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ÇJAL,IS 'F ÉDtTIONS RÉGIOMACS matin, etexuse. testa.. evrobity.-oemorrioxe, erve-lly-nexesrame. lles.xer,essservatsksei, inestie-errensts, xesaase reekorr-examilla em, muiez. rat, letarrx-yourvenr. 1.01,140.1 NEDVIDME ANNEE. N. 46 AllailitItITIULT/011 de 3.30rvICTION tsto ttoestains 400hOUSI tratgéntostatostras e 43 exweseatiniss a* oser se. SOL 201ll Prusa* basas lek Ults. et 3 Chacun sa part Il ne fait pas bonAelendro droits et faction du Parlement. par un Dams où, sous le masque de Punion sacr&, .cousent tant de passions mal éteintes. Les articles que j'ai publiiles ici pour e,x.pliquer et justifier la conduite du finement pendant la guerre, m'ont valu, déJà une assez belle colleotion lettres einjures anonymes, comme il sied, ta qui ne sait qu'injurier J'en ni reçu, il est vrai, un grand nombre, signées ou fion, où j'ai trot ilvé de vifs encouragements. Mais .1e ne retenir que pour MélMaire. Voyrinti plu- tôt les autres. Le reproche qui rev1ent comme un leit motiv dal. la plispart des let- tres furieuses que m'adressent des cor- respondants anonymes, c'est que, nui- die plupart de Mes vent l'exemple collègues, je suis à la Channbre au lien d'être au front. Et il est bien vrai qua, si le devoir des membres du Kriel-Den t eut é l'armée, bien que né en 1870, je devrais abandonner mon mandat pour aller rejoindre les R. A. T. de nia niasse. Mais d'abord, eie répodds a mes con- tradicteurs : qu'eux aussi, au lieu de passer leur temps à me donner des le- çons, devraient plutôt prêcher d'exem- ple. On peut s'engager et mourir à tout lige Et l'on a déjà vu des septuagénai- res prendre Je fusil. Que eues censeurs aillent donc revêtir l'uniforme. Oe Sera ples noble et plue utile que da faire de la stratégie au coin du feu, ou de 'lu di_ plonnatie au cercle, ou Médite de la po- litique au cabaret. A la condition bien entendu qu'ais ne s'engageront pas pour somnoler dans un bureau ou pa- rader dans une caserne. Au front las ac- cusateurs l Je ne reconnais .qu'à celui qui se bat le droit de reprocher à au- trui de ne point se battre. Et je reviens sur ce que 1,krivals ici l'autre jour Oui; 'n01.16 «Sens cru Ions, Ides plue IllOdlérOrv stlx plus as£1,11- Mlle. que la déclaration de guerre sus- pendait néfeessaireement l'action du Par- lement. C'est eontanenneuet sans ré- sistanec qu'au 4 août 1914 les Ohani bre ont remis pleins ,pouvoirs au gou- vernement Ce fut une erreur. Tout le pays en a été comPlien. Car il n'y avait pas deux opinions la-dessus, en France, au dolent de la guerre C'est en décembre 1914, .quanell on ',mous appela paie le vote des crédits de 1915, que nous eûmes le sentiment ffe notre erreur. Dès qu'Lins furent réunis, les députés, rapportant leurs impres- sions du front eu de l'intérieur, s'aper- çurent, en les confrontant, que tout al- lait de travers. Alors se souvenant qu'ils avaient reçurnandat de la nation de surveiller ses intérêts, 116 se inirent à la besogne et essayèrent de seconder l'action du gouvernement qui en avait vraiment besoin Comment ils se sont acquittés de cet- te têche, l'avenir le dira. Mais, dès maintenant, pour tous ceux qui ont pu suilvD6 d'un peu près les travaux parle- mentaires le procès est juge les Chembres ont fait uvre utile h la dé- fense naftion,ale, ,et le devoir des dupa- tes peut être aussi bien au Parlement qual'armée. C'est affaire, d'ailleurs, entre les étee- Leurs elles élus. Après la guerre, eetaX- là demanderont des explications, ceux- ci auront à en fournir. Et le suffrage universel prononcera. 'J'aperçois délih qua dans le public: pinlnn commence à se modifier. Nous ne recevons pas que des lettres tommy- mea Nous recevons en niasse des let- tres de soldats, de ceux qui souffrent ct meurent dans Des tranchées. Et ceux- ra ne nous somment pas da venir les rejoindre. Ils nous demandent do veil- ler à dêtruire les abus, à défendre ceux qui se battent, ta être les tuteurs de le-m, intérêts. Voils d,e, sol- dats idû front. ,I1 est vrai, qu'une partie de la ipresse e évertue eneore à discréditer le Parle- ment dans t'esprit de la nation et sur tout de l'armée.. Elle n'y remsit guère 9" Y réussit die moins en moins. n't les Journaux aussi, qui reflètent '..11.9eu cha l'opinion générale commencent , . ' d avis. L'a r'ee' suret nlre joli, Rappel n, reprodui- . PU19té 0119 partie .de que j'avais . M me, 1 entegestralt comm.: 'et Parfaitement exaet, écr n iva- t,' és.uet,s:, P",1,911entaires se sont 1 nelié Paul.-- t'opinion pUblique... La «Ne'm6" s'est éclipsé en ,présenoc voie. qMil nvait pas su P1'" .. La ellannbre s toisés m 'est laisettre en somment Toni cola Dal bel et bon, et le Parle- ',,,rnt a bon 'dne. Mals je répète que, 0(005arainômes, (remués s e none nan' a' ,""1111sant s tout le inonde s'est Mem- `"en Mus n -,1 commencer par les journaux, qui 9Pplatidn à notre départ A coin- p`çunser sazna, p,ar lm Rpp.el qui, si an'i d'nne nisMotre, était tellement la consigne du silence, gui, dis. ?arniSenkt le jour même de la déclara- fion de guerre et publiait les adieux rédaction à ses lecteurs, dont la plu- et sans cloute étaient ,déjà 050 r'"1te Pour la frontière. Os nous dit qua l'esprit de clelDision nuns revient un peu tard o. Nous l'au- rions 'là,outsélre il, ,nié plus LM, si olo- pois des illihreS 011 pas semé I dans le pave la défiance .et le motiMs (il, institulaons parlementaires. C'est ta. République qui- a sauvé la pndrie par_l'hérOlsnee de ses généra- tions de nituyenuo élevés ù Décote répu- blicaine elle Parlement a fait ce qu'il a pu pour y aider. 11 aurait pu faire mieux ? Sans dou- te. Mais quand /10118 »i 5.01.0413 ii.pos, et à répartis, les responsabilité.s, ily en mea date., et de pit1610111,tr., que les Alexandre VARENNE, Député L'absurdité des Représailles rtenaudel a écrit, dons,' l'Huinanité », un article très ferme et très corvea,geme Post protester contre ceux qui crient l « Repré- sailles l Représailles I 8 propos du, raid Orilninel des ZeppelLins sur Paris. Aucun socialiste ne sam'ait admettre la 1h lac nationaliste qui consiste tarasaler notre défensive jusqu'aux procédés de guer- re que la France prétend réprouser a ...- battre. Es sont vraiment admirables ceux, qui, selon l'expression de Romain Rolland, «Mmntent la gurnme sans la faire o. Tous De jours ils ...Vent « Les Allemands sent des liart6ree ; leur façon de conduire la gueri-e les met au loin de la CinilisOt,Oo ! Pois quelques lignes plus bas, dans le même article, ils développent eette pensée ervii- neniment Mesee et civilisatrice Imitons les soyons Missi barvirar., a.si criminels qu'eux I e ,Et bien dût-on nous taxer de sentimenta- lisme et de naiveté, nous iéhémitons pas déelarer que les socialistes se séparent in, très nettement h d'inutiles et d'absurdes re présailles ! Le sang innocent de femmes et d'enfants d'Allemagne ne peut servir de rançon au sang, innocent et criminellement répandu, des .femmes et enfants de France, dont les cadavres attestent de Fignninie de la guer- re et déshonotent h jamais no militari.. qui en arrive, sans excuse fo-stratégique, à ce degré de cruauté. Nous ne ferons pas davantage, comme l'a fait la « Dépeche 8, de distinctions substi- les, entre un Colletaa ou d'autres victimes ci- viles. L'antielériealisme vulgaire Peut trouver, son compte, non point le nôtre qui se place un peu phis hala. Et nous disons que ka.. un évêqu'acte atteint, des ferré mes et des enfants auraient pu. Plus grande sera notre dignité nationale devant de pareils forfaits, plus le peuple d'Allemagne aura des Miasmes de compren- dre combien il a tort de ne pas séparer Mi cause de celle de PEmpire. Loin découles les conseils ,pernicieux qu'on lui prodigue dans sertaine presse, D gouvernement doit ta:mi-Menden autrement son dovOir. Qu'il mette Pari, et les non-bel- ligérants j'entends les femmes et les en- fants ét non les nocems égoïstes qui entre- pris leurs habitudes de plaisirs Pendant Mu, d'autres se font tuer Meir leur assurer leur vie Oisive à l'abri de Ces audacieux et Criminels attentats. Que le commandement. comme le lui réclamait mi-mlême le génjral Peroin, au lieu do sacrifier un argent pré- cieux à « ees inutiles et çoûteuses 'canon- nades s sans portée et sans but stratégique, se livre à l'uvre d'organisation, de coordi- nation et de méthode indispensable pour abréger la durée de la guerre et en dirai- nuer I. 'horreurs ! Ce sont fIs affaires Cc gouvernants aide généraux 1 Mais les peuples, de leur côté, le peuple allemand surtmd. devant tant de erimes et de Misères provequés par ee monstrueux conflit, resteront-ils insensibles ? Ne com- prendront-ils pas que l'humanité ne peut rester aveuglément somatise à de tels débOr- dements de passions et de violences systé- matiques ? La minorité de la social-démo- cratie. demain l'Internationale reconstituée, devront les entratner dans cette voie libé- ratrice. C. MARCEL-LIBERT, ECHOS LES REAUTES DE LAD-ses NIS TRA-TION, . Lei ilORMICS ,10 dépôt de cavalerie do M... «Ment et la chefferie. Elle dura six mo. Le leurs repas que de la viande bouilio. fis dési- raient ta faire rôtir. Le commandant du dépôt acheta d'occasion, au pris modique de seixmte Eanes, cieux fou., rnMs, pour les natir, il fallait s'adresser au génie. Une correspondance fut Sc/langée entre le ré- giment et la chefferie, Eue dura si mois. Le génie voulait savoir <Met h quel prix oes fours avalent êté achetés, quels étaient leur modèle, leur contenance et leur forme. Au bout de cent quatre-vingt-sept jours, un officier du génie vint examiner tes lieux l il promit de dresser un Man sana devis des tra_ vaux e exécuter lorsque le régtinent aurait obtenu la .permissiem du ministère de la guerre. La demande fut envoyée au générai de bri- gade om la transmit mec avis favorable. LtOrisation eriva au régiment quatre mus après et le génie fut ausetiti informé. . Le mois suivant l'officier du génie fit savoir ü l'officier de ce'sernement qu'il allait établir un devis drafintiif, mals qu'il hésitait encore 'or na point 1 le mur de brique. réfractaires sur lequel las fours seraient construits, aurait-- il fe,S0 centimètres ou 0,80 centimètres d'épais- se,us . Deux mois apres, il apportait lu -devis ; on /ra trausnad par soie nierai-MIME au Séaorel dé brigade puis au général de division 55 enfin ,au mlnistere. Il revint par la même vole. . . Sept 111000 plus tard, les maçons se mirent Bo..., quelques jours leur suffirent pour placer les fours et les mettre en état de Mn, Mune, . Grande fut la joie des eavaners mtand ils ...rirent atirneM enfin manger de /a siande rôtie 0 Les fourme,00 furent eottscien- cieusement renlis de bois me. Le cuisinier e/mf s'était réservé l'honneur d'allumer ce .premier feu, Bientôt le bois crépita et me fu- mée aveuglante enyabit la cuisine. La fumes fut si eue.55 que le shommm mu- ent o da incendie. Les adiludm. arrivèrent .« -au trot « et le pids camion déclara sans que personne osai 10 contredire, que « la: cheminée ne tirait pas ». 00 101 savoir. au génie. ,La offier, accompagné de pitisiees s0- Crues, se rendit à la caserne, u usai tfMt ap- porter cino bidons de pétrole sali aspergea les bois grvi furent ensuiir entassés dans r four- neau. Ln nuage de -gaz asphysimt se repas- ...Alors seulement mn s'aperçut qu'on avait ou- , Blié da chose essenttie inaispensble pour Moteurs au innésla chrarniffFe était bouchée. tille devait 105e depuis /830 enolue a la- quelle les chevau-légers .de darles X avaient habite la caserne dl fallut faire un nouveau plan, un ieeond devis et le transmettre à qui de 0501 par la voie hiérarchique. . Los cavaliers espèrent que vers 1920, pourront marcr de la viande rôtie ! 549° jour de la guerre. Coi-rarriumicrués Officiels L..e. Communiqué Français Punis, 1." février, 55 heures. Aucun événement important à sig nate, en dehors de quelques tirs de no- tre artillerie entre PO' se et l'Aisne, sue /es organisations ennemies de Sainte- Léocade et en Lorraine bur des convoi s dans le région de liomèvre. Lac Communiqué Anglais Un cllétacheanent britannique, néné- Il çlletruisit deux mitrailleuses et fit traie, la nuit passée, dans ICS tranchées des prisonniers. allemandes, dans les parages de la rou- Pendant la MUNDOM iiy a eu Une le de Kemmel h Vytschaele, les a trou- considérable de l'artillerie aux vées remplies de combattants, aux- alentours de Frecourt, au noud de Loos quels il a infligé une perte de 30 hom- et au nord de Vola erg,hertn mes. 1Le Cornanunique Plusse', Sur le front ouest, l'artillerie ail-'- K oot lancé lems ses' mande a bombardé Schlodlk et a ouvert les ouvrages 'd'Erzeroum. un feu actif dtillg le région au sud du En même temps. ces trmipas par une lai' L1abit >tissée Miné. 'a.. contre l'aile droite Lennemi. a mitraillé nos retranehe- des Turcs, ont force cran ci h évacuer ments, prês1110gger, avec des balles la. région Melazebert-Knyse, et à se re- explosives, phi, dans la vol doMouch. Au nord du ehennin de fer de Ponlève En sommes, dans ces opérations, et entre les lacs Medlausk et Damaient, nous avons délogé l'ennemi d'une ré- /Di-menai a ouvint un violent feu dem- péon de 60 verstes de longueur et préa.