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BABILLARD … 2 MOT DU MAIRE … 3 FERMIÈRES … 4/5 FADOQ … 6 COMITÉ D’ENTRAIDE PRÉVENTION SUICIDE … 6 CONTE DE NOEL ...7/8 FABRIQUE … 13 CADEAU / SSJB ...14 COPPERNIC ...15 MONOLOGUE ...16 SÛRETÉ DU QUÉBEC ...17 PROCÈS-VERBAL ...18 INFOS/AGENDA ...19 Dans ce numéro : Saint-Albert, Vol. 5 Décembre 2012 Journal Communautaire sans but lucratif Programme Nouveaux Horizons pour les aînés. http://labougeotte.sytes.net/ JOYEUX NOËL À TOUS LES CITOYENS DE ST-ALBERT !!! Siège social Centre de Services St-Albert 300, des Bois-Francs Sud, Victoriaville 1245, rue Principale, St-Albert Téléphone: 819-758-9421 Téléphone: 819-353-3400 Sans frais: 1-866-758-9421 Sans frais: 1-866-575-3400 Pour connaître les adresses de nos centres de services dans la grande région des Bois-Francs, veuillez consulter notre site Internet. www.desjardins.com/caissedesboisfrancs

Journal j'ai la Bougeotte décembre 2012

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Journal de St-Albert

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BABILLARD … 2 MOT DU MAIRE … 3

FERMIÈRES … 4/5 FADOQ … 6

COMITÉ D’ENTRAIDE PRÉVENTION SUICIDE … 6

CONTE DE NOEL ...7/8 FABRIQUE … 13

CADEAU / SSJB ...14 COPPERNIC ...15

MONOLOGUE ...16 SÛRETÉ DU QUÉBEC ...17

PROCÈS-VERBAL ...18 INFOS/AGENDA ...19

Dans ce numéro :

Saint-Albert, Vol. 5 Décembre 2012 Journal Communautaire sans but lucratif

Programme Nouveaux Horizons pour les aînés.

http://labougeotte.sytes.net/

JOYEUX NOËL À TOUS LES CITOYENS DE ST-ALBERT !!!

Siège social Centre de Services St-Albert 300, des Bois-Francs Sud, Victoriaville 1245, rue Principale, St-Albert Téléphone: 819-758-9421 Téléphone: 819-353-3400 Sans frais: 1-866-758-9421 Sans frais: 1-866-575-3400

Pour connaître les adresses de nos centres de services dans la grande région des Bois-Francs, veuillez consulter notre site Internet.

www.desjardins.com/caissedesboisfrancs

Journal Communautaire J’Aî la Bougeotte 25, rue des Loisirs, St-Albert, Qué. J0A 1E0 Courriel : [email protected] http://labougeotte.sytes.net/

Tirage : 670 exemplaires, 10 parutions / an Distribution : St-Albert (gratuit) Abonnement: 20$/an

B A B I L L A R D Page où l’on achète, on annonce, on vend, on collectionne, etc.

PROCHAIN NUMERO : fin décembre Vos articles avant le 10 décembre S.V.P.

Publicité Carte d’affaires 10,00$ / parution ¼ page 30,00$ / parution ½ page 60,00$ / parution 1 page 125,00$/ parution Veuillez joindre la publicité que vous désirez, le nombre de paru-tions et votre chèque au nom de Journal Communautaire à l’adres-se ci-haut mentionnée. Contactez : Huguette Routhier (358-2088) Sylvie G.Boisvert: (353-2992)

POLITIQUE D’INFORMATION Le journal « J’AÎ la Bougeotte » appartient à la population de St-Albert et chacun peut s’y exprimer librement par des opinions, chroniques, comptes rendus, nouvelles, etc. La rédaction se réserve le droit de corriger le français, pour une meilleu-re lecture ou compréhension, et de refuser ou de faire modifier tout article qui ne respecte pas les objectifs du journal. L’Équipe du journal : C.A. de la Fadoq de St-Albert et Ste-Séraphine Huguette Routhier, chargée de projet Sylvie G. Boisvert, secrétariat. Sous-comités de bénévoles Le genre masculin est utilisé afin de faciliter la lecture.

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À VENDRE Table de salon ronde de 43 pouces de circonférence. Modèle unique. Fabriquée en noyer noir et dessus en pierre de granit beige-brun. Infos: Marcel Brassard, ébéniste: 819-353-2023 Prix à discuter lors de votre appel. Rideau plein-jour à passe-tringle 3 pouces, en voilage de polyester pour fenêtre 72 po X 72 po. Fabriqué par une couturière, finition à la main, plissage 3 fois la largeur. Comme neuf. Prix: 40,00$ Infos: 819-353-2023

L’hiver est à nos portes, donc SVP respecter ces quelques consignes de sécurité: Lorsque vous déneigez votre entrée de cour, veuillez mettre la neige sur votre ter-rain et non dans la rue. Si vous installez des balises pour déterminer votre entrée de cour, veuillez les planter sur votre terrain et non dans l’emprise de la rue. Vous éviterez

ainsi que la déneigeuse les arrache. Merci de votre collaboration.

À VENDRE Vous êtes de nouveaux résidents et vous voulez connaître l’histoire de votre municipalité, j’ai des albums souvenirs du centenaire de Saint-Albert (1877-1977) à vendre. Ces albums sont neufs. PRIX: 2,00$ chacun Infos: Thérèse Lessard Leblond (819-353-2082)

FABRIQUE SAINTE MARGUERITE BOURGEOYS

Veuillez noter qu’il y aura célé-bration pénitentielle à l’église de St-Albert, le 19 décembre 2012, à 19h30. La Messe de Noël

aura lieu le 24 décembre 2012 à 20h00 à l’église de Saint-Albert. Elle sera précé-dée d’un concert par la chora-le à 19h40.

HORAIRE DU BUREAU MUNICIPAL pour les Fêtes Le bureau municipal fermera ses portes du 24 décembre 2012 au 2 janvier 2013 inclusivement.

NOTEZ BIEN Vous avez jusqu’au 10 décembre 2012 pour nous faire parvenir vos articles ou vos publicités pour le journal de janvier (l’imprimerie étant fermée 2 semaines). Nous profitons de l’occasion pour vous souhaiter un très Joyeux Noël avec de la neige pour les petits et les grands.

BRUNCH DES PLACOTEUX Réservez votre date du 10 février 2013. Ce sera le brunch des placoteux organisé par le conseil d’administration de la Fadoq de St-Albert avec la collaboration du journal J’Aî la Bougeotte pour la partie récréative.

APPEL À TOUS Si vous avez des stores pour une porte patio ou encore des rideaux à donner, veuillez communiquer avec Pauli-ne (819-353-2274) qui s’occupera de les acheminer à la personne qui en a besoin. MERCI de votre générosité.

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MOT DU MAIRE

B onjour à tous,

En cette belle période de réjouissance qui s’en vient à grands pas, per-mettez-moi de vous sou-haiter, en mon nom per-sonnel ainsi qu’au nom des élus et employés mu-nicipaux, une belle pério-de du temps des fêtes et une belle fin d’année 2012. Encore cette année, le villa-ge resplendira de belles décorations. En effet, nous tentons chaque année de créer la magie de ce temps des Fêtes par des ornements étincelants et lumineux. De plus, la contribution de M. Steve Angers, artiste-propriétaire de l’entreprise Steve 3D, nous aide à réaliser ce mandat en nous offrant gracieusement une de ses magnifi-ques œuvres en 3 dimensions à l’entrée du village. Merci Steve! Alors, pour les ci-toyens qui désirent participer au rayonne-ment, je vous invite à en faire de même chez vous : décorez vos maisons pour faire resplendir les trésors de notre coin de pays aux nombreux automobilistes et routiers qui traversent St-Albert tous les jours. Éclairez le cœur des passants, soyez fiers et vivants! Au moment de la lecture de ce mot du maire, nous serons sur le point de déposer le budget pour l’année 2013. Vous serez, j’en suis convaincu, très heureux. Dans le rapport annuel du maire que vous recevrez sous peu par la poste, vous aurez le compte-rendu des projets réalisés en 2012 et ceux prévus pour l’année 2013. D’ail-leurs, l’une des grandes réalisations de l’année en cours est la plate-forme multi-fonctionnelle. D’ailleurs, j’invite tous les citoyens et leur famille à venir profiter de cette patinoire sur surface de béton durant les congés des Fêtes. Venez savourer l’un des plus beaux plaisirs de l’hiver! Dans le mot du maire du mois dernier, je vous avais fait part que je vous reviendrais

sur les ententes de loisirs avec les villes de Victoriavil-le et Warwick. Après analyse des propositions de ces deux villes, la mu-

nicipalité a décidé de renouveler l’entente globale (sans frais de non-résidents indivi-duels) avec Victoriaville pour au moins les 3 prochaines années, voire peut-être mê-me les 5 prochaines années, le tout se

