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LE CREUSOT : La chanson populaire en scène à L'arc Le Mercredi 20 mars 2013 @ 13:02:45 Tel peut se résumer le stage de théâtre dernièrement organisé à L'arc. Il a été animé le week-end dernier par Cédric Marchal et François Thollet de la compagnie « Les boules au plafond ». Durant un jour et demi, ils ont travaillé avec les stagiaires « sur la mémoire de la chanson populaire ». Et les intervenants avaient imaginé un concert, la préparation de celui-ci où le mot d'ordre était « Jouer ». L'idée était de faire revivre la chanson populaire, avec des exercices vocaux et surtout d'expression théâtrales sur scène, qui ont été effectuées suivant des situations particulières et sympathiques. Un stage intensif et sans nul doute intéressant pour les stagiaires qui ont terminé la « formation » dimanche après-midi dans une bonne ambiance.

LE CREUSOT : La chanson populaire en scène à L'arc · Grâce à la confrontation des mots, des images et de la musique, ce combat apparaît sous un jour ... LE CREUSOT : Les musiques

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LE CREUSOT : La chanson populaire en scène à L'arc

Le Mercredi 20 mars 2013 @ 13:02:45

Tel peut se résumer le stage de théâtre dernièrement organisé à L'arc.

Il a été animé le week-end dernier par Cédric Marchal et François Thollet de la compagnie « Les boules au plafond ». Durant un jour et demi, ils ont travaillé avec les stagiaires « sur la mémoire de la chanson populaire ». Et les intervenants avaient imaginé un concert, la préparation de celui-ci où le mot d'ordre était « Jouer ». L'idée était de faire revivre la chanson populaire, avec des exercices vocaux et surtout d'expression théâtrales sur scène, qui ont été effectuées suivant des situations particulières et sympathiques. Un stage intensif et sans nul doute intéressant pour les stagiaires qui ont terminé la « formation » dimanche après-midi dans une bonne ambiance.

LE CREUSOT : «Quartier lointain» à L'arc ce jeudi soir

Le Mercredi 06 mars 2013 @ 15:19:16

Théâtre sur la scène nationale de L'arc ce jeudi 7 mars à partir de 20h30. Adapté du manga de Jirô Taniguchi et interprété par la compagnie STT. A partir de 10 ans. Présentation.

Sans savoir comment ni pourquoi, un père de famille réintègre soudainement son corps et sa vie d'adolescent. Un retour en arrière qui le mènera à comprendre les raisons du départ de son père. De manière ludique et poétique, Dorian Rossel réussit une adaptation étonnante de ce manga de Jirô Taniguchi. Avec « L'usage du monde » (programmé par L'arc dans le cadre du festival « Hors champ » en 2011), il adaptait, pari difficile, le récit de voyages de Nicolas Bouvier en introduisant par petites touches, sensations, émotions délicates et impressions subtiles. Dans « Quartier lointain », il excelle une fois encore dans son art de l'évocation nourri de trouvailles visuelles et nous entraîne dans l'univers délicat de Taniguchi, où les personnages sont happés par le temps dilaté du souvenir. « Adapté et mis en scène magnifiquement par Dorian Rossel, ce célèbre manga de Jirô Taniguchi est interprété par six comédiens, qui endossent plusieurs rôles, et par deux musiciennes. Une polyphonie (…) à laquelle s'ajoute une scénographie qui joue parfaitement de la diversité des points de vue. Tout s'accorde ici pour garder la dimension fantastique de ce roman graphique, proche de la rêverie. », Françoise Sabatier-Morel de Télérama

Renseignements pratiques au 03 85 55 13 11. Retrouvez L'arc sur son site internet en cliquant sur le lien suivant : http://www.larcscenenationale.fr/.

TORCY : Le «combat du siècle» de Nicolas Bonneau, en forme

d'hommage à Mohammed Ali

Le Mercredi 06 février 2013 @ 03:12:00

Il l'a raconté et fait partager à sa façon ce mardi soir au Centre Culturel. Le spectacle « Ali 74 » a ravivé la légende, comme il a permis de placer le « noble art » au centre des éloges et autres réflexions.