- titleriri lableznent organisée par l'ennemi En Claticie, sur La Stripa moyenne, Nous sommes descendus des régions nos éclaireurs ont seine une garde de montagneuses ayant un climat très ri- campagne autrichienne; dans le corps g011001x vers des régions bien peuplé., d. corps qui s'en est sniv4 une partis facilement accessibles et faaorisant don Autrichiens ont été passée à ta campement de nos troupes pendent la baionnette; le reste a été fait Iprisan- période Au cours de ces opérations, lleDifs Ces temps damiers on a oloeerDi une wons fait de noMbreux prisonniers. augmentation considérable du nombre afficiers turcs et askaris ; nains avons de transfuges ennemis. enleéné dee canons, dès mitrailleuses, Alu Gatiemse, les opérations poursui- cOr grandes quantités de matériel depuis quilizo jours sur le front Daterie, de génie et d'équipement. turc ont été r&egutiêrement réalisées et Le 29 janvier, nos éclaireurs poup- on( justifie nos prévisions. suivant leu Tures qui se replient dans Après avoir ddveloppé leur premier la région de ta rivière Tolorech. ont coup au contre de Parmee ottomane en fait lh3 -noua-eaux Askeris prisonniers un ,stanes emportant, les troupes du ge- et ont enlevé h l'ennemi plue de 100 L- néral Youdienitch ont poursuivi Panne- tes da bétail et du fourrage, Lue Cornnauniqué Italien On signate de petites rencontres dans et dies meds eartjfieri., ,parkulièr la calrée Pb Carina, au i.tord,de Mori, ment violents le long de l'Isonzo. Dm les Balkans Marche des troupes bulgares Zurich, ler février. D'après une dépêche de Sofia au Luka! An- .xeiger le gros dee tregls bulgares en Alenie suit le fleuve Skoumbi, dans la direction de Strouza_el-Maesan. Les bulgares occuperaient El-Bassan On mande de Sofia u la Moven Pet que lee Bulgares occupmt .13-Bass.. L'action d'Essad-Pacha Londres, ler février. « tin télégramme de Dure:00 confirme la nouvelle suivant laquelle Essad pacha pousee activement la fortification de tous Es pubis importants et qu'il a expulse de nombreux chefs aux tendances autrichiennes. » plusieurs Grecs ont été égaletnent arretes et °pulsés sur son ordre.. . Les bulgares fortifient la frontière grecque Salonique, air février. On confirme que les Bulgares travaillent ne_ vemsement à la frontiére grecque pour élever des ouvrages de déren. et ereuser KIea tren- -1ues dans la vallée de Strgnitya. Entre le village de ce sen et Petrich, ils ont monsult deux séries de lignes défensives Pourvues de gros ramoee dont une partie pro- vient des ouvrages de Varna. jSua gllabdes concentrations ont Lien ô Velês Drake et /chtika o le génie est en train .ervnstrre des routes ,pour te tinsport du ma- tériel de guerre et des vivres sur le front près de la frontière greome. Deux généraux exécutés Rome ler février. Des informations indireetes de Cettigné con- firment la nousene donnée eette nuit que le général Beeir et no major Lombar qui prirent part aux legoelationS capitula-110n, ont été assassinés, la nuit dernitre, dans leirn rési- dence. Les 'affiches annonçant la CaPitalatioa 0.5 té arrachées des murs de le, maison. . Les autorités autrichiennes ont mis en état d'arrestation de nombre.es personnes mêle. O cette affaire et quelmessunes d'entre elles ont idraffie delb été ex5eelt6es. Les Alliés ont bombardé le village d'Achirikos Athènes, fer février. , On Mande de Mytene qu'un contre-Mt., lem anesis a Emnbare le village turc meeen, eues près de Smyrne. abus les hdlants se soni réfugiés dans un village .ratétien de En Roumaine La presse allemande exprime ses inquiétudes Znrion, for février, Les nouseties reçues de Roumanie et les dé- clarations de SI. Wilson ont produit, en Aile- Magne une mauvaise impressn qui s'est hna_ daim 5 15100050m de-Franefort par me notable diminution dans le -.ahane dos transactions. , En ce gul moneerne ratutude de la Roumanie la Gazette de Vois, dan-gîte but de calmer lei appréhensions allemUideÉ écrit du long art i- cle dans lequel les décisiOns que le gouverne- ment de Bucarest sera amené à prendre sont envisagées sous un jour plutôt optimistO Ce- pendant le journal est force de reconnaître que set. quelques Rournains témoignent une véri- table sympathie pour les ,puissances centrales. Quant a,aa promesses qui' ont pu être fMtes par M. Bratiano, au p0 rus Boris 555M Sch.- lm, qui se sont récemment rend. a 'Bucarest sieur remplir une noise.. politique la Gazette Pose /relaie ne ,pas le-seunniltre encore d'une manière bien 'précise, mais lm engage- anents du premier ministre roumain n'ont pas aln être bien déterminés car le journal eouclut emdisant que retutude 'de la Roumanie dépen- dra, surtout go l'importance das .vieteires que pourront rertiporter les armées russee. Pour la Deutsche Tiges Zettunq, la situa- tion actuelle va »obliger les Etats centraux a .F.mander E là Roumanie dee explicatioas for- melles et q-uc le mieux serait pour l'Alterna- one d'agir 5554,85, de la Riôumanie comme la Frmce et l'Angleterre agissent envers la !Grèce. pour les Derniênes Nouvelles as Munich, d'article mie le Bertiner Tagebtatt vient de rrvassorm 5 la unesuon rournanle, est un véri- cri d'alarme jeté aux Alterna.da ronger- sant encoes quelmes Musions sur Perientation de la ,politique tournai.. En tep Dernlérles No.velles croient que la anuminif demeurera neutre Oint que dureront les survies -des armées austro-anemandes. Sur /e Front franco-anglais Allons-nous voir les Bulgares? Bucarest, ter .févier. Selon des nouvelle stlignes de foi les,,trou- pas bul;gares aloi sont pesées d'Orsva es ter- ritoire autrichien ont phià de trois divisions est_h-direS0 000 hommes On ne sala panexactergent q'telle région elEs sont destinées; mais on .suppose que, pour 'des .motifs faciles rat eommendre elles ne peuvent être ,envoyees sur ne front eusse, Dans certains cercles compétents on prétend que en préserve° de l'attitude de bt Gré., les trornoes bulgares sur le front mmédonien serins ,remplaeees per des troupes allemandes, ft MIm seront, à leur tour, enveyems sur le front occidental. ELirit - t L'Ancien-Régime avait écrit daos le code Mstiee militaire Les- soldats qui frap- pent un officier « quand, mêmr ils auraient été par eux maltraités et battus 0, ont le poing coupé et sont ensuite .pendus et êtran gles. SainbJust. prononee avee une sévérité hien équilibrée « Le militaire qui insulte son chef ou lui désobéit, le chef qui insulte ou frappe son subOrdonne, sont punis dc mort ». militaire qui vole ou ...met une vio/enee sur le territoire français est °Mas- sé de Irnrme. ; il est puni de mort si rat en territoire ennemi s. Ah ! qu'Il se lève le martyrologe de ces imputations dont les archives ont conservé larmes. Ici en sont Inu plaintes qui s'a., cumulent sur les extorsions, ravages, outra- ges, rançonnements, -voleries, violements, que les capitaines, soldats, gens de guerre et autres commettent en .plusieurs endrOits dtà.xneaturie,p-ene en ce ressurt,,de La n'est un .ambasSadeur s ta sonnée rie de Médicis qui brosse une toile infer- nale des able-Cités qui ont accompagné la deuxieurie prise d'armes .des ,Grands. En tous, c'est le régiment de la ,Reine qui s'écarte de la route tracée pour se livrer ee des désordres tels qu.e villages, bou.ngs rat bourgades sont abandonnes corsos passage, et que les terres restent sans labeur. Et. c'est Louis XIV qui, dé sang-froid, or- donne la dévastation do Palatinat les po, pulations Ont trois jours pour fuir les .mau_ mereurs; les .malheureux Meurent sur les routes de fatigue et de faim, tandis que der- rière eux l'incendie fait le désert... et los .pierres noircies de -Mannheim sont !jetées .dans le Rhin et les Palatins vent tratir Sur le Éront russe Violents combats en Bukovine Genee; der février. D'après la Gar,elte ale Francfort, de violents 'combats sont ils sen m eem0ment sur ne frenu de la Bukovine, près .00 Iffihaly, au nord_ou.t d'unseszlfo, où de sis. attaques , la baie nette en tlieu constamment. Le journal reconnaît que l'artillerie lounde sior SecB:rases est très prvissmte et qu'lle sent sousgrvon feu presque toutes Is position.Secd, En Bessarabie Berne ler février. L'envoya 51,005181 du Pester Llied télégraphie dc Mmarest qu'on 'confirme de nouveau des modvemente de troupes russes en Dessers/mn rueridionale. :.[reonwrike,isdinletd.sa sont -concentrées ô Un immense matériel pour ponta, entre Is- mail el Reni a été seenmulé n Palanomea où sus aiissi de nouveaux travaux ae Parti_ Les Etlisses, qui avaient obstrue par toute sortes de barrages et par d'autres moyens le ICiliatin' bras du Danube, travaillent fiévreuse- ment a. sa réouverture. Les opérations du Caucase Pétrograel, ler février, eusses ifront de l'aile gauche sont amuellement pies dans la rémden de 4, forteresse (Prime- eollm et presque .privées ducal eberta de mou_ serment, n'ayant V. suffisamment n'espace. En même ternes les groupes turcs °Ms/os- -roulis et de Slelasghertz sont complement iso- Ms. Souvenirs révolutionnaires La discipline aux armées de la République Pour aller en Egypte Djémal-Pacha veut 25.000 soldate allemande Du .Gaire Le ôournal arabe .AfiNtokaf- tani s apprend que le général turo Djamal pacha jouit d'une indépendance absolue et gil n'est nullement soumis aux ordres des °bels allemand...rime c'est le tas pour les autres officiers supérieurs tures. On rap- porte qu'il a refusé plus duos fois &entre- prendre une expéchton contre PEgypte s'il n'avait pas à sa disposition 25.000 soldats, au mei., allemands, outre une armée con- sidérable bien encadrée et pourvue de tout le nemessaire. Il aurait ajoute qu'il ne leu. levaà aucun prix un neuve/ effort mats, jEgypte si ees conditions ne sont Pm ac- ompte.. Et il ajoute « Je veux 'que les Al- lemande éprouvent les mêmes onadc que les Tures ont endurés.. Encore les zeppelins ils jettent des bombes sur l'Angleterre Londres, ler février (Officien Fu raid opéré parais ou sept zeppelins eu Heu' dans /a nuit, sur les comtés du nord- .est et du centre de l'Angleterre. Un nombre considérable d, bombes a été P- te Mais jusqu'a présetit on ne signale pas de -dommages importants. Londres tee février. . C'est le vingt-quatrième raid 'que les serrai- lier meamplissent sur le territoire sraannique. Le .dernier a en lieu le la octobre. n y avait eu soixante-six tués et eent quatorze blessés. Le raid de /a nuit dernière est la premiers .visite des zeppelins en Angletsce depuis oc_ tobre dernier. Mais c'était in troisième atta- que aérienne de l'Apgieterre depuis juste une semaine. Le 53 laurier un aerelane Ps.a modessus de . nate mit du comte de Ment, jetant neuf loombee qui tuèrent une per- MERCREDI 2 FEVRIER 1916 leur mendiciié à travers les grande, villes d'Europe I EL qui dévoilera les tragédies des inva- sions napoléoniennes ; qui osera avOner, comme cet °Meier de l'armée dlEspagny, « [Nous tuons, nous brûlons, rien ne de- meure sur notre passage s Sans doute, Massillon, du haut de la chai- re saerée, malmènera 3011 royal auditoire Monuments superbes, Mevés sur nos pla- ces publiques pour immortaliser le souvenir de nos victoires, que rappellerez-vous un jour a nos neveux ? Sans doute Vigny écrasera Sous son talon dmo grand seigneur général l'armée impéria- le « ou l'homme de guerre est isolé dès cf- loyen ou il est malheureux et deroce pane qu'il sent sa tondition mauvaise et ab- surde 8. Mais qui donc, autre que Saint-Just, con- cevra ce geste que l'Histoire a conservé « Un homme est fusillé pour avoir volé une douzaine d'ceufs eip -_ tin siûole-a passé le monde assiste int- puissant au surefis» ds la Belgique, de la Pologne, de la Serbie... L'homme armé pour accomplir les desseins de l'impérialisme doit avoir sa part du butin le pillage et massacre; une guerre de conquête ne se soutient pas sans l'entière liberté du soldat. La France de 93 faisant de la guerre révo- lutionnaire un combat sacré dévoué au pro- grès humain et dé D/tomme de guerre, un apôtre, piétinant la 'misère bunmine avec -une magniflene désinvolture, avait osé pro- clamer par l'organe de Saint-Just 1 « Il .faut savoir souffrir pour avoir l'honneur de com- battre Est-ce deux races ou deux âges ? lE. R. (Voir le tir.00 de mardi ter ,fevrtler). sonne et en blessèrent- six. Le lendemain, deus hydreiplanes survolarent l'Angleterre', mais ils furent chassés sans .avoir ca.6 aucun dommage. Londres était éclairée Lendres, tee frrler, Le nuis de janvier ses pour ses funérailles un drap mortuaire de sombre brouillard. Aussi ad-on dû ennuiera dans te sboutiques Mus de lrdrares qu'on n'en avait vo depuis bien long- temps à Londres, qua resplendissait d'un éclat dont ses nuits ne sont Mus coutumières. Au-dessus de Paris Troisième mais vaine tentative Paris Sen février. Vers 9 II. 45, lundi soir, des' guetteurs des environs de Compiègne signalèrent une manu- vre d'un aéroplane ennemi. , Le gouvernement militaire de .Paris, aussi- tô0 prévenu par téléphone transmit les ordres méc.saires pour usa en al trnt prêt k donner l'alerte et O prendre I. précautions utiles Pendant me temps, au-dessiis de nos lignes, le zeppelin: pris dans les feux des projecteurs, s'empressait de s'éleigner. A il heures, le mouvernemen tmilitaire don- nait l'avis à la préfecture de polim que tout .danger était écarté. Le nombre des bombes jetées Faris, fer fllyrier. , Le zeppelin qui a essaye sms y réussir d'at- teindre Paris n'a pas jee moins de quarante bombes dans la banlieue, dont quatorze dans la nième localité, sur un raymn de un kilomè- tre envirm. , onze de ces projectiles étaient des bombas incendiaires qui se sont enterrées Ci. des Ce que dit la presse allemande . Genève, Sen illyrien ,Voici quelques commentakree de jeurnaux 'allemands sur rald des zeppelins sur Paris , Les Dernières Nouvelles 4, Bertin écrivent « lvi les projections des phares, ni les me- dumes des avions français ni les canons spis- ciaux, ni ernme les virilents artieles de la presse parisienne n'ont en-effebè nos héros da relr (Me) de rendre visite à Paris, Ceux qui sont à la trate de l'armée aérienne 'rate nos ennemis raomprendrout peut-être que les bomber lancées sur 15 capitale française ne sont rien autre que des représailles en réponse aux attaqum dirige. par /es avions alliés contre des villes ouvertes allemandes. De la Nosvelle serge de Stuttgard , 11 y avait déjà assez longtemps M. nos 'soupentsr ne s'étaient pas zends. à Paris. » lgeet aujourd'hui chose faite, mais il ne t'am na svo dms le raid de sosaénunefsun évènement aymt une portée stratégique. C'est simplement un acte de représailles « Le bombardement de PfitiouoMenartrisgau rat aujourd'hui expié par le bombardement de Paris, qui se -croyait mmpietement à l'abri de nos attaques « Ce qui se passe En Allemagne Un socialiste élu au Conseil muni- cipal de Leipzig Berne, 3/ janvier ville de Leipzig avait b élire un conseiller municipal. C'est usi social-démocrate, membre du Landtag, Henri Lange qui a été élu. « Berliner Ta.geblatt 8, qui annonce la nouvelle ajoute Imeniquernent « C'est /a première fois qu'im membre du 'Parti SU- eisllémocrate viendra s'asseoir au eonseil de la ville de Leipzig s Econornisons I D'après les dernières nouvelles de M.,,- alors, ee serait commettre une grave erreur Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

