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. . . DIRECTION DES JOURNAUX OFFICIELS 26, rue Desaix 75727 Paris Cedex 15 www.journal-officiel.gouv.fr RENSEIGNEMENTS tél. : 01 40 58 79 79 du ministère de l’écologie et du développement durable N o 5 - 15 mars 2007 24 numéros par an ISSN 1293-5514

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DIRECTIONDES JOURNAUXOFFICIELS26, rue Desaix

75727 Paris Cedex 15

www.journal-officiel.gouv.fr

RENSEIGNEMENTS

tél. : 01 40 58 79 79

•••••••••••••••••••••••••••••••••••

du ministère

de l’écologie

et du développement

durable

No 19 15 octobre 2005No 5 - 15 mars 2007

24 numéros par anISSN 1293-5514

Page 2: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – CHR – Page 1

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Sommaire chronologiqueLes textes en italique n’ont pas été publiés au Journal officiel de la République françaiseou au Journal officiel de l’Union européenne.

Textes

28 novembre 2006

Arrêté du 28 novembre 2006 modifiant l’arrêté du 25 février 2005 fixant la liste des exploitants aux-quels sont affectés des quotas d’émission de gaz à effet de serre et le montant des quotas affectés(Journal officiel du 2 février 2007) ............................................................................................................ 21

13 décembre 2006

Arrêté du 13 décembre 2006 relatif aux réserves de chasse et de faune sauvage (Journal officiel du10 février 2007) ............................................................................................................................................ 12

14 décembre 2006

Arrêté du 14 décembre 2006 portant nomination au conseil d’administration de l’Agence de l’eauLoire-Bretagne (Journal officiel du 10 février 2007) ............................................................................... 29

Arrêté du 14 décembre 2006 portant nomination au Comité de bassin Loire-Bretagne (Journal officieldu 10 février 2007) ...................................................................................................................................... 32

15 décembre 2006

Arrêté du 15 décembre 2006 modifiant l’arrêté du 29 décembre 2005 portant agrément des organismesvérificateurs des émissions déclarées dans le cadre du système d’échange de quotas d’émission de gazà effet de serre (Journal officiel du 9 février 2007) ................................................................................ 22

18 décembre 2006

Rectificatif au règlement (CE) no 1891/2006 du Parlement européen et du Conseil du 18 décembre2006 concernant le financement pluriannuel de l’Agence européenne pour la sécurité maritime dans ledomaine de la lutte contre la pollution causée par les navires et modifiant le règlement (CE) no

1406/2002 (Journal officiel de l’Union européenne L. 394 du 30 décembre 2006) (Journal officiel del’Union européenne du L. 30 du 3 février 2007) .................................................................................... 6

21 décembre 2006

Circulaire DCE 2006/18 du 21 décembre 2006 relative à la définition du « bon état » pour les eauxsouterraines, en application de la directive 2000/60/DCE du 23 octobre 2000 du Parlement et duConseil établissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l’eau, ainsi qu’àla définition de valeurs seuils provisoires applicables pendant la phase transitoire (texte non paru auJournal officiel) ............................................................................................................................................. 8

22 décembre 2006

Arrêté du 22 décembre 2006 relatif à l’usage des appeaux pour le grand gibier soumis à plan de chasse(Journal officiel du 10 février 2007) .......................................................................................................... 13

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – CHR – Page 2

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Textes

28 décembre 2006

Circulaire du 28 décembre 2006 relative à la mise à disposition du guide d’élaboration et de lecture desétudes de dangers pour les établissements soumis à autorisation avec servitudes et des fiches d’appli-cation des textes réglementaires récents (texte non paru au Journal officiel) ...................................... 25

3 janvier 2007

Arrêté du 3 janvier 2007 portant nomination au Comité de bassin Loire-Bretagne (Journal officiel du10 février 2007) ............................................................................................................................................ 33

8 janvier 2007

Arrêté du 8 janvier 2007 portant nomination au conseil d’administration de l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse (Journal officiel du 10 février 2007) ................................................................... 30

11 janvier 2007

Arrêté du 11 janvier 2007 relatif à la perception et à la centralisation du produit de la taxe piscicole(Journal officiel du 3 février 2007) ............................................................................................................ 7

12 janvier 2007

Arrêté du 12 janvier 2007 modifiant l’arrêté du 13 juillet 2006 relatif aux comités d’experts spécialisésplacés auprès de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Journal offi-ciel du 1er février 2007) ............................................................................................................................... 2

16 janvier 2007

Arrêté du 16 janvier 2007 portant approbation de la convention constitutive d’un groupement d’intérêtpublic (Journal officiel du 11 février 2007) .............................................................................................. 3

24 janvier 2007

Arrêté du 24 janvier 2007 portant habilitation des agents à rechercher et constater des infractions auxdispositions relatives à la dissémination volontaire dans l’environnement de produits phytopharmaceu-tiques, de plantes, semences ou plants composés en tout ou partie d’organismes génétiquement modi-fiés (Journal officiel du 13 février 2007) .................................................................................................. 23

26 janvier 2007

Arrêté du 26 janvier 2007 modifiant l’arrêté du 17 mai 2001 modifié fixant les conditions techniquesauxquelles doivent satisfaire les distributions d’énergie électrique (Journal officiel du 13 février 2007) 24

30 janvier 2007

Règlement (CE) no 93/2007 du 30 janvier 2007 de la Commission modifiant le règlement (CE) no

2099/2002 du Parlement européen et du Conseil instituant un comité pour la sécurité maritime et laprévention de la pollution par les navires (COSS) (Journal officiel de l’Union européenne du L. 22 du31 janvier 2007) ........................................................................................................................................... 19

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – CHR – Page 3

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Textes

Avis de la Commission no 2007/C 22/01 du 30 janvier 2007 concernant la modification du projet derejet d’effluents radioactifs de l’installation Centraco, en France, conformément à l’article 37 du traitéEuratom (Journal officiel de l’Union européenne du C. 22 du 31 janvier 2007) ................................ 35

Décret du 30 janvier 2007 portant classement du parc naturel régional des Alpilles (région Provence-Alpes-Côte d’Azur) (Journal officiel du 1er février 2007) ....................................................................... 10

Décret no 2007-135 du 30 janvier 2007 précisant les critères de définition et de délimitation des zoneshumides figurant à l’article L. 211-1 du code de l’environnement (Journal officiel du 1er février 2007) 9

Arrêté du 30 janvier 2007 relatif à la composition et au fonctionnement de la commission d’appeld’offres au ministère de l’écologie et du développement durable (Journal officiel du 9 février 2007) 4

Décision du 30 janvier 2007 portant règlement intérieur d’application du code des marchés publics(texte non paru au Journal officiel) ........................................................................................................... 5

Décision du 30 janvier 2007 portant nomination à un collège de l’inspection générale de l’environne-ment (texte non paru au Journal officiel) .................................................................................................. 27

31 janvier 2007

Décret du 31 janvier 2007 portant nomination du directeur de l’Agence des aires marines protégées -M. Laroussinie (Olivier) (Journal officiel du 2 février 2007) ................................................................. 28

1er février 2007

Décret no 2007-139 du 1er février 2007 modifiant le décret no 97-34 du 15 janvier 1997 relatif à ladéconcentration des décisions administratives individuelles (Journal officiel du 2 février 2007) ........ 1

Arrêté du 1er février 2007 portant nomination (administration centrale) (Journal officiel du3 février 2007) .............................................................................................................................................. 26

2 février 2007

Arrêté du 2 février 2007 portant nomination au conseil d’administration de l’Agence française desécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Journal officiel du 6 février 2007) ...................... 31

Arrêté du 2 février 2007 portant affectation d’ensembles immobiliers domaniaux (Journal officiel du11 février 2007) ............................................................................................................................................ 14

5 février 2007

Décret no 2007-150 du 5 février 2007 définissant le périmètre de la zone de proximité prévue à l’articleL. 542-11 du code de l’environnement, concernant le laboratoire souterrain de Meuse et de Haute-Marne destiné à étudier les formations géologiques profondes où pourraient être stockés des déchetsradioactifs (Journal officiel du 6 février 2007) ......................................................................................... 20

Arrêté du 5 février 2007 relatif aux niveaux du risque épizootique en raison de l’infection de la faunesauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène et au dispositif de surveil-lance et de prévention chez les oiseaux détenus en captivité (Journal officiel du 6 février 2007) .... 15

Arrêté du 5 février 2007 qualifiant le niveau du risque épizootique en raison de l’infection de la faunesauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène (Journal officiel du6 février 2007) .............................................................................................................................................. 16

8 février 2007

Décret no 2007-182 du 8 février 2007 portant création de la réserve naturelle nationale de Ristolas -Mont-Viso (Hautes-Alpes) (Journal officiel du 10 février 2007) ............................................................ 11

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – CHR – Page 4

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Textes

9 février 2007

Arrêté du 9 février 2007 portant désignation du site Natura 2000 Etangs et marais du bassin de laSomme (zone de protection spéciale) (Journal officiel du 11 février 2007) ......................................... 17

Arrêté du 9 février 2007 portant désignation du site Natura 2000 Crau (zone de protection spéciale)(Journal officiel du 11 février 2007) .......................................................................................................... 18

Texte non daté

Avis relatif à la liste des procédés de traitement des effluents phytosanitaires, reconnus comme efficacespar le MEDD (DPPR/SDPD) (texte non paru au Journal officiel) ........................................................ 34

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – THE – Page 5

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Sommaire thématiqueLes textes en italique n’ont pas été publiés au Journal officiel de la République françaiseou au Journal officiel de l’Union européenne.

Textes

Textes généraux

Administration - Finances - Affaires internationales

Décret no 2007-139 du 1er février 2007 modifiant le décret no 97-34 du 15 janvier 1997 relatif à ladéconcentration des décisions administratives individuelles (Journal officiel du 2 février 2007) ........ 1

Arrêté du 12 janvier 2007 modifiant l’arrêté du 13 juillet 2006 relatif aux comités d’experts spécialisésplacés auprès de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Journal offi-ciel du 1er février 2007) ............................................................................................................................... 2

Arrêté du 16 janvier 2007 portant approbation de la convention constitutive d’un groupement d’intérêtpublic (Journal officiel du 11 février 2007) .............................................................................................. 3

Arrêté du 30 janvier 2007 relatif à la composition et au fonctionnement de la commission d’appeld’offres au ministère de l’écologie et du développement durable (Journal officiel du 9 février 2007) 4

Décision du 30 janvier 2007 portant règlement intérieur d’application du code des marchés publics(texte non paru au Journal officiel) ........................................................................................................... 5

Eau

Rectificatif au règlement (CE) no 1891/2006 du Parlement européen et du Conseil du 18 décembre2006 concernant le financement pluriannuel de l’Agence européenne pour la sécurité maritime dans ledomaine de la lutte contre la pollution causée par les navires et modifiant le règlement (CE) no

1406/2002 (Journal officiel de l’Union européenne L. 394 du 30 décembre 2006) (Journal officiel del’Union européenne du L. 30 du 3 février 2007) .................................................................................... 6

Arrêté du 11 janvier 2007 relatif à la perception et à la centralisation du produit de la taxe piscicole(Journal officiel du 3 février 2007) ............................................................................................................ 7

Circulaire DCE 2006/18 du 21 décembre 2006 relative à la définition du « bon état » pour les eauxsouterraines, en application de la directive 2000/60/DCE du 23 octobre 2000 du Parlement et duConseil établissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l’eau, ainsi qu’àla définition de valeurs seuils provisoires applicables pendant la phase transitoire (texte non paru auJournal officiel) ............................................................................................................................................. 8

Nature et paysages

Décret no 2007-135 du 30 janvier 2007 précisant les critères de définition et de délimitation des zoneshumides figurant à l’article L. 211-1 du code de l’environnement (Journal officiel du 1er février 2007) 9

Décret du 30 janvier 2007 portant classement du parc naturel régional des Alpilles (région Provence-Alpes-Côte d’Azur) (Journal officiel du 1er février 2007) ....................................................................... 10

Décret no 2007-182 du 8 février 2007 portant création de la réserve naturelle nationale de Ristolas -Mont-Viso (Hautes-Alpes) (Journal officiel du 10 février 2007) ............................................................ 11

Arrêté du 13 décembre 2006 relatif aux réserves de chasse et de faune sauvage (Journal officiel du10 février 2007) ............................................................................................................................................ 12

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Textes

Arrêté du 22 décembre 2006 relatif à l’usage des appeaux pour le grand gibier soumis à plan de chasse(Journal officiel du 10 février 2007) .......................................................................................................... 13

Arrêté du 2 février 2007 portant affectation d’ensembles immobiliers domaniaux (Journal officiel du11 février 2007) ............................................................................................................................................ 14

Arrêté du 5 février 2007 relatif aux niveaux du risque épizootique en raison de l’infection de la faunesauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène et au dispositif de surveil-lance et de prévention chez les oiseaux détenus en captivité (Journal officiel du 6 février 2007) .... 15

Arrêté du 5 février 2007 qualifiant le niveau du risque épizootique en raison de l’infection de la faunesauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène (Journal officiel du6 février 2007) .............................................................................................................................................. 16

Arrêté du 9 février 2007 portant désignation du site Natura 2000 Etangs et marais du bassin de laSomme (zone de protection spéciale) (Journal officiel du 11 février 2007) ......................................... 17

Arrêté du 9 février 2007 portant désignation du site Natura 2000 Crau (zone de protection spéciale)(Journal officiel du 11 février 2007) .......................................................................................................... 18

Prévention des pollutions et des risques

Règlement (CE) no 93/2007 du 30 janvier 2007 de la Commission modifiant le règlement (CE) no

2099/2002 du Parlement européen et du Conseil instituant un comité pour la sécurité maritime et laprévention de la pollution par les navires (COSS) (Journal officiel de l’Union européenne du L. 22 du31 janvier 2007) ........................................................................................................................................... 19

Décret no 2007-150 du 5 février 2007 définissant le périmètre de la zone de proximité prévue à l’articleL. 542-11 du code de l’environnement, concernant le laboratoire souterrain de Meuse et de Haute-Marne destiné à étudier les formations géologiques profondes où pourraient être stockés des déchetsradioactifs (Journal officiel du 6 février 2007) ......................................................................................... 20

Arrêté du 28 novembre 2006 modifiant l’arrêté du 25 février 2005 fixant la liste des exploitants aux-quels sont affectés des quotas d’émission de gaz à effet de serre et le montant des quotas affectés(Journal officiel du 2 février 2007) ............................................................................................................ 21

Arrêté du 15 décembre 2006 modifiant l’arrêté du 29 décembre 2005 portant agrément des organismesvérificateurs des émissions déclarées dans le cadre du système d’échange de quotas d’émission de gazà effet de serre (Journal officiel du 9 février 2007) ................................................................................ 22

Arrêté du 24 janvier 2007 portant habilitation des agents à rechercher et constater des infractions auxdispositions relatives à la dissémination volontaire dans l’environnement de produits phytopharmaceu-tiques, de plantes, semences ou plants composés en tout ou partie d’organismes génétiquement modi-fiés (Journal officiel du 13 février 2007) .................................................................................................. 23

Arrêté du 26 janvier 2007 modifiant l’arrêté du 17 mai 2001 modifié fixant les conditions techniquesauxquelles doivent satisfaire les distributions d’énergie électrique (Journal officiel du 13 février 2007) 24

Circulaire du 28 décembre 2006 relative à la mise à disposition du guide d’élaboration et de lecture desétudes de dangers pour les établissements soumis à autorisation avec servitudes et des fiches d’appli-cation des textes réglementaires récents (texte non paru au Journal officiel) ...................................... 25

Mesures nominatives et délégations de signature

Administration centrale

Arrêté du 1er février 2007 portant nomination (administration centrale) (Journal officiel du3 février 2007) .............................................................................................................................................. 26

Décision du 30 janvier 2007 portant nomination à un collège de l’inspection générale de l’environne-ment (texte non paru au Journal officiel) .................................................................................................. 27

Etablissements publics

Décret du 31 janvier 2007 portant nomination du directeur de l’Agence des aires marines protégées -M. Laroussinie (Olivier) (Journal officiel du 2 février 2007) ................................................................. 28

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Textes

Arrêté du 14 décembre 2006 portant nomination au conseil d’administration de l’Agence de l’eauLoire-Bretagne (Journal officiel du 10 février 2007) ............................................................................... 29

Arrêté du 8 janvier 2007 portant nomination au conseil d’administration de l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse (Journal officiel du 10 février 2007) ................................................................... 30

Arrêté du 2 février 2007 portant nomination au conseil d’administration de l’Agence française desécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Journal officiel du 6 février 2007) ...................... 31

Autres structures administratives

Arrêté du 14 décembre 2006 portant nomination au Comité de bassin Loire-Bretagne (Journal officieldu 10 février 2007) ...................................................................................................................................... 32

Arrêté du 3 janvier 2007 portant nomination au Comité de bassin Loire-Bretagne (Journal officiel du10 février 2007) ............................................................................................................................................ 33

Communications et avis

Prévention des pollutions et des risques

Avis relatif à la liste des procédés de traitement des effluents phytosanitaires, reconnus comme efficacespar le MEDD (DPPR/SDPD) (texte non paru au Journal officiel) ........................................................ 34

Inspection générale de l’environnement

Avis de la Commission no 2007/C 22/01 du 30 janvier 2007 concernant la modification du projet derejet d’effluents radioactifs de l’installation Centraco, en France, conformément à l’article 37 du traitéEuratom (Journal officiel de l’Union européenne du C. 22 du 31 janvier 2007) ................................ 35

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TEXTES GÉNÉRAUX

Administration - Finances - Affaires internationales

Décret no 2007-139 du 1er février 2007 modifiant le décret no 97-34 du 15 janvier 1997relatif à la déconcentration des décisions administratives individuelles

NOR : BUDX0600220D

(Journal officiel du 2 février 2007)

Le Président de la République,Sur le rapport du Premier ministre, du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire,

et du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,Vu le décret no 97-34 du 15 janvier 1997 relatif à la déconcentration des décisions administratives individuelles,

modifié par le décret no 97-1205 du 19 décembre 1997 ;Vu le décret no 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des

services de l’Etat dans les régions et départements, modifié par le décret no 2005-1621 du 22 décembre 2005 ;Le Conseil d’Etat (section des finances) entendu ;Le conseil des ministres entendu,

Décrète :

Art. 1er. − L’article 2 du décret du 15 janvier 1997 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes :

« Art. 2. − Par dérogation aux dispositions de l’article 1er, des décrets en Conseil d’Etat fixent la liste des déci-sions qui sont prises par les ministres ou par décret.

« En outre, des décrets en Conseil d’Etat déterminent les décisions qui sont prises par les chefs des services àcompétence nationale, le préfet de zone, le préfet de région, le préfet de police, le préfet maritime, les autres auto-rités déconcentrées de l’Etat, ou leurs agents, pour l’exercice des missions mentionnées aux articles 32 et 33 dudécret du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dansles régions et départements, les magistrats de l’ordre administratif ou judiciaire et les maires. »

Art. 2. − Il est inséré après l’article 2 du décret du 15 janvier 1997 susvisé un article 2-1 ainsi rédigé :

« Art. 2-1. − Les décrets pris en application du 1o de l’article 2 du présent décret dans sa rédaction antérieure àl’intervention du décret no 2007-139 du 1er février 2007 peuvent être modifiés par décret en Conseil d’Etat. »

Art. 3. − Le Premier ministre, le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, leministre de l’économie, des finances et de l’industrie et le ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat,porte-parole du Gouvernement, sont responsables, chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent décret,qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 1er février 2007.

JACQUES CHIRACPar le Président de la République :

Le Premier ministre,DOMINIQUE DE VILLEPIN

Le ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat,porte-parole du Gouvernement,

JEAN-FRANÇOIS COPÉ

Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieuret de l’aménagement du territoire,

NICOLAS SARKOZY

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,THIERRY BRETON

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 2 / 35 – Page 1

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TEXTES GÉNÉRAUX

Administration - Finances - Affaires internationales

Arrêté du 12 janvier 2007 modifiant l’arrêté du 13 juillet 2006 relatif aux comités d’expertsspécialisés placés auprès de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement etdu travail

NOR : DEVP0700033A

(Journal officiel du 1er février 2007)

Le ministre de la santé et des solidarités, la ministre de l’écologie et du développement durable et le ministredélégué à l’emploi, au travail et à l’insertion professionnelle des jeunes,

Vu le code de la santé publique ;Vu l’arrêté du 13 juillet 2006 relatif aux comités d’experts spécialisés placés auprès de l’Agence française de

sécurité sanitaire de l’environnement et du travail,

Arrêtent :Art. 1er. − Il est ajouté à l’arrêté du 13 juillet 2006 relatif aux comités d’experts spécialisés placés auprès de

l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail un article 5-1 ainsi rédigé :« Art. 5-1. – Les membres, dont les noms figurent à l’annexe du présent arrêté, des comités d’experts spécia-

lisés nommés par arrêtés interministériels antérieurement à la date de publication du présent arrêté, en applicationdes arrêtés mentionnés à l’article 5 du présent arrêté, sont maintenus en fonction jusqu’à ce qu’il ait été procédé àla désignation des nouveaux membres en application de la procédure régie par l’article R. 1336-20 du code de lasanté publique, et au plus tard jusqu’au 1er juillet 2007. »

Art. 2. − Le directeur général de la santé, le directeur de la prévention des pollutions et des risques et ledirecteur général du travail sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui serapublié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 12 janvier 2007.

La ministre de l’écologie et du développement durable,Pour la ministre et par délégation :

Le directeur de la prévention des pollutions et des risques,délégué aux risques majeurs,

L. MICHEL

Le ministre de la santé et des solidarités,Pour le ministre et par délégation :Le directeur général de la santé,

D. HOUSSIN

Le ministre délégué à l’emploi, au travailet à l’insertion professionnelle des jeunes,

Pour le ministre et par délégation :Le directeur général du travail,

J.-D. COMBREXELLE

A N N E X E

LISTE DES MEMBRES DES COMITÉS D’EXPERTS SPÉCIALISÉS

Comité d’experts spécialisé « Evaluation des risques liés aux substances chimiques »

M. Baan (Robert), expert en toxicologie génétique, unité d’identification et d’évaluation des cancérogènes auCentre international de recherche sur le cancer ;

Mme Baldi (Isabelle), épidémiologiste, maître de conférences à l’université Bordeaux-II ;M. Bezunces (Luc), directeur de recherche à l’Institut national de la recherche agronomique d’Avignon ;M. Berny (Philippe), professeur de pharmacie-toxicologie à l’Ecole nationale vétérinaire de Lyon ;Mme Casellas (Claude), professeure en environnement-santé à l’université Montpellier-I ;

Page 11: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 2 / 35 – Page 2

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Mme Cézard (Christine), pharmacienne toxicologue au centre antipoison de Lille ;M. Cravédi (Jean-Pierre), toxicologue, directeur de recherche à l’Institut national de la recherche agrono-

mique, à Toulouse ;M. Dally (Sylvain), professeur, toxicologue, chef de service à l’hôpital Fernand Widal de Paris ;M. Danel (Vincent), professeur de toxicologie à l’unité de formation et de recherche de pharmacie de

Grenoble, médecin hospitalier au centre hospitalier universitaire de Grenoble ;M. Deroubaix (Gérard), responsable environnement au centre technique du bois et de l’ameublement ;M. Descotes (Jacques), professeur, toxicologue, chef de service du centre antipoison de Lyon ;M. Empereur-Bissonnet (Pascal), médecin, responsable de l’unité « méthodes et investigations » au dépar-

tement santé-environnement à l’Institut de veille sanitaire ;Mme Enriquez (Brigitte), enseignante-chercheuse en pharmacie-toxicologie à l’Ecole nationale vétérinaire de

Maisons-Alfort ;Mme Fouilhé Sam-Laï (Nathalie), pharmacienne toxicologue au centre de toxicovigilance de Grenoble ;Mme Fréry (Nadine), épidémiologiste au département santé-environnement de l’Institut de veille sanitaire ;M. Garrigues (Philippe), directeur de recherche en chimie et toxicologie de l’environnement au Centre

national de la recherche scientifique, université Bordeaux-I ;M. Hoellinger (Henri), directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale,

chargé de mission au ministère délégué à la recherche et aux nouvelles technologies ;M. Karg (Frank), géochimiste, directeur scientifique de HPC Envirotec SA ;M. Marchandise (Patrick), ingénieur, directeur adjoint de la division nuisances, ressources, sécurité à la

direction régionale de l’équipement d’Ile-de-France ;M. Maris (Pierre), pharmacien, chef de l’unité « produits d’hygiène antimicrobiens » de l’Agence française

de sécurité sanitaire des aliments ;Mme Ménétrier (Florence), pharmacienne, chef de projet au Commissariat à l’énergie atomique ;M. Mutigner (Luc), épidémiologiste, chargé de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche

médicale ;M. Pailler (François-Marie), professeur agrégé au Val-de-Grâce, expert-évaluateur pour l’unité de veille toxi-

cologique de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé ;Mme Pichard (Annick), responsable de l’unité d’expertise toxicologique des substances chimiques à l’Institut

national de l’environnement industriel et des risques ;M. Picot (André), ancien directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique ;M. Roy (Stéphane), chef de projet au Bureau de recherches géologiques et minières ;Mme Steenhout (Anne), professeure à l’Université libre de Bruxelles, directrice du groupe d’études écotoxicolo-

giques sur les polluants, la santé et les impacts sur l’homme ;M. Thybaud (Eric), responsable de l’unité d’évaluation des risques écotoxicologiques à l’Institut national de

l’environnement industriel et des risques.

Comité d’experts spécialisé « Evaluation des risques liés aux milieux aériens »

M. Alary (René), ingénieur chimiste pollution atmosphérique au laboratoire central de la préfecture de police deParis ;

Mme Annesi-Maesano (Isabella), épidémiologiste respiratoire, responsable de l’équipe d’épidémiologie desréponses immunitaires et inflammatoires, Institut national français de recherche médicale U 472, Villejuif ;

M. Blanchard (Olivier), ingénieur de recherche « qualité de l’air », unité qualité de l’air, direction des risqueschroniques, Institut national de l’environnement industriel et des risques, Verneuil-en-Halatte ;

M. Cabanes (Pierre-André), médecin, adjoint du service médical d’Electricité de France, conseiller des direc-tions générales d’Electricité de France et Gaz de France sur les questions d’environnement et de santé, Paris ;

M. Campagna (Dave), médecin de santé publique, épidémiologiste, responsable de la mise en place d’unesurveillance épidémiologique au sein des agents de la Régie autonome des transports parisiens, Paris ;

M. de Blay de Gaix (Frédéric), médecin, pneumologue et immunologiste, professeur d’université-praticienhospitalier de l’hôpital universitaire de Strasbourg ;

Mme Delmas (Véronique), docteure en chimie de la pollution atmosphérique et physique de l’environnement,directrice de l’observatoire de la qualité de l’air en Haute-Normandie, Rouen ;

M. Elichegaray (Christian), docteur en chimie physique de l’atmosphère, chef du département air de l’Agencede l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, Paris ;

M. Filleul (Laurent), médecin de santé publique, épidémiologiste, Institut de veille sanitaire, cellule inter-régionale d’épidémiologie, Bordeaux ;

M. Garnier (Robert), médecin, toxicologue, maître de conférences des universités, centre antipoison de Paris ;M. Garrec (Jean-Pierre), docteur en biologie végétale et éco-physiologie végétale, directeur de recherches et

directeur du laboratoire pollution atmosphérique de l’Institut national de la recherche agronomique de Nancy ;M. Glorennec (Philippe), enseignant-chercheur en évaluation des risques sanitaires, Ecole nationale de santé

publique, Rennes ;Mme Just (Jocelyne), médecin allergologue et pneumologue infantile, maître de conférences des universités,

praticienne hospitalière de l’hôpital Trousseau, Paris ;

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BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

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Mme Kirchner (Séverine), docteure en chimie de la pollution atmosphérique et géophysique de l’environnement,responsable du secteur « qualité de l’air intérieur » au Centre scientifique et technique du bâtiment, Champs-sur-Marne ;

Mme Mathieu (Laurence), docteur en chimie-microbiologie de l’eau, maître de conférences à l’Ecole pratiquedes hautes études, Vandœuvre-lès-Nancy ;

M. Millet (Maurice), docteur en chimie-physique, spécialiste des phytosanitaires dans l’air, maître de confé-rences des universités dans le département chimie de l’université Louis Pasteur de Strasbourg ;

M. Morcheoine (Alain), ingénieur civil du génie maritime, directeur de l’air et des transports à l’Agence del’environnement et de la maîtrise de l’énergie, Paris ;

M. Morel (Yannick), docteur en toxicologie moléculaire, chef de projet/expertise au centre d’études du Bouchetde la délégation générale de l’armement ;

M. Morin (Jean-Paul), docteur d’Etat en sciences naturelles, spécialiste des émissions moteur, chargé derecherche, Institut national français de recherche médicale à la faculté de médecine de Rouen ;

M. Nemery de Bellevaux (Benoît), professeur à la faculté de médecine de Louvain (Belgique), toxicologiepulmonaire et médecine du travail ;

M. Paris (Christophe), médecin, épidémiologiste, spécialiste des pathologies professionnelles, professeur desuniversités-praticien hospitalier, hôpital Fournier, Nancy ;

M. Peuch (Vincent-Henri), ingénieur ponts et chaussées, chercheur en modélisation numérique de la compo-sition chimique de l’atmosphère chez Météo-France, Toulouse ;

M. Poinsot (Charles), ingénieur écologue, directeur d’OPAL’AIR, Gravelines ;Mme Pons (Françoise), docteure en biochimie et biologie cellulaire et moléculaire, spécialiste asthme et

pollution environnementale, maître de conférences à l’université Louis Pasteur, à Strasbourg ;Mme Ramel (Martine), ingénieure qualité de l’air, responsable du programme laboratoire central de la qualité

de l’air à l’Institut national de l’environnement industriel et des risques, Verneuil-en-Halatte.

Comité d’experts spécialisé « Evaluation des risques liés aux substances et produits biocides »

M. Calmels (Régis), biologiste, consultant et gérant de la société R2CK ;M. Chiron (Jean-Paul), professeur des universités (microbiologie) à l’université François Rabelais de Tours,

unité de formation et de recherche en pharmacie ;Mme Collot (Valérie), professeure des universités (pharmacognosie) à l’université de Caen, unité de formation

et de recherche en pharmacie ;Mme Crémieux (Andrée), professeure des universités (microbiologie) à l’université de la Méditerranée, unité de

formation et de recherche en pharmacie ;M. Delaforge (Marcel), docteur en biochimie, directeur de recherche au Centre national de la recherche scienti-

fique au centre d’études de Saclay ;M. Deroubaix (Gérard), docteur en chimie, responsable environnement au centre technique du bois et de

l’ameublement ;M. Devillers (James), docteur en écologie, directeur du centre de traitement de l’information scientifique ;M. Forster (Roy), docteur en toxicologie de l’environnement, directeur scientifique du Centre international de

toxicologie ;Mme Gamelin (Laurence), médecin, praticien hospitalier au centre antipoison régional des Pays de la Loire,

CHU d’Angers ;Mme Gomez (Elena), maître de conférences (hydrosciences) à l’université Montpellier-I, unité de formation et

de recherche en pharmacie ;M. Hubert (François), docteur en pharmacie, gérant de la société François Hubert ;M. Jaeg (Jean-Philippe), maître de conférences (pharmacie-toxicologie) à l’Ecole nationale vétérinaire de

Toulouse ;M. Lemazurier (Emmanuel), docteur en biologie, ingénieur à l’Institut national de l’environnement et des

risques ;M. Maris (Pierre), docteur en pharmacie et en sciences pharmaceutiques, directeur adjoint du laboratoire

d’études vétérinaires sur les médicaments et les désinfectants de l’Agence française de sécurité sanitaire desaliments ;

M. Paris (Jacques), vétérinaire, consultant au sein de JP Consultant ;M. Périchaud (Alain), professeur des universités (chimie des matériaux) à l’université Saint-Jérôme, institut

universitaire professionnalisé « génie des matériaux » ;M. Pontal (Pierre-Gérard), médecin, gérant et expert en toxicologie de la société Consultancy for Environmental

and Human Toxicology and Risk Assessment ;Mme Quiniou (Françoise), biologiste, cadre de recherche à l’Institut français de recherche pour l’exploitation de

la mer ;Mme Rambourg (Marie-Odile), docteure en pharmacie, toxicologue à l’Institut de veille sanitaire ;Mme Roques (Christine), professeure des universités (génie microbien, hygiène, environnement) à l’université

Paul Sabatier - Toulouse-III, unité de formation et de recherche en pharmacie, attachée des hôpitaux de Toulouse ;M. Ryffel (Bernhard), médecin, directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique à l’institut

de la transgénose, à Orléans ;

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M. Sandouk (Pierre), maître de conférences (chimie analytique et pharmacocinétique) à l’université RenéDescartes - Paris-V, unité de formation et de recherche des sciences pharmaceutiques et biologiques, praticienattaché à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris ;

M. Truchot (Eric), ingénieur en agriculture, consultant indépendant.

Comité d’experts spécialisé « Evaluation des risques liés aux agents physiques, aux nouvelles technologies et auxgrands aménagements »

Mme Anfosso-Lédée (Fabienne), ingénieure travaux publics, laboratoire central des ponts et chaussées ;M. Azoulay (Alain), professeur au service « électromagnétisme » à Supélec ;M. Bérengier (Michel), directeur de recherche « bruits routiers » au Laboratoire central des ponts et chaussées ;M. Besancenot (Jean-Pierre), directeur de recherche au Centre national de recherche scientifique, laboratoire

climat et santé, faculté de médecine de Dijon ;M. Césarini (Jean-Pierre), docteur en médecine, laboratoire de recherche sur les tumeurs de la peau humaine ;M. Cohen (Jean-Claude), ingénieur des travaux de la météorologie, Météo-France ;M. Corriu (Robert), professeur émérite, responsable du pôle chimie de Montpellier ;M. Courant (Daniel), docteur en neurophysiologie, chef de projet au laboratoire de radiopathologie au Commis-

sariat à l’énergie atomique ;M. Couturier (Frédéric), ingénieur télécom (radiofréquences) à l’Agence nationale des fréquences ;M. Debouzy (Jean-Claude), médecin en chef au laboratoire de biophysique du centre de recherche du service de

santé des armées ;M. Doré (Jean-François), docteur en biologie humaine et cancérologie expérimentale, directeur de recherche à

l’Institut national de la santé et de la recherche médicale ;M. Fournier (Eric), ingénieur Supélec, responsable du département ingénierie du spectre à l’Agence nationale

des fréquences ;M. Gaffet (Eric), docteur en chimie des matériaux-métallurgie, directeur de recherche au Centre national de la

recherche scientifique, responsable « Nanomaterials Research Group » ;Mme Hours (Martine), médecin chercheure en épidémiologie à l’unité mixte de recherche épidémiologique

transport, travail et environnement (Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité) ;Mme Job (Agnès), docteure en génie biologique et médical au centre de recherche du service de santé des

armées ;M. Joussot-Dubien (Jacques), professeur d’université et directeur de l’Ecole nationale supérieure de chimie et de

physique de Bordeaux ;M. Labeyrie (Antoine), professeur au Collège de France, chaire d’astrophysique observationnelle ;M. Lambert (Jacques), docteur en économie appliquée, directeur de recherche à l’Institut national de recherche

sur les transports et leur sécurité ;M. Laurier (Dominique), docteur en biomathématiques, adjoint au chef du laboratoire d’épidémiologie de l’Ins-

titut de radioprotection et sûreté nucléaire ;M. Lepoutre (Philippe), ingénieur de l’université de technologie de Compiègne, responsable du pôle technique

de l’autorité des nuisances sonores aéroportuaires ;Mme Moch (Annie), professeure des universités, responsable du groupe de recherche « psychologie de l’envi-

ronnement : attitudes et conduites en milieu urbain » à l’université Paris-X ;M. Pirard (Philipe), médecin épidémiologiste chargé à l’INVS des programmes de surveillance des expositions

médicales aux rayonnements ionisants ;M. Planton (Serge), ingénieur polytechnique, ingénieur de la météo, responsable du groupe de météorogie de

grande échelle et climat du Centre national de recherches météorologiques (Météo-France) ;M. Rumeau (Michel), ingénieur en chef titulaire au laboratoire central de la préfecture de police de Paris ;M. de Séze (René), docteur en médecine (spécialités radiologie et médecine aéronautique), directeur de

recherche à l’Institut national de l’environnement industriel et des risques ;M. Vallet (Michel), docteur de psychologie (la perturbation du sommeil par le bruit des transports) ;M. Vecchia (Paolo), physicien (recherche et protection du public et des travailleurs), épidémiologiste ;M. Veyret (Bernard), docteur en sciences physiques, directeur de recherche au Centre national de la recherche

scientifique.

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TEXTES GÉNÉRAUX

Administration - Finances - Affaires internationales

Arrêté du 16 janvier 2007 portant approbation de la convention constitutive d’un groupement d’intérêt public

NOR : DEVG0700046A

(Journal officiel du 11 février 2007)

Par arrêté du préfet de la région Bretagne, préfet d’Ille-et-Vilaine, en date du 16 janvier 2007, est approuvée laconvention constitutive du groupement d’intérêt public dénommé « GIP Bretagne environnement ».

La convention constitutive du groupement peut être consultée au siège du groupement ou auprès du ministèrechargé de l’environnement.

Des extraits de la convention constitutive sont publiés au Journal officiel de la République française, confor-mément à l’article D. 131-28 du code de l’environnement.

EXTRAITS DE LA CONVENTION CONSTITUTIVE DU GROUPEMENT D’INTÉRÊT PUBLIC « GIPBRETAGNE ENVIRONNEMENT »

Dénomination et objet du groupement

Le groupement d’intérêt public dénommé « GIP Bretagne environnement » a pour mission, pour l’ensemble desthématiques, environnementales concernant la région Bretagne :

– de développer des outils internet de référencement des données environnementales et d’assurer leur mise àjour permanente ;

– de référencer et valoriser des données produites par les organismes experts et les producteurs de donnéesenvironnementales en leur permettant une plus large diffusion ;

– de valoriser les efforts d’acquisition de données ou de diffusion de l’information environnementaleconcernant la Bretagne ;

– de rédiger des articles de vulgarisation en liens avec les contenus proposés par les organismes experts ou lesproducteurs de données ;

– de développer tous supports de diffusion, complémentaire d’internet, permettant d’informer le plus largepublic possible ;

– de faciliter l’accès à des données actualisées ;– d’identifier les attentes des citoyens ;– d’informer les organismes experts quant aux attentes des citoyens et de solliciter le développement de

contenus répondant à ces demandes ;– d’animer et gérer le réseau d’information sur l’environnement en Bretagne (ou RIEB) dont le fonctionnement

est défini dans sa charte, et qui a pour objectif de garantir la pertinence et la qualité de l’information diffuséepar les outils du groupement ;

– de garantir, par la mise en place de procédures de validation, la qualité et la pertinence des informationsdiffusées afin qu’elles aient valeur de référence régionale.

Zone géographique couverte par le groupement

Le groupement exerce les missions ci-dessus dans la région Bretagne.

Membres

Les membres du groupement d’intérêt public sont :– l’Etat, représenté par le préfet de la région Bretagne ;– la région Bretagne.

Siège social

Le siège social du groupement est situé 33, boulevard de Solferino, à Rennes. Il peut être transféré sur décisiondu conseil d’administration.

Durée de la convention

Le groupement est constitué pour une durée de six ans.

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Modalités de la tenue de la comptabilité et de la gestion du groupement

La comptabilité du groupement est tenue et sa gestion effectuée selon les règles de la comptabilité publique,conformément aux dispositions du décret no 62-1587 du 29 décembre 1962 modifié relatives aux établissementspublics à caractère industriel et commercial. Sa comptabilité est tenue par un agent comptable désigné pararrêté du ministre chargé du budget, dont la rémunération est à la charge du groupement.

Le groupement est soumis au contrôle de la Cour des comptes et de la chambre régionale des comptes.Par ailleurs, les dispositions du titre II du décret no 55-733 du 26 mai 1955 portant codification et aména-

gement des textes relatifs au contrôle économique et financier de l’Etat et, le cas échéant, du décret no 53-707du 9 août 1953 relatif au contrôle économique et financier de l’Etat lui sont applicables.

L’autorité chargée du contrôle économique et financier de l’Etat nommée auprès du groupement participe dedroit, avec voix consultative, aux instances de décisions du groupement. Il a accès à l’ensemble des documentsdu groupement.

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TEXTES GÉNÉRAUX

Administration - Finances - Affaires internationales

Arrêté du 30 janvier 2007 relatif à la composition et au fonctionnementde la commission d’appel d’offres au ministère de l’écologie et du développement durable

NOR : DEVG0700028A

(Journal officiel du 9 février 2007)

La ministre de l’écologie et du développement durable,Vu le code des marchés publics, et notamment ses articles 7, 21, 23, 24 et 25 ;Vu le décret no 2000-426 du 19 mai 2000 modifié portant organisation de l’administration centrale du ministère

chargé de l’environnement ;Vu l’arrêté du 19 mai 2000 modifié portant organisation des directions de l’administration centrale du ministère

chargé de l’environnement ;Vu la circulaire du Premier ministre no 5140/SG du 23 mars 2006 relative à la coordination de la communi-

cation gouvernementale,

Arrête :

Art. 1er. − Il est créé une commission d’appel d’offres à caractère permanent au sein de l’administrationcentrale et des services à compétence nationale pour la passation des marchés publics et des accords-cadres.

Art. 2. − La commission d’appel d’offres est composée comme suit :a) Membres à voix délibérative :– le chef du service des affaires financières et du contrôle de gestion, président, ou, en son absence ou son

empêchement, le chef du bureau de la programmation budgétaire et du dialogue de gestion ;– le chef de service ou du bureau chargé du suivi technique du projet ou son représentant ;– le chef du service ou du bureau chargé du suivi administratif et financier du projet ou son représentant ;– le chef du bureau de la commande publique ou son représentant ;– un représentant du service d’information du Gouvernement (SIG) en cas de projet relatif à une action de

communication soumise à l’agrément de ce service.b) Membres à voix consultative :– le directeur général de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes ou son repré-

sentant ;– une à trois personnalités qualifiées, dont la présence est estimée utile par le président ;– le contrôleur budgétaire et comptable ministériel ou son représentant ;– un représentant de chaque direction d’administration centrale concernée, pour les marchés coordonnés.

Art. 3. − Le président convoque les membres de la commission dans les conditions définies au code desmarchés publics. La convocation est accompagnée d’une copie de l’avis d’appel public à la concurrence et dudossier de consultation des entreprises.

Lorsque l’avis de la commission est sollicité, la voix du président est prépondérante en cas de partage des voixdes membres à voix délibérative.

Art. 4. − Le secrétariat de la commission est assuré par un agent chargé du suivi administratif et/ou financierdu projet de marché ou d’accord-cadre.

Le secrétaire établit notamment les procès-verbaux de chaque séance. Il en adresse copie aux membres de lacommission. Il ne prend pas part aux délibérations.

Art. 5. − En cas de concours, par défaut, les membres à voix délibérative de la commission d’appel d’offresdéfinie à l’article 2 ci-dessus constituent le jury de concours prévu par l’article 24 du code des marchés publics.

S’ajoutent les membres désignés par le président du jury en application du d, et le cas échéant du e, del’article 24.

En outre participent au jury, avec voix consultative, les membres désignés au titre du II et du III de l’article 24.

Art. 6. − L’arrêté du 18 mai 2004 relatif à la composition et au fonctionnement de la commision d’appeld’offres au sein de l’administration centrale est abrogé.

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Art. 7. − L’arrêté du 30 août 2005 portant désignation des personnes responsables des marchés au sein duministère de l’écologie et du développement durable est abrogé. Néanmoins, il continue à produire des effets, àtitre transitoire, pour les marchés notifiés avant le 1er septembre 2006 ou dont la consultation a été lancée avantcette date.

Art. 8. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.Fait à Paris, le 30 janvier 2007.

NELLY OLIN

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TEXTES GÉNÉRAUX

Administration - Finances - Affaires internationales

Décision du 30 janvier 2007 portant règlement intérieur d’application du code des marchés publics

NOR : DEVG0700029S

(Texte non paru au Journal officiel)

La ministre de l’écologie et du développement durable,Vu le code des marchés publics, et notamment ses articles 1er, 5, 6, 26, 27, 28, 29, 30 et 40 ;Considérant la nécessité pour le pouvoir adjudicateur de définir certaines règles d’application du code des

marchés publics pour le respect des principes généraux régissant la commande publique,

Décide :

Article 1er

Le règlement intérieur, annexé à la présente décision, définit les modalités d’application de certaines procéduresde passation de marchés publics et d’accords-cadres.

Il est applicable aux services d’administration centrale et aux services à compétence nationale.

Article 2

La décision ministérielle du 23 septembre 2005 portant règlement intérieur d’application du code des marchéspublics est abrogée.

Article 3

Le directeur général de l’administration est chargé de l’exécution de la présente décision qui sera publiée auBulletin officiel du ministère de l’écologie et du développement durable.

Fait à Paris, le 30 janvier 2007.NELLY OLIN

A N N E X E

PORTANT RÈGLEMENT INTÉRIEUR D’APPLICATION DU CODE DES MARCHÉS PUBLICSAU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

I. – Principes générauxEn vue d’assurer l’efficacité de la commande publique et la bonne utilisation des deniers publics, quel que soit

leur montant, les marchés et accords-cadres passés par le ministère de l’écologie et du développement durablerespectent les principes posés par le code des marchés publics : liberté d’accès à la commande publique, égalité detraitement des candidats, transparence des procédures.

Ils sont précédés d’une définition précise du besoin et de son estimation sincère et raisonnable. Ils respectent lesobligations de publicité et de mise en concurrence conduisant au choix de l’offre économiquement la plus avanta-geuse. Pour tout achat, une traçabilité écrite de l’ensemble des actes de la procédure aboutissant à ce choix estétablie.

II. − Détermination des besoins et computation des seuilsLes besoins en travaux, fournitures et services s’apprécient pour l’ensemble de l’administration centrale et des

services à compétence nationale rattachés. Toutefois, les besoins de prestations intellectuelles spécifiques s’appré-cient au niveau de chaque direction ou service à compétence nationale concerné.

Les besoins en fournitures et services sont évalués pour une durée minimale d’un an.

III. − Les procédures adaptéesIII. – 1. Les marchés et accords-cadres passés selon la procédure adaptée définie à l’article 28, hors

circonstances particulières dûment justifiées, respectent a minima les règles de publicité et de mise en concur-rence ci-après :

Moins de 4 000 euros (HT). La publicité et la mise en concurrence ne sont pas obligatoires mais l’acheteurdoit pouvoir démontrer qu’il a retenu l’offre économiquement la plus avantageuse.

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4 000 euros à moins de 15 000 euros (HT). L’acheteur a le choix entre :– une publicité, par prospection sur divers supports d’information concernant les prestataires potentiels ou les

produits existants, suivie d’une mise en concurrence par lettre de consultation auprès de 3 à 6 entreprises auminimum en fonction du montant prévisionnel de l’achat et du degré de concurrence du marché du produit,des travaux ou du service en cause,

– une publicité et une mise en concurrence par émission d’un avis sur la plate-forme interministérielle« marchés-publics.gouv.fr ».

15 000 euros (HT) à moins de 90 000 euros (HT). La publicité et la mise en concurrence sont assurées parpublication d’un avis sur la plate-forme interministérielle marchés-publics.gouv.fr. en laissant un délai de remisedes offres ajusté à la complexité d’élaboration de l’offre et de 15 jours calendaires minimum.

A partir de 90 000 euros HT, l’article 40 du code des marchés publics fixe les exigences à respecter.

III. – 2. Les marchés publics et accords-cadres concernant des achats de services relevant de l’article 30 sontpassés selon une procédure adaptée qui, hors circonstances particulières dûment justifiées, respecte a minima lesrègles de publicité et de mise en concurrence ci après :

Moins de 15 000 euros (HT). L’acheteur n’est pas tenu par une obligation de publicité et de mise en concur-rence mais doit pouvoir démontrer qu’il retient l’offre économiquement la plus avantageuse.

De 15 000 euros (HT) à moins de 90 000 euros (HT). L’acheteur a le choix entre :– une publicité, par prospection sur divers supports d’information concernant les prestataires potentiels exis-

tants, suivie d’une mise en concurrence par lettre de consultation auprès de 3 à 6 entreprises au minimum enfonction du montant prévisionnel de l’achat et du degré de concurrence du marché du service en cause ;

– une publicité et mise en concurrence par publication d’un avis sur la plate-forme interministérielle marchés-publics.gouv.fr.

A partir de 90 000 euros (HT). La publicité et la mise en concurrence sont assurées par émission d’un avisd’appel public à la concurrence au moyen de la plate-forme interministérielle marchés-publics.gouv.fr associé à undélai de remise des offres ajusté à la complexité d’élaboration de l’offre et de 15 jours calendaires minimum.

III. – 3. Pour informer clairement les prestataires des attentes du ministère, le contenu de l’avis de publicitépour les marchés ou accords-cadres visés au III du présent règlement comporte au moins :

L’identification précise du ministère et du service acheteur, l’objet détaillé du marché ou de l’accord-cadre, lesspécifications du produit, du service ou des travaux objet de l’achat, les délais et lieu(x) d’exécution, les critèresd’appréciation de l’offre, les délai exact et lieu de remise des offres.

Lorsque le montant estimé du besoin atteint 210 000 euros (HT), les prestations de services relevant del’article 30 du code des marchés publics sont définies au moyen de spécifications techniques.

En cas de recours à plusieurs supports de publicité pour un achat, les avis sont rédigés en termes identiques.

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TEXTES GÉNÉRAUX

Eau

Rectificatif au règlement (CE) no 1891/2006 du Parlement européen et du Conseil du18 décembre 2006 concernant le financement pluriannuel de l’Agence européenne pour lasécurité maritime dans le domaine de la lutte contre la pollution causée par les navires etmodifiant le règlement (CE) no 1406/2002 (Journal officiel de l’Union européenne L. 394du 30 décembre 2006)

(Journal officiel de l’Union européenne L. 30 du 3 février 2007)

Dans le sommaire et dans le titre, page 1 :Au lieu de : « 1891/2006 », lire : « 2038/2006 ».

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TEXTES GÉNÉRAUX

Eau

Arrêté du 11 janvier 2007 relatif à la perceptionet à la centralisation du produit de la taxe piscicole

NOR : DEVO0700039A

(Journal officiel du 3 février 2007)

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et la ministre de l’écologie et du développementdurable,

Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 434-5, L. 436-1, L. 436-3, D. 436-1 et R. 436-2 ;Vu l’arrêté du 9 décembre 1985 modifié fixant les conditions d’agrément des associations de pêche et de pisci-

culture ;Vu l’arrêté du 9 décembre 1985 modifié fixant les conditions d’agrément de l’association départementale de

pêcheurs amateurs aux engins et aux filets sur les eaux du domaine public ;Vu l’arrêté du 13 décembre 1985 fixant les conditions d’agrément des associations départementales ou inter-

départementales de pêcheurs professionnels en eau douce,

Arrêtent :

Art. 1er. − Pour l’année 2007, à titre exceptionnel et transitoire, la taxe piscicole est collectée auprès des fédé-rations départementales des associations agréées de pêche et de protection du milieu aquatique, par la Fédérationnationale de la pêche et de la protection du milieu aquatique, en même temps que sa cotisation statutaire, au seind’une cotisation pour la protection du milieu aquatique.

Art. 2. − En début de l’année 2007, la Fédération nationale de la pêche et de la protection du milieu aquatiqueprend livraison auprès de l’Imprimerie nationale du stock de timbres vignettes, transmet au Conseil supérieur de lapêche un état détaillé et certifié de ce stock par catégorie de timbres et approvisionne les fédérations départe-mentales. Elle en donne décharge au garde-magasin.

Art. 3. − Pour l’année 2007, la Fédération nationale de la pêche et de la protection du milieu aquatique versetrimestriellement à l’agent comptable du Conseil supérieur de la pêche tout le produit encaissé de la taxe piscicoleles 30 avril, 31 juillet, 30 septembre et le 31 janvier de l’année suivante.

La Fédération nationale de la pêche et de la protection du milieu aquatique, produit à l’appui de son dernierversement un état justificatif ventilant par type de timbre la totalité de ses versements.

En fin d’année, les timbres non vendus par les fédérations départementales sont retournés à la Fédérationnationale de la pêche et de la protection du milieu aquatique, qui procède à leur décompte avant de les détruire enprésence de l’agent comptable du Conseil supérieur de la pêche ou de les lui envoyer pour destruction.

Art. 4. − Pour l’année 2007, le Conseil supérieur de la pêche commande et prend livraison auprès de l’Impri-merie nationale des timbres-poste et des valeurs fiduciaires du stock de timbres de taxe piscicole destiné aux asso-ciations agréées départementales et interdépartementales de pêcheurs professionnels en eau douce et les approvi-sionne.

Ces associations versent le produit de la taxe piscicole encaissé par elles au compte chèques postal de l’agentcomptable du Conseil supérieur de la pêche au plus tard le 15 du mois suivant le trimestre de référence.

Art. 5. − En cas de retard répété dans le versement à la fédération départementale du produit de la taxepiscicole perçue par elle, toute association agréée de pêche et de protection du milieu aquatique et toute asso-ciation agréée de pêcheurs amateurs aux engins et aux filets pourra faire l’objet d’un retrait d’agrément dans lesconditions fixées dans l’article 7 des arrêtés ministériels du 9 décembre 1985 susvisés.

Art. 6. − L’arrêté du 27 mars 1972 du ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la protection dela nature et de l’environnement, relatif à la perception et centralisation du produit de la taxe piscicole est abrogé.

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Art. 7. − Le directeur du budget et le directeur de l’eau sont chargés de l’exécution du présent arrêté, quisera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 11 janvier 2007.La ministre de l’écologie et du développement durable,

Pour la ministre et par délégation :Le directeur de l’eau,

P. BERTEAUD

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,Pour le ministre et par délégation :

Le chef de service,H. BIED-CHARRETON

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TEXTES GÉNÉRAUX

Eau

Circulaire DCE 2006/18 du 21 décembre 2006 relative à la définition du « bon état » pour leseaux souterraines, en application de la directive 2000/60/DCE du 23 octobre 2000 duParlement et du Conseil établissant un cadre pour une politique communautaire dans ledomaine de l’eau, ainsi qu’à la définition de valeurs seuils provisoires applicables pendant laphase transitoire

NOR : DEVO0700031C

(Texte non paru au Journal officiel)

La ministre de l’écologie et du développement durable à Mmes et MM. les préfets coordonnateurs debassin, Mmes et MM. les préfets de région, Mmes et MM. les préfets de département.

Objet :Références :Circulaire du 26 mars 2002 relative au système national d’information sur l’eau ;Circulaire du 23 décembre 2004 relative au Schéma directeur des données sur l’eau ;Circulaire DCE 2005/12 du 28 juillet 2005 relative à la définition du « bon état » et à la constitution des réfé-

rentiels pour les eaux douces de surface (cours d’eau, plans d’eau), ainsi qu’à la démarche à adopter pendant laphase transitoire ;

Circulaire DCE 2005/14 du 26 octobre 2005 relative à la surveillance des eaux souterraines en France en appli-cation de la directive 2000/60/DCE du 23 octobre 2000.

Pièce jointe :Document de cadrage définissant le « bon état » pour les eaux souterraines, sur la base de valeurs seuils provi-

soires applicables durant la période transitoire.

PLAN DE DIFFUSION

POUR EXÉCUTIONDestinataires

POUR INFORMATIONDestinataires

Préfets coordonnateurs de bassin Préfets de régionDIREN de bassin Préfets de départementDirecteurs d’agences de l’eau DIREN

DRASSDRIREMISEBRGMIFENOIEauCEMAGREFDPPRDGS/bureau de l’eau

La directive-cadre européenne sur l’eau (DCE) fixe un certain nombre d’objectifs environnementaux afind’atteindre le bon état des eaux souterraines à l’horizon 2015. Il est demandé aux Etats membres de :

– mettre en œuvre les mesures nécessaires pour prévenir ou limiter le rejet de polluants dans les eaux souter-raines et pour prévenir la détérioration de l’état de toutes les masses d’eau souterraines ;

– protéger, améliorer et restaurer toutes les masses d’eau souterraines, assurer un équilibre entre les captages etle renouvellement des eaux souterraines afin d’obtenir un bon état des masses d’eau souterraine ;

– mettre en œuvre les mesures nécessaires pour inverser toute tendance à la hausse, significative et durable, dela concentration de tout polluant résultant de l’impact de l’activité humaine afin de réduire progressivement lapollution des eaux souterraines.

En matière de définition et d’évaluation du bon état des eaux souterraines, l’article 12 du décret no 2005-475 du16 mai 2005 de transposition de la DCE stipule que l’état d’une eau souterraine est défini par la moins bonne desappréciations portées respectivement sur son état quantitatif et sur son état chimique. L’état quantitatif d’une eau

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souterraine est considéré comme bon lorsque les prélèvements ne dépassent pas la capacité de renouvellement dela ressource disponible, compte tenu de la nécessaire alimentation en eau des écosystèmes aquatiques de surface etdes zones humides directement dépendantes en application du principe de gestion équilibrée énoncé àl’article L. 211-1 du code de l’environnement. L’état chimique d’une eau souterraine est considéré comme bonlorsque les concentrations en polluants dues aux activités humaines ne dépassent pas les normes (et valeurs seuils)et n’empêchent pas d’atteindre les objectifs fixés pour les eaux de surface alimentées par cette masse d’eau souter-raine, et lorsqu’il n’est constaté aucune intrusion d’eau salée due aux activités humaines.

La directive fille relative à la protection des eaux souterraines a été adoptée le 12 décembre 2006 par leParlement européen. Elle contient des éléments de définition de la notion de bon état chimique, définit des normesde qualité pour les nitrates et pesticides, et indique que les Etats membres doivent arrêter avant le22 décembre 2008 des valeurs seuils pour une liste minimum de paramètres chimiques visés, la liste pouvant êtreétendue à d’autres paramètres présentant un risque. Il s’agit des paramètres identifiés par les Etats membrescomme responsables d’un risque de non-atteinte du bon état des masses d’eau souterraines sur leur territoire.

Courant 2007, des travaux vont être engagés par le groupe européen « Groundwater C » permettant notammentde préciser les conditions de fixation des valeurs seuils pour les paramètres relevant de la responsabilité des Etatsmembres, l’objectif étant d’élaborer une méthodologie commune pour que les Etats membres puissent avoir unedémarche cohérente et des résultats comparables d’un Etat membre à l’autre.

Afin de préparer cette démarche, un groupe de travail national piloté par la Direction de l’eau a été mis enplace à compter d’octobre 2005 ; ce groupe technique national « DCE Eaux souterraines » est chargé d’élaborerdes propositions pour la définition du bon état des eaux souterraines (qualitatif et quantitatif) dans le cadre de lamise en œuvre de la DCE.

Toutefois, sans attendre une méthodologie commune élaborée au niveau européen, il est apparu nécessaire defixer des paramètres et valeurs seuils provisoires afin de préparer la révision des schémas directeurs d’amé-nagement et de gestion des eaux (SDAGE) et l’élaboration des programmes de mesures.

Ainsi, la présente circulaire a pour objet d’apporter les premiers éléments pour la définition du « bon état » deseaux souterraines. Elle précise notamment les paramètres à prendre en compte et les valeurs seuils à adopterpendant la période transitoire.

Elle précise également la liste nationale des pesticides à analyser pour les eaux souterraines dans le cadre de lacampagne dite photographique, prévue en 2007, du contrôle de surveillance (44 substances et leurs métabolitespertinents), et vient ainsi compléter les circulaires DCE 2003/07 du 8 octobre 2003 et DCE 2005/14 du26 octobre 2005 sur les réseaux de surveillance des eaux souterraines.

Dans le cadre des travaux conduits au niveau de votre bassin, je vous demande de veiller à la prise en comptedes préconisations de la présente circulaire, et de sa pièce jointe.

Vous voudrez bien me faire part des difficultés que vous pourriez rencontrer dans l’application de la circulaire.Pour la ministre et par délégation :

Le directeur de l’eau,PASCAL BERTEAUD

DIRECTIVE-CADRE EUROPÉENNE SUR L’EAU

Complément au cahier des charges joint à la circulaire DCE 2005/14du 26 octobre 2005 relatif à la surveillance des eaux souterraines

Le cahier des charges national pour la mise en œuvre des réseaux de surveillance des eaux souterraines enFrance, en application de la DCE, a été précisé par les circulaires DCE 2003/07 du 8 octobre 2003 et DCE 2005/14du 26 octobre 2005. Ce cahier des charges peut être consulté sur le site internet du ministère de l’écologie et dudéveloppement durable, www.ecologie.gouv.fr, dans la rubrique « Eau et milieux aquatiques » au sein de la sous-rubrique « Mise en œuvre de la directive cadre sur l’eau ».

Le calendrier de mise en œuvre est le suivant :– octobre-novembre 2006 : proposition par les bassins des sites pour le contrôle de surveillance de l’état

chimique des eaux souterraines, et pour la surveillance de l’état quantitatif des eaux souterraines (DIRENde bassin, agences de l’eau) ;

– décembre 2006 : validation des sites de contrôle de surveillance de l’état chimique et de surveillance del’état quantitatif par la direction de l’eau (les propositions sont examinées dans le cadre du groupe national« DCE Eaux souterraines » avant validation finale par la direction de l’eau) ;

– janvier-février 2007 : collecte et saisie sous WISE des données pour le rapportage du programme de surveil-lance à la Commission européenne ;

– mars 2007 : rapportage du programme de surveillance ;– 2007 : démarrage des suivis pour le contrôle de surveillance de l’état chimique, et pour la surveillance de

l’état quantitatif des eaux souterraines ;– 2008 : démarrage des suivis de contrôles opérationnels de l’état chimique des eaux souterraines sur

l’ensemble des masses d’eau identifiées comme risquant de ne pas atteindre le bon état à l’horizon 2015. Lescontrôles opérationnels sont arrêtés lorsque la masse d’eau passe en bon état.

Sur la base des réflexions menées aux niveaux national et européen depuis la publication de ces circulaires, ilest demandé de compléter la liste des pesticides devant être mesurés dans le cadre du contrôle de surveillance del’état chimique des eaux souterraines de manière à suivre de façon plus exhaustive ces substances, et pour obtenirainsi une meilleure cohérence avec les suivis mis en place au niveau des eaux douces de surface.

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En complément de la liste des paramètres suivis dans le cadre de la campagne du type « photographique » ducontrôle de surveillance, réalisée une fois tous les 6 ans, figurant à l’annexe 3 du cahier des charges joint à lacirculaire DCE 2005/14 du 26 octobre 2005, la liste des pesticides est étendue aux molécules visées à l’annexe 1de la présente circulaire.

La campagne de type « photographique » réalisée dès 2007 doit intégrer cette liste complémentaire. La liste estvolontairement restreinte (44 substances) et pourra être complétée localement pour tenir compte des spécificités.Quand une masse d’eau souterraine alimente de façon significative une masse d’eau de surface, la liste des pesti-cides à surveiller doit être celle applicable aux eaux de surface, et figurant dans le tableau 3 du document decadrage joint à la circulaire DCE 2006/16 du 13 juillet 2006 relative à la constitution du programme de surveil-lance des eaux douces de surface.

Les résultats de la première année de suivi permettront de déceler les pesticides présents dans les eaux souter-raines et de compléter la liste des pesticides à suivre dans le cadre des analyses régulières du contrôle de surveil-lance.

DIRECTIVE-CADRE EUROPÉENNE SUR L’EAU

Premiers éléments de définition du « bon état » des eaux souterraines

Valeurs seuils provisoires du « bon état » pour la période transitoire (2007-2008)

I. – PRÉAMBULE : RAPPEL DU CONTEXTE RÉGLEMENTAIRE EUROPÉEN

La directive 2000/60/CE du 23 octobre 2000, établissant un cadre pour une politique communautaire dans ledomaine de l’eau, fixe des objectifs à atteindre pour l’ensemble des milieux aquatiques européens, eaux souter-raines comprises (bon état des eaux en 2015, réduction ou suppression des rejets de substances prioritaires, nondétérioration de l’état des eaux).

La directive-cadre européenne sur l’eau (DCE) fixe un certain nombre d’objectifs afin d’atteindre le bon étatdes eaux souterraines à l’horizon 2015. Il est demandé aux Etats membres (art. 4) de :

– mettre en œuvre les mesures nécessaires pour prévenir ou limiter le rejet de polluants dans les eaux souter-raines et pour prévenir la détérioration de l’état de toutes les masses d’eau souterraines (objectif de non-dégradation) ;

– protéger, améliorer et restaurer toutes les masses d’eau souterraines, assurer un équilibre entre les captages etle renouvellement des eaux souterraines afin d’obtenir un bon état des masses d’eau souterraines (principe depréservation ou de restauration suivant le degré d’atteinte des milieux : objectif de bon état) ;

– mettre en œuvre les mesures nécessaires pour inverser toute tendance à la hausse, significative et durable, dela concentration de tout polluant résultant de l’impact de l’activité humaine afin de réduire progressivement lapollution des eaux souterraines.

La directive fille sur la protection des eaux souterraines contre la pollution, adoptée le 12 décembre 2006,vient préciser les objectifs fixés par la directive-cadre sur l’eau, la négociation de la directive cadre n’ayant puaboutir à des dispositions suffisamment précises.

Prise en application de l’article 17 de la DCE, cette directive fille relative à la protection des eaux souterrainesprécise le bon état chimique (mais pas le bon état quantitatif). Elle fixe ainsi les normes de qualité pour lesnitrates et pesticides, impose que les Etats membres déterminent les valeurs seuils pour les autres paramètres etprécise les grandes lignes méthodologiques pour l’élaboration de ces valeurs seuils, elle fixe également les prin-cipes de la méthode d’évaluation de l’état chimique des masses d’eau souterraines. La notion de valeur seuil estéquivalente à celle de norme.

Elle précise également l’identification des tendances à la hausse des concentrations de polluants et leurinversion ainsi que l’interdiction ou la limitation de l’introduction de polluants dans les eaux souterraines (reprisede la directive 80/68/CEE du 17 décembre 1979 concernant la protection des eaux souterraines contre la pollutioncausée par certaines substances dangereuses dont la directive-cadre prévoit l’abrogation en 2013).

La phase de calage de la définition du bon état des eaux souterraines va s’étendre au moins jusqu’en 2008 enfonction de :

– l’avancement des textes européens en cours : directive fille relative aux substances prioritaires ;– l’avancement des travaux européens DCE, notamment le groupe WG C « Groundwater » ;– l’amélioration des connaissances des systèmes aquatiques, hydrogéologiques et marins ;– l’expérience acquise lors de la mise en place des programmes de mesures et des résultats issus des

programmes de surveillance.Un groupe de travail national piloté par la Direction de l’eau a été mis en place en octobre 2005 pour préparer

cette démarche et proposer une méthodologie concertée au niveau national. Ce groupe « DCE Eaux souterraines »est composé de deux sous-groupes thématiques relatifs d’une part à la qualité et d’autre part à la quantité/piézo-métrie, il représente le groupe « miroir » du groupe de travail européen WG C « Groundwater ».

La présente circulaire a pour finalité d’apporter les premiers éléments pour la définition du « bon état » deseaux souterraines, en fixant notamment des valeurs seuils provisoires pour l’état chimique.

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II. – DÉFINITION DU BON ÉTAT DES EAUX SOUTERRAINESL’article 2 de la directive-cadre sur l’eau définit un certain nombre de notions :– le « bon état d’une eau souterraine » constitue l’« état atteint par une masse d’eau lorsque son état quantitatif

et son état chimique sont au moins « bon » » ;– le « bon état chimique d’une eau souterraine » est caractérisé par « l’état chimique d’une masse d’eau souter-

raine qui répond à toutes les conditions prévues dans le tableau 2.3.2 de l’annexe V » ;– l’« état quantitatif » est « l’expression du degré d’incidence des captages directs et indirects sur une masse

d’eau souterraine ».Le bon état résulte donc de la combinaison de critères à la fois qualitatifs et quantitatifs : « l’expression

générale de l’état d’une masse d’eau souterraine étant déterminée par la plus mauvaise valeur de son étatquantitatif et de son état chimique ».

Les chapitres qui suivent précisent les notions de bon état quantitatif et bon état chimique.

III. – LE BON ÉTAT QUANTITATIF DES EAUX SOUTERRAINES

a) Eléments de définition issus de la DCELa DCE (paragraphe 2.1.2 de l’annexe V) définit le bon état quantitatif des eaux souterraines ainsi :« Le bon état est celui où le niveau de l’eau souterraine dans la masse d’eau est tel que le taux annuel

moyen de captage à long terme ne dépasse pas la ressource disponible de la masse d’eau souterraine ».En conséquence, le niveau de l’eau souterraine n’est pas soumis à des modifications anthropogéniques telles

qu’elles :– empêcheraient d’atteindre les objectifs environnementaux pour les eaux de surfaces associées ;– entraîneraient une détérioration importante de l’état de ces eaux ;– occasionneraient des dommages importants aux écosystèmes terrestres qui dépendent directement de la masse

d’eau souterraine (...) ;– occasionneraient l’invasion d’eau salée. »L’objectif est donc d’assurer un équilibre sur le long terme entre les volumes s’écoulant au profit des

autres milieux ou d’autres nappes, les volumes captés et la recharge de chaque nappe. En termes de gestionquantitative, un autre objectif apparaît pour ce qui concerne la préservation des usages donc de l’usage eau potableprépondérant pour les eaux souterraines.

Les résultats découlant du réseau de surveillance pour une masse d’eau souterraine sont utilisés pour l’éva-luation de l’état quantitatif de cette masse ou de ces masses d’eau.

b) Caractérisation de l’état quantitatif en Franceb.1. Phase transitoire

En l’absence de bilan quantitatif suffisamment précis, et de manière transitoire, l’appréciation de l’état quanti-tatif des masses d’eau souterraines peut être réalisée à partir des éléments suivants permettant de déceler une éven-tuelle dégradation :

– une représentation de l’évolution des niveaux piézométriques ;– pour les aquifères en lien avec les eaux de surface :

– une évaluation de l’évolution des débits des cours d’eau dépendant de ces aquifères (mise en évidenceéventuelle d’une diminution anormale des débits en période d’étiage) ;

– l’observation d’un assèchement anormal des cours d’eau et des sources, à l’étiage ;– à partir des mesures de qualité une vérification de la présence éventuelle d’une intrusion saline constatée ou

la progression supposée du biseau salé, caractérisant l’impact de modifications anthropogéniques.L’analyse de l’état quantitatif des masses d’eau souterraine peut éventuellement être complétée à l’aide des

éléments de contexte suivants :– l’existence de conflits d’usage ;– l’existence d’une réglementation traduisant un déséquilibre quantitatif : arrêtés sécheresse fréquents, zone de

répartition des eaux, plan « sécheresse » régional ou départemental... ;– l’existence de mesures de gestion d’ordre quantitatif élaborées dans le cadre de : SAGE, contrat de nappe ou

de rivière, mise en place de procédures de gestion quantitative de l’eau, plans de gestion des étiages ou deressources alternatives...

En l’état actuel des réflexions, il est proposé qu’une masse d’eau souterraine soit considérée en bon étatquantitatif dès lors :

– qu’il n’est pas constaté d’évolution interannuelle défavorable de la piézométrie (baisse durable de la nappehors effets climatiques),

– et que le niveau piézométrique qui s’établit en période d’étiage permette de satisfaire les besoins d’usage,sans risque d’effets induits préjudiciables sur les milieux aquatiques et terrestres associés, ni d’intrusionsaline en bordure littorale.

b.2. Eléments attendus aux niveaux européen et nationalLes travaux menés au niveau européen devraient aboutir d’ici à juin 2007 et seront relayés au niveau national

par le groupe de travail DCE Eaux souterraines. Ils permettront d’ici à la fin 2007 de définir des indicateurs debon état quantitatif en intégrant les spécificités de certains aquifères et l’existence d’échanges avec les eaux desurface, et permettront de préciser le mode d’agrégation des données.

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IV. – LE BON ÉTAT CHIMIQUE DES EAUX SOUTERRAINES

a) Eléments de définition issus de la DCE

Contrairement aux autres types de masses d’eau, le bon état qualitatif des eaux souterraines repose exclu-sivement sur l’état chimique de ces eaux.

Le bon état chimique est défini par les principes équivalents à ceux définissant le bon état quantitatif des eauxsouterraines (paragraphe 2.3.2 de l’annexe V de la DCE) :

« La composition chimique de la masse d’eau souterraine est telle que les concentrations de polluants :– ne montrent pas d’effets d’une invasion salée ou autre ;– ne dépassent pas les normes de qualité applicables au titre d’autres dispositions législatives communautaires

pertinentes conformément à l’article 17 ;– ne sont pas telles qu’elles empêcheraient d’atteindre les objectifs environnementaux pour les eaux de surface

associées, entraîneraient une diminution importante de la qualité écologique ou chimique de ces masses ouoccasionneraient des dommages importants aux écosystèmes terrestres qui dépendent directement de la massed’eau souterraine(...). »

La DCE a renvoyé l’encadrement de la définition du bon état chimique des masses d’eau souterraine à ladirective fille sur la protection des eaux souterraines contre la pollution, évoquée précédemment.

La DCE fixe le principe d’atteinte du bon état et donne une définition générale de cette notion, mais elle neprécise pas les caractéristiques de qualité intrinsèque des eaux à atteindre ; cet exercice étant délicat compte tenude la diversité des caractéristiques naturelles des eaux à l’échelle européenne (fonds géochimiques).

Pourtant des critères communs seront recherchés et précisés dans les années à venir au fur et à mesure de lamise en œuvre de la DCE afin, notamment, de juger de l’efficacité des actions mises en place au cours desprogrammes de mesures et de permettre une comparabilité des évaluations de l’état des eaux à l’échelle euro-péenne.

Le chapitre 2.4.5 de l’annexe V de la directive précise les conditions d’interprétation et de présentation de l’étatchimique des eaux souterraines :

« Pour l’évaluation de l’état, les résultats des différents points de surveillance dans une masse d’eau souterrainesont réunis pour la masse d’eau entière. Sans préjudice des directives concernées, pour qu’une masse d’eau souter-raine soit en bon état, il faut, pour les paramètres chimiques pour lesquels la législation communautaire prévoitdes normes de qualité environnementale :

– que la valeur moyenne des résultats de la surveillance à chaque point de la masse ou du groupe demasses d’eau souterraine soit calculée ;

– que conformément à l’article 17, ces valeurs moyennes soient utilisées pour démontrer le respect du bon étatchimique des eaux souterraines. »

b) Précisions apportées par la directive fille pour l’état chimique

La directive fille prescrit :– des normes de qualité, fixées au niveau européen, pour deux paramètres (nitrates et pesticides) (voir annexe 2

de la présente circulaire) ;– des valeurs seuils fixées par les Etats pour une liste minimale de paramètres (voir annexe 3 de la présente

circulaire). Cette liste comprend 10 paramètres et peut être complétée par chaque Etat membre en fonctiondes pressions observées sur son territoire.

Conformément à l’article 3 de la directive fille et à son annexe II, les valeurs seuils doivent être arrêtées avantle 22 décembre 2008.

Ces valeurs seuils peuvent être fixées au niveau de la masse d’eau, du groupe de masse d’eau, du districthydrographique, ou au niveau national pour permettre de tenir compte de la grande diversité des caracté-ristiques des eaux souterraines de l’Union européenne et des fonds géochimiques.

Enfin, le texte prévoit pour l’évaluation du bon état au titre de la directive-cadre :– si les normes et valeurs seuils sont respectées en tout point de la masse d’eau, celle-ci est alors classée en

bon état ;– si la norme de qualité, ou la valeur seuil, est dépassée en un ou plusieurs points de la masse d’eau, il est

possible de mener des investigations complémentaires par une méthodologie appropriée. L’enquête ainsimenée consiste en une évaluation globale de l’état de la masse d’eau à partir des données disponibles.

L’évaluation du bon état est réalisée sur la base des données recueillies à partir du programme de surveillanceDCE, l’enquête quant à elle intègre l’ensemble des données disponibles.

Les modalités pour l’enquête appropriée ne sont pas encore clairement définies.

c) Elaboration des valeurs seuils en France

Le programme de recherche « BRIDGE » lancé début 2005 par la Commission européenne vise à préciser laméthodologie pour définir les valeurs seuils pour les paramètres relevant de la responsabilité des Etats membres.Le programme s’achève fin 2006 et servira de base aux travaux qui vont être engagés en 2007 par le groupeeuropéen WG C « Groundwater » (« activity WGC-2-Status compliance & Trends »).

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Au niveau français seront distingués :– les paramètres exclusivement d’origine anthropique, pour lesquels des valeurs seuils seront fixées au niveau

national ;– des paramètres pouvant à la fois provenir de contaminations d’origine anthropique mais également de sources

naturelles liées à la nature des formations géologiques encaissantes (fond géochimique). Dans ce cas il estnécessaire de tenir compte de la valeur du fond géochimique naturel pour fixer le seuil de bon état. Cesvaleurs seuils seront définies au niveau « local » par chacun des bassins, et sur la base des éléments decadrage arrêtés au niveau national.

c.1. Phase transitoire et valeurs seuils provisoires

Sans attendre les résultats définitifs des travaux conduits aux niveaux européen et national, il est nécessaire defixer des valeurs seuils provisoires pour les paramètres visés dans la directive fille, afin que les bassins puissentmener les travaux de révision des SDAGE et l’élaboration des programmes de mesures sur des bases cohérentes ethomogènes sur l’ensemble du territoire.

Une valeur seuil doit être fixée pour un paramètre pour l’ensemble de la masse d’eau. Cette valeur doit intégrerles niveaux de qualité requis pour les différents « récepteurs » associés (eaux de surface, écosystèmes terrestresassociés, usage AEP).

Lors de l’état des lieux de 2004, les paramètres déclassants mis en évidence pour les masses d’eau souterraine àrisque (MESO) sont essentiellement les nitrates et pesticides. L’évaluation de l’état chimique doit donc être avanttout basée sur ces paramètres, pour lesquels les normes de qualité sont d’ores et déjà connues car fixées dans ladirective fille (voir point 1 de l’annexe 4 de la présente circulaire). Il convient cependant d’analyser pour lesMESO qui alimentent de façon significative une masse d’eau de surface (MESU) ou un écosystème terrestre, sices normes de qualité permettent d’atteindre le bon état des MESU. Si tel n’est pas le cas, une valeur seuil plusfaible doit être fixée en tenant compte de celle retenue pour les eaux de surface (circulaire DCE 2005/12 du28 juillet 2005) et en intégrant éventuellement les facteurs de dilution et d’atténuation.

La présente circulaire fixe des valeurs seuils provisoires pour les autres paramètres témoins d’une pression liéeaux activités humaines (point 2 de l’annexe 4). Cette liste s’applique systématiquement à toutes les masses d’eau.

D’autres paramètres complémentaires peuvent être rajoutés pour certaines masses d’eau en fonction des pres-sions identifiées dans le cadre de l’état des lieux. Il s’agit des polluants présents de façon significative : rejetsimportants ayant un impact à l’échelle de la masse d’eau ou pollution existante étendue.

Pour les paramètres pouvant être influencés par le contexte géologique, c’est-à-dire pouvant être présents natu-rellement dans les eaux (« bruit de fond » géochimique), la définition des valeurs seuils doit être complétée parune réflexion menée au niveau de chaque bassin, conformément au point 3 de l’annexe 4. Cette réflexion pourrautilement s’appuyer sur les résultats de l’étude nationale relative à la délimitation des zones présentant un fondgéochimique en éléments traces élevé pour les eaux, dont le rapport final sera disponible au cours du premiertrimestre 2007. L’étude présentera une cartographie des zones où les eaux ont potentiellement un fondgéochimique élevé, cette cartographie sera accompagnée d’informations permettant de déterminer la gamme deconcentration du fond géochimique. Il convient de respecter la logique suivante :

– si le fond géochimique est inférieur à la valeur seuil préconisée au niveau national, dans ce cas retenir cettevaleur seuil ;

– si le fond géochimique est supérieur à la valeur seuil nationale, ou si le paramètre concerné n’a pas faitl’objet de valeur seuil au niveau national, une analyse locale doit être réalisée en intégrant ce fondgéochimique et sera affinée à partir des éléments complémentaires de cadrage issus des travaux nationaux.

c.2. Phase transitoire et évaluation de l’état chimique

L’évaluation de l’état chimique des eaux souterraines doit être menée suivant la procédure décrite ci-après.Cette procédure s’applique à chaque masse d’eau souterraine et à chacun des paramètres retenus pour qualifierl’état de la masse d’eau.

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c.3. Travaux à conduire au niveau national

Dans une seconde phase, des valeurs seuils pérennes seront arrêtées pour la fin du premier trimestre 2008.Les projets de SDAGE devront dès lors être modifiés pour intégrer ces nouvelles valeurs seuils, ainsi que la

méthode définitive d’évaluation du bon état des eaux souterraines.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 8 / 35 – Page 8

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A N N E X E I

LISTE DES PESTICIDES À SUIVRE DANS LE CADRE DE LA CAMPAGNE « PHOTOGRAPHIQUE »DU CONTRÔLE DE SURVEILLANCE DE L’ÉTAT CHIMIQUE DES EAUX SOUTERRAINES

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A N N E X E 2

ANNEXE I DE LA DIRECTIVE SUR LA PROTECTION DES EAUX SOUTERRAINES CONTRE LA POLLUTION(ADOPTÉE PAR LE PARLEMENT EUROPÉEN LE 12 DÉCEMBRE 2006)

Normes de qualité des eaux souterraines1. Afin d’évaluer l’état chimique des eaux souterraines conformément à l’article 4, les normes de qualité des

eaux souterraines énoncées ci-après correspondent aux normes de qualité visées dans le tableau 2.3.2 de l’annexe Vde la directive 2000/60/CE et définies conformément à l’article 17 de ladite directive.

POLLUANT NORMES DE QUALITÉ

Nitrates 50 mg/l

Substances actives des pesticides, ainsi que les métabolites et produits dedégradation et de réaction pertinents (1)

0,1 �g/l0,5 �g/l (total) (2)

(1) On entend par « pesticides », les produits phytopharmaceutiques et les produits biocides définis respectivement à l’article 2de la directive 91/414/CEE et à l’article 2 de la directive 98/8/CE.

(2) On entend par « total », la somme de tous les pesticides détectés et quantifiés dans le cadre de la procédure de surveillance,en ce compris leurs métabolites, les produits de dégradation et les produits de réaction.

2. Les résultats de l’application des normes de qualité pour les pesticides selon les modalités prévues aux finsde la présente directive ne portent pas atteinte aux résultats des procédures d’évaluation des risques exigées par ladirective 91/414/CEE ou la directive 98/8/CE.

3. Lorsque, pour une masse d’eau souterraine donnée, on considère que les normes de qualité pourraientempêcher de réaliser les objectifs environnementaux définis à l’article 4 de la directive 2000/60/CE pour les eauxde surface associées, ou entraîner une diminution significative de la qualité écologique ou chimique de ces masses,

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ou un quelconque dommage significatif aux écosystèmes terrestres qui dépendent directement de la masse d’eausouterraine, des valeurs seuils plus strictes sont établies conformément à l’article 3 et à l’annexe II de la présentedirective. Les programmes et mesures requis en ce qui concerne une telle valeur seuil s’appliquent également auxactivités relevant de la directive 91/676/CEE.

A N N E X E 3

ANNEXE II DE LA DIRECTIVE SUR LA PROTECTION DES EAUX SOUTERRAINESCONTRE LA POLLUTION (ADOPTÉE PAR LE PARLEMENT EUROPÉEN LE 12 DÉCEMBRE 2006)

VALEURS SEUILS POUR LES POLLUANTS DES EAUX SOUTERRAINES ET LES INDICATEURS DE POLLUTION

Partie A

Orientations relatives à l’établissement de valeurs seuilspar les Etats membres conformément à l’article 3

Les Etats membres établissent des valeurs seuils pour tous les polluants et indicateurs de pollution qui, en vertude la caractérisation menée en vertu de l’article 5 de la directive 2000/60/CE, caractérisent les masses ou lesgroupes de masses d’eau souterraine comme risquant de ne pas présenter un bon état chimique.

Les valeurs seuils sont fixées de façon à ce que, si les résultats de la surveillance obtenus à un point de surveil-lance représentatif dépassent les seuils, cela indique que l’une ou plusieurs des conditions nécessaires pour que leseaux souterraines présentent un bon état chimique, visées à l’article 4, paragraphe 2, point c, ii), iii) et iv),risquent de ne pas être remplies.

Lorsqu’ils établissent les valeurs seuils, les Etats membres tiennent compte des orientations ci-après :1. La fixation des valeurs seuils devrait prendre en compte les éléments suivants :a) L’étendue des interactions entre les eaux souterraines et les écosystèmes aquatiques associés et les écosys-

tèmes terrestres dépendants ;b) Les entraves aux utilisations ou fonctions légitimes, présentes ou à venir, des eaux souterraines ;c) Tous les polluants caractérisant les masses d’eau souterraine comme étant à risque, la liste minimale définie

dans la partie B étant prise en considération ;d) Les caractéristiques hydrogéologiques, y compris les informations sur les concentrations de référence et le

bilan hydrologique.2. La fixation des valeurs seuils devrait également tenir compte de l’origine des polluants ainsi que de la

présence naturelle éventuelle, de la toxicologie et du profil de dispersion, de la persistance et du potentiel debioaccumulation de ces polluants.

3. Chaque fois que des concentrations de référence élevées de substances ou d’ions ou de leurs indicateurs sontenregistrées pour des raisons hydrogéologiques naturelles, ces concentrations de référence de la masse d’eausouterraine concernée sont prises en compte lors de l’établissement des valeurs seuils.

4. La fixation des valeurs seuils devrait être appuyée par un mécanisme de contrôle des données collectées,fondé sur l’évaluation de la qualité des données, des considérations analytiques ainsi que les niveaux de fond pourles substances qui peuvent à la fois être naturellement présentes et résulter d’activités humaines.

Partie B

Liste minimale des polluants ou leurs indicateurs pour lesquels les États membresdoivent envisager d’établir des valeurs seuils conformément à l’article 3

1. Substances ou ions ou indicateurs qui peuvent à la fois être naturellement présentset/ou résulter de l’activité humaine

Arsenic, cadmium, plomb, mercure, ammonium, chlorure, sulfates.

2. Substances artificielles

Trichloréthylène, tétrachloréthylène.

3. Paramètres indiquant les intrusions d’eau salée ou autre (1)

Conductivité.

(1) En ce qui concerne les concentrations d’eau salée dues à des activités humaines, les Etats membres peuventdécider d’établir des valeurs seuils soit pour les sulfates et les chlorures, soit pour la conductivité.

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A N N E X E 4

1. Normes de qualité impératives conformément aux termes de la directive fillesur la protection des eaux souterraines du 12 décembre 2006

PARAMÈTRES CODES SANDRE NORMES DE QUALITÉ VISÉES DANS LA DIRECTIVE FILLE

Nitrates 1340 50 mg/l

Pesticides 0,1 �g/l

Total pesticides 0,5 �g/l

2. Valeurs seuils provisoires retenues au niveau nationalpour la définition de l’état chimique des eaux souterraines

PARAMÈTRES CODES SANDRE VALEURS SEUILS PROVISOIRES RETENUES AU NIVEAU NATIONAL

Paramètres visés dans la directive fille

Arsenic 1369 10 �g/l (*)

Cadmium 1388 5 �g/l

Plomb 1382 10 �g/l (**)

Mercure 1387 1 �g/l

Trichloréthylène 1977 10 �g/l

Tétrachloréthylène 1272 10 �g/l

Ammonium 1335 0,5 mg/l (*)

(*) Valeur seuil applicable uniquement aux aquifères non influencés pour ce paramètre par le contexte géologique.(**) Dans le cas d’un aquifère en lien avec les eaux de surface et qui les alimente de façon significative, prendre comme valeur

seuil celle retenue pour les eaux douces de surface (circulaire du 28 juillet 2005) en tenant compte éventuellement des facteurs dedilution et d’atténuation.

3. Valeurs seuils devant être définies au niveau local :prise en compte du contexte géologique (fond géochimique) ou de l’influence marine

PARAMÈTRES CODES SANDRE VALEURS SEUILS

Paramètres visés dans la directive fille

Arsenic 1369 A définir localement pour les nappes dont le contexte géologique influencece paramètre

Ammonium 1335 A définir localement pour les nappes dont le contexte géologique influencece paramètre

Sulfates 1338 A définir localement pour les nappes sous influence marine ou sousinfluence d’évaporites

Chlorures 1337 A définir localement pour les nappes sous influence marine ou sousinfluence d’évaporites

Conductivité 1303 A définir localement pour les nappes sous influence marine ou sousinfluence d’évaporites

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Décret no 2007-135 du 30 janvier 2007 précisant les critères de définition et de délimitationdes zones humides figurant à l’article L. 211-1 du code de l’environnement

NOR : DEVO0640051D

(Journal officiel du 1er février 2007)

Le Premier ministre,Sur le rapport de la ministre de l’écologie et du développement durable,Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 211-1, L. 214-1, L. 214-7 et L. 214-7-1 ;Vu l’avis de la mission interministérielle de l’eau en date du 9 février 2006 ;Le Conseil d’Etat (section des travaux publics) entendu,

Décrète :

Art. 1er. − I. – Les critères à retenir pour la définition des zones humides mentionnées au 1o du I del’article L. 211-1 susvisé du code de l’environnement sont relatifs à la morphologie des sols liée à la présenceprolongée d’eau d’origine naturelle et à la présence éventuelle de plantes hygrophiles. Celles-ci sont définies àpartir de listes établies par région biogéographique.

En l’absence de végétation hygrophile, la morphologie des sols suffit à définir une zone humide.II. – La délimitation des zones humides est effectuée à l’aide des cotes de crue ou de niveau phréatique, ou des

fréquences et amplitudes des marées, pertinentes au regard des critères relatifs à la morphologie des sols et à lavégétation définis au I.

III. – Un arrêté des ministres chargés de l’environnement et de l’agriculture précise, en tant que de besoin, lesmodalités d’application du présent article et établit notamment les listes des types de sols et des plantesmentionnés au I.

IV. – Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux cours d’eau, plans d’eau et canaux, ainsiqu’aux infrastructures créées en vue du traitement des eaux usées ou des eaux pluviales.

Art. 2. − Le ministre de l’agriculture et de la pêche et la ministre de l’écologie et du développement durablesont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel dela République française.

Fait à Paris, le 30 janvier 2007.

DOMINIQUE DE VILLEPINPar le Premier ministre :

La ministre de l’écologie et du développement durable,NELLY OLIN

Le ministre de l’agriculture et de la pêche,DOMINIQUE BUSSEREAU

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Décret du 30 janvier 2007 portant classement du parc naturel régional des Alpilles (région Provence-Alpes-Côte d’Azur)

NOR : DEVN0640071D

(Journal officiel du 1er février 2007)

Le Premier ministre,Sur le rapport de la ministre de l’écologie et du développement durable,Vu le code de l’environnement, notamment les articles L. 333-1 à L. 333-4 et R. 333-1 à R. 333-16 ;Vu la charte du parc naturel régional des Alpilles ;Vu l’avis du Conseil national de la protection de la nature en date du 2 octobre 2006 ;Vu l’avis de la Fédération des parcs naturels régionaux de France en date du 5 octobre 2006 ;Vu l’accord des conseils municipaux des seize communes du département des Bouches-du-Rhône territo-

rialement concernées ;Vu l’accord des établissements publics de coopération intercommunale territorialement concernés ;Vu l’accord du conseil général des Bouches-du-Rhône en date des 23 juin et 20 octobre 2006 ;Vu les délibérations du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur en date du 30 juin 2006 approuvant la

charte du parc naturel régional des Alpilles et en date du 6 octobre 2006 approuvant les nouveaux statuts dusyndicat mixte de gestion du parc et demandant à l’Etat le classement du territoire des Alpilles en parc naturelrégional,

Décrète :

Art. 1er. − Sont classés en parc naturel régional, pour une durée de douze ans à compter de la date de publi-cation du présent décret, sous la dénomination de « parc naturel régional des Alpilles », les territoires descommunes de :

Aureille, Les Baux-de-Provence, Eygalières, Eyguières, Fontvieille, Lamanon, Mas-Blanc-des-Alpilles,Maussane-les-Alpilles, Mouriès, Orgon, Paradou, Saint-Etienne-du-Grès, Saint-Rémy-de-Provence et Sénas,ainsi que, pour parties, les territoires des communes de :

Saint-Martin-de-Crau et Tarascon.

Art. 2. − La charte du parc naturel régional des Alpilles, approuvée par la région Provence-Alpes-Côte d’Azurles 30 juin et 6 octobre 2006, est adoptée par le présent décret auquel elle est annexée (1).

Art. 3. − La ministre de l’écologie et du développement durable est chargée de l’exécution du présent décret,qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 30 janvier 2007.

DOMINIQUE DE VILLEPINPar le Premier ministre :

La ministre de l’écologie et du développement durable,NELLY OLIN

(1) La charte du parc pourra être consultée au ministère de l’écologie et du développement durable, direction de lanature et des paysages, à la préfecture de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur ainsi qu’aux sièges de la région et del’organisme de gestion du parc.

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Décret no 2007-182 du 8 février 2007 portant création de la réserve naturelle nationale de Ristolas - Mont-Viso (Hautes-Alpes)

NOR : DEVN0710003D

(Journal officiel du 10 février 2007)

Le Premier ministre,Sur le rapport de la ministre de l’écologie et du développement durable,Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 332-1 à L. 332-27, L. 414-1 à L. 414-7 et R. 332-1 à

R. 332-81 ;Vu le décret no 2005-491 du 18 mai 2005 relatif aux réserves naturelles et portant notamment modification du

code de l’environnement, notamment son article 6 ;Vu l’arrêté du préfet des Hautes-Alpes en date du 10 juillet 2003 prescrivant l’ouverture d’une enquête publique

sur le projet de réserve naturelle nationale de Ristolas - Mont-Viso ;Vu le dossier de l’enquête publique, notamment le rapport et les conclusions du commissaire-enquêteur en date

du 29 novembre 2003 ;Vu l’avis du conseil municipal de Ristolas en date du 29 septembre 2003 ;Vu l’avis de la commission départementale des sites, perspectives et paysages des Hautes-Alpes siégeant en

formation de protection de la nature en date du 1er mars 2004 ;Vu le rapport et l’avis du préfet des Hautes-Alpes en date du 2 avril 2004 ;Vu l’avis du Conseil national de la protection de la nature en date du 10 juin 2004 ;Vu l’avis du comité de massif des Alpes en date du 24 janvier 2005 ;Vu les avis et accords donnés par les ministres intéressés ;Le Conseil d’Etat (section des travaux publics) entendu,

Décrète :

Art. 1er. − Sont classées en réserve naturelle nationale, sous la dénomination de « Réserve naturelle deRistolas - Mont-Viso » (Hautes-Alpes), les parcelles cadastrales ci-dessous, situées sur le territoire de la communede Ristolas :

Section E4 : parcelle no 859 pp ;Section F1 : parcelles nos 22 pp, 23 pp, 24 à 27, 28 pp, 29 à 38, 39 pp, 40, 41 pp, 42, 43 pp ;Section F2 : parcelles nos 48 à 72 ;Section F3 : parcelles nos 73 à 76, 90 (ancienne 77), 78 à 89 ;Section G5 : parcelle no 498 pp.La superficie de la réserve naturelle est de 2 295 hectares 17 ares 71 centiares.Le périmètre de la réserve naturelle est inscrit sur la carte IGN au 1/25 000 et les parcelles mentionnées

ci-dessus figurent sur les plans cadastraux au 1/5 000. Ces pièces, annexées au présent décret, peuvent êtreconsultées à la préfecture des Hautes-Alpes.

Art. 2. − Le préfet organise les conditions de gestion de la réserve naturelle conformément aux articlesR. 332-15 à R. 332-22 du code de l’environnement.

Art. 3. − Les activités agricoles et pastorales s’exercent conformément au plan de gestion de la réserve. Enl’absence de plan de gestion, les activités pastorales font l’objet d’un cahier des charges conforme au documentd’objectifs du site Natura 2000 « Haut-Guil, Mont-Viso, Val Préveyre ».

Les activités forestières s’exercent conformément au document d’aménagement prévu par le code forestier etdéclaré conforme aux dispositions spécifiques arrêtées conjointement par l’autorité administrative chargée desforêts et l’autorité compétente au titre de la législation sur les réserves naturelles. Ce document d’aménagement,qui prend en compte les objectifs de protection du milieu naturel, est présenté pour avis au comité consultatif.

Art. 4. − Il est interdit :1o D’introduire à l’intérieur de la réserve des animaux d’espèces non domestiques quel que soit leur stade de

développement, sauf autorisation délivrée par le préfet après avis du conseil scientifique régional du patrimoinenaturel ;

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2o Sous réserve des activités autorisées à l’article 3 du présent décret, d’introduire dans la réserve naturelle desanimaux domestiques, même tenus en laisse. Cette interdiction ne s’applique pas aux chiens qui :

a) Participent à des missions de police, de recherche ou de sauvetage ;b) Sont utilisés pour la conduite et la garde des troupeaux pour les besoins pastoraux ;c) Répondent aux besoins des programmes scientifiques de la réserve ;d) Sont sous circulation contrôlée dans les zones de chasse, en période d’ouverture de la chasse ;3o Sous réserve des activités autorisées par le présent décret :a) De porter atteinte de quelque manière que ce soit aux animaux d’espèces non domestiques quel que soit leur

stade de développement et à leurs nids, ou de les emporter hors de la réserve, sauf autorisation du préfet délivréeà des fins scientifiques, sanitaires ou de sécurité ;

b) De troubler ou de déranger les animaux d’espèces non domestiques par quelque moyen que ce soit, saufautorisation du préfet délivrée à des fins scientifiques, sanitaires ou de sécurité.

Art. 5. − Il est interdit, sous réserve des dispositions de l’article 6 :1o D’introduire dans la réserve tous végétaux sous quelque forme que ce soit, sauf autorisation délivrée par le

préfet après avis du conseil scientifique régional du patrimoine naturel. Toutefois, les plantations d’espèces indi-gènes visant à pérenniser l’état boisé ou à l’étendre pour des raisons d’intérêt général pourront être autorisées parle préfet. Les plantations visant à l’amélioration de la capacité d’accueil de la faune sauvage pourront être auto-risées dans les mêmes conditions ;

2o De porter atteinte de quelque manière que ce soit aux végétaux non cultivés de la réserve, ou de lesemporter hors de la réserve, sauf à des fins d’entretien de la réserve, ou sauf autorisation du préfet délivrée à desfins scientifiques.

La cueillette des fruits sauvages à des fins de consommation familiale est autorisée, sous réserve des droits despropriétaires, et compte tenu des usages en vigueur, mais peut être réglementée par le préfet. La cueillette desplantes sauvages à des fins de consommation familiale est autorisée dans les conditions prévues par la régle-mentation en vigueur.

Art. 6. − Le préfet peut prendre toutes mesures en vue :– d’assurer la conservation d’espèces animales ou végétales ;– de limiter les populations d’animaux ou de végétaux sur-abondants dans la réserve naturelle.Art. 7. − Un arrêté préfectoral définit, après avis du comité consultatif et du conseil scientifique de la réserve

naturelle, du conseil départemental de la chasse et de la faune sauvage et de la société de chasse communale, lesconditions d’exercice de la chasse et de la gestion cynégétique dans la réserve naturelle, conformément au plan degestion de la réserve et à la réglementation en vigueur.

Art. 8. − Un arrêté préfectoral définit, après avis du comité consultatif et du conseil scientifique de la réservenaturelle, les conditions d’exercice de la pêche, conformément au plan de gestion de la réserve et à la régle-mentation en vigueur. L’alevinage est interdit.

Art. 9. − Il est interdit dans l’ensemble de la réserve :1o D’abandonner, de déposer ou de jeter tout produit de nature à nuire à la qualité de l’eau, de l’air, du sol, du

sous-sol, du site, ou à l’intégrité de la faune et de la flore, sous réserve des dispositions de l’article 6 ;2o D’abandonner, de déposer ou de jeter des détritus de quelque nature que ce soit en dehors des lieux prévus à

cet effet ;3o De troubler la tranquillité des lieux en utilisant tout instrument sonore, sous réserve de l’exercice des acti-

vités autorisées par le présent décret ;4o D’utiliser du feu, sauf pour les incinérations à but sanitaire à titre exceptionnel et à des fins de gestion de la

réserve après autorisation délivrée par le préfet ;5o De faire des inscriptions autres que celles qui sont nécessaires à l’information du public et aux délimitations

foncières.Art. 10. − Les travaux publics ou privés modifiant l’état ou l’aspect de la réserve ainsi que toute activité de

recherche ou d’exploitation minière sont interdits.Peuvent toutefois être autorisés par le préfet au titre de l’article L. 332-9 du code de l’environnement et dans les

conditions prévues aux articles R. 332-23 à R. 332-25 de ce code :1o Les travaux nécessaires à l’entretien de la réserve, ainsi que les travaux prévus par le plan de gestion de la

réserve et le document d’aménagement des forêts ;2o Les travaux d’entretien, de rénovation et de réhabilitation des bâtiments, abris et refuges ;3o Les travaux d’entretien de la route menant au Belvédère du Viso.Art. 11. − Les prélèvements d’échantillons de roches, de minéraux et de fossiles sont interdits, sauf autorisation

délivrée à des fins scientifiques par le préfet.Art. 12. − Toute activité industrielle ou commerciale est interdite dans la réserve naturelle. Sont toutefois auto-

risées les activités commerciales liées à l’animation, à la découverte et à la gestion de la réserve, à l’hébergementet à la restauration dans le refuge du mont Viso, sous réserve qu’elles soient conformes au plan de gestion.

Art. 13. − La circulation et le stationnement des personnes sont limités aux sentiers balisés ainsi qu’à la routemenant au Belvédère du Viso et selon les modalités définies par arrêté du préfet.

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Toutefois, cette limitation ne s’applique pas aux opérations strictement nécessaires :– aux actions de surveillance et de secours ;– aux actions nécessaires à l’entretien de la réserve ;– aux activités pastorales et forestières ;– aux personnes exerçant leur droit de chasse et de pêche, respectivement dans le cadre des articles 7 et 8 du

présent décret ;– aux propriétaires et à leurs ayants droit.

Art. 14. − Les activités et manifestations sportives et touristiques sont réglementées par le préfet. La pratiqueindividuelle des sports est autorisée sous réserve des dispositions de l’article 13.

Art. 15. − La circulation et le stationnement des véhicules à moteur sont interdits dans la réserve. Toutefois,cette interdiction ne s’applique pas aux véhicules à moteur strictement nécessaires :

1o Aux opérations de police, de secours ou de sauvetage ;2o Aux activités d’entretien et de surveillance de la réserve ;3o Aux activités pastorales ou forestières ;4o Aux opérations d’entretien effectuées par les services communaux ;5o Aux activités autorisées par le plan de gestion de la réserve, effectuées par les propriétaires et leurs ayants

droit ;6o Aux activités du gestionnaire du refuge du mont Viso définies par voie de convention passée avec l’orga-

nisme gestionnaire de la réserve et la commune de Ristolas.

Art. 16. − Le survol de la réserve naturelle est interdit aux aéronefs motopropulsés à moins de 300 mètresau-dessus du sol. Cette disposition n’est pas applicable aux aéronefs d’Etat en nécessité de service, aux aéronefseffectuant des opérations de police, de recherche ou de sauvetage, ainsi qu’aux aéronefs effectuant des opérationsd’exploitation des forêts ou de gestion de la réserve conformément à la périodicité recommandée par le plan degestion.

Art. 17. − Le campement sous une tente, dans un véhicule ou dans tout autre abri est interdit sur le territoirede la réserve, sauf autorisation délivrée par le préfet dans le cadre des activités pastorales, de gestion, de rechercheet de pédagogie.

Art. 18. − La ministre de l’écologie et du développement durable est chargée de l’exécution du présent décret,qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 8 février 2007.

DOMINIQUE DE VILLEPINPar le Premier ministre :

La ministre de l’écologie et du développement durable,NELLY OLIN

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Arrêté du 13 décembre 2006 relatif aux réserves de chasse et de faune sauvage

NOR : DEVN0700005A

(Journal officiel du 10 février 2007)

La ministre de l’écologie et du développement durable,Vu le code de l’environnement, et notamment les articles L. 422-27 et R. 422-82 à R. 422-94 ;Vu l’avis du Conseil national de la chasse et de la faune sauvage en date du 5 juillet 2006,

Arrête :

I. − Réserves de chasse et de faune sauvage

Art. 1er. − Lorsque, conformément à l’article L. 422-27 du code de l’environnement, la demande de mise enréserve de chasse et de faune sauvage est souscrite par un détenteur du droit de chasse et que d’autres droits quele droit de chasse sont réglementés par la mise en réserve, la demande comporte l’accord du propriétaire.

La demande comprend :1o Un plan de situation au 1/25 000 indiquant le territoire à mettre en réserve, accompagné des plans cadastraux

et des états parcellaires correspondants ;2o Une note précisant les mesures envisagées pour prévenir les dommages aux activités humaines, favoriser la

protection de la faune sauvage et de ses habitats et maintenir les équilibres biologiques.

Art. 2. − Lorsque, conformément à l’article L. 422-27 du code de l’environnement, la demande est présentéepar une fédération départementale ou interdépartementale des chasseurs et qu’il est envisagé de réglementerd’autres droits que le droit de chasse, le propriétaire est consulté dans les conditions prévues par le II de l’articleR. 422-83 du code de l’environnement.

Art. 3. − Le préfet statue après avis du directeur départemental de l’agriculture et de la forêt et du président dela fédération départementale ou interdépartementale des chasseurs, pour les réserves instituées à l’initiative d’undétenteur du droit de chasse. Pour les réserves instituées à l’initiative d’une fédération départementale ou inter-départementale des chasseurs, il recueille l’avis du directeur départemental de l’agriculture et de la forêt.

Art. 4. − L’arrêté d’institution détermine les limites de la réserve et la réglementation qui y est applicable.Un plan de situation de la réserve au 1/25 000 est annexé à l’arrêté.

Art. 5. − L’arrêté d’institution est publié au recueil des actes administratifs.Ampliation de l’arrêté et de son annexe est adressée par le préfet aux maires des communes de situation, qui

procèdent à son affichage pendant un mois. L’accomplissement de cette mesure est certifié par le maire.Ampliation de l’arrêté et de son annexe est notifiée par le préfet au détenteur du droit de chasse, au président

de la fédération départementale ou interdépartementale des chasseurs et, lorsque d’autres droits que le droit dechasse sont réglementés par la mise en réserve, au propriétaire.

Art. 6. − Des panneaux matérialisant la mise en réserve sont apposés aux points d’accès publics à la réserve.

Art. 7. − La demande du détenteur du droit de chasse ou de la fédération départementale ou inter-départementale des chasseurs tendant à mettre fin à une réserve de chasse et de faune sauvage doit être adresséeau préfet, par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou tout autre document équivalent, six moisau moins avant les échéances prévues par l’article R. 422-84 du code de l’environnement.

Art. 8. − L’arrêté de suppression d’une réserve de chasse et de faune sauvage fait l’objet des mesures depublicité prévues par l’article 5.

II. − Réserves nationales de chasse et de faune sauvage

Art. 9. − La demande de mise en réserve nationale de chasse et de faune sauvage comprend :1o Les motifs qui justifient la constitution de la réserve en réserve nationale ;2o Le programme de gestion ;3o Les capacités techniques et financières de l’organisme gestionnaire ;

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 12 / 35 – Page 2

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4o Un budget prévisionnel pluriannuel ;5o Les pouvoirs et les responsabilités de gestion dont est investi l’organisme et qui comprennent notamment

la détention du droit de chasse, la délégation du droit de destruction des animaux nuisibles et les règles de priseen charge des dommages du fait de la réserve.

Art. 10. − Un comité directeur de la réserve nationale est institué par l’arrêté de constitution de la réserve.Il comprend notamment :1o Le préfet, président. En cas de pluralité des départements concernés, il est nommé un préfet coordinateur ;2o Le directeur régional de l’environnement ;3o Le directeur général de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage ;4o Le directeur général de l’Office national des forêts ;5o Un ou plusieurs directeurs départementaux de l’agriculture et de la forêt concernés ;6o Un ou plusieurs présidents de fédération départementale ou interdépartementale des chasseurs concernés ;7o Le président de la fédération régionale des chasseurs ;8o Le président du parc naturel régional lorsque la réserve est incluse dans le périmètre de ce parc ;9o Un ou plusieurs représentants des collectivités territoriales concernées ;10o Un représentant de l’organisme gestionnaire.Les membres du comité peuvent se faire représenter.Le comité peut appeler à titre consultatif et pour des questions déterminées des personnalités ou des repré-

sentants d’organismes qualifiés susceptibles de l’éclairer.Art. 11. − Le comité directeur se réunit, sur la convocation de son président, au moins une fois l’an.Il formule des propositions sur les mesures propres à atteindre les buts poursuivis par la constitution de la

réserve et donne son avis sur les modifications et renouvellement du programme de gestion.Il donne son avis sur les programmes annuels préparés par le directeur et sur leur exécution.Art. 12. − Un directeur de la réserve nationale est nommé par le préfet sur proposition de l’organisme

gestionnaire.Le directeur assure la gestion de la réserve dans les conditions définies par l’arrêté la constituant.Le directeur prépare le programme annuel des actions à entreprendre ainsi que les propositions de finan-

cement permettant sa réalisation. Il les présente au comité directeur et lui rend compte de leur exécution.Les captures de gibier sont effectuées à la diligence du directeur de la réserve, par les personnes qu’il

désigne à cet effet. Il tient un état des animaux capturés et en rend compte au comité directeur.Art. 13. − Il est mis fin à une réserve nationale lorsque les motifs de sa constitution ou les garanties de sa

gestion ne sont plus réunis.Art. 14. − La composition du comité directeur des réserves nationales existant à la date de publication du

présent arrêté est mise en conformité avec l’article 10 de cet arrêté dans un délai d’un an à compter de sapublication.

Art. 15. − Sont abrogés :1o L’arrêté du 23 septembre 1991 relatif aux réserves de chasse et de faune sauvage ;2o L’arrêté du 31 juillet 1997 définissant le contenu et les modalités de présentation des demandes d’autori-

sation de destruction d’animaux nuisibles dans les réserves de chasse et de faune sauvage.Art. 16. − Le directeur de la nature et des paysages est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera

publié au Journal officiel de la République Française.Fait à Paris, le 13 décembre 2006.