décidera avec Victoriaville ce mois-ci. En ce qui concerne l’entente avec la Ville de Warwick, il a été décidé que seul le hockey sera défrayé par la municipalité. En effet, la Fédération du hockey mineur oblige les hockeyeurs albertois à jouer à Warwick. Par conséquent, bonne nouvelle: les frais de non-résidents pour le hockey seront totalement payés par la Municipalité de Saint-Albert. Je tiens à mentionner qu’il s’agit d’une première, et ce malgré une très grosse augmentation des frais de non-résidents pour 2013 (passer de 250$ à 316$). Déjà depuis 2011, la Municipalité avait grandement augmenté les montants dé-frayés, passant de 30$ à 100$, mais en 2013 ce sera 100% de la facture qui sera payée par la municipalité. Évidemment, certains citoyens diront qu’ils auraient pré-féré pourvoir continuer de faire telle activi-té à Warwick au lieu de Victoriaville, soit par accoutumance, soit par rapport à la distance ou encore par choix personnel; je respecte cette opinion. Par contre en tant qu'administrateurs de votre municipalité, les élus ont dû faire des choix puisque le paiement des 2 ententes globales avec Warwick et Victoriaville auraient été trop onéreux à assumer. Le choix s’est donc pris en tentant de brimer le moins de gens possibles et ainsi respecter votre capacité de payer. Cependant, rien n’empêche les citoyens albertois de poursuivre leurs acti-vités sportives et/ou culturelles à Warwick, si telle est votre volonté, mais dans ce cas, vous devrez défrayer à 100 % les frais de non-résidents.

Malgré la décision de ne pas signer une entente globale avec la Ville de Warwick, la Municipalité de St-Albert tient à remercier la Ville de Warwick pour avoir pu utiliser leurs installations sportives et culturelles pendant toutes ces années, et ce à un coût abordable. Pour ce qui est du nouveau partenariat avec la Ville de Victoriaville, la beauté de celui-ci est que chaque fois que le maire Rayes annonce la construction d’un nou-veau terrain de soccer intérieur, un gymna-se ou encore une piscine, vous aurez accès à tout cela sans aucuns frais additionnels, au même titre que n’importe quel citoyen de Victoriaville. Il s’agit là d’une combinai-son optimale entre le meilleur du milieu rural, mais avec tous les services urbains de notre grande ville sœur.

Le 8 décembre prochain aura lieu le souper annuel de Noël du Club d’Âge d’Or de St-Albert. Une belle soirée attend les mem-bres de la FADOQ. Lors de cette fête, les anniversaires de mariage seront soulignés, le tout accompagné d’un délicieux repas traditionnel. Autre activité des organismes locaux, le 20 octobre dernier a eu lieu le 75e anniversaire du Cercle des Fermières. Bravo Mesdames, la fête a été couronnée de succès. Décembre marque la fin de notre dernière année en tant qu'élus municipaux. Eh! Oui, en octobre 2013, ce sera la fin de notre mandat de 4 ans. En novembre 2013, le conseil municipal devra être re-nouvelé, donc des élections sont à prévoir. Permettez-moi de remercier tous les élus municipaux pour leur excellent travail ainsi que les employés pour leur grand dévoue-ment. C’est un réel plaisir pour moi de tous vous représenter, vous êtes des gens agréables à côtoyer. Un merci s’impose également à vous tous, citoyens, entrepri-ses et organismes locaux, grâce à votre vitalité St-Albert est une municipalité où il fait bon y vivre! Joyeuses fêtes! Respectueusement,

Alain St-Pierre, maire

Conteneur de récupération Au bureau municipal: Nous désirons vous rappeler que du-rant les heures d’ouverture du bu-reau, tous les citoyens peuvent venir y déposer les articles suivants et ce sans frais et tout au long de l’année: Peinture et contenants de peinture; Huile à moteur, filtres à l’huile, huile à friture; Aérosols; Piles (2a, 3A, piles d’outils, etc..) Téléphones cellulaires et batteries; Cartouches d’encres; Matériel électronique (ordinateurs, télé-vision, CD, disquette, clé USB, impri-mantes, écrans, souris, clavier, GPS, scanner, etc…) Petits appareils électriques (cafetière, ouvre-boîte, grille-pain, etc…)

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FERMIÈRES 75IÈME ANNIVERSAIRE

E n ce 25 novembre 1937 a lieu une réunion pour fonder le Cercle de

Fermières de St-Albert. Mlle Alma Champagne, conférencière offi-cielle du Ministère de l’Agriculture, informe du rôle important que doit jouer la femme et la jeune fille au point de vue moral, so-cial et agricole dans leur milieu respectif. À cette première réunion 55 dames et jeu-nes filles sont présentes et a lieu l’élection du bureau de direction pour un terme d’un an. Madame Hector Bussières, première prési-dente. Madame Laurette Comeau, secré-taire trésorière. La première assemblée a lieu le 14 décem-bre 1937. Monsieur Léo Faucher reçoit des félicitations pour son dévouement apporté pour le recrutement des membres de cette organisation. La cotisation annuelle est de 1,00$. Les recettes sont de 44,00$ et les dépenses sont de 2,65$. À la deuxième assemblée en février 1938, 5 nouvelles membres sont recrutées. Les assemblées débutent toujours par la prière et de nombreux renseignements sur des sujets variés sont donnés aux mem-bres. La réunion se termine par une lectu-re qui fait réfléchir. La direction répond de son mieux aux questions. À la cinquième assemblée, sont invités des agronomes pour expliquer les avantages qu’aurait le cercle en participant à l’exposi-tion inter-cercles. Pour assurer un meilleur résultat à ce projet de concours avec les autres cercles, il serait bon d’organiser une exposition locale. C’est le début des expo-sitions dans notre Cercle. Les premières assemblées mensuelles ont lieu le samedi à 1h00 de l’après-midi et se terminent par une partie récréative : bin-go, cartes, musique et chansons. Les élec-tions pour le conseil de direction se tien-nent en janvier. À la quinzième assem-blée, est voté un tirage au sort, un mon-tant de 0,25$ comme prix de présence à chaque assemblée. En 1942, il est conve-nu que les assemblées auraient lieu doré-navant le mardi. Souvent , les agronomes venaient rendre

visite au Cercle pour donner des conseils sur différentes cultures et donnaient des conférences «Comment garder la jeunesse sur la ferme». L’hiver, les présences aux assemblées sont moins nombreuses à cau-se de la température. En 1944, on vote un montant de 1,00$ pour récompenser les membres qui ne manqueront pas d’assemblées durant l’an-née écoulée et un montant de 0,75$ pour celles qui ne manqueront que 2 assem-blées, un montant de 5,00$ par année est aussi voté pour la secrétaire pour la récom-penser de son travail. Mais, par la suite, on est revenu à 1,00$ pour la secrétaire et la somme de 0,50$ est donnée en prix de présence. Les réunions ne devaient pas durer plus d’une heure car une partie récréative sui-vant l’assemblée et où souvent les hommes étaient invités à venir pour mettre de l’en-train. À chaque réunion, on distribue aux mem-bres la revue «Terre et foyers» , revue officielle des Cercles de Fermières. La bi-bliothécaire en fait une lecture de 10 minu-tes. À chaque mois, il y a un concours de couture et d’art culinaire. C’est Mademoiselle Cantin qui s’est beau-coup donnée pour reprendre les assem-blées. Les membres ne sont pas nombreu-ses et parfois les réunions ne sont pas ap-prouvées parce qu’il n’y a que quelques membres fermières présentes. En août 1954, se tient la première exposi-tion locale du Cercle de St-Albert. Les an-nées suivantes, les expositions ont toujours

lieu en août. Dans les années ’50, le Cer-cle est très généreux pour le curé de la paroisse. À chacune de ses visites, le Cer-cle lui donnait un montant de 5,00$ et parfois même de 10,00$, soit pour les œu-vres et même pour souligner son anniver-saire. En 1962, en remerciement, une plaque au nom du Cercle de Fermières est placée dans l’église. C’est en 1963 que le premier métier de 45 pouces est acheté. Pour avoir le droit de tisser, il fallait être membre depuis 2 ans. Lors des expositions, le montant d’argent gagné en prix par les membres, le Cercle gardait la somme de la cotisation pour l’année suivante. En 1966, une assurance-vie est offerte aux membres Fermières. En avril 1970, les dernières revues Terre et Foyer sont données. Selon la disponibilité des lieux, les assem-blées se tenaient à la salle de l’école, à la sacristie de l’église ou à la salle des loisirs. Depuis 1972, les assemblées se tiennent le deuxième mercredi du mois. Le cercle de Fermières a aidé financière-ment les débuts de la mise en marche du Bulletin Paroissial. En 1974, le règlement pour les métiers est changé : les dames peuvent utiliser les métiers en étant membre du Cercle. Elles doivent payer les frais de réparation si elles les brisent. En février 1974, notre doyenne Madame Irène Tessier (St-Pierre), âgée aujourd’hui de plus de 90 ans est entrée membre du Cercle. Elle est présidente de juin 1976 à juin 1983. En 1976, le Cercle n’a pas de local pour les métiers, ils sont entreposés chez une membre, Madame Carmen Les-sard. Pour pouvoir tisser, les membres doivent passer par la présidente et un temps limité est donné à la fermière pour se servir des métiers chez elle. Le trans-port de ces métiers est aux frais de la membre. Dans les années ’80, le Cercle s’implique beaucoup dans la paroisse, souvent à la demande du curé : il vient en aide finan-cièrement à une famille vietnamienne, les membres tissent des tentures pour décorer l’église sur demande du curé et font le

