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BH Horaires de Chabbat Parachat ‘Houkat - Jérusalem Entrée : 19h13 - Sortie : 20h30 Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd N°8 - Hebdomadaire Chabbat Parachat ‘Houkat Mais on peut aussi se souvenir que le Guimel Tamouz à l’époque de Yéhochoua Bin Noun, s’est passé un grand miracle... le soleil a arrêté sa course à Guiveon (Yéhochoua 10-12). Le trois Tamouz 5754-1994, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h s’est voilé à nos yeux et il semblerait que le discours du 3 Tamouz 5751- 1991 fut une préparation à cet événement, le processus de la délivrance véritable et complète a été enclenché et nous apprenons de ce discours que cela s’est passé et se passe encore au- jourd’hui par étapes et selon les voies de la na- ture pour arriver à ce que nous comprenions que tout d’abord, chacun et chacune est un Chalia’h, un émissaire du Rabbi et qu’il a le devoir au- jourd’hui et selon le discours du 28 Nissan 5751- 1991 de faire tout ce qui est en son pouvoir pour amener la délivrance par de nouvelles initiatives parfois inédites et originales. Cette année 5774, cela fait exactement 20 ans que le voilement a eu lieu et la valeur numérique du nombre vingt est Kaf, qui est la première let- tre du mot Keter (Couronne) relié à la Mal’hout, la royauté, or la Guéoula, c’est le dévoilement du Saint béni soit-Il dans le monde (Dvar Mal’hout Vayéra 5751). Le Guimel est la première lettre du mot Guilouï (dévoilement), mais aussi celle du mot Guéoula ! Que tout cela se passe dans la plus grande joie, une joie sans précédent, la joie de la Guéoula et de manière immédiate, Miyad Mamach… GB et LT Guimel Tamouz Guimel Tamouz 5754-5774 : 20 ans Insérer le Guimel dans le mot Guéoula ! On peut constater que la libération de l’ancien Rabbi, des geôles soviétiques, débute le trois Tamouz. Personne ne le savait encore et les ‘hassidim étaient très inquiets. Mais en fin de compte ce jour- là, la peine capitale fut annulée et ce fut là l’origine de la libération du Rabbi. Sur la route Jérusalem-Tel Aviv (source www.hageula.com)

Gueoula news n°8

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la newsletter de la Guéoula

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Page 1: Gueoula news n°8

BH

Ho r a i r e s d e C h a b b a tParachat ‘Houkat - JérusalemEntrée : 19h13 - Sortie : 20h30

Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou

Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd

N°8 - Hebdomadaire Chabbat Parachat ‘Houkat

Mais on peut aussi se souvenir que le GuimelTamouz à l’époque de Yéhochoua Bin Noun,s’est passé un grand miracle... le soleil a arrêté sacourse à Guiveon (Yéhochoua 10-12).Le trois Tamouz 5754-1994, le Rabbi ChlitaMéle’h HaMachia’h s’est voilé à nos yeux et ilsemblerait que le discours du 3 Tamouz 5751-1991 fut une préparation à cet événement, leprocessus de la délivrance véritable et complètea été enclenché et nous apprenons de ce discoursque cela s’est passé et se passe encore au-jourd’hui par étapes et selon les voies de la na-ture pour arriver à ce que nous comprenions quetout d’abord, chacun et chacune est un Chalia’h,un émissaire du Rabbi et qu’il a le devoir au-jourd’hui et selon le discours du 28 Nissan 5751-1991 de faire tout ce qui est en son pouvoir pouramener la délivrance par de nouvelles initiativesparfois inédites et originales.Cette année 5774, cela fait exactement 20 ansque le voilement a eu lieu et la valeur numériquedu nombre vingt est Kaf, qui est la première let-tre du mot Keter (Couronne) relié à la Mal’hout,la royauté, or la Guéoula, c’est le dévoilement duSaint béni soit-Il dans le monde (Dvar Mal’houtVayéra 5751). Le Guimel est la première lettre dumot Guilouï (dévoilement), mais aussi celle dumot Guéoula ! Que tout cela se passe dans la plus grande joie,une joie sans précédent, la joie de la Guéoula etde manière immédiate, Miyad Mamach… GB et LT

GuimelTamouzGuimelTamouz

5754-5774 : 20 ans

Insérer le Guimel dans le mot Guéoula !