Cette soirée devait être un premier acte en quelque sorte, car un deuxième rendez-vous devait être donné sur la scène nationale de L'arc jeudi soir. Mais pour raisons personnelles, l'auteur et comédien allait assurer une seule des deux représentations programmées. C'est donc ce mardi soir que Nicolas Bonneau a fait revivre aux spectateurs installés au C2 « le combat du siècle », l'opposition entre George Foreman et Muhammad (dit plus communément Mohammed) Ali, en 1974 à Kinshasa. « C'est mon combat du siècle », a lancé Nicolas Bonneau. Il l'a alors fait partagé au public, en huit rounds, le nombre qu'il a fallu à Ali pour se réveiller et mettre Foreman au tapis, K.O. Accompagné de Mikael Plunian et Fannytastic, l'auteur s'est fait le conteur d'une légende. Avec de vrais textes, aux expressions et images parfois légèrement décalées, et des musiques d'ambiance plus ou moins palpitantes agrémentées d'effets visuels. Sur l'écran : projections des séquences du déroulement du matchou d'illustrations . Et « en fond », sur le plateau : trois interprètes ayant donné une dimension artistique, culturelle et plutôt entraînante à ce combat. Certes, l'engouement était sans aucun doute tout autre et bien plus important là-bas, sur place, autour du ring, un soir d'octobre 1974, il n'empêche que Nicolas Bonneau et les musiciens nous l'ont remémoré si on peut dire avec intensité. Un engouement aussi pour Mohammed Ali. Une fascination même exprimée par l'auteur, tout comme des enjeux disons plus profonds autour du « noble art » qu'est appelée la boxe. Parlant de l'événement dans le contexte de l'époque, de son atmosphère, plus largement de la boxe donc, et allant même jusqu'à évoquer les questions raciales ayant collé au parcours du boxeur, Nicolas Bonneau lui a livré un hommage, adressé aux spectateurs. Et il les a aussi invités à voir « le combat du siècle » autrement, d'un autre regard plus pensé. En fait, ce mardi soir, le « maître de la danse » était encore bien Mohammed Ali. Puisqu'il a inspiré un

spectacle vivant mettant en lumières sa légende, plus particulièrement en par l'intérêt porté à un poing fort et symbolique de celle-ci. Celui qui a vu « le bon méchant » George Foreman être rattrapé et terrassé par « le plus grand ». Un phénomène à lui tout seul exploité par l'auteur pour en faire ressortir des éloges mais aussi des messages subtils. Et cela, en une bonne soirée - organisée par le Centre Culturel de Torcy en partenariat étroit avec L'arc sur le projet - qui s'est terminée par le partage d'un pot. Dommage que les intempéries de la fin de journée ont probablement refroidi nombre de spectateurs.

Alix BERTHIER

TORCY : «Ali74» au Centre Culturel ce mardi soir

Le Lundi 04 février 2013 @ 03:10:00

Un nouveau regard sur le combat légendaire de Mohammed Ali contre George Foreman par Nicolas Bonneau, Mikael Plunian et Fannytastic. Composé de 8 rounds, ce concert mélange récit, images et musique. Rendez-vous au C2, Centre Culturel de Torcy, ce mardi 5 février à 20h30. En partenariat avec la scène nationale de L'arc. Présentation.

Communiqué :

Une bande-son aux ambiances soul qui raconte autrement « Le combat du siècle » !

Grâce à la confrontation des mots, des images et de la musique, ce combat apparaît sous un jour nouveau, car même si la boxe est très présente et si « Ali 74 » propose une immersion dans les coulisses du « noble art », ce ciné-récit-concert est aussi un magnifique prétexte pour évoquer l’Afrique, la morale du sport et la beauté du geste, la lutte du faible contre le fort, le contexte politique de la fin des années 60, la musique noire, la sorcellerie, l’humiliation de la défaite et le goût de la victoire…

Ce spectacle a été pensé et réfléchi sous forme de dyptique. Or, notre partenaire, L'Arc, scène nationale du Creusot, annonce l'annulation de la tenue du second spectacle « Le combat du siècle » qui devait se tenir le jeudi 7 février. Nous vous invitons donc à prendre contact avec l'équipe du C2 au

06 82 60 53 34 ou par mail ([email protected]) pour toutes informations complémentaires. Pour toutes les personnes qui avaient réservées une place à L'Arc pour « Le combat du siècle », vous pourrez assister au spectacle « Ali74 » au C2 au tarif préférentiel de 10 euros. Ce spectacle s’inscrit dans « Questions en bataille » : les quatre salles de la Communauté urbaine Creusot Montceau se sont associées pour vous proposer des manifestations qui mettent en scène des enjeux de société, des batailles à mener.

« Je suis le maître de la danse, flottant comme un papillon, piquant comme une abeille », Mohammed Ali

Infos pratiques

- Jérémy Pinheiro, directeur du C2, au 06 82 60 53 34

- Marie-Juliane Marques (administration et relations publiques) au 07 87 96 15 10

- Centre Culturel de Torcy, 17/24 avenue du 8 mai 1945, au 03 85 77 05 05

- Site internet du Centre Culturel : www.lec2.fr - Tarifs : 12, 7 ou 4 euros auprès du C2. 10 euros pour les abonnés de L'arc

LE CREUSOT : Les musiques de films selon Le sacre du tympan

Le Vendredi 25 janvier 2013 @ 13:54:55 Il a livré une prestation musicalement séduisante ce jeudi soir sur la scène nationale

de L'arc. « Soundtrax » était annoncé comme une plongée dans l'univers des musiques de films. Les musiciens sur scène ont alors respecté leur présentation et assuré des

partitions mettant justement dans l'ambiance. D'après les influences d'Ennio Morricone et de François de Roubaix, la bande de Fred Pallem a apporté ses touches et arrangements sonores pour arriver à des musiques

envahissantes dans le bon sens du terme, par un ensemble de qualité et réussi. Plus de 180 personnes ont assisté à la prestation.

