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BH Horaires de Chabbat Parachat Ekev - Jérusalem Entrée : 18h47 - Sortie : 20h00 Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd N°15 - Hebdomadaire Chabbat Parachat Ekev Edition française [email protected] Hilloula Rabbi Lévi Its’hak Le père du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, Rabbi Lévi Its’hak quitta ce monde le 20 Mena’hem Av 5704-1994. Génie de la Kabbala et de la ‘Has- sidout, son fils écrit à son propos : « Mon père fit don de sa per- sonne pour diffuser la Torah et les sources de la ‘Hassidout, dans le pays où il se trou- vait. Après le départ de mon beau-père, le Rabbi, il resta là-bas, seul descendant de l’Admour Hazaken, de l’Admour Haémtsahi et du Tsema’h Tseddek, à diriger le pays. C’est pourquoi tous sollicitaient ses conseils et du fait de son action pour diffuser la Torah et la ‘Hassidout, il fut arrêté et exilé et c’est là qu’il quitta ce monde. Mais D.ieu accomplira la promesse selon laquelle « ils se réveilleront et se réjouiront ceux qui dorment sous la poussière ». Alors mon beau- père, le Rabbi et mon père iront en Terre Sainte, dans la largesse, comme il est dit : « L’Eternel ton D.ieu élargira tes frontières », à Jérusalem la ville sainte, dans le troisième Temple. (Discours du Rabbi, Chabbat Vaèt’hanan 5748-1988) High-Tech Des gants connectés Une révolution pour la compré- hension de la langue des signes… Six étudiants de l’al- liance Artem ont inventé le Hand’speaker, des gants nu- mériques capables de transfor- mer les gestes de son porteur en synthèse vocale. Le disposi- tif est doté de plusieurs cap- teurs qui détectent et localisent la position exacte des doigts et des articulations. Ces informa- tions sont immédiatement transmises à un smartphone. Une application mobile traduit alors ce langage des signes en texte ou en paroles. Ce sys- tème devrait favoriser l’intégra- tion des personnes malentendantes au sein de la société mais aussi faciliter l’ap- prentissage des gestes de ma- nière ludique. (GN) Editorial La Génération Machia’h Eduquer nos enfants dans le cyclone des événements qui défilent n’est pas d’une évi- dence absolue. Le pays entouré d’ennemis, infiltré aussi, des non-Juifs dans les écoles, une situation économique en dents de scie, les problèmes sociaux la guerre dont on ne sait plus très bien ce qu’il en est, et j’en passe… Mais ce qui est évident et clair que la seule personne qui nous sortira de cette situa- tion, c’est le Machia’h et il n’y a pas photo, tout le monde le sait et tout le monde l’attend avec impatience. Mais comment transmettre ce message à la génération toute fraîche qui arrive ? Le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h nous explique que nous devons lui faire comprendre qui est le Machia’h et ce qu’il fera dans le monde. Les enfants sont comme un tableau propre et net et nous pouvons écrire sur ce tableau le seul mes- sage d’une prophétie claire et ré- cente : « Voici qu’il (le Machia’h) arrive ». Qui est il ? C’est le Rabbi lui-même. Que va t-il accomplir ? Il va délivrer les Juifs de tous leurs tracas et leur donner une assu- rance et une stabilité sur leur terre qu’ils n’ont jamais eut même du temps du saint Temple. C’est tout. Et de cela, les enfants, la nouvelle génération comprendra et se ré- jouira et elle n’aura pas peur car D.ieu est avec nous. Nous ferons cela, bien sûr, dans la joie de la Guéoula, une joie sans précédent. (GB) Mazal Tov pour le mariage de Michaël Gabriel et Naomie à Jérusalem 16 Av 5774

Gueoula news n°15

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Parachat Ekev - encore des miracles de la Guéoula!!!