Pour la ministre et par délégation :Le directeur de la nature et des paysages,

J.-M. MICHEL

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Arrêté du 22 décembre 2006 relatif à l’usage des appeaux pour le grand gibier soumis à plan de chasse

NOR : DEVN0700013A

(Journal officiel du 10 février 2007)

La ministre de l’écologie et du développement durable,Vu le code de l’environnement, et notamment le premier alinéa de l’article L. 424-4 et l’article R. 424-14-1 ;Vu l’arrêté du 1er août 1986 relatif à divers procédés de chasse, de destruction des animaux nuisibles et à la

reprise du gibier vivant dans un but de repeuplement,

Arrête :

Art. 1er. − La chasse à tir, avec l’emploi d’appeaux, du grand gibier soumis à plan de chasse est autorisée.

Art. 2. − Seuls sont autorisés les appeaux ne faisant pas appel à une assistance électronique.

Art. 3. − Le directeur de la nature et des paysages est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publiéau Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 22 décembre 2006.

Pour la ministre et par délégation :Le directeur de la nature et des paysages,

J.-M. MICHEL

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Arrêté du 2 février 2007 portant affectation d’ensembles immobiliers domaniaux

NOR : DEVN0700050A

(Journal officiel du 11 février 2007)

Par arrêté de la ministre de l’écologie et du développement durable et du ministre délégué au budget et à laréforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, en date du 2 février 2007, sont affectés, à titre définitif, auConservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres divers ensembles immobiliers domaniaux dénommés« Les Etangs de Saint-Martin », sis à Saint-Martin (Guadeloupe). Ces espaces, d’une superficie de 2 007 074 mètrescarrés, sont situés et désignés ainsi qu’il suit :

LIEUDIT DÉNOMINATIONdes espaces SUPERFICIE

(en m2)

PLAN DE DÉLIMITATION

Sectioncadastrale Références

Pointe du Bluff. Etang de la Pointe du Bluff. 12 826 AB 2 6 0 6 / C L -StM12/07

La Savane. Etang Guichard. 130 917 AP 2 6 0 6 / C L -StM03/07

Anse Heureuse. Mare de l’Anse Heureuse. 3 201 AP 2 6 0 6 / C L -StM13/07

Grand Case Cimetière. Etang du Cimetière Grand Case. 7 977 AP 2 6 0 6 / C L -StM10/07

La Savanne. Etang de Grand Case. 81 044 AR 2 6 0 6 / C L -StM04/07

Grand Case. Salines de l’aéroport. 255 126 AR 2 6 0 6 / C L -StM05/07

Anse Marcel. Etang de l’Anse Marcel. 8 826 AT 2 6 0 6 / C L -StM11/07

Cul de Sac. Etang de la Barrière. 24 697 AV 2 6 0 6 / C L -StM07/07

Griselle. Etang Chevrise. 236 925 AW 2 6 0 6 / C L -StM06/07

Spring. Salines d’Orient. 286 602 AW 2 6 0 6 / C L -StM08/07

Baie Lucas. Mare de Baie Lucas. 7 913 AY 2 6 0 6 / C L -StM14/07

Etang aux Poissons. Etang aux Poissons. 754 779 AZ 2 6 0 6 / C L -StM09/07

Les Terres Basses. Grand Etang (Baie Longue). 160 026 BI 2 6 0 6 / C L -StM01/07

Les Terres Basses. Etang Rouge (Baie Rouge). 36 215 BI 2 6 0 6 / C L -StM02/07

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tels que ces ensembles figurent délimités par un liseré bleu sur les plans annexés au présent arrêté (1).Ces espaces seront recensés au profit du Conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres.

(1) Les plans peuvent être consultés au ministère de l’écologie et du développement durable, direction de la nature et despaysages, 20, avenue de Ségur, 75302 Paris 07 SP.

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Arrêté du 5 février 2007 relatif aux niveaux du risque épizootique en raison de l’infection de lafaune sauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène et audispositif de surveillance et de prévention chez les oiseaux détenus en captivité

NOR : AGRG0700328A

(Journal officiel du 6 février 2007)

Le ministre de l’agriculture et de la pêche et la ministre de l’écologie et du développement durable, Vu le titre II du livre II du code rural, notamment les articles L. 221-1, D. 223-22-2, R. 228-1 et R. 228-7 ;Vu le code de l’environnement, notamment les articles L. 424-4 et R. 424-15 ;Vu le projet de décision no 10-729/2006-révision 2 voté le 27 novembre 2006 par le Comité permanent de la

chaîne alimentaire et de la santé animale concernant l’extension de la période d’application de la décision2005/731/CE de la Commission du 17 octobre 2005 modifiée établissant des dispositions supplémentaires relativesà la surveillance de l’influenza aviaire chez les oiseaux sauvages ;

Vu le projet de décision no 10-729/2006-révision 2 voté le 27 novembre 2006 par le Comité permanent de lachaîne alimentaire et de la santé animale concernant l’extension de la période d’application de la décision2005/734/CE de la Commission du 19 octobre 2005 modifiée arrêtant des mesures de biosécurité destinées àlimiter le risque de transmission aux volailles et autres oiseaux captifs, par des oiseaux vivant à l’état sauvage, del’influenza aviaire hautement pathogène causée par le sous-type H5N1 du virus influenza A et établissant unsystème de détection précoce dans les zones particulièrement exposées ;

Vu l’arrêté du 16 janvier 1995 modifié relatif aux conditions de police sanitaire régissant les échanges intra-communautaires de volailles et d’œufs à couver ;

Vu l’arrêté du 4 novembre 2003 modifié relatif à l’usage des appeaux et des appelants pour la chasse desoiseaux de passage et du gibier d’eau et pour la destruction des animaux nuisibles ;

Vu l’arrêté du 24 octobre 2005 pris pour l’application de l’article L. 221-1 du code rural ;Vu l’arrêté du 24 février 2006 relatif à la vaccination contre l’influenza aviaire des oiseaux détenus dans les

établissements zoologiques ;Vu l’arrêté du 12 mai 2006 fixant les mesures sanitaires applicables aux élevages de gibier à plumes destiné à

être lâché dans le milieu naturel et au lâcher de ce gibier ;Vu l’arrêté du 1er août 2006 fixant les mesures sanitaires concernant l’usage des appelants utilisés pour la chasse

au gibier d’eau ;Vu les avis de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments en date des 12 septembre 2006 et

5 février 2007,

Arrêtent :

CHAPITRE Ier

Dispositions généralesArt. 1er. − Objet et champ d’application.Le présent arrêté précise les différents niveaux de risque épizootique en raison de l’infection de la faune

sauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène à l’égard des oiseaux captifs détenussur le territoire national métropolitain et les mesures de surveillance et de prévention applicables pour chacun deces niveaux.

Les dispositions du présent arrêté ne font pas obstacle aux mesures de police sanitaire appliquées en cas desuspicion ou de confirmation d’influenza aviaire sur des oiseaux captifs ou sauvages.

Art. 2. − Aux fins du présent arrêté, on entend par :a) « Volaille » : tout oiseau élevé ou détenu en captivité à des fins de production de viande ou d’œufs à

consommer, de repeuplement du gibier ou aux fins de la reproduction de ces catégories d’oiseaux ;b) « Oiseau d’agrément » : tout oiseau élevé ou détenu en captivité autre qu’une volaille ;c) « Elevage » : le lieu de détention situé au sein d’une exploitation d’élevage, dans lequel des oiseaux sont

élevés ou entretenus ;d) « Basse-cour » : toute installation ou lieu de détention comptant un effectif d’oiseaux inférieur à cent indi-

vidus et composé au moins en partie de volailles ;

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e) « Détenteur » : toute personne, physique ou morale, qui a la propriété d’un ou de plusieurs oiseaux ou quiest chargée de pourvoir à son entretien ;

f) « Influenza aviaire à caractère hautement pathogène » : infection due à une souche de virus de l’influenzaaviaire pour laquelle les tests de laboratoire ont prouvé le caractère hautement pathogène ;

g) « Mesure de biosécurité » : mesure visant à prévenir ou à limiter les risques de l’introduction d’un agentpathogène dans un troupeau ou dans un élevage, de sa circulation et de sa persistance à l’intérieur du troupeauou de l’élevage et de sa diffusion vers d’autres troupeaux ou élevages.

Art. 3. − Niveau de risque épizootique.Le ministre en charge de l’agriculture définit par arrêté le niveau de risque épizootique auquel sont exposés

les oiseaux captifs en cas d’infection avérée ou non des oiseaux sauvages par un virus de l’influenza aviaire àcaractère hautement pathogène.

Six niveaux de risque épizootique sont retenus : négligeable 1, négligeable 2, faible, modéré, élevé et trèsélevé.

La liste non exhaustive des critères épidémiologiques qui guident la décision du ministre en charge de l’agri-culture est détaillée en annexe 1.

Art. 4. − Zones à risque particulier.Au sein du territoire métropolitain sont délimitées des zones écologiques, appelées zones à risque particulier

dans lesquelles la probabilité de l’infection de la faune sauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractèrehautement pathogène est jugée comme plus élevée.

Les communes composant les 46 premières zones à risque particulier figurent en partie 1 de l’annexe 5 et lescommunes composant les 52 zones à risque particulier complémentaires figurent en partie 2 de la mêmeannexe.

Art. 5. − Surveillance de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène.1. Surveillance des mortalités des oiseaux sauvages :Une instruction du ministre en charge de l’agriculture précise les modalités de mise en œuvre de cette

surveillance à laquelle sont appelés à collaborer les agents de l’Office national de la chasse et de la faunesauvage, les sociétés de chasse, les organisations en charge de l’observation, l’étude ou la protection desoiseaux sauvages ainsi que les personnes fréquentant à quelque titre que ce soit les milieux naturels.

Cette surveillance est renforcée lorsque le niveau de risque augmente conformément au tableau figurant enannexe 2.

2. Surveillance active de l’influenza aviaire dans les populations d’oiseaux sauvages :Lorsque le risque épizootique passe au niveau faible ou à un niveau supérieur, des opérations particulières de

captures d’oiseaux en vue de prélèvements et d’analyses peuvent être décidées par le ministre en charge del’agriculture.

3. Surveillance des oiseaux détenus en captivité :Lorsque le niveau de risque épizootique passe au niveau modéré ou à un niveau supérieur, les détenteurs de

plus de 1 000 oiseaux élevés de manière non confinée ou sans protection par des filets sont tenus de consulterleur vétérinaire lorsque l’un des critères d’alerte définis en annexe 3 est atteint ou dépassé. Le vétérinaireconsulté est tenu d’en rechercher les causes et d’en rendre compte par écrit au détenteur. En cas de suspiciond’influenza aviaire, le vétérinaire avertit sans délai le directeur départemental des services vétérinaires confor-mément à l’article D. 222-2-2 du code rural.

Lorsque le niveau de risque épizootique passe au niveau élevé, la surveillance prévue à l’alinéa précédent estappliquée par tous les détenteurs d’oiseaux.

Ce dispositif ne porte pas préjudice à l’obligation de déclaration de toute suspicion d’influenza aviaire.La consultation du vétérinaire au titre de la surveillance fondée sur les critères d’alerte est à la charge de

l’éleveur, sans préjudice de la participation financière des pouvoirs publics en cas de suspicion de peste aviairevalidée par le directeur départemental des services vétérinaires.

Art. 6. − Mesures de prévention.Les mesures de prévention sont précisées dans le tableau figurant en annexe 4.1. Mesures de biosécurité :L’application des mesures de biosécurité dépend du niveau du risque épizootique et de la localisation des

élevages au sein des zones à risque particulier. Le détail de ces mesures figure en annexe 4.Les mesures prévues pour un niveau donné s’appliquent également aux niveaux supérieurs.a) Sur l’ensemble du territoire métropolitain, aux niveaux négligeables :– tout propriétaire ou détenteur d’oiseaux doit prendre les mesures nécessaires afin de limiter les contacts

directs ou indirects avec les oiseaux vivant à l’état sauvage ;– l’utilisation d’eaux de surface pour le nettoyage des bâtiments et des matériels d’élevage ainsi que pour

l’abreuvement des oiseaux est interdite, à moins que cette eau n’ait été traitée pour assurer l’inactivation d’unéventuel virus ;

– l’approvisionnement des oiseaux en aliments et en eau de boisson doit se faire à l’intérieur d’un bâtiment ouau moyen de distributeurs protégés de telle façon que les oiseaux sauvages ne puissent accéder à ces dispo-sitifs ni les souiller.

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b) Sur l’ensemble du territoire métropolitain, aux niveaux faible, modéré, élevé et très élevé :

– tout détenteur d’oiseaux doit prendre les mesures nécessaires afin de prévenir tout contact direct ou indirectavec les oiseaux vivant à l’état sauvage. Il doit notamment lorsqu’il entre dans son élevage porter une tenuevestimentaire et des chaussures exclusivement réservées à cet effet.

c) Dans les 46 premières zones à risque particulier, au niveau modéré :

– tout détenteur d’oiseaux est tenu de confiner ses oiseaux ou de les protéger par des filets conformément auxprescriptions techniques figurant en annexe 4. Les parcs zoologiques et les détenteurs d’oiseaux d’agrémentpeuvent déroger à cette obligation dès lors qu’ils mettent en œuvre la vaccination dans les conditions prévuespar arrêté et précisées par instruction du ministre en charge de l’agriculture ;

– lorsqu’un détenteur de volailles, autre qu’un détenteur d’une basse-cour, n’est pas en mesure pour des raisonsde bien-être animal, de technique d’élevage ou des contraintes liées à un cahier des charges répondant à unsigne officiel de qualité de se mettre en conformité avec l’obligation figurant à l’alinéa précédent, il est tenude respecter le guide des bonnes pratiques sanitaires figurant en annexe 7. Les détenteurs de ces élevages fontprocéder chaque mois à leurs frais à une visite vétérinaire dont les modalités sont précisées dans l’annexe 4.

d) Sur l’ensemble du territoire métropolitain, aux niveaux élevé et très élevé :

– les mesures mises en œuvre sont détaillées en annexe 4.

2. Interdiction des rassemblements :

Les rassemblements d’oiseaux organisés à l’occasion des foires, marchés, expositions, concours ou diversesdémonstrations publiques sont interdits dans les 46 premières zones à risque particulier dont la liste figure enpartie 1 de l’annexe 5 à partir du niveau modéré du risque épizootique et sur l’ensemble du territoire métropolitainà partir du niveau élevé.

Quand l’interdiction des rassemblements ne touche que les 46 zones à risque, la participation des oiseauxprovenant d’élevages situés dans ces zones à des rassemblements ayant lieu sur le reste du territoire est interdite.

Par dérogation aux dispositions figurant aux deux alinéas précédents, la participation aux rassemblements desoiseaux appartenant à des espèces réputées élevées de manière systématique en volière est permise. La liste desordres auxquels appartiennent ces espèces figure en annexe 6.

N’est pas considérée comme un rassemblement la présentation d’oiseaux par un seul détenteur.Les conditions sanitaires pour les expositions et concours d’oiseaux d’agrément sont définies par instruction du

ministre en charge de l’agriculture.

3. Mesures particulières relatives aux appelants :

L’utilisation des appelants pour la chasse au gibier d’eau est interdite à partir du niveau modéré, sauf si uneanalyse du risque prouve que dans certaines zones géographiques cette interdiction ne s’avère pas utile .

4. Mesures particulières relatives aux pigeons voyageurs et aux oiseaux utilisés à des fins de sécurité civile oumilitaire :

Les lâchers de pigeons voyageurs avec départ ou survol d’un pays où au moins un cas d’influenza aviaire àcaractère hautement pathogène est apparu sont interdits dès le niveau faible du risque épizootique.

Les lâchers de pigeons voyageurs sont interdits dans les 46 premières zones à risque particulier dès le niveaumodéré du risque épizootique et sur la totalité de la France métropolitaine dès le niveau élevé du risque épizoo-tique.

Les sorties des pigeons voyageurs à proximité immédiate du pigeonnier et des autres oiseaux utilisés à des finsde sécurité civile ou militaire sous la supervision directe de leur détenteur restent autorisées.

Les conditions sanitaires relatives aux lâchers de pigeons voyageurs sont précisées par instruction du ministreen charge de l’agriculture.

5. Mesures de vaccination préventive :

Les oiseaux détenus par les parcs zoologiques peuvent être soumis à un programme de vaccination confor-mément à l’arrêté ministériel du 24 février 2006 susvisé.

Les oiseaux d’agrément dont les détenteurs ne peuvent assurer le confinement ou la protection par des filetsconformément aux conditions précisées dans l’annexe 4 pour raison de bien-être animal ou de difficulté d’adapterleurs installations d’élevage à cette exigence sont tenus de mettre en œuvre le programme de vaccination précisépar instruction du ministre en charge de l’agriculture.

Art. 7. − L’arrêté du 24 octobre 2005 relatif à des mesures de protection des oiseaux vis-à-vis de l’influenzaaviaire est abrogé.

Toute référence à cet arrêté est remplacée par la référence au présent arrêté.

Art. 8. − Les instructions du ministre en charge de l’agriculture auxquelles il est fait référence dans le présentarrêté sont publiées au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la pêche.

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Art. 9. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 5 février 2007.

Le ministre de l’agriculture et de la pêche,Pour le ministre et par délégation :

Le directeur général de l’alimentation,J.-M. BOURNIGAL

La ministre de l’écologie et du développement durable,Pour la ministre et par délégation :

Le directeur de la nature et des paysages,J.-M. MICHEL

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A N N E X E 1

CRITÈRES CONTRIBUANT À LA DÉFINITION DES NIVEAUX DE RISQUE ÉPIZOOTIQUE

NIVEAU DE RISQUEépizootique

DÉFINITION DU NIVEAU DE RISQUEen fonction des cas identifiés

dans l’avifaune sauvage

Négligeable 1 Absence de cas dans les zones de départ et dans les couloirs migratoires des oiseauxsauvages arrivant ou transitant en France.

Absence de cas en France.

Négligeable 2 Présence avérée ou possible de cas dans les zones de départ.Absence de cas dans les couloirs migratoires des oiseaux sauvages transitant en France.Absence de cas en France.

Faible Présence de cas dans les couloirs de migration des oiseaux sauvages transitant en France,dans des pays non voisins de la France métropolitaine.

Absence de cas en France.

Modéré Présence de cas dans les couloirs de migration des oiseaux sauvages transitant en France,dans des pays voisins (listés ci-dessous) de la France métropolitain.

Absence de cas en France.

Elevé Présence de quelques cas isolés en France ou cas groupés dans une unité écologique (cf.explication ci-dessous).

Très élevé Présence de plusieurs cas isolés en France ou cas groupés dans 2 unités écologiques ouplus.

Seul le territoire national métropolitain est pris en compte dans l’appréciation du niveau de risque épizootique.L’apparition d’un foyer d’influenza aviaire sur des oiseaux captifs, pour lequel toute hypothèse de contami-

nation par la faune sauvage a été écartée, ne constitue pas un critère pouvant modifier le niveau de risque épizoo-tique.

Les pays considérés comme voisins de la France sont la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg, l’Allemagne,la Suisse, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Grande-Bretagne et l’Irlande.

La notion « d’unité écologique infectée » correspond à la détermination d’un périmètre écologiquementhomogène en termes de fréquentation par l’avifaune sauvage, considéré comme infecté dès lors que plus de deuxcas d’oiseaux sauvages infectés y sont identifiés.

A N N E X E 2

MESURES DE SURVEILLANCE MISES EN ŒUVRE EN FONCTION DES NIVEAUX DE RISQUE

Les mesures de surveillance figurant à un niveau de risque sont également appliquées aux niveaux supérieurs.

NIVEAU DE RISQUEépizootique MESURES DE PRÉVENTION

Négligeable 1 Surveillance des mortalités des oiseaux sauvages :– ses modalités sont précisées par instruction ; cette surveillance implique la collaboration

des agents de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, des sociétés dechasse et des organisations en charge de l’observation, l’étude ou la protection desoiseaux sauvages ;

Négligeable 2 – cette surveillance vient en complément des autres surveillances conduites : programmede surveillance active des oiseaux sauvages, surveillance clinique des élevages, surveil-lances particulières des élevages de gibier de repeuplement et des appelants,programme d’enquête annuelle de l’influenza aviaire dans les élevages de volailles.

Faible Surveillance des mortalités des oiseaux sauvages :– ses modalités sont précisées par instruction ; elle implique à ce niveau la collaboration

de toutes les personnes fréquentant les milieux naturels et les gestionnaires des espacespublics.

Surveillance active de l’influenza aviaire dans les populations d’oiseaux sauvages :– des captures d’oiseaux en vue de prélèvements et d’analyses peuvent être décidées

suivant les modalités adaptées à la situation épidémiologique.

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NIVEAU DE RISQUEépizootique MESURES DE PRÉVENTION

Modéré Surveillance des oiseaux détenus en captivité fondée sur des critères d’alerte :– elle est appliquée par les détenteurs d’oiseaux élevés de manière non confinée ou sans

protection par des filets.

Elevé Surveillance des oiseaux détenus en captivité fondée sur les critères d’alerte :

Très élevé – elle est appliquée par tous les détenteurs d’oiseaux.

A N N E X E 3

CRITÈRES D’ALERTE

Partie 1

Seuils de mortalité à partir desquels le détenteurd’un troupeau de 1 000 oiseaux ou plus doit avertir son vétérinaire

ESPÈCE OU FILIÈRE TYPE DE PRODUCTION%

mortalitéen 1 jour

% MORTALITÉ PAR JOURpendant 2 jours consécutifs

J 1 J 2

Dindes. Chair claustration....................................... � 4 � 1 � au double du % mortalité de J 1

Chair plein air ............................................. � 4 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Futures reproductrices.............................. � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Reproduction ponte................................... � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Filière gallus chair. Chair claustration....................................... � 4 � 1 � au double du % mortalité de J 1

Chair plein air ............................................. � 4 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Futures reproductrices.............................. � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Reproduction ponte................................... � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Filière œuf de consommation. Poulettes ....................................................... � 4 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Ponte œufs de consommation .............. � 4 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Futures reproductrices.............................. � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Reproduction ponte................................... � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Pintades. Chair claustration....................................... � 4 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Chair plein air. ............................................ � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Futures reproductrices.............................. � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Reproduction ponte................................... � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Cailles. Chair claustration....................................... � 4 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Chair plein air ............................................. � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Futures reproductrices.............................. � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

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ESPÈCE OU FILIÈRE TYPE DE PRODUCTION%

mortalitéen 1 jour

% MORTALITÉ PAR JOURpendant 2 jours consécutifs

J 1 J 2

Reproduction ponte................................... � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Canards. Chair ............................................................... � 2 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Prêts à gaver............................................... � 2 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Futures reproductrices.............................. � 2 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Reproduction Ponte................................... � 2 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Oies. Chair ............................................................... � 2 � 0,5 � au double du % mortalité de J 1

Prêtes à gaver............................................. � 2 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Futures reproductrices.............................. � 2 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Reproduction ponte................................... � 2 � 1 � au double du % mortalité de J 1

Faisans. Quel que soit le stade ............................. � 4 � 1 � au double du % mortalité de J 1

Perdrix rouges. Quel que soit le stade ............................. � 4 � 2 � au double du % mortalité de J 1

Perdrix grises. Quel que soit le stade ............................. � 4 � 1 � au double du % mortalité de J 1

Colverts. Reproduction et élevage.......................... � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Pigeons. Futurs reproducteurs................................. � 4 � 1 � au double du % mortalité de J 1

Reproduction ponte................................... � 4 � 0,25 � au double du % mortalité de J 1

Exemples pour un éleveur de 8 000 dindes de chair en claustration :– si le taux de mortalité est supérieur ou égal à 4 % en 1 jour (� 320 morts), l’éleveur doit avertir son vétéri-

naire ;– si le taux de mortalité est compris entre 1 % et 4 % au jour J 1 (80 à 319 morts), et si à J 2 le % de mortalité

est supérieur ou égal au double du % de mortalité à J 1, l’éleveur doit également avertir son vétérinaire.

Partie 2

Seuils de diminution des consommations d’eau et d’aliment et de chute de ponte au-dessus desquels le détenteurd’un troupeau de 1 000 oiseaux ou plus doit avertir son vétérinaire

%diminutionen 1 jour

% diminution par jourpendant 3 jours consécutifs

J 1 J 2 J 3

Eau .................................................................... � 50 � 25 � 25 � 25Aliment ............................................................ � 50 � 25 � 25 � 25Chute de ponte ............................................. � 15 � 5 � 5 � 5

Exemples pour la consommation d’eau :– dès que la diminution est supérieure ou égale à 50 % en 1 jour, l’éleveur doit avertir son vétérinaire ;– si la diminution est comprise entre 25 % et 50 % au jour J 1 et se maintient entre 25 % et 50 % à J 2 et à J 3,

l’éleveur doit également avertir son vétérinaire.

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A N N E X E 4MESURES DE PRÉVENTION DEVANT ÊTRE APPLIQUÉES EN FONCTION DES NIVEAUX DE RISQUE

Les mesures de prévention figurant à un niveau de risque sont également appliquées aux niveaux supérieurs.

NIVEAU DE RISQUEépizootique MESURES DE PRÉVENTION

Négligeable 1 Mesures de biosécurité :– tout propriétaire ou détenteur d’oiseaux doit prendre les mesures nécessaires afin de

limiter les contacts directs ou indirects avec les oiseaux vivant à l’état sauvage ;Négligeable 2 – l’utilisation d’eaux de surface pour le nettoyage des bâtiments et des matériels d’élevage

ainsi que pour l’abreuvement des oiseaux est interdite, à moins que cette eau n’ait ététraitée pour assurer l’inactivation d’un éventuel virus ;

– l’approvisionnement des oiseaux en aliments et en eau de boisson doit se faire à l’inté-rieur d’un bâtiment ou au moyen de distributeurs protégés de telle façon que lesoiseaux sauvages ne puissent accéder à ces dispositifs ni les souiller.

Autres mesures déjà existantes :– les mesures précédentes complètent la vaccination des oiseaux des parcs zoologiques et

les mesures de biosécurité relatives aux appelants utilisés pour la chasse au gibierd’eau, qui font l’objet d’arrêtés particuliers.

Faible Mesures de biosécurité :– les appelants sont soumis à des mesures de biosécurité renforcée précisées par une

instruction.Mesures particulières :– les lâchers de pigeons voyageurs français à partir ou avec survol d’un pays où des cas

sont apparus sont interdits ;– le transport des appelants est interdit conformément à l’arrêté du 1er août 2006 susvisé.

Modéré Mesures de biosécurité appliquées sur la totalité du territoire métropolitain :– tout détenteur d’oiseaux doit prendre les mesures nécessaires afin de prévenir tout

contact direct ou indirect avec les oiseaux vivant à l’état sauvage. Il doit également,lorsqu’il entre dans son élevage, porter une tenue vestimentaire et des chaussuresexclusivement réservées à cet effet.

Mesures de biosécurité dans les 46 premières zones à risque particulier correspondant auxcommunes dont la liste figure en partie 1 de l’annexe 5 :

– tout détenteur d’oiseaux est tenu de confiner ses oiseaux ou de les protéger par desfilets conformément aux prescriptions techniques figurant au bas de ce tableau ;

– les élevages de volailles autres que les basses-cours, qui ne peuvent appliquer les dispo-sitions prévues à l’alinéa précédent pour les raisons mentionnées à l’article 6, appliquentles mesures du guide de bonnes pratiques figurant en annexe 7. Les détenteurs de cesélevages sont tenus de faire procéder chaque mois à une visite vétérinaire dont lesmodalités sont précisées ci-après ;

– les modalités de la visite vétérinaire intitulée « visite vétérinaire d’inspection sanitairedes volailles et d’évaluation des mesures de biosécurité » sont les suivantes :– elle a lieu chaque mois à l’initiative et à la charge du détenteur ;– la première visite a lieu dans le mois qui suit la date de publication de l’arrêté quali-fiant le niveau de risque qui l’impose ;– le vétérinaire rend compte par écrit de sa visite au directeur départemental desservices vétérinaires ;

– le guide de bonnes pratiques figurant à l’annexe 7 ne s’applique pas aux oiseauxhébergés dans les basses-cours et ces dernières doivent être confinées ou protégées pardes filets ;

– les parcs zoologiques et les détenteurs d’oiseaux d’agrément peuvent déroger au confi-nement dès lors qu’ils mettent en œuvre la vaccination et les mesures de biosécuritédans les conditions prévues par arrêté et précisées par instruction.

Interdiction des rassemblements :– les rassemblements d’oiseaux sont interdits dans les 46 premières zones à risque parti-

culier ;– les oiseaux provenant d’un lieu de détention situé dans ces 46 zones ne peuvent parti-

ciper à aucun rassemblement sur le territoire national ;– par dérogation, les oiseaux des espèces appartenant aux ordres dont la liste figure en

annexe 6 sont autorisés à participer à des rassemblements qui ont lieu dans l’une des46 zones ou à tout rassemblement sur le reste du territoire.

Mesures particulières :– l’utilisation des appelants pour la chasse au gibier d’eau est interdite. Si une analyse du

risque détermine que, dans certaines zones géographiques, l’interdiction ne s’avère pasutile à la maîtrise du risque, cette interdiction peut y être rapportée ;

– les compétitions de pigeons voyageurs ne peuvent pas partir d’une zone à risque parti-culier ni la survoler ; néanmoins, à l’intérieur de ces zones, les sorties de pigeons voya-geurs à proximité immédiate du pigeonnier et des autres oiseaux utilisés à des fins desécurité civile ou militaire sont possibles sous la supervision directe de leur détenteur.

Elevé Mesures de biosécurité appliquées sur la totalité du territoire métropolitain :– tout propriétaire ou détenteur d’oiseaux doit prendre les mesures nécessaires afin de

prévenir tout contact direct ou indirect avec les oiseaux vivant à l’état sauvage. Il esttenu de confiner ses oiseaux ou de les protéger par des filets conformément aux pres-criptions techniques figurant au bas de ce tableau ;

– les élevages de volailles non confinés ou non protégés par des filets mettent en œuvreles mesures de biosécurité inscrites dans le guide de bonnes pratiques figurant enannexe 7. Les détenteurs de ces élevages sont tenus de faire procéder à la visite vétéri-naire mentionnée à l’article 6 du présent arrêté et dont les modalités sont précisées dansla présente annexe au chapitre relatif au niveau modéré. Cette visite est unique et doitavoir lieu dans le mois qui suit la publication de l’arrêté qui la rend obligatoire sil’élevage n’est pas situé dans l’une des 98 zones à risque particulier ;

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NIVEAU DE RISQUEépizootique MESURES DE PRÉVENTION

– le guide de bonnes pratiques figurant à l’annexe 7 ne s’applique pas aux oiseauxhébergés dans les basses-cours et ces dernières doivent être confinées ou protégées pardes filets ;

– les parcs zoologiques et les détenteurs d’oiseaux d’agrément peuvent déroger au confi-nement dès lors qu’ils mettent en œuvre la vaccination et les mesures de biosécuritédans les conditions prévues par arrêté et précisées par instruction.

Mesures de biosécurité appliquées dans les 98 zones à risque particulier dont la listefigure en parties 1 et 2 de l’annexe 5 :

– les détenteurs des élevages non confinés ou non protégés par des filets sont tenus defaire procéder chaque mois à la visite vétérinaire dont les modalités sont précisées dansla présente annexe au chapitre relatif au niveau modéré.

Interdiction des rassemblements :– les rassemblements sont interdits sur l’ensemble de la France métropolitaine. Peuvent

déroger à cette interdiction les oiseaux des espèces appartenant aux ordres dont la listefigure en annexe 6.

Mesures particulières :– les courses de pigeons voyageurs sont interdites sur tout le territoire métropolitain.

Seules sont autorisées les sorties de pigeons voyageurs à proximité immédiate dupigeonnier et des autres oiseaux utilisés à des fins de sécurité civile ou militaire sous lasupervision directe de leur détenteur.

Très élevé Mesures de biosécurité appliquées sur la totalité du territoire métropolitain :– la visite vétérinaire réalisée dans le cadre du guide de bonnes pratiques sanitaires est

renouvelée une fois par mois.Mesures particulières :– l’utilisation des appelants pour la chasse au gibier d’eau est interdite sans dérogation

possible, sur tout le territoire métropolitain.

Le confinement d’un élevage implique un toit étanche et des parois latérales interdisant toute pénétrationd’oiseaux et sans continuité avec le milieu extérieur par l’eau. Le jardin d’hiver avec toit étanche et paroi inter-disant toute pénétration d’oiseaux sauvages est assimilé à un confinement.

La protection d’un élevage ou d’un lieu de détention d’oiseaux par des filets implique la pose de filets recou-vrant l’ensemble du parcours auquel ont accès les oiseaux ; les filets et leurs supports ne doivent donner aucunepossibilité aux oiseaux sauvages de se percher au-dessus des parcours ; en particulier les supports et poteauxpeuvent être munis de pointes à leur face supérieure. Ces filets doivent interdire l’accès aux oiseaux sauvages del’ensemble du plan d’eau mis éventuellement à disposition des oiseaux captifs.

A N N E X E 5

LISTE DES COMMUNES COMPOSANT LES ZONES À RISQUE PARTICULIER

Partie 1

Communes composant les 46 premières zones à risque particulier

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

L’ABERGEMENT-CLEMENCIAT. 01001 AIN.

AMBERIEUX-EN-DOMBES. 01005 AIN.

AMBLEON. 01006 AIN.

AMBRONAY. 01007 AIN.

ANDERT-ET-CONDON. 01009 AIN.

ANGLEFORT. 01010 AIN.

ARBIGNIEU. 01015 AIN.

ARS-SUR-FORMANS. 01021 AIN.

BALAN. 01027 AIN.

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BANEINS. 01028 AIN.

BELIGNEUX. 01032 AIN.

BELLEY. 01034 AIN.

BENONCES. 01037 AIN.

BEON. 01039 AIN.

BEYNOST. 01043 AIN.

BIRIEUX. 01045 AIN.

BLYES. 01047 AIN.

LA BOISSE. 01049 AIN.

BOULIGNEUX. 01052 AIN.

BOURG-EN-BRESSE. 01053 AIN.

BOURG-SAINT-CHRISTOPHE. 01054 AIN.

BREGNIER-CORDON. 01058 AIN.

BRENS. 01061 AIN.

BRESSOLLES. 01062 AIN.

BRIORD. 01064 AIN.

BUELLAS. 01065 AIN.

CERTINES. 01069 AIN.

CESSY. 01071 AIN.

CEYZERIAT. 01072 AIN.

CEYZERIEU. 01073 AIN.

CHALAMONT. 01074 AIN.

CHALEINS. 01075 AIN.

CHALLEX. 01078 AIN.

CHANEINS. 01083 AIN.

CHANOZ-CHATENAY. 01084 AIN.

LA CHAPELLE-DU-CHATELARD. 01085 AIN.

CHARNOZ-SUR-AIN. 01088 AIN.

CHATEAU-GAILLARD. 01089 AIN.

CHATENAY. 01090 AIN.

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CHATILLON-LA-PALUD. 01092 AIN.

CHATILLON-SUR-CHALARONNE. 01093 AIN.

CHAVEYRIAT. 01096 AIN.

CHAVORNAY. 01097 AIN.

CHAZEY-BONS. 01098 AIN.

CHAZEY-SUR-AIN. 01099 AIN.

CHEVRY. 01103 AIN.

CHEZERY-FORENS. 01104 AIN.

CIVRIEUX. 01105 AIN.

COLLONGES. 01109 AIN.

CONDEISSIAT. 01113 AIN.

CONZIEU. 01117 AIN.

CORBONOD. 01118 AIN.

CRANS. 01129 AIN.

CRESSIN-ROCHEFORT. 01133 AIN.

CROZET. 01135 AIN.

CULOZ. 01138 AIN.

DAGNEUX. 01142 AIN.

DIVONNE-LES-BAINS. 01143 AIN.

DOMPIERRE-SUR-VEYLE. 01145 AIN.

DOMPIERRE-SUR-CHALARONNE. 01146 AIN.

DRUILLAT. 01151 AIN.

ECHENEVEX. 01153 AIN.

FARAMANS. 01156 AIN.

FARGES. 01158 AIN.

FERNEY-VOLTAIRE. 01160 AIN.

FLAXIEU. 01162 AIN.

FRANCHELEINS. 01165 AIN.

GEX. 01173 AIN.

GRILLY. 01180 AIN.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 12

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

GROSLEE. 01182 AIN.

ILLIAT. 01188 AIN.

IZIEU. 01193 AIN.

JOYEUX. 01198 AIN.

LAGNIEU. 01202 AIN.

LAPEYROUSE. 01207 AIN.

LAVOURS. 01208 AIN.

LELET. 01210 AIN.

LENT. 01211 AIN.

LEYMENT. 01213 AIN.

LHUIS. 01216 AIN.

LOCHIEU. 01218 AIN.

LOYETTES. 01224 AIN.

MAGNIEU. 01227 AIN.

MARCHAMP. 01233 AIN.

MARIGNIEU. 01234 AIN.

MARLIEUX. 01235 AIN.

MASSIEUX. 01238 AIN.

MASSIGNIEU-DE-RIVES. 01239 AIN.

MEXIMIEUX. 01244 AIN.

MEZERIAT. 01246 AIN.

MIONNAY. 01248 AIN.

MIRIBEL. 01249 AIN.

MISERIEUX. 01250 AIN.

MONTAGNAT. 01254 AIN.

MONTAGNIEU. 01255 AIN.

MONTCEAUX. 01258 AIN.

MONTCET. 01259 AIN.

LE MONTELLIER. 01260 AIN.

MONTHIEUX. 01261 AIN.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 13

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MONTLUEL. 01262 AIN.

MONTRACOL. 01264 AIN.

MURS-ET-GELIGNIEUX. 01268 AIN.

NATTAGES. 01271 AIN.

NEUVILLE-LES-DAMES. 01272 AIN.

NEUVILLE-SUR-AIN. 01273 AIN.

NEYRON. 01275 AIN.

NIEVROZ. 01276 AIN.

ORNEX. 01281 AIN.

PARCIEUX. 01285 AIN.

PARVES. 01286 AIN.

PERON. 01288 AIN.

PERONNAS. 01289 AIN.

PEROUGES. 01290 AIN.

PEYRIEU. 01294 AIN.

PEYZIEUX-SUR-SAONE. 01295 AIN.

PIZAY. 01297 AIN.

LE PLANTAY. 01299 AIN.

POLLIAT. 01301 AIN.

POLLIEU. 01302 AIN.

PONT-D’AIN. 01304 AIN.

POUGNY. 01308 AIN.

PREMEYZEL. 01310 AIN.

PREVESSIN-MOENS. 01313 AIN.

PRIAY. 01314 AIN.

RANCE. 01318 AIN.

RELEVANT. 01319 AIN.

REVONNAS. 01321 AIN.

REYRIEUX. 01322 AIN.

RIGNIEUX-LE-FRANC. 01325 AIN.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 14

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ROMANS. 01328 AIN.

SAINT-ANDRE-DE-CORCY. 01333 AIN.

SAINT-ANDRE-LE-BOUCHOUX. 01335 AIN.

SAINT-ANDRE-SUR-VIEUX-JONC. 01336 AIN.

SAINT-BENOIT. 01338 AIN.

SAINT-BOIS. 01340 AIN.

SAINT-CHAMP. 01341 AIN.

SAINTE-CROIX. 01342 AIN.

SAINT-DENIS-LES-BOURG. 01344 AIN.

SAINT-DIDIER-DE-FORMANS. 01347 AIN.

SAINT-ELOI. 01349 AIN.

SAINT-ETIENNE-SUR-CHALARONNE. 01351 AIN.

SAINTE-EUPHEMIE. 01353 AIN.

SAINT-GENIS-POUILLY. 01354 AIN.

SAINT-GEORGES-SUR-RENON. 01356 AIN.

SAINT-GERMAIN-SUR-RENON. 01359 AIN.

SAINT-JEAN-DE-GONVILLE. 01360 AIN.

SAINT-JEAN-DE-NIOST. 01361 AIN.

SAINT-JEAN-DE-THURIGNEUX. 01362 AIN.

SAINTE-JULIE. 01366 AIN.

SAINT-JULIEN-SUR-VEYLE. 01368 AIN.

SAINT-JUST. 01369 AIN.

SAINT-MARCEL. 01371 AIN.

SAINT-MARTIN-DU-MONT. 01374 AIN.

SAINT-MAURICE-DE-BEYNOST. 01376 AIN.

SAINT-MAURICE-DE-GOURDANS. 01378 AIN.

SAINT-MAURICE-DE-REMENS. 01379 AIN.

SAINT-NIZIER-LE-DESERT. 01381 AIN.

SAINTE-OLIVE. 01382 AIN.

SAINT-PAUL-DE-VARAX. 01383 AIN.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 15

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-REMY. 01385 AIN.

SAINT-SORLIN-EN-BUGEY. 01386 AIN.

SAINT-TRIVIER-SUR-MOIGNANS. 01389 AIN.

SAINT-VULBAS. 01390 AIN.

SANDRANS. 01393 AIN.

SAULT-BRENAZ. 01396 AIN.

SAUVERNY. 01397 AIN.

SAVIGNEUX. 01398 AIN.

SEGNY. 01399 AIN.

SEILLONNAZ. 01400 AIN.

SERGY. 01401 AIN.

SERRIERES-DE-BRIORD. 01403 AIN.

SERVAS. 01405 AIN.

SEYSSEL. 01407 AIN.

SOUCLIN. 01411 AIN.

SULIGNAT. 01412 AIN.

THIL. 01418 AIN.

THOIRY. 01419 AIN.

TOSSIAT. 01422 AIN.

TOUSSIEUX. 01423 AIN.

TRAMOYES. 01424 AIN.

LA TRANCLIERE. 01425 AIN.

TREVOUX. 01427 AIN.

VALEINS. 01428 AIN.

VANDEINS. 01429 AIN.

VARAMBON. 01430 AIN.

VAUX-EN-BUGEY. 01431 AIN.

VERSAILLEUX. 01434 AIN.

VERSONNEX. 01435 AIN.

VESANCY. 01436 AIN.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 16

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VILLARS-LES-DOMBES. 01443 AIN.

VILLEBOIS. 01444 AIN.

VILLENEUVE. 01446 AIN.

VILLETTE-SUR-AIN. 01449 AIN.

VILLIEU-LOYES-MOLLON. 01450 AIN.

VIRIEU-LE-PETIT. 01453 AIN.

VIRIGNIN. 01454 AIN.

VONGNES. 01456 AIN.

VONNAS. 01457 AIN.

AUBIGNOSC. 04013 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

AUTHON. 04016 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

BARRAS. 04021 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

BAYONS. 04023 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

BELLAFFAIRE. 04026 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

BEVONS. 04027 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

LA BREOLE. 04033 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

LE CAIRE. 04037 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

LE CASTELLARD-MELAN. 04040 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

CHATEAU-ARNOUX-SAINT-AUBAN. 04049 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

CHATEAUFORT. 04050 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

CHATEAUNEUF-VAL-SAINT-DONAT. 04053 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

CLAMENSANE. 04057 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

CLARET. 04058 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

CORBIERES. 04063 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

CURBANS. 04066 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

ENTREPIERRES. 04075 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

L’ESCALE. 04079 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

FAUCON-DU-CAIRE. 04085 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

GANAGOBIE. 04091 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

GIGORS. 04093 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

Page 60: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 17

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LE LAUZET-UBAYE. 04102 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

LURS. 04106 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

MALIJAI. 04108 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

LES MEES. 04116 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

MELVE. 04118 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

MIRABEAU. 04122 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

MISON. 04123 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

MONTCLAR. 04126 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

MONTFORT. 04127 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

LA MOTTE-DU-CAIRE. 04134 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

NIBLES. 04137 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

PEIPIN. 04145 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

PEYRUIS. 04149 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

PIEGUT. 04150 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

PIERREVERT. 04152 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SAINT-GENIEZ. 04179 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SAINT-MARTIN-LES-SEYNE. 04191 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SAINT-VINCENT-LES-FORTS. 04198 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SALIGNAC. 04200 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SELONNET. 04203 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SIGOYER. 04207 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SISTERON. 04209 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SOURRIBES. 04211 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

THEZE. 04216 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

THOARD. 04217 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

TURRIERS. 04222 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

VALAVOIRE. 04228 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

VALBELLE. 04229 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

VALERNES. 04231 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

VAUMEILH. 04233 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

Page 61: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 18

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VENTEROL. 04234 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

VOLONNE. 04244 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

ALBA-LA-ROMAINE. 07005 ARDECHE.

ALBOUSSIERE. 07007 ARDECHE.

ANDANCE. 07009 ARDECHE.

ARDOIX. 07013 ARDECHE.

ARRAS-SUR-RHONE. 07015 ARDECHE.

AUBIGNAS. 07020 ARDECHE.

BAIX. 07022 ARDECHE.

BEAUCHASTEL. 07027 ARDECHE.

BIDON. 07034 ARDECHE.

BOGY. 07036 ARDECHE.

BOURG-SAINT-ANDEOL. 07042 ARDECHE.

CHAMPAGNE. 07051 ARDECHE.

CHAMPIS. 07052 ARDECHE.

CHARMES-SUR-RHONE. 07055 ARDECHE.

CHARNAS. 07056 ARDECHE.

CHATEAUBOURG. 07059 ARDECHE.

CHEMINAS. 07063 ARDECHE.

COLOMBIER-LE-CARDINAL. 07067 ARDECHE.

CORNAS. 07070 ARDECHE.

CRUAS. 07076 ARDECHE.

ECLASSAN. 07084 ARDECHE.

ETABLES. 07086 ARDECHE.

FELINES. 07089 ARDECHE.

GILHAC-ET-BRUZAC. 07094 ARDECHE.

GLUN. 07097 ARDECHE.

GRAS. 07099 ARDECHE.

GUILHERAND-GRANGES. 07102 ARDECHE.

LARNAS. 07133 ARDECHE.

Page 62: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 19

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LEMPS. 07140 ARDECHE.

LIMONY. 07143 ARDECHE.

MAUVES. 07152 ARDECHE.

MEYSSE. 07157 ARDECHE.

OZON. 07169 ARDECHE.

PEAUGRES. 07172 ARDECHE.

PEYRAUD. 07174 ARDECHE.

PLATS. 07177 ARDECHE.

LE POUZIN. 07181 ARDECHE.

ROCHEMAURE. 07191 ARDECHE.

ROMPON. 07198 ARDECHE.

SAINT-BARTHELEMY-LE-PLAIN. 07217 ARDECHE.

SAINT-CIERGE-LA-SERRE. 07221 ARDECHE.

SAINT-CYR. 07227 ARDECHE.

SAINT-DESIRAT. 07228 ARDECHE.

SAINT-ETIENNE-DE-VALOUX. 07234 ARDECHE.

SAINT-GEORGES-LES-BAINS. 07240 ARDECHE.

SAINT-JEAN-DE-MUZOLS. 07245 ARDECHE.

SAINT-JULIEN-EN-SAINT-ALBAN. 07255 ARDECHE.

SAINT-LAGER-BRESSAC. 07260 ARDECHE.

SAINT-MARCEL-D’ARDECHE. 07264 ARDECHE.

SAINT-MARTIN-SUR-LAVEZON. 07270 ARDECHE.

SAINT-MONTANT. 07279 ARDECHE.

SAINT-PERAY. 07281 ARDECHE.

SAINT-ROMAIN-DE-LERPS. 07293 ARDECHE.

SAINT-SYMPHORIEN-SOUS-CHOMERAC. 07298 ARDECHE.

SAINT-THOME. 07300 ARDECHE.

SAINT-VINCENT-DE-BARRES. 07302 ARDECHE.

SARRAS. 07308 ARDECHE.

SECHERAS. 07312 ARDECHE.

Page 63: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 20

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SERRIERES. 07313 ARDECHE.

SOYONS. 07316 ARDECHE.

TALENCIEUX. 07317 ARDECHE.

LE TEIL. 07319 ARDECHE.

THORRENC. 07321 ARDECHE.

TOULAUD. 07323 ARDECHE.

TOURNON-SUR-RHONE. 07324 ARDECHE.

VERNOSC-LES-ANNONAY. 07337 ARDECHE.

VION. 07345 ARDECHE.

VIVIERS. 07346 ARDECHE.

LA VOULTE-SUR-RHONE. 07349 ARDECHE.

SAINT-LAURENT-DU-PAPE. 07261 ARDECHE.

AMANCE. 10005 AUBE.

ARREMBECOURT. 10010 AUBE.

ARSONVAL. 10012 AUBE.

BAILLY-LE-FRANC. 10026 AUBE.

BLAINCOURT-SUR-AUBE. 10046 AUBE.

BLIGNICOURT. 10047 AUBE.

BOSSANCOURT. 10050 AUBE.

BREVONNES. 10061 AUBE.

BRIENNE-LA-VIEILLE. 10063 AUBE.

BRIENNE-LE-CHATEAU. 10064 AUBE.

LA CHAISE. 10072 AUBE.

CHAUMESNIL. 10093 AUBE.

CHAVANGES. 10094 AUBE.

COURCELLES-SUR-VOIRE. 10105 AUBE.

CRESPY-LE-NEUF. 10117 AUBE.

DIENVILLE. 10123 AUBE.

DOLANCOURT. 10126 AUBE.

DOSCHES. 10129 AUBE.

Page 64: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 21

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ECLANCE. 10135 AUBE.

EPAGNE. 10138 AUBE.

EPOTHEMONT. 10139 AUBE.

FRESNAY. 10161 AUBE.

FULIGNY. 10163 AUBE.

GERAUDOT. 10165 AUBE.

HAMPIGNY. 10171 AUBE.

JESSAINS. 10178 AUBE.

JONCREUIL. 10180 AUBE.

JUVANZE. 10183 AUBE.

JUZANVIGNY. 10184 AUBE.

LASSICOURT. 10189 AUBE.

LENTILLES. 10192 AUBE.

LEVIGNY. 10194 AUBE.

LA LOGE-AUX-CHEVRES. 10200 AUBE.

LUSIGNY-SUR-BARSE. 10209 AUBE.

MAIZIERES-LES-BRIENNE. 10221 AUBE.

MATHAUX. 10228 AUBE.

MESNIL-SAINT-PERE. 10238 AUBE.

MONTIERAMEY. 10249 AUBE.

MONTMORENCY-BEAUFORT. 10253 AUBE.

MORVILLIERS. 10258 AUBE.

PARS-LES-CHAVANGES. 10279 AUBE.

PERTHES-LES-BRIENNE. 10285 AUBE.

PETIT-MESNIL. 10286 AUBE.

PINEY. 10287 AUBE.

PRECY-SAINT-MARTIN. 10304 AUBE.

RADONVILLIERS. 10313 AUBE.

RANCES. 10315 AUBE.

ROSNAY-L’HOPITAL. 10326 AUBE.

Page 65: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 22

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA ROTHIERE. 10327 AUBE.

SAINT-CHRISTOPHE-DODINICOURT. 10337 AUBE.

SAINT-LEGER-SOUS-BRIENNE. 10345 AUBE.

SAINT-LEGER-SOUS-MARGERIE. 10346 AUBE.

SOULAINES-DHUYS. 10372 AUBE.

THIL. 10377 AUBE.

THORS. 10378 AUBE.

TRANNES. 10384 AUBE.

UNIENVILLE. 10389 AUBE.

VALLENTIGNY. 10393 AUBE.

VERNONVILLIERS. 10403 AUBE.

LA VILLE-AUX-BOIS. 10411 AUBE.

VILLERET. 10424 AUBE.

VILLE-SUR-TERRE. 10428 AUBE.

YEVRES-LE-PETIT. 10445 AUBE.

ARMISSAN. 11014 AUDE.

BAGES. 11024 AUDE.

BIZANET. 11040 AUDE.

CAVES. 11086 AUDE.

COURSAN. 11106 AUDE.

CUXAC-D’AUDE. 11116 AUDE.

FITOU. 11144 AUDE.

FLEURY. 11145 AUDE.

GRUISSAN. 11170 AUDE.

LA PALME. 11188 AUDE.

LEUCATE. 11202 AUDE.

MARCORIGNAN. 11217 AUDE.

MONTREDON-DES-CORBIERES. 11255 AUDE.

MOUSSAN. 11258 AUDE.

NARBONNE. 11262 AUDE.

Page 66: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 23

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

NEVIAN. 11264 AUDE.

PORT-LA-NOUVELLE. 11266 AUDE.

PEYRIAC-DE-MER. 11285 AUDE.

PORTEL-DES-CORBIERES. 11295 AUDE.

ROQUEFORT-DES-CORBIERES. 11322 AUDE.

SAINT-ANDRE-DE-ROQUELONGUE. 11332 AUDE.

SALLES-D’AUDE. 11370 AUDE.

SIGEAN. 11379 AUDE.

VINASSAN. 11441 AUDE.

WITTISHEIM. 67547 BAS-RHIN.

WITTERNHEIM. 67545 BAS-RHIN.

WINTZENBACH. 67541 BAS-RHIN.

WEYERSHEIM. 67529 BAS-RHIN.

LA WANTZENAU. 67519 BAS-RHIN.

VENDENHEIM. 67506 BAS-RHIN.

SUNDHOUSE. 67486 BAS-RHIN.

STRASBOURG. 67482 BAS-RHIN.

STATTMATTEN. 67476 BAS-RHIN.

SOUFFLENHEIM. 67472 BAS-RHIN.

SOUFFELWEYERSHEIM. 67471 BAS-RHIN.

SESSENHEIM. 67465 BAS-RHIN.

SELTZ. 67463 BAS-RHIN.

SCHWOBSHEIM. 67461 BAS-RHIN.

SCHŒNAU. 67453 BAS-RHIN.

SCHIRRHOFFEN. 67450 BAS-RHIN.

SCHIRRHEIN. 67449 BAS-RHIN.

SCHILTIGHEIM. 67447 BAS-RHIN.

SCHEIBENHARD. 67443 BAS-RHIN.

SCHAFFHOUSE-PRES-SELTZ. 67440 BAS-RHIN.

SCHAEFFERSHEIM. 67438 BAS-RHIN.

Page 67: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 24

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAND. 67433 BAS-RHIN.

SAASENHEIM. 67422 BAS-RHIN.

ROUNTZENHEIM. 67418 BAS-RHIN.

ROSSFELD. 67412 BAS-RHIN.

ROPPENHEIM. 67409 BAS-RHIN.

ROHRWILLER. 67407 BAS-RHIN.

ROESCHWOOG. 67405 BAS-RHIN.

RICHTOLSHEIM. 67398 BAS-RHIN.

RHINAU. 67397 BAS-RHIN.

REICHSTETT. 67389 BAS-RHIN.

PLOBSHEIM. 67378 BAS-RHIN.

OSTWALD. 67365 BAS-RHIN.

OSTHOUSE. 67364 BAS-RHIN.

OHNENHEIM. 67360 BAS-RHIN.

OFFENDORF. 67356 BAS-RHIN.

OBERLAUTERBACH. 67346 BAS-RHIN.

OBERHOFFEN-SUR-MODER. 67345 BAS-RHIN.

OBERHAUSBERGEN. 67343 BAS-RHIN.

OBENHEIM. 67338 BAS-RHIN.

NORDHOUSE. 67336 BAS-RHIN.

NIEDERROEDERN. 67330 BAS-RHIN.

NIEDERLAUTERBACH. 67327 BAS-RHIN.

NIEDERHAUSBERGEN. 67326 BAS-RHIN.

NEUHAEUSEL. 67319 BAS-RHIN.

NEEWILLER-PRES-LAUTERBOURG. 67315 BAS-RHIN.

MUTTERSHOLTZ. 67311 BAS-RHIN.

MUSSIG. 67310 BAS-RHIN.

MUNDOLSHEIM. 67309 BAS-RHIN.

MUNCHHAUSEN. 67308 BAS-RHIN.

MOTHERN. 67305 BAS-RHIN.

Page 68: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 25

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MITTELHAUSBERGEN. 67296 BAS-RHIN.

MATZENHEIM. 67285 BAS-RHIN.

MARCKOLSHEIM. 67281 BAS-RHIN.

MACKENHEIM. 67277 BAS-RHIN.

LINGOLSHEIM. 67267 BAS-RHIN.

LIMERSHEIM. 67266 BAS-RHIN.

LEUTENHEIM. 67264 BAS-RHIN.

LAUTERBOURG. 67261 BAS-RHIN.

KURTZENHOUSE. 67252 BAS-RHIN.

KILSTETT. 67237 BAS-RHIN.

KESSELDORF. 67235 BAS-RHIN.

KAUFFENHEIM. 67231 BAS-RHIN.

KALTENHOUSE. 67230 BAS-RHIN.

ILLKIRCH-GRAFFENSTADEN. 67218 BAS-RHIN.

ICHTRATZHEIM. 67217 BAS-RHIN.

HOERDT. 67205 BAS-RHIN.

HOENHEIM. 67204 BAS-RHIN.

HIPSHEIM. 67200 BAS-RHIN.

HILSENHEIM. 67196 BAS-RHIN.

HESSENHEIM. 67195 BAS-RHIN.

HERRLISHEIM. 67194 BAS-RHIN.

HERBSHEIM. 67192 BAS-RHIN.

HEIDOLSHEIM. 67187 BAS-RHIN.

HAGUENAU. 67180 BAS-RHIN.

GRIES. 67169 BAS-RHIN.

GERSTHEIM. 67154 BAS-RHIN.

GEISPOLSHEIM. 67152 BAS-RHIN.

GAMBSHEIM. 67151 BAS-RHIN.

FRIESENHEIM. 67146 BAS-RHIN.

FORT-LOUIS. 67142 BAS-RHIN.

Page 69: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 26

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

FORSTFELD. 67140 BAS-RHIN.

FEGERSHEIM. 67137 BAS-RHIN.

ESCHAU. 67131 BAS-RHIN.

ERSTEIN. 67130 BAS-RHIN.

ELSENHEIM. 67121 BAS-RHIN.

ECKBOLSHEIM. 67118 BAS-RHIN.

EBERBACH-SELTZ. 67113 BAS-RHIN.

DRUSENHEIM. 67106 BAS-RHIN.

DIEBOLSHEIM. 67090 BAS-RHIN.

DAUBENSAND. 67086 BAS-RHIN.

DALHUNDEN. 67082 BAS-RHIN.

BOOTZHEIM. 67056 BAS-RHIN.

BOOFZHEIM. 67055 BAS-RHIN.

BOLSENHEIM. 67054 BAS-RHIN.

BOESENBIESEN. 67053 BAS -RHIN.

BISCHWILLER. 67046 BAS-RHIN.

BISCHHEIM. 67043 BAS-RHIN.

BINDERNHEIM. 67040 BAS-RHIN.

BEINHEIM. 67025 BAS-RHIN.

BALDENHEIM. 67019 BAS-RHIN.

AUENHEIM. 67014 BAS-RHIN.

ARTOLSHEIM. 67011 BAS-RHIN.

AIX-EN-PROVENCE. 13001 BOUCHES-DU-RHONE.

ALLEINS. 13003 BOUCHES-DU-RHONE.

ARLES. 13004 BOUCHES-DU-RHONE.

AUREILLE. 13006 BOUCHES-DU-RHONE.

AURONS. 13008 BOUCHES-DU-RHONE.

LA BARBEN. 13009 BOUCHES-DU-RHONE.

BARBENTANE. 13010 BOUCHES-DU-RHONE.

LES BAUX-DE-PROVENCE. 13011 BOUCHES-DU-RHONE.

Page 70: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 27

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BERRE-L’ETANG. 13014 BOUCHES-DU-RHONE.

BOULBON. 13017 BOUCHES-DU-RHONE.

CABANNES. 13018 BOUCHES-DU-RHONE.

CABRIES. 13019 BOUCHES-DU-RHONE.

CARRY-LE-ROUET. 13021 BOUCHES-DU-RHONE.

CHARLEVAL. 13024 BOUCHES-DU-RHONE.

CHATEAUNEUF-LES-MARTIGUES. 13026 BOUCHES-DU-RHONE.

CHATEAURENARD. 13027 BOUCHES-DU-RHONE.

CORNILLON-CONFOUX. 13029 BOUCHES-DU-RHONE.

EGUILLES. 13032 BOUCHES-DU-RHONE.

ENSUES-LA-REDONNE. 13033 BOUCHES-DU-RHONE.

EYGALIERES. 13034 BOUCHES-DU-RHONE.

EYGUIERES. 13035 BOUCHES-DU-RHONE.

EYRAGUES. 13036 BOUCHES-DU-RHONE.

LA FARE-LES-OLIVIERS. 13037 BOUCHES-DU-RHONE.

FONTVIEILLE. 13038 BOUCHES-DU-RHONE.

FOS-SUR-MER. 13039 BOUCHES-DU-RHONE.

GIGNAC-LA-NERTHE. 13043 BOUCHES-DU-RHONE.

GRANS. 13044 BOUCHES-DU-RHONE.

GRAVESON. 13045 BOUCHES-DU-RHONE.

ISTRES. 13047 BOUCHES-DU-RHONE.

JOUQUES. 13048 BOUCHES-DU-RHONE.

LAMANON. 13049 BOUCHES-DU-RHONE.

LAMBESC. 13050 BOUCHES-DU-RHONE.

LANÇON-PROVENCE. 13051 BOUCHES-DU-RHONE.

MAILLANE. 13052 BOUCHES-DU-RHONE

MALLEMORT. 13053 BOUCHES-DU-RHONE.

MARIGNANE. 13054 BOUCHES-DU-RHONE.

MARTIGUES. 13056 BOUCHES-DU-RHONE.

MAS-BLANC-DES-ALPILLES. 13057 BOUCHES-DU-RHONE.

Page 71: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 28

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MAUSSANE-LES-ALPILLES. 13058 BOUCHES-DU-RHONE.

MEYRARGUES. 13059 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-PIERRE-DE-MEZOARGUES. 13061 BOUCHES-DU-RHONE.

MIRAMAS. 13063 BOUCHES-DU-RHONE.

MOLLEGES. 13064 BOUCHES-DU-RHONE.

MOURIES. 13065 BOUCHES-DU-RHONE.

NOVES. 13066 BOUCHES-DU-RHONE.

ORGON. 13067 BOUCHES-DU-RHONE.

PARADOU. 13068 BOUCHES-DU-RHONE.

PELISSANNE. 13069 BOUCHES-DU-RHONE.

LES PENNES-MIRABEAU. 13071 BOUCHES-DU-RHONE.

PEYROLLES-EN-PROVENCE. 13074 BOUCHES-DU-RHONE.

PLAN-D’ORGON. 13076 BOUCHES-DU-RHONE.

PORT-DE-BOUC. 13077 BOUCHES-DU-RHONE.

PORT-SAINT-LOUIS-DU-RHONE. 13078 BOUCHES-DU-RHONE.

LE PUY-SAINTE-REPARADE. 13080 BOUCHES-DU-RHONE.

ROGNAC. 13081 BOUCHES-DU-RHONE.

ROGNES. 13082 BOUCHES-DU-RHONE.

ROGNONAS. 13083 BOUCHES-DU-RHONE.

LA ROQUE-D’ANTHERON. 13084 BOUCHES-DU-RHONE.

LE ROVE. 13088 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-ANDIOL. 13089 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-CANNAT. 13091 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-CHAMAS. 13092 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-ESTEVE-JANSON. 13093 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-ETIENNE-DU-GRES. 13094 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-MARC-JAUMEGARDE. 13095 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINTES-MARIES-DE-LA-MER. 13096 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-MARTIN-DE-CRAU. 13097 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-MITRE-LES-REMPARTS. 13098 BOUCHES-DU-RHONE.

Page 72: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 29

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-PAUL-LES-DURANCE. 13099 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-REMY-DE-PROVENCE. 13100 BOUCHES-DU-RHONE.

SAINT-VICTORET. 13102 BOUCHES-DU-RHONE.

SALON-DE-PROVENCE. 13103 BOUCHES-DU-RHONE.

SAUSSET-LES-PINS. 13104 BOUCHES-DU-RHONE.

SENAS. 13105 BOUCHES-DU-RHONE.

TARASCON. 13108 BOUCHES-DU-RHONE.

VAUVENARGUES. 13111 BOUCHES-DU-RHONE.

VELAUX. 13112 BOUCHES-DU-RHONE.

VENELLES. 13113 BOUCHES-DU-RHONE.

VENTABREN. 13114 BOUCHES-DU-RHONE.

VERNEGUES. 13115 BOUCHES-DU-RHONE.

VERQUIERES. 13116 BOUCHES-DU-RHONE.

VITROLLES. 13117 BOUCHES-DU-RHONE.

COUDOUX. 13118 BOUCHES-DU-RHONE.

ABLON. 14001 CALVADOS.

AIGNERVILLE. 14004 CALVADOS.

ASNIERES-EN-BESSIN. 14023 CALVADOS.

BARNEVILLE-LA-BERTRAN. 14041 CALVADOS.

BERNESQ. 14063 CALVADOS.

BONNEVILLE-LA-LOUVET. 14085 CALVADOS.

BRICQUEVILLE. 14107 CALVADOS.

LA CAMBE. 14124 CALVADOS.

CANCHY. 14132 CALVADOS.

CARDONVILLE. 14136 CALVADOS.

CARTIGNY-L’EPINAY. 14138 CALVADOS.

CASTILLY. 14142 CALVADOS.

COLOMBIERES. 14168 CALVADOS.

CRICQUEBŒUF. 14202 CALVADOS.

CRICQUEVILLE-EN-BESSIN. 14204 CALVADOS.

Page 73: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 30

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

DEAUVILLE. 14220 CALVADOS.

DEUX-JUMEAUX. 14224 CALVADOS.

ECRAMMEVILLE. 14235 CALVADOS.

ENGLESQUEVILLE-LA-PERCEE. 14239 CALVADOS.

EQUEMAUVILLE. 14243 CALVADOS.

LA FOLIE. 14272 CALVADOS.

FORMIGNY. 14281 CALVADOS.

FOURNEVILLE. 14286 CALVADOS.

GEFOSSE-FONTENAY. 14298 CALVADOS.

GENNEVILLE. 14299 CALVADOS.

GONNEVILLE-SUR-HONFLEUR. 14304 CALVADOS.

GRANDCAMP-MAISY. 14312 CALVADOS.

HONFLEUR. 14333 CALVADOS.

ISIGNY-SUR-MER. 14342 CALVADOS.

LISON. 14367 CALVADOS.

LONGUEVILLE. 14378 CALVADOS.

MANDEVILLE-EN-BESSIN. 14397 CALVADOS.

MONFREVILLE. 14439 CALVADOS.

NEUILLY-LA-FORET. 14462 CALVADOS.

OSMANVILLE. 14480 CALVADOS.

LES OUBEAUX. 14481 CALVADOS.

PENNEDEPIE. 14492 CALVADOS.

QUETTEVILLE. 14528 CALVADOS.

LA RIVIERE-SAINT-SAUVEUR. 14536 CALVADOS.

RUBERCY. 14547 CALVADOS.

SAINT-ANDRE-D’HEBERTOT. 14555 CALVADOS.

SAINT-ARNOULT. 14557 CALVADOS.

SAINT-BENOIT-D’HEBERTOT. 14563 CALVADOS.

SAINT-GATIEN-DES-BOIS. 14578 CALVADOS.

SAINT-GERMAIN-DU-PERT. 14586 CALVADOS.

Page 74: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 31

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-MARCOUF. 14613 CALVADOS.

SAINTE-MARGUERITE-D’ELLE. 14614 CALVADOS.

SAINT-MARTIN-DE-BLAGNY. 14622 CALVADOS.

SAINT-PIERRE-DU-MONT. 14652 CALVADOS.

SAON. 14667 CALVADOS.

SAONNET. 14668 CALVADOS.

LE THEIL-EN-AUGE. 14687 CALVADOS.

TOUQUES. 14699 CALVADOS.

TOURGEVILLE. 14701 CALVADOS.

TREVIERES. 14711 CALVADOS.

TROUVILLE-SUR-MER. 14715 CALVADOS.

VILLERVILLE. 14755 CALVADOS.

VOUILLY. 14763 CALVADOS.

AIGREFEUILLE-D’AUNIS. 17003 CHARENTE-MARITIME.

ANAIS. 17007 CHARENTE-MARITIME.

ANDILLY. 17008 CHARENTE-MARITIME.

ANGLIERS. 17009 CHARENTE-MARITIME.

ANGOULINS. 17010 CHARENTE-MARITIME.

ANNEZAY. 17012 CHARENTE-MARITIME.

ARCES. 17015 CHARENTE-MARITIME.

ARDILLIERES. 17018 CHARENTE-MARITIME.

ARS-EN-RE. 17019 CHARENTE-MARITIME.

ARVERT. 17021 CHARENTE-MARITIME.

AYTRE. 17028 CHARENTE-MARITIME.

BALANZAC. 17030 CHARENTE-MARITIME.

BALLON. 17032 CHARENTE-MARITIME.

BARZAN. 17034 CHARENTE-MARITIME.

BEAUGEAY. 17036 CHARENTE-MARITIME.

BENON. 17041 CHARENTE-MARITIME.

BEURLAY. 17045 CHARENTE-MARITIME.

Page 75: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 32

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BOIS. 17050 CHARENTE-MARITIME.

LE BOIS-PLAGE-EN-RE. 17051 CHARENTE-MARITIME.

BOUHET. 17057 CHARENTE-MARITIME.

BOURCEFRANC-LE-CHAPUS. 17058 CHARENTE-MARITIME.

BOURGNEUF. 17059 CHARENTE-MARITIME.

BOUTENAC-TOUVENT. 17060 CHARENTE-MARITIME.

BREUIL-LA-REORTE. 17063 CHARENTE-MARITIME.

BREUILLET. 17064 CHARENTE-MARITIME.

BREUIL-MAGNE. 17065 CHARENTE-MARITIME.

BRIE-SOUS-MORTAGNE. 17068 CHARENTE-MARITIME.

CABARIOT. 17075 CHARENTE-MARITIME.

CHAILLEVETTE. 17079 CHARENTE-MARITIME.

CHAMBON. 17080 CHARENTE-MARITIME.

CHAMPAGNE. 17083 CHARENTE-MARITIME.

CHAMPAGNOLLES. 17084 CHARENTE-MARITIME.

CHARRON. 17091 CHARENTE-MARITIME.

CHATELAILLON-PLAGE. 17094 CHARENTE-MARITIME.

LE CHAY. 17097 CHARENTE-MARITIME.

CHENAC-SAINT-SEURIN-D’UZET. 17098 CHARENTE-MARITIME.

CHERVETTES. 17103 CHARENTE-MARITIME.

CIRE-D’AUNIS. 17107 CHARENTE-MARITIME.

CLAVETTE. 17109 CHARENTE-MARITIME.

CORME-ECLUSE. 17119 CHARENTE-MARITIME.

LA COUARDE-SUR-MER. 17121 CHARENTE-MARITIME.

COURCON. 17127 CHARENTE-MARITIME.

COZES. 17131 CHARENTE-MARITIME.

CRAMCHABAN. 17132 CHARENTE-MARITIME.

CROIX-CHAPEAU. 17136 CHARENTE-MARITIME.

DŒUIL-SUR-LE-MIGNON. 17139 CHARENTE-MARITIME.

DOMPIERRE-SUR-MER. 17142 CHARENTE-MARITIME.

Page 76: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 33

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ECHILLAIS. 17146 CHARENTE-MARITIME.

L’EGUILLE. 17151 CHARENTE-MARITIME.

EPARGNES. 17152 CHARENTE-MARITIME.

ESNANDES. 17153 CHARENTE-MARITIME.

ETAULES. 17155 CHARENTE-MARITIME.

FERRIERES. 17158 CHARENTE-MARITIME.

FLOIRAC. 17160 CHARENTE-MARITIME.

LA FLOTTE. 17161 CHARENTE-MARITIME.

FORGES. 17166 CHARENTE-MARITIME.

FOURAS. 17168 CHARENTE-MARITIME.

GENOUILLE. 17174 CHARENTE-MARITIME.

LA GREVE-SUR-MIGNON. 17182 CHARENTE-MARITIME.

GREZAC. 17183 CHARENTE-MARITIME.

LA GRIPPERIE-SAINT-SYMPHORIEN. 17184 CHARENTE-MARITIME.

LE GUA. 17185 CHARENTE-MARITIME.

LE GUE-D’ALLERE. 17186 CHARENTE-MARITIME.

HIERS-BROUAGE. 17189 CHARENTE-MARITIME.

L’HOUMEAU. 17190 CHARENTE-MARITIME.

LA JARNE. 17193 CHARENTE-MARITIME.

LA JARRIE. 17194 CHARENTE-MARITIME.

LAGORD. 17200 CHARENTE-MARITIME.

LA LAIGNE. 17201 CHARENTE-MARITIME.

LANDRAIS. 17203 CHARENTE-MARITIME.

LOIRE-LES-MARAIS. 17205 CHARENTE-MARITIME.

LOIX. 17207 CHARENTE-MARITIME.

LONGEVES. 17208 CHARENTE-MARITIME.

LORIGNAC. 17210 CHARENTE-MARITIME.

LUSSANT. 17216 CHARENTE-MARITIME.

MARANS. 17218 CHARENTE-MARITIME.

MARENNES. 17219 CHARENTE-MARITIME.

Page 77: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 34

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MARSAIS. 17221 CHARENTE-MARITIME.

MARSILLY. 17222 CHARENTE-MARITIME.

LES MATHES. 17225 CHARENTE-MARITIME.

MEDIS. 17228 CHARENTE-MARITIME.

MESCHERS-SUR-GIRONDE. 17230 CHARENTE-MARITIME.

MIRAMBEAU. 17236 CHARENTE-MARITIME.

MOEZE. 17237 CHARENTE-MARITIME.

MONTROY. 17245 CHARENTE-MARITIME.

MORAGNE. 17246 CHARENTE-MARITIME.

MORNAC-SUR-SEUDRE. 17247 CHARENTE-MARITIME.

MORTAGNE-SUR-GIRONDE. 17248 CHARENTE-MARITIME.

MURON. 17253 CHARENTE-MARITIME.

NANCRAS. 17255 CHARENTE-MARITIME.

NIEUL-SUR-MER. 17264 CHARENTE-MARITIME.

NIEULLE-SUR-SEUDRE. 17265 CHARENTE-MARITIME.

NUAILLE-D’AUNIS. 17267 CHARENTE-MARITIME.

PERE. 17272 CHARENTE-MARITIME.

PERIGNY. 17274 CHARENTE-MARITIME.

PONT-L’ABBE-D’ARNOULT. 17284 CHARENTE-MARITIME.

LES PORTES-EN-RE. 17286 CHARENTE-MARITIME.

PUILBOREAU. 17291 CHARENTE-MARITIME.

PUY-DU-LAC. 17292 CHARENTE-MARITIME.

PUYRAVAULT. 17293 CHARENTE-MARITIME.

RIVEDOUX-PLAGE. 17297 CHARENTE-MARITIME.

ROCHEFORT. 17299 CHARENTE-MARITIME.

LA ROCHELLE. 17300 CHARENTE-MARITIME.

LA RONDE. 17303 CHARENTE-MARITIME.

ROYAN. 17306 CHARENTE-MARITIME.

SABLONCEAUX. 17307 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-AGNANT. 17308 CHARENTE-MARITIME.

Page 78: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 35

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-AUGUSTIN. 17311 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-BONNET-SUR-GIRONDE. 17312 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-CHRISTOPHE. 17315 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-CIERS-DU-TAILLON. 17317 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-CLEMENT-DES-BALEINES. 17318 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-COUTANT-LE-GRAND. 17320 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-CREPIN. 17321 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-CYR-DU-DORET. 17322 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-DIZANT-DU-GUA. 17325 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-FORT-SUR-GIRONDE. 17328 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-FROULT. 17329 CHARENTE-MARITIME.

SAINTE-GEMME. 17330 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-GEORGES-DE-DIDONNE. 17333 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-GEORGES-DES-AGOUTS. 17335 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-GEORGES-DU-BOIS. 17338 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-GERMAIN-DE-MARENCENNES. 17340 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-GERMAIN-DU-SEUDRE. 17342 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-HIPPOLYTE. 17346 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-JEAN-D’ANGLE. 17348 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-JEAN-DE-LIVERSAY. 17349 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-JUST-LUZAC. 17351 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-LAURENT-DE-LA-BARRIERE. 17352 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-LAURENT-DE-LA-PREE. 17353 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-MARD. 17359 CHARENTE-MARITIME.

SAINTE-MARIE-DE-RE. 17360 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-MARTIAL-DE-MIRAMBEAU. 17362 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-MARTIN-DE-RE. 17369 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-MEDARD-D’AUNIS. 17373 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-NAZAIRE-SUR-CHARENTE. 17375 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-OUEN-D’AUNIS. 17376 CHARENTE-MARITIME.

Page 79: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 36

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-PALAIS-SUR-MER. 17380 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-PIERRE-D’AMILLY. 17382 CHARENTE-MARITIME.

SAINTE-RADEGONDE. 17389 CHARENTE-MARITIME.

SAINTE-RAMEE. 17390 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-ROGATIEN. 17391 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-ROMAIN-SUR-GIRONDE. 17392 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-ROMAIN-DE-BENET. 17393 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-SATURNIN-DU-BOIS. 17394 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-SAUVEUR-D’AUNIS. 17396 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-SORLIN-DE-CONAC. 17405 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-SORNIN. 17406 CHARENTE-MARITIME.

SAINTE-SOULLE. 17407 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-SULPICE-D’ARNOULT. 17408 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-SULPICE-DE-ROYAN. 17409 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-THOMAS-DE-CONAC. 17410 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-VIVIEN. 17413 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-XANDRE. 17414 CHARENTE-MARITIME.

SALLES-SUR-MER. 17420 CHARENTE-MARITIME.

SAUJON. 17421 CHARENTE-MARITIME.

SEMOUSSAC. 17424 CHARENTE-MARITIME.

SEMUSSAC. 17425 CHARENTE-MARITIME.

SOUBISE. 17429 CHARENTE-MARITIME.

SURGERES. 17434 CHARENTE-MARITIME.

TALMONT-SUR-GIRONDE. 17437 CHARENTE-MARITIME.

TAUGON. 17439 CHARENTE-MARITIME.

THAIRE. 17443 CHARENTE-MARITIME.

LE THOU. 17447 CHARENTE-MARITIME.

TONNAY-BOUTONNE. 17448 CHARENTE-MARITIME.

TONNAY-CHARENTE. 17449 CHARENTE-MARITIME.

LA TREMBLADE. 17452 CHARENTE-MARITIME.

Page 80: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 37

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

TRIZAY. 17453 CHARENTE-MARITIME.

LA VALLEE. 17455 CHARENTE-MARITIME.

VANDRE. 17457 CHARENTE-MARITIME.

VAUX-SUR-MER. 17461 CHARENTE-MARITIME.

VERGEROUX. 17463 CHARENTE-MARITIME.

VERINES. 17466 CHARENTE-MARITIME.

VILLEDOUX. 17472 CHARENTE-MARITIME.

VIROLLET. 17479 CHARENTE-MARITIME.

VIRSON. 17480 CHARENTE-MARITIME.

VOUHE. 17482 CHARENTE-MARITIME.

YVES. 17483 CHARENTE-MARITIME.

PORT-DES-BARQUES. 17484 CHARENTE-MARITIME.

VOUILLE. 79355 DEUX-SEVRES.

VILLIERS-EN-PLAINE. 79351 DEUX-SEVRES.

VILLIERS-EN-BOIS. 79350 DEUX-SEVRES.

LE VANNEAU. 79337 DEUX-SEVRES.

VALLANS. 79335 DEUX-SEVRES.

USSEAU. 79334 DEUX-SEVRES.

THORIGNY. 79328 DEUX-SEVRES.

SCIECQ. 79308 DEUX-SEVRES.

SANSAIS. 79304 DEUX-SEVRES.

SAINT-SYMPHORIEN. 79298 DEUX-SEVRES.

SAINT-REMY. 79293 DEUX-SEVRES.

SAINT-POMPAIN. 79290 DEUX-SEVRES.

SAINT-MAXIRE. 79281 DEUX-SEVRES.

SAINT-HILAIRE-LA-PALUD. 79257 DEUX-SEVRES.

SAINT-GEORGES-DE-REX. 79254 DEUX-SEVRES.

SAINT-GELAIS. 79249 DEUX-SEVRES.

LA ROCHENARD. 79229 DEUX-SEVRES.

PRIN-DEYRANCON. 79220 DEUX-SEVRES.

Page 81: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 38

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PRIAIRES. 79219 DEUX-SEVRES.

NIORT. 79191 DEUX-SEVRES.

MAUZE-SUR-LE-MIGNON. 79170 DEUX-SEVRES.

MARIGNY. 79166 DEUX-SEVRES.

MAGNE. 79162 DEUX-SEVRES.

GRANZAY-GRIPT. 79137 DEUX-SEVRES.

FRONTENAY-ROHAN-ROHAN. 79130 DEUX-SEVRES.

LA FOYE-MONJAULT. 79127 DEUX-SEVRES.

FORS. 79125 DEUX-SEVRES.

EPANNES. 79112 DEUX-SEVRES.

ECHIRE. 79109 DEUX-SEVRES.

COULON. 79100 DEUX-SEVRES.

CHAURAY. 79081 DEUX-SEVRES.

PRISSE-LA-CHARRIERE. 79078 DEUX-SEVRES.

LE BOURDET. 79046 DEUX-SEVRES.

BESSINES. 79034 DEUX-SEVRES.

BELLEVILLE. 79033 DEUX-SEVRES.

BEAUVOIR-SUR-NIORT. 79031 DEUX-SEVRES.

ARCAIS. 79010 DEUX-SEVRES.

AMURE. 79009 DEUX-SEVRES.

AIFFRES. 79003 DEUX-SEVRES.

ALBON. 26002 DROME.

ALLAN. 26005 DROME.

ALLEX. 26006 DROME.

ANCONE. 26008 DROME.

ANDANCETTE. 26009 DROME.

ANNEYRON. 26010 DROME.

BEAUMONT-LES-VALENCE. 26037 DROME.

BEAUMONT-MONTEUX. 26038 DROME.

BEAUSEMBLANT. 26041 DROME.

Page 82: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 39

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BEAUVALLON. 26042 DROME.

BOURG-LES-VALENCE. 26058 DROME.

CHANOS-CURSON. 26071 DROME.

CHANTEMERLE-LES-BLES. 26072 DROME.

CHATEAUNEUF-SUR-ISERE. 26084 DROME.

CHATEAUNEUF-DU-RHONE. 26085 DROME.

CLIOUSCLAT. 26097 DROME.

CONDILLAC. 26102 DROME.

LA COUCOURDE. 26106 DROME.

CROZES-HERMITAGE. 26110 DROME.

DONZERE. 26116 DROME.

EROME. 26119 DROME.

ESPELUCHE. 26121 DROME.

ETOILE-SUR-RHONE. 26124 DROME.

LA GARDE-ADHEMAR. 26138 DROME.

GRANE. 26144 DROME.

LES GRANGES-GONTARDES. 26145 DROME.

LARNAGE. 26156 DROME.

LAVEYRON. 26160 DROME.

LIVRON-SUR-DROME. 26165 DROME.

LORIOL-SUR-DROME. 26166 DROME.

MALATAVERNE. 26169 DROME.

MALISSARD. 26170 DROME.

MERCUROL. 26179 DROME.

MIRMANDE. 26185 DROME.

MONTBOUCHER-SUR-JABRON. 26191 DROME.

MONTELEGER. 26196 DROME.

MONTELIMAR. 26198 DROME.

PIERRELATTE. 26235 DROME.

PONSAS. 26247 DROME.

Page 83: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 40

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PONT-DE-L’ISERE. 26250 DROME.

PORTES-LES-VALENCE. 26252 DROME.

LA ROCHE-DE-GLUN. 26271 DROME.

ROUSSAS. 26284 DROME.

SAINT-BARDOUX. 26294 DROME.

SAINT-MARCEL-LES-SAUZET. 26312 DROME.

SAINT-MARCEL-LES-VALENCE. 26313 DROME.

SAINT-PAUL-TROIS-CHATEAUX. 26324 DROME.

SAINT-RAMBERT-D’ALBON. 26325 DROME.

SAINT-UZE. 26332 DROME.

SAINT-VALLIER. 26333 DROME.

SAULCE-SUR-RHONE. 26337 DROME.

SAUZET. 26338 DROME.

SAVASSE. 26339 DROME.

SERVES-SUR-RHONE. 26341 DROME.

TAIN-L’HERMITAGE. 26347 DROME.

LES TOURRETTES. 26353 DROME.

VALENCE. 26362 DROME.

VEAUNES. 26366 DROME.

GRANGES-LES-BEAUMONT. 26379 DROME.

GERVANS. 26380 DROME.

AIZIER. 27006 EURE.

BERVILLE-SUR-MER. 27064 EURE.

BEUZEVILLE. 27065 EURE.

LE BOIS-HELLAIN. 27071 EURE.

BOULLEVILLE. 27100 EURE.

BOUQUELON. 27101 EURE.

BOURNEVILLE. 27107 EURE.

CAMPIGNY. 27126 EURE.

CAUVERVILLE-EN-ROUMOIS. 27134 EURE.

Page 84: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 41

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA CHAPELLE-BAYVEL. 27146 EURE.

COLLETOT. 27163 EURE.

CONTEVILLE. 27169 EURE.

CORMEILLES. 27170 EURE.

CORNEVILLE-SUR-RISLE. 27174 EURE.

EPAIGNES. 27218 EURE.

ETREVILLE. 27227 EURE.

FATOUVILLE-GRESTAIN. 27233 EURE.

FIQUEFLEUR-EQUAINVILLE. 27243 EURE.

FORT-MOVILLE. 27258 EURE.

FOULBEC. 27260 EURE.

FOURMETOT. 27263 EURE.

LA HAYE-AUBREE. 27317 EURE.

LA HAYE-DE-ROUTOT. 27319 EURE.

LA LANDE-SAINT-LEGER. 27361 EURE.

MANNEVILLE-LA-RAOULT. 27384 EURE.

MANNEVILLE-SUR-RISLE. 27385 EURE.

MARAIS-VERNIER. 27388 EURE.

MARTAINVILLE. 27393 EURE.

PONT-AUDEMER. 27467 EURE.

LES PREAUX. 27476 EURE.

QUILLEBEUF-SUR-SEINE. 27485 EURE.

SAINT-AUBIN-SUR-QUILLEBEUF. 27518 EURE.

SAINTE-CROIX-SUR-AIZIER. 27526 EURE.

SAINT-GERMAIN-VILLAGE. 27549 EURE.

SAINT-MACLOU. 27561 EURE.

SAINT-MARDS-DE-BLACARVILLE. 27563 EURE.

SAINT-MARTIN-SAINT-FIRMIN. 27571 EURE.

SAINTE-OPPORTUNE-LA-MARE. 27577 EURE.

SAINT-OUEN-DES-CHAMPS. 27581 EURE.

Page 85: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 42

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-PIERRE-DE-CORMEILLES. 27591 EURE.

SAINT-PIERRE-DU-VAL. 27597 EURE.

SAINT-SAMSON-DE-LA-ROQUE. 27601 EURE.

SAINT-SIMEON. 27603 EURE.

SAINT-SULPICE-DE-GRIMBOUVILLE. 27604 EURE.

SAINT-SYLVESTRE-DE-CORMEILLES. 27605 EURE.

SAINT-SYMPHORIEN. 27606 EURE.

SAINT-THURIEN. 27607 EURE.

SELLES. 27620 EURE.

TOCQUEVILLE. 27645 EURE.

LE TORPT. 27646 EURE.

TOURVILLE-SUR-PONT-AUDEMER. 27655 EURE.

TOUTAINVILLE. 27656 EURE.

TRIQUEVILLE. 27662 EURE.

TROUVILLE-LA-HAULE. 27665 EURE.

VALLETOT. 27669 EURE.

VANNECROCQ. 27671 EURE.

VIEUX-PORT. 27686 EURE.

ARGOL. 29001 FINISTERE.

BOHARS. 29011 FINISTERE.

BOURG-BLANC. 29015 FINISTERE.

BREST. 29019 FINISTERE.

CAMARET-SUR-MER. 29022 FINISTERE.

CHATEAULIN. 29026 FINISTERE.

CROZON. 29042 FINISTERE.

DAOULAS. 29043 FINISTERE.

DINEAULT. 29044 FINISTERE.

DIRINON. 29045 FINISTERE.

LE FAOU. 29053 FINISTERE.

LA FOREST-LANDERNEAU. 29056 FINISTERE.

Page 86: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 43

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

GOUESNOU. 29061 FINISTERE.

GUILERS. 29069 FINISTERE.

GUIPAVAS. 29075 FINISTERE.

HANVEC. 29078 FINISTERE.

HOPITAL-CAMFROUT. 29080 FINISTERE.

IRVILLAC. 29086 FINISTERE.

KERSAINT-PLABENNEC. 29095 FINISTERE.

LANDERNEAU. 29103 FINISTERE.

LANDEVENNEC. 29104 FINISTERE.

LANVEOC. 29120 FINISTERE.

LOGONNA-DAOULAS. 29137 FINISTERE.

LOPEREC. 29139 FINISTERE.

LOPERHET. 29140 FINISTERE.

LA MARTYRE. 29144 FINISTERE.

MILIZAC. 29149 FINISTERE.

PENCRAN. 29156 FINISTERE.

PLABENNEC. 29160 FINISTERE.

PLEYBEN. 29162 FINISTERE.

PLOMODIERN. 29172 FINISTERE.

PLOUDANIEL. 29179 FINISTERE.

PLOUEDERN. 29181 FINISTERE.

PLOUGASTEL-DAOULAS. 29189 FINISTERE.

PLOUZANE. 29212 FINISTERE.

PORT-LAUNAY. 29222 FINISTERE.

LE RELECQ-KERHUON. 29235 FINISTERE.

ROSCANVEL. 29238 FINISTERE.

ROSNOEN. 29240 FINISTERE.

SAINT-DIVY. 29245 FINISTERE.

SAINT-ELOY. 29246 FINISTERE.

SAINT-NIC. 29256 FINISTERE.

Page 87: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 44

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-RIVOAL. 29261 FINISTERE.

SAINT-SEGAL. 29263 FINISTERE.

SAINT-THONAN. 29268 FINISTERE.

SAINT-URBAIN. 29270 FINISTERE.

SIZUN. 29277 FINISTERE.

TELGRUC-SUR-MER. 29280 FINISTERE.

TREFLEVENEZ. 29286 FINISTERE.

TREGARVAN. 29289 FINISTERE.

LE TREHOU. 29294 FINISTERE.

PONT-DE-BUIS-LES-QUIMERCH. 29302 FINISTERE.

AIGUES-MORTES. 30003 GARD.

AIGUES-VIVES. 30004 GARD.

AIMARGUES. 30006 GARD.

LES ANGLES. 30011 GARD.

ARAMON. 30012 GARD.

AUBORD. 30020 GARD.

BEAUCAIRE. 30032 GARD.

BEAUVOISIN. 30033 GARD.

BELLEGARDE. 30034 GARD.

BERNIS. 30036 GARD.

BOUILLARGUES. 30047 GARD.

LE CAILAR. 30059 GARD.

CAISSARGUES. 30060 GARD.

CODOGNAN. 30083 GARD.

COMPS. 30089 GARD.

DOMAZAN. 30103 GARD.

FOURQUES. 30117 GARD.

GALLARGUES-LE-MONTUEUX. 30123 GARD.

GARONS. 30125 GARD.

GENERAC. 30128 GARD.

Page 88: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 45

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LE GRAU-DU-ROI. 30133 GARD.

JONQUIERES-SAINT-VINCENT. 30135 GARD.

MANDUEL. 30155 GARD.

MILHAUD. 30169 GARD.

MONTFRIN. 30179 GARD.

MUS. 30185 GARD.

NIMES. 30189 GARD.

REDRESSAN. 30211 GARD.

ROCHEFORT-DU-GARD. 30217 GARD.

SAINT-GILLES. 30258 GARD.

SAINT-LAURENT-D’AIGOUZE. 30276 GARD.

SAZE. 30315 GARD.

THEZIERS. 30328 GARD.

UCHAUD. 30333 GARD.

VALLABREGUES. 30336 GARD.

VAUVERT. 30341 GARD.

VERGEZE. 30344 GARD.

VESTRIC-ET-CANDIAC. 30347 GARD.

VILLENEUVE-LES-AVIGNON. 30351 GARD.

RODILHAN. 30356 GARD.

CASTELNAU-D’AUZAN. 32079 GERS.

CASTEX-D’ARMAGNAC. 32087 GERS.

CAZAUBON. 32096 GERS.

EAUZE. 32119 GERS.

LE HOUGA. 32155 GERS.

LANNEMAIGNAN. 32189 GERS.

LAREE. 32193 GERS.

MAULEON-D’ARMAGNAC. 32243 GERS.

MONCLAR. 32264 GERS.

MONGUILHEM. 32271 GERS.

Page 89: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 46

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

REANS. 32340 GERS.

SEGOS. 32424 GERS.

TOUJOUSE. 32449 GERS.

AMBARES-ET-LAGRAVE. 33003 GIRONDE.

AMBES. 33004 GIRONDE.

ANDERNOS-LES-BAINS. 33005 GIRONDE.

ANGLADE. 33006 GIRONDE.

ARCACHON. 33009 GIRONDE.

ARCINS. 33010 GIRONDE.

ARES. 33011 GIRONDE.

ARSAC. 33012 GIRONDE.

AUDENGE. 33019 GIRONDE.

AVENSAN. 33022 GIRONDE.

LE BARP. 33029 GIRONDE.

BAYON-SUR-GIRONDE. 33035 GIRONDE.

BEGADAN. 33038 GIRONDE.

BERSON. 33047 GIRONDE.

BIGANOS. 33051 GIRONDE.

BLAIGNAN. 33055 GIRONDE.

BLANQUEFORT. 33056 GIRONDE.

BLAYE. 33058 GIRONDE.

BOURG. 33067 GIRONDE.

BRACH. 33070 GIRONDE.

BRAUD-ET-SAINT-LOUIS. 33073 GIRONDE.

CAMPUGNAN. 33089 GIRONDE.

CANTENAC. 33091 GIRONDE.

CARCANS. 33097 GIRONDE.

CARS. 33100 GIRONDE.

CARTELEGUE. 33101 GIRONDE.

CASTELNAU-DE-MEDOC. 33104 GIRONDE.

Page 90: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 47

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CESTAS. 33122 GIRONDE.

CISSAC-MEDOC. 33125 GIRONDE.

CIVRAC-EN-MEDOC. 33128 GIRONDE.

COMPS. 33132 GIRONDE.

COUQUEQUES. 33134 GIRONDE.

CUSSAC-FORT-MEDOC. 33146 GIRONDE.

ETAULIERS. 33159 GIRONDE.

EYRANS. 33161 GIRONDE.

FOURS. 33172 GIRONDE.

GAILLAN-EN-MEDOC. 33177 GIRONDE.

GAURIAC. 33182 GIRONDE.

GRAYAN-ET-L’HOPITAL. 33193 GIRONDE.

GUJAN-MESTRAS. 33199 GIRONDE.

HOURTIN. 33203 GIRONDE.

JAU-DIGNAC-ET-LOIRAC. 33208 GIRONDE.

LABARDE. 33211 GIRONDE.

LACANAU. 33214 GIRONDE.

LAMARQUE. 33220 GIRONDE.

LANSAC. 33228 GIRONDE.

LANTON. 33229 GIRONDE.

LEGE-CAP-FERRET. 33236 GIRONDE.

LESPARRE-MEDOC. 33240 GIRONDE.

LISTRAC-MEDOC. 33248 GIRONDE.

LUDON-MEDOC. 33256 GIRONDE.

MACAU. 33262 GIRONDE.

MARGAUX. 33268 GIRONDE.

MARTIGNAS-SUR-JALLE. 33273 GIRONDE.

MAZION. 33280 GIRONDE.

MIOS. 33284 GIRONDE.

MOMBRIER. 33285 GIRONDE.

Page 91: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 48

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MOULIS-EN-MEDOC. 33297 GIRONDE.

NAUJAC-SUR-MER. 33300 GIRONDE.

ORDONNAC. 33309 GIRONDE.

PAREMPUYRE. 33312 GIRONDE.

PAUILLAC. 33314 GIRONDE.

LE PIAN-MEDOC. 33322 GIRONDE.

PLASSAC. 33325 GIRONDE.

PLEINE-SELVE. 33326 GIRONDE.

LE PORGE. 33333 GIRONDE.

PRIGNAC-EN-MEDOC. 33338 GIRONDE.

PRIGNAC-ET-MARCAMPS. 33339 GIRONDE.

QUEYRAC. 33348 GIRONDE.

REIGNAC. 33351 GIRONDE.

SAINT-ANDRONY. 33370 GIRONDE.

SAINT-AUBIN-DE-BLAYE. 33374 GIRONDE.

SAINT-AUBIN-DE-MEDOC. 33376 GIRONDE.

SAINT-CAPRAIS-DE-BLAYE. 33380 GIRONDE.

SAINT-CHRISTOLY-MEDOC. 33383 GIRONDE.

SAINT-CIERS-DE-CANESSE. 33388 GIRONDE.

SAINT-CIERS-SUR-GIRONDE. 33389 GIRONDE.

SAINT-ESTEPHE. 33395 GIRONDE.

SAINT-GENES-DE-BLAYE. 33405 GIRONDE.

SAINT-GERMAIN-D’ESTEUIL. 33412 GIRONDE.

SAINTE-HELENE. 33417 GIRONDE.

SAINT-JEAN-D’ILLAC. 33422 GIRONDE.

SAINT-JULIEN-BEYCHEVELLE. 33423 GIRONDE.

SAINT-LAURENT-MEDOC. 33424 GIRONDE.

SAINT-LOUIS-DE-MONTFERRAND. 33434 GIRONDE.

SAINT-MARTIN-LACAUSSADE. 33441 GIRONDE.

SAINT-MEDARD-EN-JALLES. 33449 GIRONDE.

Page 92: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 49

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-PALAIS. 33456 GIRONDE.

SAINT-PAUL. 33458 GIRONDE.

SAINT-SAUVEUR. 33471 GIRONDE.

SAINT-SEURIN-DE-BOURG. 33475 GIRONDE.

SAINT-SEURIN-DE-CADOURNE. 33476 GIRONDE.

SAINT-SEURIN-DE-CURSAC. 33477 GIRONDE.

SAINT-TROJAN. 33486 GIRONDE.

SAINT-VINCENT-DE-PAUL. 33487 GIRONDE.

SAINT-VIVIEN-DE-MEDOC. 33490 GIRONDE.

SAINT-YZANS-DE-MEDOC. 33493 GIRONDE.

SALAUNES. 33494 GIRONDE.

SALLES. 33498 GIRONDE.

SAMONAC. 33500 GIRONDE.

SAUMOS. 33503 GIRONDE.

SOULAC-SUR-MER. 33514 GIRONDE.

SOUSSANS. 33517 GIRONDE.

LE TAILLAN-MEDOC. 33519 GIRONDE.

TALAIS. 33521 GIRONDE.

TAURIAC. 33525 GIRONDE.

LE TEICH. 33527 GIRONDE.

LE TEMPLE. 33528 GIRONDE.

LA TESTE-DE-BUCH. 33529 GIRONDE.

TEUILLAC. 33530 GIRONDE.

VALEYRAC. 33538 GIRONDE.

VENDAYS-MONTALIVET. 33540 GIRONDE.

VENSAC. 33541 GIRONDE.

LE VERDON-SUR-MER. 33544 GIRONDE.

VERTHEUIL. 33545 GIRONDE.

VILLENEUVE. 33551 GIRONDE.

MARCHEPRIME. 33555 GIRONDE.

Page 93: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 50

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BASTIA. 2B033 HAUTE-CORSE.

BIGUGLIA. 2B037 HAUTE-CORSE.

BORGO. 2B042 HAUTE-CORSE.

FURIANI. 2B120 HAUTE-CORSE.

LUCCIANA. 2B148 HAUTE-CORSE.

OLMO. 2B192 HAUTE-CORSE.

VENZOLASCA. 2B343 HAUTE-CORSE.

VESCOVATO. 2B346 HAUTE-CORSE.

WASSY. 52550 HAUTE-MARNE.

VOILLECOMTE. 52543 HAUTE-MARNE.

VILLIERS-EN-LIEU. 52534 HAUTE-MARNE.

VAUX-SUR-BLAISE. 52510 HAUTE-MARNE.

VALCOURT. 52500 HAUTE-MARNE.

TROISFONTAINES-LA-VILLE. 52497 HAUTE-MARNE.

TREMILLY. 52495 HAUTE-MARNE.

THILLEUX. 52487 HAUTE-MARNE.

SOMMEVOIRE. 52479 HAUTE-MARNE.

SOMMANCOURT. 52475 HAUTE-MARNE.

SAINT-DIZIER. 52448 HAUTE-MARNE.

ROCHES-SUR-MARNE. 52429 HAUTE-MARNE.

ROBERT-MAGNY-LANEUVILLE-A-REMY. 52427 HAUTE-MARNE.

RACHECOURT-SUR-MARNE. 52414 HAUTE-MARNE.

PUELLEMONTIER. 52411 HAUTE-MARNE.

PLANRUPT. 52391 HAUTE-MARNE.

PERTHES. 52386 HAUTE-MARNE.

NULLY-TREMILLY. 52359 HAUTE-MARNE.

NARCY. 52347 HAUTE-MARNE.

MONTREUIL-SUR-BLAISE. 52336 HAUTE-MARNE.

MONTIER-EN-DER. 52331 HAUTE-MARNE.

MOESLAINS. 52327 HAUTE-MARNE.

Page 94: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 51

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MERTRUD. 52321 HAUTE-MARNE.

MAIZIERES. 52302 HAUTE-MARNE.

MAGNEUX. 52300 HAUTE-MARNE.

LOUZE. 52296 HAUTE-MARNE.

LOUVEMONT. 52294 HAUTE-MARNE.

LONGEVILLE-SUR-LA-LAINES. 52293 HAUTE-MARNE.

LANEUVILLE-AU-PONT. 52267 HAUTE-MARNE.

BAYARD-SUR-MARNE. 52265 HAUTE-MARNE.

HUMBECOURT. 52244 HAUTE-MARNE.

HALLIGNICOURT. 52235 HAUTE-MARNE.

FRAMPAS. 52206 HAUTE-MARNE.

FONTAINES-SUR-MARNE. 52203 HAUTE-MARNE.

EURVILLE-BIENVILLE. 52194 HAUTE-MARNE.

ECLARON-BRAUCOURT-SAINTE-LIVIERE. 52182 HAUTE-MARNE.

DROYES. 52180 HAUTE-MARNE.

DOULEVANT-LE-CHATEAU. 52178 HAUTE-MARNE.

DOMMARTIN-LE-SAINT-PERE. 52172 HAUTE-MARNE.

CHEVILLON. 52123 HAUTE-MARNE.

CHANCENAY. 52104 HAUTE-MARNE.

CHAMOUILLEY. 52099 HAUTE-MARNE.

CEFFONDS. 52088 HAUTE-MARNE.

BROUSSEVAL. 52079 HAUTE-MARNE.

BLUMERAY. 52057 HAUTE-MARNE.

BEURVILLE. 52047 HAUTE-MARNE.

BETTANCOURT-LA-FERREE. 52045 HAUTE-MARNE.

BAILLY-AUX-FORGES. 52034 HAUTE-MARNE.

ATTANCOURT. 52021 HAUTE-MARNE.

ALLICHAMPS. 52006 HAUTE-MARNE.

AVANÇON. 05011 HAUTES-ALPES.

BARCILLONNETTE. 05013 HAUTES-ALPES.

Page 95: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 52

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA BATIE-VIEILLE. 05018 HAUTES-ALPES.

BREZIERS. 05022 HAUTES-ALPES.

CHATEAUVIEUX. 05037 HAUTES-ALPES.

CHORGES. 05040 HAUTES-ALPES.

ESPARRON. 05049 HAUTES-ALPES.

ESPINASSES. 05050 HAUTES-ALPES.

FOUILLOUSE. 05057 HAUTES-ALPES.

GAP. 05061 HAUTES-ALPES.

JARJAYES. 05068 HAUTES-ALPES.

LARAGNE-MONTEGLIN. 05070 HAUTES-ALPES.

LARDIER-ET-VALENÇA. 05071 HAUTES-ALPES.

LAZER. 05073 HAUTES-ALPES.

LETTRET. 05074 HAUTES-ALPES.

MONETIER-ALLEMONT. 05078 HAUTES-ALPES.

MONTGARDIN. 05084 HAUTES-ALPES.

NEFFES. 05092 HAUTES-ALPES.

LE POET. 05103 HAUTES-ALPES.

RAMBAUD. 05113 HAUTES-ALPES.

REMOLLON. 05115 HAUTES-ALPES.

RIBIERS. 05118 HAUTES-ALPES.

ROCHEBRUNE. 05121 HAUTES-ALPES.

ROUSSET. 05127 HAUTES-ALPES.

SAINT-ETIENNE-LE-LAUS. 05140 HAUTES-ALPES.

SAINT-GENIS. 05143 HAUTES-ALPES.

LA SAULCE. 05162 HAUTES-ALPES.

LE SAUZE-DU-LAC. 05163 HAUTES-ALPES.

SAVOURNON. 05165 HAUTES-ALPES.

SIGOYER. 05168 HAUTES-ALPES.

TALLARD. 05170 HAUTES-ALPES.

THEUS. 05171 HAUTES-ALPES.

Page 96: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 53

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

UPAIX. 05173 HAUTES-ALPES.

VALSERRES. 05176 HAUTES-ALPES.

VENTAVON. 05178 HAUTES-ALPES.

VITROLLES. 05184 HAUTES-ALPES.

YVOIRE. 74315 HAUTE-SAVOIE.

VEIGY-FONCENEX. 74293 HAUTE-SAVOIE.

USINENS. 74285 HAUTE-SAVOIE.

THONON-LES-BAINS. 74281 HAUTE-SAVOIE.

THOLLON-LES-MEMISES. 74279 HAUTE-SAVOIE.

VAL-DE-FIER. 74274 HAUTE-SAVOIE.

SEYSSEL. 74269 HAUTE-SAVOIE.

SCIEZ. 74263 HAUTE-SAVOIE.

SAINT-PAUL-EN-CHABLAIS. 74249 HAUTE-SAVOIE.

SAINT-GINGOLPH. 74237 HAUTE-SAVOIE.

PUBLIER. 74218 HAUTE-SAVOIE.

PERRIGNIER. 74210 HAUTE-SAVOIE.

NOVEL. 74203 HAUTE-SAVOIE.

NEUVECELLE. 74200 HAUTE-SAVOIE.

NERNIER. 74199 HAUTE-SAVOIE.

MOYE. 74192 HAUTE-SAVOIE.

MESSERY. 74180 HAUTE-SAVOIE.

MEILLERIE. 74175 HAUTE-SAVOIE.

MAXILLY-SUR-LEMAN. 74172 HAUTE-SAVOIE.

MASSONGY. 74171 HAUTE-SAVOIE.

MASSINGY. 74170 HAUTE-SAVOIE.

MARIN. 74166 HAUTE-SAVOIE.

MARGENCEL. 74163 HAUTE-SAVOIE.

MACHILY. 74158 HAUTE-SAVOIE.

LULLY. 74156 HAUTE-SAVOIE.

LUGRIN. 74154 HAUTE-SAVOIE.

Page 97: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 54

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LORNAY. 74151 HAUTE-SAVOIE.

LOISIN. 74150 HAUTE-SAVOIE.

LARRINGES. 74146 HAUTE-SAVOIE.

FESSY. 74126 HAUTE-SAVOIE.

EXCENEVEX. 74121 HAUTE-SAVOIE.

EVIAN-LES-BAINS. 74119 HAUTE-SAVOIE.

DROISY. 74107 HAUTE-SAVOIE.

DOUVAINE. 74105 HAUTE-SAVOIE.

DESINGY. 74100 HAUTE-SAVOIE.

CHENS-SUR-LEMAN. 74070 HAUTE-SAVOIE.

CHAMPANGES. 74057 HAUTE-SAVOIE.

CERVENS. 74053 HAUTE-SAVOIE.

BRENTHONNE. 74048 HAUTE-SAVOIE.

BONS-EN-CHABLAIS. 74043 HAUTE-SAVOIE.

BERNEX. 74033 HAUTE-SAVOIE.

BASSY. 74029 HAUTE-SAVOIE.

BALLAISON. 74025 HAUTE-SAVOIE.

ARMOY. 74020 HAUTE-SAVOIE.

ANTHY-SUR-LEMAN. 74013 HAUTE-SAVOIE.

ALLINGES. 74005 HAUTE-SAVOIE.

WOLFGANTZEN. 68379 HAUT-RHIN.

WIDENSOLEN. 68367 HAUT-RHIN.

WECKOLSHEIM. 68360 HAUT-RHIN.

VOLGELSHEIM. 68352 HAUT-RHIN.

VOGELGRUN. 68351 HAUT-RHIN.

VILLAGE-NEUF. 68349 HAUT-RHIN.

URSCHENHEIM. 68345 HAUT-RHIN.

UFFHEIM. 68341 HAUT-RHIN.

SIERENTZ. 68309 HAUT-RHIN.

SCHLIERBACH. 68301 HAUT-RHIN.

Page 98: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 55

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAUSHEIM. 68300 HAUT-RHIN.

SAINT-LOUIS. 68297 HAUT-RHIN.

RUMERSHEIM-LE-HAUT. 68291 HAUT-RHIN.

RUSTENHART. 68290 HAUT-RHIN.

ROSENAU. 68286 HAUT-RHIN.

ROGGENHOUSE. 68281 HAUT-RHIN.

RIXHEIM. 68278 HAUT-RHIN.

PETIT-LANDAU. 68254 HAUT-RHIN.

OTTMARSHEIM. 68253 HAUT-RHIN.

OBERSAASHEIM. 68246 HAUT-RHIN.

NIFFER. 68238 HAUT-RHIN.

NEUF-BRISACH. 68231 HAUT-RHIN.

NAMBSHEIM. 68230 HAUT-RHIN.

MUNCHHOUSE. 68225 HAUT-RHIN.

KUNHEIM. 68172 HAUT-RHIN.

KEMBS. 68163 HAUT-RHIN.

KAPPELEN. 68160 HAUT-RHIN.

JEBSHEIM. 68157 HAUT-RHIN.

HUNINGUE. 68149 HAUT-RHIN.

HOMBOURG. 68144 HAUT-RHIN.

HIRTZFELDEN. 68140 HAUT-RHIN.

HESINGUE. 68135 HAUT-RHIN.

HEITEREN. 68130 HAUT-RHIN.