ÇJAL,IS 'F - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1916/B... · ÇJAL,IS 'F ÉDtTIONS RÉGIOMACS matin, etexuse. testa.. evrobity.-oemorrioxe, erve-lly-nexesrame. lles.xer,essservatsksei,

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ÇJAL,IS 'FÉDtTIONS RÉGIOMACS

matin, etexuse. testa..evrobity.-oemorrioxe,

erve-lly-nexesrame.

lles.xer,essservatsksei,inestie-errensts,

xesaase reekorr-examillaem, muiez.

rat, letarrx-yourvenr.1.01,140.1

NEDVIDME ANNEE. N. 46

AllailitItITIULT/011de 3.30rvICTION

tsto ttoestains400hOUSI

tratgéntostatostras e 43

exweseatinissa* oser se.SOL 201llPrusa*

basas lek Ults. et 3

Chacun sa partIl ne fait pas bonAelendro droits

et faction du Parlement. par un Damsoù, sous le masque de Punion sacr&,

.cousent tant de passions mal éteintes.Les articles que j'ai publiiles ici pour

e,x.pliquer et justifier la conduite du

finement pendant la guerre, m'ontvalu, déJà une assez belle colleotion

lettres einjures anonymes, commeil sied, ta qui ne sait qu'injurier J'enni reçu, il est vrai, un grand nombre,signées ou fion, où j'ai trot ilvé de vifsencouragements.

Mais .1e ne

retenir que pour MélMaire. Voyrinti plu-

tôt les autres.Le reproche

qui rev1ent comme unleit motiv dal. la plispart des let-

tres furieuses que m'adressent des cor-respondants anonymes, c'est que, nui-

die plupart de Mesvent l'exemplecollègues, je suis à la Channbre au liend'être au front. Et il est bien vrai qua,si le devoir des membres du Kriel-Den t

eut é l'armée, bien que né en 1870, jedevrais abandonner mon mandat pouraller rejoindre les R. A. T. de nianiasse.