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Page 1: Gueoula news n°15

BH

Horaires de ChabbatParachat Ekev - Jérusalem

Entrée : 18h47 - Sortie : 20h00Yé’hi Adoneinou

Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd

N°15 - Hebdomadaire Chabbat Parachat EkevEdition française

[email protected]

Hilloula

Rabbi Lévi Its’hak

Le père du Rabbi Chlita Méle’hHaMachia’h, Rabbi Lévi Its’hakquitta ce monde le 20 Mena’hemAv 5704-1994. Génie de la Kabbala et de la ‘Has-sidout, son fils écrit àson propos : « Monpère fit don de sa per-sonne pour diffuser laTorah et les sourcesde la ‘Hassidout, dansle pays où il se trou-vait. Après le départde mon beau-père, le Rabbi, ilresta là-bas, seul descendant del’Admour Hazaken, de l’AdmourHaémtsahi et du Tsema’h Tseddek,

à diriger le pays. C’est pourquoitous sollicitaient ses conseils et dufait de son action pour diffuser laTorah et la ‘Hassidout, il fut arrêtéet exilé et c’est là qu’il quitta cemonde.Mais D.ieu accomplira la promesseselon laquelle « ils se réveillerontet se réjouiront ceux qui dorment

sous la poussière ».Alors mon beau-père, le Rabbi etmon père iront enTerre Sainte, dans lalargesse, comme ilest dit : « L’Eternelton D.ieu élargira tes

frontières », à Jérusalem la villesainte, dans le troisième Temple.(Discours du Rabbi, ChabbatVaèt’hanan 5748-1988)

High-Tech

Des gants connectés Une révolution pour la compré-hension de la langue dessignes… Six étudiants de l’al-liance Artem ont inventé leHand’speaker, des gants nu-mériques capables de transfor-mer les gestes de son porteur

en synthèse vocale. Le disposi-tif est doté de plusieurs cap-teurs qui détectent et localisentla position exacte des doigts etdes articulations. Ces informa-

tions sont immédiatementtransmises à un smartphone.Une application mobile traduitalors ce langage des signes entexte ou en paroles. Ce sys-tème devrait favoriser l’intégra-tion des personnesmalentendantes au sein de lasociété mais aussi faciliter l’ap-prentissage des gestes de ma-nière ludique. (GN)

Editorial

La Génération Machia’hEduquer nos enfants dans lecyclone des événements quidéfilent n’est pas d’une évi-dence absolue. Le pays entouréd’ennemis, infiltré aussi, desnon-Juifs dans les écoles, unesituation économique en dentsde scie, les problèmes sociauxla guerre dont on ne sait plustrès bien ce qu’il en est, et j’enpasse… Mais ce qui est évidentet clair que la seule personnequi nous sortira de cette situa-tion, c’est le Machia’h et il n’y apas photo, tout le monde le saitet tout le monde l’attend avecimpatience.

Mais comment transmettre cemessage à la génération toute

fraîche qui arrive ? Le RabbiChlita Méle’h HaMachia’h nousexplique que nous devons lui fairecomprendre qui est le Machia’h etce qu’il fera dans le monde. Lesenfants sont comme un tableaupropre et net et nous pouvonsécrire sur ce tableau le seul mes-sage d’une prophétie claire et ré-cente : « Voici qu’il (le Machia’h)arrive ». Qui est il ? C’est le Rabbilui-même. Que va t-il accomplir ?Il va délivrer les Juifs de tous leurstracas et leur donner une assu-rance et une stabilité sur leur terrequ’ils n’ont jamais eut même dutemps du saint Temple. C’est tout.Et de cela, les enfants, la nouvellegénération comprendra et se ré-jouira et elle n’aura pas peur carD.ieu est avec nous. Nous feronscela, bien sûr, dans la joie de laGuéoula, une joie sans précédent.(GB)

Mazal Tov pour le mariage de Michaël Gabriel et Naomie à Jérusalem 16 Av 5774

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T o r a h d e G u é o u l a

Dva r Ma l ’ h ou tExtraits du discoursDu Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h ChlitaChabbat Ekev23 Ména’hem-Av 5751-1991 Voir la Guéoula

Il est notoire que, parmi les mois de l’an-née, le mois de Elloul est le plus appropriéà l’introspection et l’examen de soi(« ‘Hechbone Nefech ») afin de rectifier leserrements de l’année qui s’achève et sepréparer comme il convient à l’année nou-velle. À l’approche du mois de Elloul, ilconvient dès lors de s’interroger sur lafaçon dont cette introspection doit êtremenée et à quelles modifications de notrecomportement elle doit donner lieu.