HEGENHEIM. 68126 HAUT-RHIN.

HABSHEIM. 68118 HAUT-RHIN.

GRUSSENHEIM. 68110 HAUT-RHIN.

GEISWASSER. 68104 HAUT-RHIN.

GEISPITZEN. 68103 HAUT-RHIN.

FESSENHEIM. 68091 HAUT-RHIN.

DURRENENTZEN. 68076 HAUT-RHIN.

Page 99: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 56

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

DIETWILLER. 68072 HAUT-RHIN.

DESSENHEIM. 68069 HAUT-RHIN.

CHALAMPE. 68064 HAUT-RHIN.

BRINCKHEIM. 68054 HAUT-RHIN.

BLOTZHEIM. 68042 HAUT-RHIN.

BLODELSHEIM. 68041 HAUT-RHIN.

BIESHEIM. 68036 HAUT-RHIN.

BATTENHEIM. 68022 HAUT-RHIN.

BARTENHEIM. 68021 HAUT-RHIN.

BANTZENHEIM. 68020 HAUT-RHIN.

BALTZENHEIM. 68019 HAUT-RHIN.

BALGAU. 68016 HAUT-RHIN.

BALDERSHEIM. 68015 HAUT-RHIN.

ARTZENHEIM. 68009 HAUT-RHIN.

ALGOLSHEIM. 68001 HAUT-RHIN.

AGDE. 34003 HERAULT.

BAILLARGUES. 34022 HERAULT.

BALARUC-LES-BAINS. 34023 HERAULT.

BALARUC-LE-VIEUX. 34024 HERAULT.

BESSAN. 34031 HERAULT.

BOUZIGUES. 34039 HERAULT.

CANDILLARGUES. 34050 HERAULT.

CASTELNAU-DE-GUERS. 34056 HERAULT.

FABREGUES. 34095 HERAULT.

FLORENSAC. 34101 HERAULT.

FRONTIGNAN. 34108 HERAULT.

GIGEAN. 34113 HERAULT.

LANSARGUES. 34127 HERAULT.

LATTES. 34129 HERAULT.

LOUPIAN. 34143 HERAULT.

Page 100: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 57

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LUNEL. 34145 HERAULT.

LUNEL-VIEL. 34146 HERAULT.

MARSEILLAN. 34150 HERAULT.

MARSILLARGUES. 34151 HERAULT.

MAUGUIO. 34154 HERAULT.

MEZE. 34157 HERAULT.

MIREVAL. 34159 HERAULT.

MONTAGNAC. 34162 HERAULT.

MONTBAZIN. 34165 HERAULT.

MONTPELLIER. 34172 HERAULT.

MUDAISON. 34176 HERAULT.

PALAVAS-LES-FLOTS. 34192 HERAULT.

PEROLS. 34198 HERAULT.

PINET. 34203 HERAULT.

POMEROLS. 34207 HERAULT.

PORTIRAGNES. 34209 HERAULT.

POUSSAN. 34213 HERAULT.

SAINT-AUNES. 34240 HERAULT.

SAINT-BRES. 34244 HERAULT.

SAINT-JEAN-DE-VEDAS. 34270 HERAULT.

SAINT-JUST. 34272 HERAULT.

SAINT-NAZAIRE-DE-PEZAN. 34280 HERAULT.

SERIGNAN. 34299 HERAULT.

SETE. 34301 HERAULT.

VALERGUES. 34321 HERAULT.

VALRAS-PLAGE. 34324 HERAULT.

VENDRES. 34329 HERAULT.

VIAS. 34332 HERAULT.

VIC-LA-GARDIOLE. 34333 HERAULT.

VILLENEUVE-LES-MAGUELONE. 34337 HERAULT.

Page 101: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 58

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VILLEVEYRAC. 34341 HERAULT.

LA GRANDE-MOTTE. 34344 HERAULT.

ACIGNE. 35001 ILLE-ET-VILAINE.

ANTRAIN. 35004 ILLE-ET-VILAINE.

ARGENTRE-DU-PLESSIS. 35006 ILLE-ET-VILAINE.

BAGUER-PICAN. 35010 ILLE-ET-VILAINE.

BAILLE. 35011 ILLE-ET-VILAINE.

BALAZE. 35015 ILLE-ET-VILAINE.

LA BAZOUGE-DU-DESERT. 35018 ILLE-ET-VILAINE.

BAZOUGES-LA-PEROUSE. 35019 ILLE-ET-VILAINE.

BEAUCE. 35021 ILLE-ET-VILAINE.

BILLE. 35025 ILLE-ET-VILAINE.

LA BOUEXIERE. 35031 ILLE-ET-VILAINE.

LA BOUSSAC. 35034 ILLE-ET-VILAINE.

BREAL-SOUS-VITRE. 35038 ILLE-ET-VILAINE.

BRECE. 35039 ILLE-ET-VILAINE.

BRIELLES. 35042 ILLE-ET-VILAINE.

CANCALE. 35049 ILLE-ET-VILAINE.

CHAMPEAUX. 35052 ILLE-ET-VILAINE.

LA CHAPELLE-ERBREE. 35061 ILLE-ET-VILAINE.

LA CHAPELLE-JANSON. 35062 ILLE-ET-VILAINE.

LA CHAPELLE-SAINT-AUBERT. 35063 ILLE-ET-VILAINE.

CHATEAUBOURG. 35068 ILLE-ET-VILAINE.

LE CHATELLIER. 35071 ILLE-ET-VILAINE.

CHATILLON-EN-VENDELAIS. 35072 ILLE-ET-VILAINE.

CHAUVIGNE. 35075 ILLE-ET-VILAINE.

CHERRUEIX. 35078 ILLE-ET-VILAINE.

COGLES. 35083 ILLE-ET-VILAINE.

COMBOURTILLE. 35086 ILLE-ET-VILAINE.

DOL-DE-BRETAGNE. 35095 ILLE-ET-VILAINE.

Page 102: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 59

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

DOMAGNE. 35096 ILLE-ET-VILAINE.

DOMALAIN. 35097 ILLE-ET-VILAINE.

DOMPIERRE-DU-CHEMIN. 35100 ILLE-ET-VILAINE.

DOURDAIN. 35101 ILLE-ET-VILAINE.

ERBREE. 35105 ILLE-ET-VILAINE.

ERCE-PRES-LIFFRE. 35107 ILLE-ET-VILAINE.

ETRELLES. 35109 ILLE-ET-VILAINE.

LE FERRE. 35111 ILLE-ET-VILAINE.

FLEURIGNE. 35112 ILLE-ET-VILAINE.

LA FONTENELLE. 35113 ILLE-ET-VILAINE.

FOUGERES. 35115 ILLE-ET-VILAINE.

LA FRESNAIS. 35116 ILLE-ET-VILAINE.

GAHARD. 35118 ILLE-ET-VILAINE.

GENNES-SUR-SEICHE. 35119 ILLE-ET-VILAINE.

GOSNE. 35121 ILLE-ET-VILAINE.

LA GOUESNIERE. 35122 ILLE-ET-VILAINE.

HIREL. 35132 ILLE-ET-VILAINE.

JAVENE. 35137 ILLE-ET-VILAINE.

LAIGNELET. 35138 ILLE-ET-VILAINE.

LANDAVRAN. 35141 ILLE-ET-VILAINE.

LANDEAN. 35142 ILLE-ET-VILAINE.

LECOUSSE. 35150 ILLE-ET-VILAINE.

LIFFRE. 35152 ILLE-ET-VILAINE.

LILLEMER. 35153 ILLE-ET-VILAINE.

LIVRE-SUR-CHANGEON. 35154 ILLE-ET-VILAINE.

LE LOROUX. 35157 ILLE-ET-VILAINE.

LOUVIGNE-DU-DESERT. 35162 ILLE-ET-VILAINE.

LUITRE. 35163 ILLE-ET-VILAINE.

MARPIRE. 35166 ILLE-ET-VILAINE.

MECE. 35170 ILLE-ET-VILAINE.

Page 103: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 60

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MELLE. 35174 ILLE-ET-VILAINE.

MEZIERES-SUR-COUESNON. 35178 ILLE-ET-VILAINE.

MONDEVERT. 35183 ILLE-ET-VILAINE.

MONTAUTOUR. 35185 ILLE-ET-VILAINE.

MONT-DOL. 35186 ILLE-ET-VILAINE.

MONTHAULT. 35190 ILLE-ET-VILAINE.

MONTOURS. 35191 ILLE-ET-VILAINE.

MONTREUIL-DES-LANDES. 35192 ILLE-ET-VILAINE.

MONTREUIL-SOUS-PEROUSE. 35194 ILLE-ET-VILAINE.

NOYAL-SUR-VILAINE. 35207 ILLE-ET-VILAINE.

PARCE. 35214 ILLE-ET-VILAINE.

PARIGNE. 35215 ILLE-ET-VILAINE.

LE PERTRE. 35217 ILLE-ET-VILAINE.

PLEINE-FOUGERES. 35222 ILLE-ET-VILAINE.

POCE-LES-BOIS. 35229 ILLE-ET-VILAINE.

POILLEY. 35230 ILLE-ET-VILAINE.

PRINCE. 35232 ILLE-ET-VILAINE.

ROMAGNE. 35243 ILLE-ET-VILAINE.

ROMAZY. 35244 ILLE-ET-VILAINE.

ROZ-LANDRIEUX. 35246 ILLE-ET-VILAINE.

ROZ-SUR-COUESNON. 35247 ILLE-ET-VILAINE.

SAINS. 35248 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-AUBIN-DU-CORMIER. 35253 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-BENOIT-DES-ONDES. 35255 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-BRICE-EN-COGLES. 35257 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-BROLADRE. 35259 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-CHRISTOPHE-DES-BOIS. 35260 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-CHRISTOPHE-DE-VALAINS. 35261 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-COULOMB. 35263 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-ETIENNE-EN-COGLES. 35267 ILLE-ET-VILAINE.

Page 104: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 61

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-GEORGES-DE-CHESNE. 35269 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-GEORGES-DE-GREHAIGNE. 35270 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-GEORGES-DE-REINTEMBAULT. 35271 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-GERMAIN-DU-PINEL. 35272 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-GERMAIN-EN-COGLES. 35273 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-GUINOUX. 35279 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-HILAIRE-DES-LANDES. 35280 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-JEAN-SUR-COUESNON. 35282 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-JOUAN-DES-GUERETS. 35284 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-MALO. 35288 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-MARCAN. 35291 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-MARC-LE-BLANC. 35292 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-MARC-SUR-COUESNON. 35293 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-MELOIR-DES-ONDES. 35299 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-M’HERVE. 35300 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-OUEN-LA-ROUERIE. 35303 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-OUEN-DES-ALLEUX. 35304 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-PERE. 35306 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-SAUVEUR-DES-LANDES. 35310 ILLE-ET-VILAINE.

LA SELLE-EN-COGLES. 35323 ILLE-ET-VILAINE.

LA SELLE-EN-LUITRE. 35324 ILLE-ET-VILAINE.

SERVON-SUR-VILAINE. 35327 ILLE-ET-VILAINE.

SOUGEAL. 35329 ILLE-ET-VILAINE.

TAILLIS. 35330 ILLE-ET-VILAINE.

LE TIERCENT. 35336 ILLE-ET-VILAINE.

TRANS-LA-FORET. 35339 ILLE-ET-VILAINE.

TREMBLAY. 35341 ILLE-ET-VILAINE.

VAL-D’IZE. 35347 ILLE-ET-VILAINE.

VENDEL. 35348 ILLE-ET-VILAINE.

VIEUX-VIEL. 35354 ILLE-ET-VILAINE.

Page 105: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 62

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VIEUX-VY-SUR-COUESNON. 35355 ILLE-ET-VILAINE.

VILLAMEE. 35357 ILLE-ET-VILAINE.

VITRE. 35360 ILLE-ET-VILAINE.

LE VIVIER-SUR-MER. 35361 ILLE-ET-VILAINE.

ARPHEUILLES. 36008 INDRE.

AZAY-LE-FERRON. 36010 INDRE.

LE BLANC. 36018 INDRE.

BUZANÇAIS. 36031 INDRE.

CHITRAY. 36051 INDRE.

CIRON. 36053 INDRE.

DOUADIC. 36066 INDRE.

LINGE. 36096 INDRE.

LUANT. 36101 INDRE.

LUREUIL. 36105 INDRE.

MARTIZAY. 36113 INDRE.

MEOBECQ. 36118 INDRE.

MEZIERES-EN-BRENNE. 36123 INDRE.

MIGNE. 36124 INDRE.

NEUILLAY-LES-BOIS. 36139 INDRE.

NIHERNE. 36142 INDRE.

NURET-LE-FERRON. 36144 INDRE.

PAULNAY. 36153 INDRE.

POULIGNY-SAINT-PIERRE. 36165 INDRE.

ROSNAY. 36173 INDRE.

RUFFEC. 36176 INDRE.

SAINTE-GEMME. 36193 INDRE.

SAINT-GENOU. 36194 INDRE.

SAINT-MAUR. 36202 INDRE.

SAINT-MICHEL-EN-BRENNE. 36204 INDRE.

SAULNAY. 36212 INDRE.

Page 106: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 63

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VELLES. 36231 INDRE.

VENDŒUVRES. 36232 INDRE.

BOSSAY-SUR-CLAISE. 37028 INDRE-ET-LOIRE.

CHARNIZAY. 37061 INDRE-ET-LOIRE.

PREUILLY-SUR-CLAISE. 37189 INDRE-ET-LOIRE.

TOURNON-SAINT-PIERRE. 37259 INDRE-ET-LOIRE.

YZEURES-SUR-CREUSE. 37282 INDRE-ET-LOIRE.

LES ABRETS. 38001 ISERE.

AGNIN. 38003 ISERE.

ANNOISIN-CHATELANS. 38010 ISERE.

ANTHON. 38011 ISERE.

AOSTE. 38012 ISERE.

ARANDON. 38014 ISERE.

ASSIEU. 38017 ISERE.

AUBERIVES-SUR-VAREZE. 38019 ISERE.

LES AVENIERES. 38022 ISERE.

LA BALME-LES-GROTTES. 38026 ISERE.

LE BOUCHAGE. 38050 ISERE.

BOUGE-CHAMBALUD. 38051 ISERE.

BOUVESSE-QUIRIEU. 38054 ISERE.

BRANGUES. 38055 ISERE.

CHANAS. 38072 ISERE.

CHARETTE. 38083 ISERE.

CHARVIEU-CHAVAGNEUX. 38085 ISERE.

CHASSE-SUR-RHONE. 38087 ISERE.

CHAVANOZ. 38097 ISERE.

CHEYSSIEU. 38101 ISERE.

CHIMILIN. 38104 ISERE.

CHONAS-L’AMBALLAN. 38107 ISERE.

CHUZELLES. 38110 ISERE.

Page 107: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 64

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CLONAS-SUR-VAREZE. 38114 ISERE.

CORBELIN. 38124 ISERE.

LES COTES-D’AREY. 38131 ISERE.

COURTENAY. 38135 ISERE.

CREMIEU. 38138 ISERE.

CREYS-MEPIEU. 38139 ISERE.

ESTRABLIN. 38157 ISERE.

GRANIEU. 38183 ISERE.

HIERES-SUR-AMBY. 38190 ISERE.

JANNEYRIAS. 38197 ISERE.

JARDIN. 38199 ISERE.

LEYRIEU. 38210 ISERE.

MONTALIEU-VERCIEU. 38247 ISERE.

MORESTEL. 38261 ISERE.

OPTEVOZ. 38282 ISERE.

PARMILIEU. 38295 ISERE.

PASSINS. 38297 ISERE.

LE PEAGE-DE-ROUSSILLON. 38298 ISERE.

LE PONT-DE-BEAUVOISIN. 38315 ISERE.

PONT-DE-CHERUY. 38316 ISERE.

PONT-EVEQUE. 38318 ISERE.

PORCIEU-AMBLAGNIEU. 38320 ISERE.

PRESSINS. 38323 ISERE.

REVENTIN-VAUGRIS. 38336 ISERE.

LES ROCHES-DE-CONDRIEU. 38340 ISERE.

ROMAGNIEU. 38343 ISERE.

ROUSSILLON. 38344 ISERE.

SABLONS. 38349 ISERE.

SAINT-ALBAN-DU-RHONE. 38353 ISERE.

SAINT-BAUDILLE-DE-LA-TOUR. 38365 ISERE.

Page 108: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 65

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-CLAIR-DU-RHONE. 38378 ISERE.

SAINT-MAURICE-L’EXIL. 38425 ISERE.

SAINT-PRIM. 38448 ISERE.

SAINT-ROMAIN-DE-JALIONAS. 38451 ISERE.

SAINT-VICTOR-DE-MORESTEL. 38465 ISERE.

SALAISE-SUR-SANNE. 38468 ISERE.

SERPAIZE. 38484 ISERE.

SEYSSUEL. 38487 ISERE.

TIGNIEU-JAMEYZIEU. 38507 ISERE.

VERNAS. 38535 ISERE.

VERNIOZ. 38536 ISERE.

VERTRIEU. 38539 ISERE.

VEYRINS-THUELLIN. 38541 ISERE.

VEZERONCE-CURTIN. 38543 ISERE.

VIENNE. 38544 ISERE.

VILLEMOIRIEU. 38554 ISERE.

VILLE-SOUS-ANJOU. 38556 ISERE.

VILLETTE-D’ANTHON. 38557 ISERE.

VILLETTE-DE-VIENNE. 38558 ISERE.

AIRE-SUR-L’ADOUR. 40001 LANDES.

ARBOUCAVE. 40005 LANDES.

ARTASSENX. 40012 LANDES.

ARTHEZ-D’ARMAGNAC. 40013 LANDES.

AUBAGNAN. 40016 LANDES.

AUDIGNON. 40017 LANDES.

BAHUS-SOUBIRAN. 40022 LANDES.

BASCONS. 40025 LANDES.

BAS-MAUCO. 40026 LANDES.

BATS. 40029 LANDES.

BENQUET. 40037 LANDES.

Page 109: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 66

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BETBEZER-D’ARMAGNAC. 40039 LANDES.

BISCARROSSE. 40046 LANDES.

BORDERES-ET-LAMENSANS. 40049 LANDES.

BOSTENS. 40050 LANDES.

BOUGUE. 40051 LANDES.

BOURDALAT. 40052 LANDES.

BRETAGNE-DE-MARSAN. 40055 LANDES.

BUANES. 40057 LANDES.

CASTANDET. 40070 LANDES.

CASTELNAU-TURSAN. 40072 LANDES.

CAZERES-SUR-L’ADOUR. 40080 LANDES.

CLASSUN. 40082 LANDES.

CLEDES. 40083 LANDES.

COUDURES. 40086 LANDES.

CREON-D’ARMAGNAC. 40087 LANDES.

DUHORT-BACHEN. 40091 LANDES.

DUMES. 40092 LANDES.

ESCALANS. 40093 LANDES.

ESTIGARDE. 40096 LANDES.

EUGENIE-LES-BAINS. 40097 LANDES.

EYRES-MONCUBE. 40098 LANDES.

FARGUES. 40099 LANDES.

LE FRECHE. 40100 LANDES.

GABARRET. 40102 LANDES.

GAILLERES. 40103 LANDES.

GEAUNE. 40110 LANDES.

GRENADE-SUR-L’ADOUR. 40117 LANDES.

HAGETMAU. 40119 LANDES.

HAUT-MAUCO. 40122 LANDES.

HERRE. 40124 LANDES.

Page 110: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 67

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

HONTANX. 40127 LANDES.

HORSARRIEU. 40128 LANDES.

LABASTIDE-CHALOSSE. 40130 LANDES.

LABASTIDE-D’ARMAGNAC. 40131 LANDES.

LACAJUNTE. 40136 LANDES.

LACQUY. 40137 LANDES.

LACRABE. 40138 LANDES.

LAGLORIEUSE. 40139 LANDES.

LAGRANGE. 40140 LANDES.

LARRIVIERE. 40145 LANDES.

LATRILLE. 40146 LANDES.

LAURET. 40148 LANDES.

LOSSE. 40158 LANDES.

LUSSAGNET. 40166 LANDES.

MANT. 40172 LANDES.

MAURIES. 40174 LANDES.

MAURRIN. 40175 LANDES.

MAUVEZIN-D’ARMAGNAC. 40176 LANDES.

MAZEROLLES. 40178 LANDES.

MIRAMONT-SENSACQ. 40185 LANDES.

MOMUY. 40188 LANDES.

MONGET. 40189 LANDES.

MONSEGUR. 40190 LANDES.

MONT-DE-MARSAN. 40192 LANDES.

MONTEGUT. 40193 LANDES.

MONTGAILLARD. 40195 LANDES.

MONTSOUE. 40196 LANDES.

MORGANX. 40198 LANDES.

PARLEBOSCQ. 40218 LANDES.

PAYROS-CAZAUTETS. 40219 LANDES.

Page 111: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 68

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PECORADE. 40220 LANDES.

PERQUIE. 40221 LANDES.

PEYRE. 40223 LANDES.

PHILONDENX. 40225 LANDES.

PIMBO. 40226 LANDES.

POUDENX. 40232 LANDES.

POUYDESSEAUX. 40234 LANDES.

PUJO-LE-PLAN. 40238 LANDES.

PUYOL-CAZALET. 40239 LANDES.

RENUNG. 40240 LANDES.

RIMBEZ-ET-BAUDIETS. 40242 LANDES.

SAINT-AGNET. 40247 LANDES.

SAINTE-COLOMBE. 40252 LANDES.

SAINT-CRICQ-VILLENEUVE. 40255 LANDES.

SAINTE-FOY. 40258 LANDES.

SAINT-GEIN. 40259 LANDES.

SAINT-JULIEN-D’ARMAGNAC. 40265 LANDES.

SAINT-JUSTIN. 40267 LANDES.

SAINT-LOUBOUER. 40270 LANDES.

SAINT-MAURICE-SUR-ADOUR. 40275 LANDES.

SAINT-PIERRE-DU-MONT. 40281 LANDES.

SAINT-SEVER. 40282 LANDES.

SAMADET. 40286 LANDES.

SANGUINET. 40287 LANDES.

SARRAZIET. 40289 LANDES.

SARRON. 40290 LANDES.

SERRES-GASTON. 40298 LANDES.

SORBETS. 40305 LANDES.

URGONS. 40321 LANDES.

VIELLE-TURSAN. 40325 LANDES.

Page 112: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 69

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LE VIGNAU. 40329 LANDES.

VILLENEUVE-DE-MARSAN. 40331 LANDES.

AMIONS. 42004 LOIRE.

ANDREZIEUX-BOUTHEON. 42005 LOIRE.

ARTHUN. 42009 LOIRE.

AVEIZIEUX. 42010 LOIRE.

BALBIGNY. 42011 LOIRE.

BARD. 42012 LOIRE.

BELLEGARDE-EN-FOREZ. 42013 LOIRE.

BESSEY. 42018 LOIRE.

BOEN. 42019 LOIRE.

BOISSET-LES-MONTROND. 42020 LOIRE.

BOISSET-SAINT-PRIEST. 42021 LOIRE.

BONSON. 42022 LOIRE.

BUSSIERES. 42029 LOIRE.

BUSSY-ALBIEUX. 42030 LOIRE.

CEZAY. 42035 LOIRE.

CHALAIN-D’UZORE. 42037 LOIRE.

CHALAIN-LE-COMTAL. 42038 LOIRE.

CHAMBEON. 42041 LOIRE.

CHAMBLES. 42042 LOIRE.

CHAMBŒUF. 42043 LOIRE.

CHAMPDIEU. 42046 LOIRE.

LA CHAPELLE-VILLARS. 42051 LOIRE.

CHATELNEUF. 42054 LOIRE.

CHAVANAY. 42056 LOIRE.

CHAZELLES-SUR-LYON. 42059 LOIRE.

CHENEREILLES. 42060 LOIRE.

CHUYER. 42064 LOIRE.

CIVENS. 42065 LOIRE.

Page 113: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 70

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CLEPPE. 42066 LOIRE.

CORDELLE. 42070 LOIRE.

COTTANCE. 42073 LOIRE.

CRAINTILLEUX. 42075 LOIRE.

CUZIEU. 42081 LOIRE.

DANCE. 42082 LOIRE.

ECOTAY-L’OLME. 42087 LOIRE.

EPERCIEUX-SAINT-PAUL. 42088 LOIRE.

ESSERTINES-EN-CHATELNEUF. 42089 LOIRE.

L’ETRAT. 42092 LOIRE.

FEURS. 42094 LOIRE.

LA FOUILLOUSE. 42097 LOIRE.

GREZIEUX-LE-FROMENTAL. 42105 LOIRE.

L’HOPITAL-LE-GRAND. 42108 LOIRE.

JAS. 42113 LOIRE.

LAVIEU. 42117 LOIRE.

LEIGNEUX. 42119 LOIRE.

LEZIGNEUX. 42122 LOIRE.

LUPE. 42124 LOIRE.

MACLAS. 42129 LOIRE.

MAGNEUX-HAUTE-RIVE. 42130 LOIRE.

MALLEVAL. 42132 LOIRE.

MARCILLY-LE-CHATEL. 42134 LOIRE.

MARCLOPT. 42135 LOIRE.

MARCOUX. 42136 LOIRE.

MARGERIE-CHANTAGRET. 42137 LOIRE.

MARINGES. 42138 LOIRE.

MIZERIEUX. 42143 LOIRE.

MONTBRISON. 42147 LOIRE.

MONTROND-LES-BAINS. 42149 LOIRE.

Page 114: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 71

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MONTVERDUN. 42150 LOIRE.

MORNAND. 42151 LOIRE.

NERONDE. 42154 LOIRE.

NERVIEUX. 42155 LOIRE.

NOLLIEUX. 42160 LOIRE.

PANISSIERES. 42165 LOIRE.

PAVEZIN. 42167 LOIRE.

PELUSSIN. 42168 LOIRE.

PERIGNEUX. 42169 LOIRE.

PINAY. 42171 LOIRE.

POMMIERS. 42173 LOIRE.

PONCINS. 42174 LOIRE.

POUILLY-LES-FEURS. 42175 LOIRE.

PRALONG. 42179 LOIRE.

PRECIEUX. 42180 LOIRE.

RIVAS. 42185 LOIRE.

ROISEY. 42191 LOIRE.

ROZIER-EN-DONZY. 42193 LOIRE.

SAIL-SOUS-COUZAN. 42195 LOIRE.

SAINTE-AGATHE-LA-BOUTERESSE. 42197 LOIRE.

SAINT-ANDRE-LE-PUY. 42200 LOIRE.

SAINT-BARTHELEMY-LESTRA. 42202 LOIRE.

SAINT-BONNET-LE-COURREAU. 42205 LOIRE.

SAINT-BONNET-LES-OULES. 42206 LOIRE.

SAINT-CYPRIEN. 42211 LOIRE.

SAINT-CYR-LES-VIGNES. 42214 LOIRE.

SAINT-ETIENNE. 42218 LOIRE.

SAINT-ETIENNE-LE-MOLARD. 42219 LOIRE.

SAINTE-FOY-SAINT-SULPICE. 42221 LOIRE.

SAINT-GALMIER. 42222 LOIRE.

Page 115: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 72

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-GENEST-LERPT. 42223 LOIRE.

SAINT-GEORGES-DE-BAROILLE. 42226 LOIRE.

SAINT-GEORGES-EN-COUZAN. 42227 LOIRE.

SAINT-GEORGES-HAUTE-VILLE. 42228 LOIRE.

SAINT-GERMAIN-LAVAL. 42230 LOIRE.

SAINT-HEAND. 42234 LOIRE.

SAINT-JODARD. 42241 LOIRE.

SAINT-JULIEN-D’ODDES. 42243 LOIRE.

SAINT-LAURENT-LA-CONCHE. 42251 LOIRE.

SAINT-MARCEL-DE-FELINES. 42254 LOIRE.

SAINT-MARCELLIN-EN-FOREZ. 42256 LOIRE.

SAINT-MARTIN-LA-SAUVETE. 42260 LOIRE.

SAINT-MEDARD-EN-FOREZ. 42264 LOIRE.

SAINT-MICHEL-SUR-RHONE. 42265 LOIRE.

SAINT-PAUL-DE-VEZELIN. 42268 LOIRE.

SAINT-PAUL-D’UZORE. 42269 LOIRE.

SAINT-PIERRE-DE-BŒUF. 42272 LOIRE.

SAINT-PRIEST-EN-JAREZ. 42275 LOIRE.

SAINT-PRIEST-LA-ROCHE. 42277 LOIRE.

SAINT-JUST-SAINT-RAMBERT. 42279 LOIRE.

SAINT-ROMAIN-LE-PUY. 42285 LOIRE.

SAINT-SIXTE. 42288 LOIRE.

SAINT-THOMAS-LA-GARDE. 42290 LOIRE.

SALT-EN-DONZY. 42296 LOIRE.

SALVIZINET. 42297 LOIRE.

SAVIGNEUX. 42299 LOIRE.

SOLEYMIEUX. 42301 LOIRE.

SOUTERNON. 42303 LOIRE.

SURY-LE-COMTAL. 42304 LOIRE.

TRELINS. 42313 LOIRE.

Page 116: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 73

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

UNIAS. 42315 LOIRE.

VALEILLE. 42319 LOIRE.

VEAUCHE. 42323 LOIRE.

VEAUCHETTE. 42324 LOIRE.

VERIN. 42327 LOIRE.

VILLARS. 42330 LOIRE.

VIRIGNEUX. 42336 LOIRE.

ARTHON-EN-RETZ. 44005 LOIRE-ATLANTIQUE.

ASSERAC. 44006 LOIRE-ATLANTIQUE.

BASSE-GOULAINE. 44009 LOIRE-ATLANTIQUE.

BATZ-SUR-MER. 44010 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA BERNERIE-EN-RETZ. 44012 LOIRE-ATLANTIQUE.

BESNE. 44013 LOIRE-ATLANTIQUE.

LE BIGNON. 44014 LOIRE-ATLANTIQUE.

BOUAYE. 44018 LOIRE-ATLANTIQUE.

BOUEE. 44019 LOIRE-ATLANTIQUE.

BOUGUENAIS. 44020 LOIRE-ATLANTIQUE.

BOURGNEUF-EN-RETZ. 44021 LOIRE-ATLANTIQUE.

BRAINS. 44024 LOIRE-ATLANTIQUE.

CAMPBON. 44025 LOIRE-ATLANTIQUE.

CARQUEFOU. 44026 LOIRE-ATLANTIQUE.

CASSON. 44027 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA CHAPELLE-BASSE-MER. 44029 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA CHAPELLE-DES-MARAIS. 44030 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA CHAPELLE-HEULIN. 44032 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA CHAPELLE-LAUNAY. 44033 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA CHAPELLE-SUR-ERDRE. 44035 LOIRE-ATLANTIQUE.

CHAUVE. 44038 LOIRE-ATLANTIQUE.

CHEIX-EN-RETZ. 44039 LOIRE-ATLANTIQUE.

CHEMERE. 44040 LOIRE-ATLANTIQUE.

Page 117: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 74

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA CHEVROLIERE. 44041 LOIRE-ATLANTIQUE.

CORDEMAIS. 44045 LOIRE-ATLANTIQUE.

CORSEPT. 44046 LOIRE-ATLANTIQUE.

COUERON. 44047 LOIRE-ATLANTIQUE.

LE CROISIC. 44049 LOIRE-ATLANTIQUE.

CROSSAC. 44050 LOIRE-ATLANTIQUE.

DONGES. 44052 LOIRE-ATLANTIQUE.

DREFFEAC. 44053 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA BAULE-ESCOUBLAC. 44055 LOIRE-ATLANTIQUE.

FRESNAY-EN-RETZ. 44059 LOIRE-ATLANTIQUE.

FROSSAY. 44061 LOIRE-ATLANTIQUE.

GUERANDE. 44069 LOIRE-ATLANTIQUE.

HAUTE-GOULAINE. 44071 LOIRE-ATLANTIQUE.

HERBIGNAC. 44072 LOIRE-ATLANTIQUE.

INDRE. 44074 LOIRE-ATLANTIQUE.

LAVAU-SUR-LOIRE. 44080 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA LIMOUZINIERE. 44083 LOIRE-ATLANTIQUE.

MACHECOUL. 44087 LOIRE-ATLANTIQUE.

MALVILLE. 44089 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA MARNE. 44090 LOIRE-ATLANTIQUE.

MAUVES-SUR-LOIRE. 44094 LOIRE-ATLANTIQUE.

MESQUER. 44097 LOIRE-ATLANTIQUE.

MISSILLAC. 44098 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA MONTAGNE. 44101 LOIRE-ATLANTIQUE.

MONTOIR-DE-BRETAGNE. 44103 LOIRE-ATLANTIQUE.

LES MOUTIERS-EN-RETZ. 44106 LOIRE-ATLANTIQUE.

NANTES. 44109 LOIRE-ATLANTIQUE.

ORVAULT. 44114 LOIRE-ATLANTIQUE.

PAIMBŒUF. 44116 LOIRE-ATLANTIQUE.

LE PELLERIN. 44120 LOIRE-ATLANTIQUE.

Page 118: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 75

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PETIT-MARS. 44122 LOIRE-ATLANTIQUE.

PIRIAC-SUR-MER. 44125 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA PLAINE-SUR-MER. 44126 LOIRE-ATLANTIQUE.

PONTCHATEAU. 44129 LOIRE-ATLANTIQUE.

PONT-SAINT-MARTIN. 44130 LOIRE-ATLANTIQUE.

PORNIC. 44131 LOIRE-ATLANTIQUE.

PORNICHET. 44132 LOIRE-ATLANTIQUE.

PORT-SAINT-PERE. 44133 LOIRE-ATLANTIQUE.

LE POULIGUEN. 44135 LOIRE-ATLANTIQUE.

PREFAILLES. 44136 LOIRE-ATLANTIQUE.

PRINQUIAU. 44137 LOIRE-ATLANTIQUE.

REZE. 44143 LOIRE-ATLANTIQUE.

ROUANS. 44145 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-AIGNAN-GRANDLIEU. 44150 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-ANDRE-DES-EAUX. 44151 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINTE-ANNE-SUR-BRIVET. 44152 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-BREVIN-LES-PINS. 44154 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-COLOMBAN. 44155 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-ETIENNE-DE-MONTLUC. 44158 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-GILDAS-DES-BOIS. 44161 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-HERBLAIN. 44162 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-HILAIRE-DE-CHALEONS. 44164 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-JEAN-DE-BOISEAU. 44166 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-JOACHIM. 44168 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-JULIEN-DE-CONCELLES. 44169 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-LEGER-LES-VIGNES. 44171 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE. 44172 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-LUMINE-DE-COUTAIS. 44174 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-LYPHARD. 44175 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-MALO-DE-GUERSAC. 44176 LOIRE-ATLANTIQUE.

Page 119: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 76

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-MARS-DE-COUTAIS. 44178 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-MARS-DU-DESERT. 44179 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-MEME-LE-TENU. 44181 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-MICHEL-CHEF-CHEF. 44182 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-MOLF. 44183 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-NAZAIRE. 44184 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINTE-PAZANNE. 44186 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-PERE-EN-RETZ. 44187 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-PHILBERT-DE-GRAND-LIEU. 44188 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINTE-REINE-DE-BRETAGNE. 44189 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-SEBASTIEN-SUR-LOIRE. 44190 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-VIAUD. 44192 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAUTRON. 44194 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAVENAY. 44195 LOIRE-ATLANTIQUE.

SEVERAC. 44196 LOIRE-ATLANTIQUE.

LES SORINIERES. 44198 LOIRE-ATLANTIQUE.

SUCE-SUR-ERDRE. 44201 LOIRE-ATLANTIQUE.

LE TEMPLE-DE-BRETAGNE. 44203 LOIRE-ATLANTIQUE.

THOUARE-SUR-LOIRE. 44204 LOIRE-ATLANTIQUE.

TRIGNAC. 44210 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA TURBALLE. 44211 LOIRE-ATLANTIQUE.

VERTOU. 44215 LOIRE-ATLANTIQUE.

VUE. 44220 LOIRE-ATLANTIQUE.

GENESTON. 44223 LOIRE-ATLANTIQUE.

SOS. 47302 LOT-ET-GARONNE.

SAINT-PE-SAINT-SIMON. 47266 LOT-ET-GARONNE.

YVETOT-BOCAGE. 50648 MANCHE.

YQUELON. 50647 MANCHE.

VINDEFONTAINE. 50642 MANCHE.

VILLIERS-FOSSARD. 50641 MANCHE.

Page 120: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 77

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VILLIERS-LE-PRE. 50640 MANCHE.

VIERVILLE. 50636 MANCHE.

LES VEYS. 50631 MANCHE.

VESSEY. 50630 MANCHE.

VESLY. 50629 MANCHE.

VERGONCEY. 50627 MANCHE.

VAUDRIMESNIL. 50622 MANCHE.

VAUDREVILLE. 50621 MANCHE.

VARENGUEBEC. 50617 MANCHE.

LE VAL-SAINT-PERE. 50616 MANCHE.

VALOGNES. 50615 MANCHE.

VAINS. 50612 MANCHE.

URVILLE. 50610 MANCHE.

TURQUEVILLE. 50609 MANCHE.

TRIBEHOU. 50606 MANCHE.

TIREPIED. 50597 MANCHE.

TANIS. 50589 MANCHE.

TAILLEPIED. 50587 MANCHE.

SURVILLE. 50586 MANCHE.

SUBLIGNY. 50584 MANCHE.

SORTOSVILLE. 50578 MANCHE.

SERVON. 50574 MANCHE.

SEBEVILLE. 50571 MANCHE.

SARTILLY. 50565 MANCHE.

SAINTENY. 50564 MANCHE.

SAINT-SYMPHORIEN-LE-VALOIS. 50558 MANCHE.

SAINT-SENIER-SOUS-AVRANCHES. 50554 MANCHE.

SAINT-SENIER-DE-BEUVRON. 50553 MANCHE.

SAINT-SEBASTIEN-DE-RAIDS. 50552 MANCHE.

SAINT-SAUVEUR-LE-VICOMTE. 50551 MANCHE.

Page 121: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 78

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-SAUVEUR-DE-PIERREPONT. 50548 MANCHE.

SAINT-REMY-DES-LANDES. 50544 MANCHE.

SAINT-QUENTIN-SUR-LE-HOMME. 50543 MANCHE.

SAINT-PLANCHERS. 50541 MANCHE.

SAINT-PIERRE-LANGERS. 50540 MANCHE.

SAINT-PELLERIN. 50534 MANCHE.

SAINT-PATRICE-DE-CLAIDS. 50533 MANCHE.

SAINT-PAIR-SUR-MER. 50532 MANCHE.

SAINT-OVIN. 50531 MANCHE.

SAINT-NICOLAS-DE-PIERREPONT. 50528 MANCHE.

SAINT-MICHEL-DE-LA-PIERRE. 50524 MANCHE.

SAINTE-MERE-EGLISE. 50523 MANCHE.

SAINT-MARTIN-DE-VARREVILLE. 50517 MANCHE.

SAINT-MARTIN-DES-CHAMPS. 50516 MANCHE.

SAINT-MARTIN-DE-LANDELLES. 50515 MANCHE.

SAINT-MARTIN-D’AUDOUVILLE. 50511 MANCHE.

SAINT-MARTIN-D’AUBIGNY. 50510 MANCHE.

SAINTE-MARIE-DU-MONT. 50509 MANCHE.

SAINT-MARCOUF. 50507 MANCHE.

SAINT-LOUP. 50505 MANCHE.

SAINT-LO-D’OURVILLE. 50503 MANCHE.

SAINT-LAURENT-DE-TERREGATTE. 50500 MANCHE.

SAINT-JORES. 50497 MANCHE.

SAINT-JEAN-LE-THOMAS. 50496 MANCHE.

SAINT-JEAN-DES-CHAMPS. 50493 MANCHE.

SAINT-JEAN-DE-SAVIGNY. 50491 MANCHE.

SAINT-JEAN-DE-LA-HAIZE. 50489 MANCHE.

SAINT-JEAN-DE-DAYE. 50488 MANCHE.

SAINT-JAMES. 50487 MANCHE.

SAINT-JACQUES-DE-NEHOU. 50486 MANCHE.

Page 122: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 79

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-HILAIRE-PETITVILLE. 50485 MANCHE.

SAINT-GERMAIN-SUR-SEVES. 50482 MANCHE.

SAINT-GERMAIN-DE-VARREVILLE. 50479 MANCHE.

SAINT-GERMAIN-DE-TOURNEBUT. 50478 MANCHE.

SAINT-GEORGES-MONTCOCQ. 50475 MANCHE.

SAINT-GEORGES-DE-BOHON. 50470 MANCHE.

SAINT-FROMOND. 50468 MANCHE.

SAINT-FLOXEL. 50467 MANCHE.

SAINT-CYR. 50461 MANCHE.

SAINT-COME-DU-MONT. 50458 MANCHE.

SAINTE-COLOMBE. 50457 MANCHE.

SAINT-CLAIR-SUR-L’ELLE. 50455 MANCHE.

SAINT-BRICE. 50451 MANCHE.

SAINT-AUBIN-DU-PERRON. 50449 MANCHE.

SAINT-AUBIN-DE-TERREGATTE. 50448 MANCHE.

SAINT-AUBIN-DES-PREAUX. 50447 MANCHE.

SAINT-ANDRE-DE-BOHON. 50445 MANCHE.

SACEY. 50443 MANCHE.

LA ROCHELLE-NORMANDE. 50434 MANCHE.

REMILLY-SUR-LOZON. 50431 MANCHE.

REIGNEVILLE-BOCAGE. 50430 MANCHE.

RAVENOVILLE. 50427 MANCHE.

RAUVILLE-LA-PLACE. 50426 MANCHE.

RAMPAN. 50423 MANCHE.

RAIDS. 50422 MANCHE.

QUINEVILLE. 50421 MANCHE.

PRETOT-SAINTE-SUZANNE. 50415 MANCHE.

PRECEY. 50413 MANCHE.

PONTS. 50411 MANCHE.

PONTORSON. 50410 MANCHE.

Page 123: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 80

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PONT-HEBERT. 50409 MANCHE.

PONTAUBAULT. 50408 MANCHE.

POILLEY. 50407 MANCHE.

PLOMB. 50406 MANCHE.

LE PLESSIS-LASTELLE. 50405 MANCHE.

PICAUVILLE. 50400 MANCHE.

PERIERS. 50394 MANCHE.

OZEVILLE. 50390 MANCHE.

ORGLANDES. 50387 MANCHE.

NEUVILLE-EN-BEAUMONT. 50374 MANCHE.

NEUVILLE-AU-PLAIN. 50373 MANCHE.

NEUFMESNIL. 50372 MANCHE.

NEHOU. 50370 MANCHE.

NAY. 50368 MANCHE.

LA MOUCHE. 50361 MANCHE.

MORVILLE. 50360 MANCHE.

MOON-SUR-ELLE. 50356 MANCHE.

MONTVIRON. 50355 MANCHE.

LE MONT-SAINT-MICHEL. 50353 MANCHE.

MONTREUIL-SUR-LOZON. 50352 MANCHE.

MONTMARTIN-EN-GRAIGNES. 50348 MANCHE.

MONTJOIE-SAINT-MARTIN. 50347 MANCHE.

MONTGARDON. 50343 MANCHE.

MONTEBOURG. 50341 MANCHE.

MONTCUIT. 50340 MANCHE.

MONTANEL. 50337 MANCHE.

LES MOITIERS-EN-BAUPTOIS. 50333 MANCHE.

MOBECQ. 50330 MANCHE.

MILLIERES. 50328 MANCHE.

LE MESNIL-VIGOT. 50325 MANCHE.

Page 124: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 81

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LE MESNIL-VENERON. 50324 MANCHE.

LE MESNIL-ROUXELIN. 50321 MANCHE.

LE MESNIL-OZENNE. 50317 MANCHE.

LE MESNIL-EURY. 50310 MANCHE.

LE MESNILBUS. 50308 MANCHE.

LE MESNIL-ANGOT. 50303 MANCHE.

LE MESNIL-AMEY. 50302 MANCHE.

MEAUTIS. 50298 MANCHE.

LA MEAUFFE. 50297 MANCHE.

MARIGNY. 50292 MANCHE.

MARCILLY. 50290 MANCHE.

MARCHESIEUX. 50289 MANCHE.

MARCEY-LES-GREVES. 50288 MANCHE.

MAGNEVILLE. 50285 MANCHE.

MACEY. 50284 MANCHE.

LE LUOT. 50282 MANCHE.

LA LUCERNE-D’OUTREMER. 50281 MANCHE.

LOZON. 50280 MANCHE.

LOLIF. 50276 MANCHE.

LITHAIRE. 50273 MANCHE.

LIEUSAINT. 50270 MANCHE.

LIESVILLE-SUR-DOUVE. 50269 MANCHE.

LESTRE. 50268 MANCHE.

LAULNE. 50265 MANCHE.

JUILLEY. 50259 MANCHE.

JOGANVILLE. 50258 MANCHE.

ISIGNY-LE-BUAT. 50256 MANCHE.

HUISNES-SUR-MER. 50253 MANCHE.

HUBERVILLE. 50251 MANCHE.

HOUTTEVILLE. 50250 MANCHE.

Page 125: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 82

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

HOUESVILLE. 50249 MANCHE.

LE HOMMET-D’ARTHENAY. 50248 MANCHE.

HIESVILLE. 50246 MANCHE.

HEMEVEZ. 50241 MANCHE.

HEBECREVON. 50239 MANCHE.

LA HAYE-DU-PUITS. 50236 MANCHE.

HAUTTEVILLE-BOCAGE. 50233 MANCHE.

HAUTEVILLE-LA-GUICHARD. 50232 MANCHE.

HAMELIN. 50229 MANCHE.

LE HAM. 50227 MANCHE.

GRANVILLE. 50218 MANCHE.

GRAIGNES. 50216 MANCHE.

GOURBESVILLE. 50212 MANCHE.

GORGES. 50210 MANCHE.

GONFREVILLE. 50208 MANCHE.

GOLLEVILLE. 50207 MANCHE.

LA GOHANNIERE. 50206 MANCHE.

LA GODEFROY. 50205 MANCHE.

GENETS. 50199 MANCHE.

FRESVILLE. 50194 MAN CHE.

FOUCARVILLE. 50191 MANCHE.

FONTENAY-SUR-MER. 50190 MANCHE.

FLOTTEMANVILLE. 50186 MANCHE.

FEUGERES. 50181 MANCHE.

ETIENVILLE. 50177 MANCHE.

L’ETANG-BERTRAND. 50176 MANCHE.

EROUDEVILLE. 50175 MANCHE.

EMONDEVILLE. 50172 MANCHE.

ECOQUENEAUVILLE. 50170 MANCHE.

ECAUSSEVILLE. 50169 MANCHE.

Page 126: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 83

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

DUCEY. 50168 MANCHE.

DRAGEY-RONTHON. 50167 MANCHE.

DOVILLE. 50166 MANCHE.

DONVILLE-LES-BAINS. 50165 MANCHE.

LE DEZERT. 50161 MANCHE.

DENNEVILLE. 50160 MANCHE.

CROSVILLE-SUR-DOUVE. 50156 MANCHE.

CROLLON. 50155 MANCHE.

LA CROIX-AVRANCHIN. 50154 MANCHE.

CRETTEVILLE. 50153 MANCHE.

COURTILS. 50146 MANCHE.

COLOMBY. 50138 MANCHE.

COIGNY. 50136 MANCHE.

LES CHERIS. 50132 MANCHE.

CHEF-DU-PONT. 50127 MANCHE.

CHAVOY. 50126 MANCHE.

LA CHAPELLE-EN-JUGER. 50123 MANCHE.

LES CHAMPS-DE-LOSQUE. 50119 MANCHE.

CHAMPEAUX. 50117 MANCHE.

CHAMPCEY. 50116 MANCHE.

CHAMPCERVON. 50115 MANCHE.

LES CHAMBRES. 50114 MANCHE.

CEAUX. 50108 MANCHE.

CATZ. 50107 MANCHE.

CAVIGNY. 50106 MANCHE.

CATTEVILLE. 50105 MANCHE.

CARQUEBUT. 50103 MANCHE.

CARNET. 50100 MANCHE.

CARENTAN. 50099 MANCHE.

CANVILLE-LA-ROCQUE. 50097 MANCHE.

Page 127: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 84

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BRUCHEVILLE. 50089 MANCHE.

BRICQUEBEC. 50082 MANCHE.

BREVANDS. 50080 MANCHE.

BOUTTEVILLE. 50070 MANCHE.

JULLOUVILLE. 50066 MANCHE.

LA BONNEVILLE. 50064 MANCHE.

BOLLEVILLE. 50063 MANCHE.

BLOSVILLE. 50059 MANCHE.

BINIVILLE. 50055 MANCHE.

BEUZEVILLE-LA-BASTILLE. 50052 MANCHE.

BEUZEVILLE-AU-PLAIN. 50051 MANCHE.

BESNEVILLE. 50049 MANCHE.

BEAUVOIR. 50042 MANCHE.

BAUPTE. 50036 MANCHE.

BAUDREVILLE. 50035 MANCHE.

BACILLY. 50027 MANCHE.

AZEVILLE. 50026 MANCHE.

AVRANCHES. 50025 MANCHE.

AUXAIS. 50024 MANCHE.

AUVERS. 50023 MANCHE.

AUDOUVILLE-LA-HUBERT. 50021 MANCHE.

AUCEY-LA-PLAINE. 50019 MANCHE.

ARGOUGES. 50018 MANCHE.

APPEVILLE. 50016 MANCHE.

ANGOVILLE-AU-PLAIN. 50010 MANCHE.

ANGEY. 50009 MANCHE.

ANCTOVILLE-SUR-BOSCQ. 50008 MANCHE.

AMIGNY. 50006 MANCHE.

AMFREVILLE. 50005 MANCHE.

AIREL. 50004 MANCHE.

Page 128: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 85

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VOUILLERS. 51654 MARNE.

VAUCLERC. 51598 MARNE.

TROIS-FONTAINES-L’ABBAYE. 51583 MARNE.

THIEBLEMONT-FAREMONT. 51567 MARNE.

SOMSOIS. 51551 MARNE.

SERMAIZE-LES-BAINS. 51531 MARNE.

SCRUPT. 51528 MARNE.

SAPIGNICOURT. 51522 MARNE.

SAINT-VRAIN. 51521 MARNE.

SAINT-UTIN. 51520 MARNE.

SAINT-REMY-EN-BOUZEMONT-SAINT-GENEST-ET-ISSON. 51513 MARNE.

SAINT-LUMIER-LA-POPULEUSE. 51497 MARNE.

SAINT-EULIEN. 51478 MARNE.

SAINT-CHERON. 51475 MARNE.

PONTHION. 51441 MARNE.

PARGNY-SUR-SAULX. 51423 MARNE.

OUTINES. 51419 MARNE.

ORCONTE. 51417 MARNE.

NORROIS. 51406 MARNE.

MONCETZ-L’ABBAYE. 51373 MARNE.

MAURUPT-LE-MONTOIS. 51358 MARNE.

MATIGNICOURT-GONCOURT. 51356 MARNE.

MARGERIE-HANCOURT. 51349 MARNE.

LUXEMONT-ET-VILLOTTE. 51334 MARNE.

LIGNON. 51322 MARNE.

LARZICOURT. 51316 MARNE.

LANDRICOURT. 51315 MARNE.

ISLE-SUR-MARNE. 51300 MARNE.

HEILTZ-LE-MAURUPT. 51289 MARNE.

HEILTZ-LE-HUTIER. 51288 MARNE.

Page 129: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 86

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

HAUTEVILLE. 51286 MARNE.

HAUSSIGNEMONT. 51284 MARNE.

SAINTE-MARIE-DU-LAC - NUISEMENT. 51277 MARNE.

GIGNY-BUSSY. 51270 MARNE.

GIFFAUMONT-CHAMPAUBERT. 51269 MARNE.

FAVRESSE. 51246 MARNE.

ETREPY. 51240 MARNE.

ECRIENNES. 51224 MARNE.

ECOLLEMONT. 51223 MARNE.

DROSNAY. 51219 MARNE.

DOMPREMY. 51215 MARNE.

CORBEIL. 51169 MARNE.

CLOYES-SUR-MARNE. 51156 MARNE.

CHEMINON. 51144 MARNE.

CHATILLON-SUR-BROUE. 51135 MARNE.

CHAPELAINE. 51125 MARNE.

LE BUISSON. 51095 MARNE.

BRANDONVILLERS. 51080 MARNE.

BLESME. 51068 MARNE.

BIGNICOURT-SUR-SAULX. 51060 MARNE.

ARZILLIERES-NEUVILLE. 51017 MARNE.

ARRIGNY. 51016 MARNE.

AMBRIERES. 51008 MARNE.

ALLIANCELLES. 51006 MARNE.

LA SELLE-CRAONNAISE. 53258 MAYENNE.

SAINT-POIX. 53250 MAYENNE.

SAINT-PIERRE-LA-COUR. 53247 MAYENNE.

SAINT-PIERRE-DES-LANDES. 53245 MAYENNE.

SAINT-OUEN-DES-TOITS. 53243 MAYENNE.

SAINT-MICHEL-DE-LA-ROE. 53242 MAYENNE.

Page 130: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 87

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-HILAIRE-DU-MAINE. 53226 MAYENNE.

SAINT-ELLIER-DU-MAINE. 53213 MAYENNE.

SAINT-CYR-LE-GRAVELAIS. 53209 MAYENNE.

SAINT-BERTHEVIN. 53201 MAYENNE.

RUILLE-LE-GRAVELAIS. 53194 MAYENNE.

LA ROE. 53191 MAYENNE.

PORT-BRILLET. 53182 MAYENNE.

LA PELLERINE. 53177 MAYENNE.

OLIVET. 53169 MAYENNE.

NUILLE-SUR-VICOIN. 53168 MAYENNE.

MONTJEAN. 53158 MAYENNE.

MONTIGNE-LE-BRILLANT. 53157 MAYENNE.

MONTENAY. 53155 MAYENNE.

MONTAUDIN. 53154 MAYENNE.

MERAL. 53151 MAYENNE.

LOIRON. 53137 MAYENNE.

LIVRE. 53135 MAYENNE.

LAVAL. 53130 MAYENNE.

LAUNAY-VILLIERS. 53129 MAYENNE.

LAUBRIERES. 53128 MAYENNE.

LARCHAMP. 53126 MAYENNE.

JUVIGNE. 53123 MAYENNE.

L’HUISSERIE. 53119 MAYENNE.

LA GRAVELLE. 53108 MAYENNE.

LE GENEST-SAINT-ISLE. 53103 MAYENNE.

GASTINES. 53102 MAYENNE.

FONTAINE-COUVERTE. 53098 MAYENNE.

ERNEE. 53096 MAYENNE.

CUILLE. 53088 MAYENNE.

LA CROIXILLE. 53086 MAYENNE.

Page 131: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 88

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

COURBEVEILLE. 53082 MAYENNE.

COSSE-LE-VIVIEN. 53077 MAYENNE.

CHANGE. 53054 MAYENNE.

LA BRULATTE. 53045 MAYENNE.

BOURGON. 53040 MAYENNE.

LE BOURGNEUF-LA-FORET. 53039 MAYENNE.

BEAULIEU-SUR-OUDON. 53026 MAYENNE.

BALLOTS. 53018 MAYENNE.

LA BACONNIERE. 53015 MAYENNE.

ASTILLE. 53011 MAYENNE.

AHUILLE. 53001 MAYENNE.

VILLE-SUR-SAULX. 55568 MEUSE.

VASSINCOURT. 55531 MEUSE.

TREMONT-SUR-SAULX. 55514 MEUSE.

SOMMELONNE. 55494 MEUSE.

SAUDRUPT. 55470 MEUSE.

ROBERT-ESPAGNE. 55435 MEUSE.

REMENNECOURT. 55424 MEUSE.

RANCOURT-SUR-ORNAIN. 55414 MEUSE.

VAL-D’ORNAIN. 55366 MEUSE.

MOGNEVILLE. 55340 MEUSE.

LISLE-EN-RIGAULT. 55296 MEUSE.

FAINS-VEEL. 55186 MEUSE.

COUVONGES. 55134 MEUSE.

COUSANCES-LES-FORGES. 55132 MEUSE.

CONTRISSON. 55125 MEUSE.

BEUREY-SUR-SAULX. 55049 MEUSE.

BAUDONVILLIERS. 55031 MEUSE.

ANDERNAY. 55011 MEUSE.

ANCERVILLE. 55010 MEUSE.

Page 132: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 89

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINTE-ANNE-D’AURAY. 56263 MORBIHAN.

BONO. 56262 MORBIHAN.

VANNES. 56260 MORBIHAN.

LA TRINITE-SURZUR. 56259 MORBIHAN.

LA TRINITE-SUR-MER. 56258 MORBIHAN.

TREFFLEAN. 56255 MORBIHAN.

LE TOUR-DU-PARC. 56252 MORBIHAN.

THEIX. 56251 MORBIHAN.

THEHILLAC. 56250 MORBIHAN.

SURZUR. 56248 MORBIHAN.

SULNIAC. 56247 MORBIHAN.

SENE. 56243 MORBIHAN.

SARZEAU. 56240 MORBIHAN.

SAINT-PHILIBERT. 56233 MORBIHAN.

SAINT-NOLFF. 56231 MORBIHAN.

SAINT-GILDAS-DE-RHUYS. 56214 MORBIHAN.

SAINT-DOLAY. 56212 MORBIHAN.

SAINT-AVE. 56206 MORBIHAN.

SAINT-ARMEL. 56205 MORBIHAN.

LA ROCHE-BERNARD. 56195 MORBIHAN.

PLUNERET. 56176 MORBIHAN.

PLUMERGAT. 56175 MORBIHAN.

PLOUGOUMELEN. 56167 MORBIHAN.

PLOEREN. 56164 MORBIHAN.

PLOEMEL. 56161 MORBIHAN.

PLESCOP. 56158 MORBIHAN.

NOYALO. 56150 MORBIHAN.

NIVILLAC. 56147 MORBIHAN.

LOCMARIAQUER. 56116 MORBIHAN.

LAUZACH. 56109 MORBIHAN.

Page 133: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 90

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LARMOR-BADEN. 56106 MORBIHAN.

ILE-D’ARZ. 56088 MORBIHAN.

ILE-AUX-MOINES. 56087 MORBIHAN.

LE HEZO. 56084 MORBIHAN.

FEREL. 56058 MORBIHAN.

DAMGAN. 56052 MORBIHAN.

CRACH. 56046 MORBIHAN.

CARNAC. 56034 MORBIHAN.

CAMOEL. 56030 MORBIHAN.

BRECH. 56023 MORBIHAN.

BADEN. 56008 MORBIHAN.

AURAY. 56007 MORBIHAN.

ARZON. 56005 MORBIHAN.

ARRADON. 56003 MORBIHAN.

AMBON. 56002 MORBIHAN.

WABEN. 62866 PAS-DE-CALAIS.

GROFFLIERS. 62390 PAS-DE-CALAIS.

CONCHIL-LE-TEMPLE. 62233 PAS-DE-CALAIS.

COLLINE-BEAUMONT. 62231 PAS-DE-CALAIS.

POURSIUGUES-BOUCOUE. 64457 PYRENEES-ATLANTIQUES.

MALAUSSANNE. 64365 PYRENEES-ATLANTIQUES.

GARLIN. 64233 PYRENEES-ATLANTIQUES.

BOUEILH-BOUEILHO-LASQUE. 64141 PYRENEES-ATLANTIQUES.

VILLELONGUE-DE-LA-SALANQUE. 66224 PYRENEES-ORIENTALES.

TORREILLES. 66212 PYRENEES-ORIENTALES.

THEZA. 66208 PYRENEES-ORIENTALES.

SALEILLES. 66189 PYRENEES-ORIENTALES.

SAINT-NAZAIRE. 66186 PYRENEES-ORIENTALES.

SAINTE-MARIE. 66182 PYRENEES-ORIENTALES.

SAINT-LAURENT-DE-LA-SALANQUE. 66180 PYRENEES-ORIENTALES.

Page 134: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 91

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-CYPRIEN. 66171 PYRENEES-ORIENTALES.

PERPIGNAN. 66136 PYRENEES-ORIENTALES.

LATOUR-BAS-ELNE. 66094 PYRENEES-ORIENTALES.

ELNE. 66065 PYRENEES-ORIENTALES.

CORNEILLA-DEL-VERCOL. 66059 PYRENEES-ORIENTALES.

CANET-EN-ROUSSILLON. 66037 PYRENEES-ORIENTALES.

CABESTANY. 66028 PYRENEES-ORIENTALES.

LE BARCARES. 66017 PYRENEES-ORIENTALES.

ARGELES-SUR-MER. 66008 PYRENEES-ORIENTALES.

ALENYA. 66002 PYRENEES-ORIENTALES.

COLOMBIER-SAUGNIEU. 69299 RHONE.

TERNAY. 69297 RHONE.

SOLAIZE. 69296 RHONE.

SIMANDRES. 69295 RHONE.

SEREZIN-DU-RHONE. 69294 RHONE.

SATHONAY-VILLAGE. 69293 RHONE.

SATHONAY-CAMP. 69292 RHONE.

SAINT-SYMPHORIEN-D’OZON. 69291 RHONE.

SAINT-PRIEST. 69290 RHONE.

RILLIEUX-LA-PAPE. 69286 RHONE.

PUSIGNAN. 69285 RHONE.

MONTANAY. 69284 RHONE.

MEYZIEU. 69282 RHONE.

MARENNES. 69281 RHONE.

JONS. 69280 RHONE.

JONAGE. 69279 RHONE.

GENAY. 69278 RHONE.

GENAS. 69277 RHONE.

FEYZIN. 69276 RHONE.

DECINES-CHARPIEU. 69275 RHONE.

Page 135: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 92

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CORBAS. 69273 RHONE.

COMMUNAY. 69272 RHONE.

CHASSIEU. 69271 RHONE.

VOURLES. 69268 RHONE.

VILLEURBANNE. 69266 RHONE.

VERNAISON. 69260 RHONE.

VENISSIEUX. 69259 RHONE.

VAULX-EN-VELIN. 69256 RHONE.

TUPIN-ET-SEMONS. 69253 RHONE.

TREVES. 69252 RHONE.

SAINT-ROMAIN-EN-GIER. 69236 RHONE.

SAINT-ROMAIN-EN-GAL. 69235 RHONE.

SAINT-GENIS-LAVAL. 69204 RHONE.

SAINTE-FOY-LES-LYON. 69202 RHONE.

SAINT-FONS. 69199 RHONE.

SAINT-CYR-SUR-LE-RHONE. 69193 RHONE.

SAINTE-COLOMBE. 69189 RHONE.

SAINT-ANDEOL-LE-CHATEAU. 69179 RHONE.

QUINCIEUX. 69163 RHONE.

PIERRE-BENITE. 69152 RHONE.

OULLINS. 69149 RHONE.

NEUVILLE-SUR-SAONE. 69143 RHONE.

LA MULATIERE. 69142 RHONE.

MONTAGNY. 69136 RHONE.

MILLERY. 69133 RHONE.

LYON. 69123 RHONE.

LONGES. 69119 RHONE.

LOIRE-SUR-RHONE. 69118 RHONE.

IRIGNY. 69100 RHONE.

LES HAIES. 69097 RHONE.

Page 136: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 93

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

GRIGNY. 69096 RHONE.

GIVORS. 69091 RHONE.

FONTAINES-SUR-SAONE. 69088 RHONE.

FONTAINES-SAINT-MARTIN. 69087 RHONE.

FLEURIEU-SUR-SAONE. 69085 RHONE.

ECHALAS. 69080 RHONE.

CONDRIEU. 69064 RHONE.

COLLONGES-AU-MONT-D’OR. 69063 RHONE.

CHASSAGNY. 69048 RHONE.

CHARLY. 69046 RHONE.

CALUIRE-ET-CUIRE. 69034 RHONE.

CAILLOUX-SUR-FONTAINES. 69033 RHONE.

BRON. 69029 RHONE.

AMPUIS. 69007 RHONE.

YENNE. 73330 SAVOIE.

VOGLANS. 73329 SAVOIE.

VIVIERS-DU-LAC. 73328 SAVOIE.

VIONS. 73327 SAVOIE.

VERTHEMEX. 73313 SAVOIE.

TRESSERVE. 73300 SAVOIE.

TRAIZE. 73299 SAVOIE.

SONNAZ. 73288 SAVOIE.

SERRIERES-EN-CHAUTAGNE. 73286 SAVOIE.

SAINT-SULPICE. 73281 SAVOIE.

SAINT-PIERRE-DE-CURTILLE. 73273 SAVOIE.

SAINT-PAUL. 73269 SAVOIE.

SAINT-MAURICE-DE-ROTHERENS. 73260 SAVOIE.

SAINT-JEAN-DE-CHEVELU. 73245 SAVOIE.

SAINT-GERMAIN-LA-CHAMBOTTE. 73238 SAVOIE.

SAINT-GENIX-SUR-GUIERS. 73236 SAVOIE.

Page 137: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 94

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

RUFFIEUX. 73218 SAVOIE.

ROCHEFORT. 73214 SAVOIE.

PUGNY-CHATENOD. 73208 SAVOIE.

LE PONT-DE-BEAUVOISIN. 73204 SAVOIE.

ONTEX. 73193 SAVOIE.

NANCES. 73184 SAVOIE.

MOUXY. 73182 SAVOIE.

MOTZ. 73180 SAVOIE.

LA MOTTE-SERVOLEX. 73179 SAVOIE.

MEYRIEUX-TROUET. 73156 SAVOIE.

MERY. 73155 SAVOIE.

MARCIEUX. 73152 SAVOIE.

LUCEY. 73149 SAVOIE.

LOISIEUX. 73147 SAVOIE.

JONGIEUX. 73140 SAVOIE.

GRESY-SUR-AIX. 73128 SAVOIE.

GRESIN. 73127 SAVOIE.

DRUMETTAZ-CLARAFOND. 73103 SAVOIE.

DOMESSIN. 73100 SAVOIE.

CONJUX. 73091 SAVOIE.

CHINDRIEUX. 73085 SAVOIE.

LA CHAPELLE-DU-MONT-DU-CHAT. 73076 SAVOIE.

CHANAZ. 73073 SAVOIE.

CHAMPAGNEUX. 73070 SAVOIE.

CHAMBERY. 73065 SAVOIE.

CESSENS. 73062 SAVOIE.

BRISON-SAINT-INNOCENT. 73059 SAVOIE.

LE BOURGET-DU-LAC. 73051 SAVOIE.

BOURDEAU. 73050 SAVOIE.

LA BIOLLE. 73043 SAVOIE.

Page 138: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 95

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BILLIEME. 73042 SAVOIE.

BELMONT-TRAMONET. 73039 SAVOIE.

LA BALME. 73028 SAVOIE.

AVRESSIEUX. 73025 SAVOIE.

ALBENS. 73010 SAVOIE.

AIX-LES-BAINS. 73008 SAVOIE.

VILLUIS. 77523 SEINE-ET-MARNE.

VILLEROY. 77515 SEINE-ET-MARNE.

VILLENOY. 77513 SEINE-ET-MARNE.

VILLENAUXE-LA-PETITE. 77507 SEINE-ET-MARNE.

VIGNELY. 77498 SEINE-ET-MARNE.

TRILBARDOU. 77474 SEINE-ET-MARNE.

THORIGNY-SUR-MARNE. 77464 SEINE-ET-MARNE.

QUINCY-VOISINS. 77382 SEINE-ET-MARNE.

PRECY-SUR-MARNE. 77376 SEINE-ET-MARNE.

PASSY-SUR-SEINE. 77356 SEINE-ET-MARNE.

CHAUCONIN-NEUFMONTIERS. 77335 SEINE-ET-MARNE.

MONTRY. 77315 SEINE-ET-MARNE.

MAREUIL-LES-MEAUX. 77276 SEINE-ET-MARNE.

LESCHES. 77248 SEINE-ET-MARNE.

JAULNES. 77236 SEINE-ET-MARNE.

JABLINES. 77234 SEINE-ET-MARNE.

ISLES-LES-VILLENOY. 77232 SEINE-ET-MARNE.

GRISY-SUR-SEINE. 77218 SEINE-ET-MARNE.

FRESNES-SUR-MARNE. 77196 SEINE-ET-MARNE.

ESBLY. 77171 SEINE-ET-MARNE.

DAMPMART. 77155 SEINE-ET-MARNE.

COUPVRAY. 77132 SEINE-ET-MARNE.

CONDE-SAINTE-LIBIAIRE. 77125 SEINE-ET-MARNE.

CHARNY. 77095 SEINE-ET-MARNE.

Page 139: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 96

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CHARMENTRAY. 77094 SEINE-ET-MARNE.

CHALIFERT. 77075 SEINE-ET-MARNE.

CARNETIN. 77062 SEINE-ET-MARNE.

BABY. 77015 SEINE-ET-MARNE.

ANNET-SUR-MARNE. 77005 SEINE-ET-MARNE.

VILLEQUIER. 76742 SEINE-MARITIME.

VATTEVILLE-LA-RUE. 76727 SEINE-MARITIME.

TRIQUERVILLE. 76713 SEINE-MARITIME.

LA TRINITE-DU-MONT. 76712 SEINE-MARITIME.

TOUFFREVILLE-LA-CABLE. 76701 SEINE-MARITIME.

TANCARVILLE. 76684 SEINE-MARITIME.

SANDOUVILLE. 76660 SEINE-MARITIME.

SAINT-VINCENT-CRAMESNIL. 76658 SEINE-MARITIME.

SAINT-VIGOR-D’YMONVILLE. 76657 SEINE-MARITIME.

SAINT-ROMAIN-DE-COLBOSC. 76647 SEINE-MARITIME.

SAINT-NICOLAS-DE-LA-TAILLE. 76627 SEINE-MARITIME.

SAINT-NICOLAS-DE-BLIQUETUIT. 76625 SEINE-MARITIME.

SAINT-MAURICE-D’ETELAN. 76622 SEINE-MARITIME.

SAINT-MARTIN-DU-MANOIR. 76616 SEINE-MARITIME.

SAINT-LAURENT-DE-BREVEDENT. 76596 SEINE-MARITIME.

SAINT-JEAN-DE-FOLLEVILLE. 76592 SEINE-MARITIME.

SAINT-AUBIN-ROUTOT. 76563 SEINE-MARITIME.

SAINT-ANTOINE-LA-FORET. 76556 SEINE-MARITIME.

SAINTE-ADRESSE. 76552 SEINE-MARITIME.

ROGERVILLE. 76533 SEINE-MARITIME.

LA REMUEE. 76522 SEINE-MARITIME.

PETIVILLE. 76499 SEINE-MARITIME.

OUDALLE. 76489 SEINE-MARITIME.

OCTEVILLE-SUR-MER. 76481 SEINE-MARITIME.

NOTRE-DAME-DE-GRAVENCHON. 76476 SEINE-MARITIME.

Page 140: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 97

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

NOTRE-DAME-DE-BLIQUETUIT. 76473 SEINE-MARITIME.

NORVILLE. 76471 SEINE-MARITIME.

MONTIVILLIERS. 76447 SEINE-MARITIME.

MELAMARE. 76421 SEINE-MARITIME.

LA MAILLERAYE-SUR-SEINE. 76401 SEINE-MARITIME.

LINTOT. 76388 SEINE-MARITIME.

LILLEBONNE. 76384 SEINE-MARITIME.

LE HAVRE. 76351 SEINE-MARITIME.

HARFLEUR. 76341 SEINE-MARITIME.

GRUCHET-LE-VALASSE. 76329 SEINE-MARITIME.

GONFREVILLE-L’ORCHER. 76305 SEINE-MARITIME.

GAINNEVILLE. 76296 SEINE-MARITIME.

LA FRENAYE. 76281 SEINE-MARITIME.

FONTAINE-LA-MALLET. 76270 SEINE-MARITIME.

EPRETOT. 76239 SEINE-MARITIME.

LA CERLANGUE. 76169 SEINE-MARITIME.

AUBERVILLE-LA-CAMPAGNE. 76031 SEINE-MARITIME.

YONVAL. 80836 SOMME.

WOIGNARUE. 80826 SOMME.

VRON. 80815 SOMME.

VIRONCHAUX. 80808 SOMME.

VILLERS-SUR-AUTHIE. 80806 SOMME.

VERCOURT. 80787 SOMME.

VAUDRICOURT. 80780 SOMME.

LE TITRE. 80763 SOMME.

SAINT-VALERY-SUR-SOMME. 80721 SOMME.

SAINT-QUENTIN-LA-MOTTE-CROIX-AU-BAILLY. 80714 SOMME.

SAINT-QUENTIN-EN-TOURMONT. 80713 SOMME.

SAINT-BLIMONT. 80700 SOMME.

SAILLY-FLIBEAUCOURT. 80692 SOMME.

Page 141: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 98

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAIGNEVILLE. 80691 SOMME.

RUE. 80688 SOMME.

REGNIERE-ECLUSE. 80665 SOMME.

QUESNOY-LE-MONTANT. 80654 SOMME.

QUEND. 80649 SOMME.

PORT-LE-GRAND. 80637 SOMME.

PONTHOILE. 80633 SOMME.

PENDE. 80618 SOMME.

NOYELLES-SUR-MER. 80600 SOMME.

NOUVION. 80598 SOMME.

NIBAS. 80597 SOMME.

MOYENNEVILLE. 80578 SOMME.

MONS-BOUBERT. 80556 SOMME.

MIANNAY. 80546 SOMME.

MERS-LES-BAINS. 80533 SOMME.

MACHY. 80497 SOMME.

MACHIEL. 80496 SOMME.

LANCHERES. 80464 SOMME.

LAMOTTE-BULEUX. 80462 SOMME.

HAUTVILLERS-OUVILLE. 80422 SOMME.

GRAND-LAVIERS. 80385 SOMME.

FRIAUCOURT. 80364 SOMME.

FORT-MAHON-PLAGE. 80333 SOMME.

FOREST-MONTIERS. 80332 SOMME.

FOREST-L’ABBAYE. 80331 SOMME.

FAVIERES. 80303 SOMME.

ESTREBOEUF. 80287 SOMME.

LE CROTOY. 80228 SOMME.

CRECY-EN-PONTHIEU. 80222 SOMME.

CAYEUX-SUR-MER. 80182 SOMME.

Page 142: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 99

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CAMBRON. 80163 SOMME.

CAHON. 80161 SOMME.

BUIGNY-SAINT-MACLOU. 80149 SOMME.

BRUTELLES. 80146 SOMME.

BOURSEVILLE. 80124 SOMME.

BOISMONT. 80110 SOMME.

s. 80087 SOMME.

AULT. 80039 SOMME.

ARRY. 80030 SOMME.

ARREST. 80029 SOMME.

ALLENAY. 80018 SOMME.

ABBEVILLE. 80001 SOMME.

VINON-SUR-VERDON. 83150 VAR.

RIANS. 83104 VAR.

GINASSERVIS. 83066 VAR.

VILLELAURE. 84147 VAUCLUSE.

VEDENE. 84141 VAUCLUSE.

VAUGINES. 84140 VAUCLUSE.

LA TOUR-D’AIGUES. 84133 VAUCLUSE.

LE THOR. 84132 VAUCLUSE.

TAILLADES. 84131 VAUCLUSE.

SORGUES. 84129 VAUCLUSE.

SAINT-SATURNIN-LES-AVIGNON. 84119 VAUCLUSE.

ROBION. 84099 VAUCLUSE.

PUYVERT. 84095 VAUCLUSE.

PUGET. 84093 VAUCLUSE.

LE PONTET. 84092 VAUCLUSE.

PERTUIS. 84089 VAUCLUSE.

OPPEDE. 84086 VAUCLUSE.

MORIERES-LES-AVIGNON. 84081 VAUCLUSE.

Page 143: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 100

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MIRABEAU. 84076 VAUCLUSE.

MERINDOL. 84074 VAUCLUSE.

MENERBES. 84073 VAUCLUSE.

MAUBEC. 84071 VAUCLUSE.

LOURMARIN. 84068 VAUCLUSE.

LAURIS. 84065 VAUCLUSE.

LAPALUD. 84064 VAUCLUSE.

LACOSTE. 84058 VAUCLUSE.

JONQUERETTES. 84055 VAUCLUSE.

L’ISLE-SUR-LA-SORGUE. 84054 VAUCLUSE.

GRAMBOIS. 84052 VAUCLUSE.

ENTRAIGUES-SUR-LA-SORGUE. 84043 VAUCLUSE.

CUCURON. 84042 VAUCLUSE.

CHEVAL-BLANC. 84038 VAUCLUSE.

CHATEAUNEUF-DE-GADAGNE. 84036 VAUCLUSE.

CAVAILLON. 84035 VAUCLUSE.

CAUMONT-SUR-DURANCE. 84034 VAUCLUSE.

CADENET. 84026 VAUCLUSE.

BONNIEUX. 84020 VAUCLUSE.

BOLLENE. 84019 VAUCLUSE.

BEAUMONT-DE-PERTUIS. 84014 VAUCLUSE.

LA BASTIDONNE. 84010 VAUCLUSE.

LA BASTIDE-DES-JOURDANS. 84009 VAUCLUSE.

AVIGNON. 84007 VAUCLUSE.

ANSOUIS. 84002 VAUCLUSE.

LA FAUTE-SUR-MER. 85307 VENDEE.

XANTON-CHASSENON. 85306 VENDEE.

VOUILLE-LES-MARAIS. 85304 VENDEE.

VIX. 85303 VENDEE.

VELLUIRE. 85299 VENDEE.

Page 144: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 101

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

TRIAIZE. 85297 VENDEE.

LA TRANCHE-SUR-MER. 85294 VENDEE.

LA TAILLEE. 85286 VENDEE.

LE TABLIER. 85285 VENDEE.

SERIGNE. 85281 VENDEE.

SALLERTAINE. 85280 VENDEE.

SAINT-VINCENT-SUR-JARD. 85278 VENDEE.

SAINT-VINCENT-SUR-GRAON. 85277 VENDEE.

SAINT-URBAIN. 85273 VENDEE.

SAINT-SIGISMOND. 85269 VENDEE.

SAINTE-RADEGONDE-DES-NOYERS. 85267 VENDEE.

SAINT-PIERRE-LE-VIEUX. 85265 VENDEE.

SAINTE-PEXINE. 85261 VENDEE.

SAINT-MICHEL-LE-CLOUCQ. 85256 VENDEE.

SAINT-MICHEL-EN-L’HERM. 85255 VENDEE.

SAINT-MARTIN-DE-FRAIGNEAU. 85244 VENDEE.

SAINT-JEAN-DE-MONTS. 85234 VENDEE.

SAINT-JEAN-DE-BEUGNE. 85233 VENDEE.

SAINT-HILAIRE-LA-FORET. 85231 VENDEE.

SAINT-HILAIRE-DES-LOGES. 85227 VENDEE.

SAINTE-HERMINE. 85223 VENDEE.

SAINT-GERVAIS. 85221 VENDEE.

SAINTE-GEMME-LA-PLAINE. 85216 VENDEE.

SAINT-ETIENNE-DE-BRILLOUET. 85209 VENDEE.

SAINT-DENIS-DU-PAYRE. 85207 VENDEE.

SAINT-CYR-EN-TALMONDAIS. 85206 VENDEE.

SAINT-BENOIST-SUR-MER. 85201 VENDEE.

SAINT-AVAUGOURD-DES-LANDES. 85200 VENDEE.

SAINT-AUBIN-LA-PLAINE. 85199 VENDEE.

ROSNAY. 85193 VENDEE.

Page 145: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 102

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PUYRAVAULT. 85185 VENDEE.

POUILLE. 85181 VENDEE.

LE POIRE-SUR-VELLUIRE. 85177 VENDEE.

PISSOTTE. 85176 VENDEE.

PETOSSE. 85174 VENDEE.

PEAULT. 85171 VENDEE.

OULMES. 85168 VENDEE.

L’ORBRIE. 85167 VENDEE.

NOTRE-DAME-DE-MONTS. 85164 VENDEE.

NOIRMOUTIER-EN-L’ILE. 85163 VENDEE.

NIEUL-SUR-L’AUTISE. 85162 VENDEE.

NALLIERS. 85159 VENDEE.

MOUZEUIL-SAINT-MARTIN. 85158 VENDEE.

MOUTIERS-SUR-LE-LAY. 85157 VENDEE.

MOUTIERS-LES-MAUXFAITS. 85156 VENDEE.

MOREILLES. 85149 VENDEE.

MONTREUIL. 85148 VENDEE.

LE MAZEAU. 85139 VENDEE.

MAREUIL-SUR-LAY-DISSAIS. 85135 VENDEE.

MAILLEZAIS. 85133 VENDEE.

MAILLE. 85132 VENDEE.

LES MAGNILS-REIGNIERS. 85131 VENDEE.

LUÇON. 85128 VENDEE.

LONGEVILLE-SUR-MER. 85127 VENDEE.

LONGEVES. 85126 VENDEE.

LIEZ. 85123 VENDEE.

LE LANGON. 85121 VENDEE.

LAIROUX. 85117 VENDEE.

LA JONCHERE. 85116 VENDEE.

L’ILE-D’ELLE. 85111 VENDEE.

Page 146: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 103

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA GUERINIERE. 85106 VENDEE.

LE GUE-DE-VELLUIRE. 85105 VENDEE.

GRUES. 85104 VENDEE.

LE GIVRE. 85101 VENDEE.

FONTENAY-LE-COMTE. 85092 VENDEE.

FONTAINES. 85091 VENDEE.

L’EPINE. 85083 VENDEE.

DOIX. 85080 VENDEE.

DAMVIX. 85078 VENDEE.

CURZON. 85077 VENDEE.

LA COUTURE. 85074 VENDEE.

CORPE. 85073 VENDEE.

LA CLAYE. 85068 VENDEE.

CHATEAUNEUF. 85062 VENDEE.

CHATEAU-GUIBERT. 85061 VENDEE.

CHASNAIS. 85058 VENDEE.

LE CHAMP-SAINT-PERE. 85050 VENDEE.

CHAMPAGNE-LES-MARAIS. 85049 VENDEE.

CHAIX. 85044 VENDEE.

CHAILLE-SOUS-LES-ORMEAUX. 85043 VENDEE.

CHAILLE-LES-MARAIS. 85042 VENDEE.

LA BRETONNIERE. 85036 VENDEE.

BOUIN. 85029 VENDEE.

BOUILLE-COURDAULT. 85028 VENDEE.

LA BOISSIERE-DES-LANDES. 85026 VENDEE.

BOIS-DE-CENE. 85024 VENDEE.

BESSAY. 85023 VENDEE.

LE BERNARD. 85022 VENDEE.

BENET. 85020 VENDEE.

BEAUVOIR-SUR-MER. 85018 VENDEE.

Page 147: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 104

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA BARRE-DE-MONTS. 85012 VENDEE.

BARBATRE. 85011 VENDEE.

AVRILLE. 85010 VENDEE.

AUZAY. 85009 VENDEE.

ANGLES. 85004 VENDEE.

L’AIGUILLON-SUR-MER. 85001 VENDEE.

Partie 2

Communes composant les 52 zones à risque particulier complémentaires

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

AMBERIEU-EN-BUGEY. 01004 AIN.

AMBUTRIX. 01008 AIN.

ARBIGNY. 01016 AIN.

ASNIERES-SUR-SAONE. 01023 AIN.

BAGE-LA-VILLE. 01025 AIN.

BAGE-LE-CHATEL. 01026 AIN.

BEAUREGARD. 01030 AIN.

BETTANT. 01041 AIN.

BEY. 01042 AIN.

BIZIAT. 01046 AIN.

BOISSEY. 01050 AIN.

BOZ. 01057 AIN.

BRENAZ. 01059 AIN.

CHAVANNES-SUR-REYSSOUZE. 01094 AIN.

CHEVROUX. 01102 AIN.

CLEYZIEU. 01107 AIN.

COLOMIEU. 01110 AIN.

CONFRANÇON. 01115 AIN.

CONTREVOZ. 01116 AIN.

CORMORANCHE-SUR-SAONE. 01123 AIN.

Page 148: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 105

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CROTTET. 01134 AIN.

CRUZILLES-LES-MEPILLAT. 01136 AIN.

CURCIAT-DONGALON. 01139 AIN.

CURTAFOND. 01140 AIN.

CUZIEU. 01141 AIN.

DOMMARTIN. 01144 AIN.

DOUVRES. 01149 AIN.

FAREINS. 01157 AIN.

FEILLENS. 01159 AIN.

FRANS. 01166 AIN.

GARNERANS. 01167 AIN.

GENOUILLEUX. 01169 AIN.

GORREVOD. 01175 AIN.

GRIEGES. 01179 AIN.

GUEREINS. 01183 AIN.

INNIMOND. 01190 AIN.

JASSANS-RIOTTIER. 01194 AIN.

JOURNANS. 01197 AIN.

LAIZ. 01203 AIN.

LOMPNAS. 01219 AIN.

LURCY. 01225 AIN.

MANZIAT. 01231 AIN.

MESSIMY-SUR-SAONE. 01243 AIN.

BOHAS-MEYRIAT-RIGNAT. 01245 AIN.

MOGNENEINS. 01252 AIN.

MONTMERLE-SUR-SAONE. 01263 AIN.

OZAN. 01284 AIN.

PERREX. 01291 AIN.

PONT-DE-VAUX. 01305 AIN.

PONT-DE-VEYLE. 01306 AIN.

Page 149: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 106

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PUGIEU. 01316 AIN.

REPLONGES. 01320 AIN.

REYSSOUZE. 01323 AIN.

SAINT-ANDRE-DE-BAGE. 01332 AIN.

SAINT-ANDRE-D’HUIRIAT. 01334 AIN.

SAINT-BENIGNE. 01337 AIN.

SAINT-BERNARD. 01339 AIN.

SAINT-CYR-SUR-MENTHON. 01343 AIN.

SAINT-DENIS-EN-BUGEY. 01345 AIN.

SAINT-DIDIER-D’AUSSIAT. 01346 AIN.

SAINT-DIDIER-SUR-CHALARONNE. 01348 AIN.

SAINT-ETIENNE-SUR-REYSSOUZE. 01352 AIN.

SAINT-GENIS-SUR-MENTHON. 01355 AIN.

SAINT-GERMAIN-LES-PAROISSES. 01358 AIN.

SAINT-JEAN-LE-VIEUX. 01363 AIN.

SAINT-JEAN-SUR-VEYLE. 01365 AIN.

SAINT-LAURENT-SUR-SAONE. 01370 AIN.

SAINT-SULPICE. 01387 AIN.

SAINT-TRIVIER-DE-COURTES. 01388 AIN.

SERMOYER. 01402 AIN.

TALISSIEU. 01415 AIN.

THOISSEY. 01420 AIN.

TORCIEU. 01421 AIN.

VERNOUX. 01433 AIN.

VESCOURS. 01437 AIN.

VESINES. 01439 AIN.

GANNAY-SUR-LOIRE. 03119 ALLIER.

LA BRILLANNE. 04034 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

GREOUX-LES-BAINS. 04094 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

MANOSQUE. 04112 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

Page 150: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 107

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ORAISON. 04143 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SAINTE-TULLE. 04197 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

VALENSOLE. 04230 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

VILLENEUVE. 04242 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

VOLX. 04245 ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE.

SAINT-JUST. 07259 ARDECHE.

COURCEROY. 10106 AUBE.

GUMERY. 10169 AUBE.

LE MERIOT. 10231 AUBE.

LA MOTTE-TILLY. 10259 AUBE.

ZELLWILLER. 67557 BAS-RHIN.

WOLFSKIRCHEN. 67552 BAS-RHIN.

WESTHOUSE. 67526 BAS-RHIN.

LA VANCELLE. 67505 BAS-RHIN.

VALFF. 67504 BAS-RHIN.

UTTENHEIM. 67501 BAS-RHIN.

STOTZHEIM. 67481 BAS-RHIN.

SERMERSHEIM. 67464 BAS-RHIN.

SELESTAT. 67462 BAS-RHIN.

SCHERWILLER. 67445 BAS-RHIN.

SARREWERDEN. 67435 BAS-RHIN.

SAINT-PIERRE. 67429 BAS-RHIN.

SAINT-NABOR. 67428 BAS-RHIN.

REICHSFELD. 67387 BAS-RHIN.

ORSCHWILLER. 67362 BAS-RHIN.

OBERNAI. 67348 BAS-RHIN.

NOTHALTEN. 67337 BAS-RHIN.

NIEDERNAI. 67329 BAS-RHIN.

MITTELBERGHEIM. 67295 BAS-RHIN.

MEISTRATZHEIM. 67286 BAS-RHIN.

Page 151: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 108

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LIPSHEIM. 67268 BAS-RHIN.

KRAUTERGERSHEIM. 67248 BAS-RHIN.

KOGENHEIM. 67246 BAS-RHIN.

KIRRBERG. 67241 BAS-RHIN.

KINTZHEIM. 67239 BAS-RHIN.

KERTZFELD. 67233 BAS-RHIN.

ITTERSWILLER. 67227 BAS-RHIN.

INNENHEIM. 67223 BAS-RHIN.

HUTTENHEIM. 67216 BAS-RHIN.

HOLTZHEIM. 67212 BAS-RHIN.

HINSINGEN. 67199 BAS-RHIN.

HINDISHEIM. 67197 BAS-RHIN.

HEILIGENSTEIN. 67189 BAS-RHIN.

HARSKIRCHEN. 67183 BAS-RHIN.

GRIESHEIM-PRES-MOLSHEIM. 67172 BAS-RHIN.

GOXWILLER. 67164 BAS-RHIN.

GEUDERTHEIM. 67156 BAS-RHIN.

GERTWILLER. 67155 BAS-RHIN.

EPFIG. 67125 BAS-RHIN.

ENTZHEIM. 67124 BAS-RHIN.

EICHHOFFEN. 67120 BAS-RHIN.

EBERSMUNSTER. 67116 BAS-RHIN.

EBERSHEIM. 67115 BAS-RHIN.

DUTTLENHEIM. 67112 BAS-RHIN.

DUPPIGHEIM. 67108 BAS-RHIN.

DIEFFENTHAL. 67094 BAS-RHIN.

DIEDENDORF. 67091 BAS-RHIN.

DAMBACH-LA-VILLE. 67084 BAS-RHIN.

CHATENOIS. 67073 BAS-RHIN.

BOURGHEIM. 67060 BAS-RHIN.

Page 152: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 109

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BLIENSCHWILLER. 67051 BAS-RHIN.

BLAESHEIM. 67049 BAS-RHIN.

BISSERT. 67047 BAS-RHIN.

BISCHOFFSHEIM. 67045 BAS-RHIN.

BIETLENHEIM. 67038 BAS-RHIN.

BERNARDVILLE. 67032 BAS-RHIN.

BERNARDSWILLER. 67031 BAS-RHIN.

BENFELD. 67028 BAS-RHIN.

BARR. 67021 BAS-RHIN.

ANDLAU. 67010 BAS-RHIN.

ALTWILLER. 67009 BAS-RHIN.

ALTORF. 67008 BAS-RHIN.

ANNEBAULT. 14016 CALVADOS.

AUQUAINVILLE. 14028 CALVADOS.

LES AUTHIEUX-SUR-CALONNE. 14032 CALVADOS.

AUVILLARS. 14033 CALVADOS.

BASSENEVILLE. 14045 CALVADOS.

BEAUMONT-EN-AUGE. 14055 CALVADOS.

BELLOU. 14058 CALVADOS.

BENERVILLE-SUR-MER. 14059 CALVADOS.

BEUVILLERS. 14069 CALVADOS.

BLANGY-LE-CHATEAU. 14077 CALVADOS.

BLONVILLE-SUR-MER. 14079 CALVADOS.

LA BOISSIERE. 14082 CALVADOS.

BONNEBOSQ. 14083 CALVADOS.

BONNEVILLE-SUR-TOUQUES. 14086 CALVADOS.

BOURGEAUVILLE. 14091 CALVADOS.

BRANVILLE. 14093 CALVADOS.

LE BREUIL-EN-AUGE. 14102 CALVADOS.

LE BREVEDENT. 14104 CALVADOS.

Page 153: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 110

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA BREVIERE. 14105 CALVADOS.

CAMBREMER. 14126 CALVADOS.

CANAPVILLE. 14131 CALVADOS.

CERNAY. 14147 CALVADOS.

CERQUEUX. 14148 CALVADOS.

CHEFFREVILLE-TONNENCOURT. 14155 CALVADOS.

CLARBEC. 14161 CALVADOS.

CLEVILLE. 14163 CALVADOS.

COQUAINVILLIERS. 14177 CALVADOS.

CORBON. 14178 CALVADOS.

CORDEBUGLE. 14179 CALVADOS.

COUDRAY-RABUT. 14185 CALVADOS.

COURTONNE-LA-MEURDRAC. 14193 CALVADOS.

COURTONNE-LES-DEUX-EGLISES. 14194 CALVADOS.

CREVECŒUR-EN-AUGE. 14201 CALVADOS.

LA CROUPTE. 14210 CALVADOS.

DANESTAL. 14218 CALVADOS.

DRUBEC. 14230 CALVADOS.

ENGLESQUEVILLE-EN-AUGE. 14238 CALVADOS.

FAMILLY. 14259 CALVADOS.

FAUGUERNON. 14260 CALVADOS.

LE FAULQ. 14261 CALVADOS.

FERVAQUES. 14265 CALVADOS.

FIERVILLE-LES-PARCS. 14269 CALVADOS.

FIRFOL. 14270 CALVADOS.

FORMENTIN. 14280 CALVADOS.

LE FOURNET. 14285 CALVADOS.

FRIARDEL. 14292 CALVADOS.

FUMICHON. 14293 CALVADOS.

GLANVILLE. 14302 CALVADOS.

Page 154: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 111

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

GLOS. 14303 CALVADOS.

GRANDCHAMP-LE-CHATEAU. 14313 CALVADOS.

HERMIVAL-LES-VAUX. 14326 CALVADOS.

HEULAND. 14329 CALVADOS.

L’HOTELLERIE. 14334 CALVADOS.

HOTOT-EN-AUGE. 14335 CALVADOS.

LA HOUBLONNIERE. 14337 CALVADOS.

JANVILLE. 14344 CALVADOS.

LEAUPARTIE. 14358 CALVADOS.

LECAUDE. 14359 CALVADOS.

LESSARD-ET-LE-CHENE. 14362 CALVADOS.

LISIEUX. 14366 CALVADOS.

LISORES. 14368 CALVADOS.

LIVAROT. 14371 CALVADOS.

MAGNY-LE-FREULE. 14387 CALVADOS.

MANERBE. 14398 CALVADOS.

MANNEVILLE-LA-PIPARD. 14399 CALVADOS.

MAROLLES. 14403 CALVADOS.

MERY-CORBON. 14410 CALVADOS.

LE MESNIL-DURAND. 14418 CALVADOS.

LE MESNIL-EUDES. 14419 CALVADOS.

LE MESNIL-GERMAIN. 14420 CALVADOS.

LE MESNIL-GUILLAUME. 14421 CALVADOS.

LE MESNIL-MAUGER. 14422 CALVADOS.

LE MESNIL-SIMON. 14425 CALVADOS.

LE MESNIL-SUR-BLANGY. 14426 CALVADOS.

MEULLES. 14429 CALVADOS.

MEZIDON-CANON. 14431 CALVADOS.

LES MONCEAUX. 14435 CALVADOS.

MONTEILLE. 14444 CALVADOS.

Page 155: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 112

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MONTREUIL-EN-AUGE. 14448 CALVADOS.

LES MOUTIERS-HUBERT. 14459 CALVADOS.

MOYAUX. 14460 CALVADOS.

NOROLLES. 14466 CALVADOS.

NOTRE-DAME-DE-COURSON. 14471 CALVADOS.

NOTRE-DAME-DE-LIVAYE. 14473 CALVADOS.

NOTRE-DAME-D’ESTREES. 14474 CALVADOS.

OUILLY-DU-HOULEY. 14484 CALVADOS.

OUILLY-LE-VICOMTE. 14487 CALVADOS.

PIERREFITTE-EN-AUGE. 14500 CALVADOS.

LE PIN. 14504 CALVADOS.

PONT-L’EVEQUE. 14514 CALVADOS.

PREAUX-SAINT-SEBASTIEN. 14518 CALVADOS.

LE PRE-D’AUGE. 14520 CALVADOS.

PRETREVILLE. 14522 CALVADOS.

BIEVILLE-QUETIEVILLE. 14527 CALVADOS.

REUX. 14534 CALVADOS.

ROCQUES. 14540 CALVADOS.

LA ROQUE-BAIGNARD. 14541 CALVADOS.

SAINT-CYR-DU-RONCERAY. 14570 CALVADOS.

SAINT-DENIS-DE-MAILLOC. 14571 CALVADOS.

SAINT-DESIR. 14574 CALVADOS.

SAINT-ETIENNE-LA-THILLAYE. 14575 CALVADOS.

SAINTE-FOY-DE-MONTGOMMERY. 14576 CALVADOS.

SAINT-GERMAIN-DE-LIVET. 14582 CALVADOS.

SAINT-GERMAIN-DE-MONTGOMMERY. 14583 CALVADOS.

SAINT-HYMER. 14593 CALVADOS.

SAINT-JEAN-DE-LIVET. 14595 CALVADOS.

SAINT-JULIEN-DE-MAILLOC. 14599 CALVADOS.

SAINT-JULIEN-SUR-CALONNE. 14601 CALVADOS.

Page 156: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 113

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-LAURENT-DU-MONT. 14604 CALVADOS.

SAINT-LOUP-DE-FRIBOIS. 14608 CALVADOS.

SAINTE-MARGUERITE-DES-LOGES. 14615 CALVADOS.

SAINT-MARTIN-AUX-CHARTRAINS. 14620 CALVADOS.

SAINT-MARTIN-DE-LA-LIEUE. 14625 CALVADOS.

SAINT-MARTIN-DE-MAILLOC. 14626 CALVADOS.

SAINT-OUEN-DU-MESNIL-OGER. 14637 CALVADOS.

SAINT-OUEN-LE-HOUX. 14638 CALVADOS.

SAINT-OUEN-LE-PIN. 14639 CALVADOS.

SAINT-PAIR. 14640 CALVADOS.

SAINT-PHILBERT-DES-CHAMPS. 14644 CALVADOS.

SAINT-PIERRE-AZIF. 14645 CALVADOS.

SAINT-PIERRE-DE-MAILLOC. 14647 CALVADOS.

SAINT-PIERRE-DES-IFS. 14648 CALVADOS.

SAINT-PIERRE-DU-JONQUET. 14651 CALVADOS.

SAINT-SAMSON. 14657 CALVADOS.

SAINT-VAAST-EN-AUGE. 14660 CALVADOS.

SURVILLE. 14682 CALVADOS.

TORDOUET. 14693 CALVADOS.

LE TORQUESNE. 14694 CALVADOS.

TOURVILLE-EN-AUGE. 14706 CALVADOS.

TROARN. 14712 CALVADOS.

VALSEME. 14723 CALVADOS.

VAUVILLE. 14731 CALVADOS.

VIEUX-BOURG. 14748 CALVADOS.

VILLERS-SUR-MER. 14754 CALVADOS.

LE CHATEAU-D’OLERON. 17093 CHARENTE-MARITIME.

DOLUS-D’OLERON. 17140 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-DENIS-D’OLERON. 17323 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-GEORGES-D’OLERON. 17337 CHARENTE-MARITIME.

Page 157: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 114

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-PIERRE-D’OLERON. 17385 CHARENTE-MARITIME.

SAINT-TROJAN-LES-BAINS. 17411 CHARENTE-MARITIME.

LE GRAND-VILLAGE-PLAGE. 17485 CHARENTE-MARITIME.

LA BREE-LES-BAINS. 17486 CHARENTE-MARITIME.

ACHERES. 18001 CHER.

ALLOGNY. 18004 CHER.

ALLOUIS. 18005 CHER.

APREMONT-SUR-ALLIER. 18007 CHER.

ARGENT-SUR-SAULDRE. 18011 CHER.

AUBIGNY-SUR-NERE. 18015 CHER.

BLANCAFORT. 18030 CHER.

BRINAY. 18036 CHER.

BRINON-SUR-SAULDRE. 18037 CHER.

LA CHAPELLE-D’ANGILLON. 18047 CHER.

CLEMONT. 18067 CHER.

COURS-LES-BARRES. 18075 CHER.

CUFFY. 18082 CHER.

ENNORDRES. 18088 CHER.

FOECY. 18096 CHER.

IVOY-LE-PRE. 18115 CHER.

MENETREOL-SUR-SAULDRE. 18147 CHER.

MEREAU. 18148 CHER.

MERY-ES-BOIS. 18149 CHER.

MERY-SUR-CHER. 18150 CHER.

NANCAY. 18159 CHER.

NEUVY-SUR-BARANGEON. 18165 CHER.

OIZON. 18170 CHER.

PRESLY. 18185 CHER.

SAINT-ELOY-DE-GY. 18206 CHER.

SAINT-GEORGES-SUR-LA-PREE. 18210 CHER.

Page 158: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 115

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-HILAIRE-DE-COURT. 18214 CHER.

SAINT-LAURENT. 18219 CHER.

SAINT-MARTIN-D’AUXIGNY. 18223 CHER.

SAINTE-MONTAINE. 18227 CHER.

SAINT-PALAIS. 18229 CHER.

THENIOUX. 18263 CHER.

VIERZON. 18279 CHER.

VIGNOUX-SUR-BARANGEON. 18281 CHER.

VOUZERON. 18290 CHER.

ARGILLY. 21022 COTE-D’OR.

ATHEE. 21028 COTE-D’OR.

AUBIGNY-EN-PLAINE. 21031 COTE-D’OR.

AUVILLARS-SUR-SAONE. 21035 COTE-D’OR.

AUXONNE. 21038 COTE-D’OR.

BAGNOT. 21042 COTE-D’OR.

BEZOUOTTE. 21072 COTE-D’OR.

BILLEY. 21074 COTE-D’OR.

BONNENCONTRE. 21089 COTE-D’OR.

BOUSSELANGE. 21095 COTE-D’OR.

BRAZEY-EN-PLAINE. 21103 COTE-D’OR.

BROIN. 21112 COTE-D’OR.

CHAMBEIRE. 21130 COTE-D’OR.

CHAMBLANC. 21131 COTE-D’OR.

CHAMPAGNE-SUR-VINGEANNE. 21135 COTE-D’OR.

CHAMPDOTRE. 21138 COTE-D’OR.

CHARMES. 21146 COTE-D’OR.

CHARREY-SUR-SAONE. 21148 COTE-D’OR.

CHEUGE. 21167 COTE-D’OR.

CHEVIGNY-EN-VALIERE. 21170 COTE-D’OR.

CHIVRES. 21172 COTE-D’OR.

Page 159: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 116

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COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CIREY-LES-PONTAILLER. 21175 COTE-D’OR.

CLERY. 21180 COTE-D’OR.

COLLONGES-LES-PREMIERES. 21183 COTE-D’OR.

CORBERON. 21189 COTE-D’OR.

CORGENGOUX. 21193 COTE-D’OR.

DRAMBON. 21233 COTE-D’OR.

ECHENON. 21239 COTE-D’OR.

ESBARRES. 21249 COTE-D’OR.

ETEVAUX. 21256 COTE-D’OR.

FLAGEY-LES-AUXONNE. 21268 COTE-D’OR.

FLAMMERANS. 21269 COTE-D’OR.

FRANXAULT. 21285 COTE-D’OR.

GERLAND. 21294 COTE-D’OR.

GLANON. 21301 COTE-D’OR.

GROSBOIS-LES-TICHEY. 21311 COTE-D’OR.

HEUILLEY-SUR-SAONE. 21316 COTE-D’OR.

JALLANGES. 21322 COTE-D’OR.

JANCIGNY. 21323 COTE-D’OR.

LABERGEMENT-LES-AUXONNE. 21331 COTE-D’OR.

LABERGEMENT-LES-SEURRE. 21332 COTE-D’OR.

LABRUYERE. 21333 COTE-D’OR.

LAMARCHE-SUR-SAONE. 21337 COTE-D’OR.

LANTHES. 21340 COTE-D’OR.

LAPERRIERE-SUR-SAONE. 21342 COTE-D’OR.

LECHATELET. 21344 COTE-D’OR.

LONGCHAMP. 21351 COTE-D’OR.

LOSNE. 21356 COTE-D’OR.

MAGNY-LES-AUBIGNY. 21366 COTE-D’OR.

MAGNY-MONTARLOT. 21367 COTE-D’OR.

LES MAILLYS. 21371 COTE-D’OR.

Page 160: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 117

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MARANDEUIL. 21376 COTE-D’OR.

MARIGNY-LES-REULLEE. 21387 COTE-D’OR.

MAXILLY-SUR-SAONE. 21398 COTE-D’OR.

MEURSANGES. 21411 COTE-D’OR.

MONTAGNY-LES-SEURRE. 21424 COTE-D’OR.

MONTMAIN. 21436 COTE-D’OR.

MONTMANCON. 21437 COTE-D’OR.

MONTOT. 21440 COTE-D’OR.

PAGNY-LA-VILLE. 21474 COTE-D’OR.

PAGNY-LE-CHATEAU. 21475 COTE-D’OR.

PERRIGNY-SUR-L’OGNON. 21482 COTE-D’OR.

PONCEY-LES-ATHEE. 21493 COTE-D’OR.

PONT. 21495 COTE-D’OR.

PONTAILLER-SUR-SAONE. 21496 COTE-D’OR.

POUILLY-SUR-SAONE. 21502 COTE-D’OR.

PREMIERES. 21507 COTE-D’OR.

RENEVE. 21522 COTE-D’OR.

SAINT-JEAN-DE-LOSNE. 21554 COTE-D’OR.

SAINT-LEGER-TRIEY. 21556 COTE-D’OR.

SAINT-SAUVEUR. 21571 COTE-D’OR.

SAINT-SEINE-EN-BACHE. 21572 COTE-D’OR.

SAINT-SYMPHORIEN-SUR-SAONE. 21575 COTE-D’OR.

SAINT-USAGE. 21577 COTE-D’OR.

SAMEREY. 21581 COTE-D’OR.

SEURRE. 21607 COTE-D’OR.

SOIRANS. 21609 COTE-D’OR.

SOISSONS-SUR-NACEY. 21610 COTE-D’OR.

TALMAY. 21618 COTE-D’OR.

TELLECEY. 21624 COTE-D’OR.

TICHEY. 21637 COTE-D’OR.

Page 161: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 118

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

TILLENAY. 21639 COTE-D’OR.

TRECLUN. 21643 COTE-D’OR.

TROCHERES. 21644 COTE-D’OR.

TROUHANS. 21645 COTE-D’OR.

TRUGNY. 21647 COTE-D’OR.

VIELVERGE. 21680 COTE-D’OR.

VILLERS-LES-POTS. 21699 COTE-D’OR.

VILLERS-ROTIN. 21701 COTE-D’OR.

VILLY-LE-MOUTIER. 21708 COTE-D’OR.

VONGES. 21713 COTE-D’OR.

BERHET. 22006 COTES-D’ARMOR.

ILE-DE-BREHAT. 22016 COTES-D’ARMOR.

BRELIDY. 22018 COTES-D’ARMOR.

CAMLEZ. 22028 COTES-D’ARMOR.

CAVAN. 22034 COTES-D’ARMOR.

COATASCORN. 22041 COTES-D’ARMOR.

COATREVEN. 22042 COTES-D’ARMOR.

CREHEN. 22049 COTES-D’ARMOR.

LE FAOUET. 22057 COTES-D’ARMOR.

HENANBIHEN. 22076 COTES-D’ARMOR.

HENGOAT. 22078 COTES-D’ARMOR.

HILLION. 22081 COTES-D’ARMOR.

KERBORS. 22085 COTES-D’ARMOR.

KERFOT. 22086 COTES-D’ARMOR.

LANCIEUX. 22094 COTES-D’ARMOR.

LANGOAT. 22101 COTES-D’ARMOR.

LANGROLAY-SUR-RANCE. 22103 COTES-D’ARMOR.

LANGUENAN. 22105 COTES-D’ARMOR.

LANGUEUX. 22106 COTES-D’ARMOR.

LANLEFF. 22108 COTES-D’ARMOR.

Page 162: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 119

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LANMERIN. 22110 COTES-D’ARMOR.

LANMODEZ. 22111 COTES-D’ARMOR.

LEZARDRIEUX. 22127 COTES-D’ARMOR.

MANTALLOT. 22141 COTES-D’ARMOR.

MATIGNON. 22143 COTES-D’ARMOR.

LA MEAUGON. 22144 COTES-D’ARMOR.

MINIHY-TREGUIER. 22152 COTES-D’ARMOR.

PAIMPOL. 22162 COTES-D’ARMOR.

PENVENAN. 22166 COTES-D’ARMOR.

PLAINE-HAUTE. 22170 COTES-D’ARMOR.

PLANCOET. 22172 COTES-D’ARMOR.

PLEBOULLE. 22174 COTES-D’ARMOR.

PLEDRAN. 22176 COTES-D’ARMOR.

FREHEL. 22179 COTES-D’ARMOR.

PLERIN. 22187 COTES-D’ARMOR.

PLESLIN-TRIGAVOU. 22190 COTES-D’ARMOR.

PLESSIX-BALISSON. 22192 COTES-D’ARMOR.

PLESTIN-LES-GREVES. 22194 COTES-D’ARMOR.

PLEUBIAN. 22195 COTES-D’ARMOR.

PLEUDANIEL. 22196 COTES-D’ARMOR.

PLEUDIHEN-SUR-RANCE. 22197 COTES-D’ARMOR.

PLEUMEUR-GAUTIER. 22199 COTES-D’ARMOR.

PLEVENON. 22201 COTES-D’ARMOR.

PLOEZAL. 22204 COTES-D’ARMOR.

PLOUBALAY. 22209 COTES-D’ARMOR.

PLOUBAZLANEC. 22210 COTES-D’ARMOR.

PLOUEC-DU-TRIEUX. 22212 COTES-D’ARMOR.

PLOUER-SUR-RANCE. 22213 COTES-D’ARMOR.

PLOUEZEC. 22214 COTES-D’ARMOR.

PLOUFRAGAN. 22215 COTES-D’ARMOR.

Page 163: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 120

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PLOUGRESCANT. 22218 COTES-D’ARMOR.

PLOUGUIEL. 22221 COTES-D’ARMOR.

PLOURIVO. 22233 COTES-D’ARMOR.

PLUDUNO. 22237 COTES-D’ARMOR.

PLURIEN. 22242 COTES-D’ARMOR.

POMMERET. 22246 COTES-D’ARMOR.

POMMERIT-JAUDY. 22247 COTES-D’ARMOR.

PONTRIEUX. 22250 COTES-D’ARMOR.

POULDOURAN. 22253 COTES-D’ARMOR.

