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Les grands hommes quand ils étaient petits

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Les Grands Hommes quand ils étaient petits

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JABOUNE

Les Grands Hommes quandils étaient petits 1

ILIiUSÏRÀTIONâ nsin »È\ M'ÀVIE-MADELEINE FRANC-JN'OHAIN u ,

PARIS ERNEST FLAMMARION, ÉDITEUR

26, RUE RACINE, 26 Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction réservée

pour tous les pays.

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.. Droits de traduction, de reproduction et d'adaptation réservés pour tous les pays.

Copyright 1925, by ERNEST FLAMMARION.

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PAUL BOURGET

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PAUL BOURGET

Au déout de l'aimée 1854, un nouveau professeur de mathématiques vint s'ins- taller à Clermont-Ferrand ; et les étudiants de la Faculté des Sciences qui allaient de- venir ses élèves se renseignèrent les uns les autres :

— Quel homme est-ce P Tu l'as vu P... — Tout jeune, tout jeune... Trente à

trente-cinq ans au plus... — Oui, mais un normalien, mon cher,

et docteur, et agrégé...

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« Ma tante le connaît : il a sa femme et deux jolis petits bébés avec lui : un petit garçon de deux ans et une petite fille...

— AhP... — Il arrive de Strasbourg, où il n'est

resté que quelques mois... Avant, mon vieux, il était à Amiens : et il paraît même que c'est là qu'est né son petit garçon...

— Et comment l'appelles-tuP... — Bourgat... Bourgoin. Attends donc...

BourdetP... — Bourget! Justin Bourget!... — BourgetP Connais pas. Le professeur Bourget devait faire son

chemin. Le joli bébé de deux ans aussi. Il s'appelait Paul.

Un petit garçon bien sage.

Le petit Paul a beaucoup grandi, et vous savez tous, mes chers petits amis, qu'il est devenu tout ce que son savant papa, qui était un professeur, aurait pu désirer : un maître.

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Mais le grand Bourget d'aujourd'hui a bien voulu tout de même se souvenir un instant du petit Paul d'autrefois, et évo- quer devant moi de la façon la plus exquise l'heureuse époque qui va de ses premières culottes à son premier pantalon...

Le petit Joffre était, — vous le verrez, — le plus insupportable des enfants. M. Paul Bourget fut un petit garçon plutôt sage.

— J'avais, me dit l'illustre écrivain, un frère un peu plus jeune que moi ; il nous arriva d'être jusqu'à sept enfants à la mai- son — et pourtant je ne me rappelle ni querelles importantes ni batailles notables...

« Mon père était très bon, mais le bruit l'aurait gêné dans ses travaux, et pour ma part, je n'ai jamais senti l'impérieux be- soin de crier sans raison ou de courir sans but...

« J'aimais le calme, les promenades que je faisais tout seul dans le jardin, en pen- sant à mille choses — ou à rien — et sur- tout passionnément la lecture... »

— Il n'y avait cependant à l'époque, ni

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Jules Verne, ni la comtesse de Ségur... — Ëcoutez : comme j'étais trop petit, à

table, pour atteindre naturellement le ni- veau de mon àssiette, on avait placé sur ma chaise, pour me hausser convenable- ment, l'ouvrage le plus épais de la biblio- thèque : une traduction de Shakespeare, par Laroche, en deux volumes.

« Quand le couvert était enlevé, je met- tais mon siège sur mes genoux et je lisais follement, pendant des heures entières...

« Et c'est ainsi que Macbeth, Jules Cé- sar, Hamlet, Roméo, Cléopâtre, devinrent pour moi, quand j'eus six ans, des ,noms presque aussi familiers que s'ils eussent été ceux des chats et des chiens du voisi- nage... »

Et M. Bourget sourit doucement : — Je crois bien que je ne comprenais

pas grand'chose à leurs histoires, mais elles me passionnaient : j'en représentais les per- sonnages avec des plumes que je faisais mouvoir sur le tapis comme sur une scène imaginaire — et vous savez que j'ai con- servé dans tout ce que j'ai écrit un goût

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du drame, qui ne vient peut-être que de notre salle à manger de Clermont...