LE CREUSOT : La Culture au profit des lycéens

Le Vendredi 18 janvier 2013 @ 04:42:39 La convention annuelle entre la scène nationale de L'arc et le lycée Léon Blum a été

renouvelée ce jeudi en début de soirée. Une logique dans laquelle s'inscrivent aussi l'écomusée Creusot Montceau et la médiathèque. Le partenariat entre L'arc et le lycée Léon Blum se manifeste par plusieurs échanges.

Des ateliers sont mis en place cette année pour les lycéens de l'option « Théâtre » avec le metteur en scène Kheireddine Lardjam. Lesquels profitent aussi de certains spectacles et autres représentations donnés sur la scène nationale. Et L'arc permet la

venue d'artistes à la rencontre des élèves au sein du lycée. Des « aperçus » de spectacles sont même présentés au élèves. D'ailleurs, la signature de la convention n'avait pas été programmée au hasard. Elle

devait s'effectuer juste avant la représentation de « chocolat, clown nègre ». Au cours du premier trimestre, les lycéens avaient pu assister à « Chocolat Blues »

traitant du même sujet de l'esclavage et du racisme, au travers notamment de l'expression théâtrale. Célia Deliau, directrice de L'arc, l'a alors rappelé, comme exemple parlant donc des échanges entre la structure culturelle et le lycée Léon

Blum. Bernard Hessel, proviseur du lycée Léon Blum, rejoint aussi par son adjoint Sébastien Mathey, a lui tenu à remercier les professeurs pour leur travail - Bruno Cardi et

Madame Mouron sont en charge de l'option « Théâtre » cette année. « Un dynamisme entre les responsables pédagogiques et culturels » a été évoqué. Et Bernard Hessel a rajouté que celui-ci profite aux élèves de filière générale mais aussi

à ceux de filière professionnelle. L'arc et le lycée Léon Blum, sans oublier la médiathèque et l'écomusée Creusot Montceau (voir encadré ci-dessous)... Bernard Paulin, adjoint au maire délégué à la

Culture, y voit « une synergie entre les forces culturelles et éducatives ». Un vrai point fort pour le représentant de la municipalité, qui n'a pas manqué de préciser que le partenariat n'est pas nouveau, comprenez que les institutions citées

entretiennent des relations depuis des années au bénéfice des lycéens. « Ils faut que les jeunes s'emparent de ces lieux », a alors insisté le député et élu communautaire Philippe Baumel, parlant d'une richesse industrielle locale à découvrir

à l'écomusée ou encore d'une scène nationale qu'est celle de L'arc méritant amplement son titre par la qualité de sa programmation.

Toujours présidente de L'arc et ayant enseigné durant près de 40 ans au lycée Léon Blum, Simone Cayot porte ainsi un double regard et s'est exprimée. Tout d'abord pour constater que les actions culturelles se sont développées au lycée et ensuite

pour remarquer que la Culture est sans doute source d'épanouissement pour ces jeunes. On peut aussi le dire lors des lectures de textes assurées par des classes dans la salle Georges Riguet à la médiathèque. Sa directrice, Milène Mariello, était

présente, comme Typhaine Le Foll en tant que directrice de l'écomusée. Des rendez-vous et des rencontres... que leurs acteurs ont confirmé par des actes officiels. Alix BERTHIER

Une éducation au patrimoine

Encouragés par la réussite des collaborations passées et considérant que la Culture est un élément essentiel de la formation, le lycée Léon Blum au Creusot et la

Communauté urbaine Creusot Montceau ont décidé de reconduire, pour l’année scolaire 2012-2013, une convention de partenariat qui les engagent dans une démarche mutuelle d’éducation au patrimoine.

Leur objectif est de favoriser l’épanouissement culturel des élèves et d’encourager les pratiques culturelles par l’aide à la mise en oeuvre de toute activité, de tout projet

envisagé par les enseignants en matière de formation, d’information sur les différents éléments du patrimoine, enjeu de mémoire et d’histoire. Parmi les actions retenues dans le cadre de cette convention figurent notamment,

pour les sections d’enseignement général et technologique : - la reconduction avec les professeurs de lettres en classe de 1ère de l’atelierdécouverte

consacré à l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert : l’écomusée Creusot Montceau dispose en effet d’un exemplaire original accessible aux classes qui approchent le siècle des lumières, mouvement culturel, scientifique et philosophique

qui émerge en Europe au XVIIIème siècle. - des visites thématiques en lien avec les programmes d’histoire consacrés à l’histoire industrielle et technique (nouveaux programmes de 2nde et de 1ère) et, plus

particulièrement, aux paysages et à l’organisation des espaces industriels et urbains ; - un projet consacré à la Première Guerre mondiale et initié par le Landschaftsverband Rheinland. Il associe dans quatre pays (Allemagne, Pologne,

France, Belgique) un musée et un établissement scolaire. Ce projet est destiné à faire travailler des élèves sur des objets sélectionnés dans les collections des

différents musées, à développer des échanges via internet, à leur faire réaliser des expositions virtuelles et des expositions réelles en collaboration avec les musées partenaires ;

- pour les sections professionnelles : des ateliers d’étude du patrimoine local qui permettent aux élèves de travailler des héritages locaux en relation avec le programme d’histoire.

