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jeudi 16 juin 2016
Joël Abbeyprésident du C.A.U.E.
maire de Pontailler-sur-Saône
Gérard Faivredirecteur architecte
et toute l’équipe du C.A.U.E. de Côte-d’Or
sont heureux de vous accueillir à la 1/2 journée
espaces publicsle long du tramway - Dijon
• Campus universitaire de Montmuzard
intervenant :Ilex[paysage urbanisme] Jean-Claude Durual, paysagiste
La plaine centrale du campus a été transformée enparc pour renforcer la mobilité interne, valoriser lesœuvres d’art et fédérer l’ensemble du site universitaire.
• Place de la République et place Darcy
intervenante : Atelier Alfred PeterLoes Dzalba-Lyndis, paysagiste
Les deux places emblématiques de Dijon ont été complètement revisitées pour profiter pleinement auxpiétons.
• Jardin de l’Arsenal
intervenants:Olivier Lesage et Vincent Mayot, paysagistes
L’ancien site des poudrières de l’armée a laissé placeà un jardin devenu une référence écologique : “la première pierre” du futur ÉcoQuartier Arsenal.
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maison de l’université
Campus universitaire de Montmuzard
Créée sur le modèle des campus Nord-Américains il y aplus de 50 ans, l’université de Bourgogne prospère aujourd’hui sur les 150 hectares de la colline Montmuzardet s’articule autour d’un vaste espace : l’esplanadeÉrasme. L’arrivée de la ligne de tramway T1 en 2012 a marqué unepremière étape dans la volonté d’ouverture du campus surla ville.Nous appuyons notre projet sur la plaine centrale qui, en débordant sur l’ensemble des espaces du campus, les fédèrent pour constituer un grand parc. La grande mobilité à l’intérieur du campus, la volonté de valoriser les œuvres d’art ou de constituer un grand parcours sportif, sont intégrés dans le rythme du dessin.L’image globale cohérente apportée, conjuguée au traitement soigné des entrées et des continuités, finit deremettre en lien le campus avec la ville.
Fiche technique
Lieu : Dijon (21)Maîtrise d’ouvrage : Université de BourgogneConcepteurs : Ilex[paysage urbanisme] (mandataire), Safège VRDDates : 2013 - livraison 2016Surface : Études préliminaires sur 52 ha (schéma directeur), Phase opérationnelle sur 7 haMontant des travaux : 3,70 M€ / HT (7 ha)Missions : MOE complète
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Érasme 1.0 : un projet éphémère
Pour préparer la création et l’arrivée de la place Érasme,Ilex[paysage urbanisme]* a proposé une installation iné-dite et éphémère pour occuper le parking durant l’annéescolaire 2013-2014, et ce jusqu’au début du chantier.Il s’agissait de familiariser les comportements avec l’arri-vée d’une place centrale au campus et ainsi d’amorcer la réappropriation publique d’un vaste espace encore dévoluaux automobiles.
Phase 1 : un coup de peintureUne fois la surface du parking libérée de tous véhicules, la première phase du projet a consisté à peindre un damierau sol préfigurant les grands axes du plan guide de la future place Érasme.
Phase 2 : au pied du sapinLa deuxième phase a consisté à venir occuper les sous-espaces colorés avec un mobilier léger : assises, tables etbacs plantés. L’ensemble de ce mobilier est constitué depalettes et de caisses en bois. Les végétaux choisis ont été par la suite intégrés dans l’un des espaces vertsdu futur plan-guide dès le début du chantier.
Enfin, pour faciliter l’appropriation et le respect de ce mo-bilier, et ainsi le préserver, l’équipe a misé sur un mar-quage identitaire. Un détail donnant le caractère et le ton,d’une intervention qui se veut éphémère, légère et maligne.
*ILEX est associé au bureau d’étude SAFEGE sur cette opération.
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Les abords du fort Saint-Jean - Marseille créd
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Ilex [paysage urbanisme]Depuis plus de 20 ans, au centre et en périphérie, enFrance et à l’étranger, Ilex[paysage urbanisme] contribueà la transformation qualitative du paysage urbain. Depuisla conception d’espaces publics à celle des grands parcsnaturels, de l’aménagement de berges fluviales au traitement de la mobilité, de l’urbanisme opérationnel à laprospective territoriale, Ilex travaille sur « la Ville » danstoutes ses dimensions.Les espaces non bâtis s’imposent aujourd’hui comme devéritables équipements à ciel ouvert, des valeurs d’avenirpour la Cité, dont les formes et statuts extrêmement variésfondent définitivement notre qualité de vie et notre pay-sage quotidien.Ilex [paysage urbanisme] est animée par une vingtaine deprofessionnels et associe ses compétences en paysage,architecture et urbanisme, afin d’être concepteur et mé-diateur dans le développement des projets d’aménage-ment complexes et d’avenir.