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service à la messe le quatrième samedi du mois. La présence des religieuses dans le Cercle est appréciée car elles sont très actives et dévouées. En 1981, la Fédération demande un mon-tant de 0,50$ par membre pour le congrès mondial des Cercles de Fermières tenu à Vancouver. En 1982, le Cercle fait la de-mande d’une subvention pour avoir un local pour travailler en équipe et partager des idées. En janvier 1983, le Cercle inau-gure un local dans le centre communautai-re, prêté gratuitement par la paroisse. Dans son discours, monsieur le Maire men-tionne que la municipalité est une des pre-mières à fournir un local au cercle de Fer-mières. Le 22 novembre 1987 est une date impor-tante pour notre cercle, c’est notre cin-quantième (50ième) anniversaire de fonda-tion. Pour souligner cet événement, une fête est organisée avec beaucoup d’invités.

La présidente, Madame Maria Bussière, et la secrétaire, Madame Albertine Paré, font un historique du cercle depuis sa fonda-tion. Madame Paré est une personne mar-quante dans le cercle, elle est secrétaire pendant 12 ans et très active, apportant son expérience, ses conseils, sont savoir faire en tissage et son temps. Dans les années 1987 et 1988, notre cercle se classe très bien à l’Exposition Régionale. En 1987, il est deuxième sur 43 cercles et en 1988, il est troisième. Ce succès est dû à Madame Jeanne D’Arc Bergeron qui est l’artisane par excellence. En 1996, la présidente en fonction deman-de que les réunions se tiennent en après-midi. En 1997, notre cercle reçoit les membres de la Fédération pour une jour-née de printemps. La participation des membres a été importante pour la réussite de cette réunion. Dans les années suivan-tes, le Cercle reçoit à l’occasion la Fédéra-

tion pour des journées de formations. En 2003, notre cercle est le premier de la Fédération pour le recrutement de nou-veaux membres. Et en 2007, le Conseil Régional mentionne que notre cercle est très vivant et obtient une note de 99%. Nous avons un cercle vivant : aux ré-unions, au local de tissage et aux ateliers de formations. La devise de notre cercle :

AMITIÉ ET PARTAGE. Toutes ces données sont de nos archives de 1937 à aujourd’hui. Toutes lues et compilées par Nicole Desharnais.

FERMIÈRES

Les bienfaits de la BETTERAVE ROUGE Formidable dépuratif sanguin et tonique veineux, la racine de la betterave potagère, appelée betterave rouge, est un remède utilisé depuis la nuit des temps contre de nombreuses affections. Les fonctions dépuratives de la betterave en font un excellent remède pour la digestion. Également riche en fer assimilable, elle est très utile en cas d’anémie, de problè-mes cardiaques, de constipation et d’intoxication du foie ou encore en cas de nervosité et d’anxiété. Grâce à son extraordinaire capaci-té à augmenter l’absorption d’oxy-gène par les cellules en raison de substances anticancéreuses qu’elle contient, on pense que la bettera-ve contribue également à favoriser la lutte contre le cancer.

Mignons de bœuf sauce au poivre Pour 4 personnes Temps de préparation: 15 minutes Temps de cuisson: 15 minutes 450 g (1 lb) de filet de bœuf tallé en 4 tranches épaisses 15 ml (1 c. soupe) de poivre concassé 30 ml (2 c. soupe) de beurre, 30 ml (2 c. soupe) de brandy 125 ml (½ tasse) de crème 35% 15 ml (2. soupe) de Madère. Persil ciselé. Préchauffer le four 150 C (300 F). Poivrer les filets sur chaque face. Dans une grande poêle chauffer le beurre à feu vif et saisir les filets 2 minutes de chaque côté Verser le brandy et flamber. Retirer les filets, les déposer dans un plat et poursuivre la cuisson au four 10 minutes. Dans la même poêle, verser le Madère plus la crème. Réduire le feu et remuer sans arrêt jusqu’à ce que la sauce épaississe. Au service, napper de sauce et garnir de persil. Fédération 21 du livre: «Qu’est-ce qu’on mange express». Pour garder une viande au chaud sans que la cuisson se poursui-ve, régler la chaleur du four à 70 C (160 F)

B onjour à Tous, Huguette Routhier vous a fait un très

beau résumé de notre 75ième anniversaire du Cercle dans le journal de novembre. Elle a raison en disant que ce fut un succès. C’est avec grand plaisir que je profite de l’occasion pour remercier toutes les personnes qui m’ont secondée dans cette aventure , sans oublier nos précieux com-manditaires qui ont fait en sorte que cette fête soit une réussite. Danielle Lebrun, présidente.

ATELIERS DE DÉCEMBRE Les 10 et 17 décembre: Couverture Quillo (couverture coussin) Bien sûr ces ateliers s’adressent aux membres, mais si vous avez le goût d’apprendre, c’est avec plaisir que nous vous accueillerons. Nous ramassons toujours les cartouches d’encre recyclables pour la Fondation Mira. Vous pouvez venir les déposer dans la boîte prévue à cet effet dans le hall d’entrée des bureaux de la Municipalité. Merci de votre participation. Colette Gagnon, Comité Communication

POTAGE FROID À LA BETTERAVE 900 g/30 oz/ 5½ tasses de bettera-ves rouges cuites. 2 c. soupe de vinaigre de vin 1 c. thé de cassonade 4 c. soupe de crème fraîche 75 g/2½ oz/½ t. de concombre en dés 1 c. soupe d’aneth ciselé. Coupez la betterave en dés et mixez-la. Ajoutez le vinaigre et le sucre. Travaillez le mélange jus-qu’à ce que vous obteniez une pu-rée épaisse. Réservez-la au réfrigé-rateur 12 heures. Servez en ajou-tant une cuillère à soupe de crème fraîche, du concombre et de l’a-neth.

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SOUPER DES FÊTES Vous êtes cordialement invités au souper des fêtes

de la Fadoq de St-Albert le 8 DÉCEMBRE 2012

au Pavillon Maurice Baril L’accueil se fera à 17h00, suivi d’un cocktail à 17h30. Le souper sera servi à 18h00. Après le souper, une soirée de danse sera animée par le très sympathique et entraînant René Paradis.

Des consommations seront disponibles sur place. COÛT: 15,00$/membre et 17,00$/non membre.

Comme par les années passées, il serait appré-cié que vous apportiez des denrées non périssa-bles pour garnir le panier de Noël. Merci de votre générosité et venez fêter avec nous en grand nombre.

VŒUX DES FÊTES Lorsqu’arrive le temps des Fêtes, nos pensées se tournent avec grati-tude vers ceux et celles qui nous ont permis de toujours aller de l’avant. C’est avec cet état d’esprit que nous vous disons un TRÈS JOYEUX NOËL ET UNE BONNE ET HEUREUSE ANNÉE. C.A. Fadoq St-Albert.

COMITÉ D’ENTRAIDE SAINT-ALBERT

C omme chaque année, en cette période de réjouissan-ces, le Comité d’Entraide de Saint-Albert distribue des

paniers de Noël aux gens de notre municipalité qui sont dans le besoin. À cette occasion, nous sollicitons la population afin d’amasser des denrées alimentaires non périssables pour la fabrication de ces paniers. Vos denrées peuvent être déposées aux endroits suivants: Épicerie Claude et Jean Lacharité Caisse Populaire des Bois-Francs (caisse de St-Albert) Panier dans la salle Maurice-Baril.

Les dons en argent sont aussi acceptées. Ils peuvent être faits à la Caisse Populaire

Des Bois-Francs de Saint-Albert.