PRAT. 22254 COTES-D’ARMOR.

QUEMPER-GUEZENNEC. 22256 COTES-D’ARMOR.

QUEMPERVEN. 22257 COTES-D’ARMOR.

QUESSOY. 22258 COTES-D’ARMOR.

LA ROCHE-DERRIEN. 22264 COTES-D’ARMOR.

RUCA. 22268 COTES-D’ARMOR.

RUNAN. 22269 COTES-D’ARMOR.

SAINT-BRIEUC. 22278 COTES-D’ARMOR.

SAINT-CAST-LE-GUILDO. 22282 COTES-D’ARMOR.

SAINT-CLET. 22283 COTES-D’ARMOR.

SAINT-DONAN. 22287 COTES-D’ARMOR.

SAINT-JACUT-DE-LA-MER. 22302 COTES-D’ARMOR.

SAINT-JULIEN. 22307 COTES-D’ARMOR.

SAINT-LORMEL. 22311 COTES-D’ARMOR.

SAINT-POTAN. 22323 COTES-D’ARMOR.

TREDARZEC. 22347 COTES-D’ARMOR.

TREGON. 22357 COTES-D’ARMOR.

TREGUEUX. 22360 COTES-D’ARMOR.

TREGUIER. 22362 COTES-D’ARMOR.

TREMEREUC. 22368 COTES-D’ARMOR.

TREMUSON. 22372 COTES-D’ARMOR.

Page 164: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 121

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

TREZENY. 22381 COTES-D’ARMOR.

TROGUERY. 22383 COTES-D’ARMOR.

YFFINIAC. 22389 COTES-D’ARMOR.

YVIAS. 22390 COTES-D’ARMOR.

SAINT-LOUP-LAMAIRE. 79268 DEUX-SEVRES.

LOUIN. 79156 DEUX-SEVRES.

GOURGE. 79135 DEUX-SEVRES.

LE CHILLOU. 79089 DEUX-SEVRES.

ASSAIS-LES-JUMEAUX. 79016 DEUX-SEVRES.

AIRVAULT. 79005 DEUX-SEVRES.

BADEFOLS-SUR-DORDOGNE. 24022 DORDOGNE.

BANEUIL. 24023 DORDOGNE.

BERGERAC. 24037 DORDOGNE.

CALES. 24073 DORDOGNE.

CAUSE-DE-CLERANS. 24088 DORDOGNE.

COURS-DE-PILE. 24140 DORDOGNE.

COUZE-ET-SAINT-FRONT. 24143 DORDOGNE.

CREYSSE. 24145 DORDOGNE.

GARDONNE. 24194 DORDOGNE.

GINESTET. 24197 DORDOGNE.

LA FORCE. 24222 DORDOGNE.

LALINDE. 24223 DORDOGNE.

LAMONZIE-SAINT-MARTIN. 24225 DORDOGNE.

LAMOTHE-MONTRAVEL. 24226 DORDOGNE.

LANQUAIS. 24228 DORDOGNE.

LUNAS. 24246 DORDOGNE.

MAUZAC-ET-GRAND-CASTANG. 24260 DORDOGNE.

MOULEYDIER. 24296 DORDOGNE.

PEZULS. 24327 DORDOGNE.

PONTOURS. 24334 DORDOGNE.

Page 165: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 122

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PORT-SAINTE-FOY-ET-PONCHAPT. 24335 DORDOGNE.

PRESSIGNAC-VICQ. 24338 DORDOGNE.

PRIGONRIEUX. 24340 DORDOGNE.

SAINT-AGNE. 24361 DORDOGNE.

SAINT-ANTOINE-DE-BREUILH. 24370 DORDOGNE.

SAINT-CAPRAISE-DE-LALINDE. 24382 DORDOGNE.

SAINTE-FOY-DE-LONGAS. 24407 DORDOGNE.

SAINT-GEORGES-BLANCANEIX. 24413 DORDOGNE.

SAINT-GERMAIN-ET-MONS. 24419 DORDOGNE.

SAINT-LAURENT-DES-VIGNES. 24437 DORDOGNE.

SAINT-PIERRE-D’EYRAUD. 24487 DORDOGNE.

SAINT-SAUVEUR. 24499 DORDOGNE.

SAINT-SEURIN-DE-PRATS. 24501 DORDOGNE.

TREMOLAT. 24558 DORDOGNE.

VARENNES. 24566 DORDOGNE.

VELINES. 24568 DORDOGNE.

VERDON. 24570 DORDOGNE.

BREY-ET-MAISON-DU-BOIS. 25096 DOUBS.

GELLIN. 25263 DOUBS.

LES GRANGETTES. 25295 DOUBS.

LABERGEMENT-SAINTE-MARIE. 25320 DOUBS.

MALBUISSON. 25361 DOUBS.

MALPAS. 25362 DOUBS.

MONTPERREUX. 25405 DOUBS.

OYE-ET-PALLET. 25442 DOUBS.

REMORAY-BOUJEONS. 25486 DOUBS.

RONDEFONTAINE. 25501 DOUBS.

SAINT-ANTOINE. 25514 DOUBS.

SAINT-POINT-LAC. 25525 DOUBS.

SARRAGEOIS. 25534 DOUBS.

Page 166: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 123

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

TOUILLON-ET-LOUTELET. 25565 DOUBS.

VAUX-ET-CHANTEGRUE. 25592 DOUBS.

ACQUIGNY. 27003 EURE.

AILLY. 27005 EURE.

AMFREVILLE-SUR-ITON. 27014 EURE.

ASNIERES. 27021 EURE.

AUTHEUIL-AUTHOUILLET. 27025 EURE.

BAILLEUL-LA-VALLEE. 27035 EURE.

BARVILLE. 27042 EURE.

BONCOURT. 27081 EURE.

BREUILPONT. 27114 EURE.

BUEIL. 27119 EURE.

CAILLOUET-ORGEVILLE. 27123 EURE.

CAILLY-SUR-EURE. 27124 EURE.

CHAMBRAY. 27140 EURE.

LA CHAPELLE-DU-BOIS-DES-FAULX. 27147 EURE.

LA CHAPELLE-HARENG. 27149 EURE.

CROISY-SUR-EURE. 27190 EURE.

LA CROIX-SAINT-LEUFROY. 27191 EURE.

DRUCOURT. 27207 EURE.

DURANVILLE. 27208 EURE.

ECARDENVILLE-SUR-EURE. 27211 EURE.

EMALLEVILLE. 27216 EURE.

EZY-SUR-EURE. 27230 EURE.

FAINS. 27231 EURE.

FONTAINE-BELLENGER. 27249 EURE.

FONTAINE-HEUDEBOURG. 27250 EURE.

FONTAINE-LA-LOUVET. 27252 EURE.

FONTAINE-SOUS-JOUY. 27254 EURE.

FRESNE-CAUVERVILLE. 27269 EURE.

Page 167: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 124

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

GADENCOURT. 27273 EURE.

GARENNES-SUR-EURE. 27278 EURE.

HARDENCOURT-COCHEREL. 27312 EURE.

HECOURT. 27326 EURE.

HEUDEBOUVILLE. 27332 EURE.

HEUDREVILLE-SUR-EURE. 27335 EURE.

HONDOUVILLE. 27339 EURE.

HOULBEC-COCHEREL. 27343 EURE.

IRREVILLE. 27353 EURE.

IVRY-LA-BATAILLE. 27355 EURE.

JOUY-SUR-EURE. 27358 EURE.

MENILLES. 27397 EURE.

MEREY. 27400 EURE.

LE MESNIL-JOURDAIN. 27403 EURE.

MESNIL-SUR-L’ESTREE. 27406 EURE.

MORAINVILLE-JOUVEAUX. 27415 EURE.

MUZY. 27423 EURE.

NEUILLY. 27429 EURE.

PACY-SUR-EURE. 27448 EURE.

PIENCOURT. 27455 EURE.

PINTERVILLE. 27456 EURE.

LES PLACES. 27459 EURE.

LE PLESSIS-HEBERT. 27465 EURE.

ROUVRAY. 27501 EURE.

SAINT-AQUILIN-DE-PACY. 27510 EURE.

SAINT-AUBIN-DE-SCELLON. 27512 EURE.

SAINT-GEORGES-MOTEL. 27543 EURE.

SAINT-GERMAIN-SUR-AVRE. 27548 EURE.

SAINT-VIGOR. 27611 EURE.

THIBERVILLE. 27629 EURE.

Page 168: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 125

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA VACHERIE. 27666 EURE.

VAUX-SUR-EURE. 27674 EURE.

VERNEUSSES. 27680 EURE.

ABONDANT. 28001 EURE-ET-LOIR.

ALLAINVILLE. 28003 EURE-ET-LOIR.

AMILLY. 28006 EURE-ET-LOIR.

ANET. 28007 EURE-ET-LOIR.

BAILLEAU-ARMENONVILLE. 28023 EURE-ET-LOIR.

BARJOUVILLE. 28024 EURE-ET-LOIR.

BERCHERES-SAINT-GERMAIN. 28034 EURE-ET-LOIR.

BERCHERES-LES-PIERRES. 28035 EURE-ET-LOIR.

BILLANCELLES. 28040 EURE-ET-LOIR.

LA BOURDINIERE-SAINT-LOUP. 28048 EURE-ET-LOIR.

BONCOURT. 28050 EURE-ET-LOIR.

BOUGLAINVAL. 28052 EURE-ET-LOIR.

BRECHAMPS. 28058 EURE-ET-LOIR.

CHAMPHOL. 28070 EURE-ET-LOIR.

CHARPONT. 28082 EURE-ET-LOIR.

CHARTAINVILLIERS. 28084 EURE-ET-LOIR.

CHARTRES. 28085 EURE-ET-LOIR.

CHAUDON. 28094 EURE-ET-LOIR.

CHAUFFOURS. 28095 EURE-ET-LOIR.

LA CHAUSSEE-D’IVRY. 28096 EURE-ET-LOIR.

CHERISY. 28098 EURE-ET-LOIR.

CINTRAY. 28100 EURE-ET-LOIR.

COLTAINVILLE. 28104 EURE-ET-LOIR.

CORANCEZ. 28107 EURE-ET-LOIR.

LE COUDRAY. 28110 EURE-ET-LOIR.

COULOMBS. 28113 EURE-ET-LOIR.

COURVILLE-SUR-EURE. 28116 EURE-ET-LOIR.

Page 169: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 126

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CROISILLES. 28118 EURE-ET-LOIR.

DAMMARIE. 28122 EURE-ET-LOIR.

DREUX. 28134 EURE-ET-LOIR.

ECLUZELLES. 28136 EURE-ET-LOIR.

ERMENONVILLE-LA-GRANDE. 28141 EURE-ET-LOIR.

FONTAINE-LA-GUYON. 28154 EURE-ET-LOIR.

FONTENAY-SUR-EURE. 28158 EURE-ET-LOIR.

GASVILLE-OISEME. 28173 EURE-ET-LOIR.

GELLAINVILLE. 28177 EURE-ET-LOIR.

HANCHES. 28191 EURE-ET-LOIR.

HOUX. 28195 EURE-ET-LOIR.

JOUY. 28201 EURE-ET-LOIR.

LANDELLES. 28203 EURE-ET-LOIR.

LEVES. 28209 EURE-ET-LOIR.

LORMAYE. 28213 EURE-ET-LOIR.

LOUVILLIERS-EN-DROUAIS. 28216 EURE-ET-LOIR.

LUCE. 28218 EURE-ET-LOIR.

LUISANT. 28220 EURE-ET-LOIR.

LURAY. 28223 EURE-ET-LOIR.

MAINTENON. 28227 EURE-ET-LOIR.

MAINVILLIERS. 28229 EURE-ET-LOIR.

MARVILLE-MOUTIERS-BRULE. 28239 EURE-ET-LOIR.

MESLAY-LE-GRENET. 28245 EURE-ET-LOIR.

MEVOISINS. 28249 EURE-ET-LOIR.

MEZIERES-EN-DROUAIS. 28251 EURE-ET-LOIR.

MIGNIERES. 28253 EURE-ET-LOIR.

MONTREUIL. 28267 EURE-ET-LOIR.

MORANCEZ. 28269 EURE-ET-LOIR.

NERON. 28275 EURE-ET-LOIR.

NOGENT-LE-ROI. 28279 EURE-ET-LOIR.

Page 170: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 127

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

NOGENT-SUR-EURE. 28281 EURE-ET-LOIR.

OLLE. 28286 EURE-ET-LOIR.

ORROUER. 28290 EURE-ET-LOIR.

OUERRE. 28292 EURE-ET-LOIR.

OULINS. 28293 EURE-ET-LOIR.

PIERRES. 28298 EURE-ET-LOIR.

POISVILLIERS. 28301 EURE-ET-LOIR.

ROUVRES. 28321 EURE-ET-LOIR.

SAINT-ARNOULT-DES-BOIS. 28324 EURE-ET-LOIR.

SAINT-AUBIN-DES-BOIS. 28325 EURE-ET-LOIR.

SAINTE-GEMME-MORONVAL. 28332 EURE-ET-LOIR.

SAINT-GEORGES-SUR-EURE. 28337 EURE-ET-LOIR.

SAINT-GERMAIN-LE-GAILLARD. 28339 EURE-ET-LOIR.

SAINT-LUPERCE. 28350 EURE-ET-LOIR.

SAINT-MARTIN-DE-NIGELLES. 28352 EURE-ET-LOIR.

SAINT-PIAT. 28357 EURE-ET-LOIR.

SAINT-PREST. 28358 EURE-ET-LOIR.

SAINT-REMY-SUR-AVRE. 28359 EURE-ET-LOIR.

SAUSSAY. 28371 EURE-ET-LOIR.

SOREL-MOUSSEL. 28377 EURE-ET-LOIR.

SOULAIRES. 28379 EURE-ET-LOIR.

THIVARS. 28388 EURE-ET-LOIR.

TREMBLAY-LES-VILLAGES. 28393 EURE-ET-LOIR.

VER-LES-CHARTRES. 28403 EURE-ET-LOIR.

VERNOUILLET. 28404 EURE-ET-LOIR.

VERT-EN-DROUAIS. 28405 EURE-ET-LOIR.

VILLEMEUX-SUR-EURE. 28415 EURE-ET-LOIR.

VILLIERS-LE-MORHIER. 28417 EURE-ET-LOIR.

YERMENONVILLE. 28423 EURE-ET-LOIR.

BANNALEC. 29004 FINISTERE.

Page 171: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 128

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BAYE. 29005 FINISTERE.

BENODET. 29006 FINISTERE.

BRASPARTS. 29016 FINISTERE.

BRIEC. 29020 FINISTERE.

BRIGNOGAN-PLAGE. 29021 FINISTERE.

CARANTEC. 29023 FINISTERE.

CLEDER. 29030 FINISTERE.

CLOHARS-CARNOET. 29031 FINISTERE.

CLOHARS-FOUESNANT. 29032 FINISTERE.

COMBRIT. 29037 FINISTERE.

CONCARNEAU. 29039 FINISTERE.

LE DRENNEC. 29047 FINISTERE.

EDERN. 29048 FINISTERE.

ERGUE-GABERIC. 29051 FINISTERE.

LE FOLGOET. 29055 FINISTERE.

LA FORET-FOUESNANT. 29057 FINISTERE.

FOUESNANT. 29058 FINISTERE.

GARLAN. 29059 FINISTERE.

GOUESNACH. 29060 FINISTERE.

GOUEZEC. 29062 FINISTERE.

GOULVEN. 29064 FINISTERE.

GUENGAT. 29066 FINISTERE.

GUISSENY. 29077 FINISTERE.

HENVIC. 29079 FINISTERE.

KERLOUAN. 29091 FINISTERE.

KERNILIS. 29093 FINISTERE.

KERNOUES. 29094 FINISTERE.

LANARVILY. 29100 FINISTERE.

LANDREVARZEC. 29106 FINISTERE.

LANDUDAL. 29107 FINISTERE.

Page 172: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 129

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LANMEUR. 29113 FINISTERE.

LANNEUFFRET. 29116 FINISTERE.

LESNEVEN. 29124 FINISTERE.

LOC-BREVALAIRE. 29126 FINISTERE.

LOCQUENOLE. 29132 FINISTERE.

LOCQUIREC. 29133 FINISTERE.

LOCTUDY. 29135 FINISTERE.

LOTHEY. 29142 FINISTERE.

MELGVEN. 29146 FINISTERE.

MELLAC. 29147 FINISTERE.

MESPAUL. 29148 FINISTERE.

MOELAN-SUR-MER. 29150 FINISTERE.

MORLAIX. 29151 FINISTERE.

NEVEZ. 29153 FINISTERE.

PENMARCH. 29158 FINISTERE.

PLEUVEN. 29161 FINISTERE.

PLOBANNALEC. 29165 FINISTERE.

PLOGONNEC. 29169 FINISTERE.

PLOMELIN. 29170 FINISTERE.

PLOMEUR. 29171 FINISTERE.

PLONEIS. 29173 FINISTERE.

PLONEOUR-LANVERN. 29174 FINISTERE.

PLOUEGAT-GUERAND. 29182 FINISTERE.

PLOUENAN. 29184 FINISTERE.

PLOUESCAT. 29185 FINISTERE.

PLOUEZOCH. 29186 FINISTERE.

PLOUGASNOU. 29188 FINISTERE.

PLOUGOULM. 29192 FINISTERE.

PLOUGUERNEAU. 29195 FINISTERE.

PLOUIDER. 29198 FINISTERE.

Page 173: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 130

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PLOUNEOUR-TREZ. 29203 FINISTERE.

PLOUNEVEZ-LOCHRIST. 29206 FINISTERE.

PLOUVIEN. 29209 FINISTERE.

PLUGUFFAN. 29216 FINISTERE.

PONT-AVEN. 29217 FINISTERE.

PONT-L’ABBE. 29220 FINISTERE.

QUIMPER. 29232 FINISTERE.

QUIMPERLE. 29233 FINISTERE.

REDENE. 29234 FINISTERE.

RIEC-SUR-BELON. 29236 FINISTERE.

LA ROCHE-MAURICE. 29237 FINISTERE.

ROSCOFF. 29239 FINISTERE.

SAINT-COULITZ. 29243 FINISTERE.

SAINT-EVARZEC. 29247 FINISTERE.

SAINT-FREGANT. 29248 FINISTERE.

SAINT-JEAN-DU-DOIGT. 29251 FINISTERE.

SAINT-JEAN-TROLIMON. 29252 FINISTERE.

SAINT-MARTIN-DES-CHAMPS. 29254 FINISTERE.

SAINT-MEEN. 29255 FINISTERE.

SAINT-POL-DE-LEON. 29259 FINISTERE.

SAINT-YVY. 29272 FINISTERE.

SANTEC. 29273 FINISTERE.

SIBIRIL. 29276 FINISTERE.

TAULE. 29279 FINISTERE.

TREFFIAGAT. 29284 FINISTERE.

TREFLAOUENAN. 29285 FINISTERE.

TREFLEZ. 29287 FINISTERE.

TREGARANTEC. 29288 FINISTERE.

TREGUENNEC. 29292 FINISTERE.

TREGUNC. 29293 FINISTERE.

Page 174: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 131

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

TREMAOUEZAN. 29295 FINISTERE.

TREMEOC. 29296 FINISTERE.

TREMEVEN. 29297 FINISTERE.

LE TREVOUX. 29300 FINISTERE.

TREZILIDE. 29301 FINISTERE.

BAGNOLS-SUR-CEZE. 30028 GARD.

CARSAN. 30070 GARD.

CHUSCLAN. 30081 GARD.

CODOLET. 30084 GARD.

CONNAUX. 30092 GARD.

LAUDUN. 30141 GARD.

LIRAC. 30149 GARD.

MONTFAUCON. 30178 GARD.

ORSAN. 30191 GARD.

PONT-SAINT-ESPRIT. 30202 GARD.

PUJAUT. 30209 GARD.

ROQUEMAURE. 30221 GARD.

SAINT-ALEXANDRE. 30226 GARD.

SAINT-ETIENNE-DES-SORTS. 30251 GARD.

SAINT-GENIES-DE-COMOLAS. 30254 GARD.

SAINT-GERVAIS. 30256 GARD.

SAINT-LAURENT-DES-ARBRES. 30278 GARD.

SAINT-NAZAIRE. 30288 GARD.

SAINT-PAULET-DE-CAISSON. 30290 GARD.

SAINT-VICTOR-LA-COSTE. 30302 GARD.

SAUVETERRE. 30312 GARD.

TAVEL. 30326 GARD.

TRESQUES. 30331 GARD.

VENEJAN. 30342 GARD.

SAINT-PAUL-LES-FONTS. 30355 GARD.

Page 175: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 132

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ARVEYRES. 33015 GIRONDE.

ASQUES. 33016 GIRONDE.

BRANNE. 33071 GIRONDE.

CABARA. 33078 GIRONDE.

CADARSAC. 33079 GIRONDE.

CADILLAC-EN-FRONSADAIS. 33082 GIRONDE.

CASTILLON-LA-BATAILLE. 33108 GIRONDE.

CIVRAC-SUR-DORDOGNE. 33127 GIRONDE.

CUBZAC-LES-PONTS. 33143 GIRONDE.

DOULEZON. 33153 GIRONDE.

EYNESSE. 33160 GIRONDE.

FLAUJAGUES. 33168 GIRONDE.

FRONSAC. 33174 GIRONDE.

GENISSAC. 33185 GIRONDE.

GREZILLAC. 33194 GIRONDE.

IZON. 33207 GIRONDE.

JUILLAC. 33210 GIRONDE.

LIBOURNE. 33243 GIRONDE.

LUGAIGNAC. 33257 GIRONDE.

LUGON-ET-L’ILE-DU-CARNAY. 33259 GIRONDE.

MOULIETS-ET-VILLEMARTIN. 33296 GIRONDE.

MOULON. 33298 GIRONDE.

NERIGEAN. 33303 GIRONDE.

PESSAC-SUR-DORDOGNE. 33319 GIRONDE.

PUJOLS. 33344 GIRONDE.

LA RIVIERE. 33356 GIRONDE.

SAINT-AIGNAN. 33365 GIRONDE.

SAINT-AUBIN-DE-BRANNE. 33375 GIRONDE.

SAINT-AVIT-DE-SOULEGE. 33377 GIRONDE.

SAINT-AVIT-SAINT-NAZAIRE. 33378 GIRONDE.

Page 176: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 133

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINTE-FLORENCE. 33401 GIRONDE.

SAINTE-FOY-LA-GRANDE. 33402 GIRONDE.

SAINT-GERMAIN-DE-LA-RIVIERE. 33414 GIRONDE.

SAINT-JEAN-DE-BLAIGNAC. 33421 GIRONDE.

SAINT-LOUBES. 33433 GIRONDE.

SAINT-MAGNE-DE-CASTILLON. 33437 GIRONDE.

SAINT-MICHEL-DE-FRONSAC. 33451 GIRONDE.

SAINT-PEY-DE-CASTETS. 33460 GIRONDE.

SAINTE-RADEGONDE. 33468 GIRONDE.

SAINT-ROMAIN-LA-VIRVEE. 33470 GIRONDE.

SAINT-SULPICE-DE-FALEYRENS. 33480 GIRONDE.

SAINT-SULPICE-ET-CAMEYRAC. 33483 GIRONDE.

SAINTE-TERRE. 33485 GIRONDE.

SAINT-VINCENT-DE-PERTIGNAS. 33488 GIRONDE.

TIZAC-DE-CURTON. 33531 GIRONDE.

VAYRES. 33539 GIRONDE.

VIGNONET. 33546 GIRONDE.

VOISEY. 52544 HAUTE-MARNE.

NEUVELLE-LES-VOISEY. 52350 HAUTE-MARNE.

MELAY. 52318 HAUTE-MARNE.

ENFONVELLE. 52185 HAUTE-MARNE.

L’ABERGEMENT-DE-CUISERY. 71001 HAUTE-SAONE.

VY-LES-RUPT. 70582 HAUTE-SAONE.

VY-LE-FERROUX. 70580 HAUTE-SAONE.

VOUGECOURT. 70576 HAUTE-SAONE.

VILLERS-SUR-PORT. 70566 HAUTE-SAONE.

VILLEFRANCON. 70557 HAUTE-SAONE.

VILLARS-LE-PAUTEL. 70554 HAUTE-SAONE.

VEZET. 70551 HAUTE-SAONE.

LA VERNOTTE. 70549 HAUTE-SAONE.

Page 177: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 134

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VERNOIS-SUR-MANCE. 70548 HAUTE-SAONE.

VEREUX. 70546 HAUTE-SAONE.

VENISEY. 70545 HAUTE-SAONE.

VELLOREILLE-LES-CHOYE. 70540 HAUTE-SAONE.

VELLEXON-QUEUTREY-ET-VAUDEY. 70539 HAUTE-SAONE.

VELLEMOZ. 70538 HAUTE-SAONE.

VELET. 70529 HAUTE-SAONE.

VELESMES-ECHEVANNE. 70528 HAUTE-SAONE.

VAUCONCOURT-NERVEZAIN. 70525 HAUTE-SAONE.

VAUCHOUX. 70524 HAUTE-SAONE.

VANNE. 70520 HAUTE-SAONE.

VAITE. 70511 HAUTE-SAONE.

VADANS. 70510 HAUTE-SAONE.

LE TREMBLOIS. 70505 HAUTE-SAONE.

TRAVES. 70504 HAUTE-SAONE.

TINCEY-ET-PONTREBEAU. 70502 HAUTE-SAONE.

THEULEY. 70499 HAUTE-SAONE.

TARTECOURT. 70496 HAUTE-SAONE.

SOING-CUBRY-CHARENTENAY. 70492 HAUTE-SAONE.

SEVEUX. 70491 HAUTE-SAONE.

SENONCOURT. 70488 HAUTE-SAONE.

SCYE. 70483 HAUTE-SAONE.

SCEY-SUR-SAONE-ET-SAINT-ALBIN. 70482 HAUTE-SAONE.

SAVOYEUX. 70481 HAUTE-SAONE.

SAUVIGNEY-LES-PESMES. 70480 HAUTE-SAONE.

SAUVIGNEY-LES-GRAY. 70479 HAUTE-SAONE.

SAPONCOURT. 70476 HAUTE-SAONE.

SAINT-REMY. 70472 HAUTE-SAONE.

SAINTE-REINE. 70471 HAUTE-SAONE.

SAINT-MARCEL. 70468 HAUTE-SAONE.

Page 178: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 135

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-LOUP-NANTOUARD. 70466 HAUTE-SAONE.

SAINT-GAND. 70463 HAUTE-SAONE.

SAINT-BROING. 70461 HAUTE-SAONE.

RUPT-SUR-SAONE. 70457 HAUTE-SAONE.

ROSIERES-SUR-MANCE. 70454 HAUTE-SAONE.

RIGNY. 70446 HAUTE-SAONE.

LA GRANDE-RESIE. 70443 HAUTE-SAONE.

RECOLOGNE. 70440 HAUTE-SAONE.

RAZE. 70439 HAUTE-SAONE.

RAY-SUR-SAONE. 70438 HAUTE-SAONE.

RANZEVELLE. 70437 HAUTE-SAONE.

RAINCOURT. 70436 HAUTE-SAONE.

PURGEROT. 70427 HAUTE-SAONE.

PROVENCHERE. 70426 HAUTE-SAONE.

POYANS. 70422 HAUTE-SAONE.

PORT-SUR-SAONE. 70421 HAUTE-SAONE.

LE PONT-DE-PLANCHES. 70418 HAUTE-SAONE.

PONTCEY. 70417 HAUTE-SAONE.

POLAINCOURT-ET-CLAIREFONTAINE. 70415 HAUTE-SAONE.

PESMES. 70408 HAUTE-SAONE.

OYRIERES. 70402 HAUTE-SAONE.

OVANCHES. 70401 HAUTE-SAONE.

ORMOY. 70399 HAUTE-SAONE.

ONAY. 70394 HAUTE-SAONE.

NOIRON. 70389 HAUTE-SAONE.

NOIDANS-LE-FERROUX. 70387 HAUTE-SAONE.

LA NEUVELLE-LES-SCEY. 70386 HAUTE-SAONE.

NANTILLY. 70376 HAUTE-SAONE.

MOTEY-SUR-SAONE. 70375 HAUTE-SAONE.

MONTUREUX-LES-BAULAY. 70372 HAUTE-SAONE.

Page 179: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 136

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MONTUREUX-ET-PRANTIGNY. 70371 HAUTE-SAONE.

MONT-SAINT-LEGER. 70369 HAUTE-SAONE.

MONTOT. 70368 HAUTE-SAONE.

MONTIGNY-LES-VESOUL. 70363 HAUTE-SAONE.

MONTIGNY-LES-CHERLIEU. 70362 HAUTE-SAONE.

MONTCOURT. 70359 HAUTE-SAONE.

MERSUAY. 70343 HAUTE-SAONE.

MERCEY-SUR-SAONE. 70342 HAUTE-SAONE.

MENOUX. 70341 HAUTE-SAONE.

MEMBREY. 70340 HAUTE-SAONE.

MANTOCHE. 70331 HAUTE-SAONE.

MAGNY-LES-JUSSEY. 70320 HAUTE-SAONE.

LIEUCOURT. 70302 HAUTE-SAONE.

LAVONCOURT. 70299 HAUTE-SAONE.

LAMBREY. 70293 HAUTE-SAONE.

JUSSEY. 70292 HAUTE-SAONE.

JONVELLE. 70291 HAUTE-SAONE.

IGNY. 70289 HAUTE-SAONE.

HURECOURT. 70287 HAUTE-SAONE.

GREUCOURT. 70281 HAUTE-SAONE.

GRAY-LA-VILLE. 70280 HAUTE-SAONE.

GRAY. 70279 HAUTE-SAONE.

GRATTERY. 70278 HAUTE-SAONE.

GRANDECOURT. 70274 HAUTE-SAONE.

GEVIGNEY-ET-MERCEY. 70267 HAUTE-SAONE.

GERMIGNEY. 70265 HAUTE-SAONE.

FRESNE-SAINT-MAMES. 70255 HAUTE-SAONE.

FOUCHECOURT. 70244 HAUTE-SAONE.

FLEUREY-LES-FAVERNEY. 70236 HAUTE-SAONE.

FERRIERES-LES-SCEY. 70232 HAUTE-SAONE.

Page 180: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 137

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

FERRIERES-LES-RAY. 70231 HAUTE-SAONE.

FEDRY. 70230 HAUTE-SAONE.

FAVERNEY. 70228 HAUTE-SAONE.

ESSERTENNE-ET-CECEY. 70220 HAUTE-SAONE.

ESMOULINS. 70218 HAUTE-SAONE.

DENEVRE. 70204 HAUTE-SAONE.

DEMANGEVELLE. 70202 HAUTE-SAONE.

DAMPIERRE-SUR-SALON. 70198 HAUTE-SAONE.

CUGNEY. 70192 HAUTE-SAONE.

CUBRY-LES-FAVERNEY. 70190 HAUTE-SAONE.

CRESANCEY. 70185 HAUTE-SAONE.

CORRE. 70177 HAUTE-SAONE.

CONTREGLISE. 70170 HAUTE-SAONE.

CONFRACOURT. 70169 HAUTE-SAONE.

CONFLANDEY. 70167 HAUTE-SAONE.

COMBEAUFONTAINE. 70165 HAUTE-SAONE.

CHEVIGNEY. 70151 HAUTE-SAONE.

CHEMILLY. 70148 HAUTE-SAONE.

CHAUX-LES-PORT. 70146 HAUTE-SAONE.

CHASSEY-LES-SCEY. 70138 HAUTE-SAONE.

CHARGEY-LES-PORT. 70133 HAUTE-SAONE.

CHARGEY-LES-GRAY. 70132 HAUTE-SAONE.

LA CHAPELLE-SAINT-QUILLAIN. 70129 HAUTE-SAONE.

CHANTES. 70127 HAUTE-SAONE.

CHAMPVANS. 70125 HAUTE-SAONE.

CHAMPTONNAY. 70124 HAUTE-SAONE.

CENDRECOURT. 70114 HAUTE-SAONE.

CEMBOING. 70112 HAUTE-SAONE.

BUFFIGNECOURT. 70106 HAUTE-SAONE.

BUCEY-LES-TRAVES. 70105 HAUTE-SAONE.

Page 181: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 138

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BROYE-AUBIGNEY-MONTSEUGNY. 70101 HAUTE-SAONE.

BROTTE-LES-RAY. 70099 HAUTE-SAONE.

BREUREY-LES-FAVERNEY. 70095 HAUTE-SAONE.

BOUSSERAUCOURT. 70091 HAUTE-SAONE.

BOURGUIGNON-LES-CONFLANS. 70087 HAUTE-SAONE.

BOURBEVELLE. 70086 HAUTE-SAONE.

BOUHANS-ET-FEURG. 70080 HAUTE-SAONE.

BOUGNON. 70079 HAUTE-SAONE.

BOUGEY. 70078 HAUTE-SAONE.

BLONDEFONTAINE. 70074 HAUTE-SAONE.

BETAUCOURT. 70066 HAUTE-SAONE.

BEAUJEU-SAINT-VALLIER-PIERREJUX-ET-QUITTEUR. 70058 HAUTE-SAONE.

BAULAY. 70056 HAUTE-SAONE.

BATTRANS. 70054 HAUTE-SAONE.

LES BATIES. 70053 HAUTE-SAONE.

BARGES. 70049 HAUTE-SAONE.

AUVET-ET-LA-CHAPELOTTE. 70043 HAUTE-SAONE.

AUTREY-LES-GRAY. 70041 HAUTE-SAONE.

AUTET. 70037 HAUTE-SAONE.

AUGICOURT. 70035 HAUTE-SAONE.

ARSANS. 70030 HAUTE-SAONE.

AROZ. 70028 HAUTE-SAONE.

ARC-LES-GRAY. 70026 HAUTE-SAONE.

ARBECEY. 70025 HAUTE-SAONE.

APREMONT. 70024 HAUTE-SAONE.

ANGIREY. 70022 HAUTE-SAONE.

ANCIER. 70018 HAUTE-SAONE.

ANCHENONCOURT-ET-CHAZEL. 70017 HAUTE-SAONE.

AMONCOURT. 70015 HAUTE-SAONE.

AMANCE. 70012 HAUTE-SAONE.

Page 182: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 139

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

AISEY-ET-RICHECOURT. 70009 HAUTE-SAONE.

ABONCOURT-GESINCOURT. 70002 HAUTE-SAONE.

VEYRIER-DU-LAC. 74299 HAUTE-SAVOIE.

VERSONNEX. 74297 HAUTE-SAVOIE.

VAULX. 74292 HAUTE-SAVOIE.

VALLIERES. 74289 HAUTE-SAVOIE.

THUSY. 74283 HAUTE-SAVOIE.

SILLINGY. 74272 HAUTE-SAVOIE.

SEYNOD. 74268 HAUTE-SAVOIE.

SEVRIER. 74267 HAUTE-SAVOIE.

SALES. 74255 HAUTE-SAVOIE.

SAINT-EUSEBE. 74231 HAUTE-SAVOIE.

RUMILLY. 74225 HAUTE-SAVOIE.

QUINTAL. 74219 HAUTE-SAVOIE.

PRINGY. 74217 HAUTE-SAVOIE.

POISY. 74213 HAUTE-SAVOIE.

NONGLARD. 74202 HAUTE-SAVOIE.

MONTAGNY-LES-LANCHES. 74186 HAUTE-SAVOIE.

MEYTHET. 74182 HAUTE-SAVOIE.

METZ-TESSY. 74181 HAUTE-SAVOIE.

MENTHONNEX-SOUS-CLERMONT. 74178 HAUTE-SAVOIE.

MARCELLAZ-ALBANAIS. 74161 HAUTE-SAVOIE.

LOVAGNY. 74152 HAUTE-SAVOIE.

HAUTEVILLE-SUR-FIER. 74141 HAUTE-SAVOIE.

ETERCY. 74117 HAUTE-SAVOIE.

EPAGNY. 74112 HAUTE-SAVOIE.

CREMPIGNY-BONNEGUETE. 74095 HAUTE-SAVOIE.

CRAN-GEVRIER. 74093 HAUTE-SAVOIE.

CLERMONT. 74078 HAUTE-SAVOIE.

CHAVANOD. 74067 HAUTE-SAVOIE.

Page 183: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 140

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BOUSSY. 74046 HAUTE-SAVOIE.

BLOYE. 74035 HAUTE-SAVOIE.

ARGONAY. 74019 HAUTE-SAVOIE.

ANNECY-LE-VIEUX. 74011 HAUTE-SAVOIE.

ANNECY. 74010 HAUTE-SAVOIE.

ZIMMERBACH. 68385 HAUT-RHIN.

ZELLENBERG. 68383 HAUT-RHIN.

WINTZENHEIM. 68374 HAUT-RHIN.

WICKERSCHWIHR. 68366 HAUT-RHIN.

WETTOLSHEIM. 68365 HAUT-RHIN.

WALBACH. 68354 HAUT-RHIN.

TURCKHEIM. 68338 HAUT-RHIN.

THANNENKIRCH. 68335 HAUT-RHIN.

SUNDHOFFEN. 68331 HAUT-RHIN.

SIGOLSHEIM. 68310 HAUT-RHIN.

SAINT-HIPPOLYTE. 68296 HAUT-RHIN.

SAINTE-CROIX-EN-PLAINE. 68295 HAUT-RHIN.

RORSCHWIHR. 68285 HAUT-RHIN.

RODERN. 68280 HAUT-RHIN.

RIQUEWIHR. 68277 HAUT-RHIN.

RIEDWIHR. 68272 HAUT-RHIN.

RIBEAUVILLE. 68269 HAUT-RHIN.

OSTHEIM. 68252 HAUT-RHIN.

NIEDERMORSCHWIHR. 68237 HAUT-RHIN.

MUNTZENHEIM. 68227 HAUT-RHIN.

MITTELWIHR. 68209 HAUT-RHIN.

LOGELHEIM. 68189 HAUT-RHIN.

LIEPVRE. 68185 HAUT-RHIN.

KIENTZHEIM. 68164 HAUT-RHIN.

KAYSERSBERG. 68162 HAUT-RHIN.

Page 184: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 141

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

KATZENTHAL. 68161 HAUT-RHIN.

INGERSHEIM. 68155 HAUT-RHIN.

ILLHAEUSERN. 68153 HAUT-RHIN.

HUSSEREN-LES-CHATEAUX. 68150 HAUT-RHIN.

HUNAWIHR. 68147 HAUT-RHIN.

HOUSSEN. 68146 HAUT-RHIN.

HORBOURG-WIHR. 68145 HAUT-RHIN.

HOLTZWIHR. 68143 HAUT-RHIN.

HETTENSCHLAG. 68136 HAUT-RHIN.

GUEMAR. 68113 HAUT-RHIN.

FORTSCHWIHR. 68095 HAUT-RHIN.

EGUISHEIM. 68078 HAUT-RHIN.

COLMAR. 68066 HAUT-RHIN.

BISCHWIHR. 68038 HAUT-RHIN.

BERGHEIM. 68028 HAUT-RHIN.

BENNWIHR. 68026 HAUT-RHIN.

BEBLENHEIM. 68023 HAUT-RHIN.

APPENWIHR. 68008 HAUT-RHIN.

ANDOLSHEIM. 68007 HAUT-RHIN.

AMMERSCHWIHR. 68005 HAUT-RHIN.

AVAILLES-SUR-SEICHE. 35008 ILLE-ET-VILAINE.

BAINS-SUR-OUST. 35013 ILLE-ET-VILAINE.

BAIS. 35014 ILLE-ET-VILAINE.

BROUALAN. 35044 ILLE-ET-VILAINE.

LA CHAPELLE-DE-BRAIN. 35064 ILLE-ET-VILAINE.

CHATEAUNEUF-D’ILLE-ET-VILAINE. 35070 ILLE-ET-VILAINE.

CORNILLE. 35087 ILLE-ET-VILAINE.

CUGUEN. 35092 ILLE-ET-VILAINE.

DINARD. 35093 ILLE-ET-VILAINE.

EPINIAC. 35104 ILLE-ET-VILAINE.

Page 185: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 142

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

GUIPRY. 35129 ILLE-ET-VILAINE.

LANGON. 35145 ILLE-ET-VILAINE.

LOUVIGNE-DE-BAIS. 35161 ILLE-ET-VILAINE.

MESSAC. 35176 ILLE-ET-VILAINE.

MINIAC-MORVAN. 35179 ILLE-ET-VILAINE.

LE MINIHIC-SUR-RANCE. 35181 ILLE-ET-VILAINE.

MOUTIERS. 35200 ILLE-ET-VILAINE.

NOYAL-SOUS-BAZOUGES. 35205 ILLE-ET-VILAINE.

PLERGUER. 35224 ILLE-ET-VILAINE.

PLEURTUIT. 35228 ILLE-ET-VILAINE.

REDON. 35236 ILLE-ET-VILAINE.

RENAC. 35237 ILLE-ET-VILAINE.

LA RICHARDAIS. 35241 ILLE-ET-VILAINE.

SAINTE-ANNE-SUR-VILAINE. 35249 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-AUBIN-DES-LANDES. 35252 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-BRIAC-SUR-MER. 35256 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-DIDIER. 35264 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-GANTON. 35268 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-JEAN-SUR-VILAINE. 35283 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-JUST. 35285 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-LUNAIRE. 35287 ILLE-ET-VILAINE.

SAINTE-MARIE. 35294 ILLE-ET-VILAINE.

SAINT-SULIAC. 35314 ILLE-ET-VILAINE.

LA SELLE-GUERCHAISE. 35325 ILLE-ET-VILAINE.

TORCE. 35338 ILLE-ET-VILAINE.

TREMEHEUC. 35342 ILLE-ET-VILAINE.

VERGEAL. 35350 ILLE-ET-VILAINE.

LA VILLE-ES-NONAIS. 35358 ILLE-ET-VILAINE.

BEAUVOIR-EN-ROYANS. 38036 ISERE.

LA BUISSIERE. 38062 ISERE.

Page 186: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 143

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LE CHEYLAS. 38100 ISERE.

FONTANIL-CORNILLON. 38170 ISERE.

GONCELIN. 38181 ISERE.

GRENOBLE. 38185 ISERE.

MORETEL-DE-MAILLES. 38262 ISERE.

NOYAREY. 38281 ISERE.

PONTCHARRA. 38314 ISERE.

PRESLES. 38322 ISERE.

PROVEYSIEUX. 38325 ISERE.

QUAIX-EN-CHARTREUSE. 38328 ISERE.

SAINT-EGREVE. 38382 ISERE.

SAINTE-MARIE-D’ALLOIX. 38417 ISERE.

SAINT-MARTIN-LE-VINOUX. 38423 ISERE.

SAINT-PIERRE-D’ALLEVARD. 38439 ISERE.

SAINT-PIERRE-DE-CHERENNES. 38443 ISERE.

SAINT-ROMANS. 38453 ISERE.

SAINT-SAUVEUR. 38454 ISERE.

SAINT-VINCENT-DE-MERCUZE. 38466 ISERE.

SASSENAGE. 38474 ISERE.

LE TOUVET. 38511 ISERE.

ABERGEMENT-LA-RONCE. 39001 JURA.

ANNOIRE. 39011 JURA.

ARCHELANGE. 39014 JURA.

ASNANS-BEAUVOISIN. 39022 JURA.

AUGERANS. 39026 JURA.

AUMUR. 39029 JURA.

AUTHUME. 39030 JURA.

BALAISEAUX. 39034 JURA.

BAVERANS. 39042 JURA.

BELMONT. 39048 JURA.

Page 187: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 144

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BIARNE. 39051 JURA.

BIEF-DU-FOURG. 39053 JURA.

BLETTERANS. 39056 JURA.

BLYE. 39058 JURA.

BREVANS. 39078 JURA.

CHAINEE-DES-COUPIS. 39090 JURA.

CHAMPAGNEY. 39096 JURA.

CHAMPDIVERS. 39099 JURA.

CHAMPVANS. 39101 JURA.

CHAPELLE-VOLAND. 39104 JURA.

CHARCIER. 39107 JURA.

CHAREZIER. 39109 JURA.

CHATENOIS. 39121 JURA.

CHATILLON. 39122 JURA.

CHAUSSIN. 39128 JURA.

CHEMIN. 39138 JURA.

CHEVIGNY. 39141 JURA.

CHEVROTAINE. 39143 JURA.

CHOISEY. 39150 JURA.

COMMENAILLES. 39160 JURA.

COSGES. 39167 JURA.

CRISSEY. 39182 JURA.

DAMMARTIN-MARPAIN. 39188 JURA.

DAMPARIS. 39189 JURA.

LE DESCHAUX. 39193 JURA.

DESNES. 39194 JURA.

DOLE. 39198 JURA.

DOUCIER. 39201 JURA.

ECLANS-NENON. 39205 JURA.

LES ESSARDS-TAIGNEVAUX. 39211 JURA.

Page 188: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 145

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

FALLETANS. 39220 JURA.

FONTAINEBRUX. 39229 JURA.

FONTENU. 39230 JURA.

FOUCHERANS. 39233 JURA.

FRASNE. 39238 JURA.

GATEY. 39245 JURA.

GEVRY. 39252 JURA.

GREDISANS. 39262 JURA.

LES HAYS. 39266 JURA.

JOUHE. 39270 JURA.

LARNAUD. 39279 JURA.

LONGWY-SUR-LE-DOUBS. 39299 JURA.

LA LOYE. 39305 JURA.

MARIGNY. 39313 JURA.

MENETRUX-EN-JOUX. 39322 JURA.

MENOTEY. 39323 JURA.

MESNOIS. 39326 JURA.

MIGNOVILLARD. 39331 JURA.

MOISSEY. 39335 JURA.

MOLAY. 39338 JURA.

MONNIERES. 39345 JURA.

MONTMIREY-LA-VILLE. 39360 JURA.

MONTMIREY-LE-CHATEAU. 39361 JURA.

MONT-SUR-MONNET. 39366 JURA.

MUTIGNEY. 39377 JURA.

NANCE. 39379 JURA.

NEUBLANS-ABERGEMENT. 39385 JURA.

NEVY-LES-DOLE. 39387 JURA.

PARCEY. 39405 JURA.

PEINTRE. 39409 JURA.

Page 189: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 146

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

PESEUX. 39412 JURA.

PETIT-NOIR. 39415 JURA.

POINTRE. 39432 JURA.

PONT-DE-POITTE. 39435 JURA.

RAHON. 39448 JURA.

RAINANS. 39449 JURA.

RELANS. 39456 JURA.

ROCHEFORT-SUR-NENON. 39462 JURA.

RUFFEY-SUR-SEILLE. 39471 JURA.

SAFFLOZ. 39473 JURA.

SAINT-AUBIN. 39476 JURA.

SAINT-BARAING. 39477 JURA.

SAINT-LOUP. 39490 JURA.

SAMPANS. 39501 JURA.

SONGESON. 39518 JURA.

SOUVANS. 39520 JURA.

TAVAUX. 39526 JURA.

LA VIEILLE-LOYE. 39559 JURA.

VILLERS-ROBERT. 39571 JURA.

VILLETTE-LES-DOLE. 39573 JURA.

VILLEVIEUX. 39574 JURA.

ANGRESSE. 40004 LANDES.

BENESSE-MAREMNE. 40036 LANDES.

BIARROTTE. 40042 LANDES.

BIAUDOS. 40044 LANDES.

CAPBRETON. 40065 LANDES.

LABENNE. 40133 LANDES.

ONDRES. 40209 LANDES.

ORX. 40213 LANDES.

PORT-DE-LANNE. 40231 LANDES.

Page 190: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 147

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-ANDRE-DE-SEIGNANX. 40248 LANDES.

SAINT-BARTHELEMY. 40251 LANDES.

SAINT-ETIENNE-D’ORTHE. 40256 LANDES.

SAINT-JEAN-DE-MARSACQ. 40264 LANDES.

SAINT-LAURENT-DE-GOSSE. 40268 LANDES.

SAINTE-MARIE-DE-GOSSE. 40271 LANDES.

SAINT-MARTIN-DE-HINX. 40272 LANDES.

SAINT-MARTIN-DE-SEIGNANX. 40273 LANDES.

SAINT-VINCENT-DE-TYROSSE. 40284 LANDES.

SAUBION. 40291 LANDES.

SAUBRIGUES. 40292 LANDES.

SOORTS-HOSSEGOR. 40304 LANDES.

TARNOS. 40312 LANDES.

AILLEUX. 42002 LOIRE.

CHALMAZEL. 42039 LOIRE.

CHAZELLES-SUR-LAVIEU. 42058 LOIRE.

CHEVRIERES. 42062 LOIRE.

LA COTE-EN-COUZAN. 42072 LOIRE.

DEBATS-RIVIERE-D’ORPRA. 42084 LOIRE.

ESSERTINES-EN-DONZY. 42090 LOIRE.

FONTANES. 42096 LOIRE.

LA GIMOND. 42100 LOIRE.

GREZOLLES. 42106 LOIRE.

L’HOPITAL-SOUS-ROCHEFORT. 42109 LOIRE.

JEANSAGNIERE. 42114 LOIRE.

LERIGNEUX. 42121 LOIRE.

NEULISE. 42156 LOIRE.

PALOGNEUX. 42164 LOIRE.

ROCHE. 42188 LOIRE.

ROCHE-LA-MOLIERE. 42189 LOIRE.

Page 191: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 148

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-DIDIER-SUR-ROCHEFORT. 42217 LOIRE.

SAINT-JEAN-BONNEFONDS. 42237 LOIRE.

SAINT-JUST-EN-BAS. 42247 LOIRE.

SAINT-LAURENT-ROCHEFORT. 42252 LOIRE.

SAINT-THURIN. 42291 LOIRE.

SAUVAIN. 42298 LOIRE.

SORBIERS. 42302 LOIRE.

LA TALAUDIERE. 42305 LOIRE.

LA TOUR-EN-JAREZ. 42311 LOIRE.

LA VALLA. 42321 LOIRE.

VENDRANGES. 42325 LOIRE.

VERRIERES-EN-FOREZ. 42328 LOIRE.

VIRICELLES. 42335 LOIRE.

AVESSAC. 44007 LOIRE-ATLANTIQUE.

LA CHAPELLE-GLAIN. 44031 LOIRE-ATLANTIQUE.

FEGREAC. 44057 LOIRE-ATLANTIQUE.

GUEMENE-PENFAO. 44067 LOIRE-ATLANTIQUE.

GUENROUET. 44068 LOIRE-ATLANTIQUE.

JUIGNE-DES-MOUTIERS. 44078 LOIRE-ATLANTIQUE.

LE LOROUX-BOTTEREAU. 44084 LOIRE-ATLANTIQUE.

MASSERAC. 44092 LOIRE-ATLANTIQUE.

PIERRIC. 44123 LOIRE-ATLANTIQUE.

QUILLY. 44139 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-JULIEN-DE-VOUVANTES. 44170 LOIRE-ATLANTIQUE.

SAINT-NICOLAS-DE-REDON. 44185 LOIRE-ATLANTIQUE.

VILLEMURLIN. 45340 LOIRET.

VIENNE-EN-VAL. 45335 LOIRET.

VANNES-SUR-COSSON. 45331 LOIRET.

ARDON. 45006 LOIRET.

BAULE. 45024 LOIRET.

Page 192: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 149

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BEAUGENCY. 45028 LOIRET.

CERDON. 45063 LOIRET.

CLERY-SAINT-ANDRE. 45098 LOIRET.

COULLONS. 45108 LOIRET.

DRY. 45130 LOIRET.

LA FERTE-SAINT-AUBIN. 45146 LOIRET.

ISDES. 45171 LOIRET.

JOUY-LE-POTIER. 45175 LOIRET.

LAILLY-EN-VAL. 45179 LOIRET.

LIGNY-LE-RIBAULT. 45182 LOIRET.

MARCILLY-EN-VILLETTE. 45193 LOIRET.

MENESTREAU-EN-VILLETTE. 45200 LOIRET.

MEZIERES-LEZ-CLERY. 45204 LOIRET.

SAINT-CYR-EN-VAL. 45272 LOIRET.

SENNELY. 45309 LOIRET.

TAVERS. 45317 LOIRET.

TIGY. 45324 LOIRET.

AVARAY. 41008 LOIR-ET-CHER.

BAUZY. 41013 LOIR-ET-CHER.

BILLY. 41016 LOIR-ET-CHER.

BRACIEUX. 41025 LOIR-ET-CHER.

CELLETTES. 41031 LOIR-ET-CHER.

CHAMBORD. 41034 LOIR-ET-CHER.

CHAON. 41036 LOIR-ET-CHER.

LA CHAPELLE-MONTMARTIN. 41038 LOIR-ET-CHER.

CHATRES-SUR-CHER. 41044 LOIR-ET-CHER.

CHAUMONT-SUR-THARONNE. 41046 LOIR-ET-CHER.

CHEMERY. 41049 LOIR-ET-CHER.

CHEVERNY. 41050 LOIR-ET-CHER.

CHITENAY. 41052 LOIR-ET-CHER.

Page 193: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 150

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CHOUSSY. 41054 LOIR-ET-CHER.

CONTRES. 41059 LOIR-ET-CHER.

CORMERAY. 41061 LOIR-ET-CHER.

COUDDES. 41062 LOIR-ET-CHER.

COURBOUZON. 41066 LOIR-ET-CHER.

COUR-CHEVERNY. 41067 LOIR-ET-CHER.

COURMEMIN. 41068 LOIR-ET-CHER.

CROUY-SUR-COSSON. 41071 LOIR-ET-CHER.

DHUIZON. 41074 LOIR-ET-CHER.

FEINGS. 41082 LOIR-ET-CHER.

LA FERTE-BEAUHARNAIS. 41083 LOIR-ET-CHER.

LA FERTE-IMBAULT. 41084 LOIR-ET-CHER.

LA FERTE-SAINT-CYR. 41085 LOIR-ET-CHER.

FONTAINES-EN-SOLOGNE. 41086 LOIR-ET-CHER.

FOUGERES-SUR-BIEVRE. 41092 LOIR-ET-CHER.

FRESNES. 41094 LOIR-ET-CHER.

GIEVRES. 41097 LOIR-ET-CHER.

GY-EN-SOLOGNE. 41099 LOIR-ET-CHER.

HUISSEAU-SUR-COSSON. 41104 LOIR-ET-CHER.

LAMOTTE-BEUVRON. 41106 LOIR-ET-CHER.

LANGON. 41110 LOIR-ET-CHER.

LASSAY-SUR-CROISNE. 41112 LOIR-ET-CHER.

LESTIOU. 41114 LOIR-ET-CHER.

LOREUX. 41118 LOIR-ET-CHER.

MARAY. 41122 LOIR-ET-CHER.

MARCILLY-EN-GAULT. 41125 LOIR-ET-CHER.

LA MAROLLE-EN-SOLOGNE. 41127 LOIR-ET-CHER.

MASLIVES. 41129 LOIR-ET-CHER.

MENNETOU-SUR-CHER. 41135 LOIR-ET-CHER.

MILLANÇAY. 41140 LOIR-ET-CHER.

Page 194: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 151

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MONT-PRES-CHAMBORD. 41150 LOIR-ET-CHER.

MONTRIEUX-EN-SOLOGNE. 41152 LOIR-ET-CHER.

MUIDES-SUR-LOIRE. 41155 LOIR-ET-CHER.

MUR-DE-SOLOGNE. 41157 LOIR-ET-CHER.

NEUNG-SUR-BEUVRON. 41159 LOIR-ET-CHER.

NEUVY. 41160 LOIR-ET-CHER.

NOUAN-LE-FUZELIER. 41161 LOIR-ET-CHER.

OISLY. 41166 LOIR-ET-CHER.

ORÇAY. 41168 LOIR-ET-CHER.

OUCHAMPS. 41170 LOIR-ET-CHER.

PIERREFITTE-SUR-SAULDRE. 41176 LOIR-ET-CHER.

PRUNIERS-EN-SOLOGNE. 41185 LOIR-ET-CHER.

ROMORANTIN-LANTHENAY. 41194 LOIR-ET-CHER.

ROUGEOU. 41195 LOIR-ET-CHER.

SAINT-DYE-SUR-LOIRE. 41207 LOIR-ET-CHER.

SAINT-JULIEN-SUR-CHER. 41218 LOIR-ET-CHER.

SAINT-LAURENT-NOUAN. 41220 LOIR-ET-CHER.

SAINT-LOUP. 41222 LOIR-ET-CHER.

SAINT-VIATRE. 41231 LOIR-ET-CHER.

SALBRIS. 41232 LOIR-ET-CHER.

SASSAY. 41237 LOIR-ET-CHER.

SELLES-SAINT-DENIS. 41241 LOIR-ET-CHER.

SELLES-SUR-CHER. 41242 LOIR-ET-CHER.

SOINGS-EN-SOLOGNE. 41247 LOIR-ET-CHER.

SOUESMES. 41249 LOIR-ET-CHER.

SOUVIGNY-EN-SOLOGNE. 41251 LOIR-ET-CHER.

THEILLAY. 41256 LOIR-ET-CHER.

THENAY. 41257 LOIR-ET-CHER.

THOURY. 41260 LOIR-ET-CHER.

TOUR-EN-SOLOGNE. 41262 LOIR-ET-CHER.

Page 195: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 152

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VEILLEINS. 41268 LOIR-ET-CHER.

VERNOU-EN-SOLOGNE. 41271 LOIR-ET-CHER.

VILLEFRANCHE-SUR-CHER. 41280 LOIR-ET-CHER.

VILLEHERVIERS. 41282 LOIR-ET-CHER.

VILLENY. 41285 LOIR-ET-CHER.

VOUZON. 41296 LOIR-ET-CHER.

YVOY-LE-MARRON. 41297 LOIR-ET-CHER.

VILLEVEQUE. 49377 MAINE-ET-LOIRE.

VERN-D’ANJOU. 49367 MAINE-ET-LOIRE.

LE TREMBLAY. 49354 MAINE-ET-LOIRE.

TRELAZE. 49353 MAINE-ET-LOIRE.

TIERCE. 49347 MAINE-ET-LOIRE.

THORIGNE-D’ANJOU. 49344 MAINE-ET-LOIRE.

SOULAIRE-ET-BOURG. 49339 MAINE-ET-LOIRE.

SOUCELLES. 49337 MAINE-ET-LOIRE.

SΠURDRES. 49335 MAINE-ET-LOIRE.

SEICHES-SUR-LE-LOIR. 49333 MAINE-ET-LOIRE.

SCEAUX-D’ANJOU. 49330 MAINE-ET-LOIRE.

SARRIGNE. 49326 MAINE-ET-LOIRE.

SAINT-SYLVAIN-D’ANJOU. 49323 MAINE-ET-LOIRE.

SAINT-SAUVEUR-DE-FLEE. 49319 MAINE-ET-LOIRE.

SAINT-MICHEL-ET-CHANVEAUX. 49309 MAINE-ET-LOIRE.

SAINT-MARTIN-DU-BOIS. 49305 MAINE-ET-LOIRE.

SAINTE-GEMMES-SUR-LOIRE. 49278 MAINE-ET-LOIRE.

SAINT-CLEMENT-DE-LA-PLACE. 49271 MAINE-ET-LOIRE.

SAINT-BARTHELEMY-D’ANJOU. 49267 MAINE-ET-LOIRE.

QUERRE. 49254 MAINE-ET-LOIRE.

PRUILLE. 49251 MAINE-ET-LOIRE.

LA PREVIERE. 49250 MAINE-ET-LOIRE.

LA POUEZE. 49249 MAINE-ET-LOIRE.

Page 196: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 153

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

POUANCE. 49248 MAINE-ET-LOIRE.

LES PONTS-DE-CE. 49246 MAINE-ET-LOIRE.

LE PLESSIS-MACE. 49242 MAINE-ET-LOIRE.

LE PLESSIS-GRAMMOIRE. 49241 MAINE-ET-LOIRE.

PELLOUAILLES-LES-VIGNES. 49238 MAINE-ET-LOIRE.

NOELLET. 49226 MAINE-ET-LOIRE.

MORANNES. 49220 MAINE-ET-LOIRE.

MONTREUIL-SUR-MAINE. 49217 MAINE-ET-LOIRE.

MONTREUIL-SUR-LOIR. 49216 MAINE-ET-LOIRE.

MONTREUIL-JUIGNE. 49214 MAINE-ET-LOIRE.

MONTGUILLON. 49208 MAINE-ET-LOIRE.

MIRE. 49205 MAINE-ET-LOIRE.

LA MEMBROLLE-SUR-LONGUENEE. 49200 MAINE-ET-LOIRE.

LA MEIGNANNE. 49196 MAINE-ET-LOIRE.

MARIGNE. 49189 MAINE-ET-LOIRE.

MARCE. 49188 MAINE-ET-LOIRE.

LOUVAINES. 49184 MAINE-ET-LOIRE.

LE LION-D’ANGERS. 49176 MAINE-ET-LOIRE.

LEZIGNE. 49174 MAINE-ET-LOIRE.

JUVARDEIL. 49170 MAINE-ET-LOIRE.

LA JAILLE-YVON. 49161 MAINE-ET-LOIRE.

HUILLE. 49159 MAINE-ET-LOIRE.

GREZ-NEUVILLE. 49155 MAINE-ET-LOIRE.

GENE. 49148 MAINE-ET-LOIRE.

FENEU. 49135 MAINE-ET-LOIRE.

ETRICHE. 49132 MAINE-ET-LOIRE.

ECUILLE. 49130 MAINE-ET-LOIRE.

ECOUFLANT. 49129 MAINE-ET-LOIRE.

DURTAL. 49127 MAINE-ET-LOIRE.

DAUMERAY. 49119 MAINE-ET-LOIRE.

Page 197: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 154

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CORZE. 49110 MAINE-ET-LOIRE.

CONTIGNE. 49105 MAINE-ET-LOIRE.

CHERRE. 49096 MAINE-ET-LOIRE.

CHENILLE-CHANGE. 49095 MAINE-ET-LOIRE.

CHEMIRE-SUR-SARTHE. 49093 MAINE-ET-LOIRE.

CHEFFES. 49090 MAINE-ET-LOIRE.

CHAUMONT-D’ANJOU. 49084 MAINE-ET-LOIRE.

CHATEAUNEUF-SUR-SARTHE. 49080 MAINE-ET-LOIRE.

LA CHAPELLE-SUR-OUDON. 49077 MAINE-ET-LOIRE.

LA CHAPELLE-SAINT-LAUD. 49076 MAINE-ET-LOIRE.

CHAMPTEUSSE-SUR-BACONNE. 49067 MAINE-ET-LOIRE.

CHAMPIGNE. 49065 MAINE-ET-LOIRE.

CHAMBELLAY. 49064 MAINE-ET-LOIRE.

CHALLAIN-LA-POTHERIE. 49061 MAINE-ET-LOIRE.

CARBAY. 49056 MAINE-ET-LOIRE.

CANTENAY-EPINARD. 49055 MAINE-ET-LOIRE.

BRISSARTHE. 49051 MAINE-ET-LOIRE.

BRIOLLAY. 49048 MAINE-ET-LOIRE.

BRAIN-SUR-LONGUENEE. 49043 MAINE-ET-LOIRE.

BOUCHEMAINE. 49035 MAINE-ET-LOIRE.

BEAUCOUZE. 49020 MAINE-ET-LOIRE.

BAUNE. 49019 MAINE-ET-LOIRE.

BARACE. 49017 MAINE-ET-LOIRE.

AVRILLE. 49015 MAINE-ET-LOIRE.

AVIRE. 49014 MAINE-ET-LOIRE.

ARMAILLE. 49010 MAINE-ET-LOIRE.

ANGERS. 49007 MAINE-ET-LOIRE.

ANDIGNE. 49005 MAINE-ET-LOIRE.

ANDARD. 49004 MAINE-ET-LOIRE.

VROIL. 51658 MARNE.

Page 198: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 155

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VOILEMONT. 51650 MARNE.

VITRY-LE-FRANCOIS. 51649 MARNE.

VITRY-EN-PERTHOIS. 51647 MARNE.

VILLERS-LE-SEC. 51635 MARNE.

VILLERS-EN-ARGONNE. 51632 MARNE.

LE VIEIL-DAMPIERRE. 51619 MARNE.

VERRIERES. 51610 MARNE.

VERNANCOURT. 51608 MARNE.

VAVRAY-LE-PETIT. 51602 MARNE.

VAVRAY-LE-GRAND. 51601 MARNE.

VANAULT-LES-DAMES. 51590 MARNE.

VANAULT-LE-CHATEL. 51589 MARNE.

VALMY. 51588 MARNE.

SOMME-YEVRE. 51549 MARNE.

SOMME-BIONNE. 51543 MARNE.

SOGNY-EN-L’ANGLE. 51539 MARNE.

SIVRY-ANTE. 51537 MARNE.

SAINT-QUENTIN-LES-MARAIS. 51510 MARNE.

SAINTE-MENEHOULD. 51507 MARNE.

SAINT-MARD-SUR-LE-MONT. 51500 MARNE.

SAINT-MARD-SUR-AUVE. 51498 MARNE.

SAINT-LUMIER-EN-CHAMPAGNE. 51496 MARNE.

SAINT-JEAN-DEVANT-POSSESSE. 51489 MARNE.

REMICOURT. 51456 MARNE.

REIMS-LA-BRULEE. 51455 MARNE.

RAPSECOURT. 51452 MARNE.

POSSESSE. 51442 MARNE.

PLICHANCOURT. 51433 MARNE.

PASSAVANT-EN-ARGONNE. 51424 MARNE.

OUTREPONT. 51420 MARNE.

Page 199: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 156

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

NOIRLIEU. 51404 MARNE.

LA NEUVILLE-AUX-BOIS. 51397 MARNE.

MOIVRE. 51371 MARNE.

MOIREMONT. 51370 MARNE.

MERLAUT. 51363 MARNE.

MAROLLES. 51352 MARNE.

MAFFRECOURT. 51336 MARNE.

LOISY-SUR-MARNE. 51328 MARNE.

LISSE-EN-CHAMPAGNE. 51325 MARNE.

JUSSECOURT-MINECOURT. 51311 MARNE.

HERPONT. 51292 MARNE.

HEILTZ-L’EVEQUE. 51290 MARNE.

HANS. 51283 MARNE.

GIZAUCOURT. 51274 MARNE.

GIVRY-EN-ARGONNE. 51272 MARNE.

FRIGNICOURT. 51262 MARNE.

LE FRESNE. 51260 MARNE.

FLORENT-EN-ARGONNE. 51253 MARNE.

EPENSE. 51229 MARNE.

ELISE-DAUCOURT. 51228 MARNE.

ECLAIRES. 51222 MARNE.

VAL-DE-VIERE. 51218 MARNE.

DOMMARTIN-VARIMONT. 51214 MARNE.

DOMMARTIN-SOUS-HANS. 51213 MARNE.

DOMMARTIN-DAMPIERRE. 51211 MARNE.

DAMPIERRE-LE-CHATEAU. 51206 MARNE.

LA CROIX-EN-CHAMPAGNE. 51197 MARNE.

COUVROT. 51195 MARNE.

CONTAULT. 51166 MARNE.

LE CHEMIN. 51143 MARNE.

Page 200: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 157

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CHAUDEFONTAINE. 51139 MARNE.

CHATRICES. 51138 MARNE.

LE CHATELIER. 51133 MARNE.

LES CHARMONTOIS. 51132 MARNE.

CHARMONT. 51130 MARNE.

LA CHAPELLE-FELCOURT. 51126 MARNE.

CHANGY. 51122 MARNE.

BUSSY-LE-REPOS. 51098 MARNE.

BRUSSON. 51094 MARNE.

BRAUX-SAINT-REMY. 51083 MARNE.

BRAUX-SAINTE-COHIERE. 51082 MARNE.

BLACY. 51065 MARNE.

BETTANCOURT-LA-LONGUE. 51057 MARNE.

BELVAL-EN-ARGONNE. 51047 MARNE.

BASSUET. 51040 MARNE.

BASSU. 51039 MARNE.

AUVE. 51027 MARNE.

ARGERS. 51015 MARNE.

VOUTRE. 53276 MAYENNE.

TORCE-VIVIERS-EN-CHARNIE. 53265 MAYENNE.

SAINTE-SUZANNE. 53255 MAYENNE.

SAINT-OUEN-DES-VALLONS. 53244 MAYENNE.

SAINT-MICHEL-DE-FEINS. 53241 MAYENNE.

SAINT-MARS-SUR-LA-FUTAIE. 53238 MAYENNE.

SAINT-LOUP-DU-GAST. 53234 MAYENNE.

SAINT-LEGER. 53232 MAYENNE.

SAINT-LAURENT-DES-MORTIERS. 53231 MAYENNE.

SAINT-JEAN-SUR-MAYENNE. 53229 MAYENNE.

SAINT-GERMAIN-LE-FOUILLOUX. 53224 MAYENNE.

SAINT-GEORGES-SUR-ERVE. 53221 MAYENNE.

Page 201: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 158

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINTE-GEMMES-LE-ROBERT. 53218 MAYENNE.

SAINT-FRAIMBAULT-DE-PRIERES. 53216 MAYENNE.

SAINT-FORT. 53215 MAYENNE.

SAINT-DENIS-D’ANJOU. 53210 MAYENNE.

SAINT-CHRISTOPHE-DU-LUAT. 53207 MAYENNE.

SAINT-CENERE. 53205 MAYENNE.

SACE. 53195 MAYENNE.

PONTMAIN. 53181 MAYENNE.

NEAU. 53163 MAYENNE.

MOULAY. 53162 MAYENNE.

MONTSURS. 53161 MAYENNE.

MONTREUIL-POULAY. 53160 MAYENNE.

MONTOURTIER. 53159 MAYENNE.

MONTFLOURS. 53156 MAYENNE.

MEZANGERS. 53153 MAYENNE.

MENIL. 53150 MAYENNE.

MAYENNE. 53147 MAYENNE.

MARTIGNE-SUR-MAYENNE. 53146 MAYENNE.

MARCILLE-LA-VILLE. 53144 MAYENNE.

LOUVERNE. 53140 MAYENNE.

LIVET. 53134 MAYENNE.

JUBLAINS. 53122 MAYENNE.

HAMBERS. 53113 MAYENNE.

LA HAIE-TRAVERSAINE. 53111 MAYENNE.

GRAZAY. 53109 MAYENNE.

GESNES. 53105 MAYENNE.

EVRON. 53097 MAYENNE.

DEUX-EVAILLES. 53092 MAYENNE.

DAON. 53089 MAYENNE.

COUDRAY. 53078 MAYENNE.

Page 202: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 159

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

COMMER. 53072 MAYENNE.

CHEMAZE. 53066 MAYENNE.

CHATRES-LA-FORET. 53065 MAYENNE.

CHATELAIN. 53063 MAYENNE.

LA CHAPELLE-RAINSOUIN. 53059 MAYENNE.

LA CHAPELLE-ANTHENAISE. 53056 MAYENNE.

CHAMPEON. 53051 MAYENNE.

CHAMMES. 53050 MAYENNE.

CHALONS-DU-MAINE. 53049 MAYENNE.

BREE. 53043 MAYENNE.

BLANDOUET. 53032 MAYENNE.

BIERNE. 53029 MAYENNE.

BELGEARD. 53028 MAYENNE.

LA BAZOUGE-DES-ALLEUX. 53023 MAYENNE.

LA BAZOGE-MONTPINÇON. 53021 MAYENNE.

AZE. 53014 MAYENNE.

ASSE-LE-BERENGER. 53010 MAYENNE.

ARON. 53008 MAYENNE.

ARGENTON-NOTRE-DAME. 53006 MAYENNE.

XURES. 54601 MEURTHE-ET-MOSELLE.

XOUSSE. 54600 MEURTHE-ET-MOSELLE.

XONVILLE. 54599 MEURTHE-ET-MOSELLE.

XAMMES. 54594 MEURTHE-ET-MOSELLE.

WAVILLE. 54593 MEURTHE-ET-MOSELLE.

VITTONVILLE. 54589 MEURTHE-ET-MOSELLE.

VILLERS-SOUS-PRENY. 54579 MEURTHE-ET-MOSELLE.

VILLECEY-SUR-MAD. 54570 MEURTHE-ET-MOSELLE.

VILCEY-SUR-TREY. 54566 MEURTHE-ET-MOSELLE.

VIEVILLE-EN-HAYE. 54564 MEURTHE-ET-MOSELLE.

VEHO. 54556 MEURTHE-ET-MOSELLE.

Page 203: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 160

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VAUCOURT. 54551 MEURTHE-ET-MOSELLE.

VANDIERES. 54546 MEURTHE-ET-MOSELLE.

VANDELAINVILLE. 54544 MEURTHE-ET-MOSELLE.

TRONDES. 54534 MEURTHE-ET-MOSELLE.

THIAUCOURT-REGNIEVILLE. 54518 MEURTHE-ET-MOSELLE.

SPONVILLE. 54511 MEURTHE-ET-MOSELLE.

SEICHEPREY. 54499 MEURTHE-ET-MOSELLE.

SANZEY. 54492 MEURTHE-ET-MOSELLE.

SAINT-JULIEN-LES-GORZE. 54477 MEURTHE-ET-MOSELLE.

SAINT-BAUSSANT. 54470 MEURTHE-ET-MOSELLE.

ROYAUMEIX. 54466 MEURTHE-ET-MOSELLE.

REPAIX. 54458 MEURTHE-ET-MOSELLE.

REMONCOURT. 54457 MEURTHE-ET-MOSELLE.

REMBERCOURT-SUR-MAD. 54453 MEURTHE-ET-MOSELLE.

REILLON. 54452 MEURTHE-ET-MOSELLE.

PRENY. 54435 MEURTHE-ET-MOSELLE.

PETIT-FAILLY. 54420 MEURTHE-ET-MOSELLE.

PANNES. 54416 MEURTHE-ET-MOSELLE.

PAGNY-SUR-MOSELLE. 54415 MEURTHE-ET-MOSELLE.

ONVILLE. 54410 MEURTHE-ET-MOSELLE.

MOUACOURT. 54388 MEURTHE-ET-MOSELLE.

MINORVILLE. 54370 MEURTHE-ET-MOSELLE.

MENIL-LA-TOUR. 54360 MEURTHE-ET-MOSELLE.

MANONCOURT-EN-WOEVRE. 54346 MEURTHE-ET-MOSELLE.

MANDRES-AUX-QUATRE-TOURS. 54343 MEURTHE-ET-MOSELLE.

LUCEY. 54327 MEURTHE-ET-MOSELLE.

LEINTREY. 54308 MEURTHE-ET-MOSELLE.

LAY-SAINT-REMY. 54306 MEURTHE-ET-MOSELLE.

LANEUVEVILLE-DERRIERE-FOUG. 54298 MEURTHE-ET-MOSELLE.

LAGNEY. 54288 MEURTHE-ET-MOSELLE.

Page 204: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 161

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

JAULNY. 54275 MEURTHE-ET-MOSELLE.

IGNEY. 54271 MEURTHE-ET-MOSELLE.

HAMONVILLE. 54248 MEURTHE-ET-MOSELLE.

HAGEVILLE. 54244 MEURTHE-ET-MOSELLE.

GROSROUVRES. 54240 MEURTHE-ET-MOSELLE.

GRAND-FAILLY. 54236 MEURTHE-ET-MOSELLE.

GONDREXON. 54233 MEURTHE-ET-MOSELLE.

GOGNEY. 54230 MEURTHE-ET-MOSELLE.

FOUG. 54205 MEURTHE-ET-MOSELLE.

FLIREY. 54200 MEURTHE-ET-MOSELLE.

EUVEZIN. 54187 MEURTHE-ET-MOSELLE.

ESSEY-ET-MAIZERAIS. 54182 MEURTHE-ET-MOSELLE.

EMBERMENIL. 54177 MEURTHE-ET-MOSELLE.

DOMMARTIN-LA-CHAUSSEE. 54166 MEURTHE-ET-MOSELLE.

DAMPVITOUX. 54153 MEURTHE-ET-MOSELLE.

COINCOURT. 54133 MEURTHE-ET-MOSELLE.

CHAREY. 54119 MEURTHE-ET-MOSELLE.

CHAMBLEY-BUSSIERES. 54112 MEURTHE-ET-MOSELLE.

BOUVRON. 54088 MEURTHE-ET-MOSELLE.

BOUILLONVILLE. 54087 MEURTHE-ET-MOSELLE.

BOUCQ. 54086 MEURTHE-ET-MOSELLE.

BERNECOURT. 54063 MEURTHE-ET-MOSELLE.

BEAUMONT. 54057 MEURTHE-ET-MOSELLE.

BAYONVILLE-SUR-MAD. 54055 MEURTHE-ET-MOSELLE.

AVRICOURT. 54035 MEURTHE-ET-MOSELLE.

AUTREPIERRE. 54030 MEURTHE-ET-MOSELLE.

ARNAVILLE. 54022 MEURTHE-ET-MOSELLE.

ANSAUVILLE. 54019 MEURTHE-ET-MOSELLE.

ANDILLY. 54016 MEURTHE-ET-MOSELLE.

AMENONCOURT. 54013 MEURTHE-ET-MOSELLE.

Page 205: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 162

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

XIVRAY-ET-MARVOISIN. 55586 MEUSE.

WOEL. 55583 MEUSE.

WAVRILLE. 55580 MEUSE.

WALY. 55577 MEUSE.

VITTARVILLE. 55572 MEUSE.

VILOSNES-HARAUMONT. 55571 MEUSE.

VILLOTTE-DEVANT-LOUPPY. 55569 MEUSE.

VILLERS-LES-MANGIENNES. 55563 MEUSE.

VILLERS-AUX-VENTS. 55560 MEUSE.

VILLE-DEVANT-CHAUMONT. 55556 MEUSE.

VIGNOT. 55553 MEUSE.

VIGNEULLES-LES- ATTONCHATEL. 55551 MEUSE.

VAUDONCOURT. 55535 MEUSE.

VAUBECOURT. 55532 MEUSE.

VALBOIS. 55530 MEUSE.

VARNEVILLE. 55528 MEUSE.

TROUSSEY. 55520 MEUSE.

SEUIL-D’ARGONNE. 55517 MEUSE.

SORCY-SAINT-MARTIN. 55496 MEUSE.

SOMMEILLES. 55493 MEUSE.

SIVRY-SUR-MEUSE. 55490 MEUSE.

SENON. 55481 MEUSE.

SAINT-MIHIEL. 55463 MEUSE.

SAINT-MAURICE-SOUS-LES-COTES. 55462 MEUSE.

SAINT-LAURENT-SUR-OTHAIN. 55461 MEUSE.

SAINT-JULIEN-SOUS-LES-COTES. 55460 MEUSE.

RUPT-SUR-OTHAIN. 55450 MEUSE.

ROUVRES-EN-WOEVRE. 55443 MEUSE.

ROMAGNE-SOUS-LES-COTES. 55437 MEUSE.

RICHECOURT. 55431 MEUSE.

Page 206: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 163

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

REVILLE-AUX-BOIS. 55428 MEUSE.

REVIGNY-SUR-ORNAIN. 55427 MEUSE.

REMOIVILLE. 55425 MEUSE.

REMBERCOURT-SOMMAISNE. 55423 MEUSE.

RARECOURT. 55416 MEUSE.

RAMBUCOURT. 55412 MEUSE.

PRETZ-EN-ARGONNE. 55409 MEUSE.

PONT-SUR-MEUSE. 55407 MEUSE.

PILLON. 55405 MEUSE.

PEUVILLERS. 55403 MEUSE.

PAGNY-SUR-MEUSE. 55398 MEUSE.

ORNES. 55394 MEUSE.

NOYERS-AUZECOURT. 55388 MEUSE.

NONSARD-LAMARCHE. 55386 MEUSE.

NEUVILLE-SUR-ORNAIN. 55382 MEUSE.

LE NEUFOUR. 55379 MEUSE.

NETTANCOURT. 55378 MEUSE.

MUZERAY. 55367 MEUSE.

MORGEMOULIN. 55357 MEUSE.

MONTSEC. 55353 MEUSE.

MOIREY-FLABAS-CREPION. 55341 MEUSE.

MOGEVILLE. 55339 MEUSE.

MERLES-SUR-LOISON. 55336 MEUSE.

MECRIN. 55329 MEUSE.

MAUCOURT-SUR-ORNE. 55325 MEUSE.

MARVILLE. 55324 MEUSE.

MANGIENNES. 55316 MEUSE.

LOUPPY-LE-CHATEAU. 55304 MEUSE.

LOUPMONT. 55303 MEUSE.

LOISON. 55299 MEUSE.

Page 207: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 164

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LISSEY. 55297 MEUSE.

LISLE-EN-BARROIS. 55295 MEUSE.

LAVOYE. 55285 MEUSE.

LATOUR-EN-WOEVRE. 55281 MEUSE.

LAMORVILLE. 55274 MEUSE.

LAIMONT. 55272 MEUSE.

LAHEYCOURT. 55271 MEUSE.

LAHAYVILLE. 55270 MEUSE.

LACHAUSSEE. 55267 MEUSE.

LABEUVILLE. 55265 MEUSE.

GEVILLE. 55258 MEUSE.

JONVILLE-EN-WOEVRE. 55256 MEUSE.

JAMETZ. 55255 MEUSE.

LES ISLETTES. 55253 MEUSE.

HEUDICOURT-SOUS-LES-COTES. 55245 MEUSE.

HAN-SUR-MEUSE. 55229 MEUSE.

GREMILLY. 55218 MEUSE.

GOURAINCOURT. 55216 MEUSE.

GIRAUVOISIN. 55212 MEUSE.

GINCREY. 55211 MEUSE.

FUTEAU. 55202 MEUSE.

FROMEZEY. 55201 MEUSE.

FROIDOS. 55199 MEUSE.

FREMEREVILLE-SOUS-LES-COTES. 55196 MEUSE.

FOUCAUCOURT-SUR-THABAS. 55194 MEUSE.

FOAMEIX-ORNEL. 55191 MEUSE.

EVRES. 55185 MEUSE.

EUVILLE. 55184 MEUSE.

ETRAYE. 55183 MEUSE.

ETON. 55182 MEUSE.

Page 208: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 165

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ETAIN. 55181 MEUSE.

ECUREY-EN-VERDUNOIS. 55170 MEUSE.

DUZEY. 55168 MEUSE.

DONCOURT-AUX-TEMPLIERS. 55163 MEUSE.

DOMBRAS. 55156 MEUSE.

DIEPPE-SOUS-DOUAUMONT. 55153 MEUSE.

DELUT. 55149 MEUSE.

DAMVILLERS. 55145 MEUSE.

CONSENVOYE. 55124 MEUSE.

LES HAUTS-DE-CHEE. 55123 MEUSE.

CLERMONT-EN-ARGONNE. 55117 MEUSE.

CHAUMONT-DEVANT-DAMVILLERS. 55107 MEUSE.

CHARDOGNE. 55101 MEUSE.

CHAILLON. 55096 MEUSE.

BUXIERES-SOUS-LES-COTES. 55093 MEUSE.

BROUSSEY-RAULECOURT. 55085 MEUSE.

BRIZEAUX. 55081 MEUSE.

BREHEVILLE. 55076 MEUSE.

BRABANT-SUR-MEUSE. 55070 MEUSE.

BRABANT-LE-ROI. 55069 MEUSE.

BOUCONVILLE-SUR-MADT. 55062 MEUSE.

BONCOURT-SUR-MEUSE. 55058 MEUSE.

BILLY-SOUS-MANGIENNES. 55053 MEUSE.

BENEY-EN-WOEVRE. 55046 MEUSE.

BEAUMONT-EN-VERDUNOIS. 55039 MEUSE.

BEAULIEU-EN-ARGONNE. 55038 MEUSE.

AZANNES-ET-SOUMAZANNES. 55024 MEUSE.

AVILLERS-SAINTE-CROIX. 55021 MEUSE.

AUTRECOURT-SUR-AIRE. 55017 MEUSE.

APREMONT-LA-FORET. 55012 MEUSE.

Page 209: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 166

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

AMEL-SUR-L’ETANG. 55008 MEUSE.

SAINT-VINCENT-SUR-OUST. 56239 MORBIHAN.

SAINT-PIERRE-QUIBERON. 56234 MORBIHAN.

SAINT-PERREUX. 56232 MORBIHAN.

SAINT-JEAN-LA-POTERIE. 56223 MORBIHAN.

SAINT-JACUT-LES-PINS. 56221 MORBIHAN.

SAINTE-HELENE. 56220 MORBIHAN.

SAINT-GORGON. 56216 MORBIHAN.

RIEUX. 56194 MORBIHAN.

RIANTEC. 56193 MORBIHAN.

QUIBERON. 56186 MORBIHAN.

QUEVEN. 56185 MORBIHAN.

PORT-LOUIS. 56181 MORBIHAN.

PONT-SCORFF. 56179 MORBIHAN.

PLOUHINEC. 56169 MORBIHAN.

PLOUHARNEL. 56168 MORBIHAN.

PLOEMEUR. 56162 MORBIHAN.

PENESTIN. 56155 MORBIHAN.

PEAULE. 56153 MORBIHAN.

NOYAL-MUZILLAC. 56149 MORBIHAN.

MUZILLAC. 56143 MORBIHAN.

MERLEVENEZ. 56130 MORBIHAN.

MARZAN. 56126 MORBIHAN.

LORIENT. 56121 MORBIHAN.

LOCOAL-MENDON. 56119 MORBIHAN.

LIMERZEL. 56111 MORBIHAN.

LARMOR-PLAGE. 56107 MORBIHAN.

LANESTER. 56098 MORBIHAN.

KERVIGNAC. 56094 MORBIHAN.

HENNEBONT. 56083 MORBIHAN.

Page 210: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 167

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

GUIDEL. 56078 MORBIHAN.

LE GUERNO. 56077 MORBIHAN.

GESTEL. 56063 MORBIHAN.

GAVRES. 56062 MORBIHAN.

ETEL. 56055 MORBIHAN.

ERDEVEN. 56054 MORBIHAN.

CAUDAN. 56036 MORBIHAN.

CADEN. 56028 MORBIHAN.

BILLIERS. 56018 MORBIHAN.

BERRIC. 56015 MORBIHAN.

BELZ. 56013 MORBIHAN.

BEGANNE. 56011 MORBIHAN.

ARZAL. 56004 MORBIHAN.

ALLAIRE. 56001 MORBIHAN.

STUCKANGE. 57767 MOSELLE.

ZOMMANGE. 57763 MOSELLE.

ZARBELING. 57759 MOSELLE.

YUTZ. 57757 MOSELLE.

XOUAXANGE. 57756 MOSELLE.

WUISSE. 57753 MOSELLE.

WOIPPY. 57751 MOSELLE.

VOLSTROFF. 57733 MOSELLE.

VITTERSBOURG. 57725 MOSELLE.

VIRMING. 57723 MOSELLE.

VILLER. 57717 MOSELLE.

VIBERSVILLER. 57711 MOSELLE.

VERGAVILLE. 57706 MOSELLE.

VAUX. 57701 MOSELLE.

VANY. 57694 MOSELLE.

VANTOUX. 57693 MOSELLE.

Page 211: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 168

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

VALMESTROFF. 57689 MOSELLE.

VALLERANGE. 57687 MOSELLE.

VAHL-LES-FAULQUEMONT. 57686 MOSELLE.

VAHL-LES-BENESTROFF. 57685 MOSELLE.

VAHL-EBERSING. 57684 MOSELLE.

UCKANGE. 57683 MOSELLE.

TREMERY. 57677 MOSELLE.

TORCHEVILLE. 57675 MOSELLE.

THIONVILLE. 57672 MOSELLE.

TETING-SUR-NIED. 57668 MOSELLE.

TERVILLE. 57666 MOSELLE.

TARQUIMPOL. 57664 MOSELLE.

TALANGE. 57663 MOSELLE.

SOTZELING. 57657 MOSELLE.

SIERCK-LES-BAINS. 57650 MOSELLE.

SEREMANGE-ERZANGE. 57647 MOSELLE.

SEMECOURT. 57645 MOSELLE.

SCY-CHAZELLES. 57642 MOSELLE.

SAULNY. 57634 MOSELLE.

SARREBOURG. 57630 MOSELLE.

SARRALTROFF. 57629 MOSELLE.

SAINTE-RUFFINE. 57624 MOSELLE.

SAINT-MEDARD. 57621 MOSELLE.

SAINT-JULIEN-LES-METZ. 57616 MOSELLE.

SAINT-JEAN-DE-BASSEL. 57613 MOSELLE.

SAINT-GEORGES. 57611 MOSELLE.

RUSTROFF. 57604 MOSELLE.

RURANGE-LES-THIONVILLE. 57602 MOSELLE.

ROZERIEULLES. 57601 MOSELLE.

RORBACH-LES-DIEUZE. 57595 MOSELLE.

Page 212: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 169

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ROMELFING. 57592 MOSELLE.

RODEMACK. 57588 MOSELLE.

RODALBE. 57587 MOSELLE.

RICHEVAL. 57583 MOSELLE.

RICHEMONT. 57582 MOSELLE.

RICHE. 57580 MOSELLE.

RHODES. 57579 MOSELLE.

REZONVILLE. 57578 MOSELLE.

RETTEL. 57576 MOSELLE.

RENING. 57573 MOSELLE.

RECHICOURT-LE-CHATEAU. 57564 MOSELLE.

RACRANGE. 57560 MOSELLE.

POURNOY-LA-CHETIVE. 57553 MOSELLE.

POUILLY. 57552 MOSELLE.

POSTROFF. 57551 MOSELLE.

PONTPIERRE. 57549 MOSELLE.

PLESNOIS. 57546 MOSELLE.

PLAPPEVILLE. 57545 MOSELLE.

PEVANGE. 57539 MOSELLE.

PETIT-TENQUIN. 57536 MOSELLE.

PELTRE. 57534 MOSELLE.

OUDRENNE. 57531 MOSELLE.

OMMERAY. 57524 MOSELLE.

OBERSTINZEL. 57518 MOSELLE.

NOVEANT-SUR-MOSELLE. 57515 MOSELLE.

NOUILLY. 57512 MOSELLE.

NORROY-LE-VENEUR. 57511 MOSELLE.

NIEDERSTINZEL. 57506 MOSELLE.

NEUFVILLAGE. 57501 MOSELLE.

NEUFMOULINS. 57500 MOSELLE.

Page 213: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 170

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

NELLING. 57497 MOSELLE.

NEBING. 57496 MOSELLE.

MUNSTER. 57494 MOSELLE.

MULCEY. 57493 MOSELLE.

MOUSSEY. 57488 MOSELLE.

MOULINS-LES-METZ. 57487 MOSELLE.

MORHANGE. 57483 MOSELLE.

MONTOY-FLANVILLE. 57482 MOSELLE.

MONTIGNY-LES-METZ. 57480 MOSELLE.

MONTENACH. 57479 MOSELLE.

MONTDIDIER. 57478 MOSELLE.

MONDELANGE. 57474 MOSELLE.

MONCOURT. 57473 MOSELLE.

MOLRING. 57470 MOSELLE.

MITTERSHEIM. 57469 MOSELLE.

MEY. 57467 MOSELLE.

METZ. 57463 MOSELLE.

MERSCHWEILLER. 57459 MOSELLE.

MAXSTADT. 57453 MOSELLE.

LA MAXE. 57452 MOSELLE.

MARSAL. 57448 MOSELLE.

MARLY. 57447 MOSELLE.

MARIMONT-LES-BENESTROFF. 57446 MOSELLE.

MARIEULLES. 57445 MOSELLE.

MARANGE-SILVANGE. 57443 MOSELLE.

MANOM. 57441 MOSELLE.

MALROY. 57438 MOSELLE.

MALLING. 57437 MOSELLE.

MAIZIERES-LES-VIC. 57434 MOSELLE.

MAIZIERES-LES-METZ. 57433 MOSELLE.

Page 214: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 171

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LOUDREFING. 57418 MOSELLE.

LOSTROFF. 57417 MOSELLE.

LORRY-MARDIGNY. 57416 MOSELLE.

LORRY-LES-METZ. 57415 MOSELLE.

LORQUIN. 57414 MOSELLE.

LONGEVILLE-LES-METZ. 57412 MOSELLE.

LHOR. 57410 MOSELLE.

LIXING-LES-SAINT-AVOLD. 57409 MOSELLE.

LINDRE-HAUTE. 57405 MOSELLE.

LINDRE-BASSE. 57404 MOSELLE.

LIDREZING. 57401 MOSELLE.

LEZEY. 57399 MOSELLE.

LEY. 57397 MOSELLE.

LESSY. 57396 MOSELLE.

LENING. 57394 MOSELLE.

LELLING. 57389 MOSELLE.

LANING. 57384 MOSELLE.

LANGUIMBERG. 57383 MOSELLE.

LANGATTE. 57382 MOSELLE.

LANDROFF. 57379 MOSELLE.

LANDANGE. 57377 MOSELLE.

LAGARDE. 57375 MOSELLE.

KUNTZIG. 57372 MOSELLE.

HAUTE-KONTZ. 57371 MOSELLE.

KOENIGSMACKER. 57370 MOSELLE.

KIRSCH-LES-SIERCK. 57364 MOSELLE.

KERPRICH-AUX-BOIS. 57362 MOSELLE.

KERLING-LES-SIERCK. 57361 MOSELLE.

JUVELIZE. 57353 MOSELLE.

JUSSY. 57352 MOSELLE.

Page 215: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 172

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

JOUY-AUX-ARCHES. 57350 MOSELLE.

INSVILLER. 57347 MOSELLE.

INSMING. 57346 MOSELLE.

INGLANGE. 57345 MOSELLE.

IMLING. 57344 MOSELLE.

ILLANGE. 57343 MOSELLE.

IBIGNY. 57342 MOSELLE.

HUNTING. 57341 MOSELLE.

HONSKIRCH. 57335 MOSELLE.

HETTANGE-GRANDE. 57323 MOSELLE.

HERTZING. 57320 MOSELLE.

HERMELANGE. 57318 MOSELLE.

HEMING. 57314 MOSELLE.

HELLIMER. 57311 MOSELLE.

HELLERING-LES-FENETRANGE. 57310 MOSELLE.

HAYANGE. 57306 MOSELLE.

HAUT-CLOCHER. 57304 MOSELLE.

HAUCONCOURT. 57303 MOSELLE.

HATTIGNY. 57302 MOSELLE.

HARPRICH. 57297 MOSELLE.

HARAUCOURT-SUR-SEILLE. 57295 MOSELLE.

BASSE-HAM. 57287 MOSELLE.

HAGONDANGE. 57283 MOSELLE.

HABOUDANGE. 57281 MOSELLE.

GUINZELING. 57278 MOSELLE.

GUESSLING-HEMERING. 57275 MOSELLE.

GUERMANGE. 57272 MOSELLE.

VAL-DE-BRIDE. 57270 MOSELLE.

GUENANGE. 57269 MOSELLE.

GUEBLING. 57268 MOSELLE.

Page 216: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 173

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

GUEBLANGE-LES-DIEUZE. 57266 MOSELLE.

GUEBESTROFF. 57265 MOSELLE.

GROSTENQUIN. 57262 MOSELLE.

GRENING. 57258 MOSELLE.

GRAVELOTTE. 57256 MOSELLE.

GOSSELMING. 57255 MOSELLE.

GORZE. 57254 MOSELLE.

GONDREXANGE. 57253 MOSELLE.

GIVRYCOURT. 57248 MOSELLE.

GELUCOURT. 57246 MOSELLE.

GAVISSE. 57245 MOSELLE.

GANDRANGE. 57242 MOSELLE.

FRIBOURG. 57241 MOSELLE.

FREYBOUSE. 57239 MOSELLE.

FREMESTROFF. 57237 MOSELLE.

FRANCALTROFF. 57232 MOSELLE.

FOULCREY. 57229 MOSELLE.

FOLSCHVILLER. 57224 MOSELLE.

FLORANGE. 57221 MOSELLE.

FLEVY. 57219 MOSELLE.

FIXEM. 57214 MOSELLE.

FEY. 57212 MOSELLE.

FEVES. 57211 MOSELLE.

FENETRANGE. 57210 MOSELLE.

FAMECK. 57206 MOSELLE.

ERSTROFF. 57198 MOSELLE.

ENNERY. 57193 MOSELLE.

ELZANGE. 57191 MOSELLE.

EINCHEVILLE. 57189 MOSELLE.

DORNOT. 57184 MOSELLE.

Page 217: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 174

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

DONNELAY. 57183 MOSELLE.

DOMNON-LES-DIEUZE. 57181 MOSELLE.

DOLVING. 57180 MOSELLE.

DISTROFF. 57179 MOSELLE.

DIEUZE. 57177 MOSELLE.

DIANE-CAPELLE. 57175 MOSELLE.

DESSELING. 57173 MOSELLE.

CUVRY. 57162 MOSELLE.

CUTTING. 57161 MOSELLE.

CORNY-SUR-MOSELLE. 57153 MOSELLE.

CONTZ-LES-BAINS. 57152 MOSELLE.

CONTHIL. 57151 MOSELLE.

COIN-LES-CUVRY. 57146 MOSELLE.

COINCY. 57145 MOSELLE.

CHIEULLES. 57142 MOSELLE.

CHATEL-SAINT-GERMAIN. 57134 MOSELLE.

CHATEAU-VOUE. 57133 MOSELLE.

CHARLY-ORADOUR. 57129 MOSELLE.

CHAILLY-LES-ENNERY. 57125 MOSELLE.

CATTENOM. 57124 MOSELLE.

BREISTROFF-LA-GRANDE. 57109 MOSELLE.

BOUSTROFF. 57105 MOSELLE.

BOUST. 57104 MOSELLE.

BOUSSE. 57102 MOSELLE.

BOURDONNAY. 57099 MOSELLE.

BOURGALTROFF. 57098 MOSELLE.

BLANCHE-EGLISE. 57090 MOSELLE.

BISTROFF. 57088 MOSELLE.

BELLES-FORETS. 57086 MOSELLE.

BIDING. 57082 MOSELLE.

Page 218: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 175

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BIDESTROFF. 57081 MOSELLE.

BEZANGE-LA-PETITE. 57077 MOSELLE.

BEYREN-LES-SIERCK. 57076 MOSELLE.

BETTBORN. 57071 MOSELLE.

BERTRANGE. 57067 MOSELLE.

BERTHELMING. 57066 MOSELLE.

BERMERING. 57065 MOSELLE.

BERIG-VINTRANGE. 57063 MOSELLE.

BERG-SUR-MOSELLE. 57062 MOSELLE.

BENESTROFF. 57060 MOSELLE.

BEBING. 57056 MOSELLE.

BASSING. 57053 MOSELLE.

BARONVILLE. 57051 MOSELLE.

BARCHAIN. 57050 MOSELLE.

LE BAN-SAINT-MARTIN. 57049 MOSELLE.

AZOUDANGE. 57044 MOSELLE.

AY-SUR-MOSELLE. 57043 MOSELLE.

AVRICOURT. 57042 MOSELLE.

AUGNY. 57039 MOSELLE.

ASSENONCOURT. 57035 MOSELLE.

ASPACH. 57034 MOSELLE.

ARS-SUR-MOSELLE. 57032 MOSELLE.

ARS-LAQUENEXY. 57031 MOSELLE.

ARRY. 57030 MOSELLE.

ARGANCY. 57028 MOSELLE.

APACH. 57026 MOSELLE.

ANTILLY. 57024 MOSELLE.

ANCY-SUR-MOSELLE. 57021 MOSELLE.

AMNEVILLE. 57019 MOSELLE.

ALTRIPPE. 57014 MOSELLE.

Page 219: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 176

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ALBESTROFF. 57011 MOSELLE.

ADELANGE. 57008 MOSELLE.

VERNEUIL. 58306 NIEVRE.

VARENNES-VAUZELLES. 58303 NIEVRE.

URZY. 58300 NIEVRE.

TROIS-VEVRES. 58297 NIEVRE.

TOURY-LURCY. 58293 NIEVRE.

SURGY. 58282 NIEVRE.

SOUGY-SUR-LOIRE. 58280 NIEVRE.

SERMOISE-SUR-LOIRE. 58278 NIEVRE.

SAUVIGNY-LES-BOIS. 58273 NIEVRE.

SAINT-PARIZE-LE-CHATEL. 58260 NIEVRE.

SAINT-PARIZE-EN-VIRY. 58259 NIEVRE.

SAINT-OUEN-SUR-LOIRE. 58258 NIEVRE.

SAINT-MARTIN-D’HEUILLE. 58254 NIEVRE.

SAINT-LEGER-DES-VIGNES. 58250 NIEVRE.

SAINT-JEAN-AUX-AMOGNES. 58247 NIEVRE.

SAINT-HILAIRE-FONTAINE. 58245 NIEVRE.

SAINT-GERMAIN-CHASSENAY. 58241 NIEVRE.

SAINT-ELOI. 58238 NIEVRE.

SAINCAIZE-MEAUCE. 58225 NIEVRE.

POUSSEAUX. 58217 NIEVRE.

LA NOCLE-MAULAIX. 58195 NIEVRE.

NEVERS. 58194 NIEVRE.

NEUVILLE-LES-DECIZE. 58192 NIEVRE.

MONTIGNY-AUX-AMOGNES. 58176 NIEVRE.

MONTAMBERT. 58172 NIEVRE.

MARZY. 58160 NIEVRE.

MAGNY-COURS. 58152 NIEVRE.

LA MACHINE. 58151 NIEVRE.

Page 220: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 177

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LUTHENAY-UXELOUP. 58148 NIEVRE.

LUCENAY-LES-AIX. 58146 NIEVRE.

LIMON. 58143 NIEVRE.

LAMENAY-SUR-LOIRE. 58137 NIEVRE.

IMPHY. 58134 NIEVRE.

GIMOUILLE. 58126 NIEVRE.

GARCHIZY. 58121 NIEVRE.

FOURS. 58118 NIEVRE.

FOURCHAMBAULT. 58117 NIEVRE.

FLEURY-SUR-LOIRE. 58115 NIEVRE.

LA FERMETE. 58112 NIEVRE.

DRUY-PARIGNY. 58105 NIEVRE.

DEVAY. 58096 NIEVRE.

DECIZE. 58095 NIEVRE.

COULANGES-LES-NEVERS. 58088 NIEVRE.

COSSAYE. 58087 NIEVRE.

CHEVENON. 58072 NIEVRE.

CHARRIN. 58060 NIEVRE.

CHAMPVERT. 58055 NIEVRE.

CHALLUY. 58051 NIEVRE.

CERCY-LA-TOUR. 58046 NIEVRE.

BEAUMONT-SARDOLLES. 58028 NIEVRE.

BEARD. 58025 NIEVRE.

AZY-LE-VIF. 58021 NIEVRE.

AVRIL-SUR-LOIRE. 58020 NIEVRE.

ZUYTPEENE. 59669 NORD.

SAINT-GEORGES-SUR-L’AA. 59532 NORD.

RENESCURE. 59497 NORD.

NOORDPEENE. 59436 NORD.

NIEURLET. 59433 NORD.

Page 221: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 178

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LAMBRES-LEZ-DOUAI. 59329 NORD.

GRAVELINES. 59273 NORD.

GRAND-FORT-PHILIPPE. 59272 NORD.

FERIN. 59228 NORD.

COURCHELETTES. 59156 NORD.

BAVINCHOVE. 59054 NORD.

VIMOUTIERS. 61508 ORNE.

LA TRINITE-DES-LAITIERS. 61493 ORNE.

TICHEVILLE. 61485 ORNE.

LE SAP-ANDRE. 61461 ORNE.

LE SAP. 61460 ORNE.

SAINT-GERMAIN-D’AUNAY. 61392 ORNE.

SAINT-EVROULT-DE-MONTFORT. 61385 ORNE.

SAINT-AUBIN-DE-BONNEVAL. 61366 ORNE.

ROIVILLE. 61351 ORNE.

RESENLIEU. 61347 ORNE.

PONTCHARDON. 61333 ORNE.

ORVILLE. 61320 ORNE.

NEUVILLE-SUR-TOUQUES. 61307 ORNE.

MONNAI. 61282 ORNE.

MENIL-HUBERT-EN-EXMES. 61268 ORNE.

MARDILLY. 61252 ORNE.

HEUGON. 61205 ORNE.

GUERQUESALLES. 61198 ORNE.

GACE. 61181 ORNE.

LA FRESNAIE-FAYEL. 61178 ORNE.

CROISILLES. 61138 ORNE.

COURMENIL. 61131 ORNE.

COULMER. 61122 ORNE.

CISAI-SAINT-AUBIN. 61108 ORNE.

Page 222: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 179

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CHAUMONT. 61103 ORNE.

CANAPVILLE. 61072 ORNE.

LE BOSC-RENOULT. 61054 ORNE.

AVERNES-SAINT-GOURGON. 61018 ORNE.

AUBRY-LE-PANTHOU. 61010 ORNE.

WIMILLE. 62894 PAS-DE-CALAIS.

WIMEREUX. 62893 PAS-DE-CALAIS.

WAILLY-BEAUCAMP. 62870 PAS-DE-CALAIS.

VIEILLE-EGLISE. 62852 PAS-DE-CALAIS.

VERTON. 62849 PAS-DE-CALAIS.

LE TOUQUET-PARIS-PLAGE. 62826 PAS-DE-CALAIS.

TIGNY-NOYELLE. 62815 PAS-DE-CALAIS.

SORRUS. 62799 PAS-DE-CALAIS.

SAINT-OMER-CAPELLE. 62766 PAS-DE-CALAIS.

SAINT-OMER. 62765 PAS-DE-CALAIS.

SAINT-MARTIN-BOULOGNE. 62758 PAS-DE-CALAIS.

SAINT-JOSSE. 62752 PAS-DE-CALAIS.

SAINT-FOLQUIN. 62748 PAS-DE-CALAIS.

SAINT-AUBIN. 62742 PAS-DE-CALAIS.

ROUSSENT. 62723 PAS-DE-CALAIS.

ROBECQ. 62713 PAS-DE-CALAIS.

RANG-DU-FLIERS. 62688 PAS-DE-CALAIS.

PREURES. 62670 PAS-DE-CALAIS.

LE PORTEL. 62667 PAS-DE-CALAIS.

PARENTY. 62648 PAS-DE-CALAIS.

OYE-PLAGE. 62645 PAS-DE-CALAIS.

OUTREAU. 62643 PAS-DE-CALAIS.

OFFEKERQUE. 62634 PAS-DE-CALAIS.

NOUVELLE-EGLISE. 62623 PAS-DE-CALAIS.

NEMPONT-SAINT-FIRMIN. 62602 PAS-DE-CALAIS.

Page 223: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 180

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MONTCAVREL. 62585 PAS-DE-CALAIS.

MONT-BERNANCHON. 62584 PAS-DE-CALAIS.

MERLIMONT. 62571 PAS-DE-CALAIS.

MARCK. 62548 PAS-DE-CALAIS.

LILLERS. 62516 PAS-DE-CALAIS.

LIERES. 62508 PAS-DE-CALAIS.

LESTREM. 62502 PAS-DE-CALAIS.

LESPESSES. 62500 PAS-DE-CALAIS.

LEPINE. 62499 PAS-DE-CALAIS.

INXENT. 62472 PAS-DE-CALAIS.

HUBERSENT. 62460 PAS-DE-CALAIS.

HINGES. 62454 PAS-DE-CALAIS.

HENDECOURT-LES-RANSART. 62425 PAS-DE-CALAIS.

HAM-EN-ARTOIS. 62407 PAS-DE-CALAIS.

GUEMPS. 62393 PAS-DE-CALAIS.

GUARBECQUE. 62391 PAS-DE-CALAIS.

GOUY-SOUS-BELLONNE. 62383 PAS-DE-CALAIS.

GONNEHEM. 62376 PAS-DE-CALAIS.

FICHEUX. 62332 PAS-DE-CALAIS.

FERFAY. 62328 PAS-DE-CALAIS.

ENQUIN-SUR-BAILLONS. 62296 PAS-DE-CALAIS.

ECQUEDECQUES. 62286 PAS-DE-CALAIS.

DOUCHY-LES-AYETTE. 62272 PAS-DE-CALAIS.

CUCQ. 62261 PAS-DE-CALAIS.

CORMONT. 62241 PAS-DE-CALAIS.

CORBEHEM. 62240 PAS-DE-CALAIS.

CLAIRMARAIS. 62225 PAS-DE-CALAIS.

CAMPIGNEULLES-LES-GRANDES. 62206 PAS-DE-CALAIS.

CAMPAGNE-LES-WARDRECQUES. 62205 PAS-DE-CALAIS.

CALONNE-SUR-LA-LYS. 62195 PAS-DE-CALAIS.

Page 224: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 181

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BUSNES. 62190 PAS-DE-CALAIS.

BURBURE. 62188 PAS-DE-CALAIS.

BREBIERES. 62173 PAS-DE-CALAIS.

BOURECQ. 62162 PAS-DE-CALAIS.

BOULOGNE-SUR-MER. 62160 PAS-DE-CALAIS.

BOISLEUX-AU-MONT. 62151 PAS-DE-CALAIS.

BOIRY-SAINTE-RICTRUDE. 62147 PAS-DE-CALAIS.

BOIRY-SAINT-MARTIN. 62146 PAS-DE-CALAIS.

BEZINGHEM. 62127 PAS-DE-CALAIS.

BEUSSENT. 62123 PAS-DE-CALAIS.

BERNIEULLES. 62116 PAS-DE-CALAIS.

BERCK. 62108 PAS-DE-CALAIS.

AYETTE. 62068 PAS-DE-CALAIS.

ARQUES. 62040 PAS-DE-CALAIS.

AMES. 62028 PAS-DE-CALAIS.

ALLOUAGNE. 62023 PAS-DE-CALAIS.

ALETTE. 62021 PAS-DE-CALAIS.

AIRON-SAINT-VAAST. 62016 PAS-DE-CALAIS.

AIRON-NOTRE-DAME. 62015 PAS-DE-CALAIS.

ADINFER. 62009 PAS-DE-CALAIS.

URT. 64546 PYRENEES-ATLANTIQUES.

URCUIT. 64540 PYRENEES-ATLANTIQUES.

LAHONCE. 64304 PYRENEES-ATLANTIQUES.

BOUCAU. 64140 PYRENEES-ATLANTIQUES.

BAYONNE. 64102 PYRENEES-ATLANTIQUES.

SAINT-BONNET-DE-MURE. 69287 RHONE.

VILLIE-MORGON. 69267 RHONE.

VILLE-SUR-JARNIOUX. 69265 RHONE.

VILLEFRANCHE-SUR-SAONE. 69264 RHONE.

LA TOUR-DE-SALVAGNY. 69250 RHONE.

Page 225: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 182

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

THEIZE. 69246 RHONE.

TASSIN-LA-DEMI-LUNE. 69244 RHONE.

TAPONAS. 69242 RHONE.