On peut constater que la libération del’ancien Rabbi, des geôles soviétiques,débute le trois Tamouz. Personne ne lesavait encore et les ‘hassidim étaient trèsinquiets. Mais en fin de compte ce jour-là, la peine capitale fut annulée et ce futlà l’origine de la libération du Rabbi.

Sur la route Jérusalem-Tel Aviv(source www.hageula.com)

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T o r a h d e G u é o u l a

Dva r Ma l ’ h ou tExtraits du discoursDu Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h ChlitaChabbat ‘Houkat 3 Tamouz 5751-1991

La libération de mon beau-père, le Rabbi, deson emprisonnement dans les prisons sovié-tiques en 5687 (1927) se fit par étapes : toutd’abord, le jour du trois Tamouz, sa condam-nation à « l’inverse de la vie », que D.ieu nousen préserve, fut commuée en une peine detrois ans d’exil dans la ville de Kastrama. Puis,le 12 Tamouz, on lui annonça sa libération to-tale qui se fit concrètement le lendemain,c’est-à-dire le 13 Tamouz.

Le soleil a stoppé sa courseEn ce jour du trois Tamouz eut lieu, il y a de trèsnombreuses générations, un autre miracle : lorsde la bataille que Yéhochoua livra contre les Émo-réens, le soleil allait se coucher alors que la vic-toire n’était pas encore acquise. Voyant que la nuitdonnerait à l’ennemi la possibilité de fuir, Yého-choua implora «Soleil, arrête-toi sur Guiveon !...»,«Et le soleil s’arrêta... » (1), ce qui permit aux En-fants d’Israël de gagner la bataille. Or, sachantque tous les évènements qui se sont produits àune certaine date se renouvellent chaque année àcette même date, il est évident qu’il y a un lienentre ce miracle et celui de la libération du Rabbi.

Kora’h et ‘HoukatCe sujet est également lié à la paracha de Kora’h.Les noms des deux parachiot, « Kora’h » et« ‘Houkat » sont composées tous deux des lettresdu mot « ‘hok », sauf que dans Kora’h il y a l’ajoutd’un rech, et dans ‘Houkat, l’ajout d’un Tav. Le mot « ‘hok », « un décret divin », désigne cequi dépasse l’entendement humain. Si Kora’hcontient ce terme, c’est pour nous enseigner qu’ilavait perçu la grandeur de la révélation messia-nique qui transcendera l’entendement humain.Son erreur fut cependant ce qui est exprimé par lalettre « rech ». En effet, le rech exprime la pauvreté (rach signifie« indigent » en hébreu), car dans l’optique deKora’h, cette grande révélation et la pensée et lediscours qui en résultaient ne descendaient pasjusqu’à l’action concrète. Il n’y avait là que deuxlignes directionnelles, comme dans la forme du«rech », la ligne de droite et la ligne supérieure quisymbolisent la pensée et la parole, mais il man-quait la ligne de gauche qui représente l’action. En revanche, « ‘Houkat » évoque la perfection,car le sujet transcendant de « ‘hok » descends’accomplir dans l’action, ce qui est symbolisédans la lettre « tav » qui contient les trois lignes,reliées entre elles, et terminées par un petit pointqui représente le sujet du « bitoul », de l’efface-ment de soi devant D.ieu. C’est ainsi que peuts’effectuer le sujet de « ‘Houkat », la « loi de la

Torah » qui est gravée (gravure se disant« ‘hakika ») de façon éternelle. Nous voyons ainsi comment le sujet transcendantde « ‘hok » pénètre tous les autres degrés del’existence (contrairement à « Kora’h »), ce qui estexprimé par la lettre « tav », la dernière des vingt-deux lettres de l’alphabet hébraïque, qui contientde ce fait toutes les étapes qui existent. Et cela sefait alors que la pensée, la parole et l’action (re-présentées par les trois lignes) sont reliées entreelles sans aucune interruption, à l’image de l’asso-ciation du miracle avec la nature (c’est-à-direl’union de ce qui est au-delà des mondes avec lesmondes eux-mêmes).