Comment le petit Paul eut, à sept ans, un camarade beaucoup plus âgé que lui.

— Vers la même époque (j'avais alors six à sept ans), mon meilleur ami fut un délicieux vieux monsieur, qui était né avec! le siècle (au surplus, cousin de Diderot) : M. Nicard, mon demi grand-père...

« C'était un ancien professeur, un éru- dit charmant et qui ne sortait jamais sans une imposante gibecière de géologiste et sans une petite édition de Sophocle. J'ajoute qu'il consentait aussi quelquefois à m'em- mener avec lui, par-dessus le marché... »

Et ces promenades devaient être exqui- ses : le vieux monsieur et le petit garçon marchaient longuement côte à côte dans cette admirable campagne d'Auvergne ■— la plus belle du monde, affirme M. Bour- get — devant des paysages de lune peuplés de volcans éteints... Le petit Paul se bais-

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sait quelquefois et ramassait des cailloux pour la gibecière de son compagnon...,

— ... Et c'est avec ce maître indulgent et charmant que j'ai appris à connaître la na- ture — et à l'aimer. '

Ce fut d'ailleurs ce même professeur qui se chargea de toute la première éducation de son petit ami : il lui enseigna les rudi- ments de la langue, française, du grec et du latin, et jusqu'à sa dixième année, au début 1 de laquelle il entra au collège, Paul Bour- get ne reçut pas d'autres leçons que les siennes.

Mais, encore aujourd'hui, l'illustre aca- démicien n'évoque jamais sans une tendre ironie un peu émue la figure de ce vieux savant qui poussait jusqu'à l'héroïsme son amour de la science et des belles-lettres :

— Pendant la Commune, en 1871, ra- conte M. Paul Bourget, M. Nicard habitait une petite chambre de l'école préparatoire du collège Sainte-Barbe, que dirigeait mon père. On apprend un jour que les révolu- tionnaires ont bourré de poudre les caves du Panthéon et que le monument va sauter

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d'un instant à l'autre. On court prévenir M. Nicard ; on l'adjure de descendre et de se mettre à l'abri.

« Prières, menaces, rien n'y fait. « M. Nicard lisait OEdipe à Colone ; il

refusa formellement de bouger avant d'avoir terminé le dernier acte ; et l'on dut l'abandonner à son sort.

« Seulement, le fil électrique qui devait produire l'étincelle était mal installé ; la poudre n'éclata point.

« Et voilà pourquoi M. Nicard put lire Sophocle un peu plus avant ce jour-là... »

Le « Roman d'une fourmi » première œuvre de Paul Bourget.

Entre la lecture de Shakespeare, les le- çons de M. Nicard et ses promenades dans la campagne, le jeune Paul trouvait encore le temps de satisfaire la plus dévorante de ses passions : celle d'écrire...

— Le nombre de vers — longs ou courts — de nouvelles, de contes, d'études, si je

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puis dire, critiques, de mémoires et de sou- venirs, que j'ai pu rédiger entre six et dix ans, est absolument incalculable... J'écri- vais à tout propos : c'était ma joie. Et si les écrits restaient ,que d'inédits retrouverais-je dans les greniers de ma maison d'enfance...

« La première œuvre importante dont je conserve le souvenir est un certain Roman d'une fourmi que je terminai à l'âge de neuf ans... J'avais été frappé par les mœurs étonnantes de ces insectes que j'avais lon- guement observés dans la campagne, — et je me rappelle fort bien avoir raconté tout au long, dans un périssable récit, la vie d'une de ces laborieuses ouvrières...

Le Roman d'une fourmi : n'était-ce pas déjà tout un programme?...

A dix ans, Paul Bourget débuta au col- lège de Clermont. Il en devint rapidement un des meilleurs élèves : en grec, surtout, et en latin. Au concours général de 1870 il obtenait le second prix d'honneur...

