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F O N D S M O N É T A I R E I N T E R N A T I O N A L Centre Régional d’Assistance Technique pour l’Afrique Centrale AFRITAC Centre - Libreville, Gabo n. FORUM DES HAUTS FONCTIONNAIRES DU BUDGET DES ETATS MEMBRES DE L’AFRITAC CENTRE (FoHBAC). SYNTHESE GENERALE DES TRAVAUX - PowerPoint PPT Presentation
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FORUM DES HAUTS FONCTIONNAIRES DU BUDGET DES ETATS MEMBRES DE L’AFRITAC CENTRE
(FoHBAC)
SYNTHESE GENERALE DES TRAVAUXPrésentée par Abdoulahi Mfombouot
Co-organisation: Ministère gabonais du budget, des comptes publics et de la Fonction Publique chargé de la Réforme de l’Etat et AFRITAC Centre
Libreville, 13 Janvier 2012
F O N D S M O N É T A I R E I N T E R N A T I O N A L Centre Régional d’Assistance Technique pour l’Afrique Centrale
AFRITAC Centre - Libreville, Gabon
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ARTICULATION DES TRAVAUXI. Ouverture du ForumII. Introduction généraleIII. Travaux proprement dits
Réforme du cadre légal et stratégie de mise en œuvre
Réforme des modes de gestion Politique budgétaire au service du développement Assistance technique dans les Etats membres Plan d’action du FoHBAC pour 2012
IV.Clôture du Forum
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CEREMONIE D’OUVERTURE
1. Discours du coordonateur AFRITACGenèse du FoHBACCompétences de l’AFRITACPrincipales actions réalisées par le FoHBAC
2. Allocution de Monsieur le ministre du budget de la république gabonaiseDéfis et enjeux du FoHBACNécessité d’asseoir les bases d’une coopération durable
et mutuellement bénéfique entre nos EtatsNécessité d’adopter et de communiquer aux EM un
programme d’activités pour la prochaine année Etat des réformes budgétaires au Gabon
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INTRODUCTION GENERALE
Contexte, objectifs, résultats attendus et programmes des travaux
Approche méthodologique, conditions de succès
Présentation des délégués et animateurs
Recueil des attentes des délégués
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THEME 1 : RÉFORME DU CADRE LÉGAL ET STRATÉGIE DE MISE EN ŒUVRE
Les directives de la CEMAC
La LOLF française: 10 ans après l’adoption et 5 ans de mise en œuvre
La gouvernance de la réforme des FP en RDC
Les travaux en ateliers
Les difficultés de mise en œuvre des réformes et quelques pistes de solution (Banque mondiale)
La démarche et les enjeux de l’harmonisation du cadre juridique, comptable et statistique des finances publiques dans l’espace UEMOA
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1. LES DIRECTIVES DE LA CEMAC
Adoptées le 19 décembre 2011 En ligne avec les bonnes pratiques et les normes
internationales Mise en place d’un plan d’action en 7 programmes pour
la mise en œuvre 2 ans pour la transposition/traduction dans les droits
nationaux Mise en œuvre progressive étalée sur 8 ans Quelques conditions de réussite: Sensibilisation de tous les acteurs; Forte implication de tous les EM; Approche solidaire entre les EM; Appui politique constant; Appui des Partenaires Techniques et Financiers.
