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sion (tas attributions des autorités lo- cales. Des comiinissions ont été nom- mées; leurs travaux ont avorté. Pour- quoi ? Parce que les commissions ont rgculô devant l'étendue île leur tâche. La centralisation csl un éilifice consi- dérable-, dont les fondations sont trop ( solides pour qu'on son^e à l'abattre d'un seul coup. Peu de temps avant la clôture (le la session, un dépulé. t'orl bien int011- tumné. déposa uni- propu-il ion truilanl à transformer tl-epuis ,, jiwpi'à : Imi- te notre or^anisilion aflininislrnlive financière, judiciaire. C.'élail beau- coup à l a f n i -.. l.a déreul ralisal ion, pourèlrr assimilable. \ < ' u l è ln- pri*-! 1 à pethes dusex Plus linbilnnenl, nu autre meimbre ilu Parlcmenl vient do prier le minisln' de i'Inléricur de con- sulter les conseils généraux, lors de leur prochaine session, sur les nniilifi- cations à apporter à noire hVislalion départementale. [I s'a^irail. en parli- eulie! 1 . île demander à ces assemblées si elles ne scraienl pas d'avis d'avoir la faculté de se réunir, comme les con- seils municipaux — sur un simple ar- rêté préfectoral. I/inilia!ive es| iii!éi"essanlc. car cel- te lunule e\li'ii>ioii îles pouvoir^ \\vs conseils générau.\, si rlle T-lail aet]tii^e, constiUieiviit nu sucei's appréeiablc poiir la (léceiilralisaliou, une premiè- re élape s u r la voie de la rét'nnmo ad- minislralive. HOTEL DES PINS t'wi-l'nnii. AKMK.', - THifhon*. — Uram« fkidU. Ser»lc« iptclml Ht voltnre. »oit \%c«tt. ~ A Jroit.iU dt l'hit,., «...t 1411 Protection des Oiseaux Nous avons dit qui', sur la <leimamlc de plusieurs colonies anglaises, rava- gées par les inx-iirs cl nn'uacées de faimine, la l.liaaibrc ilc> l'oininuiies allait <'xa,iniiicr un projel ili' lui ri'^le- uientaul de façon 1res sévère la chas- se des prii[> oiseaux. Le même problè- me mérite d'èlre é'hulié ru France, surtout dans le Midi, où de Bordeaux à Niée, il s ( > l'ail un massacre formi- dable el siupiilc des espèces les plus utiles à l'a^noulliiiT. île celles UU'IIH 1 qui n'onl aucuiir valeur culinaire. Dans une brochure iutilulée : lutin pour les oiseaux, M .Sé\erir, l!auilnu\ affirme qu'au cours d'une >aison il M* capture en Cntu, :S mi liions d'hiron- delles, et que chaque comimune de Provence en délruit plus de 100.000. Dans les environs de Marseille, M a vu tendre des fils de fer où l'on faisart passer un courant électrique, luant ainsi d'un coup 10.000 oiseaux. Fau- vettes, rouges-gorges, mésanges, roi- telels, lien n'échappe aux chasseurs; or, un nid de fauvettes extermine en moyenne, au moment de la ponte, 20.000 pyrales; une famille de mésan- ges, 24.000 insectes; quant, à l'hiron- delle, elle dévore par jour une quanti- de moucherons et de moustiques égale au poids de son corps. G'est pourquoi, les savants calculent que, huit ans après la disparition complè- te des oiseaux, la lerre deviendrait inhabitable à l'homme. Nous n'en sommes pas là, mais il faut y penser, puisque, chaque année, le retour des oiseaux uiigrateurs di- minue. Depuis 1002, une convention inlernationate a élé établie; elle est insuffisante. M. Uaiulouy demande ;\ 1'IIIat de rendre les lois plus rigou- FEUILLETON DU LITTORAL Le Brosseur Noir Drame des Ténèbres d'Afrique ARMAND DE LANROSE l'A on iinivu ain-i à ln>is ou quatre jours scnU-nicin avanl l.i , ,'1,'ination du mariage. \pn\-, ,m, station ,IIIN eaux d<- Vichy 1 cuis Sinumiirt riait H-VI-MII |i'iur Irnis amis ,\ F.vniK.oint ; .m l'avait, vu ; ,.n l'avail in- vite. [1 se portait a-;st-z !>i,'nr autant du nioin-> <,,„. b-, tiévi,, .l-.Xfi iMiL.- r lient à r.-nx qui 1 r s " U t i-p.'ouv.Vs ,1,- s,- r,-m,-urc avant un retour di'iinitif sou-, li- rii-l I|UI e s t l e leur. ICI I,- .apilaiae P.-vnl étail parti à Paris Z-'îrlny-; M'ie ,.,,ur y lain- ,,n,i,|,,os ae.hats et an |.elil reliait .h- lomls. Admit elia--eu), Sylvain s'évertuait a rcm,,lir le, dèus Kaoleman^er de Mme De- val et 'le M-, l'ai. ut-,. 11 s'rusait in elli'l. ponl une lamille cora- nl , p ,,,r r l'amie, d. ,-,,,,(,-eli,mu,-r une série d,' pàlé,. spiViaiiN a la .e^ion. , «ii.no d a- voir à présenter aux invité, de belle, ,,,,'ccs de venaison. Au bois donc comme en plaine il courait, i-herrliail. fusillait. de la Mlle 'le CanipL.it une l"iet : .e|endait i*uses, d'interdire absolument la chasse dite au poste et de créer un institut ornithologique qui s'occupera du repeuplement. Il veut que l'initiati- ve privée seconde l'effort du pouvoir, par l'intermédiaire des Sociétés agri- coles et des Sociétés scolaires. Un instituteur de Saint-Germain af- finnie q«e depuis six ans, il n'y a plus parmi ses élèves un seul dénicheur d'oiseaux: il a obtenu ce résultat par une prnpa^aiHle de dictées, de lectu- res île problèmes, d'images et de prix. II faudrait que tous les maîtres d'éenle suivissent son exemple. Il con- viemlrail aussi d'imiter ee qui se fait a rélraii^er. Kn linn-rie. ou a insti- tué nue l'èle annuelle des oiseaux à la- quelle oui plis pari, eu I!IO7, plus de iOO.IIOII e i i f a u K l'.n Aulriehe,, on a dislriluié I'UUIII'M' dernière 14.000 nids art i!iei<'ls t\ 11 Aileiiui^iu', la desirue- hou des oisi'iiiix iilili-^ est punie d nue amende de 200 marks et quelquefois île prison. Pour avoir le droit de mcl- Ire eu ea^r au rossignol, il faut, de- mander une peninissinn S'péeiale el ac- (juilier un ilroil au profit des éfatilisse- nienls de bienfaisance. En Suisse, la li'^isliilion es| plus sévère encore et ce pu.\s ]ieul élre appelé le paradis des oi^ennx. Chronique Locale Le temps à Cannes. Communiqué par la Maison B. Aifi hv, npiiruMi, 2/1, rue d'Antibea. Ilirr. . ic:i^f m i n i vi;r- heures. l'I iMiiliiT : 8 ni/m. Alinima : r8.o, .Miixiina : ^f)./(. Baromètre : 767,0, llyi-rromMre : 71. 'IVmps probalilr ; Vent. Péril Clérical ,]<• no me doutais ^IK'TO (fn'uiu' sini- \)\e ivfltxîon éinisi 1 , MUIS arriiMv- l>ons(''O n u o u i i o , dans U's (|iit'!(|iios li- irnos adrc^si'os le 10 juillet au /.'//"- ml, ^>>\\< \v litre : L<> Prril (Irriral, linivoijiirrail (ic la part du Petit Prn- minii la -i vi''Iu''m<îiito prot-eslation de l)\-ibonl, jr tiens estentïelleimMtl à ilt'i'tarei" (jiic mon cinili'adirleii]';i loti di 1 VCM!" là u n r iiiUM'v^ntioii qm'leoncuio de \<\ •iniiiiicipalilf' 1 acfur!k\ Que IIDII.N rn i finissions pln^, à (^an- nos, écrire ce <|u-e nous pensons, dan^ le seul organe local dont nous dispo- sons, sans être taxé de poile-parok 1 d* 1 (•i'Ini-n mi de rr.lui-là, cela nVvK'nt inlnli''ral)lr. C'est •donc sous ma seule r^sponsa- l)ililé (jiu* j-e l'époude ce qui suit au /'(•/// l'rnruncul : C.luH'un sait que les écoles publi- ques, c'est-à-dir-e 'laïques, .peuvent seu- les être entretenues parle budget com- munal. Mais k 1 ['édacteur du jiuirnal ,inar- seillais, fjui ronnait pai't'aitenn'iil la loi, n'ignore pas que l'int-eniiction de Mihv-enlioniHT les écoles privées ne s'a.pplique ni aux allocations à distri- 1)1101' aux enfants pauvres qui fréquen- tent ces écoles, ni aux fuiirnHures sco- lairc< de.sfinée^ aux mémo enfants» si des fournitures se-m.l)Iable>, .sont accordées aux écoles 1 publiques. fermant l'horizon et avançant quelques poin- tes au milieu des terres cultivées. Les Lardennois possédaient une de ces pointes. Sept ou huit hectares enclavés dans des prés, des champs leur appartenant aussi. Et avec une ancienne ferme, abandonnée comme maison d'habitation, mais dont les grands st-rvainit incnrc pour y remiser des pailles, du buis de rhaullagc. Oiiaïul Ir prie MU \v tils allaient à la chasse ils s'y abiiuiinil. y faisaient du feu, ycas- CetLe vieille ferme, autrefois bien d'hos- pice, s'appelait La Maîadiàre. Ali la connaissait pour y être allé avec Syl- vain cl !