Agir dans les limites de la natureD’après ce qui précède, on comprend pourquoi lemiracle qui vit le soleil se figer dans la bataille deYéhochoua fut lié aux lois de la nature. En effet, lafinalité du miracle, comme nous l’avons dit, n’estpas de s’extraire de la nature, mais, au contraire,d’agir en son sein. Ainsi, le miracle ne vint pas re-pousser toutes les limites naturelles, mais seule-ment permettre aux Enfants d’Israël de se battrede façon naturelle. Et donc, d’après cela, il est logique d’avancer quele miracle se fit à l’intérieur du cadre naturel, c’est-à-dire qu’il agit sur le mouvement de l’ensembledes astres, qui connurent, dès lors, un cours nou-veau. On voit ici, de nouveau, l’association de cequi dépasse la nature avec la nature elle-même :ce changement intervint, il est vrai, de façon mira-culeuse, mais il devint ensuite un paramètre de lanature. Telle est également l’explication du miracle dutrois et des douze et treize Tamouz. Il y eut effecti-vement, là aussi, l’association du miracle et de lanature : le véritable miracle par lequel les autoritéssoviétiques acceptèrent de libérer le Rabbi, se dé-roula à l’intérieur des voies naturelles, en fonction

de leurs modalités de fonctionnement administratifhabituelles. Et cette délivrance eut lieu par étapes,car il fallut que le régime, qui était alors dans toutesa force, arrive « naturellement » à la conclusionqu’il était obligé d’abord de commuer la peine ca-pitale en peine d’exil, puis de libérer le Rabbi défi-nitivement. Ceci constitua l’amorce duchangement qui conduisit ce même régime, desannées plus tard, à libérer tous les Juifs de cepays.

Le monde est déjà prêt ! Et cela est particulièrement visible dans les an-nées récentes, dans lesquelles nous voyons desmiracles dans le monde, qui s’habillent dans lesvoies naturelles. Comme ce fut le cas lors de lasortie d’Égypte, lorsqu’on en vint au moment oùles Enfants d’Israël « dépouillèrent l’Égypte » deses richesses, cela commença de façon miracu-leuse, puis s’habilla dans les voies de la naturelorsque les Egyptiens forcèrent les Israélites àprendre plus que ce qu’ils leur avaient demandé. Chacun doit donc prendre à cœur de rajouterdans la diffusion du Judaïsme en général et dessources de la ‘Hassidout avec enthousiasme et laconscience claire que le monde lui-même aiderales Juifs dans leur tâche. Et qu’immédiatement cela amène la véritable etcomplète délivrance, accompagnée du sacrificede la dixième vache rousse que pratiquera le RoiMachia’h en se révélant promptement. Alors, nousnous rendrons tous, jeunes gens et vieillards,avec nos fils et nos filles, en terre sainte, dans Jé-rusalem la ville sainte et dans le troisième Temple,et le plus important : que ce soit immédiatement !

Notes1/ Josué 10, 12-13 - 2/ voir Rambam, Lois sur les Fon-dements de la Torah, chap. 3 - 3/ Nombres 17, 18-20 - 4/Nombres 17, 23 - 5/ Pirkei Avot, à la fin du 6ème chap. -6/ « dilitani », dans le Psaume 30 - 7/ Téhilim 102, 1 - 8/Deutéronome 15, 18 - 9/ Proverbes 5, 16

Le miracle du 3 Tamouz

Que diront le monde et les nations ?!