Dans la mesure où le mois de Elloul est celuidu bilan récapitulatif de l’ensemble de l’année,il exprime d’autant plus le rôle de l’homme deservir son Créateur, notamment dans l’acros-tiche formé par ses lettres « Ani Lédodi Vé-dodi Li, Je suis à mon bien-aimé (D.ieu) etmon bien-aimé est à moi » (1). Ce verset ex-prime en effet le lien entre le Juif et D.ieu, soitdans le service de D.ieu à travers l’étude de laTorah et l’accomplissement des Mitsvot (« Jesuis à mon bien-aimé »), soit dans l’assis-tance que D.ieu prodigue à l’homme (« monbien-aimé est à moi »). Le mois de Elloul enseigne donc qu’il neconvient pas d’attendre passivement queD.ieu se manifeste, mais, au contraire, quel’essentiel et la base de cette relation est l’ef-fort de l’homme, exprimé par le début du ver-set « Je suis à mon bien-aimé », auquell’assistance divine fait suite. Et bien que, pourpouvoir initier cet effort, nous recevions déjàune aide d’En-Haut (comme l’influence desTreize Attributs de Miséricorde divine qui sontrévélés pendant le mois de Elloul), nous de-vons être conscients que là n’est pas l’essen-tiel : ce n’est qu’à travers l’accomplissementde notre mission par nos propres forces quenous pouvons mériter une manifestation di-vine qui soit intégrée et perceptible et d’uneplus grande intensité (« mon bien-aimé est àmoi »). C’est la raison pour laquelle le nom El-loul débute par la lettre Alef : cela indique quele travail doit débuter de « Alef », la premièrelettre, c’est-à-dire le niveau le plus bas et c’estprécisément ainsi qu’il est ensuite possible deprogresser vers les niveaux suivants, le Gui-mel, le Dalet… jusqu’au Tav.Ceci étant établi, nous avons vu que la se-conde partie du nom « Elloul », les lettres Vavet Lamed qui font allusion aux mots « VédodiLi, mon bien-aimé est à moi », représentel’aide que D.ieu apporte à l’homme. Cepen-dant, dans la mesure où il s’agit égalementd’une partie du nom du mois du bilan du ser-vice de l’homme, il est clair que cela fait aussi

référence à un niveau de ce service. C’estlorsque l’homme sert D.ieu « d’En-haut »,c’est-à-dire en faisant totalement abstractiondes difficultés que le monde peut opposer àson service de D.ieu.

Tout se retrouve dans la ParachaNous pouvons, dès lors, comprendre le liende ce qui précède avec la Paracha que nouslisons ce Chabbat, Ekev : Le terme « Ekev »possède deux sens : le sens simple est queD.ieu va accorder une rétribution pour l’ac-complissement de Ses commandements(« Vehaya Ekev Tichmeoun - Suite à votreobéissance à ces lois [...] Il bénira le fruit detes entrailles et le fruit de ton sol... » (4))Rachi, cependant, donne une autre interpréta-tion : « Ekev » désigne, parmi les commande-ments, ceux auxquels l’homme attribue peud’importance et qu’il a tendance à négliger, à« piétiner » de son « talon » qui se dit en hé-breu « Ekev ». Deux questions se posent face à ces deux in-terprétations : 1/ pourquoi Rachi n’a-t-il pastraduit ce mot selon le sens le plus simple etle plus évident ? 2/ quel est le rapport entreces deux interprétations ? La réponse à cela est que D.ieu récompen-sera certes l’accomplissement de Ses com-mandements (comme l’enseigne la premièreinterprétation), mais la façon d’y parvenir estprécisément en commençant par les « pe-tites » choses, les commandements quel’homme « foule de ses talons ». Rachi a doncchoisi cette interprétation pour enseigner quelà est l’essentiel et la base du service divin etque ce n’est qu’en passant par là que l’onpeut ensuite parvenir à la perfection.

La génération de la délivranceCet enseignement est lié de façon particulièreà la période actuelle et à notre génération, lagénération de la délivrance (comme il est decoutume, ces derniers temps, de relierchaque sujet à la délivrance messianique) : Notre époque est appelée dans le Talmud« Ikvéta DeMéchi’ha, le talon du Messie », ex-pression qui revêt deux significations : 1/ Ils’agit de la génération la plus basse de l’his-toire de l’humanité, comme le talon qui est lapartie la plus basse du corps (et c’est pourcela qu’elle est marquée par l’accroissementde l’insolence et autres maux) 2/ Elle est« Ekev », la fin de l’exil dans laquelle le Ma-chia’h va arriver incessamment. La relation entre ces deux sens est que,comme nous l’avons vu plus haut, c’est préci-

sément du fait que cette génération est la plusbasse, que l’œuvre du peuple juif pour l’élevermarque la dernière étape de l’exil et son para-chèvement, ce qui nous amène ensuite immé-diatement à la délivrance complète, à l’èremessianique dans laquelle il y aura l’associa-tion parfaite du « haut » et du « bas ».

