45
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL B.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél. (38) 63.80.01 VIRECTION REGIONALE VE L'INVUSTRIE ET VE LA RECHERCHE Région Aí¿acz ExptoitatLoYi miñizKz dz }i\ERCmiLLER - PECHELBRONN No-tz dz iLz{,lzxion ¿uK lz¿ p/toblzmz¿ dz ¿tabiZitz dz¿ anciznnz¿ in¿taIlationÁ zn vuz dz l'zlab citation du POS FzvHizA 1985 {S5 AGI 051 LOR] Service géologique régional ALSACE 204, route de Schirmeck, 67200 Strasbourg - Tél. (88) 30.12.62 BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL B.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél. (38) 63.80.01 VIRECTION REGIONALE VE L'INVUSTRIE ET VE LA RECHERCHE Région Aí¿acz ExptoitatLoYi miñizKz dz }i\ERCmiLLER - PECHELBRONN No-tz dz iLz{,lzxion ¿uK lz¿ p/toblzmz¿ dz ¿tabiZitz dz¿ anciznnz¿ in¿taIlationÁ zn vuz dz l'zlab citation du POS FzvHizA 1985 {S5 AGI 051 LOR] Service géologique régional ALSACE 204, route de Schirmeck, 67200 Strasbourg - Tél. (88) 30.12.62

ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

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Page 1: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél. (38) 63.80.01

VIRECTION REGIONALE VE L'INVUSTRIE

ET VE LA RECHERCHE

Région Aí¿acz

ExptoitatLoYi miñizKz dz

}i\ERCmiLLER - PECHELBRONN

No-tz dz iLz{,lzxion ¿uK lz¿ p/toblzmz¿ dz ¿tabiZitzdz¿ anciznnz¿ in¿taIlationÁ

zn vuz dz l'zlab citation du POS

FzvHizA 1985

{S5 AGI 051 LOR]

Service géologique régional ALSACE

204, route de Schirmeck, 67200 Strasbourg - Tél. (88) 30.12.62

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél. (38) 63.80.01

VIRECTION REGIONALE VE L'INVUSTRIE

ET VE LA RECHERCHE

Région Aí¿acz

ExptoitatLoYi miñizKz dz

}i\ERCmiLLER - PECHELBRONN

No-tz dz iLz{,lzxion ¿uK lz¿ p/toblzmz¿ dz ¿tabiZitzdz¿ anciznnz¿ in¿taIlationÁ

zn vuz dz l'zlab citation du POS

FzvHizA 1985

{S5 AGI 051 LOR]

Service géologique régional ALSACE

204, route de Schirmeck, 67200 Strasbourg - Tél. (88) 30.12.62

Page 2: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

SOMMAIRE

Pages

1 - INTRODUCTION.

1.1. Objet de la présente note1.2. Documents consultes1.3. Travaux réalisés

2 - EXAMEN DES TERRILS,

2.1. Constitution des terrils2.2. Morphologie actuelle2.3. Evaluation des risques à court terme2.4. Evaluation des risques à long terme2.5. Méthodologie d'étude détaillée de la stabilité d'un

terril

3 - EXAMEN DES PUITS.

3.1. Description des puits3.2. Evaluation des risques

4 - PROBLEME DES SONDAGES ET GALERIES 13

5 - CONCLUSIONS 15

SOMMAIRE

Pages

1 - INTRODUCTION.

1.1. Objet de la présente note1.2. Documents consultes1.3. Travaux réalisés

2 - EXAMEN DES TERRILS,

2.1. Constitution des terrils2.2. Morphologie actuelle2.3. Evaluation des risques à court terme2.4. Evaluation des risques à long terme2.5. Méthodologie d'étude détaillée de la stabilité d'un

terril

3 - EXAMEN DES PUITS.

3.1. Description des puits3.2. Evaluation des risques

4 - PROBLEME DES SONDAGES ET GALERIES 13

5 - CONCLUSIONS 15

Page 3: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

K

A

Plandes

dedifférents

situationsièges d'exploitation

Echelle : 1/50.000

Page 4: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

1 - INTRODUCTION

1.1. OBJET DE LA PRESENTE NOTE

La Direction Régionale de l'Industrie et de la Recherche d'Alsace

a confié au BRGM - Service Géologique Régional Alsace une mission d' expertise

en vue d'évaluer les risques présentés par les installations laissées en

place de l'ancienne exploitation du champ pétrolifère de MERCKWILLER -

PECHELBRONN, et ce :

- d'une part, en vue de leur prise en compte dans l'élaboration

du POS du SIVOM de Merckwiller - Pechelbronn ;

- d'autre part, de définir les études ou suivis nécessaires.

1.2. DOCUMENTS CONSULTES

utilisés

Pour la réalisation de cette note, les documents suivants ont été

agrandissements au 1/3.000 des photographies aériennes de

l'Institut Géographique National (mission de 1978) ;

rapport 83 SGAL 020 du 26.01.1983 concernant la documentation

existante sur les puits, les galeries et l'ancienne exploita¬

tion en vue du projet de construction d'un lotissement à

Preuschdorf, à proximité des puits de mine I et IV de la SAEM

Pechelbronn ;

1 - INTRODUCTION

1.1. OBJET DE LA PRESENTE NOTE

La Direction Régionale de l'Industrie et de la Recherche d'Alsace

a confié au BRGM - Service Géologique Régional Alsace une mission d' expertise

en vue d'évaluer les risques présentés par les installations laissées en

place de l'ancienne exploitation du champ pétrolifère de MERCKWILLER -

PECHELBRONN, et ce :

- d'une part, en vue de leur prise en compte dans l'élaboration

du POS du SIVOM de Merckwiller - Pechelbronn ;

- d'autre part, de définir les études ou suivis nécessaires.

1.2. DOCUMENTS CONSULTES

utilisés

Pour la réalisation de cette note, les documents suivants ont été

agrandissements au 1/3.000 des photographies aériennes de

l'Institut Géographique National (mission de 1978) ;

rapport 83 SGAL 020 du 26.01.1983 concernant la documentation

existante sur les puits, les galeries et l'ancienne exploita¬

tion en vue du projet de construction d'un lotissement à

Preuschdorf, à proximité des puits de mine I et IV de la SAEM

Pechelbronn ;

Page 5: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 2 -

rapport DRIR du 15.06.1983 sur l'élimination de résidus indus¬

triels dans les anciens puits de mine de Pechelbronn entre 1965

et 1974 ;

lettre IGN du 7.11.1984 concernant les repères de nivellement

dans le secteur de Pechelbronn.

1.3. TRAVAUX REALISES

Il a été réalisé une visite détaillée des anciens sièges :

- examen des têtes de puits, état de la dalle et des events,

aspect des alentours ;

- relevé de la morphologie des terrils (pentes, loupes d'arrache¬

ment, zones de ravinement, venues d'eau et zones mal drainées,

etc) ;

- prélèvements d'échantillons pour essais d'identification en

laboratoire.