LE CREUSOT : Plus de 400 personnes à L'arc pour le clown chocolat

Le Vendredi 18 janvier 2013 @ 14:00:22

« Chocolat, clown nègre » a eu du succès ce jeudi soir sur la scène nationale.

Du théâtre et du cirque, c'est ce qui était proposé sur le grand plateau de L'arc. Avec une mise en

scène du parcours du clown chocolat, de son arrivée à Bilbao depuis Cuba à sa rencontre à succès avec le clown blanc Foottit, jusqu'à ce qu'il finisse par tomber dans l'oubli. Du succès, ces deux comédiens principaux en ont eu. Répétant leur numéros de cirque, ils ont « amusé la galerie » et fait rire les spectateurs jeunes ou plus âgés dans la salle, environ 430 à avoir pris place. Cela donc devant deux artistes ou plutôt cinq interprètes ayant assuré une représentation intéressante, entre acrobaties et moments de réflexions sur des questions marquantes de l'histoire que sont le racisme et le colonialisme. Après une bonne heure sur les planches, les comédiens ont été salués par des applaudissements chaleureux. Le travail du metteur en scène Marcel Bozonnet et de Gérard Noirel, historien de l'immigration, a été remarqué et apprécié. Autant pour le jeu des artistes que pour le fond d'un tel spectacle.

Alix BERTHIER

LE CREUSOT : «Chocolat, clown nègre» à L'arc jeudi soir

Le Mercredi 16 janvier 2013 @ 12:53:50

Représentation de théâtre et de cirque sur la scène nationale de L'arc ce jeudi 17 janvier à 20h30.

Présentation.

Raphaël, le « clown chocolat », a été le clown le plus populaire du Paris de la belle époque et le

premier artiste noir à connaître la célébrité. Dès la fin du 19ème siècle, son duo formé avec Foottit,

le clown blanc, déchaîne les rires des nuits parisiennes... Chocolat y incarne le stéréotype raciste de

l'homme noir stupide et obéissant, souffre-douleur d'un maître despote. Tous les clichés dont la

République a besoin pour justifier la colonisation.

Avec « Chocolat, clown nègre », le metteur en scène Marcel Bozonnet et l'historien Gérard Noirel

rendent hommage à cet artiste à l'étonnante destinée, né esclave à Cuba. Ils retracent un pan

entier de l'histoire de notre société et évoquent celle du cirque, du cabaret et du music-hall.

Durée : 1h15.

« Dans l'histoire de l'humanité, un petit nombre d'individus ont eu un destin hors du commun, non

seulement parce que leur trajectoire leur a permis d'échapper à la condition sociale que leur origine

rendait probable, mais aussi parce qu'ils ont été porteurs, sans le savoir, des grands

bouleversements qui ont changé la face du monde. », Gérard Noirel

Tarifs

Normal : 20 euros.

Réduits : 15 euros.

Tarifs pour les abonnés et pour les groupes.

Plus d'informations et réservations au 03 85 55 13 11. Retrouvez aussi le site internet de L'arc

: http://www.larcscenenationale.fr/.

LE CREUSOT : «(super) Hamlet» à L'arc ce mercredi soir

Le Mardi 18 décembre 2012 @ 12:46:25

D'après William Shakespeare et « Les contes de Shakespeare » de Charles et Mary Lamb, par la compagnie « La cordonnerie ». A partir de 8 ans. Représentation de « (super) Hamlet » ce mercredi 19 décembre à 20h30 sur la scène nationale de L'arc. Présentation.

A peine les funérailles du roi terminées, son frère épouse la reine et se saisit du même coup du

pouvoir. « Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark », s'insurge le photographe officiel de la cour. Mais personne d'autre n'y trouve à redire... jusqu'au jour où le fantôme du roi vient demander à son fils, Hamlet, de venger son assassinat. Tel un super-héros, le prince mène alors son enquête et prépare en secret sa vengeance... A la fois scénaristes, réalisateurs de films muets, comédiens, musiciens, bruiteurs, les artistes de « La cordonnerie » nous content le destin d'Hamlet sous la forme d'un ciné-spectacle plein d'humour et de surprises. En même temps qu'ils racontent cette histoire, ils jouent avec une panoplie d'ustensiles pour sonoriser en direct les images : bruit des vagues qui claquent sur les rochers, combats d'épées bruités avec des fourchettes... comme si on les surprenait en plein travail de doublage et de post-synchronisation. Un nouveau regard sur le classique des classiques avec ce Hamlet réjouissant, aventure maritime et nordique où la tragédie et le comique font des étincelles.

Renseignements et réservations au 03 85 55 13 11.