(• capitaine il savi'iit liés bien que par un sentier à travers vignes et prairies on pouvait s'v icmlic en une demi-heure depuis le faubourg de Campfort babité par Mme Dcval. La Mahidière se irouvaut bien plus rap- prochée de la ville que de la ferme des Or- mes. Or, une ruelle de jardins passait au bout des murs de celui de la veuve. Ruelle solitaire, bordée de haies ou de pa- lissades et qui, sans que l'on fût vu par au- cune habitation, permettait d'arriver au sentier d's vi^nc-s sentier auquel elle se rac- cordait aptVs avoir traversé la route dépar- temtntale. T'ris d'une brlU-anicnr.l-- tiavail, Ali s'iso- de langues étrangères, dans un prtii kiuv|ue bâti à l'extrémité du jardin. Kiosque <>ù il y av;iit- un ])oêle, une table, des chniscs et se pitre jiar trois nu quatre pas seulement il'iun- jioiic nislifpic, pareille à celle de tous Ceci est la loi et ce n'est pas la dé- claration d'un maire socialist*, fut-il du Nord ou du Midi, qui pourra la changer. Je crois, d'ailleurs, que, le cas échéant, nul n'oserait qualifier d'in- jiish 1 , l'iiih-ibiition de sonmiies desti- nt'n's aux enfaiiU pauvres des écoles privées, alors que les enfants riches des écoles laïques sont l'objet de tou- tes les libérables. Or, j o n ' a i p a - . ilil q u e !''-• catholi- ([UOs de r.iiniM 1 -, rérhutH'nl quiii q u e c e soit. J'ai voulu, au -eonlraipe, oj)po- ser leur désintéressennent à l'esprit égoïste et mesquin de eeux qui ont trouvé mauvais i | m ' l e Conseil iiiunici- J»al accortlàt une Miljvenf inn i!e deux cents fran.es à i-ei-lainc société d'en- traînenient militaire, après qu'une sominn-e d-e cinq cents francs .stipplr- Mf'nlfiirrs ail élé votée au Sou îles Ecoles laïques, sous prétexte nuo 'a direction de celle société esl catholi- que. Et j'ai rappelé à ces <-edaires i|ue les ressources de la cniiiiimue pi-o- viennentdo l'ardu 1 de hmx le^ confri- huables, qu'iN <nieiit nu non cailinli- quev J n ;ii d i l -et j e mainl HMIS que Irai- ler des nlnwns ru pariax s i i n| drin fiiî pour un motif d'opinion, \^\ cnulrain 1 à !N'.>pri[ républicain. l.à >'anélr mmi raisnimcMueut e t j e voudrais bien qu'on n:>e /montre de quelle i'ii^on j'ai attaqué l'école laï- que. 17M cafhnliqw. Ecoles Communales Cantines Scolaires Hier, M. lîel'a. deuxième adjoint, les membre.-, de ];i r.oiuinis.-ifui Munici- p a l e <le> 1M'O1(\S V\. M. i'.amoin, în^é- niiMir-voycr de la Ville, ont visité uns Kcoies communales pour s'occuper de la création de cantines scolaires. M. Ramoin a donné les explications né- cessaires au su je! dos locaux à alVecter à ces cantines. Le, Conseil municipal va étudier la question -en Connu i^ion plein en\ puis s-era a|)])elé à voler Ie> crédils néce^>aii'e- pour rrlIr OMI\TI' humani- taire, da lis 111 M 1 de ses pnicha mes séances publiques. Canal dtx Loup La Cou 'un vsiou i\\[ Ca liai du Loti p, coui|po:sée des in;_>-i''iii-f i ur - s du départe- ineiii, do ceux de la Compagnie d.os KkWix et de.s [•epi'ésenlaiiK de la Muni- cipalité do Cannes, se réunira demain, mercredi, au siège de la Compagnie Lyonnaise des Eaux, pour la réception i\u {'.nnal. ainsi que pour l'examen, au préalable, des observations qui se- ront faites par les intéressés. COMITÉ DES FÊTES La Oomanission ries cor.si du Comité dos Fêtos, se réunira demain, mercre- di, pour ehnisir \v prn \v\ de dm r <\c t'-aruaval, ainsi que ceux des autres chars, parmi les nombreux .projets qui lui ont été soumis. Chauffage central. Systèmes perfectionnas. Références de tout premier ordre. Ch. Moser, place de la Peyrière, Cannes. les autres jardins, et permettant de sortir dans la nielle. Absorbées par les couturières, les lingères, Mme Deval et sa fille le laissaient bien tran- quille (IHUS SOU réduit où il s'enfermait pen- dant des demi-journées. Kt rekt après jvuir remplacé son enclume éclatant, des Thuilleurs sénégalais par des effets civils provenant <\v la drfrn<nu' du ca- pitaine. Dehors il u'attiiait dmu- point p.uïiculiï'iv- ment l'allenlioi!. l'-t personne n'aurait pu jurer, à un moment donné, que c'était, lui plutôt qu'une autre personne qui avait été aperçu au loin dans la campagne. Par une après-midi brumeuse le sergent- major se gll-iSîi d;ui-- la niellr ;\yv<)< avoir tout dispose à]'intéri<'iir du kiu^pir HIIHI;I,- s'il n'était absent tpi'à quelques ('entailles de mètres el pour peu de temps : livres ouverts, porte à demi poussée. Tl était quatre heures moins un quart ; et en automne, par un temps bas, couvert il ne fait plus clair pour Inngleiups. TVnn pas de promenade, indillén'Ht. ,iw, un journal en mains mai-, ave. i],---, \-.-u\ t>i- rotant à droit,- et à gaurlu-, il gagna 1-- ren- tier, les vigries. VuV' dès (jn'il ne v\\ plus ni maisons ni ("•1res vivanK à <lMam <• il partit ver* l.a Ma- h'.n vingt miniit^; 11 y èlait arrivé -tur les derrières, dans un verger sauvage, plein de brouissall'-s, de hantes lierhrs, de iliVninhn-s. Il \' i-ampa. -e pnn^a p-'Uà peu vers la rour iniéiieure. Ce qu'il i-cdnulan i-'éiail d'èlre a]K-n;ii, de se trouver n<-/. à ne/ river Svlvain au mo- mcnl où il --'v attendiaii le moins. Syndicat d'Initiative de Cannes Le Syndicat d'Initiative vient de fai- re procéder au tirage d'une carte pa- noramique on couleurs de la Côte d'A- zur avi-r, au verso, de nombreuses in- formai ion-, sur Cannes : ses promena- des, ses hôtels, ses fêtes et ses distrac- tions, l'excellence de son système sa- nitaire et île son alimentation en eau pnliihli', cl,'., etr. I,'envoi ilr ce fascicule constituera une cxceHmlc publicité pour notre vil- le et le Syndicat en tient des exem- plaires (texles français et anglais) à la disposition des comimercaiils qui déMi-eninl eu expédier au dehors. Bibliothèque et Musées. Cnlllllll' \<<u< !<•< an.-, l.-l Itil.ln.lln'-cpir .'I h'- Mn-i-i'- M'i-onl rmin'- . l u 1 " MI :ii ;iuùl inrlii^. On |ir(,iilciM ,lr n'ilr fiiiin 1 - rii |II;IIT (le cri'IaLIl.- (locuiiicills l't r>liji'l> Tramways Cannes-Grasse. K i i l i n . h ii-pi i ••• ,],• la [ii.-r . l e . n n h ili> i! l i v n r , 1 , , . I r a i n u a y - (',all]li--( Ira'-i', I 11 --I-I-. .111( .11.- il.-pni- 'plM-ii'MI-- liir.i-, a II li.'M 11 ï .-•". à l'aiiL'ii' ill- I-1H-: . r \ l l | i l . ( - pnu rMiivi- ;ive la plu-'^r a i n i e a et i\ ih'\ iilin i|iu> la rni-r en f\.fi!<iiI:il ion >]>• relie ligne, lant d^-irèY, pnis-c a\oir lieu le Nouveau danger pour la vigne, On \irnl d'idenlilier 1111 miero^copirpu 1 infecte, ipii a fait d'ini pnrhmts ravapes il.xu< le- viL-im- du Narhonnais, .pi'il C'e-I une prlile pumii-r. !e \y,us M-nr- rimii*. qui n'a\.iit p;i- l'iicorf èlè -ign;i!i' diiii 1 ^ non ri''gnins rnnune enneini de la vigne. j,oint ,,ne. pnr pi;,.