L'auteur du Roman d'une fourmi devait faire ensuite l'inoubliable carrière que vous

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savez, mes ch er s petits amis. Mais il a tou- jours gardé le goût du calme, de l'ordre et du travail, et l'on retrouve encore aujour- d'hui dans ses yeux la douceur du petit garçon de Clermont et la sagesse de l'élève du bon vieux monsieur Nicard...

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ÉDOUARD BRANLY

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ÉDOUARD BRANLY

— Le laboratoire de M. le professeur Branly, s'il vous plaît, madame?

— Au fond de la cour, escalier B..., pre- mier étage... . Comme c'est jour férié ce matin, les sombres bâtiments de l'Institut catholique sont vides et silencieux. Personne. Plas un bruit. Et l'on se croirait en province — un jour où tous les habitants seraient partis, bien entendu...

Mais voici l'escalier B : c'est un tout petit escalier bien obscur, avec des marches cirées, et si discret, vous le voyez, qu'il ne donne que la première lettre de son nom : escalier B... (Branly, peut-être?)

Au premier étage, une toute petite porte

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avec une sonnette rudimentaire : Labora- toires. Sonnez fort.

Derrière la porte, une dame en blouse blanche, dans une manière d'atelier de menuiserie où les copeaux gisent à terre, à côté de débris de toutes sortes.

Puis un étroit couloir tout noir... Au bout, une grande salle extraordinai-

rement encombrée. Et là, tout seul, près d'un innocent petit

poêle, devant un bureau chargé de papiers, le vieux monsieur auquel nous devons la télégraphie sans fil : Édouard Branly... . . . . . . . . . .

Mais quand on voit l'étonnante et la dé- licieuse simplicité du grand savant, et sa modestie, on se demande si des tapis, si des meubles dorés, si des huissiers à chaîne et si des assistants, au fond, ne l'auraient pas gêné dans ses travaux...

Il y a soixante-quinze ans.

Édouard Branly s'est levé. Il me présente

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un siège que je ne connaissais pas et hoche doucement la tête :

— Hélas! mon pauvre monsieur, me dit- il, c'est désolant, désolant : mais je ne vais rien pouvoir vous raconter du tout sur mon enfance... Tenez : asseyez-vous... Vous allez vous rendre compte vous-même...

Et l'illustre professeur fait une fausse moue navrée :

— J'ai toujours travaillé comme si j'étais grand... Alors, qu'est-ce que vous voulez : je pense bien que ça n'amusera pas beau- coup vos petits lecteurs... Je vous le répète : c'est désolant, désolant... Mais j'étais sage, discipliné, laborieux et premier de ma classe, même en thème grec... Vous avoue- rez que ce n'est pas de chance...

Et derrière sa toute petite moustache grise, le bon maître a un sourire charmant et confus. Et il est si gentil qu'il regrette presque de n'avoir pas fait mille folies dans son enfance — rien que pour le plaisir de vous les raconter aujourd'hui...

— Alors, vraiment, monsieur le profes- seur, vous n'avez aucun souvenir de l'épo-

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que où vous n'étiez encore que le petit Édouard P... Vous avez toujours étudié, tou- jours travaillé, toujours été sage?... tou-

jours, toujours, vous êtes bien sûr, même à cinq ans?

Mais le grand Branly proteste : — A cinq ans! A cinq ans!... Il y aura

bientôt soixante-quinze ans que j'avais cinq ans!... Êtes-vous certain d'avoir vous-même assez de mémoire pour vous rappeler ce que "Vous faisiez il y a si longtemps!... *

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Un petit garçon modèle.

Le grand savant, pourtant, se souvient beaucoup plus qu'il ne consent à l'avouer, et puis, même si l'on a presque quatre- vingts ans, et même si l'on a découvert la T. S. F., il y a des coins de la maison natale et certains détails de son enfance qu'on n'oublie pas si facilement...

Edouard Branly m'a donc raconté pour vous, mes chers petits amis, comment il fut un petit garçon modèle :

— Mon père était, dit-il, professeur de lettres au collège de Saint-Quentin. Nous habitions donc une petite maison de la ville, et le vœu le plus cher de mes parents était que je. devinsse professeur à mon tour...