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2. LA LOLF FRANÇAISE: 10 ANS APRÈS L’ADOPTION ET 5 ANS DE MISE EN ŒUVRE 1/2
Quels enseignements de la mise en œuvre La nécessité d’une implication au plus haut niveau (soutien
politique) tout au long de la réforme La formation des managers publics à la culture de
responsabilité Une formation indispensable dans les ministères pour tous les
agents quelque soit leur niveau (formation de formateurs) Le recours à des expérimentations pour s’approprier la
réforme Une communication externe et interne La nécessité d’une mise sous tension par le calendrier Le temps long de la réforme
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LA LOLF FRANÇAISE: 10 ANS APRÈS L’ADOPTION ET 5 ANS DE MISE EN ŒUVRE 2/2
Les défis de long termeUn défi politique : la réalité du rôle du Parlement et son implicationUn défi administratif :
• La cohérence entre les périmètres des programmes importants et les compétences des administrations centrales
• Les relations entre administrations centrales et services déconcentrés
• Les relations entre les acteurs : ministère des finances / ministères gestionnaires ; RESPROG/directions support
Un défi culturel : le passage d’une culture de moyens et de régularité à une culture de résultats
Un défi technique : améliorer les systèmes d'information pour la qualité et la fiabilité des données.
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3. LA GOUVERNANCE DE LA RÉFORME DES FINANCES PUBLIQUES EN RDC
Un pilotage politique par le gouvernement (maîtrise d’ouvrage)
Un pilotage technique par une structure dédiée (COREF) (maîtrise d’ouvrage délégué)
Une stratégie globale des réformes sur 7 ans assortie d’un plan d’action triennal glissant
Une réforme conduite par les administrations (maîtrise d’œuvre)
Un cadre de dialogue avec les PTFs Un dispositif de suivi-évaluation
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4. LES TRAVAUX EN ATELIERS
Atelier 1 : Les rapports entre les autorités budgétaires et les ministères sectoriels
Atelier 2 : L’implication de la société civile au processus budgétaire
Atelier 3 : La promotion d’un programme de master exécutif sur la modernisation des FP et la budgétisation axée sur les résultats
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ATELIER 1LES RAPPORTS ENTRE LES AUTORITÉS BUDGÉTAIRES ET LES MINISTÈRES SECTORIELS
Promouvoir une approche de dialogue et de coopération avec les administrations (top-down/Bottom-up)
Encourager la déconcentration progressive du rôle d’ordonnateur et la responsabilisation des gestionnaires
Mettre en place un dispositif d’accompagnement et d’information des ministères notamment en instituant des correspondants ou points focaux
Adopter un calendrier budgétaire permanent ajustable à la marge
Susciter leur intérêt au processus de préparation du budget Faciliter le processus d’exécution budgétaire dans les services
financiers.
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ATELIER 2 L’IMPLICATION DE LA SOCIÉTÉ CIVILE AU PROCESSUS BUDGÉTAIRE
Propositions de l’atelierLa participation de la société civile au processus budgétaire
s’impose aujourd’hui à tous les Etats (ONG, syndicats, patronat, citoyens, clergé, etc);
Quelques pays expérimentent déjà cette démarche: processus participatif du DSND et l’expérience camerounaise du suivi participatif du BIP;
Nécessité du renforcement des capacités de la société civile en matière budgétaire ;
Besoin d’une instance permanente de concertation en matière budgétaire (CES renforcés en matière budgétaire ou une institution à l’image de l’Initiative pour la transparence des industries extractives)
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ATELIER 3PROGRAMME DE RECHERCHE DE NIVEAU MASTER
Initiative salutaire dans un contexte de passage aux réformes de 2ème génération
Proposition d’amélioration du projet des TdR:Dynamiser la formation traditionnelle assurée par les écoles nationales
d’administration et autres centres de formation et promouvoir les liens entre ces écoles/centres et les universités
S’orienter vers un master executive plutôt qu’un master classique, avec des modules et un mémoire
Organiser le master de manière à permettre aux apprenants de ne pas se couper de leurs postes d’affectation durant le cursus
Susciter l’appui des PTFs (en plus des traditionnels, l’ACBF) Commencer par une ou deux écoles de formation de la sous-région,
recrutées sur la base de leurs compétences en la matièreSensibiliser les ministères des finances ou du budget des EM à l’intérêt
de ce programmeFaire élaborer des modules standards de formation et impliquer à la fois
les praticiens et les universitaires.