SAINT-ROMAIN-AU-MONT-D’OR. 69233 RHONE.

SAINT-LAGER. 69218 RHONE.

SAINT-JULIEN. 69215 RHONE.

SAINT-JEAN-DES-VIGNES. 69212 RHONE.

SAINT-JEAN-D’ARDIERES. 69211 RHONE.

SAINT-GERMAIN-AU-MONT-D’OR. 69207 RHONE.

SAINT-GEORGES-DE-RENEINS. 69206 RHONE.

SAINT-ETIENNE-DES-OULLIERES. 69197 RHONE.

SAINT-DIDIER-AU-MONT-D’OR. 69194 RHONE.

SAINT-CYR-AU-MONT-D’OR. 69191 RHONE.

SALLES-ARBUISSONNAS-EN-BEAUJOLAIS. 69172 RHONE.

ROCHETAILLEE-SUR-SAONE. 69168 RHONE.

RIVOLET. 69167 RHONE.

POUILLY-LE-MONIAL. 69159 RHONE.

POMMIERS. 69156 RHONE.

POLEYMIEUX-AU-MONT-D’OR. 69153 RHONE.

MORANCE. 69140 RHONE.

MONTMELAS-SAINT-SORLIN. 69137 RHONE.

MARCY. 69126 RHONE.

MARCILLY-D’AZERGUES. 69125 RHONE.

LUCENAY. 69122 RHONE.

LOZANNE. 69121 RHONE.

LISSIEU. 69117 RHONE.

LIMONEST. 69116 RHONE.

LIMAS. 69115 RHONE.

LIERGUES. 69114 RHONE.

LANCIE. 69108 RHONE.

Page 226: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 183

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LACHASSAGNE. 69106 RHONE.

LACENAS. 69105 RHONE.

JULIENAS. 69103 RHONE.

JARNIOUX. 69101 RHONE.

GLEIZE. 69092 RHONE.

FRONTENAS. 69090 RHONE.

FLEURIE. 69084 RHONE.

ECULLY. 69081 RHONE.

DRACE. 69077 RHONE.

DOMMARTIN. 69076 RHONE.

DENICE. 69074 RHONE.

DARDILLY. 69072 RHONE.

CURIS-AU-MONT-D’OR. 69071 RHONE.

COUZON-AU-MONT-D’OR. 69068 RHONE.

CORCELLES-EN-BEAUJOLAIS. 69065 RHONE.

COGNY. 69061 RHONE.

CIVRIEUX-D’AZERGUES. 69059 RHONE.

LES CHERES. 69055 RHONE.

CHENAS. 69053 RHONE.

CHAZAY-D’AZERGUES. 69052 RHONE.

CHATILLON. 69050 RHONE.

CHASSELAY. 69049 RHONE.

CHARNAY. 69047 RHONE.

CHARENTAY. 69045 RHONE.

CHARBONNIERES-LES-BAINS. 69044 RHONE.

CHAMPAGNE-AU-MONT-D’OR. 69040 RHONE.

CERCIE. 69036 RHONE.

BLACE. 69023 RHONE.

BELMONT-D’AZERGUES. 69020 RHONE.

BELLEVILLE. 69019 RHONE.

Page 227: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 184

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

BAGNOLS. 69017 RHONE.

ARNAS. 69013 RHONE.

ANSE. 69009 RHONE.

AMBERIEUX. 69005 RHONE.

ALIX. 69004 RHONE.

ALBIGNY-SUR-SAONE. 69003 RHONE.

FLEURVILLE. 71591 SAONE-ET-LOIRE.

VIREY-LE-GRAND. 71585 SAONE-ET-LOIRE.

VIRE. 71584 SAONE-ET-LOIRE.

VINZELLES. 71583 SAONE-ET-LOIRE.

VINCELLES. 71580 SAONE-ET-LOIRE.

LA VILLENEUVE. 71578 SAONE-ET-LOIRE.

VILLEGAUDIN. 71577 SAONE-ET-LOIRE.

LE VILLARS. 71576 SAONE-ET-LOIRE.

VERS. 71572 SAONE-ET-LOIRE.

VERJUX. 71570 SAONE-ET-LOIRE.

VERISSEY. 71568 SAONE-ET-LOIRE.

VERGISSON. 71567 SAONE-ET-LOIRE.

VERDUN-SUR-LE-DOUBS. 71566 SAONE-ET-LOIRE.

VARENNES-LES-MACON. 71556 SAONE-ET-LOIRE.

VARENNES-LE-GRAND. 71555 SAONE-ET-LOIRE.

UCHIZY. 71550 SAONE-ET-LOIRE.

LA TRUCHERE. 71549 SAONE-ET-LOIRE.

TRONCHY. 71548 SAONE-ET-LOIRE.

TOUTENANT. 71544 SAONE-ET-LOIRE.

TOURNUS. 71543 SAONE-ET-LOIRE.

TORPES. 71541 SAONE-ET-LOIRE.

THUREY. 71538 SAONE-ET-LOIRE.

LE TARTRE. 71534 SAONE-ET-LOIRE.

SORNAY. 71528 SAONE-ET-LOIRE.

Page 228: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 185

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SOLUTRE-POUILLY. 71526 SAONE-ET-LOIRE.

SIMARD. 71523 SAONE-ET-LOIRE.

SIMANDRE. 71522 SAONE-ET-LOIRE.

SEVREY. 71520 SAONE-ET-LOIRE.

SERRIGNY-EN-BRESSE. 71519 SAONE-ET-LOIRE.

SERMESSE. 71517 SAONE-ET-LOIRE.

SERLEY. 71516 SAONE-ET-LOIRE.

SENS-SUR-SEILLE. 71514 SAONE-ET-LOIRE.

SENOZAN. 71513 SAONE-ET-LOIRE.

SENNECEY-LE-GRAND. 71512 SAONE-ET-LOIRE.

SAVIGNY-SUR-SEILLE. 71508 SAONE-ET-LOIRE.

SAUNIERES. 71504 SAONE-ET-LOIRE.

SASSENAY. 71502 SAONE-ET-LOIRE.

SANCE. 71497 SAONE-ET-LOIRE.

LA SALLE. 71494 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-VINCENT-EN-BRESSE. 71489 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-VERAND. 71487 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-USUGE. 71484 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-SYMPHORIEN-D’ANCELLES. 71481 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-REMY. 71475 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-MAURICE-EN-RIVIERE. 71462 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-MARTIN-EN-GATINOIS. 71457 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-MARTIN-EN-BRESSE. 71456 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-MARTIN-DU-MONT. 71454 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-MARTIN-BELLE-ROCHE. 71448 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-MARCEL. 71445 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-LOUP-DE-VARENNES. 71444 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-LOUP-DE-LA-SALLE. 71443 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-GERVAIS-EN-VALLIERE. 71423 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-GERMAIN-LES-BUXY. 71422 SAONE-ET-LOIRE.

Page 229: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 186

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

SAINT-GERMAIN-DU-PLAIN. 71420 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-GERMAIN-DU-BOIS. 71419 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-ETIENNE-EN-BRESSE. 71410 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-DIDIER-EN-BRESSE. 71405 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-CYR. 71402 SAONE-ET-LOIRE.

SAINTE-CROIX. 71401 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-CHRISTOPHE-EN-BRESSE. 71398 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-BONNET-EN-BRESSE. 71396 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-ANDRE-EN-BRESSE. 71386 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-AMOUR-BELLEVUE. 71385 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-AMBREUIL. 71384 SAONE-ET-LOIRE.

SAINT-ALBAIN. 71383 SAONE-ET-LOIRE.

SAILLENARD. 71380 SAONE-ET-LOIRE.

ROMENAY. 71373 SAONE-ET-LOIRE.

ROMANECHE-THORINS. 71372 SAONE-ET-LOIRE.

LA ROCHE-VINEUSE. 71371 SAONE-ET-LOIRE.

RATTE. 71367 SAONE-ET-LOIRE.

RATENELLE. 71366 SAONE-ET-LOIRE.

RANCY. 71365 SAONE-ET-LOIRE.

LA RACINEUSE. 71364 SAONE-ET-LOIRE.

PRUZILLY. 71362 SAONE-ET-LOIRE.

PRISSE. 71360 SAONE-ET-LOIRE.

PRETY. 71359 SAONE-ET-LOIRE.

POURLANS. 71357 SAONE-ET-LOIRE.

PONTOUX. 71355 SAONE-ET-LOIRE.

PLOTTES. 71353 SAONE-ET-LOIRE.

LE PLANOIS. 71352 SAONE-ET-LOIRE.

PIERRE-DE-BRESSE. 71351 SAONE-ET-LOIRE.

PALLEAU. 71341 SAONE-ET-LOIRE.

OZENAY. 71338 SAONE-ET-LOIRE.

Page 230: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 187

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

OUROUX-SUR-SAONE. 71336 SAONE-ET-LOIRE.

OSLON. 71333 SAONE-ET-LOIRE.

ORMES. 71332 SAONE-ET-LOIRE.

NAVILLY. 71329 SAONE-ET-LOIRE.

MOUTHIER-EN-BRESSE. 71326 SAONE-ET-LOIRE.

MONTRET. 71319 SAONE-ET-LOIRE.

MONTPONT-EN-BRESSE. 71318 SAONE-ET-LOIRE.

MONT-LES-SEURRE. 71315 SAONE-ET-LOIRE.

MONTJAY. 71314 SAONE-ET-LOIRE.

MONTCOY. 71312 SAONE-ET-LOIRE.

MONTCONY. 71311 SAONE-ET-LOIRE.

MONTCEAUX-RAGNY. 71308 SAONE-ET-LOIRE.

MONTBELLET. 71305 SAONE-ET-LOIRE.

MONTAGNY-PRES-LOUHANS. 71303 SAONE-ET-LOIRE.

MESSEY-SUR-GROSNE. 71296 SAONE-ET-LOIRE.

MERVANS. 71295 SAONE-ET-LOIRE.

MENETREUIL. 71293 SAONE-ET-LOIRE.

MARNAY. 71283 SAONE-ET-LOIRE.

MANCEY. 71274 SAONE-ET-LOIRE.

MACON. 71270 SAONE-ET-LOIRE.

LUX. 71269 SAONE-ET-LOIRE.

LUGNY. 71267 SAONE-ET-LOIRE.

LA LOYERE. 71265 SAONE-ET-LOIRE.

LOUHANS. 71263 SAONE-ET-LOIRE.

LONGEPIERRE. 71262 SAONE-ET-LOIRE.

LOISY. 71261 SAONE-ET-LOIRE.

LEYNES. 71258 SAONE-ET-LOIRE.

LESSARD-LE-NATIONAL. 71257 SAONE-ET-LOIRE.

LESSARD-EN-BRESSE. 71256 SAONE-ET-LOIRE.

LAYS-SUR-LE-DOUBS. 71254 SAONE-ET-LOIRE.

Page 231: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 188

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LANS. 71253 SAONE-ET-LOIRE.

LALHEUE. 71252 SAONE-ET-LOIRE.

LAIZE. 71250 SAONE-ET-LOIRE.

LAIVES. 71249 SAONE-ET-LOIRE.

LACROST. 71248 SAONE-ET-LOIRE.

JULLY-LES-BUXY. 71247 SAONE-ET-LOIRE.

JUIF. 71246 SAONE-ET-LOIRE.

JUGY. 71245 SAONE-ET-LOIRE.

JOUVENÇON. 71244 SAONE-ET-LOIRE.

HURIGNY. 71235 SAONE-ET-LOIRE.

HUILLY-SUR-SEILLE. 71234 SAONE-ET-LOIRE.

GUERFAND. 71228 SAONE-ET-LOIRE.

GRANGES. 71225 SAONE-ET-LOIRE.

GIVRY. 71221 SAONE-ET-LOIRE.

GIGNY-SUR-SAONE. 71219 SAONE-ET-LOIRE.

GERGY. 71215 SAONE-ET-LOIRE.

LA GENETE. 71213 SAONE-ET-LOIRE.

FUISSE. 71210 SAONE-ET-LOIRE.

FRONTENARD. 71208 SAONE-ET-LOIRE.

FRETTERANS. 71207 SAONE-ET-LOIRE.

LA FRETTE. 71206 SAONE-ET-LOIRE.

FRANGY-EN-BRESSE. 71205 SAONE-ET-LOIRE.

FRAGNES. 71204 SAONE-ET-LOIRE.

LE FAY. 71196 SAONE-ET-LOIRE.

FARGES-LES-MACON. 71195 SAONE-ET-LOIRE.

FARGES-LES-CHALON. 71194 SAONE-ET-LOIRE.

EPERVANS. 71189 SAONE-ET-LOIRE.

ECUELLES. 71186 SAONE-ET-LOIRE.

DRACY-LE-FORT. 71182 SAONE-ET-LOIRE.

DICONNE. 71175 SAONE-ET-LOIRE.

Page 232: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 189

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

DEVROUZE. 71173 SAONE-ET-LOIRE.

DEMIGNY. 71170 SAONE-ET-LOIRE.

DAVAYE. 71169 SAONE-ET-LOIRE.

DAMPIERRE-EN-BRESSE. 71168 SAONE-ET-LOIRE.

DAMEREY. 71167 SAONE-ET-LOIRE.

CUISERY. 71158 SAONE-ET-LOIRE.

CRONAT. 71155 SAONE-ET-LOIRE.

CRISSEY. 71154 SAONE-ET-LOIRE.

CRECHES-SUR-SAONE. 71150 SAONE-ET-LOIRE.

CLUX. 71138 SAONE-ET-LOIRE.

CLESSE. 71135 SAONE-ET-LOIRE.

CIEL. 71131 SAONE-ET-LOIRE.

CHEVAGNY-LES-CHEVRIERES. 71126 SAONE-ET-LOIRE.

LA CHAUX. 71121 SAONE-ET-LOIRE.

CHATENOY-LE-ROYAL. 71118 SAONE-ET-LOIRE.

CHATENOY-EN-BRESSE. 71117 SAONE-ET-LOIRE.

CHASSELAS. 71108 SAONE-ET-LOIRE.

CHARNAY-LES-MACON. 71105 SAONE-ET-LOIRE.

CHARNAY-LES-CHALON. 71104 SAONE-ET-LOIRE.

LA CHARMEE. 71102 SAONE-ET-LOIRE.

CHARETTE-VARENNES. 71101 SAONE-ET-LOIRE.

CHARDONNAY. 71100 SAONE-ET-LOIRE.

CHARBONNIERES. 71099 SAONE-ET-LOIRE.

LA CHAPELLE-THECLE. 71097 SAONE-ET-LOIRE.

LA CHAPELLE-SAINT-SAUVEUR. 71093 SAONE-ET-LOIRE.

LA CHAPELLE-NAUDE. 71092 SAONE-ET-LOIRE.

LA CHAPELLE-DE-GUINCHAY. 71090 SAONE-ET-LOIRE.

CHANES. 71084 SAONE-ET-LOIRE.

CHAMPFORGEUIL. 71081 SAONE-ET-LOIRE.

CHALON-SUR-SAONE. 71076 SAONE-ET-LOIRE.

Page 233: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 190

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

CHAINTRE. 71074 SAONE-ET-LOIRE.

BUSSIERES. 71069 SAONE-ET-LOIRE.

BURGY. 71066 SAONE-ET-LOIRE.

BRUAILLES. 71064 SAONE-ET-LOIRE.

BRIENNE. 71061 SAONE-ET-LOIRE.

BRANGES. 71056 SAONE-ET-LOIRE.

BRAGNY-SUR-SAONE. 71054 SAONE-ET-LOIRE.

BOYER. 71052 SAONE-ET-LOIRE.

BOUHANS. 71045 SAONE-ET-LOIRE.

BOSJEAN. 71044 SAONE-ET-LOIRE.

LES BORDES. 71043 SAONE-ET-LOIRE.

BEY. 71033 SAONE-ET-LOIRE.

BELLEVESVRE. 71029 SAONE-ET-LOIRE.

BEAUMONT-SUR-GROSNE. 71026 SAONE-ET-LOIRE.

BAUDRIERES. 71023 SAONE-ET-LOIRE.

BANTANGES. 71018 SAONE-ET-LOIRE.

AUTHUMES. 71013 SAONE-ET-LOIRE.

ALLERIOT. 71004 SAONE-ET-LOIRE.

ALLEREY-SUR-SAONE. 71003 SAONE-ET-LOIRE.

L’ABERGEMENT-SAINTE-COLOMBE. 71002 SAONE-ET-LOIRE.

PRECIGNE. 72244 SARTHE.

NOTRE-DAME-DU-PE. 72232 SARTHE.

LA CHAPELLE-D’ALIGNE. 72061 SARTHE.

VEREL-DE-MONTBEL. 73309 SAVOIE.

SAINT-PIERRE-D’ALVEY. 73271 SAVOIE.

SAINTE-MARIE-D’ALVEY. 73254 SAVOIE.

SAINT-ALBAN-DE-MONTBEL. 73219 SAVOIE.

NOVALAISE. 73191 SAVOIE.

LEPIN-LE-LAC. 73145 SAVOIE.

GERBAIX. 73122 SAVOIE.

Page 234: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 191

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

DULLIN. 73104 SAVOIE.

LA CHAPELLE-SAINT-MARTIN. 73078 SAVOIE.

LA BRIDOIRE. 73058 SAVOIE.

AYN. 73027 SAVOIE.

ATTIGNAT-ONCIN. 73022 SAVOIE.

AIGUEBELETTE-LE-LAC. 73001 SAVOIE.

VULAINES-SUR-SEINE. 77533 SEINE-ET-MARNE.

VIMPELLES. 77524 SEINE-ET-MARNE.

VILLIERS-SUR-SEINE. 77522 SEINE-ET-MARNE.

VILLE-SAINT-JACQUES. 77516 SEINE-ET-MARNE.

VERNOU-LA-CELLE-SUR-SEINE. 77494 SEINE-ET-MARNE.

VENEUX-LES-SABLONS. 77491 SEINE-ET-MARNE.

VAUX-LE-PENIL. 77487 SEINE-ET-MARNE.

VARENNES-SUR-SEINE. 77482 SEINE-ET-MARNE.

LA TOMBE. 77467 SEINE-ET-MARNE.

THOMERY. 77463 SEINE-ET-MARNE.

THENISY. 77461 SEINE-ET-MARNE.

SOURDUN. 77459 SEINE-ET-MARNE.

SOISY-BOUY. 77456 SEINE-ET-MARNE.

SIVRY-COURTRY. 77453 SEINE-ET-MARNE.

SIGY. 77452 SEINE-ET-MARNE.

SAMOREAU. 77442 SEINE-ET-MARNE.

SAMOIS-SUR-SEINE. 77441 SEINE-ET-MARNE.

SALINS. 77439 SEINE-ET-MARNE.

SAINT-SAUVEUR-LES-BRAY. 77434 SEINE-ET-MARNE.

SAINT-MAMMES. 77419 SEINE-ET-MARNE.

SAINT-GERMAIN-LAVAL. 77409 SEINE-ET-MARNE.

PAROY. 77355 SEINE-ET-MARNE.

LES ORMES-SUR-VOULZIE. 77347 SEINE-ET-MARNE.

NOYEN-SUR-SEINE. 77341 SEINE-ET-MARNE.

Page 235: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 192

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MOUY-SUR-SEINE. 77325 SEINE-ET-MARNE.

MOUSSEAUX-LES-BRAY. 77321 SEINE-ET-MARNE.

MORET-SUR-LOING. 77316 SEINE-ET-MARNE.

MONTIGNY-SUR-LOING. 77312 SEINE-ET-MARNE.

MONTIGNY-LENCOUP. 77311 SEINE-ET-MARNE.

MONTIGNY-LE-GUESDIER. 77310 SEINE-ET-MARNE.

MONTEREAU-FAULT-YONNE. 77305 SEINE-ET-MARNE.

MONTARLOT. 77299 SEINE-ET-MARNE.

MONS-EN-MONTOIS. 77298 SEINE-ET-MARNE.

MISY-SUR-YONNE. 77293 SEINE-ET-MARNE.

MELZ-SUR-SEINE. 77289 SEINE-ET-MARNE.

MAROLLES-SUR-SEINE. 77279 SEINE-ET-MARNE.

MACHAULT. 77266 SEINE-ET-MARNE.

LUISETAINES. 77263 SEINE-ET-MARNE.

LIVRY-SUR-SEINE. 77255 SEINE-ET-MARNE.

LAVAL-EN-BRIE. 77245 SEINE-ET-MARNE.

JUTIGNY. 77242 SEINE-ET-MARNE.

HERME. 77227 SEINE-ET-MARNE.

HERICY. 77226 SEINE-ET-MARNE.

GURCY-LE-CHATEL. 77223 SEINE-ET-MARNE.

GRAVON. 77212 SEINE-ET-MARNE.

LA GRANDE-PAROISSE. 77210 SEINE-ET-MARNE.

GOUAIX. 77208 SEINE-ET-MARNE.

LA GENEVRAYE. 77202 SEINE-ET-MARNE.

FORGES. 77194 SEINE-ET-MARNE.

FONTAINE-LE-PORT. 77188 SEINE-ET-MARNE.

FONTAINE-FOURCHES. 77187 SEINE-ET-MARNE.

FONTAINEBLEAU. 77186 SEINE-ET-MARNE.

FERICY. 77179 SEINE-ET-MARNE.

EVERLY. 77174 SEINE-ET-MARNE.

Page 236: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 193

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ESMANS. 77172 SEINE-ET-MARNE.

EPISY. 77170 SEINE-ET-MARNE.

EGLIGNY. 77167 SEINE-ET-MARNE.

ECUELLES. 77166 SEINE-ET-MARNE.

DONNEMARIE-DONTILLY. 77159 SEINE-ET-MARNE.

COURCELLES-EN-BASSEE. 77133 SEINE-ET-MARNE.

CHATENAY-SUR-SEINE. 77101 SEINE-ET-MARNE.

LE CHATELET-EN-BRIE. 77100 SEINE-ET-MARNE.

CHARTRETTES. 77096 SEINE-ET-MARNE.

CHAMPAGNE-SUR-SEINE. 77079 SEINE-ET-MARNE.

CHALMAISON. 77076 SEINE-ET-MARNE.

CHALAUTRE-LA-PETITE. 77073 SEINE-ET-MARNE.

CANNES-ECLUSE. 77061 SEINE-ET-MARNE.

LA BROSSE-MONTCEAUX. 77054 SEINE-ET-MARNE.

BRAY-SUR-SEINE. 77051 SEINE-ET-MARNE.

BOIS-LE-ROI. 77037 SEINE-ET-MARNE.

BAZOCHES-LES-BRAY. 77025 SEINE-ET-MARNE.

BARBEY. 77021 SEINE-ET-MARNE.

BALLOY. 77019 SEINE-ET-MARNE.

AVON. 77014 SEINE-ET-MARNE.

LE TREPORT. 76711 SEINE-MARITIME.

RIEUX. 76528 SEINE-MARITIME.

PONTS-ET-MARAIS. 76507 SEINE-MARITIME.

MONCHAUX-SORENG. 76441 SEINE-MARITIME.

LONGROY. 76394 SEINE-MARITIME.

INCHEVILLE. 76374 SEINE-MARITIME.

EU. 76255 SEINE-MARITIME.

BLANGY-SUR-BRESLE. 76101 SEINE-MARITIME.

VILLERS-LES-ROYE. 80803 SOMME.

VERPILLIERES. 80790 SOMME.

Page 237: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 194

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

TILLOY-FLORIVILLE. 80760 SOMME.

SAINT-MARD. 80708 SOMME.

ROYE. 80685 SOMME.

ROIGLISE. 80676 SOMME.

RAMBURES. 80663 SOMME.

PROYART. 80644 SOMME.

OUST-MAREST. 80613 SOMME.

LA NEUVILLE-LES-BRAY. 80593 SOMME.

NESLETTE. 80587 SOMME.

NAMPONT. 80580 SOMME.

MERICOURT-SUR-SOMME. 80532 SOMME.

LAUCOURT. 80467 SOMME.

GRUNY. 80393 SOMME.

GOYENCOURT. 80383 SOMME.

GAMACHES. 80373 SOMME.

ETINEHEM. 80295 SOMME.

CHUIGNOLLES. 80195 SOMME.

CHUIGNES. 80194 SOMME.

CARREPUIS. 80176 SOMME.

CAPPY. 80172 SOMME.

BRAY-SUR-SOMME. 80136 SOMME.

BOUVAINCOURT-SUR-BRESLE. 80127 SOMME.

BOUTTENCOURT. 80126 SOMME.

BOUILLANCOURT-EN-SERY. 80120 SOMME.

BEUVRAIGNES. 80101 SOMME.

BEAUCHAMPS. 80063 SOMME.

LA ROCHE-GUYON. 95523 VAL-D’OISE.

UCHAUX. 84135 VAUCLUSE.

PIOLENC. 84091 VAUCLUSE.

ORANGE. 84087 VAUCLUSE.

Page 238: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 195

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

MORNAS. 84083 VAUCLUSE.

MONDRAGON. 84078 VAUCLUSE.

LAMOTTE-DU-RHONE. 84063 VAUCLUSE.

COURTHEZON. 84039 VAUCLUSE.

CHATEAUNEUF-DU-PAPE. 84037 VAUCLUSE.

CADEROUSSE. 84027 VAUCLUSE.

BEDARRIDES. 84016 VAUCLUSE.

VAIRE. 85298 VENDEE.

TALMONT-SAINT-HILAIRE. 85288 VENDEE.

SAINT-REVEREND. 85268 VENDEE.

SAINT-MATHURIN. 85250 VENDEE.

BREM-SUR-MER. 85243 VENDEE.

SAINT-JULIEN-DES-LANDES. 85236 VENDEE.

SAINT-HILAIRE-DE-RIEZ. 85226 VENDEE.

SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE. 85222 VENDEE.

SAINTE-FOY. 85214 VENDEE.

LES SABLES-D’OLONNE. 85194 VENDEE.

POIROUX. 85179 VENDEE.

LE PERRIER. 85172 VENDEE.

OLONNE-SUR-MER. 85166 VENDEE.

NIEUL-LE-DOLENT. 85161 VENDEE.

LA MOTHE-ACHARD. 85152 VENDEE.

LANDEVIEILLE. 85120 VENDEE.

JARD-SUR-MER. 85114 VENDEE.

L’ILE-D’OLONNE. 85112 VENDEE.

GROSBREUIL. 85103 VENDEE.

GIVRAND. 85100 VENDEE.

LE GIROUARD. 85099 VENDEE.

LE FENOUILLER. 85088 VENDEE.

CHATEAU-D’OLONNE. 85060 VENDEE.

Page 239: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 196

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

LA CHAPELLE-ACHARD. 85052 VENDEE.

LA CHAIZE-GIRAUD. 85045 VENDEE.

BRETIGNOLLES-SUR-MER. 85035 VENDEE.

L’AIGUILLON-SUR-VIE. 85002 VENDEE.

GRIGNONCOURT. 88220 VOSGES.

CHATILLON-SUR-SAONE. 88096 VOSGES.

AMEUVELLE. 88007 VOSGES.

VINNEUF. 89480 YONNE.

VINCELOTTES. 89479 YONNE.

VINCELLES. 89478 YONNE.

VILLEVALLIER. 89468 YONNE.

VILLEPERROT. 89465 YONNE.

VILLENEUVE-SUR-YONNE. 89464 YONNE.

VILLENEUVE-LA-GUYARD. 89460 YONNE.

VILLENAVOTTE. 89458 YONNE.

VILLEMANOCHE. 89456 YONNE.

VILLECIEN. 89452 YONNE.

VILLEBLEVIN. 89449 YONNE.

VERON. 89443 YONNE.

TRUCY-SUR-YONNE. 89424 YONNE.

SERY. 89394 YONNE.

SERBONNES. 89390 YONNE.

SENS. 89387 YONNE.

SAINTE-PALLAYE. 89363 YONNE.

SAINT-MARTIN-DU-TERTRE. 89354 YONNE.

SAINT-JULIEN-DU-SAULT. 89348 YONNE.

SAINT-DENIS. 89342 YONNE.

SAINT-CLEMENT. 89338 YONNE.

SAINT-BRIS-LE-VINEUX. 89337 YONNE.

SAINT-AUBIN-SUR-YONNE. 89335 YONNE.

Page 240: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 197

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

ROUSSON. 89327 YONNE.

PREGILBERT. 89314 YONNE.

PONT-SUR-YONNE. 89309 YONNE.

PASSY. 89291 YONNE.

PAROY-SUR-THOLON. 89289 YONNE.

PARON. 89287 YONNE.

MONETEAU. 89263 YONNE.

MIGENNES. 89257 YONNE.

MICHERY. 89255 YONNE.

MERRY-SUR-YONNE. 89253 YONNE.

MARSANGY. 89245 YONNE.

MAILLY-LE-CHATEAU. 89238 YONNE.

MAILLY-LA-VILLE. 89237 YONNE.

MAILLOT. 89236 YONNE.

LUCY-SUR-YONNE. 89234 YONNE.

LICHERES-SUR-YONNE. 89225 YONNE.

LA ROCHE-SAINT-CYDROINE. 89218 YONNE.

JOIGNY. 89206 YONNE.

IRANCY. 89202 YONNE.

GURGY. 89198 YONNE.

GRON. 89195 YONNE.

GISY-LES-NOBLES. 89189 YONNE.

EVRY. 89162 YONNE.

ETIGNY. 89160 YONNE.

ESCOLIVES-SAINTE-CAMILLE. 89155 YONNE.

EPINEAU-LES-VOVES. 89152 YONNE.

CUY. 89136 YONNE.

CRAVANT. 89130 YONNE.

CRAIN. 89129 YONNE.

COURTOIS-SUR-YONNE. 89127 YONNE.

Page 241: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 198

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

COURLON-SUR-YONNE. 89124 YONNE.

COULANGES-SUR-YONNE. 89119 YONNE.

COULANGES-LA-VINEUSE. 89118 YONNE.

CHICHERY. 89105 YONNE.

CHENY. 89099 YONNE.

CHEMILLY-SUR-YONNE. 89096 YONNE.

CHAUMONT. 89093 YONNE.

CHATEL-CENSOIR. 89091 YONNE.

CHARMOY. 89085 YONNE.

CHAMVRES. 89079 YONNE.

CHAMPS-SUR-YONNE. 89077 YONNE.

CHAMPLAY. 89075 YONNE.

CHAMPIGNY. 89074 YONNE.

CEZY. 89067 YONNE.

BONNARD. 89050 YONNE.

BEON. 89037 YONNE.

BEAUMONT. 89031 YONNE.

BAZARNES. 89030 YONNE.

BASSOU. 89029 YONNE.

AUXERRE. 89024 YONNE.

AUGY. 89023 YONNE.

ARMEAU. 89018 YONNE.

APPOIGNY. 89013 YONNE.

ACCOLAY. 89001 YONNE.

ROLLEBOISE. 78528 YVELINES.

MOUSSEAUX-SUR-SEINE. 78437 YVELINES.

MOISSON. 78410 YVELINES.

MERICOURT. 78391 YVELINES.

GUERNES. 78290 YVELINES.

GOMMECOURT. 78276 YVELINES.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 199

. .

COMMUNES INSEE DÉPARTEMENT

FRENEUSE. 78255 YVELINES.

BONNIERES-SUR-SEINE. 78089 YVELINES.

BENNECOURT. 78057 YVELINES.

A N N E X E 6

TABLEAU SYNTHÉTIQUE DES ORDRES D’OISEAUX RÉPUTÉS ÉLEVÉS DE MANIÈRE SYSTÉMATIQUE ENVOLIÈRE ET POUVANT À CE TITRE BÉNÉFICIER DE DÉROGATION À L’INTERDICTION DES RASSEMBLE-MENTS

ORDRES EXEMPLES D’ESPÈCESappartenant à l’ordre

ESPÈCES RÉPUTÉES ÉLEVÉES DE MANIÈRE SYSTÉMATIQUE EN VOLIÈREet pouvant à ce titre bénéficier de dérogationvis-à-vis de l’interdiction des rassemblements

Apodiformes. Martinets, oiseaux-mouches. Colibris.

Columbiformes. Pigeons, colombes, gouras. Toutes espèces (sauf pigeons voyageurs et pigeons de sport).

Cuculiformes. Coucous, touracos. Toutes espèces.

Galliformes. Dindes, poules, pintades,cailles, faisans, paons.

Cailles peintes de Chine et cailles du Japon.

Passériformes. Passereaux. Toutes espèces.

Piciformes. Pics, toucans. Toucans.

Psittaciformes. Perruches, perroquets, aras. Toutes espèces.

A N N E X E 7

GUIDE DE BONNES PRATIQUES SANITAIRES DESTINÉES À LIMITER L’INTRODUCTION ET LA DIFFUSIONDU VIRUS INFLUENZA AVIAIRE HAUTEMENT PATHOGÈNE DANS LES ÉLEVAGES DE VOLAILLES ET ENPARTICULIER DANS CEUX POURVUS D’UN PARCOURS PLEIN AIR

I. − Objectifs et champ d’application

Ce guide précise les « bonnes pratiques sanitaires » (1) visant à prévenir les risques d’introduction dans lesélevages (2) de volailles du virus influenza de sous-type H5N1 hautement pathogène à partir des oiseaux sauvagespar voie directe ou indirecte. Il a également pour objectif de prévenir les risques de diffusion du virus à l’intérieurde l’élevage et vers d’autres élevages dans le délai pendant lequel il n’a pas encore été détecté.

Il est destiné à être appliqué dans les élevages de volailles (3) plein air, c’est-à-dire les élevages non confinés etnon protégés par des filets.

Cependant il précise grâce à la mention : « (Pour tout type d’élevage) » les pratiques recommandées dans lesélevages de volailles autres que les basses-cours qui sont soumis à l’obligation de confinement ou de protectionpar des filets.

Il comprend deux groupes de pratiques (cf. le tableau récapitulatif figurant au chapitre VI) :1. Le premier groupe de pratiques sanitaires est d’application obligatoire dès que le risque épizootique défini

par le ministère de l’agriculture et de la pêche se situe au niveau négligeable 1 ou à l’un des niveaux plus élevés ;2. Le deuxième groupe de pratiques sanitaires est d’application facultative lorsque le risque épizootique se situe

à l’un des niveaux négligeables ou faible afin de permettre aux éleveurs de se préparer ; il est d’application obli-gatoire (sauf exceptions) dans les 46 premières zones à risque particulier lorsque le risque passe au niveaumodéré, et sur tout le territoire lorsque le risque passe aux niveaux élevé ou très élevé.

Des dispositions particulières de protection et de surveillance sont imposées aux élevages situés dans les zonesréglementées établies par arrêté préfectoral, lors de foyer d’influenza aviaire ou de cas d’infection de la faunesauvage ; elles ne figurent pas dans ce guide.

(1) Les « bonnes pratiques sanitaires » au sens du présent guide sont assimilables à ce qui est dénommé par ailleurs desmesures de biosécurité.

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(2) Le terme élevage au sens du présent guide est assimilable au terme exploitation d’élevage, lieu et installationsdestinées à l’élevage ou l’entretien d’animaux, excluant toute activité de transit.

(3) Les volailles sont des oiseaux appartenant aux espèces dont la chair, ou les produits sont susceptibles d’être cédés envue de la consommation, dont notamment : poules, dindes, pintades, canards, oies, cailles, pigeons, faisans, perdrix, oiseauxcoureurs (ratites).

II. − Prérequis

L’application de ce guide de bonnes pratiques sanitaires, qui relève de la responsabilité du détenteur (4),complète la mise en œuvre des dispositions déjà imposées par la réglementation existante, à savoir celles rela-tives : 1. à la déclaration de l’élevage en mairie ; 2. au registre d’élevage ; 3. aux installations classées (ou le caséchéant au règlement sanitaire départemental) ; 4. au bien-être animal ; 5. à la certification pour les échanges avecles pays étrangers ; 6. et à la lutte contre les infections à salmonelles.

(4) Le détenteur est assimilé à l’éleveur au sens du présent guide.

III. − Définitions

Zone d’élevage = zone comprenant un bâtiment d’élevage ou/et un parcours, un enclos ou une volière et leurs abords, oùsont présentes des volailles.

Site d’élevage avicole = ensemble des différentes zones d’élevage existant sur le site de l’exploitation, pouvant s’étendresur une partie ou sur la totalité de ce dernier, comprenant également les lieux de stockage des aliments, des litières, dumatériel dédié à l’élevage des volailles ainsi que le bac d’équarrissage et le lieu de stockage des fientes et litières usagées. Ilpeut y avoir plusieurs sites d’élevage sur le site d’une exploitation si les zones d’élevage sont trop dispersées.

Abords : aire d’une largeur de 5 m entourant la zone d’élevage.Aire bétonnée = zone bétonnée maintenue propre se trouvant devant l’entrée d’un bâtiment d’élevage, destinée exclu-

sivement à déposer les litières neuves ou d’autres matériels à introduire dans les zones d’élevage et permettant de lespréserver de toute souillure.

IV. − Premier groupe de pratiques sanitaires obligatoires dès le niveau de risque épizootique négligeable 1

Protection de l’alimentation et de l’abreuvement des volailles :L’approvisionnement des oiseaux en aliments et en eau de boisson doit se faire à l’intérieur d’un bâtiment ou au moyen

de distributeurs disposés à l’extérieur et protégés de telle façon que les oiseaux sauvages ne puissent accéder à ces dispo-sitifs ni les souiller. (Pour tout type d’élevage).

Une technique d’alimentation possible à l’extérieur d’un bâtiment est l’utilisation de trémies qui ne sont ouvertes quependant les heures de repas.

Une technique d’abreuvement possible à l’extérieur d’un bâtiment est l’utilisation de pipettes.Les aliments et les céréales sont stockés dans des silos dont le contenu est inaccessible aux oiseaux sauvages (couvercle

fermé, pose de filets, etc.), et il n’y a pas de trace d’aliment sous les silos (absence de fuites, vigilance pendant la livraison).(Pour tout type d’élevage).

L’utilisation d’eau de surface pour le nettoyage des bâtiments et des matériels d’élevage ainsi que pour l’abreuvement desoiseaux est interdite, sauf si elle est assainie par un traitement équivalent à un traitement de potabilisation. (Pour tout typed’élevage).

L’action de faucher, de plier ou de coucher des céréales cultivées sur les parcours est proscrite.Conditions d’entrée des personnes dans la zone d’élevage appliquées dès le niveau faible :Tout détenteur d’oiseaux doit prendre les mesures nécessaires afin de prévenir tout contact direct ou indirect avec les

oiseaux vivant à l’état sauvage. Il doit également, lorsqu’il entre dans son élevage, porter une tenue vestimentaire et deschaussures exclusivement réservées à cet effet.

V. – Deuxième groupe de pratiques sanitaires

Ces pratiques sont d’application :– facultative aux niveaux négligeables ou faible du risque épizootique sur tout le territoire métropolitain ;– facultative au niveau modéré du risque sur tout le territoire métropolitain, excepté les zones à risque particulier ;– obligatoire (sauf exception) :

– au niveau modéré dans les 46 premières zones à risque et ;– aux niveaux élevé ou très élevé sur tout le territoire.

Quoique facultatives, ces pratiques sont néanmoins recommandées aux niveaux négligeables et faible du risqueépizootique afin d’en préparer l’application obligatoire aux niveaux plus élevés.

Identification et délimitation du site de l’élevage avicole et des différentes zones d’élevage : (pour tout typed’élevage).

La protection sanitaire commence dès l’entrée sur le site de l’élevage avicole. Les mesures de protections’appliquent aux animaux, aux personnes et aux véhicules. La délimitation du site d’élevage doit être matérialisée(avec des chaînettes, des barrières ou du grillage, par exemple) pour permettre le contrôle des accès.

Chaque zone d’élevage doit être identifiée par une marque visible. Si celle-ci fait défaut, chaque zone d’élevageest identifiée sur le plan devant se trouver dans le registre d’élevage,

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 15 / 35 – Page 201

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Contrôle de l’entrée des personnes dans le site d’élevage avicole : (pour tout type d’élevage).Sas sanitaire : toute entrée de personnes (y compris l’éleveur) sur le site d’élevage doit se faire par un sas sani-

taire.Deux cas de figure sont possibles :Soit chaque zone d’élevage dispose d’un sas sanitaire, local clos propre, rangé, nettoyé et désinfecté entre

chaque bande, comportant :– deux parties appelées zone « sale » (accès extérieur) et zone « propre » (accès intérieur), séparées, avec rappel

visualisant la limite des deux parties ;– un lavabo fonctionnel muni d’un savon et d’un essuie-main (papier jetable de préférence) ;– un sol non poreux dans le sas ou un autre revêtement permettant une même qualité de nettoyage et de désin-

fection du sol ;– une tenue spécifique de l’éleveur pour l’élevage avicole (chaussures propres dédiées au bâtiment et vêtements

dédiés) ;– une poubelle ;– au moins deux portemanteaux ;– des pédisacs et tenues pour les visiteurs ;Soit l’éleveur met en place un local sanitaire central répondant aux mêmes critères que le sas sanitaire tel que

décrit ci-dessus, excepté le fait qu’il ne peut comporter qu’un seul accès. Les personnes, lors du trajet entre celocal et les différentes zones d’élevage, gardent leurs chaussures et ne les changent qu’à l’entrée dans chaque zoned’élevage.

Cependant, chaque bâtiment de plus de 150 m2 doit disposer d’un sas dont le sol est non poreux ou constituéd’un autre revêtement permettant une même qualité de nettoyage et de désinfection des sols ; il peut comporter unpédiluve ou tout autre moyen de désinfection des chaussures, un stockage de vêtements, de chaussures et depédisacs dédiés au bâtiment ; ce sas doit être totalement isolé de l’intérieur du bâtiment et du parcours. Il doit êtrepropre et rangé et il est nettoyé et désinfecté entre chaque bande.

Remarque : en cas d’utilisation de pédiluve, celui-ci doit être employé de manière à être efficace. Un systèmepréalable de nettoyage doit être disponible et la solution désinfectante du pédiluve doit être maintenue propre etrenouvelée tous les deux jours.

Seules les personnes indispensables pénètrent dans les zones d’élevage. Elles doivent être enregistrées dans leregistre d’élevage.

L’éleveur doit changer de tenue complète avant de rentrer dans site d’élevage lorsqu’il revient d’une activité enlien avec un milieu naturel humide (chasse, pêche, entretien étangs, etc.).

Contrôle de l’entrée des animaux dans le site d’élevage avicole : (pour tout type d’élevage).Aucun animal domestique autre que les volailles concernées ne peut pénétrer à l’intérieur des zones d’élevages

occupées par les volailles. Aucun animal domestique ne divague à l’intérieur du site d’élevage.

Contrôle des véhicules et matériels provenant de l’extérieur du site d’élevage : (pour tout type d’élevage).Une zone de parking est prévue à l’extérieur du site d’élevage.Seuls pénètrent dans le site d’élevage les véhicules indispensables.Des zones de circulation doivent être prévues à l’intérieur du site d’élevage.Les véhicules extérieurs ne pénètrent pas à l’intérieur des zones d’élevage, sauf si leurs roues sont nettoyées et

désinfectées à l’entrée et à la sortie des parcours.Le camion d’équarrissage n’entre pas à l’intérieur du site d’élevage.Le détenteur exige de son partenaire en charge de la livraison ou de l’enlèvement des volailles le nettoyage et la

désinfection des camions et de leur matériel entre chaque tournée. Les caisses, cages ou emballages servant autransport des volailles vivantes ou des œufs doivent être à usage unique ou composés de matériaux nettoyables etdésinfectables.

L’éleveur détenteur des volailles doit encourager ses partenaires qui introduisent ou enlèvent les oiseaux vivantsà éviter les trajets multi-élevages des camions de transfert d’animaux. Dans le cas contraire, ces trajets doiventêtre réalisés de façon à minorer les risques sanitaires : commencer la tournée par les élevages pour lesquels l’enlè-vement n’est pas total afin de limiter le risque de contamination croisée.

Le matériel devant servir à l’élevage avicole et qui provient de l’extérieur (en particulier suite à un emprunt ouune utilisation commune avec une autre exploitation avicole) doit avoir été nettoyé et désinfecté avant son intro-duction sur le site d’élevage avicole.

Cas particulier des ateliers de pondeuses :Le détenteur exige de son partenaire en charge de l’enlèvement des œufs le nettoyage et la désinfection quoti-

dienne des camions de ramassage des œufs.

Abords des parcours et des bâtiments et aire bétonnée :Les abords des bâtiments et des parcours sont dégagés et propres : absence de zones boueuses, fauchés ou

désherbage régulier, absence de matériel vétuste inutilisé, pas de trace d’aliment sous les silos d’aliment (pour touttype d’élevage).

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Les bâtiments fixes de plus de 150 m2 disposent d’une aire bétonnée qui est nettoyée et désinfectée aprèschaque opération salissante (enlèvement, lavage du matériel) (pour tout type d’élevage).

Quand il s’agit de bâtiment fixe, un aménagement doit être prévu devant les trappes de sortie des volailles sousl’auvent afin de préserver la propreté du bâtiment et empêcher l’apparition de zones humides ou boueuses (trottoir,caillebotis, ou autre dispositif de drainage, gravier ou galets...), il doit être nettoyé lors des vides sanitaires.

Des gouttières sont opérationnelles au-dessus des trappes.

Parcours : (quand ils ne sont pas protégés intégralement par des filets).Les parcours sont clôturés afin d’empêcher toute sortie de volailles au-delà de leurs limites.La surface du parcours par volaille est limitée à 2 m2 au maximum, sauf pour les volailles AOC de la Bresse,

pour lesquelles elle est limitée à 15 m2 pour les poulets, poulardes et chapons et 20 m2 pour les dindes, et pour lescanards destinés au gibier de repeuplement, pour lesquels elle est limitée à 10 m2.

Les volailles (excepté les canards prêts à gaver et les oies reproductrices) n’ont pas accès aux parcours durant lanuit.

Une clôture doit être mise en place instaurant une distance minimale de 20 m entre la clôture du parcours et lespoints d’eau naturels ou les cours d’eau.

Le silo d’alimentation est exclu du périmètre du parcours.Les parcours (excepté ceux des élevages de palmipèdes destinés au repeuplement du gibier) ne comportent pas

de trou d’eau et a fortiori de toute mare ou plan d’eau.Ils sont propres et dégagés : absence de débris, détritus, tas de bois ou fumier, de matériel ou d’herbe haute en

présence des volailles.Ils sont fauchés lors des vides sanitaires.En cas de présence d’arbres fruitiers sur les parcours, les fruits sont cueillis ou ramassés sans retard.Les systèmes d’effarouchement sont mis en place dès qu’ils ont été validés :– dans les élevages de canards PAG qui restent sur les parcours la nuit ; et– dans les élevages AOC de volailles de Bresse dont le parcours est situé à moins de 50 m d’un point d’eau de

plus de 1 000 m2.Les élevages de gibier non confinés et non protégés par des filets, disposant d’un accès à des points d’eau sont

soumis à une surveillance particulière (cf. chapitre relatif à la surveillance).Nettoyage/désinfection des bâtiments et des abords : (pour tout type d’élevage).Il faut au préalable :– que les soubassements des bâtiments de plus de 150 m2 soient recouverts d’un enduit lisse permettant un

nettoyage et une désinfection efficaces sur tout le périmètre intérieur du bâtiment d’une hauteur de 30 à40 cm ; et

– que le plan de nettoyage et de désinfection soit écrit sous forme d’un document disponible.Il faut ensuite :– réaliser un nettoyage/désinfection des bâtiments, des abords et du matériel entre chaque bande avec des désin-

fectants homologués et utilisés à la concentration homologuée. Ils doivent être réalisés le plus tôt possible etau plus tard dans les 7 jours après l’enlèvement de la bande. La durée du vide sanitaire après les opérationsde nettoyage et de désinfection doit permettre un assèchement complet (14 jours au minimum) ;

– au moment du vide sanitaire entre chaque bande, épandre un désinfectant pour le sol (chaux vive parexemple) sur les abords du bâtiment, principalement au niveau des aires de circulation (silos, portail, sas) etsur le devant de la zone de parcours ;

– enregistrer les interventions de nettoyage et désinfection.Il faut également mettre en place un plan de dératisation pour l’ensemble du site de l’élevage (sans oublier la

zone de stockage de la paille) (pratique recommandée et obligatoire quel que soit le niveau de risque épizootique).Cas particulier des ateliers de pondeuses :En élevage de pondeuses, la salle de stockage des œufs et tous les locaux auxquels les chauffeurs ont accès

doivent être nettoyés et désinfectés après chacun de leur passage.Un plan de désinsectisation est mis en place pour chaque bâtiment (pratique recommandée et non obligatoire

quel que soit le niveau de risque épizootique).Litière : (pour tout type d’élevage).La litière neuve est stockée en bâtiment fermé ou avec une protection empêchant le contact avec les oiseaux

sauvages.Lors de la première mise en place de la litière neuve et lors des apports en cours de bande, aucune boue de

l’extérieur de la zone d’élevage ne doit être introduite (en particulier par les roues du tracteur, d’autres outils oules bottes des opérateurs).

La litière de la bande précédente est stockée le plus loin possible des zones d’élevage du site et des sites voisinset en aucun cas sur le parcours, et n’entre d’aucune manière en contact avec la bande suivante.

Ramassage quotidien et stockage des volailles mortes : (pour tout type d’élevage).Le ramassage des volailles mortes est réalisé au moins une fois par jour.Conserver les cadavres dans une enceinte à température négative (ex. : congélateur), puis les déposer dans un

bac d’équarrissage étanche en périphérie du site d’élevage. Le bac et ses abords doivent être nettoyés et désin-fectés régulièrement.

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Présence de basse-cour ou de palmipèdes sur le site d’élevage : (pour tout type d’élevage).Toute basse-cour présente sur le site d’élevage est considérée comme une zone d’élevage particulière.Lorsque sur un site d’élevage donné coexistent une basse-cour ou un élevage de palmipèdes et d’autres

volailles, les zones d’élevage de la basse-cour ou des palmipèdes sont séparées des autres zones d’élevage par desdispositifs permettant d’éviter tout contact direct entre oiseaux (bâtiments séparés, enclos ou parcours noncontigus) et l’éleveur doit limiter les contacts indirects lorsqu’il passe d’une zone à l’autre au moins par un lavagedes mains, un changement de vêtements et de chaussures.

Conduite en bandes et vides sanitaires : (pour tout type d’élevage).La bande unique est imposée dans chaque zone d’élevage (excepté l’éventuelle basse-cour).La bande unique est fortement recommandée sur l’ensemble du site d’élevage de manière à pouvoir réaliser des

vides sanitaires réguliers sur l’ensemble du site (pratique recommandée et non obligatoire quel que soit le niveaude risque épizootique).

De manière à protéger les animaux les plus sensibles, hiérarchiser les risques sanitaires liés aux interventions del’éleveur (planification des interventions des animaux les plus jeunes aux plus âgés (pratique recommandée et nonobligatoire quel que soit le niveau de risque épizootique).

Surveillance des volailles par l’éleveur et mise en œuvre des critères d’alerte : (pour tout type d’élevage).L’éleveur procède à une surveillance quotidienne de chacune des zones d’élevage pour déceler l’apparition de

symptômes ou la présence de cadavres de volailles et éventuellement d’oiseaux sauvages sur les parcours.Il déclare sans délai au vétérinaire :– pour tous les élevages, tout comportement anormal et inexpliqué des oiseaux ou tout signe de maladie grave ;– pour les troupeaux de plus de 1000 volailles :

– toute mortalité supérieure à 4 % (2 % pour les palmipèdes) au cours d’une journée, ou mortalité enprogression sur 2 jours suivant les seuils indiqués dans le tableau figurant en annexe du présent guide ;

– toute baisse de plus de 50 % sur une journée ou de plus de 25 % par jour sur 3 jours consécutifs de laconsommation d’eau ou d’aliment ;

– toute baisse de plus de 15 % sur une journée ou de plus de 5 % par jour sur 3 jours consécutifs de laponte.

Le vétérinaire fait part sans délai de son diagnostic à l’éleveur qui l’inscrit dans le registre d’élevage. En cas desuspicion d’influenza aviaire, le vétérinaire en avertit immédiatement le DDSV.

Surveillance particulière des palmipèdes destinés au repeuplement de gibier, qui disposent d’un accès àun plan d’eau : (lorsque le guide de bonnes pratiques est d’application obligatoire).

Les élevages de palmipèdes destinés au repeuplement de gibier qui disposent d’un accès à un plan d’eau sontsoumis à la surveillance suivante : une visite vétérinaire à la charge de l’éleveur une fois tous les 15 jours et unerecherche virologique (avec prise en charge par les pouvoirs publics) suivant le protocole retenu pour les oiseauxsauvages trouvés morts sur tout palmipède de l’élevage retrouvé mort.

VI. – Evaluation et contrôle de l’application des bonnes pratiques sanitairesdans les élevages avec parcours plein air

Tableau récapitulatif :

NIVEAU DE RISQUE ÉPIZOOTIQUE(« cas » = cas dans la faune sauvage

ou foyer dans un élevage, dont l’originefaune sauvage n’est pas exclue)

ZONE CONCERNÉEPREMIER GROUPE

de mesuresDEUXIÈME GROUPE

de mesuresRYTHME DES VISITES

vétérinaires

Négligeable 1

Absence de cas en France, dans lescouloirs de migration passant par laFrance et dans les zones de départ deces couloirs.

Toute la France Obligatoires(hors conditions

d’entrée despersonnes

dans la zoned’élevage)

Recommandées

Négligeable 2

Présence de cas dans les zones de départdes couloirs de migration.

Faible

Présence de cas dans les couloirs demigration dans des pays non limi-trophes de la France.

Toute la France Obligatoires Recommandées

Modéré

Présence de cas dans les couloirs demigration dans des pays limitrophes dela France.

Toute la France Obligatoires Recommandées

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NIVEAU DE RISQUE ÉPIZOOTIQUE(« cas » = cas dans la faune sauvage

ou foyer dans un élevage, dont l’originefaune sauvage n’est pas exclue)

ZONE CONCERNÉEPREMIER GROUPE

de mesuresDEUXIÈME GROUPE

de mesuresRYTHME DES VISITES

vétérinaires

46 zones à risque Obligatoires Obligatoires Une visite par mois

Elevé

Présence en France :– soit cas groupés dans 1 unité écolo-

gique ;– soit quelques cas isolés dans plusieurs

sites.

98 zones à risque

Reste du territoireObligatoires

Une visite par mois

Une seule visite

Très élevé

Présence en France :– soit cas groupés dans 2 unités écolo-

giques ou plus ;– soit plusieurs cas isolés.

Toute la France Une visite par mois

Evaluation et contrôle de l’application des pratiques prévues par le guide :Des contrôles sont réalisés de manière aléatoire par les agents de la direction départementale des services

vétérinaires.Evaluation effectuée par le vétérinaire lors de sa visite dont la fréquence est précisée dans le tableau précédent :– l’éleveur est tenu de faire évaluer l’application des pratiques prévues par le guide par son vétérinaire lors

d’une visite intitulée « visite vétérinaire d’inspection sanitaire des volailles et d’évaluation des mesures debiosécurité » ;

– elle a lieu à l’initiative et à la charge de l’éleveur et est réalisée par le vétérinaire de son choix ;– en ce qui concerne les élevages situés dans les zones à risque particulier définies par arrêté ministériel, elle

doit être renouvelée une fois par mois ;– en ce qui concerne les élevages non situés en zone à risque particulier, elle a lieu une fois dans le mois qui

suit la publication de l’arrêté qui l’impose en niveau de risque élevé et mensuellement en niveau de risquetrès élevé ;

– le vétérinaire produit à l’issue de sa visite un compte rendu de visite formalisé grâce à une fiche de visitetype qu’il remet à l’éleveur et dont il envoie immédiatement une copie au directeur départemental desservices vétérinaires ;

– les visites sont pratiquées dès lors que les volailles sont en âge de sortir des bâtiments, la première visite doitêtre effectuée le mois qui suit la parution de l’arrêté ministériel qui l’impose ; elle peut néanmoins avoir lieudans le mois qui suit la date de la première sortie des volailles.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 16 / 35 – Page 1

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Arrêté du 5 février 2007 qualifiant le niveau du risque épizootique en raison de l’infectionde la faune sauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène

NOR : AGRG0700329A

(Journal officiel du 6 février 2007)

Le ministre de l’agriculture et de la pêche,Vu le titre II du livre II du code rural, notamment les articles L. 221-1, D. 223-22-2, R. 228-1 et R. 228-7 ;Vu le projet de décision no 10-729/2006-révision 2 voté le 27 novembre 2006 par le Comité permanent de la

chaîne alimentaire et de la santé animale concernant l’extension de la période d’application de ladécision 2005/731/CE de la Commission du 17 octobre 2005 modifiée établissant des dispositions supplémentairesrelatives à la surveillance de l’influenza aviaire chez les oiseaux sauvages ;

Vu le projet de décision no 10-729/2006-révision 2 voté le 27 novembre 2006 par le Comité permanent de lachaîne alimentaire et de la santé animale concernant l’extension de la période d’application de la décision2005/734/CE de la Commission du 19 octobre 2005 modifiée arrêtant des mesures de biosécurité destinées àlimiter le risque de transmission aux volailles et autres oiseaux captifs, par des oiseaux vivant à l’état sauvage, del’influenza aviaire hautement pathogène causée par le sous-type H5N1 du virus influenza A et établissant unsystème de détection précoce dans les zones particulièrement exposées ;

Vu l’arrêté du 16 janvier 1995 modifié relatif aux conditions de police sanitaire régissant les échanges intra-communautaires de volailles et d’œufs à couver ;

Vu l’arrêté du 24 octobre 2005 pris pour l’application de l’article L. 221-1 du code rural ;Vu l’arrêté du 24 février 2006 relatif à la vaccination contre l’influenza aviaire des oiseaux détenus dans les

établissements zoologiques ;Vu l’arrêté du 12 mai 2006 fixant les mesures sanitaires applicables aux élevages de gibier à plumes destiné à

être lâché dans le milieu naturel et au lâcher de ce gibier ;Vu l’arrêté du 1er août 2006 fixant les mesures sanitaires concernant l’usage des appelants utilisés pour la chasse

au gibier d’eau ;Vu l’arrêté du 5 février 2007 relatif aux niveaux du risque épizootique en raison de l’infection de la faune

sauvage par un virus de l’influenza aviaire à caractère hautement pathogène et au dispositif de surveillance et deprévention chez les oiseaux détenus en captivité ;

Vu les avis de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments en date du 12 septembre 2006 et du5 février 2007,

Arrête :

Art. 1er. − Compte tenu de la situation épidémiologique et notamment la présence possible du virus del’influenza aviaire à caractère hautement pathogène dans les populations d’oiseaux sauvages, le niveau du risqueépizootique tel que défini à l’article 2 de l’arrêté du 5 février 2007 susvisé est qualifié de faible sur l’ensemble duterritoire national métropolitain.

Art. 2. − Le directeur général de l’alimentation au ministère de l’agriculture et de la pêche et les préfets sontchargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de laRépublique française.

Fait à Paris, le 5 février 2007.

Pour le ministre et par délégation :Le directeur général de l’alimentation,

J.-M. BOURNIGAL

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 17 / 35 – Page 1

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Arrêté du 9 février 2007 portant désignation du site Natura 2000 Etangset marais du bassin de la Somme (zone de protection spéciale)

NOR : DEVN0700053A

(Journal officiel du 11 février 2007)

La ministre de l’écologie et du développement durable,Vu la directive 79/409/CEE du Conseil du 2 avril 1979 modifiée concernant la conservation des oiseaux

sauvages, notamment son article 4 et son annexe I ;Vu le code de l’environnement, notamment le II et le III de l’article L. 414-1, et les articles R. 414-2, R. 414-3,

R. 414-5 et R. 414-7 ;Vu l’arrêté du 16 novembre 2001 relatif à la liste des espèces d’oiseaux qui peuvent justifier la désignation de

zones de protection spéciale au titre du réseau écologique européen Natura 2000 selon l’article L. 414-1-II (premieralinéa) du code de l’environnement ;

Vu les avis des communes et des établissements publics de coopération intercommunale concernés,

Arrête :

Art. 1er. − Est désigné sous l’appellation « site Natura 2000 Etangs et marais du bassin de la Somme » (zonede protection spéciale FR2212007) l’espace délimité sur la carte d’assemblage au 1/250 000 ainsi que sur les douzecartes au 1/25 000 ci-jointes, s’étendant sur une partie du territoire des communes suivantes du département de laSomme : Abbeville, Amiens, Belloy-sur-Somme, Biaches, Blangy-Tronville, Boves, Bray-lès-Mareuil, Bray-sur-Somme, Breilly, Brie, Camon, Cappy, Cerisy, La Chaussée-Tirancourt, Chipilly, Cizancourt, Cléry-sur-Somme,Condé-Folie, Corbie, Cottenchy, Curlu, Daours, Doingt, Eaucourt-sur-Somme, Ennemain, Falvy, Feuillères,Fontaine-sur-Somme, Fouencamps, Frise, Glisy, Le Hamel, Hamelet, Hem-Monacu, Long, Longpré-les-Corps-Saints, Longueau, Mareuil-Caubert, Mesnil-Bruntel, Morcourt, Méricourt-sur-Somme, La Neuville-lès-Bray,Pargny, Picquigny, Proyart, Péronne, Rivery, Sailly-Laurette, Sailly-le-Sec, Saint-Christ-Briost, Suzanne, Vaire-sous-Corbie, Vaux-sur-Somme, Vecquemont, Villers-Carbonnel, Yzeux, Eclusier-Vaux, Epagne-Epagnette,Epénancourt, Eterpigny, Etinehem.

Art. 2. − La liste des espèces d’oiseaux justifiant la désignation du « site Natura 2000 Etangs et marais dubassin de la Somme » figure en annexe au présent arrêté.

Cette liste ainsi que les cartes visées à l’article 1er ci-dessus peuvent être consultées à la préfecture de laSomme, à la direction régionale de l’environnement de Picardie, ainsi qu’à la direction de la nature et despaysages au ministère de l’écologie et du développement durable.

Art. 3. − L’arrêté du 12 avril 2006 portant désignation du site Natura 2000 « site Natura 2000 Etangs et maraisdu bassin de la Somme » (zone de protection spéciale) est abrogé.

Art. 4. − Le directeur de la nature et des paysages est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publiéau Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 9 février 2007.

NELLY OLIN

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 18 / 35 – Page 1

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TEXTES GÉNÉRAUX

Nature et paysages

Arrêté du 9 février 2007 portant désignationdu site Natura 2000 Crau (zone de protection spéciale)

NOR : DEVN0700054A

(Journal officiel du 11 février 2007)

La ministre de la défense et la ministre de l’écologie et du développement durable,Vu la directive 79/409/CEE du Conseil du 2 avril 1979 modifiée concernant la conservation des oiseaux

sauvages, notamment son article 4 et son annexe I ;Vu le code de l’environnement, notamment le II et le III de l’article L. 414-1, et les articles R. 414-2, R. 414-3,

R. 414-5, R. 414-6 et R. 414-7 ;Vu l’arrêté du 16 novembre 2001 relatif à la liste des espèces d’oiseaux qui peuvent justifier la désignation de

zones de protection spéciale au titre du réseau écologique européen Natura 2000 selon l’article L. 414-1-II (premieralinéa) du code de l’environnement ;

Vu les avis des communes et des établissements publics de coopération intercommunale concernés,

Arrêtent :

Art. 1er. − Est désigné sous l’appellation « site Natura 2000 Crau » (zone de protection spéciale FR 9310064)l’espace délimité sur la carte d’assemblage au 1/100 000 ainsi que sur les trois cartes au 1/50 000 ci-jointes,s’étendant sur une partie du territoire des communes suivantes du département des Bouches-du-Rhône : Arles,Aureille, Eyguières, Fos-sur-Mer, Grans, Istres, Miramas, Mouriès, Saint-Martin-de-Crau, Salon-de-Provence.

Art. 2. − La liste des espèces d’oiseaux justifiant la désignation du « site Natura 2000 Crau » figure en annexeau présent arrêté.

Cette liste ainsi que les cartes visées à l’article 1er ci-dessus peuvent être consultées à la préfecture des Bouches-du-Rhône, à la direction régionale de l’environnement de Provence-Alpes-Côte d’Azur ainsi qu’à la direction de lanature et des paysages au ministère de l’écologie et du développement durable.

Art. 3. − L’arrêté du 20 octobre 2004 portant désignation du site Natura 2000 « Crau sèche » (zone deprotection spéciale) est abrogé.

Art. 4. − La directrice des affaires juridiques au ministère de la défense et le directeur de la nature et despaysages au ministère de l’écologie et du développement durable sont chargés, chacun en ce qui le concerne, del’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 9 février 2007.

La ministre de l’écologie et du développement durable,NELLY OLIN

La ministre de la défense,MICHÈLE ALLIOT-MARIE

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(1) JO L. 324 du 29 novembre 2002, p. 1. Règlement modifié par le règlement (CE) no 415/2004 de la Commission (JO L. 68 du 6 mars 2004, p. 10).(2) JO L. 138 du 30 avril 2004, p. 19.(3) JO L. 255 du 30 septembre 2005, p. 11.(4) JO L. 64 du 4 mars 2006, p. 1.

TEXTES GÉNÉRAUX

Prévention des pollutions et des risques

Règlement (CE) no 93/2007 du 30 janvier 2007 de la Commission modifiant le règlement(CE) no 2099/2002 du Parlement européen et du Conseil instituant un comité pour la sécuritémaritime et la prévention de la pollution par les navires (COSS)

(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE)

(Journal officiel de l’Union européenne L. 22 du 31 janvier 2007)

La Commission des Communautés européennes,Vu le traité instituant la Communauté européenne ;Vu le règlement (CE) no 2099/2002 du Parlement européen et du Conseil du 5 novembre 2002 instituant un

comité pour la sécurité maritime et la prévention de la pollution par les navires (COSS) et modifiant les règle-ments en matière de sécurité maritime et de prévention de la pollution par les navires (1), et notamment sonarticle 7,

Considérant ce qui suit :(1) Le règlement (CE) no 2099/2002 a institué un comité pour la sécurité maritime et la prévention de la

pollution par les navires (COSS).(2) Le COSS a pour rôle de centraliser les tâches des comités institués dans le cadre de la législation

communautaire en matière de sécurité maritime, de prévention de la pollution par les navires et de protectiondes conditions de vie et de travail à bord.

(3) Il convient que toute nouvelle législation communautaire adoptée dans le domaine de la sécuritémaritime prévoie le recours au COSS.

(4) L’article 7 du règlement (CE) no 789/2004 du Parlement européen et du Conseil du 21 avril 2004 relatifau changement de registre des navires de charge et navires à passagers à l’intérieur de la Communauté et abro-geant le règlement (CEE) no 613/91 (2), l’article 13 de la directive 2005/35/CE du Parlement européen et duConseil du 7 septembre 2005 relative à la pollution causée par les navires et à l’introduction de sanctions encas d’infractions (3) et l’article 12 du règlement (CE) no 336/2006 du Parlement européen et du Conseil du15 février 2006 relatif à l’application du code international de gestion de la sécurité dans la Communauté etabrogeant le règlement (CE) no 3051/95 (4) disposent que la Commission est assistée par le COSS pour l’appli-cation de ces règlements.

(5) Il convient donc de modifier le règlement (CE) no 2099/2002 en conséquence.(6) Les mesures prévues par le présent règlement sont conformes à l’avis émis par le comité pour la sécurité

maritime et la prévention de la pollution par les navires (COSS),

A arrêté le présent règlement :

Article 1er

A l’article 2, paragraphe 2, du règlement (CE) no 2099/2002, les points suivants sont ajoutés :« t) Le règlement (CE) no 789/2004 du Parlement européen et du Conseil du 21 avril 2004 relatif au chan-

gement de registre des navires de charge et navires à passagers à l’intérieur de la Communauté et abrogeant lerèglement (CEE) no 613/91 (*) ;

u) La directive 2005/35/CE du Parlement européen et du Conseil du 7 septembre 2005 relative à la pollutioncausée par les navires et à l’introduction de sanctions en cas d’infractions (**) ;

v) Le règlement (CE) no 336/2006 du Parlement européen et du Conseil du 15 février 2006 relatif à l’appli-cation du code international de gestion de la sécurité dans la Communauté et abrogeant le règlement (CE)no 3051/95 (***).

Article 2

Le présent règlement entre en vigueur le lendemain du jour de sa publication au Journal officiel de l’Unioneuropéenne.

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Le présent règlement est obligatoire dans tous ses éléments et directement applicable dans tout Etat membre.Fait à Bruxelles, le 30 janvier 2007.

Par la Commission :JACQUES BARROT

Vice-président

(*) JO L. 138 du 30 avril 2004, p. 19.(**) JO L. 255 du 30 septembre 2005, p. 11.(***) JO L. 64 du 4 mars 2006, p. 1. »

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TEXTES GÉNÉRAUX

Prévention des pollutions et des risques

Décret no 2007-150 du 5 février 2007 définissant le périmètre de la zone de proximité prévue àl’article L. 542-11 du code de l’environnement, concernant le laboratoire souterrain de Meuseet de Haute-Marne destiné à étudier les formations géologiques profondes où pourraientêtre stockés des déchets radioactifs

NOR : INDI0709643D

(Journal officiel du 6 février 2007)

Le Premier ministre,Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,Vu le code de l’environnement, notamment son article L. 542-11 ;Vu le décret du 3 août 1999 autorisant l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs à installer et

exploiter sur le territoire de la commune de Bure (Meuse) un laboratoire souterrain destiné à étudier les forma-tions géologiques profondes où pourraient être stockés des déchets radioactifs ;

Vu l’avis du conseil général du département de la Haute-Marne ;Vu l’avis du conseil général du département de la Meuse,

Décrète :Art. 1er. − Les communes situées sur les départements de la Meuse et de la Haute-Marne énumérées ci-après

constituent la zone de proximité, prévue à l’article L. 542-11 du code de l’environnement, concernant le laboratoiresouterrain dont l’installation et l’exploitation ont été autorisées par le décret du 3 août 1999 susvisé :

I. – Département de la Haute-Marne

1o Arrondissement de Saint-Dizier

Canton de Chevillon :Bayard-sur-Marne ;Chevillon ;Eurville-Bienville ;Fontaines-sur-Marne ;Maizières-lès-Joinville ;Narcy ;Osne-le-Val ;Rachecourt-sur-Marne.

Canton de Doulaincourt-Saucourt :Cerisières ;Domremy-Landéville ;Donjeux ;Doulaincourt-Saucourt :Gudmont-Villiers ;Mussey-sur-Marne ;Pautaines-Augeville ;Roches-Bettaincourt ;Rouécourt ;Rouvroy-sur-Marne ;Saint-Urbain-Maconcourt ;Vaux-sur-Saint-Urbain.

Canton de Doulevant-le-Château :Ambonville ;Arnancourt ;Baudrecourt ;Beurville ;Blumeray ;

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Bouzancourt ;Brachay ;Charmes-en-l’Angle ;Charmes-la-Grande ;Cirey-sur-Blaise ;Courcelles-sur-Blaise ;Dommartin-le-Saint-Père ;Doulevant-le-Château ;Flammerécourt ;Leschères-sur-le-Blaiseron ;Mertrud ;Nully ;Trémilly.

Canton de Joinville :Autigny-le-Grand ;Autigny-le-Petit ;Blécourt ;Chatonrupt-Sommermont ;Curel ;Ferrière-et-Lafolie ;Fronville ;Guindrecourt-aux-Ormes ;Joinville ;Mathons ;Nomécourt ;Rupt ;Suzannecourt ;Thonnance-lès-Joinville ;Vecqueville.

Canton de Montier-en-Der :Ceffonds ;Droyes ;Frampas ;Longeville-sur-la-Laines ;Louze ;Montier-en-Der ;Planrupt ;Puellemontier ;Robert-Magny - Laneuville-à-Rémy ;Sommevoire ;Thilleux.

Canton de Poissons :Aingoulaincourt ;Annonville ;Cirfontaines-en-Ornois ;Echenay ;Effincourt ;Epizon ;Germay ;Germisay ;Gillaumé ;Lezéville ;Montreuil-sur-Thonnance ;Noncourt-sur-le-Rongeant ;Pancey ;Paroy-sur-Saulx ;Poissons ;Sailly ;Saudron ;Thonnance-les-Moulins.

Canton de Saint-Dizier - Centre :Saint-Dizier.

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Canton de Saint-Dizier - Nord-Est :Bettancourt-la-Ferrée ;Chancenay ;Saint-Dizier.

Canton de Saint-Dizier - Ouest :Eclaron-Braucourt - Sainte-Livière ;Hallignicourt ;Humbécourt ;Laneuville-au-Pont ;Moëslains ;Perthes ;Saint-Dizier ;Valcourt ;Villiers-en-Lieu.

Canton de Saint-Dizier - Sud-Est :Chamouilley ;Roches-sur-Marne ;Saint-Dizier.

Canton de Wassy :Allichamps ;Attancourt ;Bailly-aux-Forges ;Brousseval ;Domblain ;Dommartin-le-Franc ;Doulevant-le-Petit ;Fays ;Louvemont ;Magneux ;Montreuil-sur-Blaise.Morancourt ;Rachecourt-Suzémont ;Sommancourt ;Troisfontaines-la-Ville ;Vallerest ;Vaux-sur-Blaise ;Ville-en-Blaisois ;Voillecomte ;Wassy.

2o Arrondissement de ChaumontCanton de Saint-Blin :

Aillianville ;Busson ;Chalvraines ;Chambroncourt ;Humberville ;Lafauche ;Leurville ;Liffol-le-Petit ;Manois ;Morionvilliers ;Orquevaux ;Prez-sous-Lafauche ;Saint-Blin ;Semilly ;Vesaignes-sous-Lafauche.

II. – Département de la Meuse

1o Arrondissement de CommercyCanton de Commercy :

Boncourt-sur-Meuse ;Chonville-Malaumont ;

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Commercy ;Cousance-lès-Triconville ;Dagonville ;Erneville-aux-Bois ;Euville ;Grimaucourt-près-Sampigny ;Lérouville ;Mécrin ;Nançois-le-Grand ;Pont-sur-Meuse ;Saint-Aubin-sur-Aire ;Vadonville ;Vignot.

Canton de Gondrecourt-le-Château :Abainville ;Amanty ;Baudignécourt ;Badonvilliers-Gérauvilliers ;Bonnet ;Chassey-Beaupré ;Dainville-Bertheléville ;Delouze-Rosières ;Demange-aux-Eaux ;Gondrecourt-le-Château ;Horville-en-Ornois ;Houdelaincourt ;Mauvages ;Roises (Les) ;Saint-Joire ;Tréveray ;Vaudeville-le-Haut ;Vouthon-Bas ;Vouthon-Haut.

Canton de Pierrefitte-sur-Aire :Ménil-aux-Bois.

Canton de Vaucouleurs :Brixey-aux-Chanoines ;Burey-en-Vaux ;Burey-la-Côte ;Chalaines ;Champougny ;Epiez-sur-Meuse ;Goussaincourt ;Maxey-sur-Vaise ;Montbras ;Montigny-lès-Vaucouleurs ;Neuville-lès-Vaucouleurs ;Pagny-la-Blanche-Côte ;Rigny-la-Salle ;Rigny-Saint-Martin ;Saint-Germain-sur-Meuse ;Sauvigny ;Sepvigny ;Taillancourt ;Ugny-sur-Meuse ;Vaucouleurs.

Canton de Void-Vacon :Bovée-sur-Barboure ;Boviolles ;

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Broussey-en-Blois ;Laneuville-au-Rupt ;Marson-sur-Barboure ;Méligny-le-Grand ;Méligny-le-Petit ;Ménil-la-Horgne ;Naives-en-Blois ;Ourches-sur-Meuse ;Pagny-sur-Meuse ;Reffroy ;Saulvaux ;Sauvoy ;Sorcy-Saint-Martin ;Troussey ;Villeroy-sur-Méholle ;Void-Vacon.

2o Arrondissement de Bar-le-Duc

Canton d’Ancerville :Ancerville ;Aulnois-en-Perthois ;Baudonvilliers ;Bazincourt-sur-Saulx ;Brillon-en-Barrois ;Cousances-les-Forges ;Haironville ;Juvigny-en-Perthois ;Lavincourt ;Lisle-en-Rigault ;Montplonne ;Rupt-aux-Nonains ;Saudrupt ;Savonnières-en-Perthois ;Sommelonne ;Stainville ;Ville-sur-Saulx.

Canton de Bar-le-Duc Nord :Bar-le-Duc ;Fains-Véel ;Longeville-en-Barrois.

Canton de Bar-le-Duc Sud :Combles-en-Barrois ;Robert-Espagne ;Savonnières-devant-Bar ;Trémont-sur-Saulx.

Canton de Ligny-en-Barrois :Chanteraine ;Givrauval ;Guerpont ;Ligny-en-Barrois ;Loisey-Culey ;Longeaux ;Maulan ;Menaucourt ;Naix-aux-Forges ;Nançois-sur-Ornain ;Nant-le-Petit ;Nant-le-Grand ;Nantois ;Saint-Amand-sur-Ornain ;Salmagne ;

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Silmont ;Tannois ;Tronville-en-Barrois ;Velaines ;Willeroncourt.

Canton de Montiers-sur-Saulx :Biencourt-sur-Orge ;Bouchon-sur-Saulx (Le) ;Brauvilliers ;Bure ;Couvertpuis ;Dammarie-sur-Saulx ;Fouchères-aux-Bois ;Hévilliers ;Mandres-en-Barrois ;Ménil-sur-Saulx ;Montiers-sur-Saulx ;Morley ;Ribeaucourt ;Villers-le-Sec.

Canton de Revigny-sur-Ornain :Andernay ;Beurey-sur-Saulx ;Brabant-le-Roi ;Contrisson ;Couvonges ;Laimont ;Mognéville ;Nettancourt ;Neuville-sur-Ornain ;Rancourt-sur-Ornain ;Remennecourt ;Revigny-sur-Ornain ;Val-d’Ornain ;Vassincourt ;Villers-aux-Vents.

Canton de Seuil-d’Argonne :Autrecourt-sur-Aire ;Beaulieu-en-Argonne ;Beausite ;Brizeaux ;Evres ;Foucaucourt-sur-Thabas ;Ippécourt ;Lavoye ;Les Trois-Domaines ;Nubécourt ;Pretz-en-Argonne ;Seuil-d’Argonne ;Waly.

Canton de Vaubecourt :Chaumont-sur-Aire ;Courcelles-sur-Aire ;Erize-la-Petite ;Laheycourt ;Les Hauts-de-Chée ;Lisle-en-Barrois ;Louppy-le-Château ;Noyers-Auzécourt ;Rembercourt-Sommaisne ;Sommeilles ;

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Vaubécourt ;Vilotte-devant-Louppy.

Canton de Vavincourt :Behonne ;Chardogne ;Naives-Rosières ;Raival ;Resson ;Rumont ;Seigneulles ;Vavincourt.

Art. 2. − Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et le ministre délégué à l’industrie sontchargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de laRépublique française.

Fait à Paris, le 5 février 2007.

DOMINIQUE DE VILLEPINPar le Premier ministre :

Le ministre délégué à l’industrie,FRANÇOIS LOOS

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,THIERRY BRETON

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TEXTES GÉNÉRAUX

Prévention des pollutions et des risques

Arrêté du 28 novembre 2006 modifiant l’arrêté du 25 février 2005 fixant la liste des exploitantsauxquels sont affectés des quotas d’émission de gaz à effet de serre et le montant desquotas affectés

NOR : DEVP0650666A

(Journal officiel du 2 février 2007)

La ministre de l’écologie et du développement durable,Vu la directive 2003/87/CE du Parlement européen et du Conseil du 13 octobre 2003 établissant un système

d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre dans la Communauté et modifiant la directive 96/61/CE duConseil ;

Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 229-5 à L. 229-19 ;Vu le décret no 2004-832 du 19 août 2004, modifié par le décret no 2005-189 du 25 février 2005, pris pour

l’application des articles L. 229-5 à L. 229-19 du code de l’environnement et relatif au système d’échange dequotas d’émission de gaz à effet de serre ;

Vu le décret no 2005-190 du 25 février 2005 approuvant le plan national d’affectation des quotas d’émission degaz à effet de serre pour la période 2005-2007 ;

Vu l’arrêté du 25 février 2005 modifié fixant la liste des exploitants auxquels sont affectés des quotasd’émission de gaz à effet de serre et le montant des quotas affectés,

Arrête :Art. 1er. − I. – A l’annexe I de l’arrêté du 25 février 2005 susvisé, sont retirées de la liste les installations dont

l’exploitant, l’identification au titre des installations classées, le nom, la ville et le département étaient mentionnésainsi qu’il suit :

CARTONNERIE DE PONT-AUDEMER (CPA) 058 00415 CPA – CARTONNERIE PONT-AUDEMER Pont-Audemer 27

OTOR NORMANDIE 065 00378 OTOR RIQUET Château-Landon 77

SOCIÉTÉ D’INTÉRÊT COLLECTIF AGRICOLEGÂTINAISE DE DÉSHYDRATATION

065 02714 GROUPEMENT DÉSHYDRATATION Soignolles-en-Brie 77

ALQUIER COLLES ET GÉLATINES 068 02318 ALQUIER COLLES ET GÉLATINES Bout-du-Pont-de-Larn

81

PÉRONNE INDUSTRIE SA 051 02442 PÉRONNE INDUSTRIE Péronne 80

SOCIÉTÉ ANTONIENNE DE PRODUCTION ETDE DISTRIBUTION DE CHALEUR (ADIC)

065 06250 DALKIA – ADLC Antony 92

SYNDICAT INTERDÉPARTEMENTAL POURL’ASSAINISSEMENT DE L’AGGLOMÉRATION

PARISIENNE (SIAAP)

065 03139 SIAAP traitement des eaux Maisons-Laffitte 78

II. – A l’annexe I de l’arrêté du 25 février 2005 susvisé, la liste est modifiée ainsi qu’il suit :– la ligne concernant l’installation de la société CORGEVAL (no d’établissement ICPE 057 01841) est

supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

PERIN FRÈRES 057 01841 Chaufferiede la ZUP de Laon

Reims 51 Chauffage urbain 11 568 34 704

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 101 00059) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 101 00059 DALKIA-ARKEMA Balan Balan 01 Combustionexternalisée

39 363 118 090

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– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 052 05229) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

COGESTAR 052 05229 COGESTAR –AHLSTROM PACKAGING

Lalinde 24 Combustionindustrie

77 278 231 834

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 059 00460) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 059 00460 DALKIA – Petite Hollande Montbéliard 25 Chauffage urbain 8 597 25 791

– la ligne concernant l’installation de la société OMNIUM THERMIQUE DES GRANDS ENSEMBLES(OMNITHERM) (no d’établissement ICPE 061 02026) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 061 02026 DALKIA – La Reyssouze Bourg-en-Bresse 01 Chauffage urbain 16 025 48 076

– la ligne concernant l’installation de la société OMNIUM THERMIQUE DES GRANDS ENSEMBLES(OMNITHERM) (no d’établissement ICPE 061 02785) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

OMNIUM THERMIQUEDES GRANDS ENSEMBLESOMNITHERM (OMNITHERM)

061 02785 OMNITHERM –ZUP de Valence

Valence 26 Chauffage urbain 43 758 131 275

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 061 03570) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 061 03570 Chaufferiede Bron-Parilly

Bron 69 Chauffage urbain 4 681 14 043

– la ligne concernant l’installation de la société OMNIUM THERMIQUE DES GRANDS ENSEMBLES(OMNITHERM) (no d’établissement ICPE 061 04280) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

OMNIUM THERMIQUEDES GRANDS ENSEMBLES

(OMNITHERM)

061 04280 OMNITHERM – La Duchère Champagne-au-Mont-d’Or

69 Chauffage urbain 33 107 99 321

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 063 01089) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 063 01089 DALKIA – ZUP d’Allonnes Allonnes 72 Chauffage urbain 27 413 82 240

– la ligne concernant l’installation de la société SYNDICAT D’AGGLOMÉRATION NOUVELLE DEMARNE-LA-VALLÉE (no d’établissement ICPE 065 01447) est supprimée et remplacée par la ligneci-dessous :

SYNDICAT D’AGGLOMÉRATIONNOUVELLE DE

MARNE-LA-VALLÉE

065 01447 ChaufferieZAC du Mandinet

Lognes 77 Chauffage urbain 18 398 55 194

– la ligne concernant l’installation de la société GIE ÉVRY (no d’établissement ICPE 065 04212) est suppriméeet remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 065 04212 GIE ÉVRY – DALKIA Evry 91 Chauffage urbain 100 808 302 424

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 065 05618) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

CENTRE HOSPITALIERSIMONE VEIL

065 05618 Centre hospitalierEmile Roux

Eaubonne 95 Combustionexternalisée

3 855 11 564

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 100 04382) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 3

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DALKIA ATLANTIQUESERVICES

100 04382 DALKIAIndustrie cogénération malterie

Issoudun 36 Combustionexternalisée

21 041 63 122

– la ligne concernant l’installation de la société SEM SARCELLES CHALEUR (no d’établissement ICPE065 06138) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

SARCELLES ÉNERGIE 065 06138 Chaufferie de Sarcelles Sarcelles 95 Chauffage urbain 50 629 151 886

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 066 00637) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 066 00637 DALKIA Sonic Nîmes 30 Chauffage urbain 69 569 208 708

– la ligne concernant l’installation de la société HAUTEPIERRE COGÉNÉRATION (no d’établissement ICPE067 00724) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

HAUTEPIERRECOGÉNÉRATION

067 00724 Centrale thermiquede Hautepierre

Strasbourg 67 Chauffage urbain 65 723 197 169

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 068 03995) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

INDUSTELEC SUD 068 03995 INDUSTELEC – Cognis Boussens 31 Combustionexternalisée

59 296 177 888

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 068 04213) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 068 04213 DALKIA-ARKEMALannemezan

Lannemezan 65 Combustionexternalisée

29 774 89 323

– la ligne concernant l’installation de la société CALAIS ÉNERGIE (no d’établissement ICPE 070 00976) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

CALAIS ÉNERGIE 070 00976 ChaufferieCalais Energie

Calais 62 Chauffage urbain 21 047 63 140

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 070 00990) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 070 00990 Centrale thermiqueLes Cèdres

Villeneuve-d’Ascq 59 Chauffage urbain 10 815 32 444

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 070 01019) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

VILLAE 070 01019 Chaufferie centralede Lille Est

Hellemmes 59 Chauffage urbain 15 176 45 528

– la ligne concernant l’installation de la société DALKIA FRANCE (no d’établissement ICPE 070 01214) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

DALKIA FRANCE 070 01214 DALKIAMont de Terre – RESONOR

Lille 59 Chauffage urbain 169 972 509 916

– la ligne concernant l’installation de la société COGESTAR (no d’établissement ICPE 070 01494) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

COGESTAR 070 01494 CogénérationRéseau d’Arras

Arras 62 Chauffage urbain 24 299 72 896

– la ligne concernant l’installation de la société COMMUNAUTÉ URBAINE DE BREST (no d’établissementICPE 055 04112) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 4

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COMMUNAUTÉ URBAINEDE BREST

055 04112 BREST MÉTROPOLE OCÉANE –Chaufferie du Spernot

Brest 29 Chauffage urbain 1 467 4 400

– la ligne concernant l’installation de la société DESCAMPS (no d’établissement ICPE 070 00967) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

ENNOBLISSEMENTDES FLANDRES

070 00967 ENNOBLISSEMENTDES FLANDRES

Nieppe 59 Combustionautres

12 470 37 410

– la ligne concernant l’installation de la société RHODIA PPMC (no d’établissement ICPE 051 01505) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

HEXION SPECIALTYCHEMICALS FRANCE

051 01505 HEXION SPECIALTYCHEMICALS FRANCE

Ets de Ribécourt

Ribécourt 60 Combustionchimie

38 893 116 680

– la ligne concernant l’installation de la société SOLLAC LORRAINE (no d’établissement ICPE 062 01364) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

ARCELOR ATLANTIQUEET LORRAINE

062 01364 ARCELOR ATLANTIQUEET LORRAINE

Florange 57 Acier 4 615 803 13 847 408

– la ligne concernant l’installation de la société SOLLAC MÉDITERRANÉE (no d’établissement ICPE064 01052) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

ARCELOR MÉDITERRANÉE 064 01052 ARCELOR MÉDITERRANÉE Fos-sur-mer 13 Acier 9 140 902 27 422 705

– la ligne concernant l’installation de la société SOLLAC ATLANTIQUE (no d’établissement ICPE 070 00956)est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

ARCELOR ATLANTIQUEET LORRAINE

070 00956 ARCELOR ATLANTIQUEET LORRAINE

Dunkerque 59 Acier 12 244 979 36 734 936

– la ligne concernant l’installation de la société CREUSOT MÉTAL (no d’établissement ICPE 054 01151) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

INDUSTEEL CREUSOT 054 01151 INDUSTEEL CREUSOT Le Creusot 71 Acier 73 571 220 712

– la ligne concernant l’installation de la société INDUSTEEL FRANCE (no d’établissement ICPE 061 03381)est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

INDUSTEEL LOIRE 061 03381 INDUSTEEL LOIRE Châteauneuf 42 Acier 40 313 120 938

– la ligne concernant l’installation de la société SOLLAC ATLANTIQUE (no d’établissement ICPE 070 00955)est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

ARCELOR ATLANTIQUEET LORRAINE

070 00955 ARCELOR ATLANTIQUEET LORRAINE – Mardick

Grande Synthe 59 Combustionautres

48 558 145 675

– la ligne concernant l’installation de la société SOLLAC ATLANTIQUE (no d’établissement ICPE 051 01363)est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

ARCELOR ATLANTIQUEET LORRAINE

051 01363 ARCELOR ATLANTIQUEET LORRAINE

Montataire 60 Combustionautres

112 163 336 488

– la ligne concernant l’installation de la société ARCELOR PACKAGING INTERNATIONAL (no d’établis-sement ICPE 063 01117) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

ARCELOR PACKAGING 063 01117 ARCELOR PACKAGING Indre 44 Combustionautres

32 067 96 201

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– la ligne concernant l’installation de la société COMPAGNIE GÉNÉRALE DES MATIÈRES NUCLÉAIRES(COGEMA) (no d’établissement ICPE 066 00514) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

CEA 066 00514 CEA-INBS de Marcoule Bagnols-sur-Cèze 30 Combustionautres

45 019 135 058

– la ligne concernant l’installation de la société SICOGEF SA (no d’établissement ICPE 064 01009) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

FIGENAL SNC 064 01009 FIGENAL – site Lyondell Fos-sur-Mer 13 Combustionexternalisée

137 033 411 098

– la ligne concernant l’installation de la société ELYO (no d’établissement ICPE 064 06295) est supprimée etremplacée par la ligne ci-dessous :

ELYO 065 06295 ELYO – chaufferie de luth Gennevilliers 92 Chauffage urbain 33 526 100 579

– la ligne concernant l’installation de la société SOCIÉTÉ DE DISTRIBUTION DE CHALEUR DE CLICHY(no d’établissement ICPE 064 06266) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

SOCIÉTÉ DE DISTRIBUTIONDE CHALEUR DE CLICHY

065 06266 SDCC Clichy 92 Chauffage urbain 41 911 125 732

– la ligne concernant l’installation de la société SOCIÉTÉ DE DISTRIBUTION DE CHALEUR DE SAINT-DENIS (SDCSD) (no d’établissement ICPE 064 06457) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

SOCIÉTÉ DE DISTRIBUTIONDE CHALEUR DE

SAINT-DENIS (SDCSD)

065 06457 SDCSD Stains 93 Chauffage urbain 36 747 110 241

– la ligne concernant l’installation de la société ÉLECTRICITÉ DE FRANCE (EDF) (no d’établissement ICPE064 06558) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

ÉLECTRICITÉDE FRANCE (EDF)

065 06558 EDF centralede Vitry

Vitry-sur-Seine 94 Electricité 1 269 100 3 807 301

– la ligne concernant l’installation de la société SMURFIT KAPPA PAPIER RECYCLÉ FRANCE (no d’établis-sement ICPE 065 06315) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

SMURFIT KAPPApapier recyclé

France

074 05212 SMURFIT KAPPA PRF –Papeterie de la Seine

Nanterre 92 Papier 154 870 464 609

– la ligne concernant l’installation de la société COLOMBES HABITAT PUBLIC (OPAC de la ville deColombes) (no d’établissement ICPE 074 03869) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

COLOMBES HABITAT PUBLIC(OPAC de la ville de Colombes)

074 04968 Chaufferie centraledes Fossés Jean-Nord

Colombes 92 Chauffage urbain 7 305 21 915

– la ligne concernant l’installation de la société SOCOMIN SAS (no d’établissement ICPE 074 00023) estsupprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

SOCOMIN SAS 074 02252 SOCOMIN Rungis 94 Chauffage urbain 3 939 11 818

– la ligne concernant l’installation de la société SOCIÉTÉ DE DISTRIBUTION DE CHALEUR DE LIMOGES(SDCL) (no d’établissement ICPE 060 01292) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

SOCIÉTÉ DE DISTRIBUTIONDE CHALEUR DE LIMOGES

(SDCL)

060 01292 SDCL – L’Aurence Limoges 87 Chauffage urbain 35 275 105 826

– la ligne concernant l’installation de la société SOCIÉTÉ DE DISTRIBUTION DE CHALEUR DE LIMOGES(SDCL) (no d’établissement ICPE 060 00326) est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

Page 265: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 6

. .

SOCIÉTÉ DE DISTRIBUTIONDE CHALEUR DE LIMOGES

BEAUBREUIL (SDCLB)

060 00326 SDCLB – Beaubreuil Limoges 87 Chauffage urbain 1 608 4 824

– la ligne concernant l’installation de la société Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglo-mération parisienne (SIAAP) (no d’établissement ICPE 065 06939) est supprimée et remplacée par la ligneci-dessous :

SYNDICAT INTER-DÉPARTEMENTAL

POUR L’ASSAINISSEMENTDE L’AGGLOMÉRATION

PARISIENNE (SIAAP)

065 06939 SIAAP – site Seine Aval Maisons-Laffitte 78 Combustionautres

7 784 23 352

Art. 2. − I. – A l’arrêté du 25 février 2005 susvisé, il est inséré entre l’article 3 et l’article 4 devenantl’article 7 les articles suivants :

« Art. 4. − Les installations ayant fait l’objet de la procédure prévue au II de l’article 5 du décret no 2004-832du 19 août 2004 modifié sont énumérées à l’annexe IV du présent arrêté. Le tableau de l’annexe IV mentionne lesallocations annuelles corrigées de 2005 à 2007, compte tenu de l’arrêt de la délivrance de quotas à une installationayant notifié sa cessation d’activité.

« Art. 5. − Les installations, dont l’exploitant a bénéficié de la procédure prévue au III de l’article 5 du décretno 2004-832 du 19 août 2004 modifié, et qui à ce titre se voient affecter les quotas au prorata du volume des acti-vités transférées sur leur site, sont énumérées à l’annexe V du présent arrêté. Le tableau de l’annexe V mentionneles allocations annuelles complémentaires de 2005 à 2007, compte tenu de la conservation des quotas consécutiveau transfert.

« Art. 6. − Les installations, dont l’allocation pour la période 2005-2007 a été révisée, ainsi que le montant desnouvelles allocations pour les années 2005, 2006 et 2007, sont énumérées à l’annexe VI du présent arrêté. »

II. – L’arrêté du 25 février 2005 susvisé est complété par les annexes IV, V et VI ci-après :

« A N N E X E I V

« INSTALLATIONS DÉFINITIVEMENT ARRÊTÉES ET MONTANT DES QUOTAS FINALEMENT AFFECTÉS,EN APPLICATION DU II DE L’ARTICLE 5 DU DÉCRET No 2004-832 DU 19 AOÛT 2004 MODIFIÉ

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

SOCIÉTÉ DE DISTRI-B U T I O N D EC H A L E U R D EVITRY.

065 06556 SDCV Vitry-sur-Seine

94 Chauffageurbain

89 999 89 999 0 179 998

SOCIÉTÉ D’EXPLOI-T A T I O N D UC H A U F F A G EU R B A I N D EMASSY-ANTONY(CURMA).

065 04557 CURMARUE DE PARIS

Massy 91 Chauffageurbain

2 060 0 0 2 060

PECHINEY ÉLECTRO-MÉTALLURGIE SA.

061 02111 PECHINEY ÉLECTRO-MÉTALLURGIE

Injoux-Génissiat

01 Chaux 46 662 46 662 0 93 324

S A S C H A U X E TDOLOMIES FRAN-ÇAISES.

063 01630 Les Fours à Chaux Erbray 44 Chaux 30 751 30 751 0 61 502

B O N D U E L L ECONSERVE INTER-NATIONAL (BCI).

051 02192 BONDUELLECONSERVE

INTERNATIONAL(BCI)

Flaucourt 80 Combustionagro-

alimentaire

6 811 0 0 6 811

CRISTAL UNION. 057 01704 CRISTAL UNIONDÉVELOPPEMENT

Fagnières 51 Combustionagro-

alimentaire

44 592 44 592 0 89 184

Page 266: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 7

. .

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

NESTLÉ FRANCE. 064 00673 NESTLÉ FRANCE Marseille 13 Combustionagro-

alimentaire

59 796 0 0 59 796

HENKEL FRANCE. 057 01479 HENKEL Reims 51 Combustionautres

11 330 11 330 0 22 660

LIFETEX. 067 00671 LIFETEXex-Steinheil

Rothau 67 Combustionautres

17 142 17 142 0 34 284

M A N U F A C T U R EFRANÇAISE DESPNEUMATIQUESMICHELIN.

072 01374 MFP Michelin Poitiers 86 Combustionautres

21 123 21 123 0 42 246

É L E C T R I C I T É D EFRANCE (EDF).

052 00262 EDFCentrale d’Ambès

Ambès 33 Electricité 124 425 0 0 124 25

É L E C T R I C I T É D EFRANCE (EDF).

070 00509 EDF centralede Dunkerque

Dunkerque 59 Electricité 30 967 0 0 30 967

É L E C T R I C I T É D EFRANCE (EDF).

065 02878 EDFCentrale de Vaires

Vaires-sur-Marne

77 Electricité 720 444 0 0 720 444

É L E C T R I C I T É D EFRANCE (EDF).

068 02235 EDFCentrale d’Albi

Albi 81 Electricité 550 955 550 955 0 1 101 910

C O M P A G N I EGÉNÉRALE DESPAPIERS.

056 00393 COMPAGNIEGÉNÉRALE

DES PAPIERS

Coudes 63 Papier 15 095 15 095 0 30 190

EMIN LEYDIER. 061 02584 EMIN LEYDIERUsine de

Ferrandinière

Saint-Vallier 26 Papier 17 907 17 907 0 35 814

OTOR GODARD. 072 01366 OTOR GODARD Iteuil 86 Papier 24 448 24 448 0 48 896

S O C I É T É E U R O -PÉENNE D’ISOLA-TEURS EN VERREET COMPOSITE(SEDIVER).

056 00099 SEDIVER Saint-Yorre 03 Verre 19 054 19 054 0 38 108

« A N N E X E V

« INSTALLATIONS DESTINATAIRES D’UN TRANSFERT D’ACTIVITÉ ET MONTANT DES QUOTASSUPPLÉMENTAIRES AFFECTÉS, CORRESPONDANT À L’ACTIVITÉ TRANSFÉRÉE, EN APPLICATIONDU III DE L’ARTICLE 5 DU DÉCRET No 2004-832 DU 19 AOÛT 2004 MODIFIÉ

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

COMPLÉMENT D’ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

BONDUELLE CONSERVEINTERNATIONAL (BCI).

051 02374 BONDUELLECONSERVE

INTERNATIONAL (BCI)

Péronne 80 Combustionagro-

alimentaire

0 2 793 2 793 5 586

BONDUELLE CONSERVEINTERNATIONAL (BCI).

070 00646 BONDUELLECONSERVE

INTERNATIONAL (BCI)

Renescure 59 Combustionagro-

alimentaire

0 3 882 3 882 7 764

NESTLÉ FRANCE. 058 00523 NESTLÉ FranceUsine de Dieppe

Dieppe 76 Combustionagro-

alimentaire

0 4 784 4 784 9 568

Page 267: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 8

. .

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

COMPLÉMENT D’ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

ÉLECTRICITÉ DE FRANCE(EDF).

063 01217 EDF centralede Cordemais

Cordemais 44 Electricité 0 155 392 155 392 310 784

ÉLECTRICITÉ DE FRANCE(EDF).

065 03464 EDF centralede Porcheville

Porcheville 78 Electricité 0 720 444 720 444 1 440 888

C H A U X E T D O L O M I EFRANÇAISES.

063 01343 CHAUXET DOLOMIEFRANÇAISES

Usine de Neau

Evron 53 Chaux 0 0 30 751 30 751

ÉLECTRICITÉ DE FRANCE(EDF).

066 00429 EDF centraled’Aramon

Aramon 30 Electricité 0 0 550 955 550 955

« A N N E X E V I

« INSTALLATIONS AYANT FAIT L’OBJET D’UNE RÉVISION DU MONTANT DE LEUR ALLOCATION POUR LAPÉRIODE 2005-2007 ET MONTANT DES QUOTAS FINALEMENT ALLOUÉS POUR CHAQUE ANNÉE DE LA PÉ-RIODE

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

ERASTEELCOMMENTRY.

056 00023 ERASTEEL Commentry 03 Acier 26 203 32 574 32 575 91 352

V & M FRANCE. 070 02398 V & M FranceAciérie

de Saint-Saulve

Saint-Saulve 59 Acier 92 855 95 722 99 877 288 454

C O M M U N A U T ÉU R B A I N E D EBREST.

055 04112 BRESTMÉTROPOLE

OCÉANEChaufferie du

Spernot

Brest 29 Chauffageurbain

1 467 3 228 3 885 8 580

CURDEM. 100 02284 ChaufferieZUP Madeleine

Chartres 28 Chauffageurbain

16 015 18 561 18 561 53 137

DALKIA FRANCE. 65 6348 DALKIAAULNAY 3000

Aulnay-sous-Bois 93 Chauffageurbain

29 086 29 086 29 086 87 258

ÉNERGIE MEAUX. 065 06941 ÉNERGIEMEAUX BEAUVAL

Meaux 77 Chauffageurbain

63 000 63 000 63 000 189 000

MONS ÉNERGIE. 070 01213 MONS ÉNERGIEChaufferie

ZUP de Mons

Mons-en-Barœul 59 Chauffageurbain

4 091 16 055 16 054 36 200

SOCIÉTÉ DE DISTRI-B U T I O N D EC H A L E U R D EVITRY.

065 06556 SDCV Vitry-sur-Seine 94 Chauffageurbain

89 999 89 999 0 179 998

SOCIÉTÉ D’EXPLOI-T A T I O N D UC H A U F F A G EU R B A I N D EMASSY-ANTONY(CURMA).

065 04557 CURMARUE DE PARIS

Massy 91 Chauffageurbain

2 060 0 0 2 060

PECHINEY ÉLECTRO-MÉTALLURGIE SA.

061 02111 PECHINEYÉLECTRO-

MÉTALLURGIE

Injoux-Génissiat 01 Chaux 46 662 46 662 0 93 324

Page 268: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 9

. .

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

COKES DE CARLING. 062 01074 HBL COKERIECARLING

Carling 57 Cokerie 336 617 336 617 336 617 1 009 851

B O N D U E L L ECONSERVE INTER-NATIONAL (BCI).

051 02374 BONDUELLECONSERVE

INTERNATIONAL(BCI)

Péronne 80 Combustionagro-

alimentaire

38 232 41 025 41 025 120 282

B O N D U E L L ECONSERVE INTER-NATIONAL (BCI).

070 00646 BONDUELLECONSERVE

INTERNATIONAL(BCI)

Renescure 59 Combustionagro-

alimentaire

25 888 29 770 29 769 85 427

B O N D U E L L ECONSERVE INTER-NATIONAL (BCI).

051 02192 BONDUELLECONSERVE

INTERNATIONAL(BCI)

Flaucourt 80 Combustionagro-

alimentaire

6 811 0 0 6 811

C O O P É R A T I V EAGRICOLE LAITIÈREL E S M A Î T R E SL A I T I E R S D UCOTENTIN.

053 01789 MAÎTRES LAITIERSDU COTENTIN

SOTTEVAST

Sottevast 50 Combustionagro-

alimentaire

12 984 12 984 20 295 46 263

CRISTAL UNION. 057 01704 CRISTAL UNIONDÉVELOPPEMENT

Fagnières 51 Combustionagro-

alimentaire

44 592 44 592 0 89 184

NESTLÉ FRANCE. 058 00523 NESTLÉ FranceUsine de Dieppe

Dieppe 76 Combustionagro-

alimentaire

72 157 76 941 76 941 226 039

NESTLÉ FRANCE. 064 00673 NESTLÉ FRANCE Marseille 13 Combustionagro-

alimentaire

59 796 0 0 59 796

SOCIÉTÉ ANONYMES U C R E R I E D ETOURY ET USINESANNEXES.

100 00451 SUCRERIEDE TOURY

Toury 28 Combustionagro-

alimentaire

46 589 55 950 55 950 158 489

S O C I É T É P A RA C T I O N SS I M P L I F I É ELAITERIE DU VALD’ANCENIS.

063 00906 LAITERIEDU VAL D’ANCENIS

ex-CANA

Ancenis 44 Combustionagro-

alimentaire

28 984 29 210 29 389 87 583

TEREOS. 100 01557 TEREOS Artenay 45 Combustionagro-

alimentaire

58 494 63 687 63 688 185 869

TEREOS. 070 00936 TEREOS Lillers 62 Combustionagro-

alimentaire

203 226 213 303 213 303 629 832

WILLIAM SAURIN. 065 02609 WILLIAM SAURIN Saint-Thibault-des-Vignes

77 Combustionagro-

alimentaire

9 057 9 057 9 057 27 171

AIRBUS FRANCE. 068 02344 AIRBUS FRANCESite Clément Ader

Colomiers 31 Combustionautres

20 648 20 648 20 648 61 944

AIRBUS FRANCE. 068 02353 AIRBUS FRANCEUsine Saint-Martin

Toulouse 31 Combustionautres

17 917 17 917 17 917 53 751

ATMEL ROUSSET SA. 064 00033 ATMEL ROUSSET Rousset 13 Combustionautres

7 955 7 955 7 955 23 865

Page 269: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 10

. .

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

CENTRE HOSP ITAL IERU N I V E R S I T A I R E D EPOITIERS.

072 03207 CHU POITIERS Poitiers 86 Combustionautres

12 955 12 955 12 955 38 865

C E N T R E N A T I O N A LD’ÉTUDES SPATIALES.

068 02373 CNES Toulouse 31 Combustionautres

12 944 12 944 12 944 38 832

HENKEL FRANCE. 057 01479 HENKEL Reims 51 Combustionautres

11 330 11 330 0 11 330

KRONOFRANCE. 100 04585 KRONO France Sully-sur-Loire 45 Combustionautres

19 252 19 252 19 252 57 756

LIFETEX. 067 00671 LIFETEXex-Steinheil

Rothau 67 Combustionautres

17 142 17 142 0 34 284

MANUFACTURE FRAN-ÇAISE DES PNEUMA-TIQUES MICHELIN.

072 01374 MFP Michelin Poitiers 86 Combustionautres

21 123 21 123 0 42 246

PNEUMATIQUES KLEBER. 057 01961 KLEBER La Chapelle-Saint-Luc

10 Combustionautres

53 938 53 938 53 938 161 814

SYNDICAT INTERDÉPARTE-MENTAL POUR L’ASSAI-N I S S E M E N T D EL ’ A G G L O M É R A T I O NPARISIENNE (SIAAP).

065 06939 SIAAPSite Seine Aval

Maisons-Laffitte 78 Combustionautres

7 784 10 515 10 515 28 814

UNIVERSITÉ RENNES-I. 055 01498 GEST. COM.DU COMPLE.

UNIVERSITAIRE

Rennes 35 Combustionautres

8 328 16 090 16 090 40 508

A J I N O M O T O E U R OASPARTAME SAS.

070 00481 AJINOMOTOEURO ASPARTAME

Gravelines 59 Combustionchimie

25 856 35 573 38 002 99 431

P O L I M E R I E U R O P AFRANCE SAS.

070 00794 POLIMERI EUROPAFrance SAS

ex-COPENOR

Mardick 59 Combustionchimie

680 763 214 892 214 892 1 110 547

TOTAL PETROCHEMICALSFRANCE.

058 00357 Total PetrochemicalsFrance

Usine de Gonfreville

Gonfreville 76 Combustionchimie

315 504 335 704 335 704 986 912

COMPAGNIE THERMIQUEDE BOIS ROUGE (CTBR).

071 00121 CIE THERMIQUEDE BOIS ROUGE

Saint-André 974 Electricité 826 361 826 361 826 362 2 479 084

ÉLECTRICITÉ DE FRANCE(EDF).

063 01217 EDF centralede Cordemais

Cordemais 44 Electricité 6 137 648 6 293 040 6 293 041 18 723 729

ÉLECTRICITÉ DE FRANCE(EDF).

065 03464 EDF centralede Porcheville

Porcheville 78 Electricité 569 391 1 289 835 1 289 833 3 149 059

ÉLECTRICITÉ DE FRANCE(EDF).

052 00262 EDFCentrale d’Ambès

Ambès 33 Electricité 124 425 0 0 124 425

ÉLECTRICITÉ DE FRANCE(EDF).

070 00509 EDF centralede Dunkerque

Dunkerque 59 Electricité 30 967 0 0 30 967

Page 270: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 11

. .

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

ÉLECTRICITÉ DE FRANCE(EDF).

065 02878 EDFCentrale de Vaires

Vaires-sur-Marne 77 Electricité 720 444 0 0 720 444

ÉLECTRIFICATION RURALEDU CARMAUSIN (SERC).

068 02328 SERC Carmaux 81 Electricité 835 835 835 2 505

COMPAGNIE GÉNÉRALEDES PAPIERS.

056 00393 COMPAGNIEGÉNÉRALE

DES PAPIERS

Coudes 63 Papier 15 095 15 095 0 30 190

EMIN LEYDIER. 061 02584 EMINLEYDIERUsine de

Ferrandinière

Saint-Vallier 26 Papier 17 907 17 907 0 35 814

EMIN LEYDIER. 061 02585 EMINLEYDIERUsine de

Champblain

Saint-Vallier 26 Papier 10 454 10 454 0 20 908

ONDULINE France. 058 01521 ONDULINE Yainville 76 Papier 5 354 5 354 5 354 16 062

OTOR GODARD. 072 01366 OTOR GODARD Iteuil 86 Papier 24 448 24 448 0 48 896

PAPETERIES DE VEUZE. 072 02957 PAPETERIESDE VEUZE

Magnac-sur-Touvre 16 Papier 46 183 53 356 53 356 152 895

SMURFIT PAPIER RECYCLÉFRANCE.