- 2 -

rapport DRIR du 15.06.1983 sur l'élimination de résidus indus¬

triels dans les anciens puits de mine de Pechelbronn entre 1965

et 1974 ;

lettre IGN du 7.11.1984 concernant les repères de nivellement

dans le secteur de Pechelbronn.

1.3. TRAVAUX REALISES

Il a été réalisé une visite détaillée des anciens sièges :

- examen des têtes de puits, état de la dalle et des events,

aspect des alentours ;

- relevé de la morphologie des terrils (pentes, loupes d'arrache¬

ment, zones de ravinement, venues d'eau et zones mal drainées,

etc) ;

- prélèvements d'échantillons pour essais d'identification en

laboratoire.

Page 6: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 3 -

EXAMEN DES TERRILS

2.1. CONSTITUTION DES TERRILS

Ces terrils servaient à entreposer les déblais dus au creusement

des galeries, qui étaient donc essentiellement marneux et occasionnellement

sablo-gréseux.

Au premier siège réalisé en 1917 (Clemenceau), le stockage se

faisait par remblaiement à l'avancement. Les trois autres sièges furent

ensuite équipés d'installations de mise à terril conique avec culbutage

automatique des berlines au sommet.

Des prélèvements ont été réalisés sur chaque terril, à leur sommet

et à leur base.

Ils ont été soumis à une analyse granulométrique et à un essai

d' adsorption au bleu de méthylène (essai permettant de connaître l'impor¬

tance et l'activité de la fraction argileuse du matériau).

On peut noter :

1° une bonne corrélation entre valeur de bleu et fraction silto-

argileuse du matériau ;

2° compte-tenu de la valeur de bleu de la fraction argileuse

(V-, # 10), celle-ci doit être composéB

et en faible part de montmorillonite

(V-, # 10), celle-ci doit être composée essentiellement d' illiteB

- 3 -

EXAMEN DES TERRILS

2.1. CONSTITUTION DES TERRILS

Ces terrils servaient à entreposer les déblais dus au creusement

des galeries, qui étaient donc essentiellement marneux et occasionnellement

sablo-gréseux.

Au premier siège réalisé en 1917 (Clemenceau), le stockage se

faisait par remblaiement à l'avancement. Les trois autres sièges furent

ensuite équipés d'installations de mise à terril conique avec culbutage

automatique des berlines au sommet.

Des prélèvements ont été réalisés sur chaque terril, à leur sommet

et à leur base.

Ils ont été soumis à une analyse granulométrique et à un essai

d' adsorption au bleu de méthylène (essai permettant de connaître l'impor¬

tance et l'activité de la fraction argileuse du matériau).

On peut noter :

1° une bonne corrélation entre valeur de bleu et fraction silto-

argileuse du matériau ;

2° compte-tenu de la valeur de bleu de la fraction argileuse

(V-, # 10), celle-ci doit être composéB

et en faible part de montmorillonite

(V-, # 10), celle-ci doit être composée essentiellement d' illiteB

Page 7: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Gt

7B¤KKÍ

ë:

TERRILS DE MERCKWILLER - PECHELBRONN

Corrélation entre valeur de bleu et teneur en silts

valeur de bleu passant à 50 Lm (en %)

-it-

o.S

«-il

i4¿

^v^

/^

y-/

2[-trrrnvT

i/^-/-

'^/

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TERRILS DE MERCKWILLER - PECHELBRONN

Corrélation entre valeur de bleu et teneur en silts

valeur de bleu passant à 50 Lm (en %)

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Page 8: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 4 -

. Variation de 1 'adsorption de bleu en fonction de mélanges

d'argiles (d'après DENIS, TOURENQ et TRAN NGOC LAN)

100» 50» ILLITE

20 » 10» 6 0''_l 1 1 1 1 H

100 » 50 0«K A 0 L I ;n î E

3° les valeurs des échantillons prélevés au sommet des terrils

sont très groupées (V,, = 5,5 - 0,2) et correspondent à un maté-

riau très argileux (passant â 50 microns supérieur à 85 %) ,

qui est le matériau extrait de la mine

4° à la base des terrils, par contre, on rencontre des matériaux

plus hétérogènes dus à un lessivage des fines argileuses dont

le pourcentage peut même diminuer de moitié.

On voit donc que du fait du déversement au sommet et de l'action

des eaux de ruissellement, il se produit un granulo-c las sèment des matériaux

sur le terril, les plus grossiers se retrouvant â la base et les plus argi¬

leux en haut.

- 4 -

. Variation de 1 'adsorption de bleu en fonction de mélanges

d'argiles (d'après DENIS, TOURENQ et TRAN NGOC LAN)

100» 50» ILLITE

20 » 10» 6 0''_l 1 1 1 1 H

100 » 50 0«K A 0 L I ;n î E

3° les valeurs des échantillons prélevés au sommet des terrils

sont très groupées (V,, = 5,5 - 0,2) et correspondent à un maté-

riau très argileux (passant â 50 microns supérieur à 85 %) ,

qui est le matériau extrait de la mine

4° à la base des terrils, par contre, on rencontre des matériaux

plus hétérogènes dus à un lessivage des fines argileuses dont

le pourcentage peut même diminuer de moitié.

On voit donc que du fait du déversement au sommet et de l'action

des eaux de ruissellement, il se produit un granulo-c las sèment des matériaux

sur le terril, les plus grossiers se retrouvant â la base et les plus argi¬

leux en haut.

Page 9: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 5 -

2.2. MORPHOLOGIE ACTUELLE

Tous les terrils présentent à peu près la même morphologie. La

rampe de culbutage a une pente de l'ordre de 12°. Les pentes relevées

sont très fortes au sommet (30° et plus) puis plus faibles ensuite.

Fréquence

6 -5 _

4 -

3 -2 -1 -

n

10 14

J

18 22 26 30 34 Pente de talus(°)

Ces pentes sont affectées par des glissements relativement super¬

ficiels (1 â 2 m de profondeur) ayant une extension de l'ordre de 1.000 m2

à chaque fois.

Ces glissements se produisent essentiellement dans le sens de la

plus grande pente du terrain naturel sous-jacent.

Aprës examen des photographies aériennes de 1978, on peut remar¬

quer que la plupart de ces glissements sont récents et ont suivi une

période de fortes précipitations.

Autour de ces terrils, on peut distinguer une zone ayant subi des

déformations sous la poussée des terres mises en dépôt, et de ce fait où

s'accumulent les eaux de ruissellement.

Les émergences des eaux infiltrées à l'intérieur des terrils ont

toutes été relevées vers la base des terrils.

- 5 -

2.2. MORPHOLOGIE ACTUELLE

Tous les terrils présentent à peu près la même morphologie. La

rampe de culbutage a une pente de l'ordre de 12°. Les pentes relevées

sont très fortes au sommet (30° et plus) puis plus faibles ensuite.