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5. DIFFICULTÉ DE MISE EN ŒUVRE DES RÉFORMES ET QUELQUES PISTES DE SOLUTION (BANQUE MONDIALE) 1/2
Préalables pour les réformesUn environnement favorable (un consensus du
pouvoir politique, un projet politique de modernisation de l’Etat, la capacité du ministère du Budget à piloter la mise en œuvre de la réforme, la mobilisation de l’ensemble de l’Administration)
Economie politique de la réforme: diagnostic de l’existant aux fins d’identification des difficultés potentielles techniques et soft de mise en œuvre
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DIFFICULTÉ DE MISE EN ŒUVRE DES RÉFORMES ET QUELQUES PISTE DE SOLUTION 2/2
Quelques facteurs clés de succès Traduction conforme des directives dans
toutes les langues officielles des Etats membres de la communauté
Internaliser la réforme (Appropriation de la réforme par les acteurs internes et mise en conformité du cadre juridique)
Concevoir une stratégie de mise en œuvreSéquencer la mise en œuvre
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6. DEMARCHE ET ENJEUX DE L’HARMONISATION DU CADRE JURIDIQUE, COMPTABLE ET STATISTIQUE DES FINANCES
PUBLIQUES DANS L’ESPACE UEMOA
Adoption des nouvelles directives en juin 2009Mise en place d’un programme d’appui aux réformes
en décembre 2009 avec 6 composantesForte implication des EM dans le processus d’adoption
et de mise en œuvre Promotion des réformes de 2ème générationForte adhésion et soutien des PTFDifficultés: non respect du calendrier de transposition
par les EM, non-conformité de certaines dispositions des directives aux Constitutions nationales
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THEME 2 : REFORME DES MODES DE GESTION
Le contrôle budgétaire en mode LOLFL’expérience gabonaise en matière de structuration des
programmes budgétairesL’expérience congolaise en sur la déconcentration de la
chaîne de la dépenseLe système intégré de gestion des finances
publiques( GES’CO) en RCALa budgétisation et l’exécution des dépenses
d’investissement en Guinée EquatorialeLa mobilisation, budgétisation et suivi des FINEX au Tchad Le BAS/FCE au Burundi
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1. LE CONTRÔLE BUDGÉTAIRE EN MODE LOLF 1/2Contrôle budgétaire recentré sur la
soutenabilité budgétaire (tenir l’exécution)Visa sur les engagements juridiques maintenu
mais désormais basé sur les risques avec un seuil financier (5 à 10% des actes )
Avis sur les documents prévisionnels de gestionContrôle des emplois portant à la fois sur les
plafonds d’emploi et les masses salarialesInstitution d’une autorité unique (budgétaire et
comptable) auprès des ministères (CBCM)
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LE CONTRÔLE BUDGÉTAIRE EN MODE LOLF 2/2
Perspectives d’évolution
Institution d’un contrôle interne budgétaire dans chaque ministère ainsi que des comités d’audit interne (référentiels normatifs définis par le ministère des finances)
Distinction entre les fonctions d’inspection et d’audit interne
Alléger et recentrer le contrôle comptable sur les enjeux et les risques
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2. L’EXPÉRIENCE GABONAISE EN MATIÈRE DE STRUCTURATION DES PROGRAMMES
BUDGÉTAIRES 1/2Plusieurs tentatives non abouties d’élaboration des
programmes budgétairesReprise récente des travaux avec une option de
progressivité commençant par 4 ministères pilotesMeilleure appréhension des concepts des Missions,
Programmes et Actions ainsi que des principes qui sous-tendent leur construction
Réactivation et renforcement de l’équipe projetForte implication des ministères et mise en place
des équipes projets ministérielles
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L’EXPÉRIENCE GABONAISE EN MATIÈRE DE STRUCTURATION DES PROGRAMMES
BUDGÉTAIRES 2/2 Prochaines étapes
Extension progressive du chantier de structuration des programmes à d’autres ministères à partir de mars 2012
Élaboration de la démarche des performance dans les 4 ministères pilotes depuis octobre 2011
Etude en cours sur l’adaptation du système d’information
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3. L’EXPÉRIENCE CONGOLAISE SUR LA DÉCONCENTRATION DE LA CHAÎNE DE LA DÉPENSE
Budget exécuté dans un contexte d’ordonnateur unique Déconcentration effective dans le domaine de la passation des
marchés publics, de l’engagement et de la liquidation des dépenses, du contrôle financier;
Ordonnancement assuré par l’ordonnateur délégué (le DGB) et ses mandataires suivant les seuils
Elaboration d’une nomenclature des pièces justificatives des dépenses et fixation des délais de traitement des dossiers à chaque étape;
Organisation des différentes procédures d’exécution des dépenses Rationalisation de la chaîne de dépenses; Institution du principe d’ordonnateurs multiples dans le projet de
loi en cours transposant la directive LF de la CEMAC.
