant à la reprise économique.

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