064 00445 SMURFIT ALFAD’AVIGNON

Le Pontet 84 Papier 39 074 39 074 39 074 117 222

TOTAL FRANCE. 058 00297 TOTAL FRANCERaffinerie

de Normandie

Harfleur 76 Raffinage 3 535 127 3 863 938 4 338 128 11 737 193

IMERYS TC. 061 03735 IMERYS TOITURESite Sainte-FoyGDE TUILERIE

DU RHÔNE

Sainte-Foy-l’Argentière

69 Tuileset briques

18 957 30 007 31 478 80 442

IMERYS TC. 061 01210 IMERYSGrande Tuileriedite de Roanne

Mably 42 Tuileset briques

9 297 22 775 26 147 58 219

KORAMIC TUILES. 059 00367 KORAMICex-MIGEON

Lantenne-Vertière 25 Tuileset briques

34 321 35 765 48 599 118 685

KERAGLASS. 065 00049 KERAGLASS Bagneaux-sur-Loing 77 Verre 15 298 17 808 18 160 51 266

NESTLÉ WATERS SUPPLYSUD.

066 00812 VERRERIE DULANGUEDOC ET

COMPAGNIE SNC

Vergèze 30 Verre 106 640 106 640 106 640 319 920

SAINT-GOBAIN ISOVER. 064 00402 ISOVERSAINT-GOBAIN

Orange 84 Verre 41 925 43 947 47 133 133 005

SOCIÉTÉ EUROPÉENNED ’ I S O L A T E U R S E NVERRE ET COMPOSITE(SEDIVER).

056 00099 SEDIVER Saint-Yorre 03 Verre 19 054 19 054 0 38 108

C H A U X E T D O L O M I EFRANÇAISES.

063 01343 CHAUXET DOLOMIEFRANÇAISES

Usine de Neau

Evron 53 Chaux 281 799 281 799 312 549 876 147

Page 271: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 12

. .

NOM EXPLOITANT BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

É L E C T R I C I T É D EFRANCE (EDF).

066 00429 EDFCentrale d’Aramon

Aramon 30 Electricité 217 492 217 492 768 448 1 203 432

S A S C H A U X E TDOLOMIES FRAN-ÇAISES.

063 01630 Les Fours à Chaux Erbray 44 Chaux 30 751 30 751 0 61 502

É L E C T R I C I T É D EFRANCE (EDF).

068 02235 EDFCentrale d’Albi

Albi 81 Electricité 550 955 550 955 0 1 101 910

Art. 3. − Les installations énumérées à l’annexe VI de l’arrêté du 25 février 2005 susvisé sont supprimées deson annexe I.

Art. 4. − L’annexe II de l’arrêté du 25 février 2005 modifié susvisé est supprimée et remplacée par l’annexe IIci-après :

« A N N E X E I I

« EXPLOITANTS ET QUOTAS AFFECTÉS EN APPLICATIONDE L’ARTICLE 4 DU DÉCRET No 2004-832 DU 19 AOÛT 2004 MODIFIÉ

« 1. Nouvelles installations et montant des quotas alloués

NOM EXPLOITANT.BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

L E S P A P E T E R I E S D ECHAMPAGNE.

057 02721 PAPETERIESDE CHAMPAGNE

Nogent-sur-Seine 10 Papier 93 100 93 100 93 100 279 300

SOCIÉTÉ D’EXPLOITATIONDU CHAUFFAGE URBAIND E M A S S Y - A N T O N Y(CURMA).

065 10009 CURMARue Victor-Basch

Massy 91 Chauffageurbain

0 5 488 5 488 10 976

LAFARGE COUVERTURE. 182 00148 LAFARGECOUVERTURE

Tuilerie deLimoux-Massia

Limoux 11 Tuiles etbriques

0 21 465 21 465 42 930

COGESTAR 2. 063 04244 COGESTAR 2Unité de Spay

Spay 72 Combustionexternalisée

0 55 097 55 097 110 194

« 2. Installations ayant fait l’objet d’une augmentation de production et montant des allocations complémentaires

NOM EXPLOITANT.BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

COMPLÉMENT D’ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

COMPAGNIE THERMIQUEDE BOIS ROUGE (CTBR).

071 00121 CIE THERMIQUEDE BOIS ROUGE

Saint-André 974 Electricité 403 000 403 000 403 000 1 209 000

TOTAL PETROCHEMICALSFRANCE.

058 00357 Total PetrochemicalsFrance usine

de Gonfreville

Gonfreville 76 Combustionchimie

0 20 200 20 201 40 401

TOTAL FRANCE. 058 00297 TOTAL FRANCERaffinerie

de Normandie

Harfleur 76 Raffinage 0 328 811 830 001 1 131 812

Page 272: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 13

. .

NOM EXPLOITANT.BASEICPE No ICPE NOM

établissement VILLE DÉP. SECTEUR

COMPLÉMENT D’ALLOCATION

2005(t CO2)

2006(t CO2)

2007(t CO2)

2005-2007(t CO2)

SAINT-GOBAIN ISOVER. 064 00402 ISOVERSAINT-GOBAIN

Orange 84 Verre 0 2 022 5 208 7 230

MONS ÉNERGIE. 070 01213 MONS ENERGIEChaufferie

ZUP de Mons

Mons-en-Barœul 59 Chauffageurbain

0 11 964 11 964 23 928

V & M France. 070 02398 V & M FranceAciérie de

Saint-Saulve

Saint-Saulve 59 Acier 0 2 867 7 021 9 888

CURDEM. 100 02284 ChaufferieZUP Madeleine

Chartres 28 Chauffageurbain

0 2 546 2 546 5 092

A J I N O M O T O E U R OASPARTAME SAS.

070 00481 AJINOMOTOEURO-ASPARTAME

Gravelines 59 Combustionchimie

0 9 717 12 146 21 863

KERAGLASS. 065 00049 KERAGLASS Bagneaux-sur-Loing 77 Verre 0 2 510 2 863 5 373

IMERYS TC. 061 03735 IMERYS TOITURESite Sainte-FoyGDE TUILERIE

DU RHÔNE

Sainte-Foy-l’Argentière

69 Tuileset briques

0 11 050 12 522 23 572

SOCIÉTÉ PAR ACTIONSSIMPLIFIÉE LAITERIE DUVAL D’ANCENIS.

063 00906 LAITERIEDU VAL D’ANCENIS

ex-CANA

Ancenis 44 Combustionagro-

alimentaire

0 226 405 631

TEREOS. 100 01557 TEREOS Artenay 45 Combustionagro-

alimentaire

0 5 193 5 194 10 387

TEREOS. 070 00936 TEREOS Lillers 62 Combustionagro-

alimentaire

0 10 077 10 077 20 154

S O C I É T É A N O N Y M ESUCRERIE DE TOURY ETUSINES ANNEXES.

100 00451 SUCRERIEDE TOURY

Toury 28 Combustionagro-

alimentaire

0 9 361 9 362 18 723

IMERYS TC. 061 01210 IMERYSGrande TuilerieSite de Roanne

Mably 42 Tuileset briques

0 13 478 16 849 30 327

PAPETERIES DE VEUZE. 072 02957 PAPETERIESDE VEUZE

Magnac-sur-Touvre 16 Papier 0 7 173 7 173 14 346

KORAMIC TUILES. 059 00367 KORAMICex-MIGEON

Lantenne-Vertière

25 Tuileset briques

0 1 444 14 279 15 723

UNIVERSITÉ RENNES-I. 055 01498 GEST. COM.DU COMPLE.

UNIVERSITAIRE

Rennes 35 Combustionautres

0 7 762 7 763 15 525

COOPÉRATIVE AGRICOLELAITIÈRE LES MAÎTRESLAITIERS DU COTENTIN.

053 01789 MAÎTRES LAITIERSDU COTENTIN

SOTTEVAST

Sottevast 50 Combustionagro-

alimentaire

0 0 7 312 7 312

COMMUNAUTÉ URBAINEDE BREST.

055 04112 BREST MÉTROPOLEOCÉANE

Chaufferiedu Spernot

Brest 29 Chauffageurbain

0 245 902 1 147

ERASTEELCOMMENTRY.

056 00023 ERASTEEL Commentry 03 Acier 0 6 371 6 371 12 742

Page 273: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 21 / 35 – Page 14

. .

Art. 5. − Le directeur de la prévention des pollutions et des risques est chargé de l’exécution du présent arrêté,qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 28 novembre 2006.

Pour la ministre et par délégation :Le directeur de la prévention des pollutions et des risques,

L. MICHEL

Page 274: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 22 / 35 – Page 1

. .

TEXTES GÉNÉRAUX

Prévention des pollutions et des risques

Arrêté du 15 décembre 2006 modifiant l’arrêté du 29 décembre 2005 portant agrément desorganismes vérificateurs des émissions déclarées dans le cadre du système d’échange dequotas d’émission de gaz à effet de serre

NOR : DEVP0700012A

(Journal officiel du 9 février 2007)

La ministre de l’écologie et du développement durable,Vu la directive 2003/87/CE du Parlement européen et du Conseil du 13 octobre 2003 établissant un système

d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre dans la Communauté et modifiant la directive 96/61/CE duConseil ;

Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 229-6 et L. 229-14 ;Vu le décret no 2004-832 du 19 août 2004, modifié par le décret no 2005-189 du 25 février 2005, pris pour

l’application des articles L. 229-5 à L. 229-19 du code de l’environnement et relatif au système d’échange dequotas d’émission de gaz à effet de serre ;

Vu le décret no 2005-190 du 25 février 2005 approuvant le plan national d’affectation des quotas d’émission degaz à effet de serre pour la période 2005-2007 ;

Vu l’arrêté du 28 juillet 2005 relatif à la vérification et à la quantification des émissions déclarées dans le cadredu système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre ;

Vu l’arrêté du 3 novembre 2005 portant agrément des organismes vérificateurs des émissions déclarées dans lecadre du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre ;

Vu l’arrêté du 29 décembre 2005 portant agrément des organismes vérificateurs des émissions déclarées dans lecadre du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre ;

Vu le procès-verbal de la séance du 27 septembre 2006 de la Commission d’agrément des organismes vérifica-teurs ;

Sur proposition du directeur de la prévention des pollutions et des risques,

Arrête :

Art. 1er. − A l’annexe de l’arrêté du 29 décembre 2005 susvisé, la liste est modifiée ainsi qu’il suit :La ligne concernant la société APAVE alsacienne est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

APAVE alsacienne. 3, rue de l’Euron, BP 1055, 54320 Maxéville - Champ le Bœuf X X X X

La ligne concernant la société SGS Multilab est supprimée et remplacée par la ligne ci-dessous :

SGS Multilab. 7, rue Jean-Mermoz, ZI de Saint-Guénault, 91080 Courcou-ronnes

X X X X X

Art. 2. − Le directeur de la prévention des pollutions et des risques est chargé de l’exécution du présent arrêté,qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 15 décembre 2006.

Pour la ministre et par délégation :Le directeur de la prévention des pollutions et des risques,

délégué aux risques majeurs,L. MICHEL

Page 275: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 23 / 35 – Page 1

. .

TEXTES GÉNÉRAUX

Prévention des pollutions et des risques

Arrêté du 24 janvier 2007 portant habilitation des agents à rechercher et constater des infrac-tions aux dispositions relatives à la dissémination volontaire dans l’environnement deproduits phytopharmaceutiques, de plantes, semences ou plants composés en tout ou partied’organismes génétiquement modifiés

NOR : AGRG0700319A

(Journal officiel du 13 février 2007)

Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la pêche en date du 24 janvier 2007 :M. Crouzert (François), agent contractuel technicien de l’agriculture ;M. Genard (Olivier), ingénieur de l’agriculture et de l’environnement ;Mme Lemaitre (Caroline), ingénieur divisionnaire de l’agriculture et de l’environnement ;M. Loussert (Hervé), technicien principal, spécialité techniques agricoles ;M. Teyssier (Bernard), technicien principal, spécialité techniques agricoles ;M. Trespaille Barraut (Jean-Michel), ingénieur de l’agriculture et de l’environnement ;Mme Valdivieso (Lucile), technicien principal, spécialité techniques agricoles,

sont habilités à rechercher et constater des infractions aux dispositions relatives à la dissémination volontaire dansl’environnement de produits phytopharmaceutiques, de matières fertilisantes et supports de cultures, de plantes,semences ou plants, composés en tout ou partie d’organismes génétiquement modifiés. L’habilitation de ces agentsest valable pendant toute la durée de leur affectation à une direction régionale de l’agriculture et de la forêt(service de la protection des végétaux) ou à une direction de l’agriculture et de la forêt (service de la protectiondes végétaux) de leur résidence administrative ou à la direction générale de l’administration, sous-direction de laqualité et de la protection des végétaux.

Page 276: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 24 / 35 – Page 1

. .

TEXTES GÉNÉRAUX

Prévention des pollutions et des risques

Arrêté du 26 janvier 2007 modifiant l’arrêté du 17 mai 2001 modifié fixantles conditions techniques auxquelles doivent satisfaire les distributions d’énergie électrique

NOR : INDI0709840A

(Journal officiel du 13 février 2007)

Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, la ministre de l’écologie et du déve-loppement durable et le ministre délégué à l’industrie,

Vu la loi du 15 juin 1906 modifiée sur les distributions d’énergie, et notamment l’article 19 ;Vu l’arrêté du 17 mai 2001 modifié fixant les conditions techniques auxquelles doivent satisfaire les distribu-

tions d’énergie électrique ;Vu l’avis du comité technique de l’électricité du 28 janvier 2005 ;Vu l’avis du Conseil supérieur de l’énergie du 18 juillet 2006 ;Sur la proposition du directeur de la demande et des marchés énergétiques,

Arrêtent :

Art. 1er. − Il est inséré après l’article 12 bis de l’arrêté du 17 mai 2001 susvisé un article 12 ter ainsi rédigé :

« Art. 12 ter. − Limitation de l’exposition des tiers au bruit des équipements.Les équipements des postes de transformation et les lignes électriques sont conçus et exploités de sorte que le

bruit qu’ils engendrent, mesuré à l’intérieur des locaux d’habitation, conformément à la norme NFS 31 010 relativeà la caractérisation et au mesurage des bruits de l’environnement, respecte l’une des deux conditions ci-dessous :

a) Le bruit ambiant mesuré, comportant le bruit des installations électriques, est inférieur à 30 dB (A) ;b) L’émergence globale du bruit provenant des installations électriques, mesurée de façon continue, est infé-

rieure à 5 décibels A pendant la période diurne (de 7 heures à 22 heures) et à 3 décibels A pendant la périodenocturne (de 22 heures à 7 heures).

Pour le fonctionnement des matériels de poste, les valeurs admises de l’émergence sont calculées à partir desvaleurs de 5 décibels A pendant la période diurne (de 7 heures à 22 heures) et à 3 décibels A pendant la périodenocturne (de 22 heures à 7 heures), valeurs auxquelles s’ajoute un terme correctif, fonction de la durée cumuléed’apparition du bruit particulier, selon le tableau ci-après :

DURÉE CUMULÉE D’APPARITIONdu bruit particulier : T

TERME CORRECTIFen décibels A

30 secondes < T � 1 minute. 9

1 minute < T � 2 minutes. 8

2 minutes < T � 5 minutes. 7

5 minutes < T � 10 minutes. 6

10 minutes < T � 20 minutes. 5

20 minutes < T � 45 minutes. 4

45 minutes < T � 2 heures. 3

2 heures < T � 4 heures. 2

4 heures < T � 8 heures. 1

T > 8 heures. 0

Page 277: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 24 / 35 – Page 2

. .

L’émergence est définie par la différence entre le niveau de bruit ambiant, comportant le bruit de l’ouvrageélectrique, et celui du bruit résiduel (ensemble des bruits habituels, extérieurs et intérieurs, correspondant àl’occupation normale des locaux et au fonctionnement normal des équipements). »

Art. 2. − Le présent arrêté entrera en vigueur dès sa publication au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 26 janvier 2007.Le ministre délégué à l’industrie,

Pour le ministre et par délégation :

Le directeur général des entreprises,L. ROUSSEAU

Le directeur de la demande et des marchés énergétiques,F. JACQ

Le ministre des transports, de l’équipement,du tourisme et de la mer,

Pour le ministre et par délégation :

Le directeur des affaires stratégiques et techniques,P. SCHWACH

Le directeur des transports ferroviaires et collectifs,P. VIEU

La ministre de l’écologie et du développement durable,Pour la ministre et par délégation :

Le directeur des études économiques et de l’évaluation environnementale,G. SAINTENY

Page 278: Intégralité du bulletin

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 25 / 35 – Page 1

. .

(1) http://www.ecologie.gouv.fr/rubrique.php3?id_rubrique=713.

TEXTES GÉNÉRAUX

Prévention des pollutions et des risques

Circulaire du 28 décembre 2006 relative à la mise à disposition du guide d’élaboration et delecture des études de dangers pour les établissements soumis à autorisation avec servitudeset des fiches d’application des textes réglementaires récents

NOR : DEVP0700019C

(Texte non paru au Journal officiel)

La ministre de l’écologie et du développement durable à Mmes et MM. les préfets.

Réf. : DPPR/SEI2/CB-06-0388.Pièces jointes :– guide d’élaboration et de lecture des études de dangers pour les établissements soumis à autorisation avec

servitudes (révision du guide de 2003) ;– fiche 1 : éléments pour la détermination de la gravité des accidents ;– fiche 2 : phénomènes de dispersion atmosphérique ;– fiche 3 : phénomène d’UVCE (GPL, hors unité) ;– fiche 4 : phénomène de BLEVE (GPL, hors unité) ;– fiche 5 : cotation en probabilité et en gravité des accidents découlant de dispersion toxique et d’UVCE ;– fiche 6 : fuites de tuyauteries : représentation et cotation ;– fiche 7 : mesures de maîtrise des risques fondées sur une activité humaine ;– fiche 8 : traitement particulier de certains événements initiateurs.

La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation desdommages a imposé l’introduction de l’estimation de la probabilité, la gravité et la cinétique au sein des études dedangers remises par les exploitants des installations soumises à autorisation. L’arrêté ministériel du29 septembre 2005 est venu compléter cette exigence législative par la détermination de seuils réglementaires pourapprécier l’intensité des effets physiques des phénomènes dangereux, la gravité des accidents et les classes deprobabilité de ces phénomènes et accidents.

Il m’est apparu utile, pour aider à la rédaction mais aussi à la lecture des documents remis par les exploitants,de réviser le guide des études de dangers pour les établissements soumis à autorisation avec servitudes ainsi quede rédiger des fiches d’application de ces textes réglementaires, qui sont désormais disponibles sur le siteinternet (1) de mon ministère et que vous trouverez en copie dans le présent pli.

Je souhaite insister sur le caractère facultatif de l’utilisation par les exploitants des règles définies dans lesprésentes fiches. En particulier, d’autres règles ou d’autres options peuvent être retenues sous réserve qu’ellessoient :

– conformes aux exigences réglementaires et aux principes généraux exprimés dans les fiches ;– correctement explicitées et justifiées.A contrario, je vous demande de bien vouloir considérer que les études de dangers qui vous seront remises et

qui respecteront les principes de ces fiches sont réalisées selon une méthodologie qui est conforme aux exigencesdes textes réglementaires.

Je vous signale par ailleurs quelques éléments complémentaires relatifs à chacune de ces fiches :

1. Guide d’élaboration et de lecture des études de dangerspour les établissements soumis à autorisation avec servitudes

Ce document, évolution du guide du 25 juin 2003 suite à la publication des textes de 2005, a été élaboré avecle concours d’un groupe de travail constitué de représentants des industriels, des bureaux d’étude, des représen-tants de l’administration au niveau central et dans les services déconcentrés.

Ce guide définit les éléments que l’on doit nécessairement retrouver dans les documents remis par les établisse-ments soumis à autorisation avec servitudes.

Il ne s’agit en aucun cas d’un plan type qu’il faudrait obligatoirement suivre, mais bien d’une série d’éléments àretrouver dans les études de dangers. Pour les installations soumises à autorisation « simple », dans l’attente de lapublication du guide correspondant, il convient de garder à l’esprit le principe de proportionnalité.

Page 279: Intégralité du bulletin

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 25 / 35 – Page 2

. .

(1) CLIC : comités locaux d’information et de consultation, CHSCT : comités d’hygiène de sécurité et des conditions de travail, S3PI : secrétariatspermanents pour la prévention des pollutions industrielles.

2. Fiche no 1 : Eléments pour la détermination de la gravitéL’objectif de cette fiche est de fournir à tous des règles de comptage des personnes se trouvant exposées à des

effets (létaux ou irréversibles) dans les zones qui auront été définies dans une étude de dangers.Comme pour les autres fiches, les exploitants peuvent proposer des méthodologies alternatives pour réaliser ce

comptage, que vous pourrez accepter lorsque leur conformité aux exigences réglementaires est démontrée. Enparticulier, ces méthodologies devront faire apparaître le cas le plus défavorable en terme d’occupation de l’espace(ERP occupé à hauteur de sa capacité d’accueil, etc., sous réserve que le jeu d’hypothèses retenu soit réaliste),afin de répondre à l’exigence de l’arrêté ministériel du 29 septembre 2005 qui impose en son article 10 decompter dans ces zones le nombre de personnes « potentiellement exposées ».

Je rappelle toutefois que ce terme « exposées » permet de ne pas prendre en compte des personnes se trouvantdans ces zones mais dont les plans d’urgence permettent la mise à l’abri ou dont certaines dispositions construc-tives permettent de considérer qu’elles ne sont en réalité pas exposées aux effets redoutés.

La deuxième partie de cette fiche crée une règle de calcul particulière pour les établissements industrielsvoisins. Cette règle constitue un aménagement à ma circulaire du 29 septembre 2005. Prenant en compte la réalitéde la structure industrielle de notre territoire ainsi que la culture du risque des salariés intervenant sur ces sitesindustriels, cette fiche définit des conditions de coopération entre industriels qui conduisent à ne pas prendre encompte certains des travailleurs des établissements voisins dans la détermination de la gravité et donc dansl’appréciation de la démarche de maîtrise des risques telle qu’elle a été précisée dans la circulaire sus-citée(notamment au moyen de la matrice de l’annexe 2, dite « MMR »).

Les accidents concernés seront donc cotés en gravité et placés dans la grille d’appréciation sans tenir compte dela gravité correspondant aux personnes formées et informées.

J’appelle vivement votre attention sur la nécessité de ne pas s’arrêter définitivement pour autant dans ladémarche de réduction du risque à la source pour les phénomènes dont les distances d’effets toucheraientseulement ces travailleurs.

Par ailleurs, je vous rappelle que les principes du règlement du PPRT sont indépendants de la détermination dela gravité. Ainsi, même si la gravité d’un accident est d’un niveau limité par l’absence de prise en compte dessalariés du voisin, si l’aléa est d’un niveau important, des mesures lourdes pourront tout de même être prises dansle cadre du PPRT (mesures foncières par exemple).

3. Fiche no 2 sur la dispersion toxiqueCette fiche, plus technique que « de doctrine » vise à préciser certains aspects des mécanismes de dispersion

atmosphérique et de modélisation.

4. Fiches nos 3 et 4 : UVCE-BLEVECes fiches sont issues des travaux du groupe de travail national relatif au GPL, piloté par la DRIRE Bretagne.

Contrairement aux autres documents joints à cette circulaire, la rédaction des fiches BLEVE et UVCE n’a paspour origine le nouveau contexte réglementaire mais la nécessité pour les inspecteurs des installations classées dedisposer d’une description de ces deux phénomènes dans le cas spécifique des stockages de propane ou butanehors raffinerie et pétrochimie. Elles sont des éléments indispensables pour la lecture des études de dangers maispeuvent être également utilisées par les inspecteurs comme support de communication en CLIC, CHSCT, S3PI (1)par exemple, être notamment utilisées pour expliquer les incertitudes des modélisations (hypothèses, conditionsmétéos, différents modèles,...) et le fait que les valeurs annoncées ne sont qu’un ordre de grandeur.

5. Fiche no 5 : Cotation en probabilité et en gravité des accidentsdécoulant de dispersion toxique et d’UVCE

Cette fiche donne des propositions pour sélectionner des accidents représentatifs lors de l’apparition incontrôléed’un nuage de gaz (toxique ou inflammable) alors qu’il n’est pas possible a priori de connaître les conditions devent (stabilité, vitesse, direction) qui prévaudront le jour de l’accident. Comme pour la fiche no 1, l’exploitant peutproposer d’autres options de détermination des accidents représentatifs, pour peu que le cas le plus défavorable enterme de gravité apparaisse d’une façon ou d’une autre. Si plusieurs accidents possibles sont représentés parl’exploitant, doivent apparaître a minima le cas le pire et le cas le plus probable.

8. Fiche no 6 relative aux tuyauteriesCette fiche s’appuie sur les réflexions menées par le groupe de travail Etudes de dangers auprès du CSIC.

L’esprit de cette fiche est différent de celui des fiches présentées ci-dessus. Elle a en effet pour vocation deprésenter une méthode possible de représentation et cotation des phénomènes dangereux et accidents pouvant seproduire sur les tuyauteries. Elle pourra notamment servir de méthode type lorsque l’exploitant ne dispose pasd’autre référentiel. Elle n’a cependant aucune vocation universelle et vous pourrez accepter d’autres méthodo-logies.

6. Fiche no 7 : Mesures de maîtrise des risques fondées sur une intervention humaineLa réglementation permet de prendre en compte, aux côtés des mesures des maîtrise des risques fondées sur des

dispositifs techniques, les mesures intégrant une ou plusieurs interventions humaines.

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Il m’est apparu pertinent de définir certains principes pour leur prise en compte et leur évaluation, au regard del’extrême diversité des situations rencontrées, et des études qui ont été réalisées sur ce sujet très complexe.

Ainsi, la fiche relative aux mesures de maîtrise des risques fondées sur une intervention humaine apporte deséléments permettant de retenir une mesure de sécurité pour l’évaluation de la probabilité, en se basant sur lescritères mentionnés à l’article 4 de l’arrêté ministériel du 29 septembre 2005 : efficacité, cinétique, testabilité etmaintenance. Ella apporte aussi des critères d’appréciation de la fiabilité de ces mesures, en explicitant les facteurs(formation, communication entre opérateurs, conditions de travail, etc.) qui peuvent influencer ces performances.

Je rappelle toutefois que les exploitants, sous réserve de justification suffisante, peuvent formuler des proposi-tions différant des indications données dans cette fiche.

7. Fiche no 8 : Traitement particulier de certains événements initiateurs

Certains événements initiateurs d’accidents ont toujours été considérés de façon spécifique dans notre régle-mentation (notamment les agressions naturelles) au travers de normes reconnues au niveau national. L’objet decette fiche est d’indiquer une méthodologie pour les prendre en compte de façon appropriée dans le nouveaucontexte réglementaire.

Par ailleurs, dans la mesure où ils ne sont pas compatibles avec la nouvelle démarche d’analyse et de gestion durisque, les textes prescrivant des distances d’isolement sont en cours de révision par mes services.

Je vous rappelle également que la circulaire du 29 septembre 2005 relative aux critères d’appréciation de ladémarche de maîtrise des risques d’accidents susceptibles de survenir dans les établissements dits « Seveso »,visés par l’arrêté du 10 mai 2000 modifié a été publiée au Bulletin officiel du ministère de l’écologie et du déve-loppement durable (BOMEDD) le 15 novembre 2005 avec un rectificatif au BOMEDD du 30 janvier 2006.

Je vous prie de bien vouloir me rendre compte sous le timbre du directeur de la prévention des pollutions et desrisques, des éventuelles difficultés que soulèverait l’application de ces principes.

Pour la ministre et par délégation :Le directeur de la préventiondes pollutions et des risques,délégué aux risques majeurs,

LAURENT MICHEL

PRINCIPES GÉNÉRAUX POUR L’ÉLABORATION ET LA LECTURE DES ÉTUDES DE DANGERS DESINSTALLATIONS CLASSÉES SOUMISES À AUTORISATION AVEC SERVITUDES D’UTILITÉPUBLIQUE (28 DÉCEMBRE 2006)

SOMMAIREObjet d’une étude de dangers .........................................................................................................................................Contenu d’une étude de dangers ....................................................................................................................................1. Description et caractérisation de l’environnement ....................................................................................................2. Description des installations et de leur fonctionnement ..........................................................................................3. Identification et caractérisation des potentiels de danger ........................................................................................4. Réduction des potentiels de danger ..........................................................................................................................5. Enseignements tirés du retour d’expérience (des accidents et incidents représentatifs) ......................................6. Evaluation des risques ................................................................................................................................................

6.1. Analyse préliminaire .........................................................................................................................................6.2. Etude détaillée de réduction des risques .......................................................................................................

7. Caractérisation et classement des différents phénomènes et accidents, tenant compte de l’efficacité des mesuresde prévention et de protection ................................................................................................................................

8. Représentation cartographique ....................................................................................................................................9. Résumé non technique de l’étude de dangers .........................................................................................................Annexe 1 : identification et caractérisation des potentiels de danger .........................................................................Annexe 2 : présentation des phénomènes dangereux ayant des effets externes à l’établissement en vue de la carto-

graphie de l’aléa ......................................................................................................................................................Annexe 3 : fiches complémentaires ................................................................................................................................

Avertissement : ce document doit être lu à la lumière du glossaire relatif aux risques technologiques diffusé le7 octobre 2005.

Il reprend, au fil du texte, les obligations réglementaires générales relatives aux études de dangers des installa-tions soumises à autorisation avec servitudes d’utilité publique, dans le code de l’environnement, ledécret no 77-1133 du 21 septembre 1977 modifié et l’arrêté ministériel du 10 mai 2000 modifié, mais ne tient pascompte des éventuelles réglementations sectorielles applicables. Des fiches visant à préciser certaines parties de cedocument lui sont associées (dispersion atmosphérique de produits toxiques, BLEVE, UVCE, comptage despersonnes pour la détermination de la gravité, hypothèse pour la cartographie des phénomènes de dispersion etleur cotation en probabilité-gravité, prise en compte des fuites sur les tuyauteries, mesures de maîtrise des risquesfondées sur une activité humaine, traitement spécifique de certains évènements initiateurs...)

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Objet d’une étude de dangersLes extraits, ci-dessous, de certaines exigences légales et réglementaires donnent l’esprit dans lequel les études

de dangers doivent être réalisées :L. 512-1 du code de l’environnement (CE) :« [L’étude de dangers] précise les risques auxquels l’installation peut exposer, directement ou indirectement,

les intérêts visés au L. 511-1 CE en cas d’accident, que la cause soit interne ou externe à l’installation. Le contenude l’étude de dangers doit être en relation avec l’importance des risques engendrés par l’installation.

En tant que de besoin, cette étude donne lieu à une analyse de risques qui prend en compte la probabilitéd’occurrence, la cinétique et la gravité des accidents selon une méthodologie qu’elle explicite.

Elle définit et justifie les mesures propres à réduire la probabilité et les effets de ces accidents. »Pour les installations soumises à autorisation avec servitudes, cette analyse de risques est indispensable (cf. AM

10 mai 2000 modifié).Elle a donc pour objet de rendre compte de l’examen effectué par l’exploitant pour caractériser, analyser,

évaluer, prévenir et réduire les risques d’une installation ou d’un groupe d’installations situé dans un envi-ronnement industriel, naturel et humain défini, autant que technologiquement réalisable et économiquement accep-table, que leurs causes soient intrinsèques aux substances ou matières utilisées, liées aux procédés mis en œuvredans l’installation, à la gestion de l’établissement ou dues à la proximité d’autres risques d’origine interne ouexterne à l’installation.

Décret no 77-1133 modifié (art. 3, 5o) :« Elle justifie que le projet permet d’atteindre, dans des conditions économiquement acceptables, un niveau de

risque aussi bas que possible, compte-tenu de l’état des connaissances et des pratiques et de la vulnérabilité del’environnement de l’installation. »

AM 10/05/2000 modifié (art. 4) :« Elle expose les objectifs de sécurité poursuivis par l’exploitant, la démarche et les moyens pour y parvenir.

Elle décrit les mesures d’ordre technique et les mesures d’organisation et de gestion pertinentes propres à réduirela probabilité et les effets des phénomènes et à agir sur leur cinétique.

Elle justifie les éventuels écarts par rapport aux référentiels professionnels de bonnes pratiques reconnus,lorsque ces derniers existent ou, à défaut, par rapport aux installations récentes de nature comparable. Ellejustifie que l’exploitant mette en œuvre toutes les mesures de maîtrise du risque internes à l’établissement, dont lecoût n’est pas disproportionné par rapport aux bénéfices attendus soit en termes de sécurité globale de l’instal-lation, soit en termes de sécurité pour les intérêts visés à l’article L. 511-1 CE ou de coût de mesures évitées pourla collectivité. »

Décret no 77-1133 modifié (art. 3, 5o) :« Le contenu de l’étude de dangers doit être en relation avec l’importance des risques engendrés par l’instal-

lation, compte tenu de son environnement et de la vulnérabilité des intérêts mentionnés aux articles L. 211-1 etL. 511-1 CE. »

Le choix de la méthode d’analyse utilisée est libre, mais celle-ci doit être adaptée à la nature et à la complexitédes installations et de leurs risques. Le soin apporté à leur analyse et à la justification des mesures de prévention,de protection et d’intervention doit être d’autant plus important que les conséquences des accidents possibles sontgraves pour les personnes exposées ou l’environnement.

Articulation avec l’analyse de risques :Fondée sur les principes d’amélioration continue du niveau de sécurité des installations, et instruite par l’ins-

pection des installations classées, l’étude de dangers est basée sur l’analyse des risques. Ses versions successivesproposent ou prennent en compte les évolutions des installations et de leur mode d’exploitation, ainsi que lesévolutions de l’environnement et des connaissances techniques et scientifiques, le cas échéant, notamment àl’occasion des réexamens imposés par la réglementation.

AM 10/05/2000 modifié (art. 4) :« L’analyse de risques, au sens de l’article L. 512-1 CE, constitue une démarche d’identification et de réduction

des risques réalisés sous la responsabilité de l’exploitant. Elle décrit les scénarios qui conduisent aux phénomènesdangereux et accidents potentiels. Aucun scénario ne doit être ignoré ou exclu sans justification préalableexplicite.

Cette démarche d’analyse de risques vise principalement à qualifier ou quantifier le niveau de maîtrise desrisques, en évaluant les mesures de sécurité mises en place par l’exploitant, ainsi que l’importance des dispositifset dispositions d’exploitation, techniques, humains ou organisationnels, qui concourent à cette maîtrise.

Elle porte sur l’ensemble des modes de fonctionnement envisageables pour les installations, y compris lesphases transitoires, les interventions ou modifications prévisibles susceptibles d’affecter la sécurité, les marchesdégradées prévisibles, de manière d’autant plus approfondie que les risques ou les dangers sont importants. Elleconduit l’exploitant des installations à identifier et hiérarchiser les points critiques en termes de sécurité, en réfé-rence aux bonnes pratiques ainsi qu’au retour d’expérience de toute nature.

L’étude de dangers contient les principaux éléments de l’analyse de risques, sans la reproduire. »L’analyse de risques peut être réalisée conjointement dans un objectif de sécurité des installations vis-à-vis du

risque d’accident majeur (au sens de l’arrêté du 10 mai 2000 modifié) et du risque pour les travailleurs, lesrésultats étant ensuite repris respectivement dans l’étude de dangers et dans les documents requis par le code dutravail.

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AM 10/05/2000 modifié (art. 8) :« Les études de dangers sont établies en cohérence avec, d’une part, la politique de prévention des accidents

majeurs mentionnée à l’article 4 et, d’autre part, le système de gestion de la sécurité prévu à l’article 7 ».D. no 77-1133 modifié (art. 3, 5o) :« Dans le cas des installations [AS], l’étude de dangers est réexaminée et, si nécessaire, mise à jour au moins

tous les cinq ans, sans préjudice de l’application des dispositions de l’article 18 du présent décret. L’étude dedangers mise à jour est transmise au préfet. »

AM 10/05/2000 modifié (art. 4) :« L’étude de dangers mentionne le nom des rédacteurs et/ou des organismes compétents ayant participé à son

élaboration.Pour les nouvelles demandes d’autorisation, l’étude de dangers est réalisée dans un document unique à l’éta-

blissement éventuellement complété par des documents se rapportant aux différentes installations concernées. »Le fait que certains processus réglementaires dépendent de l’étude de dangers rend nécessaire que son contenu

permette de :● Autoriser et réglementer la ou les installations dont elle est l’objet après examen du caractère suffisant ou

non du niveau de maîtrise des risques (en référence à la circulaire du 29 septembre 2005 relative aux critèresd’appréciation de la démarche de maîtrise des risques d’accidents susceptibles de survenir dans les établissementsdits « Seveso » visés par l’arrêté du 10 mai 2000 modifié) ;

● Procéder à l’information préventive sur les risques des tiers et des exploitants des installations classéesvoisines (pour la prise en compte d’éventuels effets dominos), ainsi qu’à la consultation du CHSCT ;

● Favoriser l’émergence d’une culture partagée du risque au voisinage des établissements dans le cadre de lamise en place de comités locaux d’information et de concertation (CLIC) ;

● Servir de base à l’élaboration des servitudes d’utilité publiques, des plans de prévention des risques tech-nologiques (PPRT) et à la définition de règles d’urbanisation ;

● Estimer les dommages matériels potentiels aux tiers ;● Elaborer les plans d’urgence : les plans d’opérations interne (POI), les plans particuliers d’intervention (PPI) :D. no 77-1133 (art. 3, 5o) :« [L’étude de dangers] précise notamment, compte tenu des moyens de secours publics portés à sa connais-

sance, la nature et l’organisation des moyens de secours privés dont le demandeur [l’exploitant] dispose ou dontil s’est assuré le concours en vue de combattre les effets d’un éventuel sinistre. Dans le cas des installations [AS],le demandeur doit fournir les éléments indispensables pour l’élaboration par les autorités publiques d’un planparticulier d’intervention. »

Contenu d’une étude de dangers

Sans rappeler ici ni le détail des obligations réglementaires ni les méthodes ou guides d’élaboration disponibles,toute étude de dangers doit s’appuyer sur une description suffisante des installations, de leur voisinage et de leurzone d’implantation. Elle doit présenter les mesures techniques et organisationnelles de maîtrise des risques etexpliciter un certain nombre de points clés fondés sur une démarche d’analyse des risques :

– Description et caractérisation de l’environnement (et plans associés) ;– Description des installations et de leur fonctionnement ;– Présentation du système de gestion de la sécurité (SGS) et lien avec l’EDD ;– Identification et caractérisation des potentiels de danger ;– Réduction des potentiels de dangers ;– Enseignements tirés du retour d’expérience (des accidents et incidents représentatifs) ;– Evaluation des risques ;– Caractérisation et classement des différents phénomènes et des accidents potentiels en termes

d’intensité des effets des phénomènes, de gravité des conséquences des accidents, de probabilité et decinétique de développement en tenant compte des performances des mesures de prévention et deprotection ;

– Evolutions et mesures d’amélioration proposées par l’exploitant ;– Représentation cartographique ;– Résumé non technique de l’étude de dangers.

Les principaux points sont développés ci-dessous. Tous les points énumérés ci-dessus doivent être traités dansune étude de dangers, ceci n’en constitue pas pour autant un « plan type ».

1. Description et caractérisation de l’environnement

Le périmètre couvert par l’étude de dangers doit être précisé (établissement complet ou unité[s]). L’envi-ronnement du site doit être décrit, tant en tant que source potentielle d’agression (aléas naturels, installationsvoisines, voies de circulation...) que comme « cible » des effets engendrés par le site (occupation des sols, milieunaturel, installations voisines...). Ces descriptions doivent être accompagnées de cartes à une échelle adaptée. Ladescription des populations doit être menée de façon à permettre de déterminer la gravité des accidents (voir ficheno 1 « Eléments pour la détermination de la gravité des accidents »).

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(1) AM 10/05/2000 : certains événements externes pouvant provoquer des accidents majeurs peuvent ne pas être pris en compte dans l’étude dedangers et notamment, en l’absence de règles ou instructions spécifiques, les événements suivants :

Chute de météorite ;Séismes d’amplitude supérieure aux séismes maximaux de référence éventuellement corrigés de facteurs, tels que définis par la réglementation,

applicable aux installations classées considérées (les séismes d’amplitude inférieure restent des causes possibles, à examiner dans l’analyse derisques, et les installations doivent être dimensionnées en conséquence) ;

Crues d’amplitude supérieure à la crue de référence, selon les règles en vigueur 1 ;Evénements climatiques d’intensité supérieure aux événements historiquement connus ou prévisibles pouvant affecter l’installation, selon les

règles en vigueur.Chute d’avion hors des zones de proximité d’aéroport ou aérodrome ;Rupture de barrage visé par la circulaire 70-15 du 14 août 1970 relative aux barrages intéressant la sécurité publique ;Actes de malveillance.

Les aléas naturels de référence réglementaires (séisme, inondation...) doivent bien évidemment être décrits (enintensité, en fréquence et cinétique le cas échéant) pour être pris en compte comme source d’agression dansl’analyse de risques (voir fiche no 8 « Traitement spécifique de certains évènements initiateurs »).

2. Description des installations et de leur fonctionnementCette description doit être accompagnée de tous documents cartographiques utiles à une échelle adaptée : cartes

de localisation du site, des installations, plans de masse des installations (unités, stockages, postes et canalisationsde transfert, aire d’attente des moyens mobiles de transport...), schéma des réseaux (incendie, eaux usées,utilités...) voire plans relatifs à certaines dispositions (murs coupe-feu, réseaux de capteurs, rideaux d’eau..). Leséquipements sensibles internes au site seront mentionnés et positionnés sur les cartes (autres unités à risques aveceffets dominos, salle de contrôle, équipements de lutte contre l’incendie tels que caserne, pomperie...).

3. Identification et caractérisation des potentiels de dangerLes potentiels de danger des installations seront identifiés et caractérisés comme décrit en annexe 1, sans

omettre ceux liés aux modes d’approvisionnement et d’acheminement des matières susceptibles d’être la caused’accident (wagons, camions, tuyauteries...), une source ou une cible d’effets dominos. La localisation de cespotentiels sur une carte du site est recommandée (lieux de stockage et de mise en œuvre de matières dange-reuses,...). Tous les équipements susceptibles en cas de défaillance de conduire à des effets de nature à porteratteinte aux intérêts visés à l’article L. 511-1 du code de l’environnement seront décrits.

4. Réduction des potentiels de dangerUn examen technico-économique visant à :1. supprimer ou substituer aux procédés et aux produits dangereux, à l’origine de ces dangers potentiels, des

procédés ou produits présentant des dangers moindres (propriétés des produits, conditions de procédés moinsdangereuses, simplification du système...) ;

2. réduire le potentiel présent sur le site sans augmenter les risques par ailleurs (notamment modification desmodes de stockages, d’approvisionnement du site ou des ateliers sans augmentation de la fréquence d’un risque liéau transport de matières dangereuses [TMD]...). Une justification de la quantité de matière susceptible d’êtreprésente sur site par rapport aux besoins du process peut se révéler nécessaire, sera conduit et les principalesconclusions seront fournies, en particulier en référence aux référentiels de bonnes pratiques (du secteur d’activité)s’ils existent. L’exploitant motivera les choix techniques et économiques conduisant à envisager ou à poursuivre lamise en œuvre de substances dangereuses et de procédés présentant des dangers, notamment par comparaison auxmeilleures techniques disponibles.

5. Enseignements tirés du retour d’expérience(des accidents et incidents représentatifs)

Les événements pertinents relatifs à la sûreté de fonctionnement survenus sur le site et sur d’autres sites mettanten œuvre des installations, des substances et des procédés comparables seront recensés. L’étude de dangersprécisera les mesures d’améliorations possibles (techniques et organisationnelles) que l’analyse de ces incidents,accidents ou accidents évités de justesse a conduit à mettre en œuvre ou à envisager, ainsi que les enseignementstirés du retour d’expérience positif sur les éléments/dispositifs qui ont « fait leurs preuves ». Des éléments destatistique sur l’occurrence des phénomènes dangereux par type d’installation comparable pour les installationsnombreuses peuvent être utiles pour les comparer à l’évaluation analytique de la probabilité sur le site. Ceséléments comporteront utilement la description des phénomènes et, si possible, des distances d’effets associés etdes équipements concernés. Une attention particulière sera apportée à la justification de la représentativité de ceséléments.

6. Evaluation des risquesLa méthodologie retenue dans l’étude de dangers pour analyser les accidents potentiels doit être explicitée dans

celle-ci. Lorsque le site est couvert par plusieurs études de dangers, l’exploitant doit s’assurer et s’engager surl’exhaustivité du recensement des dangers présentés par les installations et leur analyse ainsi que sur la cohérencedes ses études de dangers. En mentionnant la liste des études qui couvrent le site, il fait mention des effetsdominos internes renvoyant le cas échéant et en tant que de besoin sur les diverses études.

L’analyse de risques, nécessaire pour les établissements classés Seveso, a fortiori AS, sera conduite sous laresponsabilité de l’exploitant, par un groupe de travail multidisciplinaire regroupant a minima du personnelprocédés, de la production, de la maintenance, du service sécurité ou assimilé, selon une méthode globale, adaptéeaux installations et à leur contexte, proportionnée aux enjeux, itérative. Elle doit permettre d’identifier toutes lescauses (1) susceptibles d’être, directement ou par effet dominos, à l’origine d’un accident majeur tel que défini parl’arrêté ministériel du 10 mai 2000 relatif à la prévention des accidents majeurs et les scénarios correspondants(combinaisons pouvant y mener).

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(1) Mesures de prévention/limitation/protection/intervention susceptibles d’être mises en œuvre par l’exploitent à l’intérieur de son établisse-ment pour réduire la probabilité ou les effets d’un phénomène.

(2) Cette circulaire permet aux services du préfet, ici l’inspection des installations classées, de porter un jugement sur le niveau de maîtrise durisque. Elle peut néanmoins servir de référence à l’exploitant dans sa démarche de réduction du risque.

(3) Par exemple, défaillance de l’ensemble détection + traitement de l’information + fermeture automatique d’une vanne, menant à une disper-sion de produit plus importante que si cette mesure avait fonctionné. Dans ce cas, deux phénomènes sont à examiner : la dispersion maîtrisée, avec laprobabilité associée à la fuite, et la dispersion non maîtrisée, avec une probabilité plus faible, tenant compte de la probabilité de défaillance du sys-tème de détection-fermeture.

L’étude de dangers doit justifier que les conjonctions d’événements simples ont bien été prises en compte dansl’identification des causes d’accidents majeurs. La méthode de cotation (classification) des risques retenue, lagrille de criticité choisie le cas échéant et utilisée pour la réalisation de l’analyse des risques ainsi que les règlesde changement de classe (décote) de la probabilité d’occurrence ou/et de la gravité des conséquences d’évène-ments redoutés en fonction des mesures de maîtrise des risques mises en place seront décrites et justifiées.

Les phénomènes de très grande ampleur, même de probabilité très faible (qui seront utilisés pour l’élaborationdes plans de secours externes, PPI) doivent être pris en compte. Il est rappelé que, pour ces phénomènes, il n’estpas tenu compte des mesures de maîtrise des risques. En revanche, il est tenu compte des limites physiquesréalistes référencées par le retour d’expérience et dans les méthodes de calcul en usage (fraction de la quantité denitrate d’ammonium impliquée dans une explosion ou de GPL impliquée dans un BLEVE ou de liquide inflam-mable dans un Boil-Over par exemple).

6.1. Analyse préliminaire

En se basant sur les dangers identifiés à l’étape 3 et en confrontant aux données issues de l’accidentologie,l’exploitant réalise une première cotation des phénomènes identifiés (en probabilité, intensité des effets, cinétiquede développement et le cas échéant gravité des conséquences des accidents correspondants).

Ce classement donne lieu à une identification de phénomènes nécessitant une analyse plus détaillée de tous lesscénarios pouvant y conduire. Ceux s’accompagnant d’effets de grande ampleur, quelle que soit leur probabilité,font l’objet d’une analyse de réduction complémentaire des risques à la source, fondée sur l’état de l’art, et ce,même s’ils n’ont pas été recensés dans l’accidentologie.

6.2. Etude détaillée de réduction des risques

A partir des scénarios menant aux phénomènes et accidents nécessitant une analyse plus détaillée tels qu’iden-tifiés dans l’étape précédente, une démarche itérative de réduction des risques à la source (1) sera menée jusqu’àatteindre un niveau de risque résiduel qui sera comparé aux critères cités dans la circulaire du29 septembre 2005 (2).

Si cette démarche faisait apparaître de nouveaux scénarios qui n’auraient pas été identifiés dans la phase préa-lable, ceux-ci seraient alors réintroduits dans le processus d’analyse des risques.

NB : le fait de tenir compte des mesures de maîtrise des risques ne signifie pas que leur fonctionnement estsystématique : il convient de tenir compte également de leur possibilité de défaillance, avec la probabilité associée,et du phénomène (moins bien maîtrisé) qui peut en découler (et de l’accident correspondant) (3).

Les éléments de maîtrise des risques doivent être recensés et décrits dans l’étude de dangers, à savoir :– les mesures de prévention adoptées à la conception et lors des modifications pour en réduire la probabilité

d’occurrence ; les écarts justifiés par rapport aux bonnes pratiques (standards, règles professionnelles,...) ;– les mesures de limitation des effets, de protection et d’intervention dont l’exploitant s’est assuré la maîtrise

pour en limiter la gravité des conséquences sur les populations et sur l’environnement ou pour en ralentir lacinétique ;

– les dispositions de surveillance et de conduite appliquées pour l’exploitation afin d’anticiper les évènements ;– l’organisation et l’application du SGS et la simplicité des procédures et du fonctionnement.Les performances des mesures de maîtrise des risques seront examinées avec un soin particulier, sans omettre

l’analyse des modes communs de défaillance pour l’ensemble des phases d’exploitation des installations. Unejustification proportionnée (en référence à l’article 4 de l’arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à laprise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des consé-quences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classées soumis à autorisation) estfournie. Pour chaque phénomène (et chaque scénario susceptible d’y mener), l’équilibre entre les moyens deprévention, de limitation des effets et d’intervention retenus sera vérifié.

Cette démarche vise à supprimer les causes des événements redoutés ou en réduire la probabilité d’occurrenceou en réduire les effets par le choix de moyens prenant en considération les pratiques et techniques disponiblesainsi que leur économie.

Ces deux étapes, préliminaire et détaillée, sont très liées et ne sont pas nécessairement réalisées en deux temps.Elles font usuellement appel à des méthodes d’analyses différentes. Cette étude détaillée de réduction des risquesaboutit à une seconde cotation des phénomènes identifiés comme critiques avec les mesures de maîtrise desrisques retenues.

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(1) Dans l’étude de dangers, l’exploitant explicite le cas échéant la relation entre la grille figurant en annexe V de l’arrêté du 10 mai 2000 modifié etcelles, éventuellement différentes, utilisées dans son analyse de risque.

7. Caractérisation et classement des différents phénomènes et accidents,tenant compte de l’efficacité des mesures de prévention et de protection

Cette caractérisation des phénomènes et accidents doit être conduite en référence à l’arrêté du 29 septembre 2005relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effetset de la gravité des conséquences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classéessoumises à autorisation.

La réduction des risques jusqu’à « atteindre, dans des conditions économiquement acceptables, un niveau derisque aussi bas que possible, compte tenu de l’état des connaissances et des pratiques et de la vulnérabilité del’environnement de l’installation (art. 3-5 du décret no 77-1133 modifié) » doit rester l’objectif à atteindre.

En tenant compte des mesures de maîtrise des risques dont les performances sont compatibles avec les scénariosconduisant aux phénomènes, mais aussi des cas de défaillance possibles et de la cinétique des événements envi-sagés sur l’ensemble des phénomènes dangereux résultant de l’analyse détaillée et représentatifs de la typologiedes phénomènes possibles, l’étude de dangers :

– évalue les effets (types d’effets, distances) et conséquences (populations et autres intérêts visés au L. 511-1CE affectés...) et les probabilités d’occurrence des différents phénomènes et accidents correspondants, ainsique leur cinétique ;

– présente un classement des accidents correspondants (positionnement dans la grille gravité-probabilité définiedans l’arrêté du 10 mai 2000 modifié) (1).

Tous les phénomènes susceptibles d’engendrer des effets à l’extérieur de l’établissement doivent être cotés etles accidents correspondants placés dans la grille.

AM 10/05/2000 modifié :« L’étude de dangers doit contenir, dans un paragraphe spécifique, le positionnement des accidents potentiels

susceptibles d’affecter les personnes à l’extérieur de l’établissement selon la grille2 de l’AM ».L’ensemble des phénomènes et leurs caractéristiques (probabilité, intensité et cinétique de chacun de ces phéno-

mènes) seront présentés dans une liste, sous la forme d’un tableau respectant le formalisme décrit en annexe 2. Cetableau servira à l’établissement de la carte d’aléa, par l’inspection, en vue du PPRT. Il sera utile, pour les phéno-mènes susceptibles d’être écartés du PPRT, de mentionner les mesures de maîtrise des risques permettantd’appliquer les critères de l’annexe 2 de la circulaire du 3 octobre 2005.

En effet, l’étude de dangers est le document qui sert de base, notamment, à l’application par l’inspection desinstallations classées de la démarche décrite dans la circulaire du 29 septembre 2005 relative aux critères d’appré-ciation de la démarche de maîtrise des risques d’accidents susceptibles de survenir dans les établissements dits« Seveso », visés par l’arrêté du 10 mai 2000 modifié, ainsi qu’à la détermination de l’aléa.

8. Représentation cartographique

L’étude doit fournir une cartographie des zones d’effets avec un jeu de cartes par type d’effet (thermique,toxique, surpression, et éventuellement projections). Chaque jeu comporte une carte par niveau de probabilité,représentant les zones délimitées par les seuils d’effets sur l’homme déterminés dans l’arrêté du 29 septembre 2005pour les installations couvertes par l’étude de dangers (maximum 5*3 [voire 4, avec les projections] cartes de 3 à4 courbes). Pour les établissements couverts par plusieurs étude de dangers, il est recommandé de produireégalement une carte globale pour l’établissement (et non uniquement par unité). Afin de percevoir les possiblescombinaisons d’effets, il est conseillé d’utiliser la même échelle pour les différents types d’effets. Dans la mesuredu possible, il est conseillé d’éviter d’utiliser les mêmes couleurs que pour les cartes d’aléa. On placera sur cettereprésentation les points à l’origine desquels sont tracées les distances d’effets.

9. Résumé non technique de l’étude de dangers

(D-77) : « L’étude comporte, notamment, un résumé non technique explicitant la probabilité, la cinétique et leszones d’effets des accidents potentiels, ainsi qu’une cartographie des zones de risques significatifs. »

Ce résumé fait apparaître, outre une description sommaire de l’activité de l’établissement, la situation actuellerésultant de l’analyse des risques et son évolution éventuelle (dans le cas d’installations existantes), sous uneforme didactique. Le résumé comporte également une présentation du plan d’améliorations avec les délais.

Ce résumé est joint au dossier de demande d’autorisation ou à l’étude de dangers dans le cas d’une révisionquinquennale. Il comporte une cartographie relative aux effets des phénomènes dangereux telle que décrite auparagraphe 8.

Il présente également un classement des accidents dont les conséquences sur les personnes dépassent les limitesde l’établissement en fonction de l’estimation de leur probabilité d’occurrence, de la gravité de leur conséquence,tenant compte de leur cinétique de développement, selon la grille annexée à l’arrêté du 10 mai 2000 modifié. Ildistingue les accidents dont la probabilité est extrêmement faible ou dont la cinétique est suffisamment lente pourpermettre la mise en œuvre de mesures de secours suffisantes pour la mise en sécurité des personnes.

Ces éléments seront fournis aux autorités respectivement en charge de l’élaboration des documents d’urbanisme,des plans de secours et de l’information du public. Ce résumé a vocation à être communiqué à des personnes nonspécialistes, à être présenté au CLIC et à permettre une concertation en amont de l’élaboration du PPRT.

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A N N E X E 1

IDENTIFICATION ET CARACTÉRISATION DES POTENTIELS DE DANGER

Lorsque cela sera pertinent dans le contexte de l’étude de dangers l’exploitant fournira pour leur identificationet leur caractérisation :

– les quantités et caractéristiques pertinentes des produits, des sous-produits et des déchets susceptibles d’êtreprésents, notamment les seuils et la situation par rapport à la nomenclature des installations classées (pour lesrévisions d’EDD, comparaison par rapport aux rubriques autorisées de l’établissement), les principalesdonnées (point éclair, tension de vapeur, seuils SELS, SEL et SEI, etc.) concernant ces produits, des sous-produits et des déchets, leur localisation et leurs modalités de fabrication/stockage/ utilisation ;

– les fiches de données de sécurité des substances, produits, préparations... susceptibles d’être présents ou destableaux de synthèses ;

– une analyse de ces fiches sous forme de tableaux synthétiques faisant apparaître les phrases de risques R et Sdécoulant de l’article 231-51 du code du travail ;

– les caractéristiques pertinentes et l’ordre de grandeur des quantités d’éventuels produits de décomposition oude combustion ainsi que des substances et matières susceptibles d’être générées par une dérive réactionnelleainsi qu’une caractérisation des dangers correspondants ;

– un tableau faisant apparaître les incompatibilités entre les produits d’une part (y compris utilités), et entre lesproduits et les matériaux d’autre part ;

– une description des dangers liés à la mise en œuvre de réactions chimiques et aux procédés opérés (exother-micité..) ainsi que les réactions secondaires susceptibles d’en découler ;

– pour les équipements dont la dangerosité n’est pas liée aux produits mais principalement aux conditions defonctionnement tels qu’équipements à haute pression ou haute température, les caractéristiques de ces équipe-ments (température, pression de service et de calcul, vitesse de rotation pour les machines tournantes...).

Pour faciliter la perception des potentiels de dangers, susceptibles de provoquer des effets directs ou indirectssur les intérêts à protéger, l’exploitant les représentera sur un plan d’ensemble du site de l’usine et de son envi-ronnement sous une forme permettant une appréciation visuelle rapide de la situation et des effets « dominos »potentiels.

Par ailleurs, une comparaison par rapport aux quantités autorisées par arrêtés préfectoraux, par rubrique de lanomenclature, pourra être utile.

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A N N E X E 2

PRÉSENTATION DES PHÉNOMÈNES DANGEREUX AYANT DES EFFETS EXTERNESÀ L’ÉTABLISSEMENT EN VUE DE LA CARTOGRAPHIE DE L’ALÉA

Afin que l’inspection des installations classées puisse procéder à la cartographie de l’aléa, il est demandé auxexploitants de présenter la liste des phénomènes dangereux dont les effets sortent de l’établissement (que ceux-ciatteignent des intérêts vulnérables ou non) susceptibles de survenir dans l’établissement sous la forme d’un tableursuivant les règles décrites ci-dessous, sans changer l’ordre des colonnes (exemple page suivante) :

Colonne A : no du phénomène dangereux (arbitraire).Colonne B : « commentaire » : description sommaire du phénomène (fuite isolée en 5 minutes sur cana 2”, fuite

au dépotage, feux de cuvette, BLEVE, Boil Over...) et de son lieu d’occurrence (bac x, réacteur y).Colonne C : cotation de la probabilité du phénomène (selon l’échelle de A à E de l’arrêté du

29 septembre 2005).Colonne D : type d’effet (thermique, toxique, surpression) : un phénomène ayant deux types d’effet

(ex. BLEVE : effets thermiques et de surpression) apparaîtra donc deux fois dans le tableau : une ligne par typed’effet.

Colonne E : distance correspondant au seuil des effets létaux significatifs par rapport au lieu d’occurrence duphénomène (= « danger très grave pour la vie humaine » tel que décrit à l’article L. 515-16 du CE).

Colonne F : distance (en mètres) correspondant au seuil des effets létaux par rapport au lieu d’occurrence duphénomène (= « danger grave pour la vie humaine » tel que décret à l’article L. 515-16 du CE).

Colonne G : distance (en mètres correspondant au seuil des effets irréversibles par rapport au lieu d’occurrencedu phénomène (= « danger significatif pour la vie humaine » tel que décrit à l’article L. 515-16 du CE).

Colonne H : distance (en mètres) au seuil de 20 mbars pour les phénomènes engendrant des effets de pression.Si le phénomène ne provoque pas de surpression, indiquer une distance nulle.

Colonne 1 : caractérisation de la cinétique, de manière binaire (rapide ou lente), sachant que s’il n’est paspossible de mettre à l’abri les personnes, la cinétique est considérée comme rapide.

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A N N E X E 3

Fiches complémentaires

NUMÉROde la fiche TITRE DE LA FICHE

1 Eléments pour la détermination de la gravité des accidents

2 Dispersion atmosphérique

3 UVCE (fiche du GT GPL)

4 BLEVE (fiche du GT GPL)

5 Phénomènes de dispersion atmosphérique : représentation et cotation en probabilité/gravité

6 Fuites de tuyauteries : représentation et cotation

7 Mesures de maîtrise des risques fondées sur une intervention humaine

8 Traitement spécifique de certains événements initiateurs

EDD : ÉLÉMENTS POUR LA DÉTERMINATION DE LA GRAVITÉ DES ACCIDENTS

Afin de déterminer la gravité potentielle d’un accident dans les études de dangers des installations soumises àautorisation, et en particulier des établissements Seveso (c’est-à-dire les établissements relevant de l’arrêté du10 mai 2000 modifié), il est nécessaire de pouvoir compter aussi simplement que possible, selon des règles forfai-taires, le nombre de personnes exposées.

Cette fiche constitue une indication d’une méthode possible pour la détermination de la gravité. D’autresapproches sont possibles à condition d’être raisonnablement conservatoires et d’être expliquées dans l’EDD.S’agissant ici de déterminer la gravité des accidents, cette fiche n’a aucun lien avec la démarche PPRT (détermi-nation de l’aléa, règles d’urbanisme...)

Principe général

L’arrêté ministériel du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilitéd’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents potentielsdans les études de dangers des installations classées soumises à autorisation (appelé dans la suite de la fiche« arrêté PCIG ») prescrit la détermination du nombre de personnes potentiellement exposées (« en tenant compte,le cas échéant, des mesures constructives visant à protéger les personnes contre certains effets et de la possibilitéde mise à l’abri des personnes en cas d’accident si la cinétique de l’accident le permet »). Il convient donc, quelleque soit la méthodologie retenue, de faire apparaître (éventuellement parmi d’autres) l’accident le plus pénalisanten terme de gravité.

Dans la mesure où il n’est pas possible de prévoir les conditions de l’environnement le jour où se produiral’accident (direction du vent, vacances scolaires, heure d’encombrement sur les routes, etc.), une première possi-bilité simple sera à chaque fois de considérer un accident représentatif présentant :

– la gravité la plus pénalisante (ex. : routes encombrées, écoles aux heures scolaires...) ;– la probabilité prise égale à celle du phénomène dangereux.On peut aussi retenir un jeu d’hypothèses décrivant plusieurs accidents, parmi lesquels doit figurer l’accident à

la gravité la plus pénalisante (auquel sera ici associée une probabilité plus faible pour tenir compte de la directiondu vent, ou de la probabilité qu’il y ait des bouchons, etc.)

Pour ce qui est de la prise en compte des conditions météorologiques pour la détermination de la gravité, ilconvient de se reporter à la fiche no 5 relative à la représentation et cotation en probabilité-gravité des phénomènesde dispersion atmosphérique.

1. Méthodologie de comptage des personnespour la détermination de la gravité des accidents

Les paragraphes 1.1 à 1.7 sont principalement utiles pour les établissements Seveso ; pour les installations A nonincluses dans un établissement Seveso, il convient de se reporter au paragraphe 1.8.

1.1. Zones d’effets et identification des ensembles homogènes

Déterminer la surface des zones d’effets sortant du site pour chaque type d’effet.

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Dans chaque zone couverte par les effets d’un phénomène dangereux issu de l’analyse de risque, identifier lesensembles homogènes (ERP, zones habitées, zones industrielles, commerces, voies de circulation, terrains nonbâtis...) et en déterminer la surface (pour les terrains non bâtis, les zones d’habitat) et/ou la longueur (pour lesvoies de circulation).

Remarque : il convient d’éviter de compter plusieurs fois une personne selon qu’elle se trouve, par exemple, surson lieu de travail ou dans son logement. Pour chaque accident envisagé, elle doit alors être comptée uniquementdans la zone où elle est soumise à l’intensité la plus élevée. En première approche toutefois, cette précision peutêtre omise.

1.2. Etablissements Recevant du Public (ERP)

Compter les ERP (bâtiments d’enseignement, de service public, de soins, de loisir, religieux, grands centrescommerciaux, etc.) en fonction de leur capacité d’accueil (au sens des catégories du code de la construction et del’habitation), le cas échéant sans compter leurs routes d’accès (cf. paragraphe 1.5).

Les commerces et ERP de catégorie 5 dont la capacité n’est pas définie peuvent être traités de la façonsuivante :

– compter 10 personnes par magasin de détail de proximité (boulangerie et autre alimentation, presse, coiffeur) ;– compter 15 personnes pour les tabacs, cafés, restaurants, supérettes, bureaux de poste.Les chiffres précédents peuvent être remplacés par des chiffres issus du retour d’expérience local pour peu

qu’ils restent représentatifs du maximum de personnes présentes et que la source du chiffre soit soigneusementjustifiée.

1.3. Zones d’activités

Zones d’activités (industries et autres activités ne recevant pas habituellement de public) : prendre lenombre de salariés (ou le nombre maximal de personnes présentes simultanément dans le cas de travail enéquipes), le cas échéant sans compter leurs routes d’accès.

1.4. Logements

Pour les logements : compter la moyenne INSEE par logement (par défaut : 2,5 personnes), sauf si les donnéeslocales indiquent un autre chiffre.

A défaut de données précises sur les logements, on peut également suivre une règle forfaitaire simplifiée (appli-cable en milieu urbain et périurbain, hors centres villes et grandes agglomérations), quitte à affiner si besoin :

TYPE D’HABITAT NOMBRE DE PERSONNES À L’HECTARE

Individuel dispersé 40

Pavillonnaire dense 100

Collectif � R + 2 400 - 600

Collectif Immeuble � R + 2 600-1 000

1.5. Voies de circulation

Les voies de circulation n’ont à être prises en considération que si elles sont empruntées par un nombre signifi-catif de personnes qui ne sont pas déjà comptées parmi les personnes exposées dans d’autres catégories d’installa-tions (en tant qu’habitation, commerce, etc.) situées dans la même zone d’effets, les temps de séjours en zoneexposée étant généralement très supérieurs aux temps de trajets. Il en est de même des commerces de proximité,écoles (1), mairies... majoritairement fréquentées par des personnes habitant la zone considérée.

L’étude de dangers doit toutefois au moins lister toutes ces voies de circulation.

1.5.1. Voies de circulation automobile

Option 1 : si l’axe de circulation concerné est susceptible de connaître des embouteillages fréquemment pourd’autres causes qu’un accident de la route ou qu’un événement exceptionnel du même type, compter 300 personnespermanentes par voie de circulation et par kilomètre exposé. (exemple : autoroute à 2 fois 3 voies : compter1 800 personnes permanentes par kilomètre).

Sinon compter 0,4 personne permanente par km exposé par tranche de 100 véhicules/jour.Exemple : 20 000 véhicules/j sur une zone de 2 km = 0,4 × 2 × 20 000/100 = 160 personnes.Option 2 : une autre méthode de comptage pourrait être utilisée par l’industriel, sous réserve d’une justification

(par exemple sur la base de la vitesse limite autorisée sur la voie considérée...).

1.5.2. Voies ferroviaires

Train de voyageurs : compter 1 train équivalent à 100 véhicules (soit 0,4 personne exposée en permanence parkm et par train), en comptant le nombre réel de trains circulant quotidiennement sur la voie.

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1.5.3. Voies navigables

Compter 0,1 personne permanente par km exposé et par péniche/jour.

1.5.4. Chemins et voies piétonnes

Les chemins et voies piétonnes ne sont pas à prendre en compte, sauf pour les chemins de randonnée, car lespersonnes les fréquentant sont généralement déjà comptées comme habitants ou salariés exposés.

Pour les chemins de promenade, de randonnée : compter 2 personnes pour 1 km par tranche de 100 prome-neurs/jour en moyenne.

1.6. Terrains non bâtis

Terrains non aménagés et très peu fréquentés (champs, prairies, forêts, friches, marais...) : compter 1 personnepar tranche de 100 ha.

Terrains aménagés mais peu fréquentés (jardins et zones horticoles, vignes, zones de pêche, gares detriage...) : compter 1 personne par tranche de 10 hectares.

Terrains aménagés et potentiellement fréquentés ou très fréquentés (parkings, parcs et jardins publics, zonesde baignades surveillées, terrains de sport [sans gradins]...) : compter la capacité du terrain et a minima10 personnes à l’hectare.

Dans les cas de figure précédents, le nombre de personnes exposées devra en tout état de cause être au moinségal à 1, sauf démonstration de l’impossibilité d’accès ou de l’interdiction d’accès.

1.7. Cas spéciaux (occupations extrêmement temporaires)

Ce genre de cas, tels que les manifestations regroupant un très grand nombre de personnes pendant quelquesjours par an (festival des inter-celtiques de Lorient, Francofolies de La Rochelle,...) est à compter à part.

Il est en effet très difficile de tenir compte de ces variations d’occupation très fortes. De manière intuitive, il estpeu satisfaisant (et ingérable) de prendre la moyenne d’occupation comme de prendre le maximum d’occupation.

Il est conseillé de ne pas les évaluer en tant que tel dans la gravité, mais de consacrer un paragraphe spécial àla manifestation considérée, en prévoyant des mesures spéciales (pré-activation du PPI ou arrêt/activité réduite del’entreprise pendant la durée de la manifestation [pas de dépotage...] ou interdiction de la manifestation...).

Les mesures mises en œuvre lors de cet événement doivent toutefois être soigneusement et précisément décritesdans l’étude de dangers, et il conviendra de chercher à éviter que de telles manifestations importantes se déroulentà proximité de l’installation à risques.

1.8. Cas des études de dangers réalisées pour des installations Anon incluses dans un établissement classé Seveso

Pour ces installations, les règles peuvent être encore plus simples, on peut donc partir sur des estimations trèsforfaitaires de nombre de personnes à l’hectare selon le type de zone :

Rural : habitat très peu dense à 20 p/ha. Semi-rural : 40-50 p/ha. Urbain 400-600 p/ha/. Urbain dense :1 000 p/ha.

Cette estimation ne dispense toutefois pas d’ajouter la contribution des voies de circulation et des zones d’acti-vités.

(1) Maternelles et primaires.

2. Cas particulier des salariés des entreprises voisines ou des sous-traitants

2.1. Sous-traitants

Les sous-traitants intervenant dans l’établissement (ou installation) et pour le compte de l’exploitant réalisantl’étude de dangers ne sont pas à considérer comme des tiers au sens du code de l’environnement. Ils ne corres-pondent à aucun des intérêts visés à l’article L. 511-1 du code de l’environnement. Il n’en va évidemment pas demême pour les installations et équipements que ces entreprises peuvent posséder hors des limites de l’établis-sement ; dans ce cas, se référer au paragraphe suivant.

2.2. Entreprises voisines

Un cas particulier peut être considéré pour la détermination de la gravité d’un accident potentiel, vis-à-vis despersonnes travaillant dans les entreprises voisines.

On peut considérer que ces personnes sont, du fait de leur niveau d’information et de leur proximité industrielleavec le site à l’origine du risque, moins vulnérables que la population au sens général et donc moins exposées (ausens de l’AM « PCIG » du 29 septembre 2005).

Dans la suite de cette partie, l’exploitant à l’origine du risque sera appelé X et l’entreprise voisine seraappelée Y.

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Il est proposé d’accepter le comptage suivant :Les personnes travaillant dans l’entreprise Y peuvent ne pas être comptées comme exposées au sens de l’arrêté

« PCIG » du 29 septembre 2005 si et seulement si les conditions suivantes sont remplies :1. L’exploitant X et l’entreprise Y disposent d’un POI ou l’entreprise Y est incluse dans le POI élaboré par

l’exploitant X.2. Les deux POI (lorsque Y n’est pas incluse dans le POI de X) sont rendus cohérents notamment :a. par l’existence dans le POI de Y de la description des mesures à prendre en cas d’accident chez X ;b. par l’existence d’un dispositif d’alerte/de communication permettant de déclencher rapidement l’alerte chez Y

en cas d’activation du POI chez X ;c. par une information mutuelle lors de la modification d’un des deux POI ;d. le cas échéant, par la précision duquel des chefs d’établissement prend la direction des secours avant le

déclenchement éventuel du PPI ;e. par une communication par X auprès de Y sur les retours d’expérience susceptibles d’avoir un impact

chez Y ;f. par une rencontre régulière des deux chefs d’établissements ou de leurs représentants chargés des plans

d’urgence.3. Un exercice commun de POI est organisé régulièrement.

NB : au-delà de ces règles forfaitaires de comptage et des actions menées pour éviter que les salariés ne soientexposés, il est néanmoins vivement conseillé de mettre en place des dispositions constructives permettent d’assurer laprotection physique de ces salariés (ex. : salle de contrôle blast-proof).

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(1) Rupture d’une canalisation à X % de section contenant le produit Y avec une durée de fuite de Z minutes.

LA DISPERSION ATMOSPHÉRIQUE

RAPPEL PRÉLIMINAIRE

Le terme dispersion atmosphérique peut désigner soit un phénomène dangereux tel que défini dans le glossairetechnique des risques technologiques (1) (1er octobre 2005 – MEDD), soit le phénomène physique c’est-à-dire lesmécanismes physiques de mélange d’une substance dans l’air de l’atmosphère. La dispersion atmosphériquecorrespond au devenir d’un nuage de produit dangereux (substance inflammable, toxique...) dans le temps et dansl’espace. Dans le cadre de la présente fiche et sauf mention contraire, le terme de dispersion atmosphériquedésigne les mécanismes physiques qui peuvent être modélisés.

1. Introduction/démarche

Le but de cette fiche est de préciser et d’expliquer les paramètres à prendre en compte dans la démarche et dansles résultats de la modélisation des effets de dispersion, afin de la comprendre et pour y porter un regard critique(logique et cohérence de la démarche).

La modélisation des effets des phénomènes dangereux a deux objectifs. Elle permet certes d’évaluer lesdistances d’effets demandées par la réglementation dans une étude de dangers (EDD) mais aussi et surtout deconforter des choix techniques (par exemple la conception d’un réseau de capteurs – nombre et positionnement –d’une chaîne de détection de fuite afin d’optimiser la cinétique de détection/réaction). La figure 1 illustre ladémarche de modélisation d’une dispersion atmosphérique.

Etapes de la modélisation pour une EDD

Figure 1 : les étapes de la modélisation pour une EDD [INERIS]

2. Théorie

La modélisation des effets d’un phénomène accidentel comprend trois composantes, à savoir les modélisationsdu « terme source », de la « propagation » de cette source dans l’environnement et l’effet sur les « cibles ».

La dispersion atmosphérique d’un produit rejeté accidentellement dépend essentiellement :– des caractéristiques de la source d’émission (énergie cinétique, direction du rejet, densité du produit rejeté,

durée de la fuite, conditions de la fuite...) ;– des conditions météorologiques comme la vitesse du vent, la stabilité de l’atmosphère, l’hygrométrie, la

température ambiante ;– des conditions orographiques, c’est-à-dire essentiellement l’état de « rugosité » du sol qui varie selon qu’il

s’agisse d’un champ cultivé, d’une forêt, d’une zone industrielle...Différents processus dont l’importance relative dépend des conditions de rejet entrent en jeu et agissent simulta-

nément ou successivement. Ces différents mécanismes physiques sont présentés dans un rapport INERIS [1]. Cerapport souligne les grandeurs qui vont dimensionner l’évaluation des effets qui en résultent.

2.1. Terme source

En amont de la modélisation de la dispersion atmosphérique d’une substance, il convient généralement de carac-tériser un « terme source ».

On entend par « terme source », tout ce qui conditionne la formation du nuage dangereux, c’est-à-dire les carac-téristiques de la source d’émission initiale éventuellement modifiées par le champ proche. Par exemple, la sourced’émission initiale est caractérisée par le type de produit (état physique, quantité), sa pression, sa température qui

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(1) On peut citer à titre d’exemple d’une détermination forfaitaire : assurer que, quelle que soit la brèche initiale, la fraction flashée aura une éva-poration de 30 %, le reste faisant une flaque au sol.

(2) On peut citer à titre d’exemple la détermination par le calcul via un outil intégral d’un débit d’aérosol (vitesse et débit moyen des gouttelettes,etc.) pour un rejet di-phasique.

(3) On peut citer à titre d’exemple la prise en compte de la taille des gouttelettes et de leur vitesse, la prise en compte de rejets impactants, etc. Cesmodélisations très fines du terme source requièrent généralement des outils développés spécifiquement pour ce type d’étude.

(4) Pour un débit constant, l’air dilue plus facilement le rejet si la section de fuite est faible.

conditionnent le débit, l’état physique et la vitesse à la brèche, etc. Son « environnement proche » est par exemplela présence d’un mur (jet dit « impactant »), d’un local de confinement, etc. qui influencent directement le devenirdu terme source initial (devenir de la fraction liquide, évaporation de flaque, etc.).

Il faut souligner l’importance de la quantification du terme source. Quel que soit l’outil de calcul utilisé, lacaractérisation du terme source doit être la meilleure possible. En effet, le phénomène physique qui en résulte (ladispersion atmosphérique en l’occurrence) ne peut être correctement appréhendé si le terme source n’a pas étébien évalué.

Généralement, la détermination du terme source peut s’effectuer soit forfaitairement (1), soit de manière spéci-fique (par exemple via l’utilisation d’un outil intégral qui caractérise le terme source (2). A l’heure actuelle etcompte tenu des avancées en termes de codes de calculs, une détermination forfaitaire du terme source est demoins en moins adaptée.

Il est à noter que se développent actuellement des caractérisations plus poussées du terme source afin d’affinerles calculs (3). A ce stade, cela concerne souvent des études spécifiques (compléments d’EDD) où des précisionssont recherchées, par exemple pour conforter des choix techniques. Pour plus d’information, le lecteur se reporterautilement au rapport INERIS relatif à la détermination du terme source [2].

Figure 2 : exemple d’éléments constituant un terme source [INERIS]Indépendamment des caractéristiques propres du fluide, les paramètres les plus importants pour définir la typo-

logie d’un rejet sont :– le débit massique de fuite pour un rejet continu ou la quantité totale rejetée pour un rejet instantané ;– la vitesse du rejet : plus la vitesse de rejet est grande, plus vite le polluant est dilué dans l’air ;– la section principale de fuite : plus cette section est faible, plus le débit sera petit (4) – toutes conditions

égales par ailleurs.

Nota : dans le cas d’une rupture guillotine, deux débits sont à prendre en compte (cf. 4.2.v.).

Cas particulier du confinement :Dans le cas d’un rejet en milieu confiné, le jet va probablement impacter des obstacles. Le comportement de

l’ensemble diffère de celui d’un rejet en milieu libre. Il faut non seulement étudier les fuites par la cheminéed’extraction, mais aussi les fuites par les interstices du bâtiment, qui peuvent être significatives si l’extraction estinsuffisante ou hors service [2]. Ce terme source est souvent occulté ou mal pris en compte car il nécessite une bonnecompréhension des phénomènes et parce que les modèles intégraux considèrent seulement le régime permanent de lafuite. La bonne prise en compte du confinement requiert une modélisation très fine du terme source et par conséquentun outil adapté, souvent développé spécifiquement. Le temps de fuite à l’intérieur du confinement peut être différentdu temps de rejet du confinement.

Ainsi, il est important de vérifier les hypothèses retenues dans ce cas particulier. Pour se rendre compte « rapi-dement » si un confinement a été « correctement » envisagé, il convient dans un premier temps de comparer le débitde fuite au débit d’extraction ; dans le cas où l’extraction ne permet pas de couvrir la fuite, de s’assurer que les fuitesau niveau des parois ont été prises en compte. Il convient également de s’assurer des conditions d’extraction(l’extraction dure-t-elle suffisamment longtemps ? Est-elle asservie à un capteur ? Quel est le délai pour atteindre ledébit d’extraction maximal ?, etc.).

La figure 3 indique le principe de calcul de la dose pour un rejet impactant et confiné.

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(1) Les paramètres de température extérieure et de taux d’humidité ont généralement, et sauf cas particuliers (ex. HF), une importance moindreau regard des incertitudes globales des modélisations. On pourra se référer à ce sujet à l’étude INERIS en référence [9].

Figure 3 : principe de calcul de la dose pour un rejet impactant et confiné [INERIS]

2.2. Dispersion

La dispersion atmosphérique caractérise le devenir, dans le temps et dans l’espace d’un ensemble de particules(aérosols, gaz, poussières) rejetées dans l’atmosphère. Elle caractérise donc la façon dont le nuage est transporté etdilué (effets de turbulence, gravité,...).

Les deux phénomènes physiques régissant l’évolution du nuage dans l’atmosphère sont le déplacement du nuageet la dilution du nuage.

L’évolution du nuage dans l’atmosphère est principalement régie par :– la densité du nuage par rapport à l’air (gaz léger/lourd/neutre) ;– les conditions de rejet : durée du rejet (continu – instantané), dilution du nuage – entraînement d’air

(quantité de mouvement initiale, cisaillement du champ de vent), géométrie de la source (ponctuelle – surfa-cique), hauteur du rejet (sol – altitude), échanges thermiques ;

– les conditions météorologiques : vitesse du vent et stabilité atmosphérique (1) ;– les conditions orographiques : obstacles, rugosité, relief, occupation du sol.La difficulté majeure en dispersion atmosphérique est que, généralement, chaque grandeur influant sur le

phénomène a deux actions antagonistes : il est donc très difficile de déterminer a priori si la variation d’un para-mètre dans un sens va plutôt aller dans le sens d’une approche conservatrice ou non.

3. Modélisation : outils de calcul

Trois principales familles d’outils de calcul existent. Elles sont citées ci-après par ordre de complexitécroissant :

– les modèles gaussiens qui permettent d’estimer la dispersion des gaz neutres ou passifs de masse volumiquetrès proche de celle de l’air ;

– les modèles intégraux à utiliser dès que le rejet perturbe l’écoulement atmosphérique de l’air.Pour la modélisation des nuages de gaz passifs (dès leur rejet ou après une dilution suffisamment importante),

l’outil intégral utilise un modèle gaussien ;– les modèles CFD (Computational Fluid Dynamics), parfois appelés outils 3D, qui permettent de résoudre les

équations de la mécanique des fluides.Il appartient à l’exploitant de s’assurer de l’adaptation du niveau de complexité de l’outil aux méca-

nismes physiques à modéliser et au contexte. L’inspection des installations classées vérifie si le modèle choisiest adapté au rejet considéré et à son environnement.

3.1. Modèles gaussiens

3.1.1. Généralités

Un modèle gaussien permet de modéliser la dispersion d’un gaz du fait de la seule action du fluide porteur,l’air. Le transport et la diffusion du gaz vont alors dépendre du vent et de la turbulence atmosphérique d’originemécanique ou thermique.

3.1.2. Domaine de validité

Le modèle gaussien s’applique aux rejets de gaz neutres ou passifs. Le produit rejeté doit donc avoir : unedensité à peu près égale à celle de l’air (ou bien il est très dilué) ; une température identique à celle de l’air et unevitesse initiale relative nulle. Il existe cependant des gaussiens « améliorés » qui savent prendre en compte lesmécanismes supplémentaires de dépôts de particules et les fumées d’incendie.

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La diffusion moléculaire est négligée devant la diffusion turbulente, la vitesse du vent doit donc être d’aumoins 1 à 2 m/s. Dans la plupart des cas, le champ de vent est uniforme avec un profil vertical constant.

La turbulence atmosphérique est prise en compte par l’intermédiaire de classes de stabilité. Elle est prisehomogène et isotrope.

Le terrain doit être homogène et plat. En effet, la présence de reliefs, d’obstacles (murs, bâtiments...) intro-duirait des perturbations importantes de l’écoulement de l’air qui ne sont pas pris en compte par ces modèles. Enpratique, les résultats sont valables pour des distances supérieures au moins à 100 mètres depuis le point de rejet,les modèles gaussiens n’ayant pas été validés dans la première centaine de mètres.

Par ailleurs, au-delà de la dizaine de kilomètres, les résultats présentent plus d’incertitudes car d’autres phéno-mènes de turbulence et de diffusion doivent être considérés.

3.1.3. Limites et écueils à éviterIl faut rappeler que les modèles gaussiens s’attachent à modéliser la dispersion à partir d’équations paramétrées

et simplifiées. De fait, la qualité de ce type de modèle est conditionnée par les éléments suivants :– la direction et la vitesse du vent doit être constante ;– pas de présence de reliefs, d’obstacles (murs, bâtiments...) ;– le nuage ne doit pas être trop éloigné du sol ;– distances en général supérieures à 100 mètres et inférieures à 10 kilomètres.

3.2. Modèles intégraux

3.2.1. GénéralitésL’emploi d’un modèle intégral permet de modéliser les mécanismes physiques suivants qui ne peuvent être

considérés avec un modèle gaussien :– les effets de la dynamique des rejets à même d’engendrer une turbulence spécifique, pour les rejets sous

forme de jet à grande vitesse d’émission ;– les effets de gravité, pour les rejets de gaz lourds ;– les effets de flottabilité pour les rejets de gaz légers.Ce type de modèle est basé sur des équations de la mécanique des fluides simplifiées pour permettre une réso-

lution rapide. Cette simplification se traduit par l’introduction de paramètres représentant globalement les méca-nismes non modélisés. A cet effet, les coefficients des modèles intégraux sont « calés » sur des expérimentations.Pour la modélisation des nuages de gaz passifs, l’outil intégral utilise un modèle gaussien.

Les modèles intégraux comprennent, dans la plupart des cas, un module de calcul permettant de déterminer defaçon plus ou moins forfaitaire le terme source de rejet en fonction des conditions de stockage du produit et dutype de rejet (rupture guillotine, ruine du réservoir, évaporation de flaque...).

Information : les logiciels PHAST, GALON, CAMEO, EFFECTS (TNO)... sont des modèles de type intégral.

3.2.2. Domaine de validitéCe type de modèle s’applique aux gaz neutres, aux gaz denses et parfois aux gaz légers (pour les versions les

plus récentes des logiciels). La turbulence atmosphérique est prise en compte par l’intermédiaire de classes destabilité atmosphérique, pour éviter une modélisation lourde de la turbulence.

Le terrain est supposé homogène et idéalement plat afin de ne pas introduire des perturbations complexes del’écoulement de l’air. Les caractéristiques du terrain sont définies sous la forme d’une seule hauteur de rugositépour toute la région du rejet.

Le champ de vent est uniforme. Dans la plupart des cas, le profil vertical du vent est retenu comme constant.Des outils plus élaborés peuvent considérer la variation de la vitesse du vent, de la température de l’air et de ladensité de l’atmosphère avec l’altitude. Une couche d’inversion de température peut parfois aussi être prise encompte.

Comme pour les modèles gaussiens, au-delà de la dizaine de kilomètres, les résultats ne sont plus valables card’autres phénomènes de turbulence et de diffusion doivent être considérés.

3.2.3. Limitations et écueils à éviterOutre les limitations citées précédemment pour les modèles gaussiens, le choix et l’établissement des paramètres

utilisés pour simplifier les équations de la mécanique des fluides conditionnent la qualité de ce modèle. Uninconvénient majeur est de supposer de fait des terrains soit plats et libres, soit caractérisés par leur seulerugosité ; cela ne permet pas de modéliser les interactions nuage/sillage d’obstacle.

Enfin, il faut souligner que des erreurs issues du code ou une mise en équation des mécanismes physiques nonréaliste peuvent être masquées par l’utilisation de ces paramètres.

3.3. Modèles CFD tridimensionnels

3.3.1. GénéralitésLes modèles numériques tridimensionnels (Computational Fluid Dynamics) permettent de simuler les rejets de

gaz en prenant en compte l’ensemble des phénomènes intervenant de façon significative sur la dispersion, qu’ilssoient liés à l’atmosphère comme la turbulence thermique, ou au site comme les obstacles ou le relief.

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Information : les logiciels Pheonics, Fluidyn Panair, CFX, Fluent, Aria risk, StarCD, FLACS... sont desmodèles de type CFD 3D.

3.3.2. Domaine de validité

Ce type d’outil est basé sur la résolution des équations de la mécanique des fluides. Les simplifications deséquations de la mécanique des fluides sont beaucoup moins poussées que celles effectuées dans les modèles inté-graux. La validation de certains outils CFD peut nécessiter un calage empirique de quelques paramètres.

Les outils CFD tridimensionnels ont un champ d’application étendu et prennent en compte les débits variableset sources multiples.

La modélisation tridimensionnelle apporte des informations qualitatives en plus des résultats quantitatifs.

3.3.3. Limites et écueils à éviter

En pratique, les outils de calcul CFD tridimensionnels ne permettent pas toujours de calculer le terme source.Le terme source doit donc être évalué avec un autre outil. Dans ce cas, les données d’entrée de ce terme sourcedoivent être traduites le plus fidèlement possible dans l’outil de calcul CFD. Par ailleurs, la plupart des outils CFDtridimensionnels ne peuvent traiter directement les mécanismes liés à des rejets diphasiques. Dans de telles situa-tions, c’est un terme source « équivalent » totalement gazeux qui est fourni comme donnée d’entrée, ce qui exigeune bonne connaissance des mécanismes d’évolution des phases liquides lors de leur rejet accidentel et peut êtreune source d’erreur importante. L’utilisation de ce type d’outil nécessite du personnel « spécialisé », du matérielde calcul performant et surtout des données complètes et précises dont l’acquisition est indispensable pour lamodélisation. La précision dépend de la méthode de résolution (différences finies, volumes finis, éléments finis),du maillage utilisé et de la manière d’utiliser les modèles (critère d’arrêt – de convergence).

(1) A titre d’exemple, il est contre-productif d’utiliser un modèle CFD pour modéliser une fuite de gaz liquéfié sile phénomène d’aérosols n’est pas pris en compte dans la détermination du terme source.

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3.4. Tableau « récapitulatif » avantages/inconvénients

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(1) Tel que défini dans le glossaire technique des risques technologiques – octobre 2005 – MEDD.

4. Eléments d’appréciation. – Lecture critiquede la modélisation d’un phénomène (1) de dispersion atmosphérique

4.1. Examiner l’état physique initial du fluide diphasique

Attention : dans le cas d’un stockage d’un gaz liquéfié sous pression, une fuite par une soupape conduit géné-ralement à une fuite en phase vapeur mais pas systématiquement. Dans certains cas, on peut assister à une fuite detype diphasique qui doit être prise en compte de manière spécifique [2].

Figure 4 : les différents états physiques et devenir de l’émission d’un produit

4.2. Evaluation du terme source

Il convient de s’assurer que les éléments ci-dessous ont été examinés dans la démarche retenue par l’exploitant :i. Quelle est la base de données qui a servi pour rentrer les caractéristiques du produit ?

a) Propriétés physico-chimiques ;b) Toxicité (seuils – temps d’exposition) cf. fiche toxique FAQ.

ii. Mode de rejet : rejet instantané, continu ou à des débits variables ?iii. Prise en compte des reliefs et des obstacles ?iv. Rejets biphasiques/prise en compte du confinement (possible)/Diamètre de fuite maximum ?/Conditions de

pression, de température, phase des fluides ?v. Alimentation du rejet par l’amont et l’aval de l’écoulement nominal ?vi. Lieu de fuite ? (très important : le mauvais positionnement de la brèche peut donner une modélisation qui

n’a rien à voir !).vii. Devenir de la phase liquide ?viii. Comportement de la fuite dans le temps ? (débit, confinement, etc.).ix. Comportement des pompes et compresseurs en cas de perte de charge soudaine ?x. Durée de la fuite : possibilités d’isolement, asservissement à des vannes et temps de réponse de celles-ci et

cinétique de mise en œuvre de la chaîne de sécurité (détection, alarme, action)...

4.3. Quid des conditions météo ?

Dans le cadre des études de dangers, les conditions de stabilité atmosphériques généralement retenues pour desrejets au niveau du sol sont de type D (neutre) et F (très stable) au sens de Pasquill, respectivement associées àdes vitesses de vent de 5 et 3 m/s.

Dans certaines configurations de rejet et particulièrement pour les rejets en altitude (cheminée), les conditionsdéfavorables peuvent être différentes de celles caractérisées par le couple (F, 3 m/s) généralement admisescomme conduisant aux distances les plus pénalisantes pour les rejets à proximité du sol.

En effet, de façon succincte, lorsqu’une atmosphère est instable (classes A et B de Pasquill), la dispersionatmosphérique verticale est favorisée. Le panache qui se forme est toutefois très ouvert. En conséquence, une partimportante du produit émis se disperse vers le sol. Il en résulte que, malgré l’élévation initiale, les concentrationsen polluants, au sol, peuvent être importantes.

A l’opposé, lorsqu’une atmosphère est stable, son aptitude à diffuser verticalement un polluant est faible. Lepanache formé reste très peu ouvert. La dispersion s’opère donc en altitude et les concentrations de polluants, ausol, sont relativement faibles.

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De ce fait, pour chacun des phénomènes, les conditions météorologiques figurant ci-après peuvent être consi-dérées :

CONDITIONS STABILITÉatmosphérique

VITESSES DU VENT CONSIDÉRÉES[m/s]

Rejet horizontalau niveau du sol

D 5 (conditions médianes)F 3 (conditions défavorables)

Rejet vertical ou rejetde gaz léger

A 3B 3 et 5C 5 et 10D 5 (conditions médianes) et 10E 3F 3

Figure 5 Conditions météorologiques retenuesSur le territoire métropolitain, la température de l’atmosphère et du sol peut être fixée à 20 oC pour les condi-

tions de stabilité atmosphérique comprise entre A et E, et à 15 oC pour la condition de stabilité atmosphérique F.L’humidité relative peut être retenue égale à 70 %. En effet, sauf cas particuliers (ex. : HF), l’influence de cesdeux paramètres n’est pas dimensionnante pour des variations classiques. On pourra se référer à ce sujet à l’étudeINERIS en référence [3].

Concernant la direction du vent, la distance obtenue est indépendante de la direction du vent pour une modéli-sation avec un outil intégral (c’est pourquoi dans une EDD on peut représenter facilement le résultat par un cerclede rayon la distance obtenue par calcul). Pour une modélisation utilisant un calcul CFD en revanche, la directiondu vent est un paramètre important puisque à chaque direction correspond un nouveau calcul. Dans ce cas, il estpertinent de bien choisir les directions de vent pour lesquelles les calculs vont être effectués et de vérifier lesraccordements entre les calculs (cf. fiche no 5).

4.4. Dans quels cas est-il pertinent d’utiliser du CFD 3D ?

La dispersion atmosphérique d’un produit est influencée par l’occupation du sol, à la fois dans le champ procheavec la présence d’obstacles isolés (bâtiments industriels, lotissements...), mais aussi dans le champ lointain avecl’existence d’accidents topographiques (vallées, falaises, collines, buttes...). Ces éléments perturbent le champ devent de façon mécanique.

Ces perturbations sont fonction de la taille et de la forme des obstacles topographiques rencontrés par le vent. Ilest important de souligner que ces perturbations vont être observées à la fois en aval mais aussi en amont duchangement de topographie.

Lorsque les irrégularités au sol sont de faible taille par rapport à celle du nuage, les perturbations qu’ellesengendrent, affectent de façon globale la dispersion du nuage. L’hypothèse d’un terrain idéalement plat et derugosité uniforme est généralement bien adaptée à cette problématique. Un outil de calcul intégral peut ici êtreretenu.

Ceci étant, lorsque des obstacles de la taille du nuage existent, que le recouvrement du sol n’est pas uniformeou que la topographie est accidentée (présence de vallée, relief accentué...), les mécanismes de dispersion sontplus complexes et spécifiques au site. Un outil de calcul de type CFD tridimensionnel semble plus approprié.

A ce stade, les modèles de calcul type CFD servent principalement à valider des concentrations en champproche/encombré : ils doivent avant tout servir à valider des choix techniques (ex. : conception du réseau decapteurs – nombre et positionnement – d’une chaîne de détection de fuite). Pour mémoire, un calcul correspond àune direction de vent.

Dans ce cas, il importe de disposer de la part de l’exploitant des justificatifs suivants :– des coupes verticales de la taille du nuage par rapport aux objets au niveau du sol ;– raccordement graphique terrain plat/3D... ;– choix des phénomènes dangereux pour lesquels des distances d’effets sont calculées...

4.5. Justification du choix du modèle et du logiciel

Les points suivants ont pour but de permettre à l’inspection de mener une lecture critique de la démarchemenée par l’exploitant notamment lorsque celle-ci est fondée sur des outils de calcul non usuellement utilisés ouen cas de doute sur la validité de certains modèles et/ou logiciels. Le choix du type de modèle dépend de lacomplexité des enjeux à traiter et est fonction du but du calcul (étude des risques accidentels, des risques chro-niques ou d’intervention...). Pour le choix du logiciel, les points suivants sont à vérifier :

Calage du logiciel : a-t-il été calé sur le produit concerné ? Sur quel produit ou famille de produits a-t-il étécalé ? Avec quelles expériences et type de mesures physiques, sur quels paramètres ?

Validation du logiciel : comment a-t-il été validé ? Par le retour d’expérience (connaissance d’accidents dansdes conditions similaires au cas étudié) ? Par des campagnes d’essais expérimentaux (grande échelle, maquette,etc) et avec quelles mesures physiques (par des mesures réelles dans la mesure du possible et à partir d’interpola-

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tions, incertitudes liées aux protocoles et aux conditions de l’expérience et des mesures....) ? Est-il possibled’obtenir des résultats des tests effectués permettant la comparaison du logiciel avec d’autres logiciels existant surle marché ? Des grandeurs telles que la température, la vitesse ou la pression peuvent servir aux validations.

Etude paramétrique : une étude de sensibilité des paramètres de calcul a t-elle été faite ? Si oui, sur quels para-mètres ? Dans quelle plage de variation ?

Domaine de validité :i. Quelles sont les limites d’utilisation du modèle (vent, distance, etc) et du logiciel (résolution numérique

des équations, etc.) ?ii. Quelles sont les plages d’utilisation ?

iii. Le domaine de validité du logiciel a t-il été qualifié (charte d’utilisation, formation, audit, etc.) à l’intentiond’éventuels utilisateurs ?

5. Conclusions

Les outils de calcul de dispersion atmosphérique sont des outils utiles pour l’analyse des phénomènesdangereux mais ne constituent qu’une part des éléments d’analyse. Ils doivent permettre de calculer et devisualiser les distances d’effets en tenant comptes des seuils d’effets en vigueur en France et la mise en évidencedes effets de synergie. Cependant, compte tenu des incertitudes liées notamment aux simplifications retenues dansles outils de calcul de dispersion et aux seuils de toxicité utilisés [3], les résultats de calcul, qui sont avant toutfonction des phénomènes dangereux représentatifs étudiés, ont une précision acceptable pour l’élaboration d’unplan d’urgence, mais demandent une application plus prudente pour la définition de règles d’urbanisme.

Il importe que le logiciel soit mis en œuvre par des personnes ayant des connaissances suffisantes des phéno-mènes physiques et chimiques voire toxicologiques et écotoxicologiques mis en jeu et des réalités industrielles,ceci afin de conserver un regard critique sur les étapes du calcul et le résultat final.

Par ailleurs, les hypothèses simplificatrices et les corrélations employées dans les outils les plus simples sontgénéralement choisies de manière à ce que ces outils soient conservatoires. On est moins assuré d’être conserva-toire avec des outils de calculs plus complexes. De fait, l’utilisation d’outils de calcul de dispersion atmosphériquedoit être proportionnée à la complexité des enjeux à traiter.

Par principe, moins la démarche retenue est conservatoire et plus les choix effectués doivent être explicités etjustifiés (essais expérimentaux pour une substance ou une famille chimique donnée, étude paramétrique des gran-deurs physiques conditionnant la dispersion atmosphérique, etc.).

De manière générale, il convient toujours de commencer par un modèle intégral et de voir s’il est nécessaired’affiner. Les outils de modélisations sont un moyen parmi d’autres pour affiner, vérifier ou conforter des solu-tions techniques proposées ou retenues dans le cadre de la maîtrise des risques d’une installation. A titred’exemple, la modélisation de phénomènes avec des outils CFD tridimensionnels ne saurait suffire à elle seule àjustifier la réduction des distances d’effets en l’absence de démonstration technique de la réduction du risque à lasource par l’exploitant.

Il est rappelé qu’au-delà des résultats de la modélisation (et même en amont des calculs), c’est la compétencedu modélisateur à la fois vis à vis du modèle lui-même (paramétrage...) que vis-à-vis des phénomènes à modéliser(type de fuites, comportement des produits etc.) qui est d’importance.

De plus, au-delà de la détermination de distances d’effet, la compréhension des phénomènes qu’apporte unmodèle bien utilisé permet de conforter des choix techniques sur les éléments de sécurité (rétention, capteurs,confinements etc.)

Dans le cas où il y aurait des doutes sur la validité des calculs remis par l’exploitant, un complément d’infor-mation peut lui être demandé. Une étude critique peut être éventuellement envisagée. Dans ce cas, la finalité decette tierce expertise est de valider la pertinence de la démarche développée par l’exploitant et l’ordre degrandeur des distances d’effets issues de la modélisation.

6. Références

1. Méthodes pour l’évaluation et prévention des risques accidentels/dispersion atmosphérique : Mécanismes etoutils de calcul – décembre 2002 – INERIS – DRA006, � 12.

2. Détermination des grandeurs caractéristiques du terme source nécessaires à l’utilisation d’un modèle dedispersion atmosphérique des rejets accidentels. INERIS 2006 (bientôt disponible sur internet).

3. Estimation des incertitudes liées aux calculs des distances d’effets – Etudes de sensibilité et propagationd’incertitudes. INERIS 2006.

4. Avis sur l’aptitude du logiciel SEVEX à la modélisation de dispersion atmosphérique – 2001 – INERIS –DRA-01-30068.

5. « Comment estimer la dispersion des polluants gazeux dans l’atmosphère ». Etude bibliographique.Mouilleau Y. (1991). Rapport INERIS réf. EXP-YMo Z1/1.

6. TNO Yellow Book. Committee for the Prevention of Disasters, The Netherlands, 1997. Si la référence estdonnée, elle n’en constitue cependant pas une validation des hypothèses proposées.

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UVCE

1. Définition

Un UVCE (Unconfined Vapour Cloud Explosion) est une explosion de gaz à l’air libre. Dans le cas d’un gazinflammable, tel que les GPL, cette explosion produit :

– des effets thermiques ;– des effets de pression.

2. Théorie

2.1. Description du phénomène

Un UVCE comprend généralement les étapes suivantes :– rejet dans l’atmosphère d’un GPL, le produit étant en phase gaz ou en phase liquide ; – mélange avec l’oxygène de l’air pour former un volume inflammable ; – de manière concomitante, dilution et transport du nuage de gaz dont une partie du volume reste inflammable ;– inflammation de ce nuage ; – propagation d’un front de flamme des parties inflammables du nuage ; ce front de flamme, associé à

l’expansion des gaz brûlés, agit à la manière d’un piston sur les gaz frais environnant et peut être à l’originede la formation d’une onde de pression aérienne, appelée déflagration, si sa vitesse de propagation est suffi-sante,

– enfin, le cas échéant, mélange avec l’air et combustion des parties du nuage qui étaient initialement tropriches en combustible pour être inflammables.

Le vocabulaire distingue, selon les effets produits, l’UVCE du Flash fire, ou Feu de nuage. De manièregénérale, le terme UVCE s’applique lorsque des effets de pression sont observés, alors que le terme Flash fire estréservé aux situations où la combustion du nuage ne produit pas d’effets de pression. Cependant il s’agit dans lesdeux cas du même phénomène physique, à savoir la combustion d’un mélange gazeux inflammable.

2.2. Accélération des flammes et effets de pression

Lors d’une déflagration, plusieurs régimes de combustion des gaz sont susceptibles d’être observés succes-sivement au cours du temps. La situation expérimentale suivante permet d’expliquer les mécanismes de productiondes effets de pression lors d’un UVCE. Il s’agit bien sûr d’un exemple, les configurations industrielles peuventêtre beaucoup plus complexes, mais les mécanismes physiques mis en jeu sont les mêmes.

On considère un volume inflammable de forme hémisphérique, initialement au repos, dans lequel sont disposésdes obstacles. Une source d’inflammation est placée au sol, au centre de l’hémisphère (image no 1).

Juste après l’inflammation, le régime de combustion des gaz est généralement laminaire et un front de flammese développe sphériquement autour du point d’allumage (image no 2). Ce front de flamme est lisse et caractérisépar une épaisseur relativement faible (de l’ordre de 0,1 mm) de sorte qu’il peut être assimilé à une interfaceréactive transformant le mélange gazeux inflammable (gaz frais) en gaz brûlés. Ces derniers ont une densitémoindre (d’un facteur 8 environ dans le cas des mélanges GPL-air) que le mélange gazeux initial, si bien qu’ils’ensuit une brusque expansion volumique. capable de mettre en mouvement les gaz frais, situés en aval, devantles flammes. Ces dernières agissent comme un piston sur les gaz réactifs et provoquent leur écoulement (imagesnos 3 et 4).

Tant que le régime de combustion est laminaire, la vitesse relative du front de flamme par rapport au gaz frais,appelée vitesse fondamentale de combustion est de l’ordre de 0,5 m/s pour des mélanges propane-air oubutane-air. La vitesse absolue (dans un repère fixe) du front de flamme correspond dans ce cas au rapportd’expansion des gaz multiplié par la vitesse fondamentale de combustion et est donc de l’ordre dequelques mètres/seconde.

Un front de flamme laminaire est très sensible aux perturbations de son environnement : variation de la vitessedes gaz, interaction avec des ondes de pression, variation locale de la concentration du mélange... Rapidement, laflamme prend une structure plissée et instable (image 3), ce qui a pour effet d’accroître la surface de flamme,donc la consommation des gaz frais, la production de gaz brûlés et la vitesse du front de flamme. Le frottementdu fluide sur des parois ou son interaction avec des obstacles induit de la turbulence dans l’écoulement, ce quiaccentue encore ce phénomène (image 4). En retour, cette accélération augmente la vitesse d’écoulement des gazfrais et le niveau de turbulence de l’écoulement. Ainsi, par ce mécanisme auto-entretenu, la flamme s’accélèred’elle-même : il s’agit du régime de déflagration.

La présence d’un confinement partiel (mur, auvent, etc.) peut accentuer la montée en pression en bloquantl’expansion volumique des gaz dans une ou plusieurs directions.

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Mécanismes d’accélération d’une flamme par les instabilités de flamme et la turbulence

Mécanisme d’accélération des flammes par la turbulence en régime de déflagration

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(1) LII : limite inférieure d’inflammabilité.

La flamme ne peut toutefois s’accélérer indéfiniment. Lorsque le régime de déflagration devient suffisammentrapide, l’onde de choc qui se forme en avant du front de flamme peut comprimer le mélange de gaz frais jusqu’àsa température d’auto-inflammation. Si tel est le cas, il peut se former derrière l’onde de pression une zone decombustion qui se propage à la même vitesse. La zone de combustion « entretient » l’onde en compensant sonatténuation naturelle, tandis que l’onde « entretient » la flamme par auto-inflammation : il s’agit du régime dedétonation. En pratique, la transition vers la détonation peut se produire dès lors que la vitesse de la flammedevient comparable à la vitesse du son dans les gaz brûlés, soit au moins 500 m/s. Elle s’observe en général pourdes vitesses de flamme de l’ordre de 2 000 m/s. Dans le cas d’un UVCE de GPL, la détonation est exceptionnelle.Le régime d’explosion à retenir est celui de la déflagration.

3. Descriptions des effetsLes effets générés par un UVCE sont fortement dépendants des conditions locales dans lesquelles l’explosion a

lieu : conditions du mélange gazeux et conditions de l’environnement.

PARAMÈTRES PROPRES AU MÉLANGE GAZEUX PARAMÈTRES PROPRES À L’ENVIRONNEMENT

Réactivité Source d’inflammation(vitesse fondamentale de combustion, taux d’expansion) (position par rapport au nuage, énergie)

Concentration et homogénéité Encombrement (nombre, position, taille des obstacles)Turbulence propre du jet Confinement partiel

3.1. Effets thermiques

L’expérience montre qu’en pratique, les effets thermiques de l’UVCE ne sont pas dus au rayonnement ther-mique (très court) du nuage enflammé, mais uniquement au passage du front de flamme. Autrement dit, toutepersonne se trouvant sur le parcours de la flamme est susceptible de subir l’effet létal, mais celui-ci n’excède pasla limite extrême atteinte par le front de flamme. Ainsi, l’effet thermique de l’UVCE ou du Flash Fire (rappelonsqu’il s’agit du même phénomène physique) sur l’homme est dimensionné par la distance à la LII (1).

De manière générale, l’effet thermique d’un UVCE sur les structures se limite à des dégâts superficiels (défor-mation des plastiques, décollement des peintures,...), et, éventuellement, à une fragilisation possible de certainesstructures métalliques légères. En revanche, l’UVCE peut être initiateur d’un incendie, ou être suivi d’un feutorche, dont les effets thermiques sont à redouter.

3.2. Effets de surpression

Ces effets sont produits par l’effet piston du front de flamme sur les gaz frais. Plus la propagation du front deflamme est rapide et plus son accélération est grande, plus l’amplitude de l’onde de pression est importante.Celle-ci se propage dans l’environnement à la façon d’une onde de choc dont l’amplitude s’atténue lorsque l’ons’éloigne du centre de l’explosion, de manière inversement proportionnelle à la distance.

En l’absence d’obstacles, on observe expérimentalement que la propagation de la flamme dans un mélangehomogène et au repos est très faiblement accélérée, et que les niveaux de pression associés n’excèdent pasquelques millibars. En revanche, la présence d’un écoulement turbulent ou de gradients de concentration suffit àaccélérer la flamme et à engendrer des niveaux de pression plus élevés, même en l’absence d’obstacles.

4. Causes. – Réalités physiquesLes causes d’un UVCE.Pour obtenir un UVCE, il faut deux conditions réalisées simultanément :– un nuage de gaz inflammable ;– une source d’inflammation.Tous les scénarios de rupture de canalisation ou de fuite d’un GPL peuvent engendrer un UVCE. La fuite peut

être liquide ou gazeuse, mais à conditions de fuite équivalentes (pression, température, section de fuite), une fuiteen phase liquide produit des nuages inflammables toujours beaucoup plus grands qu’une fuite en phase gazeuse,car le débit rejeté est beaucoup plus élevé (pour les GPL dans des conditions ambiantes, 1 litre de phase liquideengendre de l’ordre de 250 litres de phase gazeuse).

