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Des diététiciennes à votre écoute PRATIQUE Éviter les dangers sur Internet NUTRITION Vrai/ Faux: les boissons ÉCOLOGIE Comment devenir consom’acteur JEU CONCOURS donnez-nous votre avis p.26

Magazine Attitude Printemps 2009

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Magazine Attitude Printemps 2009

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Page 1: Magazine Attitude Printemps 2009

Des diététiciennes à votre écoute

PRATIQUEÉviter les dangers

sur Internet

NUTRITIONVrai / Faux :

les boissons

ÉCOLOGIEComment devenir consom’acteur

JEU CONCOURS

donnez-nous

votre avis

p. 26

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L’écologie est de plus en plus au cœur de nos préoccupations. Nous vous proposons quelques conseils pour vous encourager à faire un geste pour la planète et devenir un « consom’acteur » (p. 6) : consommer moins et mieux, c’est possible. Des travaux à faire dans votre maison ? Découvrez nos astuces pour bricoler écolo (p. 5).Avec le retour des beaux jours, vous avez envie de vous mettre au vert en famille ? Partez à la découverte de trois sites qui abritent de superbes moulins et du zoo de Doué, très impliqué dans la sauvegarde des animaux (p 22).Enfin, régalez-vous avec les recettes concoctées par notre Chef (p. 13) qui vous propose un menu original à base de céréales.Très bonne lecture.

Magazine édité par Sodexo. Directeur de la publication : Michel Franceschi. Directeur de la rédaction : Nicolas Thomazo. Rédactrice en chef : Elisabeth Dubois. Conception et réalisation : Com-Presse. Coordination : Kity Bachur. Rédaction : Marie de La Forest, Franck Schmitt. Direction artistique : Sébastien Pélegrin. Photogravure : Alain Adone. Imprimerie : YD Print. Pour nous écrire : [email protected] Sodexo remercie toutes les personnes qui ont collaboré à ce numéro. Ce magazine est imprimé sur du papier recyclé.

ATTITUDE QUALITÉ DE VIE

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C’est la copie exacte d’un médicament de marque. Il contient le même principe actif et la même dose que celui d’origine. Seuls quelques ingrédients peuvent changer, comme les « excipients », qui n’ont pas d’effet thérapeutique mais sont nécessaires à la fabrication du produit. La couleur et la taille des comprimés peuvent également être différents.

Oui. La composition du principe actif

étant similaire à celle du médicament d’origine, il n’y a pas de raison que le générique soit moins efficace ou moins sûr, d’autant qu’il est soumis aux mêmes normes de qualité et de sécurité.

Oui, mais dans un grand nombre de départements, vous risquez dans ce cas de ne pas bénéficier du tiers-payant en pharmacie. Vous devrez alors faire l’avance des frais, puis vous faire rembourser par votre caisse d’Assurance maladie. Sachez que les pharmaciens ont le droit de délivrer un médicament générique, même si le médecin a prescrit celui d’origine (sauf s’il a précisé « non substituable »).

Oui. La différence de prix entre le médicament d’origine et ses génériques (un médicament peut avoir une dizaine de copies) est en moyenne de 30 %, mais elle peut atteindre 50 %.

Les génériques ont permis de faire 800 millions d’économies en 2007, soit 10 % du « trou » de la Sécu. L’Assurance maladie considère que c’est un succès : le taux de pénétration des génériques est en effet passé de 28 % en 2000 à 82 % en 2007. Mais il paraît que l’on peut encore faire mieux… * Enquête Ifop réalisée pour les laboratoires Sandoz.

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es personnes atteintes d’un cancer ont souvent des difficultés à manger : perte

d’appétit, nausées, modification du goût… Résultat, quand ces malades ne sont pas en forme et qu’ils n’ont pas faim, ils délaissent leur plateau-repas. Or, la dénutrition est un facteur aggravant de la maladie. Aidés par les professionnels de santé, les malades et des diététiciennes, Sodexo ont donc mis au point cette nouvelle formule « Douceurs ».

Pour créer cette nouvelle prestation de restauration, Sodexo a été particulièrement attentif aux souhaits des malades : ils expriment avant tout l’envie de conserver une alimentation « normale » et équilibrée, et demandent qu’on leur propose

des recettes qui « passent mieux ». Ils ont envie de fraîcheur, de douceurs, de jus de fruits frais, de desserts onctueux, de veloutés et de petites portions à picorer. Les repas « Douceurs » répondent à ces attentes en respectant les besoins nutritionnels des patients. La formule est appréciée par les malades et les équipes soignantes sont fières de contribuer à leur mieux-être au quotidien.

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Bricolez toujours dans une pièce bien ventiléepour éviter de respirer des substances nocives pour l’organisme, comme les très répandus composés organiques volatils (COV) qui peuvent être à l’origine d’allergies, de troubles respiratoires et sont même suspectés d’être cancérigènes.

Buvez beaucoup d’eaupour limiter le dessèchement des voies respiratoires lié à l’inhalation de poussières et de solvants.

Choisissez bien vos peinturesLa plupart émettent des COV, surtout les glycérophtaliques. Préférez les peintures labellisées « NF Environnement » ou « Écolabel européen » : ces labels garantissent une teneur réduite en solvants et l’absence de substances nocives telles que le mercure, l’arsenic ou le plomb. Il existe certaines peintures écologiques sans solvant et élaborées uniquement à partir de produits naturels (pigments naturels, huile de lin, chaux…).

Utilisez un diluant douxaux agrumes (produit naturel) pour nettoyer vos pinceaux, et de l’huile

de table ou d’amande douce pour vos mains. Dans tous les cas, évitez le white-spirit qui, même s’il est efficace, est agressif pour les voies respiratoires et la peau.

Méfiez-vous des colles et vernisCes produits, qui sont en effet riches en solvants, dégagent beaucoup de COV. Comme pour les peintures, préférez ceux écologiques ou portant le label « NF Environnement ». En ce qui concerne les colles, on en trouve désormais sans solvant ni COV, formulées à base de latex végétal, de craie, de kaolin ou d’argile. Du côté des vernis, choisissez ceux élaborés avec des résines naturelles, de l’huile de bois ou de la cire d’abeille.

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e consom’acteur choisit de consommer de façon citoyenne et non plus seulement de manière individualiste. C’est à la fois

une démarche politique et philosophique.

Le consom’acteur est quelqu’un qui a pris conscience que tous ses achats ont une répercussion sur l’environnement. De la fabrication des différents produits à leur transport en passant par leur transformation, chaque étape entraîne en effet une pollution. Pour consommer de manière raisonnable, il faut donc limiter ses achats, recycler les articles qui peuvent l’être, mais aussi se soucier de leur mode de fabrication, de leurs matières premières, de leur origine… Bref, pour consommer mieux, il faut être attentif à ce que l’on achète, se renseigner, lire les étiquettes. Choisissez, par exemple, des objets et du matériel « longue vie » qui pourront être réparés si nécessaire plutôt que des produits très bon marché mais qui coûtent souvent plus cher à réparer qu’à racheter. Vérifiez aussi l’emballage : moins il est

important, plus il est écologique. Attention, par exemple aux sachets individuels qui, s’ils sont bien pratiques, sont plus polluants et coûtent plus cher. Enfin, préférez les produits portant l’étiquette « recyclable ».

Pour devenir un vrai consom’acteur, il faut choisir en priorité des produits du commerce équitable. Rappelons sa définition : « C’est un système d’échange économique respectueux de l’environnement et des droits des travailleurs. » Cette démarche permet de réduire les inégalités engendrées par le commerce traditionnel, en particulier les écarts énormes entre le Nord et le Sud, et de redonner à l’homme sa place centrale dans les échanges. Le but est d’intégrer les petits producteurs défavorisés du Sud dans les grands circuits commerciaux du Nord. Cela permet d’augmenter la part de bénéfice qui va aux producteurs et aux artisans les plus défavorisés et de diminuer celles des intermédiaires. Le commerce équitable assure aussi le respect des droits fondamentaux des personnes (pas de travail forcé, pas d’exploitation des enfants) et la préservation de l’environnement. Le principe existe depuis les années 60, mais ce n’est que depuis ces dix dernières années que cette forme de commerce connaît un véritable succès auprès du grand public. Pour preuve, son chiffre d’affaires en France a triplé entre 2004 et 2007 pour atteindre 210 millions d’euros*.