Le Braille a été conquis !Cependant, ces derniers jours, il y a eu unenouveauté importante : le Tanya, œuvre cen-trale de la ‘Hassidout, a été imprimé enBraille ! Et même si le livre n’est pas encoreparvenu à tous les non-voyants du monde, lefait même qu’il existe offre à tous les Juifs quiont besoin de ce biais un accès à l’étude de la‘Hassidout. En particulier dès lors que ce livreest parvenu au « 770 », la maison de monbeau-père, le Rabbi (précédent, Ndt), à partirde laquelle nous avons eu le mérite de pour-suivre son œuvre et qui est l’origine de la dif-fusion de la ‘Hassidout dans le monde entier.Il faut également souligner que le Tanya estappelé la « Torah écrite » de la ‘Hassidout, desorte que toute la ‘Hassidout est contenuedans ce livre.

Notes : 1/ Cantique des cantiques, 6.3 - 2/ Pardesschaar 4, chap. 7 et autres - 3/ fin du traité Tamid - 4/Deutéronome 7.12-13 - 5/ Midrache Béréchit Rabba§ 95 - 6/ Midrache Téhilim 146, 8

La Guéoula par la vision

Concrètement, il faut donc que se pro-duise immédiatement la délivrance messia-nique ! Alors, les non-voyants guériront deleur infirmité et verront clairement (5). Ilsguériront même avant tous ceux qui ont be-soin d’une guérison et verront comme toutle monde (6). En outre, il ne sera plus néces-saire de lire lors de l’ère messianique, car leMachia’h enseignera à tous à travers la vi-sion, de sorte que tous verront les sujetsprofonds de la ‘Hassidout et n’auront doncpas besoin de les lire dans des livres. Que D.ieu fasse que, grâce à l’étude duTanya en Braille, ils soient immédiatementguéris, dans l’instant qui précède la déli-vrance, et qu’ils puissent déjà étudier laTorah dans les meilleures conditions jusqu’àla révélation de la « Nouvelle Torah qui sor-tira de Moi » lors de l’ère messianique. Etl’essentiel : que la délivrance par notre justeMachia’h vienne immédiatement.

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H i s t o i r e s d e G u é o u l aEprouvez-Moi par la Tseddaka !

Les étudiants de la Yéchiva ‘Habad de Tsfatpassent leur vendredi à faire profiter à toutJuif le souhaitant de la Mitsva des Téfilines.« C’est dans ce cadre, nous raconte le jeuneIts’hak Lipsh, que nous avons fait laconnaissance d’une société de transportsdont les bureaux se trouvent à KyriatChmoné. Suite à la Mitsva des Téfilines,nous avons aussi commencé à leur donnerun cours de Torah.