Mais d'abord, eie répodds a mes con-tradicteurs : qu'eux aussi, au lieu depasser leur temps à me donner des le-çons, devraient plutôt prêcher d'exem-ple. On peut s'engager et mourir à toutlige Et l'on a déjà vu des septuagénai-res prendre Je fusil. Que eues censeursaillent donc revêtir l'uniforme. Oe Seraples noble et plue utile que da faire dela stratégie au coin du feu, ou de 'lu di_plonnatie au cercle, ou Médite de la po-litique au cabaret. A la condition bienentendu qu'ais ne s'engageront paspour somnoler dans un bureau ou pa-rader dans une caserne. Au front las ac-cusateurs l Je ne reconnais .qu'à celuiqui se bat le droit de reprocher à au-trui de ne point se battre.

Et je reviens sur ce que 1,krivals icil'autre jour Oui; 'n01.16 «Sens cruIons, Ides plue IllOdlérOrv stlx plus as£1,11-Mlle. que la déclaration de guerre sus-pendait néfeessaireement l'action du Par-lement. C'est eontanenneuet sans ré-sistanec qu'au 4 août 1914 les Ohanibre ont remis pleins ,pouvoirs au gou-vernement Ce fut une erreur. Tout lepays en a été comPlien. Car il n'y avaitpas deux opinions la-dessus, en France,au dolent de la guerre

C'est en décembre 1914, .quanell on',mous appela paie le vote des crédits de

1915, que nous eûmes le sentiment ffenotre erreur. Dès qu'Lins furent réunis,les députés, rapportant leurs impres-sions du front eu de l'intérieur, s'aper-çurent, en les confrontant, que tout al-lait de travers. Alors se souvenantqu'ils avaient reçurnandat de la nationde surveiller ses intérêts, 116 se inirentà la besogne et essayèrent de seconderl'action du gouvernement qui en avaitvraiment besoin

Comment ils se sont acquittés de cet-te têche, l'avenir le dira. Mais, dèsmaintenant, pour tous ceux qui ont pusuilvD6 d'un peu près les travaux parle-mentaires le procès est juge lesChembres ont fait uvre utile h la dé-fense naftion,ale, ,et le devoir des dupa-tes peut être aussi bien au Parlementqual'armée.

C'est affaire, d'ailleurs, entre les étee-Leurs elles élus. Après la guerre, eetaX-là demanderont des explications, ceux-ci auront à en fournir. Et le suffrageuniversel prononcera.'J'aperçois délih qua dans le public:

pinlnn commence à se modifier. Nousne recevons pas que des lettres tommy-mea Nous recevons en niasse des let-tres de soldats, de ceux qui souffrent ctmeurent dans Des tranchées. Et ceux-ra ne nous somment pas da venir lesrejoindre. Ils nous demandent do veil-ler à dêtruire les abus, à défendre ceuxqui se battent, ta être les tuteurs dele-m, intérêts. Voils d,e, sol-dats idû front.,I1 est vrai, qu'une partie de la ipressee évertue eneore à discréditer le Parle-ment dans t'esprit de la nation et surtout de l'armée.. Elle n'y remsit guère9" Y réussit die moins en moins.n't les Journaux aussi, qui reflètent'..11.9eu

cha l'opinion générale commencent, . 'd avis.L'a r'ee'suret nlre joli, Rappel n, reprodui-

.

PU19té0119 partie .de que j'avais

.M me, 1 entegestralt comm.:'et Parfaitement exaet, écr niva-

t,' és.uet,s:,P",1,911entaires se sont 1 nelié

Paul.--t'opinion pUblique... La

«Ne'm6" s'est éclipsé en ,présenocvoie. qMil nvait pas su P1'".. La ellannbre s toisés m'est laisettreen

sommentToni cola Dal bel et bon, et le Parle-',,,rnt a bon 'dne. Mals je répète que,

0(005arainômes, (remués s e nonenan'

a',""1111sant s tout le inonde s'est Mem-`"en Mus

n -,1 commencer par les journaux, qui9Pplatidn à notre départ A coin-

p`çunser

sazna, p,ar lm Rpp.el qui, sian'i d'nne nisMotre, était tellementla consigne du silence, gui, dis.

?arniSenkt le jour même de la déclara-fion de guerre et publiait les adieux

rédaction à ses lecteurs, dont la plu-et sans cloute étaient ,déjà 050 r'"1tePour la frontière.Os nous dit qua l'esprit de clelDisionnuns revient un peu tard o. Nous l'au-

rions 'là,outsélre il, ,nié plus LM, si olo-pois des illihreS 011 pas semé Idans le pave la défiance .et le motiMs(il, institulaons parlementaires.

C'est ta. République qui- a sauvé lapndrie par_l'hérOlsnee de ses généra-tions de nituyenuo élevés ù Décote répu-blicaine elle Parlement a fait ce qu'ila pu pour y aider.

11 aurait pu faire mieux ? Sans dou-te. Mais quand /10118 »i 5.01.0413 ii.pos,et à répartis, les responsabilité.s, ily enmea date., et de pit1610111,tr., que les

Alexandre VARENNE,Député

L'absurditédes

Représaillesrtenaudel a écrit, dons,' l'Huinanité », un

article très ferme et très corvea,geme Postprotester contre ceux qui crient l « Repré-sailles l Représailles I 8 propos du, raidOrilninel des ZeppelLins sur Paris.

Aucun socialiste ne sam'ait admettre la1h lac nationaliste qui consiste tarasalernotre défensive jusqu'aux procédés de guer-re que la France prétend réprouser a ...-battre.

Es sont vraiment admirables ceux, qui,selon l'expression de Romain Rolland,«Mmntent la gurnme sans la faire o. Tous Dejours ils ...Vent « Les Allemands sentdes liart6ree ; leur façon de conduire lagueri-e les met au loin de la CinilisOt,Oo !Pois quelques lignes plus bas, dans le mêmearticle, ils développent eette pensée ervii-neniment Mesee et civilisatrice Imitonsles soyons Missi barvirar., a.si criminelsqu'eux I e

,Et bien dût-on nous taxer de sentimenta-lisme et de naiveté, nous iéhémitons pasdéelarer que les socialistes se séparent in,très nettement h d'inutiles et d'absurdes représailles !

Le sang innocent de femmes et d'enfantsd'Allemagne ne peut servir de rançon ausang, innocent et criminellement répandu,des .femmes et enfants de France, dont lescadavres attestent de Fignninie de la guer-re et déshonotent h jamais no militari..qui en arrive, sans excuse fo-stratégique, àce degré de cruauté.

Nous ne ferons pas davantage, comme l'afait la « Dépeche 8, de distinctions substi-les, entre un Colletaa ou d'autres victimes ci-viles. L'antielériealisme vulgaire Peuttrouver,son compte, non point le nôtre quise place un peu phis hala. Et nous disonsque ka.. un évêqu'acte atteint, des ferrémes et des enfants auraient pu.

Plus grande sera notre dignité nationaledevant de pareils forfaits, plus le peupled'Allemagne aura des Miasmes de compren-dre combien il a tort de ne pas séparer Micause de celle de PEmpire.

Loin découles les conseils ,pernicieuxqu'on lui prodigue dans sertaine presse, Dgouvernement doit ta:mi-Menden autrementson dovOir. Qu'il mette Pari, et les non-bel-ligérants j'entends les femmes et les en-fants ét non les nocems égoïstes qui entre-pris leurs habitudes de plaisirs Pendant Mu,d'autres se font tuer Meir leur assurer leurvie Oisive à l'abri de Ces audacieux etCriminels attentats. Que le commandement.comme le lui réclamait mi-mlême le génjralPeroin, au lieu do sacrifier un argent pré-cieux à « ees inutiles et çoûteuses 'canon-nades s sans portée et sans but stratégique,se livre à l'uvre d'organisation, de coordi-nation et de méthode indispensable pourabréger la durée de la guerre et en dirai-nuer I. 'horreurs ! Ce sont fIs affaires Cc

gouvernants aide généraux 1

Mais les peuples, de leur côté, le peupleallemand surtmd. devant tant de erimes etde Misères provequés par ee monstrueuxconflit, resteront-ils insensibles ? Ne com-prendront-ils pas que l'humanité ne peutrester aveuglément somatise à de tels débOr-dements de passions et de violences systé-matiques ? La minorité de la social-démo-cratie. demain l'Internationale reconstituée,devront les entratner dans cette voie libé-

ratrice.C. MARCEL-LIBERT,

ECHOSLES REAUTES DE LAD-ses NIS TRA-TION,

.

Lei ilORMICS ,10 dépôt de cavalerie do M...«Ment et la chefferie. Elle dura six mo. Leleurs repas que de la viande bouilio. fis dési-raient ta faire rôtir.

Le commandant du dépôt acheta d'occasion,au pris modique de seixmte Eanes, cieux fou.,rnMs, pour les natir, il fallait s'adresser augénie.

Une correspondance fut Sc/langée entre le ré-giment et la chefferie, Eue dura si mois. Legénie voulait savoir <Met h quel prix oes foursavalent êté achetés, quels étaient leur modèle,leur contenance et leur forme.

Au bout de cent quatre-vingt-sept jours, unofficier du génie vint examiner tes lieux l ilpromit de dresser un Man sana devis des tra_vaux e exécuter lorsque le régtinent auraitobtenu la .permissiem du ministère de la guerre.

La demande fut envoyée au générai de bri-gade om la transmit mec avis favorable.LtOrisation eriva au régiment quatre musaprès et le génie fut ausetiti informé.. Le mois suivant l'officier du génie fit savoirü l'officier de ce'sernement qu'il allait établirun devis drafintiif, mals qu'il hésitait encore'or na point 1 le mur de brique. réfractairessur lequel las fours seraient construits, aurait--il fe,S0 centimètres ou 0,80 centimètres d'épais-se,us. Deux mois apres, il apportait lu -devis ; on /ratrausnad par soie nierai-MIME au Séaorel débrigade puis au général de division 55 enfin,au mlnistere. Il revint par la même vole. .

. Sept 111000 plus tard, les maçons se mirentBo..., quelques jours leur suffirent pourplacer les fours et les mettre en état de Mn,Mune,

. Grande fut la joie des eavaners mtand ils...rirent atirneM enfin manger de /asiande rôtie 0 Les fourme,00 furent eottscien-cieusement renlis de bois me. Le cuisiniere/mf s'était réservé l'honneur d'allumer ce

.premier feu, Bientôt le bois crépita et me fu-mée aveuglante enyabit la cuisine.

La fumes fut si eue.55 que le shommm mu-ent o da incendie. Les adiludm. arrivèrent

.« -au trot « et le pids camion déclara sans quepersonne osai 10 contredire, que « la: cheminéene tirait pas ». 00 101 savoir.au génie.

,La offier, accompagné de pitisiees s0-

Crues, se rendit à la caserne, u usai tfMt ap-porter cino bidons de pétrole sali aspergea lesbois grvi furent ensuiir entassés dans r four-neau. Ln nuage de -gaz asphysimt se repas-

...Alors seulement mn s'aperçut qu'on avait ou-, Blié da chose essenttie inaispensble pourMoteurs au innésla chrarniffFe était bouchée.tille devait 105e depuis /830 enolue a la-quelle les chevau-légers .de darles X avaienthabite la caserne

dl fallut faire un nouveau plan, un ieeonddevis et le transmettre à qui de 0501 par lavoie hiérarchique.