Nous sommes de plus en plus nombreux à faire attention à ce que nous achetons et à choisir des produits issus du commerce équitable.

Selon une enquête Ipsos, près d’un Français sur deux déclare avoir acheté au moins une fois, en supermarché, du café, du cacao ou du thé « équitables ». Cette démarche est aujourd’hui aisée car ces articles sont de mieux en mieux distribués, y compris dans les grandes et moyennes surfaces. Et leur liste ne cesse de s’allonger. On trouve principalement :Au rayon alimentaire : majoritairement le café, le thé, le chocolat, le sucre, les céréales, le riz, les pâtes et, plus récemment, les

fruits frais, le jus de fruit, le miel, les épices, les alcools, les biscuits, les confitures, les graines, les huiles et les noix.Au rayon déco : les bougies, le linge de table et de maison, les meubles, la vaisselle, les objets d’art, les jouets…Au rayon mode : les vêtements, les bijoux, les accessoires…Au rayon cosmétiques : le beurre de karité, les huiles essentielles… * D’après une étude IRI Infoscan

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e consom’acteur choisit de consommer de façon citoyenne et non plus seulement de manière individualiste. C’est à la fois

une démarche politique et philosophique.

Le consom’acteur est quelqu’un qui a pris conscience que tous ses achats ont une répercussion sur l’environnement. De la fabrication des différents produits à leur transport en passant par leur transformation, chaque étape entraîne en effet une pollution. Pour consommer de manière raisonnable, il faut donc limiter ses achats, recycler les articles qui peuvent l’être, mais aussi se soucier de leur mode de fabrication, de leurs matières premières, de leur origine… Bref, pour consommer mieux, il faut être attentif à ce que l’on achète, se renseigner, lire les étiquettes. Choisissez, par exemple, des objets et du matériel « longue vie » qui pourront être réparés si nécessaire plutôt que des produits très bon marché mais qui coûtent souvent plus cher à réparer qu’à racheter. Vérifiez aussi l’emballage : moins il est

important, plus il est écologique. Attention, par exemple aux sachets individuels qui, s’ils sont bien pratiques, sont plus polluants et coûtent plus cher. Enfin, préférez les produits portant l’étiquette « recyclable ».

Pour devenir un vrai consom’acteur, il faut choisir en priorité des produits du commerce équitable. Rappelons sa définition : « C’est un système d’échange économique respectueux de l’environnement et des droits des travailleurs. » Cette démarche permet de réduire les inégalités engendrées par le commerce traditionnel, en particulier les écarts énormes entre le Nord et le Sud, et de redonner à l’homme sa place centrale dans les échanges. Le but est d’intégrer les petits producteurs défavorisés du Sud dans les grands circuits commerciaux du Nord. Cela permet d’augmenter la part de bénéfice qui va aux producteurs et aux artisans les plus défavorisés et de diminuer celles des intermédiaires. Le commerce équitable assure aussi le respect des droits fondamentaux des personnes (pas de travail forcé, pas d’exploitation des enfants) et la préservation de l’environnement. Le principe existe depuis les années 60, mais ce n’est que depuis ces dix dernières années que cette forme de commerce connaît un véritable succès auprès du grand public. Pour preuve, son chiffre d’affaires en France a triplé entre 2004 et 2007 pour atteindre 210 millions d’euros*.

Nous sommes de plus en plus nombreux à faire attention à ce que nous achetons et à choisir des produits issus du commerce équitable.

Selon une enquête Ipsos, près d’un Français sur deux déclare avoir acheté au moins une fois, en supermarché, du café, du cacao ou du thé « équitables ». Cette démarche est aujourd’hui aisée car ces articles sont de mieux en mieux distribués, y compris dans les grandes et moyennes surfaces. Et leur liste ne cesse de s’allonger. On trouve principalement :Au rayon alimentaire : majoritairement le café, le thé, le chocolat, le sucre, les céréales, le riz, les pâtes et, plus récemment, les

fruits frais, le jus de fruit, le miel, les épices, les alcools, les biscuits, les confitures, les graines, les huiles et les noix.Au rayon déco : les bougies, le linge de table et de maison, les meubles, la vaisselle, les objets d’art, les jouets…Au rayon mode : les vêtements, les bijoux, les accessoires…Au rayon cosmétiques : le beurre de karité, les huiles essentielles… * D’après une étude IRI Infoscan

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e plus en plus accessibles (voir ci-dessous), les séjours de thalassothérapie se multiplient.

En cinq étapes, voici la marche à suivre si vous avez décidé de partir vous déstresser dans un de ces centres situés en bord de mer.

Choisissez bien le lieuEn priorité, optez pour un centre qui dispense des soins adaptés à vos besoins. Il existe aujourd’hui de nombreuses cures qui proposent non seulement de vous apporter détente et remise en forme, mais également de soigner vos petits maux comme le mal de dos, les stress, l’arrêt du tabac, le surpoids…

Passez la visite médicaleElle est souvent obligatoire avant de démarrer votre cure. Elle permet au médecin de vérifier que vous n’avez pas de problèmes de santé contre-indiquant une cure (maladies infectieuses aiguës, certaines maladies cardiaques ou de peau…) et d’établir avec vous votre programme de soins. Cette visite est généralement en supplément (environ 25 euros, non remboursée le plus souvent).

Demandez le programmeLa cure se déroule sur une demi-journée à raison de quatre soins par jour en moyenne, le matin ou l’après-midi, à votre convenance. Vous avez le choix entre différents soins d’hydrothérapie (ou soins d’eau) qui constituent la base de la cure de remise en forme. L’eau de mer renferme en effet de grandes quantités de minéraux, de vitamines et d’oligoéléments qui passent à travers l’épiderme lors des soins.

Plongez dans un bain de détenteSelon les établissements, plusieurs soins à base d’eau de mer peuvent vous être proposés.

Le bain à jets : plusieurs buses absorbent l’eau du bain et la réinjectent dans la baignoire sous forme de jets plus ou moins puissants. Il procure détente et bien-être.

Le bain bouillonnant : l’air ou le gaz (azote le plus souvent) est diffusé dans l’eau par une multitude de petits trous. Ce bain a une action sédative et délassante. Certaines baignoires associent bain bouillonnant et jets.

Le jet sous-marin : il s’agit d’un massage sous-marin à la main réalisé à l’aide d’une lance au débit puissant. L’hydrothérapeute

(personne qui délivre les soins) masse ainsi les zones sensibles du corps. Ce soin est particulièrement indiqué en cas de mauvaise circulation sanguine et de raideurs musculaires ou articulaires.

La douche à jets : elle constitue un traitement de choc. Dans ce cas, on utilise de l’eau de mer sous pression dirigée sur l’ensemble du corps. Idéale pour drainer les tissus en profondeur et donner un « coup de fouet » à tout l’organisme. Tonus garanti.

La douche à affusion : allongée sous une fine pluie d’eau de mer chaude, diffusée par une rampe de jets, vos muscles se détendent progressivement. Le nec plus ultra ? Un massage manuel aux huiles essentielles effectué simultanément.

Profitez des autres soinsLes centres de thalasso proposent d’autres soins comme les enveloppements d’algues. Couchée sur un lit, on vous enduit de la tête

aux pieds avec une « crème » d’algues chaudes finement broyées, puis on vous recouvre d’une couverture chauffante. Les algues étant gorgées d’oligoéléments, elles ont une action revitalisante, détoxifiante et reminéralisante. En complément, vous avez également le choix entre différents soins dits « secs », comme les massages détente et les séances de gymnastique ou de relaxation.* Source : Syndicat national de la thalassothérapie.

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e plus en plus accessibles (voir ci-dessous), les séjours de thalassothérapie se multiplient.

En cinq étapes, voici la marche à suivre si vous avez décidé de partir vous déstresser dans un de ces centres situés en bord de mer.