Fréquence

6 -5 _

4 -

3 -2 -1 -

n

10 14

J

18 22 26 30 34 Pente de talus(°)

Ces pentes sont affectées par des glissements relativement super¬

ficiels (1 â 2 m de profondeur) ayant une extension de l'ordre de 1.000 m2

à chaque fois.

Ces glissements se produisent essentiellement dans le sens de la

plus grande pente du terrain naturel sous-jacent.

Aprës examen des photographies aériennes de 1978, on peut remar¬

quer que la plupart de ces glissements sont récents et ont suivi une

période de fortes précipitations.

Autour de ces terrils, on peut distinguer une zone ayant subi des

déformations sous la poussée des terres mises en dépôt, et de ce fait où

s'accumulent les eaux de ruissellement.

Les émergences des eaux infiltrées à l'intérieur des terrils ont

toutes été relevées vers la base des terrils.

Page 10: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

2.3. EVALUATION DES RISQUES A COURT TERME

Ils sont liés essentiellement aux glissements de pente et à la

zone d'influence actuelle du terril. Le secteur affecté représente une

auréole de 30 à 60 m de large autour des terrils.

Cz ¿zctzuA nz pzut ztAz comidzAz commz conAtAuctiblz du ^aitqu'il pzut ztAz AzcouvzAt poA dzA ma6¿zís gliís¿ant dzpui¿ la poAtiz ¿upéxizoAz

dz¿ tZAAiÙs.

Le risque principal pour un terril reste la rupture totale par

étalement, due toujours à une augmentation des pressions interstitielles

en son sein.

Ici, ce risque paraît encore faible actuellement car ces pressions

interstitielles ont du mal à se développer dans un matériau ayant un granulo-

classement de ce type qui assure le drainage des eaux d'infiltration (ce

qui montre aussi la position des émergences) .

2.4. EVALUATION DES RISQUES A LONG TERME

Cependant, cette situation n'est pas figée et peut évoluer, par

exemple avec l'entraînement des fines argileuses vers la base des terrils

par les eaux d'infiltration.

Dans le cas ou des pressions interstitielles importantes se déve¬

lopperaient, on peut estimer la pente limite d'équilibre à la moitié de

celle en conditions drainée, soit environ 15 à 16°. On peut voir sur l'his¬

togramme ci-avant (paragraphe 2.2.) que, mis à part quelques zones ayant

sans doute déjà glissées, l'ensemble des pentes serait instable.

On trouvera en annexe une estimation des aires qui seraient alors

touchées par l'écrasement du terril :

- soit directement, par recouvrement,

- soit indirectement, par des coulées de boue.

2.3. EVALUATION DES RISQUES A COURT TERME

Ils sont liés essentiellement aux glissements de pente et à la

zone d'influence actuelle du terril. Le secteur affecté représente une

auréole de 30 à 60 m de large autour des terrils.

Cz ¿zctzuA nz pzut ztAz comidzAz commz conAtAuctiblz du ^aitqu'il pzut ztAz AzcouvzAt poA dzA ma6¿zís gliís¿ant dzpui¿ la poAtiz ¿upéxizoAz

dz¿ tZAAiÙs.

Le risque principal pour un terril reste la rupture totale par

étalement, due toujours à une augmentation des pressions interstitielles

en son sein.

Ici, ce risque paraît encore faible actuellement car ces pressions

interstitielles ont du mal à se développer dans un matériau ayant un granulo-

classement de ce type qui assure le drainage des eaux d'infiltration (ce

qui montre aussi la position des émergences) .

2.4. EVALUATION DES RISQUES A LONG TERME

Cependant, cette situation n'est pas figée et peut évoluer, par

exemple avec l'entraînement des fines argileuses vers la base des terrils

par les eaux d'infiltration.

Dans le cas ou des pressions interstitielles importantes se déve¬

lopperaient, on peut estimer la pente limite d'équilibre à la moitié de

celle en conditions drainée, soit environ 15 à 16°. On peut voir sur l'his¬

togramme ci-avant (paragraphe 2.2.) que, mis à part quelques zones ayant

sans doute déjà glissées, l'ensemble des pentes serait instable.

On trouvera en annexe une estimation des aires qui seraient alors

touchées par l'écrasement du terril :

- soit directement, par recouvrement,

- soit indirectement, par des coulées de boue.

Page 11: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 7 -

Dans le cadre de l'élaboration du POS, on peut envisager :

- ou bien un classement définitif en zone non constructible des

secteurs précédemment définis, quoique leur délimitation soit

approximative et sans justification précise ;

- ou bien de prévoir une urbanisation â moyen terme après étude

plus approfondie de ce risque.

Il reste que dans le cas du terril Clemenceau, il existe un

secteur bâti dans l'emprise de l'aire d'étalement du terril et, dans ce cas

précis, il serait sans doute utile de faire une étude de détail.

2.5. METHODOLOGIE D'ETUDE DETAILLEE DE LA STABILITE D'UN TERRIL

Une telle étude doit comporter :

- des sondages de reconnaissance à différents niveaux du terril

(environ 3) descendus jusqu'à la base afin de mettre en évidence

aussi finement que possible les différents types de matériaux

qui le composent, soit par auscultation in-situ (diagraphies

gamma-ray et résistivité), soit par essais d'identification en

laboratoire sur prélèvements ;

- la mesure in-situ des variations de résistance mécanique des

remblais avec la profondeur (le pénétromëtre statique a dans ce

cas le meilleur rapport qualité/prix, mais on peut aussi envi¬

sager de réaliser des essais pressiométriques) ;

- la mesure des caractéristiques mécaniques à long terme par des

essais de cisaillement en laboratoire (essais triaxiaux avec

chargement cycliques, essais de cisaillement alternés);

- la mesure des pressions interstitielles qui, dans ces matériaux,

de faible perméabilité, nécessite la mise en place de sondes

de mesure à contre-pression placées dans les forages à dif féren-

tes profondeurs (au minimum 2 à 3 par forage) .

- 7 -

Dans le cadre de l'élaboration du POS, on peut envisager :

- ou bien un classement définitif en zone non constructible des

secteurs précédemment définis, quoique leur délimitation soit

approximative et sans justification précise ;

- ou bien de prévoir une urbanisation â moyen terme après étude

plus approfondie de ce risque.

Il reste que dans le cas du terril Clemenceau, il existe un

secteur bâti dans l'emprise de l'aire d'étalement du terril et, dans ce cas

précis, il serait sans doute utile de faire une étude de détail.