Remarques sur la formation du nuage inflammable :La formation et la dispersion du nuage inflammable sont influencées par de nombreux phénomènes, qui ne sont

pas toujours pris en compte dans les modèles :– forme de la brèche : la forme de la brèche a une influence sur la forme du jet. Ainsi une fuite sur un plan

de joint (bride) engendre un jet « plan », dont le développement est différent du jet « bâton » formé parexemple par la rupture guillotine d’un piquage. La forme de la brèche a donc une influence directe sur levolume inflammable formé, qui n’est pas prise en compte par les modèles de calcul de terme source. Lesméthodes habituellement utilisées consistent à calculer un diamètre de fuite équivalent et à assimiler le rejet à

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un jet « bâton ». Cette approche devrait être conservatoire, car un jet plan devrait plutôt avoir tendance àfavoriser la dilution et donc à diminuer les volumes inflammables. On manque néanmoins de données expéri-mentales sur le sujet ;

– direction du rejet : la direction du rejet (verticale, horizontale), de même que sa hauteur par rapport au solont une influence non négligeable sur la formation du nuage inflammable. De manière générale, la dilutionest plus rapide pour un jet vertical que pour un jet horizontal, et pour un rejet en hauteur que pour un rejet ausol. Par conséquent, la distance à la LII est généralement maximale lorsque le jet se produit horizontalementau niveau du sol. Enfin, un rejet en hauteur présente généralement moins de risques, car la plupart des cibleset des sources d’inflammation potentielles sont situées au sol ;

– impact du jet : on parle de jet impactant lorsque le rejet rencontre un obstacle sur sa trajectoire, à proximitédu point de fuite. Dans le cas d’un jet impactant, l’expérience montre que le volume inflammable formépourrait être plusieurs fois supérieur à celui formé en jet libre, à conditions de fuite (diamètre de la brèche,pression) identiques. Cet accroissement de volume est produit par les phénomènes de déflection et dere-circulation induits par les obstacles proches du point de fuite. Une analyse au cas par cas, en fonction de lataille, de la position des obstacles et de la quantité de mouvement du rejet, est nécessaire pour donner uneestimation du volume inflammable à prendre en compte pour le calcul d’explosion ;

– l’impact du jet sur un obstacle perturbe fortement la dispersion par rapport à une situation de champ libre, etpourrait conduire soit à une augmentation, soit à une diminution de la distance à la LII. Une étude au cas parcas, éventuellement par une simulation tridimensionnelle, est nécessaire ;

– les données expérimentales pour le butane et le propane montrent qu’en cas de fuite sur la phase liquide iln’y a quasiment pas de formation de flaque au sol si le rejet n’est pas impactant. Il n’y a donc pas decalcul d’évaporation de flaque ;

– en régime permanent (c’est-à-dire lorsque la fuite est alimentée avec un débit constant), le volume inflam-mable et la distance à la LII ne dépendent pas de la quantité rejetée, ni de la durée du rejet. Dans le cas d’unjet sous pression, le régime permanent peut être atteint rapidement (souvent moins d’une minute). C’estpourquoi les mesures de sécurité destinées à réduire le temps de fuite ne se traduisent pas toujours par uneréduction des distances d’effet dans les résultats donnés par les modèles de calcul, si la durée de la fuite restesupérieure à la durée d’établissement du régime permanent. Cependant, ces mesures vont bien entendu dansle sens de la sécurité, car elles permettent de réduire considérablement le temps de présence du nuageinflammable, et donc le risque d’inflammation. Enfin, en cas de feu torche, la limitation de la durée defuite permet souvent de réduire les distances d’effet, et limite l’agression thermique sur les structures, donc lerisque d’effet domino ;

– la distance à la LII ne peut pas être plus grande que celle atteinte en régime établi ;– dans le cas d’une fuite établie, on observe généralement une diminution rapide du débit, due à une chute de

la température dans la canalisation. Cette chute de débit s’ajoute à celle induite par la vaporisation partielledu liquide dans le canalisation avant la brèche (phénomène de flash) ;

– conditions météorologiques : l’influence de la stabilité atmosphérique et de la vitesse du vent sur laformation des nuages est complexe, car plusieurs mécanismes physiques entrent en compétition. Néanmoins,on peut dégager quelques tendances générales :– les volumes inflammables les plus grands sont généralement produits lorsque l’atmosphère est très stable,

car la dilution est faible ;– la vitesse du vent entraîne deux effets contraires : un vent fort favorise la dilution, donc la réduction du

volume inflammable, mais peut entraîner le nuage à des distances plus élevées par advection ;– lors d’un rejet de GPL, le nuage visible, dû à la condensation de la vapeur d’eau atmosphérique, n’a aucun

rapport avec la distance à la LII. Selon le taux d’humidité de l’air, le nuage visible est tantôt plus petit, tantôtplus grand que le nuage inflammable.

5. Modélisation des effets

En premier lieu, il est important de rappeler que les méthodes de calcul présentées ne permettent pas d’obtenirplus que des ordres de grandeur, sur lesquels la marge d’erreur n’est généralement pas quantifiable mais peutêtre relativement importante. Les effets modélisés (thermiques et surpression) sont ceux générés par l’extensionmaximale du nuage au moment de l’inflammation. Le point d’inflammation ressort de l’analyse de risque.

Le calcul d’un scénario d’explosion d’un nuage est réalisé en plusieurs temps :– détermination du terme source ;– un calcul de dispersion du nuage inflammable ;– un calcul d’explosion.

Les distances d’effets sont déduites du calcul de dispersion (effets thermiques) et du calcul d’explosion (effetsde pression).

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5.1. Calcul du terme source

5.1.1. Paramètres à définir

Quantité rejetée Diamètre de la brèche

Phase rejetée (gazeuse ou liquide) Hauteur de liquide par rapport à la brèche

Température Longueur de canalisation

Pression Direction du rejet : horizontal, vertical, impactant ou non

Durée de la fuite Hauteur du rejet

Composition du produit Pertes de charge

Le calcul prend également en compte les propriétés thermophysiques du produit. Pour la densité, les valeurs àretenir sont celles du Comité français du butane et du propane (sur le site www.cfbp.fr), qui fournit les tables etles courbes de variation de la densité en fonction de la température. Les valeurs de densité dans les conditionsambiantes sont indiquées dans le tableau suivant.

PROPANE BUTANE

515 kg/m3 à 15 oC 585 kg/m3 à 15 oC

508 kg/m3 à 20 oC 579 kg/m3 à 20 oC

Le choix d’une valeur de densité à 15 oC ou 20 oC a une influence minime sur les distances d’effet calculées(moins de 5 %).

5.1.2. Hypothèses de calcul

Le calcul de la formation et de la dispersion d’un nuage inflammable fait intervenir un grand nombre d’hypo-thèses de calcul liées à la définition du scénario, dont certaines sont liées aux caractéristiques de la fuite, etd’autres à l’environnement du rejet. Le choix des hypothèses faites doit être justifié explicitement par l’analysedes risques.

De manière générale, dans les cas de la rupture d’une tuyauterie, l’hypothèse majorante consiste à considérer lesdeux rejets dans le même sens et à additionner les débits. Cette hypothèse conservative est sans doute peu repré-sentative de la réalité dans la plupart des cas, mais on ne dispose pas aujourd’hui de modèle conservatif plusprécis décrivant la forme d’un nuage alimenté par deux fuites de sens opposés. Deux cas peuvent se présenter :

– les deux contributions sont alimentées (par exemple, lors de la rupture d’un bras de chargement en cours dedépotage si aucune barrière de sécurité n’est prise en compte : l’amont est alimenté par la vidange du camion,l’aval est alimenté par la vidange du réservoir) ;

– une seule contribution est alimentée, l’autre correspondant à la vidange d’un tronçon de canalisation. Dans cecas, la durée de fuite des deux contributions peut être très différente. A noter que le débit de dépressurisationd’une canalisation est variable dans le temps, et peut être calculé par tronçon.

Autant que possible (données disponibles, possibilité des outils de modélisation), on prendra en compte lespertes de charge générées par les différents équipements présents le long des canalisations (coudes, vannes, clapetsinternes, clapets de rupture...).

En cas d’arrachement de bras sur un poste de transfert « camion », la contribution du camion à la fuite estmodélisée à partir de l’arrière du camion dans son axe longitudinal.

En cas d’arrachement de bras sur un poste de transfert « wagon », la contribution du wagon à la fuite est modé-lisée perpendiculairement au wagon dans le prolongement du piquage.

La fuite sur bride est modélisée par une fuite de dimension « épaisseur du joint × largeur du secteur angulairedéfini par deux boulons successifs ».

5.2. Dispersion du nuage de gaz

Le calcul de dispersion est généralement réalisé avec un logiciel de dispersion atmosphérique, par exemplePHAST (développé par DNV), FRED (développé par SHELL), SIGMA (développé par l’IRSN)... Les modèles dedispersion peuvent différer d’un code à l’autre, ce qui peut être source d’écart dans les résultats. Néanmoins, leshypothèses de départ restent semblables.

5.2.1. Paramètres à définir

Le calcul de la dispersion du nuage fait intervenir des paramètres liés aux conditions extérieures, comme l’étatatmosphérique et l’environnement du rejet.

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Les conditions météorologiques sont généralement définies par trois paramètres :– la stabilité atmosphérique ;– la vitesse du vent ;– la température ambiante.La stabilité atmosphérique est souvent décrite à l’aide des classes de stabilité de Pasquill. On distingue 6 classes

allant des atmosphères très instables (A, B), aux atmosphères très stables (E, F), en passant par des atmosphèresneutres (C, D). Il existe cependant d’autres systèmes de classification comme celle de Doury qui ne définit quedeux classes : les classes de diffusion normale (DN) qui regroupent les classes A à D de Pasquill et les classes dediffusion faible (DF) qui regroupent les classes E et F de Pasquill.

De plus certaines conditions de stabilité ne sont pas compatibles avec certaines vitesses de vent. Le tableau quisuit donne un exemple de la compatibilité des classes de stabilité de Pasquill avec certaines conditions météorolo-giques.

VITESSE DU VENTà 10 m

JOUR NUIT

Rayonnement solaire incident Nébulosité

[m/s] Fort Modéré Faible entre 4/8 et 7/8 � 3/8

� 2 A A-B B F F

2-3 A-B B C E F

3-5 B B-C C D E

5-6 C C-D D D D

� 6 C D D D D

Pour ces raisons, il est recommandé, a minima, de calculer les scénarios dans les conditions météorolo-giques suivantes :

D, 5, 20 F, 3, 15

Atmosphère neutre Atmosphère très stableVitesse du vent, à une altitude de 10 mètres, égale à 5 m/s Vitesse du vent, à une altitude de 10 mètres, égale à 3 m/sTempérature ambiante égale à 20 oC Température ambiante égale à 15 oC

Environnement du rejet : les obstacles et les accidents topographiques perturbent la trajectoire du vent etmodifient les caractéristiques moyennes et turbulentes de l’écoulement de l’air. Ces modifications sont, naturel-lement, fonction de la taille et de la forme des obstacles topographiques rencontrés par le vent. Les logicielsutilisant des modèles intégraux ne permettent pas de prendre en compte le relief, ni la présence d’obstacles à ladispersion des nuages (bâtiments), et supposent une direction et un profil de vent constants dans le temps. Lorsqueles irrégularités au sol sont de faible taille par rapport à celle du nuage, les perturbations qu’elles engendrentaffectent de façon globale la dispersion du nuage. L’hypothèse d’un terrain idéalement plat et de rugosité uniformeest généralement bien adaptée à cette problématique.

La rugosité peut être interprétée comme un coefficient de frottement du nuage sur le sol, et produit deux typesd’effets antagonistes :

– elle augmente la turbulence, ce qui favorise la dilution ;– elle freine le nuage, ce qui favorise l’effet d’accumulation et la concentration.La rugosité varie selon le type d’environnement : champs, habitat dispersé, environnement industriel ou urbain...La rugosité a une influence non négligeable sur la dispersion des nuages de GPL, car ceux-ci ont un compor-

tement de « gaz rampant » au sol, du fait de leur densité plus élevée que celle de l’air.

5.2.2. Résultats

Le calcul de dispersion permet d’obtenir trois types de résultats :– la distance maximale atteinte par le nuage inflammable à sa limite inférieure d’inflammabilité, ou distance à

la LII ;– la masse de GPL contenue dans le nuage inflammable (ou masse inflammable) : en théorie, il s’agit de la

masse de GPL dont la concentration est comprise entre la LII et la LSI. En pratique, l’expérience montre queles parties du nuage initialement trop riches en combustible se diluent pendant l’expansion volumétrique du

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nuage et brûlent également. Il est donc préférable d’évaluer la quantité inflammable à partir de la masse deGPL de concentration supérieure à la LII, sachant que la quantité initialement trop riche ne représente quequelques pourcentages de la quantité initialement comprise entre la LII et la LSI ;

– la forme du nuage, en particulier sa largeur et sa hauteur. A titre d’exemple, la figure suivante montre leprofil d’un nuage inflammable formé suite à un rejet horizontal de propane à 1 m au-dessus du sol. Ledomaine en vert représente le champ de concentration compris entre la LII et la LSI, le domaine en rougereprésente le champ de concentration supérieur à la LSI.

LSI : limite supérieure d’inflammabilité.

La distance à la LII représente le rayon maximal, compté à partir du point de fuite, qui peut être atteint par lenuage inflammable. Cela ne signifie pas pour autant que le nuage inflammable recouvre la surface du cercledélimité par la distance à la LII, mais qu’il prend la forme d’un panache inflammable dont la longueur est aumaximum égale à la distance à la LII.

5.3. Explosion du nuage de gaz. – Effets de pressionIl existe plusieurs méthodes de calcul des effets de pression d’un UVCE, pour la plupart basées sur le concept

Multi-Energy. Parmi les plus couramment utilisées on trouve :– la méthode Multi-Energy (TNO) ;– la méthode CAM (Congestion Assessment Method, Shell) ;– la méthode de Baker-Strehlow.L’idée centrale de ces méthodes est qu’une explosion de gaz produit des effets d’autant plus importants qu’elle

se développe dans un environnement encombré ou turbulent dans lequel la flamme peut se propager rapidement, etqu’en dehors de ces zones, les effets de pression associés à la propagation de la flamme sont minimes. Pour unesituation réelle où la dimension maximum du nuage explosif a été préalablement estimée, on repère les endroits oùla densité d’obstacles ou le degré de turbulence du nuage sont susceptibles d’être importants et on modélisel’explosion globale par une succession d’impulsions de pression engendrées par la propagation de la flamme àtravers ces zones. En fait, tout se passe comme s’il n’y avait pas une, mais plusieurs explosions. On associe àchaque explosion « élémentaire » un indice de violence (sur une échelle de 1 à 10 pour la méthode Multi-Energy)qui représente la surpression maximum qui peut être obtenue dans la zone associée. Outre ces considérationsgéométriques la réactivité propre du gaz inflammable doit être prise en considération.

Les distances d’effets calculées ne sont pas liées directement à la quantité de produit rejeté, ni au volume desnuages inflammables formés, mais bien au volume des zones d’encombrement et de confinement. Aussi, desscénarios différents, mettant en jeu des débits de fuite et des quantités de produits différents conduisent auxmêmes distances d’effets si les nuages inflammables formés couvrent les mêmes zones encombrées.

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Les méthodes basées sur l’équivalent TNT sont inadaptées au calcul des effets d’un UVCE, et ne sont pasforcément majorantes (Mouilleau et Lechaudel, 1999). Pour mémoire, elles sont à la base des formules de l’arrêtéministériel du 9 novembre 1989 pour le calcul des distances d’isolement autour des réservoirs sous talus.

L’application de la méthode Multi-Energy ou d’une méthode équivalente (CAM, Baker Strehlow) qui prend encompte les zones en champ libre et les zones encombrées est recommandée.

Les avantages et inconvénients de ces diverses méthodes sont comparés par exemple dans la référence(Mouilleau et Lechaudel, 1999), téléchargeable sur www.ineris.fr.

5.3.1. Détermination de l’énergie d’explosion

5.3.1.1. Propriétés de combustion du produit

L’énergie de l’explosion est liée :– à la chaleur de combustion du gaz ;– au volume inflammable considéré.

PROPANE BUTANE

46 MJ/kg* 45,9 MJ/kg*Energie de combustion

3,46 MJ/m3** 3,48 MJ/m3**

Limites d’inflammabilité (% vol.) 2,1 % - 9,5 % 1,3 % - 8,5 %

Concentration stœchiométrique 4,0 % 3,1 %

* Par kg de produit.** Par m3 de mélange stœchiométrique.

5.3.1.2. Calcul du volume inflammable en champ libre

Le calcul de dispersion permet de déterminer la masse de GPL contenue dans le nuage inflammable. Toutefois,il ne permet pas de déterminer le volume de nuage dont la concentration est comprise entre la LII et la LSI. Laconcentration dans le nuage est variable ; il y a des gradients, avec des zones de concentration supérieure à laconcentration stœchiométrique, et d’autres de concentration inférieure.

En moyenne, considérer que toute la masse inflammable est diluée à la concentration stœchiométriquepermet de calculer le volume inflammable avec une bonne approximation.

On a ainsi : Vinf = Minf/�gaz. C), où C est la concentration volumique de gaz dans le nuage.En champ libre, la masse réagissant à considérer pour la suite de la modélisation est celle que le nuage aurait

s’il avait atteint son expansion maximale (masse à la LII).

5.3.1.3. Détermination des zones encombrées indépendantes

On dispose des quelques critères simples suivants, proposés par le TNO, pour déterminer les zones encombrées« indépendantes » au sens de la méthode Multi-Energy :

– deux obstacles appartiennent à une même zone si la distance qui les sépare est inférieure à 10 fois la pluspetite dimension orientée perpendiculairement à la direction des flammes (situation 1), ou 1,5 fois ladimension orientée parallèlement à l’obstacle (situation 2). Par exemple, dans la situation 1 où la flamme sepropage perpendiculairement à l’axe d’un obstacle cylindrique, la plus petite dimension perpendiculaire à ladirection des flammes est le diamètre du cylindre.

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Deux zones séparées par plus de 25 mètres sont indépendantes.

En général, la détermination des zones encombrées est assez intuitive. Sur un site GPL, il s’agit princi-palement :

– des postes de chargement et déchargement ;– des pomperies ;– des stockages de bouteilles ;– des zones de stationnement de camions et de wagons.

Le volume des zones encombrées est calculé en retranchant le volume des obstacles. Le taux d’encombrementest souvent difficile à estimer, mais il est en général plus faible que l’intuition le laisserait supposer. A titre indi-catif, le taux d’encombrement d’un casier de bouteilles est de 30 à 35 %.

5.3.1.4. Détermination du volume inflammable dans la zone encombrée

Il s’agit dans cette étape de superposer le profil du nuage inflammable à la cartographie des zones encombrées.

Plusieurs cas peuvent se présenter :

Cette comparaison doit également être effectuée dans la hauteur. Les obstacles ne sont pris en compte que surla hauteur du nuage.

La précision requise sur le calcul du volume inflammable est assez relative. Comme il intervient à la puissance1/3 dans le calcul de la surpression, un écart de 10 % sur le volume inflammable induit une erreur d’environ 3 %sur le calcul de la distance à un seuil de surpression donnée.

5.3.1.5. Calcul de l’énergie d’explosion

Une fois déterminé le volume inflammable à considérer dans chaque zone encombrée, l’énergie de chacune desexplosions élémentaire est aisément calculée en multipliant le volume inflammable par la chaleur de combustiondu gaz considéré.

5.3.2. Identification du centre de l’explosion

L’identification du centre de l’explosion est une étape primordiale, car c’est à partir de ce point que sontcomptées les distances d’effet. Il est donc impératif que pour chaque nuage de gaz pouvant exploser, l’étudeindique les coordonnées du centre de l’explosion et la distance d’effets à partir de ce centre.

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Explosions dans des zones encombrées :Deux cas se présentent :

Dans le cas d’une explosion en champ libre, la totalité de la masse inflammable doit être considérée, et lesdeux situations suivantes peuvent se présenter.

Cas des nuages dérivant en champ libre :Lors d’un rejet massif de produit pendant une durée très courte (ruine de réservoir, ou jet transitoire sous

pression), il se forme un nuage dérivant, dont le volume inflammable diminue au fur et à mesure du déplacementdu nuage. On suppose que le nuage dérive en champ libre c’est-à-dire qu’il ne rencontre pas d’obstacle à sadispersion, ni de zone encombrée qui favoriserait une explosion violente.

Les trois situations méritent d’être étudiées, sans qu’il soit possible de déterminer a priori la plus pénalisante.Dans la situation 1, le volume inflammable est important et la surpression maximale élevée, mais l’explosion seproduit loin de la cible, si bien que l’effet de pression sur cette cible peut être de faible ampleur. A l’opposé, dansla situation 3, le volume inflammable a beaucoup diminué, la surpression maximale est faible car le nuage est peuturbulent, mais l’explosion se produit au niveau de la cible. Tout dépend, dans ces cas, de l’éloignement de lacible et du seuil d’effet étudié.

Cas des fuites alimentées en champ libre :Dans le cas des jets sous pression en régime permanent, le nuage inflammable prend la forme d’un ellipsoïde

très allongé.

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L’application 3 correspond au cas où le nuage rencontre une source d’inflammation préexistante à sa dispersion.Toutefois, la surpression produite dans une telle situation est peu élevée car la propagation du front de flammen’est pas sphérique. Du point de vue des effets, les résultats expérimentaux disponibles montrent que la situation 2est la plus pénalisante. Elle est susceptible de se produire lorsque une source d’inflammation transitoire apparaîtdans le nuage après sa formation. L’application 2 est donc préconisée : centre de l’explosion positionné à unedemi-distance « point de fuite – point d’inflammation ».

Choix d’un indice de violence

L’indice de violence correspond au niveau de surpression maximal produit par l’explosion. A chaque indice deviolence est associée une courbe de décroissance des surpressions aériennes. Dans le cas de la méthode Multi-Energy, les indices sont notés de 1 à 10, et correspondent aux niveaux de surpression suivants :

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Les courbes d’indice supérieur ou égal à 6 sont confondues pour les niveaux de pression inférieurs à 0,2 bar.Le niveau de surpression maximal est directement lié à la vitesse de flamme atteinte lors de la combustion du

nuage. En théorie, il suffirait de calculer cette vitesse de flamme pour déterminer précisément l’indice de violenceà retenir. En pratique, ce calcul est difficile à effectuer, car il dépend de plusieurs paramètres :

– la réactivité propre du gaz ;– la turbulence propre du jet ;– la densité d’obstacles présents sur le parcours de la flamme ;– l’énergie de la source d’inflammation.Pour un site GPL, l’INERIS et l’IRSN s’accordent pour retenir les ordres de grandeur suivants :

NATURE DU VOLUME INFLAMMABLE ORDRE DE GRANDEURde la surpression maximale*

Nuage quasiment au repos en champ libre � 20 mbars1

Jet turbulent en champ libre 50 à 100 mbars2

selon la puissance du jet

Casiers de bouteilles 500 - 1 000 mbars3

Pomperie 100 - 500 mbarsselon la configuration

Zones de stationnement de camions ou de wagons 100 - 500 mbars4

selon la configuration

* Il s’agit de la surpression maximale dans le volume inflammable déterminé au paragraphe 5.3.1.4.

Ces règles sont purement indicatives, car la violence de l’explosion dépend autant de l’encombrement dela zone que de la turbulence initiale du jet. Une analyse au cas par cas est nécessaire.

Les ordres de grandeurs proposés sont déduits des données expérimentales suivantes :1. Lannoy A. et al. (1989) : déflagration sans turbulence en espace libre : expérimentation et modélisation. EDF,

Bulletin de la direction des études et recherches, série A no 1, pp. 1-13.2. Stock M., Schumann S., Wirkner-Bott I. (1992), 7th International Symposium on Loss Prevention and Safety

Promotion in the Process Industries ; Taormina, Italy, 4-8 May 1992 (Paper No. 36).3. Mercx W.P.M. (1993), Modelling and Experimental Research into Gas Explosions, Overall Final Report of

the MERGE Project, CEC Contract : STEP -CT -0111 (SSMA).4. Lechaudel J.F. and Mouilleau Y. (1995) : Assessment of an Accidental Vapour Cloud Explosion -A Case

Study : Saint Herblain, October the 7th 1991, France, Proceedings of the 8th International Loss PreventionSymposium, pp. 333-348, Antwerp, Belgium.

5.3.2.1. Cas particulier des halls d’emplissageEn toute rigueur, les explosions dans les halls d’emplissage de grands volumes inflammables (consécutifs, par

exemple, à la pénétration d’un nuage formé à l’extérieur) ne peuvent être traitées avec une méthode du typeMulti-Energy, car il s’agit d’explosions confinées, et non d’UVCE. Les effets de pression dans l’environnementsont induits par l’éclatement du bâtiment, et non directement par l’énergie de combustion mise en jeu. Néanmoins,les halls d’emplissage sont généralement des structures légères, dans lesquelles les brèches apparaissent rapi-dement, si bien qu’une grande partie du nuage initialement présent à l’intérieur brûle à l’extérieur, à la manièred’un UVCE. Aussi, en première approche, une méthode du type Multi-Energy pourrait être utilisée, en considérantun indice de violence de 6, justifié par les vitesses de flamme élevées observées dans ce type d’explosion. Néan-moins, un calcul plus précis ne peut se faire qu’après une étude de la résistance de la structure, et avec un modèled’explosion en enceinte fermée.

5.4. Explosion et inflammation du nuage de gaz. – Effets thermiquesL’expérience montre que l’effet du rayonnement thermique est assez limité, et que l’effet létal est dimensionné

par la distance à LII. Autrement dit, toute personne se trouvant sur le parcours des gaz brûlés est susceptible desubir l’effet létal avec une probabilité élevée, et toute personne se trouvant en dehors du nuage inflammable nepeut pas subir d’effet thermique létal.

Dans le cas de l’explosion d’un nuage de gaz au repos en espace libre ou flash fire les seuils d’effets ther-miques considérés sont :

– distance au seuil des effets létaux significatifs = distance à la LII ;– distance au seuil des premiers effets létaux = distance à la LII ;– distance à l’effet irréversible = 1,1 × distance à la LII (formule forfaitaire).Toutefois, lorsqu’un nuage inflammable sort d’un site, il est nécessaire d’étudier l’environnement voisin pour

identifier la présence de sources d’inflammation éventuelles. En particulier, si dans certaines directions il estdémontré que la possibilité que le nuage rencontre une source d’inflammation avant d’atteindre la distancemaximale à la LII est très forte, la distance aux effets thermiques dans cette direction peut être réduite à ladistance entre le point de fuite et le point d’inflammation.

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On ne dispose pas de seuils d’effets thermiques sur les structures associés aux phénomènes rayonnants decourte durée. De manière générale, on peut considérer qu’il y a un risque de propagation d’un incendie aux maté-riaux combustibles (en particulier le bois). Dans le cas des matériaux incombustibles (cas de la plupart des struc-tures et équipements industriels), le risque serait limité à des dégâts superficiels (déformation des plastiques,décollement des peintures...), et, éventuellement, à une fragilisation possible de certaines structures métalliqueslégères.

5.5. Modèles CFD tridimensionnels

Les méthodes présentées dans cette fiche permettent de traiter la plupart des situations industrielles avec unniveau de précision suffisant au regard de leur rapidité de mise en œuvre et des enjeux associés à la déterminationdes distances d’effets. Toutefois, ces méthodes restent relativement forfaitaires et ne prennent en compte que trèspartiellement les effets directionnels de la dispersion et de l’explosion. Lorsque ceux-ci se manifestent au premierordre (en raison de la présence d’obstacles ou d’un relief accidenté) et que les enjeux le requièrent, les modèlesCFD3 offrent une alternative intéressante, aussi bien pour la caractérisation des nuages inflammables (dispersion,taille, volume, localisation) que pour la détermination des vitesses de flammes et des champs de pression. Diversoutils sont disponibles :

– en dispersion atmosphérique : PHOENIX, FLUENT, CFX, FLACS... ;– en combustion/propagation d’ondes de pression : FLACS, AUTOREAGAS, EXSIM...Ces modèles calculent, pas à pas dans le temps et dans l’espace, l’évolution des paramètres physiques comme la

concentration, la vitesse de l’écoulement, la température, la pression, etc. Une prise en compte assez fine du reliefet des obstacles est donc possible.

Cependant, les coûts et délais encore élevés de mise en œuvre de ces logiciels limitent leur utilisation systéma-tique dans les études réglementaires. Un bon niveau d’expertise est également requis pour interpréter les résultats,s’assurer de leur représentativité physique et surtout de leur aspect conservatif. Pour le moment, ils restent donclimités à des utilisations au cas par cas.

5.6. Références

Mouilleau Y. et Lechaudel J.F., 1999 : Guide des méthodes d’évaluation des effets d’une explosion de gaz àl’air libre, rapport INERIS, téléchargeable sur www.ineris.fr.

EXEMPLE DE CALCUL DES EFFETS D’UN UVCE

L’exemple qui suit illustre les principales règles et hypothèses de calcul proposées dans cette fiche. Toutefois, ilne prétend pas couvrir toutes les situations susceptibles d’être rencontrées dans l’industrie. Il est purement fictif, etbasé sur l’application de la méthode Multi-Energy.

Hypothèses : On considère un rejet accidentel de propane suite à la rupture guillotine d’une canalisation deliquide. Le rejet est supposé libre, horizontal, à 1 mètre au-dessus du sol, et la durée de fuite est de 15 minutes.Ces hypothèses définissent le scénario, elles sont issues d’une analyse de risques.

On suppose également que la fuite est alimentée d’un côté par la vidange d’une capacité (contribution« amont »), de l’autre uniquement par la dépressurisation d’un tronçon de canalisation (contribution « aval »).

1. Calcul du terme sourceUn calcul de débit est réalisé pour les contributions « amont » et « aval ». Les résultats sont donnés dans le

tableau suivant :

CONTRIBUTIONS AMONT AVAL

Débit massique du rejet (kg/s) ............................................... [kg/s] 29,2 35

Vitesse finale du rejet (m/s) ................................................... [m/s] 180 180

Durée du rejet (s) ....................................................................... [s] 900 4

Fraction liquide ............................................................................ – 0,69 0, 69

La contribution aval prend la forme d’un relâchement de produit de très courte durée, assimilable à une bouffée.Dans ce cas, le calcul de dispersion montre que cette bouffée initiale n’a pas d’incidence sur la masse inflam-mable formée. Elle peut être négligée.

2. Calcul de la formation et de la dispersion du nuage de gazLe calcul est réalisé avec un logiciel de dispersion atmosphérique en champ libre. Il permet, à partir des carac-

téristiques du terme source de déterminer la forme et les dimensions du nuage, ainsi que la masse de propane dontla concentration est au-dessus de la LII. Il est effectué avec les conditions météorologiques de Pasquill (F, 3) et(D, 5).

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Les principaux résultats de calcul sont présentées dans le tableau suivant :

Conditions météorologiques ................................................................................................. (F, 3) (D, 5)

Distance à la LII (m) ............................................................................................................... 115 120

Masse inflammable (kg) ........................................................................................................ 160 100

Volume inflammable dans les proportions stœchiométriques (m3) ....................... 2 175 1 340

Dans la suite, le calcul détaillé d’explosion en zone encombrée est exposé dans les conditions (F, 3)uniquement. La démarche de calcul serait identique dans le conditions (D, 5).

Le nuage inflammable prend la forme d’un panache dont les dimensions maximales sont les suivantes dans lesconditions (F, 3) :

Longueur maximale : 115 mètres ;Largeur maximale : 18 mètres ;Hauteur maximale : 4 mètres.

3. Détermination des zones encombrées indépendantes

On imagine que le rejet se produit dans l’environnement suivant (en vue de dessus) :

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Les zones A, B, C, ont pour dimensions respectives :

ZONE LONGUEUR(m)

LARGEUR(m)

HAUTEUR(m)

VOLUME TOTAL(m3)

TAUXd’encombrement

(en %)

VOLUMElibre(m3)

DISTANCEdu pointde rejet

au centrede la zone (m)

A 30 5 4 600 10 560 50

B 15 15 6 1 350 15 1 150 40

C 10 7 7 490 30 354 30

On suppose que ces trois zones peuvent être considérées comme des zones encombrées indépendantes au sensde la méthode Multi-Energy, d’après les critères définis au paragraphe 5.3.

4. Détermination des volumes inflammables dans chaque zone encombréeEn superposant le profil du nuage au « plan » des zones encombrées, on détermine les zones encombrées

susceptibles d’être recouvertes, totalement ou partiellement, par le nuage inflammable. Dans cet exemple, les troiszones A, B et C sont situées à une distance inférieure à la distance à la LII, elles peuvent donc être atteintes par lenuage inflammable.

Cependant, en raison de la forme en panache du nuage, il est peu probable qu’il atteigne en même tempsplusieurs zones encombrées. Les zones recouvertes dépendent de la direction dans laquelle se développe lepanache, et de la direction du vent. On peut aussi imaginer que le gaz se disperse dans un espace libred’obstacles, par exemple entre les zones A et B. Ce cas doit être étudié également.

Pour chaque zone encombrée, le volume inflammable est limité au volume encombré effectivement recouvertpar le nuage, déterminé en comparant les dimensions respectives du nuage et de la zone encombrée.

Ainsi, les zones B et C sont plus hautes que la hauteur maximale du nuage, la hauteur du volume inflammableencombré correspondant est donc limitée à la hauteur du nuage.

La zone A est plus large que le nuage, la largeur du volume inflammable encombré correspondant est limitée àla largeur du nuage.

ZONE

DIMENSIONS DU VOLUME INFLAMMABLE DANS CHAQUE ZONE

TAUXd’encombrement

(en %)

VOLUMEinflammable

encombré (en m3)Longueur

(m)Largeur

(m)Hauteur

(m)Volume total

(m3)

A 5 18 4 360 10 324

B 15 15 4 900 15 765

C 10 7 4 280 30 200

5. Calcul de l’énergie d’explosionPour chaque volume encombré, l’énergie de l’explosion est déterminée en multipliant le volume inflammable

déterminé à l’étape précédente par la chaleur de combustion du propane (3,46 MJ/m3 pour un mélange stœchiomé-trique).

ZONE VOLUME INFLAMMABLE ENCOMBRÉ (m3) ÉNERGIE DE L’EXPLOSION (MJ)

A 324 1 121

B 765 2 647

C 200 692

6. Identification du centre de l’explosionLa procédure proposée au § 5.3.2 permet de déterminer le centre de l’explosion pour chacune des zones A, B

et C. Dans le cas des zones B et C, le nuage est susceptible de recouvrir totalement la surface occupée par la zoneencombrée : le centre de l’explosion est donc situé au centre des zones encombrées. Dans le cas de la zone A, lalargeur maximale du nuage est inférieure à la largeur de la zone encombrée. Le centre de l’explosion est doncsitué au centre du volume inflammable. Selon la direction du jet, la partie de la zone A recouverte par le nuageinflammable peut varier. Le centre de l’explosion est donc susceptible de se déplacer dans la zone A.

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7. Choix de l’indice de violence

On suppose que l’analyse de chaque zone encombrée conduit à retenir les indices de violence suivants :

ZONE INDICE MULTI-ENERGY SURPRESSION MAXIMALEcorrespondante (mbars)

A 5 200

B 6 500

C 6 500

Le jet pourrait également se développer en champ libre, par exemple entre les zones A et B. Dans ce cas, c’estle volume inflammable total qui est considéré (1 340 m3), et nous supposerons une surpression maximale de100 mbars (indice de violence 4), en raison de la nature du jet (initialement fortement turbulent).

8. Calcul des effets de pression

Avec les hypothèses précédentes, l’utilisation des abaques de décroissance du paragraphe 5.3.3 permet de déter-miner les distances d’effet qui suivent. Ces distances sont comptées, pour les zones A, B et C, depuis le centre del’explosion déterminé à l’étape 6.

Pour l’explosion en champ libre, la distance est comptée à partir du point de fuite, en supposant que le centrede l’explosion est situé au centre du nuage inflammable, c’est-à-dire à la moitié de la distance à la LII. Celarevient à ajouter la moitié de la distance à la LII à la distance d’effet calculée.

ZONE ENCOMBRÉE 200 MBARS 140 MBARS 50 MBARS

A 12 m 20 m 55 m

B 50 m 65 m 155 m

C 30 m 40 m 100 m

Explosion du nuage en champlibre Non atteint Non atteint 115 m*

* 115 m = 58 m (distance d’effet) + 57 m (demi-distance à la LII).

On notera en particulier que l’explosion dans la zone C entraîne des distances d’effet plus grandes quel’explosion dans la zone A, alors qu’elle met en jeu un volume inflammable plus petit. Cela est dû au niveau desurpression maximal (indice de violence) associé à chaque explosion.

Il est possible de positionner ces zones sur un plan, comme ci-dessous pour les distances au seuil de 50 mbars(sur cet exemple, l’échelle n’est respectée qu’approximativement). Pour le cas particulier de l’exposition en champlibre, ce tracé en forme de cercle centré sur le point de fuite suppose qu’il n’y a pas de direction prévisible durejet.

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9. Effets thermiques

Les effets thermiques sur l’homme sont déterminés à partir de la distance à la LII, comme indiqué au para-graphe 5.4.

Seuil des effets létaux Seuil des effets irréversibles

120 m 130 m

10. Influence du volume inflammable

A titre d’illustration, le calcul d’explosion en champ libre est effectué dans les conditions (D, 5). On remarqueraque pour un volume inflammable 40 % plus petit que dans les conditions (F, 3), la distance d’effet est presqueinchangée, ce qui illustre le peu de sensibilité des distances d’effets à une incertitude sur le volume inflammable(rappelons que celui intervient à la puissance un tiers dans les abaques de décroissance de la méthode Multi-Energie).

Conditions météorologiques (F, 3) (D, 5)

Distance à la LII (m) 115 120

Volume inflammable dans les proportions stœchiométriques (m3) 2 175 1 340

Distance au seuil de 50 mbars comptée à partir du point de fuite (= deffet + 1/2 dLII) 115 m(58 m + 57 m)

110 m(50 m + 60 m)

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BLEVE

RAPPEL PRÉLIMINAIRE

L’occurrence d’un BLEVE est liée à la rupture brutale d’un réservoir de gaz liquéfié, survenant lorsque leréservoir est soumis à une agression thermique ou mécanique. Le phénomène de BLEVE est donc l’effet dominosd’un événement précurseur tel que l’impact d’un projectile, l’échauffement par un feu torche impactant, unsurremplissage...

La présente fiche ne concerne que le cas particulier des BLEVE de réservoirs contenant du GPL.

1. Définition

BLEVE : Boiling Liquid Expanding Vapour Explosion, ou Vaporisation explosive d’un liquide porté à ébul-lition.

Le BLEVE peut être défini comme la vaporisation violente à caractère explosif consécutive à la ruptured’un réservoir contenant un liquide à une température significativement supérieure à sa températured’ébullition à la pression atmosphérique.

Tous les stockages de gaz liquéfiés sous pression sont susceptibles d’être le siège d’un BLEVE. En effet, leBLEVE est associé avant tout à un changement d’état à caractère explosif, et non à une réaction decombustion. Aussi, il n’est pas nécessaire que le produit concerné soit inflammable pour parler de BLEVE.

Les effets d’un BLEVE sur l’environnement se manifestent généralement de trois manières :– effets de pression : propagation d’une onde de surpression ;– effets missiles : projection de fragments à des distances parfois très importantes ;– effets thermiques : dans le cas d’un BLEVE de gaz liquéfié inflammable, rayonnement de la boule de feu.

2. Théorie

La théorie du BLEVE fait appel à la notion de température limite de surchauffe (TLS).Lorsqu’on transfère, à pression donnée, de la chaleur à un liquide, celui-ci subit une augmentation de tempé-

rature, jusqu’à atteindre son point d’ébullition et à former des bulles de vapeur qui se développent sur les sitesactifs que sont les impuretés et les interfaces avec les parois. Lorsqu’il n’y a pas suffisamment de sites denucléation dans le liquide, le point d’ébullition peut être dépassé sans qu’il n’y ait d’ébullition. Dans ce cas, leliquide est dit surchauffé. Il existe cependant une limite de température, à une pression donnée, au-delà de laquellese développent des bulles de vapeur dans tout le liquide, même en l’absence de sites de nucléation. Cette limiteest la température limite de surchauffe.

Considérons un gaz liquéfié pur à l’équilibre thermodynamique dont l’état est présenté par le point A. Si on luifournit de la chaleur, le point représentatif de son état se déplace sur la courbe de vapeur saturante jusqu’àrejoindre le point B. Le gaz peut alors passer, par dépressurisation brutale, à l’état représenté par le point E enrestant, au moins momentanément, surchauffé, à l’état liquide avant de se vaporiser plus ou moins rapidement. Enrevanche, un gaz dont l’état est représenté par le point C de la courbe de tension de vapeur, qui est dépressurisébrutalement à la pression atmosphérique (point D) subit une vaporisation homogène, rapide et totale à caractèreexplosif, car il ne peut subsister à l’état liquide à une température supérieure à sa température limite de surchauffe.

Courbe de tension de vapeur saturante et de droite limite de surchauffe.

La notion de BLEVE froid ou chaud se réfère uniquement à la température limite de surchauffe (TLS) duproduit :

– la transformation B-E, qui se produit en dessous de la température limite de surchauffe à pression atmos-phérique, est généralement appelée « BLEVE froid » ;

– la transformation C-D, qui se produit au-dessus de la température limite de surchauffe à pression atmos-phérique, est généralement appelée « BLEVE chaud ».

Courbes de vapeur saturante et de température limite de surchauffe du propane et du butane (donnéesissues de la base de données publiques DIPPR)

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La zone dite de « fonctionnement normal » correspond aux conditions de température et de pression usuellementrencontrées en exploitation. La température de stockage impose la pression dans le réservoir : par exemple, pour lepropane stocké à 20 oC la pression est de 8,4 bars absolus.

Pour qu’un BLEVE chaud se produise, il faut donc que la pression d’éclatement du réservoir soit supérieure à19,9 bars pour du propane et 17 bars pour du butane. Pour des pressions inférieures la rupture conduit à unBLEVE « froid ».

La distinction entre BLEVE « froid » et BLEVE « chaud » décrite ci-dessus est théorique. En pratique, la tran-sition entre les deux s’effectue de manière continue. L’analyse du retour d’expérience montre qu’il est difficile dedistinguer, a posteriori, un BLEVE « froid » d’un BLEVE « chaud ».

Etapes de développement d’un BLEVE « chaud » (d’après S. Shield, 1993)

3. Descriptions des effetsLes effets du BLEVE sont de trois types : thermiques, surpression et missile. D’une manière générale, les

distances aux seuils d’effets de surpression (50 et 140 mbars) sont moindres que les distances aux seuils d’effetsthermiques (600 et 1 000 [kW/m2]4/3.s).

En théorie, le BLEVE « froid » engendre des effets moindres que le BLEVE « chaud » car la pression et latempérature de rupture sont plus basses. De ce fait, le flash du liquide en gaz n’est pas total : une flaque deliquide peut se former au sol et engendrer un feu de nappe. Les niveaux de surpression dans l’environnement sontégalement plus faibles lors d’un BLEVE « froid », et les fragments sont projetés à des distances assez courtes.

3.1. Effets thermiquesLes effets thermiques sont liés au rayonnement thermique de la boule de feu et, le cas échéant, de la

combustion de la flaque au sol. La durée d’exposition au rayonnement, qui dépend de la composition, de laquantité et de la température du produit présent, est de courte durée (d’environ quelques secondes pour un petitcamion citerne à environ quelques dizaines de secondes pour une sphère de 1 000 m3).

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Le rayonnement suit la cinétique du phénomène. Pendant la phase d’inflammation du nuage et de croissance dela boule de feu, le flux thermique atteint rapidement le maximum de son intensité, pour décroître (au niveau dusol) à mesure que la boule de feu s’élève dans le ciel, avant de chuter rapidement quand la boule de feu serésorbe.

Allure du flux thermique reçu par une cible lors d’un BLEVE « chaud »Parce que le rayonnement thermique n’est pas constant et que le phénomène est de courte durée, de l’ordre de

la dizaine de secondes, les seuils thermiques utilisés pour la définition des effets létaux et irréversibles sont ceuxde faible durée définis par l’arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la proba-bilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents poten-tiels dans les études de dangers des installations classées soumises à autorisation :

– seuil des effets irréversibles correspondant à la zone des dangers significatifs pour la vie humaine :600 (kW/m2)4/3.s ;

– seuil des premiers effets létaux correspondant à la zone des dangers graves pour la vie humaine :1 000 (kW/m2)4/3.s ;

– seuil des effets létaux significatifs correspondant à la zone des dangers très graves pour la vie humaine :1 800 (kW/m2)4/3.s.

En effet dans le cas où la durée du phénomène est inférieure à 2 minutes, le calcul des distances se fait enterme de doses thermiques reçues exprimés en [(kW/m2)4/3]. s, et non en terme de flux exprimés en [kW/m2].

La figure suivante représente l’allure des courbes de distances d’effet en fonction du taux de remplissage. Laposition relative des courbes peut varier en fonction de la nature du produit et de la pression d’éclatement, mais,de manière générale, les tendances suivantes se dégagent :

– les distances d’effet enveloppes sont données par les effets thermiques calculés pour un réservoir plein. Lesdistances au seuil des effets irréversibles de surpression (50 mbars) sont inférieures aux distances au seuil deseffets irréversibles thermiques (600 [kW/m2]4/3. s) ;

– en dessous d’un certain taux de remplissage (de l’ordre de 15 à 30 % selon les conditions de rupture et lanature du produit), les effets de pression peuvent devenir majorants par rapport aux effets thermiques.

Le seuil de 1 800 (kW/m2)4/3. s peut ne pas être atteint dans le cas de BLEVE de petits réservoirs (de l’ordre dequelques mètres cubes). Dans ce cas, la distance d’effet associée peut être prise égale au rayon de la boule de feu.

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Allure de l’évolution des effets thermiques et de pression lors d’un BLEVE, en fonction du taux de remplissage

Dans le cas d’un BLEVE « froid », les effets thermiques sont produits à la fois :– par le rayonnement de la boule de feu (de taille plus réduite qu’en cas de BLEVE « chaud ») ;– par le rayonnement d’un feu de nappe si une flaque se forme au sol.Le pouvoir émissif du feu de nappe étant deux à trois fois inférieur à celui de la boule de feu, on admet que les

effets thermiques produit par un BLEVE « froid » sont inférieurs à ceux produits par un BLEVE « chaud ». Cepoint est vérifié lors des essais expérimentaux.

3.2. Effets de surpression

Un enregistrement de la surpression engendrée par un BLEVE est reproduit sur la figure suivante. Ce profiltypique, mentionné par de nombreux auteurs (Shield 1993, Birk 1997, etc.), met en évidence un premier pic suivid’une phase négative prononcée, un deuxième pic rapproché d’amplitude voisine du premier, puis, plus tardi-vement, un troisième pic très large.

Exemple de signal de pression enregistré lors d’un BLEVE de butane (essai British Gas, d’après S. Shield 1993)

Le premier pic résulte clairement de la détente brutale de la phase gazeuse du réservoir. A l’échelle expéri-mentale, une corrélation peut être établie entre l’amplitude du premier pic et l’énergie de détente du ciel gazeux.

L’interprétation du deuxième pic est plus délicate :– Shield l’attribue à la vaporisation explosive du liquide, et note qu’il apparaît toujours dans la phase de

dépression qui suit le premier pic ;– d’autres auteurs, comme Birk, attribuent les deux premiers pics à un seul et même phénomène physique, la

détente de la phase vapeur. Birk souligne que cette succession de pics de pression est également visible lorsd’éclatements de réservoirs qui ne contiennent que du gaz. Il note par ailleurs une corrélation très nette entrele premier et le deuxième pic, quel que soit le taux de remplissage au moment de la rupture, ce qui suggé-rerait que les deux pics sont dus au même phénomène physique. De plus, ce profil typique de surpression estobservé indépendamment de la température du liquide à la rupture. Or, en théorie, un pic de vaporisation duliquide ne devrait être visible que lorsque celle-ci présente un caractère explosif, c’est-à-dire lorsque latempérature du liquide est supérieure à la température de surchauffe à la pression atmosphérique. Enfin, lasurpression maximale engendrée par le BLEVE diminue lorsque le niveau de remplissage augmente, mêmelorsque la température du liquide est supérieure à la TLS à pression atmosphérique.

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Surpression maximale engendrée par un BLEVEen fonction du taux de remplissage à la rupture. – Essais de Birk

Le troisième pic est classiquement attribué à la combustion de la boule de feu. Il est d’amplitude généralementplus faible que les deux premiers, mais sa durée est beaucoup plus longue. D’après Shield, le pic de combustionprésente les plus grands niveaux d’impulsion, et est donc responsable des dégâts aux structures. Néanmoins,la réglementation prescrit des seuils d’effets exprimés en terme de surpression. Il est donc nécessaire de s’inté-resser au niveau de surpression maximum engendré par les deux premiers pics.

La difficulté à interpréter les deux premiers pics rend difficile le choix d’un modèle physique. Toutefois, quelleque soit cette interprétation, il semble bien que l’on puisse dimensionner les effets de surpression à partir de ladétente de la phase gazeuse.

Dans le cas du BLEVE « froid », ces trois pics de pression sont également présents. Leur amplitude relative estfonction de la fraction gazeuse à la rupture et du taux de vaporisation. Néanmoins, il semble que les niveaux depression soient assez limités, car les énergies de détente de la vapeur et de vaporisation du liquide sont d’autantplus faibles que la température est basse. Les données expérimentales disponibles à l’échelle moyenne confirmentce point.

3.3. Effets missiles

Les BLEVE « chauds » et les BLEVE « froids » produisent des effets missiles. Le retour d’expérience montreque lors d’un BLEVE, la rupture du réservoir produit un nombre limité de fragments, en général moins de quatreou cinq. Des fragments peuvent être projetés à des distances très élevées (plusieurs centaines de mètres), car leurimpulsion initiale, communiquée par la vaporisation quasi instantanée du liquide, est très grande. Au moins deuxBLEVE survenus sur des citernes mobiles (Kamena Vourla, Grèce, 1999, et Belleville, Canada, 2002) ont projetéle réservoir presque entier à environ 800 mètres. Toutefois, le retour d’expérience sur les BLEVE de citernesmobiles montre qu’environ 85 % des fragments sont projetés dans un rayon de 300 mètres autour du réservoir.

Dans le cas des réservoirs cylindriques, les essais et le retour d’expérience montrent que les fragments sontprojetés préférentiellement selon l’axe du réservoir. La préconisation consistant à ne pas placer de cible sensibledans l’axe des réservoirs cylindriques est donc justifiée. Toutefois, on ne peut exclure la projection dans unedirection perpendiculaire, car il ne s’agit que d’une répartition statistique (d’après Birk, deux tiers des fragmentssont projetés dans l’axe du réservoir, et un tiers perpendiculairement).

4. Causes. – Réalités physiques

Sur un dépôt de GPL, un BLEVE peut être observé pour 5 types de réservoirs :– BLEVE d’une sphère ;– BLEVE d’un wagon-citerne ;– BLEVE d’un camion-citerne ;– BLEVE d’un petit réservoir vrac (réservoir cylindrique) ;– BLEVE d’une bouteille.

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Les causes d’un BLEVETrois principales causes du BLEVE ont été identifiées, dont deux sont liées à des agressions externes :– un impact mécanique ;– une agression thermique (feu torche ou feu de nappe) ;– le surremplissage du réservoir.

NATURE DU RÉSERVOIR IMPACT MÉCANIQUE AGRESSION THERMIQUE SURREMPLISSAGEdu réservoir

Sphère BLEVE « froid » BLEVE « chaud » ou « froid » BLEVE « froid »

Wagon-citerne* BLEVE « chaud »

Camion-citerne* BLEVE « chaud »

Réservoir petit vrac (cylindre) BLEVE « chaud » ou « froid »

Bouteille BLEVE « chaud »

* Sans soupape.

L’impact mécanique ne peut conduire qu’à la formation d’un BLEVE « froid », car il n’y a pas d’échauf-fement du réservoir qui pourrait augmenter la température du GPL contenu au-delà de la TLS.

Une agression thermique (feu torche, feu de nappe) peut engendrer les deux types de BLEVE, selon que larupture se produit à une température inférieure ou supérieure à la TLS. Les conditions à la rupture dépendent enparticulier de la présence ou non de soupapes. En théorie, les réservoirs sans soupape ne peuvent conduire qu’à unBLEVE « chaud », car à la pression d’éclatement du réservoir (de l’ordre de 20 à 30 bars) la température est supé-rieure à la TLS. En pratique, le type de BLEVE dépend également de la mécanique de la rupture, qui est un para-mètre totalement inconnu a priori.

En cas de surremplissage du réservoir, une montée en température entraîne la dilatation du liquide à l’inté-rieur, qui peut aller jusqu’à la disparition complète de la phase gazeuse : c’est le phénomène de plein hydrau-lique. La pression monte alors extrêmement rapidement dans le réservoir et entraîne sa rupture, mais la tempé-rature peut être encore bien plus basse que la TLS à pression atmosphérique. Dans ce cas, le phénomène est unBLEVE « froid ».

5. Modélisation des effets

5.1. Effets thermiquesPréliminairePour étudier un phénomène de BLEVE, « chaud » ou « froid », les effets thermiques doivent être systéma-

tiquement modélisés.En raison des difficultés à déterminer les critères d’exploitation fiables qui permettraient de s’affranchir de

manière générique du BLEVE « chaud » (telle qu’une impossibilité physique de dépasser la TLS),en raison du retour d’expérience qui met en évidence l’impossibilité de déterminer de manière fiable a posteriori

si un BLEVE a été « chaud » ou « froid », en raison de l’usage des résultats des modélisations à des fins de protection des tiers par le biais de la maîtrise

de l’urbanisation et d’élaboration des plans de secours, la modélisation à considérer pour la détermination des effets thermiques du BLEVE en tant que potentiel

de danger, qu’il soit « froid » ou « chaud », est celle d’un BLEVE « chaud ».Les effets thermiques des scénarios étudiés dans l’Etude de dangers doivent être modélisés avec les hypothèses

de calcul déterminées par l’analyse des risques.Choix du modèleA la demande du ministère de l’écologie et du développement durable, l’INERIS a comparé plusieurs modèles

de calcul des effets thermiques disponibles dans la littérature (Leprette, 2002). La plupart (modèles du TNO, duCCPS) sont des modèles purement empiriques et très simples, qui permettent de déterminer, à partir de la seuleconnaissance de la masse de produit contenue dans le réservoir, les principales caractéristiques du BLEVE (tailleet durée de vie de la boule de feu). Ils permettent, à partir d’un modèle classique de rayonnement thermique, decalculer l’effet thermique du BLEVE.

Le centre de recherche de SHELL (Thornton Research Centre, TRC) a développé un modèle semi-empiriqueplus complexe qui décrit la physique du phénomène. Ce modèle, souvent appelé modèle TRC, ou modèle deShield, est à la base des formules de l’arrêté du 5 juin 2003 modifiant l’arrêté du 9 novembre 1989 qui fixe desdistances d’isolement. Son utilisation est préconisée par le groupe de travail « Etudes de dangers » auprès du CSIC(avis du 10 décembre 2003). Il est également disponible dans le logiciel FRED commercialisé par SHELL.

Les distances d’isolement de l’arrêté du 9 novembre 1989 modifié se fondent sur des valeurs de1 000 (kW/m2)4/3.s pour le seuil de létalité et de 600 (kW/m2)4/3.s pour le seuil des brûlures significatives. Cesformules réglementaires ne sont valables que pour les réservoirs munis de soupapes, en raison des hypothèsesfaites sur la pression d’éclatement, et pour un taux de remplissage compris entre 30 et 85 %.

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Modèle TRC SHIELDLe modèle est construit à partir d’essais réalisés par British Gas dans les années 1990 sur des capacités de

quelques tonnes de GPL (propane et butane). Il permet de simuler l’évolution du phénomène dans le temps, enconsidérant trois phases de développement de la boule de feu :

1) Phase d’inflammation du nuage et de développement de la boule de feu jusqu’à son diamètre maximal, ouphase d’expansion.

Durant cette phase, le modèle suppose une évolution linéaire du rayon et du pouvoir émissif de la boule de feuavec le temps jusqu’à leur valeur maximale.

2) Phase de combustion de la boule de feu.Durant cette phase le modèle suppose :– une décroissance linéaire de la température de la boule de feu entre sa valeur maximale et sa valeur de début

d’extinction. Le modèle évalue la température finale de la boule de feu à 0,88 fois sa température maximale(cette hypothèse provient de l’observation des résultats expérimentaux) ;

– une vitesse d’ascension de la boule de feu constante. L’absence d’accélération verticale ascendante notables’explique dans la mesure où la boule de feu entraîne de l’air et donc se refroidit alors qu’elle s’élève. Eneffet, dans le cas contraire, elle devrait accélérer fortement dans la direction verticale du fait d’une différencede température importante avec l’ambiante ;

– un rayon de la boule de feu constant lors de son ascension.3) Phase d’extinction.L’extinction de la boule de feu est supposée complète lorsque les dernières gouttes qui se sont enflammées,

alors que la boule de feu était à sa température maximale (fin de la phase d’expansion), sont consumées.Durant cette phase le modèle suppose une décroissance linéaire du rayon de la boule de feu avec le temps et un

maintien de la valeur du pouvoir émissif. La boule de feu est supposée rester à l’altitude qu’elle avait à la fin deson ascension.

Le modèle repose sur un certain nombre d’hypothèses et de relations empiriques spécifiques aux GPL(butane et propane). C’est pourquoi son utilisation pour d’autres gaz liquéfiés est impossible de manière systéma-tique et doit être envisagée au cas par cas.

Paramètres d’entrée du modèle TRC Shield :Le modèle peut être utilisé pour des taux de remplissage compris entre 30 et 85 %.En dessous de 30 %, l’effet de surpression peut devenir prépondérant. Il est donné par la détente de la phase

gazeuse.Dans ce cas, des modèles d’éclatement pneumatique de réservoir sont plus appropriés.Au-dessus de 85 %, le réservoir peut se rompre par plein hydraulique et donner un BLEVE « froid ».Le groupe de travail « Etudes de dangers » auprès du CSIC s’est prononcé sur la validité du modèle TRC au

travers de deux avis, le 10 décembre 2003 et le 16 juin 2004.

PARAMÈTRES LIÉS AUX CONDITIONS DE STOCKAGE PARAMÈTRES LIÉS AUX CONDITIONS AMBIANTES

Paramètre Valeur conseillée Paramètre Valeur conseillée

Nature du produit (conditionneles propriétés thermodyna-miques à retenir)

Données butane et propanecommercial de TRC Shield

Pression atmosphérique 1013 hPa

Volume du réservoir Volume nominal du réservoir Température ambiante 20 oC

Taux de remplissage (1) Humidité de l’air 70 % HR

Pression d’éclatement Présence ou non de soupapes (2)

(1) Taux de remplissage.Le taux de remplissage à prendre en compte pour la modélisation est :– pour un réservoir utilisé à moins de 85 % de sa capacité, celui dont l’atteinte génère l’arrêt du remplissage ;– pour un réservoir exploité à 85 % ou plus de sa capacité, 85 %. En effet ce niveau est celui qui génère l’effet maximal. Il est

rappelé que les formules de l’arrêté ministériel du 9 novembre 1989 modifié le 5 juin 2003 sont des modèles simplifiés qui ne sontpas valables pour des taux de remplissage supérieurs à 85 %.

(2) Pression d’éclatement.Le choix de la pression d’éclatement dépend du type de réservoir étudié. Les essais réalisés sur des capacités de quelques

mètres cubes munies de soupapes montrent que la rupture survient à une pression égale à la pression de tarage des soupapes.Dans le cas des réservoirs sans soupape, la rupture se produit à une pression plus élevée, proche de la pression d’épreuve desréservoirs. Les formules du 5 juin 2003 sont établies pour une pression d’éclatement égale à la pression de tarage des soupapesusuellement rencontrées sur les sites. Elles ne sont donc pas applicables aux réservoirs mobiles qui sont dépourvus de soupape.

Néanmoins, la prise en compte des soupapes suppose que toutes les conditions garantissant leur bon fonc-tionnement sont réunies. Il est donc proposé de ne retenir une pression d’éclatement égale à la pression de tarageque lorsque les soupapes sont retenues comme une mesure de maîtrise des risques.

RÉSERVOIR MUNI DE SOUPAPES RÉSERVOIR SANS SOUPAPE

Pression d’éclatement Pression de tarage des soupapes Pression d’épreuve du réservoir

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Dans le cas d’un réservoir mobile (sans soupape), la pression d’éclatement peut être considérée comme égale àla pression d’épreuve du réservoir. En effet, on admet généralement qu’un réservoir éclate pneumatiquement àdeux fois sa pression d’épreuve, mais, par ailleurs, ses caractéristiques mécaniques sont divisées par deux lorsqu’ilest chauffé à 500 oC. Cette pression d’épreuve est de l’ordre de 25 à 30 bars pour les citernes routières et ferro-viaires.

Formules réglementairesL’arrêté du 9 novembre 1989 modifié par l’arrêté du 5 juin 2003 fixe des distances d’isolement relatif aux

seuils de 600 et 1 000 (kW/m2)4/3.s. Les formules ci-après qui sont une application du modèle TRC avec les hypo-thèses standard suivantes (arrêté du 5 juin 2003) :

Taux de remplissage 85 %

Conditions de stockage Propane : 17 bars abs

Pression d’éclatementButane : 7,5 bars abs

Température atmosphérique 20 oC

Conditions ambiantes

Humidité de l’air 70 %

Les pressions de rupture retenues correspondent aux pressions de tarage des soupapes les plus courammentutilisées sur les réservoirs fixes de propane et de butane.

Les distances sont exprimées en mètres, la masse en kilogrammes. La masse correspond à la masse maximalede gaz liquéfié contenu dans le réservoir.

BUTANE PROPANE

Distance d’isolement relatif au seuil de 1 800 (kW/m2)4/3.s 0,81 M0,471 1,28 M0,448

Distance (m) d’isolement relatif au seuil de 1 000 (kW/m2)4/3.s 1,72 M0,437 1,92 M0,442

Distance (m) d’isolement relatif au seuil de 600 (kW/m2)4/3.s 2,44 M0,427 2,97 M0,425

* Dans ce tableau, les formules proposées au seuil de 1 800 (kW/m2)4/3.s ne sont pas réglementaires.

Attention, l’application des formules du 5 juin 2003 aux réservoirs mobiles est erronée et minorante, carla pression d’éclatement des citernes routières et ferroviaires, qui ne sont pas munies de soupapes, est plusélevée.

A titre d’illustration, les distances d’effet sont tracées en fonction de la masse sur la figure suivante :

Distances aux seuils des effets thermiques par les formules de l’arrêté ministériel du 5 juin 2003(en l’absence d’une formule réglementaire, les distances à 1 800 (kW/m2)4/3 .s sont calculées directement avec lemodèle TRC)

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Sensibilité du modèleLe modèle TRC est sensible à la variation de certains paramètres ou de certaines hypothèses. On note par

exemple un écart de l’ordre de 10 % sur les distances calculées avec le logiciel FRED (commercialisé par Shell)et les formules réglementaires, alors que les deux utilisent le modèle TRC. L’écart provient d’une prise en comptedifférente de l’influence de l’humidité ambiante sur l’absorption du rayonnement thermique, la relation empiriqueproposée par FRED étant un peu plus complexe, mais aussi plus précise, que la corrélation employée pour l’éta-blissement des formules réglementaires.

Comparaison formules du 5 juin 2003 et logiciel FRED Propane

Le modèle est également sensible, dans une certaine mesure, à une incertitude sur les données d’entrée. Parexemple, une augmentation de 10 % sur la pression d’éclatement entraîne une augmentation d’environ 2 % sur lesdistances d’effets ; une augmentation de 10 % du taux de remplissage entraîne une augmentation de l’ordre de 5 %des distances d’effets.

Sans entrer dans une étude systématique de la sensibilité du modèle, on peut retenir que les formules régle-mentaires constituent des courbes enveloppe mais qu’il est possible d’affiner le modèle en améliorant, quandc’est possible, certaines relations empiriques utilisées par le modèle.

En tout état de cause, il est bon de rappeler qu’une variation de l’ordre de 10 % sur les distances est certai-nement inférieure à la précision réelle du modèle.

Cas des réservoirs mobiles

L’application des formules du 5 juin 2003 aux réservoirs mobiles est erronée et minorante, car lapression d’éclatement des citernes routières et ferroviaires, qui ne sont pas munies de soupape, est plusélevée.

Les tableaux suivants présentent les distances d’effets thermiques des BLEVE de citernes mobiles, calculéespour des réservoirs pleins avec le modèle TRC.

PROPANE, RÉSERVOIR REMPLI À 85 %

Réservoirs mobiles Pression d’éclatement 600 (kW/m2)4/3.s 1 000 (kW/m2)4/3.s 1 800 (kW/m2)4/3.s

Wagon-citerne 119 m3 ........................... 27 bars 320 255 190

Wagon-citerne 90 m3 ............................. 27 bars 285 225 170

Camion-citerne 20 t ................................ 25 bars 215 170 125

Camion-citerne 9 t .................................. 25 bars 155 120 85

Camion-citerne 6 t .................................. 25 bars 125 100 70

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BUTANE, RÉSERVOIR REMPLI À 85 %

Réservoirs mobiles Pression d’éclatement 600 (kW/m2)4/3.s 1 000 (kW/m2)4/3.s 1 800 (kW/m2)4/3.s

Wagon-citerne 119 m3 ........................... 27 bars 355 285 220

Wagon-citerne 90 m3 ............................. 27 bars 315 255 195

Camion-citerne 20 t ................................ 25 bars 240 195 145

Camion-citerne 9 t .................................. 25 bars 170 135 100

Camion-citerne 6 t .................................. 25 bars 145 115 85

Il est à noter que les distances calculées pour le butane sont légèrement supérieures à celles calculées pour lepropane, contrairement à ce que l’on calcule pour les réservoirs munis de soupapes. Cette différence illustrel’influence de la pression d’éclatement sur les distances d’effets. Pour les réservoirs fixes, la pression d’éclatement(égale à la pression de tarage des soupapes) est beaucoup plus basse pour le butane (7 bars) que pour le propane(17 bars), c’est pourquoi les distances liées au propane sont plus grandes que celles liées au butane. Pour les réser-voirs mobiles, la pression d’éclatement est équivalente dans les deux cas (27 bars pour les wagons, 25 bars pourles camions), si bien que les distances liées au butane deviennent supérieures à celles liées au propane. Cesvaleurs de pression d’éclatement reprises dans les deux tableaux ci-dessus ne sont valables que pour des scenariioù la citerne est soumise à une agression thermique externe. C’est en effet le seul cas où l’on peut considérer quela pression d’éclatement est égale à la pression d’épreuve, l’agression thermique faisant chuter la résistance méca-nique de l’enveloppe d’un facteur 2 environ lorsqu’elle est portée à 500 oC.

5.2. Effets de surpression

PréliminaireLes effets de surpression du BLEVE ont été peu étudiés et modélisés en raison de l’impact majorant des effets

thermiques. La modélisation de ces effets peut être utile pour :– le cas où un réservoir est utilisé à moins de 30 % de sa capacité nominale (cf. graphe effets thermiques

– effets de surpression au paragraphe 3.1) ;– la détermination des effets dominos par impact sur les structures (seuil de surpression de 200 mbars) ;– la détermination des distances d’effets par surpression pour établir les cartes d’aléa pour les PPRT.La propagation de l’onde de surpression dépend de l’environnement dans lequel elle évolue. En deçà de

50 mbars, l’influence de paramètres extérieurs comme le sens et la vitesse du vent, la topographie, la hauteur et ladensité du ciel nuageux, les phénomènes de réflexions à grande échelle sur les basses couches de l’atmosphèreetc., n’est pas prise en compte par les modèles, bien qu’elle ne soit pas toujours négligeable.

Pour assurer la cohérence avec les observations expérimentales décrites au chapitre 3, le modèle retenu doitprésenter a minima les caractéristiques suivantes :

– effets de pression maximum lorsque le réservoir est peu rempli ;– effets de pression diminuant lorsque le taux de remplissage augmente ;– calcul et comparaisons des trois pics de pression.La plupart des modèles disponibles dans la littérature (Prugh 1991, Birk 1996, Planas-Cuchi 2004,...) sont basés

sur un équivalent TNT calculé à partir de l’énergie libérée par la vaporisation. Ils donnent des ordres de grandeursatisfaisants, mais la tendance décrite ci-dessus n’est pas respectée.

Le modèle TRC Shield semble le seul à décrire de manière satisfaisante cette tendance. Il est basé sur un calculet une comparaison des trois pics successifs observés lors d’un BLEVE :

– pic de détente de la phase gazeuse ;– pic de vaporisation de la phase liquide ;– pic de combustion de la boule de feu.Toutefois, ce modèle a un domaine de validité restreint à une plage de taux de remplissage compris entre 30 %

et 85 % environ. Si l’on admet que les effets de surpression sont essentiellement dus à la détente de la phasevapeur, il peut être nécessaire de disposer d’un modèle valide pour des taux de remplissage inférieurs à 30 %.Dans ce cas, un modèle d’éclatement pneumatique (basé sur le calcul d’une pression de choc et d’une énergied’éclatement, l’énergie de Brode par exemple, cf. Heudier 2004) peut être utilisé. A noter qu’un tel modèle peutêtre employé quel que soit le taux de remplissage, puisqu’il n’est fonction que du volume de la phase gazeuse etde la pression d’éclatement.

Les effets de pression calculés sont toujours inférieurs aux effets thermiques (à seuil d’effet équivalent), saufpour les faibles taux de remplissage.

Seul le pic de détente de la phase gazeuse est susceptible de produire des niveaux de pression supérieurs à300 mbars. Ce seuil n’est atteint que dans le champ proche du réservoir, et donne des distances d’effets inférieuresaux effets thermiques à 1 800 (kW/m2)4/3.s, excepté si le réservoir est faiblement rempli.

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Le cas du seuil réglementaire de 20 mbars est particulier, car il n’a pas d’équivalent en termes d’effet ther-mique. Les modèles d’éclatement pneumatique donnent des distances à 20 mbars (pour l’éclatement du réservoirvide) du même ordre que le seuil irréversible thermique (pour le BLEVE du réservoir plein). Elle sont tantôt unpeu supérieures, tantôt un peu inférieures selon la pression rupture du réservoir. Il n’est toutefois pas nécessaire demodéliser les distances d’effets à 20 mbars, l’arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à la prise encompte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des consé-quences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classées soumises à autorisationsuggère de prendre le double de la distance d’effets à 50 mbars.

Application aux réservoirs mobiles :Les tableaux suivants présentent les distances d’effets de pression associées à l’éclatement de réservoirs ne

contenant que du gaz, pour une pression d’éclatement de 27 bars (wagons) ou 25 bars (camions).La méthode employée est décrite dans le rapport � 15 de l’INERIS, téléchargeable sur le site internet de

l’INERIS. Elle consiste à assimiler l’énergie de l’explosion à l’énergie de l’éclatement pneumatique (énergie deBrode), définie par :

E = � P.V/(� – 1),où � P est la surpression dans le réservoir, V le volume du réservoir et � le rapport des capacités calorifiques

du gaz (� = 1,07 pour le propane ; � = 1,1 pour le butane). La loi de décroissance de la surpression aérienne enchamp lointain est donnée par la courbe d’indice 10 de la méthode Multi-Energy (cf. fiche UVCE), avec ladistance dimensionnée par l’énergie de Brode.

PROPANE, RÉSERVOIR VIDE DE LIQUIDE

Réservoirs mobiles 7 300 mbars 200 mbars 140 mbars 50 mbars 20 mbars

Wagon-citerne 119 m3 ...... 27 bars 50 60 80 185 370

Wagon-citerne 90 m3 ......... 27 bars 45 55 70 170 340

Camion-citerne 20 t ........... 25 bars 35 45 65 130 260

Camion-citerne 9 t ............. 25 bars 25 35 45 100 200

Camion-citerne 6 t ............. 25 bars 25 30 40 90 180

BUTANE, RÉSERVOIR VIDE DE LIQUIDE

Réservoirs mobilesPression

d’éclatement300 mbars 200 mbars 140 mbars 50 mbars 20 mbars

Wagon-citerne 119 m3 ...... 27 bars 45 55 70 160 320

Wagon-citerne 90 m3 ......... 27 bars 40 50 60 145 290

Camion-citerne 20 t ........... 25 bars 30 40 50 115 230

Camion-citerne 9 t ............. 25 bars 25 30 40 90 180

Camion-citerne 6 t ............. 25 bars 20 25 35 75 150

5.3. Effets missiles

Bien qu’il existe dans la littérature des méthodes pour le calcul de la projection de fragments d’un réservoir quiéclate, aucune ne semble véritablement adaptée à la physique du BLEVE.

L’effet d’un « gros » fragment (plus de 1 kg) peut être mesuré à sa vitesse d’impact au sol. Cette vitesse estégale à sa vitesse de chute libre, et dans le cas d’un BLEVE, un fragment de ce type est toujours susceptibled’entraîner l’effet létal.

La projection de fragment est l’effet qui donne la plus grande distance à la létalité. Néanmoins, cet effetdoit être relativisé car il est ponctuel. Il ne se manifeste qu’au point d’impact du fragment, à la différence deseffets de pression et des effets thermiques.

En l’état des connaissances, aucun modèle particulier n’est préconisé.

6. RéférencesHEUDIER L., 2004 : Les Eclatements de réservoirs, phénoménologie et modélisation des effets, rapport

INERIS, � 15 octobre 2004, téléchargeable sur www.ineris.fr.

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LEPRETTE E., 2002 : Le BLEVE, Phénoménologie et modélisation des effets thermiques, rapport INERIS,� 5, téléchargeable sur www.ineris.fr.

SHIELD, S.R., 1993 : A Model to Predict the Radiant Heat Transfer and Blast Hazards from LPG BLEVEs.AIChE Symp. Series, vol. 89.

EXEMPLE DE CALCUL DES EFFETS D’UN BLEVEA titre d’exemple, les modèles décrits dans cette fiche sont appliqués au BLEVE d’une sphère de propane de

3 000 mètres cubes. Les hypothèses de calcul sont les suivantes :

Paramètre Valeur

Nature du produit Propane

Volume du réservoir 3 000 m3

Pression d’éclatement 17 bars abs

Le taux de remplissage initial du réservoir varie entre 0 et 85 %.Les effets thermiques sont calculés à l’aide du modèle TRC. Les effets de pression sont basés uniquement sur la

détente de la phase vapeur et déterminés à l’aide du modèle d’éclatement PROJEX de l’INERIS (Heudier, 2004).Les distances affichées sont valables uniquement pour le jeu d’hypothèses considérées caractérisant un

phénomène accidentel. Elles ne sont pas extrapolables à d’autres situations.

SITUATION SEUILTAUX DE REMPLISSAGE (%)

0 20 40 60 85

Effets thermiques

600 (kW/m2)4/3.s – 490 750 925 1 085

1 000 (kW/m2)4/3.s – 390 610 750 890

1 800 (kW/m2)4/3.s – 300 470 585 700

Effets de pression

20 mbars 920 860 780 680 490

50 mbars 460 430 390 340 245

140 mbars 200 180 170 150 105

200 mbars 150 140 130 110 80

300 mbars 120 110 100 90 65

Sur la figure ci-dessous apparaissent également les distances d’isolement déterminées par les formules del’arrêté ministériel du 5 juin 2003, qui, pour mémoire, sont basées sur les effets thermiques létaux et irréversiblesdu BLEVE de la sphère remplie à 85 %.

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PHÉNOMÈNES DE DISPERSION ATMOSPHÉRIQUE :REPRÉSENTATION ET COTATION EN PROBABILITÉ-GRAVITÉ

1. GénéralitésPour tout phénomène dangereux, notamment les phénomènes de dispersion de gaz, toxique ou inflammable, une

cartographie des zones d’effets est nécessaire dans l’étude de dangers, ainsi que la détermination de la gravité etde la probabilité du (ou des) accident(s) correspondant(s). Cela servira ensuite de base pour la conduite de ladémarche de maîtrise des risques (circulaire du 29 septembre 2005, dite « MMR ») pour les établissementsSeveso, ainsi qu’à l’élaboration (par l’inspection des installations classées) des cartographies de l’aléa pour lesétablissements AS.

La fiche présente donc les hypothèses de représentation des effets pour l’élaboration des cartes d’aléas ainsi queles cas à examiner dans le cadre des études de dangers, avec la détermination des accidents à placer dans la grillede l’annexe V de l’AM du 10 mai 2000 modifié.

Dans la mesure où l’arrêté du 29 septembre 2005 prescrit la détermination du nombre de personnes poten-tiellement exposées (« en tenant compte, le cas échéant, des mesures constructives visant à protéger les personnescontre certains effets et de la possibilité de mise à l’abri des personnes en cas d’accident si la cinétique de l’acci-dent le permet »), il convient, quelle que soit la méthodologie retenue, de faire apparaître (éventuellement parmid’autres) l’accident le plus pénalisant en terme de gravité.

De manière générale, l’objectif de la détermination de la gravité (par la détermination du nombre de personnespotentiellement exposées) est d’aboutir à une évaluation du niveau de risque présenté par l’installation (ou établis-sement) et en aucun cas de prévoir « qui » seront les victimes en cas d’accident.

Il n’est question dans cette fiche ni des hypothèses sur la fuite ni du choix du type de modèle à utiliser. Cedeuxième point fait l’objet d’une autre fiche (no 2), plus précise pour chaque type de dispersion (toxique, inflam-mable...). Cette seconde fiche rappelle également l’importance d’une définition précise du terme source de la fuite(pression, température, débit, phase(s) en présence, jet impactant ou non, durée de fuite...) et précise les couples(classes de stabilité-vitesse du vent) à considérer pour les rejets au sol et en hauteur, par exemple à une cheminée.Il existe également une fiche relative au phénomène d’UVCE pour le GPL (fiche no 3, pour les stockages de GPLcommerciaux, pas les autres gaz liquéfiés, et pas en unités).

Comme noté ci-dessus, pour les phénomènes de dispersion de gaz, il convient de considérer pour chaque modé-lisation des couples de stabilité-vitesse de vent. A partir de ces paramètres, associés aux caractéristiques du rejet(taille de la canalisation, taille de brèche, phase(s) en présence, température, pression, débit et durée de fuite....), ilest nécessaire de modéliser les effets de la dispersion du nuage, puis de déterminer la gravité correspondante.

Dans la présente fiche, on entend par « fuite » (et donc la probabilité P fuite associée) l’ensemble des caractéris-tiques du terme source d’une fuite, et notamment la durée du rejet.

NB : la prise en compte des paramètres météorologiques (stabilité, vitesse et direction de vent) n’est possibleque pour les sites (installations ou établissement) pour lesquels ces paramètres sont connus précisément, et non àpartir des données d’une station météo éloignée, même de quelques kilomètres.

2. Représentation des zones d’effets des phénomènesLes zones d’effets des phénomènes sont représentées de la manière suivante : à partir des distances d’effet

calculées (pour les différents seuils d’effets), considérer comme limites des zones d’effet les cercles de rayoncorrespondant. Ce sont ces zones d’effets circulaires (disques/couronnes concentriques) qui doivent apparaître dansl’étude de dangers, et qui serviront pour la cartographie de l’aléa pour les établissements AS.

Classes de stabilité-vitesse du vent :Option 1 : une première option qui pourra être choisie par l’exploitant est de ne conserver qu’un phénomène

dangereux par fuite dont la zone d’effets correspondra au disque de rayon égal à la plus grande des distancesd’effets obtenue pour les différents couples (classe de stabilité/vitesse du vent) en ne conservant toutefois que lesclasses de (stabilité/vitesse) usuellement considérées. La probabilité des phénomènes correspondant aux différentesfuites sera alors égale aux probabilités respectives de ces fuites (caractérisées par leur emplacement et les donnéesdu terme source) :

Pph.d = Pfuite

Option 2 : une deuxième option est de faire apparaître, pour chaque fuite, plusieurs phénomènes dangereuxcorrespondant à plusieurs choix de couples (stabilité/vitesse du vent). Devront alors a minima apparaître le cas ducouple le plus probable (la probabilité du phénomène dangereux sera alors prise égale à la probabilité de la fuitepar approximation) et le cas du couple présentant les distances d’effets les plus grandes (la probabilité duphénomène dangereux sera alors prise égale à :

Pph.d = Pfuite* Pcouple, avec Pcouple qui peut être faible).Dans la suite de cette note, le nombre de phénomènes dangereux par fuite ainsi retenus est appelé N (en

pratique, N = 1 dans l’option 1 et N � 2 dans l’option 2).Choix des accidents :Plusieurs options peuvent être suivies pour la représentation du ou des accident(s) correspondant à chaque

phénomène de dispersion à partir d’une fuite (caractérisée par l’ensemble des paramètres de son terme source).Elles sont décrites ci-dessous, en partant de la plus simple mais conservatoire, à la plus fine. Le choix de l’optionsuivie appartient à l’exploitant. Ceci est applicable pour chaque fuite (en supposant que toutes les hypothèses duterme source sont connues), et chacun des N couples (classe de stabilité/vitesse de vent).

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3. Options de représentation et de détermination de la gravité des accidents correspondants

Différentes options, de niveau de finesse croissant, sont possibles (au choix de l’exploitant).Dans les différentes options, il est proposé de prendre un secteur angulaire de 60o. L’exploitant peut démontrer

que l’angle est plus petit, mais l’attention est appelée sur le fait que, pour une fuite de produit toxique, la durée defuite, la durée de persistance du nuage peuvent être importantes et que le nuage peut être soumis à des variationsangulaires du vent pendant la dispersion du nuage.

Option A : simple et conservatoire, un seul accident correspondant à chaque phénomène de dispersion, parcouple (classes de stabilité/vitesse du vent) retenu : conservatoire en probabilité et en gravité.

Pour la détermination de la gravité de l’accident correspondant à ce phénomène de dispersion, prendre lesecteur angulaire choisi (usuellement 60o) correspondant à la zone la plus densément peuplée (en faisant tourner cesecteur sur l’ensemble des directions). Compter alors le nombre de personnes exposées pour chacun des niveauxd’intensité, pour en déduire la gravité (cf. fiche no 1 « éléments pour la détermination de la gravité »). Sur leschéma, cela correspond aux personnes présentes dans l’intersection du disque des effets et du secteur angulairereprésenté par le triangle.

Dans cette option, la probabilité de l’accident est celle du phénomène dangereux, et la gravité est celle corres-pondant à la position du secteur la plus pénalisante.

Option B : un peu plus fine : plusieurs accidents correspondant à chaque phénomène de dispersion : le plusprobable et le plus grave doivent apparaître, tenant compte de la rose des vents.

a) Le plus probable : dans le cas où la rose des vents indique qu’une direction est majoritaire (secteur de60o dans lequel les vents sont observés au moins 30 % du temps) considérer les personnes « sous le vent » pour cesecteur angulaire de 60o.

La probabilité de l’accident est alors Pacc = Pphd* Pdirection vent, avec Pdirection vent importante (prise égale à 1), donc Pacc

assimilée à Pphd, mais la gravité n’est pas majorée.ET

b) Le plus grave : quelles que soient les directions de vent les plus observées, prendre pour la gravité le secteurangulaire de 60o tel que le nombre de personnes exposées soit le plus grand.

On a également Pacc = Pphd* Pdirection vent, mais avec Pdirection vent qui peut être faible, et donc Pacc peut être d’uneclasse de probabilité plus faible que Pphd. La gravité est en revanche conservatoire.

NB : prendre un angle de 60o ne signifie pas découp er la rose des vents en 6 secteurs, mais bien faire tournerce secteur sur l’ensemble de la rose des vents. Dans le cas de l’option B, les deux secteurs déterminés peuvent sesuperposer en partie.

Conclusion :Pour une même fuite, selon les N couples (conditions de stabilité/vitesse de vent) retenus en vertu de la partie 2

de cette note, on a au moins N phénomènes et :– selon l’option A, N accidents de gravité et de probabilité conservatoires ;– selon l’option B, 2N (ou plus) accidents, mais moins conservatoires.

4. Conclusion générale

Dans le cas où l’exploitant dispose des données météorologiques propres à son site (ou à sa proximité immé-diate), il peut ainsi déterminer les accidents représentatifs pouvant survenir par une série de tripletsstabilité/vitesse/direction du vent, en conservant, selon ses choix plus ou moins conservatoires :

– le seul triplet présentant la gravité la plus importante et la probabilité prise égale à celle de la fuite,(cf. exemple ci-dessous) ;

– plusieurs accidents se différenciant par des classes de stabilité/vitesse et/ou direction de vent multiples, eneffectuant alors le produit de la probabilité de la fuite par la probabilité d’occurrence des conditions de ventchoisies.

Exemples :Dans chaque exemple ci-dessous, la probabilité notée à chaque étape du raisonnement est la probabilité condi-

tionnelle sachant que l’étape située à sa gauche est réalisée.Dans cet exemple, on appellera « diffusion lointaine » la diffusion faite selon le couple (stabilité/vitesse de vent)

tel que la distance d’effets soit la plus importante.

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Attention : comme indiqué en tête de l’exemple, les directions de vent ne sont a priori pas indépendantes descouples (stabilité/vitesse de vent). Dans l’option B, c’est donc la probabilité de la direction de vent, sachant quelest le couple (stabilité/vitesse) considéré en suivant l’option 2, qui est à prendre en compte, et non la simple statis-tique météorologique d’occurrence de ce vent dans l’année.

5. Cas particulier de l’UVCE

Les UVCE constituent un cas particulier de dispersion atmosphérique, l’ensemble des indications précédentesest donc valable (chapitres 1 à 4), avec le cas particulier de la prise en compte des deux types d’effets qui ne sontpas forcément « initiés » au même endroit. Il convient de faire apparaître la gravité maximale associée àl’ensemble des effets, thermiques et de surpression.

Rappel : une fois les effets représentés, il convient de différentier la cotation en gravité, avec sa probabilitéassociée, de la définition de l’aléa.

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Un UVCE (Unconfined Vapour Cloud Explosion) est une explosion de gaz à l’air libre qui produit :– des effets de pression ;– des effets thermiques.

Nota : Dans le cas des GPL (butane et propane) le présent chapitre doit être lu en parallèle de la fiche UVCE(fiche no 3) rédigée par le groupe de travail national « GPL » (axé sur les stockages, pas sur les unités industriellesde fabrication et d’utilisation de ce type de produits). Pour d’autres gaz (plus réactifs ex. : H2), ces propositionsdevront éventuellement être adaptées.

5.1. UVCE en champ libre

5.1.1. Représentation des zones d’effetsConcernant les effets de pression :Il existe plusieurs méthodes de calcul des effets de pression d’un UVCE, toutefois celles basées sur l’équivalent

TNT sont inadaptées et pas nécessairement majorantes.En champ libre, après détermination des dimensions maximales du nuage inflammable comme indiqué au chapitre 2

de la présente fiche, les effets de surpression sont à étudier à partir du point d’inflammation potentiel, c’est-à-dire un(ou des) point(s) chaud(s) judicieusement démontré(s). Les zones d’effets sont alors un (ou des) ensemble(s) dedisques/couronnes concentriques (correspondant aux seuils d’effets) centré(s) sur ce(s) point(s) d’inflammation, tenantcompte de la réactivité du gaz inflammable.

Concernant les effets thermiques :Dans le cas de l’explosion d’un nuage de gaz au repos en espace libre ou « flash fire » la cartographie des zones

d’effets thermiques, qui serviront notamment pour définir la carte d’aléa, est constituée de disques/couronnes centréssur le point de fuite et de rayon égal à :

– la distance à la LII pour les effets létaux significatifs et les premiers effets létaux ;– 1,1 fois la distance à la LII pour les effets irréversibles.

5.1.2. Evaluation de la gravitéLes options définies au chapitre 3 s’appliquent, la mesure de l’angle de référence pourra également être prise égale

à 60o. Quelle que soit la position du secteur angulaire, la gravité de l’accident liée aux effets thermiques duphénomène sera déterminée par la portion du disque correspondante (comme pour les effets toxiques). La gravité liéeaux effets de surpression est déterminée par le nombre de personnes exposées dans les disques correspondant auxeffets de surpression, sans compter deux fois les personnes exposées aux deux types d’effets.

5.1.3. Récapitulatif UVCE champ libre

SITUATION REPRÉSENTATIONcartographique

des zones d’effets dans l’EDD

COTATION P-G(personnes exposées) ALÉA

Effets thermiques(champ libre)

disques centréssur le point de fuite

Nombrede personnes exposées

dans le secteur de 60 oC’ point 3

de la présente fiche(option A ou B)

disques centrés sur le point defuite

Effets de suppression(champ libre)

un ou des ensemble(s)de disques centrés

sur le(s) point(s)d’inflammation potentiel(s)

(cf. fiche UVCE)

Nombrede personnes exposées

dans les zonesde surpressionreprésentées

par un ou des cercle(s) centré(s)sur le(s) point(s)d’inflammation,

dans le secteur angulaire étudié

un ou des ensemble(s)de disques concentriques

centré(s)sur le(s) point(s) d’inflammation

5.2. UVCE en champ encombré

5.2.1. Représentation des zones d’effets :Concernant les effets de pression :Il conviendra, pour une situation réelle où la dimension maximum du nuage explosif (cercle enveloppe des

nuages de gaz possibles selon les stabilités et vitesses de vent, à fuite donnée, comme dans l’option 1 ci-dessus) aété préalablement estimée, de repérer les endroits où la densité d’obstacles ou le degré de turbulence du nuagesont susceptibles d’être importants et modéliser l’explosion globale. La réactivité propre du gaz inflammable doitégalement être prise en considération.

Les distances d’effets calculées ne sont pas liées directement à la quantité de produit rejeté ni au volume desnuages inflammables formés, mais bien au volume des zones d’encombrement et de confinement rempli par lemélange inflammable (et au niveau de confinement).

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La cartographie des zones d’effets de surpression, qui serviront notamment pour définir la carte d’aléa dans lecas des établissements AS, est constituée de l’union des disques centrés sur ces zones encombrées, de rayonsdéterminés par la modélisation.

NB : sur le schéma ci-dessous n’apparaissent pas les zones d’effets correspondant au seuil de 20 mbar, pour faci-liter la lecture.

Dans le cas où des nuages de gaz peuvent provenir de nombreuses sources, et dériver vers différentes zonesencombrées (exemple des unités dans les raffineries de pétrole), on pourra prendre des disques autour de chaquezone encombrée et cumuler les probabilités des différentes fuites menant à un nuage de gaz emplissant cette zone.

Concernant les effets thermiques :

En champ encombré, les effets thermiques sont à étudier comme dans le cas du champ libre, cf. 5.1.1 (disquescentrés sur le point de fuite, de rayon égal à la distance à la LII pour les effets létaux significatifs et les premierseffets létaux ; et 1,1 fois la distance à la LII pour les effets irréversibles).

5.2.2. Evaluation de la gravité

Les mêmes principes qu’en champ libre s’appliquent.De plus, si le secteur angulaire dans la position étudiée contient tout ou partie d’une zone encombrée, il faut

ajouter à la gravité due aux effets thermiques (ci-dessus) la gravité due à l’intégralité de la zone d’effets desurpression induite par la zone encombrée. Attention toutefois à ne pas compter deux fois les mêmes personnes.

5.2.3. Récapitulatif pour le champ encombré

CONDITIONS REPRÉSENTATIONcartographique

des zones d’effets dans l’EDD

COTATION GRAVITÉ(personnes exposées) ALÉA

Effets thermiques(champ encombré)

disques centrés sur le point de fuite Nombre de personnes exposéesdans le secteur de 60o

’ point 3 de la présente fiche(option A ou B)

disques (correspondant aux diffé-rents seuils d’effets) centrés sur le

point de fuite

Effets de surpression(champ encombré)

un ou des ensemble(s) de disquescentrés sur les zones encombrées

(quelle que soit la position du pointd’inflammation)

Nombre de personnes exposéesdans les zones de surpression

représentées par un ou descercle(s) centré(s) sur le(s) zone(s)

encombrées se trouvant dansle secteur angulaire étudié

un ou des ensemble(s) de disquesconcentriques (correspondant auxseuils d’effets) centré(s) sur la(les)

zone(s) encombrée(s)

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6. Exemples

6.1. Toxiques

On considère une fuite de probabilité de classe D dans un site dont la rose des vents du site est la suivante :

Illustration des différentes options sur cet exemple :Option 1 : cercle de rayon 2 200 mètres (tel qu’apparaît en pointillés sur le schéma ; vers le nord dans la rose

des vents, correspondant au panache de dispersion le plus long).Option 2 : n’apparaît pas sur cet exemple, il faudrait connaître les couples stabilité/vitesse de vent pour ce lieu,

ce qui n’est pas le cas.Options A et B pour la détermination de la gravité :Considérons pour simplifier l’exemple, que le nombre de personnes indiqué correspond au nombre de personnes

présentes dans les zones des effets irréversibles (et non létaux), ce qui permet de déterminer plus simplement lagravité correspondante.

Selon l’option A, on regarde le nombre de personnes maximales impactées en même temps (dans un angle de60o), quelle que soit la probabilité que le vent souffle dans cette direction. L’accident correspondant est représentéici par le secteur jaune. Il impacte potentiellement 1 380 personnes exposées à des effets irréversibles, la gravitéassociée correspond donc au niveau « désastreux » de l’échelle, avec une probabilité égale à la probabilité de lafuite, soit D.

Selon l’option B, on regarde :a) D’une part, l’accident le plus probable : vers le sud dans ce cas (secteur vert). On a alors un accident

impactant 390 personnes, soit une gravité « catastrophique », avec une probabilité égale à la probabilité de lafuite, soit D.

b) D’autre part, l’accident le plus grave : vers l’est ici (secteur jaune). On a alors un accident impactant1 380 personnes, soit une gravité correspondant au niveau « désastreux », avec une probabilité décotée du fait dela faible probabilité que le vent souffle dans cette direction, donc probabilité de classe E.

Conclusion :– option A : accident, D-désastreux, donc classé NON ;– option B : 2 accidents :a) D-catastrophique : MMR rang 2

etb) E-désastreux : MMR rang 2 (établissement existant), soit 2 accidents MMR rang 2 « au lieu » d’un seul acci-

dent classé NON.

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6.2. UVCE

6.2.1. UVCE en champ libreDétermination de l’aléa :

Détermination de la gravité en champ libre :Compter dans ce cas, pour déterminer la gravité, toutes les personnes présentes dans l’union du secteur gris de

60o avec les disques jaunes (carreaux), plus toutes les personnes situées dans les disques bleus, sans compter lespersonnes deux fois bien sûr (toutes les zones entourées de rouge), en faisant tourner le secteur angulaire demanière à déterminer le nombre maximum de personnes exposées.

6.2.1. UVCE en champ encombréDétermination de l’aléa :La détermination de l’aléa de surpression devra tenir compte des différentes contributions liées à toutes les

zones encombrées, trois sur l’exemple représenté ci-dessous.

Détermination de la gravité dans le cas où le secteur angulaire atteint une (ou plusieurs) zone(s)encombrée(s) :

Compter dans ce cas pour déterminer la gravité toutes les personnes présentes dans l’intersection du secteur grisavec les disques jaunes (carreaux), plus toutes les personnes situées dans les disques bleus, sans compter lespersonnes deux fois bien sûr (toutes les zones entourées de rouge).

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FUITES DE TUYAUTERIES : REPRÉSENTATION ET COTATION

L’objet de la présente fiche est de formuler des propositions de modélisation des phénomènes dangereuxsusceptibles de se produire sur des tuyauteries, en mettant en œuvre des hypothèses raisonnablement majorantes. Iln’est pas ici question à proprement parler du niveau de sécurité présenté par les tuyauteries en fonction de leurmode de conception, construction, exploitation, maintenance...

Il convient de signaler qu’au-delà des tuyauteries (par essence linéaires), les ensembles de tuyauteries sontassociés à des brides, clapets, régulateurs de pression, etc. (points discrets) qui ne devront pas être omis parailleurs dans les études de dangers. Ces points singuliers constitués par les équipements « connexes » aux tuyau-teries ne sont pas traités dans la présente fiche. On entend ici par « tuyauterie » les tuyaux permettant lacirculation des fluides à l’intérieur d’une installation classée ou d’un établissement, y compris celles relevant de laréglementation canalisations de transport à l’intérieur des installations classées. L’objet de la présente fiche est detraiter le cas des tuyauteries aériennes. Pour les tuyauteries enterrées, la représentation sera adaptée aux caractéris-tiques des évènements susceptibles de se produire (remontée de gaz le long de la tuyauterie, libération de gaz parcertains conduits menant à l’air libre...).

Elle propose une méthodologie facultative pour permettre d’une part de simplifier les cas où plusieurs tuyau-teries suivent le même parcours, et d’autre part pour en extraire quelques accidents représentatifs alors que :

– des fuites d’une infinité de diamètres (de 0 à 100 %, voire plus) peuvent se produire ;– les fuites peuvent se produire en tout lieu de la tuyauterie.Elle est à lire et utiliser en lien avec les autres fiches relatives respectivement à la dispersion atmosphérique

(fiche 2), aux UVCE (fiche 3) et à la représentation et cotation en probabilité et gravité des phénomènes dedispersion atmosphérique (fiche 5), ainsi que la fiche présentant des éléments pour la détermination de la gravité(fiche 1).

1. Modélisation des tuyauteries et choix du nombre de phénomènes représentatifs1.1. Notion de tuyauteries équivalentes

On pourra considérer dans les études de dangers que toutes les tuyauteries peuvent être rapportées à« quelques » tuyauteries équivalentes (qu’on pourrait appeler aussi « tuyauteries enveloppes ») qui peuvent être :

– dans le cas d’une tuyauterie réelle, la tuyauterie elle-même ;– dans le cas d’un rack de tuyauteries (ou tuyauteries de parcours proche) sans possibilité d’effets domino en

cas de fuite sur l’une d’elles (c’est-à-dire le plus souvent ne contenant pas de fluide inflammable, ou bien pasde fluide corrosif susceptible, en cas de fuite, d’endommager la/les tuyauteries voisines de métallurgie moinsrésistante), la tuyauterie équivalente est alors :– une tuyauterie suivant le même parcours ;– dont les distances d’effets toxiques pour chaque seuil d’effets sont celles engendrées par la tuyauterie du

rack engendrant les plus grandes distances d’effet toxique (sans oublier les synergies entre substancestoxiques) ;

– dont les autres types d’effets éventuels suivent le même principe ;– pour laquelle la probabilité du phénomène de fuite équivaut à la somme des probabilités de cette fuite sur

chacune des tuyauteries composant le rack (pour tenir compte d’une contribution linéique plus importantesur des tuyauteries « indépendantes »).

Note : en toute rigueur, dans ce dernier cas, la somme des probabilités est légèrement majorante. Un calcul plusrigoureux pourra être mené, au besoin.

NB : dans le cas particulier des fuites suite à choc sur un rack, il convient de déterminer les effets par cumul destermes sources.

Dans le cas d’un rack de tuyauteries (ou tuyauteries proches) présentant la possibilité d’effets dominos en cas defuite sur au moins l’une d’elles, on pourra alors avoir recours à deux tuyauteries équivalentes selon le phénomèneétudié :

– celle décrite juste au-dessus pour les phénomènes ne mettant pas en œuvre d’effet domino ;– et pour les phénomènes pouvant entraîner des effets dominos : tuyauterie de même parcours, présentant des

distances d’effets résultantes des différentes contributions en cas d’effet domino. La probabilité du phénomèneest prise égale à la somme des probabilités des initiateurs menant à un effet domino.

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1.2. Choix des phénomènes représentatifs

Pour les tuyauteries, le lieu de fuite ainsi que le type de fuite (taille de brèche, élément déterminant du termesource) sont multiples, et il convient de réduire ce nombre infini à un nombre plus facile à manipuler, représentatif dece qui peut se produire dans l’installation. L’exploitant a le choix du nombre de phénomènes représentatifs qu’il faitapparaître dans l’étude de dangers.

Pour chaque tuyauterie, ou tuyauterie équivalente, doit toutefois apparaître au moins la configuration la plus péna-lisante (généralement la rupture 100 %). L’exploitant peut cependant faire apparaître en outre les phénomènes (et ac-cidents correspondants) liés à des fuites de taille inférieure, par exemple 50 % du diamètre de la tuyauterie et 15 mm.

NB : pour les cas de fuites longues alimentées produisant des distances d’effets supérieures au cas de la ruptureguillotine, c’est ce cas et non la rupture 100 % qui doit être étudié.

Règle : pour chaque diamètre de fuite ainsi retenu, la probabilité à associer aux phénomènes (et accidents corres-pondants) est le cumul des probabilités depuis le diamètre immédiatement inférieur retenu.

Exemple : dans le cas d’une tuyauterie de diamètre 100 millimètres.

– si l’exploitant retient la seule fuite de diamètre 100 millimètres, on aura un phénomène dangereux auquel seraassociée la probabilité P = intégrale de d = 0 à d = 100 millimètres de dP (d) (l’ensemble de l’aire sous lacourbe ci-dessus) ;

– si l’exploitant retient les fuites de diamètre 15, 50 et 100 millimètres, on aura trois phénomènes dangereuxauxquels seront associées les probabilités suivantes :– fuite 15 millimètres : P = intégrale de d = 0 à d = 15 millimètres de dP (d) ;– fuite 50 millimètres : P = intégrale de d = 15 à d = 50 millimètres de dP (d) ;– fuite 100 millimètres : P = intégrale de d = 50 à d = 100 millimètres de dP (d).

Par ailleurs, s’il apparaît, après justification, que des les phénomènes liés à des fuites de diamètre inférieur auplus petit étudié (ici, 15 millimètres) ne produisent pas d’effets à l’extérieur, ni de manière directe, ni par effetdominos, alors seuls les phénomènes correspondant aux types de fuites de diamètre supérieur (ici, 50 et 100 milli-mètres) sont utilisés dans la suite de l’EDD.

Pour ce qui est des lieux de fuite possibles, l’approche est détaillée dans les paragraphes 3 (pour la cotation enprobabilité et gravité des accidents) et 4 (pour la détermination de l’aléa) de la présente fiche.

2. Remarques générales sur les tuyauteries,la grille de l’annexe V de l’AM du 10 mai 2000 et les PPRT

Il convient de bien se rappeler que les deux préoccupations partent de logiques différentes :– la grille de l’annexe V de l’AM du 10 mai 2000 (reprise dans la circulaire « MMR » du 29 septembre 2005)

se préoccupe des accidents pouvant se produire à installation donnée ;– les PPRT partent des aléas auxquels chaque point de l’espace est soumis.Les probabilités pour les phénomènes dangereux et accidents pouvant se produire sur les tuyauteries

s’expriment généralement en probabilité linéique PI. Dans un certain nombre de cas (tuyauterie longue, cf. para-graphe suivant), la probabilité que l’installation soit à l’origine d’un phénomène dangereux (PI. × longueur de latuyauterie) est donc très grande par rapport à la probabilité qu’un point de l’espace soit touché par les effets d’unphénomène dangereux.

Cette propriété obligera à recourir à une modélisation beaucoup plus approfondie des accidents à placer dans lamatrice MMR par rapport à celle mise en œuvre pour la démarche PPRT.

3. Choix des accidents positionnés dans la grillede l’annexe V de l’AM du 10 mai 2000 modifié. – Considérations sur la gravité

3.1. Cas d’une tuyauterie longueUne tuyauterie est considérée comme longue dans la présente fiche si sa longueur, sur un tronçon homogène,

est d’une longueur supérieure au double des distances d’effets qu’une fuite sur cette tuyauterie peut engendrer. Enpratique, ce type de configuration n’est pas très courant dans les installations classées (la présente fiche ne visepas les canalisations de transport hors des établissements).

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Probabilité :Un point X de l’espace autour d’une tuyauterie longue ne peut être affecté par les effets d’un événement

dangereux survenu sur cette tuyauterie que si cet événement se produit sur le tronçon [AB] de la tuyauterie situé àune distance du point X inférieure à la distance maximale d’effet (au sens des distances d’effets irréversibles DEI,« premiers » effets létaux DEL, effets létaux significatifs DELS). On considère que les zones d’effets sont centréessur la tuyauterie.

NB : pour les effets de surpression de l’UVCE, ce n’est généralement pas le cas.

Ce tronçon [AB] de tuyauterie est donc délimité par l’intersection de la sphère centrée au point X considéré etde rayon DE = distance d’effet pour l’intensité de l’effet pris en compte (DEI, DEL, DELS). Ce tronçon [AB] detuyauterie mesure donc au maximum 2DE (soit DE de part et d’autre du point s’il est situé sur la tuyauterie).

NB : ce cercle ne représente pas la zone d’effets d’un événement se produisant sur le tronçon AB !Conclusion : on peut ainsi entourer la tuyauterie d’une zone d’effets correspondant à un ensemble de sphères de

rayon DE glissant tout le long de la tuyauterie. Pour cette zone d’effets, la probabilité de survenance en un de sespoints de l’effet considéré (donc du phénomène dangereux) peut être raisonnablement majorée par :

P = PI × 2 × DE.PI étant la probabilité linéique pour la plage de tailles de brèche correspondant au type de fuite étudié (par

exemple : de 0 à 15 mm, ou de 15 mm à la rupture), et pour le type de tuyauterie concerné (fonction du diamètre, etle cas échéant d’autres paramètres tels que le fluide véhiculé, l’âge, le niveau de sensibilité,...).

DE étant la distance d’effets correspondant aux effets « E » (DEI, DEL, DELS).Il convient donc de prendre, comme probabilité des phénomènes de fuite, sur une tuyauterie « longue », P =

PI × 2 × DE.De plus, pour simplifier les choses et éviter d’avoir des probabilités différentes en fonction du seuil d’effets

considéré, la probabilité pourra être calculée sur la base de la distance des effets irréversibles (DEI) pour les différentsseuils d’effets, en gardant bien les différentes distances d’effets pour la représentation (cartographique) de ces effets.

Représentation des effets :Si un phénomène dangereux se produit en un point de la tuyauterie, les effets du phénomène seront sensibles

sur une sphère de rayon DE (pour chaque seuil d’effet). Les zones d’effets de l’ensemble des phénomènespossibles seront donc représentées par superposition des sphères (centrées tout le long de la tuyauterie), donc àune forme allongée, distante de DE autour de la tuyauterie.

NB : ce schéma illustre les zones d’effets pour un seuil d’effets. En pratique, il convient de représenter les diffé-rentes formes allongées correspondant aux différents seuils d’effets mentionnés à l’article 9 de l’arrêté du29 septembre 2005 (dit arrêté PCIG).

Détermination de la gravité de l’accident : la gravité de l’accident associé à ces phénomènes est déterminéepar le nombre de personnes exposées aux effets dans les différentes sphères.

Une première possibilité, simple mais très conservatrice, est de déterminer la position de la sphère menant auplus grand nombre de personnes exposées et d’attribuer à un seul accident représentatif cette gravité et une proba-bilité égale à PI × longueur de la tuyauterie.

Il est possible d’affiner l’approche, selon la méthode suivante :– séparer la tuyauterie en segments pour lesquels les sphères dont les centres sont sur ces segments mènent à

une classe de gravité homogène (l’arrêté du 29 septembre 2005 ne prévoyant que 5 classes de gravité, onaura donc au maximum 5 groupes de segments) ;

– calculer la longueur cumulée de ces groupes de segments et obtenir un accident représentatif par classe degravité rencontrée pour lequel la probabilité sera PI × la somme des longueurs des segments menant à cetteclasse de gravité ;

– dans ce cas, on obtient au maximum 5 accidents par tuyauterie, chacun d’une classe de gravité différente.

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Supposons qu’autour de la tuyauterie se trouvent 20 personnes (exposées) dans la zone des effets létaux, etaucune dans la zone des effets irréversibles.

Supposons que les cercles ainsi dessinés représentent les sphères d’un rayon égal aux distances des effets létauxDEL.

Le segment [AB] de la tuyauterie représente l’ensemble des points pour lesquels la réalisation du phénomènedangereux conduira à des effets létaux impactant les 20 personnes « cibles », seules personnes présentes à unedistance inférieure à DEL (mais aussi DEI) de la tuyauterie. Le reste de la tuyauterie ne peut conduire à des effetslétaux sur les cibles.

On peut alors présenter deux accidents représentatifs :– un de probabilité égale à PI × longueur du segment [AB], et de gravité « catastrophique » (entre 10 et

100 personnes exposées à des effets létaux) ;– un de probabilité égale à PI × (longueur de la tuyauterie – longueur du segment [AB]) et de gravité au plus

« modérée ».

3.2. Cas des tuyauteries « courtes » (par rapport aux distances d’effets engendrées)

C’est le cas le plus souvent rencontré dans les installations classées. Dans ce cas, pour simplifier, c’estl’ensemble de la longueur L de la tuyauterie qui contribue à la probabilité de fuite impactant tel ou tel point.

On peut donc prendre P = PI* L.Les zones d’effets correspondent là aussi à un continuum de sphères centrées sur tous les points de la tuyau-

terie, et donc à une zone allongée tout autour de la tuyauterie, comme dans le cas des tuyauteries longues.

La gravité est déterminée en prenant l’ensemble des personnes exposées dans les zones d’effets cumulées. Sicette méthode conduit à une situation trop difficile, on peut prendre une méthode similaire au cas des tuyauterieslongues.

4. Aléa pour le PPRTL’aléa correspond au couplage des zones d’effets et des probabilités d’occurrence des phénomènes.Comme décrit ci-dessus, pour le cas des tuyauteries longues, un point de l’espace autour d’une tuyauterie

longue ne peut être affecté par les effets d’un événement dangereux survenu sur cette tuyauterie que si cetévénement se produit sur la section de la tuyauterie située à une distance du point inférieure à la distancemaximale d’effet.

Cette section de tuyauterie est donc délimitée par l’intersection de la sphère centrée au point considéré et derayon DE = distance d’effet pour l’intensité de l’effet pris en compte (DEI, DEL, DELS). Cette section de tuyauteriemesure donc au maximum 2 DE (soit DE de part et d’autre du point s’il est situé sur la tuyauterie).