Choisissez bien le lieuEn priorité, optez pour un centre qui dispense des soins adaptés à vos besoins. Il existe aujourd’hui de nombreuses cures qui proposent non seulement de vous apporter détente et remise en forme, mais également de soigner vos petits maux comme le mal de dos, les stress, l’arrêt du tabac, le surpoids…

Passez la visite médicaleElle est souvent obligatoire avant de démarrer votre cure. Elle permet au médecin de vérifier que vous n’avez pas de problèmes de santé contre-indiquant une cure (maladies infectieuses aiguës, certaines maladies cardiaques ou de peau…) et d’établir avec vous votre programme de soins. Cette visite est généralement en supplément (environ 25 euros, non remboursée le plus souvent).

Demandez le programmeLa cure se déroule sur une demi-journée à raison de quatre soins par jour en moyenne, le matin ou l’après-midi, à votre convenance. Vous avez le choix entre différents soins d’hydrothérapie (ou soins d’eau) qui constituent la base de la cure de remise en forme. L’eau de mer renferme en effet de grandes quantités de minéraux, de vitamines et d’oligoéléments qui passent à travers l’épiderme lors des soins.

Plongez dans un bain de détenteSelon les établissements, plusieurs soins à base d’eau de mer peuvent vous être proposés.

Le bain à jets : plusieurs buses absorbent l’eau du bain et la réinjectent dans la baignoire sous forme de jets plus ou moins puissants. Il procure détente et bien-être.

Le bain bouillonnant : l’air ou le gaz (azote le plus souvent) est diffusé dans l’eau par une multitude de petits trous. Ce bain a une action sédative et délassante. Certaines baignoires associent bain bouillonnant et jets.

Le jet sous-marin : il s’agit d’un massage sous-marin à la main réalisé à l’aide d’une lance au débit puissant. L’hydrothérapeute

(personne qui délivre les soins) masse ainsi les zones sensibles du corps. Ce soin est particulièrement indiqué en cas de mauvaise circulation sanguine et de raideurs musculaires ou articulaires.

La douche à jets : elle constitue un traitement de choc. Dans ce cas, on utilise de l’eau de mer sous pression dirigée sur l’ensemble du corps. Idéale pour drainer les tissus en profondeur et donner un « coup de fouet » à tout l’organisme. Tonus garanti.

La douche à affusion : allongée sous une fine pluie d’eau de mer chaude, diffusée par une rampe de jets, vos muscles se détendent progressivement. Le nec plus ultra ? Un massage manuel aux huiles essentielles effectué simultanément.

Profitez des autres soinsLes centres de thalasso proposent d’autres soins comme les enveloppements d’algues. Couchée sur un lit, on vous enduit de la tête

aux pieds avec une « crème » d’algues chaudes finement broyées, puis on vous recouvre d’une couverture chauffante. Les algues étant gorgées d’oligoéléments, elles ont une action revitalisante, détoxifiante et reminéralisante. En complément, vous avez également le choix entre différents soins dits « secs », comme les massages détente et les séances de gymnastique ou de relaxation.* Source : Syndicat national de la thalassothérapie.

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Boire un verre de jus de fruit, ça équivaut à manger un fruit entierFAUX. Un fruit entier contient de l’eau, des vitamines et minéraux, mais aussi des fibres alimentaires, qui ont des vertus digestives (elles stimulent le transit intestinal) et protectrices (face au cancer notamment). Le jus de fruits, lui, ne contient quasiment plus de fibres. Il vaut donc mieux manger un fruit que le « boire », même si l’un n’empêche pas l’autre.

Tous les jus de fruits se valentFAUX. Il faut choisir de préférence de vrais jus de fruits portant la mention « 100 % jus de fruit », sans aucun sucre ajouté. Dans ce cas, ils apportent vitamines et minéraux. Évitez les « nectars » et les « boissons aux fruits ». Ils contiennent une petite partie de jus additionné d’eau, de sucres, et souvent de nombreux additifs (colorants, conservateurs…). Lisez bien les étiquettes. L’idéal ? Pressez vous-même vos fruits. Les boissons ainsi obtenues sont encore plus riches en vitamines, en minéraux et en fibres.

Il ne faut pas abuser des eaux minérales gazeusesVRAI & FAUX. Tout dépend de leur teneur en minéraux. Si elle est élevée (supérieure à 1 500 mg/l), il vaut mieux éviter de les boire en permanence. C’est le cas, par exemple, des eaux minérales gazeuses très riches en bicarbonate de soude qui, certes, facilitent la digestion, mais ne doivent pas

être consommées à chaque repas. En revanche, celles qui sont faiblement minéralisées (teneur en minéraux inférieur à 500 mg/l) peuvent être bues au quotidien.

Les sodas sont riches en sucreVRAI. Ils sont dépourvus d’intérêt nutritionnel (ni vitamines ni minéraux) et, surtout, ils contiennent beaucoup de sucre : une canette de cola apporte (en moyenne) l’équivalent de six morceaux de sucre. Résultat, ils donnent bien un « coup de fouet » mais apportent des calories et, donc, favorisent la prise de poids si on en boit régulièrement. Il est conseillé de limiter leur consommation (en dehors des repas de préférence) ou de préférer les sodas « light », dans lesquels le sucre est remplacé par un édulcorant. Dans tous les cas, boire un soda doit rester un plaisir et non une habitude au quotidien.

Le thé est un excitant au même titre que le caféVRAI. En effet, il contient de la théine, une molécule identique à la caféine. C’est pourquoi certains thés (surtout les noirs) peuvent être à l’origine d’insomnie si l’on en abuse tard dans la journée. Une tasse de thé contient environ 60 à 80 mg de théine (ou caféine), soit deux fois moins que le café à volume égal. Si vous y êtes sensible, préférez un thé semi-fermenté, qui est plus faiblement dosé, ou du thé « rouge », qui provient d’une plante sud-africaine différente du théier et n’en contient pas du tout.

Plus le thé est infusé longtemps, plus il empêche de dormirFAUX. Faire infuser les feuilles très peu de temps est sans intérêt car la théine passe immédiatement dans l’eau, mais pas les tanins qui lui donnent sa saveur. Le risque est alors de boire un jus clair, peu goûteux mais néanmoins énervant. Il est préférable de dé-théiner soi-même sa boisson en trempant les feuilles trente secondes dans de l’eau chaude et de les faire ensuite infuser normalement.

Le café est un stimulant intellectuelVRAI. La caféine qu’il contient améliore la vigilance, retarde l’apparition de la fatigue et multiplie par dix la vitesse

de traitement des informations par notre cerveau. Elle exercerait même un effet

bénéfique sur la mémoire, notamment chez les personnes de plus de 60 ans.

Enfin, la caféine favorise la digestion après le repas et atténue la migraine (certains

médicaments antimigraineux en contiennent).

Il ne faut pas boire plus de six tasses de café par jourVRAI. C’est la dose maximale et à condition de bien le supporter. En effet, à haute dose, le café énerve, augmente la fréquence cardiaque (il peut même donner des palpitations) et la pression artérielle. Et comme c’est un stimulant, il peut perturber l’endormissement, voire provoquer des réveils nocturnes. Ceux qui dorment mal ont tout intérêt à ne pas en boire après 15 heures.

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Boire un verre de jus de fruit, ça équivaut à manger un fruit entierFAUX. Un fruit entier contient de l’eau, des vitamines et minéraux, mais aussi des fibres alimentaires, qui ont des vertus digestives (elles stimulent le transit intestinal) et protectrices (face au cancer notamment). Le jus de fruits, lui, ne contient quasiment plus de fibres. Il vaut donc mieux manger un fruit que le « boire », même si l’un n’empêche pas l’autre.

Tous les jus de fruits se valentFAUX. Il faut choisir de préférence de vrais jus de fruits portant la mention « 100 % jus de fruit », sans aucun sucre ajouté. Dans ce cas, ils apportent vitamines et minéraux. Évitez les « nectars » et les « boissons aux fruits ». Ils contiennent une petite partie de jus additionné d’eau, de sucres, et souvent de nombreux additifs (colorants, conservateurs…). Lisez bien les étiquettes. L’idéal ? Pressez vous-même vos fruits. Les boissons ainsi obtenues sont encore plus riches en vitamines, en minéraux et en fibres.