. Los cavaliers espèrent que vers 1920,pourront marcr de la viande rôtie !

549° jour de la guerre.

Coi-rarriumicrués OfficielsL..e. Communiqué Français

Punis, 1." février, 55 heures.

Aucun événement important à sig nate, en dehors de quelques tirs de no-tre artillerie entre PO' se et l'Aisne, sue /es organisations ennemies de Sainte-Léocade et en Lorraine bur des convoi s dans le région de liomèvre.

Lac Communiqué AnglaisUn cllétacheanent britannique, néné- Il çlletruisit deux mitrailleuses et fit

traie, la nuit passée, dans ICS tranchées des prisonniers.allemandes, dans les parages de la rou- Pendant la MUNDOM iiy a eu Unele de Kemmel h Vytschaele, les a trou- considérable de l'artillerie auxvées remplies de combattants, aux- alentours de Frecourt, au noud de Loosquels il a infligé une perte de 30 hom- et au nord de Vola erg,hertnmes.

1Le Cornanunique Plusse',Sur le front ouest, l'artillerie ail-'- K oot lancé lems ses'

mande a bombardé Schlodlk et a ouvert les ouvrages 'd'Erzeroum.un feu actif dtillg le région au sud du En même temps. ces trmipas par unelai' L1abit >tissée Miné. 'a.. contre l'aile droiteLennemi. a mitraillé nos retranehe- des Turcs, ont force cran ci h évacuer

ments, prês1110gger, avec des balles la. région Melazebert-Knyse, et à se re-explosives, phi, dans la vol doMouch.

Au nord du ehennin de fer de Ponlève En sommes, dans ces opérations,et entre les lacs Medlausk et Damaient, nous avons délogé l'ennemi d'une ré-/Di-menai a ouvint un violent feu dem- péon de 60 verstes de longueur et préa.-titleriri lableznent organisée par l'ennemi

En Claticie, sur La Stripa moyenne, Nous sommes descendus des régionsnos éclaireurs ont seine une garde de montagneuses ayant un climat très ri-campagne autrichienne; dans le corps g011001x vers des régions bien peuplé.,d. corps qui s'en est sniv4 une partis facilement accessibles et faaorisantdon Autrichiens ont été passée à ta campement de nos troupes pendent labaionnette; le reste a été fait Iprisan- période

Au cours de ces opérations, lleDifs

Ces temps damiers on a oloeerDi une wons fait de noMbreux prisonniers.augmentation considérable du nombre afficiers turcs et askaris ; nains avonsde transfuges ennemis. enleéné dee canons, dès mitrailleuses,

Alu Gatiemse, les opérations poursui- cOr grandes quantités de matérieldepuis quilizo jours sur le front Daterie, de génie et d'équipement.

turc ont été r&egutiêrement réalisées et Le 29 janvier, nos éclaireurs poup-on( justifie nos prévisions. suivant leu Tures qui se replient dans

Après avoir ddveloppé leur premier la région de ta rivière Tolorech. ontcoup au contre de Parmee ottomane en fait lh3 -noua-eaux Askeris prisonniersun ,stanes emportant, les troupes du ge- et ont enlevé h l'ennemi plue de 100 L-néral Youdienitch ont poursuivi Panne- tes da bétail et du fourrage,

Lue Cornnauniqué ItalienOn signate de petites rencontres dans et dies meds eartjfieri., ,parkulièr

la calrée Pb Carina, au i.tord,de Mori, ment violents le long de l'Isonzo.

Dm les Balkans

Marche des troupes bulgaresZurich, ler février.

D'après une dépêche de Sofia au Luka! An-

.xeiger le gros dee tregls bulgaresen Alenie suit le fleuve Skoumbi, dans ladirection de Strouza_el-Maesan.

Les bulgares occuperaientEl-Bassan

On mande de Sofia u la Moven Pet que leeBulgares occupmt .13-Bass..

L'action d'Essad-PachaLondres, ler février.

« tin télégramme de Dure:00 confirme lanouvelle suivant laquelle Essad pacha pouseeactivement la fortification de tous Es pubisimportants et qu'il a expulse de nombreuxchefs aux tendances autrichiennes.

» plusieurs Grecs ont été égaletnent arreteset °pulsés sur son ordre.. .

Les bulgares fortifientla frontière grecque

Salonique, air février.On confirme que les Bulgares travaillent ne_

vemsement à la frontiére grecque pour éleverdes ouvrages de déren. et ereuser KIea tren-

-1ues dans la vallée de Strgnitya.Entre le village de ce sen et Petrich, ils ont

monsult deux séries de lignes défensivesPourvues de gros ramoee dont une partie pro-vient des ouvrages de Varna.jSua gllabdes concentrations ont Lien ô VelêsDrake et /chtika o le génie est en train.ervnstrre des routes ,pour te tinsport du ma-tériel de guerre et des vivres sur le front prèsde la frontière greome.

Deux généraux exécutésRome ler février.

Des informations indireetes de Cettigné con-firment la nousene donnée eette nuit que legénéral Beeir et no major Lombar qui prirentpart aux legoelationS capitula-110n, ont étéassassinés, la nuit dernitre, dans leirn rési-dence.

Les 'affiches annonçant la CaPitalatioa 0.5té arrachées des murs de le, maison.

. Les autorités autrichiennes ont mis en étatd'arrestation de nombre.es personnes mêle.O cette affaire et quelmessunes d'entre ellesont idraffie delb été ex5eelt6es.

Les Alliés ont bombardéle village d'Achirikos

Athènes, fer février., On Mande de Mytene qu'un contre-Mt.,lem anesis a Emnbare le village turc meeen,eues près de Smyrne. abus les hdlants sesoni réfugiés dans un village .ratétien de

En RoumaineLa presse allemande exprime

ses inquiétudesZnrion, for février,

Les nouseties reçues de Roumanie et les dé-clarations de SI. Wilson ont produit, en Aile-Magne une mauvaise impressn qui s'est hna_daim 5 15100050m de-Franefort par me notablediminution dans le -.ahane dos transactions.

, En ce gul moneerne ratutude de la Roumaniela Gazette de Vois, dan-gîte but de calmer leiappréhensions allemUideÉ écrit du long art i-cle dans lequel les décisiOns que le gouverne-ment de Bucarest sera amené à prendre sontenvisagées sous un jour plutôt optimistO Ce-pendant le journal est force de reconnaître queset. quelques Rournains témoignent une véri-table sympathie pour les ,puissances centrales.

Quant a,aa promesses qui' ont pu être fMtespar M. Bratiano, au p0 rus Boris 555M Sch.-lm, qui se sont récemment rend. a 'Bucarestsieur remplir une noise.. politique la Gazette

Pose /relaie ne ,pas le-seunniltre encored'une manière bien 'précise, mais lm engage-anents du premier ministre roumain n'ont pasaln être bien déterminés car le journal eouclutemdisant que retutude 'de la Roumanie dépen-dra, surtout go l'importance das .vieteires quepourront rertiporter les armées russee.

Pour la Deutsche Tiges Zettunq, la situa-tion actuelle va »obliger les Etats centraux a.F.mander E là Roumanie dee explicatioas for-

melles et q-uc le mieux serait pour l'Alterna-one d'agir 5554,85, de la Riôumanie commela Frmce et l'Angleterre agissent envers la!Grèce.

pour les Derniênes Nouvelles as Munich,d'article mie le Bertiner Tagebtatt vient derrvassorm 5 la unesuon rournanle, est un véri-

cri d'alarme jeté aux Alterna.da ronger-sant encoes quelmes Musions sur Perientationde la ,politique tournai.. En tep DernlérlesNo.velles croient que la anuminif demeureraneutre Oint que dureront les survies -des arméesaustro-anemandes.

Sur /e Front franco-anglais

Allons-nous voir les Bulgares?Bucarest, ter .févier.

Selon des nouvelle stlignes de foi les,,trou-pas bul;gares aloi sont pesées d'Orsva es ter-ritoire autrichien ont phià de trois divisionsest_h-direS0 000 hommes On ne sala

panexactergentq'telle région elEs sont destinées;mais on .suppose que, pour 'des .motifs faciles rateommendre elles ne peuvent être ,envoyees surne front eusse,

Dans certains cercles compétents on prétendque en préserve° de l'attitude de bt Gré., lestrornoes bulgares sur le front mmédonien serins,remplaeees per des troupes allemandes, ft

MIm seront, à leur tour, enveyems sur le frontoccidental.

ELirit - tL'Ancien-Régime avait écrit daos le code

Mstiee militaire Les- soldats qui frap-pent un officier « quand, mêmr ils auraientété par eux maltraités et battus 0, ont lepoing coupé et sont ensuite .pendus et êtrangles.

SainbJust. prononee avee une sévéritéhien équilibrée « Le militaire qui insulteson chef ou lui désobéit, le chef qui insulteou frappe son subOrdonne, sont punis dcmort ».

militaire qui vole ou ...met unevio/enee sur le territoire français est °Mas-sé de Irnrme. ; il est puni de mort si rat

en territoire ennemi s.Ah ! qu'Il se lève le martyrologe de ces

imputations dont les archives ont conservélarmes. Ici en sont Inu plaintes qui s'a.,

cumulent sur les extorsions, ravages, outra-ges, rançonnements, -voleries, violements,que les capitaines, soldats, gens de guerreet autres commettent en .plusieurs endrOitsdtà.xneaturie,p-ene en ce ressurt,,de

La n'est un .ambasSadeur s ta sonnéerie de Médicis qui brosse une toile infer-nale des able-Cités qui ont accompagné ladeuxieurie prise d'armes .des ,Grands.

En tous, c'est le régiment de la ,Reine quis'écarte de la route tracée pour se livrer eedes désordres tels qu.e villages, bou.ngs rat

bourgades sont abandonnes corsos passage,et que les terres restent sans labeur.

Et. c'est Louis XIV qui, dé sang-froid, or-donne la dévastation do Palatinat les po,pulations Ont trois jours pour fuir les .mau_mereurs; les .malheureux Meurent sur lesroutes de fatigue et de faim, tandis que der-rière eux l'incendie fait le désert... et los.pierres noircies de -Mannheim sont !jetées.dans le Rhin et les Palatins vent tratir

Sur le Éront russe

Violents combats en BukovineGenee; der février.

D'après la Gar,elte ale Francfort, de violents'combats sont ils sen m eem0ment sur ne frenude la Bukovine, près .00 Iffihaly, au nord_ou.td'unseszlfo, où de sis. attaques ,la baienette en tlieu constamment.

Le journal reconnaît que l'artillerie loundesior

SecB:rases

est très prvissmte et qu'lle sentsousgrvon feu presque toutes Is

position.Secd,

En BessarabieBerne ler février.

L'envoya 51,005181 du Pester Llied télégraphiedc Mmarest qu'on 'confirme de nouveau desmodvemente de troupes russes en Dessers/mnrueridionale.