Les formulaires pour la demande de panier sont

disponibles au bureau de la municipalité entre le

10 et le 14 décembre 2012

AGIR EN SENTINELLE POUR LA PRÉVENTION DU SUICIDE

Une sentinelle, c’est une personne ayant reçu une formation gra-tuite de 7heures pour être capable de: • Repérer les signes précurseurs d’une personne en crise suicidaire; • Vérifier la présence d’idée suicidaire; • Accueillir, écouter et référer; • Assurer le lien entre la personne souffrante et les ressources profes-

sionnelles du territoire. Des sentinelles sont formées pour: • Renforcer le tissu social de notre communauté; • Renforcer le filet de sécurité autour de la personne suicidaire; • Accompagner les personnes vers les ressources; • Détecter rapidement la détresse

directement dans son milieu. Tu peux être une sentinelle si: • Tu es une personne adulte dans le cadre de ton implication

sociale, tu es susceptible d’être en contact avec des personnes suicidai-res, en crise personnelle ou en état de souffrance de tous groupes sociaux, toutes catégories d’âge;

• Tu es une personne désirant s’engager de façon volontaire; • Tu es une personne désirant être outillée pour venir en aide aux autres. La formation est assurée par le Réseau de prévention suicide des Bois-Francs Inc. Après la formation, nous nous engageons à apporter du soutien, du ressourcement et de la formation continue auprès des sentinelles. As-tu la fibre d’une sentinelle? 819-369-9412 Www.rpsbf.qc.ca

PRÉVENTION SUICIDE

C’est quoi une sentinelle?

Pourquoi des sentinelles?

Qui peut être sentinelle?

CONTE DE NOËL LA CHASSE

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S ’il n’avait pas promis à ses parents une outarde pour Noël, il aurait chassé la perdrix ou le faisan près de chez lui.

Pendant six heures, il s’est tourmenté derrière la rangée de saules le long du bourbier, sachant depuis le moment où il a installé ses appelants que ses chances de tirer une outarde étaient pratique-ment nulles. Plus bas, sur la rivière, pour une raison inconnue, les vannes du barrage avaient été ouvertes et où l’on retrouve généralement une baie d’environ 3 acres, il n’y avait qu’un terrain boueux et sans eau. De plus, il avait parcouru plusieurs dizaines de milles pour se rendre à cet endroit pour chasser l’outarde. Il se devait donc d’essayer. Une outarde pour la période des Fêtes est une tradition pour sa famille depuis le plus loin de ses souvenirs. «Ca ne sera sûrement pas la même chose si nous n’en avons pas cette année» lui avait dit sa mère, larme à l’œil. Ton père a toujours ramené une outarde à la maison depuis que nous sommes mariés. L’homme s’enfonça plus profondément dans son parka pour se cacher du froid et essayer de chasser de ses pensées l’idée de revenir sans outar-de, mais ne pouvait y parvenir. Jusqu’à cette année, même à 75 ans, le vieil homme allait chasser l’outarde à 5 ou 6 reprises. Mais maintenant il était confiné à la maison, esclave de tubes en plastique et d’une bouteille d’oxygène. Emphysème a dit le doc-teur, ça ne peut pas s’améliorer.

La chasse à l’outarde non plus, pensa l’homme. Pas aujourd’hui. Il y avait maintenant plusieurs heures écoulées depuis que le dernier voilier d’outardes se fut envolé du réservoir pour aller se nour-rir dans les champs et près de deux heu-res depuis qu’elles ne soient revenues le jabot rempli de grains de maïs. Après

s’être nourries, les outardes ont besoin d’eau et même si quel-ques voiliers ont regardé ses appelants, ils sont tous passés sans s’arrêter. Il est temps de ramasser. L’homme secoua la boue séchée de son sac de jute et quitta sa cachette derrière les saules. La boue se colle à ses bottes à cha-que pas qu’il fait pour ramasser ses appelants qu’il envoie dans son sac de jute un à un sentant le découragement et la culpabilité d’une journée gaspillée. Normalement il compterait le temps passé aux aguets comme un succès, peu importe les résultats. Il aimait le temps passé dans la nature. Aujourd’hui, il avait le sen-timent d’avoir accepté une mission et n’avait pu l’accomplir. Peut-être pensait-il, j’aurais dû essayer un autre endroit ? Peut-être aurais-je dû aller plus loin sur la rivière où l’assèchement n’était pas aussi dramatique ? Peut-être, peut-être. Que le diable l’em-porte se dit-il. Même papa n’aurait pu abattre une outarde au-jourd’hui. Il me reste presqu’une demi-journée de chasse, j’aurai peut-être la chance pour une perdrix ou un faisan. De retour à son camion, il se dépêcha d’enlever ses cuissardes souillées de boue et son parka camouflage. Revêtant un coton ouaté et sa veste, remplace sa calotte Camo par une rouge. Les vêtements de couleur rouge l’ont toujours fait se sentir plus léger qu’avec des vêtements de camouflage, mais aujourd’hui quand il

eut terminé de se changer, il ressentait une sensation de lour-deur. Ce n’est pas la fin du monde se disait-il en s’assoyant der-rière le volant, mais dans son for intérieur il n’en était pas convaincu. Les traditions des Fêtes avaient des valeurs profondes dans sa famille. Il venait juste de démarrer et quittait l’accotement quand il en-tendit le cri des outardes au dessus de lui qui allaient se poser sur la rivière. Frôlant presque la tête des arbres, un voilier de huit (8) outardes allait se poser dans le sanctuaire derrière le barrage et à l’arrière d’elles il y en avait une qui flottait, elle perdait de l’altitude et, soudainement, étendit les pattes, renversa et tomba lourdement sur la route environ 60 verges plus loin. L’oiseau s’écrasa et déboula comme une roche sur l’accotement et dans le fossé. Un miracle ! De son camion l’homme remarqua soigneusement l’endroit où était tombé l’oiseau. Son cœur débattait. Deux fois il étouffa le moteur du camion en voulant démarrer et quand il l’é-touffa pour une troisième fois, il sauta en bas, laissa la porte ou-verte et ignorant l’avertisseur indiquant que les clés étaient tou-jours dans le contact, il couru pour ramasser son cadeau. Moins de quinze minutes plus tard, l’homme était de retour à son camion et repartait sur la route avec à bord, parmi ses appelants, une magnifique outarde adulte. Quelqu’un d’autre l’avait abattue c’était évident, mais c’était lui qui l’avait récupérée, c’est ce qui importe. Quelque part, peut-être à des milles, un autre chasseur encore accroupi dans sa cache probablement se donnait des coups de pied au derrière pour avoir manqué une telle opportuni-té. Il sourit. Une outarde pour les vieux, pensa-t-il, et encore du temps pour la perdrix ou le faisan. Il stationnerait le long de la rivière, grimperait le sentier en haut de l’escarpement où il avait vu passer les outardes et aurait un dernier regard sur l’endroit boueux où il avait passé l’avant-midi. Ce n’est pas le meilleur des endroits mais on ne sait jamais. De cet endroit, la vue est magni-fique. En arrivant, il était déçu de voir un autre véhicule stationné au pied du sentier. Probablement qu’un autre chasseur de perdrix ou de faisan était déjà en place pour trouver le meilleur endroit de chasse. Il descendit de son camion et examina les empreintes de pas dans le sol mou pour être certain qu’il y avait quelqu’un. La chance est avec lui. La saison de chasse au chevreuil est en-core ouverte et c’est sûrement un chasseur qui en poursuit un. Sortant son fusil de l’étui, il prit une poignée de balles, la mit dans les poches de son parka et commença à monter lentement le sentier. Même s’il avait déjà utilisé toute sa chance, on ne sait jamais et il voulait une dernière fois regarder la rivière. Hello ! lui dit une voix venant d’à côté, presque comme une excu-se. Effrayé, l’homme trébucha, se releva et regarda autour de lui. À environ dix pieds de lui, un garçon d’environ seize ans sorti du bois comme une boîte à surprise. Il était habillé en camoufla-ge et avait même la figure camouflée et un sourire penaud. Salut lui répondit-il. J’ai vu tes pistes en bas. As-tu vu des che-vreuils ? Je chasse l’outarde lui répondit le jeune en lui faisant voir son fusil. Du moins, je chassais. Son sourire s’estompa. Je pensais pouvoir avoir quelques chances de tirer , mais je les ai manquées.