2.5. METHODOLOGIE D'ETUDE DETAILLEE DE LA STABILITE D'UN TERRIL

Une telle étude doit comporter :

- des sondages de reconnaissance à différents niveaux du terril

(environ 3) descendus jusqu'à la base afin de mettre en évidence

aussi finement que possible les différents types de matériaux

qui le composent, soit par auscultation in-situ (diagraphies

gamma-ray et résistivité), soit par essais d'identification en

laboratoire sur prélèvements ;

- la mesure in-situ des variations de résistance mécanique des

remblais avec la profondeur (le pénétromëtre statique a dans ce

cas le meilleur rapport qualité/prix, mais on peut aussi envi¬

sager de réaliser des essais pressiométriques) ;

- la mesure des caractéristiques mécaniques à long terme par des

essais de cisaillement en laboratoire (essais triaxiaux avec

chargement cycliques, essais de cisaillement alternés);

- la mesure des pressions interstitielles qui, dans ces matériaux,

de faible perméabilité, nécessite la mise en place de sondes

de mesure à contre-pression placées dans les forages à dif féren-

tes profondeurs (au minimum 2 à 3 par forage) .

Page 12: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

8 -

L'analyse des résultats de ces différentes investigations doit

permettre l'établissement d'un modèle mathématique pour le calcul de la

stabilité à la rupture, en fonction de différentes surfaces de glissement

et de différents cas de charges hydrauliques.

Ce modèle pourra permettre de tester éventuellement les aménage¬

ments nécessaires pour assurer la stabilité du terril à long terme (terras¬

sements, drainages...).

8 -

L'analyse des résultats de ces différentes investigations doit

permettre l'établissement d'un modèle mathématique pour le calcul de la

stabilité à la rupture, en fonction de différentes surfaces de glissement

et de différents cas de charges hydrauliques.

Ce modèle pourra permettre de tester éventuellement les aménage¬

ments nécessaires pour assurer la stabilité du terril à long terme (terras¬

sements, drainages...).

Page 13: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 9 -

3 - EXAMEN DES PUITS

3.1. DESCRIPTION DES PUITS

Le mode d'exécution des puits est donné par DE CHAMBRIER ("Exploi-

tation du Pétrole par puits et galeries", 1921).

Le cuvelage était réalisé à l'avancement par travées de 5 à 20 m

de hauteur suivant la nature du terrain, chacune reposait sur une assise

annulaire (appelée "rouet porteur").

Le premier puits a été réalisé en briques, tous les autres ont

un cuvelage en béton. L'épaisseur du cuvelage est de 0,40 m en moyenne pour

un diamètre utile variant de 3,50 à 4,50 m.

assise porteuseannulaire

travée

zone sous rouet terrasséepar parties

Çf d'un

Page 14: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

CARACTERISTIQUES DES PUITS DES DIFFERENTS SIEGESDE L'EXPLOITATION PETROLIFERE DE MERCKWILLER - PECHELBRONN

; SIEGES

.'Clemenceau (1917)

:Le Bel (1918)

J Daniel Mieg (1918)

:De Chambrier (1943)

rPuits VIII (1948)

PUITS

I

IV

II

V

III

VII

: VI

ETAGES

1er

1er

1er2ème3ème4ème

1er2ème

1erinterméd.

2ëme

1er: interméd.

2ème

1er: 2ème

PROFONDEUR

en mètres.

151,6

154,1

178,8237,4 :

360,5391,4

178,3233,8

195,7367,7401,6

190,5363,2396,6

: 318,1: 400,1

env. 400 m

DIAMETREDU PUITS

4,00 m

3,50 m

4,60 m

3,50 m

3,90 m

4,50 m

NATURE DU

CUVELAGEEPAISSEUR

briques 0,40m;

béton Q,40m

béton 0,40 m

béton 0,30 m

béton 0,50 m

béton 0,40 m

NIVEAUX STATIQUES :

08.1974 : 10.1979 :

-2 m

-2 m

-50 m

-62 m

0 :

0 :

-50 m :

-25 m :

CARACTERISTIQUES DES PUITS DES DIFFERENTS SIEGESDE L'EXPLOITATION PETROLIFERE DE MERCKWILLER - PECHELBRONN

; SIEGES

.'Clemenceau (1917)

:Le Bel (1918)

J Daniel Mieg (1918)

:De Chambrier (1943)

rPuits VIII (1948)

PUITS

I

IV

II

V

III

VII

: VI

ETAGES

1er

1er

1er2ème3ème4ème

1er2ème

1erinterméd.

2ëme

1er: interméd.

2ème

1er: 2ème

PROFONDEUR

en mètres.

151,6

154,1

178,8237,4 :

360,5391,4

178,3233,8

195,7367,7401,6

190,5363,2396,6

: 318,1: 400,1

env. 400 m

DIAMETREDU PUITS

4,00 m

3,50 m

4,60 m

3,50 m

3,90 m

4,50 m

NATURE DU

CUVELAGEEPAISSEUR

briques 0,40m;

béton Q,40m

béton 0,40 m

béton 0,30 m

béton 0,50 m

béton 0,40 m

NIVEAUX STATIQUES :

08.1974 : 10.1979 :

-2 m

-2 m

-50 m

-62 m

0 :

0 :

-50 m :

-25 m :

Page 15: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

10 -

La profondeur de puits varie de 150 m pour le premier à 400 m

pour les derniers réalisés.

Les puits Le Bel et De Chambrier ont fait l'objet de déversements

de produits chimiques contrôlés de 1965 à 1974, les puits Daniel Mieg de

quelques déversements sauvages rapidement arrêtés.

Ces déversements se faisaient gravitairement. Les produits concer¬

nés étaient les suivants :

- des huiles usées,

- des résidus de lavage de citernes,

- des sourdes usées,

- des acides résiduaires dilués dont certains sont cyanures,

- des résidus hydrocarbonés,

- du chlorophénol,

- du dichloréthylène,

- des condensats aqueux contenant divers produits polumérisables

(styrène, acrylonitrite, méthylène, etc...).

Le volume total déversé a été de 70.000 m3,

3.2. EVALUATION DES RISQUES

Actuellement, les puits sont fermés par des dalles en béton,

munies d' events et on ne peut donc pas reconnaître l'état du cuvelage, du

moins pour la partie non ennoyée.

Le principal risque est la détérioration du cuvelage, sous l'action

soit des produits déversés, soit des eaux d'infiltration.

10 -

La profondeur de puits varie de 150 m pour le premier à 400 m

pour les derniers réalisés.

Les puits Le Bel et De Chambrier ont fait l'objet de déversements

de produits chimiques contrôlés de 1965 à 1974, les puits Daniel Mieg de

quelques déversements sauvages rapidement arrêtés.

Ces déversements se faisaient gravitairement. Les produits concer¬

nés étaient les suivants :

- des huiles usées,

- des résidus de lavage de citernes,

- des sourdes usées,

- des acides résiduaires dilués dont certains sont cyanures,

- des résidus hydrocarbonés,

- du chlorophénol,

- du dichloréthylène,

- des condensats aqueux contenant divers produits polumérisables

(styrène, acrylonitrite, méthylène, etc...).

Le volume total déversé a été de 70.000 m3,

3.2. EVALUATION DES RISQUES

Actuellement, les puits sont fermés par des dalles en béton,

munies d' events et on ne peut donc pas reconnaître l'état du cuvelage, du

moins pour la partie non ennoyée.