Il ne faut pas abuser des eaux minérales gazeusesVRAI & FAUX. Tout dépend de leur teneur en minéraux. Si elle est élevée (supérieure à 1 500 mg/l), il vaut mieux éviter de les boire en permanence. C’est le cas, par exemple, des eaux minérales gazeuses très riches en bicarbonate de soude qui, certes, facilitent la digestion, mais ne doivent pas

être consommées à chaque repas. En revanche, celles qui sont faiblement minéralisées (teneur en minéraux inférieur à 500 mg/l) peuvent être bues au quotidien.

Les sodas sont riches en sucreVRAI. Ils sont dépourvus d’intérêt nutritionnel (ni vitamines ni minéraux) et, surtout, ils contiennent beaucoup de sucre : une canette de cola apporte (en moyenne) l’équivalent de six morceaux de sucre. Résultat, ils donnent bien un « coup de fouet » mais apportent des calories et, donc, favorisent la prise de poids si on en boit régulièrement. Il est conseillé de limiter leur consommation (en dehors des repas de préférence) ou de préférer les sodas « light », dans lesquels le sucre est remplacé par un édulcorant. Dans tous les cas, boire un soda doit rester un plaisir et non une habitude au quotidien.

Le thé est un excitant au même titre que le caféVRAI. En effet, il contient de la théine, une molécule identique à la caféine. C’est pourquoi certains thés (surtout les noirs) peuvent être à l’origine d’insomnie si l’on en abuse tard dans la journée. Une tasse de thé contient environ 60 à 80 mg de théine (ou caféine), soit deux fois moins que le café à volume égal. Si vous y êtes sensible, préférez un thé semi-fermenté, qui est plus faiblement dosé, ou du thé « rouge », qui provient d’une plante sud-africaine différente du théier et n’en contient pas du tout.

Plus le thé est infusé longtemps, plus il empêche de dormirFAUX. Faire infuser les feuilles très peu de temps est sans intérêt car la théine passe immédiatement dans l’eau, mais pas les tanins qui lui donnent sa saveur. Le risque est alors de boire un jus clair, peu goûteux mais néanmoins énervant. Il est préférable de dé-théiner soi-même sa boisson en trempant les feuilles trente secondes dans de l’eau chaude et de les faire ensuite infuser normalement.

Le café est un stimulant intellectuelVRAI. La caféine qu’il contient améliore la vigilance, retarde l’apparition de la fatigue et multiplie par dix la vitesse

de traitement des informations par notre cerveau. Elle exercerait même un effet

bénéfique sur la mémoire, notamment chez les personnes de plus de 60 ans.

Enfin, la caféine favorise la digestion après le repas et atténue la migraine (certains

médicaments antimigraineux en contiennent).

Il ne faut pas boire plus de six tasses de café par jourVRAI. C’est la dose maximale et à condition de bien le supporter. En effet, à haute dose, le café énerve, augmente la fréquence cardiaque (il peut même donner des palpitations) et la pression artérielle. Et comme c’est un stimulant, il peut perturber l’endormissement, voire provoquer des réveils nocturnes. Ceux qui dorment mal ont tout intérêt à ne pas en boire après 15 heures.

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et des gages (débarrasser la table, faire la vaisselle…) pour les perdants. Vos enfants se prendront vite au jeu, et finiront par appliquer spontanément ces règles au quotidien.* Menée par le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc).

l a y encore une trentaine d’années, les enfants n’avaient qu’à bien se tenir à table. Interdiction de parler, pas le droit de se lever pour aller aux toilettes, obligation de finir

le contenu de son assiette… Si davantage de souplesse était nécessaire, il y a aujourd’hui parfois trop de laxisme. Les principales raisons ? On passe de moins en moins de temps à table en famille. D’après une étude*, la durée moyenne des repas est passée de 1 h 30 il y a vingt ans à 30 minutes aujourd’hui. Résultat, on mange vite, sans se soucier des bonnes manières. Par ailleurs, comme nos habitudes alimentaires ont changé, nos comportements aussi : on mange ce qu’on veut, à l’heure qu’on veut, et parfois même avec les doigts ! Il faut donc retrouver le plaisir de dîner en famille. Ce doit être un moment privilégié, où l’on échange, si possible sans télé en fond sonore, ni portable qui sonne…

Inventez des jeuxIl faut essayer d’enseigner à nos enfants un minimum de savoir-vivre. Mais attention, n’instaurez pas de règles trop strictes et évitez de répéter en boucle les phrases du style « Ne mange pas avec les doigts », « Fais moins de bruit avec ta bouche », sinon il y a fort à parier que vous obteniez peu de résultat et que les repas virent au cauchemar. Essayez plutôt d’instaurer un jeu. Organisez, par exemple, un repas « comme au restaurant ». Mettez les petits plats dans les grands et demandez à vos enfants de bien se tenir. Prévoyez aussi des petites questions sur les règles à respecter (voir ci-contre). N’oubliez pas des petites récompenses (un chocolat, par exemple) pour les gagnants

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6 CÉRÉALES À LA LOUPE

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Elle est confectionnée à partir de semoule de maïs que l’on mélange simplement à de l’eau chaude. Originaire d’Italie, la polenta peut revêtir plusieurs couleurs : jaune (la plus courante), blanche ou rougeâtre. Elle se cuisine

facilement et de différentes façons : chaude avec un peu

de beurre, refroidie puis tranchée et frite dans de l’huile ou du beurre, gratinée au four avec du fromage… On peut aussi incorporer à la préparation des légumes, des olives, des raisins secs (pour une version sucrée), etc. La polenta apporte des vitamines du groupe B (régulation du système nerveux).

Cette autre variété antique de blé était présente il y a plusieurs siècles dans la vallée du Nil. Mais depuis les années 50, le Kamut est cultivé aux États-Unis selon les règles de l’agriculture biologique. C’est même une variété protégée par le ministère de l’Agriculture américain. Ses grains

sont deux à trois fois plus gros que ceux de son cousin le blé dur, et ils renferment 20 à 40 % de protéines en plus. Entiers, ils ont un petit goût de noisette et sont délicieux avec un peu de beurre. Le Kamut existe aussi sous forme de farine et de grains soufflés dans certains mueslis.

C’est l’ancêtre du blé. Originaire d’Asie centrale, il est cultivé en Europe depuis presque dix siècles. On peut le consommer nature, comme du riz, dans des potages ou avec des légumes. L’épeautre peut aussi être transformé en farine. C’est pourquoi il entre dans de nombreuses

denrées alimentaires : pain, pâtes, gâteaux… Plus riche en fibres (bonnes pour le transit intestinal) et en saveurs que le blé, il se digère facilement. L’épeautre renferme aussi des protéines (principaux constituants des muscles), du magnésium (antistress) et du fer (antianémie).

[533 kcal / 100 g][146 kcal / 100 g]

C’est un sous-produit du blé dur qui nous vient du Moyen-Orient. Débarrassés de leurs enveloppes, ses grains sont ensuite précuits à la vapeur et séchés (souvent en les plaçant sur le toit d’une maison) et enfin concassés. Le boulgour se cuit comme du riz et se consomme de la même façon : chaud avec un peu

de beurre ou des légumes ; froid en salade, mélangé à des crudités, etc. Ses grains sont notamment utilisés dans le taboulé libanais. En Tunisie, on le consomme cuit à la vapeur comme la semoule de couscous. Le boulgour renferme du phosphore, indispensable à une bonne calcification, du fer et du magnésium.

POUR 4 PERSONNES Préparation : 30 min + 1 h pour refroidir. Cuisson : 10 à 12 minINGRÉDIENTS :

POUR 4 PERSONNES Préparation : 20 min Cuisson : 45 min INGRÉDIENTS :Pour les coquelets :

Pour les frites de polenta :

Pour les coquelets :

Pour les frites :

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Elle est confectionnée à partir de semoule de maïs que l’on mélange simplement à de l’eau chaude. Originaire d’Italie, la polenta peut revêtir plusieurs couleurs : jaune (la plus courante), blanche ou rougeâtre. Elle se cuisine

facilement et de différentes façons : chaude avec un peu

de beurre, refroidie puis tranchée et frite dans de l’huile ou du beurre, gratinée au four avec du fromage… On peut aussi incorporer à la préparation des légumes, des olives, des raisins secs (pour une version sucrée), etc. La polenta apporte des vitamines du groupe B (régulation du système nerveux).

