1
constater quo le projet tic la Ville soit t, (ht '•• pour Me- s W Anglai d'Outro-Manche ; c'est à tort que l'on irnoquo l'autorité de M. Douglas-Gallon car ilêcrivaitleSo mai 188(ï:Jc ttrposxèdt nut'itti renseignement sur le systèmt proposé par M. Houvh'pr, etc. Notre contre-projet a obtenu l'adhésion des trois ingénieurs hygiénistes anglais auxquels il a étô soumit!. i On se rappelle les termes de la lettre de ' M. Best dont le Littoral du 11 juin 1889 publia lu traduction. * On se rappelle aussi la lettre quo nous '• adressa M=(i<> Yalcourt ; cet honorable doe- ; tenr \it M. Douglas-Gallon au Congrès î International d'ingiOne à PansTcUlaequît la certitude (jite cet honorable ingénieur approuvait toujours les drains directs dont il avait recommandé l'application en 1883. Enfin Sir Hobert lîawhnson, ancien chef du département d'hygiène d'An- gleterre, une aulorité s'il en fut en la matière, n'a pas hésité ;'t recommander a la ville de Cannes, notre contre-projet | plus simple, plus économique, plus hygié- : nique, son rapport publié par le Courrier [ et. le Midi Hivernal en décembre dernier est encore dans la mémoire de tous. Faut-il citer encore les lettres de l'é- minent Durund-Claye, ingénieur fninçais qui, le 2"> décembre 18So et le 2 novembre 188(3 recommandait à M. le Maire de repousser tout système d'horlogerie et de n'employer à Cannes que des canalisations bien iavées et bien ventilées, condamnant ainsi d'une façon formej.1; 1 . \^\,\ y.wr/', \le fosse centrale, do poires et de machines { a vapeur dans wy ville accidentée comme , la nôtre et échelonnée sur le rivage, au ; point d'être, divisée naturellement en 8 1 zones, aj ai )t chacune leur déclivité natu- relle voré la mer. I *s esprits impartiaux qui ont suivi nos dcjiats n'hésiteront pas à condamner le .Pi-ojet municipal. Aux délicate... jiropa- teiirs d'idée... d'effet moral demandons jurquoi il n'a été tenu aucun compte de 'effet réel qui se fera sentir aux écoles do i Verrerie voisines de l'abattoir et aux 'es de la Ferrage contigûes de l'usine Les pores de famille qui envoient leurs enfants à nos écoles communales n'au- ! raient-ils, par hasard, droit à aucune I satisfaction morale et dans l'esprit de nos i ômînents hygiénistes, ce,-i contribuables et les propriétaires voisins de l'impasse Bergerie représentent-ils rfa/is/'or(//'e/»o- ral des quantités négligeables Ii l'égal des immeubles situés entre la route de Fréjus et la voie ferrée? A. ARLUC. : Quelques citoyens, peu au courant de la question qui nous occupe, nous ont mani- festé la crainte d'ajouter, en protestant, ; do nouvelles longueurs à l'exécution du réseau d'égouts. i C'est une erreur. Le projet municipal, ; voté en janvier dernier,;! àpeineaccompli, en un ;in -sa ptrmière étape, impossible, de mettre la main < ' i l'oeuvre avant deux nou- velles années, si on songe aux formalités , nécessitées par l'emprunt d'un million, par l'expropriation pour cause d'utilité iesler leur opinion devant M. ia Corni sa ire enquêteur, Nous no pensions pas publier le • que nous avons préparé pour l'enquêi mais quelques personnes ont pensé qi fallait le faire pour faciliter le travail ( citoyens peu versés dans la questù nous nous rendons à leurs désirs. Le soussigné Arluc Paul-Alexandre, in nieur civil, quai St-Pîerre, proteste: 1" Contre l'illégalité des remanient faits au dossier des égouts après le vote sans ia sanction du Conseil municipal. 2° Contre le système adopté par la Vi comportant : fosse centrale, usine à vape et pompes de refoulement au centre de ville ; système impuissant a desservir quartier Ouest, 3" Contre les faibles pentes des collecteui descendant à près de l /$oo et contre les tr; chées profondes qu'il faudra creuser dans artères fréquentées comme la rue Centra •1° Contre l'emplacement de l'usine à ' peur et de la fosse centrale au coeur mêm< de la ville près les écoles communales Ferrage et dans une position entléi abritée de l'influence purifiante des vents. 5" Contre le canal de secours déchargeai la nuit, la totalité des eaux d'égoût près Phare et des maisons du quai St-Pîern aussi pendant toute la durée des accide aux machines. C"Contrôlessyphonements des collecteui dans la traversée des vallons. 7° Contre la faible pente et l'établiss défectueux du canal de secours no pouvai fonctionner qu'avec l'élévation des eai sales dans la (osse centralisée qui entraîne la mise en cliarr " , tuyaux collecteurs s de grandes longueurs. S" Contre la faible quantité d'eau prev pour la consommation de chaque habita (90 ou 100 litres tandis qu'une ville comn la notre alimentée par un canal doit et être largement pourvue et compter sur ui consommation de 250 litres). 