-,-, le -..I en ,-\ m.i,-. il e-t nère--:iiiv de |e- dèlrinre n\ant la ponle. lléiiu nnuvrau. Nos concitoyens. Nous a]ipi"cnons avec plaisir que nniie jeu- ne concitoyen, M. Henri Chanalet, qui \ r ient de subir avec succès les examens de chirur- gien-dentiste de la Faculté de Médecine de Paris, va se fixer définitivement à Cannes, sera célébré prochainement son mariage, avec la toute gracieuse Mlle Cécile Ferrari, fille du commerçant bien connu, L'orage d'hier L'orage de courte durée, qui s'est abattu sur Cannes et les environs, hier, vers 2 heu- res et demie, a eu pour effet de nous débarras- ser de la poussière et de nettoyer les rues et chemins. Malheureusement, pour la campagne, la. pluie bienfaisante n'a pas assez duré. Toutefois, constatons que la température qui était très hante, asensiblement baissé, C'est toujours autant de gagné. Adjudication L'adjudication des chablis, bois et arbres de l'île Sàintc-Margucrite a eu lieu samedi soir, à l'Hôtel de Ville, sous la présidence de M, Bclla, adjoint au maire, assisté des re- présentants des Eaux el Forêts. Le tout a été adjugé à M. Joseph Allè-r--, de Golfe-Ju- an, pour une somme de oyi traues. Le pont du 15 août à Paris. (lui ou non, fera-t-on le ponl pour le iT. aonf ? Telle est la question que <c Personne. Du moins personne àla ferme même. Mais Sylvain y chassait- certainement aux environs et n'en riait peint encore reparti. Car K.iihui 1 éï:iil dans l'écurie. Kl ;;•• i' 1 ii 1met de bête qui devine i-t snii .1' ' •• : rr; avoir besoin de ses yeux pour reroiKi.uiu , elle venait de hennir en l'éventant. Ali se blottit dans une meule de vieille paille, entre les bâtiments croulants et la lisière de la f.nvt, au bord d'unfossé et au loiu; d'une h.d.- épineuse. ('••{[>• liai" était trouée par plaees. S,M Loi ,\ un endroit quelques plan- .•)!.•- ^ limé.- -,:ir dr-, poutres permettaient de îraihllli le to-.se. Mai- le jn.n; de bois servait surtout aux voilures on à M, Lardennois père. Sylvain, venant de la forêt, coupait tou- jours an rouit ei franchissait le fossé d'un élan à un autre endroit. M. l.:ird'.-nnow père n'était point venu ee jour-là. un samedi, jour de règlement des un eheval onlin.'ii.- r'ri.m K'i Mima, jument de srlle. qui éi.iil à l'è. uiir. I )r iei.> \h etail 1 ei ialll. Cepcndanl le jeune hoinme pouvait avoir ("uniptorl, rainai a'le qui repartirait à pied vers la ville pendant que lui galoperait vers les Onnes. La prude,ie-- est l ;l mère de la sécurité. L'Aiabe, de ses veux d'aigle, étudiait. posent, el non su M* anxiété, les fone.tion- naîre.- 1 e( employés des mini-dères et des grandes administrât ion?. \A' if) août tomba ni rette année un jeudi. A on <r déride fi faire le pont, ce serait quai re jout - de ron^é pruirlcs fonc- liddiiiiin^. On runçoii I"t'-mr>i ijiii ^^gne dans ce inonde de- i-ouds-tle-euir. Rensei^nenu'iifs |>ri>, on fera le pont dan- certains ministères, peu en contact avec !e trroa. public ; dans d'autres, ainsi que dnns eertjiinns administriilions, telie l:i l'n'feetuie de la Seine, on donnera demi-eou !_./., Je .,- r \ ire élan! as-iiré par ronU'iiiciit. Voihi, ;'i l'heure arfuolle, ce (jui a C'iê décidé pour le ponl du i5 août à Paris. (letli 1 qne-fi-.n •!• pose ég-alement dans le> adinini h,ih<.|i- communales et dôpar- tUl Fête de la Saint-Pierre l.;i ]i';tc d e Im Saint l'i'-rn- --i-ra réléWréc ; '-in' anné.', , p , e< m i • • l.i • 1; particulier. LliV diirei.t <]( pui-. III-K u d i jusqu'à diman- clie et sera téléinée parallèlement par nos marins pêcheurs et les dames de la Halle aux pomons. Voici un aperçu des deux pro- grammes : Merere li 31 : à 8 h. '/> du matin, distribu- tion de '"••<•, - wii.'i; du soir, pranrt feu (Taitil. ; d.'l.i pl;u •• de l p H6tcl d.- Vili. . !•,[,•, niand bal -ur les Allé.-,. Jeudi i or août : à 8 h. ' , du matin, distri- bution de cocardes à la Pnid'hotnie ; à 10 h. graud'uiew s,,]nuiHlr à i'é.di •• Notre- Danu: de ri^péi.iiiM-. \ 1 1 h , -.M., l.i 1.:i t.- du bal, grand v c i n i ' m l h ul'li- J:]ÎII-UI t,i[ct 1 aux dames De 2 fieure-, à i. le TV- I t de 9 heures à mi- nuit, grand bal ; à5 heures, régates à l'avi- ron . Vendredi : concours de boules ferrées à 3 heures ; jeux divers. Samedi : concours de quadrette et de ma- nille, de chant, romances et chansonnettes. Dîna melie : . mu' <-s à ],( voilr, j<-n de la tar- gue de 2 heures à r, heure--, giand bal, q«î sera ensuite repris ju^fu'à. minuit. Le programme de la lêtc des dames com- prend : Mercredi : retraite suquetane, salves d'ar- tillerie, l'eu d'artifice, bal. Jeudi : bal. Vendredi : concours divers. Samedi : concours de chant. Dimanche : bal. Comme on le v u . l e di-aïai ti'.ns ne man- queront pas celle M-nmiik'. i.a Samt-I'ierre sera fêlée en grande pompe. Matelots armuriers. I 11 rojirniir-; pour l'emploi di' mab'lots armurier ;iur;i lieu lu ili a<>ù( M|i'.i, à la Direction d'artillerie naval*' du pur! de Toulon. Le? 1 inscription- seront reçuCd jusqn'iiu 1 ,'1 Houi inclus, au Inireiiu 111 Ul- liiire d e l a nuiij>agnie. Le- candidats de- vront être pnrleur.- de leur a ^ l e d e uais- d'aju-1..-.-. fuivci-e, ,i]u-ui-r >•[ Ireinpt: d'un ouliL ; ••" épreu\e- écrite- ( u n e d i c - lée. calcul Mir !e- fi-:i.'l : <nf>. \o,iinn'i, ^urf.M-e-) c l u n croipii- à ni,ou lr\,.V. l.e résnit-al d u e - o u r - n ' c - l \,dal'lr qm' ''-ou- ivrrve ,|e l'afililiide m ,'-(l i « a l e 1 <rro]i[ ceu\ , i \ a n ! produit le meilleur <>^-;n. Avis aux navigateurs. d'Oi- noir, IVxlr un- ti^r il,- \or, du l',av \ de lu In n ' Non- In- Nord ,li- la t rnbji-t d'un av hl i"' niai nu i no cl uni' '•'• 1" ,1,' 1 h,' S! - 11 cl \ 'lire •mil,' .' Ira' *: n;u r nos 'ilOÛt, nonvi 'inU' a pa< ni de tLrali'l v\ I-I: sud HTM'. ipitsi il •Ho en -e, la irs •Ile de et ,irc marins Ijitiu, il 1 vlvain, à ou qua- 11 étau snd. La uiin M I.'.I, !<• brouillard s'augmentait, et le Tiani ai - eiaii loin d'avoir une vue per- çante comme celle de l'Arabe. Ali comptait là-dessus. Il bondit wr-i l'écurie, y prit Fathmi et l'amena jusqu'à la baie apré- avoir vnm|Hi son licol. Ulle av.Ùt amM des app:uenres de bete qui s'est échappée d'uni- masure mal close. D'un violent < -Mip de In-lin,- il la fit s'é- lancer dans les prés- après p,Lw,, I.V.-liée. Mais, lui, restait d<- l'autie 1 û\c de la haie. L'arrivant" ne pouvait l'aperce von. Sylvain, qui s'était rapproché jusqu'à une dislanc" relativement courte; se débarrassa de son fu--il ei de son carmer et se mit en i!ii"-ii!i' d' 1 1,1'n iprr Ui jument. Celle-i 1 in u:i . ro.-het et l'entraîna de l'au- tre ccMé de la 1-11 ••• -, •• 1 i• .1" ii'îi abreuvoir on la lai-,i" ' • • 1. i | 11 Iqucfois. AH sortit ak-is de .-a uuhcu,:, courut vers le tusil, s'en empara, constata que les car- touches étaient chargées en chevrotines et se diiieea vers l'abreuvoir, M,ns pas extérieurement à la haie, tou- jours diTiière elle au contraire. Sylvain avait saisi la jument pendant qu'elle buvait. il la ramena auprès du pont de bois. A M- moment Ali |>.i-si l'extiéuiité du tusil .111 travers de- biaiuliesdc la haie et fit leu. l.a innient bondit de < ôiè et reprit son pmédeiH ffdoji à Iravers t lianips. SvK.iiu, lui. .ivail roulé à terre, il ll'\ bnll-eall Jlllls. I Sans iloutc qu'il était mort. (A suivre). 1