Le principal risque est la détérioration du cuvelage, sous l'action

soit des produits déversés, soit des eaux d'infiltration.

Page 16: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

GIS'7S

Ke

y SCHEMA D'EFFONDREMENT D'UN PUITS

cône d'effondrement

affaissementde 1

(angle de talus)

puits comblé

(angle d'influence

matériaufoisonné

3,50 à 4,50 m

GIS'7S

Ke

y SCHEMA D'EFFONDREMENT D'UN PUITS

cône d'effondrement

affaissementde 1

(angle de talus)

puits comblé

(angle d'influence

matériaufoisonné

3,50 à 4,50 m

Page 17: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 11 -

Dans le cas où cette détérioration croît jusqu'à la rupture du

muraillement, on aurait alors remblaiement du puits par foisonnement des

terres alentour, ce qui provoquerait un affaissement du sol en surface

(voir croquis ci-contre).

Le rayon du cône d'effondrement en surface est fonction de la

profondeur h du puits :

- R = h . tg ]B

De même, l'amplitude maximale de l'affaissement peut être estimée

à partir de

, , R ,1 - cosjiAh = -^ ( : ")2 s in oc

Un calcul simplifié permet d'estimer la valeur de l'angle d'in¬

fluence B ^ 20° et on a, en général, dans les argiles de surface un angle

de talus x ?¥ 15°.

On obtient ainsi les valeurs suivantes pour les différents puits

; SIEGES

^Clemenceau (1917)

:Le Bel (1918)

:Daniel Mieg (1918)

:De Chambrier (1943)

:Puits VIII (1948)

PUITS

I

IV

II

V

III

VII

VI

RAYON DU CONE

D'EFFONDREMENT

55 m

75 m

140 m

85 m

145 m

145 m

145 m

145 m

AFFAISSEMENT MAXIMAL;

3,6 m :

4,9 m

9,2 m :

5,6 m :

9,5 m . :

. 9,5 m :

9,5 m :

9,5 m :

- 11 -

Dans le cas où cette détérioration croît jusqu'à la rupture du

muraillement, on aurait alors remblaiement du puits par foisonnement des

terres alentour, ce qui provoquerait un affaissement du sol en surface

(voir croquis ci-contre).

Le rayon du cône d'effondrement en surface est fonction de la

profondeur h du puits :

- R = h . tg ]B

De même, l'amplitude maximale de l'affaissement peut être estimée

à partir de

, , R ,1 - cosjiAh = -^ ( : ")2 s in oc

Un calcul simplifié permet d'estimer la valeur de l'angle d'in¬

fluence B ^ 20° et on a, en général, dans les argiles de surface un angle

de talus x ?¥ 15°.

On obtient ainsi les valeurs suivantes pour les différents puits

; SIEGES

^Clemenceau (1917)

:Le Bel (1918)

:Daniel Mieg (1918)

:De Chambrier (1943)

:Puits VIII (1948)

PUITS

I

IV

II

V

III

VII

VI

RAYON DU CONE

D'EFFONDREMENT

55 m

75 m

140 m

85 m

145 m

145 m

145 m

145 m

AFFAISSEMENT MAXIMAL;

3,6 m :

4,9 m

9,2 m :

5,6 m :

9,5 m . :

. 9,5 m :

9,5 m :

9,5 m :

Page 18: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 12 -

La détérioration du muraillement peut se produire en particulier

au-dessous des assises de travées, dans la partie bétonnée par morceaux et

où l'étanchéité peut être plus faible.

En 1973, il s'est d'ailleurs produit un affaissement sur le puits

n° 2, sur une aire localisée au pourtour immédiat du puits.

Par ailleurs, du fait de l'envahissement progressif de l'exploi¬

tation par les eaux d'infiltration, les gaz s'y trouvant sont repoussés

vers les zones dénoyées et en particulier les puits où il n'y a pas eu de

déversement.

Ces dégagements gazeux ont été notés autour des puits 1 et 4 (il

s'est d'ailleurs produit près de ce dernier puits une inflammation des gaz

suite à un feu de jardin), et dans une moindre mesure aux puits 3 et 7;

Les vannes des events ne fonctionnant plus, il pourrait se

produire à terme une mise en pression sous la dalle de fermeture.

Il conviendrait dans le cas des puits :

- soit de rendre inconstructible les zones situées à l'intérieur

du rayon précédemment défini ;

- soit de permettre l'urbanisation dans les conditions suivantes :

. ou bien remblaiement total du puits avant toute opérationavec un matériau graveleux drainant,

. ou bien mise en place d'un réseau de suivi topographique autourdes puits afin de détecter les mouvements éventuels, et priseen compte des tassements éventuels dans la construction desbâtiments (rigidif ication des fondations et de l'ossature).

Par ailleurs, il faudra ;

- revoir les events des puits 1, 4, 3 et 7 et éventuellement y

installer des torchères ;

- faire analyser les eaux sourdant près des puits 2 et 7 pour véri¬

fier leur toxicité et connaître leur origine.

- 12 -

La détérioration du muraillement peut se produire en particulier

au-dessous des assises de travées, dans la partie bétonnée par morceaux et

où l'étanchéité peut être plus faible.

En 1973, il s'est d'ailleurs produit un affaissement sur le puits

n° 2, sur une aire localisée au pourtour immédiat du puits.

Par ailleurs, du fait de l'envahissement progressif de l'exploi¬

tation par les eaux d'infiltration, les gaz s'y trouvant sont repoussés

vers les zones dénoyées et en particulier les puits où il n'y a pas eu de

déversement.

Ces dégagements gazeux ont été notés autour des puits 1 et 4 (il

s'est d'ailleurs produit près de ce dernier puits une inflammation des gaz

suite à un feu de jardin), et dans une moindre mesure aux puits 3 et 7;

Les vannes des events ne fonctionnant plus, il pourrait se

produire à terme une mise en pression sous la dalle de fermeture.

Il conviendrait dans le cas des puits :

- soit de rendre inconstructible les zones situées à l'intérieur

du rayon précédemment défini ;

- soit de permettre l'urbanisation dans les conditions suivantes :

. ou bien remblaiement total du puits avant toute opérationavec un matériau graveleux drainant,

. ou bien mise en place d'un réseau de suivi topographique autourdes puits afin de détecter les mouvements éventuels, et priseen compte des tassements éventuels dans la construction desbâtiments (rigidif ication des fondations et de l'ossature).

Par ailleurs, il faudra ;

- revoir les events des puits 1, 4, 3 et 7 et éventuellement y

installer des torchères ;

- faire analyser les eaux sourdant près des puits 2 et 7 pour véri¬

fier leur toxicité et connaître leur origine.