9° Contre l'absence de canalisation dan: des endroits peuplés comme ceux situés ai Nord du boulevard d'Alsace, entre le passagf à niveau delà routed'Antibes et le bout la Foncière ceux situés au Petil Juas et aux abords du Lavoir ceux de Vallergues qui contiennent deux parfumerii Importantes, et tant d'autres quartiers doni l'énumération serait trop longue. 10° Contre la refoulement sur un point, à 52 mètres du rivage, de toutes les eaux vannes ; (contrairement aux asse lions émises, ni à la Roubine, ni au Trou de l'Ancre il n'existe aucun courant de la Siagne portant au large.) 11° Contre les longueurs et les retai que nécessiteront l'emprunt et l'expropria- tion d'immeubles pour cause d'utilité publi que ; toutes choses qui demandent plusieur années pendant lesquelles il ne sera pa possible de supprimer une seule fosse pulst|Ui l'essence même du projet municipal i avant tout que l'usine et le tuyau de refou- lement soient exécutés. publique, au temps i temrdeki f" P.-L.-M. k me pour ob~ ision do traverser la une ferrée, etc.,etc.. Tandis que de simples canalisations dans tous les valions principaux et leur prolongation en mer peuvent être auto- risées on un mois ot entreprises avant le départ ot nous les veux de nos botes; ce qui ne serait pas un mince élément de succès pour la saison prochaine A. A. L'ENQUETE Des 6, 7 et 8 Janvier La campagne que nous avons menée avec la plus entière bonne foi contre le réseau d'égouts municipal louche à sa fin. Si nous avoua réussi à faire partager notre conviction aux habitants de Cannes et à la majorité des conseillers municipaux nous serons dédommagé des fatigues que celle campagne nous aura coûté. Nous avons signalé le datiger;à nos couciloyens ;'i f;uro maintenant leur devoir et à maui- Ceci dit : Le soussigné désirerait voir adopter la ville de Cannes le système de drains di- rects qui supprime, comme inutiles, la fosse centrale, l'usine et le tuyau de refoulement. Un meilleur résultat peut ôtre obteni avec une dépense plus faibie et en beaucoup moins de temps; il s'agit de décharger di- rectement les eaux d'égouts à la mer plusienrs points et à une distance suffisante do ia côte. La configuration naturelle du sol indique les zones de drainage convergeant vers les vallons. Dans le lit de chacun de ces vallons je propose de placer les tuyaux d'égout venant se décharger dans la mer en passant par la bouche de chacun d'eux. La longueur des parties immergées di cliaqua drain varierait lia 100 à 400 mètres de manière à obtenir une profondeur d'eau de 5 mètres. Cependant, dans le cas de l'égout D' ( Voir le ï>/rtn),ayant une longueur de 400 mètres en mer, cette profondeur est défi mètres. Ce supplément de profondeur a été donné pour mieux clarifier les eaux a l'entrée du port. Les raisons qui militent en faveur de mon projet sont les suivantes ; l°Une |iente beaucoup plus grande peut être donnée aux égouts; par suite il y aura à l'intérieur un courant permanent et aucun stationnement ou emmagasinage des eaux sales. s fall 3- La dépense sera beaucoup p et le travail pourra l'tfe exécuté en déta vallon par vallon. Ceci permettra de corn iiiûncer le travail tlts suite avec le la ville a disponibles,!! y aura puu de forma- lités à remplir et l'ouvrage avancera rapi- dement. En outre, au fur et a mesure que les égouts seront construits les fosses pourron être supprimées sur la ligne suivie par cha- cun d'eux en exécutait les drains particu- lier.'!, de manière que dans le cours d'un année elles auront presque toutes disparues. Il a été dit que mon projet est impraticabli par la raison que la mer serait souillée pa la décharge des égout-s en face de la ville a point de devenir un sérieux inconvénient. , cet argument j'ai d repondre qu'il existe présent huit tuyaux de drainage déchar- geant directement dans la mer. Parmi eux trois reçoivent chacun les sales de GOO personnes environ, la partit immergée de ciiacun d'eux varie de 15 a 4 métrés et malgré cette courte distance h côte en face n'a pas été souillée et le fond d la mer non plus et cela depuis les cinq années que ces égouts fonctionnent. On ne peut voir de la cote aucune matière flottante et même avec ia mer tout à fai calme, la limpidité des eaux n'est pas trou bléeau delà d'un rayon de 7 mètres di point d'émergence. Il n'y a que quelques restes de papiers qui peuvent être aperçues, an fond de la mer, dans ce petit rayon. Ces faits ont été examinés et reconnus par plusieurs, r-ei^Ji'.ties, entr'autres par M.Best ingénieur hygiéniste de Londres, pa M. Rkldett, de l'Agence anglaise Taylor e Riddett, par MM. Escarras Honoré et Pier- rugues Joseph, conseillers municipaux que nous avons conduits en bateau examine s diverses décharges existantes. Je suis assuré par une longue expérienc le les grosses mers qui se produisent a moins deux ou trois fois par an déranger les sables à une