A L'ARC : «Entre théâtre, danse et performance physique» jeudi

soir

Le Mercredi 05 décembre 2012 @ 03:17:23

Présentation de « J'empruntais une hache et partis dans les bois ». Une pièce de la compagnie Les

Cambrioleurs. Jeudi 6 décembre, à 20h30, sur la scène nationale de L'arc.

Retour aux sources de la nature, au cœur d'une forêt primitive. L'odeur enivrante de la sciure de bois

évoque le parfum de l'humus. Julie Bérès se frotte au quotidien du monde rural et explore le désir de

la vie en autarcie.

Elle propose un voyage en utopie, au pays de la vie alternative, inspirée par l'expérience de l'écrivain

américain Thoreau qui, au 19ème siècle, a passé près de trois ans dans une cabane. Elle mêle

témoignages d'habitants des Monts d'Arrée (Centre Bretagne), fragments de vies et extraits de

Thoreau, La Fontaine, Pessoa, pour poser la question du désir d'autonomie...

Sur une scène recouverte de sciure, les corps-à-corps enchaînent les jeux de force dans une évocation

des travaux agricoles, de la lutte contre les éléments, du rapport physique de l'homme à la nature.

Deux lutteurs, un comédien et un percussionniste se font les interprètes de cette forme hybride entre

théâtre, danse et performance physique. Paroles, chants, atmosphères sonores et vidéo sont les

éléments d'une narration éclatée au cœur de laquelle la musique tient une place fondamentale.

Plus de renseignements et réservations au 03 85 55 13 11, ou sur le site internet

: http://www.larcscenenationale.fr/.

LE CREUSOT : «La couleur des sentiments» le 11 décembre avec

Cinémage

Le Mardi 04 décembre 2012 @ 23:26:38

L'association Cinémage, la scène nationale de L'arc et la section du Creusot de la Ligue des Droits de l'Homme vous invitent à la projection du film « La couleur des sentiments » le mardi 11 décembre à 20h30, au cinéma Le Morvan au Creusot. Vu la longueur de ce film, il n'est pas prévu de débat à la suite de la projection. Vous êtes tout de même attendus nombreux à cette projection.

Le synopsis Dans la petite ville de Jackson (Mississippi), durant les années 60, trois femmes que tout devait opposer vont nouer une incroyable amitié. Elles sont liées par un projet secret qui les met toutes en danger, l’écriture d’un livre qui remet en cause les conventions sociales les plus sensibles de leur époque. De cette alliance improbable va naître une solidarité extraordinaire. À travers leur engagement, chacune va trouver le courage de bouleverser l’ordre établi, et d’affronter tous les habitants de la ville qui refusent le vent du changement... « La couleur des sentiments » est un film adapté du best-seller du même nom de Kathryn Stockett, qui rencontra un énorme succès en librairies, en restant six semaines au sommet du classement des meilleures ventes dressé par le New York Times. Pas mal pour un premier roman ! « La couleur des sentiments », deuxième long métrage de Tate Taylor, a fait l'ouverture du festival du film américain de Deauville, en 2011.

LE CREUSOT : «MonStreS» à L'arc ce mercredi

Le Mardi 27 novembre 2012 @ 14:21:37

Deux représentations, à 15h00 et 19h30. A partir de 4 ans. Effets de miroirs, reflets trompeurs et multiplicateurs... MonStreS nous plonge dans un univers magique. Avec la compagnie La BaZooKa. Présentation.

En nous installant au centre d'un écrin de miroirs où les reflets se reproduisent à l'infini, La BaZooKa nous propose de vivre une expérience surprenante. Le fantastique surgit de tous les côtés : les danseurs apparaissent, disparaissent, se démultiplient, révélant un ballet de créatures jusqu'alors invisibles. On se laisse envahir par les effets de spirales aux rythmes répétitifs et evoûtants de la musique de Steve Reich, qui renforce cet univers étrange et onirique. Durée : 30 minutes.

« Une remarquable réussite », Philippe Verrièle, La Scène

« Une pièce étonnante, tant par sa structure, sa mise en valeur et son thème », La voix du Nord

Renseignements et réservations auprès de L'arc 03 85 55 13 11.

A L'ARC : Un Jacques Gamblin inédit et «au naturel»

Le Jeudi 22 novembre 2012 @ 14:56:35

L'artiste a incontestablement séduit son public ce mercredi soir.

Le spectacle, on pouvait plus justement l'annoncer comme une rencontre, un échange entre Jacques Gamblin et les personnes installées dans le grand théâtre de L'arc. Car une forme inédite avait été préparée spécialement par l'artiste « familier » de L'arc et en même temps les spectateurs, lui ayant posé plusieurs questions. En répondant à celles-ci, Jacques Gamblin a répondu aux attentes de son auditoire. Celui qui renvoit l'image d'un acteur bien sympathique au travers de ses films l'est tout autant sur scène. Et ce mercredi soir, il l'a confirmé, en se soumettant volontiers au jeu des questions-réponses, en « jouant » alors avec le public, disons son public puisque les personnes présentes dans la salle étaient revenues pour passer une bonne soirée, après avoir bien apprécié ses précédentes représentations au Creusot. Une nouvelle fois, cette fois-ci de manière inédite et avec un Jacques Gamblin « au naturel », se confiant à plus de 250 personnes sur certains sujets ou certaines lectures et reprenant parfois son sérieux pour leur raconter des histoires drôles, divertissantes et amusantes, les témoins et interlocuteurs de l'artiste n'ont pas été déçus. Ils l'ont écouté avec sourires et en rires. En débouchant même le champagne pour bien lancer la soirée et se mettre dans l'ambiance !