Considérant la ville comme un véritable organisme vivanten perpétuelle mutation, spatialement et socialement, Ilex[paysage urbanisme] oriente la conception urbaine versd’autres horizons que la simple composition fonctionnelleet spatiale. Une approche programmatique créative,contextuelle et partagée, délivrée en assistance à la maî-trise d’ouvrage et/ou préalable au projet, est à la base detoute intervention.
ILEX[PAYSAGE URBANISME]7 PLACE PUVIS DE CHAVANNES - 69 006 LYON - 04 72 69 46 46
[email protected] - WWW.ILEX-PAYSAGES.COM
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Quai Gillet, Rive de Saône - Lyon
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Le tramway et les places de la République
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Le tramway comme tremplin
Maîtrise d'ouvrage : le Grand Dijon Maîtrise d'œuvre : Egis/Atelier Alfred Peter PaysagisteCoût global : 180000000 € HT.
La réalisation simultanée des deux lignes de tramway del'agglomération de Dijon, en un temps record, a permisde changer la physionomie des trois communes traversées.Le projet de restructuration du réseau de transport a servide tremplin à une redéfinition des espaces publics traver-sés, devenant ainsi un réel projet urbain, dont le chantier,achevé en 2013, n'était que la première étape.Parmi les divers thèmes abordés autour du fil conducteurque constitue le tramway, le centre-ville de Dijon consti-tuait un défi. Dijon est unique, riche et pittoresque. Lesboulevards périphériques de la vieille ville sont bien di-mensionnés, plantés et ponctués par neuf places et car-refours, autant de portes d'entrées des faubourgs vers laville patrimoniale. Pourtant, leur traitement routier en fai-sait une barrière. De la sortie de la gare jusqu'à la placede la République, les avenues et boulevards ont adoptéde nouveaux usages et un nouveau visage.Aux stations Darcy et République, la transformation spec-taculaire a converti les parkings d'autrefois en réellesplaces urbaines où le piéton et le cycliste sont rois.
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Place de la République
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Place de la RépubliqueÉclairage : L'Acte LumièreFontaine : JML Water Feature Design/Eiffage Energie
Surface : 25000 m²
En 2008, la Place de la République est encore une placecarrefour, qui n'a de place que le nom puisque la voitureest son principal usager. Autour de la statue de Sadi Car-not et sa Liberté, engloutie par les haies, un parking enenrobé empêche le piéton de profiter des fonctions habi-tuelles d'une place publique: polyvalence, attractivité, ani-mations… Malgré tout, l'image du lieu reste "verte", deuxsquares fermés, aux extrémités, sont séparés du centrepar la circulation. L'ensemble fonctionne comme un rond-point allongé et démesuré où le confort et le charme sontabsents, malgré sa position stratégique entre cœur deville et faubourgs périphériques actifs.
Avec l'arrivée du tramway, la place a été pensée commeune station de 25 hectares qui fait la part belle à la libertéde déambuler, tout en permettant au voyageur (et nonusager !) de poursuivre son périple sans détour. Au pointde rencontre des deux lignes, les dimensions de la placepermettent de concilier lieu d'échanges et espace publicde qualité, sans tomber dans l'écueil du pôle d'échangecomplexe et purement fonctionnel.
L'équilibre entre circulation (réduite à 2x1 voie sur le pour-tour), pôle d'échange (stations T1 & T2 et quais bus) et
lieu de vie, est possible grâce au renforcement du carac-tère paysager de la place, ainsi qu'à la simplicité de traitement de l'esplanade centrale.
Imaginée comme un réel lieu d'animations urbaines, la polyvalence de la place était essentielle. Elle accueille désormais une grande roue, un marché de Noël ou lasphère ExpoFrance 2025, tout en continuant d'exercerson rôle de pôle d'échange.
Entre les deux stations de tramway, kiosques et bancs surmesure viennent animer la place autour de la statue,conservée mais rafraîchie, mise en scène par des jeuxd'eau.
La porosité entre le cœur de la place et sa périphérie estassurée ; et les commerces de bouche auparavant can-tonnés à la rive sud se sont aujourd'hui approprié leslarges trottoirs plantés.