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sion (tas attributions des autorités lo-cales. Des comiinissions ont été nom-mées; leurs travaux ont avorté. Pour-quoi ? Parce que les commissions ontrgculô devant l'étendue île leur tâche.La centralisation csl un éilifice consi-dérable-, dont les fondations sont trop

( solides pour qu'on son^e à l'abattred'un seul coup.

Peu de temps avant la clôture (le las e s s i o n , u n d é p u l é . t ' o r l b i e n i n t 0 1 1 -

t u m n é . d é p o s a u n i - p r o p u - i l i o n t r u i l a n l

à t r a n s f o r m e r t l - e p u i s ,, j i w p i ' à : I m i -

te n o t r e o r ^ a n i s i l i o n a f l i n i n i s l r n l i v e

financière, j u d i c i a i r e . C . ' é l a i l b e a u -

c o u p à l a f n i -.. l . a d é r e u l r a l i s a l i o n ,

p o u r è l r r a s s i m i l a b l e . \ < ' u l è l n - p r i * - ! 1

à p e t h e s d u s e x P l u s l i n b i l n n e n l , n u

a u t r e meimbre ilu Parlcmenl vient dopr ie r le min i s ln ' de i ' In lé r icur de con-su l t e r les conseils géné raux , lors deleur procha ine session, sur les nniilifi-ca t ions à a p p o r t e r à noire hVislaliond é p a r t e m e n t a l e . [I s ' a^ i r a i l . en par l i -eulie!1. île demander à ces assembléessi elles ne scraienl pas d'avis d'avoirla faculté de se réunir, comme les con-seils municipaux — sur un simple ar-rêté préfectoral.