profondeur d'eau de 8 mètre; ce qui est une garantie suffisante qu'il n pourra se former aucun dépôt sur lo font 1 Les constatations faites par 1'honorabl rapporteur de la Commission des égouts à la •tîe du drain Provençal et les analyses qu'il a fait pratiquer sur des sables pris a 1 point du môle ou la Compagnie des Vidanges déverse ses tonneaux depuis plus de six :inées sont une preuve de plus que la mer m .isse, aucun dépôt nuisible, se former dam ÎS foi\d3 moindres de 8 mètres (Voir page 41, 42 et 43, brochure publiée en 1888 le docteur Gruzu sur l'assainissement de la Tille da Cannes.) Pour l'édification du commissaire-en- quêteur et des autorités administratives, e dépose avec un plan-indicateur de la ville sont marqués les drains directs, une série de 45 journaux de la localité; ils contienr. les adésions à notre contre-projet, les différentes critiques que j'ai cru devoir foi mu 1er, en ces derniers temps, contre l'adop- tion d'un projet qui serait désastreux pour la ville et onéreux pour les propriétaires d'immeubles. ]1 exigerait unetaxe d'abonne- ment au moins quatre fois supérieure à cell qui serait légitimement due pour le branche- ment des tuyaux de chutes el d'éviers si 1) ville entreprenait nos drains directs. A. ARLUC. MENUS PROPOS A i'Hùtel-de-Ville : Une pauvre femme se présente nu bureau où l'o Listnbuc les secours a-ux [iidigcotsu Quels sont vos titros ? demande lVni|ïlojé. Monsieur, j'aî eu quatorze enfants,. A la fois ? Sur lo boulevard : Ou vtis-tu comme cela ? Chez mon tailleur. Bigre! Tu ns un tailleur?Tii le paies donc Si je ne le payais, il viendrait chez moi. D'un modernisme bien décevant, ce Grivin di Jeune homme, ne fréquentez jamais que les bon tes gens ; ce sont les plus faciles à rouler ! Pourquoi fuiles-ious des nrmos 'f Pour maigrir... Et vous? Pour engraisser. ménagea sec ! Eh bien, Alfred, as-lii vu ton père? Oui. Lui as-tu demandé do l'argent? Oui, et dès le premier mot, il a fait un bond, De mille francs ! LA RÉGION OUASSE La mort impitoyable vient de frappi dans ses plus chères affections une hono- rable famille de notre ville. Mademoiselle Marie-Louise Chaberl, fille de M. Cliabent, sous-inspecleur des forêts en relraile,otsoRiirdeil.le»io(ileurCliaberl, n succombé dernieremenl.a peîneàgée dpSJ8 ans, des suites d'une maladie implacable dont rien n'a pu entraver la marche fatale. Douée des plus sérieuses-quotilés de l'es- prit otdu coeur,mademoiselle Marie-Louise Chabert sera unanimement regrettée par la société de noire ville elle était ai et appréciée. MONACO L.L.A.A.S.S. le prince Albert I" et la prin- cesse Alice arriveront à Monaco le 5 jan- vier à 3 heures de l'après-midi, par l spécial, accompagnés du prince Louis. Des l'arrivée en gare du train spécial qui les amène, les canons de la batterie sn- lueront l'enlréo triomphale du prince Alberl l". A la place d'Armes, In Socîélé des Réga- les de Monaco, drapeau en ttHe, fera une démonslralîon. Un groupe déjeunes filles, portant les insignes de la Sociélé, offrira un bouquet à ia princesse Alice. Sur la place du Palais.sous l'arc de triom- phe, des jeunes filles vêtues de blanc, avec une écharpe rouge offriront aussi un bouquet à la princesse; et un autre groupe de demoi- selles,accompagnées des membres du Comi- té, lui remettra un superbe éventail, respi lueux souvenir des habitants delà Princi- pauté. Selon l'antiqueusage.M.lecomleGastaldi maire de Monaco, enlouré de ses adjoints ei des membres de la Commission commu- nale, remettra les clés de la ville au prince Albert 1". Au passage du carrosse princier, les tam- bours et clairons de la compagnie des gardes, rangée en bataille devant 3a porte du l'alais baltronlaux champs; el la Société i'hil.tnnonique, qui prendra part officielle- ment à la fête de réception, exécutera la marche de la Principauté. Une quantité de yachts de plaisance sillon' neront le port, cl celle croisière, organisée par la Société des Régates, ne sera pas un des moindres allntils de la décoration de la Principauté. Le soir, sous les fenêtres du Palais, la Société Chorale, un groupe do dames et lies artistes amateurs,, avec le concours de 1 orchestre de Monle-Carlo, exécuteront canlalc composée pour la circonstance par le maestro Bellini. i Société Philharmonique exécutera en- fin quelques morceaux choisis de son réper- toire. Les arcs de triomphe, les avenues, les voies publiques.ainsi que toutes les maison; particulières, seront illuminés a giorno, et jlrailcaux flambeaux parcourra les rues de Monaco el de la Condaniine, précédée des Sociétés philharmonique et Chorale. Le,l°ndomain, connue autrefois le jour do la Sl-Cliarles, auroniliou sur la place du Piiiais des jeux divers. Le soir, nouvelle retraite aux flnmboauA. qui, de Monaco se rendra à Slonle-Carlo. C'est