Page 19: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

GI©

B¤KKE

DISPOSITIF DE SUIVI TOPOGRAPHIQUEAUTOUR D'UN PUITS

o«43oint de base situé en-dehors du cône d'effondrement potentiel

puits

10 m 20 m 30 mI

15m 25 m i 30 m

repère denivellement

/'

(dispositif conseillé par puitssur 2 axes perpendiculaires)

2 points de base, 24 repères de nivellement

GI©

B¤KKE

DISPOSITIF DE SUIVI TOPOGRAPHIQUEAUTOUR D'UN PUITS

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puits

10 m 20 m 30 mI

15m 25 m i 30 m

repère denivellement

/'

(dispositif conseillé par puitssur 2 axes perpendiculaires)

2 points de base, 24 repères de nivellement

Page 20: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 13 -

4 - PROBLEME DES SONDAGES ET GALERIES

A la fin de l'exploitation, il restait ouvert 300 km de galeries

pour une densité de réseau de 200 m par hectares.

2La section moyenne de ces galeries était de 4 m environ et leur

profondeur de 100 à 300 m pour le 1er étage.

Déjà pendant l'exploitation, ces galeries subissaient des déforma¬

tions qui n'ont pu que s'accentuer avec le temps et 1' ennoyage de

l'exploitation.

A cette profondeur, l'effondrement d'une galerie de cette taille

n'a de répercussion en surface que par un affaissement progressif. En consi¬

dérant qu'il y a propagation totale de l'affaissement jusqu'à la surface,

ce qui n'est jamais le cas, la fermeture complète des galeries entraînera

au maximum une subsidence moyenne de 10 à 15 cm.

En ce qui concerne les tassements dus au soutirage de l'huile,

les données fournies par l'IGN montrent en 50 ans une subsidence de 8 cm

dans la zone exploitée par sondages.

L'exploitation minière ayant soutiré des quantités plus importan¬

tes, on peut estimer la subsidence totale dans ces zones entre 20 et 35cm.

Celle-ci se faisant à une vitesse relativement lente, elle n'a

pas de conséquence sur le bâti.

Dans le cadre de la réglementation du POS, il conviendra d'attirer

l'attention des Maîtres d'ouvrage éventuels sur la présence des sondages,

afin qu'une construction ne soit implantée directement sur l'un d'eux

(risques de dégagements gazeux ou de remontées d'huiles).

- 13 -

4 - PROBLEME DES SONDAGES ET GALERIES

A la fin de l'exploitation, il restait ouvert 300 km de galeries

pour une densité de réseau de 200 m par hectares.

2La section moyenne de ces galeries était de 4 m environ et leur

profondeur de 100 à 300 m pour le 1er étage.

Déjà pendant l'exploitation, ces galeries subissaient des déforma¬

tions qui n'ont pu que s'accentuer avec le temps et 1' ennoyage de

l'exploitation.

A cette profondeur, l'effondrement d'une galerie de cette taille

n'a de répercussion en surface que par un affaissement progressif. En consi¬

dérant qu'il y a propagation totale de l'affaissement jusqu'à la surface,

ce qui n'est jamais le cas, la fermeture complète des galeries entraînera

au maximum une subsidence moyenne de 10 à 15 cm.

En ce qui concerne les tassements dus au soutirage de l'huile,

les données fournies par l'IGN montrent en 50 ans une subsidence de 8 cm

dans la zone exploitée par sondages.

L'exploitation minière ayant soutiré des quantités plus importan¬

tes, on peut estimer la subsidence totale dans ces zones entre 20 et 35cm.

Celle-ci se faisant à une vitesse relativement lente, elle n'a

pas de conséquence sur le bâti.

Dans le cadre de la réglementation du POS, il conviendra d'attirer

l'attention des Maîtres d'ouvrage éventuels sur la présence des sondages,

afin qu'une construction ne soit implantée directement sur l'un d'eux

(risques de dégagements gazeux ou de remontées d'huiles).

Page 21: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 14 -

5 - CONCLUSIONS

A la suite de l'expertise réalisée sur les anciennes installations

de l'exploitation pétrolifère de MERCKWILLER - PECHELBRONN, il se dégage

les risques suivants :

- à court terme :

. glissements de talus sur les flancs des terrils, d'extensionrestreinte, menaçant une zone concentrique au terril de 60 m

de large au maximum,

. affaissement autour des puits où ont été déversés des produitschimiques (surtout puits du siège Le Bel),

. risques liés aux dégagements gazeux par les puits du siègeClemenceau (inflammations, explosions) ;

- à long terme :

instabilité d'ensemble des terrils (cette éventualité esttout à fait plausible, mais est à vérifier), pouvant atteindreune zone importante à l'aval des terrils en cas de rupture(voir plan en annexe). Dans ce contexte, le terril Clemenceaupourrait menacé un secteur déjà bâti,

affaissements liés à la dégradation du cuvelage des puits,qui à longue échéance ne peut que se produire.

Dans le cadre actuel de l'établissement du POS de MERCKWILLER -

PECHELBRONN, il est possible de geler les surfaces qui paraissent à un degré

plus ou moins important menacées par l'un de ces risques, en les classant

en zones non constructibles.

- 14 -

5 - CONCLUSIONS

A la suite de l'expertise réalisée sur les anciennes installations

de l'exploitation pétrolifère de MERCKWILLER - PECHELBRONN, il se dégage

les risques suivants :

- à court terme :

. glissements de talus sur les flancs des terrils, d'extensionrestreinte, menaçant une zone concentrique au terril de 60 m

de large au maximum,

. affaissement autour des puits où ont été déversés des produitschimiques (surtout puits du siège Le Bel),

. risques liés aux dégagements gazeux par les puits du siègeClemenceau (inflammations, explosions) ;

- à long terme :

instabilité d'ensemble des terrils (cette éventualité esttout à fait plausible, mais est à vérifier), pouvant atteindreune zone importante à l'aval des terrils en cas de rupture(voir plan en annexe). Dans ce contexte, le terril Clemenceaupourrait menacé un secteur déjà bâti,

affaissements liés à la dégradation du cuvelage des puits,qui à longue échéance ne peut que se produire.

Dans le cadre actuel de l'établissement du POS de MERCKWILLER -

PECHELBRONN, il est possible de geler les surfaces qui paraissent à un degré

plus ou moins important menacées par l'un de ces risques, en les classant

en zones non constructibles.

Page 22: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

- 15 -

Mais on peut aussi concevoir :

- soit une auscultation plus précise des installations :

. étude détaillée de stabilité des terrils,

. suivi topographique des puits ;

- soit, dans le cas de.s puits, Ces travaux de confortement

(remblaiement total)

pouvant permettre l'urbanisation d'une partie de ces zones.

On devra, de toute façon, modifier le système de fermeture des

puits 1 et 4 afin de contrôler et, éventuellement, éliminer les dégagements

gazeux.

Il conviendra, par ailleurs, de vérifier la toxicité de certaines

émergences (sièges Le Bel et Mieg) .