Et Branly cligne ironiquement les yeux : — Car, à l'époque dont je vous parle,

monsieur, les professeurs n'étaient pas en- core obligés de conseiller à leurs enfants d'entrer dans le commerce. Les temps ont bien changé depuis... Et je ne sais pas au juste si ce sont les temps qui sont devenus

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fous ou si ce sont les professeurs qui sont devenus raisonnables...

« J'avais bien un frère (il devint méde- cin) ; mais il était de six ans plus jeune que moi, et je n'eus jamais l'occasion de me disputer régulièrement avec lui — ni même de jouer sérieusement en sa compa- gnie...

« Et comme on. éloignait assez soigneuse- ment les autres enfants de la maison, à cause des travaux de mon père, je dois avouer que je n'ai pas le souvenir de m'être jamais beaucoup amusé chez moi, ni d'avoir fait bien fréquemment le petit fou...

« Et d'ailleurs, pour dire vrai, ce qui m'amusait surtout, c'était précisément de ne pas m'amuser.

« Je crois que je suis assez sérieux, comme bien des gens... seulement, moi, au lieu de commencer à cinquante ans, j'ai commencé tout petit, tout petit... Et de tout temps, l'étude fut ma seule vraie dis- traction...

— C'est' votre père qui vous apprit à lire?...

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— Non. Ce fut une bonne vieille voisine, qui était maîtresse de pension, qui se char- gea de cette besogne. Je ne me rappelle pas son nom, mais je me rappelle que c'était une bien brave et bien indulgente per- sonne... et qui me rendit, en tout cas, un inoubliable service...

« Car, dès que je connus mes lettres, la lecture me passionna... Mon père me per- mettait de fouiller dans sa bibliothèque, et je ne manquais pas de profiter de l'autori- sation.

« Je lus passionnément, sans arrêt, de tout un peu et beaucoup de n'importe quoi...

— M. Paul Bourget me disait, il y a quel- ques jours, qu'il parcourait Shakespeare à six ans...

Mais M. Branly hoche modestement la tête :

— Non... même pas. Je n'y aurais rien compris...

Et il sourit encore. — Voyez : c'est ce qui est effrayant pour

vous, pour vos lecteurs, c'est que je ne

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fus par un enfant terrible, et que je ne fus même pas un enfant prodige !...

« On me mit tout jeune au collège, et j'étais presque toujours premier — premier en tout : en sciences et en lettres — ce qui faisait que personne ne pouvait savoir pour quelle matière au juste j'avais de réelles dis- positions...

— Est-ce qu'on ne disait pas, alors : Ah! voilà! c'est parce qu'il est le fils du profes- seur qu'il a toujours de bonnes places!...

— C'est fort probable... Mais quoi qu'il en fût, mon père était ravi, et il pensait qu'un élève aussi brillant que je l'étais ne manquerait pas assurément de devenir un excellent professeur de lettres...

« Seulement, on peut être fort en thème et préférer les mathématiques...

« Ce n'est qu'après mon baccalauréat que j'avertis ma famille — parce que je venais moi-même de m'en rendre compte — que les sciences m'attiraient plus que les lettres...

cc Et pourtant, sérieux comme je me con- nais, je suis sûr que j'aurais fait un très honorable professeur de latin... »

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OUVRAGES POUVANT ÊTRE MIS ENTRE TOUTES LES MAINS ACKER (PAUL)

Les exilés. Nouvelle édition illustrée 7 50 A 1 C A R D (JEAN), de l'Acad. française

Ariette des Mayons 5 » ALANIC (M A T HIL DE)

M a C o u si n e Ni co I e (Om t'oa; wj?i é par l'Académie française) . . . . 7 » Rayonne ! 7 »

Derrièiœ le voile 7 » La gloire de Fonteclaire.. , . 7 95 L'aube du cœur 7 95 Les espérances 7 95

BAILLE HACHE (COMTESSE DE) Les mains pures 7 , Princesse Fégoroll' 7 .