ii Mon le-Carlo qu'aura lieu la secon- de partie de la fêle, non moins allrayanle que la première partie, el qui comprendra entre autres : Grande illumination, feu d'arliâce par Ruggieri, de Paris ; fête véni- tienne dans la rade ; concert donné sur les terrasses par S'orchestre de Monte-Carlo,elc. MONTE-CARLO On vient d'inaugurer les ascenseurs IJeu- rlebiso el G{illerand,inslallés dovontla gare donle-Carlo. Comme nous le disions dernièrement, la Compagnie des chemins de fer délivre à se guichets des billets inanl droîl au parcours du chemin de fer el des ascenseurs, moyennant une augmen- tation de 25 centimes pour les billets simples l 35 centimes pour les billels aller el etour. Les personnes non munies de ces billels le chemin de fer trouvent sur placo des illets délivrés par l'administration des as- censeurs. Unpassage spécial est affecté aux voyageurs qui prennent les ascenseurs. Ce ige sera entièrement couvert depuis le débarcadère, el permettra do conduire les voyageurs complètement a l'abri jus- l'aux terrasses du Casino. Lo mouvement ascensionnel est absolu- nenlinsensible, elles arrêts sont aulouia- liquementréglés, do telle sorte qu'il7^7 I aucun danger de lieurl. a '' Les cages de l'ascenseur soi» ,, arnlf, d'élégants vitraux êmailfe en couleuri renouvellement de l'atmosphère y est aas au moyen de très ingénieux ventilâtes nouveau système, qui paraissent rêal * une importante amélioration en supprim les courants d'air. Ce sont des lames de verre en iOr d'S. emboîtées les unes dans les nutres $1 il y a lieu de recommander l'applicaLio' habitationselsurloul aux salles renferiliam| une grande aggloméra lion de pereonnes 1 L'heureuse disposition do ces ascenseuj est e naLuro à en assurer le succès II y a quelques changements dans teP gramme des représenta lions théâtrales Monle-Curlo. Ces changements con dans l'inlervertionde deux opéras; et Juliette sera joué en févHer.ies 'samedlj 15 et 20, et Hamlet les samedis 2â el mari 26,Mme Deschamps ne pouvanlêtre à Mon te-Carlo avant le 30. Dans le Médecin malgré lui, le Mme Deschamps est pt>ur la mèmi donné a Mlle Paulin. En mars, on a ajouté au programme li joli opéra doGalathêe,pour Mme Desch. Astronomie Populaire L'Astronomie Populaire offra Vei posé précis de toutes les grandes découvertes astronomiques qui noua ont appris a connal- tra le ciel et la terre. Ce livre est l'expres- sion complote de l'état a:tuel de la scienee sur la constitution de l'Univers. 11 élève l'âme et lui donne le calme d'une haute phi. loaophie. Par la lecture de cet ouvrage, d'un styl si pur et si harmonieux, illustré de nom breuses figures qui en font en même temps une oeurre d'art, on se met rapidement et agréablement au courant des réalités mer- veilleuses de la science moderne, découve tes qui tout en étant indiscutables, semble pourtant parfois tenir du prodige Sanctionnée par le suffrage de près da cent mille lecteurs, couronnée par l'Institut {prix Montyon de l'Académie française), adoptée par le Ministre de l'Instruction publique, l'Agronomie popalnlre » pris rang dans toutes les bibliothèques, de- puis les plus humbles, et est devenue pour ainsi dire indispensable pour toute instruc- tion qui désira être établie sur une base sérieuse. "• Cette nouvelle édition, entièrement re- fondue, fait passer sous les yeux du lecteur les derniers progrès de la science récemment réalisés dans la connaisssance de l'Univers : étoiles, soleil, mouvements de la terre, na- ture des autres globes notamment de notre voisine la planète Mars, origine «t Sn des mondes, solution des problèmes les pi intéressants qui puissent captiver l'intelli- gence humaine. L'ouvrage, que l'on pourra , 0 nrr.,,,,— chez tous 1"= nt-iunes de Paris et des dépar- tements et chez les marchands de journaux, formera un beau volume grand in-8° Jésus. Il sa composera d'environ 100 livraisons à lOcenlimes ou de 20 séries environ à 50 centimes. Il paraît 2 livraisons par semaine; 5 livraisons forment une série. C. MARPON ET E. FLAMMARION, Editeurs 26, riio Racine, PARIS. Revue Financière La liquidation s'effectue à des prix légère- ment inférieurs aux plus hauts cours coté Le Crédit Foncier est demandé à 13 30 au comptant. Les obligations fonderas et com- munales ont eu un bon courant d'affaii i Banque de Paris et des Pays-Bas s'est échangée à 791 25. La Banque Nationale du Brésil est en reprise accentuée à G10. La Société Générale est solidement établie à 457 50. l& Banque d'Escompte fait 525; le Crédit Lyonnais cote G88 75 ; la Société de Dépôts et Comptes courants reprend il 59750. La Banque Internationale.de Paris paie depuis le 2 janvier un coupon de 10 francs à Irsur le dividende de l'exercice 1889. La paiement s'effectue au siège social sous dé- duction des impôts existants.