:.[reonwrike,isdinletd.sasont -concentrées

ô Un immense matériel pour ponta, entre Is-mail el Reni a été seenmulé n Palanomea oùsus aiissi de nouveaux travaux ae Parti_

Les Etlisses, qui avaient obstrue par toutesortes de barrages et par d'autres moyens le

ICiliatin'bras du Danube, travaillent fiévreuse-

ment a. sa réouverture.

Les opérations du CaucasePétrograel, ler février,

eusses

ifront de l'aile gauche sont amuellement piesdans la rémden de 4, forteresse (Prime-

eollm et presque .privées ducal eberta de mou_serment, n'ayant V. suffisamment n'espace.

En même ternes les groupes turcs °Ms/os--roulis et de Slelasghertz sont complement iso-Ms.

Souvenirs révolutionnaires

La discipline aux armées de la République

Pour aller en EgypteDjémal-Pacha veut 25.000 soldate

allemandeDu .Gaire Le ôournal arabe .AfiNtokaf-

tani s apprend que le général turo Djamalpacha jouit d'une indépendance absolue etgil n'est nullement soumis aux ordres des°bels allemand...rime c'est le tas pour lesautres officiers supérieurs tures. On rap-porte qu'il a refusé plus duos fois &entre-prendre une expéchton contre PEgypte s'iln'avait pas à sa disposition 25.000 soldats,au mei., allemands, outre une armée con-sidérable bien encadrée et pourvue de toutle nemessaire. Il aurait ajoute qu'il ne leu.levaà aucun prix un neuve/ effort mats,jEgypte si ees conditions ne sont Pm ac-ompte.. Et il ajoute « Je veux 'que les Al-lemande éprouvent les mêmes onadc que lesTures ont endurés..

Encore les zeppelins

ils jettent des bombes sur l'AngleterreLondres, ler février (Officien

Fu raid opéré parais ou sept zeppelinseu

Heu'dans /a nuit, sur les comtés du nord-

.est et du centre de l'Angleterre.Un nombre considérable d, bombes a été P-

te Mais jusqu'a présetit on ne signale pas de-dommages importants.

Londres tee février.. C'est le vingt-quatrième raid 'que les serrai-lier meamplissent sur le territoire sraannique.Le .dernier a en lieu le la octobre. n y avaiteu soixante-six tués et eent quatorze blessés.

Le raid de /a nuit dernière est la premiers.visite des zeppelins en Angletsce depuis oc_tobre dernier. Mais c'était in troisième atta-que aérienne de l'Apgieterre depuis justeune semaine. Le 53 laurier un aerelanePs.a modessus de . nate mit du comte deMent, jetant neuf loombee qui tuèrent une per-

MERCREDI 2 FEVRIER 1916

leur mendiciié à travers les grande, villesd'Europe I

EL qui dévoilera les tragédies des inva-sions napoléoniennes ; qui osera avOner,comme cet °Meier de l'armée dlEspagny,« [Nous tuons, nous brûlons, rien ne de-meure sur notre passage s

Sans doute, Massillon, du haut de la chai-re saerée, malmènera 3011 royal auditoire

Monuments superbes, Mevés sur nos pla-ces publiques pour immortaliser le souvenirde nos victoires, que rappellerez-vous unjour a nos neveux ?

Sans doute Vigny écrasera Sous son talondmo grand seigneur général l'armée impéria-le « ou l'homme de guerre est isolé dès cf-loyen ou il est malheureux et deroce panequ'il sent sa tondition mauvaise et ab-surde 8.

Mais qui donc, autre que Saint-Just, con-cevra ce geste que l'Histoire a conservé« Un homme est fusillé pour avoir volé unedouzaine d'ceufs

eip-_ tin siûole-a passé le monde assiste int-puissant au surefis» ds la Belgique, de laPologne, de la Serbie... L'homme armé pouraccomplir les desseins de l'impérialismedoit avoir sa part du butin le pillage etmassacre; une guerre de conquête ne sesoutient pas sans l'entière liberté du soldat.

La France de 93 faisant de la guerre révo-lutionnaire un combat sacré dévoué au pro-grès humain et dé D/tomme de guerre, unapôtre, piétinant la 'misère bunmine avec-une magniflene désinvolture, avait osé pro-clamer par l'organe de Saint-Just 1 « Il .fautsavoir souffrir pour avoir l'honneur de com-battre

Est-ce deux races ou deux âges ?lE. R.

(Voir le tir.00 de mardi ter ,fevrtler).

sonne et en blessèrent- six. Le lendemain,deus hydreiplanes survolarent l'Angleterre',mais ils furent chassés sans .avoir ca.6 aucundommage.

Londres était éclairéeLendres, tee frrler,

Le nuis de janvier ses pour ses funéraillesun drap mortuaire de sombre brouillard. Aussiad-on dû ennuiera dans te sboutiques Mus delrdrares qu'on n'en avait vo depuis bien long-temps à Londres, qua resplendissait d'un éclatdont ses nuits ne sont Mus coutumières.

Au-dessus de ParisTroisième mais vaine tentative

Paris Sen février.Vers 9 II. 45, lundi soir, des' guetteurs des

environs de Compiègne signalèrent une manu-vre d'un aéroplane ennemi., Le gouvernement militaire de .Paris, aussi-tô0 prévenu par téléphone transmit les ordresméc.saires pour usa en al trnt prêt k donnerl'alerte et O prendre I. précautions utiles

Pendant me temps, au-dessiis de nos lignes,le zeppelin: pris dans les feux des projecteurs,s'empressait de s'éleigner.

A il heures, le mouvernemen tmilitaire don-nait l'avis à la préfecture de polim que tout.danger était écarté.

Le nombre des bombes jetéesFaris, fer fllyrier.

, Le zeppelin qui a essaye sms y réussir d'at-teindre Paris n'a pas jee moins de quarantebombes dans la banlieue, dont quatorze dansla nième localité, sur un raymn de un kilomè-tre envirm., onze de ces projectiles étaient des bombasincendiaires qui se sont enterrées Ci. des

Ce que dit la presse allemande. Genève, Sen illyrien

,Voici quelques commentakree de jeurnaux'allemands sur rald des zeppelins sur Paris

, Les Dernières Nouvelles 4, Bertin écrivent« lvi les projections des phares, ni les me-

dumes des avions français ni les canons spis-ciaux, ni ernme les virilents artieles de lapresse parisienne n'ont en-effebè nos héros darelr (Me) de rendre visite à Paris,

Ceux qui sont à la trate de l'armée aérienne'rate nos ennemis raomprendrout peut-être queles bomber lancées sur 15 capitale françaisene sont rien autre que des représailles enréponse aux attaqum dirige. par /es avionsalliés contre des villes ouvertes allemandes.

De la Nosvelle serge de Stuttgard, 11 y avait déjà assez longtemps M. nos'soupentsr ne s'étaient pas zends. à Paris.

» lgeet aujourd'hui chose faite, mais il net'am na svo dms le raid de sosaénunefsunévènement aymt une portée stratégique. C'estsimplement un acte de représailles

« Le bombardement de PfitiouoMenartrisgaurat aujourd'hui expié par le bombardement deParis, qui se -croyait mmpietement à l'abri denos attaques «

Ce qui se passe

En AllemagneUn socialiste élu au Conseil muni-

cipal de LeipzigBerne, 3/ janvier ville de Leipzig

avait b élire un conseiller municipal. C'estusi social-démocrate, membre du Landtag,Henri Lange qui a été élu.

« Berliner Ta.geblatt 8, qui annonce lanouvelle ajoute Imeniquernent « C'est /apremière fois qu'im membre du 'Parti SU-eisllémocrate viendra s'asseoir au eonseilde la ville de Leipzig s

Econornisons ID'après les dernières nouvelles de M.,,-

alors, ee serait commettre une grave erreur

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: ÇJAL,IS 'F - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1916/B... · ÇJAL,IS 'F ÉDtTIONS RÉGIOMACS matin, etexuse. testa.. evrobity.-oemorrioxe, erve-lly-nexesrame. lles.xer,essservatsksei,

lue eattaeher trop ('(cap '(ou aux inmmutations da proomanee Quoi-que nous arrivai', à importer de oc paysd'assez grandes quanlitées di. céréales et dafurrages, il ne convient pus de as ;Rentrertoiqsoplsnilstr. Le inieitx que noua ayons 1faire, *est d'économiser sérieusement mêmeun morceau de pain, sans quoi do ferteuaeaconséquences pourraient nous advenir

L'assemblée de la si Société pourla Paix X. interdite

La,, Gazette de Voss annonce que l'as-semblée, à Hambourg, de la Société a/le-i/lande pour la paix vient d'être interditepar le général rommandant le nous..imans d'armée.

La minorité socialiste approuvéeà Berlin

fun VorwaertsLa fraction da liai, social-democrate du

3 arrondi...nt de vote de Berlin vient,par 72 vais contre 7, d'approuver l'attitudede la minorité lors do vole des Prédits tela guerre et a imité son députa à se ion-«Bd aetto minorité.

On réduit la production de la bièreerehnguie, 31 janvier La « Gazette do

,proteste contre les mesures MD ten-d à réduire de 15 p, 100 la pruine-

des brasseries diduite par des or-inenees antérieures à 60 p. 100

journal déclare qu il est. inadmissibleo réduise la produotion de la hier° à

100 de la pritduction normale avant denaître eXactement les réserv, de matr.

Les divisions dans la Social-Démocratie

,ie réunion des hinniires de ronflant. daI roisième eirconscriptiOn de Berlin ah"Ité l'opposition et a blâme le député ma-

nt aire Pfannkuch, me«uhre du -rouillé th-ree leur du Sucial-dém.ratio

L'assemblée générale des socialistes deBrême s'est pronentiée par !MO voix contre230 pour l'oppasitiOn.

Due réunion des hommes de 'confiance daF,nefmt-sur-le-alein a aPPreuvr7 la Ita-lique de la majorité, après que les repré-sentants de l'opposition avaient quitté Pasalle.

La section smialiste de Kanstanzprouve la majorité. Les comités directeursde la circonscription de Sapant.. con-damnent l'Opposition.

Le Poli Socialiste IlOriéell

Comme on le sait la Norvège est, rela-tivement à sa population, un deqi pays lesploa industriels de l'Europe et oit le prolé-tariat est le mieux organisé. Pur inc' popu-lation totale de deux milliora et, demi d'ou-ariers, il y a envircn 1150.000 travailleurs ia-dustriels, dont, 71.00.0 appartiennent 71 l'Ar-beidernes faglige lamiserganisatiou a :Norméla C. T. norvégienne

Le Parti smialiste compte artuBlement54;000 membres. Il postule «Plue quoti-diens, dont le Drage total dépasse 150000exemplaires. Seul l'organe central du pari'le « ,Social Démekraten die Christiane, a50,000 abonnés. Pendant l'année dernière, ily a fait 60.00.10 fraises de bimane. nets.

Le Parti est représente au Storining ouparlement norvégien par cOlilp066 rruneseule Ohairdire, par 19 députes. Les autresmembres, qui attoignent le nombre de 123,appartiennent : 21 au parti libéral et leresta au parti nouons-valeur.