Cette autre variété antique de blé était présente il y a plusieurs siècles dans la vallée du Nil. Mais depuis les années 50, le Kamut est cultivé aux États-Unis selon les règles de l’agriculture biologique. C’est même une variété protégée par le ministère de l’Agriculture américain. Ses grains

sont deux à trois fois plus gros que ceux de son cousin le blé dur, et ils renferment 20 à 40 % de protéines en plus. Entiers, ils ont un petit goût de noisette et sont délicieux avec un peu de beurre. Le Kamut existe aussi sous forme de farine et de grains soufflés dans certains mueslis.

C’est l’ancêtre du blé. Originaire d’Asie centrale, il est cultivé en Europe depuis presque dix siècles. On peut le consommer nature, comme du riz, dans des potages ou avec des légumes. L’épeautre peut aussi être transformé en farine. C’est pourquoi il entre dans de nombreuses

denrées alimentaires : pain, pâtes, gâteaux… Plus riche en fibres (bonnes pour le transit intestinal) et en saveurs que le blé, il se digère facilement. L’épeautre renferme aussi des protéines (principaux constituants des muscles), du magnésium (antistress) et du fer (antianémie).

[533 kcal / 100 g][146 kcal / 100 g]

C’est un sous-produit du blé dur qui nous vient du Moyen-Orient. Débarrassés de leurs enveloppes, ses grains sont ensuite précuits à la vapeur et séchés (souvent en les plaçant sur le toit d’une maison) et enfin concassés. Le boulgour se cuit comme du riz et se consomme de la même façon : chaud avec un peu

de beurre ou des légumes ; froid en salade, mélangé à des crudités, etc. Ses grains sont notamment utilisés dans le taboulé libanais. En Tunisie, on le consomme cuit à la vapeur comme la semoule de couscous. Le boulgour renferme du phosphore, indispensable à une bonne calcification, du fer et du magnésium.

POUR 4 PERSONNES Préparation : 30 min + 1 h pour refroidir. Cuisson : 10 à 12 minINGRÉDIENTS :

POUR 4 PERSONNES Préparation : 20 min Cuisson : 45 min INGRÉDIENTS :Pour les coquelets :

Pour les frites de polenta :

Pour les coquelets :

Pour les frites :

Page 16: Magazine Attitude Printemps 2009

Il s’agit de grains d’avoine étuvés, puis aplatis au rouleau avant d’être séchés.

On les consomme généralement mélangés à d’autres céréales (muesli), additionnés de lait ou de jus de fruit, mais ils peuvent

aussi être intégrés à un potage. Les Britanniques les apprécient sous

forme de porridge (sorte de bouillie où les flocons sont cuits dans du lait ou de l’eau). Les flocons d’avoine renferment du manganèse (antioxydant luttant contre le vieillissement) et du zinc (dopage du système immunitaire). Ils font aussi baisser le taux de mauvais cholestérol et réduisent les risques cardio-vasculaires.

ces célèbres « corn flakes » sont nés d’un accident vers 1894. Les frères Kellogg firent cuire des grains de blés de manière à obtenir une pâte qu’ils aplatirent ensuite avec des rouleaux. Après un temps de repos, ils s’aperçurent que les grains de blés se transformaient en pétales qui, une fois grillés, devenaient légers et croustillants. Devant le succès de leur recette, ils firent des pétales de maïs.

En 1906, ils commercialisent le produit et donnent leur nom à la célèbre marque. Depuis, les pétales de maïs se consomment avec un peu de lait froid ou chaud dans le monde entier. Ils sont riches en vitamines du groupe B, en fer et en calcium.

[207 kcal / 100 g]

POUR 4 PERSONNESPréparation : 30 min INGRÉDIENTS :

Page 17: Magazine Attitude Printemps 2009

n voilà un qui s’est fait sa place tout seul… Sans aucun diplôme

en poche, Anthony est un jeune homme qui a su, au fil de ses expériences, se faire apprécier en démontrant ses compétences et son sérieux. Voilà quatre ans qu’il travaille chez Sodexo. Il y a trois ans, il a suivi une formation en téléphonie qui lui permet aujourd’hui de gérer seul 2 600 lignes téléphoniques réparties dans trois bâtiments. Un défi de taille qu’il relève avec brio !

Anthony arrive chez Canon sur les quais de Seine, à La Défense. Il retrouve Suzanne Dupuy, la responsable Sodexo « facilities management » (FM) et Sylvain, le responsable technique. Une petite pause café et la journée commence en faisant le point sur les interventions du jour.

Il rejoint son bureau situé en sous-sol. De son ordinateur, qu’il appelle l’« autocom », il gère les petites interventions à distance, comme un changement de numéro de poste ou un branchement d’une ligne à l’international. Tout cela se réalise depuis son PC.

les faux plafonds et installer les lignes téléphoniques pour chaque poste.

Pour cette mission, il doit également travailler depuis un local technique appelé sous-répartiteur. Ici, des câbles en grand nombre distribuent les lignes informatiques et téléphoniques.

Anthony rejoint Suzanne et Sylvain, ils font ensemble un point sur les missions du jour et celles du lendemain.

C’est la fin de la journée pour Anthony.

Anthony doit brancher de nouvelles lignes à partir du répartiteur qui se trouve dans son bureau. Cette colonne de fils téléphoniques alimente tout le bâtiment. Du haut de son échelle, son geste est sûr : ce qui apparaît comme un réseau incompréhensible de fils enchevêtrés n’a pas de secrets pour lui.

C’est l’heure de la pause déjeuner. Anthony rejoint ses collègues au restaurant d’entreprise. Sodexo FM représente ici une petite équipe unie de sept personnes. Les rires de chacun sont au rendez-vous, la décontraction est de mise.

Direction le show-room où Anthony doit installer une ligne de fax sur un photocopieur. Il n’oublie pas de saluer l’ensemble du personnel qui l’apprécie à sa juste valeur car il est à la fois disponible et efficace.

Anthony s’occupe maintenant du transfert de l’ensemble des lignes d’un bureau qui change d’étage. C’est une intervention assez longue qui lui prendra plusieurs jours, car il faut refaire le câblage, tirer les fils dans

PHO

TOS

: FR

ANK

SC

HM

ITT

Page 18: Magazine Attitude Printemps 2009

a Nouvelle-Orléans est la ville principale de l’État de Louisiane, au sud-est des États-Unis. Située aux portes du golfe

du Mexique, la ville est traversée par le fleuve Mississipi. Elle est entourée de plantations et de marécages.

Une ancienne colonie françaiseLa Nouvelle-Orléans fut fondée par les Français en 1718. Au XVIIIe siècle, la Louisiane est une colonie française, régie par Philippe, duc d’Orléans, qui a donné son nom à la ville. En 1803, Napoléon vend cette terre aux jeunes États-Unis et la Louisiane devient en 1812 le 18e membre de l’Union. La Nouvelle-Orléans a longtemps été un port international spécialisé dans l’exportation de céréales. Aujourd’hui, c’est le tourisme qui représente la principale activité économique même si, après le passage de l’ouragan Katrina en 2005, les touristes ont un temps déserté la ville. Reconstruite en grande partie, elle attire à nouveau les voyageurs venus du monde entier.

Tramway et bateau à aubesBerceau du jazz, cette ville animée et colorée offre aux visiteurs sa richesse architecturale, sa culture métissée, sa bonne table et son atmosphère festive. Commencez par visiter

le Quartier Français ou Vieux Carré, situé au centre de la ville. C’est le cœur à la fois historique et touristique de La Nouvelle-Orléans. Dans ce quartier très vivant (surtout le soir), vous pouvez découvrir la plus ancienne église des États-Unis, la cathédrale Saint-Louis, ainsi que des demeures typiques agrémentées de jolis balcons en fer forgé, de patios et de fontaines. Si l’envie vous prend de vous imprégner de la culture locale rendez-vous dans l’Art District : musées, galeries d’art et magasins de luxe y sont concentrés. Pour un shopping plus raisonnable, il faut aller dans Magazine Street : sur 10 kilomètres, galeries, boutiques, joailleries et antiquaires se succèdent. Ne manquez pas non plus de traverser Garden District en tramway pour admirer d’anciennes demeures de style anglo-saxon semblables à des maisons de poupées.