I / i n i l i a ! i v e e s | i i i ! é i " e s s a n l c . c a r c e l -

t e l u n u l e e \ l i ' i i> io i i î les p o u v o i r ^ \\vs

c o n s e i l s g é n é r a u . \ , si r l l e T-lail ae t ] t i i ^e ,

c o n s t i U i e i v i i t nu s u c e i ' s a p p r é e i a b l c

p o i i r la ( l é c e i i l r a l i s a l i o u , u n e p r e m i è -

r e é l a p e s u r la vo i e d e la ré t ' nnmo a d -

m i n i s l r a l i v e .

HOTEL DES PINSt'wi-l'nnii. — AKMK. ' , - THifhon*. — Uram«

fkidU. — Ser»lc« iptclml Ht voltnre. »oit \% c«tt.~ A Jroit.iU dt l'hit,., «...t 1411

Protection des OiseauxNous avons dit qui', sur la <leimamlc

de plusieurs colonies anglaises, rava-gées par les inx-iirs cl nn'uacées defaimine, la l.liaaibrc ilc> l'oininuiiesallait <'xa,iniiicr un projel ili' lui ri'^le-uientaul de façon 1res sévère la chas-se des prii[> oiseaux. Le même problè-me mérite d'èlre é'hulié ru France,surtout dans le Midi, où de Bordeauxà Niée, il s(> l'ail un massacre formi-dable el siupiilc des espèces les plusutiles à l'a^noulliiiT. île celles UU'IIH1

qui n'onl aucuiir valeur culinaire.Dans une brochure iutilulée : lutinpour les oiseaux, M .Sé\erir, l!auilnu\affirme qu'au cours d'une >aison il M*capture en Cntu, :S mi liions d'hiron-delles, et que chaque comimune deProvence en délruit plus de 100.000.Dans les environs de Marseille, M avu tendre des fils de fer où l'on faisartpasser un courant électrique, luantainsi d'un coup 10.000 oiseaux. Fau-vettes, rouges-gorges, mésanges, roi-telels, lien n'échappe aux chasseurs;or, un nid de fauvettes extermine enmoyenne, au moment de la ponte,20.000 pyrales; une famille de mésan-ges, 24.000 insectes; quant, à l'hiron-delle, elle dévore par jour une quanti-té de moucherons et de moustiqueségale au poids de son corps. G'estpourquoi, les savants calculent que,huit ans après la disparition complè-te des oiseaux, la lerre deviendraitinhabitable à l'homme.

Nous n'en sommes pas là, mais ilfaut y penser, puisque, chaque année,le retour des oiseaux uiigrateurs di-minue. Depuis 1002, une conventioninlernationate a élé établie; elle estinsuffisante. M. Uaiulouy demande ;\1'IIIat de rendre les lois plus rigou-

FEUILLETON DU LITTORAL

Le Brosseur NoirDrame des Ténèbres d'Afrique

ARMAND DE LANROSE

l'A o n i i n i v u a i n - i à l n > i s o u q u a t r e j o u r s

s c n U - n i c i n a v a n l l.i , , ' 1 , ' i n a t i o n d u m a r i a g e .

\ p n \ - , , m , s t a t i o n , I I I N e a u x d<- V i c h y

1 c u i s S i n u m i i r t r i a i t H - V I - M I I | i ' i u r I r n i s a m i s

,\ F . v n i K . o i n t ; . m l ' a v a i t , v u ; , . n l ' a v a i l i n -

v i t e .

[1 s e p o r t a i t a-;st-z !>i , 'n r a u t a n t d u n io in ->

<, , „ . b-, t i é v i , , . l - .Xfi iMiL.- r l i e n t à r . - n x

q u i 1 r s " U t i - p . ' o u v . V s , 1 , - s,- r , - m , - u r c a v a n t

u n r e t o u r d i ' i i n i t i f s o u - , li- r i i - l I | U I e s t l e l e u r .

ICI I,- . a p i l a i a e P . - v n l é t a i l p a r t i à P a r i s

Z-'îrlny-; M'ie ,.,,ur y lain- , ,n, i , | , ,os ae.hatse t an | .eli l r e l i a i t .h- lomls .

A d m i t e l i a - - e u ) , Sy lva in s ' é v e r t u a i t a

rcm,,lir l e , d è u s K a o l e m a n ^ e r de Mme De-val et ' le M- , l 'a i . ut-,.

11 s ' r u s a i t i n el l i ' l . ponl une lamil le cora-

n l , p , , , r r l ' a m i e , d. ,-,,,,(,-eli,mu,-r une séried,' p à l é , . spiViaiiN a la . e^ ion . , « i i . n o d a-voir à p r é s e n t e r a u x i n v i t é , de be l l e , , , , , 'ccsde v e n a i s o n .

A u bois d o n c c o m m e en p la ine il c o u r a i t ,

i -herr l iai l . fusi l lai t .

de la Mlle 'le Can ipL. i t une l " ie t : . e |enda i t

i*uses, d'interdire absolument lachasse dite au poste et de créer uninstitut ornithologique qui s'occuperadu repeuplement. Il veut que l'initiati-ve privée seconde l'effort du pouvoir,par l'intermédiaire des Sociétés agri-coles et des Sociétés scolaires.

Un instituteur de Saint-Germain af-finnie q«e depuis six ans, il n'y a plusparmi ses élèves un seul dénicheurd'oiseaux: il a obtenu ce résultat parune prnpa^aiHle de dictées, de lectu-res île problèmes, d'images et deprix. II faudrait que tous les maîtresd'éenle suivissent son exemple. Il con-viemlrail aussi d'imiter ee qui se faita r é l r a i i ^ e r . Kn l i n n - r i e . ou a i n s t i -

t u é n u e l'èle a n n u e l l e d e s o i s e a u x à l a -

q u e l l e oui p l i s p a r i , eu I!IO7, p l u s d e

iOO.IIOII e i i f a u K l'.n A u l r i e h e , , on a

d i s l r i l u i é I 'UUIII 'M' d e r n i è r e 1 4 . 0 0 0 n i d s

a r t i ! iei<' ls t\ 11 A i l e i i u i ^ iu ' , la d e s i r u e -

h o u d e s ois i ' i i i ix iilili-^ es t p u n i e d n u e

amende de 200 marks et quelquefoisîle prison. Pour avoir le droit de mcl-Ire eu ea^r au rossignol, il faut, de-mander une peninissinn S'péeiale el ac-(juilier un ilroil au profit des éfatilisse-nienls de bienfaisance. En Suisse, lali'^isliilion es| plus sévère encore et cepu.\s ]ieul élre appelé le paradis desoi^ennx.

Chronique LocaleLe temps à Cannes.Communiqué par la Maison B. Aifi

hv, npiiruMi, 2/1, rue d'Antibea.Ilirr. . ic:i^f m i n i vi;r- ;î heures. l'I

iMiiliiT : 8 n i / m .

Alinima : r8.o,.Miixiina : ^f)./(.Baromètre : 767,0,llyi-rromMre : 71.'IVmps probalilr ; Vent.