Un Juif pourrait se poser cette question : « Quand bien même j’accomplirais parfaitementmon service de D.ieu jusqu’à atteindre le niveau où toute mon existence n’est que « répandre » ledivin, à quoi cela servirait-il puisque nous sommes « le moins nombreux parmi les peuples » et quele monde alentour est empli de soixante-dix nations qui sont incomparablement plus nombreusesque la seule brebis ». Formulé autrement : « Que diront le monde et les nations d’un Juif qui « dif-fuse les sources à l’extérieur », en particulier quand il œuvre pour rapprocher la délivrance messia-nique. Ils ne comprennent même pas ce que cela signifie ! Et bien qu’il s’agisse d’un service de D.ieutrès élevé, ne doit-on pas pourtant prendre le monde en considération ? ». Lorsqu’un Juif mèneracorrectement à bien sa mission, en transcendant toute limitation et en s’investissant dans une dé-marche qui se déploie dans l’ordre naturel du monde, il verra comment le monde, la nature dumonde et les peuples du monde l’aideront dans sa tâche.

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H i s t o i r e s d e G u é o u l aUn rêve avec le RabbiChlita Méle’h HaMachia’h

Il est possible de débattre sur l’im-portance des rêves, sur leur signifi-cation et si l’on doit y accorder uncrédit ou pas ? Les opinions sontbien divergentes sur le sujet.« Mais il existe un domaine - nousexplique le Rav Zalman Nautik,conseiller spirituel à la Yéchiva‘Habad de Richone LeTsion – untype de rêve qui n’entre dans au-cune catégorie classique, ce sontles rêves avec le Rabbi ChlitaMéle’h HaMachia’h…

Un tel rêve est une expérience ir-remplaçable et elle n’est pas le fruitdes pensées de la journée. Cegenre de rêve est d’une réalité véri-table et il doit être pris au sérieux. Ily a quelques semaines de cela, j’enfaisais l’expérience par l’histoireque me raconta un ami, un ‘hassidqui avait fait un rêve de ce type… C’était à la veille de la fête de Cha-vouot, cette année. Alors que je medirigeais vers le stand de Téfilinesafin de participer aux « Mivtsaïm »(aider des Juifs à poser les Téfi-lines), dans la rue Ben Yehoudadans le centre de Jérusalem, jerencontrais un ami, l’un des impor-tants ‘hassidim ‘Habad de la ville. Pendant notre entretien, j’évoquaissa famille : « J’ai entendu que cesdernières années, elle s’est agran-die Barou’h Hachem ». Cet ami meconfirma qu’en effet, sa familles’était agrandie Barou’h Hachem, ilsourit et entreprit de me raconterque tout cela commençait par unrêve avec le Rabbi. Il y a quelques années de cela,alors qu’ils n’y avait que huit en-fants, qu’ils aient longue vie, dansla famille, les parents auraient bienvoulu que d’autres enfants viennentbénir cette famille, mais c’était ap-paremment impossible, et pendantune longue période il n’y eu pointd’autre enfant. En présence d’unetelle réalité, il écrivit une lettre danslaquelle il implorait la bénédictiondu Rabbi pour d’autres naissances. Quelques jours passèrent après sademande écrite de bénédiction. Orune nuit, il rêva qu’il se tenait dansla queue à attendre son tour pourrecevoir un dollar de la main duRabbi, un dimanche.Alors qu’il se tenait parmi la foulequi attendait, il se demanda s’il de-vait formuler sa demande de béné-diction pour des enfants par laparole ou si la pensée suffisait àcela. Le Rabbi lirait cette pensée etaccorderait bien sa bénédiction. Au

dernier moment, il décida de pro-noncer sa bénédiction et ainsi fit-il.La réponse du Rabbi Chlita Méle’hHaMachia’h fut : « Bénédiction etréussite pour des enfants. Vousaurez des enfants, mais ne man-quez pas de venir ici pour les fêtesde Tichri ».Mon ami se réveilla de son rêve,impressionné au plus haut point etil raconta ce rêve à son épouseavec grande émotion, y compris ladirective d’être chez le Rabbi enTichri. Bien que cette idée n’étaitpas très compréhensible car il avaitl’habitude de voyager chaqueannée pour les fêtes chez leRabbi…Puis vint le mois de Tichri. Mon ami