AH ! ! Le jeune s’assied sur une roche balançant son fusil à cou-lisse et donnant des coups de pied dans le sable. Il y a un voilier d’outardes qui est passé juste au dessus de moi en direction de cette colline montra-t-il d’un signe de tête. Elles sont passées par là tous les jours depuis que je les ai aperçues il y a une semaine. Il frappait de plus en plus fort sur le sol avec ses pieds. Mais j’ai manqué ma chance répétait-il encore. Ma première chance que j’avais de descendre une outarde et je l’ai manquée. J’en ai se-coué une et j’aurais juré qu’elle était tombée, mais je n’ai pas pu la retrouver. L’homme se retourna pour un moment et regarda en bas du sen-tier vers son camion. Ainsi il avait retrouvé le chasseur anonyme. Il voyait déjà le regard de sa mère quand il déposerait l’outarde sur le comptoir de la cuisine. Il pensait à l’histoire qu’il avait pré-parée pour son père, une outarde seule à environ cinquante ver-ges, le coup de feu et la récupération de l’oiseau. Celui qui trou-ve, garde. Et celui qui perd, pleure. N’était-ce pas ainsi que cela se passait ? C’est une honte se dit-il en tournant le dos au jeune. Tu en as eu une ? Je l’ai touchée c’est sûr répondit-il. J’ai même vu tomber des plumes. Je sais qu’elle est tombée autour d’ici et je vais conti-nuer à chercher jusqu’à ce que je la trouve. Je suis plus que cer-tain qu’elle n’a pas passé la colline. Il se releva. Je vais la re-trouver ajouta-t-il sérieusement. Grand-papa m’a prêté son fusil et m’a dit que j’étais mieux de revenir à la maison avec une ou-tarde pour le dîner de Noël. Je ne pense pas qu’il était sérieux quand il t’a dit cela lui répondit l’homme. N’importe qui qui a déjà chassé sait qu’on ne peut pas garantir une chasse comme cela. Il voulait continuer et dire quel-que chose qui aurait pu encourager le jeune et le faire se sentir mieux, mais il garda le silence. Maudit, se dit-il, je la veux autant que lui cette outarde. Ah ! Grand-père ne sera pas fâché dit le jeune, mais il n’est pas allé à la chasse cette année car il est malade et il m’a dit que c’était à moi de rapporter l’outarde pour le dîner de Noël. Grand-maman prépare toujours une outarde pour Noël et en plus c’était ma première. Bonne chance lui dit l’homme réalisant par la suite l’hypocrisie de ses mots. Je marcherai autour au cas où je trouverais une per-drix ou un faisan. Il savait qu’il devait s’en aller avant d’être dé-chiré par la conscience.

Bonne chance à vous lui dit avec sincérité le jeune. Il se retourna et recommença à chercher soigneusement comme le ferait un bon chien rapporteur, cherchant derrière chaque bosquet, chaque touffe de brindilles jusqu’à ce qu’il soit hors de vue. Quelques heurs plus tard, l’homme retourna à son camion. Il n’avait rien tiré et avait même manqué deux perdrix. Je ne suis pas assez concentré s’est-il dit. Tu ne peux faire mouche si tu ne te concentres pas. Machinalement, il rangea son fusil dans son étui et le remis derrière le siège de la camionnette. L’automobile du jeune était toujours au même endroit – jeune fou se dit-il, encore là-haut cherchant son outarde. Se retournant vers l’outar-de, celui qui trouve est celui qui garde, se dit-il. Ne voulant plus regarder, il ne pouvait enlever ses yeux de sur l’oiseau et une voix lui disait : celui qui perd est celui qui pleure. L’homme hésita, essaya de s’en aller et alors se retourna et alla à l’arrière de sa camionnette, il prit l’outarde comme un bébé, pre-nant le long cou d’une main et passant l’autre main sous le corps. Tu es une beauté se dit-il, tu dois peser au moins douze livres. Personne ne peut se permettre de perdre un tel oiseau. Vérifiant la portière du véhicule du jeune, il la trouva déverrouillée. Il l’ou-vre et doucement il dépose l’outarde sur le siège du conducteur lui ouvrant les ailes. Peut-être devrais-je écrire un mot ? Pas nécessaire, il pensera sûrement que j’ai retrouvé l’outarde en chassant la perdrix. Refermant la portière, il se dit : j’ai au moins fait une bonne action aujourd’hui. Yves Bergeron, bénévole Canards Illimités Comité St-Albert.

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CONTE DE NOËL LA CHASSE (SUITE)

Biscuits à la mode d’antan Donne 3½ douzaines approx

1 tasse de beurre ½ tasse de cassonade bien pressée 2½ tasses farine tout usage Défaire le beurre en crème, ajouter le sucre graduellement Incorporer la farine graduellement Pétrir la pâte légèrement sur une surface enfarinée Abaisser à ¼ pouces d’épaisseur Couper à l’emporte-pièce de différentes formes, tel que des arbres de noel, des étoiles, des pères noel, des bonhom-mes de neige…Parsemer de cristaux de sucre Cuire à 300 F sur une tôle recouverte de papier ciré pendant 20-25 minutes.

C a h i e r d e s e r v i c e s

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C a h i e r d e s e r v i c e s

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Encan tous les dimanches à 13h00 au Pavillon Maurice Baril à St-Albert. SPÉCIAL: Encan de Noël le 2 décembre 2012 (jouets, décorations, suggestions cadeaux) Pour plus d’information: Raymond Ringuette 752-4952.

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FABRIQUE SAINTE-MARGUERITE-BOURGEOYS

CONCERT DE NOËL AU PROFIT DE LA FABRIQUE

Le 16 décembre 2012 14h00

Église Saint-Albert Mettant en vedette le Stage Band Sénior du Collège Clarétain et comprenant 15 musiciens sous la direction de Monsieur Jean-Pierre Lemire COÛT: 10,00$ par personne Infos: Laurier Pépin (819-353-1737) 12 ans et moins / gratuit

MERCI! MERCI! MERCI! Aux paroissiens de Kingsey Falls, St-Albert, Ste-Clotilde, Ste-Élizabeth et Ste-Séraphine pour leur participation à la réussite de la fête de la fraternité qui s’est déroulée le dimanche 19 août à Ste-Élizabeth. La réussite d’un tel événement ne peut se réaliser sans de généreux commanditaires : Comité de la fête du 125ième de Ste-Élizabeth, Cascades, Caisse populaire des Bois-Francs, S.S.J.B., Fromagerie du Presbytère, Agropur, Boucherie Côté, Épicerie Bolduc et Désilets, Épicerie Lacharité, Comité des loisirs Ste-Élizabeth, Députés Yvon Vallières et André Bella-vance, les Serres Perreault, Réjean Gilbert. Merci à tous ceux et celles qui ont animé la journée par leurs chansons, leurs histoires, leurs anecdotes, leur musique. Mer-ci à ceux et celles qui ont gracieusement offert les desserts . Merci à M. Serge Lampron pour l’excellent brunch. Cette activité a permis d’amasser plus de 6 000$ Les gagnants des tirages sont : Onil Bernier : 400$ Verena Walser : 125$ Jean Teasdale : 125$ Mario Beaurivage : 125$ MERCI! MERCI! MERCI! Aux fermières de Ste-Clotilde, au Comité du livre, à Mme Mo-nique Bournival et Mme Marceline Béliveau pour les dons amassés qui ont permis de faire changer les portes et le tapis de l’église de Ste-Clotilde. À M. Laurent Lemaire pour la peinture des fenêtres et des portes de l’église St-Aimé de Kingsey Falls. Votre générosité a permis d’effectuer des travaux majeurs qui nous permettront de conserver nos églises en bonne condition sans amputer le budget de la fabrique.

BONHOMMES DE NEIGE Choux à la crème ½ tasse graisse 1 tasse d’eau 1 tasse farine tout usage pré-tamisée ½ c. thé sel 1 c. thé sucre 4 œufs Garniture 500 ml crème à fouetter Sucre à glacer 4 cerises maraschino bien égouttées Gelée à décoration verte ou rouge Sauce aux fraises ou framboises congelée. Amener au point d’ébullition l’eau et le beurre. Ajouter la farine, le sel et le sucre tout à la fois. Cuire en brassant vigoureusement jusqu’à ce que le mélange se détache des bords de la casserole et forme une boule (ne pas trop cuire ou la graisse suintera du mélange). Retirer immédiatement du feu. Incorporer les œufs un à la fois et battre jusqu’à ce que le mélan-ge soit lustré après chaque addition. Déposer sur une tôle graissée 2 c. à table de mélange pour cha-que gros chou. En former 8. Répéter sur une autre tôle graissée mais en déposant 1 c. à table seulement. En former 8. Cuire à 425 F pendant 15 minutes, ensuite réduire la température à 350 F et cuire les petits choux 15 minutes de plus et les gros 30 minutes de plus. Pour assembler remplir les gros et les petits choux de crème fouettée ou crème pâtissière. Déposer les petits choux sur les gros utilisant un peu de crème fouettée pour les faire tenir. Saupoudrer généreusement chaque bonhomme de sucre à glacer. Déposer ½ cerise sur le dessus de chacun. Former les yeux, le nez, la bouche et les boutons avec un tube de gelée à décoration. On peut aussi utiliser des paillettes de chocolat ou des raisins se servant d’un peu de crème fouettée pour les faire tenir. Pour servir dans chaque assiette verser de la sauce aux fraises ou framboises. Déposer un bonhomme de neige sur la sauce. Recette fournie par Huguette Routhier et provenant du livre «Recettes de Noël Robin Hood»

PÂTISSERIE

Cette année, je ne t’ai rien acheté...