Les Ingénieurs chargés d'étude Le Directeur du ServiceGéologique Régional Alsace

P. LEBON G. RINCK J.J. RISLER

;C, c/^/c^

- 15 -

Mais on peut aussi concevoir :

- soit une auscultation plus précise des installations :

. étude détaillée de stabilité des terrils,

. suivi topographique des puits ;

- soit, dans le cas de.s puits, Ces travaux de confortement

(remblaiement total)

pouvant permettre l'urbanisation d'une partie de ces zones.

On devra, de toute façon, modifier le système de fermeture des

puits 1 et 4 afin de contrôler et, éventuellement, éliminer les dégagements

gazeux.

Il conviendra, par ailleurs, de vérifier la toxicité de certaines

émergences (sièges Le Bel et Mieg) .

Les Ingénieurs chargés d'étude Le Directeur du ServiceGéologique Régional Alsace

P. LEBON G. RINCK J.J. RISLER

;C, c/^/c^

Page 23: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

DIRECTION REGIONALE DE L'INDUSTRIE ET

ET DE LA RECHERCHE

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKWILLER - PECHELBRONN

PLans et profils des terrils

Annexe 1

N° annexe

Plan

1 A

1 C

1 E

1 H

Profil

1 B

1 D

1 F-G

1 I

Terri l

Clemenceau

Le Bel

Daniel Mieg

De Chambrier

DIRECTION REGIONALE DE L'INDUSTRIE ET

ET DE LA RECHERCHE

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKWILLER - PECHELBRONN

PLans et profils des terrils

Annexe 1

N° annexe

Plan

1 A

1 C

1 E

1 H

Profil

1 B

1 D

1 F-G

1 I

Terri l

Clemenceau

Le Bel

Daniel Mieg

De Chambrier

Page 24: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

A - PLAN DES TERRILS

Echelle : 1/3.000

Légende :

ravinements

/fi ^ S loupes d'arrachements

l i l i bourrelets de glissement

A.2-6* pente du talus Cen degrés)

H E point de prélèvement d'échantillon

zone marécageuse

exutoire des eaux d'infiltration

puits de mine

zone d'influence actuelle du terrilÜJ-L

I* aire d'extension probable du terrilen cas d'affaissement total (*)

zone d'influence possibLe en cas de rupture totale(déformations par fluage, coulées de boues ...)

(*) Ces limites sont données à titre indicatifet devraient être précisées éventuellementpar une étude de détail

B - PROFILS DES TERRILS

Echelle : 1/1.000

Légende :

profil de la pente d'équilibredu matériau saturé (t 15 à 16°)

profil probable du terril après rupturepar étalement

Page 25: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Ancienne masse

l'A

Suintement d'huiLe

Centre vilLe

Annexe 1 AD.R.I.R.

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Terri L ClemenceauPuits I et IV

Plan au 1/3.000

Page 26: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

OUEST

i Annexe 1 B '

I D.R. I.R. ^

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKWILLER-PECHELBRONn'

Terril ClemenceauPuits l et IV

Profil longitudinal

Echelle : 1/1.000

..-J

OUEST

i Annexe 1 B '

I D.R. I.R. ^

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKWILLER-PECHELBRONn'

Terril ClemenceauPuits l et IV

Profil longitudinal

Echelle : 1/1.000

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Page 27: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Annexe 1 CD.R.I.R.

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Terri L Le BeLPuits II et V

Plan au 1/3.000

Page 28: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

OUEST EST

Annexe 1 D

D.R. I.R.

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKWILLER-PECHELBRONN;

Terril Le Bel

Profil longitudinal

Echelle : 1.1.000

.J

OUEST EST

Annexe 1 D

D.R. I.R.

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKWILLER-PECHELBRONN;

Terril Le Bel

Profil longitudinal

Echelle : 1.1.000

.J

Page 29: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Annexe 1 ED.R.I.R.

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Terri L Mi eg

Plan au 1/3.000

Mare..

Puits IIIAncien siège DanielMieg transformé enexploitation agricole

Pente du V°terrain naturel

Page 30: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

CD 250

Annexe 1 F

D.R. I.R.

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Terril Mieg

Profil transversal

Echelle horizontale et verticale.1/1.000

CD 250

Annexe 1 F

D.R. I.R.

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Terril Mieg

Profil transversal

Echelle horizontale et verticale.1/1.000

Page 31: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

NORD -EST SUD -OUEST

Annexe 1 G

D.R.I.R.

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKWILLER-PECHELBRONN'

Terril Mieg

Profil longitudinal

Echelle horizontale et verticale1/1.000

NORD -EST SUD -OUEST

Annexe 1 G

D.R.I.R.

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKWILLER-PECHELBRONN'

Terril Mieg

Profil longitudinal

Echelle horizontale et verticale1/1.000

Page 32: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Ancien siègeactuellement habitation

Annexe 1 HD.R.I.R.

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Terri L De ChambrierPuits VI

Plan au 1/3.000

Page 33: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Annexe 1 ID.R.I.R.

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKw'lLLER-PECHELBRONN

Terril De Chambrier

Profil Longitudinal

Echelle verticale et horizontale1/1.000

NORD-NORD OUEST SUD -SUD EST

Penti

B

Annexe 1 ID.R.I.R.

EXPLOITATION MINIERE DE MERCKw'lLLER-PECHELBRONN

Terril De Chambrier

Profil Longitudinal

Echelle verticale et horizontale1/1.000

NORD-NORD OUEST SUD -SUD EST

Penti

B

Page 34: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Annexe 2

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Essais de Laboratoire

sur échantillons prélevés sur terrils

Annexe 2

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Essais de Laboratoire

sur échantillons prélevés sur terrils

Page 35: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

RESULTATS DES ESSAIS D'ADSORPTION

AU BLEU DE METHYLENE

Terri l

De Chambrier

Clemenceau

Le Bel

Daniel Mieg

N° d'échantillon

E 1

E 2

E 3

E 4

E 5

E 6

E 7

Valeur de bleu

4,6

5,6

5,2

1,3

5,5

2,9

5,5

RESULTATS DES ESSAIS D'ADSORPTION

AU BLEU DE METHYLENE

Terri l

De Chambrier

Clemenceau

Le Bel

Daniel Mieg

N° d'échantillon

E 1

E 2

E 3

E 4

E 5

E 6

E 7

Valeur de bleu

4,6

5,6

5,2

1,3

5,5

2,9

5,5

Page 36: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

B R G SGR-LOR

CAILLOUX aRAViint ABLKt «ILT«

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(pied)

De Chambrier

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ANALYSE GRANULOMETRIQUE

Page 40: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Annexe 3

MERCKWILLER - PECHELBRONN

Modifications topographiques du secteur

Annexe 3

MERCKWILLER - PECHELBRONN

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RB/ml.d

institut géograpj-iique nationalétablissement public de l'état à caractère administratif

aQ e nce d30, place de la carrière - 5AOOO nancy

¥.° 2062 SUD/nCY

re l'Est. '

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l'est

télôphone : (8) 335-OG-31 - (8) 335--1C5-50

B R C- y.