Incontournable, une croisière de quelques heures à bord d’un splendide « steamboat », propulsé par une roue à aubes, vous fera découvrir le Mississipi. Enfin, le tour de la ville sera incomplet si vous ne vous rendez pas dans l’un des cimetières des alentours. Appelés « Cités des morts », ils abritent des tombeaux impressionnants. À visiter en compagnie d’un guide…

Les spécialités culinaires à ne pas manquerSi vous êtes adeptes des produits de la mer, vous ne serez pas déçus. Ne manquez pas de goûter quelques spécialités locales comme les « crawfish » (écrevisses), les huîtres du golfe, ainsi que les plats créoles et « cajun » (nom donné aux Français de Louisiane), aux saveurs épicées et exotiques.

Chihuahua

Torreon

Tampico

M»rida Santiago de Cuba

Veracruz

BELMOPANAcapulco

Salina Cruz

Ciudad Juarez

Leon

Puebla

GUATEMALA

SANSALVADOR

MANAGUA

SAN JOSÖPANAMA

TEGUCIGALPA

Monterrey

Guadalajara

CIUDAD DE MEXICO

Medellin

CARACASBarranquilla

Maracaibo

Santa Marta

CumanaPORT OF SPAIN

SAN JUAN

SANTO-DOMINGO

KINGSTON

PORT-AU-PRINCE

LA HABANA

NASSAU

Valencia

Mobile

Chattanooga

Charleston

El Paso

Columbia

Jacksonville

Tampa

Memphis

Montgomery

Tallahassee

Birmingham

Jackson

Oklahoma CityLittle Rock

Austin

Fort Worth

Baton Rouge

Dallas

Atlanta

Nouvelle-OrléansHoustonSan Antonio

Miami

M E R D E S C A R A Ï B E S

Canal de Yucatan

Bahia de

Campeche

O C É A NA T L A N T I Q U E

P A C I F I C L ES

SE

RA

NTI

LLES

Cuba

Panama

Costa Rica

Nicaragua

Honduras

Belize

GuatemalaEl Salvador

Haiti Dominican

Rep. PuertoRico (US)

Turks & Caicos IslandsM e x i q u e

Venezuela

Juventud

Islas del Cisne (Hond.)

Cayman Islands (UK)

Islas Marias

Ile Clipperton (Fr.)

San Andreas (Col.)

Guadeloupe (Fr)

DominicaMartinique (Fr)Saint-Lucia

Grenada Trinidad &TobagoNueva Esparta

NederlandseAntillen

Antigua and BarbudaAnguilla (UK)

VirginIslands

Jamaica

Bahamas

Orinoco

Magda

lena

C auca

Coco

Istmo de Panama

Lago deNicaragua

Balsas

Rio

Grande

Conchos

Rio

Grande

Pecos

Colorado

Red

Missi

ssippi

Tennessee

Tropic of Cancer

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a Nouvelle-Orléans est la ville principale de l’État de Louisiane, au sud-est des États-Unis. Située aux portes du golfe

du Mexique, la ville est traversée par le fleuve Mississipi. Elle est entourée de plantations et de marécages.

Une ancienne colonie françaiseLa Nouvelle-Orléans fut fondée par les Français en 1718. Au XVIIIe siècle, la Louisiane est une colonie française, régie par Philippe, duc d’Orléans, qui a donné son nom à la ville. En 1803, Napoléon vend cette terre aux jeunes États-Unis et la Louisiane devient en 1812 le 18e membre de l’Union. La Nouvelle-Orléans a longtemps été un port international spécialisé dans l’exportation de céréales. Aujourd’hui, c’est le tourisme qui représente la principale activité économique même si, après le passage de l’ouragan Katrina en 2005, les touristes ont un temps déserté la ville. Reconstruite en grande partie, elle attire à nouveau les voyageurs venus du monde entier.

Tramway et bateau à aubesBerceau du jazz, cette ville animée et colorée offre aux visiteurs sa richesse architecturale, sa culture métissée, sa bonne table et son atmosphère festive. Commencez par visiter

le Quartier Français ou Vieux Carré, situé au centre de la ville. C’est le cœur à la fois historique et touristique de La Nouvelle-Orléans. Dans ce quartier très vivant (surtout le soir), vous pouvez découvrir la plus ancienne église des États-Unis, la cathédrale Saint-Louis, ainsi que des demeures typiques agrémentées de jolis balcons en fer forgé, de patios et de fontaines. Si l’envie vous prend de vous imprégner de la culture locale rendez-vous dans l’Art District : musées, galeries d’art et magasins de luxe y sont concentrés. Pour un shopping plus raisonnable, il faut aller dans Magazine Street : sur 10 kilomètres, galeries, boutiques, joailleries et antiquaires se succèdent. Ne manquez pas non plus de traverser Garden District en tramway pour admirer d’anciennes demeures de style anglo-saxon semblables à des maisons de poupées.

Incontournable, une croisière de quelques heures à bord d’un splendide « steamboat », propulsé par une roue à aubes, vous fera découvrir le Mississipi. Enfin, le tour de la ville sera incomplet si vous ne vous rendez pas dans l’un des cimetières des alentours. Appelés « Cités des morts », ils abritent des tombeaux impressionnants. À visiter en compagnie d’un guide…

Les spécialités culinaires à ne pas manquerSi vous êtes adeptes des produits de la mer, vous ne serez pas déçus. Ne manquez pas de goûter quelques spécialités locales comme les « crawfish » (écrevisses), les huîtres du golfe, ainsi que les plats créoles et « cajun » (nom donné aux Français de Louisiane), aux saveurs épicées et exotiques.

Chihuahua

Torreon

Tampico

M»rida Santiago de Cuba

Veracruz

BELMOPANAcapulco

Salina Cruz

Ciudad Juarez

Leon

Puebla

GUATEMALA

SANSALVADOR

MANAGUA

SAN JOSÖPANAMA

TEGUCIGALPA

Monterrey

Guadalajara

CIUDAD DE MEXICO

Medellin

CARACASBarranquilla

Maracaibo

Santa Marta

CumanaPORT OF SPAIN

SAN JUAN

SANTO-DOMINGO

KINGSTON

PORT-AU-PRINCE

LA HABANA

NASSAU

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Chattanooga

Charleston

El Paso

Columbia

Jacksonville

Tampa

Memphis

Montgomery

Tallahassee

Birmingham

Jackson

Oklahoma CityLittle Rock

Austin

Fort Worth

Baton Rouge

Dallas

Atlanta

Nouvelle-OrléansHoustonSan Antonio

Miami

M E R D E S C A R A Ï B E S

Canal de Yucatan

Bahia de

Campeche

O C É A NA T L A N T I Q U E

P A C I F I C L ES

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NTI

LLES

Cuba

Panama

Costa Rica

Nicaragua

Honduras

Belize

GuatemalaEl Salvador

Haiti Dominican

Rep. PuertoRico (US)

Turks & Caicos IslandsM e x i q u e

Venezuela

Juventud

Islas del Cisne (Hond.)

Cayman Islands (UK)

Islas Marias

Ile Clipperton (Fr.)

San Andreas (Col.)

Guadeloupe (Fr)

DominicaMartinique (Fr)Saint-Lucia

Grenada Trinidad &TobagoNueva Esparta

NederlandseAntillen

Antigua and BarbudaAnguilla (UK)

VirginIslands

Jamaica

Bahamas

Orinoco

Magda

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C auca

Coco

Istmo de Panama

Lago deNicaragua

Balsas

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Grande

Conchos

Rio

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Pecos

Colorado

Red

Missi

ssippi

Tennessee

Tropic of Cancer

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ous sommes de plus en plus nombreux à surfer sur le Net. Que ce soit pour chercher des

informations, acheter des livres, des vêtements ou même une voiture. Bref, nous ne pouvons plus nous en passer ! Pourtant, nous en connaissons les dangers : virus informatique, fraudes à la carte bancaire, sites ou contacts dangereux pour les enfants… Voici quelques moyens d’échapper à ces nombreux déboires.