Alix BERTHIER

IUT : Quand des étudiants s'impliquent dans Univ'Art

Le Jeudi 22 novembre 2012 @ 14:05:06

Ils ont grandement contribué au succès d'une représentation donnée dans le cadre d'Univ'Art.

En fin de semaine dernière, Marc De Oliveira, Louis-Etienne Moreau, tous deux en deuxième année de Mesures Physiques, Sorel Michelet, Lylia Khooak et Jennyfer Arabtani, toutes trois en première année de Techniques de Commercialisation, ont en effet attiré plus de 80 personnes du côté de la cafétéria. Pour leur projet tutoré, ils ont su rassembler étudiants, enseignants et même membres du personnel administratif de l'IUT autour d'une collation. Cela avant d'inviter tout ce monde à s'installer dans la grande salle pour assister à la représentation « Chocolat Blues », tel un avant-goût en quelque sorte du spectacle « Chocolat, clown nègre » programmé le 17 janvier à L'arc à 20h30. Il faut dire d'ailleurs que ce rendez-vous à l'IUT était donné dans le cadre du programme d'Univ'Art, concocté par la scène nationale de L'arc à la demande et avec le soutien de la Communauté Creusot Montceau. Jeudi dernier en fin d'après-midi, les spectateurs ont donc pu assister à une interprétation du « clown chocolat le plus populaire du Paris de la belle époque ».

LE CREUSOT : Comédie et numéros de cirque au camp de réfugiés

Le Jeudi 22 novembre 2012 @ 01:48:19

C'était le spectacle, « Court-miracles », proposé mardi soir sur la scène nationale de L'arc.

Parler d'un camp de réfugiés et surtout en montrer une image plutôt joyeuse, ou du moins assez conviviale tout en ne cachant pas une certaine gravité de la situation, en l'embellissant si on peut dire, n'est pas commun et forcément aisé. Le Boustrophédon a en tout cas su la tourner en dérision pour en mettre en avant un autre aspect. Les comédiens de la compagnie ont en effet livré une prestation en ce sens mardi soir passé, entre instants de regards et d'attitudes comiques et expressions circassiennes. Sur la scène du grand théâtre de L'arc, ils ont « transformé » le camp de réfugiés en un véritable lieu de vie, où les blessés comme les responsables du camp trouvent le moyen de passer le temps avec le sourire, surmontant ainsi les drames et douleurs humaines subies au conflit. Sur fond assez grave, le spectacle a laissé la part belle à la comédie, à l'humour et au cirque, histoire de ne pas totalement sombrer dans la morosité. Avec notamment une conception et un jeu de marionnettes bien « ficelés ». Les 202 personnes, dont environ 75 scolaires, y ayant assisté ont apprécié.

Alix BERTHIER

LE CREUSOT : Jacques Gamblin… inédit, à L'arc ce soir

Le Mercredi 21 novembre 2012 @ 03:10:02

Représentation dans le grand théâtre de la scène nationale de L'arc ce mercredi 21 novembre à 20h30. Présentation. Les réservations sont encore ouvertes.

Depuis qu'il est « artiste familier » de L'arc, Jacques Gamblin vient régulièrement nous rendre visite sur la scène nationale. Et il épate toujours… Après « La nuit sera calme », « Tout est normal mon coeur scintille » et « Gamblin jazz, de wilde sextete », que va-t-il venir raconter cette saison ? Un nouveau Jacques a dit…

Pas de spectacle que L'arc n'ait déjà accueilli ? Qu'à cela ne tienne, Jacques Gamblin invente une formule juste pour ce soir. Un Jacques… inédit.

Et il en a des choses à nous dire, à nous confier. Des textes plein sa valise, il va s'installer sur scène avec ses mots, ceux qu'il a écrits mais qu'il n'a jamais réunis dans un spectacle comme ceux des autres, qu'il a envie de nous faire découvrir. Mais Jacques n'a pas envie d'être seulement lecteur, il a envie de la rencontre, de l'échange, de la discussion. Et pour cela, il invente un petit jeu, vous rentrerez en salle, glisserez une question dans un panier et la soirée dépendra de ces petits bouts de papier tirés au sort. Une question ? Une réponse… peut-être… Avec un texte… pourquoi pas… Une phrase qui lui passe par la tête… éventuellement… On n'en sait rien encore et c'est ça qui est bien…

Renseignements et réservations auprès de L'arc au 03 85 55 13 11.