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4. LE SYSTÈME INTÉGRÉ DE GESTION DES FINANCES PUBLIQUES (GES’CO) EN RCA
GESCO comporte deux modules intégrés: Budget et Trésor
GESCO est évolutif et interfaçable avec les autres applications
Performance de GESCO affectée par le recours abusif aux procédures dérogatoires et une insuffisante appropriation
Etude en cours pour l’extension de GESCO aux ministères sectoriels
Mise en place d’un SIGFIP adapté est un préalable pour le passage aux réformes de seconde génération
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5. BUDGÉTISATION ET EXÉCUTION DES DÉPENSES D’INVESTISSEMENTS PUBLICS EN GUINEE
EQUATORIALEGestion du BIP: Ministères du plan, des
infrastructures, des finances, GEPROJETOS, Agence 2020
Adoption d’un plan national de développement comportant 4 axes et 13 programmes
Investissements financés par les recettes pétrolières
Mise en place des grands projets d’investissement dans différents secteurs
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6. MOBILISATION, BUDGÉTISATION ET SUIVI DE LA GESTION DES FINANCEMENTS EXTÉRIEURS AU
TCHAD Dispositif en cours de maturation Plusieurs difficultés: Multiplicité d’intervenants
avec des rôles imprécis, absence d’un document de politique nationale de l’aide, pas de guide d’élaboration du PTIP, déficience du SI, calendrier budgétaire non harmonisé avec celui du PTIP et pas de coordination entres PTF, insuffisant suivi des projets sur finex;
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MOBILISATION, BUDGÉTISATION ET SUIVI DE LA GESTION DES FINANCEMENTS EXTÉRIEURS AU
TCHAD 2/2 Quelques pistes de solution
Respecter de la Déclaration de ParisInstaurer un cadre d’échange permanent entre le
budget et le planAdopter un document de politique nationale de l’aideMettre en œuvre la solution médiane(CAS, FC)
proposée par les directives de la CEMACRedynamiser les dispositifs de suivi-évaluation
interne et externe des projets et programmes de développement
Accélérer l’aboutissement de la réforme en matière de passation des marchés publics
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7. GESTION DES FONDS DE BAILLEURS: CAS DU BAS/FCE AU BURUNDI
Regroupement d’un groupe de PTF pour mettre en place un FCE dans le cadre d’un BAS
Le ministre de l’éducation en est constitué ordonnateur déléguéLes fonds sont logés dans un compte pivot au CUE à la BRB;Les PTF concernés sont associés à la programmation et au suivi de
l’exécution des projets financés par le BAS/FCECette option est conforme au Règlement Général de Gestion des
Budgets Publics (RGGBP)Elle offre l’opportunité de déconcentrer la phase administrative de
la dépense dans les ministères dépensiersElle permet de préfigurer les réformes promues par la nouvelle loi
organique et le RGGBP Elle constitue une solution de compromis en attendant de muter
complètement vers les appuis budgétaires conformément à la Déclaration de Paris
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GESTION DES FONDS DE BAILLEURS: CAS DU BAS/FCE AU BURUNDI 2/2
Perspectives Recrutement d’un auditeur pour une période de deux ans
Mise en interface de SIGEFI avec TOMPRO pour permettre la saisie unique des engagements
Mise en place du BAS/SANTE à partir de 2013
Extension progressive à d’autres secteurs à partir de 2014
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THEME 3 : L’ARTICULATION DU DOCUMENT DE STRATÉGIE NATIONALE DE DÉVELOPPEMENT, DES STRATÉGIES