Afin de protéger votre ordinateur, installez un antivirus, un pare-feu (ou firewall) et un antispam, s’il n’en est pas déjà équipé. Le premier est un logiciel capable de détecter et de détruire de nombreux virus mais aussi d’identifier, et dans certains cas de réparer, les fichiers infectés. N’installez pas plusieurs antivirus, non seulement cela ne sert à rien mais cela risque de ralentir le fonctionnement de votre ordinateur, voire de l’endommager.

En ce qui concerne les pare-feu, il en existe différentes sortes mais ils ont tous le même but : protéger votre ordinateur d’éventuelles « attaques » venant de l’extérieur. Ce filtre permet ainsi de surveiller les connexions Internet et éventuellement d’en bloquer en cas d’intrusion. Enfin, l’antispam repère les courriels indésirables (publicitaires…) ou comportant des pièces jointes suspectes.

Si vous effectuez un achat en ligne, vérifiez avant de le régler que le site propose un paiement sécurisé. Celui-ci consiste à crypter vos données personnelles (nom, adresse, coordonnées bancaires) qui ne pourront donc pas être récupérées par une personne mal intentionnée. Pour en être sûr, vous devez vérifier qu’au moment du paiement, un petit cadenas fermé apparaît sur la fenêtre de votre navigateur. C’est lui qui symbolise le « mode sécurité ». L’adresse du site doit alors commencer par https et non plus par http. Autre moyen encore plus sûr : demandez à votre banque une e-carte. Celle-ci vous permet d’effectuer des achats sur Internet sans communiquer votre numéro de carte bancaire. Ce service vous fournit en effet un numéro unique renouvelé pour chaque achat. Simple, facile et sans risque. L’e-carte est souvent gratuite si on détient déjà une carte de paiement.

De plus en plus de très jeunes surfent sur le Net pour chercher des informations, participer à des forums de discussion, chatter avec leurs amis ou consulter un blog… Mais attention, si ces nouveaux modes de communication ne sont pas bien encadrés, votre enfant risque de faire de mauvaises rencontres ou d’atterrir sur un site au contenu choquant (pornographie, violence, jeux d’argent…). Il faut donc appliquer certaines règles pour les en protéger : Commencez par informer votre enfant

des éventuels dangers. Précisez-lui de ne jamais donner son nom, son

adresse, ni même de mentionner la ville où il habite ou l’établissement scolaire qu’il fréquente. Pour plus de sécurité, installez un logiciel (Logprotect, par exemple, qui est gratuit) qui empêche votre enfant de donner ses coordonnées dans un chat, sur un formulaire… Installez un filtre de contrôle parental.

Celui-ci est chargé de bloquer les accès aux sites sensibles. Vous pouvez en compléter la liste vous-même. De nombreux logiciels sont gratuits. Pour plus de détails, vous pouvez consulter le site www.e-enfance.org. Limitez les heures de consultation

et vérifiez régulièrement les sites que votre enfant consulte.

Page 21: Magazine Attitude Printemps 2009

ous sommes de plus en plus nombreux à surfer sur le Net. Que ce soit pour chercher des

informations, acheter des livres, des vêtements ou même une voiture. Bref, nous ne pouvons plus nous en passer ! Pourtant, nous en connaissons les dangers : virus informatique, fraudes à la carte bancaire, sites ou contacts dangereux pour les enfants… Voici quelques moyens d’échapper à ces nombreux déboires.

Afin de protéger votre ordinateur, installez un antivirus, un pare-feu (ou firewall) et un antispam, s’il n’en est pas déjà équipé. Le premier est un logiciel capable de détecter et de détruire de nombreux virus mais aussi d’identifier, et dans certains cas de réparer, les fichiers infectés. N’installez pas plusieurs antivirus, non seulement cela ne sert à rien mais cela risque de ralentir le fonctionnement de votre ordinateur, voire de l’endommager.

En ce qui concerne les pare-feu, il en existe différentes sortes mais ils ont tous le même but : protéger votre ordinateur d’éventuelles « attaques » venant de l’extérieur. Ce filtre permet ainsi de surveiller les connexions Internet et éventuellement d’en bloquer en cas d’intrusion. Enfin, l’antispam repère les courriels indésirables (publicitaires…) ou comportant des pièces jointes suspectes.

Si vous effectuez un achat en ligne, vérifiez avant de le régler que le site propose un paiement sécurisé. Celui-ci consiste à crypter vos données personnelles (nom, adresse, coordonnées bancaires) qui ne pourront donc pas être récupérées par une personne mal intentionnée. Pour en être sûr, vous devez vérifier qu’au moment du paiement, un petit cadenas fermé apparaît sur la fenêtre de votre navigateur. C’est lui qui symbolise le « mode sécurité ». L’adresse du site doit alors commencer par https et non plus par http. Autre moyen encore plus sûr : demandez à votre banque une e-carte. Celle-ci vous permet d’effectuer des achats sur Internet sans communiquer votre numéro de carte bancaire. Ce service vous fournit en effet un numéro unique renouvelé pour chaque achat. Simple, facile et sans risque. L’e-carte est souvent gratuite si on détient déjà une carte de paiement.

De plus en plus de très jeunes surfent sur le Net pour chercher des informations, participer à des forums de discussion, chatter avec leurs amis ou consulter un blog… Mais attention, si ces nouveaux modes de communication ne sont pas bien encadrés, votre enfant risque de faire de mauvaises rencontres ou d’atterrir sur un site au contenu choquant (pornographie, violence, jeux d’argent…). Il faut donc appliquer certaines règles pour les en protéger : Commencez par informer votre enfant

des éventuels dangers. Précisez-lui de ne jamais donner son nom, son

adresse, ni même de mentionner la ville où il habite ou l’établissement scolaire qu’il fréquente. Pour plus de sécurité, installez un logiciel (Logprotect, par exemple, qui est gratuit) qui empêche votre enfant de donner ses coordonnées dans un chat, sur un formulaire… Installez un filtre de contrôle parental.

Celui-ci est chargé de bloquer les accès aux sites sensibles. Vous pouvez en compléter la liste vous-même. De nombreux logiciels sont gratuits. Pour plus de détails, vous pouvez consulter le site www.e-enfance.org. Limitez les heures de consultation

et vérifiez régulièrement les sites que votre enfant consulte.

Page 22: Magazine Attitude Printemps 2009

Au cœur de l’Auvergne, le plateau d’Ally accueillait autrefois dix moulins. À ce jour, il en reste cinq

visitables : le moulin « panoramique » qui surplombe le site, celui « à paroles » qui raconte des histoires de meuniers, le « vivant », qui a conservé son mécanisme en état de fonctionnement et abrite un écomusée, et deux autres transformés en gîtes. Ces moulins à vent d’antan cohabitent désormais avec 26 éoliennes qui fournissent de l’électricité à 50 000 personnes. C’est le plus grand parc français d’éoliennes. En repartant, vous serez incollable sur les énergies renouvelables, en particulier celles du vent. Ne ratez pas : passer une ou plusieurs

un petit sac de farine biologique fabriquée de façon traditionnelle par le meunier. Ne ratez pas : le moulin accueille de grandes manifestations, comme le marché aux potiers, avec ventes et ateliers de démonstration. Le prochain a lieu les 25 et 26 avril.

Moulin Amour, 16 route de Tourville,27370 Saint-Amand-des-Hautes-Terres. Pour connaître les jours et heures d’ouverture : www.avpn.asso.fr Tél. 02 32 35 80 27. Entrée : 4 (5 les jours de manifestation), gratuite pour les moins de 16 ans.

Cet ancien moulin à eau se dresse sur les bords de la Vienne, à 30 km de Poitiers. Cet ensemble architectural du IXe siècle abrite un musée, Ecologia, qui retrace

l’histoire du moulin et des « gens de Chitré » à travers des sons et lumières, diaporamas et maquettes. Une autre partie

permet de s’initier au développement durable et aux énergies renouvelables. Dans une annexe, expositions et animations

nuits dans un des deux moulins transformés en gîtes. Magique !