A L'ARC : «Court-miracles» ce mardi soir à 20h30

Le Lundi 19 novembre 2012 @ 03:14:00

Un spectacle de cirque et marionnettes sur la guerre ? Quelle idée... Par la compagnie Le Boustrophédon. A partir de 8 ans. Présentation. Il sera précédé d'une conférence de Pierre Abecassis organisée par le Collectif pour la Paix, à 18h30.

« Court-miracles » est né de l'envie de parler de la guerre avec espoir, pour « faire quelque chose à la

mesure de nos moyens ». Marionnettes, jonglage, ballet sur roulettes, numéros de funambule et comédie créent un décalage efficace qui transforme l'humour en arme salvatrice. Un camp de réfugiés. Le gardien, les infirmiers et les blessés ont en commun d'avoir survécu au conflit qui se poursuit, non loin de là. La vie s'organise. Parce qu'il faut bien vivre. Les marionnettes et les humains s'entremêlent pour parler avec dérision, humanité, espoir et poésie de la guerre et du temps où l'on reconstruit, où les utopies reviennent... Fasciné par la nécessaire insouciance des miraculés de la vie, on s'étonne de rire de ces rescapés du pire. Ce spectacle étonnant réussit à mêler sujet grave et comique de situation, cocasserie et émotion. On ressort chargé de tendresse et d'espoir. Le miracle est là...

Informations et réservations au 03 85 55 13 11.

Conférence à 18h30

En lever de rideau du spectacle, une conférence sur les camps de réfugiés, animée par Pierre Abecassis, sera organisée par le Collectif pour la Paix.

COLLEGE CENTRE DU CREUSOT : Le parcours de danse se poursuit

avec la compagnie «Le grand jeté !»

Le Vendredi 16 novembre 2012 @ 03:05:00

La danseuse et chorégraphe Pauline Maluski est intervenue au collège Centre ce jeudi après-midi.

Initiées par le Conseil Général de Saône-et-Loire, ces interventions ont pour intérêt de faire découvrir aux élèves de nouvelles expressions de l'art, en l'occurrence corporelle, et de les encourager à les voir plus concrètement par des actions et sorties culturelles, en profitant des structures locales. Le collège Centre profite justement d'une sorte de partenariat avec la scène nationale de L'arc. Pour la

deuxième fois de l'année scolaire, les collégiens ont reçu la visite d'une des membres de la compagnie « Le grand jeté ! » de Frédéric Cellé. Les élèves de 5ème 2 et leur professeur d'éducation physique et sportive, Madame Dupontet, ont eu droit cette fois-ci à l'intervention de la chorégraphe Pauline

Maluski. Deux heures quasiment de mouvements dansés en répétition, ponctuées par une petite chorégraphie d'une vingtaine de minutes, avant un temps de questions-réponses pour finir. Plutôt à l'écoute, les collégiens se sont bien livrés à la séance et aux exercices montrés par l'intervenante. Le week-end dernier, ils avaient pu voir une belle représentation du travail de la compagnie dans le domaine de la danse contemporaine, en assistant à sa dernière création : « L'aspirateur (de la poussière autour du coeur) ». Cette saison 2012/2013, les collégiens ont réservé leurs places pour trois spectacles du genre. Deux autres interventions sont prévues au collège dans l'année scolaire.

CAMPUS SUD BOURGOGNE : Le théâtre comme expressions

verbale et corporelle

Le Vendredi 16 novembre 2012 @ 03:04:00

Dans le cadre de l'atelier Culture de cette année universitaire, des étudiants s'expriment avec le comédien Gilles Berry.

« Pour l'instant, on fait des petits exercices d'expression mais aussi de placement. On apprend à combler l'espace », résume Valentin Bédert. Etudiant en première année de Génie électrique et informatique industrielle, il a accepté cette année d'être le référent de l'atelier Culture mis en place par Vie Etudiante 71. S'étant occupé de la tenue des séances, il a en quelque sorte permis à la quinzaine d'étudiants inscrits de se retrouver sur un plateau de L'arc mardi dernier, pour le deuxième rendez-vous dans le cadre de l'atelier. Pour cette année, il faut dire que les étudiants ont Gilles Berry comme « directeur » des séances. Comédien associé à la scène nationale de L'arc, il doit y retrouver le groupe une fois tous les quinze jours, trois heures durant à chaque rencontre. D'autant plus que pour la troisième année de l'animation culturelle en question, une représentation est envisagée fin mars. « On ne sait pas encore si ce sera une interprétation ou une propre création. On verra suivant les séances et les saynètes jouées », précise Valentin Bédert. Une chose est sûre : elle ne sera pas intégrée à l'occasion d'un autre événement au risque de passer inaperçue, mais sera donnée telle une vraie restitution. En tout cas, le premier travail est d'explorer les capacités d'expression, notamment corporelle, de chacun. « Il est fait pour que les étudiants se connaissent eux-mêmes et soient plus à l'aise dans leurs rapports humains et professionnels », note Catherine Viggiano, enseignante en communication à l'IUT du Creusot. Bref, une sorte d'épanouissement par le jeu théâtral et plus largement les arts vivants. Un atelier que Gilles Berry encadre et anime avec tout son métier et son expérience.