Péril Clérical,]<• no m e d o u t a i s ^ I K ' T O ( f n ' u i u ' s i n i -

\)\e i v f l t x î o n éinis i 1 , M U I S a r r i iMv-

l>ons(''O n u o u i i o , d a n s U's ( | i i t ' !( | i ios li-

irnos a d r c ^ s i ' o s le 10 j u i l l e t a u / . ' / / " -

ml, ^>>\\< \v l i t r e : L<> Prril (Irriral,

l i n i v o i j i i r r a i l (ic la p a r t d u Petit Prn-

minii la -i vi''Iu''m<îiito p r o t - e s l a t i o n d e

l ) \ - i b o n l , j r t i e n s e s t e n t ï e l l e i m M t l à

ilt ' i ' tarei" (jiic m o n c i n i l i ' a d i r l e i i ] ' ; i l o t i

di1 VCM!" là u n r iiiUM'v^ntioii q m ' l e o n c u i o

d e \<\ •iniiiiicipalilf '1 a c f u r ! k \

Q u e IIDII.N rni f i n i s s i o n s p l n ^ , à (^an-

nos, écrire ce <|u-e nous pensons, dan^le seul organe local dont nous dispo-sons, sans être taxé de poile-parok1 d*1

(•i'Ini-n mi de rr.lui-là, cela nVvK'ntinlnli''ral)lr.

C'est •donc sous ma seule r^sponsa-l)ililé (jiu* j-e l'époude ce qui suit au/'(•/// l'rnruncul :

C.luH'un sait que les écoles publi-ques, c'est-à-dir-e 'laïques, .peuvent seu-les être entretenues p a r l e budget com-munal.

Mais k1 [ 'édacteur du jiuirnal ,inar-seil lais , fjui ronna i t pai't'aitenn'iil laloi, n ' ignore pas que l'int-eniiction deMihv-enlioniHT les écoles privées nes'a.pplique ni aux al locat ions à dis t r i -1)1101' aux enfan t s pauvres qui fréquen-tent ces écoles, ni a u x fuiirnHures sco-lairc< de.sfinée^ aux m é m o enfants»si des fourni tures se-m.l)Iable>, .sontaccordées a u x écoles1 publ iques .

fermant l'horizon et avançant quelques poin-tes au milieu des terres cultivées.

Les Lardennois possédaient une de cespointes.

Sept ou huit hectares enclavés dans després, des champs leur appartenant aussi.

Et avec une ancienne ferme, abandonnéecomme maison d'habitation, mais dont lesgrands st-rvainit incnrc pour y remiser despailles, du buis de rhaullagc.

Oiiaïul Ir prie MU \v tils allaient à la chasseils s'y abiiuiinil. y faisaient du feu, y cas-

CetLe vieille ferme, autrefois bien d'hos-pice, s'appelait La Maîadiàre.

Ali la connaissait pour y être allé avec Syl-vain cl !(• capitaine

là il savi'iit liés bien que par un sentierà travers vignes et prairies on pouvait s'vicmlic en une demi-heure depuis le faubourgde Campfort babité par Mme Dcval.

La Mahidière se irouvaut bien plus rap-prochée de la ville que de la ferme des Or-mes.

Or, une ruelle de jardins passait au boutdes murs de celui de la veuve.

Ruelle solitaire, bordée de haies ou de pa-lissades et qui, sans que l'on fût vu par au-cune habitation, permettait d'arriver ausentier d's vi^nc-s sentier auquel elle se rac-cordait aptVs avoir traversé la route dépar-temtntale.

T'ris d'une brlU-anicnr.l-- tiavail, Ali s'iso-

de langues étrangères, dans un prtii kiuv|uebâti à l'extrémité du jardin. Kiosque <>ù ily av;iit- un ])oêle, une table, des chniscs etse pitre jiar trois nu quatre pas seulementil'iun- jioiic nislifpic, pareille à celle de tous

Ceci est la loi et ce n'est pas la dé-claration d'un maire socialist*, fut-ildu Nord ou du Midi, qui pourra lachanger.

Je crois, d'ailleurs, que, le caséchéant, nul n'oserait qualifier d'in-j i i s h 1 , l ' i i i h - i b i i t i on d e sonmi ies d e s t i -

nt'n's a u x e n f a i i U pauvres d e s é c o l e s

privées, alors que les enfants richesdes écoles laïques sont l'objet de tou-tes les libérables.

O r , j o n ' a i p a - . i l i l q u e ! ' ' -• c a t h o l i -

( [ U O s d e r . i i n i M 1 - , r é r h u t H ' n l q u i i i q u e c e

soit. J'ai voulu, au -eonlraipe, oj)po-ser leur désintéressennent à l'espritégoïste et mesquin de eeux qui ontt r o u v é m a u v a i s i | m ' l e C o n s e i l i i i u n i c i -

J » a l a c c o r t l à t u n e M i l j v e n f i n n i ! e d e u x

cents fran.es à i-ei-lainc société d 'en-t ra înenient mi l i ta i re , a p r è s q u ' u n esominn-e d-e cinq cents f rancs .stipplr-Mf'nlfiirrs ail élé votée a u Sou îlesEcoles la ïques , sous p ré tex te nuo 'adirection de celle société esl cathol i-que .

E t j ' a i r appe lé à ces <-edaires i|ueles ressources de la cniiiiimue pi-o-v i e n n e n t d o l ' a r d u 1 de hmx le^ confri-h u a b l e s , q u ' i N < n i e i i t n u n o n c a i l i n l i -

q u e v J n ; i i d i l -et j e m a i n l H M I S q u e I r a i -

l e r d e s n l n w n s r u p a r i a x s i in | d r i n f i i î

p o u r u n m o t i f d ' o p i n i o n , \^\ c n u l r a i n 1

à ! N ' . > p r i [ r é p u b l i c a i n .

l . à > ' a n é l r m m i r a i s n i m c M u e u t e t j e

voudra i s bien qu 'on n:>e /montre dequelle i'ii^on j ' a i a t t a q u é l 'école laï-que.

17M cafhnliqw.

Ecoles Communales

Cantines Scolaires

Hier, M. lîel 'a . deuxième ad jo in t ,les membre.-, de ];i r.oiuinis.-ifui Munici-pa le <le> 1M'O1(\S V\. M. i ' .amoin, în^é-niiMir-voycr de la Ville, ont visité unsKcoies communa le s pour s 'occuper dela créa t ion de can t ines scola i res . M.Ramoin a donné les exp l i ca t ions né-cessa i res au su je! dos locaux à alVecterà ces can t ines .

Le, Conseil municipal va é tudier laquest ion -en Connu i ^ ion plein e n \puis s-era a|)])elé à voler Ie> crédi l snéce^>aii'e- pour r r l I r OMI\TI' humani -ta i re , da lis 111 M1 de ses pnicha messéances publ iques .

Canal dtx Loup

La Cou 'un vsiou i\\[ Ca liai du Loti p ,

coui |po:sée d e s in;_>-i''iii-fiur-s du d é p a r t e -

i n e i i i , do c e u x de la C o m p a g n i e d.os

KkWix et de.s [ • ep i ' é sen la i iK d e la M u n i -

c i p a l i t é d o C a n n e s , s e r é u n i r a d e m a i n ,

mercredi, au siège de la CompagnieLyonnaise des Eaux, pour la réceptioni\u {'.nnal. ainsi que pour l'examen,au préalable, des observations qui se-ront faites par les intéressés.

COMITÉ DES FÊTES

La Oomanission ries cor.si du Comitédos Fêtos, se réunira demain, mercre-di, pour ehnisir \v prn \v\ de dm r <\ct'-aruaval, ainsi que ceux des autreschars, parmi les nombreux .projetsqui lui ont été soumis.