1 rue du Pafc de Braboi-s

n

LPb.-ist : Ror.^ro.T. ''o nivellement f^pc^oit

df? pf'n'^elhro'in .

P. .J. : 1 fond de c^.rte r'^nFei-'^né.

545C0 VANDO-lUVRK les NANCYA l'Attention de Monsieur LEBON

nancy, le 7 noverbre 1 984

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Mo ris ieu.r.

Coiir:?^ suito h vot-ve deui-nide, veuille?, trouver ci-joint un fondde c?.v1 p sur le'^u^l figurent 1er. enp!l^ce:nents des repères de nivel-Xorent coTfirur? =ux ope-'.-ztion.'^ dp 1924 Rt 1973/7^^ f^t les écarts d'alti¬tude issu."^. de? 2 c-^.'j'p.iifnes de relevés.

Les '.'' If^ur.'^i sent doni^ér.^ f>n centinètr'^'s y + 1 cm.

Oe". recherches plus lon£;uos et des recalculs des altitudes permst-tr.^ien!, pout-itre, d'obtenir des conip?rnisons avec les relevés.?lle"'-nds de l'i ^in du .siècle dernier,

Rest.T.t ? "o'"re disposition p.?ur tout rensei£;nemGnt complénen-t-îire, je v.".ur prie de croire, Monsieur, b. l'expression de messentiri"uts distin'""'iés . ^

^ H- ......:" ^y^^^N

L'Ingénievir des TGCE,Daniel LAMY

DIRECTION GÉNÉRALE : 136 bis. rue de grenelle - 75700 paris - télex IGN GNL 204989 F

représentations regionales en trance : aix-«n-provenca - alacclo blois - bordaaux - clarmont-ferrand - dilon - la vaudrauil - lilla - lyon -montpalller - nancy - nanfas - nica parls-île-de-franca - qulinpar foulon

bases en trance : aérodroma da crail - villafrancha-sur-char

représentations permanentes à l'étranger : bahrain - bamako - bangui - caracas - dakar - libravilla - niamay - riyadh - tripol!

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institut géograpj-iique nationalétablissement public de l'état à caractère administratif

aQ e nce d30, place de la carrière - 5AOOO nancy

¥.° 2062 SUD/nCY

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télôphone : (8) 335-OG-31 - (8) 335--1C5-50

B R C- y.

1 rue du Pafc de Braboi-s

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LPb.-ist : Ror.^ro.T. ''o nivellement f^pc^oit

df? pf'n'^elhro'in .

P. .J. : 1 fond de c^.rte r'^nFei-'^né.

545C0 VANDO-lUVRK les NANCYA l'Attention de Monsieur LEBON

nancy, le 7 noverbre 1 984

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L'Ingénievir des TGCE,Daniel LAMY

DIRECTION GÉNÉRALE : 136 bis. rue de grenelle - 75700 paris - télex IGN GNL 204989 F

représentations regionales en trance : aix-«n-provenca - alacclo blois - bordaaux - clarmont-ferrand - dilon - la vaudrauil - lilla - lyon -montpalller - nancy - nanfas - nica parls-île-de-franca - qulinpar foulon

bases en trance : aérodroma da crail - villafrancha-sur-char

représentations permanentes à l'étranger : bahrain - bamako - bangui - caracas - dakar - libravilla - niamay - riyadh - tripol!

Page 42: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

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Page 43: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

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Dátail_estimatif des études_coniglëmentaires_éventuelles

BRGM - SGR/LOR ANNEXE 4

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Dátail_estimatif des études_coniglëmentaires_éventuelles

Page 44: ERCmiLLER iLz{,lzxion p/toblzmz¿ dz

Annexe 4 . 1

Etude de stabilité d'un terril

Préparation des accès aux points de sondages, amenée

du matériel, installation de chantier 20 000

Forages de reconnaissance y, compris tubage provisoire,

prélèvement d'échantillon intact, diagraphies oray

- profondeur 50 m 45 000

- profondeur 30 m 19 000

- profondeur 20 m 13 000

Essais de pénétration statique

(linéaire total 100 m) 17 000

Fourniture et pose de cellules de mesures de pression

intersticielle par contrepression (7 unités) 21 000

Essais en laboratoire

- pour identification (teneur en eau, essai au bleu,

granulomètrie) 18 000

- essais triaxiaux cycliques (8 unités) 24 000

- essais de cisaillement alterné (2 unités) 10 000

- mesures de la pression intersticielle pendant

1 an (6 relevés) 18 000

- calcul de stabilité sur ordinateur à partir du

programme B.r.g.m. ANASTAB 10 000

- conception, suivi du chantier, levé topographique,

rédaction du rapport de synthèse 50 000

Total 270 000 F

Aléas, imprévus,

révisions de prix . 30 000

Total estimé H. T. . 300.000 F

Ces prix sont valables pour 1985.

Annexe 4 . 1

Etude de stabilité d'un terril

Préparation des accès aux points de sondages, amenée

du matériel, installation de chantier 20 000

Forages de reconnaissance y, compris tubage provisoire,

prélèvement d'échantillon intact, diagraphies oray

- profondeur 50 m 45 000

- profondeur 30 m 19 000

- profondeur 20 m 13 000

Essais de pénétration statique

(linéaire total 100 m) 17 000

Fourniture et pose de cellules de mesures de pression

intersticielle par contrepression (7 unités) 21 000

Essais en laboratoire

- pour identification (teneur en eau, essai au bleu,

granulomètrie) 18 000

- essais triaxiaux cycliques (8 unités) 24 000

- essais de cisaillement alterné (2 unités) 10 000

- mesures de la pression intersticielle pendant

1 an (6 relevés) 18 000

- calcul de stabilité sur ordinateur à partir du

programme B.r.g.m. ANASTAB 10 000

- conception, suivi du chantier, levé topographique,

rédaction du rapport de synthèse 50 000

Total 270 000 F

Aléas, imprévus,

révisions de prix . 30 000

Total estimé H. T. . 300.000 F

Ces prix sont valables pour 1985.

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Annexe 4 . 2

Suivi_togograghÍ2ue_d¿un_2uits

Mise en place des repères de nivellement (barres

foncées à 3 m de profondeur, sans frottement à la

partie supérieure) 25 000 à 35 000 F

Nivellement de précision des repères (au

millimètre)

le relevé 7 500 F

Ces prix s'entendent hors taxe.

Prévoir une mesure tous les 6 mois la 1ère année, annuellement

ensuite.

Ces prix sont valables pour 1985.

Annexe 4 . 2

Suivi_togograghÍ2ue_d¿un_2uits

Mise en place des repères de nivellement (barres

foncées à 3 m de profondeur, sans frottement à la

partie supérieure) 25 000 à 35 000 F

Nivellement de précision des repères (au

millimètre)

le relevé 7 500 F

Ces prix s'entendent hors taxe.

Prévoir une mesure tous les 6 mois la 1ère année, annuellement

ensuite.

Ces prix sont valables pour 1985.