À l’occasion de la Journée sans achat, le Réseau québécois pour la simplicité volontaire a lancé le 23 novembre dernier sa campagne «Quand même un cadeau»

Pour des raisons écologiques, financières, idéologiques ou autres, il se peut que vous soyez réticents à participer à la grande frénésie d’achats qui précède le temps des Fêtes. Il se peut aussi que vous soyez plus ou moins contraints de participer à une pige en vue d’un échange de cadeau. Ou bien vous désirez tout simplement célébrer différemment, tout en exprimant votre reconnaissance, votre amitié ou votre amour à ceux qui vous entourent. Dans ce sens, nous vous proposons cette année de remplacer au moins un de vos achats par un cadeau «alternatif». Le principe est simple. Bien que nous ne voulions pas toujours l’avouer, nous nous fixons généralement un prix limite pour les cadeaux que nous offrons. Alors pour ce Noël, choisissez une personne sur votre liste et convertissez en temps le montant d’argent que vous êtes prêt à consacrer à l’achat de son cadeau; par exemple, 100$ peut équivaloir pour vous à 5 heures. Finalement, offrez-lui ce temps en services. Vous verrez, dès qu’on se met à y penser, on trouve rapidement des offres qui seraient bien appréciées du destinataire: garde d’enfant, aide aux devoirs, coup de main au grand ménage, à la peinture, au déménagement, accompagnement lors d’une sortie, couture, cuisine, réparations, jardinage, cours de langue, d’informatique, de plomberie… Mettez vos talents, vos connaissances, vos expériences, votre formation, vos talents à l’œuvre. Vous êtes invités à indiquer votre participation en cliquant «J’aime» sur la page Facebook de la compagnie (www.facebook.com/QuandMemeUnCadeau) et à y inscrire vos commentaires; Cette année, vous pourrez dire à quelqu’un : Source: Simpli-Cité, vol. 13 No 3, automne 2012

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Je ne t’ai rien acheté, mais je te fais quand même un cadeau.

La Société St-Jean Baptiste (SSJB) - Section locale de Ste-Clotilde-de-Horton, désire innover en soulignant la naissance des enfants nés entre le 1er mars 2012 et le 28 février 2013, et leur souhaiter la bienve-nue dans leur municipalité en leur offrant gracieusement un petit arbre fruitier. C'est une première et nous souhaitons mettre en place une nouvelle tradition. Tout comme votre enfant, ce signe de vie grandira et s'épanouira dans votre jardin. Le Comité demande aux parents domiciliés dans les limites des municipalités de Sainte-Clotilde, Ste-Séraphine et St-Albert de transmettre leurs coordonnées ainsi que le nom de leur nouvel enfant et sa date de naissance, soit par courriel à la présidente Madame Josée Bournival à [email protected], soit par téléphone à la secrétaire Madame Julie Joyal au numéro : 819 399-2645, et ce, avant le mercredi 6 mars 2013. Une réception civique sera organisée le 17 mars, au centre communautaire de Ste-Clotilde, en l'honneur de ces enfants. Au plaisir de vous y rencontrer. Le Comité de la Section Locale

Société Saint-Jean Baptiste

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CONSERVONS LA RICHESSE DE NOS SOLS ET PROTÉGEONS LA QUALITÉ DE L’EAU NOVEMBRE 2012

Demie journée au champ le 1 novembre Engrais verts et ray-grass intercalaire Une demie journée qui fut fort intéressante ! M. La France, professeur en agriculture biologique au cégep de Victoria-ville a exposé les multiples avantages des engrais verts.

Ensuite une visite de trois champs à Ste-Élizabeth a permis de mieux observer le formidable travail des racines dans le sol. Démonstration au champ de ray-grass dans le maïs le 1 novembre chez Ferme Blondeau 2000 inc. Photo par Sté-phanie Duranceau Les engrais verts : des plantes qui nous rendent bien des services ! Et qui dans les années à venir aideront grandement les producteurs agricoles à mieux s’adapter aux changements climatiques et aux prix grimpants des intrants. Une étude parut dans le New Scientist démontre que ce sont les micro-organismes du sol associés aux racines des plantes qui permettent à celles-ci de mieux résister aux aléas climatiques tout en produisant plus avec moins d’eau.

Essais de ray-grass intercalaire dans le maïs : résultats concluants Malgré l’été sec et chaud qui a suivi le semis du ray-grass entre les rangs de maïs autour de la St-Jean-Baptiste, cette espèce de graminée s’est très bien implantée. Le ray-grass a survécu sous le maïs et lorsque la récolte a été complé-tée, il a pu profiter du soleil d’automne et croître suffisam-ment pour recouvrir le sol, à la grande surprise de tous. Quatre entreprises agricoles ont effectué des essais concluants de ray-grass en plein champ dans le maïs : Fer-me Blondeau 2000 inc., Ferme Demaicca inc., Ferme Mysian inc. et Ferme Ti-Jean inc.

AVANTAGE DES ENGRAIS VERTS: − Protéger le sol de l’érosion − Améliorer la portance du sol

lors de la récolte − Valoriser les fumiers et lisiers à

l’automne (retenir les fertili-sants pour la prochaine saison)

− Améliorer la structure du sol

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M arguerite est couchée sur une civière, draps par-dessus la tête.

Silence… puis elle bouge et émerge lentement des couvertures ; regarde autour d’elle ; se relève et s’assoit sur le bord du lit. Regarde la salle et s’adresse aux spectateurs. Est-ce qu’on se connait ?... Moi, c’est Margot, Margot Longpré. Ici, on m’appelle Madame Marguerite Dufour. Dufour, c’est mon nom de jeune fille. Ça me gène encore ; c’est comme si je trahis-sais Lionel, mon homme. Que Dieu ait son âme. Il est mort l’an-née suivant sa retraite. J’ai vécu seule dans notre petite maison jusqu’à ma soixante-dix-neuvième année. Quand j’ai cassé ma hanche, il y a cinq ans, j’ai demeuré un temps chez mon fils. J’étais seule toute la journée et je m’ennuyais ; je n’étais plus dans mes affaires. Après, j’ai pris pension chez Madame Sansregret, un foyer privé comme on dit. J’avais ma petite chambre, on y mangeait bien et c’était tranquil-le. Mais… j’ai commencé à tomber… pression trop basse, cœur fatigué. La semaine passée, j’ai encore eu une faiblesse. C’en était trop pour Madame Sansregret. Elle m’a envoyée à l’hôpital en ambulance et elle a dit à mon fils qu’elle ne pouvait plus me reprendre. Ça fait que j’attends ici dans ce coin de l’urgence, cachée par ces rideaux beiges et sales. Je ne sais même plus quel jour on est. J’ai vu le docteur, le spécialiste, la travailleuse sociale. Ils écri-vaient, remplissaient des pages et des pages. Ils semblaient tous fatigués. Le docteur de l’urgence a dit que j’étais encore bien pour mon âge. Le cardiologue, lui, il a pris mon pouls. Il pensait que je dormais, mais j’avais juste mes yeux fermés à cause des néons au-dessus de mon lit. J’aurais voulu qu’il sonde mon cœur, qu’il me touche la poitrine avec ses doigts délicats, mais quand trois secondes après, j’ai ouvert mes yeux, il était déjà parti. La travailleuse sociale, elle, elle m’a posé un tas de questions. J’en avais le tournis. Puis, elle a dit que j’étais en attente de place-ment, que je cotais 2,5 et qu’elle trouverait pour moi une place dans une ressource intermédiaire… j’aurais voulu lui demander : «c’est quoi une ressource intermédiaire», mais elle était appelée ailleurs. Oups ! Excusez-moi un instant… ça presse. Ils m’ont donné de quoi pour y aller. Elle se lève difficilement et à l’aide de sa mar-chette, elle s’assoit sur la chaise d’aisance ; se cache derrière le rideau ; laisse échapper le rouleau de papier de toilette. Se relè-ve, fait quelques pas et regarde derrière l’autre rideau. Enfin, elle dort celle-là. Elle a crié presque toute la nuit, la pau-vre. Elle n’a plus toute sa tête. Sa fille m’a dit qu’elle est placée dans un vrai centre d’accueil, mais avec sa grosse pneumonie, elle a besoin d’antibiotiques intraveineuses et dans les CHSLD, il n’y a plus assez d’infirmières pour surveiller. Ça fait que… on envoie des «bénéficiaires» trop malades «bénéficier» des soins dans les corridors encombrés des hôpitaux où ils ne sont pas tou-jours bienvenus. Quand on pense que ces lieux sont aussi fré-quentés par d’autres indésirables… comme la C-difficile… faut être fait fort. Elle place son drap, tapote son oreiller et grimpe sur la civière.