LE CREUSOT : Les fourberies de Scapin ce soir à L'arc

Le Jeudi 15 novembre 2012 @ 03:05:01

La célèbre farce de Molière est revisitée de

manière très originale par la compagnie

d'Emilie Valantin. Représentation ce jeudi

soir, à 20 heures 30, sur la scène

nationale de L'arc. Présentation.

Cette farce de Molière, on la connaît, de

près ou de loin… La voici ici revisitée de

manière très originale : seul en scène,

Jean Sclavis, impressionnant, donne vie à

tous les personnages, de grandes

marionnettes aux voix et allures typées

manipulées à vue : du grand art !

Une performance d'acteur rythmée,

percutante, drôle, et sensible qui révèle,

par cette adaptation, toute la force des

thèmes évoqués dans la pièce : le conflit de générations, la désobéissance, la délinquance, le besoin

d'émancipation, le désir amoureux, l'argent, la réputation, les non-dits dans la famille…

Emilie Valantin est une artiste emblématique du théâtre de marionnettes depuis ses premières

créations en 1975, et la première à avoir fait entrer l'art de la marionnette à la Comédie Française en

2008. Elle file ici la métaphore d'un Scapin manipulateur d'individus à la fois naïfs et pris au piège de

leurs propres faiblesses.

Rendez-vous sur un quai du port de Naples, pour suivre ce fourbe dans son imbroglio de mensonges

et de chantages…

« Scapin (efficace Jean Sclavis), seul comédien de chair et de sang, manipule à sa guise les figures de

ce vaniteux carrousel. On rit. (…) Une farce savante, comme toujours chez Emilie Valantin. », Mathieu

Braunstein (Télérama)

Plus d'informations en cliquant sur le lien suivant : http://www.larcscenenationale.fr/.

A L'ARC : Voix et piano pour des interprétations pleines

d'énergie

Le Mercredi 17 octobre 2012 @ 13:38:33

Ce jeudi 18 octobre, rendez-vous avec Caroline Casadesus et Dimitri Naïditch. Représentation à 20h30 à L'arc. Présentation.

Haendel, Scarlatti, Purcell, Brahms, Schumann, Verdi, Bizet… interprétés par la grande voix de Caroline Casadesus : un délice assuré ! D'autant plus qu'elle est accompagnée de « l'inégalable Dimitri Naïditch (…), un complice merveilleux, pianiste brillant, capable de passer d'un registre à l'autre avec une déconcertante facilité », comme en parle la chanteuse. Dimitri Naïditch a déjà dévoilé ce talent si naturel de jongler avec les partitions et de pousser l'improvisation. Le tempérament indomptable du pianiste ukrainien accompagne cette fois une grande chanteuse lyrique pour l'emmener au-delà des frontières du classique. Déjà partenaires dans le spectacle « Le jazz et la diva » aux côtés du violoniste Didier Lockwood, Caroline Casadesus et Dimitri Naïditch nous promettent des interprétations pleines d'énergie et de puissance, de maîtrise et de virtuosité. Mais bien plus que cela aussi. Car ce duo, si technique soit-il, joue de sa spontanéité et de sa complicité pour conjuguer l'humour avec le répertoire classique dont ils connaissent bien les nuances. De là à faire quelques entorses au programme, il n'y a qu'un pas…

Caroline Casadesus à la voix, Dimitri Naïditch au piano. Durée : 1h30. Plus d'informations et réservations au 03 85 55 13 11. Site internet de L'arc : http://www.larcscenenationale.fr/.

CAMPUS SUD BOURGOGNE : Le programme septembre-décembre d'Univ'Art

Le Lundi 01 octobre 2012 @ 15:08:12

La saison 2012-2013 d'Univ'Art a été présentée.

Jeudi dernier, devant les étudiants, le représentant de la municipalité Daniel Moriaux a assuré que « la vie étudiante compte dans la politique de la ville ». Le président de la Communauté Creusot

Montceau, Jean-Claude Lagrange, a quant à lui réaffirmé que la CCM a « toujours eu à cœur de développer l'offre universitaire ». Le programme Univ'Art, concocté par la scène nationale de L'arc dans le cadre d'un partenariat, en est un exemple concret. Il propose aux étudiants intéressés un parcours culturel et artistique assez vivant, entre représentations et échanges avec les artistes. La saison 2012-2013 de cet Univ'Art est connue. Elle a été présentée par Célia Deliau et Alexandra Mercier, respectivement directrice et administratrice en charge des relations publiques de L'arc. La première partie du programme est à retrouver ci-dessous. Car cette année, ce sont deux saisons en une qui sont ouvertes avantageusement aux étudiants ! Avec une trentaine d'actions culturelles et artistiques. Sans oublier la saison de L'arc dans son ensemble que les représentantes de la scène nationale ont aussi exposée au travers d'aperçus.