Dans los étrillons du 15 octobre 1915 lescandidats socialistes obtinrent 200.000 'voixcontre 125.000 aux élections ,précialent.. Ilfut le seul a faire des progrès su dépens desauti, partis, ce qui ne remPerha Pas deperdre quatre Gag., grâce a l'alliant, dans

lballetta.g. de conservateurs et de libé-raux.

Petites NouvellesSelo. le VOriverts, PhomMe de lettees

le docteur Bethhe qui avait insulte les fana-liranaires de la jasa. I munich, a été con-a)...J a deux mine de ,prison.

En recevant le 'cardinal Mercier lePape ha a lait comprendre qu'il sa faire' un'louvet appel à la paix.

Baas les.eplaces du \hW. on ,nfirrne lad

a-- Olier après midi, 55 2 heurea a eu lieuSu recaléeo me rgrando fête Patraliqw ocra-,isee cal'honneur des vaillants saidats décor.'On /a Groin de guerre.

PARLEMENTC11131=M

Paris, ler féal, es,La séance est ouverte la si. au so.la prési-

denm dé M. Desehaneldfi y a, peu de monid.e rtms les tribunes et

peine quelques deputés strasla salleDesahmail prononce ITtloge funèbre de

Jules Delaf.se, dépura conservateur duCalvados.

Le raid das :menus sur ParisLe Président. reçu une demande dan-

ternellatiu du canaten Déjemte, sur Rs me-sse. prises par le ministre de la guerre ausojas du raid des zeppelins sur Paris ;date protium le gouvernement pour la discus-sion ?

. Le ,géneral Galliéni. ,-- Je suis prêt 5 aunes.cie,,int les coranission's toutes les explicationsarmanteff. ; mais je ne puis fournir la tri-nura des renseignements gni ne ponaaraft êtreutias qu'aux ennemis ; j'insiste énergiquementpor que cette interpellation n'ait pas lieu,

31. Ch Benoist. y a aePeltdantmane errel'aviation 7 7

M. Brimd fait un ,geste sis déaragatton.id. Ch. Benoisi, rapradant à es geai,

n'eMste pas c'est le gouvernement.M. Briand. rte puis laisser une telle pa-

aoM je m'ope.: de taules mes forms chat,esprit de polémique, qui tend (s jeter des dou-tes sur an corps militaire idétv.oué.. Ces formules vagues et impréciaes consistent

affaiblir la gouvernement, à jeter le troublest à annuedrir l'effort de nos aviateurs ; mierst un mauvais procédé.,

,Lana le montent naine où nos aviateurs,

chaque jour, aocamptissent de Writrams pro-diges ; siens mie ahniara Jahr notre mtatioaaffirme sa supériorité, profiter de ce quitui

avènement, oeuilite el douloudeux, do, il fatPion ie dim à de mauvaises canditiona

lOnit affalait' l'autorité au ponta.-allocs'minent a' l'interpellation idanr3t pas Macon-yenient noue le gotwerument ; nous avonsralmadu la d'autres interpmationa maintecc ,pent. apporter sans"danger.sertainCs maties_

Tram façon gendre., le .ministre de la guerre;vous dtratt que touteu les précautions ont héprises ; 11 .ne faut pas dire quais este do rêvé-matent est dû au régime de l'aviation et en-core ni.ns aux filateurs ! trente a3rateursrat aumitôt pris ('nenni el se sont petes susPenne..

Le citoyen Alexandre Mana Mais vous ré-pintiez s 'interpellation.

On. Brand. Non ; ce mm l'on 'demande,c'est d'entendre quelques ,paroles rassurmtes ;chait, certainement, dans l'intention du citoyenIlejeante ;ars paroles, je Ms apporte p /aalambic n j'ai le *euein de dOe qu'au coursde ces deux nuits, de hm*. saldats...

Le *tag, Jean Bon. Il ne s'agit pasd'euxM. Br.* ..se smat Bey05 dans le limita-

lard; ist ont accompli h...gaiement leur de-voir; dan faut pas diminua leur méritecomme chef du goutvernameid, je veux leurrendre hommage ; ils méritent notre mnfianceet notre admiralren ablaalm3dieseatelite eer tensles banc., ces dernières semànes nus avia-leurs c faut /e rappeler, sont ah, sur desvilles' allemmdes ex.,es des représailles et,il y a ...gras jours à peine ils allaient' surreMoura,-; .5-ee ara les Niémen, les uniemeobas d'accomplir leur mission .?

Est-m que 10 gouvernement allemand a ,étéPoblet d'atlas/des panse qu'il n'avait pu em-pesta, le raid de nos /aviateurs ?

Pendrai la guerre nous devons faire /a partdes iimosibIlitt et des senposnibilsina ; si anSeul rien /aire, M rien dire qui puisse affai-blir le moral de l'admirable poPulaao. Parie

D'aceOrd avec 6e ministre de la guerre,Je demande lOt. Dép.., 'de retirer son Mter-pelletions Gaeland.sements sur de nombreux

. Le citoyen Déjerate, Sis Umm odieux etinàbéaile a 'êta commis. .5APPlaHlissemen.Noiss ne demandons aux Allemands qu'unechose c'est qu'Ils puissent eranaltre l'admirableeaprie de la papulation parisienne. (Notiveauxapplaudissements). Lorsque pal demandé *in-HeePaller, sCIais pour reddee hommage aux vis-ai.. innocentes de la bru/alfa ennemie poursaluer la population rparistenne. thie le gouver-nement lui fasse craltaince et'. donne es-poirj'accepte l'ajournement (Applandis-mments',

Le ,président va mettre 'ajouraement auxO ./jasais art, Oh Benoist demaxide is parofe.

M. eh, Benmst. Le pésident du conseil adéplacé la ,q,uestion ; non:, apprenons aces plai-sir qua trente vs ans . nt pris Pair, «nais osquenous .pourvons nous demander o'est si les mo-lieds de défense sont A la bouteur du couragedes défense, (Applaudissements), ne croyezpas qu'unie question se .rpqle par le silence .; jedisais...51)1N avait pu «le gouvernement.

Qu'est-ce qui vous permet hadire cela .

M, Ch. Denoist. Elh, oui ! etest le malheurdes temps ; on a n'importe qu(, pou n'importequoi. (Appladdissernents an centre)

M. Briand, Interpellez, je vous répondraide suite.

M. Ch.Benoist. C'est pal suffisant-ment expliqué ma aeTsée.

L'ajournement de rinteixffllation est prOnon-sé à mains Tevées.

L'end, du jour appelle la discussion' des in-/rasette.. de MM. 'Buisson, Fournier et ta-canas sur-PinterdiatMn aux militaires de ara,ducales les eafés et débits de boissons de Mar-eeale la certaines heures.

,fipras le vote de Pondre. jour de confianceSanctionnant se .débat, la chambre s'ajournenmadi 3 heures.

La kance est Mvéek6heures.

A propos des zeppelms

Ce qu'écrivent les autresNous relevons ria, la « Victoire u deG. Hervé« Des représailles ?« Oui, mais des représailles intelligentes,

'011m ma, . s qui frapperont à coup a.les oeuvres vives de l'ennemi, les établis.,mente ErtslaP à Boson, par exemple, non losrepre.aaines stupides qui iraient massacrerda, leurs berceaux d'autres enfants inno-rents, parce qu'ils sont nés de Vautre ,cdtédu Rhin !

Dans « n, sous la signaturede Renaude'

«Les visites des Zeppelins sur P3ris ramè-nent q,upiqueS-UnS de nos eonfrares là leurcri« Représailles Représailles ! com-me G de nous ravaler au rang de ceux qui,paerni nos ennemis, commandent de telscri.mes, cela pouvait nous élever aux yeux

l'humanité. De quel droit nous prao',morions nous att-cl,sus de nOs adversaireS,si nous prétendious, sous prétexte qu'ilsont donné l'exemple, procéder avec une.sauvagerie' Inexcusable, tuer des ifemineset des enfants surpris dans leur sommeil ?

Na commettans pas cette faut..«X5. n'aurions marne pas l'excuse de

té.« Mais en tevanehe si nous ne 'voudrions

pas voir natta pays, les chefs da nia ammes rommander des rates qui ne pourraientaboutir quin des meurtres inutilse. et Paraela marne plus odieux, de tels faits doi-vent affermir notre volonté de vaincre.

« C'est là qu'est. Ma véritable et lhaute ven-geance. C'est dans la victoire des Ani, quesera, pour ms qui faut de /a terreur nusystruhe le vrai châtiment.

Plus loin, dans r }amanite Laamheécrit :

« On s'étonne a,uSsi, dans le peuple deParia, qu'un Zeppelin signalé à 9 !heureseannue se dirigeant sur l'ariS. -ait rpu venirsans encombre et, ch.e plus bizarre encore.gutit ait pu se retirer librement.

a Enfin slOS aviateurs ont-ils des appa-reils suflisantS pour pouvoir atteindre la.hauteur des Zappe'''. h

« Ge sont sales Iluestions qui étaient Surtoutes les lèvres dos Pariai.se rata..cll'immense foule que j'ai vue hier. C'est enson nom que nous prisons ces questions, elil faudra y répondre. Si la 'populationl'assurance et la sensatirm que tout ce quidoit être fait est fait et bien Un. Malgréles dMitils qui lui sant sensibles, malgré leserimes des Allemands, elle restera calniedigne et coi* ante!

« alais 17 ces conditions ralliement. »

CHRONIQUE LOCALEDans les Directes

Notre ana Ellen Prévot rèçu la lettre sui-Ivaate

.

Monsieur le Députe,Vous axes bien voulu appeler -mon atten-

tion SUS les illsonsênientS qui résultent 'lel'insuffisance du personnel oiestiras Directes et vous m'avez proposé, murremédier à cette SituatiOn, de demander it

militaire de remettre a. la dispo-sition de l'Administration taus los contré-leurs.adjoin, qui appartiennent au service

J'ai /honneur de vans faire eannaltre quej'ai récemment prié mon collbgas de lariumme de preserire la mise en sursis d'ap-pel d'un reniait, nombre d'agents des Con«Mandions directes et, notamment., de tausceux qui font partie da service auxiliaire.

Agréez, Monsieur le Député, l'assurancede sua haute yOnSidération et de mes senti-ments dévala.

Le ,Ministre ,d, Finarmes,Ribot.

REFLEXIONSXMai, I se fait pas han être auxiliaire.

Couver, ,par la loi, protégés apparemmentPar lee suffrageS de la Chambre, la natIeaavait manifesté, par l'entrenliSe ,de ms élus,le désir de vair les auxiliairt, ,maintenugdans cotte ,legarie par une cruninission.de réfarme, excluais de toute nouvelle vi-site.