Parc éolien, 43380 Ally. Pour connaître les jours et heures d’ouverture : www.ally43.fr/content/view/36/77/ Tél. 04 71 76 77 22. Visite des 3 moulins et des éoliennes : 9 , 5,50 pour les enfants.

Situé en Normandie, ce moulin à eau a conservé tout son charme. En parfait état de marche, il est le seul survivant des 17 répertoriés sur l’Oison, rivière au bord de laquelle il coule des jours heureux depuis

1411. Vous pourrez découvrir sa roue à augets et ses meules qui servent encore à moudre le blé. Pour preuve, vous repartirez avec

(ateliers, conférences…) se succèdent.Ne ratez pas : le belvédère qui offre un point de vue panoramique unique sur la Vienne.

Moulin de Chitré, 86210 Vouneuil- sur-Vienne. Pour connaître les jours et heures d’ouverture : www.ecologia-tourisme.com (« Moulin de Chitré ») Tél. 05 49 85 11 66. Visites libres : 3 , 2,30 pour les enfants. Visites guidées : 5,50 et 3 .

Page 23: Magazine Attitude Printemps 2009

Au cœur de l’Auvergne, le plateau d’Ally accueillait autrefois dix moulins. À ce jour, il en reste cinq

visitables : le moulin « panoramique » qui surplombe le site, celui « à paroles » qui raconte des histoires de meuniers, le « vivant », qui a conservé son mécanisme en état de fonctionnement et abrite un écomusée, et deux autres transformés en gîtes. Ces moulins à vent d’antan cohabitent désormais avec 26 éoliennes qui fournissent de l’électricité à 50 000 personnes. C’est le plus grand parc français d’éoliennes. En repartant, vous serez incollable sur les énergies renouvelables, en particulier celles du vent. Ne ratez pas : passer une ou plusieurs

un petit sac de farine biologique fabriquée de façon traditionnelle par le meunier. Ne ratez pas : le moulin accueille de grandes manifestations, comme le marché aux potiers, avec ventes et ateliers de démonstration. Le prochain a lieu les 25 et 26 avril.

Moulin Amour, 16 route de Tourville,27370 Saint-Amand-des-Hautes-Terres. Pour connaître les jours et heures d’ouverture : www.avpn.asso.fr Tél. 02 32 35 80 27. Entrée : 4 (5 les jours de manifestation), gratuite pour les moins de 16 ans.

Cet ancien moulin à eau se dresse sur les bords de la Vienne, à 30 km de Poitiers. Cet ensemble architectural du IXe siècle abrite un musée, Ecologia, qui retrace

l’histoire du moulin et des « gens de Chitré » à travers des sons et lumières, diaporamas et maquettes. Une autre partie

permet de s’initier au développement durable et aux énergies renouvelables. Dans une annexe, expositions et animations

nuits dans un des deux moulins transformés en gîtes. Magique !

Parc éolien, 43380 Ally. Pour connaître les jours et heures d’ouverture : www.ally43.fr/content/view/36/77/ Tél. 04 71 76 77 22. Visite des 3 moulins et des éoliennes : 9 , 5,50 pour les enfants.

Situé en Normandie, ce moulin à eau a conservé tout son charme. En parfait état de marche, il est le seul survivant des 17 répertoriés sur l’Oison, rivière au bord de laquelle il coule des jours heureux depuis

1411. Vous pourrez découvrir sa roue à augets et ses meules qui servent encore à moudre le blé. Pour preuve, vous repartirez avec

(ateliers, conférences…) se succèdent.Ne ratez pas : le belvédère qui offre un point de vue panoramique unique sur la Vienne.

Moulin de Chitré, 86210 Vouneuil- sur-Vienne. Pour connaître les jours et heures d’ouverture : www.ecologia-tourisme.com (« Moulin de Chitré ») Tél. 05 49 85 11 66. Visites libres : 3 , 2,30 pour les enfants. Visites guidées : 5,50 et 3 .

Page 24: Magazine Attitude Printemps 2009

copainsdavant.linternaute.comVous avez envie de retrouver votre bande de copains avec qui vous étiez en seconde ? Rendez-vous sur ce site. Parmi les 10 millions d’inscrits, vous pouvez y trouver d’anciens camarades de classes, de la maternelle à l’université. Avec un peu de chance, l’un d’entre eux aura même inséré une photo de classe sur laquelle vous figurez. Le site est pratique, tout est bien répertorié, en plus l’inscription et la consultation des bases de données sont gratuites.Le + : vous pouvez aussi rechercher sur ce site un ancien collègue de travail, un copain du service militaire, d’une association, d’un club sportif, et même une rencontre faite dans un club de vacances.

www.perdudevue-org.netSur ce site, vous pouvez aussi bien rechercher un ex-petit ami qu’un membre de votre famille que vous ne voyez plus, un ancien copain, voisin ou collègue de travail… Il y a des centaines d’annonces qui sont mises à jour quotidiennement. Il suffit d’entrer le nom de la personne recherchée et les réponses apparaissent. Le site est gratuit.Le + : Un moteur de recherche permet aussi de savoir si quelqu’un essaie de vous retrouver.

www.photo-de-classe.comPionnier dans le domaine, photo-de-classe vous permet de retrouver en un clic vos clichés de classe et vos anciens copains. Le site compte 3,5 millions d’inscrits et près de 125 000 photos de classe sont répertoriées. On y accède

directement car elles sont classées par année. Si l’on veut visionner uniquement celles de ses écoles il suffit de s’inscrire, c’est gratuit.Le + : On peut envoyer une « bouteille à la mer ». En fait, il s’agit d’un avis de recherche qui défile sur la page d’accueil et qui est référencé sur Google. Seul hic, ce service est payant mais très accessible, 1,80 par annonce.

Page 25: Magazine Attitude Printemps 2009

Lorsque vous avez fait une tache, agissez vite. Commencez par nettoyer son contour

par mouvements circulaires avant d’attaquer son centre. Utilisez de l’eau tiède ou froide mais jamais très chaude car cela risque de fixer la tache. Ne frottez pas, tamponnez. Ensuite, lavez votre vêtement en machine comme d’habitude.

Des solutions sur mesureVoici quelques conseils qui vous permettront d’éradiquer facilement les taches sans vous ruiner.

Tache de fruits : imbibez un linge propre avec de l’eau tiède additionnée du jus d’un citron. Tamponnez la tache, puis rincez. Si elle ne part pas, vous pouvez essayer avec du lait tiède.

Tache d’encre, de stylo ou de feutre : procédez comme pour celle de fruits.

En cas d’échec, utilisez de l’alcool à 90° dilué avec un peu d’eau (sauf sur les tissus synthétiques).

Tache d’herbe : nettoyez-la avec un peu de liquide vaisselle. Si ça ne marche pas, tentez le vinaigre blanc ou le jus de citron dilué dans un peu d’eau tiède.

Tache de gras : recouvrez-la avec un peu de talc, puis appliquez dessus un papier de soie. Passez ensuite le fer (réglez la température en fonction du tissu). Le gras « remonte » sur le papier. Brossez doucement. Si la tache est récalcitrante, renouvelez l’opération plusieurs fois.

Tache de vin rouge : évitez le sel qui risque d’abîmer le tissu. Tamponnez plutôt la tache avec un linge propre imbibé d’eau gazeuse ou de vin blanc.

Chewing-gum collé : passez un glaçon dessus ou placez

le vêtement au congélateur. Sous l’action du froid, le chewing-gum va durcir. Il vous suffira de gratter délicatement pour le retirer.

Tache de soda : recouvrez-la avec un peu de terre de Sommières (argile vendue au rayon droguerie) ou, si vous n’en avez pas, de la farine. Laissez sécher, brossez délicatement, puis tamponnez avec un tissu imprégné d’eau savonneuse.

Tache de sang : commencez par la laver à l’eau savonneuse froide. Si vous n’obtenez pas de résultat, utilisez de l’eau oxygénée diluée.

0 800 20 10 53APPEL GRATUIT DEPUIS UN POSTE FIXE