Ah ! Vous êtes encore là. Vous êtes pa-tients ! J’en profite. Ce n’est pas fréquent qu’on écoute une vieille femme ordinaire raconter le pas grand-chose qui se passe dans sa vie. Hier, j’ai eu de la visite de mon amie, Thérèse. Elle est venue en taxi. Elle loge aussi chez Madame Sansregret. Nous jouions aux cartes tous les après-midis. Elle m’a apporté la télé-presse et l’Écho du Nord. Elle pense que j’ai la télé-vision ici. Il y en a bien une dans la salle d’attente, je l’entends 24h sur 24. C’est le gardien de sécurité qui a la manette et il aime les sports. Les gens ont le choix, regarder la boxe au canal 33 ou regarder la course du personnel. Ça fait que je reste ici dans mon coin et j’attends : couchée, assise, couchée, assise. J’ai déjà lu l’Écho du Nord. Je lis surtout la nécrologie où ma génération est à l’honneur ces années-ci. Il n’y a personne que je connaisse parmi les morts annoncés cette semaine. BRUIT DE SIRÈNE Encore une ambulance… ça n’arrête pas aujourd’hui. Paraît-il qu’il y a du verglas dehors. Ce qui est le plus dur ici, c’est le bruit et la lumière, sans arrêt. Ça fait que, le soir venu, je ne refuse pas la petite pilule pour dormir, quitte à être étourdie le matin. Jean-Luc, mon fils va bien venir ce soir ; il n’a manqué qu’un jour. Il m’installe dans un fauteuil roulant et nous allons à la cantine pour un café. Moi, je prends une liqueur ; le café ne me fait plus. Jean-Luc m’a expliqué qu’on va me placer dans une maison, gen-re foyer privé, en attendant une place dans un vrai centre d’ac-cueil. Cette maison s’appelle une ressource intermédiaire. C’est le son «aire» que j’entends surtout ; ça se prononce comme «erre». Je suis une errante dans le système. En attendant… en attendant quoi au juste ?... ma mort ? Des fois je me dis que je suis prête, mais je ne me sens pas trop pressée. L’infirmière m’a dit… que le cardiologue a dit.. qu’il va m’installer un pace-maker et que je serai comme une neuve. Elle m’a dit que c’est comme une batterie Duracell, ça n’arrête jamais. Fau-drait que j’y pense bien… je n’aurai donc jamais la sainte paix. PAUSE, SILENCE Oh! Si j’étais encore dans ma petite maison, je vous servirais le thé avec un morceau de gâteau. Je n’ai rien à vous présenter ici. Peut-être prendriez-vous un peu de sucre à la crème ? C’est Thé-rèse qui l’a fait. Je vois que, vous non plus, vous êtes pas jasants. Les gens ne vont pas voir les vieux, car ils sont mal à l’aise avec eux. On dirait que les vieux sont une menace. Vouloir ou pas, les vieux font penser à la mort. Les visiteurs ne savent pas quoi dire. Ils parlent donc du temps qu’il fait ou de leurs propres misères. A vrai dire, j’aurais voulu vous raconter des drôleries, comme Jean-Marc Parent, mais mon monologue tombe à plat. Peut-être, une fois dans mon vrai foyer et avec mon nouveau cœur, j’aurai le goût de chanter et de faire la folle. Réf : Écho du RIIRS Juin 2012 Lut Van Acker 19-01-2012 Excer-cice : écriture théâtrale – monologue.

La Plume d’Or MARGUERITE

Sûreté du Québec Les pneus d’hiver

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À l’approche de la saison glaciale, êtes-vous chaussé pour l’hiver? Au cours de la période du 15 décembre au 15 mars, le propriétaire d'un taxi ou d'un véhicule de promenade immatriculé au Québec ne peut mettre en

circulation ce véhicule, à moins qu'il ne soit muni de pneus conçus spécifiquement pour la conduite hivernale. Cette obligation s’applique aussi aux véhicules de promenades offerts en location au Québec ainsi qu’aux cyclomoteurs et motocyclettes.

Donc, obligation : pneus d’hiver entre le 15 décembre et 15 mars. 1-Pneus conçus spécifiquement pour la conduite hivernale c’est quoi? Le règlement prévoit qu’un pneu conçu spécifiquement pour la conduite hivernale répondra à l’un ou l’autre des critères suivants avant le 15 décembre 2014 : Le pneu porte l’une des inscriptions suivantes : Alaska, Arctic, A/T ou AT, AT/S, AT-S, Blizzard, Cresta, Ice, INSA T1, INSA T2, INSA TT770, LT, Nordic, Snow (à l’exclusion de l’inscription M+S pour «mud and snow»), Stud, Studdable, Studded, Studless, TS, Ultra grip, Ultratraction, Winter; OU le pictogramme représentant une montagne sur laquelle un flocon de neige est posé; OU le pneu est muni de crampons (PNEUS À CLOUS) et utilisé conformément au Règlement sur l'utilisation d'antidérapants sur les pneus de certains véhicules; À compter du 15 décembre 2014, le pneu devra porter le pictogramme ou être muni de crampons et utilisé conformément au Règlement sur l'utilisation d'antidérapants sur les pneus de certains véhicules. 2-Puis-je mettre mes pneus à clous avant le 15 décembre? OUI, les pneus munis de crampons (pneus à clous) et utilisés conformément au Règlement sur l’utilisation d’antidérapants sur les pneus de certains véhicules routiers peuvent être utilisés entre le 15 octobre au 1er mai. 3-Il est bien d’avoir ses pneus conçus pour la saison hivernale, mais sont-ils conforment aux normes? Des pneus trop usés augmentent le risque de collision. Le Code de la sécurité routière prévoit déjà que l'équipement d’une voiture (y inclus les pneus) doit être en bon état. Le Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers prévoit notamment que la profondeur de la bande de roulement mesurée dans une rainure ou une sculpture principale ne doit pas être inférieure à 1,6 mm pour un véhicule de moins de 3 000 kg. Pour toutes informations supplémentaires, vous pouvez consulter le site internet de Transports Québec au www.mtq.gouv.qc.ca ou celui de la SAAQ au www.saaq.gouv.qc.ca. Soyez prudent sur les routes!! Agente Karyne Bergeron #11971 S.Q. Arthabaska

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Province de Québec M.R.C. d’Arthabaska Municipalité de Saint-Albert Ouverture de la séance ordinaire du conseil de la Municipalité de Saint-Albert, tenue le 1er octo-bre 2012 à 19h30, au bureau municipal, au 25 rue Des Loisirs. Sont présents : Diane Kirouac, conseillère Mélanie Vogt, conseillère Colette Gagnon, conseillère Denis Giguère, conseiller Justin Chabot, conseiller Tous formant le quorum sous la présidence du maire, M. Alain St-Pierre. Mme Suzanne Crête, di-rectrice générale et secrétaire-trésorière, agit comme secrétaire de la réunion. La séance ordinaire est ouverte à 19 h 30. Mot du maire M. St-Pierre rappelle aux citoyens que le 13 octobre prochain aura lieu la traditionnelle Journée Nor-mand-Maurice pour la collecte des résidus domestiques dange-reux (RDD). Pour l’occasion, les employés municipaux, Mme Crête et Mme Gilbert, ainsi que la conseillère Mme Diane Kirouac accueilleront les citoyens appor-tant des RDD ce samedi entre 9h et midi au bureau municipal. De plus, le 20 octobre prochain aura lieu le 75e anniversaire du Cercle des Fermières de St-Albert. 2012-140 Adoption de l’ordre du jour Proposé par Mme Colette Ga-gnon, conseillère Que l’ordre du jour du 1er octo-bre 2012 soit adopté et que le varia demeure ouvert. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2012-141 Adoption du procès-verbal de la réunion du 10 septembre 2012 Proposé par Mme Diane Kirouac, conseillère Que le procès-verbal de la séan-ce ordinaire du conseil du 10 septembre 2012 soit adopté tel que rédigé. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2012-142 Approbation des comptes pour la période du 10 septembre au 1er octobre 2012 Proposé par Mme Mélanie Vogt, conseillère Et, il est résolu à l’unanimité des

conseillers, d’adopter les comptes à payer suivants, tels que présen-tés au journal des déboursés, dont une copie a été remise à chacun des membres du conseil lors de la séance par la directrice générale et secrétaire-trésorière : Registre des chèques # 935 à 1014 Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2012-143 Avis de mo-tion est donné par Mme Méla-nie Vogt, conseillère, que sera adopté à une séance ultérieu-re le projet de règlement nu-méro 2012-10 relatif au code d’éthique et de déontologie des employés de la Municipa-lité de Saint-Albert. 2012-144 Avis de mo-tion est donné par M. Denis Giguère, conseiller, que sera adopté à une séance ultérieu-re le projet de règlement nu-méro 2012-11 relatif aux pouvoirs et obligations addi-tionnels du directeur général. 2012-145 Résultats des sou-missions pour le déneigement des trottoirs Attendu que la Municipalité de St-Albert a demandé des soumis-sions pour le déneigement des trottoirs; Attendu que suite à l’ouverture des soumissions les résultats, avant taxes, sont les suivants : Voir sur le site Web de la mu-nicipalité. Proposé par M. Denis Giguère, conseiller Que la Municipalité de St-Albert accorde le contrat au plus bas soumissionnaire soit Aménage-ment M & D pour une durée d’un an. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2012-146 Résolution autori-sant le directeur général à transmettre par courrier re-commandé, un dernier avis aux propriétaires ayant des taxes dues Attendu que la Municipalité de Saint-Albert a des citoyens n’ayant pas acquittés leurs taxes municipales 2011; Attendu que dans le passé, la Municipalité avait recours au ser-vice d’un avocat pour faire la collection des comptes de taxes