Chauffage central.

Systèmes perfectionnas. Références detout premier ordre.

Ch. Moser, place de la Peyrière, Cannes.

les autres jardins, et permettant de sortirdans la nielle.

Absorbées par les couturières, les lingères,Mme Deval et sa fille le laissaient bien tran-quille (IHUS SOU réduit où il s'enfermait pen-dant des demi-journées.

Kt rekt après jvuir remplacé son enclumeéclatant, des Thuilleurs sénégalais par deseffets civils provenant <\v la drfrn<nu' du ca-pitaine.

Dehors il u'attiiait dmu- point p.uïiculiï'iv-ment l'allenlioi!. l'-t personne n'aurait pujurer, à un moment donné, que c'était, luiplutôt qu'une autre personne qui avait étéaperçu au loin dans la campagne.

Par une après-midi brumeuse le sergent-major se gll-iSîi d;ui-- la niellr ;\yv<)< avoir toutdispose à ]'intéri<'iir du kiu^pir HIIHI;I,- s'iln'était absent tpi'à quelques ('entailles demètres el pour peu de temps : livres ouverts,porte à demi poussée.

Tl était quatre heures moins un quart ; eten automne, par un temps bas, couvert il nefait plus clair pour Inngleiups.

TVnn pas de promenade, indillén'Ht. ,iw,un journal en mains mai-, ave. i],---, \-.-u\ t>i-rotant à droit,- et à gaurlu-, il gagna 1-- ren-tier, les vigries.

VuV' dès (jn'il ne v\\ plus ni maisons ni("•1res vivanK à <lMam <• il partit ver* l.a Ma-

h'.n vingt miniit^; 11 y èlait arrivé -tur lesderrières, dans un verger sauvage, plein debrouissall'-s, de hantes lierhrs, de iliVninhn-s.

Il \' i-ampa. -e pnn^a p-'U à peu vers larour iniéiieure.

Ce qu'il i-cdnulan i-'éiail d'èlre a]K-n;ii,de se trouver n<-/. à ne/ river Svlvain au mo-mcnl où il --'v attendiaii le moins.

Syndicat d'Initiative de CannesLe Syndicat d'Initiative vient de fai-

re procéder au tirage d'une carte pa-noramique on couleurs de la Côte d'A-zur avi-r, au verso, de nombreuses in-formai ion-, sur Cannes : ses promena-des, ses hôtels, ses fêtes et ses distrac-tions, l'excellence de son système sa-nitaire et île son alimentation en eaup n l i i h l i ' , c l , ' . , e t r .

I,'envoi ilr ce fascicule constitueraune cxceHmlc publicité pour notre vil-le et le Syndicat en tient des exem-plaires (texles français et anglais) àla disposition des comimercaiils quidéMi-eninl eu expédier au dehors.

Bibliothèque et Musées.C n l l l l l l l ' \<<u< !<•< a n . - , l.-l I t i l . l n . l l n ' - c p i r . ' I

h'- M n - i - i ' - M ' i - o n l r m i n ' - . l u 1 " MI : i i

; i u ù l i n r l i i ^ . O n | i r ( , i i l c i M , l r n ' i l r f i i i i n 1 -

r i i | I I ; I I T ( l e c r i ' I a L I l . - ( l o c u i i i c i l l s l ' t r > l i j i ' l >

Tramways Cannes-Grasse.

K i i l i n . h i i - p i i ••• , ] , • l a [ i i . - r . l e . n n h i l i >

i ! l i v n r , 1 , , . I r a i n u a y - ( ' , a l l ] l i - - ( I r a ' - i ' ,

I 11 - - I - I - . . 1 1 1 ( . 1 1 . - i l . - p n i - ' p l M - i i ' M I - - l i i r . i - , a

I I l i . ' M 11 ï .-•". à l ' a i i L ' i i ' i l l - I - 1 H - : . r \ l l | i l . ( -

p n u r M i i v i - ; i v e l a p l u - '^ r a i n i e a e t i \ i h ' \

i i l i n i | i u > l a r n i - r e n f \ . f i ! < i i I : i l i o n >]>• r e l i e

l i g n e , l a n t d ^ - i r è Y , p n i s - c a \ o i r l i e u l e

Nouveau danger pour la vigne,O n \ i r n l d ' i d e n l i l i e r 1111 m i e r o ^ c o p i r p u 1

i n f e c t e , i p i i a f a i t d ' i n i p n r h m t s r a v a p e s

il.xu< l e - v i L - i m - d u N a r h o n n a i s , . p i ' i l

C ' e - I u n e p r l i l e p u m i i - r . !e \y,us M-nr-

rimii*. q u i n ' a \ . i i t p ; i - l ' i i c o r f è l è - i g n ; i ! i '

d i i i i 1^ n o n r i ' ' g n i n s r n n u n e e n n e i n i d e l a

v i g n e .

j , o in t , ,ne. pnr pi;,.-,-, le -..I en ,-\ m.i,-.

il e-t nère--:iiiv de |e- dèlrinre n\ant laponle.

lléiiu nnuvrau.

Nos concitoyens.Nous a]ipi"cnons avec plaisir que nniie jeu-

ne concitoyen, M. Henri Chanalet, qui \rientde subir avec succès les examens de chirur-gien-dentiste de la Faculté de Médecine deParis, va se fixer définitivement à Cannes,où sera célébré prochainement son mariage,avec la toute gracieuse Mlle Cécile Ferrari,fille du commerçant bien connu,

L'orage d'hierL'orage de courte durée, qui s'est abattu

sur Cannes et les environs, hier, vers 2 heu-res et demie, a eu pour effet de nous débarras-ser de la poussière et de nettoyer les rues etchemins.

Malheureusement, pour la campagne, la.pluie bienfaisante n'a pas assez duré.

Toutefois, constatons que la températurequi était très hante, a sensiblement baissé,

C'est toujours autant de gagné.

AdjudicationL'adjudication des chablis, bois et arbres

de l'île Sàintc-Margucrite a eu lieu samedisoir, à l'Hôtel de Ville, sous la présidencede M, Bclla, adjoint au maire, assisté des re-présentants des Eaux el Forêts. Le tout aété adjugé à M. Joseph Allè-r--, de Golfe-Ju-an, pour une somme de oyi traues.

Le pont du 15 août à Paris.

(lui ou non, fera-t-on le ponl pour leiT. aonf ? Telle est la question que <c

Personne.Du moins personne à la ferme même.Mais Sylvain y chassait- certainement aux

environs et n'en riait peint encore reparti.Car K.iihui 1 éï:iil dans l'écurie.Kl ;;•• • • i'1 ii 1 met de bête qui devine

i-t snii .1' ' •• : rr; avoir besoin de ses yeuxpour reroiKi.uiu , elle venait de hennir enl'éventant.

Ali se blottit dans une meule de vieillepaille, entre les bâtiments croulants et lalisière de la f.nvt, au bord d'un fossé et auloiu; d'une h.d.- épineuse.

('••{[>• liai" était trouée par plaees.S,M Loi ,\ un endroit où quelques plan-

.•)!.•- ^ limé.- -,:ir dr-, poutres permettaientde îraihllli le to-.se.

Mai- le jn.n; de bois servait surtout auxvoilures on à M, Lardennois père.

Sylvain, venant de la forêt, coupait tou-jours an rouit ei franchissait le fossé d'unélan à un autre endroit.