LA RÉGION - archivesjournaux.ville-cannes.frarchivesjournaux.ville-cannes.fr/dossiers/courrier/1890/Jx5... · la certitude (jite cet honorable ingénieur ... se former dam ÎS foi\d3

Embed Size (px)

Citation preview

constater quo le projet tic la Ville soitt, (ht '•• pour Me- s W Anglai

d'Outro-Manche ; c'est à tort que l'onirnoquo l'autorité de M. Douglas-Galloncar ilêcrivaitleSo mai 188(ï:Jc ttrposxèdtnut'itti renseignement sur le systèmtproposé par M. Houvh'pr, e t c .

Notre contre-projet a obtenu l'adhésiondes trois ingénieurs hygiénistes anglaisauxquels il a étô soumit!.

i On se rappelle les termes de la lettre de' M. Best dont le Littoral du 11 juin 1889

publia lu traduction.* On se rappelle aussi la lettre quo nous'• adressa M=(i<> Yalcourt ; cet honorable doe-; tenr \ i t M. Douglas-Gallon au Congrèsî International d'ingiOne à PansTcUlaequît

la certitude (jite cet honorable ingénieurapprouvait toujours les drains directs dontil avait recommandé l'application en 1883.

Enfin Sir Hobert lîawhnson, ancienchef du département d'hygiène d'An-gleterre, une aulorité s'il en fut en lamatière, n'a pas hésité ;'t recommander ala ville de Cannes, notre contre-projet

| plus simple, plus économique, plus hygié-: nique, son rapport publié par le Courrier[ et. le Midi Hivernal en décembre dernier

est encore dans la mémoire de tous.

Faut-il citer encore les lettres de l'é-minent Durund-Claye, ingénieur fninçaisqui, le 2"> décembre 18So et le 2 novembre188(3 recommandait à M. le Maire derepousser tout système d'horlogerie et den'employer à Cannes que des canalisationsbien iavées et bien ventilées, condamnantainsi d'une façon formej.1;1. \^\,\ y.wr/', \lefosse centrale, do p o i r e s et de machines

{ a vapeur dans wy ville accidentée comme, la nôtre et échelonnée sur le rivage, au; point d'être, divisée naturellement en 81 zones, aj a i) t chacune leur déclivité natu-

relle voré la mer.

I *s esprits impartiaux qui ont suivi nosdcjiats n'hésiteront pas à condamner le.Pi-ojet municipal. Aux délicate... jiropa-

teiirs d'idée... d'effet moral demandonsjurquoi il n'a été tenu aucun compte de

'effet réel qui se fera sentir aux écoles doi Verrerie voisines de l'abattoir et aux

'es de la Ferrage contigûes de l'usine

Les pores de famille qui envoient leursenfants à nos écoles communales n'au-

! raient-ils, par hasard, droit à aucuneI satisfaction morale et dans l'esprit de nosi ômînents hygiénistes, ce,-i contribuables

et les propriétaires voisins de l'impasseBergerie représentent-ils rfa/is/'or(//'e/»o-ral des quantités négligeables Ii l'égal desimmeubles situés entre la route de Fréjuset la voie ferrée?

A. ARLUC.: Quelques citoyens, peu au courant de la

question qui nous occupe, nous ont mani-festé la crainte d'ajouter, en protestant,

; do nouvelles longueurs à l'exécution duréseau d'égouts.

i C'est une erreur. Le projet municipal,; voté en janvier dernier,;! àpeineaccompli,

en un ;in -sa ptrmière étape, impossible, demettre la main <'i l'œuvre avant deux nou-velles années, si on songe aux formalités

, nécessitées par l'emprunt d'un million,par l'expropriation pour cause d'utilité

iesler leur opinion devant M. ia Corni

sa ire enquêteur,

Nous no pensions pas publier le •

que nous avons préparé pour l'enquêi

mais quelques personnes ont pensé qi

fallait le faire pour faciliter le travail (

citoyens peu versés dans la questù

nous nous rendons à leurs désirs.

Le soussigné Arluc Paul-Alexandre, innieur civil, quai St-Pîerre, proteste:

1" Contre l'illégalité des remanientfaits au dossier des égouts après le votesans ia sanction du Conseil municipal.

2° Contre le système adopté par la Vicomportant : fosse centrale, usine à vapeet pompes de refoulement au centre deville ; système impuissant a desservirquartier Ouest,

3" Contre les faibles pentes des collecteuidescendant à près de l/$oo et contre les tr;chées profondes qu'il faudra creuser dansartères fréquentées comme la rue Centra

•1° Contre l'emplacement de l'usine à 'peur et de la fosse centrale au cœur mêm<de la ville près les écoles communalesFerrage et dans une position entléiabritée de l'influence purifiante des vents.

5" Contre le canal de secours déchargeaila nuit, la totalité des eaux d'égoût prèsPhare et des maisons du quai St-Pîernaussi pendant toute la durée des accideaux machines.

C"Contrôlessyphonements des collecteuidans la traversée des vallons.

7° Contre la faible pente et l'établissdéfectueux du canal de secours no pouvaifonctionner qu'avec l'élévation des eaisales dans la (osse centralisée qui entraînela mise en cliarr " , tuyaux collecteurs sde grandes longueurs.

S" Contre la faible quantité d'eau prevpour la consommation de chaque habita(90 ou 100 litres tandis qu'une ville comnla notre alimentée par un canal doit etêtre largement pourvue et compter sur uiconsommation de 250 litres).