Conclusion : on peut ainsi entourer la tuyauterie d’une zone d’effet correspondant à un ensemble de sphères derayon DE glissant tout le long de la tuyauterie. Pour cette zone d’effets la probabilité de survenance en un de sespoints de l’effet considéré (donc du phénomène dangereux) peut être raisonnablement majorée par :P = PI × 2 × DE.

PI étant la probabilité linéique pour la plage de tailles de brèche correspondant au type de fuite étudié (parexemple : de 0 à 15 millimètres, ou de 15 millimètres à la rupture), et pour le type de tuyauterie concerné(fonction du diamètre, et le cas échéant d’autres paramètres tels que le fluide véhiculé, l’âge, le niveau de sensi-bilité...).

DE étant la distance d’effets correspondant aux effets « E » (DEI, DEL, DELS).De plus, pour simplifier les choses et éviter d’avoir des probabilités différentes en fonction du seuil d’effets

considéré, la probabilité pourra être calculée sur la base de la distance des effets irréversibles (DEI) pour les diffé-rents seuils d’effets.

Dans le cas des tuyauteries longues, on a donc des zones d’effets en longueur (selon le seuil d’effetsconsidéré), auxquelles sont associées les probabilités P = Pl × 2 × DEI.

Dans le cas des tuyauteries courtes, on a une zone d’effets en longueur selon le même principe, à laquelle onpeut associer la probabilité P = PI × L.

5. Cas particulier de l’UVCE et de l’inflammation d’un nuage en champ libreLes inflammations de nuages de gaz présentent quelques particularités qu’il convient de prendre en compte. La

proposition de modélisation est la suivante :Le phénomène dangereux se produira lorsque le nuage de gaz inflammable entrera en contact avec un point

chaud. La zone d’effet de surpression sera alors une sphère centrée autour d’un point déterminé en fonction de

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l’encombrement et du modèle utilisé (cf. fiche UVCE, no 3). La zone d’effet thermique est la partie du nuages’enflammant (donc dont la concentration est comprise entre la LII et la LSI).

Phénomène dangereux :La probabilité du phénomène dangereux sera ainsi obtenue en considérant les segments de la tuyauterie pour

lesquels une fuite de gaz mènera à une concentration dangereuse (supérieure à la limite inférieure d’inflamma-bilité) au niveau du point chaud, et en multipliant cette longueur totale par la probabilité linéique.

Accident représentatif :Le raisonnement est le même que celui présenté dans les parties précédentes, au calcul de la gravité près qui

devra être évaluée de façon similaire à la description faite dans la fiche de représentation et cotation des phéno-mènes de dispersions atmosphériques et UVCE (fiche no 5), à savoir en sommant la gravité due aux effets ther-miques et la gravité due aux effets de surpression, sans pour autant compter en double les personnes exposées auxdeux types d’effets.

EDD : MESURES DE MAÎTRISE DES RISQUES FONDÉES SUR UNE INTERVENTION HUMAINEL’objet de la présente fiche est de donner des éléments d’appréciation sur la prise en compte des mesures de

maîtrise des risques fondées sur une intervention humaine. Cette fiche n’a pas de caractère réglementaire etd’autres approches de ces mesures peuvent être acceptées sous réserve de justifications.

Sera considérée comme mesure de maîtrise des risques fondée sur une intervention humaine au sens de laprésente fiche une mesure constituée d’au moins une activité humaine (une ou plusieurs opérations) qui s’oppose àl’enchaînement d’évènements susceptibles d’aboutir à un accident.

Notes :1. La formation générale des agents, leur entraînement et les plans de secours généraux (type plan d’opé-

ration interne, POI, et plan particulier d’intervention, PPI) ne sont donc pas considérés comme mesure demaîtrise des risques à part entière.

2. Les mesures d’interdiction formalisées (interdiction de fumer, interdiction des téléphones portables, plande circulation...) sont traitées au chapitre 4.

1. Règles générales1.1. Conditions de prise en compte

Rappel : l’arrêté ministériel du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilitéd’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents potentiels dansles études de dangers des installations classées soumises à autorisation précise :

« Pour être prises en compte dans l’évaluation de la probabilité, les mesures de maîtrise des risques doivent êtreefficaces, avoir une cinétique de mise en œuvre en adéquation avec celle des événements à maîtriser, être testées etmaintenues de façon à garantir la pérennité du positionnement précité ». Par mesures de maîtrise des risques, onentend à la fois mesures techniques de maîtrise des risques ou mesures fondées sur les interventions humaines.

La vérification de ces quatre critères doit être réalisée par l’industriel dans l’étude de dangers. Cette démonstrationest une condition nécessaire à la prise en compte de la mesure pour l’évaluation de la probabilité.

Ces quatre critères sont plus délicats à transposer au domaine des actions humaines par rapport aux mesures tech-niques. Néanmoins, il est possible de les retrouver dans les dimensions suivantes :

L’efficacité de la mesure prévue par rapport aux évènements qu’elle est censée maîtriser : ce principe correspond àl’adéquation :

– d’une part, entre la tâche attribuée aux hommes et les exigences à satisfaire pour assurer la maîtrise des risques(conception de la mesure de sécurité) ;

– d’autre part, entre les moyens et les outils mis à disposition des hommes (outils, formation, documentation) etles caractéristiques, le dimensionnement de cette tâche (complexité, degré d’autonomie, fréquence, caractèreprogrammé ou non, dimension collective, etc.), sans oublier les caractéristiques du contexte de réalisation(contrainte temporelle, dimensionnement du poste de travail, ambiances de travail, contexte physique et ergo-nomie du poste de travail, ressources techniques ou humaines prévues, etc.).

Cette efficacité est également conditionnée par l’adéquation de la cinétique de mise en œuvre de la mesure avec lacinétique des évènements à maîtriser.

Le maintien dans le temps de l’efficacité de la mesure prévue et le test ou la vérification de son efficacité : dansle cadre de mesures incluant des actions humaines, les paramètres pesant sur la performance de la mesure de maîtrisedes risques sont notamment le niveau des compétences du personnel et les conditions de travail. On peut citerégalement les exercices (une notion d’exercices planifiés/inopinés permet de différencier maintenance et test) oul’analyse du retour d’expérience. Le maintien dans le temps de ces paramètres est normalement géré par l’organi-sation particulièrement à travers la formation. Le système de contrôle des performances du système doit permettre devérifier que les conditions de l’efficacité de la mesure (pratiques opératoires et conditions matérielles de réalisationdes actions de sécurité) sont correctement maintenues et gérées.

1.2. Eléments préalables et bonnes pratiquesPréalablement à l’analyse des critères réglementaires évoqués dans cette fiche, il convient d’apporter une attention

toute particulière :– à la formation et l’habilitation des opérateurs chargés d’exercer l’intervention humaine identifiée comme mesure

de sécurité ;

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– à la bonne coordination des acteurs, la bonne communication entre les opérateurs précités lorsque la mesure faitappel à une action collective ;

– aux conditions de recours à la sous-traitance et à son encadrement (formation mais aussi bonne intégration dansles équipes pour les mesures faisant appel à une action collective).

Pour mémoire, d’autres éléments peuvent aussi peser sur la performance de ces mesures de sécurité : la conceptionet la modification des situations de travail, des facteurs économiques exogènes, etc.

1.3. Mesures de pré-dérive/Mesures de rattrapage de dérivesDe par leur nature, il est considéré que les mesures de maîtrise des risques intégrant une intervention humaine

peuvent se classer en deux groupes :– des mesures de pré-dérive qui ont vocation à prévenir un enchaînement non maîtrisé d’événements. Elles

permettent donc de vérifier de façon systématique que les conditions de sécurité sont effectives avant decommencer une activité à risques (ex. : vérification de la fermeture de la vanne avant de remplir un réacteur) ;

– des mesures de rattrapage de dérive qui prennent place au cours ou en aval de l’activité ou du procédé suscep-tible de présenter des risques d’accident majeur et dont la fonction de sécurité sera de détecter une dérive prévueet de revenir dans une plage de fonctionnement en sécurité et/ou d’agir en vue de limiter les effets duphénomène. Elles sont généralement mises en œuvre de manière beaucoup moins fréquente, et souvent dans unesituation d’urgence (ex. : intervention suite à alarme de pression haute).

Remarque : les mesures de rattrapage de dérives peuvent se situer en amont de l’événement redouté central. Leplus souvent, l’événement redouté central n’est pas la dérive en elle-même mais est une des conséquences de sondéveloppement : un rattrapage de dérive peut alors se produire à la suite de la mise en œuvre d’une mesure de pré-dérive. La frontière entre mesures de pré-dérive et mesures de rattrapage de dérive sera alors en amont de l’évé-nement redouté central dans « les nœuds papillons » lorsque cette représentation graphique est choisie.

2. Eléments d’appréciation des mesures de maîtrise des risques

De manière générale, les critères mentionnés au paragraphe 1.1 peuvent être évalués suivant les considérationsprésentées

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Note : il convient, par ailleurs, d’examiner avec attention les stratégies de maîtrise des risques basées surun nombre important de mesures de maîtrise des risques dont le même opérateur est chargé. Ces situationsimposent une forte sollicitation à l’opérateur tout en amenant à s’interroger sur les modes communs dedéfaillance (incompréhension par l’opérateur des informations, carence en formation, panique ou effet desurprise réduisant les capacités de l’opérateur sur toutes les actions qu’il a à mener, etc.).

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2.1. Eléments d’appréciation des mesures de pré-dérive

Il conviendra d’apporter une grande attention à l’indépendance de la mesure par rapport à la conduite duprocessus industriel mis en œuvre (et à ses potentielles dérives) mais aussi par rapport aux autres mesures deréduction du risque à la source.

Note : il conviendra par ailleurs, lors de la prise en compte d’une telle mesure, de vérifier que son actionn’a pas déjà été intégrée dans le calcul de la fréquence d’occurrence de l’événement initiateur. Les donnéestirées de l’accidentologie tiennent ainsi généralement compte de l’effet des mesures mises en place sur lessites.

Règle proposée : les données et études disponibles sur l’intervention humaine et ses défaillances doiventconduire à considérer que :

– sauf justification particulière, les mesures de maîtrise des risques fondées sur une intervention humaine, de lapart de l’opérateur chargé du process par ailleurs, réduisent la probabilité d’une classe au maximum (ou ontun niveau de confiance maximal de 1 lorsque cette terminologie est choisie) ;

– sauf justification particulière, les mesures de maîtrise des risques fondées sur une intervention humaine de lapart d’un tiers par rapport à l’opérateur chargé du process (par exemple une vérification) réduisent la proba-bilité de deux classes au maximum (ou ont un niveau de confiance maximal de 2 lorsque cette terminologieest choisie).

Eléments complémentaires : ces mesures sont généralement des opérations ajoutées aux opérations normalesd’exploitation du process. De par leur caractère préventif, l’existence d’une valorisation des comportements desécurité ainsi qu’un contrôle régulier sur la réalisation des ces opérations s’avèrent importants en terme demaintien des performances dans le temps.

2.2. Eléments d’appréciation des mesures de rattrapage de dérive

Il conviendra d’apporter une grande attention à l’indépendance de la mesure par rapport au processus industrielmis en œuvre (et à ses potentielles dérives) mais aussi par rapport aux autres mesures de maîtrise des risques.

Règle proposée : les données et études disponibles sur l’action humaine et ses défaillances, notamment ensituation anormale et dans des situations d’urgence pouvant susciter une tension inhabituelle, doivent conduire àconsidérer que :

– sauf justification particulière, les mesures de maîtrise des risques fondées sur une intervention humaineréduisent la probabilité d’une classe au maximum (ou ont un niveau de confiance maximal de 1 lorsque cetteterminologie est choisie).

Eléments complémentaires : il conviendra de vérifier l’efficacité de l’intervention de l’opérateur et son expo-sition physique éventuelle liée à l’intensité des effets associés à ce dernier, en particulier : est-il prévu, si néces-saire, une protection physique de l’opérateur (EPI) ou un positionnement des moyens d’action ou d’informationhors des zones d’effets ?

Relativement à l’aspect de cinétique de mise en œuvre de la mesure de maîtrise des risques, il convient devérifier que toutes les phases nécessaires à la mise en œuvre de la mesure sont prises en compte (temps nécessairepour détecter la dérive, réaliser le diagnostic, revêtir si nécessaire un équipement de protection individuelle (EPI),ou déployer des moyens d’intervention, etc.).

Le contexte d’intervention de l’opérateur pour maîtriser une situation de dérive incidentelle ou accidentelleprésente une difficulté fortement liée à la pression temporelle induite par le scénario. Dans ce cas, la réussite del’intervention de l’opérateur sera favorisée lorsque celui-ci disposera d’une marge de manœuvre temporelle suffi-sante pour analyser les informations, et prendre sa décision quant à l’action de sécurité à mener.

Enfin, les mesures d’intervention peuvent être très rarement, voire jamais, mises en œuvre. Dans ces cas, laréalisation d’entraînements pratiqués dans les conditions les plus similaires/représentatives des situations pouvantse présenter permettent de préparer l’opérateur à une intervention sur le scénario d’accident envisagé.

3. Cas des mesures intégrant un dispositif technique et une intervention humaine

On considère des mesures du type : détection d’une dérive par un capteur, diagnostic par l’opérateur et déclen-chement de vannes commandées.

La capacité de la mesure à remplir sa fonction de sécurité dépendra du bon enchaînement et du bon fonc-tionnement de l’ensemble des éléments techniques et organisationnels composant la mesure, au regard du scénariomenant au phénomène dangereux puis éventuellement à l’accident.

Ainsi, la réduction de classe de probabilité ou le niveau de confiance à attribuer à la mesure sera la plus faibledes réductions ou le plus faible des niveaux de confiance des différents composants pris individuellement (tech-nique ou humain), après s’être assuré que les interfaces entre les différents composants ne sont pas susceptibles deréduire la performance de la mesure et que le temps de réponse global de l’ensemble des composants assurant lafonction de sécurité est compatible avec la cinétique des évènements à maîtriser.

4. Cas spécifique des mesures d’interdiction

Un nombre restreint de mesures d’interdiction stricte (interdiction de fumer, interdiction de franchissementd’une ligne pour des véhicules par exemple) peuvent être mises en œuvre au sein des installations classées.

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Il paraît difficile, a priori, de définir de façon appropriée la fréquence de l’événement initiateur auquel lamesure de maîtrise des risques cherche à s’opposer (exemple : fumer, entrer dans la zone délimitée par la ligne ausol, etc.). On pourra donc forfaitairement considérer que cet événement initiateur a une classe de fréquence A. Lamesure de maîtrise des risques d’interdiction absolue étant une mesure intervenant avant la dérive, elle pourra êtrecotée conformément aux règles décrites précédemment pour les mesures de pré-dérive (diminution d’une ou deuxclasse[s] de probabilité).

Rappel : pour les approches quantitatives, le passage de fréquence A en fréquence B se produit aux alentours de10–2, soit un événement tous les 100 ans. Le passage de fréquence B en fréquence C se produit aux alentours de10–3, soit un événement tous les 1 000 ans.

Une exception pourra toutefois être retenue pour les permis d’intervention ou les permis de feu concernant desinterventions directes sur des installations à grand potentiel de danger de type sphère d’ammoniac ou sphère dechlore. Ces interventions sont rares et le potentiel de danger de ces installations est généralement connu de tous.Lorsque ces mesures seront mises en œuvre, et sous respect de la démonstration explicite par l’exploitant dansl’étude de dangers que :

– l’existence et les modalités de respect de ces mesures sont connues des opérateurs ;– des dispositifs de contrôle du respect de ces mesures sont mis en place ;– toutes les mesures techniques ou organisationnelles complémentaires qui peuvent être judicieusement mises

en place pour prévenir, complémentairement à l’obligation de permis d’intervention ou de permis de feu, lesenchaînements redoutés auxquels l’interdiction cherche à s’opposer ont, soit été mises en place, soit faitl’objet d’une démonstration technico-économique de l’impossibilité de les mettre en place.

Il pourra être admis que l’événement initiateur correspondant à la mesure d’interdiction devra figurer dans lesétudes de dangers, mais sans cotation de la probabilité et sans qu’il en soit tenu compte dans la probabilité del’événement redouté central.

EDD : TRAITEMENT SPÉCIFIQUE DE CERTAINS ÉVÉNEMENTS INITIATEURSLa réglementation issue de la loi du 30 juillet 2003 a introduit la prise en compte des probabilités dans le cadre

de la maîtrise des risques s’appuyant sur l’évaluation des mesures de maîtrise des risques mises en œuvre par lesexploitants (confrontée au retour d’expérience, REX). Il convient désormais de rechercher l’exhaustivitéconcernant les scénarios menant aux phénomènes dangereux et accidents dans le cadre de l’étude de dangers, etd’utiliser ces données à bon escient dans le cadre de l’évaluation du niveau de maîtrise des risques des installa-tions.

L’annexe 4 de l’arrêté du 10 mai 2000 établit une liste d’événements externes susceptibles de conduire à des ac-cidents majeurs pouvant ne pas être pris en compte dans l’étude de dangers en l’absence de règles ou instructionsspécifiques.

Il s’agit « notamment » des causes suivantes :– chute de météorite ;– séismes d’amplitude supérieure aux séismes maximums de référence éventuellement corrigés de facteurs, tels

que définis par la réglementation, applicable aux installations classées considérées ;– crues d’amplitude supérieure à la crue de référence, selon les règles en vigueur ;– événements climatiques d’intensité supérieure aux événements historiquement connus ou prévisibles pouvant

affecter l’installation, selon les règles en vigueur ;– chute d’avion hors des zones de proximité d’aéroport ou aérodrome ;– rupture de barrage visé par la circulaire 70-15 du 14 août 1970 relative aux barrages intéressant la sécurité

publique ;– actes de malveillance.L’objet de la présente fiche est de définir une liste non extensible d’événements initiateurs qui pourront faire

l’objet d’un traitement spécifique dans les études de dangers remises par les exploitants, qu’il s’agisse d’établisse-ments relevant de l’arrêté du 10 mai 2000 modifié comme de ceux soumis à simple autorisation (non Seveso).

Dans la plupart des cas, les événements initiateurs mentionnés dans cette fiche font l’objet d’une réglementationdéterministe par ailleurs (arrêté ministériel pour la plupart). En cohérence avec cette approche déterministe, il seraconsidéré que le respect strict, intégral et justifié de cette réglementation permet de considérer qu’une démarche demaîtrise des risques importante a été menée et qu’il n’est pas opportun de les conserver pour mener la démarchedécrite dans la circulaire du 29 septembre 2005 ainsi que pour la maîtrise de l’urbanisation. En revanche, ilconvient de les garder pour les plans d’urgence éventuels des établissements et installations.

Bien que le respect de la réglementation pour ces évènements initiateurs constitue une démarche importante demaîtrise des risques, il pourra être proposé par l’exploitant ou demandé le cas échéant par l’administration deconduire une démarche de réduction complémentaire du risque à la source allant au-delà des exigences de la régle-mentation nationale au cours de l’existence de l’installation.

1. Règles générales et conditions de prise en compteL’étude de dangers remise par l’exploitant devra justifier de façon précise que la réglementation idoine est

respectée.L’analyse de risques prendra en compte cet événement initiateur ainsi que la ou les mesures de maîtrise des

risques, qui sera en l’occurrence le respect de la réglementation correspondante, aux côtés d’autres éventuellesmesures de maîtrise des risques. En revanche, la probabilité d’occurrence de l’événement initiateur ne sera pasévaluée et il ne sera pas tenu compte de cet événément initiateur dans la probabilité du phénomène dangereux, del’aléa ou de l’accident correspondant.

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2. Liste des événements initiateurs concernés

Chacun des événements initiateurs est accompagné des éléments réglementaires ou bonnes pratiques applicablesà ce jour. Toute évolution de ces éléments et normes doit être prise en compte par l’exploitant pour démontrer saconformité aux nouvelles références.

Détails relatifs au défaut métallurgique structure :Les phénomènes concernés décrivent la ruine instantanée d’une enceinte sous pression (hors tuyauteries) de gaz

toxique, inflammable ou comburant, occasionnée par un défaut métallurgique de la structure lorsque la régle-mentation existante sur ce sujet est respectée.

L’événement initiateur de défaut ne sera donc pas évalué et il n’en sera pas tenu compte dans la probabilité duphénomène dangereux (et donc de l’accident en découlant) sous réserve du respect des observations qui suivent :

– l’exploitant, dans le cadre de son système de suivi (par exemple système de gestion de la sécurité [SGS] pourles établissements AS et en application de l’article 4 l’arrêté ministériel du 10 mai 2000 modifié pour lesétablissements Seveso), a mis en place les moyens pour :

– s’assurer que l’enceinte fonctionne dans la gamme de paramètres pour lequel il a été conçu (température,pression, produit,...) ;

– contrôler que les spécificités de l’enceinte permettant la fonction de confinement et les organes de sécurité,sont correctement maintenues dans le temps. Pour cela un plan de suivi doit être établi par l’industrielprécisant les moyens à mettre en place pour atteindre cet objectif. Dans le cas où ces moyens iraient au-delàde ceux prévus par la réglementation relative aux équipements sous pression, essentiellement ceux nonsoumis aux contraintes de la catégorie IV, ils sont prescrits par arrêté préfectoral. Il faut par ailleurs que ce

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plan de suivi fasse apparaître une durée de vie de l’enceinte, période au-delà de laquelle le maintien enservice pour une nouvelle durée déterminée est soumis à un nouvel examen au moins aussi poussé que celuieffectué lors de la mise en service. Cette durée est d’autant plus justifiée que le récipient, pour des raisons deprocessus industriel, ne serait pas soumis à visite intérieure, extérieure ou ré-épreuve régulière. Il pourraégalement être procédé au remplacement de l’enceinte lorsque l’examen pratiqué et le plan de suivi nepermettent pas de garantir le niveau de sécurité nécessaire.

Les autres causes de rupture d’une telle enceinte devront bien entendu être examinées et prises en compte dansl’étude de dangers (ruine suite à défaillance des supports de l’équipement, par exemple choc contre les piedsd’une sphère, utilisation de l’équipement hors de la gamme de paramètres pour lesquels il est conçu...).

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MESURES NOMINATIVESET DÉLÉGATIONS DE SIGNATURE

Administration centrale

Arrêté du 1er février 2007 portant nomination (administration centrale)

NOR : DEVG0650664A

(Journal officiel du 3 février 2007)

Par arrêté du Premier ministre et de la ministre de l’écologie et du développement durable en date du 1er février2007, M. Rafaël Gutierrez, ingénieur de recherche, est nommé directeur de projet, responsable de l’élaboration etde l’implantation du système d’information de gestion et de pilotage du service public de l’environnement, auprèsdu directeur général de l’administration du ministère de l’écologie et du développement durable.

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MESURES NOMINATIVESET DÉLÉGATIONS DE SIGNATURE

Administration centrale

Décision du 30 janvier 2007 portant nomination à un collège de l’inspection générale de l’environnement

NOR : DEVC0650669S

(Texte non paru au Journal officiel)

La ministre de l’écologie et du développement durable,Vu le décret no 2000-426 du 19 mai 2000 portant organisation de l’administration centrale du ministère chargé

de l’environnement, notamment son article 2 ;Vu l’arrêté du 19 mai 2000 portant fonctionnement du service de l’inspection générale de l’environnement,

notamment son article 7 ;Vu l’arrêté du 6 janvier 2003 portant organisation interne du service de l’inspection générale de l’envi-

ronnement ;Vu la décision du 7 février 2005 portant nomination aux collèges de l’inspection générale de l’environnement ;Sur proposition du chef du service de l’inspection générale de l’environnement,

Décide :

Article 1er

Mme Annick Hélias est désignée pour animer le collège « qualité du service public de l’environnement », enremplacement de Mme Wanda Diébolt.

Article 2

La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’écologie et du développement durable.

Fait à Paris, le 30 janvier 2007.

NELLY OLIN

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MESURES NOMINATIVESET DÉLÉGATIONS DE SIGNATURE

Etablissements publics

Décret du 31 janvier 2007 portant nominationdu directeur de l’Agence des aires marines protégées - M. Laroussinie (Olivier)

NOR : DEVN0710001D

(Journal officiel du 2 février 2007)

Par décret du Président de la République en date du 31 janvier 2007, M. Olivier Laroussinie est nommédirecteur de l’Agence des aires marines protégées.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 29 / 35 – Page 1

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MESURES NOMINATIVESET DÉLÉGATIONS DE SIGNATURE

Etablissements publics

Arrêté du 14 décembre 2006 portant nominationau conseil d’administration de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne

NOR : DEVO0700010A

(Journal officiel du 10 février 2007)

Par arrêté de la ministre de l’écologie et du développement durable en date du 14 décembre 2006, est nomméau conseil d’administration de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne en qualité de représentant des collectivités territo-riales : M. Jean-Pierre Le Scornet, en remplacement de M. Gérard Betenfeld.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 30 / 35 – Page 1

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MESURES NOMINATIVESET DÉLÉGATIONS DE SIGNATURE

Etablissements publics

Arrêté du 8 janvier 2007 portant nomination au conseil d’administrationde l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse

NOR : DEVO0700023A

(Journal officiel du 10 février 2007)

Par arrêté de la ministre de l’écologie et du développement durable en date du 8 janvier 2007, est nommé auconseil d’administration de l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse en qualité de représentant des collecti-vités territoriales : M. Bernard Granie, en remplacement de Mme Nathalie Gautier.

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15 MARS 2007. – MEDD 2007/5 – Texte 31 / 35 – Page 1

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MESURES NOMINATIVESET DÉLÉGATIONS DE SIGNATURE

Etablissements publics

Arrêté du 2 février 2007 portant nomination au conseil d’administrationde l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail

NOR : SANP0624846A

(Journal officiel du 6 février 2007)

Par arrêté du ministre de la santé et des solidarités, de la ministre de l’écologie et du développement durable etdu ministre délégué à l’emploi, au travail et à l’insertion professionnelle des jeunes en date du 2 février 2007, sontnommés membres du conseil d’administration de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et dutravail :

Au titre du deuxième collège

Représentants des associations de protection de l’environnement agréées au niveau national

Titulaire : Mme José Cambou, administratrice de France nature environnement.Suppléant : M. Guy Rémy, administrateur de Limousin nature environnement, fédérée à France nature envi-

ronnement.

Représentants des associations compétentes dans le domaine de la santé agréées au niveau national

Titulaire : Mme Christiane Basset, administratrice de l’Union nationale des associations familiales.Suppléant : Mme Simone Sitbon, chargée de mission à l’Union nationale des associations familiales.

Représentants des associations de défense des consommateurs agréées au niveau national

Titulaire : Mme Elsa Cohen, chargée de mission à la Confédération syndicale des familles.Suppléant : M. Philippe Antoine, Association pour l’information et la défense des consommateurs salariés

(INDECOSA-CGT).

Au titre des associations d’aide aux victimes d’accidents du travail ou de maladies professionnelles représentéesau sein du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante

Titulaire : M. Marcel Royez, président de la Fédération nationale des accidentés du travail et des handicapés.Suppléant : M. Arnaud de Broca, secrétaire général adjoint de la Fédération nationale des accidentés du travail

et des handicapés.

Représentants des organisations professionnelles

Titulaire : M. Jacques Boudon, directeur du département technique de l’Union des industries chimiques.Suppléant : Mme Catherine Lequime, responsable du management des produits de l’Union des industries

chimiques.Titulaire : M. Pascal Ferey, vice-président de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles.Suppléant : M. Louis Cayeux, sous-directeur de l’environnement et de la forêt à la Fédération nationale des

syndicats d’exploitants agricoles.Titulaire : Mme Elise Lecornet, Veolia Eau, représentant la Fédération professionnelle des entreprises de l’eau.Suppléant : M. Olivier Schlosser, Lyonnaise des eaux, représentant la Fédération professionnelle des entreprises

de l’eau.Titulaire : M. Eric Pacquet, groupe Casino, représentant la Fédération des entreprises du commerce et de la

distribution.Suppléant : M. Grégory Anzalone, représentant la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution.

Au titre du troisième collège

Représentants des organisations syndicales de salariés les plus représentatives au niveau national

Titulaire : Mme Laurence Théry, Confédération française démocratique du travail.Suppléant : Mme Marie Pascual, Confédération française démocratique du travail.

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Titulaire : M. Bernard Salengro, Confédération française de l’encadrement-CGC.Suppléant : M. Bernard Loussert, Confédération française de l’encadrement-CGC.Titulaire : M. Christian Muller, Confédération française des travailleurs chrétiens.Suppléant : M. David Boisson, Confédération française des travailleurs chrétiens.Titulaire : M. Marc Benoit, Confédération générale du travail.Suppléant : M. Christian Blicq, Confédération générale du travail.Titulaire : M. Jean-Claude Mallet, Confédération générale du travail-Force ouvrière.Suppléant : M. Jiovanny Dumoulin, Confédération générale du travail-Force ouvrière.

Représentants des organisations d’employeurs

Titulaire : M. Pierre Thillaud, Confédération générale des petites et moyennes entreprises.Suppléant : Mme Marie-Christine Fauchois, Confédération générale des petites et moyennes entreprises.Titulaire : M. François Pellet, Mouvement des entreprises de France.Suppléant : M. Rémi Aubry, Mouvement des entreprises de France.Titulaire : M. José Tébar, Union professionnelle artisanale.Suppléant : Mme Sandrine Bize, Union professionnelle artisanale.

Au titre du quatrième collège composé de trois personnalités qualifiéeschoisies en raison de leurs compétences dans les domaines relevant des missions de l’agence

Titulaire : M. François Desriaux, président de l’Association nationale d’aide aux victimes de l’amiante(ANDEVA).

Suppléant : M. Michel Parigot, vice-président de l’Association nationale d’aide aux victimes de l’amiante(ANDEVA).

Titulaire : M. Gérard Keck, professeur de pharmacie-toxicologie à l’Ecole nationale vétérinaire de Lyon.Suppléant : Mme Martine Hours, chargée de recherche à l’Institut national de recherche sur les transports et

leur sécurité.Titulaire : M. André Aschieri, représentant de l’Association des maires de France, maire de Mouans-Sartoux.Suppléant : M. René Gimet, représentant de l’Association des maires de France, maire de Saint-Chamas.

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MESURES NOMINATIVESET DÉLÉGATIONS DE SIGNATURE

Autres structures administratives

Arrêté du 14 décembre 2006 portant nomination au Comité de bassin Loire-Bretagne

NOR : DEVO0700011A

(Journal officiel du 10 février 2007)

Par arrêté de la ministre de l’écologie et du développement durable en date du 14 décembre 2006, est nomméau Comité de bassin Loire-Bretagne en qualité de représentant des différentes catégories d’usagers, au titre desdistributeurs d’eau :

Titulaire : M. Michel Carle, en remplacement de M. Henri Deudon.

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MESURES NOMINATIVESET DÉLÉGATIONS DE SIGNATURE

Autres structures administratives

Arrêté du 3 janvier 2007 portant nominationau Comité de bassin Loire-Bretagne

NOR : DEVO0700018A

(Journal officiel du 10 février 2007)

Par arrêté de la ministre de l’écologie et du développement durable en date du 3 janvier 2007, sont nommés auComité de bassin Loire-Bretagne en qualité de :

Représentants des régions

Rhône-Alpes

Suppléant : Mme Catherine Herbertz, en remplacement de M. Christian Avocat.

Représentants des départements

Basse-Normandie

Orne

Suppléant : M. Jean-Pierre Gerondeau, en remplacement de M. Jean-Michel Bouvier.

Représentants des communes

Etablissements publics exerçant une compétencedans le domaine de l’eau

Titulaire : M. Jean-Michel Hery, en remplacement de M. Christian Robert-Blancharelle.

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COMMUNICATIONS ET AVIS

Prévention des pollutions et des risques

Avis relatif à la liste des procédés de traitement des effluents phytosanitaires,reconnus comme efficaces par le MEDD (DPPR/SDPD)

NOR : DEVP0700034V

(Texte non paru au Journal officiel)

Dans le cadre de la procédure prévue à l’article 8 de l’arrêté du 12 septembre 2006, relatif à la mise sur lemarché et à l’utilisation des produits visés à l’article L. 253-1 du code rural, après examen d’un tiers expert et avisfavorable du comité de liaison eau produits antiparasitaires, les procédés cités dans le tableau joint en annexe Isont reconnus efficaces par le ministère de l’écologie et du développement durable pour le traitement des effluentsphytosanitaires, sur le champ d’application précisé en colonne 7 de ce tableau.

Pour chaque procédé, il appartient à son distributeur de mettre à disposition des utilisateurs toutes les informa-tions disponibles nécessaires au bon fonctionnement technique du dispositif. Des notices techniques sur les carac-téristiques essentielles des dispositifs peuvent être trouvées en annexe II. Les utilisateurs doivent utiliser ces dispo-sitifs de traitement en suivant les prescriptions des notices correspondantes et des cahiers des charges et autresrecommandations transmises par le constructeur ou le distributeur.

Le producteur d’un déchet est responsable de ce déchet jusqu’à son élimination complète, de manière à ne pasporter atteinte à la santé de l’homme et à l’environnement.

Les effluents phytosanitaires traités par l’un de ces procédés sont épandables dans les conditions de l’annexe Ide l’arrêté du 12 septembre 2006.

Les déchets dangereux issus de l’utilisation de ces procédés doivent être éliminés dans une installation dûmentautorisée.

Les déchets dangereux doivent être accompagnés d’un bordereau de suivi des déchets. Après leur traitement parl’installation autorisée, une copie de ce bordereau doit revenir au producteur du déchet afin de l’assurer de cetteélimination (copie remise par l’usine de traitement ou par le collecteur de petites quantités, à conserver pendantune durée de 5 ans).

Le BSDD peut être réalisé par le producteur de déchets dangereux lorsqu’il achemine lui-même de petites quan-tités de déchets dangereux à destination d’une usine d’incinération (liste indicative des installations traitant desdéchets dangereux agrochimiques en annexe III. Pour plus d’information, contacter l’agence de l’eau de votrebassin et la délégation de l’ADEME de votre région).

Dans la mesure où le producteur de déchets dangereux confierait ses déchets au prestataire ou à la société encharge du suivi de l’appareil de traitement dans le cadre d’un service ou d’un contrat de suivi, ou à un autrecollecteur de petites quantités de déchets dangereux, ces personnes devront rédiger le BSDD (BSDD collectifpossible en cas de ramassage chez plusieurs producteurs). Une liste non exhaustive des collecteurs de petites quan-tités de déchets dangereux peut être obtenue auprès de la Fédération nationale des syndicats de l’assainissement(tél. : 01-48-06-80-81 ; www.fnsa-vanid.org – [email protected]).

Pour exercer une activité de transport par route de déchets, les entreprises doivent déposer une déclarationauprès du préfet du département où se trouve leur siège social ou, à défaut, le domicile du déclarant, dès lorsqu’elles transportent une quantité supérieure à 0,1 tonne par chargement de déchets dangereux définis à l’article 1er

du décret du 15 mai 1997 susvisé, ou dès lors qu’elles transportent une quantité supérieure à 0,5 tonne par char-gement de déchets autres que dangereux.

Les entreprises qui transportent les déchets qu’elles produisent et qui sont soumises à la réglementation sur lesICPE sont exemptées de cette obligation de déclaration (décret no 98-679 du 30 juillet 1998 relatif au transport parroute, au négoce et au courtage de déchets paru au JO du 6 août 1998).

Les déchets dangereux peuvent être soumis à l’ADR (accord européen relatif au transport de marchandisesdangereuses par la route) en tant que marchandise dangereuse :

Vos déchets dangereux entrent-ils dans le champ de l’ADR ?P o u r l e s a v o i r , i l e s t n é c e s s a i r e d e c o n s u l t e r l ’ A D R n o t a m m e n t s u r l e s i t e :

http://www.unece.org/trans/danger/publi/adr/adr2001/French/TDMF.html.

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A N N E X E I

LISTE DES PROCÉDÉS DE TRAITEMENT DES EFFLUENTS PHYTOSANITAIRESRECONNUS COMME EFFICACE/MEDD/DPPR

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A N N E X E I I

NOTICES TECHNIQUES(PRÉSENTÉES PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE)

Notice technique du procédé ADERBIO STBR 2

Numéro d’enregistrement : PT 06 005.Demande de reconnaissance déposée par la société ADERBIO.Champs d’application du procédé : viticulture et arboriculture (tous effluents phytosanitaires viticoles ou issus

des traitements en arboriculture [hors post-récolte]).

1. Principe de fonctionnement

Traitement biologique par bio-augmentation :Le procédé ADERBIO STBR 2® dégrade biologiquement les résidus de produits phytosanitaires. Il fonctionne

de la manière suivante :A. − Les effluents collectés sont stockés dans une cuve de stockage tampon où un prétraitement est effectué

par l’ajout d’un activateur biologique.L’aire de lavage doit posséder un système de dégrillage et de dessablage. Cependant, la mise en place d’un

déshuileur n’est pas nécessaire, avec le procédé STBR 2®, les hydrocarbures étant dégradés par la station.B. − L’effluent phytosanitaire est ensuite dirigé dans la station de traitement où il arrive dans le digesteur pour

être dégradé par les bactéries cultivées en parallèle dans un fermenteur et également introduites dans le digesteur.C. − Une fois les molécules phytosanitaires dégradées, l’effluent passe dans un décanteur pour être « éclairci ».

Les boues alors récoltées sont recirculées vers le digesteur.D. − La partie claire issue du décanteur (surnageant) passe alors au travers d’un filtre biologique dans le but

d’affiner le traitement.E. − Enfin l’effluent ressort du filtre et peut être rejeté dans les conditions de l’annexe I de l’arrêté du

12 septembre 2006.Le système ADERBIO STBR 2® fonctionne en continu sur l’année afin de ne pas à avoir à réensemencer la

station chaque année. Pour permettre cela un commutateur permet de sélectionner deux modes de fonctionnement :un normal en pleine période d’apport d’effluent à la cuve tampon, et un mode lent pour le reste de l’année.

2. Conditions de prétraitement

Le prétraitement se fait dans la cuve de stockage tampon.Il consiste à ajouter à l’effluent un activateur bactérien référencé sous le nom de Biobactiv 250. Cette étape est

à effectuer par le détenteur de l’appareil ou un opérateur qualifié pour cela.Le Biobactiv 250 se présente sous forme de poudre blanche. Il doit être introduit dans la cuve de stockage en

début de campagne, puis tous les 2 à 3 mois pendant la période d’apport de l’effluent à la dose de 100 g deBiobactiv 250/m3 d’effluent phytosanitaire récolté dans la cuve tampon.

Le Biobactiv 250 permet entre autres d’équilibrer le milieu et de tamponner le pH.

3. Description du fonctionnement

Sur l’aire de lavageL’effluent issu de l’aire de lavage est collecté dans la cuve tampon via un dégrilleur et un dessableur.Dans la cuve de stockage tamponUne pompe de brassage située dans cette cuve permet une bonne homogénéisation et de limiter les dépôts dans

la cuve tampon et met également le réseau d’alimentation de la station en pression.Le prétraitement avec le Biobactiv 250 se fait dans cette cuve à la dose de 100 g/m3.Dans la station ADERBIO STBR 2®La pompe d’alimentation, située dans la station, pompe l’effluent de la cuve tampon pour l’amener dans le

digesteur.L’apport se fait 12 fois par jour, 365 jours par an, selon un débit fixé au préalable, pour atteindre un volume

journalier permettant d’avoir au minimum 30 jours de temps de séjour (volume du digesteur/débit quotidien).Une culture biologique contenant des bactéries spécifiques est également introduite dans le digesteur auto-

matiquement selon une fréquence programmée au préalable.Cette culture est préparée dans un fermenteur de manière automatisée.La culture biologique est composée d’eau, de bactéries lyophilisées et de nutriments sous forme liquide respec-

tivement référencés sous les noms de Biobact 500 VITI et Bionut 501 liquide.

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Le digesteur est la zone de dégradation de la pollution par les micro-organismes. Il est constitué d’une cuvecontinuellement aérée et recevant donc l’effluent à traiter en 12 séquences quotidiennes ainsi que la culture biolo-gique issue du fermenteur. L’effluent, une fois traité, part dans le décanteur par surverse.

Le digesteur est dimensionné au cas par cas pour permettre de respecter la durée de traitement de 30 jours etpour absorber la totalité d’effluents phytosanitaires générée en un an.

Le décanteur est le point de clarification de l’effluent traité. Les bactéries contenues dans l’effluent traitétombent dans le fond du décanteur conique (sous forme de boues liquides) alors que le surnageant part vers lefiltre biologique par surverse. Un floculant référencé sous le nom de Biofloco peut être introduit par un opérateuren début de traitement sur recommandation d’ADERBIO Développement pour améliorer les premières décanta-tions.

Le filtre biologique a pour fonction d’affiner le traitement. Son action mécanique liée à sa porosité permet deretenir les matières en suspension restantes.

Son aération continue, couplée à son humidité et à sa porosité, favorise le développement d’une microflore quiva dégrader les matières retenues.

4. Capacité de traitement de l’appareil

Le principe du procédé ADERBIO STBR 2® permet de traiter différents volumes d’effluents phytosanitaires.Un simple dimensionnement des éléments de la station permet d’augmenter ou de diminuer la quantité d’effluentphytosanitaire qu’il est possible de traiter.

Le temps de séjour de 30 jours donné par le volume du digesteur/le débit d’alimentation conditionne le dimen-sionnement du digesteur.

Ensuite le décanteur, le filtre et le fermenteur doivent être dimensionnés en fonction du débit journalier traité.

5. Limites de traitement

Les limites de traitement du procédé ADERBIO STBR 2® sont conditionnées par le temps de séjour del’effluent dans le digesteur. Elles sont donc fixées au moment de la conception de la station de traitement et enconcertation avec le client.

Elles concernent des effluents phytosanitaires types, non préconcentrés.Les limites de traitement en volume sont précisées clairement au client.Il n’existe aucune contrainte de température, l’équipement de la station étant réalisé dans un conteneur chauffé

et ventilé.

6. Eléments à vérifier

ConsommablesLes bactéries BIOBACT 500 VITI sont disposées dans un distributeur automatique qu’il est nécessaire de

vérifier une fois par mois. Le rechargement est à effectuer une fois le distributeur vide.Les nutriments liquides BIONUT 501 Liquide se présentent sous la forme de bidons de 5 litres qu’il est néces-

saire de vérifier toutes les semaines. Ces bidons sont connectés à une pompe doseuse automatique. Le changementde bidon est à effectuer une fois celui-ci vide.

Le BIOBACTIV 250 se présente sous la forme de poudre blanche conditionnée en seau de 25 kilogrammes.Il doit être introduit en début de campagne puis tous les 2 à 3 mois en fonction de l’apport d’effluent.Le Biofloco se présente sous la forme de poudre blanche conditionnée en seau de 25 kilogrammes.Il doit être introduit dans le décanteur pour améliorer les premières décantations et seulement sous recomman-

dation d’ADERBIO Développement.Matériel

Le détenteur doit réaliser une visite de routine mensuelle afin de vérifier le fonctionnement des moteurs élec-triques, par la mise en fonctionnement manuel de chacun depuis le tableau électrique de la station.

Un carnet de suivi de la station ADERBIO STBR 2® est fourni à chaque exploitant.

7. Mesures en cas d’accident

Le seul incident technique pouvant survenir dans le procédé ADERBIO STBR 2® et pouvant entraîner unrisque pour l’homme ou l’environnement est le suivant :

La pompe d’alimentation de la station ne fonctionne plus et la cuve de stockage tampon risque de déborder.Solution : la cuve de stockage tampon est dimensionnée avec une marge de 20 % supérieure au volume néces-

saire.Une poire de niveau supérieur indique que la cuve a atteint un niveau critique déclenchant une alarme sonore

ou visuelle ce qui permet de réagir rapidement en réparant le problème s’il n’a pas été détecté avant.Pour protéger les personnes non concernées par la station de traitement, celle-ci est intégrée dans un conteneur

maritime verrouillé.L’utilisateur doit porter les équipements individuels de protection adéquats lorsqu’il est amené à intervenir sur

le procédé de traitement.

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En cas de contamination accidentelle :– contact oculaire : rincer abondamment 15 minutes à l’eau claire, contacter un ophtalmologiste au moindre

doute ;– contact avec la peau : enlever tout vêtement souillé ou éclaboussé. Le laver abondamment avec de l’eau

(15 minutes). En cas de lésion cutanée ou autre symptôme, contacter le médecin traitant.En cas d’urgence appeler le 15, le 112 ou le centre antipoison.Signaler toute intoxication au réseau Phyt’attitude, numéro vert : 0800 887 887 (appel gratuit et anonyme depuis

un poste fixe).

8. Actions à consigner sur le registre de la station ADERBIO STBR 2®Consigner sur le registre de suivi de l’appareil les informations suivantes (art. 9 de l’arrêté du

12 septembre 2006) :– les dates d’opération d’entretien de l’appareil ;et lors de chaque introduction d’effluents à traiter :– les dates de traitement (avec heures précises éventuellement),– la nature et la quantité de l’effluent introduit (préciser origine, dilution et nom des produits si cela est

possible),– la durée du traitement ;et après traitement :– les dates et lieux d’épandage des effluents après traitement.Par ailleurs les éléments suivants devront être notés :

ConsommablesDate et quantité d’activateur biologique introduit dans la cuve tampon.Remplissage du distributeur de bactéries lyophilisées.Remplacement du bidon de nutriments liquide.Utilisation de floculant.

MatérielDate de mise en marche de la station.Date de changement de mode de fonctionnement (LENT/NORMAL).Vérification des moteurs électriques.Il est important de noter aussi les dysfonctionnements éventuels survenus en cours de traitement et leur durée.

9. Devenir des produits de traitementLe procédé ADERBIO STBR 2® génère deux produits à l’issue du traitement :– l’effluent traité ;– les boues récoltées dans le décanteur.L’effluent traité peut être épandu ou vidangé sur une parcelle agricole selon les prescriptions indiquées dans

l’arrêté du 12 septembre 2006 relatif à la mise sur le marché et à l’utilisation des produits phytosanitaires.Aucune élimination des boues produites n’est à prévoir avant 4 ans de fonctionnement de la station STBR 2®.L’élimination se fera alors soit par épandage sous réserve de la réalisation d’une analyse éco-toxicologique,

avec résultat favorable, selon les prescriptions indiquées dans l’arrêté du 12 septembre 2006 relatif à la mise sur lemarché et à l’utilisation des produits phytosanitaires, soit par reprise par ADERBIO Développement, sil’exploitant l’a spécifié par contrat, qui se chargera alors de l’éliminer, conformément aux prescriptions indiquéesdans l’arrêté du 12 septembre 2006, sous réserve de la réalisation d’une analyse éco-toxicologique, avec résultatfavorable, ou fera appel à une entreprise habilitée pour la collecte et l’élimination des déchets dangereux.

10. Contrat de sous-traitanceUn contrat de sous-traitance est proposé par la société ADERBIO Développement au client.Ce contrat peut être étendu de l’exploitation de la station à de simples visites à fréquence variable.Il est proposé en même temps que la station de traitement et les termes du contrat sont ensuite établis entre

l’acquéreur et la société ADERBIO Développement.En cas de refus de ce contrat par le détenteur, ce dernier est néanmoins tenu de réaliser l’ensemble des opéra-

tions de maintenance et d’entretien préconisées et de faire appel à la société ADERBIO lors de toute anomalie oudysfonctionnement pour intervention.

Notice technique du procédé BFbullesNuméro d’enregistrement : PT 06 001.Demande de reconnaissance déposée par la société ALPHA-O.Champs d’application du procédé : viticulture (traitement des effluents phytosanitaires viticoles).

1. Principe de fonctionnementLes BFbulles sont des unités de filtration. La dépollution des effluents se fait grâce à l’ultrafiltration sur

charbon actif.

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Les étapes de ce procédé sont les suivantes :

2. Description des conditions de prétraitement

L’aire de lavage doit posséder un système de déshuilage, dégrillage et de dessablage.

Le prétraitement des effluents se fait dans la cuve de stockage. L’agitation des effluents se fait par le biaisd’une pompe immergée dans le cas d’une cuve enterrée, et de la pompe releveuse dans le cas d’une cuve hors sol.Les produits utilisés sont :

– oxydation : peroxyde d’hydrogène à 35 %. Concentration 1 litre/mètre cube ;– coagulation : solution spécifique. Concentration après essai de 1 à 3 litres/mètre cube ;– floculant : polymère acrylique. Dose 80 % de la concentration en coagulant.

En cas d’apparition de mousse sur les phases d’agitation utiliser un anti-mousse (diméthylpolysiloxan à250 g/litre, concentration maximale 1,4 ml/mètre cube).

3. Description du fonctionnement

Après l’oxydation et la coagulation/floculation au sein même de la cuve de stockage, les effluents sont filtrésvia une unité BFbulles.

Mettre les filtres.Remplir le tuyau de raccordement entre la cuve et l’unité de filtration en eau claire.Remplir le bol d’alimentation en eau claire.Brancher l’unité sur une prise 220 V – 35 mA.Mettre l’interrupteur sur marche.Mettre l’interrupteur du flussostat sur marche.Après amorçage du système (pression stabilisée), mettre l’interrupteur du flussostat sur arrêt. L’unité de

filtration est alors autonome. En dessous de 3,8 l/min (soit une saturation de 95 % des cartouches), le BFbulless’arrête ; en cas d’absence d’effluent idem.

L’aspiration se fait via deux pompes montées en série (1, 2), puis les effluents passent sur les quatre filtres depré-filtration de (25, 10, 5 et 3�m) (3, 4, 5, 6) et enfin sur les deux segments équipés de cartouches en charbonactif (7, 8). Les unités BLbulles sont équipées d’un compteur donnant le débit (l/min) et le volume total.

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Durant les phases de pré-traitement l’opérateur ne doit ni fumer, manger ou boire. Durant ces phases, l’opé-rateur doit être équipé d’une combinaison résistante aux produits chimiques, de gants nitrile et de lunettes desécurité. Les précautions sont les mêmes sur toutes les phases d’amorçage et de changement des filtres.

4. Capacité de traitement des BFbulles

Le procédé BFbulles® est un procédé physique dont la capacité de traitement dépend du dimensionnement del’unité de traitement.

Actuellement, il existe 2 unités de traitement :– la première (BF 8) a une capacité de traitement de 1 000 l/h ;– la deuxième (BF 16) a une capacité de traitement de 1 800 l/h.

5. Limites de traitement

Les systèmes BFbulles sont destinés à traiter toutes les eaux de lavages intérieurs et extérieurs des systèmes detraitement collectées après rinçage à la parcelle, tous les effluents issus du débordement des pulvérisateurs lors duremplissage, toutes les eaux ayant servi au rinçage d’une zone de renversement accidentel de produits phytosani-taires. Les températures limites d’utilisation sont + 2 à + 40 oC.

6. Suivi des unités BFbulles

Suivre le protocole de vérification annuel des unités de filtration préconisé par le fabricant. Une vérificationannuelle de chaque unité sera réalisée.

Il n’existe pas de risque de fonctionnement avec des filtres saturés. Le débit serait systématiquement inférieur à3,8 l/min et l’unité se couperait.

Analyses (prestation et équipement en fixe) :Il est préconisé la réalisation d’analyses annuelles, telles que des tests microtox et des tests daphnies sur

effluents, afin de garantir un suivi du procédé dans le temps.

7. En cas d’accident de traitement

Dans le cas d’une surconcentration en peroxyde, agiter la cuve de manière intensive (temps > 1 heure). Laisserla cuve au repos pendant 72 heures (temps de dégradation des peroxydes : 48 heures). Collecter les effluentsfiltrés dans une cuve étanche et mesurer le pH avant épandage.

En cas de sous-dosage de coagulant/floculant, il est toujours possible de refaire cette étape en veillant à ne pasdépasser 3 l/m3 pour le coagulant. Mettre toujours une dose de floculant égale à 80 % de la dose de coagulant.

En cas de contamination accidentelle :– contact oculaire : rincer abondamment à l’eau claire,– contact avec la peau : prendre une douche ;En cas d’urgence appeler le 15 ou le centre anti-poison.Signaler tout accident corporel au réseau Phyt’attitude, numéro vert : 0800 887 887 (appel gratuit depuis un

poste fixe).

8. Registre de suivi

Toute unité BFbulles doit être accompagnée d’un registre de suivi.Consigner sur le registre de suivi de l’appareil les informations suivantes (art. 9 de l’arrêté du

12 septembre 2006) :– les dates d’opération d’entretien de l’appareil ;

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et lors de chaque introduction d’effluents à traiter :– les dates de traitement (avec heures précises éventuellement), – la nature et la quantité de l’effluent introduit (préciser origine, dilution et nom des produits si cela est

possible), – la durée du traitement ;et après traitement :– les dates et lieux d’épandage des effluents après traitement.En outre, les informations suivantes doivent être consignées :– date d’acquisition ;– numéro de série ;– date de vérification annuelle ;– date du contrôle annuel qualité effluent (nom du laboratoire, mode de prise des échantillons, conservation).

9. Devenir des produits de traitement

A la fin du cycle de dépollution :– l’effluent peut être épandu ou vidangé dans les conditions fixées par l’arrêté du 12 septembre 2006 ;– les consommables usagés doivent être soigneusement stockés dans une poubelle dédiée et éliminés en tant

que déchets dangereux dans une installation dûment autorisée pour cela (filtres et cartouches de filtrationusagés) ;

– les boues de floculation (2 à 5 % du volume total) doivent être éliminées en tant que déchets dangereux dansune installation dûment autorisée pour cela.

10. Contrat de sous-traitance

Un contrat de sous-traitance ou de suivi est proposé par la société Alpha-O à tout utilisateur.Le refus de ce contrat n’exonère pas l’utilisateur des obligations de suivi et de vérification mentionnées

notamment au point 6.

Notice technique du procédé PHYTOBAC

Numéro d’enregistrement : PT 06 010.Demande de reconnaissance déposée par la société Bayer Cropscience.Champ d’application du procédé : tous effluents phytosanitaires issus de traitements des cultures (hors

effluents issus de traitement en post-récolte) et des zones non agricoles.

1. Principe de fonctionnement

Les lits biologiques Phytobac® permettent la rétention des effluents phytosanitaires et la dégradation des subs-tances actives et de leurs métabolites par voie microbiologique. Les effluents phytosanitaires qui peuvent êtreintroduits dans ces dispositifs sont les fonds de cuve dilués et les eaux de nettoyage du matériel de pulvérisation.

2. Description des conditions de prétraitement

L’apport des effluents phytosanitaires peut se faire directement au-dessus de ce dispositif, ou à partir de l’airede lavage du matériel de pulvérisation par l’intermédiaire de conduits spécifiques. Dans ce cas, il convient deprévoir un système de collecte des effluents au niveau de l’aire de remplissage et de lavage du matériel de pulvé-risation. Cette aire doit être facile d’accès et éloignée des points d’eau permanents ou temporaires. En sortie, unesérie d’organes de prétraitement (déshuileur, désableur, dégrilleur) peut être mise en place pour retenir les hydro-carbures, les débris végétaux et les fractions de terre qui seront à gérer en tant que déchets dangereux. Néanmoins,les débris végétaux et les fractions de terre recueillis pourront être dispersés sur le substrat du Phytobac®. Sonemplacement doit être éloigné des points d’eau permanents ou temporaires. L’accès aux enfants et aux animauxdoit être sécurisé ou rendu impossible.

3. Description du fonctionnement du procédé

Ce dispositif doit être constitué d’un bac étanche dont les parois peuvent être une membrane imperméable àl’eau ou une paroi en béton, en métal ou en plastique. Si ce bac est enterré dans le sol, sa partie supérieure doitêtre surélevée par rapport au niveau du sol pour éviter l’entrée d’eau pluviale par ruissellement. Pour éviter toutdébordement du bac ou phénomène d’asphyxie en cas de fortes pluies, il ne doit pas recevoir d’eaux de pluies etdisposer d’une couverture à ouverture facile, placée au minimum à 30 centimètres au-dessus du bac pourpermettre l’aération.

Ce bac contient, sur une hauteur d’environ soixante centimètres, un substrat composé de terre (terre végétaleissue de parcelles représentatives de l’exploitation afin de faciliter la prolifération de souches microbiennesadaptées) et de paille. La paille permet, au moins dans un premier temps, de donner au milieu une certaineporosité et fournit une source d’énergie pour les microorganismes du substrat. Il est nécessaire de constituer lesubstrat par mélange en volume de 70 % de terre et de 30 % de paille broyée.

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4. Indications de la capacité de traitementLe bac doit être calibré en fonction des volumes d’effluents phytosanitaires produits. Le volume de substrat

nécessaire dépend des conditions d’installation du bac (climat, aération, composition du substrat, etc.). Ce volumede substrat doit être égal à au moins 1,5 à 2 fois le volume d’effluents phytosanitaires produit pendant une saisonde traitement. Le module de calcul des volumes d’effluents et du volume du bac adapté figure dans le cahier descharges Expertise Phytobac® transmis par BAYER CropScience France à ses partenaires.

5. Récapitulatif des limites de traitementLe Phytobac® ne peut traiter que les effluents phytosanitaires générés sur l’exploitation (que ce soit à titre indi-

viduel ou collectif) ; en aucune mesure il ne peut servir de réceptacle aux produits phytosanitaires non utilisés ouautres effluents générés sur l’exploitation (effluents de cave de vinification, effluents d’élevage, etc.).

Chaque Phytobac présente une limite en volume d’effluent à pas dépasser par bachée (risque d’ennoyage).

6. Éléments à vérifier pour un fonctionnement optimiséIl faut éviter un ennoyage prolongé du bac qui pourrait conduire à l’apparition de conditions anaérobies (modi-

fication de la flore microbienne) mais aussi éviter un dessèchement du substrat susceptible d’inhiber la dégra-dation des résidus de produits phytosanitaires. Le maintien d’une humidité suffisante permet d’assurer un bonfonctionnement de la biomasse microbienne et d’assurer une dégradation efficace des substances présentes dansles effluents phytosanitaires. L’utilisation d’un bac intermédiaire de stockage des effluents phytosanitaires peutaider à réguler l’humidité du bac grâce à un apport régulier au-dessus du substrat. L’adaptation de systèmes demesure et de contrôle de l’humidité du substrat, de systèmes de programmation du déversement des effluents dansle Phytobac®, sont un gage de son bon fonctionnement. Les études ont montré l’intérêt pour une recommandationde maintenir entre 5 et 50 %, avec un optimum à 20 % d’humidité relative soit 80 % de la capacité au champ.

La vérification de l’humidité peut être réalisée selon les approches suivantes : visuelle ou tactile/mesure tensio-métrique (sonde). L’installation complémentaire de pompe de circulation pour répartir les eaux accumulées aufond ou de sonde commandant le déclenchement de l’arrosage du substrat se révèle comme composante principalede la maîtrise optimisée de l’humidité du substrat. L’apport régulier d’effluents est recommandé à partir d’unecuve de stockage temporaire de ces effluents plutôt que le déversement massif.

Afin de maintenir une bonne capacité de dégradation, le substrat doit être retourné régulièrement pour évitertout tassement et conserver une bonne porosité. Un apport de matière organique (paille) est effectué lorsqu’unebaisse de niveau du substrat de quelques centimètres est constatée, une fois par an en général, avant le début destraitements, afin de maintenir l’activité des microorganismes.

L’aménagement du Phytobac® doit permettre, dans tous les cas, une répartition homogène des effluents phyto-sanitaires sur le substrat, par exemple à l’aide de rampes de distribution réparties sur l’ensemble de la surface.

Le substrat du Phytobac® reproduit les conditions qui permettent une dégradation des substances actives selondes modalités identiques à celles des parcelles de l’exploitation (voies de métabolisation, vitesses de dégradation)et qui sont documentées dans les dossiers d’homologation des produits phytopharmaceutiques. La dégradation deseffluents phytosanitaires s’effectue majoritairement au rythme des apports annuels.

7. Description des mesures à prendre en cas d’accident de traitementBAYER CropScience invite les utilisateurs de Phytobac® à consulter ses experts dans le cas d’un accident de

traitement (cuve de bouillie de pulvérisation inutilisable, etc.), d’un dysfonctionnement du Phytobac® (inondationaccidentelle, etc.). Le questionnement peut être recueilli par le numéro vert de BAYER services infos(0 800 25 35 45) qui redirige la question auprès des experts BAYER CropScience ad hoc. Une recommandation estensuite délivrée, adaptée à la nature de l’accident ou du dysfonctionnement : mode opératoire précis du traitementde l’effluent accidentel dans le Phytobac® (volume, séquençage, brassage du substrat, etc.), mode opératoireprécis de la vidange du surplus liquide au dessus du substrat du Phytobac®, mode opératoire pour la protectiondes opérateurs et des passants.

L’utilisateur doit porter les équipements individuels de protection adéquats lorsqu’il est amené à intervenir surle procédé de traitement.

En cas de contamination accidentelle :– contact oculaire : rincer abondamment 15 minutes à l’eau claire, contacter un ophtalmologiste au moindre

doute ;– contact avec la peau : enlever tout vêtement souillé ou éclaboussé. Le laver abondamment avec de l’eau

(15 minutes). En cas de lésion cutanée ou autre symptôme, contacter le médecin traitant.En cas d’urgence appeler le 15, le 112 ou le centre antipoison.Signaler toute intoxication au réseau Phyt’attitude, numéro vert : 0800 887 887 (appel gratuit et anonyme depuis

un poste fixe).

8. Actions à consigner sur le registre accompagnant le dispositifConsigner sur le registre de suivi du procédé les informations suivantes (art. 9 de l’arrêté du

12 septembre 2006) :– les dates d’opération d’entretien de l’appareil (retournement du substrat ou à son renouvellement partiel en

terre et/ou en paille) ;

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et lors de chaque introduction d’effluents à traiter :– les dates d’apport des effluents (avec heures précises éventuellement),– la nature et la quantité de l’effluent introduit (préciser origine, dilution et nom des produits si cela est

possible),– la durée du traitement avant épandage ;et après traitement :– les dates et lieux d’épandage du substrat après traitement.Il est important de noter également les dysfonctionnements éventuels survenus en cours de traitement et leur

durée.

9. Devenir des produits de traitementsLe traitement des effluents phytosanitaires dans un Phytobac® ne génère pas de déchets dangereux (hors pré-

traitement). L’épandage du substrat du Phytobac® en tant qu’amendement organique est possible à condition qu’ilintervienne au moins 5 mois après le dernier apport d’effluents phytosanitaires dans ce bac. Au cours de cette période, le suivi et l’entretien du bac doivent être assurés. Le renouvellement complet du substrat doit êtreenvisagé uniquement dans le cas où les opérations d’entretien (retournement) ne suffisent pas à maintenir lesconditions favorables à un bon fonctionnement (diminution de la porosité suite au tassement, altération de lacapacité de rétention en eau). L’épandage est réalisé sur une parcelle de la sole de l’exploitation agricole à raisonde 1 mètre cube de substrat pour 1 000 mètres carrés, soit 10 mètres cubes/ha. Un travail superficiel du sol de laparcelle permet de disperser le substrat dans les 10 premiers centimètres du sol.

10. Contrats de sous-traitanceLes contrats de sous-traitance Phytobac® ne concernent que la réalisation des kits préfabriqués Phytobac®.

Notice technique du procédé PHYTOCATNuméro d’enregistrement : PT 06 008.Demande de reconnaissance de la société RESOLUTION.Champs d’application du procédé : viticulture, cultures légumières et ZNA (tous effluents phytosanitaires viti-

coles ou issus du traitement des cultures légumières [hors effluents issus de traitements post-récolte] et des zonesnon agricoles).

1. Principe de fonctionnementLe Phytocat® conçu par RESOLUTION est destiné à détruire, par photocatalyse, les effluents phytosanitaires

viticoles ou issus du traitement des cultures légumières et des zones non agricoles.Elle doit forcément être couplée, sur une aire de lavage, à un dégrilleur, débourbeur, déshuileur. Après

dégrillage, débourbage et déshuilage, l’effluent confiné dans la cuve de stockage est préfiltré par le Phytocat® etdépollué par la technique de la photocatalyse.

Le système Phytocat® est basé sur le phénomène photocatalytique c’est-à-dire sur l’irradiation d’un catalyseur(le dioxyde de titane, TiO2) par des rayonnements photoniques (U.V.). Il se produit alors une réaction d’oxydo-réduction, dégageant des radicaux libres (radicaux OH*). Ces radicaux attaquent les polluants organiques enprésence d’oxygène et les dégradent par oxydations successives en composés minéraux non toxiques (H2O, CO2,SO2...).

2. Description des conditions du prétraitement, avec nature des produits utilisés et ratiosLe prétraitement par le Phytocat® est assuré par une filtration mécanique bi-phase solide-liquide. Deux

préfiltres assurent cette opération.

3. Description du fonctionnement du procédé, en précisant les caractéristiques des réactifs et équipementsutilisés et en précisant en cas de besoin les consignes de sécurité devant être respectées à chaque étape dutraitementL’aire de lavage doit posséder un système de déshuilage, dégrillage et de dessablage. Après dégrillage,

débourbage et déshuilage de l’effluent sur l’aire de lavage, l’effluent confiné est pompé et stocké par bâchée de500 litres dans le Phytocat®.

Lors du pompage, il est préfiltré à l’aide de deux préfiltres intégrés au Phytocat®.Le démarrage du cycle de dépollution active la pompe de relevage qui fait circuler l’effluent sur les media-

filtrants irradiés par des lampes U.V. Les oxydations-réductions successives s’opèrent alors grâce aux média-filtrants, supports non tissés recouverts de silice et de dioxyde de titane (TiO2) qui permettent, sous l’effet de lalumière, la réaction photocatalytique.

4. Indication de la capacité de traitement de l’appareilet des durées des traitements requises en fonction des volumes introduits

Le Phytocat® traite les 500 litres pompés en quinze jours. En conséquence, sa capacité maximale de traitementest de 12 mètres cubes annuels.

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5. Récapitulatif des limites de traitement de l’appareil

Le Phytocat® peut être installé en intérieur ou en extérieur. Dans cette seconde hypothèse, il convient deprévoir un abri contre la pluie (auvent, margelle). Dans tous les cas, le Phytocat® devant être installé bien verti-calement et à niveau, le sol qui le supporte doit être stable.

Il n’y a pas de contre-indication particulière sur les concentrations maximales de l’effluent étant donné que lespréconisations d’utilisation sont décrites en référence à des expérimentations menées sur des concentrationsvariables allant du produit pur à l’effluent dilué conformément aux bonnes pratiques phytosanitaires.

La température n’a pas d’incidence sur l’efficacité de la photocatalyse et le Phytocat® peut fonctionner quelleque soit la saison. En revanche, lors de fortes gelées, la pompe de remplissage reliant l’aire de lavage auPhytocat® doit être mise hors gel. Lors du remisage du Phytocat®, la mise hors gel est également de rigueur.

6. Enumération des points à vérifier et indication de la fréquence nécessaireau contrôle des équipements/substrat/consommable

Les dispositifs électriques doivent disposer d’une protection différentielle et d’une prise de terre.Le Phytocat® doit être utilisé par un opérateur muni d’un masque et de gants protecteurs.Avant toutes opérations, il convient de vérifier le parfait à-plat, en posant le niveau sur les 2 portes-média

situées sous le capot du Phytocat®.Préfiltre : préconisé par RESOLUTION, ceux-ci vous sont fournis avec le forfait fournitures.Préfiltre numéro 1 en plastique bleu. Equipé(e) d’un masque et muni(e) de gants, changer la cartouche de ce

pré-filtre en dévissant le carter à l’aide de la poignée située à proximité. Son changement n’est pas systématique :il est à renouveler quand le temps de remplissage est devenu supérieur à 30 minutes.

Préfiltre numéro 2 en Inox. Son changement est effectué par RESOLUTION lors de la maintenance annuelle.Quand et comment changer de média ?Pour garantir le bon fonctionnement du Phytocat®, il est nécessaire de changer le préfiltre numéro 1 comme

précité et les média-filtrants après chaque cycle, au moment de la vidange. Nous vous recommandons, parexemple, de changer le préfiltre numéro 1 (si nécessaire) et les 2 portes-média, pendant le remplissage auto-matique de la cuve, qui dure environ 15 minutes.

7. Description des mesures à prendre en cas d’accident de traitement vis-à-vis des effluents à traiter,du substrat de traitement, de la protection des opérateurs et passants

Les sécurités ont été prévues pour assurer la protection des opérateurs, des composants et le bon fonctionnementde Phytocat® (Agrément APAVE) :

– le remplissage du Phytocat® ne peut se faire que si la vanne de vidange est fermée, afin d’éviter une mise àl’égout ou aux eaux pluviales intempestive. La vanne peut être munie d’un cadenas en cas de besoin, afin deréserver la fonction de rejet à un responsable de l’exploitation ;

– le cycle ne peut pas démarrer tant que la cuve est vide. Un niveau bas placé dans la cuve protège la pompeen cas de niveau insuffisant ;

– lorsque la cuve est pleine, la pompe de remplissage s’arrête automatiquement ;– les générateurs d’U.V. sont conçus pour une durée d’un an mais il est possible qu’ils tombent en panne

prématurément. Aussi un générateur de rechange est fourni avec le média-filtrant. Si un ou plusieurs généra-teurs UV ne fonctionne(nt) pas, Phytocat® s’arrête, le voyant jaune « attention défaut lampe » s’allume : pouridentifier le ou les générateur(s) défectueux, appuyer sur le bouton « nouveau cycle ». Le(s) voyant(s) vert(s)éteints indique(nt) le numéro du générateur à changer dans la colonne latérale ;

– si le média-filtrant n’est pas mis en place, Phytocat® ne démarre pas ;– ouvrir le couvercle supérieur a pour effet la coupure électrique des générateurs.Une exposition prolongée aux rayonnements U.V. et donc aux générateurs en action peut provoquer des

dommages, en particulier aux yeux. En aucun cas, il ne faut tenter de supprimer les sécurités pour accéder à l’ins-tallation en marche.

Le fonctionnement en toute sécurité du Phytocat® n’est assuré que dans la mesure où rien n’a été modifié et enparticulier le fonctionnement des contacts de sécurité.

Le bon fonctionnement du Phytocat® n’est garanti qu’à la condition expresse que seul RESOLUTION ou unpersonnel mandaté par RESOLUTION soit intervenu pour réaliser la maintenance préventive et résolutive duPhytocat® et que les éventuelles pièces de rechange soient fournies par RESOLUTION.

En cas de panne non identifiée et précitée, contacter le S.A.V. de RESOLUTION.L’utilisateur doit porter les équipements individuels de protection adéquats lorsqu’il est amené à intervenir sur

le procédé de traitement.En cas de contamination accidentelle :– contact oculaire : rincer abondamment 15 minutes à l’eau claire, contacter un ophtalmologiste au moindre

doute ;– contact avec la peau : enlever tout vêtement souillé ou éclaboussé. Le laver abondamment avec de l’eau

(15 minutes). En cas de lésion cutanée ou autre symptôme, contacter le médecin traitant.En cas d’urgence appeler le 15, le 112 ou le centre anti-poison.

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Signaler toute intoxication au réseau Phyt’attitude, numéro vert : 0800 887 887 (appel gratuit et anonyme depuisun poste fixe).

8. Récapitulatif, pour le procédé en question,des actions à consigner sur le registre accompagnant le dispositif

Consigner sur le registre de suivi de l’appareil les informations suivantes (art. 9 de l’arrêté du12 septembre 2006) :

– les dates d’opération d’entretien de l’appareil ;et lors de chaque introduction d’effluents à traiter :– les dates de traitement (avec heures précises éventuellement),– la nature et la quantité de l’effluent introduit (préciser origine, dilution et nom des produits si cela est

possible),– la durée du traitement ;et après traitement :– les dates et lieux d’épandage des effluents après traitement.En outre il est conseillé de consigner sur le registre accompagnant le Phytocat® :– le relevé du compteur d’heures ;– les dates et heures de mise en route ;– les dates et heures de fin de cycle ;– les incidents éventuels.

9. Rappel du devenir des produits de traitements

A la fin du cycle de dépollution :– l’effluent peut être épandu ou vidangé dans les conditions fixées par l’arrêté du 12 septembre 2006 ;– les consommables usagés doivent être soigneusement stockés dans une poubelle dédiée et éliminés en tant

que déchets dangereux dans une installation dûment autorisée pour cela.

10. Indication de l’existence d’un contrat de sous-traitance

Un contrat de contrôle et prévention des installations est proposé par RESOLUTION ou ses représentantsagréés, afin de contrôler régulièrement la bonne pratique des procédures.

En cas de refus de ce contrat par le détenteur, ce dernier est néanmoins tenu de réaliser l’ensemble des opéra-tions de maintenance et d’entretien préconisés et de faire appel à la société RESOLUTION lors de toute anomalieou dysfonctionnement, pour intervention.

Notice technique du procédé PHYTOMAX

Numéro d’enregistrement : PT 06 004.Demande de reconnaissance déposée par la société AGRO-ENVIRONNEMENT.Champs d’application du procédé : viticulture et arboriculture (effluents phytosanitaires issus de la viticulture

et de l’arboriculture [hors traitements post-récolte]).

1. Principe de fonctionnement

En amont de ce dispositif, il convient de prévoir un système de collecte des effluents de produits phytosanitairescomprenant une série d’organes de prétraitements (déshuileur, dessableur, dégrilleur) afin de retenir les hydro-carbures, les débris végétaux et les fractions de terre.

Une étude préalable doit être effectuée pour mettre en place des dispositifs permettant de limiter en quantité eten concentration les teneurs en résidus phytosanitaires.

Le système Phytomax® est basé sur le phénomène photocatalytique, c’est-à-dire sur l’irradiation d’un catalyseur(le dioxyde de titane, TiO2) par des rayonnements photoniques (U.V.). Il se produit alors une réaction d’oxydo-réduction, dégageant des radicaux libres (radicaux OH*). Ces radicaux attaquent les polluants organiques enprésence d’oxygène et les dégradent par oxydations successives en composés minéraux non toxiques (H2O, CO2,SO2).

L’effluent phytosanitaire ruisselle sur des plaques recouvertes de média photocatalytiques inclinées dont lesdimensions et le nombre dépendent du volume à traiter. Des lampes U.V. sont placées au-dessus de chacune desplaques.

Le rejet de l’effluent traité se fait par un tuyau souple qui peut être dirigé vers une cuve-tampon pour réutili-sation ou épandage ou vers des parcelles différentes selon les conditions fixées par l’arrêté.

2. Description des conditions du prétraitement

La coagulation/floculation permet de retenir les matières en suspension et la fraction non soluble des élémentsminéraux utilisés lors des traitements, comme le cuivre, le soufre ou l’aluminium. En effet, ces molécules nepeuvent pas être dégradées par des réactions d’oxydo-réduction.

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La première phase du traitement consiste à ajouter un coagulant spécifique afin de faire croître les particulescolloïdales responsables de la turbidité et de la coloration de l’eau à une taille suffisante pour être séparées.

La deuxième phase permet de faire grossir les microflocs formés qui vont ainsi décanter plus rapidement grâceà l’ajout de floculant.

L’approvisionnement en produits pour assurer le prétraitement des effluents phytosanitaires est assuré par lefabricant.

3. Description du fonctionnement du procédé

Le système Phytomax® doit être installé sur un sol stable à l’intérieur d’un bâtiment d’exploitation ou à l’exté-rieur sous abris, de préférence à côté de la cuve de stockage des effluents bruts.

L’effluent prétraité arrive au niveau de la pompe multicellulaire verticale qui le dirige sur les différents étagesde traitement.

Des vannes couplées à des débitmètres à flotteur permettent de réguler le débit de circulation d’eau sur chaqueétage. Les tuyaux de remontée de l’effluent acheminent l’effluent sur une rampe de répartition qui permet de lerépandre de façon homogène sur toute la surface du papier.

4. Indication de la capacité de traitement de l’appareilet des durées des traitements requises en fonction des volumes introduits :

La capacité de traitement du système Phytomax® s’adapte en fonction du volume d’effluent phytosanitaire àtraiter. Il existe ainsi plusieurs modules de traitement qui répondent tous à des critères de construction et dedimensionnement identiques. En effet, les paramètres intervenant dans le processus de dégradation sont liés à unfacteur de proportionnalité.

L’effluent circule ainsi en circuit fermé pendant 30 jours.

5. Récapitulatif des limites de traitement de l’appareil

Il n’y a pas de contre-indication particulière sur les concentrations maximales des effluents.Limite de température : hors gel.

6. Enumération des points à vérifier et indication de la fréquence nécessaireau contrôle des équipements/substrats/consommables

Avant chaque campagne de traitement, un contrôle technique de base (vérification des néons, du préfiltre, desdifférentes sécurités...) devra être assuré par l’agriculteur après formation ou par l’équipe technique du fabricant.

Il est indispensable que l’appareil de traitement soit de niveau afin que le ruissellement de l’effluent se fasse surtoute la surface du média. La mise à niveau est réalisée en ajustant les 4 pieds réglables. Cette opération doit êtrerenouvelée à chaque déplacement de l’appareil.

Le média photocatalytique doit être remplacé au minimum tous les 2 cycles. Le filtre de protection de la pompemulticellulaire doit être nettoyé régulièrement afin d’empêcher son colmatage.

7. Description des mesures à prendre en cas d’accident de traitement

Un voyant défaut général est actionné au niveau de l’armoire principale si une rampe U.V. est défectueuse ou sila pompe disjoncte.

L’utilisateur doit porter les équipements individuels de protection adéquats lorsqu’il est amené à intervenir surle procédé de traitement.

En cas de contamination accidentelle :– contact oculaire : rincer abondamment 15 minutes à l’eau claire, contacter un ophtalmologiste au moindre

doute ;– contact avec la peau : enlever tout vêtement souillé ou éclaboussé. Le laver abondamment avec de l’eau

(15 minutes). En cas de lésion cutanée ou autre symptôme, contacter le médecin traitant.En cas d’urgence appeler le 15, le 112 ou le centre antipoison.Signaler toute intoxication au réseau Phyt’attitude, numéro vert : 0800 887 887 (appel gratuit et anonyme depuis

un poste fixe).

8. Récapitulatif, pour le procédé en question,des actions à consigner sur le registre accompagnant le dispositif

Consigner sur le registre de suivi de l’appareil les informations suivantes (art. 9 de l’arrêté du12 septembre 2006) :

– les dates d’opération d’entretien de l’appareil ;et lors de chaque introduction d’effluents à traiter :– les dates de traitement (avec heures précises éventuellement),– la nature et la quantité de l’effluent introduit (préciser origine, dilution et nom des produits si cela est

possible),– la durée du traitement ;

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et après traitement :– les dates et lieux d’épandage des effluents après traitement.Il est nécessaire aussi de noter les différentes opérations d’entretien effectuées (changement de papier de lampes

U.V.), permet tant d’assurer un suivi précis du système de traitement. Il est important de noter également lesdysfonctionnements éventuels survenus en cours de traitement et leur durée.

9. Rappel du devenir des produits de traitements

A la fin du cycle de dépollution, l’effluent peut être épandu ou vidangé dans les conditions fixées par l’arrêtédu 12 septembre 2006.

Le média photocatalytique est remplacé au minimum tous les 2 cycles. Les papiers usagés, considérés commedes déchets dangereux, doivent être soigneusement stockés dans une poubelle dédiée et éliminés en tant quedéchets dangereux dans une installation dûment autorisée pour cela.

10. Contrat de sous-traitance

Un contrat de contrôle et prévention des installations est proposé par AGRO-ENVIRONNEMENT ou ses repré-sentants agréés, afin de contrôler régulièrement la bonne pratique des procédures.

En cas de refus de ce contrat par le détenteur, ce dernier est néanmoins tenu de réaliser l’ensemble des opéra-tions de maintenance et d’entretien préconisés et de faire appel à la société AGRO-ENVIRONNEMENT lors detoute anomalie ou dysfonctionnement pour intervention.

Notice technique du procédé PHYTOPUR

Numéro d’enregistrement : PT 06 006.Demande de reconnaissance déposée par la société MICHAEL PAETZOLD.Champs d’application du procédé : viticulture et arboriculture (tous les effluents phytosanitaires issus des trai-

tements appliqués en viticulture et arboriculture, hors post-récolte).

1. Principe de fonctionnement du procédé Phytopur®

1.1. Conditions préalables

L’application du procédé PHYTOPUR, pour traiter les effluents phytosanitaires, nécessite de :– mettre en place un système de collecte des effluents phytosanitaires intégrant un système de séparation entre

les effluents phytosanitaires et les eaux de toutes autres origines (pluviales, effluents vinicoles...) ;– procéder à un ensemble de traitements primaires des effluents, tels que le dégrillage des effluents à 1 centi-

mètre (rétention des feuilles, cailloux...). Les déchets issus des prétraitements doivent être gérés en tant quedéchets dangereux ;

– stocker les effluents produits dans une cuve-tampon : la réalisation du procédé PHYTOPUR nécessitel’emploi d’une cuve de stockage tampon munie d’un trou d’homme ou d’une ouverture dont le diamètreminimum doit être supérieur à 30 centimètres de diamètre.

1.2. Le procédé PHYTOPUR

Le procédé PHYTOPUR se décompose en 3 étapes, la coagulation/sédimentation (prétraitement), l’osmoseinverse, l’absorption sur charbon actif.

1.2.1. Première étape : la coagulation/sédimentation

Cette première étape de prétraitement est réalisée dans la cuve de stockage des effluents phytosanitaires.A ce stade, un coagulant est introduit dans la cuve de stockage. Il assure la formation d’agglomérats de parti-

cules (flocs) qui vont piéger l’ensemble des matières en suspension.La séparation effluents/flocs est réalisée par sédimentation dans la cuve-tampon.Après décantation, on obtient un surnageant clarifié, et des boues au fond de la cuve de stockage. Les boues

doivent être récupérées pour être éliminées en tant que déchets dangereux dans un centre agréé.

1.2.2. Deuxième étape : la filtration membranaire (l’osmose)

Cette deuxième étape est réalisée au sein de l’unité de traitement.Avant de réaliser l’osmose inverse, la phase d’effluents clarifiée est filtrée pour éliminer les flocs non décantés.L’osmose est réalisée sur des membranes organiques, qui ont comme propriété de ne laisser passer que les

molécules d’eau et de retenir les molécules phytosanitaires.

1.2.3. Troisième étape : l’absorption sur charbon actif

En sortie d’osmoseur, un traitement de finition est assuré par un passage sur un filtre à charbon actif.Ce dernier retient par absorption les micropolluants qui ne seraient pas stoppés par l’étape d’osmose.

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2. Conditions de prétraitement

L’aire de lavage doit posséder un système de déshuilage, dégrillage et de dessablage. Les prétraitements (coagu-lation/sédimentation) sont réalisés au sein de la cuve de stockage des effluents phytosanitaires.

Dans un premier temps, l’effluent est homogénéisé au moyen d’une pompe introduite dans la cuve de stockage.Dans un second temps, le type et le dosage du coagulant sont déterminés sur place en fonction de la nature des

effluents, après quoi le coagulant est incorporé dans la cuve de stockage.Les coagulants utilisés sont des cations trivalents, sous forme de chlorure ferrique ou de polychlorure d’alu-

minium.La séparation effluents/flocs est réalisée par sédimentation dans la cuve-tampon.Cette décantation aboutit à l’obtention d’un surnageant clarifié (limpide), et à la formation de boues au fond de

la cuve. Les produits de coagulation se retrouvent dans les boues, de plus, de par leurs poids moléculaires élevéset leur charge électrique, ils ne peuvent pas traverser les membranes d’osmose.

Les boues doivent être récupérées pour être éliminées comme déchets dangereux dans un centre agréé(production de boues de l’ordre 3 kg/m3 d’effluents traités).

3. Conditions de fonctionnement de Phytopur®

Schéma de fonctionnement du procédé Phytopur®

Le procédé se décompose en 3 ensembles :– la pompe de transfert ;– l’unité d’osmose inverse ;– le filtre à charbon actif.L’unité d’osmose inverse assure la filtration moléculaire de l’effluent en ne laissant passer que les molécules

d’eau.

Après osmose inverse, le perméat est dirigé vers le filtre à charbon actif, alors que le retentat est refoulé dans lebac de travail de l’osmoseur.

En sortie de l’unité d’osmose inverse, le perméat subit un traitement de finition. Celui-ci est assuré par unpassage sur un filtre à charbon actif, qui permet la rétention par absorption des micropolluants non retenus parl’étape de filtration membranaire.

Le filtre à charbon actif est un filtre bicouche, il s’agit d’un mélange dans les mêmes proportions de 2 charbonsde natures différentes (un de type noix coco et un autre de type houille).

4. Capacité de traitement

Le procédé PHYTOPUR® est un procédé uniquement physique dont la capacité de traitement dépend dudimensionnement de l’unité de traitement.

Actuellement, il existe 2 unités de traitement :– la première a une capacité de traitement de � 12 m3/jour, soit un débit moyen de 500 l/h /24 heures et un

débit de pointe en début de prestation de 900 l/h ;– la deuxième a une capacité de traitement de � 16 m3/jour soit un débit moyen de 650 l/h/24 heures et un

débit de pointe en début de prestation de 1 000 l/h.

Nota. – Le débit diminue au cours de la prestation en raison de l’encrassement des membranes d’osmose inverse.La durée du traitement est donc fonction du volume d’effluents phytosanitaires à traiter, elle varie de 2-3 heures

pour les petits volumes (< 3 m3) à plusieurs jours pour des volumes importants (> 25 m3).

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5. Limites de traitement

Le procédé PHYTOPUR® est un traitement physique dont la principale étape est la filtration par osmoseinverse, laquelle n’est pas limitée par un quelconque volume maximum.

L’osmose est une barrière physique, la concentration initiale n’a aucune incidence sur l’abattement de la concen-tration de l’effluent.

Le procédé PHYTOPUR® peut travailler dans une plage de températures comprises entre 2 oC et 45 oC. Au-delàde 45 oC, il y a un risque de détérioration des membranes. En effet, les pores de la membrane se ferment irrémé-diablement et le débit de traitement devient donc nul.

6. Autosurveillance et entretien

Le pH de l’effluent doit être vérifié, il doit être compris entre 6 et 8.L’efficacité de la clarification de l’effluent doit être contrôlée visuellement.Le filtre doit être remplacé lorsqu’il est usé ou une fois tous les 2 ans.

6.3. L’unité de traitement

Sécurités et vérifications : appliquer les préconisations du fabricant.Consommables :– Membranes d’osmose inverse (prestation et équipement en fixe).Une fois par an, démonter les membranes de l’unité d’osmose inverse et les passer individuellement sur un banc

d’essai pour vérifier leur débit et leur conductivité.– Charbon actif (prestation et équipement en fixe).Remplacer les 25 kg de charbon actif tous les 500 m3 d’effluents traités.Analyses (prestation et équipement en fixe) :Il est préconisé la réalisation d’analyses annuelles, telles que des tests microtox et des tests daphnies sur des

effluents, afin de garantir un suivi du procédé dans le temps.

7. Mesures à prendre en cas d’accident de traitement

7.1. Au cours de la réalisation des prétraitements

Au cours de la réalisation des prétraitements, un surdosage accidentel en coagulant est possible. Ainsi la formationdes flocs peut être limitée par acidification de l’effluent.

Afin de contrer l’éventuel surdosage en coagulant, il est possible d’introduire une base, comme la soude.

7.2. Au niveau de l’unité de traitement (valable en prestation de service et en vente d’équipement)

Face à une panne d’un organe électromécanique, l’unité de traitement s’arrête automatiquement.Au niveau de l’osmoseur, l’intégrité des membranes est vérifiée en continu par :– la mesure de la pression interne. Si une membrane se déchire, la pression chute alors et l’osmoseur s’arrête auto-

matiquement ;– la mesure de la conductivité de l’effluent après l’unité de filtration. Si celle-ci augmente et dépasse la valeur de

consigne (200 �s/cm2), alors l’osmoseur s’arrête.

7.3. Protection de l’opérateur

Lors d’une prestation de traitement, l’opérateur a à sa disposition les équipements de protection individuels telsque : une combinaison jetable, des gants et un masque avec cartouche de charbon actif.

Dans le cas de la vente d’une unité de traitement, il sera recommandé à l’opérateur de se munir des mêmeséquipements de protection individuels.

En cas de contamination accidentelle :– contact oculaire : rincer abondamment à l’eau claire ;– contact avec la peau : prendre une douche.En cas d’urgence appeler le 15 ou le centre antipoison.Signaler tout accident corporel au réseau Phyt’attitude, numéro vert : 0800 887 887 (appel gratuit depuis un poste

fixe).

8. Récapitulatif des actions à consigner

Consigner sur le registre de suivi de l’appareil les informations suivantes : (art. 9 de l’arrêté du12 septembre 2006) :

– les dates d’opération d’entretien de l’appareil ;et lors de chaque introduction d’effluents à traiter :– les dates de traitement (avec heures précises éventuellement),– la nature et la quantité de l’effluent introduit (préciser origine, dilution et nom des produits si cela est possible),– la durée du traitement ;

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et après traitement :– les dates et lieux d’épandage des effluents après traitement.Il existe en outre sur chaque unité de traitement un cahier de vie de l’unité dans lequel sont reportés :– l’ensemble des vérifications et des maintenances réalisées (changement d’huile des pompes, courroies...) ;– les changements de consommables : charbon actif, membranes.

8.1. Dans le cas de la prestation de service

Les informations suivantes sont reportées dans le cahier : la date, le lieu et le numéro de bordereau de traitementde la prestation.

Suite à une prestation, une copie du bordereau de traitement est laissée au client, l’autre exemplaire étant conservépar le prestataire.

8.2. Dans le cas de la vente de l’unité de traitement

Les informations suivantes sont reportées dans le cahier :– la date des prétraitements et les produits employés ;– la date et l’heure de la mise en route et de l’arrêt de l’unité de traitement ;– le volume d’effluents traités relevé sur le compteur en sortie d’osmoseur ;– la quantité de boues extraites.

9. Devenir des produits de traitement

A la suite du traitement, deux types de produits sont obtenus et sont gérés différemment :L’effluent traité est laissé à la charge de l’exploitant, pour qu’il soit vidangé ou épandu conformément à l’article 8

de l’arrêté du 12 septembre 2006.Les déchets résultant du traitement : les consommables usagés ainsi que les boues de floculation doivent être traités

par un centre agréé pour cela.

10. Contrat de sous-traitance

La société MICHAEL PAETZOLD, en tant que prestataire de service, propose une convention pour le traitementdes effluents phytosanitaires par le procédé PHYTOPUR®. Il est stipulé dans cette convention les devoirs et les obli-gations de chacun.

En cas de refus de ce contrat par le détenteur, ce dernier est néanmoins tenu de réaliser l’ensemble des opérationsde maintenance et d’entretien préconisés et de faire appel à la société MICHAEL PAETZOLD lors de toute anomalieou dysfonctionnement pour intervention.

Notice technique du procédé SENTINEL

Numéro d’enregistrement : PT 06 011.Demande de reconnaissance déposée par la société ALBA Environnement SAS.Champs d’application du procédé : traitement des effluents issus des traitements post-récolte des fruits et

légumes.

1. Principe de fonctionnement

Le dispositif SENTINEL a été développé pour l’épuration des effluents phytosanitaires.Les capacités d’épuration s’étendent de 100 à 1 500 litres d’effluents traités par heure.Une station SENTINEL se compose d’un réservoir principal avec agitateur, d’une unité de filtration sur charbon

actif et d’un compartiment pour recevoir et sécher les boues.

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Contrairement aux stations fonctionnant en continu, le système SENTINEL traite les effluents par bâchées.Le procédé SENTINEL amène à concentrer les polluants dans les boues et le charbon actif suivant le bilan

matière suivant :Pour 1 000 litres d’effluents bruts traités, on obtient en moyenne :– 996 litres d’eau épurée ;– 3 à 4 kg de boues ;– 0,5 à 1 kg de charbon contaminé.

2. Prétraitement

L’aire de lavage doit posséder un système de déshuilage, dégrillage et de dessablage.La station SENTINEL assure un traitement complet des effluents avec prétraitement chimique puis traitement

par filtration sur colonnes de charbon actif.

3. Description du fonctionnement du procédé

Pose et installation de la station SENTINEL :La responsabilité du déballage, du positionnement et de l’installation de la station se fait en accord entre le

client et le distributeur. La station est habituellement livrée dans un emballage plastique et en deux parties pourfaciliter le transport :

– partie supérieure : réservoir principal pour le traitement chimique de l’effluent ;– partie inférieure : plus lourde, pour le traitement au charbon actif, avec les pompes et les vannes.La station doit être déplacée jusqu’à l’endroit prévu pour son implantation avant de réaliser son assemblage. Il

est conseillé d’utiliser un chariot élévateur pour déplacer la station. Cependant il est très important de faireattention au moment où les fourches du chariot sont glissées sous l’appareil car les tuyaux et les pompes peuventêtre facilement endommagés.

Un certain nombre de tuyaux sont démontés pour le transport de la station et nécessitent d’être reconnectés auxvannes avant utilisation. Il est recommandé de monter et installer la station sur le sol. Des clapets anti-retourdoivent être installés pour éviter d’éventuels refoulements des effluents vers le réseau d’eau potable.

Les branchements électriques doivent être faits par un électricien qualifié.Initialisation du système :Cette opération doit se faire lors de la mise en marche d’une nouvelle station ou après le remplacement d’une

colonne de charbon actif.Cette étape permet de :– nettoyer les colonnes de charbon actif avant leur première utilisation (pour enlever les poussières de

charbon) ;– vérifier le débit de l’effluent dans les colonnes ;– vérifier qu’il n’y a pas de fuite dans le système.

Utilisation de la station :Avant toute utilisation de la station, il est nécessaire de vérifier que tous les produits chimiques nécessaires au

traitement de l’effluent sont en quantité suffisante et que la station a été initialisée.La manipulation des effluents phytosanitaires et des réactifs chimiques nécessitent le port de vêtements et

protections de sécurité appropriés.Un cycle complet de traitement comporte 5 étapes :1. Remplissage :– remplissage du réservoir principal par ouverture manuelle d’une vanne ;– arrêt automatique de la pompe lorsque le réservoir est plein et mise en route de l’agitation.2. Dosage :– ajout successif des 4 réactifs chimiques en respectant l’ordre d’introduction et les temps d’agitation

préconisés.3. Décantation :– arrêt de l’agitation et décantation des boues (minimum 1 heure) ;– autocontrôle no 1 : prise d’échantillon pour vérifier que les flocs ont bien décanté.4. Filtration :– mise en route de la pompe pour permettre au surnageant de passer à travers le préfiltre et les colonnes de

charbon actif ;– autocontrôle no 2 : effluent incolore à la sortie de la première colonne (si l’effluent est de couleur rouge, la

première colonne doit être remplacée puis intervertie avec la deuxième colonne et le système doit être réini-tialisé).

5. Manipulation des boues :– évacuation des boues (restées au fond du réservoir principal) vers le panier et les sacs filtrants pour déshydra-

tation.

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Lorsque le réservoir principal a été vidé, un nouvel effluent peut être versé dans le réservoir principal pour unnouveau cycle de traitement.

4. Caractéristiques techniques des stations SENTINEL

MODÈLE* SENTINEL 100 SENTINEL 200 SENTINEL 300 SENTINEL 500

Capacité maximum du réservoir 500 l 1 200 l 1 200 l 1 200 l

Volume conseillé d’effluent à traiter par bâchée � 400 l � 1 000 l � 1 000 l � 1 000 l

Capacité de traitement (L/h) 100 200 300 500

Durée d’un cycle de traitement 4 h 5 h 3 h 2 h

Main-d’œuvre nécessaire par cycle de traitement 40 minutes 20 minutes 20 minutes 5/10 minutes

Mode de fonctionnement de la station Manuel Semi-automatique Semi-automatique Automatique

Type d’alimentation électrique 220 Vmonophasé

220 Vmonophasé

220 Vmonophasé

420 Vtriphasé

Ampérage pour 220/440 V 13 A 20 A 20 A 32 A

Consommation énergétique 0,5 kWh/m3 1,1 kWh/m3 1,1 kWh/m3 � 2 kWh/m3

Dimensions 1,28 x 1,8x 1,72 m

1,475 x 1,925x 3,5 m

1,475 x 2,55x 3,5 m

3,60 x 1,25x 3,5 m

Capacité de la pompe de remplissage 3 000 l/h 6 000 l/h 6 000 l/h 6 000 l/h

Dosage chimique Manuel Manuel Poudres : manuel,liquide : auto-

matique

Entièrementautomatique

Système de correction du pH Manuel En ligne(automatique)

En ligne(automatique)

Dans le réservoir(automatique)

Quantité de charbon actif par colonne 1 x 75 kg 2 x 25 kg 2 x 75 kg 3 x 75 kg

Débit dans les colonnes de charbon actif 5 l/min 5 l/min 10 l/min 20 l/min

Volume de saturation du charbon actif 75 000 l 50 000 l 150 000 l 225 000 l

Capacité du panier de filtration des boues 200 l 600 l 600 l 2 x 600 l

Réservoir de stockage des effluents non traités(minimum recommandé)

1 500 l 3 000 l 5 000 l 10 000 l

* Pour les caratéristiques du modèle SENTINEL 1500 (1 500l/h) et ses options, consulter ALBA Environnement.

5. Limites de traitement des stations SENTINEL

pH : minimum 3, maximum 12.Température de l’effluent : minimum 1 oC, maximum 35 oC.Composition de l’effluent :– absence de solvant minéral ;– concentration de l’effluent phytosanitaire organique ou inorganique : maximum 0,5 % en poids.L’effluent doit être dilué s’il est trop concentré.

6. Vérifications/contrôles à effectuer et leurs fréquences

Les vérifications et contrôles à effectuer comprennent :– le contrôle périodique de la station pour prévenir l’encrassement des tuyaux, le débordement du compartiment

pour boues, une éventuelle fuite d’eau ou d’air, un colmatage des filtres ou la saturation du charbon actif ;– le nettoyage régulier du réservoir et des filtres ;– la vérification du débit de l’effluent car l’efficacité du traitement en dépend fortement ;– les 2 tests rapides d’autocontrôle à faire à chaque cycle de traitement ;– le démontage annuel du système par du personnel qualifié pour une inspection générale et le remplacement

des pièces usées.

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Autocontrôle no 1 du prétraitement chimique :Un autocontrôle simple à réaliser consiste à prélever un échantillon de l’effluent en sortie du réservoir principal

et de vérifier que celui-ci ne contient pas de matières en suspension. Le temps de décantation doit être prolongéen cas contraire.

Autocontrôle no 2 de la filtration sur charbon actif :Un test de contrôle de l’efficacité du charbon actif est réalisé à chaque traitement.Le colorant rouge introduit lors du prétraitement chimique doit être absorbé par le charbon actif : l’eau doit être

claire en sortant de la première colonne.Lorsque la première colonne atteint environ 80 % de sa capacité d’absorption, une partie du colorant n’est plus

absorbée et l’effluent reste coloté en sortie de la première colonne. Cette colonne doit alors être changée (voirnotice d’utilisation).

Cette procédure est simple et assure une sécurité du système d’épuration puisqu’il reste encore 20 % d’effi-cacité de la première colonne et que la deuxième colonne traite ce que la première colonne n’a pu faire.

7. Mesures à prendre en cas de panne ou d’erreur de traitementUn tableau récapitulatif des actions à mener en cas de panne ou d’erreur de traitement est fourni avec la station.L’utilisateur doit porter les équipements individuels de protection adéquats lorsqu’il est amené à intervenir sur

le procédé de traitement.En cas de contamination accidentelle :– contact oculaire : rincer abondamment à l’eau claire (15 minutes), contacter un ophtalmologiste au moindre

doute ;– contact avec la peau : enlever tout vêtement souillé ou éclaboussé et le laver abondamment à l’eau

(15 minutes), en cas de lésion cutanée ou autre symptôme, contacter le médecin traitant.En cas d’urgence appeler le 15 ou le centre antipoison.Signaler toute intoxication au réseau Phyt’attitude, numéro vert : 0800 887 887 (appel gratuit depuis un poste

fixe).

8. Fiche de suivi de la stationUne fiche de suivi de la station est fournie au client avec la station (art. 9 de l’arrêté du 12 septembre 2006).

Elle donne les renseignements généraux de la station et les vérifications à effectuer pour assurer son entretien. Ellepermet le récapitulatif des utilisations de la station et du suivi des stocks de consommables nécessaires pour letraitement.

Il convient de consigner sur le registre de suivi de l’appareil les informations suivantes :– les dates d’opération et d’entretien de l’appareil ;Lors de chaque introduction d’effluents à traiter :– les dates d’utilisation avec heures de début et fin de traitement ;– la nature et la quantité de l’effluent introduit (préciser l’origine, la dilution et le nom des produits si cela est

possible) ;Après traitement :– les dates et lieux d’épandage des effluents.

9. Devenir des produits de traitementA la fin du cycle de dépollution, l’effluent peut être épandu ou vidangé dans les conditions fixées par l’arrêté

du 12 septembre 2006.La station SENTINEL génère deux types de déchets :– des boues qui concentrent les matières actives fortement toxiques ;– du charbon contaminé.Le traitement de 1 000 litres d’effluent phytosanitaire génère en moyenne 3 à 4 kg de boues et 0,5 à 1 kg de

charbon contaminé. Ces déchets sont considérés comme des déchets dangereux.Ils doivent être éliminés en tant que déchets dangereux dans une installation dûment autorisée pour cela.

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10. Contrat de suivi

Un contrat de suivi de la station SENTINEL est proposé à tous les clients. En cas de refus de ce contrat par leclient, ce dernier est néanmoins tenu de réaliser l’ensemble des opérations de maintenance et d’entretienpréconisées et de faire appel à la société ALBA Environnement lors de toute anomalie ou dysfonctionnement pourintervention.

Notice technique du procédé VITIMAX

Numéro d’enregistrement : PT 06 003.Demande de reconnaissance déposée par la société AGRO-ENVIRONNEMENT.Champs d’application du procédé : viticulture (tous effluents phytosanitaires viticoles).

1. Principe de fonctionnement

Le principe du système Vitimax® est de traiter les effluents phytosanitaires grâce à la microfaune présente dansles boues activées des stations de dépollution vinicole agréées par AGRO-ENVIRONNEMENT. Un seul appareilpermet donc de traiter sous certaines conditions les 2 types d’effluents.

En amont de ce dispositif, il convient de prévoir un système de collecte des effluents de produits phytosanitairescomprenant une série d’organes de prétraitements (déshuileur, dessableur, dégrilleur) afin de retenir les hydro-carbures, les débris végétaux et les fractions de terre.

Les effluents phytosanitaires sont introduits après coagulation/floculation dans la chambre de traitement de lastation en dehors des périodes de forte activité vinicole (vendanges/écoulages)

Au terme de cette série d’apport, la station doit fonctionner en circuit fermé pendant 20 jours sans aucun autreapport d’effluent vinicole ou viticole.

Le rejet de l’effluent traité en sortie de station se fait conformément à l’annexe 1 de l’arrêté du12 septembre 2006.

2. Description des conditions du prétraitement

La coagulation/floculation permet de retenir les matières en suspension et la fraction non soluble des élémentsminéraux utilisés lors des traitements, comme le cuivre, le soufre ou l’aluminium. En effet, ces molécules nepeuvent pas être dégradées par voie biologique et risqueraient de s’accumuler dans les boues de la station.

La première phase du traitement consiste à ajouter un coagulant spécifique afin de faire croître les particulescolloïdales responsables de la turbidité et de la coloration de l’eau à une taille suffisante pour être séparées.

La deuxième phase permet de faire grossir les microflocs formés qui vont ainsi décanter plus rapidement grâceà l’ajout de floculant.

3. Description du fonctionnement du procédé

La quantité journalière d’effluent phytosanitaire pouvant être envoyée dans la station est déterminée par le pres-tataire selon un protocole précis.

L’effluent prétraité est ensuite envoyé dans la chambre de traitement de la station par l’intermédiaire d’unsystème de régulation du volume d’effluent hebdomadaire à traiter. Aucune modification n’est apportée au fonc-tionnement classique de la station.

Les effluents phytosanitaires doivent être traités en dehors de l’activité de traitement des effluents vinicoles afinde ne pas diluer les deux types d’effluents. Les effluents phytosanitaires viticoles sont introduits directement dansla chambre de traitement de la station.

4. Indication de la capacité de traitement de l’appareilet des durées des traitements requises en fonction des volumes introduits

La quantité journalière d’effluent phytosanitaire à introduire dans la station n’entraînant pas de mortalité de lamicrofaune dépend de la capacité épuratoire de l’ouvrage de dépollution c’est-à-dire de la quantité de bouesactivées présente dans les différents compartiments de la station.

Par sécurité et pour réduire l’impact sur la microfaune, on choisit d’introduire dans la station un volume totald’effluents phytosanitaires correspondant à 40 % du volume total des boues activées présentes dans la station.

Le volume quotidien d’effluent phytosanitaire à introduire dans la chambre de stockage de la station estdéterminé au cas par cas.

Au terme d’une série d’apport, la station doit fonctionner en circuit fermé pendant 20 jours sans aucun autreapport d’effluent vinicole ou viticole.

5. Récapitulatif des limites de traitement de l’appareil

Le volume d’effluent phytosanitaire pouvant être traité dépend du volume de boues activées présent dans lastation.

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Les effluents phytosanitaires doivent être introduits après coagulation/floculation dans la chambre de traitementde la station en dehors des périodes d’activité vinicole (vendanges/écoulages).

6. Enumération des points à vérifier et indication de la fréquence nécessaireau contrôle des équipements/substrats/consommables

Une formation à l’utilisation doit être assurée pour tous les utilisateurs.Suite à l’introduction des effluents phytosanitaires, l’entretien reste inchangé par rapport à la notice d’utilisation

de l’appareil de traitement des effluents vinicoles fournie lors de la mise en service :– le contrôle du niveau de remplissage du tampon phyto par voyant « défaut » ;– le contrôle du pH par un pH mètre ;– le contrôle du débit d’alimentation du réacteur par un débitmètre électromagnétique ;– le contrôle de la recirculation des boues et de l’aspect visuel en surface de la chambre de décantation ;– le contrôle de l’ensemble des dispositifs de sécurité de l’équipement.

7. Description des mesures à prendre en cas d’accident de traitement

Les effluents phytosanitaires sont stockés dans une cuve spécifique étanche. En cas de surdosage accidentel, ilest possible de couper l’alimentation du réacteur de la station et de conserver l’effluent dans sa cuve de stockage.

En cas de déversement accidentel dans le réacteur, il est possible de couper la pompe de rejet, de faire tournerla station en circuit fermé ou en cas extrême de la faire vidanger.

En cas de panne électrique ou de défaut mécanique de la station, la pompe d’alimentation doit s’arrêter le tempsde la réparation.

L’utilisateur doit porter les équipements individuels de protection adéquats chaque fois qu’il est amené à inter-venir sur le procédé de traitement.

En cas de contamination accidentelle :– contact oculaire : rincer abondamment 15 minutes à l’eau claire, contacter un ophtalmologiste au moindre

doute.– contact avec la peau : enlever tout vêtement souillé ou éclaboussé. Le laver abondamment avec de l’eau

(15 minutes). En cas de lésion cutanée ou autre symptôme, contacter le médecin traitant.En cas d’urgence appeler le 15 le 112 ou le centre antipoison.Signaler toute intoxication au réseau Phyt’attitude, numéro vert : 0800 887 887 (appel gratuit et anonyme depuis

un poste fixe).

8. Récapitulatif, pour le procédé en question, des actions à consignersur le registre accompagnant le dispositif

Consigner sur le registre de suivi du procédé les informations suivantes (art. 9 de l’arrêté du12 septembre 2006) :

– les dates d’opération d’entretien de l’appareil ;Et lors de chaque introduction d’effluents à traiter :– les dates de traitement (avec heures précises éventuellement),– la nature et la quantité de l’effluent introduit (préciser origine, dilution et nom des produits si cela est

possible),– la durée du traitement ;et après traitement :– les dates et lieux d’épandage des effluents après traitement.Il est important de noter également les dysfonctionnements éventuels survenus en cours de traitement et leur

durée.

9. Rappel du devenir des produits de traitements

Les boues issues du prétraitement sont des déchets dangereux et doivent être éliminées dans une installationdûment autorisée pour cela.

Les boues présentes dans le décanteur sont épandables sur des terres agricoles dans les conditions fixées parl’arrêté du 12 septembre 2006.

10. Contrat de sous-traitance

Un contrat de contrôle des installations est proposé par AGRO-ENVIRONNEMENT ou ses représentantsagréés, afin de contrôler régulièrement au cours de l’année la bonne pratique des procédures.

En cas de refus de ce contrat par le détenteur, ce dernier est néanmoins tenu de réaliser l’ensemble des opéra-tions de maintenance et d’entretien préconisés et de faire appel à la société AGRO-ENVIRONNEMENT lors detoute anomalie ou dysfonctionnement, pour intervention.

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COMMUNICATIONS ET AVIS

Inspection générale de l’environnement

Avis de la Commission no 2007/C 22/01 du 30 janvier 2007 concernant la modification du projetde rejet d’effluents radioactifs de l’installation Centraco, en France, conformément àl’article 37 du traité Euratom

(Le texte en langue française est le seul faisant foi)

(Journal officiel de l’Union européenne C. 22 du 31 janvier 2007

Le 17 juillet 2006, la Commission européenne a reçu de la part du gouvernement français, conformément àl’article 37 du traité Euratom, les données générales relatives au projet modifié de rejet d’effluents radioactifsde l’installation Centraco.

Sur la base des données générales et après consultation du groupe d’experts, la Commission formule l’avissuivant :

1. La distance séparant l’installation du point le plus proche d’un autre Etat membre, en l’occurrence l’Italie,est de 180 kilomètres environ.

2. La modification envisagée entraînera globalement une inversion des autorisations de rejets en tritium entregaz et liquide (tout en gardant inchangé le flux annuel total), une hausse des limites de rejet d’émetteurs alphaet la fixation de limites spécifiques pour l’iode 129.

3. En fonctionnement normal, la modification prévue n’entraînera pas, pour la population d’un autre Etatmembre, d’exposition significative au point de vue sanitaire.

4. En cas de rejet imprévu d’effluents radioactifs résultant d’un accident du type et de l’ampleur envisagésdans les données générales initiales, la modification prévue n’aura pas d’incidence significative, du point devue sanitaire, pour la population d’un autre Etat membre.

En conclusion, la Commission est d’avis que la mise en œuvre du projet modifié de rejet d’effluents radio-actifs sous n’importe quelle forme provenant de l’installation Centraco en France ne risque pas d’entraîner,aussi bien en fonctionnement normal qu’en cas d’accident du type et de l’ampleur envisagés dans les donnéesgénérales, une contamination radioactive significative, du point de vue sanitaire, des eaux, du sol ou del’espace aérien d’un autre Etat membre.