Il y a deux mois de cela, en plein cours de cetype, l’un des chauffeurs fit son entrée etlorsqu’il nous vit il dit avec enthousiasme : « Lesamis, vous devez absolument aider mon père àécrire au Rabbi… Il travaille ici comme chauf-feur et un défaut important dans sa vision a étédécelé et son permis de conduire lui a été retiréce qui signifie pour lui la perte de son emploi ac-tuel… Il se retrouve sans emploi et sans indem-nités. Inutile de vous décrire son moral qui estau plus bas, vous l’avez bien compris ». Nous avons immédiatement obtempéré et nousavons écrit au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’hpour son père en lui demandant de prendre surlui une bonne décision pour servir de réceptacleà la bénédiction. Il a donc décidé de commen-cer à lire le Téhilim du Rabbi, le n°113. Après la rédaction de la lettre et la sainte décla-ration : « Yé’hi Adoneinou », nous avons ouvertle volume 8 (la version en hébreu) qui se trouveen permanence au bureau de transport et la ré-ponse se trouve à la page 248. Une premièrelecture nous fit l’impression d’être tout à fait enrelation avec le sujet en question, mais voyezplutôt : « En réponse à sa lettre… m’expli-quant votre situation financière qui n’estplus ce qu’elle était, et qui s’est dégradée.Est bien connu la parole du Saint béni soit-Il : « Sur ce point, mettez-moi à l’épreuve ». Ils’agit de la Tseddaka pour laquelle il est dit« Prélevez la dîme afin de vous enrichir… ».Il n’est point surprenant de constater quelorsque l’on ne fait pas attention à la Mitsvade la Tseddaka, qui est au moins de dix pourcent et plus que cela dans le meilleur descas, la situation financière se soit aggravée. De toutes manières, la décision est entrevos mains. Et si vous rajoutez immédiate-ment dans la Tseddaka, comme mentionnéplus haut, et plus encore, il est certain que leSaint béni soit-Il accomplira Sa promesse…Afin qu’il obtienne l’aide du ciel, il faudra ra-jouter un cours de Torah dans son aspectdévoilé ainsi que dans la ‘Hassidout en plusdes trois études pour tous… ‘Houmach, Té-hilim et Tanya, bien connues. Et qu’Hachemfasse que vous réussissiez à annoncer debonnes nouvelles de tout ceci et que cela sepasse au plus vite ».Puis, j’ai posé la question au père du chauffeur :« Actuellement, avez-vous l’habitude de donnervotre Maasser à la Tseddaka ? C’est à dire dixpour cent de vos bénéfices net ? ». Il se trouveque ce Juif ne connaissais pas l’obligation dedonner son Maasser à la Tseddaka. Bien en-tendu, il donnait à de nombreuses occasionslorsqu’il rencontrait des nécessiteux, mais pointdans un état d’esprit ordonné et il ne comptait

jamais combien il devait donner.Nous lui avons expliqué avec plus de précisionla directive du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’het aussi, nous avons insisté sur le fait qu’il étaitdit « Sur ce point (la Tseddaka) mettez-Moi àl’épreuve ». Eprouvez-Moi et vous verrez unepluie de bénédictions dans le domaine des fi-nances, de la Parnassa. Etonné, il lança :« Quoi, c’est un livre sur le Maasser ? ». Nouslui avons dit que les réponses s’étalaient surtous les sujets de la vie. Là, il fut réellementému, il prit sur lui de commencer à donner le

Maasser et à étudier le Tanya.Deux mois plus tard, nous entrâmes dans le bu-reau de transport et voici que notre ami était là :« Que faites-vous là, ils vous avaient radié de laliste des chauffeurs !? ». « C’est incroyable ! J’aifait récemment un examen des yeux, tout estparti. Ils m’ont rendu mon permis. Exactementcomme il était écrit dans la lettre : « Et qu’Ha-chem fasse que vous réussissiez à nous annon-cer de bonnes nouvelles de tout ceci et que celase passe au plus vite ». (Traduit de la Si’hat HaGuéoula)

Actuel

La Matsa sauve des vies !Il y a quelques jours de cela, un tunnelcreusé par les terroristes a été découvertdans le Kibboutz Sofa. Ce fut une surprisepour le Comité de la Cacherout de la EdaHa’haridite lorsqu’il y a près d’un mois, lessurveillants en Cacherout ont dû se rendresur place afin de surveiller la récolte de bléen vue de la fabrication des Matsot Che-mourot. Et ce sont eux qui ont découvertl’endroit exact de la sortie prévue des terro-ristes autour des champs de blé tout alen-tour du Kibboutz Sofa.

La découverte de cette emplacement dans unchamp de blé constitue en soi une aide du cielet un miracle extraordinaire. En effet, le faitqu’il y ait eu des pluies, il y a deux mois decela a entraîné que le blé soit encore vert et aitencore « besoin du sol » pour mûrir et donc leblé n’a pas été rendu ‘Hametz. Ainsi, le blé adû être coupé très récemment pour les MatsotChemourot du Badatz Eda Ha’haridite.Or, suite aux pluies qui sont tombée avant lafête de Chavouot, de nombreux champs ontété considérés comme invalides pour Pessa’het donc il y a eut une sorte de pénurie en blépour les Matsot. Il est sans compter le fait quel’année prochaine est une année de Chemitaet il y a besoin de blé pour deux annéesconsécutives. Il a donc été décidé qu’il est im-pératif de trouver des champs de blé encoreverts même géographiquement éloignés etdonc, les surveillants en Cacherout ont dû res-ter dans les environs de Gaza, dans les Kib-boutz Sofa, Tséélim etc.L’enchaînement des miracles s’est poursuivimême pendant la moisson qui, bien entendu,ne s’est pas passé précisément dans le calmeet de nombreuses roquettes sont tombées