se rendit à New York commechaque année. Quelques mois pas-sèrent et la bonne nouvelle inter-vint, son épouse était enceinteBarou’h Hachem ! Or la date del’accouchement était prévue ni plusni moins pour le mois de Tichri pro-chain…Que faire ? Partir chez le Rabbi oupas ? Laisser son épouse touteseule ? Non, vraiment pas. Alorsque faire ? En fin de compte il futdécidé qu’il partirait pour quelquesjours et reviendrait, juste pour ac-complir la demande du Rabbi.Et ainsi, il partit pour Roch Ha-chana et revint le 8 Tichri. Et juste àla sortie de Yom HaKippourim, sonépouse accoucha en un bon et

heureux moment.L’année d’après, son épouse fut denouveau enceinte grâce à D.ieu, etde nouveau, la date de l’accouche-ment fut prévu pour… le mois deTichri ! De nouveau on hésita et ondécida de faire comme l’année der-nière et il revint à temps. Sa femmeaccoucha à la sortie de Sim’hatTorah… pour les secondes Aka-fotes.L’année suivante, de nouveau sonépouse fut enceinte Barou’h Ha-chem et elle accoucha, mais pasdans le mois de Tichri… Un rêveavec le Rabbi Chlita Méle’h HaMa-chia’h possède décidément une vé-ritable réalité ! » (Traduit de laSi’hat HaGuéoula n°1001)

Bio Technologie

Lunettes pour aveugleDans notre série d’articles visant à désigner lesnon-voyants comme les premiers infirmes à gué-rir de leur handicap lors de la Guéoula, une infor-mation nous est parvenue nous annonçant quedes chercheurs israéliens du Technion de Haïfaviennent de proposer une nouvelle approchepour redonner la vision à des personnes aveu-gles. Cette méthode s’applique aux personnessouffrant d’une maladie dégénérative de la rétineexterne, l’une des causes majeures de perte devue dans le monde occidental.

Pour comprendre l’origine des maladies dégénéra-tives de la rétine externe et le traitement proposé, ilfaut garder à l’esprit les bases de l’anatomie de la ré-tine. De manière très schématique, la rétine est com-posée de trois couches de cellules.La couche externe est constituée de photorécepteurset permet de convertir, grâce à la présence de ca-naux ioniques dont l’ouverture est contrôlée par l’in-tensité lumineuse, l’information visuelle en signauxélectriques. La couche interne est formée par les cel-lules ganglionnaires qui transmettent l’informationcaptée par la rétine au cerveau. Entre ces deuxcouches de cellules se trouvent les cellules bipolairesqui connectent photorécepteurs et cellules ganglion-naires. Pour information, d’autres types cellulaires

tels que cellules ama-crines et cellules hori-zontales se trouventégalement dans la ré-tine et permettent auxcellules provenantd’une même couche

de communiquer. L’idée donc est d’utiliser desprojections holographiques, ce qui permet nonseulement d’activer simultanément un large nom-bre de neurones, mais également d’atteindre unehaute résolution spatiale et temporelle.

Des lunettes qui redonnent la vueCette « photostimulation holographique » engendreune activité cellulaire similaire à celle d’une rétine in-tacte et pourrait donc permettre à ces personnes aveu-gles de retrouver la vision. Les chercheurs israéliensenvisagent la possibilité de construire des lunetteséquipées de caméra(s) miniature(s) transmettantl’image en temps réel à de petits projecteurs hologra-phiques situés sur les branches des lunettes.« Restaurer la vision perdue à un niveau basiquede fonctionnalités est devenu récemment possiblegrâce à une insertion chirurgicale invasive d’im-plants électroniques artificiels qui stimulent les cel-lules rétiniennes survivantes [...], explique ShayChoham. Notre approche est différente et vise àstimuler les cellules rétiniennes survivantes sansavoir à recourir à des implants dans la rétine, etpourrait finalement rendre la chirurgie et les im-plants inutiles ». SA

Page 4: Gueoula news n°8

L ’ è r e d e l a G u é o u l a

LE CARNETPour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès,Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Me-nou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Tou-val, Gary Chlomo Ben Tserouya, David Ben Tserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Moché Ben Fifine,‘Haya Ayala Bat Zahava Jacqueline et Morde’haï Tsvi Ben Ra’helLeilouï Nichmat de :Norbert Avraham Ben Pnina, Yossef Ben So-lika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Yossef Abitbol Ben Clara,Ruth Sarah Isska Bat Gabi, Julia Bat Elie, Rachel Bat Elie et Ra’ha-mim Ben Raphaël. Pour paraître dans notre carnet : 058-4770055