BERNARD (TRISTAN) L'affaire Larcier 6 50 BORDEAUX (H E N R Y), de l'Acad. française La Nouvelle Croisade des Enfants

(illustré) 7 50 La petite Mademoiselle, illustre. 8 50

BOURCIER (EMMANUEL) Les Gens de Mer 5 ,

DANRIT (CAPITAINE) La Guerre souterraine (Robinsons

souterrains), illustré...... a 5o Au-dessus du Continent noir, ill, 8 50 L'Aviateur du Pacifique, illustré. 8 50 Mobilisons Sous-Marins (Ouvrafle

couronné par l'Académie ¡ra/I{'aisl' 1 , illustré 8 50

Robinsons de l'Air, illustré.... 8 50 DAUDET (ALPHONSE) .

La Belle-Nivernaise, Histoire d'un vieux bateau et de son équipage.. 8 »

Tartarin de Tarascon, illustré.. 7 50 Tartarin sur les Alpes, illustré.. 7 50 Port Tarascon, illustré 7 50 Robert Helmont, illustré 8 50

DELLY Le fruit mûr 7 95 JVIitsi 7 95 La chatte blanche 7 95 Les ombres 7 95

DES GACHONS (JACQUES) Ma tante Anna ̂ 7 o

FARRÈRE (CLAUDE) Mes voyages (La promenade d'Ex-

trême-Orient 750 FARRÈRE (CLAUDE) ET CHACK (PAUL)

Combats et batailles sur mer. 7 95 FISCHER (MAX ET ALEX)

Camembert-sur-Ourcq 7 , FOL E'R (CHARLES)

Tuteur 7 „ Svlvette et son Blessé (Ouvrage

couronné par l'Académie /raiifaisej 7 95

F OLE 'y (CHARLES) (suite) Le parc aux oiseaux bleus... 7 . Le manoir aux loups 7 50 Le cygne au collier d ' o r . . . 7 50 Les émotions de tante Jane. 7 95 FaN C K (RENÉ), Capitaine pilote aviateur Mes Combats. Préface du Maréchal

Foch. 7 FRAPIE (LÉON)

Nouveaux contesdelaMaternelle 5 75 FRAPPA (JEAN-JOSÉ) La princesse aux clowns.... 7 »

GASQUEr (MARIE) Tante la Capucine, roman.... 7 95

GÉNIAUX (CHARLES) La lumière du cœur 7 ,

GOUVIEUX (MARC) Le maître de l'air 7 50

GUITRY (LUCIEN) Risq netou, m

G Y P Mon ami Pierrot 7 95

HERMANT (ABEL) Histoires héroïques de mon ami

Je,iti ■ .. ; . . 5 » LEVEL (MAURICE)

La cité des voleurs 7 50 MACHARD (ALFREO)

l'opanl et Virginie 8 ",c0 Le loup-garoti \ \ [ 7 MALOT (HECTOR)

Sans Faniille (2 vol. illustrés), l'un. 8 50 En Famille (2 vol. illustrés), l'iin. 8 50 La Petite Sœur (2 vol. ill.), l'un 8 50 Romain Kalbris 3 50

PAILLOT (FOinUNÉ) Monte là-dessus . 5 „ PRÉVOST (MARCEL), de l'Acad. française

L'art d'apprendre ' 7 » RIPERT (EMilE)

Quand je serai bachelière .. 7 95 ROSNY AINÉ (J.-H.), de l'Académie Concourt L'étonnant voyage de Hareton Ironcastle 7 •

TRILBY (T.) L'incomprise 8 50 Jacqueline ou la bonne action 7 95 Ariette, jeune fille moderne... 7 50 Le droit d'aimer 7 • La roue du moulin 7 » Rêve d'amour 7 50

VALLERY-R A DOT (RENÉ) La vie de Pasteur 12 •

WETTERLÉ (ABBÉ E.) En Syrie avec le général Gou- raud, illustré . . . . . . . . . 7 50

l'Jo8. - Paris. — Imp. Hemmerlé, Petit et C". 10-1923.

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Participant d’une démarche de transmission de fictions ou de savoirs rendus difficiles d’accès par le temps, cette édition numérique redonne vie à une œuvre existant jusqu’alors uniquement

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