dans les champs définis comme des « terrainsouverts » et nos surveillants ont dû à de nom-breuses reprises se coucher au sol pendantleur travail sacré. Et c’est un pur miracle s’ilss’en sont sortis sans une égratignure.Ce travail consistait à surveiller la Cacheroutpendant la moisson alors que des Juifs reli-gieux mettaient en route la moissonneuse-bat-teuse selon les directives des Rabbanim duBadatz. Il fallait faire attention à ce que lamoisson fut faite «Lichma» par des Juifs reli-gieux, alors qu’un surveillant spécial les ac-compagnait sur tout le chemin dans le camionà côté du conducteur. Aujourd’hui, alors qu’a été découvert le sinistreitinéraire souterrain des terroristes, dans leKibboutz Sofa les surveillants et les agricul-teurs furent saisis par les larmes.Le plan d’origine des terroristes était de se ca-cher entre les hauts épis afin de ne pas êtredétectés par les gardiens. Ce qu’ils n’avaientpas prévu, c’était que les surveillants du Ba-datz recherchaient justement ce genre-làd’épis… De plus, avec le tourbillon des der-niers évènements, ils n’ont pas été mis aucourant que le champ de blé était déjà entière-ment passé au fil du rasoir et s’ils étaient sortisà ce moment-là, ils auraient été visibles auxyeux de tous ! Tout cet enchaînement de faitn’est pas dû à la main humaine, mais unique-ment à la Providence Divine. Louanges auMaître du monde qui nous a ordonné la Mitsvade manger de la Matsa… (Traduit deabc770.org)

Page 4: Gueoula news n°15

L ’ è r e d e l a G u é o u l a

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L E C A R N E TPour la réussite de : De nos soldats qu’Hachem les protège‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès,Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, NoaSarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, Gary ChlomoBen Tserouya, David Ben Tserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Moché Ben Fifine,‘Haya Ayala Bat Zahava Jacqueline et Morde’haï Tsvi Ben Ra’helLeilouï Nichmat de :Norbert Avraham Ben Pnina, Yossef Ben So-lika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Yossef Abitbol Ben Clara.

Igueroth KodechPour consulter les Igueroth Kodechet vivre les miracles de la Guéoula

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Le journal «Guéoula News» est édité par l’association «Vive Le Roi Machia’h». Directrice de la publication : Menou’ha Ra’hel Beckouche - Graphisme : Gabriel Beckouche - Secrétariat : LéaBensimon - Correspondant à Paris : ‘Haïm Benchoam 0177127044 - Site : www.viveleroi770.comEmail : [email protected] - Tél. 058-4770055 ou 0177501175

Robotique

La partie humaine du robotGuy Hoffman, spécialiste israélien desinteractions entre humains et robots,est considéré comme l’un des cher-cheurs les plus prometteurs de ce do-maine. Son but est de parvenir àprogrammer des robots afin qu’ilspuissent prévoir et bouger selon lesmouvements des humains.

Alors que l’interaction avec les robots necesse de croitre, les robots actuels secontentent d’analyser les actions hu-maines et d’y répondre par des mouve-ments très robotiques, sans dimensionhumaine. Le défi de Guy Hoffmanconsiste à leur apporter « un supplémentd’âme ». Dans le secteur médical, parexemple, la tendance actuelle veut quedes robots commencent à rem-plir certaines taches jusque-làassurées par des infirmières,ce qui rend une meilleure sen-sibilité des robots encore plusnécessaire. De sa recherche,Guy Hoffman a tiré trois leçonsprincipales.Premièrement, pour qu’unrobot suscite une réponse émotionnellechez un humain, ce qui importe est lafaçon dont le robot bouge et se déplaceplutôt que son apparence physique.En second lieu, les robots doivent repro-duire des gestes humains.Enfin, les réponses des robots aux sollici-tations des humains sont des réactionscalculées, alors que les humains saventanticiper les mouvements d’autrui et ajus-ter leurs propres actions en conséquence.Fort de ces enseignements, Guy Hoffmana eu l’idée d’appliquer des méthodes clas-siques de jeu d’acteurs aux robots, c’est-à-dire en associant des gestes et attitudesà des émotions. Guy Hoffman a donccréé la première pièce de théâtre dont l’undes acteurs est un robot à savoir unelampe de bureau “AUR. La lampe de