'Nul n'est cm." ignorer la loi, dit un pro-'01,0. Cependant, les chefs de stirviri, tmi

en la connaissant.. se ele. Pand Poe,en oriel. les termes suivant leur bon Plai-sir. Les exemples abondent jr Men miterai

A la ...e seetion des C. 0 A. sous le pré-texte de vacrination antivariolique, le com-mandant, qui depuis longtemps attendait lemanient .prupiee, a conduit devant le maitaus les sertionnaires sous Ses ordres

Devant le Major, qui vous pose l'invaria-ble a 'Pourquoi sites-vous auxiliaire » ? eushommes délitent les uns après les miren etsont classés en trois catégories apraa exa-men. De là il est probable qu'ils subiront ànouveau une visite native, toujours lademie, !

greLe .rammandant de la ...e serti. rie COA

fait comme le nègre 1 il continue. Une cir-culaire ministérielle

, lui donnele droit d'autoriser les auxiliaires, dont iafamille réside à , I coubherville. Les uns jouissent, sous des prétextasdivers, «te relie faveur d'autre sen sontprivés, Noue est-il permis de ..mander pour

?le faut, noue préciseronseeio

Alors que les inapte, et les auxiliairessont si tracasaés, il est une catégorie quel'un laisse bien en paix u c'est ceIR dessous-officiers de cart.,re pensionnés qui,a.près quinze ans de service, ont obtenu unplace de l'Et.. Jouissant d'une retraite enlilas des appointements, ils assistent à latragédie qui se déroule en simple speota-teurs.

me semble que si Van fait à ces ancienssoldats tant de concessions en temps da,paix, an a yOulu assurer la solidité des ca-dres. allais en temps de guerre, alors quel'on manque de sons-ofileiers, pouoluoi n'a-Pon pas eappelé b l'activité ceux qui ontpassé dans les casernas quinze années deleur yie ?

Le Bouledogue.

Nos BravesNimo sommes heureux de porter a la con-

naisrame de, nos compatriotes les denea bel-les citations dont un de nia braves entreles braves a Cté l'objet.

René Bac., effve sit. Lycée de Toulouse,ancien élève de l'InIstitut araire-technique.Appelé par la mobilisation, il a rejoint sondépat 15 talontpellier, le 2 aoet, est parti im-médiatement sur le front et a pris part auxopérations qui se sont déroulées, jusqu'ànos jours, en Haute-Alsace et dans les V.-,geS

Le cheti de hataillon commandant le géniede la ...e division d'infanterie, cite à l'or-dre du génie de la division le sergent Bac-cou René-Jean, matricule de la com-pagnie du génie

S'est porte Spontanément au secours deplusieurs hoMmes enfouis soue un abri dé-moli par une torpille ; immédiatementorganisé une équipe de sauvetage et, grâceà l'habileté des mes., prises et b la te-naci té de ses effOrts, esi parvenu, aragré lasdifitatutaals et las dangers de l'opération dedéblaiement, à retirer sain et sauf celai desensevelis qui n'avait pas été tue' suc lecoup n.

Le chef de bataillon comm-andant le géniede la ...e division d'infanterie, rite la l'or-dre du génie de la division le sergent Bra-cou René-Jean, matricule , de la com-pagnie du génie

« Sa. armes et muni de cisailles, est,

sorti aveo la première vague d'assaut,l'attaque du 21 décembre 1915, et, franchis-sant la Man., ennemie n'a pas thésité àaller résolument de l'avant pour détruirales abstraies qui auraient P. entraver iaprogression.

A travers ToulouseConférence

Vendredi prodhain 4 février, cl 0 h. 30, ilsera donné une eraférence dans la salle deLaniphithéatre de Paneimme Eaoultri dusLettres, par n'Are distingué confrère da tapresse 0g, noie résidant- à Paris, 34. aTOSéLopu de m u,es, a sujet des sentinmntsfrancophile des Espagnols.

Prboédé *une MM-1E1D., méritée, as er.7férenee attirera une foule d'auditeurs quilui feront un aussi sympathique acaueilqu'a Montpellier. Perpignan, Cette et Be-

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Haute.Garanne a ouvert, depuis quelquesjours, ses t'ours pour le Mimer. Mitneatrede Famée scolaire. A. séances d'édile",lion physique et de préparatiOn au tir sontvenue a'ajouter les cours de lasaigraphie etd'hygiène.

Le premier est prefessé par .35. le lieute-nant Maire. du De régiment d'infanterie.Ge jeune et distingué ofileier, revenu au.frunt où il a vaillammeni. gagné la omis deIn Légion d'hanneur et !a Groix de guerreamie palme, fait actuellement partie ducadre d'instruction de la classe 1917.

Le cours MID-glane est fait par M. le Doc-teur Dular, praticien dévoué, qui a mis saseien-se et son expérience à la dispositiondes .membres de la société.

Ses jeunes gens qui désirent préparer leD A al ont donc tout inféré/ à Se faire dèsmaintenant inscrire pour profiter des le-puis ,de ces deux professeurs, dont les eiimrsalterneront. avec les séances d'exercices playsalues que dirige le très sympathique pro-fesse. de gymnastique di. Palmasle et lestirs Ouatasd Niel -placés sous la directionde M. le lieutenant Passerieu et la survlance de deux sous-offleim., les sergentsPradel et adauries mai, aprês :Gois été ',Ra-sés sur le front, ont été désignés pour ser-vir Tinstructeu, ,hala classe 5017.

Voici les cours d.e la semaineJeun i 3 février. a. 20 h. 30, :balle aux

Grains : Exercices physiques.Dimanche t février, a. 8 15 caserneNiel Exercices de tir, courses N. sauts

Nouveau journalLes personnes libres de leur temps, doat

les noms commencent par P I Pi, sont,priées d'assister aux obsèques du sohlatBarrot Gilbert, du lie d'infanterie, &méfié à.11hôpital 64 (Calvaire), qui auront lien au-jourdtbili à 15 h. 30.

Obsèques MilitairesSamedi 5 février paraltra le premier an-

Méro dn « LisSaI de Siège a journal heb-domadaire, sous la direation politique le

Altroff,

Petits FaitsLES VOLS

Sur plainte de ',dos Pauline, do-mestique, rue de ,Metz, 38, le 2e arrondisse-ment :procède h une enquête relative à unvol de linge (valeur 192 frracs) toITIMiS aveseffraction dans la chapelière de la plat-grante.

Le 6e arronainemeni a dressé procits-verbal coal., inconnu pour vol d'une bie1-°lette caminis au demicile et au .préjudicedru sieur Fournie Paul plâtrier, demeurantGrande Rue SaintnMichel, 86,

OU VA-T-IL ?Le jeune Pst six Edmand, âgé de /2 ans,

a disparu do domicile paternel, rue Pliais.bourg, 2, depuis hier ala

RENVERSE PAR UNE CHARRETTEAvantabier soir. vers 4 Maires et .demie,

une charrette conduite par le sieur BigoiPieere, ,fermier à Geyrane, de passage alléeSaint-Michel, a renversé, près du Jardin-Royal, le nommé Courbières, roulier, de-meurant à la croix de Pirare, qui a eu arapied engage sous le valticule qu'il eondui-sait lui-marne, et fortement comprime. loblessé a été transporté I illatel-Die,u. M. lecommissaire de police dis 6e airondissemeata ou,vemt une enquête sua net, aceident

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LE VOLEUR !L7enterpréatiOn de la pPee de Bernstein sethO

auatsiessus de toat éloge. Devant un public deoholx, Mme Blanche Toulain 6161. Emaffier,Calas ont joué le Voleur .aveà un art ,robusteet en .pathatique émo.ant.

Tout te qui 'dans J'oeuvre de 171. ',estera se-m.° .bsutalise, émeut, a 050 renlii passionné-menti et ai le genre de Berst.n est en marge dela me on n'en ,00nstitue que des

exceptionsansesittre, il faut reemnaître que cet auteurewelleâiagencer des seènes de the*se et pré-parer ms dénouements ma plus tragirau etil nous faut dire aUsi que est art ne pouvaitetre pr6senté ove, ,plua de fonce que ne Pontfait les artistes qui, hier, ont représenté le

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COLOGNE Voir les étalages

Publication. de MariagesOsas janvier 1916

P505 beimaa, artiste lyrique n. Angoulême etMatamore ChaiTiac, e, p., a Angoelanie,

Sab.tien Claris, métrai ais 2ale de ligne etAnna Manfraix mivrière en eaussues, avenuede la Pattemdlie, un..._22-3PMI% 111 Nein, IHiObtOe I 9111111111/11,:b

. DécèsDa ler février 1915

Pech veuve Bourrai, 84 ans, rue des Trois-,

, Sem liou.et 87 ans rue Pargam/ateres, Ferdinand ',dual, 24 'app rue dtAstarg,

,

Paul Gabaup, 84 ans alléeMinée

Laurens,

55 a.ds hoiplevand de /a Gare.Poustané venin. Rabarjr, 67 ans r. de DELase0e0011 éinouse Chenus, 68 erie, rue Tournante

de Lapée, 60.

Brefed, apouse Mule, m ms, ,temela.

Hoopipes atiMée u 5.

Militaires décédés à suite de blemums reçueaà l'ennemi Joseph Senti, guidai au Sas d.-O Interr.

Ctsrssnts nolo: Laluble ro] in Umm, lb

Thutres et cinémasAujourd'hui :

THEATRE 201 NX)UVEAU'RES. Ce oir,8 heures, adieux des Léortan rtidand pan,o-

isA

<listes: succès des ("Mulon, jongleurs; d lb oquiiihrmime; du fin oueup p,popoo, de Marthe

R`rémOnt, étoile parisienne; d'AiMen oomiquetaltdque; de Muriel, de Hers., ; 31mes Hy-vira, mare. 3farville

010,Onterra/aéra le spe'etaele' par Sacré Narcisse,vrao.u,ilevilLe joue p. le populaire Chevalier el sa

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Dolair-Journal 5.57,. Actualités de la se/naine et autres vues comi-

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à 8 h, 30, derninre représentation et adierixde ?Ume Lula Nordi, de /tOpéra-Go.gue Car-aner La sympathique et brillante artiste Senaraltra dans Ie pile de Carmen qui /ut valut unsi grand suco.. Les autres rôt. de Itteuvre deBizet confiés à Mlle Renée -Tanisa ticae(p,Gretry et Viguier, M. Claude-Jean aa, Jase),.Laaomme SE.amilMI, Sylvain graidga), Roufséry,Le.horde et Martin.

Au ballet Mlles Colombe, ,ceur Natta, Givry,

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sasse TitrottOumai..bim, aven M. Saint-Léon, ltincompa_sabla

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Le Communique de 23 hures

Paris, I" février.En Artois, iutte d'artillerie assez vive

smil de la cote 419. Au nord de 100111eSaintiNiralas à Saint-Laurent, nortbestras, un détaMement ennemi a tenté une dataque qui a été arrêtée aussitôt à cone degrenades.

N.otre artillerie a exécuté sur les flee,Cons ennemi, de la route de Lille, mde Thelus, un bombardement qui a lev"'gué un incendie suivi dexplusion.

Entre Acre et Oise, nos batteries ont tnigd dies tirs sur les tranchées alterna,de .111euvraignes et de Faesnières et NILnord-est, canonné les convois.

Vers L'Haie*, actions d'artillerie eitices sur les ouvrages adverses de Pemba!'de la .ferme du Choléra, au nord le II1tHe''ainsi qu'à l'est de biaint-Di ar,:°40°rte La Phye.

orearseukaiqué bele.Lutte .d'artillerie au sud de Di-finoeH

calme sur les autres points du frrat

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