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Place Darcy
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Place Darcy
Éclairage : L'Acte LumièreSurface : 8800 m², 38000 m² square compris
La place Darcy a été laminée comme bien d’autres es-paces publics emblématiques en France dans les années1960-70, par l’action (voire l’acharnement) conjoint desprojets de circulation et de stationnement. Onze lignes debus, 14 voies de circulation, voilà le paysage de la placeDarcy avant l'arrivée du tramway. Véritable circuit routier,elle est pourtant une articulation très subtile entre la gare,les faubourgs et le centre-ville. Maillage essentiel de lapiétonisation du centre historique, corollaire au projet deTCSP (Transport en Commun en Site Propre), il semblaitimportant de lui redonner un caractère de place de cen-tre-ville en réduisant de manière drastique la surface dé-diée aux voitures. En effet, l'arrivée du tramway permettaitnon seulement de réduire la circulation sur une place cléde la ville (plus de 1500 bus par jour) mais aussi de redonner une valeur, de l'apaisement et de nouveauxusages à la commerçante rue de la Liberté (7 lignes,1000 bus par jour !). En rendant l'avenue du MaréchalFoch aux modes doux (dans le cadre du projet) ainsi quela Rue de la Liberté en parallèle, un axe piéton naturel sedessinait.
Aux origines du projet, l'aspect routier devait être absorbé,dans la partie ouest de la place, par des alignements d'ar-bres, prolongement visuel du square Darcy. La partie est,
quant à elle, restait purement minérale, dans l'esprit de laplace de la Libération. Jusqu'au pari fou de végétalisercette place, envers et contre les dalles du parking sous-terrain parfois affleurant…
Peu déstabilisée par le défi, l'équipe de maîtrise d'œuvres'est penchée sur tous les documents techniques imagi-nables, pour arriver au résultat d'aujourd'hui.Positionnés selon un rayonnement trouvant sa source ruede la Liberté, chaque pot d'arbre s'est installé à une hau-teur entièrement déterminée par les dalles du parking.Pas moins de 52 cépées d'essences différentes, spécia-lement choisies pour supporter la vie hors-sol, participentà l'ambiance changeante au gré des saisons. Sous cesarbres, une bande de jeunes attend le prochain tram, unvieillard se repose à l'ombre, deux enfants à vélo slalo-ment ; car les pots sont des mobiliers à part entière, colo-nisés dès le premier jour.
De nuit aussi Darcy a changé. Le revêtement calcaire sim-ple reflète une lumière bleue émise depuis les façades.Les abat-jours du cœur de la place, inspirés de la toiturebourguignonne de la cathédrale, donnent quant à eux uneéchelle plus intime aux nouveaux cheminements.
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Requalification du secteur de la gare - Belfort(dans le cadre du projet Optymo 2)
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L’Atelier Alfred Petera été créé en 1985 à Strasbourg puis à Lyon. Il est trèsengagé dans l'émergence des villes durables. Non pas laville drapée dans une vertu ennuyeuse comme c'est le casquand le modèle est trop dogmatique ; la ville durable, dé-sirable du XXIe siècle, doit être façonnée comme une in-vention permanente, surprenante, tolérante, joyeuse… La créativité de l'Atelier se puise dans les métiers des au-tres : climatologie, géographie, mobilités, hydrologie, bio-diversité, agriculture ou énergies, sont par exemple desdomaines revisités quotidiennement avec ses partenairesexperts pour nourrir des récits inédits, suscitant desmodes de vie moins stéréotypés, moins égoïstes, moinsmatérialistes.Sans chercher à imposer les bons modèles, l'Atelier s'ap-puie sur les désirs exprimés par les gens, dans un modèlede planification de plus en plus horizontal. Sa principaleplus-value se situe donc dans les transpositions spatialesinédites prenant leurs racines dans cette rencontre entreles désirs et les savoirs.Il œuvre particulièrement dans trois domaines : • la réalisation de projets alliant une forte dimension mo-bilité et aménagements: les TCSP (Montbéliard, Belfort,Strasbourg, Dunkerque…), les promenades cyclables, lesaménagements de grands sites comme le Mont Saint-Michel;• l'aménagement d'espaces publics : centre-ville d'Audin-court, le site Japy…• les projets à grande échelle : SCOT (Montpellier, Val deRosselle), Plans verts et bleus (Lille), Grand Paris…
ATELIER ALFRED PETER PAYSAGISTE15 AVENUE DE LA PAIX - 67 000 STRASBOURG - 03 88 32 57 56
Rétablissement du caractère maritime de la baie du Mont-Saint-Michel
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Le jardin de l’Arsenal
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Jardin de l’ArsenalLe projet de l’ÉcoQuartier Arsenal est situé sur une an-cienne base militaire de 20 ha au sud de Dijon. Le futurquartier est limité par la rue Jean Jaurès à l'ouest nouvel-lement structurée par le tramway, par le canal au nord, pardes jardins familiaux à l'est et des habitations existantesau sud. Les urbanistes de l'opération (Agence AUC etBASE) ont imaginé ce futur quartier en 4 ambiances appe-lées "environnement": Avenue, Canal, Centre et Paysage.Les agences d'Olivier Lesage, Mayot & Toussaint paysa-gistes, Merlin VRD et Eclar ont travaillé conjointement pour met-tre en œuvre les espaces publics de l'ensemble du quartier.