Hoffman est capable d’interagir avecl’homme à la façon d’un « petit apprenti »en dirigeant sa lumière en fonction desgestes de ses utilisateurs. Le robot utilisedes détecteurs de mouvement pour suivrel’emplacement de l’acteur, capable deprédire ses actions et de répondre de ma-nière appropriée par un calcul d’algo-rithme.Hoffmann a également conçu Shimon, lepremier robot capable d’improviser unemusique en duo avec un homme. Lerobot scanne des millions de pages departitions et peut utiliser cette informationpour créer un morceau inédit. Ce qui faitdire à Guy Hoffmann : « Il y a quelquechose de fascinant dans ces machines,comme si nous considérions qu’ellescomportent une part d’humanité ».Ces travaux nous font penser véritable-ment à l’analyse du Juif que présente lelivre du Tanya, pilier de la ‘Hassidout

‘Habad. En effet, le Tanyanous présente le Juif commepropriétaire de deux âmes etd’un corps. Il y a en effet chezle Juif, cette partie animale quipourrait être comparée aurobot qui sert l’homme carcette âme animale nous per-met en fait, de faire toutes lesMitsvot possibles et imagina-

bles car ce que D.ieu demande ; c’est unmonde humain qui Le sert. Seulement ladifférence avec le robot, c’est que chez leJuif, même sa partie animale est douéede sensibilité, d’humilité et de bonté. Etces qualités ne sont pas reproductiblesmême par la machine la plus évoluée. Etc’est par ces dons naturels de D.ieu quevient la Guéoula, plus de sensibilité à l’au-tre, plus de générosité et moins d’ego.Tout cela a déjà été accompli largement ilfaut pourtant poursuivre ce travail en at-tendant le grand dévoilement du RabbiChlita Méle’h HaMachia’h qui nous a en-seigné la gentillesse, la bonté, la Tsed-daka et tout ce qu’il faut faire pour amenerla délivrance immédiate… A nous decontinuer. (IV-GB)

High-Tech

Prendre la température de bébéL’entreprise, BlueMaestro valancer d’ici quelques moisune tétine connectée. L’objeten question a été inventé afinde pouvoir surveiller facile-ment la température d’un bébé.La tétine, connectée à un smartphone, contrôle la tem-pérature du bébé grâce à un capteur intégré dans le sili-cone. Elle transmet les données sur le téléphone oula tablette grâce à la technologie bluetooth. De plus,lorsque la température devient trop élevée une alarmese déclenche afin d’alerter les parents.L’autre atout majeur de cette tétine est le capteur deproximité intégré à l’objet. Celui ci permet de localiser lebambin dans un rayon pouvant aller jusqu’à 50m. Sil’enfant va au delà de ce périmètre, préalablement dé-fini par les parents, alors une alarme se déclenche surle téléphone. Cette fonctionnalité permet aussi de re-trouver la tétine à l’aide d’une alarme qui se déclenchesi le bébé la perd. (K. Hancock)

Body Connect : Surveillez votre cœurImaginez un dispositif capablede capter en temps réel vosdonnées médicales, à la ma-nière d’un électrocardio-gramme. Imaginez que lessportifs puissent s’en servirpour analyser leurs performances, que les hôpitauxl’utilisent pour suivre la santé de centaines de pa-tients chez eux, en continu. Imaginez que ce dispo-sitif ne pèse pas plus de 17g et ne présente aucunegêne pour ses utilisateurs. Imaginez qu’il nes’agisse que d’un t-shirt… Non, ce n’est pas de lascience-fiction. C’est le Body connect.C’est l’incarnation du futur, l’apogée des vêtementsconnectés. Vous n’en avez jamais entendu parler etpourtant, d’ici quelques mois, chacun d’entre vousconnaîtra ce nom : Body connect. En fait, il y a beau-coup à parier que si vous croisiez l’un de ces t-shirts in-telligents aujourd’hui, vous ne le remarquiez pas. C’estqu’en apparence, à part la puce de 17g dissimulée dansle textile, le Body connect n’a rien d’extraordinaire. Cetissu déborde pourtant d’une nanotechnologie que Lau-rent Fort et Benjamin Lanquar, ses créateurs, nom-ment i-MVS. (OC)