9° Contre l'absence de canalisation dan:des endroits peuplés comme ceux situés aiNord du boulevard d'Alsace, entre le passagfà niveau delà routed'Antibes et le bout

la Foncière — ceux situés au PetilJuas et aux abords du Lavoir — ceux deVallergues qui contiennent deux parfumeriiImportantes, et tant d'autres quartiers donil'énumération serait trop longue.

10° Contre la refoulement sur unpoint, à 52 mètres du rivage, de toutes leseaux vannes ; (contrairement aux asselions émises, ni à la Roubine, ni au Troude l'Ancre il n'existe aucun courant de laSiagne portant au large.)

11° Contre les longueurs et les retaique nécessiteront l'emprunt et l'expropria-tion d'immeubles pour cause d'utilité publique ; toutes choses qui demandent plusieurannées pendant lesquelles il ne sera papossible de supprimer une seule fosse pulst|Uil'essence même du projet municipal iavant tout que l'usine et le tuyau de refou-lement soient exécutés.

publique, au temps itemrdeki f" P.-L.-M. k

me pour ob~ision do

traverser la une ferrée, e tc . ,e tc . .Tandis que de simples canalisations

dans tous les valions principaux et leurprolongation en mer peuvent être auto-risées on un mois ot entreprises avant ledépart ot nous les veux de nos botes; cequi ne serait pas un mince élément desuccès pour la saison prochaine

A. A.

L'ENQUETEDes 6, 7 et 8 Janvier

La campagne que nous avons menée

avec la plus entière bonne foi contre le

réseau d'égouts municipal louche à sa fin.

Si nous avoua réussi à faire partager

notre conviction aux habitants de Cannes

et à la majorité des conseillers municipaux

nous serons dédommagé des fatigues que

celle campagne nous aura coûté. Nous

avons signalé le datiger;à nos couciloyens

;'i f;uro maintenant leur devoir et à maui-

Ceci dit :Le soussigné désirerait voir adopter

la ville de Cannes le système de drains di-rects qui supprime, comme inutiles, la fossecentrale, l'usine et le tuyau de refoulement.

Un meilleur résultat peut ôtre obteniavec une dépense plus faibie et en beaucoupmoins de temps; il s'agit de décharger di-rectement les eaux d'égouts à la merplusienrs points et à une distance suffisantedo ia côte.

La configuration naturelle du sol indiqueles zones de drainage convergeant vers lesvallons.

Dans le lit de chacun de ces vallons jepropose de placer les tuyaux d'égout venantse décharger dans la mer en passant par labouche de chacun d'eux.

La longueur des parties immergées dicliaqua drain varierait lia 100 à 400 mètresde manière à obtenir une profondeur d'eaude 5 mètres. Cependant, dans le cas del'égout D' ( Voir le ï>/rtn),ayant une longueurde 400 mètres en mer, cette profondeur estdéfi mètres.

Ce supplément de profondeur a été donnépour mieux clarifier les eaux a l'entréedu port.

Les raisons qui militent en faveur de monprojet sont les suivantes ;

l°Une |iente beaucoup plus grande peutêtre donnée aux égouts; par suite il y auraà l'intérieur un courant permanent et aucunstationnement ou emmagasinage des eauxsales.

s fall3- La dépense sera beaucoup pet le travail pourra l'tfe exécuté en détavallon par vallon. Ceci permettra de corniiiûncer le travail tlts suite avec lela ville a disponibles,!! y aura puu de forma-lités à remplir et l'ouvrage avancera rapi-dement.

3° En outre, au fur et a mesure que leségouts seront construits les fosses pourronêtre supprimées sur la ligne suivie par cha-cun d'eux en exécutait les drains particu-lier.'!, de manière que dans le cours d'unannée elles auront presque toutes disparues.

Il a été dit que mon projet est impraticablipar la raison que la mer serait souillée pala décharge des égout-s en face de la ville apoint de devenir un sérieux inconvénient. ,cet argument j'ai d repondre qu'il existeprésent huit tuyaux de drainage déchar-geant directement dans la mer.

Parmi eux trois reçoivent chacun lessales de GOO personnes environ, la partitimmergée de ciiacun d'eux varie de 15 a 4métrés et malgré cette courte distance hcôte en face n'a pas été souillée et le fond dla mer non plus et cela depuis les cinqannées que ces égouts fonctionnent.

On ne peut voir de la cote aucune matièreflottante et même avec ia mer tout à faicalme, la limpidité des eaux n'est pas troubléeau delà d'un rayon de 7 mètres dipoint d'émergence.

Il n'y a que quelques restes de papiers quipeuvent être aperçues, an fond de la mer,dans ce petit rayon.

Ces faits ont été examinés et reconnus parplusieurs, r-ei^Ji'.ties, entr'autres par M.Bestingénieur hygiéniste de Londres, paM. Rkldett, de l'Agence anglaise Taylor eRiddett, par MM. Escarras Honoré et Pier-rugues Joseph, conseillers municipaux quenous avons conduits en bateau examine

s diverses décharges existantes.Je suis assuré par une longue expériencle les grosses mers qui se produisent a

moins deux ou trois fois par an dérangerles sables à une profondeur d'eau de 8 mètre;ce qui est une garantie suffisante qu'il npourra se former aucun dépôt sur lo font1

Les constatations faites par 1'honorablrapporteur de la Commission des égouts à la

•tîe du drain Provençal et les analysesqu'il a fait pratiquer sur des sables pris a1

point du môle ou la Compagnie des Vidangesdéverse ses tonneaux depuis plus de six

:inées sont une preuve de plus que la mer m.isse, aucun dépôt nuisible, se former damÎS foi\d3 moindres de 8 mètres (Voir page

41, 42 et 43, brochure publiée en 1888le docteur Gruzu sur l'assainissement de laTille da Cannes.)