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Le journal «Guéoula News» est édité par l’association «Vive Le Roi Machia’h». Directrice de la publication : Menou’ha Ra’hel Beckouche - Graphisme : Gabriel BeckoucheSecrétariat : Léa Bensimon - Correspondant à Paris : ‘HaïmBenchoam 0177121044 - Site : www.viveleroi770.com - Email :[email protected] - Tél. 058-4770055

Sciences

Comment, pourquoi, c’estqui, c’est quoi ?Dans une enquête effectuée en 2008,les chercheurs ont découvert quelorsque la curiosité s’éveille, « s’allu-ment » dans le cerveau des zonesqui sont appelées les atomes debase. Ces zones correspondent auxzones de satisfaction cérébrale quidominent la volonté d’acquérir etprocurent l’expérience du plaisirlorsque l’objet convoité est obtenu.De même pour ce qui est de la curio-sité, lorsque le point d’interrogationqu’à éveillé la curiosité a reçu uneréponse satisfaisante. Le problèmeest résolu. Le mystère est éventé.Alors, notre cerveau met en éveil leszones liées au plaisir et c’est alorsque nous trouvonsle calme…

La curiosité a toujoursété le moteur qui apoussé la race hu-maine en avant. Lacuriosité d’Eve nous acoûté le renvoi du Jar-din d’Eden mais celled’Abraham notre père, le premier Juif,l’a entraîné dans une quête du divin. Lacuriosité de Moché Rabbénou l’a em-mené vers le buisson ardent. Celle deMyriam a sauvé le judaïsme de Mochéet a permis en fin de compte la sortied’Egypte. Jusqu’à ce jour, le plus grandévénement annuel Juif ; le Seder dePessa’h est basé sur quatre questionssensées éveiller l’esprit curieux de l’en-fant au vu d’une situation inhabituellelors d’un repas peu commun…Depuis Newton, les savants s’enthou-siasmaient déjà pour tout ce qui a traità la curiosité scientifique. Albert Ein-stein a écrit en 1921 : « En fait je n’aiaucun don véritable, je suis tout simple-ment un curieux passionné ». Aujourd’hui, de grands efforts sont in-

vestis dans le développement d’une di-dactique qui ne se contenterait pas d’in-culquer à l’élève des théorèmes et desdonnées techniques, mais qui entraîne-rait le cerveau à l’éveil de la curiosité.Ainsi, une étude beaucoup plus baséesur la recherche personnelle serait demise.Ce que les chercheurs ne prennent pasen compte, c’est que même si l’on dé-couvre tous les jours l’extraordinairesystème cérébral qui se trouve dansnos têtes, le cerveau n’est qu’un vête-ment (instrument d’expression) del’âme, et celle qui décide de ce qui varéellement éveiller notre curiosité et pasautre chose, c’est l’âme. C’est pourquoiil est important de lui donner accès auxconnaissances dont elle a besoin.Lors de toute l’histoire humaine, noussommes témoins de la même énormequestion qui occupe la majorité des

hommes dans lemonde. La plupartdes gens saventqu’un jour viendra leMachia’h et à sasuite, une délivranceextraordinaire. Et cequ’ils voudraientvraiment savoir serésume en deux

points : a) Quand viendra le Machia’hb) Qui est-il ?En fin de compte, ce que nous pouvonsconclure sur ce sujet, est que celui quisaura répondre à ces questions seratout simplement la personne curieuse,curieuse de vérité. Il pourra alors cher-cher, enquêter, et il trouvera la réponsepar lui-même !Toutes ces données se trouvent dansles livres de Torah, comme le dit leRambam : « Tous les livres sont pleinsde ce sujet ». Il est conseillé d’étudierles discours du Rabbi de LoubavitchMéle’h HaMachia’h, et plus particulière-ment, ceux des années 5751-5752(1991-92). Les réponses s’y trouvent là,clairement détaillées.(Traduit de HaGuéoula n°730)