municipales ayant de arriérages importants, et que ce service était onéreux; Attendu que la MRC d’Arthabas-ka a le pouvoir et l’obligation d’effectuer des ventes pour dé-faut de paiement de taxes; Attendu que la Municipalité de Saint-Albert doit faire parvenir à la MRC d’Arthabaska au plus tard le 7 décembre prochain la liste des propriétés à inclure dans la prochaine date de vente pour défaut de paiement de taxes; Attendu que légalement avant de transmettre la liste des pro-priétés à la MRC d’Arthabaska, la Municipalité de Saint-Albert doit faire parvenir un dernier avis par courrier recommandé aux contri-buables concernés; Proposé par Mme Mélanie Vogt, conseillère Que la Municipalité de St-Albert autorise le directeur général à transmettre, par courrier recom-mandé, un dernier avis aux pro-priétaires ayant des taxes dues pour 2011; Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2012-147 Rechargement des accotements du Rang 10 Attendu que la Municipalité de St-Albert a réalisé récemment une couche de recouvrement d’as-phalte dans le Rang 10 afin de réparer la chaussée endomma-gée; Attendu que suite aux travaux d’asphaltage du Rang 10, les accotements doivent être rechar-gés en gravier pour assurer la sécurité des utilisateurs; Attendu que la Municipalité de St-Albert a demandé une soumis-sion à l’entreprise JNF Francoeur de St-Félix-de-Kingsey pour le transport, l’épandage et la com-paction de pierre, et que le prix s’élève à 21$ la tonne métrique; Attendu que la quantité néces-saire approximative serait de 3 pouces d’épaisseur par 12 pouces de largeur pour les accotements, ce qui représente un coût de 3465$ avant taxes; Proposé par M. Denis Giguère, conseiller Que la Municipalité de St-Albert accepte la soumission de JNF Francoeur et que les accotements soient réalisés avant le début de l’hiver 2012-2013. Adopté à l’unanimité des conseil-

lers 2012-148 Résolution autori-sant le directeur général à présenter une demande de certificat d’autorisation pour l’aménagement d’une prise d’eau sèche entre les domai-nes Attendu qu’à la séance ordinaire du 3 juillet dernier, la Municipalité de St-Albert a mandaté la firme EXP inc. pour réaliser la concep-tion de plans et devis pour l’im-plantation d’une prise d’eau sèche dans un lac privé entre les domai-nes Mon Repos et Béréli; Attendu que la Municipalité a fait parvenir les plans et devis réalisés par la firme EXP inc. au Ministère du Développement du-rable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEP) avec le paiement de 538$ pour la de-mande de certificat d’autorisation, le 21 septembre dernier; Attendu que le MDDEP nous a fait parvenir une lettre le 28 sep-tembre dernier, nous avisant qu’il manque une autorisation pour le signataire de la demande de cer-tificat d’autorisation; Proposé par Mme Colette Ga-gnon, conseillère Que la Municipalité de St-Albert autorise le directeur général à signer pour et au nom de la mu-nicipalité, les documents relatifs à la demande de certificat d’autori-sation pour l’aménagement d’une prise d’eau sèche entre les do-maines résidentiels. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2012-149 Résolution attes-tant la réalisation des travaux du Rang 10 afin d’obtenir la subvention d’aide à l’amélio-ration du réseau routier mu-nicipal (no. dossier : 00018655-1 – 39085 (17)- 2012-06-06-20) Attendu que les travaux d’as-phaltage du Rang 10 ont été ré-alisés en septembre dernier; Attendu qu’en juin dernier, le Ministère des Transports du Qué-bec avait confirmé à la Municipali-té de St-Albert, l’octroi d’une subvention pour l’aide à l’amélio-ration du réseau routier municipal de 10 000$ (no. dossier : 00018655-1 – 39085 (17)- 2012-06-06-20); Proposé par Mme Diane Kirouac, conseillère

Procès-verbal Municipalité St-Albert Octobre 2012

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Que le conseil municipal approuve les dépen-ses pour les travaux exécutés sur le Rang 10 pour un montant subventionné de 10 000$, conformément aux exigences du Ministère des Transports du Québec; Que les travaux ont été exécutés conformé-ment aux présentes dépenses sur le Rang 10 dont la gestion incombe à la municipalité et que le dossier de vérification a été constitué. Adopté à l’unanimité des conseillers

2012-150 Levée de la séance du 1er octobre 2012 Proposé par M. Denis Giguère, conseiller Que la séance du 1er octobre 2012 soit levée à 20h25. Adopté à l’unanimité des conseillers Alain St-Pierre, maire

Suzanne Crête, directrice-générale et secrétaire-trésorière

Procès-verbal Municipalité St-Albert Octobre 2012 (suite)

Agenda Trois Mois DÉCEMBRE

03 Séance du conseil 08 Souper Noël Fadoq 12 Fermières 16 Concert de Noël 25 Noël 24 décembre 2012 au 2 janvier 2013: bureau municipal FERMÉ.

JANVIER 01 Bonne Année 2013 14 Séance du conseil 09 Fermières

Informations Municipales RÉFORME CADASTRALE

P lusieurs citoyens ont reçu en novembre une lettre du Ministère des Ressources Naturelles et de la Faune pour la rénovation cadastrale. Plusieurs d’entre vous avez communiqué avec le bureau mu-

nicipal pour de plus amples informations. Tout d’abord: QU’EST-CE QUE LA RÉFORME CADASTRALE: cette réforme permettra d’établir avec précision les limites de votre propriété, et ce sans frais supplémentaires. La réforme cadastrale a été demandée par le gouvernement du Québec afin que tous les terrains de la pro-vince soient cadastrés. Par conséquent, cette lettre vous demande votre collaboration pour fournir aux personnes qui s’occupent de cette réforme une copie des documents que vous pourriez posséder afin de les aider à établir les limites de votre propriété, soit un certificat de localisation, un procès-verbal de bornage, un plan d’arpentage ou encore un contrat de vente non-enregistré. La procédure complète pour notre localité devrait s’échelonner sur environ 2 ans. Donc, ne soyez pas surpris de voir des gens avec des équipements spécialisés se promener sur les terrains et planter de petits drapeaux. Ces gens ont été engagés par le gouvernement afin d’effectuer la réforme cadastrale. Donc, SVP aidez-les à effectuer leur travail en fournissant les documents demandés si vous les avez et en les laissant mesurer votre terrain et ceux de vos voisins.

NUMÉROS DE TÉLÉPHONE EN CAS D’URGENCE La Municipalité de St-Albert demande aux citoyens ayant un numéro de téléphone non publié ou seule-ment un téléphone cellulaire ou satellite pour les join-dre, de nous donner ce numéro afin de l’inscrire dans notre banque en cas de mesure d’urgen-ce. Soyez assurés que ces numéros ne seront pas publiés et demeureront confi-dentiels, ils ne serviront qu’à l’usage de la municipalité en cas de situation d’ur-gence. Voici les façons de nous faire connaître vos numéros: Par téléphone: 819-353-3300 (il y a une boîte vocale si vous appelez en dehors des heures d’ouverture), par télécopieur (819-353-3313), par courriel au [email protected] ou par la poste au 25, des Loisirs, St-Albert J0A 1E0. N’oubliez pas de préciser votre nom, adresse et le numéro pour vous joindre en cas d’urgence. MERCI de votre collaboration

FÉVRIER 04 Séance du Conseil 10 Brunch Fadoq 13 Fermières 14 St-Valentin 16 Souper chorale 23 Tournoi hockey au profit de OPÉRATION ENFANT SOLEIL

HORAIRE DES SÉANCES M U N I C I P A L E S POUR 2013 14 janvier 2013 4 février 2013 4 mars 2013 2 avril 2013 (mardi) 6 mai 2013 3 juin 2013 2 juillet 2013 (mardi) 26 août 2013 16 septembre 2013 7 octobre 2013 12 novembre 2013 (mardi) 2 décembre 2013 Les séances se tiennent au bureau municipal à 19h30.

LUMIÈRES DE RUE En 2012, la Municipalité de St-Albert a poursuivi son mandat d’ajouter des lumières de rues dans la localité pour éclairer les coins sombres. Cepen-dant, nous avons besoin de la collaboration des citoyens pour nous aviser lorsqu’une lumière de rue est défectueuse, soit qu’elle n’allume plus ou allume par intermittence ou autre. Si vous constatez un bris d’une lumière de rue, veuillez communiquer avec le bureau muni-cipal le plus tôt possible afin que nous puis-sions en demander la réparation dans les plus brefs délais. D’ailleurs, vous pouvez appeler en dehors des heures d’ouverture et laisser vos coordonnées et en indiquant l’adresse et/ou le lieu où se situe la lumière défectueuse.

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