Pour l'édification du commissaire-en-quêteur et des autorités administratives,e dépose avec un plan-indicateur de la villerà sont marqués les drains directs, une série

de 45 journaux de la localité; ils contienr.les adésions à notre contre-projet, les

différentes critiques que j'ai cru devoir foimu 1er, en ces derniers temps, contre l'adop-tion d'un projet qui serait désastreux pourla ville et onéreux pour les propriétairesd'immeubles. ]1 exigerait une taxe d'abonne-ment au moins quatre fois supérieure à cellqui serait légitimement due pour le branche-ment des tuyaux de chutes el d'éviers si 1)ville entreprenait nos drains directs.

A. ARLUC.

MENUS PROPOSA i'Hùtel-de-Ville :Une pauvre femme se présente nu bureau où l'o

Listnbuc les secours a-ux [iidigcotsu— Quels sont vos titros ? demande lVni|ïlojé.— Monsieur, j'aî eu quatorze enfants,.— A la fois ?

Sur lo boulevard :— Ou vtis-tu comme cela ?— Chez mon tailleur.— Bigre! Tu ns un tailleur?Tii le paies donc— Si je ne le payais, il viendrait chez moi.

D'un modernisme bien décevant, ce Grivin di

Jeune homme, ne fréquentez jamais que les bontes gens ; ce sont les plus faciles à rouler !

— Pourquoi fuiles-ious des nrmos 'f— Pour maigrir... Et vous?— Pour engraisser.

• ménagea sec !— Eh bien, Alfred, as-lii vu ton père?— Oui.— Lui as-tu demandé do l'argent?— Oui, et dès le premier mot, il a fait un bond,— De mille francs !

LA RÉGIONO U A S S E

La mort impitoyable vient de frappidans ses plus chères affections une hono-rable famille de notre ville.

Mademoiselle Marie-Louise Chaberl, fillede M. Cliabent, sous-inspecleur des forêtsen relraile,otsoRiirdeil.le»io(ileurCliaberl,n succombé dernieremenl.a peîneàgée dpSJ8ans, des suites d'une maladie implacabledont rien n'a pu entraver la marche fatale.

Douée des plus sérieuses-quotilés de l'es-prit otdu cœur,mademoiselle Marie-LouiseChabert sera unanimement regrettée parla société de noire ville où elle était aiet appréciée.

MONACOL.L.A.A.S.S. le prince Albert I" et la prin-

cesse Alice arriveront à Monaco le 5 jan-vier à 3 heures de l'après-midi, par lspécial, accompagnés du prince Louis.

Des l'arrivée en gare du train spécialqui les amène, les canons de la batterie sn-lueront l'enlréo triomphale du prince Alberll".

A la place d'Armes, In Socîélé des Réga-les de Monaco, drapeau en ttHe, fera unedémonslralîon. Un groupe déjeunes filles,portant les insignes de la Sociélé, offriraun bouquet à ia princesse Alice.

Sur la place du Palais.sous l'arc de triom-phe, des jeunes filles vêtues de blanc, avecune écharpe rouge offriront aussi un bouquetà la princesse; et un autre groupe de demoi-selles,accompagnées des membres du Comi-té, lui remettra un superbe éventail, respilueux souvenir des habitants delà Princi-pauté.

Selon l'antiqueusage.M.lecomleGastaldimaire de Monaco, enlouré de ses adjointsei des membres de la Commission commu-nale, remettra les clés de la ville au princeAlbert 1".

Au passage du carrosse princier, les tam-bours et clairons de la compagnie desgardes, rangée en bataille devant 3a portedu l'alais baltronlaux champs; el la Sociétéi'hil.tnnonique, qui prendra part officielle-ment à la fête de réception, exécutera lamarche de la Principauté.

Une quantité de yachts de plaisance sillon'neront le port, cl celle croisière, organiséepar la Société des Régates, ne sera pas undes moindres allntils de la décoration de laPrincipauté.

Le soir, sous les fenêtres du Palais, laSociété Chorale, un groupe do dames etlies artistes amateurs,, avec le concoursde 1 orchestre de Monle-Carlo, exécuteront

canlalc composée pour la circonstancepar le maestro Bellini.

i Société Philharmonique exécutera en-fin quelques morceaux choisis de son réper-toire.

Les arcs de triomphe, les avenues, lesvoies publiques.ainsi que toutes les maison;particulières, seront illuminés a giorno, et

jlrailcaux flambeaux parcourra les ruesde Monaco el de la Condaniine, précédéedes Sociétés philharmonique et Chorale.

Le,l°ndomain, connue autrefois le jourdo la Sl-Cliarles, auroniliou sur la place duPiiiais des jeux divers.

Le soir, nouvelle retraite aux flnmboauA.qui, de Monaco se rendra à Slonle-Carlo.