SECTORIELLES ET DE LA PROGRAMMATION BUDGÉTAIRE• COMMENT? Proposer un calendrier budgétaire qui tienne compte des
phases de revue et d’évaluation des stratégiesS’assurer que les éléments relatifs à l’évaluation/révision du
DSND soient intégrés dans l’atteinte des objectifsVérifier la cohérence des objectifs globaux et spécifiques du
DSND/allocation intra-sectorielles de ressourcesS’assurer de la rationalité de la déclinaison de la stratégie
sectorielle et de la traduction budgétaire des prioritésVérifier la pertinence de l’architecture budgétaire (stratégie /
objectifs / ministères / secteur) Appréciation des résultats basés sur des indicateurs de
résultats et des cibles objectivement mesurables et vérifiables
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THEME 4 : LA PROBLÉMATIQUE DE L’ASSISTANCE TECHNIQUE DANS LES ETATS MEMBRES 1/2
Le consultant doit assurer la durabilité des capacités renforcées sans se substituer aux acteurs nationaux
La contrepartie nationale doit identifier un porteur de l’AT et une approche participative doit être privilégiée pour assurer l’appropriation
Les composantes « Monitoring et Evaluation » doivent être une partie intégrante de l’AT pour que les leçons apprises (les succès et les échecs) puissent être capitalisées dans la planification et la conduite de l’AT
L’AT doit davantage se focaliser sur les résultats
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Difficultés de mise en œuvre des activités d’AT
• Du côté des bénéficiaires- Faibles capacités, indisponibilités
et forte mobilité des acteurs- Réticences à donner des
informations- Documents souvent non
exploitables- Statistiques peu fiables
• Du côté des prestataires- Faible coordination des PTF- Différentes approches- Non maîtrise des réalités
nationales- Absence de follow-up des
recommandations précédentes- Réplication des modèles non
adaptés
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Difficultés liées à la délivrance des produits d’AT
• Du côté des bénéficiaires
- Réaction tardive ou non aux projets d’aide-mémoire
- Non circularisation aux principaux acteurs
• Du côté des prestataires
- Non respect des délais - Utilisation du support papier,
exploitation pas aisée- Utilisation parfois non pertinente
des clauses de confidentialité
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Difficultés inhérentes à l’atteinte des résultats
• Du côté des bénéficiaires- Absence ou peu d’assurance
qualité du produit- Mise en œuvre insuffisante
des recommandations- Absence d’une instance
unique de suivi de la mise en œuvre des recommandations
- Faible capacité d’absorption par les bénéficiaires
• Du côté des prestataires- Qualité du produit pas
toujours assurée- Démarche
d’accompagnement non explicite
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THEME 5 : PLAN D’ACTION DU FoHBAC POUR 2013
Désignation d’un nouveau bureau du FoHBAC Recours à une expertise CT pour finaliser les TdR du
programme de master et identifier les potentielles centres de formation compétents
Constitution des groupes d’études thématiques au sein du FoHBAC
Plus grande sensibilisation des PTF aux activités du Forum Poursuite de la démarche de coopération avec le CABRI Tenue du prochain forum en janvier 2013 à N’Djamena au
Tchad
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Merci de votre attention