M. l.:ird'.-nnow père n'était point venu eejour-là. un samedi, jour de règlement des

un eheval on l in . ' i i . - r ' r i . m K'i Mima, jumentde srl le. qui éi . i i l à l'è. u i i r .

I )r iei.> \ h etai l 1 ei ia l l l .C e p c n d a n l le j eune h o i n m e p o u v a i t a v o i r

("uniptor l , r a i na i a ' le qui r e p a r t i r a i t à piedvers la ville p e n d a n t q u e lui ga lope ra i t versles O n n e s .

La prude,ie-- est l;l mère de la sécu r i t é .L ' A i a b e , de ses veux d ' a ig le , é tudia i t .

posent, el non su M* anxiété, les fone.tion-naîre.-1 e( employés des mini-dères et desgrandes administrât ion?.

\A' if) août tomba ni rette année unjeudi. A on <r déride fi faire le pont, ceserait quai re jou t - de ron^é pruirlcs fonc-liddiiiiin^. On runçoii I"t'-mr>i ijiii ^^gnedans ce inonde de- i-ouds-tle-euir.

Rensei^nenu'iifs |>ri>, on fera le pontdan- certains ministères, peu en contactavec !e trroa. public ; dans d'autres, ainsique dnns eertjiinns administriilions, teliel:i l'n'feetuie de la Seine, on donnerademi-eou !_./., Je .,-r\ ire élan! as-iiré parronU'iiiciit.

Voihi, ;'i l'heure arfuolle, ce (jui a C'iêdécidé pour le ponl du i5 août à Paris.

(letli1 qne-fi-.n •!• pose ég-alement dansle> adinini h,ih<.|i- communales et dôpar-tUl

Fête de la Saint-Pierre

l.;i ]i ' ;tc d e Im S a i n t l ' i ' - r n - --i-ra r é l é W r é c ;

• ' - i n ' a n n é . ' , ,p, e< m i • • l.i • • • 1 ; p a r t i c u l i e r .

L l i V d i i r e i . t <]( p u i - . I I I - K u d i j u s q u ' à d i m a n -

clie et sera téléinée parallèlement par nosmarins pêcheurs et les dames de la Halleaux pomons. Voici un aperçu des deux pro-grammes :

Merere li 31 : à 8 h. '/> du matin, distribu-tion de '"••<•, • - wii. ' i ; du soir, pranrt feu(Taitil. ; d.'l.i pl;u •• de lpH6tcld.- Vili. . !•,[,•, niand bal -ur lesAllé.-,.

Jeudi ior août : à 8 h. ' , du matin, distri-bution de cocardes à la Pnid'hotnie ; à 10 h.g r a u d ' u i e w s , , ] n u i H l r à i ' é . d i •• N o t r e - D a n u :

d e r i ^ p é i . i i i M - . \ 1 1 h , - . M . , l.i 1. : i t . - d u b a l ,

g r a n d v c i n i ' m l h u l ' l i - J : ] Î I I - U I t , i [ c t 1 a u x d a m e s

De 2 fieure-, à i. le T V - I t de 9 heures à mi-nuit, grand bal ; à 5 heures, régates à l'avi-ron .

Vendredi : concours de boules ferrées à3 heures ; jeux divers.

Samedi : concours de quadrette et de ma-nille, de chant, romances et chansonnettes.

Dîna melie : . mu' <-s à ],( voilr, j<-n de la tar-gue de 2 heures à r, heure--, giand bal, q«îsera ensuite repris ju^fu'à. minuit.

Le programme de la lêtc des dames com-prend :

Mercredi : retraite suquetane, salves d'ar-tillerie, l'eu d'artifice, bal.

Jeudi : bal.Vendredi : concours divers.Samedi : concours de chant.Dimanche : bal.Comme on le v u . l e di-aïai ti'.ns ne man-

queront pas celle M-nmiik'. i.a Samt-I'ierresera fêlée en grande pompe.

Matelots armuriers.

I 11 roj i rni i r - ; p o u r l ' e m p l o i di' m a b ' l o t sa r m u r i e r ;iur;i lieu lu ili a<>ù( M|i'.i, à laDirection d'artillerie naval*' du pur! deToulon. Le?1 inscription- seront reçuCdj u s q n ' i i u 1 ,'1 H o u i i n c l u s , a u I n i r e i i u 111 U l -

l i i i r e d e l a n u i i j > a g n i e . L e - c a n d i d a t s d e -

v r o n t ê t r e p n r l e u r . - d e l e u r a ^ l e d e u a i s -

d ' a j u - 1 . . - . - . f u i v c i - e , , i ] u - u i - r >•[ I r e i n p t :

d ' u n o u l i L ; ••" é p r e u \ e - é c r i t e - ( u n e d i c -

l é e . c a l c u l M i r ! e - f i - : i . ' l : <nf> . \ o , i i n n ' i ,

^ u r f . M - e - ) c l u n c r o i p i i - à n i , o u l r \ , . V . l . e

r é s n i t - a l d u e - o u r - n ' c - l \ , d a l ' l r q m '

' ' - o u - i v r r v e , | e l ' a f i l i l i i d e m ,'-(l i « a le 1 < r r o ] i [

c e u \ , i \ a n ! p r o d u i t l e m e i l l e u r <>^-;n.

Avis aux navigateurs.

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un- ti^ril,- \or,du l',av

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In- Nord ,li- la trnbj i - t d 'un av

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I j i t i u , il 1 vlvain, à ou qua-

11 étau snd.La uiin M I.'.I, !<• brouillard s'augmentait,

et le Tiani ai - eiaii loin d'avoir une vue per-çante comme celle de l'Arabe.

Ali comptait là-dessus.Il bondit wr-i l'écurie, y prit Fathmi et

l'amena jusqu'à la baie apré- avoir vnm|Hison licol.

Ulle av.Ùt amM des app:uenres de betequi s'est échappée d'uni- masure mal close.

D'un violent < -Mip de In-lin,- il la fit s'é-lancer dans les prés- après p,Lw,, I.V.-liée.

Mais, lui, restait d<- l'autie 1 û\c de la haie.L'arrivant" ne pouvait l'aperce von.Sylvain, qui s'était rapproché jusqu'à une

dislanc" relativement courte; se débarrassade son fu--il ei de son carmer et se mit eni!ii"-ii!i' d'1 1,1'n iprr Ui jument.

Celle-i 1 in u:i . ro.-het et l'entraîna de l'au-tre ccMé de la 1-11 ••• -, •• 1 • i• .1" ii'îi abreuvoiroù on la la i - , i " ' • • 1. i | 11 Iqucfois.

AH sortit ak-is de .-a uuhcu,: , courut versle tusil, s'en empara, constata que les car-touches étaient chargées en chevrotines etse diiieea vers l'abreuvoir,

M,ns pas extérieurement à la haie, tou-jours diTiière elle au contraire.

Sylvain avait saisi la jument pendantqu'elle buvait.

il la ramena auprès du pont de bois.A M- moment Ali |>.i-si l'extiéuiité du

tusil .111 travers de- biaiuliesdc la haie et fitleu.

l.a innient bondit de < ôiè et reprit sonpmédeiH ffdoji à Iravers t lianips.

SvK.iiu, lui. .ivail roulé à terre,il ll'\ bnll-eall Jlllls.

I Sans iloutc qu'il était mort.(A suivre).

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