C'est ii Mon le-Carlo qu'aura lieu la secon-de partie de la fêle, non moins allrayanleque la première partie, el qui comprendraentre autres : Grande illumination, feud'arliâce par Ruggieri, de Paris ; fête véni-tienne dans la rade ; concert donné sur lesterrasses par S'orchestre de Monte-Carlo,elc.

MONTE-CARLO

On vient d'inaugurer les ascenseurs IJeu-rlebiso el G{illerand,inslallés dovontla gare

donle-Carlo. Comme nous le disionsdernièrement, la Compagnie des cheminsde fer délivre à se guichets des billets

inanl droîl au parcours du chemin de ferel des ascenseurs, moyennant une augmen-tation de 25 centimes pour les billets simplesl 35 centimes pour les billels aller eletour.

Les personnes non munies de ces billelsle chemin de fer trouvent sur placo desillets délivrés par l'administration des as-

censeurs. Unpassage spécial est affecté auxvoyageurs qui prennent les ascenseurs. Ce

ige sera entièrement couvert depuisle débarcadère, el permettra do conduireles voyageurs complètement a l'abri jus-

l'aux terrasses du Casino.Lo mouvement ascensionnel est absolu-

nenlinsensible, elles arrêts sont aulouia-

liquementréglés, do telle sorte qu'il7^7 Iaucun danger de lieurl. • a''

Les cages de l'ascenseur soi» ,,arnlf,d'élégants vitraux êmailfe en couleurirenouvellement de l'atmosphère y est aasré au moyen de très ingénieux ventilâtesnouveau système, qui paraissent rêal *une importante amélioration en supprimles courants d'air.

Ce sont des lames de verre en iOr

d'S. emboîtées les unes dans les nutres $1il y a lieu de recommander l'applicaLio'habitationselsurloul aux salles renferiliam|

une grande aggloméra lion de pereonnes 1L'heureuse disposition do ces ascenseuj

est e naLuro à en assurer le succès

II y a quelques changements dans teP

gramme des représenta lions théâtralesMonle-Curlo. Ces changements condans l'inlervertionde deux opéras;et Juliette sera joué en févHer.ies 'samedlj15 et 20, et Hamlet les samedis 2â el mari

26,Mme Deschamps ne pouvanlêtre à Monte-Carlo avant le 30.

Dans le Médecin malgré lui, leMme Deschamps est pt>ur la mèmidonné a Mlle Paulin.

En mars, on a ajouté au programme lijoli opéra doGalathêe,pour Mme Desch.

Astronomie Populaire

L'Astronomie Populaire offra Veiposé précis de toutes les grandes découvertesastronomiques qui noua ont appris a connal-tra le ciel et la terre. Ce livre est l'expres-sion complote de l'état a:tuel de la scieneesur la constitution de l'Univers. 11 élèvel'âme et lui donne le calme d'une haute phi.loaophie.

Par la lecture de cet ouvrage, d'un stylsi pur et si harmonieux, illustré de nombreuses figures qui en font en même tempsune œurre d'art, on se met rapidement etagréablement au courant des réalités mer-veilleuses de la science moderne, découvetes qui tout en étant indiscutables, semblepourtant parfois tenir du prodige

Sanctionnée par le suffrage de près dacent mille lecteurs, couronnée par l'Institut{prix Montyon de l'Académie française),adoptée par le Ministre de l'Instructionpublique, l 'Agronomie popalnlre »pris rang dans toutes les bibliothèques, de-puis les plus humbles, et est devenue pourainsi dire indispensable pour toute instruc-tion qui désira être établie sur une basesérieuse. "••

Cette nouvelle édition, entièrement re-fondue, fait passer sous les yeux du lecteurles derniers progrès de la science récemmentréalisés dans la connaisssance de l'Univers :étoiles, soleil, mouvements de la terre, na-ture des autres globes notamment de notrevoisine la planète Mars, origine «t Sn desmondes, solution des problèmes les piintéressants qui puissent captiver l'intelli-gence humaine.

L'ouvrage, que l'on pourra , 0 nrr.,,,,—chez tous 1"= nt-iunes de Paris et des dépar-tements et chez les marchands de journaux,formera un beau volume grand in-8° Jésus.Il sa composera d'environ 100 livraisons àlOcenlimes ou de 20 séries environ à 50centimes. Il paraît 2 livraisons par semaine;5 livraisons forment une série.C. MARPON ET E. FLAMMARION, Editeurs

26, riio Racine, PARIS.

Revue Financière

La liquidation s'effectue à des prix légère-ment inférieurs aux plus hauts cours coté

Le Crédit Foncier est demandé à 13 30 aucomptant. Les obligations fonderas et com-munales ont eu un bon courant d'affaii

i Banque de Paris et des Pays-Bas s'estéchangée à 791 25. La Banque Nationale duBrésil est en reprise accentuée à G10.

La Société Générale est solidement établieà 457 50. l& Banque d'Escompte fait 525;le Crédit Lyonnais cote G88 75 ; la Sociétéde Dépôts et Comptes courants reprend il597 50.

La Banque Internationale.de Paris paiedepuis le 2 janvier un coupon de 10 francs à

Irsur le dividende de l'exercice 1889. Lapaiement s'effectue au siège social sous dé-duction des impôts existants.