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Jardin des poudrières
Ce jardin se veut être le parc fédérateur du quartier. Ilcomprend plusieurs sous-ambiances et espaces :- Deux anciennes poudrières, sous la forme de deux mon-ticules, sont le support d’activités ludiques. Une poudrièreavec des jeux d’enfants comportant différentes tranchesd’âges et une poudrière adultes, lieu de détente et de repos. - Le tapis vert relie au centre du parc les 2 poudrières. Sontraitement est engazonné afin de servir d’espace de jeuxet d’évolution tout en travaillant sur un mélange riche fa-vorisant la biodiversité. - Les jardins en bandes proposent une échelle plus intimede déambulation. Ils sont plantés d’arbustes et de plantesvivaces à fleurs.- La périphérie du parc est plantée de grands arbres, cer-tains existaient déjà. Ces arbres accompagnent un che-minement et une promenade haute.- Des jardins en creux, délimités par des bordures en Corten(acier patiné), servent de bassin tampon en cas de forte pluie.
Surface : 18500 m2
Montant des travaux : 700000 € TTC
Jardin de l’Arsenal créd
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Olivier Lesage, paysagiste concepteurPaysagiste dplg de l’ENSP Versailles en 1998, il complètesa formation par le DEA « Jardins, Paysages et Territoires » à EHESS et à l’école d’architecture Paris-LaVillette. Installé depuis 2002, son travail associe sa passion pourles végétaux et leurs dynamiques naturelles, à une réflexion sur le paysage, l’espace public et l’urbanisme entant que paysagiste concepteur.
« Travailler avec les dynamiques naturelles -plutôt que deles affronter- est une évolution récente du regard queporte notre société sur son environnement. Là où l’on alongtemps repoussé une nature « sauvage », on apprendaujourd’hui à préserver la biodiversité… Le dualisme Homme-Nature s’efface et cède sa place à denouvelles relations, plus complexes, écosystémiques. Àpartir de là, il y a beaucoup à apprendre et à expérimen-ter ! Et le jardin est, plus que jamais, le lieu d’une repré-sentation de notre rapport à la Nature. Mes projetstraduisent probablement l’histoire de cette réconciliation avec la Nature. »
C’est dans cet esprit qu’Olivier Lesage réalise, en 2008,le Parc des Tourelles de Daix. Ces dernières années, il aparticipé à la réalisation de plusieurs écoquartiers commecelui de l’Arsenal à Dijon.
OLIVIER LESAGE, PAYSAGISTE DPLG33 RUE SAMBIN 21 000 DIJON
09 50 905 305 - 06 76 82 04 50 [email protected] - WWW.OLIVIERLESAGE.FR
Parc des Tourelles - Daix
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Mayot & Toussaint Créée en 2001, l’agence Mayot & Toussaint regroupedeux paysagistes DPLG diplômés de l’Ecole de Versailleset une ingénieure paysagiste. L’agence travaille sur de nombreuses échelles, du grandterritoire jusqu'aux détails de projets, aussi bien en étudeet programmation qu’en réalisation.
L’agence est associée au réseau Oppidumsis, composéde 11 bureaux d'études et agences qui ont décidé de met-tre leurs moyens intellectuels et matériels en communpour répondre aux attentes des maîtres d'ouvrage dansles domaines de l'aménagement et du développement desterritoires.
Vincent Mayot est également paysagiste-conseil de l’Étatsur le Territoire de Belfort depuis 2012.
La philosophie de travail s’appuie sur :- une compréhension sensible et poétique de l’espace, - une simplicité, un minimalisme dans l’esthétique du projet,- un ancrage du projet en tirant parti au maximum del’identité du lieu,- un respect de l’environnement,- la place de l’homme et de l’usage au cœur du projet.
MAYOT & TOUSSAINT PAYSAGISTES DPLGPAYSAGISTE CONSEIL DE L'ÉTAT.
17 RUE DES PETITS PRÈS 21 121 DAIX03 80 45 42 84 - 06 13 67 24 77
Parc de la Creuzotte - Beaune
